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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Matériel

(608 résultats)
Il y a 4 ans et 24 jours

Travaux : comment ne pas perdre de clients ?

Pour une entreprise, préserver la confiance de ses clients est essentiel pour assurer son développement. Il arrive pourtant que certains travaux de rénovation ou d’agrandissement viennent bouleverser l’organisation d’une entreprise et favoriser le départ des clients. Le gérant doit alors mettre en œuvre une stratégie de communication efficace pour éviter de les perdre. Comment procéder pour continuer à communiquer avec la clientèle ? Comment transformer ces travaux en avantage ? Voici quelques conseils à mettre en place pour éviter les déconvenues lors des prochains travaux dans votre entreprise. Utilisez une bâche publicitaire d’échafaudage Quel que soit votre secteur d’activité, la confiance et la relation que vous entretenez avec vos clients peuvent se rompre pour diverses raisons. La réalisation de travaux peut en être la cause, que ce soit de votre initiative ou indépendamment de votre volonté. Si vous devez gérer des travaux de rénovation ou d’agrandissement dans vos locaux, ne perdez pas le contact avec vos clients et utilisez une bâche publicitaire sur un échafaudage comme moyen de communication temporaire. Une publicité à fort impact La publicité sur échafaudage est un moyen efficace de communiquer sur un support d’accroche original. Elle est principalement utilisée par les promoteurs immobiliers et les gérants d’entreprise pour mettre en valeur un bâtiment en phase de travaux. Au-delà de son rôle décoratif et protecteur, la bâche sur échafaudage peut aussi être associée à un message publicitaire pour générer de nouveaux clients. La bâche publicitaire est donc un outil de communication à part entière. Elle est utilisée aussi bien avant (pour informer les clients en amont), que pendant (pour s’excuser des gênes occasionnées) et après les travaux (pour annoncer la réouverture prochaine de l’entreprise). Il est également possible de se servir de la bâche sur échafaudage pour communiquer un événement particulier, comme l’ouverture d’un nouveau point de vente ou le lancement d’un produit. Dans tous les cas, c’est une opportunité de développer votre stratégie de communication de façon percutante. En imprimant des messages clairs et précis sur une bâche publicitaire, votre entreprise pourra être vue par des milliers de passants et ainsi attirer de nouveaux clients. Bien entendu, il faudra positionner la toile à l’endroit le plus adapté pour optimiser sa visibilité et garantir la réussite de la campagne publicitaire. Un support solide et résistant L’un des plus grands avantages de la bâche publicitaire est qu’elle est généralement conçue dans une matière résistante et durable dans le temps. Elle permet une exposition longue durée et peut rester à l’extérieur pendant plusieurs années. Elle est, de ce fait, idéale pour couvrir les édifices et les bâtiments en phase de travaux. Son rôle n’est donc pas seulement de communiquer. Elle permet aussi de camoufler les travaux et de protéger les passants d’éventuels poussières et débris liés à la rénovation qui s’opère sur les lieux. Pouvant aller jusqu’à 5 m de large, cette toile imprimée peut être réalisée en recto simple ou en recto/verso. En fonction de vos besoins et de votre budget, elle est disponible en différentes conceptions et grammages. Repensez votre stratégie commerciale Même si les travaux sont nécessaires pour optimiser l’agencement des locaux professionnels, ils peuvent impacter le rythme des ventes de votre entreprise et faire baisser son chiffre d’affaires. Si vous devez entreprendre des projets de rénovation, deux options s’offrent logiquement à vous : soit vous fermez votre entreprise durant les travaux, soit vous restez ouvert. Dans tous les cas, il faudra prévoir une stratégie de communication efficace avant, pendant et après les travaux, afin de compenser la perte des ventes et de faire revenir les clients. Avant de débuter les travaux, informez la clientèle Pour garder une relation de confiance avec vos clients, vous devez toujours les informer sur l’actualité de l’entreprise, notamment les produits en vogue, les nouveaux services, les promotions, les événements et les travaux à venir. Il est en effet important de prévenir les clients avant le début des travaux afin qu’ils ne soient pas pris au dépourvu et qu’ils puissent se préparer aux éventuels changements. C’est la première étape de la stratégie de communication. L’information de la clientèle peut se faire par divers moyens, tels que l’affichage, les newsletters, les flyers ou la communication orale. L’affichage est le moyen le plus utilisé pour prévenir les clients en cas de travaux. Il peut se faire grâce à un panneau ou par le moyen d’un simple papier accroché à la porte de l’entreprise. Les newsletters servent à communiquer sur l’actualité et à fournir des informations sur l’entreprise aux personnes qui suivent son activité régulièrement. Vous pouvez donc les utiliser pour informer les clients sur le début des travaux. La communication orale vise à atteindre directement les clients, rien ne vaut cet outil de communication. C’est en effet le moyen le plus sûr pour faire passer le message et pour donner des explications précises sur les raisons des travaux. Les flyers sont des outils de communication indémodables, ils représentent un moyen rapide et efficace de véhiculer un message à un grand nombre de personnes. Vous pouvez vous en servir pour promouvoir vos services, mais aussi pour communiquer sur vos prochains travaux de rénovation. Vous pouvez par ailleurs songer à organiser une opération promotionnelle, comme la liquidation des produits, avant d’entamer les travaux. En plus d’informer votre clientèle, cela vous permettra également d’augmenter votre chiffre d’affaires sur un temps donné. Pendant les travaux, fidélisez vos clients Ce n’est pas parce que vous entreprenez des travaux de rénovation que vous devez obligatoirement cesser votre activité. Toutefois, si vous restez ouvert, il est important que vous vous excusiez sur les éventuelles gênes et désagréments engendrés par les travaux auprès de votre clientèle. Veillez pour cela à utiliser tous les canaux de communication possibles : réseaux sociaux, bâches publicitaires, traces de pas sur le sol pour guider les clients, panneaux symbolisant les travaux, cônes orangés, etc. Ces supports vous permettront aussi d’expliquer ce qui est en train de se passer dans vos locaux. Si vous n’avez pas d’autres choix que de fermer vos portes, indiquez à vos clients les adresses les plus proches pour vous retrouver. Après les travaux, annoncez la réouverture de l’entreprise Pour revenir en force après plusieurs semaines ou plusieurs mois d’absence, mettez en place une campagne de communication efficace. Tous les outils de communication cités précédemment sont valables pour annoncer votre réouverture et inviter les clients à venir vous voir : distribution de flyers, installation d’une bâche publicitaire, campagne d’emailing et organisation d’une grande soirée de réouverture.
Il y a 4 ans et 33 jours

Les travaux de toiture : quelles sont les différentes interventions utiles?

En principe, pour la réalisation des travaux de toiture, différentes interventions s’imposent en fonction des problèmes à traiter. Il peut s’agir effectivement d’une opération sur votre charpente, votre système d’isolation ou l’étanchéité de votre revêtement. Pour ce faire, il est primordial de solliciter un couvreur, afin d’assurer l’inspection régulière de votre structure et détecter ainsi la source de vos problèmes. Selon le cas, ils peuvent survenir des fissurations constatées sur la cinquième façade de votre maison. En effet, pour garantir une meilleure sécurisation de vos occupants, vous devez maintenir votre couverture en bon état, en planifiant systématiquement son entretien. Travaux de charpente A la base, la charpente est le squelette de votre bâtiment et correspond en réalité à la partie qui supporte le poids de votre couverture. De ce fait, son entretien demande la réalisation d’interventions en travaux de toiture, selon les règles techniques préconisées dans ce domaine. En effet, ces normes permettent de garantir : l’équilibre de votre maison, la consolidation de votre structure, l’assurance de votre sécurité. C’est la raison pour laquelle, il est important de faire appel à un charpentier professionnel pour l’entretien ou la rénovation de cette armature. Autrement, il dispose des compétences requises pour appliquer le bon traitement en vue de maintenir la longévité prolongée de votre propriété. Pour ce faire, il déploiera divers moyens, tels que : la pulvérisation de produit nettoyant, la solution impénétrable pour les plaques, les soins antifongiques, le remplacement des tuiles. Travaux d’isolation de la toiture Si vous souhaitez avoir une meilleure économie d’énergie, votre couvreur vous conseillera effectivement de renforcer l’isolation de votre couverture. Cette intervention vous donnera ainsi l’opportunité de bénéficier d’un confort thermique et phonique à l’intérieur de votre maison. En effet, d’après les estimations, les pertes de chaleur sont souvent causées par la dégradation de votre charpente ou l’absence d’isolation. Par conséquent, il est impératif de planifier des travaux de toiture dans ce sens, pour préserver ces aspects fonctionnels. Dans cette optique, pour bénéficier d’une propriété parfaitement isolée et résistante aux intempéries, il est essentiel d’assurer la bonne étanchéité de votre structure. Cette capacité protègera l’ensemble contre la pénétration de l’eau et l’infiltration de l’humidité. Le cas échéant, vos résidents risquent de rencontrer des troubles de santé au niveau de la respiration tels que les allergies. Risques durant les travaux de toiture En effet, il est important de tenir compte des risques d’accident comme la chute en hauteur qui peuvent se produire lors des travaux de toiture. En général, ils sont causés par : – un échafaudage mal fixé, fortement encombré ou placé sur un sol en pente et glissant. – le non-respect des normes lors du montage ou le démontage des estrades. – des échelles mal posées et sans entretien systématique, – des plans de travail installés de façon incorrecte et qui finissent par se démonter en pleine opération. Afin d’y remédier, il est plus judicieux de confier votre chantier entre les mains d’un excellent couvreur qui saura prévoir toutes les mesures de sécurité adaptées. De la même manière, il a la capacité requise pour prendre en charge le contrôle de votre projet et garantir son bon déroulement.
Il y a 4 ans et 53 jours

Deux ans après l'incendie, Macron sur le toit éventré de Notre-Dame

De 47 m de hauteur, sous un ciel bleu parsemé de nuages, le président contemple le trou béant au milieu de la splendeur gothique, résultat de l'effondrement de la flèche sous l'action des flammes, le 15 avril 2019.Il loue "l'immense travail accompli" en deux ans et la "fierté collective" de voir la "Grande Dame" reprendre corps, mais insiste-t-il: "il va falloir tenir nos objectifs".Casque blanc sur la tête, combinaison grise et masque noir, c'est la première fois que le chef de l'État, accompagné de la maire de Paris Anne Hidalgo, revient officiellement sur les lieux depuis que la toiture et la flèche sont parties en fumée. Mais cette fois, il a pu observer au plus près l'ampleur de la tâche, à laquelle 35 entreprises sont dévolues, pour tenir l'objectif de 2024.L'échafaudage préexistant déformé par l'incendie a été enlevé à l'automne et une plateforme installée autour du toit du transept éventré. Acheminés par un ascenseur, entre 80 et 200 charpentiers, échafaudeurs, cordistes, suivant les tâches à effectuer, se hissent chaque jour sur le célèbre monument.Pierres instablesEn ce moment, ils sont 130, dirigés par une vingtaine d'architectes, à s'atteler avec prudence. "Il y a des endroits très fragiles, comme là où la flèche s'est fracassée et a fracassé la voûte", explique l'architecte en chef Philippe Villeneuve.De la plateforme, des cordistes s'élancent en rappel pour maçonner les pierres instables des voûtes du chœur. Une phase de sécurisation indispensable "pour éviter que les échafaudeurs ne prennent des risques lorsqu'ils vont démonter ces bouts de voûte", explique M. Villeneuve.C'est là même que s'érigera la nouvelle flèche, reconstruite à l'identique de celle ajoutée par Viollet-le-Duc au XIXe siècle. Dès 2024? "Tous les matins, je me lève dans cet objectif-là", veut croire M. Villeneuve, son successeur. "Viollet-le-Duc l'a montée rapidement. Il n'y a pas de raison qu'avec nos moyens modernes, on n'y arrive pas."Après être redescendu du toit et passé par le chœur, Emmanuel Macron, son représentant spécial pour la reconstruction, le général Jean-Louis Georgelin et Anne Hidalgo ont repris un ascenseur pour arriver sous les voûtes.A la croisée des transepts, l'un des charpentiers à l'œuvre sur les voûtes temporaires formule un vœu. "J'espère que ce sera, comme le veut la tradition, le plus jeune ouvrier de la société qui posera le coq" sur la flèche de la cathédrale.2024, objectif maintenu"Nous tiendrons le délai" de rendre Notre-Dame au culte et à la visite en 2024, a affirmé plus tôt sur France Inter le général Georgelin, "ce qui ne veut pas dire que tout sera terminé". La restauration de certaines chapelles sera "peut-être" encore en cours "et, bien sûr à l'extérieur il y aura des travaux", a-t-il prévenu.Quelque 833 millions d'euros ont été recueillis pour cette restauration grâce à une collecte nationale et internationale qui a rassemblé 340.000 donateurs.Si Mme Hidalgo, qui s'est dite "optimiste" sur les délais, et M. Macron mettent de côté leurs différends quand il s'agit de Notre-Dame, deux adversaires politiques, les leaders du Rassemblement national, Marine Le Pen, et de Debout la France!, Nicolas Dupont-Aignan, ont demandé sur Twitter: "Où en est l'enquête?"Deux ans après, les enquêteurs ont terminé leurs investigations dans les décombres, mais une longue phase d'analyse des prélèvements doit encore s'étendre sur plusieurs mois pour essayer de déterminer l'origine du sinistre.Des politiques saluent la reconstruction de Notre-DamePlusieurs responsables politiques essentiellement de droite et la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo ont salué jeudi la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris, ravagée il y a deux ans par un incendie. Marine Le Pen a demandé où en était l'enquête.La maire PS de Paris, Anne Hidalgo"Il y a 2 ans, #NotreDame était frappée par un terrible incendie. Alors que la restauration se poursuit, Paris lance un projet de valorisation patrimoniale et d'embellissement des abords de la cathédrale, afin de révéler toute la richesse du site et mieux accueillir les visiteurs" (Twitter).Sur le chantier, elle s'est dite "très impressionnée à la fois sur la partie technique de ce chantier monumental mais aussi par cette ferveur, cet engouement autour de ce défi regardé dans le monde entier". La présidente du RN et candidate à l'Élysée Marine Le Pen (Twitter) "Il y a deux ans, un violent incendie ravageait le cœur de la cathédrale #NotreDameDeParis. Nous gardons tous en mémoire ces images terribles qui nous ont affligés, mais aussi l'héroïsme des pompiers de Paris qui ont sauvé l'édifice. Où en est l'enquête ?" Le président des Hauts-de-France et candidat à l'Élysée Xavier Bertrand (Twitter) "Reconnaissance aux @PompiersParis qui sont intervenus à #NotreDameDeParis et à ceux qui ont contribué pour la reconstruction de ce joyau de notre patrimoine. #NotreDame est une part de l'âme française, merci aux artisans et aux métiers d'art qui permettront sa renaissance". La présidente de l'Ile-de-France Valérie Pécresse (Twitter) "Aujourd'hui 15 avril 2021, deux ans après le terrible incendie de #NotreDame, l'agence des espaces verts régionale offre 60 chênes de qualité exceptionnelle pour la rénovation de sa charpente. Déjà 10MEUR d'aides versées par l'Ile-de-France #EnsembleReconstruireNotreDame" Le chef de file des députés LR Damien Abad (Twitter) "Il y a 2 ans, un monument majeur de notre histoire prenait feu, un des plus éclatants témoignages de notre culture et de notre civilisation. Mais, comme un symbole, #NotreDameDeParis a su triompher des flammes ! #Reconstruction" Le numéro deux du RN Jordan Bardella (Twitter) "Le 15 avril 2019, nous avons dit qu'être Français est avoir eu le cœur qui saigne en voyant brûler Notre-Dame. Merci aux sapeurs-pompiers de Paris d'avoir sauvé l'une des plus belles créations de l'humanité, cette œuvre si française que nous saurons reconstruire et transmettre" Le maire LR de Nice Christian Estrosi (Twitter) "Il y a deux ans, l'incendie de #NotreDame de Paris a suscité un traumatisme et engendré une unité extraordinaire. Je veux rendre hommage aux pompiers engagés ce jour et porte l'espoir que cet édifice renaisse dans le respect de son histoire et son architecture". Le député et candidat à l'Élysée Nicolas Dupont-Aignan (Twitter) "Notre-Dame a tenu. Pas la patience des Français : où en est l'enquête deux ans après ? Nous voulons connaître la cause du brasier qui aurait pu détruire le symbole de nos racines, courageusement sauvé par nos pompiers. Au bout de deux ans, aucune piste... Que nous cache-t-on ?"
Il y a 4 ans et 55 jours

Deux ans après l'incendie, le sprint final pour terminer la sécurisation de Notre-Dame

Vingt-quatre mois après le sinistre toujours inexpliqué qui avait ému le monde, les dernières sécurisations sont menées tambour battant dans l'édifice gothique de 850 ans, et autour du trou béant qu'a laissé la flèche en s'écroulant.Les appels d'offres ont été engagés et les architectes multiplient les diagnostics permettant d'établir un calendrier précis des travaux à partir de l'hiver prochain, indique l'Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration, créé après l'incendie.Mille chênes débités sont en train de sécher pour reconstruire la flèche et la croisée du transept. Et deux chapelles-test ont été nettoyées, révélant les couleurs laissées par l'architecte Eugène Viollet-Le-Duc au XIXe siècle. Choisi par Emmanuel Macron pour conduire le chantier en cinq ans, Jean-Louis Georgelin, un général, a indiqué lors d'un déplacement début mars en forêt de Bercé (Sarthe) pour la sélection des premiers arbres: "Nous sommes dans les temps pour rendre la cathédrale au culte en 2024. Même s'il restera encore beaucoup de travail".Le président lui a confié l'Etablissement public, pour reconstruire la cathédrale "plus belle qu'avant". L'hypothèse d'un geste architectural contemporain pour remplacer la flèche détruite a été écartée.Entrelacs d'échafaudagesL'architecte en chef Philippe Villeneuve, grand connaisseur de la cathédrale, avait mis sa démission dans la balance si l'édifice n'était pas reconstruit à l'identique. Identique ne veut pas dire "fac-similé". Pour la charpente par exemple, il s'agira de choisir "un dessin proche" de la "forêt" disparue, précise-t-on à l'Etablissement public.Sur le chantier règne un entrelacs d'échafaudages, de filets et de bâches, où s'activent charpentiers, cordistes, échafaudeurs etc.L'heure est à la pose à 27 mètres de hauteur d'une soixantaine de cintres en bois sous les voûtes pour les consolider provisoirement. Un parapluie géant à la croisée du transept permettra d'assurer la mise hors d'eau.Depuis le démantèlement en décembre de l'échafaudage calciné qui entourait la flèche --40.000 tubes sciés un à un en six mois--, le danger d'un écroulement est écarté.La sécurisation a coûté 165 millions d'euros. Intempéries, travaux non prévus, interruptions (limitées) dues à la pandémie et surtout les nombreuses mesures et aménagements liés à la lutte contre les émanations de plomb ont provoqué quelques retards et surcoûts."L'école des bâtisseurs"Les équipes doivent passer par la douche et revêtir des combinaisons en raison des réglementations sur le plomb. Chaque jour.Le chantier, ou plutôt les chantiers (dont celui, très délicat, du nettoyage du grand orgue), ont mobilisé 15 métiers, 68 ateliers, 215 entreprises... Reste beaucoup à faire: sélection de pierres dans des carrières et leur pose pour remplacer celles endommagées, nettoyage de 24 chapelles, restauration des vitraux encrassés, reconstruction de la flèche, de la toiture, d'une partie de la voûte etc.Un partenariat avec une société de haute technologie, Autodesk France, permettra une modélisation numérique qui accompagnera toute la restauration et préparera les équipements indispensables (sécurité, ventilation, éclairage) dont aura besoin la cathédrale.Les quelque 833 millions d'euros de la collecte nationale et internationale (350.000 donateurs) sont encaissés ou font l'objet d'engagements fermes à 98%. Seront-ils suffisants pour les finitions au delà de 2024? Certains en doutent. Et il faudra anticiper un budget important pour l'entretien annuel.L'esprit d'équipe insufflé par le trio d'architectes, Philippe Villeneuve et ses deux acolytes, Rémi Fromont et Pascal Prunet, est salué unanimement et a eu raison de bien des obstacles. "Si le général est le chef d'orchestre, ils sont les premiers violons, à l'école des bâtisseurs du Moyen-Age", déclare Mgr Patrick Chauvet, archiprêtre de la cathédrale.
Il y a 4 ans et 56 jours

Travaux de toiture : quels sont les éléments indispensables à respecter?

A la base, il est important de noter que votre charpente joue un rôle stratégique dans la structure de votre maison. En effet, elle contribue à la protection des occupants tout en assurant votre confort intérieur. De plus, elle vous offre une grande qualité esthétique en rehaussant le design extérieur de votre immeuble. Autrement dit, il est crucial de réaliser de manière systématique vos travaux de toiture, si vous souhaitez garantir sa longévité. Toutefois, vous devez noter que ces opérations se passent en hauteur, ce qui nécessite un certain sang-froid et une grande capacité de résistance aux pressions. Par conséquent, il est recommandé de faire appel à une entreprise de couverture pour mener à bien votre chantier. Les normes à suivre Dans la pratique, les travaux de toiture sont des opérations très complexes qui demandent une grande maîtrise technique. En effet, une petite erreur de calcul peut engendrer de graves conséquences notamment pour les vieilles maisons. Leurs charpentes présentent une certaine fragilité qui risque d’entraîner facilement leur affaissement ou de favoriser les infiltrations dans le cas d’un toit-terrasse. Recourir au service d’une entreprise de couverture comme https://www.travaux-toiture-31.fr/ vous permet ainsi de bénéficier d’une prestation de qualité. Pour ce faire, ce professionnel respectera les étapes suivantes pour réaliser la rénovation de votre charpente : Evaluation de l’état de votre armature, Diagnostic de l’existant, Planification des interventions utiles en tenant compte de la forme du toit, l’ensemble des revêtements récupérable, le type d’isolation. Préparations du chantier (papiers administratifs…), Dépose de la toiture, Les formalités administratives indispensables Dans la plupart des cas, les propriétaires préfèrent garder les mêmes types de couvertures, en cas de remplacement lors des travaux de toiture. Dans cette optique, vous n’avez pas besoin remplir des formalités administratives. Autrement, faire appel à une entreprise de couverture qualifié vous offrira l’avantage de bénéficier de précieux conseils dans les trois scénarios qui suivent. Et ce, compte tenu du fait qu’ils visent particulièrement à transformer l’aspect esthétique ou la disposition de votre propriété. A savoir : la vision extérieure du revêtement ou de la charpente. En effet, quand vous décidez de changer de style de votre architecture ou d’implanter de nouveaux accessoires, il est nécessaire de faire une déclaration auprès votre localité. la surélévation ou l’ajout d’un étage nécessite une demande de permis de construire. le changement de la structure extérieure de toute votre bâtisse requiert l’obtention d’un visa de la part de votre mairie. Notamment si vous sous situez à proximité d’un monument et d’un parc régional. Il vous informera à l’occasion qu’il est impératif de prendre une autorisation pour l’utilisation d’un échafaudage durant l’intervention, particulièrement s’il vient empiéter sur la voie publique. L’importance de la performance de votre toiture De façon concrète, vous devez noter que votre revêtement assure en moyenne 30 % du maintien de la chaleur dans votre maison. De ce fait, si vos travaux de toiture sont mal faits, vous verrez votre facture d’énergie augmenter exponentiellement. Ainsi, faire appel à un professionnel en travaux de toiture vous permettra de profiter d’un bon système isolation par extérieur, si vous le souhaitez. Vous aurez aussi l’opportunité de bénéficier de plus d’espaces habitables tout en préservant votre confort thermique. Il peut également vous conseiller d’utiliser des panneaux photovoltaïques, pour vous laisser la possibilité de produire votre propre énergie renouvelable. Ce qui favorisera la diminution de votre consommation. De plus, vous aurez l’avantage d’avoir belle maison dotée d’une esthétique moderne et à la fois élégante.
Il y a 4 ans et 82 jours

Echafaudage : montage et démontage sans outil, par une seule personne

Depuis de nombreuses années, les professionnels du secteur exigent d’avoir un chantier toujours plus sécurisé, et des produits encore plus légers pour éviter les blessures des monteurs. Pour répondre à cette demande, LAYHER lance UNI-SAFE, un système, plus fiable, plus léger, plus économique, qui révolutionne le montage en Protection Collective. Inédit sur le marché de l’échafaudage, le système UNI-SAFE se compose de montants comportant deux clips rouges permettant de relier les éléments les uns aux autres, de lisses, de garde-corps d’extrémité légers et de boitiers.  Ces clips sont des crochets de sécurisation en plastique, durs et très résistants, qui fixent la structure en les fermant grâce à une simple pression de la main. Ainsi, ils permettent de réaliser un montage et un démontage sans outil et par une seule personne.  Avec ce système, il n’y a pas de sens imposé pour la mise en place de la protection collective, ce qui apporte une grande flexibilité sur le chantier. La largeur du plancher peut être également modulable, en utilisant les éléments Universel standard, et ainsi augmenter la largeur de la zone de travail pour un meilleur confort. La réalisation de garde-corps intérieur, proche des façades restaurées ne pose plus de problème grâce à son faible encombrement. 
Il y a 4 ans et 82 jours

Point chantier de Notre-Dame de Paris

Le 4 mars 2021, la Fondation du patrimoine et Total, mécène du chantier de Notre-Dame de Paris ont eu l’occasion de visiter le chantier. Patrick Pouyanné, Président-Directeur Général de Total, Guillaume Poitrinal, Président de la Fondation du patrimoine et quelques membres de leurs équipes ont été guidés par le Général Georgelin pour découvrir les avancées du chantier. Le 6 novembre 2019, le Groupe Total a signé une convention de 100 millions d’euros avec la Fondation du patrimoine pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Le versement de cette somme sera échelonné tout au long des travaux. La phase de consolidation et de sécurisation se poursuit et devrait s’achever à l’été 2021. Des opérations particulièrement délicates ont été réalisées et attestent aujourd’hui que la cathédrale est stabilisée et les dommages bien maîtrisés. Grâce à cet important travail, la programmation de la restauration peut être lancée. Les études de diagnostic, essentielles pour lancer la phase de restauration de la cathédrale, permettent d’établir un calendrier afin de respecter l’objectif de la réouverture de la cathédrale en avril 2024. Après le démontage de l’échafaudage sinistré, la pose d’un parapluie provisoire au-dessus de la croisée du transept devrait prendre fin ce mois-ci. L’enjeu sera de mettre hors d’eau le fossé situé à la croisée du transept à la suite de la chute de la flèche. Parallèlement, l’installation des échafaudages à l’intérieur de la cathédrale se poursuit afin de sécuriser les voûtes. Photo : © Jérémie Patrier-Leitus – Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris Source : Fondation du patrimoine  
Il y a 4 ans et 82 jours

Echafaudage mobile multidirectionnel pour le Centre Pompidou

Dans le cadre de la rénovation du Centre Pompidou, sous maîtrise d’œuvre de RENZO Piano Building Workshop, FMS RINGUE, spécialiste de la location, de la pose et dépose d’échafaudages, a été retenu aux côtés de Tubesca-Comabi, par la société MULTISPE afin de remplacer les nacelles existantes sur les 6 niveaux de l’édifice. Elles servent à nettoyer les tunnels de verre au quotidien. Le bureau d’études de Tubesca-Comabi a mis au point une solution technique innovante et sur-mesure qui répond aux contraintes de ce chantier hors-normes : un échafaudage suspendu destiné à être placé au-dessus des grands tunnels de verre du bâtiment. Le chantier de montage et démontage a démarré en février 2021 pour une durée de 6 mois. Grâce à la mobilisation de 6 monteurs qualifiés de chez FMS RINGUE, les nacelles actuelles seront entièrement démontées et remplacées par la société MULTISPE. La solution d’échafaudage retenue par le bureau d’études est le multidirectionnel M368 (8 positions), transformé également en échafaudage mobile. Son assemblage permet de répondre aux contraintes des formes géométriques du bâtiment et fait toute la spécificité et la technicité de ce chantier.
Il y a 4 ans et 104 jours

Vicat roule au carburant 100% végétal

Les véhicules Vicat sont désormais alimentés à l’Oleo100. [©Vicat] Nouvelle étape vers une mobilité durable pour le groupe Vicat. Avec la mise en service dans ses engins de carrière de l’Oleo100, un carburant alternatif 100 % végétal “made in France ” de type B100. Ce choix résulte d’une collaboration avec plusieurs acteurs : Bergerat Monnoyeur, concessionnaire exclusif de Caterpillar en France, et Saipol, filiale du groupe Avril. Le cimentier français est ainsi devenu le premier groupe industriel à choisir un B100 pour remplacer le gazole non routier (GNR) sur ses véhicules d’exploitation de carrières Des tests pour un carburant durable A partir de janvier 2020, Vicat avait lancé une campagne d’essais sur les engins de son site de Pérouges-les-Communaux (01). Aujourd’hui, deux chargeuses sont désormais alimentées en Oleo100. Et cumulent, à ce jour, près de 2 000 h de fonctionnement. Tout en conservant un taux de service identique au GNR. Il n’y a pas eu de pannes ou d’incidents en lien avec le carburant. Fort de ce premier retour d’expérience positif, Vicat souhaite poursuivre cette transition de l’ensemble de sa flotte d’engins vers cette énergie renouvelable. Deux autres carrières – Gilly-sur-Isère (73) et Les Houches (74) – alimentent maintenant leurs engins à l’Oleo100. La cimenterie de Montalieu (38) s’est aussi équipée avec l’installation d’une cuve Oleo100, mise à disposition par Saipol. D’ici à l’été 2021, Oleo100 sera déployé sur quinze autres sites en France, dont quatre cimenteries. Au total, ce carburant végétal devrait alimenter plus de 200 véhicules répartis à parts égales entre les carrières cimentières et les carrières de granulats. Avec cette accélération, le groupe Vicat vise une réduction de 6 300 t de CO2 équivalent/an, soit les émissions annuelles moyennes de 900 Français.
Il y a 4 ans et 117 jours

Vaste restauration de l’orgue de la cathédrale de Reims

La DRAC Grand Est va lancer la restauration de l’orgue de tribune de la cathédrale de Reims. Il s’agira de conserver l’esthétique musicale de l’instrument, tout en améliorant les performances sonores et en préservant l’intégrité de la tribune et des buffets anciens classés au titre des Monuments historiques. L’orgue étant destiné à être joué lors de manifestations importantes, cette restauration s’accompagne de la réalisation d’une console mobile. La partie instrumentale, de facture néoclassique, a été conçue par Victor Gonzalez en 1937, pour s’adapter aux buffets anciens, dont les dispositions sont héritées de remaniements successifs, les plus importants étant datés des XVe, XVIe et XVIIe siècles. Malgré un entretien régulier durant le XXe siècle, l’instrument devient difficilement jouable dès les années 1990, sa mécanique révélant ses faiblesses. Si une campagne mineure a été réalisée en 2010-2011 pour que l’orgue puisse être entendu lors des célébrations du 800e anniversaire de la cathédrale, l’instrument a beaucoup souffert de la sécheresse de 2018 et n’est aujourd’hui presque plus utilisé. 6 000 tuyaux sont à restaurer en 30 000 heures de travail et 42 mois de chantier. Les premiers mois du chantier seront consacrés aux études complémentaires destinées à préciser l’implantation de l’échafaudage et les descentes de charge. L’installation de ce dernier devrait débuter courant avril, s’en suivront des tests acoustiques, puis la dépose de la partie instrumentale, qui sera restaurée pendant plus d’un an et demi dans l’atelier du facteur d’orgues Pascal Quoirin, situé dans le Vaucluse. Sur place, le chantier ne sera pas pour autant inactif : les voûtes et les maçonneries environnantes feront l’objet d’un nettoyage, puis les buffets et la tribune d’un traitement sur place. Maîtrise d’ouvrage : Direction régionale des affaires culturelles Grand Est Maîtrise d’œuvre : Eric Brottier Restauration de la partie instrumentale : SARL Orgues Quoirin Restauration du buffet : Groupement EURL Atelier Gabriel Quoirin ; EI Alice Quoirin Photo : Michel Feck – Direction régionale des affaires culturelles Grand Est  
Il y a 4 ans et 130 jours

Attaqué par les embruns, le Mont-Saint-Michel en travaux pour trois ans

"Le Mont-Saint-Michel, dans toute son histoire, ça a toujours été une lutte incessante contre les effets météorologiques. Il y a toujours eu des infiltrations. On va essayer à nouveau de les limiter et puis dans 50 ans, dans 100 ans, il faudra recommencer parce que c'est un éternel recommencement pour conserver et transmettre ce magnifique édifice à nos générations futures", explique François Jeanneau, architecte en chef des Monuments historiques, interrogé par l'AFP sur l'échafaudage 46 mètres de haut.L'abbaye française classée au patrimoine mondial de l'Unesco ne perd rien de sa superbe quand on l'approche depuis la côte, l'essentiel des travaux ayant lieu au nord, côté mer, sur un échafaudage qui va se déplacer au fil du temps.Il s'agit avant tout de "nettoyer les façades très encrassées par les lichens, les mousses, les algues qui attaquent la pierre" et de "remplacer des blocs de pierre qui sont en mauvaise état et pourraient chuter", précise M. Jeanneau.Il était donc "urgent d'intervenir", résume le haut fonctionnaire, qui date les derniers travaux de restauration de la deuxième moitié du XIXe, entre 1862 et 1885.Leur lancement a été presque aussi pharaonique que dût l'être l'édification de l'abbaye sur un rocher qui redevient une île lors des grandes marées. Il a fallu déjà 600 allers-retours en hélicoptère entre la côte et le Mont pour acheminer, de début novembre à fin décembre, les 90 tonnes d'échafaudage."Gigantisme"Ces travaux "sont exceptionnels par leur gigantisme. On est sur un rocher. Sur ce rocher a été construite une abbaye et contre cette abbaye, on a un échafaudage de la hauteur de l'Arc de Triomphe", souligne Thomas Velter, administrateur du monument le plus visité de France, hors région parisienne.Au total près de 100 m3 de pierres seront remplacés et 8.500 m2 de façade nettoyés.Depuis deux semaines, les maçons-tailleurs de pierre ont en toute discrétion commencé à redonner au granit sa couleur sable d'origine. Mais dans les rues quasi désertes d'un Mont-Saint-Michel aux devantures closes en raison du Covid-19, le silence continue à dominer.Il faut prendre l'ascenseur monté dans l'échafaudage et s'élever jusqu'au quasi sommet de la Merveille pour commencer à percevoir le son des travaux."On passe l'Algimousse, un produit à la fois curatif et préventif. On laisse agir normalement 12h et après on amène de l'eau avec les brosses et on arrive à décaper. Après on rejointe", explique Philippe Besnard, chef du chantier de nettoyage mené par Degaine, filiale de Vinci.Les pierres les plus attaquées sont marquées d'une tache rouge avant d'être changées. "C'est au nettoyage qu'on voit si c'est vraiment sableux, s'il y a beaucoup de grain qui s'en va. Et quand on tape si ça sonne un peu creux", précise M. Besnard alors qu'une dizaine d'ouvriers s'affairent autour des hauteurs du monument. 25 pierres ont déjà été enlevées, dit-il."Ce n'est pas un granit très dur. Ce n'est pas un granit des profondeurs c'est un granit de surface, de décomposition, qui pour beaucoup venait des îles Chausey qui ne sont pas loin", précise François Jeanneau.Outre le nettoyage des pierres, des travaux de charpente sont également prévus. Des ardoises de l'une des dernières carrières d'ardoises françaises, à Travassac, seront acheminées de Corrèze. Et quelques vitraux seront aussi restaurés.Fermée depuis octobre en raison du Covid-19, l'abbaye sera ouverte au public pendant les travaux, dès que les mesures sanitaires liées à l'épidémie le permettront.
Il y a 4 ans et 159 jours

Construction du poste de sécurité de l'hôpital de Montreuil (93) : un cube de bois habillé de verre rouge

Le prolongement vers l'est de la ligne 11 de métro parisien constitue un atout pour le Centre Hospitalier Intercommunal André Grégoire de Montreuil (93) qui se verra desservi par une nouvelle station, juste devant l'établissement. Mais, parmi les contreparties, avant le lancement des travaux du métro mi-2016, l'hôpital a dû notamment déplacer son poste de sécurité incendie et anti-malveillance situé dans l'emprise du chantier et en construire un nouveau.Lauréate du concours d'architecture lancé au cours du premier trimestre 2014, l'agence SCP Truelle Architectes est rompue aux projets de construction et de rénovation dans le secteur médico-social dont elle a fait sa spécialité : l'essentiel de son activité porte sur le logement social, les établissements hospitaliers, les maisons de retraite…Construire en filière sèche« Pour ce petit bâtiment d'environ 150 m2 nous avons choisi la forme simple d'un cube, décrit Elisa Bellec, architecte associée de l'agence Truelle. Ce qui a guidé nos réflexions, outre de répondre du mieux possible aux attentes de l'hôpital, a été de penser un bâtiment d'accès bien visible, repérable de loin, identifiant clairement l'entrée de l'hôpital. Ce cube est prolongé par un portique qui vient se raccorder à un bâtiment existant. » La nouvelle construction se rend encore plus visible en se teintant de rouge.Dès la phase du concours, l'option de construire en filière sèche est privilégiée afin de réduire la durée d'intervention sur le site ainsi que les nuisances de chantier. Le choix se porte sur une ossature bois à faible empreinte carbone en panneaux de bois lamellé croisé (CLT cross laminated timber). Cette structure préfabriquée de deux niveaux sera posée sur les fondations en béton par l'entreprise Paris Charpente en seulement trois jours, à l'aide d'une grue mobile.La façade sera revêtue d'un matériau brillant, robuste et de qualité. Dès la conception, Elisa Bellec s'adresse à Sto, dont elle apprécie le système de façade StoVentec Glass. Ce bardage ventilé à fixations invisibles est constitué de panneaux de verre émaillé de 6 mm d'épaisseur collés sur une plaque en mortier de granulats composé de verre recyclé. Les panneaux sont mis en œuvre par emboîtement de rails agrafes en aluminium sur un réseau de rails horizontaux en aluminium.Pour animer la forme simple du bâtiment, l'architecte choisit dans la gamme de couleurs proposée par Sto trois teintes de rouges (RAL 3016, 3020, 3013) et un orange (RAL 2000) pour le portique. Les panneaux de tailles et de couleurs différentes sont répartis de façon aléatoire sur la façade. Au total, ce sont 227 panneaux tous différents qui seront livrés par Sto.Une première sur ossature boisLe titulaire du lot Bardage est Socateb, une entreprise expérimentée qui connaît bien les produits Sto. Une chance pour cette première mise en œuvre de StoVentec Glass sur un support en bois. En effet, l'Avis Technique du système n'admettait alors que des supports en maçonnerie ou en béton banché.« Pour adapter la mise en œuvre du StoVentec Glass sur une structure bois CLT, nous avons échangé avec le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), le bureau de contrôle et le service technique de Sto », explique Antoine Monnot, responsable du département bardage-vêture de Socateb.La technique mise au point sur ce chantier est désormais intégrée dans l'Avis Technique du système.A partir d'un échafaudage tubulaire autostable, qui ne présente aucune fixation sur la structure bois, est d'abord mis en place un pare-pluie qui enveloppe tout le bâtiment. Il évite la migration de l'humidité dans le bois. Des chevrons de 188 mm x 75 mm sont ensuite fixés verticalement avec un entraxe de 60 cm à l'aide de vis traversantes.« Ces dimensions imposantes sont nécessaires pour respecter une lame d'air de 2 cm », justifie Antoine Monnot.En effet, des panneaux de laine de verre de 16 cm d'épaisseur sont glissés entre ces montants et maintenus à l'aide de griffes Dentifix (Etanco), évitant ainsi de perforer le pare-pluie. La face avant des chevrons est protégée par une bande EPDM.Les rails en aluminium supports du parement peuvent alors être vissés sur la structure verticale en chevrons, selon l'entraxe défini par Sto en fonction des spécificités du chantier. Il reste enfin à agrafer les 227 panneaux de verre émaillé en respectant scrupuleusement le calepinage et en réservant des joints ouverts de 8 mm entre panneaux. Après le réglage de l'horizontalité du rail support, chaque panneau est ajusté par des vis de réglage et est bloqué à l'aide de goupilles.« Le plus compliqué a été le réglage des panneaux dans le plan, car les montants en bois fixés directement sur l'ossature en OSB ne laissent aucune marge, observe Antoine Monnot. Nous avons dû parfois raboter ou caler pour assurer un alignement parfait. »Les encadrements des fenêtres sont habillés de tôle d'aluminium laquée rouge ou orange, comme les couvertines des acrotères.Les 295 m2 de façade ont été réalisés en un mois par trois compagnons de l'entreprise Socateb.Après quatre ans, les occupants du poste de sécurité se disent très satisfaits du confort thermique de leur nouveau lieu de travail. Le couple construction bois – bardage StoVentec Glass se montre efficace.
Il y a 4 ans et 169 jours

Dans quels cas utiliser une mini pelle ?

Mini pelles VS pelles standardIl est important de comprendre les différences entre les mini pelles et les pelles standards.Les petites machines présentent certains avantages par rapport aux pelleteuses, qui les rendent mieux adaptées à certains travaux. Les pelles standard restent néanmoins des machines utiles dans certaines circonstances.Les mini pelles sont plus légères et plus petites, ce qui signifie qu'elles laissent moins de traces et endommagent moins le sol. La nature compacte des petites machines par rapport à celles plus grandes les rend beaucoup plus faciles à utiliser sur des sites très fréquentés. La grande taille d'une pelleteuse peut causer des problèmes pour les travaux de terrassement dans un parking, par exemple, tandis qu’une mini pelle peut s’y déplacer facilement.Un autre avantage de la taille réduite de ces machines est que vous pouvez facilement les transporter d'un site à l'autre. Vous pouvez charger votre mini pelle à l'arrière d'un camion ou d'une remorque utilitaire pour un transfert rapide entre les sites.Pour quels chantiers ?La mini pelle est adaptée à plusieurs types de chantiers. Elle est principalement utilisée pour des chantiers chez des particuliers où l’espace est restreint. Toutefois, sur de plus gros chantiers, où certaines zones sont difficiles d’accès, ou dans le cas où il est nécessaire d’agir rapidement, les mini pelles sont idéales.Réparation de canalisations d'égoutPour les travaux de base de réparation de canalisations d'égouts, une petite machine constitue souvent une meilleure option qu'une machine de grande taille. La raison pour laquelle vous pouvez opter pour une mini pelle pour la réparation des égouts est qu’elles font le même travail à un prix inférieur à celui des grosses machines. La seule chose que vous devez évaluer est la profondeur de fouille nécessaire pour la canalisation d'égout afin de vous assurer qu'elle est à la portée d'une mini pelle.Installation de piscinesDe nombreux Français aiment faire installer une piscine chez eux. La nature compacte des mini pelles les rend parfaites pour naviguer dans un jardin qui ne conviendrait pas à une plus grande pelleteuse.Chasse-neigeLes employés municipaux doivent souvent déblayer les routes couvertes de neige pendant les mois les plus froids de l'année. Les mini pelles peuvent déblayer la neige sans effort à l'aide d'une lame spéciale. La taille compacte et le faible poids de ces machines leur permettent de se déplacer plus rapidement sur les routes enneigées.Démolition de petites structuresDe nombreux chantiers nécessitent la démolition de petites structures. Un bon moyen de détruire sans effort toute petite structure est d'utiliser une mini pelle. Ces machines sont adaptées à cet usage, car elles peuvent se déplacer efficacement dans de petites zones et s'insérer dans des espaces restreints. Sans mini pelle, vous devrez peut-être démolir des structures avec des outils manuels, ce qui prend beaucoup plus de temps.Creuser des trousIl faut parfois creuser des trous dans les zones difficiles d'accès des sites sur lesquels on peut travailler. Les équipes de construction ont souvent recours à des méthodes lentes pour creuser dans ces zones, notamment à l'aide de pelles ou d'outils manuels à l'ancienne. La capacité d'une mini pelle à se déplacer dans les zones difficiles des sites en fait la machine idéale pour creuser des trous dans des endroits particulièrement difficiles à atteindre.Découvrir la mini-pelle chez MachineryZone.
Il y a 4 ans et 172 jours

Un cube de bois habillé de verre rouge

Le nouveau bâtiment abritant le poste de sécurité de l’hôpital de Montreuil en Seine-Saint-Denis a été construit en bois et ses façades habillées d’un bardage ventilé en verre émaillé StoVentec Glass rouge éclatant. L’option de construire en filière sèche a été privilégiée afin de réduire la durée d’intervention sur le site ainsi que les nuisances de chantier. Le choix s’est porté sur une ossature bois à faible empreinte carbone en panneaux de bois en CLT. Dès la conception, Elisa Bellec, architecte associée de l’agence Truelle qui a obtenu le chantier s’est adressé à Sto. Le bardage ventilé StoVentec Glass à fixations invisibles est constitué de panneaux de verre émaillé de 6 mm d’épaisseur collés sur une plaque en mortier de granulats composé de verre recyclé a été choisi. Pour animer la forme simple du bâtiment, l’architecte a choisi dans la gamme de couleurs proposée par Sto trois teintes de rouges (RAL 3016, 3020, 3013) et un orange (RAL 2000) pour le portique. Les panneaux de tailles et de couleurs différentes ont été répartis de façon aléatoire sur la façade. Au total, ce sont 227 panneaux tous différents qui seront livrés par Sto. Le titulaire du lot Bardage est Socateb, une entreprise expérimentée qui connaît bien les produits Sto. Une chance pour cette première mise en oeuvre de StoVentec Glass sur un support en bois car l’Avis Technique du système n’admettait alors que des supports en maçonnerie ou en béton banché. « Pour adapter la mise en oeuvre du StoVentec Glass sur une structure bois CLT, nous avons échangé avec le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), le bureau de contrôle et le service technique de Sto », explique Antoine Monnot, responsable du département bardage-vêture de Socateb. La technique mise au point sur ce chantier est désormais intégrée dans l’Avis Technique du système. A partir d’un échafaudage tubulaire autostable, qui ne présente aucune fixation sur la structure bois, est d’abord mis en place un pare-pluie qui enveloppe tout le bâtiment. Il évite la migration de l’humidité dans le bois. Des chevrons de 188 mm x 75 mm sont ensuite fixés verticalement avec un entraxe de 60 cm à l’aide de vis traversantes. « Ces dimensions imposantes sont nécessaires pour respecter une lame d’air de 2 cm », justifie Antoine Monnot. En effet, des panneaux de laine de verre de 16 cm d’épaisseur sont glissés entre ces montants et maintenus à l’aide de griffes Dentifix (Etanco), évitant ainsi de perforer le pare-pluie. La face avant des chevrons est protégée par une bande EPDM. Les rails en aluminium supports du parement peuvent alors être vissés sur la structure verticale en chevrons, selon l’entraxe défini par Sto en fonction des spécificités du chantier. Il reste enfin à agrafer les 227 panneaux de verre émaillé en respectant scrupuleusement le calepinage et en réservant des joints ouverts de 8 mm entre panneaux. Après le réglage de l’horizontalité du rail support, chaque panneau est ajusté par des vis de réglage et est bloqué à l’aide de goupilles. « Le plus compliqué a été le réglage des panneaux dans le plan, car les montants en bois fixés directement sur l’ossature en OSB ne laissent aucune marge, observe Antoine Monnot. Nous avons dû parfois raboter ou caler pour assurer un alignement parfait. » Les encadrements des fenêtres sont habillés de tôle d’aluminium laquée rouge ou orange, comme les couvertines des acrotères. Les 295 m2 de façade ont été réalisés en un mois par trois compagnons de l’entreprise Socateb. Maître d’ouvrage : Centre Hospitalier Intercommunal André Grégoire Maître d’oeuvre : SCP Truelle Architectes Entreprise générale : Paris Charpente Entreprise façade : Socateb Date du chantier : 2016
Il y a 4 ans et 173 jours

Archéologie du bâti sur l’une des plus anciennes églises alsaciennes

L’église abbatiale Saint-Trophime à Eschau, dans les environs de Strasbourg, compte parmi les plus anciens édifices religieux encore conservés en Alsace. Attestée dès 778, cette église est reconstruite à la fin du Xe siècle et bénéficie aujourd’hui d’un programme de rénovation porté par la Commune d’Eschau avec le soutien notamment de la Fondation du Patrimoine. Dans le cadre de ces travaux et sur prescription de l’Etat, une intervention archéologique sur les façades extérieures et les toitures de l’édifice, est réalisée par une équipe de l’Inrap. Cette opération qui vise à retracer l’histoire architecturale de l’édifice durera une trentaine de jours au total. Elle se déroulera en trois phases, en décembre 2020, au printemps et durant l’été 2021, suivant l’avancement des travaux. L’intervention archéologique en cours à Eschau suit la méthodologie propre aux études de bâti. Le décrépissage de l’édifice et la présence d’un échafaudage permettent d’accéder au plus près des maçonneries et d’en comprendre les agencements. Grâce à la photogrammétrie, une méthode d’enregistrement numérique, un relevé photographique redressé de l’ensemble des façades mises à nu peut être réalisé. Ces relevés servent ensuite de base graphique sur lesquelles sont replacées les observations et les descriptions minutieuses réalisées sur les maçonneries. Ces observations visent à détecter les différentes phases d’évolution du bâtiment et, au sein de chacune de ces phases, d’en décrire les caractéristiques constructives (types de matériaux employés, modes de mise en œuvre…) et stylistiques. La datation de ces différentes phases résulte du croisement entre ces caractéristiques, les données historiques et les éventuelles analyses complémentaires comme la dendrochronologie. Le décrépissage a révélé la présence d’éléments en bois ancrés dans les murs : des boulins, correspondants aux reliquats des échafaudages ayant servi à la construction de l’édifice, mais également les châssis de deux fenêtres. Les prélèvements dendrochronologiques réalisés sur ces éléments devraient permettre de dater avec précision les phases incluant ces bois. L’étude archéologique en cours a d’ores et déjà permis d’identifier au moins cinq phases principales dans l’évolution de l’édifice et notamment d’appréhender la phase de construction attribuable à l’an Mil. Celle-ci se caractérise par une maçonnerie réalisée en petit moellons de matériaux hétérogènes (calcaire, grès, basalte…) qui réemploie ponctuellement des terres cuites architecturales d’époque gallo-romaine. Les chaînages d’angle sont réalisés avec des blocs de grès rose taillés, finement décorés ; ils sont caractéristiques du début du XIe siècle. Plusieurs fenêtres régulièrement disposées et ultérieurement murées ont également été identifiées. Les relevés photogrammétriques permettront de proposer une restitution de l’état d’origine des façades et de la distribution des ouvertures. Deux importantes phases de remaniement du bâtiment sont attribuables au XIIe siècle et à l’époque gothique (reconstruction de la façade ouest de la nef aux XIIIe-XIVe siècles). Des modifications plus ponctuelles ont également eu lieu à l’époque moderne (XVIe- XVIIIe siècles). En 2021, la poursuite de l’étude concernera le chœur, les deux bras du transept et les bas-côtés de l’Abbatiale et permettra de finaliser cette étude d’archéologie du bâti. Aménagement : Commune d’Eschau Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Grand-Est) Recherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Boris Dottori, Inrap Photo : Boris Dottori, Inrap
Il y a 4 ans et 174 jours

Île-de-france : LAYHER participe à la restauration des trois grands édifices – Publi-information

 Communiqué de presse  Décembre 2020      LAYHER, marque leader dans le secteur de l’échafaudage, est un acteur incontournable dans la rénovation des bâtiments historiques en Ile-de-France. L’entreprise participe actuellement à la restauration de trois édifices emblématiques : le Tribunal de Commerce, l’Église Saint-Pierre de Montrouge et la Maison d’éducation de la Légion d’Honneur.  TRIBUNAL DE COMMERCE  Situé dans le 4ème arrondissement de Paris, sur l’île de la Cité, le Tribunal de Commerce a ouvert ses portes en 1866, dessiné par l’architecte Antoine-Nicolas Louis Bailly à l’initiative de Napoléon III. Le corps principal de l’édifice est couronné d’un dôme de 45 mètres de hauteur renfermant une coupole habillée de grandes fenêtres oeil de boeuf.  En 2020, LAYHER a été sélectionnée afin de participer à la restauration du dôme et de la coupole vieux de plus de 150 ans. Un total de 150 tonnes a été disposé avec 30 tonnes dédiées à l’intérieur du bâtiment et 120 tonnes sur l’extérieur.  Un échafaudage a été installé dans l’escalier pour réaliser la réfection des murs intérieurs et les travaux sur la coupole.  Sur l’extérieur du bâtiment, un escalier d’accès à la toiture et une sapine de levage pour l’approvisionnement du matériel ont été mis en place. Une plateforme d’accès à la naissance du dôme et un échafaudage sur sa périphérie permettent de réaliser les travaux de réfection des pierres.  Afin de cacher les travaux sur le dôme, l’échafaudage extérieur a été réhaussé de 8 mètres pour permettre la mise en place d’une bâche décorative.      ÉGLISE SAINT PIERRE DE MONTROUGE  L’église Saint-Pierre de Montrouge est située dans le 14ème arrondissement de Paris, dans le quartier du Petit-Montrouge. Dans un style néo-roman, elle a été construite entre 1863 et 1872 sur les plans de l’architecte Joseph Auguste Émile Vaudremer.  Au fil des années, les pierres constituant la flèche du clocher se sont détériorées, nécessitant une dépose complète de celles-ci pour une restauration à l’identique avec la pierre de Sainte-Maximim. L’enjeu du chantier de restauration est de reconstruire à l’identique la flèche du clocher qui culmine à 58 mètres de hauteur.  Un échafaudage de la gamme LAYHER Universel LightWeight bâché et un lift ont été placés le long de la tour de 0 à 38 mètres afin d’accéder à la partie supérieure. Autour de la flèche, de 38 à 58 mètres, est disposé un échafaudage non bâché pour réaliser les travaux de dépose/repose des pierres. Pour cela, LAYHER a mis en place un pont roulant inédit en échafaudage.    MAISON D’ÉDUCATION DE LA LÉGION D’HONNEUR  Construite au 18ème siècle, la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur de Saint-Denis, anciennement monastère, a été transformée en maison pour l’instruction des filles par Napoléon. Elle occupe les bâtiments de l’ancienne abbaye royale, à proximité de la Basilique de Saint-Denis en plein coeur de la ville.  Dans le cadre du chantier de restauration de la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur, LAYHER a été chargée par le Fond de Dotation Légion d’Honneur Éducation d’installer une structure en parapluie et les différentes installations du chantier tels que les lift, palissades, installations électriques, et base vie.  Le chantier concerne la restauration de la toiture de l’aile sud et du pavillon central de l’ancienne abbaye royale de Saint-Denis. Il a été réalisé par Échafaudage Service, filiale de Layher SAS spécialisée dans les montages complexes, et engage environ 180 tonnes de matériel.  L’étude réalisée par le Bureau d’étude LAYHER a permis la mise en oeuvre de structures limitant l’impact des travaux sur l’exploitation de l’édifice.  Le matériel Universel LightWeight a été utilisé pour réaliser les sapines d’appuis des planchers de travail et du parapluie. Ce matériel a été installé au droit des trumeaux en pierre afin de conserver l’éclairage naturel du bâtiment.  Le parapluie Couvralu permet de protéger les ouvriers et l’édifice des intempéries tout en conservant une bonne luminosité, facteur indispensable des chantiers de restauration. Avec une portée de 20 mètres et couvrant une surface de 1520 m², le parapluie a été conçu sur deux niveaux avec des versants asymétriques permettant de limiter les prises au vent sur les ouvrages.  Un monte-charge a également été installé par LAYHER pour faciliter l’approvisionnement des matériaux en hauteur.  À propos de Layher  Implantée en France depuis 1980, la société Layher a révolutionné le monde de l’échafaudage par des solutions novatrices et sécuritaires. Elle met à la disposition de ses clients un stock location de 40 000 tonnes de matériel reparti sur ses 10 dépôts, mais aussi un bureau d’étude composé d’experts, consulté pour les chantiers les plus techniques (Palais de Justice, Banque de France, Grand Palais…). Eric Limasset, Président de Layher SAS, filiale du leader européen de l’échafaudage, assure également la responsabilité des filiales Layher Formation, Layher Maroc et Layher Côte d’Ivoire.  www.layher.fr 
Il y a 4 ans et 187 jours

Fin du démontage de l’échafaudage calciné de Notre-Dame de Paris

Le démontage de l’échafaudage calciné qui entourait initialement la flèche de Notre-Dame de Paris s’est achevé le 24 novembre 2020 en présence de la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot. La dépose qui avait commencé le 8 juin 2020 a donc duré moins de 6 mois. Constitué de 40 000 pièces d’un poids de 200 tonnes, dont la moitié à plus de 40 mètres de haut, il représentait une grave menace pour la cathédrale. L’installation d’un deuxième échafaudage a permis aux cordistes de descendre au coeur de l’échafaudage incendié dont les pièces étaient soudées entre elles par la chaleur. Les échafaudeurs ont démonté les parties accessibles à l’aide d’une nacelle, lorsque le temps le permettait, les cordistes sont descendus au plus près des parties calcinées pour découper les tubesavec des scies sabres. Les pièces ont été évacuées grâce à une grue de 80 mètres. Photo : © Édouard Bierry / ministère de la culture  
Il y a 4 ans et 194 jours

Notre-Dame, une dépose de l’échafaudage sinistré délicate

Lors de l’incendie du 15 avril 2019, la flèche de la cathédrale Notre-Dame de Paris était en restauration. L’échafaudage installé à cet effet a résisté à l’effondrement de la flèche mais a été déformé par la chaleur de l’incendie. Constitué d’un enchevêtrement de 40 000 pièces pour un poids de 200 tonnes, dont la moitié à plus de 40 mètres de haut, il représentait une grave menace pour la cathédrale. Cette opération, inédite et particulièrement complexe, a été minutieusement préparée. La dépose de l'échafaudage vient de s'achever.
Il y a 4 ans et 194 jours

Cathédrale Notre-Dame de Paris, une dépose de l’échafaudage délicate

Lors de l’incendie du 15 avril 2019, la flèche de la cathédrale Notre-Dame de Paris était en restauration. L’échafaudage installé à cet effet a résisté à l’effondrement de la flèche mais a été déformé par la chaleur de l’incendie. Constitué d’un enchevêtrement de 40 000 pièces pour un poids de 200 tonnes, dont la moitié à plus de 40 mètres de haut, il devait être démonté car, fragilisé, il représentait une grave menace pour la cathédrale. Cette opération, inédite et particulièrement complexe, a été minutieusement préparée. La dépose vient tout juste de s'achever.
Il y a 4 ans et 194 jours

L'échafaudage sinistré de Notre-Dame de Paris est désormais totalement démonté

CHANTIER. Les opérations de dépose de l'échafaudage sinistré de Notre-Dame de Paris, témoin de l'incendie de la cathédrale le 15 avril 2019, se sont achevées ce 24 novembre 2020. Il aura fallu presque 6 mois pour démonter les quelques 40.000 pièces pesant 200 tonnes.
Il y a 4 ans et 201 jours

Les carrières de pierre vont rouvrir pour Notre-Dame

Le gouvernement a présenté une ordonnance qui permettra de "se dispenser d'un certain nombre de procédures et d'obligations pour rouvrir ou étendre de nouvelles carrières de pierre", ce qui "facilitera considérablement les travaux de restauration de Notre-Dame" qui a "un besoin important de pierre de taille", a-t-il précisé."Cet engagement est une nouvelle preuve de notre volonté de faire tout ce qui est nécessaire pour faciliter les travaux de restauration et atteindre l'objectif fixé par le président de la République d'achever le chantier de reconstruction de cette cathédrale si chère aux Français en cinq ans", a-t-il conclu.Actuellement, des ouvriers perchés à des dizaines de mètres de hauteur démontent le gigantesque échafaudage métallique et ses 35.000 tubes de métal, un délicat travail de fourmi qui devrait être terminé à Noël et permettra de lancer la reconstruction.Après l'incendie survenu dans la soirée du 15 avril 2019, le chef de l’État avait annoncé vouloir une reconstruction en cinq ans avec une réouverture en 2024.
Il y a 4 ans et 209 jours

Layher, 75 ans et toujours tourné vers l’avenir

Eric Limasset, président de Layher France, présente l’Uni-Safe. [©ACPresse] L’année 2020 a été particulière à plusieurs niveaux pour Layher. Déjà, l’échafaudeur allemand fête ses 75 printemps. Avec 27 M de ml de tubes d’acier produits chaque année, une présence sur 5 continents et 2 000 collaborateurs, le groupe a su traverser les âges et rester innovant. Pour preuve, Layher France, premier client du groupe, avait présenté pas moins de quatre nouveautés produits à l’occasion du dernier Batimat. Puis, dès mars 2020, la crise sanitaire et le premier confinement mettent en pause le monde du bâtiment et de nombreux secteurs. Si la filiale française a dû réduire ses activités, elle est tout de même restée opérationnelle. « Notre siège et nos dépôts étaient ouverts sur rendez-vous, explique Eric Limasset, président de Layher France. Et près de 40 % de notre masse salariale était en chômage partiel. Puis, les chantiers sont repartis assez tôt. La 2e quinzaine d’avril, 90 % de nos activités bâtiment avaient repris. » Entre innovation et formation Les secteurs de l’industrie, de l’événementiel ou de l’aéronautique restent encore peu dynamiques pour Layher France. Pour le moment, l’échafaudeur tient ses objectifs. « Nous avons beaucoup performé en vente. Nos clients ont profité des aides pour renouveler ou acheter leur matériel. A voir comment les entreprises vont être affectées sur les mois d’octobre, novembre et décembre. Et quelles conséquences sur nos activités ? » L’équipe française reste confiante pour 2021. « Il faut redynamiser nos façons de travailler. Nous investissons en temps sur l’innovation et pour prendre de nouvelle part de marché… » Un état d’esprit mis en pratique dès le début du confinement. En effet, à travers sa filiale Layher Formation, l’industriel a mis en place des formations à distance. Au total, les 50 webinaires ont permis de réunir près de 3 000 participants. Cette formule pourrait être pérennisée, quand cela est possible, dans le cadre de préparation de stage. Puis, fort de son partenariat avec le Sfece (Syndicat français de l’échafaudage, du coffrage et de l’étaiement) au lycée professionnel de la Rochette, Layher France compte accompagner l’ouverture de nouvelles classes d’échafaudeurs en 2021 dans tous les lycées spécialisés dans les métiers du bâtiment. Et ce, grâce à un accord avec le ministère de l’Education nationale sur un projet de Mention complémentaire. « Les entreprises ont du travail, mais il y a toujours un problème de ressource, de main-d’œuvre. La formation et l’accompagnement des jeunes sont un moyen d’y répondre. » Aussi, durant le mois d’avril, Layher France a travaillé sur la traduction de ses solutions sur Revit. Et depuis septembre, l’industriel est passé en “FullBIM”. Il a déjà réalisé cet été l’intégration du chantier Rollercoaster de Disneyland Paris avec cette technologie. Solution de protection collective Autre avancée vers la digitalisation de la profession, Layher France s’est doté depuis septembre d’un nouveau service de relevés par drone. « C’est un moyen de modéliser les chantiers, d’avoir un rendu précis et d’optimiser le temps de préparation du plan de calepinage. Cela permet aussi de ne pas ramener du matériel inutile. Ce service s’adapte très bien aux Monuments historiques. » Enfin Layher France lance un nouveau produit : l’Uni-Safe. Imaginée pour le marché de l’échafaudage, la solution répond au montage pour la Protection collective. Elle se compose de montants, de lisses, de garde-corps d’extrémité plus légers et de boîtiers comportant deux clips rouges, permettant de relier les éléments les uns aux autres. Ce système de clips en crochets de sécurisation permet un montage et un démontage sans outils et par une seule personne. Uni-Safe est plus compact qu’un matériel classique. Et nécessite un volume de logistique divisé par deux et moins d’espace de stockage sur chantier.
Il y a 4 ans et 217 jours

Echafaudage : Layher veut révolutionner la protection collective

Layher France, filiale du leader mondial des systèmes d’échafaudage a développé de nouveaux services cette année et propose un système de protection facile à monter et économique.
Il y a 4 ans et 228 jours

Layher France lance de nouveaux services

Malgré un contexte difficile, le fabricant d’échafaudage propose plusieurs nouveautés pour cette fin d’année.
Il y a 4 ans et 229 jours

Appel à projets : création de deux œuvres artistiques éphémères pour cacher les travaux du ministère de la Culture

Le ministère de la Culture met en œuvre le « projet Camus » de regroupement de ses services d’administration centrale sur trois sites au lieu de sept actuellement. Dans ce cadre, le ministère entreprend des travaux de modernisation et lance un marché pour la réalisation de deux créations artistiques éphémères sur les habillages extérieurs des installations de chantiers de l’hôtel de Valois et de l’immeuble des Bons-Enfants (Paris 1e). Chacune des deux œuvres sera installée sur la voie publique, le temps des travaux, de janvier à novembre 2021. Cette commande a aussi pour but de montrer la vitalité de la création visuelle contemporaine. Périmètres : Hôtel de Valois : deux palissades de chantier et habillage d’un échafaudage à partir de janvier 2021 (bâche tendue). Immeuble des Bons-Enfants : une palissade de chantier à partir de juin 2021 (installations situées à proximité, sans co-visibilité). Déroulé de la procédure : 1e phase : candidature sur dossier, sélection de 3 dossiers mi-novembre, 2e phase : rendu des offres mi-décembre, sélection du lauréat : courant décembre 2020 pour une installation en janvier 2021. Dépôts des candidatures sur www.marches-publics.gouv.fr Numéro de consultation : 2020-24-CAMUS Photo : ministère de la Culture, immeuble des Bons-Enfants, photographe : Mehrak Hans Lucas
Il y a 4 ans et 231 jours

Tubesca-Comabi présente le MECA MODUL®, "le bon calcul"

Après le lancement du mini échafaudage roulant, Nano'Tower, et de l'escalier public, Publistep, en 2019, l'entreprise dévoile un tout nouveau concept, le Meca Modul®, « le bon calcul ».Face à la diversité des environnements industriels, les missions de maintenance sont extrêmement complexes et exposent les opérateurs à des risques variés. C'est pour résoudre ces problématiques et répondre aux besoins des professionnels de la maintenance que Tubesca-Comabi a imaginé le Meca Modul.Des solutions qui s'adaptent aux utilisateurs et à leur environnementFabriqués en France, en aluminium, comme la plupart des produits de Tubesca-Comabi, à la croisée des chemins entre des solutions standards et des solutions sur mesure, les modules de ce nouveau concept sont simples à monter et surtout très sûrs. Ils s'adaptent à chaque poste de travail et évoluent avec les besoins spécifiques des professionnels. Ces derniers peuvent en effet choisir parmi 3 utilisations de modules pour :accéder à une machine pour sa maintenance et aux quais de chargement. Ces modules permettent également tout type d'accès permanent ;travailler sur des lignes de production ainsi que sur des postes de travail temporaires ou permanents ;circuler sur des zones sécurisées en espaces étroits ou encombrés, et sur des accès divers, ainsi que sur des zones de franchissement (de faibles hauteurs).Conçu pour que les opérateurs de maintenance puissent travailler en toute sécurité et en évitant tout risque de chute, le Meca Modul répond aux exigences des normes EN 14122 et EN 14123.Un concept aux multiples avantagesAprès avoir choisi leurs modules, les professionnels peuvent opter pour la configuration souhaitée parmi plus de 80 configurations possibles.Le confort de leur poste de travail est aussi assuré par une protection collective. Ils peuvent en effet choisir leur option de sécurité ou de confort : rampe, garde-corps et portillon de sécurité…Par ailleurs, Tubesca-Comabi garantit une disponibilité immédiate des modules, lorsqu’elle en reçoit la commande. Dès réception, il ne reste plus qu’à effectuer le montage, simple et rapide, par l’utilisateur.Très faciles à manipuler et à déployer, ces solutions ont été étudiées pour que leur installation soit facile et réalisée en quelques minutes.
Il y a 4 ans et 236 jours

Restauration de la toiture du réfectoire-chapelle de l’Abbaye de Clairvaux

La restauration de la toiture du réfectoire des moines / chapelle des prisonnier (XVIIIe siècle) de l’ancienne abbaye de Clairvaux a débuté en mars 2020. Elle s’inscrit dans le cadre de la restauration globale du réfectoire des moines / chapelle des prisonnier. Cet édifice appartient à un ensemble monumental du XVIIIe siècle, organisé autour du monumental grand cloître, attribué à l’architecte Aubert. L’intervention porte sur la toiture, couvertes en tuiles plates et fuyarde, avec : − le rétablissement de la couverture en ardoises du brisis (partie inférieure de la toiture) ; − une couverture en tuiles plates du terrasson avec égout saillant du brisis ; − la restauration en parallèle de la charpente et des chevrons ; − le nettoyage et le rejointoiement des corniches ; − le rétablissement d’une lucarne en façade Sud. Un parapluie protège l’édifice dont toute la toiture a été découverte. Cette intervention, d’un montant de 901 816 euros, est financée par l’État – DRAC Grand Est. Le chantier est mené sous maîtrise d’œuvre d’Eric Pallot, architecte en chef des monuments historiques, dont ce sera la dernière intervention sur le site et sous maîtrise d’ouvrage de la DRAC Grand Est. Maçonnerie et pierre de taille : Entreprise Léon Noël Couverture : Entreprise Glais Électricité : Entreprise Santerne Charpente : Entreprise Valentin Échafaudage : Ussor Erecta Source et photo : DRAC GRAND EST
Il y a 4 ans et 238 jours

8 morts et 10 blessés graves dans l'effondrement d'un immeuble à Lagos au Nigeria

"Un immeuble de trois étages s'est effondré hier (dimanche)", a expliqué à l'AFP Yemisi Shodipo, le responsable de la communauté Ikoyi-Obalende, un quartier populaire sur les îles de Lagos."Huit personnes ont perdu la vie, et de nombreuses autres ont été blessées", a-t-il ajouté."Huit corps sans vie, six hommes adultes et deux femmes, ont été sortis des décombres", ont annoncé de leur côté les secours de Lagos sur Twitter, ajoutant qu'il y avait 10 blessés graves qui avaient été transportés à l'hôpital. Des dizaines de personnes étaient venues assister aux opérations de déblayage, qui devraient durer toute la journée de lundi.Une pelleteuse sortait des gravats des tas de ferrailles et de grands échafaudages en bois, brisés dans l'effondrement, dont les causes ne sont pas encore établies."L'immeuble a commencé à s'affaisser et personne n'a pu s'enfuir, personne", raconte Femi Abalenawa, témoin de la scène. "Les secours ne sont pas arrivés tout de suite, ce sont les habitants d'Obalende qui sont allés les aider à sortir de là".L'effondrement de bâtiments est une tragédie fréquente au Nigeria, le pays le plus peuplé d'Afrique, où des millions de personnes vivent dans des immeubles délabrés et où la législation concernant la construction est régulièrement bafouée.En juillet dernier, treize personnes sont mortes à Jos dans le centre du Nigeria lorsqu'un immeuble résidentiel de trois étages s'est effondré après des pluies torrentielles.En mars, 20 personnes sont mortes dans l'effondrement à Lagos d'un immeuble qui abritait une école maternelle et primaire.
Il y a 4 ans et 257 jours

Annonces sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris

Tout au long du weekend des Journées du Patrimoine, les visiteurs ont pu (re)découvrir la beauté de la charpente disparue de la cathédrale Notre-Dame de Paris et le savoir-faire unique des charpentiers à travers des démonstrations, des ateliers, des reproductions et des panneaux informatifs. Le général Jean-Louis Georgelin, en charge de la coordination de la restauration de la cathédrale est venu annoncer sur le parvis que le démontage en cours de l’échafaudage calciné durerait encore un mois. Le premier adjoint à la mairie de Paris, Emmanuel Grégoire s’est exprimé dans les colonnes de « La Croix » sur la rénovation du parvis et des abords de la cathédrale. La mairie prépare un appel d’offres fixant le principe du respect de la visibilité de la façade de Notre-Dame, écartant ainsi toute idée de construction d’ampleur sur le parvis. Il sera lancé avant la fin de l’automne.   Photo : Edouard Bierry – ministère de la culture
Il y a 4 ans et 259 jours

Le groupe industriel Frénéhard & Michaux acquiert la société espagnole MA Estructuras

Avec plus d'un quart de son CA réalisé à l'export et notamment en Europe, il poursuit ainsi ses ambitions de développement à l'international en renforçant sa présence et ses activités en Espagne.Présent en France, en Espagne, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Italie, le groupe Frénéhard & Michaux propose aujourd'hui - sous le concept de LA HAUTEUR EN CONFIANCE® - une offre unique de produits pour l'accès, le déplacement et le travail en hauteur. Ces solutions (échelles, plateformes individuelles roulantes légères, échafaudages, garde-corps, lignes de vie, point d'ancrages, système d'ancrage mobile, harnais) adoptées par des professionnels du bâtiment et de l'industrie, soucieux de conjuguer sécurité et productivité, sont commercialisées sous les marques TUBESCA-COMABI®, SECURIGARD®, SYAM®, SKYWORKS®, TENDO® et ARTUB®.Après la prise de participation majoritaire en juin dernier de la société grenobloise GAMESYSTEM®, spécialisée dans les solutions de protection contre les chutes de hauteur, le groupe poursuit son développement par croissance externe en intégrant l'espagnol MA ESTRUCTURAS, loueur d'échafaudage avec prestations reconnu sur son marché.Entreprise familiale créée en 2010, la société MA ESTRUCTURAS réalise 2,2 M€ de chiffre d'affaires et emploie 30 personnes. Implantée à Madrid, MA ESTRUCTURAS propose de la location d'échafaudage associée à des prestations de montage pour des chantiers techniques. L'entreprise intervient principalement dans la capitale pour le marché de la réhabilitation.« Avec cette nouvelle prise de participation, nous renforçons notre présence et notre expertise sur le marché espagnol de la rénovation mais également celui de la construction en devenir. Nous avons des liens étroits avec MA ESTRUCTURAS et ce depuis de nombreuses années car elle utilise notre solution TENDO sur ses différents chantiers. Aussi c'est tout naturellement que nous nous sommes rapprochés d'une entreprise reconnue sur son marché et qui offre des prestations de très bonne qualité correspondant à nos exigences. Nous assurons ainsi le développement de nos savoir-faire et de notre chaîne de valeur en Espagne et au niveau du groupe. » Bernard Rothan, président du groupe Frénéhard & Michaux.Cette opération permet ainsi à Frénéhard & Michaux de diversifier son offre produits et services en Espagne. Le groupe conduit depuis toujours son développement en capitalisant sur ses marques historiques pour conquérir de nouveaux marchés et il ambitionne de forger un groupe leader européen avec un ancrage industriel fort.
Il y a 4 ans et 259 jours

Ripage souterrain dans le cadre du chantier de mise en accessibilité de la gare de Saint-Denis

Les équipes devront organiser cette opération technique très complexe sans arrêter les circulations (900 trains par jour). Ces travaux s'intègrent dans un ambitieux programme de mise en accessibilité des gares d'Ile-de-France, largement porté et financé par Ile-de-France Mobilités et la Région Ile-de-France, et par SNCF également.Avec près de 90.000 voyageurs quotidiens, la gare de Saint Denis est une des gares les plus importantes d'Île-de-France. Desservie par les lignes D et H, elle est aussi fréquemment utilisée en correspondance.La mise en accessibilité de la gare de Saint-Denis est un chantier d'une ampleur exceptionnelle qui répond à plusieurs objectifs :Permettre aux personnes à mobilité réduite de se déplacer plus facilement : l'objectif plus largement est de faciliter la vie de tous les voyageurs ayant des difficultés de déplacement (poussettes, bagages, sacs volumineux).Décongestionner et adapter la gare aux flux de voyageurs attendus à long terme.Organiser tout le quartier gare en véritable pôle d'échanges.Données-clé du chantierCoût de l'opération : 78 M€ (Île-de-France Mobilités 50%, Région Île-de-France 25%, SNCF Gares & Connexions 25%).52 mois de travaux, soit un peu plus de 4 ans de 2019 à 2023. L'aménagement du quartier de la gare se poursuivra au-delà de 2022/2023.Outre le nouveau passage souterrain, la mise en accessibilité de la gare inclut entre autres le rehaussement des 4 quais en conformité avec le déploiement des futurs trains du RER D ; la création de nouveaux bâtiments voyageurs accessibles aux personnes à mobilité réduite, dans la continuité du futur souterrain ; la création de 4 ascenseurs et d‘une rampe d'accès ; l'installation de 2 escaliers mécaniques ; la création et l'allongement des abris sur les quais ; l'installation de balises sonores, la mise en conformité de l'éclairage et de la signalétique et la pose de bandes de guidage et d'éveil à la vigilance.Entreprise réalisant les travaux : Demathieu BardLe glissement des cadres du nouveau souterrainL'opération se déroule dans le calendrier prévu grâce à une mobilisation exceptionnelle des équipes SNCF et des entreprises partenaires.Ce chantier est l'un des premiers à avoir repris en Ile-de-France après le confinement lié au Covid-19.Il faudra seulement 24 heures pour mettre en place les 2 cadres géants de béton sous les voies ferrées, d'une longueur de 35 mètres chacun.Les 2 cadres du futur passage souterrain sont réalisés en béton armé. Une bétonneuse injecte le béton dans un coffrage en bois, renforcé de tiges métalliques, qui permet de mouler les parois et la toiture de l'ouvrage grâce à un échafaudage posé au sol.Les ouvertures réservées sur les côtés des deux cadres accueilleront les escaliers mécaniques et les escaliers fixes qui desserviront les quais ; les cages d'ascenseurs s'inscriront dans les ouvertures réservées en toiture.Une fois les cadres du souterrain glissés sous les voies, les équipes débuteront la réalisation des accès qui les relieront aux quais.Un passage souterrain hors normes2 500 tonnes, c'est le poids total des ouvrages glissés sous les voies (soit l'équivalent de 6 locomotives TGV)70 mètres, c'est la longueur du futur passage souterrain (soit la longueur de 3 terrains de tennis)Un programme ambitieux de mise en accessibilitéPersonnes en situation de handicap, personnes âgées, voyageurs avec bagages ou poussettes, femmes enceintes…En Île-de-France, près de 4,8 millions de personnes se retrouvent en situation de mobilité réduite, que ce soit de manière permanente ou temporaire.En septembre 2020, 117 gares d'Ile-de-France étaient rendues accessibles à tous, dont 110 au titre du programme SDA (schéma directeur d'accessibilité).Des travaux d'accessibilité sont en cours cette année dans une quarantaine de gares franciliennes, dont celle de Saint-Denis. A terminaison du programme, plus de 209 gares prioritaires sur la région seront accessibles à tous.Ce programme d'envergure s'appuie sur la coopération entre toutes les parties prenantes, élus locaux, associations de personnes à mobilité réduite et usagers des lignes, ainsi que sur l'engagement d'Île-de-France Mobilités et de la Région Île-de-France, principaux financeurs de ces opérations visant à développer des gares intermodales, durablement accessibles et accueillantes.Près de 190 millions d'euros sont injectés cette année en Ile-de-France dans les travaux d'accessibilité.Pour réduire l'impact des travaux sur les 3,2 millions de voyageurs qui circulent chaque jour sur le réseau d'Ile-de-France, les opérations se déroulent largement de nuit, le week-end et pendant les vacances scolaires. Les travaux de mise en accessibilité s'effectuent souvent dans des gares extrêmement fréquentées, sans pour autant affecter les déplacements du quotidien.Depuis le 1er janvier 2020, la nouvelle gestion unifiée des gares place les projets de mise en accessibilité des gares directement sous la responsabilité de SNCF Gares & Connexions.
Il y a 4 ans et 259 jours

Prochaine édition du Village Virtuel du Bâtiment : 30 septembre 2020 de 9h à 17h

Le Village Virtuel du Bâtiment s’inscrit dans le contexte actuel de relance économique et vise à valoriser l’apprentissage et l’emploi des jeunes. Il est animé par les professionnels du CFA (développeurs de l’apprentissage, professeurs, directeurs…) qui présentent leur établissement et répondent en 15mn à toutes les questions que les jeunes (ou leurs parents !) peuvent se poser sur l’apprentissage dans le secteur du Bâtiment. Conseils et informations sur les perspectives du secteur, évolutions de carrières possibles, différents métiers : autant de sujets pour ouvrir le dialogue entre étudiants et monde professionnel. Ces rencontres virtuelles sont organisées avec 4 CFA et 2 chambres syndicales. Inscription gratuite au VVB avant le 28 septembre via ce lien : https://bit.ly/3kiDyQi Liste des CFA participants CFA du Bâtiment Saint-Lambert, métiers de l’économie de la construction CFA Couverture-Plomberie Maximilien Perret, métiers du génie climatique et thermique, de la couverture et de la plomberie CFA GESTES Formation, métiers de la peinture, de la décoration, des revêtements sols et murs L’EA Campus Gennevilliers, métiers de la menuiserie, de l’agencement et de l’ossature bois Liste des Chambres syndicales participantes CESAME, métiers de la serrurerie métallerie, SFECE, Syndicat Français de l’Echafaudage, du Coffrage et de l’Etaiement
Il y a 4 ans et 269 jours

Réhabilitation de maison ancienne à Saint-Georges-de-Montaigu

Jérôme Duret est né à Saint-Georges-de-Montaigu, en Vendée. Aujourd'hui installé en Angleterre, il décide en 2012 d'acquérir une maison dans sa ville natale pour venir y passer des vacances en famille. Sans même la visiter, il jette son dévolu sur une bâtisse en plein centre du bourg, face à l'église. Construite en 1909 pour le boulanger de l'époque, la maison passe inaperçue. Sa façade grisâtre n'attire pas l'attention des passants. Pourtant, son futur propriétaire est séduit par son jardin entouré de murs et perçoit le potentiel de ses trois niveaux de 70 m2 chacun. Quant à sa façade terne, elle ne demande qu'à être réveillée par un peu plus de couleurs.Rénovation par étapesDès l'achat de la maison, Jérôme Duret confie à son père, nouvellement retraité du bâtiment, les travaux de rénovation du rez-de-chaussée et du premier étage. Un an et demi plus tard, ces deux niveaux sont rendus habitables. C'est alors le moment de s'atteler à l'aménagement des combles. La toiture en ardoise s'avère en mauvais état, elle présente quelques fuites. L'ensemble de la couverture est à refaire. Et puisqu'il faut installer un échafaudage, pourquoi ne pas en profiter pour rénover la façade ? Côté rue, l'enduit est en bon état. Il a été refait il y a plusieurs années, il suffit de le repeindre. Mais sur la façade arrière et sur les deux pignons, l'enduit dégradé doit être remplacé.Recherche colorimétriqueLe propriétaire fait appel à Lift Face. Cette entreprise de la ville voisine de Montaigu réalise depuis près d'un demi-siècle des travaux d'isolation thermique et d'enduit de façade en neuf comme en rénovation. Ses 17 salariés interviennent sur des chantiers de Vendée et de Loire Atlantique. Partenaire de Sto depuis de nombreuses années, l'entreprise est certifiée Pro-ITE® depuis 2011 pour l'application des systèmes d'isolation thermique par l'extérieur Sto. Elle s'engage sur la qualité et la durabilité de la mise en oeuvre des systèmes Sto. En échange, Sto s'engage sur la qualité et la fiabilité de ses systèmes et apporte à l'entreprise une visibilité, un soutien et des outils de prospection et de vente.Inspiré par les couleurs parfois osées des maisons outre-Manche, Jérôme Duret demande à Florent Brecheteau, chargé d'affaires et conducteur de travaux de l'entreprise Lift Face, de faire des simulations de teintes différentes d'après des photos. Après avoir écarté les couleurs les plus audacieuses telles que le rouge, le bleu ou le jaune, et en accord avec la mairie, c'est un gris soutenu qui est retenu, jugé plus noble et mettant bien en valeur les modénatures de façade : « les encadrements des ouvertures et les chaînes d'angle en pierre seront nettoyés, poncés et revêtus d'une patine en peinture minérale dans une teinte proche de la nuance dominante de la pierre naturelle », décrit Florent Brecheteau.Aspect mat minéral et teinte soutenueUne fois les enduits traditionnels à la chaux appliqués sur les pignons et la façade sur jardin, les trois compagnons de l'entreprise sont passés à la façade sur rue. Il s'agit alors de réaliser une mise en peinture qui soit la plus proche possible de l'enduit en termes de teinte.L'entreprise s'adresse à Sto qui préconise un ravalement de classe D2, c'està- dire une peinture décorative. Le produit StoColor Solical proposé par Sto apporte l'aspect d'enduit recherché. Cette peinture de façade minérale, à base de sol de silice et de silicate de potassium, a été lancée par Sto en 2017. Elle est généralement appréciée des Architectes des Bâtiments de France (ABF) pour la mise en valeur du patrimoine ancien car elle offre un aspect minéral mat. Destinée aux supports hydrauliques, dont elle garde la structure initiale, elle est très résistante aux intempéries, à l'encrassement végétal et très perméable à la vapeur d'eau. Ses pigments minéraux assurent à la teinte une très longue tenue, même au gris foncé choisi ici (RAL 7004).De plus, grâce à la technologie X-black mise au point par Sto, qui réfléchit le rayonnement infrarouge du soleil, l'échauffement thermique des façades de couleur intense est réduit, limitant ainsi les risques de fissuration du support. « Nous apprécions la réactivité de Sto qui répond rapidement à nos demandes, ajoute Florent Brecheteau. Pour la mise à la teinte du produit, nous avons simplement déposé chez Sto un échantillon qui a été parfaitement reproduit. »Une façade sortie de l'anonymatLe support – un enduit hydraulique traditionnel gratté – est préparé à recevoir la peinture par un nettoyage et le rattrapage des défauts de surface. Des rebouchages ponctuels et la reprise d'une partie du soubassement sont réalisés.Puis, selon les préconisations de Sto, le régulateur de fond StoPrim Silicaté est ensuite appliqué avant de passer au rouleau deux couches de StoColor Solical. « Cette peinture de finition est facile à appliquer, se réjouit Florent Brecheteau. C'est la cinquième fois que nous l'utilisons sur un chantier de rénovation. » Le maître d'ouvrage se montre lui aussi très satisfait du résultat. « J'ai fait entièrement confiance à l'entreprise Lift Face avec laquelle j'ai communiqué à distance, souligne Jérôme Duret. Je salue son professionnalisme, son choix de produits et la qualité de nos échanges. Le résultat est à la hauteur de mes attentes : une façade originale et élégante, mais pas choquante. »Aujourd'hui, la maison en face de l'église ne passe plus inaperçue. Devenue chantier de référence de Lift Face, elle donne même des idées aux passants. Un client a ainsi demandé à l'entreprise de reproduire la même teinte pour sa maison. Fiche techniqueType de bâtiment : maison individuelleLocalisation : 85600 Saint-Georges-de-MontaiguMaître d'ouvrage : Jérôme DuretEntreprise applicatrice : Lift Face, entreprise certifiée Pro-ITE depuis 2011Date du chantier : automne 2019Solution utilisée : régulateur de fond StoPrim Silicaté et peinture StoColor Solical couleur grise (RAL 7004) à technologie X-black limitant l'échauffement. Ravalement de classe D2
Il y a 4 ans et 270 jours

Reprise en douceur de visites guidées autour de Notre-Dame de Paris

Pour cette reprise, une poignée de personnes, peu rebutées par les barrières du chantier empêchant de s'approcher, est venue écouter les explications de la guide de l'association Casa (Communauté d'accueil dans les sites artistiques) sur un parvis complètement désert. Au menu de la visite: le sens historique et spirituel des sculptures des trois portails de la façade - le portail Sainte-Anne, le portail du Jugement dernier et le portail de la Vierge -, décrits devant des photos reproduites sur les palissades du parvis.Puis une étape en face de la façade sud, ce qui permet de comprendre l'avancement du chantier de consolidation du monument gothique, et enfin un dernier arrêt au chevet, d'où la guide, Odile, commente l'histoire des arcs-boutants."On a vraiment l'impression d'une cathédrale malade après le dépôt des grands vitraux et des fenêtres hautes" et avec "ces immenses sparadraps aux arcs-boutants", s'émeut celle qui a fait visiter Notre-Dame pendant 25 ans, en français et en anglais, avant l'incendie. Elle évoque aussi sa "terrible frustration" de ne plus pouvoir entrer à l'intérieur.Une centaine de guides, bénévoles, sont prêts pour recevoir des visiteurs, selon le responsable communication de la cathédrale. Les visites, gratuites, sont quotidiennes, et en dix langues possibles, en fonction de la demande. Les guides ont reçu une formation supplémentaire ces derniers temps pour pouvoir répondre aux éventuelles questions sur le chantier.Les opérations de démontage de l'échafaudage qui entourait la flèche, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie doivent être finies d'ici fin septembre, avait assuré début juillet le président de l'établissement, le général Jean-Louis Georgelin. Ces travaux conditionnent la possibilité de démarrer la phase de restauration.
Il y a 4 ans et 278 jours

Bien choisir ses chaussures de sécurité pour les chantiers du BTP

Les métiers du BTP sont nombreux et diverses. Certains se passent en intérieur, d’autres en extérieur. Certains sont propres, d’autres salissants. Le choix de la bonne chaussure de sécurité n’est pas toujours évident. Nous allons, dans cet article, balayer les différentes options qui s’offrent à vous pour vous aider à faire le bon choix. Rappel : par définition une chaussure de sécurité respecte la norme EN ISO 20345 et possède un embout de protection résistant à une pression de 200 joules. Chaussure de sécurité S1P ou S3 Les marquages normatifs S1P et S3 ont été créés pour simplifier la lecture des normes. Pour faire simple une chaussure de sécurité S1P est bien souvent composée de matériaux aérés (mesh, toiles ou matières perforées) alors qu’une chaussure de sécurité S3 est conçue avec des matériaux hydrofuges qui résistent à la pénétration de l’eau. Dans les deux cas la chaussure de sécurité sera équipée d’une plaque anti-perforation indispensable sur les chantiers. Si votre environnement est plutôt propre, optez pour une chaussure de sécurité S1P la plus aéré possible. Cela concerne par exemple certains métiers du second œuvre comme les électriciens, les plombiers / chauffagiste, les menuisiers, les installateurs, etc. Exemple de chaussure de sécurité S1P : LUNAR 400 S1P – S.24 Si en revanche vous travaillez dans la poussière ou avec des matériaux salissants (mortier, colle, peinture, enduit) ou tout simplement que vos travaux sont en extérieur sur des sols meubles (terrassier, maçon, Travaux Publics, etc) alors vous devriez plutôt choisir une chaussure de sécurité S3 en cuir ou microfibre facile à nettoyer. Exemple de chaussure de chantier S3 : JUNGLE EVO – S.24 Chaussures de sécurité basses ou montantes ? Le principale avantage de la chaussure de sécurité montante est le maintien de la cheville. La chaussure de sécurité montante est utile si vos chantiers sont encombrés ou que vous êtes sur des sols instables. Le col de la chaussure de sécurité montante apporte également une protection supplémentaire au niveau des chocs latéraux sachant qu’il existe en plus des chaussures de sécurité avec des protège malléoles (norme AN). Chaussure de chantier XPER TP S3 avec protège malléoles – S.24 L’inconvénient de la chaussure de sécurité haute est qu’elle donne un peu plus chaud. Et puis pour une question d’habitude certains ne supportent tout simplement pas d’avoir la cheville serrée.   Semelle plate ou semelle crantée ? Pour les métiers qui sont plutôt en intérieur, comme la plupart des métiers du second œuvre, mieux vaut vous orienter vers de la basket de sécurité avec une semelle fine et plate. Rien ne sert d’avoir une semelle avec de gros crampons sur un sol relativement lisse et dur. Grâce à la finesse et la légèreté de la basket de sécurité vous allez gagner en agilité et en souplesse de mouvement. Basket de sécurité LUNAR 400 S1P – S.24 Choisissiez une chaussure de sécurité à la semelle crantée si vous êtes la plupart du temps en extérieur sur des sols meubles, rocheux, sableux, etc. A noter que pour les personnes qui montent et descendent de l’échelle ou des engins de chantier, un talon décroché peut être très utile. Technologies particulières Pour certains usages il peut être intéressant d’opter pour des technologies spécifiques. Par exemple pour les personnes qui font de l’enrobé, il existe des chaussures de sécurité spécifiques avec une épaisse semelle en caoutchouc normée HRO (résiste à la chaleur par contact jusqu’à 300°C). Modèle spécial enrobé BITUM S3 – S.24 Une autres technologie intéressante pour les personnes qui sont souvent à genoux : le sur-embout dur en TPU. La partie avant de la chaussure de sécurité s’abrase bien souvent de façon prématurée. Un sur-embout placé à l’avant de la chaussure peut aider à rallonger la durée de vie du produit.
Il y a 4 ans et 287 jours

Résultats en baisse pour Caterpillar au 2ème trimestre 2020

RESULTATS. Le fabricant d'engins de chantier, Caterpillar, a enregistré un chiffre d'affaires et un bénéfice par action en fort recul au 2ème trimestre 2020.
Il y a 4 ans et 304 jours

Acheter ou louer son matériel de BTP

Dans un chantier, de nombreux engins et équipements doivent être utilisés pour accomplir les différentes missions de terrassement, de compactage ou encore de transport. Les professionnels du bâtiment, notamment ceux qui se lancent, ont régulièrement la même problématique pour leur entreprise : Est-il plus rentable d’acheter ou de louer son matériel BTP ? Une question qui demande réflexion et analyse. Chaque solution a ses avantages et ses inconvénients. Cela dépend principalement de votre budget, de la fréquence d’utilisation du matériel et de votre chantier. Découvrez dans cet article, des conseils qui vous permettront de choisir la meilleure option pour votre entreprise. Louer son matériel professionnel : une rentabilité assurée L’acquisition d’une machine ou d’un équipement de chantier demande un véritable investissement. Ainsi, l’un des premiers critères à prendre en compte est la fréquence d’utilisation. Si vous comptez utiliser le matériel peu régulièrement, optez donc pour la location. En effet, louer cet engin de chantier pour un besoin ponctuel est davantage rentable. Le coût de cette option est logiquement inférieur à l’achat. Par exemple, la location de Bobcat vous reviendra, en moyenne, à 250€ HT par jour. Alors que le prix d’achat d’une mini-chargeuse peut atteindre 55 000€, selon son poids. Louer son matériel est également avantageux puisque vous disposerez systématiquement d’un équipement récent et à la pointe de la technologie. En effet, les loueurs proposent généralement des engins et des outils de qualité, robustes, mais également en parfait état de fonctionnement. Ainsi, votre personnel sera davantage productif et les missions seront plus sécurisées. Autre point à prendre en compte, l’espace de stockage. Grâce à la location, vous n’avez pas besoin d’avoir obligatoirement un lieu de stockage pour entreposer votre matériel. Dès que vous avez fini d’utiliser l’équipement, vous le rendez directement au loueur. De ce fait, vous réduisez considérablement vos coûts de stockage. De plus, cette option vous permettra également de choisir votre matériel en fonction de votre besoin et des exigences de votre chantier. Si dans un chantier vous avez besoin d’une mini-pelle et dans un autre d’une pelleteuse, la location sera la meilleure option. Cette solution vous permettra donc d’être plus flexible et davantage polyvalent dans vos activités. Enfin, cette alternative vous permet d’éviter, d’une part, les coûts liés à l’achat comme la maintenance, les contrôles, l’entretien puisque c’est au propriétaire du matériel qui doit s’en charger. Et d’autre part, d’acheter les accessoires complémentaires de la machine comme le BRH ou la fraise hydraulique pour une mini pelle. Acheter son matériel de chantier : la solution pour une utilisation régulière L’acquisition d’un matériel doit être longuement réfléchie et analysée en calculant notamment son amortissement à long terme. En effet, cette solution demande généralement un investissement important. Néanmoins, celui-ci est vite rentabilisé, si vous utilisez le matériel très régulièrement. L’autre avantage de l’achat est que vous aurez la certitude d’avoir le bon matériel au bon moment. En cas d’imprévu ou de travaux de dernière minute, vous disposerez de la machine adéquate à vote chantier. En achetant le matériel, vous n’aurez pas de problème d’indisponibilité, ce qui est souvent le cas lors de la location. Selon le constructeur, vous avez également la possibilité d’avoir un matériel fabriqué sur-mesure pour répondre à votre besoin. Grâce à un cahier des charges, vous pouvez personnaliser votre machine afin qu’elle soit adaptée à vos usages. Enfin, certaines plateformes proposent également l’achat de matériel en occasion. Néanmoins, acheter un équipement en occasion peut avoir quelques inconvénients. Même si la machine vous coûtera bien moins, sa qualité ne sera pas optimale. D’autant plus que les machines d’occasion demandent davantage de réparation et d’entretien que celles neuves. L’achat d’un matériel est donc recommandé pour les équipements indispensables à vote activité. Ainsi, le choix entre la location et l’achat d’un matériel de BTP repose principalement sur sa fréquence d’utilisation et sur votre trésorerie.
Il y a 4 ans et 304 jours

Tubesca-Comabi engagé dans la restauration de l'église des Réformés à Marseille

Dans le cadre de ce chantier d'envergure au sein de cette église emblématique, perchée en haut de la Canebière, les travaux qui se dérouleront en 3 étapes ont pour objectif le changement de pierres, le nettoyage et la consolidation de l'édifice, ainsi que la création d'ornements (décors, crochets, fleurons et gargouilles) identiques à ceux qui avaient été enlevés en 1930.Classée aujourd'hui Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques (ISMH), avec tout son intérieur classé également Monument Historique (MH), cette église est l'un des plus beaux monuments de Marseille. Construite en 1611, elle provient de l'ancienne chapelle des Augustins Réformés. Elle a été ensuite détruite pour être remplacée par l'église Saint-Vincent-de-Paul, bâtie entre 1852 et 1890. D'ailleurs, certaines sculptures n'ont jamais été terminées, notamment sur les porches où l'on distingue de nombreux épannelages.Un ambitieux projet de restaurationAfin de prendre en charge ce chantier prestigieux, TUBESCA-COMABI a été retenu dans le cadre de l'appel d'offres lancé en 2018 et a démarré le montage des échafaudages le 23 septembre 2019. D'une durée de 6 semaines, le montage s'est déroulé en trois étapes (une première entre le sol et 20 m, une deuxième entre 20 m et 40 m et une troisième entre 40 m et 72 m) et a requis la mobilisation de 12 monteurs.Près de 250 tonnes de matériel ont dû être fixées entre l'intérieur et l'extérieur et sur les deux flèches, avec une hauteur totale de 72 m. Un échafaudage de classe 6 (600kg/m2) multidirectionnel M368 de marque COMABI et des plateformes (23x12 m, soit environ 300 m2) situées entre 4 et 6 mètres du sol au-dessus du parvis ont été mises en place pour stocker le matériel.Pour desservir les niveaux d'échafaudages et l'approvisionnement du matériel, deux ascenseurs de chantier ont été également installés à chaque tour, par la société partenaire SGB. Ils peuvent supporter jusqu'à deux tonnes. Le sol ne devra être en aucun cas encombré pour éviter tout danger.« Nous avons conçu un échafaudage circulaire de 43 m à 70 m afin de réduire les efforts du vent et donc de minimiser les efforts sur les flèches. L'échafaudage est renforcé dans les 3 plans (longueur, largeur & hauteur) par des poutres treillis et de contreventement afin qu'il puisse faire face aux contraintes climatiques et logistiques (au vu de sa position face à la mer). L'échafaudage a été également conçu techniquement afin d'accueillir les futures créations de sculpture de l‘atelier BOUVIER (membre du groupement).Nous sommes intervenus sur le site occupé pendant toutes les phases d'installation du chantier et des travaux. Des chemins de circulation et de signalisation ont été mis en place pour respecter le site et garantir la sécurité du public. Par ailleurs, compte-tenu de la situation inédite due au COVID-19, le chantier a été arrêté du 17 mars au 2 juin » précise Jean-Baptiste SPINICCI, Directeur Technique et Commercial de Tubesca-Comabi.
Il y a 4 ans et 315 jours

Quid du dosage du ciment pour les travaux de maçonnerie?

Les travaux de maçonnerie se résument par l’assemblage de différentes pièces dans le but de bâtir une structure bien solide. Dans ce domaine, le ciment occupe un rôle important. Comment doser un ciment lors d’une construction ? Cet article vous informe. Comment fabriquer du ciment pour béton ? Le béton est constitué de ciment, d’eau de sable, et du gravier. Ce dernier élément assure la dureté du béton. Afin d’assurer la qualité du matériau de construction, il est essentiel de bien calculer la quantité du ciment qui constitue votre mélange.  Mais comment faire ? Quel est le volume idéal ? Pour concevoir du béton, voici le dosage qu’il vous faut : Un volume de ciment ; Deux volumes de sable ; Trois volumes de graviers ; 0,5 volume d’eau. Le volume se mesure à partir des outils spécifiques utilisés par les maçons. La quantité de ciment varie en fonction de l’étendue du chantier. Lorsque vous augmentez le volume du ciment, augmentez également celui du sable et du gravier, afin de conserver une bonne proportion. Comment préparer le mélange ? Pour la préparation du mélange, vous avez le choix entre l’utilisation d’une bétonnière ou d’une brouette. Sinon, il est également possible de le faire directement sur le sol. Cela repose en fonction de l’étendue de votre chantier. Pourtant, lorsque les travaux sont de grande envergure, l’usage d’un appareil professionnel est vivement conseillé. Ce genre de machine est disponible à la location. Sinon, pour faire plus simple, confiez le projet à un maçon. En ce qui concerne la composition, commencez par mélanger le ciment, le sable et le gravier. Faites en suite un petit creux au centre et versez-y l’eau. Retournez le tout avec une pelle en allant de l’extérieur vers l’intérieur. Comment mélanger le ciment pour réparer les murs et le sol ? Le ciment destiné à la réparation des murs et des sols doit être composé uniquement. Le ciment est commercialisé directement en sac, ou bien en détail, par kilos. Achetez celui que vous jugez rentable, afin de réduire vos dépenses au minimum. Comment mélanger le ciment pour réparer les murs et le sol ? Quel est le dosage adapté à ce mélange ? Adaptez le mélange en fonction de l’usage prévu. Si le ciment est destiné à réparer ou à sceller la structure existante, utilisez 3 volumes de ciment avec un volume d’eau. S’il est réservé à réaliser les joints et les barbotines, un volume de ciment convient à demi volume d’eau. Il est à souligner que les mélanges sont à faire chaque jour pour les chantiers de grande taille. Le but est d’éviter que la préparation ne se dessèche ni se condense. Pour réussir votre projet de construction, il est sollicité de recourir à ce maçon https://www.peintre-macon-81.fr/ . Il dispose des compétences requises, ainsi que de l’expérience nécessaire. Respectez le dosage indiqué sur l’emballage de votre ciment Certaines marques de ciment contiennent des indications sur lesquelles est mentionné le dosage à respecter. Lorsque le ciment est doté de ce genre d’instructions, vous devez à tout prix les suivre. D’ailleurs, les explications sont parfaitement détaillées afin de faciliter la compréhension de l’utilisateur. Toutefois, il est important de savoir que les ciments prêts à l’emploi comme celui-ci se déclinent en plusieurs types : Ciment pour les murs et les colonnes ; Ciment pour les sols et les revêtements extérieurs ; Ciment pour les dallages et les plafonds. Ainsi, le ciment destiné aux sols ne s’adapte pas aux murs. Dans ce cas, vous devez bien respecter les indications afin de garantir la réussite de votre projet.
Il y a 4 ans et 326 jours

Accords et désaccords sur Notre-Dame de Paris

La flècheSymbole parmi les symboles, parce que sa chute fut l'image marquante de la soirée du 15 avril 2019, le devenir de la flèche de Notre-Dame a électrisé le débat pendant de longs mois. Au final, elle retrouvera la même forme, basée sur les plans de l'architecte Viollet-le-Duc."Cette flèche était complètement constitutive du paysage parisien, tous les spécialistes vous le disent et reconnaissent que c'est un chef d'oeuvre absolu", a argué le général Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la reconstruction de l'édifice, vendredi sur LCI, au lendemain de l'annonce du président Macron qu'il se ralliait à une reconstruction à l'identique.Certains comme l'architecte Jean-Michel Wilmotte ont toutefois déploré une occasion manquée de concevoir une flèche moderne, avec "un système d'éclairage exceptionnel", par exemple.La charpenteSurnommée "la forêt", la charpente de Notre-Dame, joyau de l'architecture médiévale qui a été dévorée par les flammes, sera finalement reconstruite en chêne et non en béton, comme la cathédrale de Reims, ou en métal comme le Parlement de Bretagne, deux options un temps avancées.Ce choix a fait débat au sein de la commission du patrimoine et d'architecture (CNPA) qui s'est réunie jeudi et a fini par choisir cette option, dans son avis suivi par le président Macron.Plusieurs questions ont été abordées: est-il judicieux de reconstruire la charpente en chêne, après un incendie qui a failli détruire totalement la cathédrale? Quelles mesures vont être prises pour éviter un nouveau drame ?Les défenseurs du bois, depuis le début, ont toujours fait valoir qu'une charpente à l'identique permettrait d'aller plus vite et de tenir les délais imposés par le président."Pour la charpente en chêne, nous avons demandé que le dessin soit étudié et précisé dans la future étude de diagnostic", a affirmé à l'AFP le sénateur Jean-Pierre Leleux à la tête de cette commission. Le résultat ne sera pas entièrement "à l'identique", a-t-il précisé: "on peut imaginer quelques changements avec des dispositifs incendie plus fiables".La couvertureQui dit reconstruction "dans le respect des matériaux d'origine", comme souhaitée par la CNPA, dit plomb pour la toiture de la cathédrale, ou "la couverture", constituée de 1.326 tables de 5 mm d'épaisseur pesant au total plus de 200 tonnes."Je m'attends à des combats assez difficiles" sur ce point, a admis le général Georgelin, alors que les risques de contamination liés aux particules de plomb qui s'étaient répandues dans l'atmosphère et au sol, après l'incendie du 15 avril, ont empoisonné le début des travaux, nécessitant des suspensions puis la mise en place de protocoles très stricts pour que les ouvriers reprennent le travail.Le calendrierDepuis l'incendie de la cathédrale, l'objectif du président Macron est le même: la rebâtir en cinq ans. "Nous rendrons la cathédrale au culte en 2024", a assuré le général Georgelin, mais "ça ne veut pas dire que tout sera terminé, peut-être que la flèche ne sera pas terminée".Après de multiples aléas, du plomb à la crise du coronavirus, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, devrait être achevé "au plus tard fin septembre". Il conditionne le démarrage des travaux de restauration à proprement parler. Une étude de diagnostic sera lancée dans les semaines qui viennent, pour "définir le programme précis de travaux permettant la réouverture au culte et à la visite", prévue en avril 2024. Rendu des travaux attendu cet automne.
Il y a 4 ans et 328 jours

Les différents outils d’un couvreur

Le mot couvreur désigne le professionnel qui travaille dans le domaine des travaux relatifs à la toiture. Grâce à sa maîtrise du domaine, cet artisan du bâtiment est apte à travailler n’importe quel type de toit. Afin de réussir ses tâches, il doit être bien équipé. Quels outils doit-il disposer ? Cet article vous informe. Quels sont les outils de travail d’un couvreur ? Pour tous les types de travaux qui lui seront confiés, un couvreur professionnel comme https://www.charpentier-couvreur-37.fr/ se sert des outils de base qui l’accompagnent partout. D’abord, le marteau de charpentier est son meilleur allié. Ce matériel dispose d’un arrache-clou ainsi que d’une porte-clou magnétique. Ensuite, il possède un tire-clou équipé de lames interchangeables. Puis, l’enclume du couvreur est un de ses outils spécifiques, permettant de façonner les ardoises pour qu’elles soient droites ou courbées. Ce professionnel utilise également une équerre et une fausse équerre. Ces deux outils sont indispensables dans les traçages géométriques. À cette liste s’ajoute le cordeau qui lui est utile pour le traçage d’une ligne pour parfaire la pose des crochets de gouttière. En outre, l’artisan emploie une guillotine pour sectionner certains matériaux assez compacts. Cette liste n’est pas exhaustive. Beaucoup d’autres matériels peuvent s’y joindre, en fonction de la prestation que l’expert sera amené à réaliser. Quels sont les équipements de sécurité qu’un couvreur doit disposer ? Pour sa sécurité, le couvreur est obligé de se munir des équipements spécifiques. D’abord, il doit porter des EPI : chaussures, gants, casques, harnais de sécurité, etc. Ensuite, l’usage d’un échafaudage de couvreur, d’une échelle de toit ainsi que d’un stabilisateur d’échelle est incontournable. Également appelé console de couvreur, l’échafaudage de couvreur est un support facilitant l’accès au toit. Il ne demande pas d’équilibre. Cet équipement se décline en deux types en fonction de son système d’installation. On distingue l’échafaudage sur pied et l’échafaudage en suspension. Quant à l’échelle de toit, tout est dans le nom. C’est une échelle faite de bois ou d’aluminium qui est placée au-dessus du toit. Elle est surtout utile pour les toitures en pente. Elle permet à l’intervenant de travail aisément. Et enfin, le stabilisateur d’échelle est un dispositif servant à fixer l’échelle.  Le but est de  favoriser l’équilibre malgré le terrain accidenté sur lequel l’échelle est posée. Les outillages selon le type toit Pour la toiture en bois, les bardeaux sont inévitables. Afin d’en fabriquer, le couvreur aura besoin d’une scie ou bien d’une tronçonneuse, d’un départoir ainsi que d’un maillet. En ce qui concerne la couverture en ardoise, il vous faudra trois éléments. D’abord, une pince à ardoise est nécessaire pour sectionner les ardoises sans les endommager. Puis, une poinçonneuse est aussi essentielle au marquage et à la perforation du matériau. Et enfin, n’oubliez pas l’enclume de couvreur pour assurer la taille des ardoises. Quant à la toiture en zinc, les outils sont assez nombreux comparé aux matériaux précédents. La liste comprend une plieuse à zinc, une griffe à zinc, une tenaille à tuile, et une pince à sertir. Chacun de ces équipements joue un rôle clé dans l’intervention. La griffe à zinc permet de marquer le toit tandis que la plieuse consiste à plier. La pince à sertir est surtout réservée aux travaux se rapportant à la gouttière. La manipulation de chacun de ces matériels requiert un savoir-faire pointu et une habileté développée. C’est pourquoi le recours à un couvreur professionnel est avantageux.
Il y a 4 ans et 329 jours

Loxam renouvelle son offre de formation en faveur de la sécurité

Le Groupe LOXAM est engagé de longue date dans la formation en faveur de la sécurité, il propose aujourd’hui aux entreprises une nouvelle offre de formation avec des infrastructures adaptées à la réforme du CACES® (Certificat d’Aptitude à la Conduite en Sécurité) et un catalogue élargi de formations. Cette offre renouvelée répond aux besoins de formation aux risques professionnels pour les travaux en hauteur, pour la conduite d’engins suivie d’une évaluation CACES®, et plus globalement pour la prévention des risques. 35 agences LOXAM dans toute la France sont habilitées à accueillir la nouvelle offre globale de formation couvrant ainsi l’ensemble du territoire national. Peuvent y être dispensées notamment ces nouvelles catégories suite à la réforme du CACES® : R482 – engins de chantier, R 484 – Ponts roulants et portiques, R 486 – PEMP2 (nacelles), R 489 – chariots de manutention, R 490 – Grues auxiliaires de chargement de véhicules, R 485 – Transpalettes gerbeurs à conducteur.
Il y a 4 ans et 332 jours

Notre-Dame de Paris sera finalement reconstruite à l'identique

Il a "acquis la conviction" qu'il faut restaurer la cathédrale à l'identique, a indiqué l'Élysée jeudi soir, après une réunion de la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), réunissant élus, experts et architectes du chantier."Le président a fait confiance aux experts et préapprouvé dans les grandes lignes le projet présenté par l'architecte en chef (Philippe Villeneuve), qui prévoit de reconstruire la flèche à l'identique", a précisé l'Élysée.Ce projet propose globalement une restauration de la cathédrale et de sa flèche de la façon la plus proche de son état juste avant l'incendie survenu dans la soirée du 15 avril 2019."Je suis heureux que les Français, les pèlerins et les visiteurs du monde entier puissent retrouver la cathédrale qu'ils aiment", a réagi jeudi soir le général Georgelin, nommé pour superviser le chantier, dans un communiqué."Aujourd'hui, une étape importante a été franchie, a-t-il fait valoir. Toutes les conditions sont à présent réunies pour nous permettre d'avancer avec confiance et détermination pour préparer activement les opérations de restauration".A la surprise générale, le chef de l'État avait évoqué, peu après l'incendie, la possibilité d'"un geste architectural contemporain" pour rebâtir la cathédrale, stimulant l'imagination de nombreux grands architectes. Certains avaient proposé une flèche en verre, la création sur le toit d'un parc-jardin bio ou une terrasse panoramique...Passe d'armesL'architecte Philippe Villeneuve a lui toujours plaidé la fidélité à l'ouvrage retouché dans le style gothique par Viollet-le-Duc au XIXe siècle, dont sont conservés tous les plans. Et d'arguer qu'une telle option permet de mieux tenir les délais d'une reconstruction en cinq ans, comme voulu par le président Macron.Un avis tranché qui a donné lieu à une passe d'armes insolite fin 2019 avec le général Georgelin: ce dernier avait demandé à l'architecte en chef de "fermer sa gueule", après sa prise de position contre une flèche contemporaine.Jeudi, M. Villeneuve a présenté un dossier 3.000 pages pour passer en revue les modalités qu'il préconise pour restaurer la charpente, le toit et la flèche de la cathédrale, sujets des plus épineux ayant provoqué une querelle entre anciens et modernes.Au terme de cette réunion qui a duré quatre heures, la CNPA a "approuvé à l'unanimité le parti de restauration proposé consistant à rétablir l'architecture de Viollet-le-Duc, en ce qui concerne la couverture et la flèche dans le respect des matériaux d'origine", a affirmé à l'AFP Jean-Pierre Leleux, sénateur à la tête de cette commission.Concernant la charpente, sur lequel il y a eu débat, une étude à venir précisera exactement les contours de sa reconstruction qui sera en bois.Avant de parvenir à cette décision, tous les scénarios ont été envisagés, affirme-t-il, y compris de laisser la cathédrale dans son état actuel.Structure éphémère"Le souci pour le président était de ne pas retarder le chantier ni de complexifier le dossier. Il fallait vite clarifier les choses", a expliqué de son côté l'Élysée."S'il avait fallu faire une flèche contemporaine, il fallait un concours spécifique, d'où un potentiel retard du chantier. Les consultations avec de grands architectes conduisaient à dire que ce pari de la flèche contemporaine était très compliqué et qu'un geste contemporain pouvait s'imaginer autrement", a fait valoir la présidence.L'Élysée souhaite ainsi un travail avec la Ville de Paris pour le réaménagement des abords du monument. "S'il y a un geste contemporain, il peut être là", selon la présidence, qui rappelle aussi le projet d'une structure éphémère, une "maison du chantier" qui pourrait être installée dans la cour de l'Hôtel-Dieu, près de la cathédrale.Repoussé en raison du confinement, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, sera achevé "au plus tard fin septembre", a assuré il y a une semaine le général Georgelin. Ce démontage conditionne la possibilité de démarrer la restauration proprement dite de Notre-Dame.Le président prévoit toujours une reconstruction en cinq ans avec une réouverture en 2024.
Il y a 4 ans et 333 jours

Large consensus pour une reconstruction de la flèche de Notre-Dame à l'identique, selon Bachelot

Il apparaît "qu'un large consensus se dégage dans l'opinion publique et (chez) les décideurs - puisqu'à la fin, ce sera, je pense, le président de la République qui va trancher - pour la reconstruction à l'identique", a-t-elle déclaré sur France Inter, ajoutant "c'est toujours difficile de dire +à l'identique+ exactement, mais dans l'esprit de la flèche".Roselyne Bachelot a ajouté qu'elle irait jeudi après-midi "saluer la structure qui s'occupe de ce dossier, qui va rendre ses conclusions".La Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), qui réunit des élus, des experts et les architectes du chantier, doit évoquer jeudi les modalités de reconstruction de Notre-Dame, en partie ravagée par un incendie en avril 2019."Trois dossiers" sont à examiner: la charpente, le toit et la flèche, a rappelé la ministre de la Culture.La question d'une reconstruction à l'identique de la flèche, selon les plans détaillés laissés par l'architecte Viollet-le-Duc, ou à l'inverse en incluant un geste architectural contemporain, comme évoqué par l'exécutif peu de temps après l'incendie géant, fait débat depuis des mois.L'architecte en chef Philippe Villeneuve, meilleur connaisseur de la cathédrale, est nettement hostile à cette deuxième option, qui prendrait en outre bien plus de temps.Repoussé en raison du confinement, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, sera achevé "au plus tard fin septembre", a assuré il y a une semaine le général Jean-Louis Georgelin, président de l'Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale.Ce démontage conditionne la possibilité de démarrer la restauration proprement dite de Notre-Dame, que le président Macron souhaite voir reconstruite dans un délai de cinq ans.