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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

(8206 résultats)
Il y a 4 ans et 348 jours

Rénovation énergétique des bâtiments publics : de l'aide pour les collectivités

Le gouvernement lance un programme de 100 millions d’euros sous forme de Certificats d'économie d'énergie pour soutenir les collectivités qui rénovent énergétiquement leurs bâtiments.
Il y a 4 ans et 348 jours

Bouygues remporte un contrat d'environ 264 millions d'euros à Londres

Le groupe, qui a déjà livré 528 logements et un hôtel de 196 chambres notamment lors des deux premières phases, prévoit une livraison en 2024 alors que les travaux viennent tout juste de démarrer en juin, a précisé l'entreprise dans un communiqué.Ce vaste programme prévoit la construction supplémentaire de 620 logements sous diverses formes, 1.125 m2 de bureaux, un parking souterrain de 143 places, un centre de santé, 1.545 m2 d'espaces de loisirs ainsi que des espaces publics et des aires de jeux.
Il y a 4 ans et 349 jours

Le lycée Robert Doisneau de Corbeil, tout un programme

C’était la première visite de presse post-déconfinement et les journalistes étaient venus en nombre en ce jeudi 18 juin ensoleillé pour découvrir la réhabilitation et l’extension du lycée Robert Doisneau, à Corbeil-Essonnes*, réalisées par les agences DE-SO et Terreneuve. L’occasion de découvrir un programme fait pas bien comme il faut ! Ouvert en septembre 1958 en […] L’article Le lycée Robert Doisneau de Corbeil, tout un programme est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 349 jours

Événement : Petit Programme

Suite à la fin du confinement et à la réouverture des « petits musées », La Kunsthalle Mulhouse a réinventé sa programmation, et a choisi de promouvoir douze artistes familiers du centre d’art contemporain. Dans le contexte sanitaire actuel si particulier, La Kunsthalle Mulhouse se réjouit de présenter son Petit Programme, un cycle d’expositions qui offre une semaine de carte blanche à chaque artiste sélectionné. Nous avons eu la chance de nous entretenir avec Sandrine Wymann, la directrice de La Kunsthalle Mulhouse, à propos de cet événement inédit. Muuuz : Votre projet Petit Programme est né pendant la période de confinement. Quelle est la genèse de ce projet ?Sandrine Wymann : C’est un projet improvisé car, comme tout le monde, nous avons vécu des chamboulements. À La Kunsthalle Mulhouse, nous avons été obligés de fermer début mars, plus tôt que les autres instituions. Nous venions d’inaugurer l’exposition Algotaylorism qui abordait la question du taylorisme algorithmique. La majorité des œuvres était des objets à manipuler. Il n’était donc pas envisageable de rouvrir le centre avec cet événement. Au regard des différentes incertitudes relatives à l’accueil des publics et aux gestes barrières, nous avons réfléchi à un accrochage permettant à la fois de rendre visibles des artistes proches de La Kunsthalle et de présenter des œuvres aux visiteurs dès la réouverture des musées. Avec le Petit Programme, nous avons décidé de confier l’espace à chacun des artistes invités. Un des enjeux de cet événement est de renforcer les liens et de dialoguer avec les artistes, qui ont été en résidence ou exposés à La Kunsthalle. Quelle est l'histoire du titre « Petit Programme » ?Le titre est un clin d’œil à l’expression « petits musées » employée par le Premier Ministre français Édouard Philippe le 28 avril dernier, et aux nombreuses questions que cela a suscité. La notion de programme est également importante car cet événement n’est pas une exposition au sens classique du terme. Pourquoi avez-vous choisi de rouvrir La Kunsthalle Mulhouse avec un tel événement ?Rouvrir le lieu au public, c'est pouvoir être à nouveau présent dans le paysage culturel. C’est aussi entamer un dialogue privilégié avec des artistes. Le Petit Programme a ainsi vocation à s’inscrire dans l’après-confinement, une période surtout occupée par des questionnements d’ordre politique et économique. Le Petit Programme présente douze artistes familiers du centre d'art. Comment les avez-vous sélectionnés ?Les artistes exposés sont des plasticiens qui ont été particulièrement productifs pendant le confinement, mais aussi des artistes de la Région Grand Est et des artistes étrangers, avec lesquels je voulais collaborer. Certains thèmes du confinement – le domestique, la famille, la nature – ont été explorés par ces artistes. Le Petit Programme donne ainsi à voir plusieurs facettes de cette période. Chaque artiste est exposé pendant une semaine. Pourquoi avez-vous choisi d'organiser plusieurs expositions personnelles consécutives plutôt qu'une exposition collective ?Une exposition se concentre sur une thématique. En l’occurrence, dans le cadre du Petit Programme, il n’y a pas de thématique principale. L’idée est surtout de montrer que les artistes ont une grande créativité. Durant le confinement, vous avez réfléchi sur les conditions de perceptions des œuvres ainsi que sur l'importance de l'expérience esthétique vécue par les visiteurs lors d'une exposition. Comment envisagez-vous l’après ? Souhaitez-vous proposer de nouvelles perspectives dans la façon d'exposer des artistes ?Je ne cherche pas à remettre en question les modes d’exposition. Toutefois, je souhaite réfléchir à la création de nouveaux formats pour les visiteurs. J’aimerais aller vers un changement de rythme tout en repensant la relation au public et aux œuvres, tant en termes de contenu que de format. Par exemple, Le Petit Programme est visible réellement dans l’espace d’exposition, et virtuellement sur le site internet et les réseaux sociaux.Après le Petit Programme, quel sera votre prochaine exposition ?Notre prochaine exposition intitulée Le Monument, le labeur et l’hippocampe se tiendra du 17 septembre au 15 novembre 2020, et interrogera l’histoire industrielle du XXème siècle. Nous réfléchissons actuellement aux futurs formats des visites et du vernissage. Pour en savoir plus, visitez le site et le compte Instagram de La Kunsthalle Mulhouse. Petit Programme, du 1er juin au 23 août 2020, à La Kunsthalle Mulhouse (68100).Ouverture du jeudi au dimanche, de 15h00 à 18h00. Visuels : 1) Chourouk Hriech, Effeuillages – Robe 2, 2018, capture d'écran de la vidéo, vidéo HD, couleur, son, 14’15, Courtesy de l’artiste et de la Galerie Anne-Sarah Bénichou2) Pusha Petrov, Néma para na palucenska muma, 2020, photographie couleur, 100 x 150 cm © Pusha Petrov3) Anna Byskov, La dérive de l’imbécile, mai 2020, capture d'écran de la vidéo © Anna Byskov Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 349 jours

Réalisation d'une ligne ferroviaire pour desservir l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle

Il s'agit du 10e marché confié par la SNCF Réseau à l'activité ferroviaire IDF de Spie batignolles valérian, lancée au printemps 2017.Cette opération d'infrastructure ferroviaire neuve de 6.1 km sera menée par un groupement composé de Spie batignolles valérian (mandataire), Spie batignolles génie civil, Demathieu Bard, Colas Rail, Egis Rail, ASP et Fer Expert.Le groupement est responsable de la conception de ce projet et de son optimisation dans le respect du programme du client, des travaux de terrassement, d'assainissement, d'ouvrages d'art, de la pose des 2 voies ferrées, de l'installation des caténaires, de la signalisation et de l'ensemble de la sécurité ferroviaire.Les deux zones nommées G et H seront opérationnelles à compter de décembre 2023 et représentent un montant total de travaux de plus de 50 millions d'euros HT.Zone G : 4.4 kilomètres à créerLa zone G de ce projet représente 4.4 kilomètres de tronçon à créer et équiper sur la ville de Mitry-Mory et jusqu'à l'accès de l'aéroport de Roissy donnant sur la commune de Tremblay-en-France, passant ensuite sur la zone H.Les deux voies nouvellement créées seront entièrement aériennes (en remblai). Leur passage conduira à l'installation de 3 ponts rails et d'1 pont route, des ouvrages recouvrant les grands enjeux de ce projet en raison des délais très serrés à tenir :Le pont-rail qui surplombera la route nationale 2 et dont les travaux débuteront prochainement devra être opérationnel avant la mi-novembre. Ils requerront de travailler en rive puis en terre-plein central de la RN 2.Pour le pont-route qui rétablira la circulation sous la RD84, c'est une opération quasi-militaire qui s'organisera. L'ouvrage préfabriqué en usine sera installé sur 11 jours seulement, nécessitant la fermeture totale de la route entre le 3 et le 14 août. Pour ce faire, les équipes devront procéder au terrassement de 15 000 m3 de terres, au remblaiement d'un volume équivalent avant de pouvoir intervenir sur la réfection de la chaussée.Zone H : 1.7 kilomètre jusqu'à la gare CDG T2La zone H permettra de raccorder la zone G, entrée de l'aéroport de Roissy à Tremblay-en-France, jusqu'à la gare CDG T2. Elle se situe uniquement sur la commune de Tremblay-en-France et représente 1.7 kilomètre dont une partie à l'intérieur du tunnel emprunté par le RER B.Sur ce tronçon, compte-tenu des nombreux raccordements nécessaires dus à la présence de tunnel, croisement de routes, lignes ferroviaires et gares, le groupement réalisera de nombreux aménagements autour d'infrastructures déjà existantes. Une plateforme de maintenance et de secours sera créée pour être dédiée à cette nouvelle ligne.Priorité à la valorisation des matériauxLe dossier présenté par le groupement mené par Spie batignolles valérian comprend un large volet consacré à la valorisation des déchets de chantiers avoisinants. Il s'agit de valoriser le maximum de déblais issus des différents chantiers de la région parisienne, notamment provenant des opérations du Grand Paris.Chiffres clé :100 000 m3 de déblai.230 000 m3 de remblai dont 170 000 m3 provenant de valorisation de sites extérieurs
Il y a 4 ans et 349 jours

3 start-up lauréates du projet Numériser l’existant

Bimeo, LevelS3D et WiseBIM sont les 3 start-up lauréates du challenge « Numériser l’existant », l’un des 9 projets du programme PROFEEL dédié à l’innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Elles bénéficieront d’un soutien financier et technique pour développer les nouvelles fonctionnalités de leurs applis et plateformes de numérisation 3D du bâti, compatibles avec le BIM. Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l’automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021. ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clics ARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d’Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n’importe quelle pièce. A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l’épaisseur des parois, l’ajout d’objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d’annoter la maquette avec des cotations. S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D complet LevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l’application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d’abonnement ou offres à l’acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d’un capteur de profondeur intégré (compatible sur l’Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu’en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : pré- positionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d’IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti. Plans2BIM de WiseBIM L’innovation unique qui transforme les plans 2D en 3D WiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n’importe quel plan architectural 2D, ainsi qu’éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d’intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 349 jours

Campus créatif, à Rennes, par Philippe Dubus

L’agence Philippe Dubus Architectes a livré en septembre 2019 le 5ème campus créatif du groupe ICONES à Rennes (Ille-et-Vilaine) pour Enki, maîtrise d’ouvrage. Sur une superficie de 7 484 m², et pour un coût des travaux 9,9 M€ HT, le programme compte deux écoles d’art, 220 logements étudiants, terrasses et city-stade en balcon sur le […] L’article Campus créatif, à Rennes, par Philippe Dubus est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 350 jours

Programme PROFEEL : Trois start-up lauréates du challenge "Numériser l'existant"

NUMERIQUE ET BIM. Trois start-up ont été distinguées lors du Challenge "Numériser l'existant", lancé dans le cadre de PROFEEL, le programme de développement de l'innovation au service de la rénovation énergétique du bâtiment porté par la filière.
Il y a 4 ans et 352 jours

A Dakar, le front de mer cède du terrain sous les assauts des promoteurs

Fin mai, un homme s'est présenté avec un permis et a entrepris de terrasser au pied de la colline pour construire un hôtel, causant la stupéfaction des habitants et des élus locaux, raconte Mamadou Mignane Diouf, de l'ONG Forum social.Pourtant, "ici, personne ne doit construire", dit-il, car la colline, surmontée d'un phare emblématique depuis 1864, est une zone verte protégée.La capitale sénégalaise, métropole de trois millions d'habitants en rapide expansion sous la pression de l'exode rural, se sent de plus en plus à l'étroit sur sa péninsule qui s'enfonce dans l'Atlantique.Depuis des années, les promoteurs ont pris pour cible son rivage de carte postale, érigeant hôtels et résidences de luxe et défigurant petit à petit le paysage en se jouant d'une législation complexe et peu appliquée.Les Dakarois ordinaires se plaignent de cette privatisation du littoral, qui réduit l'accès à la mer et aux plages dans une ville manquant cruellement d'espaces de loisirs collectifs.ElectrochocLa destruction d'une partie de la colline des Mamelles, bien que loin d'être un fait sans précédent, a constitué un électrochoc et soulevé de nombreuses protestations.Avec la colline voisine, surmontée de l'imposant monument de la Renaissance africaine, bâti par la Corée du Nord, les deux monticules volcaniques d'une centaine de mètres de haut portent le nom évocateur de "Mamelles". Elles sont un élément reconnaissables entre tous du paysage, auxquels les Dakarois sont attachés. Leurs abords sont déjà largement urbanisés.Après des protestations dans la presse et sur les réseaux sociaux, la police a interrompu le terrassement, qui laisse un trou béant au ton ocre."Ils ont déjà causé beaucoup de dégâts", regrette M. Diouf en parcourant un amas de gravats et en se demandant "pourquoi quelques privilégiés pensent qu'eux seuls ont droit d'accéder au littoral, de le privatiser, de le fermer et de permettre uniquement à eux et à leur famille d'y accéder au détriment des autres Sénégalais". Le ministre de l'Urbanisme, Abdou Karim Fofana, assure à l'AFP que le gouvernement du président Macky Sall, au pouvoir depuis 2012, travaille à une nouvelle loi de protection du littoral.Mais l'attribution sous les précédents régimes de titres de propriété et de permis de bâtir signifie que de nombreux projets immobiliers vont probablement se poursuivre, explique-t-il avec une dose de fatalisme."Il faut sauvegarder les parties non occupées, faire en sorte que les Sénégalais et la population dakaroise y aient accès", dit-il."La loi des plus forts"Pays pauvre de 16 millions d'habitants, le Sénégal s'est engagé dans un programme de développement et de modernisation. La construction d'autoroutes, le développement de carrières de calcaire et la construction à tout-va de logements pèsent sur l'environnement, déjà mis à mal par le changement climatique et la déforestation sauvage.Pour Marianne Alice Gomis, une élue dakaroise spécialiste d'urbanisme, "le problème principal vient des titres liés à la propriété foncière", le cadastre étant très lacunaire.La majorité des constructions à Dakar sont illégales, dit-elle, en soulignant que de nombreux responsables méconnaissent les codes urbanistiques.Mme Gomis cite en exemple un conflit qui oppose sa commune (subdivision de Dakar), Mermoz-Sacré-Coeur, au promoteur d'un projet d'appartements qui verrait le jours aux abords d'une des plus grandes plages. La commune de Mermoz affirme que le terrain litigieux se situe sur son territoire. Le promoteur détient un permis de bâtir, mais il a été délivré par une commune voisine.Le maire de Mermoz, Barthélémy Diaz, a qualifié l'opération "d'agression flagrante sur le domaine public maritime" et estimé qu'il "s'agit d'une contribution significative de ce promoteur à l'érosion côtière". "Et c'est cela qui est inadmissible", a-t-il ajouté. Balla Magassa, 43 ans, est propriétaire d'un petit bar sur ce qui reste de la plage des Mamelles, au pied de la colline. Déjà entouré de bâtiments, il craint d'être définitivement chassé par de nouveaux projets. "C'est simplement la loi des plus forts", dit-il.Texte
Il y a 4 ans et 353 jours

La restructuration de l’École du Louvre confiée à Hart Berteloot

À l’aune des grandes réflexions autour de l’enseignement supérieur et des mutations induites par les technologies numériques, l’École du Louvre présente son vaste programme de travaux en plein cœur du Palais du Louvre. Cet ambitieux projet architectural conduit par Hart Berteloot Architectes s’articulera autour de la restructuration de la bibliothèque, la création d’un centre de recherche et le réaménagement de la cafétéria et des services documentaire et informatique. L’Opérateur...
Il y a 4 ans et 354 jours

Palmarès Concours Acier 2020 : des projets d'architecture répondant aux turbulences du monde

Authentique laboratoire d'idées et de création, présidé cette année par l'architecte Thomas Corbasson, le concours Acier est désormais un événement majeur et valorisant dans le cursus des étudiants inscrits en école française d'architecture et d'ingénieurs. Cette 11e édition invitait les candidats à plancher sur un sujet d'actualité, de société intitulé « Turbulences - L'architecture face aux mutations climatiques et aux risques naturels ».Sur quelles solutions l'architecte peut-il s'appuyer pour influer sur l'autonomie de la société de demain et relever le défi du bien-être de la population dans un environnement de proximité ? Les projets réfléchis des quatre équipes récompensées apportent des éclairages stimulants. Outre le besoin impérieux d'usage et sa réponse « acier », ils font la part belle à la stimulation intellectuelle et émotionnelle.Pour Thomas Thomas Corbasson, architecte, président du jury 2020, « Dans l'ensemble, les candidatures témoignent d'une très bonne qualité de travail. La partie technique des projets présentés n'a jamais éclipsé la place de l‘imagination et de la respiration. C'était là tout le défi de ce sujet. Bâtir pour se protéger des risques climatiques exige une réflexion constructive qu'il s'agisse d'implantation, de forme, de matérialité et de mise en œuvre. Mais aussi une part de rêve et une ouverture vers l'espace imaginaire. Les quatre lauréats que nous avons distingués ont non seulement tous apporté une réponse cohérente à la problématique mais ont fait preuve d'une réelle justesse du propos à la réponse écologique et d'un vrai beau geste architectural ».Pour Charlotte Flores, Déléguée générale et directrice de la communication de ConstruirAcier, « Le concours acier offre aux candidat-étudiants l'opportunité de découvrir et explorer les possibilités architecturales et techniques de l'acier en concevant un ouvrage avec ce matériau. Nous avons choisi le thème de la résilience pour cette édition 2020 parce qu'il constitue un enjeu majeur pour relever les défis de demain dont celui du « bien habiter », du bien-être de la population dans un environnement de proximité. En tant que président du jury, Thomas Corbasson y a ajouté une dimension poétique et onirique dont les projets récompensés sont le reflet. Les lauréats du concours sont récompensés par une somme de 10 000 euros à se répartir. Les projets seront notamment publiés dans le book des prix de l'architecture acier et la revue Matières ».Le Jury 2020 du Concours Acier était composé de :Président : Thomas Corbasson, architecte, fondateur de l'agence Chartier-Corbasson.Anne Pezzoni, architecte, archi5- Fabienne Ponsolle, architecte, représentante de la Maison de l'architecture Ile-de-France - Loïc da Silva, ingénieur, président d'Inexom - Simon Durand, ingénieur, schlaich bergermann partner - Jacques Franck Degioanni représenté par Amélie Luquain, journaliste Le Moniteur - Alice Bialestowski, journaliste AMC- David Abittan, rédacteur en chef, TEMA.Premier prix ex aequoMachine à paysage (réécriture d’un site abandonné à Montpellier)Caroline Desplan, ENSA Paris-BellevilleLa côte méditerranéenne autour de Montpellier se caractérise par une forte densité littorale d’activités humaines, notamment touristiques. Dans ce territoire, on compte plusieurs pôles d’attraction : celui de la métropole montpelliéraine, auquel s’ajoute une multitude de pôles secondaires de villes balnéaires, sur la langue de terre entre étangs et mer. Dessinée par de larges vides séparant ces zones d’attractivité, cette frange de paysages lagunaires camarguais construit l’identité de ce territoire.Le projet propose une lecture sensible d’un territoire littoral abandonné comme espace potentiel de valorisation paysagère et intègre le projet architectural à une réflexion écologique à plus grande échelle. Il cherche à valoriser un site déchu aux problématiques diverses : l’ancienne décharge de Montpellier, qui a longtemps pollué ce paysage si singulier.La Machine à paysage est une usine à double effet. En tirant parti de la décharge pour la dépolluer et en extraire du méthane, qui deviendra une source d’énergie pour la seconde partie de l’usine, elle profite de son implantation entre rivière et étang et installe une centrale osmotique, nécessitant de l’eau douce et salée, pour produire de l’électricité. L’ensemble du processus permet ainsi d’alimenter en électricité la ville voisine (16 300 hab), d’améliorer l’écosystème des étangs fragilisés, mais surtout de réinvestir ce paysage oublié.Cette ligne dessine un témoignage, une réécriture de ce passé toxique en une opportunité durable et vertueuse pour renouer avec un territoire meurtri. Poutre treillis en acier de 240 m, l’usine se soulève sur des cuves porteuses, sans toucher au sol naturel. Encadré de larges escaliers, c’est la structure qui exprime la fonction de l’architecture. Le toit terrasse projette le regard vers l’horizon marin. Scandée par les cuves, la perspective entraine le visiteur à marcher sur toute la longueur du bâtiment pour voir se déployer devant lui le paysage, sujet de toute l’intervention.Premier prix ex aequoBio River CityMalo Botani, Valentin Lepley-SchulmanENSA NantesLa Gironde, plus grand estuaire d’Europe occidentale, entité paysagère opérant l’interface entre le continent et l’Atlantique est un territoire pouvant se lire à plusieurs échelles. D’une part, le fleuve apparaît comme la colonne vertébrale support de zones naturelles sensibles accueillant une riche biodiversité. D’autre part, quelques points singuliers structurent l’embouchure fluviale dont la citadelle de Blaye fait partie. Ce monument de défense militaire, érigé par l’ingénieur Sebastien Le Prestre de Vauban au XVIIème siècle, est une infrastructure qui fût conçue en partie en s’appuyant sur les qualités intrinsèques du site afin d’en conforter la fonction. Aujourd’hui, sa sauvegarde patrimoniale est menacée. De fait, l’érosion liée aux variations du niveau de la Gironde fragilise la roche sur laquelle repose la citadelle et un risque d’effondrement persiste. À terme, ce phénomène tendra à s’intensifier du fait de l’influence de la montée des eaux sur le marnage du fleuve. Enfin, les écosystèmes d’estuaires constituent des territoires permettant d’observer en premier lieu les effets liés au dérèglement climatique et d’anticiper ses effets néfastes futurs.Le projet propose de s’appuyer sur ce contexte d’urgence (celui de la sauvegarde de la ruine) afin de se saisir d’une problématique liée au dérèglement climatique. Le projet s’accroche donc sur une digue en béton qui aurait été érigée à la hâte en proposant d’y installer un laboratoire à ciel ouvert de la biodiversité estuarienne, espace expérimental où divers acteurs (chercheurs, institutions, étudiants, etc.) sont amenés à travailler ensemble face à cet enjeu sociétal. De plus, la proposition est pensée comme étant un lieu de vie ouvert sur son environnement accessible depuis les remparts. Cet équipement installé en encorbellement et développé sur 700 mètres de long tend à révéler un site par son architecture, mettant en résonance une approche de sauvegarde patrimoniale et de protection environnementale. Troisième prixFenêtre sur SaôneAnais Ducret, Alice BarthelemyENSA Paris-La VilletteC’est au Port Nord de Chalon-sur-Saône, sur le bord de sa rivière que le projet prend place. Doté d’un caractère patrimonial fort, le site doit faire face à un risque majeur régulier, la montée des eaux. Quel devenir peut-on imaginer pour le Port Nord submersible, ses machines industrielles désuètes, ses collectifs d’artistes et ses industries d’acier en perte d’activité?Face à la crise planétaire que nous traversons, la nécessité pour nos disciplines de se renouveler et de penser le monde de demain apparaît plus que jamais indispensable.Le Port Nord pourrait devenir le lieu des possibles pour l’écriture d’un nouveau récit, terre d’expérimentions autour de la gestion des crues et autres aléas naturels.Le Centre Technique de Création, Recherches et Formations en architecture, design et ingénierie fonctionnerait en partenariat avec les industries de matériaux in situ. Les machines à l’abandon retrouveraient un usage dans la création de projet à échelle 1, mais aussi dans la construction du centre pensé selon les gabarits du pont roulant.Reposant sur les concepts de circuit-court et de faible impact, l’édifice fait le choix d’une construction acier inoxydable qui met en action les industries et machines présentes sur place, offrant des possibilités d’adaptation dans le temps, de flexibilité dans l’usage.Les portiques acier constituent la structure principale, une « échelle » qui permet à des modules autoportants de s’y greffer et s’élever selon les variations de l’eau. L’assemblage des modules de contreventement se fait sur place jouant avec une penderie de parois, filtres et mobiliers pour proposer des combinaisons variées et adaptables. Pour accueillir les crues des brèches de rétention émergent sous l’édifice qui devient alors une presqu’île, un paysage changeant qui ne cesse de se réinventer pour s’adapter à son milieu et faire du risque un atout.Mention spécialeVelum 93, structure sanitaire d’urgenceLouis Gibault, ENSA Paris BellevilleNotre société a récemment connu un bouleversement historique. La crise sanitaire du Covid-19 a bousculé toute certitude contemporaine. Comment doit se positionner l’architecte face à ces événements majeurs ? En référence à cette situation, en partie due aux mutations liées aux changements climatiques et environnementaux, l’intention du travail est de mener une réflexion constructive afin de surmonter de futurs chocs traumatiques naturels.Le projet Vélum93 est né d’un échange avec le Dr Thierry Gibault. L’installation d’urgence proposée est envisagée comme une solution à la surpopulation dans les hôpitaux lors de situations pandémiques mais elle peut s’adapter à d’autres contextes d’hébergements d’urgence (inondation, incendie ou crise migratoire). La structure métallique mis en œuvre, assurant rapidité d’exécution et confort sanitaire, s’inspire d’un objet connu de tous, l’ombrelle occidentale. Il s’agit d’un dispositif pliable et transportable permettant de se protéger d’éléments naturels. La structure métallique est développable et permet d’ériger verticalement l’espace. Ce principe assure un gain de temps considérable et s’adapte à des terrains difficiles. Quatre poutres en acier coulissent autour d’un point structurant vertical qui assure les descentes de charges. Le programme a été établi avec le Dr Gibault afin de proposer les meilleures solutions. L’étanchéité et l’apport en lumière est assuré par une double peau composée d’une maille métallique rattachée à une toile tendue (reprenant le principe des surfaces minimales). La flexibilité d’adaptation aux catastrophes naturelles permet au projet de proposer une variété de solutions. La crise sanitaire actuelle est le support de cette recherche d’expérimentation. Le choix des matériaux permet de faciliter les opérations de transport avec un poids et un volume réduits. Le projet s’implante dans un territoire aux enjeux sanitaires et sociaux forts, celui de la Seine Saint Denis, plus précisément sur l’Ile Saint Denis.
Il y a 4 ans et 354 jours

Rénovation énergétique : 100 M€ débloqués pour les bâtiments publics

TRANSITION. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique, Emmanuelle Wargon, a signé ce 1er juillet 2020 la convention du programme Action des collectivités territoriales pour l'efficacité énergétique 2 (Actee) lors d'un déplacement dans le Nord. Grâce au dispositif des CEE, un budget de 100 millions d'euros est ainsi alloué aux collectivités pour accélérer leur transition écologique.
Il y a 4 ans et 354 jours

9 régions s'engagent à accompagner les français qui le souhaitent pour la rénovation énergétique de leur logement

Julien Denormandie, ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, Emmanuelle Wargon, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, et Renaud Muselier, président de Régions de France, ont coprésidé le mardi 30 juin 2020 le comité d’orientation du programme national du « Service d’Accompagnement pour la Rénovation Energétique » (SARE), en présence d’Arnaud Leroy, Président de l’ADEME, pilote du programme.La mise en place du programme SARE, lancé en septembre 2019, vise à apporter une réponse efficace et durable à travers le déploiement de guichets locaux d’information et d’accompagnement.Le comité d’orientation du programme, qui réunit l’État et les principales associations de collectivités (Régions de France, ADCF, ADF, AMF et France Urbaine), a dressé un premier bilan du déploiement du programme, neuf mois après son lancement par le Gouvernement et la signature d’un protocole d’alliance entre Régions de France et l’Etat le 18 décembre 2019.Le comité a salué l’engagement de nombreux territoires dans le dispositif. À ce jour, 11 conventions territoriales, couvrant 9 régions, ont été votées ou seront soumises au vote d’ici fin juillet 2020 : les Régions Bretagne, Centre Val-de-Loire, Pays de la Loire, Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne Franche-Comté, Grand Est, La Réunion, Nouvelle-Aquitaine, ainsi que la Métropole du Grand Paris et les Départements de Seine-et-Marne et de l’Essonne en Ile-de-France. Au total, ces conventions prévoient de mobiliser 100 millions d’euros de Certificats d’économie d’énergie en complément de 150 millions d’euros des collectivités territoriales pour les trois prochaines années. Très concrètement, il s’agit d’informer et de conseillers plus de 1.7 millions de ménages, d’accompagner 90 000 particuliers ou copropriétés dans leurs projets de travaux ou encore de mener plus de 70 000 audits énergétiques.« Accélérer la rénovation énergétique est une priorité. Or nous savons que faire des travaux dans son logement est souvent difficile sans information sur les aides ou sans conseils sur les travaux. Les citoyens de la convention pour le climat nous l’ont aussi dit avec force. Je me réjouis donc que l’action engagée il y a un an porte ses premiers fruits et que les collectivités se mobilisent très nombreuses aux côtés de l’Etat pour ce service public. Avec les engagements actuels, nous pourrons offrir un service performant d’accompagnement pour les Français, les copropriétés et les petites entreprises pour la rénovation énergétique sur plus des 3/4 du territoire national. » - Emmanuelle WARGONL’objectif est désormais d’aboutir à une couverture par une convention de 100 % du territoire métropolitain d’ici la fin de l’année 2020, grâce à l’engagement à venir des régions Hauts-de-France, Normandie, Occitanie et Provence Alpes Côte d’Azur, ainsi que des départements franciliens du Val d’Oise et des Yvelines. Le déploiement en Outre-Mer se finalisera au 1er semestre 2021.« Le Président de la République l’a dit clairement : le plan de relance sera économique, écologique et social. La rénovation énergétique des logements est à la croisée des chemins. Parce que nous devons aller plus vite et plus fort, nous ne devons laisser personne dans l’impasse. Pour cela, l’information et l’orientation des ménages dans leur projet de travaux est une première pierre essentielle. C’est la garantie de l’accès réel aux aides de l’Etat et des collectivités territoriales, auxquelles ils ont droit. L’engagement des régions et de l’ensemble des collectivités territoriales est une condition essentielle de succès. Le défi de la massification de la rénovation ne peut être relevé avec succès qu’ensemble. C’est tout l’enjeu du programme SARE qui se déploie très largement aujourd’hui et vient compléter les dispositifs que nous mettons en place, avec les collectivités et l’ANAH, auprès des ménages précaires » - Julien DENORMANDIELe programme SARE vient compléter les dispositifs déjà mis en place par les collectivités et par l’Etat pour accélérer et amplifier la rénovation énergétique des bâtiments. Depuis 2017, le Gouvernement a placé la rénovation au cœur de ses priorités : plus de 3,5 milliards d’€ par an d’aides publiques pour financer les travaux (MaPrimeRénov’, aides de l’Anah, Eco-PTZ, TVA à taux réduit à 5,5%), un renforcement des dispositifs portés par l’Anah en faveur des ménages modestes et des copropriétés fragiles , une bannière commune pour renforcer la communication auprès des ménages et des professionnels avec FAIRE (Faciliter, Accompagner, Informer pour la Rénovation Energétique), un nouveau DPE opposable d’ici l’été 2021 pour mieux informer propriétaires et locataires, …Dans le contexte particulier lié à la relance post-crise sanitaire, le comité a validé une feuille de route comprenant quatre chantiers pour la réussite du déploiement opérationnel du programme, sous la conduite de l’ADEME :renforcer l’articulation des dispositifs nationaux et territoriaux ;faciliter l’investissement local dans la rénovation énergétique, en cohérence avec l’ambition portée ;garantir un cadre juridique et technique sécurisé pour l’Etat, les collectivités et les opérateurs, permettant de s’adapter aux spécificités locales ;inscrire le programme SARE dans la durée pour pérenniser la dynamique, tout en mobilisant l’ensemble des parties prenantes.« La crise a révélé l’importance cruciale d’une bonne coordination entre l’Etat et les Régions, dont la coopération efficace a permis d’apporter des solutions immédiates pour faire face à cette situation exceptionnelle. Dans le cadre des plans de relance et de cette feuille de route partagée, les Régions volontaires pourront aller plus loin dans les politiques essentielles pour nos concitoyens en étant associées très en amont dans les choix nationaux et dans leurs évolutions. Les Régions entendent jouer pleinement leur rôle d’orientation stratégique, de planification, de coordination et d’animation pour soutenir, favoriser et faciliter la mobilisation des différents échelons de collectivités dans la réussite opérationnelle du programme SARE et plus largement dans la politique publique de rénovation énergétique. » - Renaud MUSELIERLes premiers résultats partagés à l’occasion de ce comité sont prometteurs et contribueront à accélérer le déploiement du service public d’accompagnement des ménages pour la rénovation énergétique, en particulier dans le contexte de reprise économique où le Gouvernement souhaite renforcer la dynamique de rénovation énergétique des bâtiments.Le programme « Service d’accompagnement pour la rénovation énergétique » (SARE) :Lancé en septembre 2019 par les Ministres Julien DENORMANDIE et Emmanuelle WARGON et doté d’une enveloppe financière pluriannuelle de 200 M€, le programme SARE vise à renforcer la dynamique territoriale de la rénovation énergétique existante, en partenariat avec les collectivités territoriales et les réseaux professionnels. En apportant un cofinancement jusqu’à 50% des montants engagés par les collectivités territoriales grâce à des certificats d’économie d’énergie, le programme cible non seulement l’information et l’accompagnement des ménages dans leur parcours de rénovation de leur logement, mais aussi l’animation de la filière professionnelle pour encourager le développement d’une offre de qualité et la montée en compétence. Le programme s’adresse aussi au segment du « petit tertiaire privé », dont les acteurs éprouvent par bien des aspects les mêmes difficultés que les particuliers dans leur démarche de performance énergétique. Ce programme a pour objectif de consolider et d’augmenter un service qui existe déjà : les espaces FAIRE, en complémentarité avec l’accompagnement proposé par l’Anah pour les publics les plus modestes.
Il y a 4 ans et 354 jours

L'EPA Paris-Saclay sélectionne Seqens pour 181 logements sociaux et une maison médicale au sein du Campus urbain

Situé à Gif-sur-Yvette au sein du quartier de Moulon, le programme prévu sur les lots NE3.1, NE3.2 et NF2a comprendra 181 logements sociaux et une maison médicale de 450 m² en rez-de-chaussée du lot NF2a pour un total d’environ 12 300 m² QDP, livré en 2023.Seqens a proposé une offre conforme aux ambitions portées par l’EPA Paris-Saclay, à savoir :Une offre de logements proposant des dispositifs de flexibilité et de modularité innovants avec notamment :La pièce à la demande, située entre deux logements, pouvant être temporairement utilisée pour des usages privatifs ou de manière partagée (chambre d’amis, bureau de télétravail, salle de jeux commune…).Le jumelage d’appartements permettant, grâce à la souplesse du cloisonnement, de faire basculer une pièce d’un appartement à un autre au gré de l’évolution des besoins des ménages.Une offre en espaces partagés variée répondant aux évolutions des modes de vie et de travail avec : une pièce commune multi-activités accueillant les activités pouvant difficilement trouver place dans les appartements (coworking ou télétravail, réunions, salle de jeux, atelier de musique…), une chambre d’hôte à destination des résidents couvrant leurs besoins ponctuels d’accueil de famille ou d’amis, un espace de laverie mutualisé et des espaces de travail partagés dans les étages.Un programme exemplaire en matière environnementale avec, entre autres :Un objectif de construction bas carbone et de sobriété énergétique pour atteindre le label énergie carbone niveau E3C1-20% tendant vers le E3C2.Un mode constructif avec un minimum de 50% de structure bois.Une production d’électricité photovoltaïque renouvelable à hauteur de 30% de la surface de toiture et valorisée en autoconsommation.Un raccordement au réseau de chaleur et de froid de Paris-Saclay.Trois concours de maîtrise d’œuvre sont en cours sur ces trois lots, avec les équipes d’architectes suivantes :NE3.1. :Seyler & Lucan / Plan ComunAtelier Stéphane FernandezBadia Berger ArchitectesNE3.2. :Jean & Aline Harari ArchitectesAtelier Vera & Associés Architectes / jbmn architectesBourbouze et Graindorge ArchitectesNF2a :Atelier Kempe ThillBruno Rollet ArchitecteMGAULes architectes retenus en esquisse ont été sélectionnés par Seqens, l’EPA Paris-Saclay et les collectivités concernées sur la base d’une procédure d’AAPC (Avis d'Appel Public à la Concurrence), lancée le 29 juillet 2019. Les noms des lauréats de ces trois concours de maîtrise d’œuvre seront annoncés au cours de l’été 2020.Des logements situés au cœur d’un quartier en plein développementCes logements seront situés au sein d’une vie de campus animée autour notamment des bâtiments d’enseignement supérieur et de recherche existants (CentraleSupélec, l’ENS Paris-Saclay (rentrée prévue en 2020), du Learning Center (bibliothèque mutualisée - ouverture prévue fin 2021) mais également d’O’rizon, premier programme de 600 logements familiaux du quartier de Moulon).Des équipements et espaces publics sont également présents et prévus à proximité : le Parc de Moulon et la place du Carré des Sciences, le groupe scolaire de Moulon (école maternelle et primaire de vingt classes), une crèche de 55 berceaux, une Mairie annexe, la Plaine des sports, une gendarmerie, un collège...De nombreux commerces arrivent prochainement dans le quartier : boulangerie, supérette, restaurants, pharmacie, banque, coiffeur, cabinet médical temporaire, agence immobilière, laverie…Le quartier sera également desservi par un arrêt de la ligne 18 du Grand Paris Express à l’horizon 2026.
Il y a 4 ans et 354 jours

Emmanuelle Wargon dans le Nord pour faire connaître les outils de soutien à la rénovation énergétique

Mercredi 1er juillet 2020, Emmanuelle Wargon, la secrétaire d’État auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, a fait une visite éclair dans le Nord. Son objectif : faire connaître la volonté du gouvernement d’accélérer la rénovation thermique des bâtiments, notamment via la signature de la convention du programme Actee 2. Ce dernier promet aux collectivités territoriales 100 millions d’euros de coup de pouce pour les aider à rénover leurs bâtiments, via un soutien technique et de la mutualisation de projets.
Il y a 4 ans et 355 jours

L'industrie de la construction prête à la transformation numérique, selon une étude mondiale

Autodesk dévoile les résultats d'une étude: « Transformation numérique : l'avenir de la construction connectée », réalisée par International Data Corporation (IDC). Parrainée par Autodesk, l'étude IDC - menée auprès de 835 professionnels de la construction de grandes entreprises en Europe, aux États-Unis et en Asie Pacifique - évalue la maturité et les défis de la transformation numérique (DX) du secteur de la construction.Selon l'étude, 58% des entreprises interrogées dans le monde indiquent que leurs entreprises en sont aux premières étapes de leur parcours numérique, tandis que 28% en sont à mi-chemin et 13% en sont aux stades les plus avancés (v. ci-dessous, extraits de l'étude, les différents stages de la transformation numérique (DX) du secteur de la construction).Le Japon, l'Allemagne et les États-Unis représentent le top 3 des pays les plus avancés. A l'inverse, le Brésil est le pays le moins avancé. En effet, la majorité des initiatives business et digitales/IT sont souvent déconnectées et non alignées avec la stratégie de l'entreprise. Globalement, l'Europe et les États-Unis obtiennent des résultats plus élevés que la région d'Asie Pacifique.Déverrouiller 5 points de « blocages numériques » peut aider à acquérir un avantage concurrentielL'étude a identifié cinq points de « blocages numériques » des entreprises dans le monde afin de les aider à atteindre le stade avancé de leur transformation numérique.Pour beaucoup d'entreprises qui s'attèlent à avancer dans leur digitalisation (46%), la plus grande difficulté est de créer une seule feuille de route stratégique à l'échelle de toute l'entreprise, afin d'aider à prioriser des cas d'usage et des investissements technologiques. Viennent ensuite la construction d'un modèle technologique déclinable (42%), la mise en place d'indicateurs numériques de mesure du succès (ou KPIs) (37%), la capacité à puiser dans l'expertise technologique (36%) et, enfin, l'intégration des meilleurs processus numériques à travers l'entreprise (29%).Déverrouiller les 5 points de « blocages numériques » peut aider les organisations à progresser dans leur transformation numérique en évoluant des étapes primaires et secondaires vers les étapes les plus avancées ; celles où la digitalisation devient centrale dans le processus de travail des entreprises et leur permet d'avoir un avantage compétitif sur leur marché.La voie à suivre« Alors que de nombreuses entreprises mondiales ont engagé leur transformation numérique et introduisent des innovations dans leur approche, le secteur de la construction n'a pas encore pleinement tiré profit des bénéfices de la digitalisation en raison des nombreux défis auxquels elle doit faire face », déclare Daniel-Zoe Jimenez, AVP et APAC Head Digital Transformation chez IDC.Daniel-Zoe Jimenez ajoute que, « cependant,l'étude démontre que les outils numériques pour le secteur de la construction (comme le BIM, la gestion des offres, la gestion des projets et les études) peuvent améliorer les projets, et que les entreprises étudient de nouvelles technologies innovantes afin d'accélérer leur transformation numérique ».L'utilisation du BIM est essentielle à la transformation digitale du secteur du BTP. Néanmoins, l'adoption du BIM est inégale dans le monde. L'étude menée par IDC démontre qu'il semble exister une corrélation entre les entreprises les plus matures (étape 3 et plus) et leur utilisation du BIM.« Dans le monde entier, le secteur de la construction réalise qu'il doit bâtir toujours plus avec moins », déclare Dustin DeVan - Stratège et évangéliste Construction, représentant d'Autodesk Construction Solutions. « Nous avons besoin de davantage d'infrastructures, mais il existe une pénurie de main d’œuvre et une baisse des marges. Pour augmenter la productivité et acquérir un avantage compétitif dans ce contexte, les entreprises doivent engager une digitalisation et connecter leurs équipes, leurs processus de travail et leurs données ».Zoom : La transformation numérique des entreprises du secteur de la construction en France (*)Les 3 principaux défis auxquels les entreprises françaises sont confrontées sont :La sécurité des données (18,6%)La gestion des risques (11,1%)Les processus manuels et les doublons chronophages (9,8%)Les 3 premiers investissements actuels en matière de logiciels sont :La gestion de projet (43,1%)Les logiciels BIM (41,2%)La planification des ressources de l'entreprise / Les estimations / La gestion de la relation client (CRM) / La gestion de projet / La pré-construction (37,3%)Selon les entreprises françaises interrogées, les 3 phases d'un projet de construction qui méritent le plus d'améliorations sont :La phase de conception (19,6%)L'étape de pré-construction (17,6%)L'exécution sur le chantier (15,7%)Les outils numériques exploités dans le cadre de projets de construction aident à améliorer en priorité :Le management et la performance du projet (16,7%)La rapidité et précision des projets (15%)La sécurité et la santé des équipes (12,4%)D'après 33.3% des entreprises françaises interrogées, seulement 5% à 10% du chiffre d'affaires est utilisé pour les investissements technologiques.Enfin, en France, pour 41% des entreprises du secteur de la construction, les investissements BIM sont courants. Mais pour 29%, ils sont encore seulement planifiés.(*) Source : « Transformation numérique : l'avenir de la construction connectée », IDC). Pour en savoir plus :Découvrez le webinar dédié : cliquez iciConsultez l'étude IDC dans son intégralité : cliquez ici
Il y a 4 ans et 355 jours

Signature de la convention de programme ACTEE 2 et nouvel appel à projets SEQUOIA

Le programme ACTEE 2 est doté d'un budget de 100 millions d'euros (grâce au dispositif des certificats d'économie d'énergie) pour soutenir les collectivités afin d'accélérer la transition énergétique et dynamiser ainsi la commande publique. Ce programme s'inscrit pleinement dans les objectifs du plan de relance : les travaux générés vont créer de l'activité dans les territoires et impulser des actions. En moyenne, un euro versé par ACTEE génère plus de dix euros d'investissement.Le programme ACTEE 2 vise à faciliter le développement des projets d'efficacité énergétique et de substitution d'énergies fossiles. Il privilégie les systèmes énergétiques efficaces, les énergies renouvelables et de récupération pour les bâtiments publics en France métropolitaine (Corse comprise) et dans les Départements et régions d'outre-mer (DROM). Il associera de manière large à sa gouvernance les associations de collectivités ainsi que les principaux acteurs en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments publics.Le programme ACTEE 2 se fonde sur :La mise en place d'une démarche générale de mise à disposition d'outils au service des collectivités, comprenant des guides, cours en ligne, un parcours de formation avec labélisation des économes de flux ACTEE (experts de terrain mutualisés pour la rénovation énergétique), des documents contractuels cadres (cahiers des charges types), des outils innovants. La mise en place d'une cellule de soutien pour répondre aux questions des collectivités va permettre de les accompagner de manière soutenue dans leur projet de rénovation énergétique ;La mutualisation des projets d'efficacité énergétique, proposée par les collectivités (communes, syndicats mixtes, établissements publics de coopération intercommunale) et autres acteurs de terrain, agrégeant les activités dans ce domaine et dans leur périmètre, permettant un effet de levier mutualisé dans les territoires ;C'est dans ce cadre que des appels à manifestation d'intérêt (AMI) sont lancés : ceux-ci ont pour objectif d'apporter des fonds du programme aux acteurs proposant cette mutualisation.Favoriser la coopération entre les collectivitésÀ l'heure où la question de l'obligation de rénovation énergétique des bâtiments publics comme privés fait l'objet de débat, la FNCCR lance un nouvel appel à projets intitulé SEQUOIA « Soutien aux Élus (locaux) : Qualitatif, Organisé, Intelligent et Ambitieux » à destination des collectivités désireuses de s'engager pour l'efficacité énergétique de leur patrimoine (bâtiments municipaux, mairies, écoles, salles des fêtes, gymnases…). À l'issue des élections municipales, de nouvelles équipes élues pourront donc initier des projets de rénovation ambitieux grâce au dispositif.L'objectif premier de l'AMI SEQUOIA est d'apporter un financement dédié aux coûts organisationnels liés aux actions d'efficacité énergétique des bâtiments des collectivités, pour les acteurs publics désireux de consommer moins et mieux (mutualisation des projets de territoire permettant de massifier les actions de réduction des consommations énergétiques des collectivités).Le second objectif de l'AMI est de créer des coopérations entre établissements publics agrégateurs d'actions d'efficacité énergétique, en impulsant des dynamiques locales d'efficacité énergétique et bas carbone.Il sera suivi en septembre prochain d'un AMI à destination du secteur de la santé : l'AMI CHARME : « Centres Hospitaliers en Action, Retraites en Mouvement : pleins d'Enjeux ! »Les entités pouvant candidater à ces nouveaux AMI sont :Les collectivités territoriales : communes, départements, régions ;Les établissements publics locaux (EPCI, métropoles et pôles métropolitains, communautés (CC/CA/CU), syndicats intercommunaux) ;Les syndicats d'énergie ;Des partenaires publics locaux des collectivités, comme les ALEC et les AREC.Les grandes étapes de l'AMI SEQUOIALancement le 30 juin 2020Clôture de la première sélection le 10 novembre 2020Jury le 2 décembre 2020Remise des prix début décembre 2020 lors du colloque ACTEEClôture de la deuxième sélection le 29 janvier 2021Jury le 24 février 2021Remise des prix début mars 2021Pour rappel : les lauréats d'ACTEE 1 - 2019 AMI pilote : http://www.fnccr.asso.fr/article/laureats-de-lappel-a-pilotes-actee/AMI CEDRE : http://www.fnccr.asso.fr/article/remise-des-prix-actee/
Il y a 4 ans et 355 jours

Cap sur les nouvelles formations Sto 2020

En 2020, Sto enrichit son centre de formation et d'animation situé à Bezons (95) de deux nouvelles formations et de nouveaux outils pédagogiques.Certifiées CERTIBAT, les formations proposées par Sto s'adressent aux applicateurs, compagnons, chefs de chantier et chefs d'entreprise.3 nouvelles formations : Chantier école Bardage, la réglementation incendie et l'entretien et la rénovation d'ITEEn plus du Chantier école ITE, Sto propose cette année à ses partenaires de renforcer leur savoir-faire en façade ventilée avec la nouvelle formation Chantier école Bardage.A l'issue de celle-ci, les stagiaires-professionnels seront en mesure de mettre en œuvre un projet de bardage ventilé avec le système à enduire StoVentec R.Ce parcours de 14 heures réparties sur 2 jours allie théorie et pratique, pour bien identifier les différents éléments d'un système de bardage, maîtriser les étapes d'un chantier et acquérir les bons gestes pour mettre en œuvre le système.En plus des formations Chantier école, Sto propose en 2020 deux nouvelles formations techniques : la Réglementation incendie, plus que jamais d'actualité, et l'Entretien et la rénovation d'ITE.La formation sur la Réglementation incendie se déroule en trois temps : assimiler les fondamentaux (familles de bâtiment, Euroclasse, etc.,), préconiser des solutions Sto conformes à la réglementation incendie sur maçonnerie et béton, et apprendre à mettre en œuvre les solutions constructives d'ITE avec isolants PSE. Après les 7 heures de formation, les compagnons maîtriseront la réglementation incendie en façade sur tous types de bâtiments et pour des projets de bardage, ITE et ravalement, en neuf et rénovation.Au programme de l'Entretien et la rénovation ITE : la compréhension des principales causes de désordres d'un enduit mince sur isolant, la connaissance des règles professionnelles pour l'entretien et la rénovation des systèmes, l'assimilation des différents procédés ainsi que leur mise en œuvre. A l'issue des 7 heures de formation, les professionnels sauront appliquer les bonnes pratiques pour les projets de rénovation d'ITE dans le respect de la réglementation.De nouveaux outils pédagogiques et une équipe dédiéeLe Centre de formation de Sto se caractérise par des outils pédagogiques et efficaces, pensés pour faciliter l'acquisition des savoirs et savoir-faire :une expertise métiers des formateurs qui sont tous des professionnels de la façade (les formations Chantier école sont dispensées par des techniciens d'application terrain ; les formations Techniques par des ingénieurs du service technique),une méthode éprouvée : exercices pratiques, quiz interactifs, études de cas et application concrètes,240 m2 de plateforme pratique sur le site de BezonsLa qualification CERTIBAT des formations dispensées par Sto garantit aux financeurs de la formation professionnelle continue (OPCO) la conformité au Décret n° 205-790 du 30 juin 2015 relatif à la qualité des actions de la formation professionnelle continue.En contribuant à développer les compétences des hommes, compagnons et encadrants chez ses partenaires, Sto entend participer à un cercle vertueux. Des collaborateurs reconnus pour leur savoir-faire font la satisfaction des clients et s'épanouissent plus longtemps au sein de leur entreprise.Toutes les dates de formation et l'intégralité des parcours sont à retrouver sur sto.fr / Rubrique formation.
Il y a 4 ans et 356 jours

Il faut sauver le soldat Bâtiment

Retrouvez l’article dans Béton[s] le Magazine n° 89. Olivier Salleron est le nouveau président dans la Fédération française du bâtiment. [©ACPresse] C’est dans des circonstances bien particulières qu’Olivier Salleron a entamé ses fonctions de président de la Fédération française du bâtiment (FFB). Successeur de Jacques Chanut depuis le 12 juin dernier, sa première tâche a été de gérer la sortie du confinement. Et d’analyser les dégâts subis par les entreprises du secteur. « Aujourd’hui, 95 % des chantiers sont en activité normale ou ralentie, mais ouverts », constate Olivier Salleron. Et le surcoût lié aux mesures sanitaires s’inscrit sous la barre des 10 % en moyenne. Quand on sait que la rentabilité des entreprises de bâtiment en France est de l’ordre de 2 à 2,5 %, nous estimons qu’elles travaillent à perte… » Certes, l’Etat s’est engagé à prendre sa part, mais au 1er juillet, personne n’a encore rien vu venir.  « Il faut donc agir maintenant pour éviter le pire », reprend Olivier Salleron. Sans quoi, dès l’automne, entre 30 000 et 40 000 entreprises seront, soit en redressement, soit en faillite. Et près de 180 000 personnes en plus risquent de devoir pointer au chômage. « Alors même que les prévisions de la FFB, réalisées à fin décembre 2019, prévoyaient la création de 10 000 emplois en 2020, dans une activité à + 0,8 %. » Aujourd’hui, la réalité est toute autre, avec un secteur qui est à – 17,6 %. « En quelques mois, nous avons annulé tout ce qui a été récupéré depuis la crise des subprimes de 2008 », analyse Olivier Salleron.  Un million de logements par an  Dans ces circonstances, la FFB a décidé de prendre le taureau par les cornes, sans attendre que les choses viennent du gouvernement. “Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays”, déclarait John Fitzgerald Kennedy, dans son discours d’investiture du 20 janvier 1961… Une citation de circonstance ! C’est donc un plan de relance ambitieux, environnemental qui plus est, qui est proposé. Pour tout de suite et pour plus tard, « pour un coût budgétaire annuel de 5 Md€, afin de sauver une filière ».  L’immédiateté est de limiter le trou d’air dans l’activité qui risque de se produire à l’automne. « Nous avons constaté une chute des devis de 70 % durant le confinement. Les entreprises sont en train de consommer leur stock de travaux déjà signés. Ce réservoir sera épuisé rapidement. » Il y a eu aussi un arrêt brutal des appels d’offres publics, alors même que l’administration était censée poursuivre son activité durant le confinement ! Ainsi, la FFB demande de remobiliser le plus possible les dispositifs qui existent déjà. Ensuite, elle propose qu’un programme d’un million de logements par an soit instauré, « objectif qu’on n’arrive jamais à atteindre, faute de moyen ». On parle ici de 500 000 logements neufs et autant à rénover. Les travaux qui en découleront permettront de pérenniser le secteur. Repasser la TVA à 5,5 % Plus en détail, la mesure phare de la FFB est de dynamiser les travaux de performance énergétique globale. Ceci, en portant à 400 €/m2 le Cite/MaPrimeRenov’, pour tous les ménages. « Cette mesure devrait décider nombre de particuliers à franchir le pas et à s’engager dans des opérations de rénovation énergétique », estime Oliver Sailleron. Surtout si on y intègre les foyers, dont les revenus s’inscrivent dans les tranches les plus élevées (déciles 9 et 10). « Toucher 50 000 €/an pour une famille assure un certain confort, mais on n’est pas encore dans les “milieux aisés”. » Ces foyers constituent pourtant 50 % des clients des entreprises adhérentes de la FFB. Mais ils ne sont éligibles à rien. En parallèle, il faudrait repasser la TVA à 5,5 % pour tous les travaux, en plus d’un coup de pouce pour la rénovation globale des maisons individuelles (relever l’aide de 50 à 200 €/m2).  Rétablir un Prêt à Taux Zéro à 40 % du montant d’une opération d’acquisition et remplacer les dispositifs dérogatoires constituent d’autres pistes de relance. « Un système de droit commun général, simple et lisible, comme cela se pratique en Allemagne serait un vrai plus. » Ce dernier devrait même faire faire des économies de l’ordre de 600 M€/an.  Un contrat à durée limitée Le non résidentiel n’est pas oublié dans la démarche de la FFB. On y parle de suramortissement pour la construction de bâtiments privés. Mais aussi du lancement d’un grand plan “Ehpad”. Ou encore de la majoration de 1 Md€ de la Dotation d’équipements des territoires ruraux (DETR). Dont le but est d’accompagner le déploiement de certaines infrastructures dans des zones éloignées des agglomérations.  Enfin, la FFB propose d’assouplir deux des recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (taux d’effet inférieur à 33 % et prêts immobiliers inférieurs à 25 ans). « Il serait intéressant de profiter de l’instant pour définir de manière claire ce qui est visé dans la lutte contre l’artificialisation des sols. » Le choc de simplification administration semble, lui-aussi, très attendue. « Par exemple, diviser par deux les délais d’instruction des permis de construire bloqués et accélérer leur dématérialisation, détaille Olivier Salleron. De même, on devrait relever à 100 000 €, contre 40 000 € à l’heure actuelle, le seuil des appels d’offres simplifiés. » La FFB n’attend pas que le gouvernement grave l’ensemble de ces propositions dans le marbre. Mais juste qu’il les mette en œuvre pour une durée déterminée. Une sorte de CCD financier qui prendrait fin dans 2 ans, « Le temps de faire repartir l’activité et lui faire reprendre une vitesse de croisière », conclut Olivier Salleron.  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 356 jours

Le simulateur « Bois et biosourcé » guide les concepteurs vers la RE 2020

Jean-Marc Pauget et son équipe du CNDB ont programmé un tableur pour aider maître d’ouvrage et concepteurs à poser leurs ambitions environnementales dès le lancement de leur projet.
Il y a 4 ans et 356 jours

Mixité signée SOA pour Paris Habitat et agnès b.

En plein cœur du XIIIe arrondissement de Paris, l’agence SOA a livré en janvier 2020 un bâtiment au programme mixte accueillant 75 logements sociaux, une crèche de 30 berceaux et La Fab., le nouveau fonds de dotation agnès b. Immeuble totem ? Communiqué. Pour Paris Habitat et le Fonds de dotation agnès b. maîtres d’ouvrage, SOA Architectes […] L’article Mixité signée SOA pour Paris Habitat et agnès b. est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 357 jours

Bercy dévoile son plan de relance post-Covid pour les artisans et indépendants

ENTREPRISES. Alors que se poursuit l'examen parlementaire de la loi de Finances rectificative post-coronavirus, le ministère de l'Économie présente son propre plan de relance à destination des artisans et indépendants. Au programme : nouvelles mesures de soutien à leur trésorerie, accompagnement renforcé aux outils numériques et redynamisation des territoires.
Il y a 4 ans et 357 jours

Dôme climatique du zoo de Beauval : le CSTB acteur du projet en phase de conception

Image © Architecte Boitte Architecture et ZooParc de BeauvalLe zoo de Beauval a inauguré début 2020 son nouveau dôme climatique à l'environnement tropical exceptionnel. Mandaté par la société CMF, conceptrice de la verrière aux proportions inédites de 13 855 m², le CSTB a fourni une démarche et une solution de modélisation numérique pour réaliser l'étude du comportement thermo-aéraulique de la serre tropicale. Le dôme comprend un restaurant panoramique et une serre tropicale aux dimensions hors normes afin de recréer des environnements particulièrement réalistes conçus pour assurer le bien-être des espèces animales abritées dans cet espace. En effet, CMF a proposé une conception spécifique de la verrière du dôme, intégrant une gestion globale du climat intérieur, afin de concilier confort du vivant (animaux, visiteurs, plantes tropicales) et économies d'énergie. Avant de démarrer fin 2017 les travaux de construction du futur dôme bioclimatique, l'entreprise CMF, spécialisée dans la construction de serres, a sollicité le CSTB pour valider les hypothèses de conception du climat intérieur de cette demi-sphère de plus de 100 mètres de diamètre. L'expertise des ingénieurs du CSTB, associée au couplage de plusieurs outils de modélisation numérique, en particulier l'outil de calcul aux volumes finis OpenFOAM et le logiciel de simulation aéraulique MATHIS, développé par le CSTB, a permis d'affiner l'estimation de la consommation énergétique du dôme. La modélisation a permis de mieux appréhender les mécanismes physiques mis en œuvre afin de piloter les paramètres clés de la solution proposée : Les déperditions thermiques de la serre sur la période de chauffe. L'analyse a ainsi permis de valider la puissance de l'unité de production, de manière à couvrir les besoins en chauffage de la serre. Les températures atteintes à l'intérieur de la serre en période estivale. L'analyse a permis de montrer que le système de ventilation naturelle mis en œuvre et la répartition de vitrages présentant des facteurs énergétiques différents selon leur position sur le dôme, sont capables de maintenir des conditions ambiantes compatibles avec l'exploitation prévue de la serre. Et ainsi, d'assurer le bien-être des espèces animales et végétales abritées dans cet espace, tout comme le confort des visiteurs. « Un tel projet est vraiment hors norme, tant par ses dimensions que par la nature des activités accueillies. Notre capacité à prendre en compte toute la complexité des phénomènes dans un modèle numérique cohérent de l'ambiance intérieure (interaction du vent avec l'ouvrage, caractéristiques aérauliques des ouvrants, caractéristiques radiatives des vitrages, évapotranspiration des surfaces végétalisées, évaporation des bassins et rivières, etc.) a permis d'apporter des éléments quantitatifs précis et de renforcer l'expertise de CMF en la matière pour le choix final des solutions techniques. ». François Demouge, ingénieur études et recherche, CSTB La modélisation numérique réalisée par le CSTB a ainsi permis de confirmer la projection des résultats spécifiques envisagés pour ce projet. Cette démarche a permis également de confirmer à l'architecte et au maître d'ouvrage les choix techniques pour maintenir un environnement adapté au bien-être des espèces animales hébergées et du public accueilli dans le dôme. En savoir plus : L'expertise Climatologie du CSTB L'expertise Aérodynamique du CSTB
Il y a 4 ans et 360 jours

Nord : Xella : Un quartier en béton cellulaire

Les nouveaux logements du Domaine Grand Air ont tous été construits en blocs de béton cellulaire Xella. [©Xella] Wambrechies est une petite commune située à quelques kilomètres au Nord de la métropole de Lille. Cette municipalité traversée par le cours de la Deûle compte un peu plus de 10 000 habitants. C’est là qu’a été lancé un vaste programme de logements. Celui-ci prend place au sein du nouveau quartier résidentiel du Domaine Grand Air et voit la création d’un ensemble de 250 logements. Si les premiers habitants s’y sont établis à la fin de l’année 2018, les dernières maisons doivent être livrées dans le courant de cette année 2020. Sans doute avec un petit peu de retard, compte tenu de la période de confinement imposée durant le printemps…  En blocs de béton cellulaire Afin d’être conformes à la norme RT 2012, les 108 logements de ce programme ont été construits en blocs de béton cellulaire. Ainsi, le cabinet Cochet Dehaene a prescrit le béton cellulaire M211 de Xella, pour ses qualités intrinsèques. En effet, en utilisant cette qualité de blocs, d’une hauteur unitaire de 30 cm. La pose et le collage sont plus efficaces, plus économiques et plus rapides dans la mise  en œuvre. Par ailleurs, le cabinet a privilégié un industriel local pour fournir le béton cellulaire. Ceci, depuis son usine de Saint-Saulve, sise juste à côté de Valenciennes. Il s’agit de l’ancienne unité Cellumat, marque reprise par Xella à la fin de l’année 2017. L’objectif était à l’époque de rééquilibrer les sites de production du groupe sur le territoire national. Tout en pérennisant une entreprise qui n’allait pas bien…  Sur le programme du Domaine Grand Air, les blocs de béton cellulaire Xella semblent avoir répondu à toutes les attentes. « En tant qu’architecte, j’apprécie la flexibilité́ et la modularité́ du produit, qui permettent une totale liberté́ de conception », explique Guillaume Christiaens, architecte de l’opération. Au total, ce sont près de 30 000 m2 de blocs M211. En épaisseur 20 cm et 25 cm et hauteur 30 cm, qui ont été mis en œuvre sur toute la durée du projet. 
Il y a 4 ans et 360 jours

360SmartConnect : Tracer dans le temps

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Rolland Melet, Pdg de 360SmartConnect. [©360SmartConnect] Comment transmettre les informations constructives d’un bâtiment dans le temps ? Depuis sa création en 2017, 360SmartConnect s’emploie à répondre à cette question. « Les objets de la construction disposent tous d’informations et sont reliés entre eux, explique Rolland Melet, Pdg de 360SmartConnect. Notre rôle est de révéler ces informations et de les associer de façon durable au bâtiment. Le but étant d’être capable d’avoir un inventaire précis des matériaux pour le reconditionnement du bâtiment. Ou sa déconstruction et son recyclage. » Suivant le principe de traçabilité universelle, les solutions de 360SmartConnect s’adaptent à leur support et aux processus industriels. Sans application, ni logiciel spécifique et avec son smartphone, chacun peut avoir accès aux informations du produit (en fonction de son degré d’autorisation). Ceci, par le biais d’une puce connectée, ou même d’un simple QR-Code. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 361 jours

Vent de fraîcheur pour architecture industrialisée

En périphérie de Lille, sur le site du Centre Régional de Transport 1 de Lesquin/Fretin, l’aménageur et promoteur AVENTIM s’est lancé pour défi d’apporter « un vent de fraîcheur » à cette zone d’activité à l’architecture industrialisée. L’agence O Architecture a été mandatée pour concevoir ce programme baptisé Parc de la Haie. Il est composé de bureaux, showrooms et commerces, où l’usage et le confort sont au cœur des enjeux. La maitrise d’œuvre a travaillé en étroite collaboration avec SOPREMA Entreprises Lille pour la réalisation de l’étanchéité, de l’isolation et du bardage, et sa filiale GH pour la partie charpente métallique. Ces deux sociétés ont uni leur savoir-faire à chaque étape, des études aux plans d’exécution 3D et 2D, en passant par la mise en œuvre et le suivi précis du chantier pour répondre à l’importante coactivité. Leur implantation, sur le même site à Lesquin, a facilité d’autant plus leurs échanges. La toiture et les façades de ces types de bâtis en ossature métallique étant indépendantes, elles ont également nécessité un traitement spécifique de l’étanchéité à l’air. Le projet s’est exécuté en deux phases, entre mars 2019 et mai 2020 : « La Promenade » et « Les Loggias ». Une troisième phase, « L’Atelier », débute également en juin. Ce bâtiment de 5 000 m2 sera réhabilité sur le même modèle architectural que les deux précédents pour une cohérence d’ensemble. La « Promenade » L’ancien siège social de l’enseigne Boulanger a été entièrement réhabilité et redessiné pour laisser entrer la lumière grâce à la création d’une faille paysagère « La Promenade » traversant le bâtiment. Seule la structure métallique a été conservée. Elle a été stabilisée par le charpentier GH pour accueillir, en toute sécurité, des espaces modulables avec de nouveaux usages (5 cellules d’activités sur 5 245 m2, bureaux en rez-de-chaussée et R+1 inclus, et 6 cellules de showrooms et bureaux (R+1) sur 1 998 m2). Au total, 100 tonnes de métal ont été nécessaires pour renforcer l’ossature. Deux extensions (12 x 12 m et 10 x 20 m) en structure métallique classique ont également été ajoutées. De leur côté, les équipes lilloises de SOPREMA Entreprises ont installé 6 400 m2 de couverture sur bac acier (panneaux isolants PIR Efigreen 80 mm et membranes d’étanchéité PVC FLAG SR/FR M2). 3 300 m2 de bardage double peau avec tôles en acier galvanisé et 400 m2 de bois brulé habillent les façades. Les « Loggias » Une nouvelle construction repose également sur une charpente métallique mais avec un noyau central en béton. Elle offre 1 515 m2 de bureaux divisibles du R+1 au R+3 et 460 m2 de showrooms en rez-de-chaussée répartis en deux cellules. Elle est surplombée d’une toiture en double pente de 16 tonnes, comme pour faire écho, de manière contemporaine, au style industriel des bâtiments voisins. Afin de garantir une étanchéité fiable et durable sur cette architecture originale en « pointe de diamant », GH a fabriqué une sur-toiture de 14 tonnes. Ce challenge pour le charpentier a nécessité environ 600 heures d’études entre les calculs et les dessins. 700 m2 de couverture en bac acier, un pare-vapeur (Sopravap Stick), une laine de roche de 180 mm et deux couches d’étanchéité élastomère (Soprafix HP et Sopralene Flam 180 AR FE) ont été posés. Pour parfaire l’enveloppe, des tôles en acier galvanisé et ondulé habillent les 1 000 m2 de bardage double peau et la sur-toiture avec une version perforée. Une partie du toit se pare également d’un rose éclatant. Une touche de couleur, conjuguée à la forme originale du toit, qui signe l’identité du bâtiment. Photo : AVENTIM – GH – SOPREMA Entreprises
Il y a 4 ans et 361 jours

Lancement du projet de rénovation « École du Louvre-2021 »

L’École du Louvre lance son projet “École du Louvre-2021”, qui bénéficie du mécénat de la Francis Bacon MB Art Foundation. Un programme... Cet article Lancement du projet de rénovation « École du Louvre-2021 » est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 361 jours

CDVI enrichit sa gamme complète de solutions d’accès sans contact pour un risque sanitaire maîtrisé

Acteur incontournable de systèmes de contrôle d’accès et de verrouillages depuis 35 ans, CDVI conçoit des solutions performantes adaptées à tous les environnements et répond à chaque besoin de mise en sécurité. En cette période inédite qui bouleverse le quotidien de chacun, CDVI met son expertise au service de la sécurité de tous grâce au Thermoscanner FTC-1000. Ce système de détection de température corporelle à reconnaissance faciale garantit la sécurité sanitaire des collaborateurs, clients et visiteurs pour tous types d’établissements. Ce dispositif vient enrichir la gamme complète de solutions d’accès sans contact de CDVI, pour un risque sanitaire entièrement maîtrisé.   FTC-1000, sécurité sanitaire et contrôle d’accès sans contact Ce dispositif sans contact de gestion des entrées de CDVI est capable de contrôler le port du masque de protection et la température corporelle de quiconque se présente devant lui. Ces détections garantissent automatiquement l’autorisation d’accès. En cas d’absence de masque et/ou de température élevée, une alarme vocale et visuelle se déclenche. Adapté à tous les types d’établissements (lieux de travail, ERP, gares, magasins, salles de sport…), ce système assure la sécurité et préserve la santé de toute personne qui pénètre dans un lieu. Dans le cadre de mesures visant à contenir la propagation de virus, il permet de mettre en œuvre un protocole réglementaire pour redonner confiance et tranquillité d’esprit à chacun. La détection de la température est rapide et fiable. En effet la réponse est communiquée en 200 ms avec une précision de +/- 0,3 °C. Le FTC – 1000 est livré avec un logiciel de gestion permettant de contrôler plusieurs appareils.   Une gamme complète de solutions d’ouverture sans contact et sans limite CDVI, partenaire multi-solutions des acteurs du bâtiment, propose une large gamme d’ouverture sans contact pour tous les secteurs. Les solutions disposent d’une des garanties les plus étendues du marché. Qu’il s’agisse de gérer les flux dans une entreprise ou de limiter le nombre de clients dans un magasin, CDVI apporte une réponse adaptée.   • Pour la gestion des entrées libres Le radar de détection infrarouge longue portée DWHR50 permet l’ouverture de porte sans contact en détectant tout mouvement d’approche.   • Pour la gestion des entrées autorisées avec un contrôle d’accès Outre le nouveau thermoscanner FTC – 1000, CDVI offre d’autres solutions pour gérer les entrées autorisées. Les lecteurs Mifare® ou encore la Box Code fonctionnant avec l’application Digicode® autorisent une ouverture via un smartphone. L’accès est donc garanti pour toute personne qui dispose des droits d’accès.   • Pour la gestion de la distanciation physique avec comptage/décomptage Pour toutes les problématiques de gestion des flux et de respect du principe de distanciation physique, CDVI propose là encore la solution. En effet grâce au système de contrôle d’accès Atrium et sa fonction comptage/décomptage, il est possible de réguler le nombre de personnes se trouvant dans une pièce donnée pour en contrôler la jauge pré-définie, et ainsi ne jamais la dépasser. L’autorisation d’entrée, comme de sortie, s’effectue en présentant un badge devant le lecteur Mifare®, DESFire®…. Lorsque l’usager ressort de la pièce, il libère ainsi un accès disponible.   • Pour la gestion des sorties Enfin pour sortir d’un bâtiment, CDVI propose 2 types de commande de sortie infrarouge qui déclenchent automatiquement l’ouverture de la porte : VHESF et BPIR avec lesquelles il suffit de passer la main devant la commande pour actionner l’ouverture (jusqu’à 15 cm).   • Pour l’ouverture/fermeture automatique des battants Pour chacun de ces dispositifs et une fois l’accès autorisé, l’opérateur de portes battantes Digiway assure l’ouverture/fermeture automatique. Pour répondre à chaque besoin en fonction de sa localisation, deux solutions sont disponibles : Digiway-SR pour les portes lourdes (jusqu’à 200 kg) et Digiway-Plus pour les portes légères (jusqu’à 120 kg).   Depuis 1985, CDVI œuvre donc pour la protection des personnes et des biens. Aujourd’hui comme hier, les solutions CDVI permettent à chaque acteur de répondre aux critères de sécurité sanitaire en organisant et en facilitant l’accès et la circulation des salariés et des visiteurs au sein de tous les bâtiments. http://www.cdvi.com
Il y a 4 ans et 361 jours

" Les lieux vont devenir plus « intelligents »" Nicolas Mangon, Autodesk

Être « Résilient », envisager le « Retour » et « Réimaginer » nos bâtiments et nos villes… telle est la théorie des trois R de Nicolas Mangon, vice-président AEC pour Autodesk.
Il y a 4 ans et 361 jours

Arcade : Massia Laboratoire Bétons

Depuis plus de 25 ans, Arcade s’est fait connaître en partie grâce à son logiciel de suivi et contrôle de la qualité des produits, wil. Ce dernier équipe encore aujourd’hui de nombreux postes et s’est imposé au fil des années et échanges avec les clients comme étant LA référence sur le marché.  Massia-Laboratoire issu de la gamme Massia est prêt à reprendre le flambeau de wil afin de toujours mieux vous servir.  Tout comme pour wil, Massia-Laboratoire se décline en plusieurs modules axés chacun vers un métier différent : bétons, granulats, enrobés… Vous pouvez l’adapter au plus proche de votre activité en choisissant de n’en prendre qu’un ou d’en concilier plusieurs. Une des puissances de la gamme Massia est cet environnement entièrement paramétrable et modulable à votre activité. Massia-Laboratoire conserve les fonctionnalités de Wil qui ont fait son succès tout en ajoutant de nouvelles fonctionnalités. Retrouvez tous les outils pour une gestion laboratoire quotidienne optimale : Paramétrez vos données de baseRentrez vos prélèvements et essais Editez les documents nécessaires Générez vos bilans réglementairesPilotez votre activité et contrôlez vos résultats vis-à-vis des normes en vigueur. Des fonctionnalités communes à toute gestion laboratoire Le module bétons propose des fonctionnalités spécifiques pour ce métier telles que : Les essais itératifs pour définir le nombre de casses à la volée ; Les feuilles d’essais (essais de casses par exemple) ; Le contrôle RSI conforme au dernier guide technique ;Les cartes de contrôles (consistance, résistance par béton ou famille béton…) ;Le contrôle acquéreur en lien avec les FTP archivées ;Le contrôle des formules selon les normes française et européenne ;Le traitement des formulesLa formulation selon les méthodes de Dreux-Gorisse, Faury, ou encore les courbes d’équation (Füller par exemple) ou d’autres courbes que vous définissez. Le petit plus qui fait la différence ? Massia-Labo mobilité ! Une application mobile pour saisir depuis votre smartphone ou tablette vos prélèvements granulats, vos casses béton… et les retrouver automatiquement dans Massia. Même en zone blanche – et nous avons encore tant dans nos belles campagnes – saisissez sans soucis, la synchronisation se fera dès que vous retrouverez du réseau. C’est ça aussi la force du web. Massia-Laboratoire fait partie de la gamme Massia, elle comprend quatre autres logiciels axés chacun sur une spécialité : Massia-Gestion pour la gestion commerciale de l’administration des ventes. Gérez l’activité quotidienne de vos sites, les flux avec vos fournisseurs, prospects et clients. Maîtrisez à tout moment les éléments clés de votre activité, stocks, tarifs, offres, commandes, livraison, transports, facturation… Massia-Performance pour le suivi de la performance des industries extractives. Maîtrisez et améliorez la performances sur trois axes : personnel, engins et installations. Suivez au quotidien les affectations d’activités, les heures de marche, arrêts et pannes, les consommations comme les carburants, l’électricité, les explosifs, …Massia-QSE & Foncier pour la maîtrise du suivi environnemental, de la sécurité et du foncier. Gérez facilement vos thèmes et campagnes de mesures environnementales, préparez vos audits, suivez les actions menées, consignez et mettez en œuvre les instructions des arrêtés préfectoraux.Massia-Maintenance pour la gestion de la maintenance des installations et parc matériel.  Optimisez la maintenance du matériel et des équipements, maîtrisez vos coûts et la sécurité des personnes. Une gamme de logiciels tout-en-un Désormais, vous pouvez regrouper plusieurs activités dans un seul logiciel , Créez un nouveau produit dans Massia-Performance, retrouvez-le dans Massia-Laboratoire ; créez une FTP dans Massia-Laboratoire, consultez-la dans la pesée de Massia-Gestion ; gérez les stocks dans Massia-Gestion, utilisez-les dans Massia-Performance ! En plus de la personnalisation et modularité à souhait de cette gamme, Massia vous permet également de travailler sur une interface fluide, ergonomique et accessible partout. Vous bénéficiez ainsi d’une seule base de données et d’une gestion centralisée ! Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter Arcade. Pour cela plusieurs canaux possibles : En visitant le site Web d’Arcade où vous retrouverez des informations sur les logiciels ainsi qu’un formulaire de contact : https://www.arcade.fr/. En contactant directement le service commercial : par e-mail a.ladet@arcade ou par téléphone 04 67 77 52 50. Pensez à suivre la page LinkedIn d’Arcade afin d’être tenu au courant des actualités d’Arcade.
Il y a 4 ans et 362 jours

L'UFME enrichit sa palette d'objets BIM génériques

Sa palette s'enrichit ainsi d'une nouvelle série agrémentée de :compléments de pose (appui et bavette),déclinaisons des objets génériques de fenêtres et portes-fenêtres avec et sans coffre de volet roulant, et de fenêtres sur allège.Cette évolution répond à un besoin fort de bénéficier d'une représentation réaliste de la mise en œuvre des objets génériques « fenêtres » et des cas les plus courants. Ces nouveaux éléments complètent les dix existants pour les fenêtres, portes-fenêtres et portes d'entrée depuis fin 2018*. Disponibles sur le portail BIMObject®, les vingt-deux variantes sont développées aux formats Revit et Archicad, les plus utilisés pour la maquette numérique. Les dimensions (hauteur et largeur) restent paramétrables sur des plages prédéfinies, et les valeurs des propriétés physiques qui leur sont associées sont figées.Un taux élevé de téléchargement des objets BIM génériques UFMELes premiers objets BIM génériques développés par l'UFME suscitent un intérêt prononcé, qui perdure auprès des utilisateurs de la base BIMObject®. Le taux de conversion vue/téléchargement (de 80 à 120 % par produit, soit de 200 à 400 téléchargements/mois) reste élevé depuis leur mise en ligne, signe d'une attente et d'un réel besoin. Ces objets peuvent également servir de base pour le développement d'objets spécifiques fabricants.Une démarche déjà expérimentée par plusieurs adhérents de l'UFME.* Fenêtre à frappe 1 vantail, Fenêtre à frappe 2 vantaux oscillo-battante bloc-baie, Fenêtre coulissante 2 vantaux, Fenêtre fixe 1 vantail, Porte-fenêtre à frappe 1 vantail, Porte-fenêtre à frappe 2 vantaux bloc-baie, Porte-fenêtre à galandage 1 vantail, Porte-fenêtre coulissante 2 vantaux, Porte extérieure à frappe 1 vantail, Porte extérieure à frappe 2 vantaux tiercé.
Il y a 4 ans et 362 jours

Batigest Connect de Sage, une nouvelle génération de solutions pour les entreprises du bâtiment

La numérisation des acteurs du bâtiment est une tendance qui progresse à mesure que les années passent. Les résultats de la 3ème édition du baromètre national 2017 sur les artisans et le numérique* identifiaient déjà le numérique comme l’un des 4 leviers de croissance du secteur. Dans le cadre de cette numérisation, Batigest Connect permet à l’entreprise de gagner en efficacité en interagissant plus facilement avec son écosystème (collaborateurs, clients, tiers).« Je suis très heureuse que nos clients et prospects puissent enfin découvrir Sage Batigest Connect. En effet, Sage a beaucoup investi dans le développement de cette nouvelle offre afin de répondre aux besoins des artisans et décideurs du bâtiment et moderniser sa solution. Avec cette solution, Sage pose les bases d’un développement vers une offre cloud et SaaS. Nous souhaitons que nos clients équipés de Batigest puissent facilement accéder à une offre connectée et prochainement, pour ceux qui le souhaitent, à une offre SaaS. » Émilie Batista-Fernandes, Product Marketing Manager Bâtiment chez SageModernité, continuité et stabilité de la base de donnéesEn plus de la connectivité, toutes les fonctionnalités de la solution Batigest i7 seront disponibles dans Batigest Connect : parmi lesquelles la réalisation de devis et factures, le contrôle et l’analyse de chantier, la facturation règlementaire ou encore le traitement des appels d’offre.Même avec une ergonomie repensée et un nouveau design, les artisans et PME du bâtiment devraient reconnaitre la solution de référence déjà éprouvée. De plus, les entreprises déjà clientes de Sage Batigest i7 pourront migrer facilement vers Batigest Connect avec la certitude de conserver toutes leurs données, en plus d’avoir une plus grande capacité de stockage à disposition.Connectivité et évolutivité au cœur de la solutionVia Sage Online Access, Batigest Connect permet le travail en mobilité. Ce service est inclus dans la solution et permet aux artisans en déplacement de pouvoir accéder à leurs données et travailler à distance « comme au bureau » pour la réalisation des devis par exemple.Toujours dans l’esprit d’offrir plus de connectivité, la solution a été conçue de façon à permettre l’ajout rapide d’applications complémentaires de mobilité et de nouvelles fonctionnalités. Elle s’adapte à la taille de l’entreprise et peut accueillir jusqu’à 50 utilisateurs, et donc être utilisée par les PME.Fruit d’une collaboration avec les partenairesLes partenaires continuent de jouer un rôle clé dans la stratégie de développement de l’éditeur. Ils ont ainsi été impliqués en amont dans la construction de l’offre commerciale et le découpage fonctionnel de la solution. En contribuant à la roadmap produit, ils ont par ailleurs été sollicités dans la phase de tests en réel sur leurs clients. « J’ai réalisé plusieurs Beta Tests, et je souhaite souligner la très bonne qualité de la version Beta de Batigest délivrée, qui répondra précisément à ce que les entreprises attendent aujourd’hui en termes de solutions de gestion. », précise Eric Monier, gérant de Utopia Informatique.* Étude publiée en mai 2017 et réalisée en partenariat avec Batiweb.
Il y a 4 ans et 363 jours

Les professionnels de l'ingénierie et du numérique proposent de créer une « task force » pour sauver le BTP

Outre des mesures pour l'emploi, la trésorerie des entreprises et le redémarrage du secteur, CINOV appelle à la création immédiate d'une « task force » représentative de la filière. Cette dernière permettra d'accompagner les métiers du BTP dans leur transformation numérique, environnementale et sociétale.Alors que l'arrêt brutal et imprévu de tous les chantiers – puis leur reprise aménagée pour répondre aux règles sanitaires – ont provoqué d'importants surcoûts pour le secteur du BTP, CINOV alerte sur le risque de disparition de nombreux bureaux d'études qu'elle représente (maîtrise d'œuvre, AMO). Ces dernières, qui sont principalement des TPE-PME, se retrouvent en effet particulièrement exposées et la Fédération CINOV appelle le gouvernement à prendre les mesures qui s'imposent pour sauver ces entreprises, acteurs clés de la vie économique dans les territoires. Pour cela, elle propose de créer un fonds afin d'aider les entreprises et les collectivités territoriales à faire appel à des prestations de services intellectuels pour les accompagner dans leurs transformations. CINOV insiste néanmoins sur le fait que la création de ce fonds ne suffira pas : il faudra aussi – et surtout – accompagner ces investissements pour qu'ils puissent être rentables.Le secteur du BTP est en effet au cœur des transitions environnementale, énergétique, sociétale et numérique qui rendent inconcevable un retour à la situation antérieure à la crise sanitaire. CINOV appelle donc à la mise en place dès que possible d'une « task force » représentative dont l'objectif serait de faire adhérer et de mobiliser tous les acteurs de la filière autour d'un projet commun et, in fine, de faciliter la prise de décision puis d'accompagner la mise en œuvre des différentes mesures.« Avec cette task force représentative de la filière, nous pourrons mettre en œuvre plusieurs grandes idées ambitieuses autour des impacts sociaux et environnementaux du bâtiment et des infrastructures », affirme Frédéric LAFAGE, président de la Fédération CINOV. « Nous souhaitons notamment définir et mettre en place un agenda de la transition écologique du secteur, recourir massivement à la finance responsable, investir dans les infrastructures durables et concevoir un aménagement urbain durable et désirable pour penser le logement autrement et réussir, enfin, sa rénovation. »Les principales propositions de la Fédération CINOV pour une relance économique et durable du secteur :Créer immédiatement une « task force » représentative de la filièreRéussir la transition écologique du secteur :En appliquant progressivement et avec pédagogie les nouvelles réglementations, dont la future RE2020 ;En complétant la réglementation et les référentiels existants pour mettre en place une approche multicritères et des obligations de résultats pour tous les bâtiments ;En accompagnant la maîtrise d'ouvrage publique par un vaste plan de sensibilisation et de formation aux enjeux environnementaux ;En recourant massivement à la finance responsable (développer les labels Greenfin ou ISR, moduler les financements en fonction de leur impact sociétal et environnemental).Investir dans les infrastructures durables :En lançant un vaste programme quinquennal de renouvellement des réseaux d'eau et d'assainissement, de maintenance et d'entretien des infrastructures routières ;En priorisant les investissements dans les infrastructures vers des projets à forte performance environnementale avec une évaluation régulière de cette performance.Penser le logement autrement et réussir, enfin, sa rénovationEn conditionnant 100% des aides (primes et baisse de taxes foncières sur la durée de l'amortissement) à la réalisation de rénovation globale et performante, en une fois, des copropriétés ;En définissant un dispositif « Ma Prime Rénov' Copro » visant à rendre attractive la rénovation globale et copropriété.Concevoir un aménagement urbain durable et désirableEn créant un plan de mobilité douce, à intégrer au PLU, en mettant l'accent sur les accès aux lieux de vie (espaces publics, loisirs, lieux culturels, écoles, commerces…) ;En faisant du bruit, de la qualité de l'air et de la biodiversité des priorités nationales, à intégrer à travers des objectifs ambitieux, concrets et mesurables dans tous les projets urbains ;En développant des référentiels, des méthodes et des outils adaptés à des aménagements urbains durables et désirables, facilement utilisables par les différents acteurs (collectivités, aménageurs, promoteurs, AMO/MOE, entreprises…).
Il y a 4 ans et 363 jours

Conventions citoyennes, un programme présidentiel en différé

D’habitude, un président, entouré d’experts, propose un projet que le gouvernement, entouré d’experts, met en œuvre. Ce projet, ou programme, est ensuite expliqué par la presse au public afin qu’il en comprenne les tenants et aboutissants. Aujourd’hui, en France, c’est l’inverse. Ce sont les citoyens qui proposent et le président qui essaye de se faire […] L’article Conventions citoyennes, un programme présidentiel en différé est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 363 jours

Husqvarna Construction Products France : une nouvelle stratégie ambitieuse pour devenir le partenaire privilégié des sociétés spécialisées dans le béton

Husqvarna Construction Products France, une histoire en béton Né il y a 330 ans en Suède, le groupe mondial Husqvarna se compose de 3 divisions : • Husqvarna, leader des produits d’extérieurs motorisés (tronçonneuses, robots tondeuses, …), • Gardena, spécialiste des solutions d’arrosage, • Husqvarna Construction Products, acteur incontournable de machines et d’outils diamantés pour l’industrie du béton. Présent dans le monde au travers de 9 usines et 4 centres de Recherche & Développement (Suède, Belgique, Bulgarie, Chine, Etats-Unis, …), le groupe a pour moteur l’innovation. Avec un chiffre d’affaires de 4 milliards d’euros en 2019, il compte 13 000 collaborateurs. La division Husqvarna Construction Products emploie quant à elle 2000 personnes et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 573 millions d’euros. Riche de cette histoire industrielle familiale ancestrale, Husqvarna Construction Products France fait vivre la marque sur le territoire national auprès de ses clients (distributeurs, loueurs, scieurs, foreurs, démolisseurs, grands groupes et entreprises générales du BTP). Elle leur propose une gamme complète de machines et d’outils diamantés de très grande qualité pour la préparation, la pose, la mise en place, la coupe, le forage, le polissage et la démolition du béton, à l’horizontale comme à la verticale. Dirigée par Olivier Touzé, Husqvarna Construction Products France compte deux sites en France, basés à Bezons (95) et Blois (41), 65 collaborateurs et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 33 millions d’euros (+ 17 %). Représentant 32% du marché français des ventes de scies murales, 41% des découpeuses et 34% des ponceuses de sol grand diamètre avec ses marques Husqvarna et HTC, l’entreprise est devenue leader sur son marché. S’inscrivant dans la stratégie disruptive de développement du groupe, et malgré le contexte actuel, Husqvarna Construction Products France s’est fixé de nouveaux objectifs, à atteindre d’ici 2025, orientés sur l’expérience client. Husqvarna, l’expérience béton 360° « Pour devenir le partenaire privilégié des clients les plus exigeants, Husqvarna Construction Products France souhaite passer d’une offre produits à une offre globale intégrant toutes les gammes et les services dont ils ont besoin » explique Olivier Touzé, Directeur Général. Outre renforcer son efficacité dans la vente d’outils diamantés, Husqvarna Construction Products France a défini des leviers de croissance clés, parmi lesquels : • séduire ses clients foreurs, scieurs et démolisseurs et en fidéliser de nouveaux grâce à sa nouvelle gamme de foreuse (DM 400), ses solutions d’aspiration performantes conformes aux nouvelles obligations européennes liées à la silice cristalline ; • continuer à accompagner les grands distributeurs et loueurs historiques français en leur proposant des produits solides, ergonomiques et durables ; • développer un réseau de 15 à 20 partenaires distributeurs réparateurs agréés d’ici fin 2020 qui bénéficieront d’un programme de formation technique pour pouvoir maintenir et dépanner toutes les machines Husqvarna Construction en quelques jours, sur l’ensemble de la France ; • travailler avec les majors du BTP. L’ensemble de ces objectifs s’accompagne de services associés tels que : • les solutions complètes de financement (crédit-bail, location) ; • le développement de l’offre TotalCare comprenant le financement, la maintenance, la réparation et le Fleet Management (solution de gestion du parc machines grâce à l’internet de l‘objet) ; • et toujours, l’accompagnement technique des clients pour résoudre leurs problématiques béton. « Avec d’ores et déjà deux centres services Husqvarna à Bezons et Blois, puis l’installation des ateliers des partenaires agréés sur l’ensemble du territoire français, le service après-vente doit devenir ainsi notre avantage concurrentiel », conclut Olivier Touzé. Répondant aux problématiques rencontrées par les professionnels, la volonté d’Husqvarna Construction Products France d’améliorer l’expérience client se traduit par une nouvelle signature de marque « Husqvarna, l’expérience béton 360° » déclinée dans une campagne de communication. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 4 ans et 363 jours

Réforme du RGE : davantage de contrôles dès le 1er septembre prochain

EXPLICATIONS. Les textes réglementaires traitant de la réforme du label Reconnu garant de l'environnement (RGE) sont parus. Au programme : renforcement des contrôles, modification de la nomenclature des travaux, et audits "plus techniques et pédagogiques".
Il y a 4 ans et 364 jours

Collaboration réussie entre Paris Ouest Construction et Daikin pour la réalisation d'un bâtiment en BIM

C'est dans cette 2e perspective qu'un partenariat très étroit et fructueux a été engagé entre Paris Ouest Construction et Daikin, acteur majeur sur le marché mondial du génie climatique et du chauffage, pour la conception de la maquette numérique de l'opération.Retour sur le long cheminement de cette initiative portée par un atelier R&D réuni au sein de LCA-FFB.Fruit d'un travail de recherche collaboratifParis Ouest Promotion participe depuis 3 ans à un atelier R&D Promoteurs Partenaires au sein de LCA-FFB, organisation qui réunit des constructeurs de maisons individuelles, des aménageurs fonciers ainsi que des promoteurs immobiliers.Xavier Tournillon, Directeur technique et de la transition numérique du bâtiment au sein de Paris Ouest Construction, est l'initiateur de cette réalisation menée en BIM : « En 2018, Paris Ouest Promotion, notre entité dédiée à la promotion, a lancé son premier programme tertiaire. J'ai saisi l'opportunité de cette signature pour proposer aux membres de cet Atelier R&D d'œuvrer sur l'étude de ce projet par l'angle du BIM au sein d'un groupe de travail. Ce travail était mené de façon volontaire, non contraignante ce qui a permis aux acteurs de s'engager pleinement ».Le groupe de travail intègre plusieurs fabricants et industriels spécialisés dans l'enveloppe, le gros œuvre, les équipements techniques, … parmi lesquels l'entité Daikin France, fortement impliquée dans la maquette numérique depuis la mise à disposition de 250 objets BIM au format Revit au sein d'une bibliothèque digitale développée en propre.« Sur le marché du génie climatique, nous sommes les premiers en France à avoir proposé autant de références en BIM sur un espace cloud dédié. Avant le projet porté par Paris Ouest Construction, nous n'avions encore jamais eu l'occasion d'expérimenter nos objets BIM dans le cadre d'une véritable opération. L'immeuble de Villejuif a donc constitué un premier terrain d'expérimentation pour Daikin, nous permettant de tester, d'adapter et d'améliorer notre offre en ce domaine », explique Eric Bokobza, prescripteur national Daikin France.C'est aux côtés d'Axelios, bureau d'études, de IMO 55, cabinet d'architecture habitué à collaborer avec Paris Ouest, et d'autres industriels du groupe de travail que Paris Ouest Construction et Daikin se sont lancés dans cette entreprise technique enrichissante.« Nous avions la volonté de réaliser un maximum d'éléments au format numérique. Cela a représenté les 2/3 du projet. Il était plus compliqué d'intégrer tous les équipements électriques pour lesquels nous n'avions pas assez d'offres d'objets BIM à l'époque où l'étude a été menée », se souvient Xavier Tournillon.Les objectifs du groupe étaient alors les suivants :Comment intégrer un produit numérique dans un projet de construction ?Comment le BIM était capable de nourrir cette opération immobilière pour positionner en amont un maximum d'équipements, de réseaux, d'éléments en toiture et en façade, etc, dans le but d'anticiper les opérations et d'éviter les mauvaises surprises ?BIM, gage de qualité de l'ouvrageEn fin d'année 2018, le projet BIM de l'immeuble de Paris Ouest Promotion à Villejuif a été présenté par le groupe de travail à l'occasion de la 3ème Journée Technique Promoteurs Partenaires LCA-FFB à Paris devant plus de 200 professionnels. Les travaux sont lancés début 2019.Il s'agit d'un bâtiment de bureaux de plus de 2000 m², disposé en R+5. Il offre un parking de 115 places de stationnement en sous-sol et des locaux en rdc destinés à l'implantation de commerces.Conformément au cahier des charges de Paris Ouest, le groupe a travaillé sur le plus haut niveau de détail existant à l'échelle internationale, à savoir en LOD 400, sur un modèle numérique du bâtiment commun à tous les partenaires de l'étude. Celui-ci a concerné la majeure partie des éléments constructifs et équipements : menuiserie, façades, toitures, réseaux, structure, plomberie, …Dans le cas de l'installation d'un système de chauffage et de rafraîchissement, le bureau d'études et Daikin ont travaillé sur l'intégration de solutions de détente directe VRV et d'une CTA double flux, raccordés à plusieurs dizaines d'unités intérieures. Ces différents systèmes font partie intégrante des objets BIM proposés par Daikin au format REVIT, au même titre que l'ensemble des équipements nécessaires tels que les tuyaux frigorifiques et les différents accessoires (thermostats, …) avec pour chacun toutes les caractéristiques techniques s'y référant. La réservation amont de tous ces éléments inscrits dans la maquette permet notamment de s'assurer de la performance nominale du système qui est pour beaucoup liée à la qualité d'installation.« La force du BIM c'est surtout la diminution des risques liés aux études et à l'acte de construire. La maquette numérique offre, de fait, des économies financières et de délais en évitant de devoir adapter des mises en œuvre non prévues initialement lorsque nous sommes en pleins travaux. C'est la réduction de l'aléa qui est l'enjeu principal de cette démarche. La collaboration avec Daikin, et plus largement toutes les parties prenantes de cette opération, a été essentielle et émérite », conclut Xavier Tournillon.La maquette numérique réalisée dans le cadre de la conception et l'exécution des travaux pourra être adaptée et enrichie pour servir à l'exploitation du bâtiment, offrant des avantages considérables pour faciliter les opérations de maintenance notamment.
Il y a 4 ans et 364 jours

Élection du nouveau Bureau de l'Association Qualitel

Aux côtés des autres membres du Bureau, représentants des organisations et instances du secteur, il accompagnera les grandes orientations stratégiques de l'Association QUALITEL pour les 5 années à venir, en cohérence avec les enjeux actuels et futurs du logement.Faire progresser la qualité du logement, avec et pour tous les acteursCréée en 1974, l'Association QUALITEL poursuit une mission centrale : faire progresser la qualité du logement pour un habitat confortable, sain, sûr et durable, en phase avec son temps. Pour ce faire, elle exerce des activités d'information du grand public, de certification, de recherche, d'évaluation et expertise et de formation professionnelle.À travers ces travaux, elle accompagne les grands enjeux de l'habitat, en cohérence avec les transitions environnementale, énergétique et numérique, mais aussi en termes de santé et de confort. Elle contribue ainsi à des avancées concrètes. Pour exemples :Une meilleure connaissance du ressenti des particuliers en matière de qualité du logement, et ainsi, des progrès restant à faire, avec des données inédites recueillies chaque année dans le cadre du Baromètre QUALITEL - IPSOS ;L'élévation du niveau de performances des logements, avec la certification NF Habitat - NF Habitat HQE, dans une approche multicritère intégrant les nouveaux enjeux du secteur et anticipant les tendances émergentes ;Le déploiement du numérique, dans le cadre de la certification avec l'intégration d'outils collaboratifs, et à travers des travaux dédiés au carnet numérique du logement, en appui aux actions des pouvoirs publics sur ce sujet.Fondamentales pour l'habitat de demain, ces thématiques seront notamment au cœur des priorités stratégiques de QUALITEL pour les 5 années à venir, sous la direction du nouveau Bureau de l'Association.Le nouveau Bureau de QUALITELLe nouveau Bureau de l'Association QUALITEL est composé de 10 membres, parmi lesquels :Bertrand Delcambre, réélu Président de l'Association QUALITELReprésentant du ministre en charge du Logement et Président de l'Association depuis 2015, Bertrand Delcambre a été reconduit dans ses fonctions.Ingénieur Général des Ponts, des Eaux et des Forêts, il passe l'essentiel de sa carrière professionnelle au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) dont il est élu Président en 2008.En 2014, Sylvia Pinel, ministre du Logement, de l'Égalité des Territoires et de la Ruralité, le nomme Ambassadeur du Numérique dans le Bâtiment, puis Président du Plan Transition Numérique dans le Bâtiment. En 2015, il rejoint l'Association QUALITEL.Chantal Jannet, réélue vice-Présidente de l'Association QUALITELVice-Présidente de la Fédération nationale Familles rurales, administratrice de l'Union nationale des associations familiales (UNAF), Chantal Jannet a exercé diverses responsabilités dans les domaines de la consommation, du logement et du droit des femmes. Elle siège notamment au Bureau du Conseil National de la Consommation et à la Commission d'évaluation et de contrôle de la médiation de la consommation (CECMC). Elle préside également le Fonds de dotation de QUALITEL qui agit en faveur du logement des personnes défavorisées.Ainsi constitué, le nouveau Bureau accompagnera l'élaboration et la mise en œuvre des nouvelles orientations stratégiques de l'Association QUALITEL, s'inscrivant dans la continuité des actions engagées ces dernières années et en cohérence avec les enjeux et thématiques émergentes du logement. Ainsi, notamment :Rénovation énergétique, biodiversité, qualité de l'air intérieur, économie circulaire et bas carbone : ces sujets seront, par exemple, au cœur des évolutions apportées au référentiel de certification NF Habitat - NF Habitat HQE, présentées dans les prochains jours ;Déploiement du numérique, y compris dans une dynamique de services pour les particuliers : CLÉA, espace numérique du logement lancé il y a quelques semaines pour la maison individuelle, sera déployé dès cet été à tout le logement, accessible aux professionnels et aux particuliers ;Accompagnement de la montée en compétences des professionnels, avec un large programme de formations couvrant toutes les thématiques du logement : BIM, énergie et environnement, nouveaux modes constructifs, qualité et santé, réglementations.Etc.« Je remercie les membres du Conseil d'administration pour leur confiance renouvelée. J'ai particulièrement apprécié la qualité de nos échanges au fil de ces 5 dernières années. La diversité de leurs expertises et de leurs attentes, représentatives de celles de l'ensemble du secteur, y compris des consommateurs, nous ont permis de mener à bien de grands projets fédérateurs et essentiels pour faire progresser la qualité du logement.Je remercie aussi les équipes de QUALITEL et de ses filiales pour leur dynamisme et la force de leur engagement.Ensemble, nous poursuivrons, accélèrerons et intensifierons nos actions pour accompagner au mieux tous les acteurs, a fortiori dans ce contexte de crise sanitaire et économique inédite. Nous le savons, et cela s'est plus que jamais confirmé ces derniers mois : l'habitat est au cœur des préoccupations de chacun. Nous devons continuer à faire de sa qualité, notre priorité. »Bertrand Delcambre - Président de l'Association QUALITEL
Il y a 5 ans et 2 jours

Ce week-end, "48h" pour convaincre les citadins de mettre les mains dans la terre

Des opérations de végétalisation de rue aux ateliers "bombes de graines", cette 5e édition du "grand festival du jardinage urbain" --initialement prévue en avril mais reportée en raison de l'épidémie de Covid-19-- se traduira par quelque 200 événements dans une dizaine de villes. Un format réduit par rapport à l'an dernier car "on n'a su qu'il était possible d'organiser le festival qu'au début du mois" et les restrictions sanitaires limitent le nombre de participants, souligne Sophie Boisselier, de l'association Sauge qui a créé et coordonne l'événement.Elle espère attirer les citadins en mal de verdure depuis le confinement, qui a pu agir comme un révélateur de l'ultradépendance des villes quant à leur approvisionnement en produits agricoles et renouveler l'intérêt envers les circuits courts."Les gens commencent à se rendre compte qu'il y a une question agricole et alimentaire en France, que l'indépendance alimentaire du territoire est un enjeu de sécurité", estime Sophie Boisselier.Le festival entend mettre en avant les réponses apportées par une agriculture urbaine en pleine "effervescence", montrer qu'"il y a des initiatives qui s'organisent tous les jours pour végétaliser la ville, se reconnecter à son alimentation, tisser du lien autour de la pratique du jardinage".Le programme des 48 heures dans les villes concernées - Paris/Ile-de-France, Albi, Avignon, Grenoble, Marseille, Montpellier, Nantes, Saint-Etienne, Strasbourg, Toulouse, Tournai (Belgique) - est disponible sur le site www.les48h.fr.
Il y a 5 ans et 3 jours

Flash Training du Campus Zehnder : des formations gratuites en ligne pour perfectionner les connaissances des professionnels

Pendant le confinement, le centre de formation Campus de Zehnder Group France a mis en place des formations courtes à distance pour les professionnels (installateurs, distributeurs, bureaux d’études…). Ces Flash-training, animés par un animateur en « live », ont permis à plus de 700 participants de se perfectionner sur des thématiques majeures dans l’univers du chauffage central, du chauffage électrique et de la ventilation double flux. Fort du succès rencontré, le Campus de Zehnder Group France poursuit son initiative jusqu’à mi-Juillet 2020 avec de nouveaux modules. Flash-training : 20 modules de formations distancielles gratuites Animés par un formateur du Campus Zehnder, les flash-training, formations gratuites en ligne, abordent des problématiques précises sur le chauffage et la ventilation double flux. Les participants peuvent poser leurs questions en direct au formateur. 20 modules différents sont aujourd’hui proposés aux professionnels et pour répondre à des problématiques spécifiques : • sur la ventilation double flux : . Covid et ventilation : le vrai du faux, . règles de dimensionnement d’un système de VMC double flux, . chiffrage et utilisation du logiciel Zehnder Comfoquote, … • sur le chauffage central : . différents types d’installation, . les systèmes basse température, . détermination des radiateurs en chauffage central, … • sur le chauffage électrique : . introduction au chauffage électrique, . les différents types de régulation, . les typologies de radiateurs et argumentaires de vente… Accessibles depuis les sites internet https://acova.fr/pro (pour les formations chauffage) et https://www.zehnder.fr (pour les formations ventilation double flux), les professionnels accèdent aux calendriers des formations et s’inscrivent facilement en ligne. Avec la mise en place de ces Flash-training, Zehnder Group France démontre sa volonté d’être au plus proche des professionnels, de les écouter et les former afin de développer leurs compétences pour assurer la qualité des installations.
Il y a 5 ans et 4 jours

Renouvellement urbain : le pic de 2024 sous contrôle

L’utilisation des 46 milliards d’euros totalisés par le premier programme de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine a recueilli un satisfecit global, le 17 juin devant la commission des finances du Sénat. Le lent démarrage du second exercice et l’interminable solde du premier ouvrent des pistes de progrès dans la gestion du tuilage.
Il y a 5 ans et 4 jours

Outils numériques dans la construction : la France 4e utilisateur mondial

Réalisée entre avril 2019 et mars 2020, une enquête, sponsorisée par l’éditeur de logiciels Autodesk, donne un aperçu par pays de la maturité en matière d'outils numériques des métiers de la construction.
Il y a 5 ans et 6 jours

Pour Stéphane Plaza, de retour sur M6, "l'immobilier est une priorité" pour les Français

Le présentateur et agent immobilier va retrouver sa case quotidienne à 18H50, occupée depuis mars par "Tous en cuisine" de Cyril Lignac. Si les leçons de cuisine du chef ont cartonné auprès des téléspectateurs, pas de jalousie entre les deux hommes, à en croire Stéphane Plaza, qui a fait une visite surprise et en direct jeudi dans l'émission culinaire."Pendant le confinement, voir des appartements qu'on ne pouvait pas visiter n'était pas forcément le plus judicieux, et mettre un programme neuf de Cyril Lignac, qui a excellemment bien marché, était une bonne nouvelle pour la chaîne et ne m'a pas du tout dérangé. Ca a permis de faire un petit peu reposer la marque Chasseurs d'appart', et de revenir avec des inédits, pour défendre des associations", dit-il à l'AFP.Des émissions inédites tournées à Toulouse, avant la crise du Covid-19, et qui ne montrent donc pas encore les nouvelles pratiques dans l'immobilier."On ne travaille plus de la même façon", explique M. Plaza. Outre les masques, par exemple, "on fait en sorte que toutes les portes et placards soient ouverts avant le début de la visite, par une seule personne qui porte des gants, pour protéger tout le monde".Les tournages de l'émission devraient reprendre ce mois-ci, a priori avec des équipes réduites et en respectant ces consignes. Avec des portes ouvertes, "il y aura peut être moins de surprises, mais je ne vais pas jouer là-dessus, on fera très attention", promet-il.Selon lui, l'immobilier n'a pas été terrassé par le coronavirus. "On peut dire qu'il y a une crise sanitaire pour l'instant, mais il n'y a pas une crise immobilière", note l'agent immobilier le plus célèbre du petit écran, à la tête de son propre réseau d'agences.Si les transactions ont été paralysées pendant deux mois, "à l'heure actuelle, l'immobilier, en tout cas, est une priorité du fait du télétravail et du confinement, selon qu'il s'est bien passé ou non, mais c'est surtout le marché de la location qui redémarre".En outre, "on sait que la pierre est une valeur sûre, avec laquelle on ne va pas doubler son investissement mais qui fait rarement perdre de l'argent", quand d'autres placements ont montré leur coté risqué, observe-t-il."Mais il faut retrouver confiance, il y a beaucoup de questionnements", dit-il, soulignant que la crise sanitaire "fait changer les mentalités". Avec beaucoup d'éléments positifs : "Il y a plus de sourires, plus d'humain, on est contents après cette privation de liberté de pouvoir faire des choses", salue-t-il.
Il y a 5 ans et 6 jours

Doka équipe le chantier majeur de Bordeaux

La gamme Doka a été utilisée à chaque niveau de la construction de l’ensemble Ginko. [©Doka] A Bordeaux, GTM Bâtiment Aquitaine construit l’ensemble Ginko : 24 bâtiments bioclimatiques, regroupant logements, commerces et parkings. Des constructions de 3 niveaux, réalisées par les mêmes équipes. Pour les parkings, jusqu’à 250 m2/j de planchers ont été coffrés à l’aide de 20 à 25 tables. Et jusqu’à 100 m2/j pour les commerces. Cette forte cadence a demandé́ une vigilance accrue sur la qualité́ de l’aspect des surfaces en béton. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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