Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Négoce

(2089 résultats)
Il y a 2 ans et 120 jours

Les groupes Samse et Plattard rachètent ensemble un acteur du bois

ACQUISITION. Le groupe Plattard, spécialiste de l'industrie du béton et distributeur de matériaux en Rhône-Alpes, et le distributeur de matériaux de construction, Samse, viennent d'acquérir un acteur dédié à l'industrie du bois.
Il y a 2 ans et 124 jours

Castorama renforce son engagement en faveur de la biodiversité en créant une forêt urbaine

Ce projet, initié le mercredi 18 janvier avec une plantation participative et réalisé en collaboration avec Reforest’Action, vise à renforcer la biodiversité locale en formant un écosystème forestier. Il s’inscrit dans une démarche plus globale de l’enseigne et du Groupe Kingfisher qui a pour ambition de devenir « Forest Positive » d’ici 2025 et vient concrétiser l’engagement de Castorama d’être l’enseigne du changement responsable.Une plantation participative qui renforce la biodiversité localeCastorama a choisi de s’associer à Reforest’Action, acteur de référence pour la restauration des écosystèmes forestiers en France, pour créer une forêt urbaine au Castorama de Marseille Saint-Loup.Cette initiative permet à l’enseigne de valoriser un terrain adjacent au magasin pour le transformer en boisement urbain. Une initiative bénéfique pour l’environnement qui permettra à terme de protéger les sols de l’érosion et des glissements de terrain, mais aussi de contribuer à la lutte contre le changement climatique et de renforcer la biodiversité du site. Une étude du sol et des conditions climatiques réalisée par Reforest’Action a permis d’intégrer un mélange d’arbres et d’arbustes locaux afin de former un écosystème forestier favorable au milieu. À terme, ce sont près de 500 arbres qui pourraient être plantés sur le site.A l’occasion d’une plantation participative, les collaborateurs du magasin ont accueilli le 18 janvier une trentaine d’enfants du centre aéré de l’Association Le P’tit Camaïeu, âgés de 6 à 10 ans. L’occasion d’une journée au contact de la nature pour les sensibiliser de façon concrète aux enjeux des forêts.« Je suis très fière que notre magasin participe à cette initiative qui a un impact concret sur l’environnement et contribue aux engagements de Castorama. Pouvoir agir localement en faveur des forêts est une véritable source de satisfaction pour nos collègues en magasin. Des collègues qui trouveront également dans cette forêt urbaine un espace pour se ressourcer à proximité du magasin », se réjouit Marie-Christine Vergnes, directrice du Castorama de Marseille Saint-Loup.La lutte contre la déforestation au coeur des préoccupations de CastoramaLa création de cette forêt urbaine est un nouvel exemple des engagements pris par Castorama en matière de préservation des forêts, pilier clé de sa stratégie RSE. Castorama a pour ambition d’être l’enseigne du changement responsable à la fois pour ses clients et pour elle-même.« La création de cette forêt urbaine est une nouvelle illustration de nos engagements d’enseigne en matière de préservation de l’environnement. Depuis plus de 15 ans, nous menons des actions pour lutter contre la déforestation. Dans cette perspective, Castorama s’est engagé à utiliser 100% de bois et papier issus de forêts gérées durablement d’ici 2025 – l’enseigne est aujourd’hui à plus de 90% - et à contribuer à des projets de reforestation », affirme Franck Moreno, directeur d’enseigne de Castorama en France.Plus largement, cette action s’inscrit en cohérence avec l’ambition du groupe Kingfisher de devenir « Forest Positive », qui a rejoint en 2021 l’association Rainforest Alliance en tant que membre fondateur de l’initiative Forest Allies. Ce partenariat permet au groupe Kingfisher et ses enseignes de contribuer à travers diverses actions à la protection, la restauration et la gestion responsable de forêts naturelles.
Il y a 2 ans et 127 jours

Argan dépasse ses objectifs de croissance en 2022

Son bénéfice net 2022 a fondu à 95,1 millions d'euros contre 668 millions un an plus tôt, mais ce chiffre de 2021, en hausse de 140%, relevait d'une explosion peu représentative car essentiellement due à la revalorisation de ses actifs.Le bénéfice net récurrent, plus représentatif des performances d'une foncière, a augmenté de 6% en 2022 à 119 millions d'euros, dépassant légèrement l'objectif fixé de 118 millions.Quant aux revenus locatifs d'Argan, ils ont grimpé à 166 millions d'euros (+6%), également un peu au-dessus de l'objectif (165 millions).Cette croissance a été portée par la création ou l'acquisition de nouveaux sites, dont l'achat à Renault d'un entrepôt de 153.000 mètres carrés dans l'Yonne."Compte-tenu du retour à 100% du taux d'occupation et d'un marché locatif en situation de sous-offre (vacance à 3,8% en France)", Argan anticipe pour 2023 une hausse de 10% de ses revenus locatifs à 182 millions d'euros et une hausse de 4% de son bénéfice net récurrent, selon le communiqué.Par ailleurs, "face au changement de cycle économique de 2022, qui a entraîné une augmentation brutale des taux d'intérêts", Argan indique qu'il va désormais "ferm(er) le robinet des emprunts" en s'autofinançant.Au total, Argan détient 3,5 millions de mètres carrés valorisés à 4 milliards d'euros. Signe de la bonne santé du marché de l'immobilier logistique, il s'attend à avoir 100% de taux d'occupation au premier trimestre.Ses principaux clients sont des groupes de la grande distribution traditionnelle, en premier lieu Carrefour, suivi par Casino, Auchan, Decathlon et Castorama.Il loue également à des logisticiens (FM, Geodis) et au géant de l'e-commerce Amazon.Le groupe compte verser à ses actionnaires un dividende de 3 euros par action.
Il y a 2 ans et 127 jours

Le groupe Legrand annonce son retrait de Russie, dépréciation de 150 millions d'euros

"Au vu de l'évolution de la situation, et notamment de l'accroissement des difficultés opérationnelles et des incertitudes, Legrand a décidé de se désengager de Russie et examine ses différentes options pour assurer un transfert de ses activités dans les meilleures conditions", a précisé l'industriel dans un communiqué.Legrand a souligné que ses activités en Russie avaient représenté "en 2022 environ 1,5% (de ses) ventes annuelles".Le groupe "considère que ce désengagement constitue la meilleure option afin de poursuivre le respect des réglementations applicables et de préserver à long terme une continuité des activités locales pour ses collaborateurs et ses clients".Quelque 1.100 personnes travaillent pour le groupe en Russie, où Legrand compte quatre usines, selon une porte-parole. L'entreprise fabrique des produits sur place et en importe également.En outre, l'exposition de son bilan à ses activités dans le pays est d'"environ 200 millions d'euros"."Sur ce montant, près de 150 millions d'euros seront enregistrés dans les comptes consolidés 2022 en tant que dépréciation d'actifs, et ce sans impact sur le résultat opérationnel ajusté du Groupe", a-t-il encore indiqué.L'entreprise a engrangé 812 millions d'euros de bénéfice net lors des neuf premiers mois de 2022, en hausse de 16,1% sur un an, pour un chiffre d'affaires de 6,154 milliards (+19,1%). Ses résultats annuels seront publiés le 9 février.Legrand faisait partie des rares entreprises françaises qui avaient poursuivi leurs activités en Russie, frappée par de multiples sanctions européennes après l'invasion de l'Ukraine le 24 février 2022, comme Bonduelle, Leroy Merlin et Auchan (Mulliez), ou encore Lactalis.
Il y a 2 ans et 131 jours

12ème édition du Carrefour des Partenaires : FRANCE MATÉRIAUX dévoile sa feuille de route 2023

Point de rencontres et de négociations entre adhérents et partenaires industriels du groupement national, la 12ème édition du Carrefour des Partenaires, organisée à Lille les 18 et 19 janvier 2023, a été l’occasion pour FRANCE MATÉRIAUX de dévoiler ses nouveaux services et axes stratégiques pour continuer à accompagner, fédérer et développer son réseau de négociants indépendants. Ces deux journées d’échanges ont également permis à Eric Petitdemange, Directeur Général, de mettre en avant la résilience de ses adhérents et les atouts du modèle du groupement face à la conjoncture économique actuelle. FRANCE MATÉRIAUX, LA FORCE DE L’INDÉPENDANCE POUR RELEVER LES DÉFISLors de la plénière ouvrant le Carrefour des Partenaires, Eric Petitdemange a tenu à souligner « la formidable résilience des adhérents de France Matériaux qui ont su s’adapter, intégrer et réagir aux coups de boutoirs dûs aux difficultés d’approvisionnement, aux pics d’activités,… tout au long de l’année 2022. Ceci a démontré que le format du négoce indépendant à taille humaine constitue un vrai atout pour relever les défis d’aujourd’hui et construire demain, ensemble ». 2023 : UN NOUVEAU PANEL D’OUTILS AU SERVICE DE LA PERFORMANCEFace à la situation économique tendue, la 12ème édition du Carrefour des Partenaires a été l’occasion pour FRANCE MATÉRIAUX de présenter ses nouveaux outils digitaux et services physiques pour accompagner ses adhérents dans leur développement. Parmi eux : la base logistique, lancée l’an dernier, totalement opérationnelle avec une gamme de produits plus large en stock : intégration de menuiseries, d’accessoires, de produits pour le sol,… l’élargissement de l’offre produits LES ÉLÉMENTAIRES avec notamment des accessoires de couverture et des produits pour le gros oeuvre, confortant la démarche initiée en 2022 avec la gamme sol ; un plan d’actions commerciales riche composé de trois opérations phares rythmant l’année ; le Bureau de la Performance Energétique, cette structure accompagnant les adhérents et leurs clients à se positionner sur le marché de la rénovation énergétique, renforce ses missions avec de nouvelles formations et outils plus performants pour gérer les dossiers d’aide financière. En complément des solutions pour satisfaire le marché de la rénovation énergétique, une nouvelle offre en matière de photovoltaïque. En apportant de la valeur ajoutée à la toiture, celles-ci permettront aux adhérents, déjà bien implantés sur ce marché, de disposer d’une offre complète pour les chantiers de leurs clients couvreurs ; des dispositifs pour accompagner les adhérents à intégrer la REP ainsi que les nouvelles réglementations en vigueur ; des outils de gestion pour améliorer la compétitivité des entreprises et limiter le risque de défaillance client. LES TROPHÉES FRANCE MATÉRIAUX 2023 POUR RÉCOMPENSER LES PARTENAIRES INDUSTRIELS…Parce que la coopération entre distributeurs et industriels est essentielle face aux enjeux économiques et environnementaux actuels, le groupement FRANCE MATÉRIAUX a souhaité récompenser trois de ses partenaires fabricants de matériaux en fonction de 3 critères : SOPREMA pour la Dynamique de l’Offre ISOLAVA pour la Qualité de Service FISCHER pour la Qualité de la Relation Commerciale … ET DES ADHÉRENTS MIS EN LUMIÈREAutre nouveauté de cette édition du Carrefour des Partenaires, la mise en avant des négoces de matériaux indépendants adhérents de FRANCE MATÉRIAUX pour leurs actions en faveur de : la transformation d’enseigne et le passage sous les nouvelles couleurs de FRANCE MATÉRIAUX selon la charte graphique de 2021 : la société LOUIS GARNIER (43) la dynamique commerciale sur les points de vente et sur les réseaux sociaux : la société SMB (38) et le Libre Service le plus dynamique mis en place par le négoce LEDESMA (83) En croissance, rappelons que FRANCE MATÉRIAUX regroupe, aujourd’hui, 156 adhérents et 243 points de vente sur l’ensemble du territoire français. Pour fédérer et créer une dynamique de groupe, FRANCE MATÉRIAUX organise, depuis fin 2022, un parcours d’intégration au sein de son siège à Chambéry, pour ses nouveaux adhérents. Pas moins de douze nouveaux adhérents ont ainsi rejoint le groupement en 2022. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 2 ans et 132 jours

Score Carbone : "L'idée n'est pas de faire la chasse aux sorcières !", Mano Mano

INTERVIEW. La marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, va mettre en place un score carbone afin d'accompagner encore un peu plus ses clients particuliers et professionnels dans le choix de leur produit. Matthieu Pihery, vice-président chargé du commerce et chef de projet du "Carbon Score" revient pour nous sur les détails de ce dispositif.
Il y a 2 ans et 132 jours

Challenge URSA « Coup double pour la Planète », pari tenu avec 5.388 arbres plantés en forêt de Chantilly

Une mobilisation qui se concrétise : les 5.388 arbres issus de ce challenge vertueux, ont été plantés en forêt de Chantilly (60) en décembre, joyau du patrimoine forestier français, dont un grand nombre de chênes est aujourd’hui en danger.Le vendredi 2 décembre, Jean-Pierre Laherre, Directeur général d’URSA France, en présence de Baptiste Vendel, Chef de projet « Horizon forêt » de la pépinière Naudet, Bruno Le Louët, service forêt de l’Institut de France et encadrant de l’association « Ensemble, Sauvons la forêt de Chantilly » et Antoine Degraeve, technicien forestier à l’Office National des Forêts (ONF), ont participé aux premières plantations de 5.388 arbres issus de l’opération « Coup double pour la Planète ».Pour rappel, le défi lancé par URSA en février dernier, avec son partenaire Allcolibri, était simple : 1 inscription au concours = 1 arbre planté1 inscription associée à l’envoi d’une photo d’un produit URSA en situation = 2 arbres plantés.Près de 1.000 professionnels, négoces, GSB et installateurs, ont joué le jeu, rivalisant d’imagination avec des photos drôles et insolites pour certains, en lien avec la nature pour d’autres, etc.Des efforts et engagement aujourd’hui récompensés, avec la plantation des premiers arbres, en forêt de Chantilly.Forêt de Chantilly, un joyau du patrimoine forestier français, en dangerCelle-ci souffre en effet du réchauffement climatique, avec des épisodes de canicules et de sécheresse à répétition, d’attaques répétées de hannetons qui se nourrissent des racines et des feuilles des arbres...Résultat : 40 % des chênes de cette forêt emblématique sont aujourd’hui entrain de dépérir.Un collectif d’acteurs et de bénévoles se mobilise depuis 2018 pour suivre l’évolution des arbres, planter, entretenir... C’est le mouvement « Ensemble, sauvons la forêt de Chantilly ».URSA France est fière de contribuer à son échelle, avec l’appui de tous les participants de l’opération « Coup double pour la Planète », à ce projet environnemental citoyen.
Il y a 2 ans et 133 jours

Passoires thermiques : Est-ce atteignable ?

Le gouvernement fait la chasse aux passoires thermiques. [DR] Xerfi Canal est l’un des leaders en France des études économiques sectorielles. Vincent Desruelles a effectué, pour le compte de l’entreprise, une étude poussée sur la rénovation de l’habitat, et notamment des passoires thermiques. Si l’ensemble de l’étude est disponible sur le site de la société, son communiqué en retrace les grandes lignes et nous en apprend un peu plus sur les perspectives du secteur. Portée par les subventions MaPrimeRénov’ et les aides directes comme les CEE ou les dispositifs complémentaires des collectivités locales, la rénovation énergétique tirera le marché de l’entretien-rénovation de bâtiments. Estimé à 114 Md€ (résidentiel et non résidentiel, avec les petits travaux), ce dernier bondira en moyenne de plus de 4 %/an de 2024 à 2025, après un ralentissement en 2023 lié au recul des ventes dans l’ancien et aux pressions sur le pouvoir d’achat, d’après les experts de Xerfi Precepta. Une forte croissance du secteur de l’entretien-rénovation Les dépenses en entretien-rénovation pour le seul habitat devraient augmenter de 4,3 %/an en moyenne d’ici 2025 pour s’établir à 100 Md€. Cette hausse est 2,5 fois supérieure à celle de la décennie 2010. Le marché profite donc bien d’un coup de pouce lié à la transition énergétique. Déjà, quelque 50 000 biens en étiquette G et dont la consommation dépasse 450 kWh/m²/an doivent sortis du marché locatif. Au total, près de 150 Md€ seront nécessaires d’ici 2034 pour supprimer les passoires thermiques du parc locatif, dont 35 à 40 Md€ avant la première grande échéance de 2025 (interdiction à la location de tous les biens étiquetés G). Les moteurs pour la rénovation des bâtiments tertiaires, industriels et commerciaux (36 Md€ en 2022) resteront, eux aussi, puissants à moyen terme. Face aux difficultés à construire des projets neufs, les opérations de reconversion-réhabilitation auront en effet la cote. Celles-ci sont d’ailleurs encouragées par les collectivités et peuvent se traduire par des associations entre promoteurs et investisseurs. Un objectif inatteignable ? Toutefois, les objectifs ambitieux d’éradication des passoires thermiques pourraient bien ne pas être atteints. De nombreux propriétaires bailleurs pourraient s’abstenir d’engager une profonde rénovation faute de rentabilité suffisante (coût des travaux par rapport à la valeur du bien). De la même façon, les opérations en copropriété seront difficiles à mener (règles de décision et de priorisation des travaux curatifs ou d’urgence). En clair, un programme associant aides directes (nationales et locales), propositions de financement du reste à charge et innovation en matière d’ingénierie patrimoniale et financière semble le seul moyen d’accélérer les opérations de rénovation de l’habitat en France. Dans le logement, les ménages sont les principaux donneurs d’ordre avec 90 % des dépenses (contre 10 % pour les bailleurs sociaux). Ils mobilisent surtout des fonds propres pour financer les travaux et ont recours aux prêts, aidés ou non, à hauteur d’un tiers des dépenses engagées. Et alors que le cadre réglementaire s’oriente vers davantage d’obligations de rénovation, les entreprises du bâtiment vont devoir pallier le manque de main-d’œuvre pour atteindre l’objectif de massification des opérations ou au moins répondre aux besoins croissants des prochaines années. Aides et accompagnements sont nécessaires Dans le même temps, il serait judicieux d’adapter les dispositifs d’aide aux besoins. Le chemin s’apparente de fait à un véritable parcours du combattant administratif et les solutions disponibles pour le reste à charge restent insuffisantes. A tel point que les dysfonctionnements recensés sur le dispositif de MaPrimeRénov’ ont conduit de nombreux ménages à renoncer aux aides. Une tendance qui a d’ailleurs fait émerger un marché de l’accompagnement. Le recours à des options alternatives de type tiers financement pourrait aussi être une piste à creuser. Parmi les différents acteurs du marché de la rénovation, plusieurs lignes directrices se dégagent, en termes de stratégies de croissance. L’accompagnement des ménages dans leurs démarches techniques et administratives est l’une d’entre elles. Les plates-formes d’intermédiation tentent ainsi de se faire une place entre les artisans et les porteurs de projet de rénovation. Les délégataires de CEE cherchent aussi à accompagner les particuliers et les entreprises. Les grands groupes de construction veulent rationaliser Pour faciliter les parcours clients désireux d’accéder aux aides, les collaborations entre acteurs et distributeurs voient également le jour. Les négoces essaient pour leur part d’apporter des solutions aux artisans en appui de leur prospection commerciale, permettant à ces derniers d’offrir une gamme complète (des travaux à leur financement). Les fabricants de matériaux et autres acteurs de la construction investissent pour se renforcer sur le marché de la rénovation. Cela passe notamment par des capacités de production étoffées, en particulier dans les produits isolants ou sur des offres destinées à la rénovation. De leur côté, les groupes de construction proposent des solutions pour gagner en efficacité dans les travaux, à travers l’industrialisation. Vinci Construction ou Bouygues Construction ont ainsi conçu des offres pour réaliser des opérations d’envergure dans des délais très courts, en ayant recours à la préfabrication de panneaux isolants. Basées sur des référentiels faciles à dupliquer, ces démarches ouvrent la voie à un financement par contrats de performance énergétique. Et constituent alors une option sérieuse pour répondre aux objectifs de massification des rénovations. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 134 jours

VM devient « VM Matériaux » et dévoile sa nouvelle signature : « Construire demain, construire durable. »

Une vision et des changements que l'enseigne accompagne à travers une nouvelle identité. Elle devient « VM Matériaux » afin de réaffirmer son identité et son cœur de métier, et appose sous son logo une nouvelle signature : « Construire Demain, Construire durable. ».Facile à mémoriser, elle constitue une véritable promesse, celle de l'avenir. L'enseigne, qui a retravaillé ses fondamentaux depuis plus de deux ans, se réaffirme, par l'image et les mots, au cœur de son marché, celui de la construction et des matériaux. Cette nouvelle signature appuie son positionnement engagé, aux côtés de ses clients, pour une construction et une rénovation durables. Son esprit optimiste et visionnaire se lit à travers les expressions « demain » et « durable ». Fédératrice, la signature invite à se réunir autour d'engagements forts pour l'ensemble des parties prenantes : les collaborateurs.trices, les clients professionnels et particuliers, les fournisseurs... Elle symbolise également un marqueur fort pour le recrutement de nouveaux talents.Un acteur engagé dans la construction durable et qui se projette dans l'avenir avec ses clientsActeur moteur de la construction durable, VM se définit au-delà du « distributeur de matériaux ». Il est présent à chaque étape pour partager avec ses clients leurs enjeux, pour solutionner leurs problèmes, leur apporter expertise et conseil, et faciliter la réalisation de leurs chantiers.« Le VM Matériaux de demain ne sera jamais le VM Matériaux d'hier. Tout en préservant notre ADN, nous portons d'autres ambitions, totalement intégrées dans la stratégie. Nous nous fixons pour mission d'accompagner tous nos clients dans l'avenir, avec une volonté forte de modernisation digitale, sociétale, comportementale. La mise en avant de demain s'effectuera sur le faible impact carbone plutôt que sur le prix. C'est cela le nouveau VM Matériaux. ». Eric ROUET, Directeur Général de VM MatériauxUne réaffirmation des spécificités des points de venteDans un esprit de préservation de l'esprit de proximité, « VM Matériaux » constitue un marqueur fort de l'ancrage local de l'enseigne. L'évolution visuelle est repensée pour l'ensemble du territoire au-delà de la Vendée, son berceau historique, pour des secteurs où le maillage de VM est plus récent, tel que la Normandie.Elle vient consolider le parcours client qui opère ces dernières années une profonde modernisation. Si la mention « Matériaux » est ré-intégrée au bloc-marque, les repères sont conservés. L'identité visuelle du logo évolue subtilement. La forme clairement identifiable du carré reste intacte, ainsi que les codes couleurs. Les lettres sont adoucies par des formes souples et arrondies.L'identité sera déployée au fil des prochains mois sur les façades des show-rooms de l'enseigne, de ses points de vente Matériaux & Rénovation, Bois & Rénovation, LNTP...
Il y a 2 ans et 134 jours

INOHA lance sa plateforme de Business Intelligence

Dans cette période d’incertitude, les entreprises ont besoin de s’appuyer sur des données pertinentes, complètes et précises pour prendre les meilleures décisions. Dans cet objectif, INOHA, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, propose à ses adhérents un service innovant pour gagner en performance : INODATA, la nouvelle plateforme Business Intelligence, véritable observatoire de l‘économie et des tendances du Nouvel Habitat, favorisant le décryptage des données et la connaissance du marché. Un outil essentiel d’aide à la décision Exclusivement réservé à ses adhérents, la plateforme INODATA est accessible depuis l’espace du site Internet d’INOHA : www.inoha.org. Indispensable au bon pilotage des entreprises, elle regroupe, en un lieu unique, des données très complètes, essentielles à la prise de décision. Elle comprend : Sur le marché de la GSB, en collaboration avec la FMB, des données mensuelles sur 12 rayons, 64 familles, 274 sous-familles du référentiel INOHA en Grandes Surfaces de Bricolage ; Sur le marché du Négoce, avec XERFI, des données mensuelles sur 12 rayons ; Sur le marché de la GSA, avec GFK, des données mensuelles sur 12 rayons et 64 familles ; Sur le marché de la Jardinerie-Lisa, avec GFK, des données mensuelles sur 12 rayons et 64 familles. A cette offre, s’ajoutent des services et des études consommateurs exclusifs dans les domaines suivants : Economie générale avec 37 indicateurs macroéconomiques (matières premières, mise en chantier, moral des ménages, inflation …) ; Marchés : enquête trimestrielle sur les comportements d’achat et les circuits d’achat par enseigne, réalisée avec GFK ; Tendances : analyse des recherches des consommateurs sur Internet, observatoire des rayons et des acteurs de la distribution, réalisés avec la start-up Trajaan. Enquête sur les projets passés et à venir des consommateurs et les évolutions de leur comportements d’achat. Grâce à la nouvelle plateforme INODATA, les adhérents d’INOHA accèdent facilement aux données qui les intéressent, peuvent élaborer des tableaux de bord personnalisés et les partager entre collaborateurs grâce à la data visualisation. Une souscription à la carte INOHA propose une souscription à la carte pour s’adapter au besoin de chacune des entreprises adhérentes. De plus, en mutualisant les coûts, INOHA rend ces données accessibles à des tarifs très abordables. « INODATA est un outil très puissant sur la connaissance des marchés et des tendances. Aucune Association ou Fédération ne propose, à ma connaissance, ce type d’outil qui permettra à nos adhérents d’avoir une vision juste sur les marchés et un coup d’avance sur les tendances » souligne Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA. A propos d’INOHA Association professionnelle des Industriels du Nouvel Habitat, INOHA fédère, depuis 1978, les fabricants de produits manufacturés destinés à l’entretien, au bricolage, à l’aménagement extérieur, au jardinage, à l’amélioration de l’habitat et à la construction résidentielle neuve. INOHA les fédère pour les aider à accélérer leur développement dans une approche multi-canal et s’engage auprès d’eux à les éclairer, à construire et à peser dans un esprit de partage, d’engagement et de respect. INOHA et ses adhérents sont au service des Français qui font de leur habitat une valeur refuge, source de leur bien-être.
Il y a 2 ans et 138 jours

Une vidéo dessinée met à l'honneur les métiers de mécanicien et technicien de matériels

FORMATION PROFESSIONNELLE. La fédération des distributeurs, loueurs et réparateurs d'engins de construction et de manutention a réalisé une vidéo dessinée pour faire découvrir aux jeunes les métiers de mécanicien et technicien d'engins, en atelier comme en itinérance.
Il y a 2 ans et 138 jours

Mano Mano va afficher le score carbone d'une partie de son catalogue

EMPREINTE CARBONE. La marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, annonce mettre en place dès le mois d'avril un score carbone sur plusieurs produits de son catalogue.
Il y a 2 ans et 141 jours

IKO Insulations renforce ses services avec le nouvel outil digital Solutoit

IKO Insulations enrichit aujourd'hui cette palette avec SOLUTOIT. Disponible gratuitement sur le site, Aide à la définition de solution IKO enertherm application toiture-terrasse | IKO enertherm, cet outil est dédié aux artisans poseurs, bureaux d'études, économistes de la construction… Sa mission : les guider dans le choix des combinaisons pour les toitures-terrasses. Besoin d'un écran thermique ou pas ? Quels produits d'isolation choisir selon mon projet d'ERP ? Fini le casse-tête de ces questions récurrentes dans la conception des toitures-terrasses !La solution idéale préconisée après quelques clicsSimple, intuitif et régulièrement mis à jour, il propose de renseigner en quelques clics :le type d'ouvrage (code du travail, code de l'habitation, ERP…),la nature du support (tôle d'acier nervurée, bois et panneaux à base de bois, maçonnerie, béton cellulaire…),le mode de fixation du complexe d'étanchéité (en adhérence totale, en semi-indépendance, en indépendance…),le mode de fixation du panneau (fixé mécaniquement, collé à froid…).La page finale récapitule le descriptif du chantier et préconise le produit IKO Enertherm qui correspond aux caractéristiques du projet. L'utilisateur a accès aux informations techniques et peut télécharger directement les documentations liées (ATEx, FDES, ACERMI…).Le plan de calepinageDans sa démarche d'accompagnement pour faciliter le quotidien des professionnels, IKO Insulations propose également un outil en ligne gratuit pour demander un plan de calepinage détaillé : Demande de plan de calepinage | IKO enertherm. Un gain de temps et de gestion tant pour l'étancheur que pour le négoce de matériaux !Le principe est simple et rapide : il suffit de renseigner le questionnaire avec :les dimensions extérieures (périmètres) nécessaires et lisibles sur le plan de la toiture-terrasse,les emplacements précis des points singuliers (émergences, équipements…) présents sur la toiture-terrasse,le positionnement des EEP indiquées clairement sur le plan de la toiture-terrasse ainsi que le sens de pente.
Il y a 2 ans et 146 jours

Point.P étend son influence dans le secteur du bois

ACQUISITION. L'enseigne de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, Point. P, vient d'acquérir un négoce spécialisé en bois et dérivés implanté vers Bordeaux.
Il y a 2 ans et 146 jours

Les grands chantiers d’INOHA en 2023 pour accompagner ses adhérents

Année élective pour le renouvellement de son Conseil d’Administration et de son Président, 2023 sera également synonyme, pour INOHA, l’association des Industriels du Nouvel Habitat, de grands chantiers menés dans le cadre de son plan d’actions stratégique 2025. Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, a profité de la cérémonie des vœux organisée le 11 janvier dernier pour les dévoiler. La feuille de route 2023 d’INOHA s’inscrit dans la continuité du plan stratégique lancé en 2021 pour accompagner ses adhérents à franchir un nouveau cap en devenant mieux informés, plus performants, plus responsables et plus influents. Ainsi, pour éclairer les membres d’INOHA sur les enjeux de la filière, sur l’évolution des marchés et sur les attentes des consommateurs, plusieurs actions sont déployées : INODATA, la nouvelle plateforme Business Intelligence d’INOHA. Véritable observatoire de l’économie et des tendances du Nouvel Habitat, INODATA propose de nouveaux services exclusivement réservés aux adhérents : Indicateurs macroéconomiques, Données des marchés GSB, Négoce, GSA, Jardinerie-Lisa, Informations sur les tendances : analyse des recherches des consommateurs sur internet, observatoire des rayons et des acteurs, enquête sur les projets passés et à venir des consommateurs et les évolutions de leur comportements d’achat. Pour faciliter son utilisation technique et celle des datas, centrées en particulier sur les études consommateurs marchés et tendances réalisées par GfK, de nombreux webinars de présentation seront organisés : • des capsules de compétences, nouvelles formations courtes de deux heures en visio (adaptées aux spécificités des adhérents), aborderont des sujets très ciblés, comme par exemple, la RSE, l’analyse des datas, les évolutions réglementaires et environnementales… INOHA proposera cette année un nouveau programme collectif sur la réduction et l’éco- conception des emballages afin de répondre à la réglementation (décret 3R de la loi AGEC du 29/04/2021). Pour construire ensemble l’avenir, INOHA a, dès 2022, engagé et accompagné la filière dans sa démarche RSE. En 2023, INOHA soutiendra de nouveaux groupes d’adhérents dans leur parcours de décarbonation tout en mettant en place au sein de l’association ses propres démarches responsables (actions suite au bilan carbone réalisé en 2022, sensibilisation des salariés au numérique à l’empreinte carbone réduite, …). INOHA lancera également un Club RSE pour que ses adhérents échangent sur les bonnes pratiques en termes de RSE et des groupes d’échanges d’expérience. En parallèle, INOHA poursuivra le travail initié avec la FMB (Fédération des Magasins de Bricolage) sur le déploiement d’un système unique de partage de data produits et aidera ses adhérents dans la prise en main de FAB-DIS au travers de capsules de compétences. Enfin, pour peser et conforter son rôle d’acteur incontournable auprès des distributeurs et des pouvoirs publics, INOHA continuera à travailler avec toutes les parties prenantes pour l’instauration des REP Articles de Bricolage et de Jardin et celle du Bâtiment et a pour objectif de développer encore son nombre d’adhérents. « Dans cette période d’incertitude, avoir des données pertinentes, complètes et précises est plus que jamais stratégique pour permettre à nos adhérents de prendre les meilleures décisions. C’est l’ambition que nous formulons avec INODATA, l’observatoire économique et des tendances du Nouvel Habitat sur lequel nous avons travaillé en 2022 et que nous lançons en ce début d’année. L’accompagnement de nos adhérents sur la RSE est également une priorité et nous intensifierons en 2023 ce que nous avons initié l’année dernière », conclut Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA. www.inoha.org
Il y a 2 ans et 151 jours

Rénovation énergétique : Saint-Gobain plaide pour des investissements "pluriannuels"

ÉCONOMIE. Le directeur général du groupe de matériaux de construction, Benoît Bazin, souhaite que la France adopte une "logique d'investissement" sur 10 ans pour faire passer les chantiers de rénovation énergétique à la vitesse supérieure. Le dirigeant a également appelé de ses voeux un "plan massif" pour faire baisser la facture énergétique des bâtiments publics.
Il y a 2 ans et 151 jours

Brico Fenêtre double son CA en 18 mois et annonce son lancement en Espagne

Pari réussi pour Brico-Fenêtre.com qui dépasse les 21 M€ de chiffre d’affairesBrico Fenêtre annonçait, il y a 18 mois, un objectif ambitieux : doubler son chiffre d’affaires d’ici fin 2022. Un challenge annoncé peu de temps avant que la conjoncture et le contexte actuel fassent terriblement bouger les lignes du secteur de l’industrie et du bâtiment. Et pourtant, Brico Fenêtre a gardé le cap et a relevé le défi avec un chiffre d’affaires qui s’élève aujourd’hui à plus de 21 M€.La recette du succès ? Une stratégie de plus en plus tournée vers l’aluminium et le développement de ses ventes auprès des professionnels artisans.Brico Fenêtre suit et analyse de près les tendances de consommation pour toujours s’adapter aux attentes des Français. Consciente que la tendance du marché est à l’aluminium, l’entreprise a misé sur ce matériau pour accélérer son développement. Pour cela, fin 2021, le fabricant inaugurait son nouvel outil industriel dédié à l’aluminium. Une usine de pointe qui lui a permis de faire grimper sa capacité de production de 200 à 400 menuiseries/jour et ainsi répondre à une demande croissante. En 2022, l’aluminium représente 25% des quantités vendues par la plateforme (vs. 21% en 2021).Les professionnels du bâtiment font face à l’explosion des rénovations énergétiques des logements, notamment boostée par la RE2020 et la hausse des coûts de l’énergie. De fait, conscient que les artisans sont un véritable levier de croissance, Brico Fenêtre a choisi, cette année, d’en faire un axe de développement prioritaire. Les services (livraison sur chantier par exemple) et la flexibilité (comme la possibilité de commander à toute heure) proposés par le e-commerçant séduisent les artisans. La preuve :la plateforme a doublé son chiffre d’affaires réalisé auprès des professionnels en deux ans (5 M€ en 2022 vs. 2,5 M€ en 2020).Pour Thierry Rambert, fondateur et dirigeant de Brico Fenêtre : "Malgré la complexité du marché dans lequel nous évoluons depuis plus d’un an, nous affichons une croissance exceptionnelle dans l’histoire de Brico Fenêtre. C’est une vraie fierté. Pour les prochains mois, notre priorité en France est de consolider durablement cette belle dynamique de développement."Le e-commerçant duplique son modèle en Espagne et lance brico-ventana.esLa croissance remarquable qu’a connu Brico Fenêtre cette dernière année adossée à la demande exponentielle qu’il rencontre en Europe, en dehors du territoire français (soit 4% de son chiffre d’affaires), amènent l’entreprise à miser sur une nouvelle stratégie de développement : l’internationalisation. Elle se lance ainsi le challenge de s’imposer sur le marché européen.Afin d’être au plus proche des besoins des consommateurs et rester fidèle à son concept basé sur le direct-usine en circuit court, Brico Fenêtre a choisi de dupliquer son modèle dans d’autres pays européens, plutôt que de simplement exporter ses produits en dehors de ses frontières. Une stratégie qui lui permet également de s’adapter aux spécificités de chaque territoire (en termes d’architecture, de réglementations, de méthodes de construction et d’isolation…) en fabricant des produits appropriés à chaque marché.C’est l’Espagne qui a ouvert le bal avec le lancement de brico-ventana.es en mars 2022. Pour la production de ses menuiseries, Brico Ventana s’appuie sur l’usine du groupe Biason de 7.000 m2 située à Sant-Celoni et dédiée au PVC avec une capacité de production de 300 menuiseries/jour. En parallèle, l’entreprise a sélectionné des partenaires espagnols et portugais pour venir compléter son offre et proposer une plus large gamme de produits (volets, portes d’entrée, accessoires...).Pour Thierry Rambert : "Neuf mois après notre lancement en Espagne, Brico Ventana se développe jour après jour. On observe d’ailleurs un bond de son chiffre d’affaires ces trois derniers mois. Une donnée prometteuse qui nous conforte dans notre stratégie de développement au-delà de nos frontières d’origines. Maintenant, le défi est de faire de cette première implantation européenne un succès et, pourquoi pas, commencer à réfléchir à de nouveaux ancrages."
Il y a 2 ans et 152 jours

Semin lance "Les talentueuses" le premier trophée dédié aux femmes du bâtiment

Devenue ETI, l’entreprise a su s’imposer comme l’un des spécialistes mondiaux des solutions pour l’aménagement intérieur de l’habitat. La société dont le cœur de métier est la fabrication d’enduits à destination des plâtriers et des peintres consacre un budget de 6,5 millions d’euros par an pour la R&D et la transition écologique.Caroline SEMIN attache une grande importance à l’égalité homme/femme. Débordante d’imagination, elle a imaginé un évènement unique, “Les talentueuses”, le premier trophée mettant à l’honneur les femmes dans le bâtiment. Cette première édition se tiendra le 15 juin 2023 dans un lieu parisien. Durant la cérémonie, six candidates réparties dans six catégories seront récompensées et une septième lauréate parmi ces catégories se verra décerner le prix “Coup de cœur”.Elles viennent du bâtiment, Elles ont du talent, Mettons-les en lumièreParce que Caroline SEMIN souhaite mettre les femmes du Bâtiment à l’honneur, SEMIN organise “LES TALENTUEUSES”, le 1er trophée dédié aux femmes du Bâtiment, bousculant les codes, bravant les idées reçues.Les femmes font aujourd’hui leurs places et apportent leurs différences. Ce trophée a pour ambition de valoriser et récompenser les plus talentueuses et les plus valeureuses d’entre elles.Un jury présidé par Caroline SEMIN accompagnée de femmes et d’hommes, toutes et tous experts dans leurs domaines aura le plaisir d’évaluer et de décerner les prix." Comme dans tous les métiers, les femmes peuvent apporter quelque chose de différent. Elles sont sources d’enrichissement quel que soit le secteur dans lequel elles évoluent. Les trophées “Les talentueuses” sont une façon de faire bouger les lignes, et en ce sens, je suis fière d’en être la 1ère Présidente du Jury ". Caroline SEMIN, Présidente Générale du Groupe SEMINDes trophées répartis selon 6 catégoriesLa première édition des Trophées “Les talentueuses” se tiendra le jeudi 15 juin 2023 à Paris. Durant l’évènement, six lauréates seront récompensées parmi les six catégories des trophées :Le trophée ACTIVE récompensera le parcours exemplaire d’une femme travaillant dans le secteur de la distribution de matériaux quelle que soit sa fonction et son à âgeLe trophée ENTREPRENEUSE sera remis à la candidate qui, par sa vision et ses qualités managériales, a su faire rayonner et réussir son entrepriseLe trophée APPRENTIE sera décerné à une jeune femme qui a osé se lancer avec courage et passion dans le bâtimentLe trophée EXPERIMENTÉE sera attribué à la lauréate ayant cumulée au moins dix ans d’expériences réussies quelque soit le secteur d’activité du bâtimentLe trophée ENGAGÉE distinguera celle qui a su s’engager avec succès pour une cause relevant de la Responsabilité Sociale de son entrepriseLe trophée INFLUENCEUSE récompensera une femme qui valorise les métiers du bâtiment sur les réseaux sociauxÀ la fin de la cérémonie, le Prix “Coup de cœur” sera remis à une candidate enregistrée parmi les six catégories représentées.Un site dédié aux inscriptionsToutes les femmes travaillant dans le bâtiment peuvent d’ores et déjà s’inscrire, et ce jusqu’au 15 mars inclus sur le site dédié de l’évènement sur les-talentueuses.semin.com. Pour prétendre à candidater, elles sont invitées à répondre à un questionnaire en mettant en avant leur implication dans le bâtiment. Une fois toutes les candidatures déposées sur le site, un jury de femmes et d’hommes, toutes et tous experts dans leurs domaines, aura le plaisir d’évaluer et décerner les prix. Enfin, chacune des lauréats recevra également une dotation de 500 euros. Notons que l’inscription des participantes est gratuite.
Il y a 2 ans et 153 jours

Terreal investit sur son site de Lahera à Mazamet (81) pour augmenter sa capacité de production de closoirs

Face à une demande qui s’est accélérée depuis la crise sanitaire, TERREAL double ainsi sa production de closoirs certifiés et made in France pour continuer à livrer ses clients en France et à l’export, et ainsi renforcer sa présence chez les distributeurs en matériaux.TERREAL continue d’investir dans son activité de composants de toitureLahera, société du groupe TERREAL depuis novembre 2006, est spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de composants de toiture ainsi que dans le développement de l’offre solaire de TERREAL depuis 2008.Depuis 2016, une seule ligne assurait la production des closoirs souples et rigides. La nouvelle ligne, destinée à la production des closoirs souples bi-matières LAHE FIRST, permet ainsi de décupler les capacités de production jusqu’à 2 millions de mètres linéaires par an, soit l’équivalent d’environ 130 000 maison par an, et de répondre à la demande croissante de ses clients depuis la crise sanitaire. « Cet investissement est bénéfique tant sur la qualité de l’offre avec des possibilités d’innovations sur des nouvelles matières ou des nouvelles largeurs, que pour les opérateurs sur site car en produisant sur deux lignes de fabrication, nous évitons le recours au travail de nuit que nous avons connu pendant la crise », explique Julie Etavard, Chef de Marché Accessoires Fonctionnels chez TERREAL.Cet investissement s’inscrit dans le plan de la performance opérationnelle des sites TERREAL qui s’est traduit notamment sur le site de Lahera par l’installation de cabines de découpes laser et de thermo-laquage pour les accessoires de toiture en 2018.Une gamme complète de closoirs TERREAL made in France et certifiée QB35TERREAL devient ainsi le plus important producteur de closoirs en France et le seul industriel à être certifié QB35 sur l’ensemble de sa gamme avec deux technologies de closoirs ventilés : les closoirs souples LAHE ROLL et LAHE FIRST et les closoirs rigides LAHE-PRO et LAHE-PRO Alu.Le référentiel QB35 repose sur la performance de trois critères : l’adaptabilité aux tuiles (classes G), l’étanchéité (classes E) et la ventilation (classes V). La combinaison de ces trois critères détermine le classement GEV du closoir et permet de trouver le produit le plus adapté aux tuiles. « En doublant notre capacité de production, nous entendons également nous positionner auprès de nos partenaires, négoces et sites de distribution spécialisés, en leur livrant un produit de qualité, made in France et certifié pour leurs clients », conclut Eric Risser, Directeur Marketing de Terreal en France.
Il y a 2 ans et 155 jours

Économie circulaire, énergie, rénovation, logement... changements et entrées en vigueur au 1er janvier 2023

Mieux consommer, mieux produirePour les particuliers : Fin de la vaisselle jetable dans les fast-food pour les repas consommés sur place : La vaisselle jetable est interdite dès le 1er janvier 2023 dans les établissements de restauration rapide, pour tout ce qui est consommé sur place : les repas seront désormais servis dans de la vaisselle lavable et réutilisable. Cela concerne les enseignes servant plus de 20 couverts simultanément. Mise en place de la reprise en magasin des produits usagés pour les jouets, les articles de sport et de loisirs, ainsi que les articles de bricolage et de jardinage : Les consommateurs pourront désormais déposer leurs produits usagés ou cassés directement en magasin, dans des bornes de collecte spécifiques mises à disposition. Ils pourront ainsi être réparés pour avoir une deuxième vie ou seront sinon recyclés. Collecte de tous les déchets d’emballages plastiques dans le bac jaune : Tous les Français de Métropole pourront désormais trier les emballages plastique dans le bac jaune afin qu’ils soient recyclés. Pour les professionnels : Disponibilité des pièces détachées pendant au moins 5 ans pour allonger la durée de réparation des produits : Les pièces détachées des équipements électro-ménagers, des petits équipements informatiques et télécommunications, des écrans et des moniteurs, des outils de bricolage et de jardinage motorisés (perceuses, tondeuses à gazon…), des articles de sport et de loisirs, y compris les bicyclettes, les bicyclettes à assistance électrique et les engins de déplacement personnel motorisés, devront être disponibles pendant au moins 5 ans. Cette mesure permettra d’allonger la durée de réparation de ces produits. Les moquettes ou tapis utilisés dans le cadre d’événements (type salons) intègrent la filière REP des éléments d’ameublement : Cela leur permettra à présent d’être collectés, réutilisés et recyclés. Rappelons qu’en France, l'équivalent d'une route de moquette Lille-Marseille est jetée chaque année. Obligation pour les sites industriels manipulant des granulés de plastiques de se doter de filtres pour lutter contre la pollution du plastique : La loi anti-gaspillage prévoit l'obligation pour les sites manipulant des granulés de plastiques industriels de se doter d’équipements et de procédures pour prévenir les fuites de granulés plastiques dans l’environnement, et de faire l’objet d’inspections régulières par des organismes certifiés indépendants. Cette disposition entre en vigueur le 1er janvier 2023 pour les sites dont l’exploitation a démarré avant 2021. Démarrage de la nouvelle filière REP des déchets du bâtiment : A compter du 1er janvier 2023, les déchèteries qui collectent les déchets du bâtiment et les entreprises de la construction pourront demander à l’un des éco-organismes agréé pour cette nouvelle filière de prendre en charge gratuitement les déchets du bâtiment. Le maillage de points de collecte gratuits des déchets du bâtiment sera étendu tout au long de l’année 2023. Les déchets pourront ainsi être réutilisés ou recyclés. Mieux se loger Pour les particuliers : Revalorisation des aides personnelles au logement (APL) Au 1er janvier 2023, les aides personnelles au logement (APL) seront rehaussées. Il s’agit d’une revalorisation du paramètre de ressources R0 (niveau de ressources en dessous duquel l'aide est maximale), conformément à l'article D. 823-17 du Code de la construction et de l'habitation (revalorisation à l'IPCHT - Indice des prix à la consommation hors tabac, dont le niveau est supérieur aux 4% appliqués en juillet par décret n° 2022-1096 du 29 juillet 2022). En outre, pour répondre à la demande des collectivités ultramarines, le plafonnement à 6 personnes à charge dans le barème du calcul des aides en Outre-mer sera supprimé. Augmentation des plafonds de loyer du dispositif de réduction fiscal “Loc'Avantages” Les plafonds de loyer du dispositif de réduction d'impôt "Loc'Avantages" seront augmentés en 2023 de la variation de l'indice de référence des loyers (IRL) calculée entre les valeurs des deuxièmes trimestres 2021 et 2022, soit une hausse significative de + 3,60%. Révision des plafonds encadrant le logement locatif social et l'accession sociale à la propriété Au 1er janvier 2023, les plafonds encadrant le logement locatif social et l'accession sociale à la propriété seront revalorisés pour tenir compte de l'inflation et de l'évolution des coûts de construction. Ces revalorisations, qui visent notamment à garantir un ciblage social adéquat de ces dispositifs de soutien au logement, concerneront :les plafonds de ressources pour l'éligibilité à un logement locatif social (PLAI, PLUS, PLS) sur l'ensemble du territoire ;les plafonds de ressources et de prix d'acquisition pour le PSLA et le BRS ;les plafonds de loyer pour la phase locative du PSLA. Révision des plafonds de ressources dit « ANAH » Les plafonds de ressources dit « ANAH » concernant les ménages modestes et très modestes seront révisés à hauteur de 6,3% pour 2023 par rapport à 2022 afin d'intégrer les impacts de l'inflation observée en 2022. Ces plafonds de ressources sont également pris en compte pour vérifier l'éligibilité aux aides de l'ANAH - Agence nationale de l'habitat (MaPrimeRénov' Sérénité, MaPrimeRénov' Copropriétés, Habitat indigne), le dispositif MaPrimeRénov', les CEE (Certificats d'économie d'énergie) précarité énergétiques, le dispositif de garantie de couverture de reste à charge pour les plus modestes (FGRE) comme l’Éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) et le prêt Avance rénovation (PAR). Démarrage du dispositif « MonAccompagnateurRenov » L'accompagnement obligatoire des ménages lors de rénovations énergétiques de l'habitat privé sera mis en œuvre à compter du 1er janvier 2023 et concernera dans un premier temps les rénovations pour lesquelles les aides MaPrimeRénov’ Sérénité (MPRS) seront mobilisées. Logement décent : évolution des critères La loi Climat & Résilience a demandé l'introduction d'un critère de performance énergétique minimal dans la définition du "logement décent". À compter du 1er janvier 2023, un logement sera qualifié de énergétiquement décent lorsque sa consommation d'énergie (chauffage, éclairage, eau chaude, ventilation, refroidissement...), estimée par le DPE et exprimée en énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an, sera inférieure à 450 kWh/m2 en France métropolitaine. Les logements les plus énergivores, dont la consommation d'énergie dépasse cette valeur, ne pourront plus être proposés à la location.Mieux se déplacer Pour les particuliers : Plan national covoiturage du quotidien : Une prime de 100€ pour les primo-conducteurs À partir de janvier 2023, les conducteurs qui se lancent dans le covoiturage de courte distance recevront une prime de 100€, reversée par les plateformes de covoiturage, sous la forme d’un versement progressif : une première partie au 1er covoiturage (25€ minimum) et le reste au 10e covoiturage, dans un délai de 3 mois à compter de son premier covoiturage. Un soutien aux covoitureurs en complément des collectivités sur le principe 1 € de l’État pour 1 € de la collectivité Le Gouvernement soutiendra aussi le covoiturage dans la durée en finançant la moitié de l’incitation financière que proposent certaines collectivités aux conducteurs et passagers sur la base du principe 1 € de l’État pour 1 € de la collectivité. Cela incitera davantage de collectivités à lancer de tels dispositifs et celles qui le font déjà à les poursuivre.Prolongation et renforcement des aides à l’achat vélo Afin de favoriser l’équipement des ménages et notamment des plus précaires, les aides à l’achat de vélo (bonus et prime à la conversion) ont été renforcées du 15 août au 31 décembre 2022. Ces aides seront prolongés sur l’ensemble de l’année 2023. De plus, pour accompagner un nombre plus important de Français dans l’achat de vélos, les seuils d’éligibilité seront rehaussés, à partir du 1er janvier 2023, pour couvrir 50% des ménages les plus modestes (revenu fiscal de référence par part inférieur à 14.089 €, contre 13.489 € actuellement) et 20% pour les aides renforcées (revenu fiscal par part inférieur à 6.358 € contre 6.300 € actuellement). Le bonus écologique pour l’acquisition d’un véhicule neuf électrique À compter du 1er janvier 2023, le bonus écologique pour l'acquisition d'un véhicule neuf sera réservé aux voitures particulières électriques dont le coût d'acquisition est inférieur à 47.000 euros et la masse inférieur à 2,4 tonnes, et aux camionnettes électriques. Le montant d'aide pourra s'élever jusqu'à 5.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 6.000 euros pour une camionnette. Comme annoncé par le Président de la république lors du Mondial de l'automobile, ces montants d'aide seront augmentés de 2.000 euros pour les ménages dont le revenus de référence par part est inférieur à 14.089 euros (soit 50% des ménages), soit une aide maximale de 7.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 8.000 euros pour une camionnette. Concernant la prime à la conversion, elle sera réservée aux ménages dont le revenus de référence par part est inférieur à 22.983 euros (soit 80% des ménages). Son montant sera renforcé pour les ménages des deux premiers déciles de revenus (RFR/part inférieur à 6.358 €) et pour les ménages des cinq premiers déciles de revenus et gros rouleurs (RFR/part inférieur à 14.089 €) pour lesquels la prime pourra atteindre jusqu'à 6.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 10.000 euros pour l'acquisition d'une camionnette. De plus, le montant de la prime sera majoré de 1.000 euros dans les ZFE et jusqu'à 3.000 euros si une collectivité locale octroie une aide de même nature en ZFE. Pour les professionnels : Le forfait mobilités durables (FMD) Dans toute la fonction publique, le FMD passera au 1er janvier 2023 de 200€ à 300€.De plus, l'élargissement du FMD aux engins de déplacement personnel, motorisés et non motorisés, aux services de mobilité partagée, et la possibilité de cumul de ce forfait avec le remboursement partiel d’un abonnement de transport en commun sera possible de manière rétroactive au 1er septembre pour la fonction publique d'Etat et hospitalière, et applicables au 1er janvier pour la fonction publique territoriale. Entrée en vigueur du nouveau dispositif sur la captation aérienne de données Le 1er janvier 2023 entre en vigueur du décret n° 2022-1397 du 2 novembre 2022 portant application de l'article L. 6224-1 du code des transports relatif au régime encadrant la captation et le traitement des données recueillies depuis un aéronef dans certaines zones. Ces dispositions concrétisent la refonte, la modernisation et la simplification des dispositions actuelles relatives aux zones interdites de prise de vue aérienne. Les régimes d’autorisation pour les prises de vue en dehors du spectre visible et de déclaration préalable pour les prises de vue dans le champ du spectre visible sont supprimés. Subsiste un régime d’autorisation pour les prises de vue de zones identifiées comme particulièrement sensibles du point de vue de la défense ou de la sécurité nationale. Mieux protéger notre santé Qualité de l’air extérieur Plusieurs zones à faibles émissions sont renforcées au 1er janvier 2023 : Montpellier : renforcement des restrictions de circulation dans la ZFE-m : sont désormais concernés les Crit'air 5 et non classés pour les véhicules légers, Crit'air 4 et plus pour les véhicule utilitaire léger et les poids lourds ;Nice : entrée en vigueur des restrictions de circulation dans la ZFE-m pour les Crit'air 5 (véhicules légers et véhicules utilitaires légers), et Crit'air 4 et plus pour les poids lourds ;Reims : entrée en vigueur des restrictions de circulation dans la ZFE-m pour les Crit'air 4 et plus ;Strasbourg : poursuite des restrictions pour les véhicules Crit'air 5 et non classés. Le prix de la vignette Crit'Air passera de 3,70 à 3,72 € frais de port inclus pour un envoi en France. Qualité de l’air intérieur : un nouveau dispositif de surveillance Le dispositif de surveillance de l'air intérieur dans les établissements recevant du public (ERP) est révisé dans le cadre du quatrième Plan national santé environnement. Intégrant les acquis de la crise de la Covid-19, cette révision a permis de rendre la surveillance de la qualité de l’air intérieur (QAI) plus complète et adaptée tout en facilitant son appropriation par les acteurs concernés. Le dispositif révisé est désormais constitué des quatre volets suivants : une évaluation annuelle des moyens d’aération des bâtiments incluant notamment une mesure à lecture directe de la concentration en dioxyde de carbone de l'air intérieur ;un autodiagnostic de la QAI, réalisé au moins tous les quatre ans ;une campagne de mesures des polluants réglementaires réalisée à chaque étape clé de la vie du bâtiment pouvant impacter la QAI ;un plan d’actions régulièrement actualisé, proposant des actions correctives à mettre en œuvre afin d’améliorer la QAI en prenant en compte les résultats de la surveillance. Mise en place d’indicateurs de bruit dans les transports ferroviaires L'arrêté du 29 septembre 2022 pris en application de l’article 90 de la loi n°2019-1428 du 24 décembre 2019 d’orientation des mobilités fait suite à trois avis du Conseil National du Bruit rendus depuis l'adoption de la loi. Cet arrêté prévoit la mise en place d’indicateurs de gêne due à la soudaineté, la répétitivité et à l’intensité du bruit des infrastructures de transport ferroviaire. L’arrêté précise les modalités applicables d’évaluation des nuisances sonores des infrastructures de transports ferroviaires durant une période d’observation de 6 mois entre le 1er novembre 2022 et le 30 avril 2023 pour un panel représentatif d'infrastructures existantes, et pour deux années et demi à compter du 1er mai 2023 pour toute nouvelle infrastructure ferroviaire. Mieux prévenir les risques, mieux s’adapter Pour les particuliers : Décret n° 2022-1289 du 1er octobre 2022 relatif à l'information des acquéreurs et des locataires sur les risques L’information des acquéreurs et des locataires (IAL) fait partie des diagnostics immobiliers obligatoires que les propriétaires doivent adresser aux futurs acquéreurs ou locataires. Un état des risques doit figurer dans le dossier de diagnostic technique annexé à la promesse et à l’acte de vente ou au bail de location. A partir du 1er janvier 2023, ce dispositif d'information évolue : avant d'acheter ou de louer un bien, vous serez ainsi mieux informés des risques auxquels ce bien est exposé dès l'annonce immobilière, l’acheteur ou le locataire pourra se renseigner sur ces risques en allant sur le site georisques.gouv.fr ;l'état des risques sera remis dès la première visite du bien et non plus au moment de la finalisation de la transaction. Par ailleurs, l'état des risques intègre désormais le phénomène de recul du trait de côte : l’acheteur ou le locataire saura donc si le bien est soumis à ce phénomène lorsque la commune est concernée. Pour les professionnels de l'immobilier, leurs obligations évoluent : l'annonce immobilière, quel que soit son support devra comporter la mention suivante : “Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr” l'état des risques devra être remis dès la première visite et actualisé en tant que de besoin lors des phases suivantes de la transaction." Dans le domaine des sites et sols pollués (secteurs d’information sur les sols)Évolutions pour les vendeurs et bailleurs :obligation de transmettre un document d'information sur la pollution des sols dont le contenu est conforme au R. 125-26 du code de l'environnement (ce contenu n'était jusqu'alors pas défini),obligation d'annexer ce document dès la promesse de vente (ou au contrat préliminaire en cas de vente en l'état futur d'achèvement), et pas seulement à l'acte authentique, comme préalablement. Pour les professionnels Gestion des sites et sols pollués : publication du décret relatif à la définition des types d'usage dans la gestion des sites et sols pollués Évolutions pour les exploitants : Obligation de définir l'usage futur du site au moment où l'installation classée sera mise à l'arrêt définitif, pour les demandes d'autorisation déposées après le 1er janvier 2023 et les cessations notifiées après cette date (pour rappel l'usage est déterminé en concertation avec les maires ou les présidents d'EPCI compétent en matière d'urbanisme, et les propriétaires de terrain) Évolutions pour les porteurs de projets : Depuis la loi ALUR, un porteur de projet qui souhaite implanter une nouvelle activité avec un changement d'usage sur une ancienne installation classée pour l’environnement (ICPE), doit faire appel à un bureau d’étude qui certifiera ou non de la nécessité de dépolluer le site. Le facteur déclenchant cette obligation à savoir un changement d'usage, est précisé dans ce décret et s'appliquera dans ce contexte pour tous les permis de construire, permis d'aménager ou toutes les demandes préalables de travaux déposés à partir du 1er janvier 2023.Obligation pour les maîtres d'ouvrage de projets comportant un usage d'accueil de populations sensibles (jeunes enfants, femmes enceintes, personnes âgées, fragiles) de transmettre l'attestation prévue aux articles L. 556-1 et L. 556-2 du code de l'environnement (dite ATTES-ALUR) à l'Agence Régionale de Santé, et, si le site est un site ayant accueilli une installation industrielle, à l'inspection des installations classées. L'objectif est d'informer les services de l’État le plus amont possible de manière qu'ils soient en capacité de réagir en cas de projets susceptibles de présenter des risques pour la santé des populations destinées à fréquenter ces établissements. Suite à l’incendie de Lubrizol et de Normandie Logistique en septembre 2019 à Rouen, plusieurs mesures entreront en vigueur dès le 1er janvier pour améliorer la maîtrise des risques des sites industriels déjà en activité afin de garantir la sécurité des riverains vivant aux alentours de ces sites, ainsi que la préservation de l’environnement : Le stockage de liquide très inflammable dans des contenants susceptibles de libérer leur contenu, tels que des conteneurs plastiques, est désormais interdit au sein des installations de stockages de liquides inflammables à autorisation ainsi que dans les entrepôts de matières combustibles.Les installations de stockages de liquides inflammables à autorisation ainsi que les entrepôts de matières combustibles à autorisation et enregistrement doivent avoir réalisé au 1er janvier une « étude des flux thermiques en limite de site », qui doit permettre d’identifier les éventuels risques de propagation d’un incendie au voisinage immédiat (« effet domino »), puis définir et programmer, le cas échéant, les mesures correctives nécessaires pour remédier à cette situation. Entrée en vigueur pour les installations Seveso de la disposition visant l’identification des produits de décomposition dans les études de dangers et l’anticipation des premiers prélèvements environnementaux en cas d’accident. Les nouvelles études de dangers ou mises à jour réalisées après le 1er janvier devront ainsi contenir une partie spécifique relative à l’identification des produits de décomposition en cas d’incendie important. Il devient également obligatoire d’inclure dans les nouveaux plans d’opérations interne POI) ou lors des prochaines mises à jour, les dispositions relatives à l’organisation de ces premiers prélèvements environnementaux. L’ensemble des établissements Seveso Seuils bas devront avoir établi un plan d’opération interne au 1er janvier 2023. Prévention des pollutions industrielles L'arrêté ministériel du 24 août 2017 concernant les rejets de substances dangereuses dans l'eau en provenance des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), appelé arrêté "RSDE", a imposé la surveillance par les industriels de nouvelles substances dangereuses susceptibles d'être présentes dans les rejets de leurs effluents. Pour ces substances dangereuses visées par une directive européenne de 2013, après cette phase initiale de surveillance, l'exploitant doit, à partir du 1er janvier 2023, respecter des valeurs limites de concentration dans ses rejets dans l'eau mais aussi rechercher la réduction maximale de ses émissions. On trouve notamment dans cette liste de 27 substances, les dioxines, le mercure et une substance perfluorée, l'acide perfluororooctanesulfonique plus connus sous le nom de PFOS.Mieux engager les territoires Augmentation de la dotation globale de fonctionnement de 320 M€ - une première depuis 13 ans La dotation globale de fonctionnement (DGF) prévue dans le projet de loi de finances pour 2023 est portée de 210 à 320 M€ :200 M€ sur la dotation de solidarité rurale,90 M€ sur la dotation de solidarité urbaine,30 M€ sur la dotation d’intercommunalité.Grâce à cet effort inédit depuis 13 ans, 95% des communes verront leur dotation se maintenir ou progresser, contre la moitié en 2022 et un tiers en 2023 si rien n’avait été fait.Soutien aux collectivités en situation de tension énergétiqueLes mécanismes de soutien budgétaire mis en œuvre pour aider les collectivités locales à lutter contre les effets de l'inflation entrent en vigueur : amortisseur électricité, filets de sécurité, tarif règlementé de vente ;L'année 2023 verra la mise en œuvre effective du filet de sécurité voté dans la dernière LFR Ce sont aussi les ressources qui vont augmenter en 2023 : pas de plafonnement de l'indexation des bases fiscales, ce qui donnera des recettes supplémentaires aux collectivités. Le quintuplement de l'enveloppe à destination des communes en grande difficulté, qui atteint 10M€ Mise en place du fonds vert Mise en place d’un fonds d’accélération inédit pour la transition écologique dans les territoires (fonds vert) doté de 2 Md€. Complémentaire aux dotations d’investissement de l’État, le fonds vert répond à un triple objectif :renforcer la performance environnementale ; adapter les territoires au changement climatique ; améliorer le cadre de vie. Suppression de la CVAE qui entraîne, en compensation, le versement d'une fraction de TVA dynamique dès 2023 La suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) est étalée sur 2 ans (2023 et 2024). Le mécanisme de compensation proposé dès 2023 repose sur la TVA avec 2020-2023 comme période de référence. Il permet une augmentation de la compensation de 19,5% par rapport à la CVAE touchée en 2022. Pour le bloc communal, sa dynamique sera répartie selon des critères économiques de taille (surface et effectifs) des entreprises. Pour les départements, la dynamique sera soclée, à la demande de l’Assemblée des départements de France (ADF). Renouvellement de l'Observatoire des territoires Créé en 2004, l'Observatoire des territoires est placé auprès du ministre chargé de l'aménagement du territoire. Il est chargé de rassembler, d'analyser et de diffuser les données relatives aux dynamiques et aux disparités territoriales ainsi qu'aux politiques menées dans le champ de l'aménagement et du développement des territoires. Le mandat précédent de son conseil d'orientation a pris fin au 31 décembre 2022. S'inscrivant de façon pertinente dans l'action de l'État en faveur de la cohésion des territoires, son renouvellement a été acté par décret. Actualisation du classement des communes en ZRCV Partant du constat d'une perte de dynamisme et d'attractivité des villes moyennes, la loi portant évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan) du 23 novembre 2018 a donné aux élus locaux les moyens de revitaliser les centres-villes par la création d'un contrat intégrateur – l'opération de revitalisation de territoire (ORT). Afin de compléter ce dispositif, la loi de finances pour 2020 a créé les zones de revitalisation des centres-villes (ZRCV), adossées aux ORT. Il s'agit d'un outil de soutien fiscal aux petites et moyennes entreprises (PME) exerçant une activité commerciale ou artisanale. Un arrêté actualise, pour l'année 2023, la liste des communes éligibles aux ZRCV (101 communes sont ajoutées et 3 sortent du classement) : 474 communes sont éligibles en 2023 à ce dispositif.Le mandat précédent de son conseil d'orientation a pris fin au 31 décembre 2022. S'inscrivant de façon pertinente dans l'action de l'État en faveur de la cohésion des territoires, son renouvellement a été acté par décret. Améliorer l’information du public en garantissant la disponibilité de l'ensemble des documents d'urbanisme sur un site internet unique A compter du 1er janvier 2023, le caractère exécutoire des documents d'urbanisme sera conditionné à leur publication électronique sur le Géoportail de l'urbanisme. Cette publication sur le Géoportail de l'urbanisme était déjà obligatoire depuis le 1er janvier 2020, sans toutefois que l'absence de publication n'ait de conséquence pour les actes des collectivités territoriales. L’ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021 portant réforme des règles de publicité, d'entrée en vigueur et de conservation des actes pris par les collectivités territoriales et leurs groupements renforce cette obligation en conditionnant désormais le caractère exécutoire des documents d'urbanisme à leur publication sur le Géoportail de l'urbanisme et à leur transmission aux services de l’État chargés du contrôle de légalité.
Il y a 2 ans et 161 jours

Une école du BTP d’un nouveau genre s’installe à Lille

L’école Gustave, propose des formations rémunérées dans le domaine du BTP et recrute selon la personnalité. Devant le succès rencontré par l’école Gustave lancée à Paris en juillet 2021 et face à la demande criante en professionnels du BTP, l’école s'implante dans les Hauts de France, à Lille. La rentrée aura lieu le 30 janvier, pour une première promotion de 30 élèves. Gustave annonce une collaboration avec Van Marcke, le distributeur de matériel dédié à la plomberie et au chauffage.Créée en juillet 2021 par Marie Blaise en affiliation avec le groupe Rocket School fondé par Cyril Pierre de Geyer, l’école Gustave est spécialisée dans les formations des métiers du BTP. La spécificité du groupe, dont fait partie l’école, tient à la manière dont les étudiants sont recrutés. Ce sont les soft skills qui comptent dans l’admission des élèves : aucun diplôme n’est requis pour intégrer la formation : seule la motivation et la personnalité comptent. L’ouverture d’un second campus dans les Hauts de France contribue à dynamiser un secteur du BTP en tension, où la main d'œuvre est insuffisante.Construire le monde de demainL'école à pour ambition de construire le monde de demain avec plusieurs formations dans le monde du BTP. Les métiers du BTP sont souvent dévalorisés, pourtant les talents du BTP sont ultra convoités. Gustave permet ainsi à ses élèves entre 18 et 50 ans de se former pour construire le monde de demain.Selon Martin Lelong, ancien élève de l’école Gustave :“Nous apprenons les gestes de base du métier pendant 3 mois lors d’un bootcamp intensif à l’école, avant d’intégrer une alternance pendant un an. C’est une promesse de réussite pour l’entreprise accueillante et pour la suite de notre parcours professionnel.”3 programmes rémunérés pour décrocher le métier qui correspond aux étudiantsTrois formations seront proposées, elles sont financées par Pôle emploi : La formation Installateur Thermique et sanitaire : Elle permet d’acquérir une bonne autonomie professionnelle. Elle met aussi l’accent sur les règles de sécurité, le travail en équipe, la résolution méthodique des problèmes rencontrés. La formation Electricien : Elle forme l’électricien à devenir un professionnel qualifié chargé de l'installation, de l'entretien et de la maintenance des équipements et des réseaux électriques.La formation Etancheur : Après la formation, le professionnel interviendra sur toutes les parties du bâtiment qui sont particulièrement exposées au froid et à l’humidité. Il assure l’isolation et l’écoulement des eaux de pluie des bâtiments.Après ces formations, les élèves deviennent 'installateurs thermique et sanitaire, électriciens ou étancheurs. Ces métiers dont la main-d'œuvre manque cruellement contrastent avec le nombre d’offres proposées. En effet, Pôle Emploi recense plus de 400 offres dans ce domaine avec très peu de candidats pour cette région. Un partenariat avec Van Marcke a été établi pour combler ce manque et ainsi fournir aux élèves une entreprise accueillante lors de leur alternance. Cette implantation aidera la métropole de Lille à développer les emplois dans les métiers du BTP en revalorisant le métier et en formant des personnes passionnées.Selon Marie Blaise la fondatrice de l’école : “Nous avons souhaité ouvrir une seconde école après la réussite du premier campus à Paris. Le BTP est un métier technique et d’avenir, passionnant car s’inscrivant dans la maîtrise énergétique et offrant de confortables rémunérations. Cette implantation s’inscrit dans la suite logique de l’ambition que nous avons de valoriser les métiers du BTP.”A propos d’Ecole GustaveL’école Gustave a été co-fondée par Marie Blaise, Jérémy Diavet et Cyril Pierre de Geyer, professeur affilié à HEC Paris et ancien directeur général adjoint d’Epitech. L’école Gustave prépare à des diplômes de niveau 3 enregistré au RNCP par l’arrêté du 30 décembre 2015, certification délivrée par le Ministère du Travail.
Il y a 2 ans et 165 jours

Loxam se densifie dans la péninsule ibérique

ACQUISITION. Le spécialiste de la location de matériels, Loxam, vient de faire l'acquisition d'une entreprise implantée au Portugal.
Il y a 2 ans et 169 jours

Hager lance quadro evo, un nouveau système de distribution d'énergie

Elle illustre la volonté de Hager d’adresser des projets de plus grande envergure, en offrant aux professionnels de nouvelles façons de concevoir et d’installer une distribution électrique. Pour réaliser son nouveau tableau général basse tension, Hager s’est appuyé sur ses plus de 65 ans de savoir-faire dans la fabrication d’enveloppes d’armoires électriques. Bien qu’elle conserve l’ADN des enveloppes Hager, cette évolution de la gamme quadro voit 80% de ses composants intérieurs renouvelés. Des performances accruesLa structure mécanique robuste de quadro evo permet d’atteindre des performances plus élevées : le nouveau système d'équipement interne offre une résistance aux courts-circuits jusqu’à 85 kA, une protection contre les chocs IK10 et une protection contre l’eau et les poussières IP55, les nouveaux supports de jeux de barres offrent une stabilité accrue jusqu’à 4000 A, quadro evo permet de répondre à des indices de service jusqu’à 233 et d’assurer une continuité de service en toute sécurité lors des interventions, la maintenance ou les évolutions du tableau.Une mise en œuvre facilitée Avec quadro evo, tous les éléments sont conçus pour un assemblage simple et rapide : la structure interne des cellules de quadro evo a été conçue pour offrir plus d’espace de travail à l’installateur, le nouveau système de supports et de profilés universels permet une plus grande modularité, un nouveau système de kits de montage, plus simple et plus précis, permet également le positionnement et la mise en œuvre plus rapides des appareils.Grâce à ces nouveautés, mais aussi grâce aux vis accessibles par l’avant, les évolutions ultérieures et la maintenance seront facilitées.Une compatibilité avec l'écosystème HagerPour la distribution électrique principale, quadro evo peut embarquer des boîtiers moulés intelligents h3 et h3+ jusqu’à 1600 A.quadro evo peut également être associé au logiciel Stream, pour assurer la surveillance des consommations multi-énergies sur un ou plusieurs sites. Intégré dans un écosystème de comptage et de mesure énergétique, il répond parfaitement aux exigences du Dispositif Eco Energie Tertiaire (décret tertiaire) qui s’appliquent dès 2021. Enfin, le logiciel Hagercad.T évolue avec quadro evo pour rendre les phases de configuration, de conception et de chiffrage plus aisées, rapides et précises. Pour quels projets ?Le système permet la réalisation d'équipements de distribution basse tension pouvant aller jusqu'à 4000 A en forme 4b, pour des applications tertiaires : locaux commerciaux, hôtels, bâtiments administratifs, publics ou privés, industriels, hôpitaux, infrastructures routières et ferroviaires. quadro evo est adapté à la réalisation des TGBTs mais aussi des tableaux divisionnaires. Le système de distribution d'énergie quadro evo est un ensemble d’appareillages de puissance testé et certifié selon la norme IEC 61439-1 & 2.
Il y a 2 ans et 172 jours

Sud-Ouest Matériaux devient Point.P

Sud-Ouest Matériaux change de dénomination pour devenir Point.P. [©Point P] Les liens entre Sud-Ouest Matériaux et Point.P sont désormais totaux. Les 2 enseignes appartiennent à Saint-Gobain Distribution Bâtiment France. Elles n’en font aujourd’hui plus qu’une seule : Point.P. Les 5 points de vente de Sud-Ouest Matériaux se situent tout à l’Est de Bordeaux : à Branne, Créon, Grézillac, Saint-Loubès et Sauveterre. Cette fusion permet à Point.P de renforcer son réseau sur cette zone. Ainsi, l’enseigne compte désormais 145 points de vente dans la région Nouvelle-Aquitaine. Un changement important pour les professionnels du Sud-Ouest Lire aussi : La plateforme du Bâtiment et Point.P mutualisent un centre de collecte des déchets Cette fusion est bien vue par les professionnels de la région. Les projets, professionnels ou particuliers étant nombreux. L’offre s’élargit donc pour tous ces clients et c’est un véritable bénéfice pour tous. « Passer les agences Sud-Ouest Matériaux sous la bannière unique Point.P garantit à l’ensemble de nos clients l’accès à une offre large, un réseau proche de leurs chantiers, explique Nicolas Godet, directeur général de Point.P. C’est un véritable atout au quotidien pour mener à bien leurs chantiers. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 176 jours

Saint-Gobain n’a plus d’activité de distribution au Royaume-Uni

Le fabricant et distributeur de matériaux de construction français annonce la cession de Saint Gobain Building Distribution Ltd, soit toute...-Négoce
Il y a 2 ans et 179 jours

Poêles, chaudières biomasse et cheminées : Mano Mano observe une forte hausse des ventes

VENTES. La marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, a constaté une forte hausse des ventes d'appareils comme les poêles, les chaudières biomasse ou les cheminées.
Il y a 2 ans et 179 jours

Négoces : l'enjeu des plateformes logistiques

ENTREPÔT. Modernisation, agrandissement, nouvelle construction... les négoces misent sur leur plateforme logistique afin de répondre au plus près aux besoins de leurs clients et leur offrir le meilleur service possible.
Il y a 2 ans et 182 jours

Les industriels et les distributeurs face au défi de la décarbonation

TABLE RONDE. A l'occasion des Inoha Days, manifestation qui s'est déroulée le jeudi 1er décembre à Paris, les acteurs du nouvel habitat ont échangé sur la stratégie de décarbonation du secteur abordant la planification, le scoring, ou encore le greenwashing. Autour de la table : Weber, Leroy Merlin, l'Ademe, HBF et France Invest.
Il y a 2 ans et 182 jours

La CAPEB poursuit la mise en place d’un mouvement de solidarité économique au sein de la filière bâtiment

Depuis son lancement en avril dernier qui avait rassemblé 8 industriels et distributeurs, ce mouvement poursuit sa progression et regroupe désormais 40 partenaires*, engagés aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment pour limiter l’impact de cette hausse.« La hausse continue du prix des matériaux a un impact significatif sur l’activité des entreprises artisanales du bâtiment. Si la croissance de notre secteur venait à se dégrader durablement, les répercussions économiques pour la filière bâtiment dans son ensemble seraient fortes. Les acteurs en ont conscience. Le nombre conséquent de partenaires que nous sommes parvenus à regrouper en témoigne et revêt un caractère complètement inédit » déclare Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB.Les chiffres de l’activité du 3e trimestre 2022 témoignent d’un ralentissement de la croissance pour tous les corps de métiers, passant de 3% à 2% en volume. Avec 26% de hausse sur les prix des matériaux, les entreprises artisanales du bâtiment font état d’une détérioration de leurs marges (solde d’opinion à -39 points, avec 42% des entreprises rapportant une baisse de leurs marges). Leurs carnets de commande sont pourtant pleins mais le contexte les plonge dans une situation d’imprévisibilité inédite qui rend l’exercice de leur activité très compliqué. Être en capacité d’anticiper les hausses de prix est un élément essentiel.C’est tout l’objet de l’action menée par la CAPEB qui, dans son appel à la solidarité économique, a appelé les acteurs à s’engager sur les trois points suivants : informer au préalable leur client des hausses de prixémettre des devis valables au moins un mois (hors produits disponibles)augmenter leur prix seulement le 1er de chaque moisLa CAPEB se félicite de l’engagement de 8 nouveaux industriels et distributeurs** à ses côtés qui rejoignent ainsi les 24 acteurs ayant répondu présents le 9 novembre dernier et les 8 partenaires de la première heure. Cette action sera nécessairement porteuse de sérénité pour les entreprises artisanales du bâtiment et contribuera à préserver le niveau d’activité de la filière dans son ensemble. Elle vient ainsi compléter le travail de la mission de réflexion sur l'indispensable transparence des prix pratiqués au sein de la filière bâtiment que la CAPEB a obtenu en octobre dernier de la Commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale.* Liste des 40 partenaires : BDR THERMEA France au travers de ses marques De Dietrich, Chappée et Oertli, BERNER, COROXYL, DIMOS, Layher, Téréva, Urmet/Yokis France France et Viessmann, FRANS BONHOMME, KNAUF INSULATION, Wurth, Wienerberger, le Groupe HERIGE et ses trois sociétés (VM, ATLANTEM, EDYCEM), Pladur, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France et de ses enseignes (POINT.P, Cedeo et Brossette, La Plateforme du Bâtiment, PUM Plastiques, Asturienne, SFIC, Dispano, Décocéram, CDL Elec, Panofrance, et Clim+), Weber, Isover, Placo, l’ORCAB, SAMSE avec les enseignes :DORAS, SIMC, M+ MATERIAUX, KNAUF, SINIAT, URSA** Liste des 8 nouveaux industriels et distributeurs : SAMSE avec les enseignes : DORAS, SIMC, M+ MATERIAUX, KNAUF, SINIAT, URSA, ROCKWOOL
Il y a 2 ans et 182 jours

Sonepar et Bureau Veritas s'allient pour répondre aux enjeux énergétiques des bâtiments tertiaires

Alors que les questions liées à la sobriété énergétique occupent une place centrale dans le débat public, de nombreuses entreprises réfléchissent à la manière de se conformer aux nouvelles obligations en la matière avec le décret tertiaire (« dispositif éco-énergie tertiaire ») qui concerne tous les bâtiments à usage tertiaire de plus de 1000 m2. Après avoir défini une année de référence pour leur consommation énergétique, les propriétaires et exploitants devront réduire cette consommation de 40% en 2030, et jusqu'à 60% d'ici à 2050.Pour accompagner ses clients dans cette démarche, Sonepar a fait le choix de mettre à disposition, une plateforme omnicanale, sur laquelle toutes les solutions Bureau Veritas liées au enjeux énergétiques seront présentées.« Grâce à cette plate-forme, les clients de Sonepar pourront commander des audits énergétiques, de l'accompagnement à la mise en oeuvre de plans de sobriété, ou encore avoir accès à des financements via les Certificats d'économie d'énergie. Par ailleurs, nous ouvrirons plus largement notre offre de services pour ces utilisateurs en y ajoutant des missions de vérifications électriques et des formations ad hoc. C'est avec fierté et engagement que Sonepar et Bureau Veritas allient leurs forces et leur expertise pour contribuer efficacement aux efforts de sobriété énergétique nécessaires aujourd'hui et essentiels sur le long terme pour répondre à l'enjeu climatique » explique Jacques Pommeraud, Directeur général Afrique, France et Services aux Gouvernements de Bureau Veritas.Et Jérôme Malassigne, Président Sonepar France de poursuivre : « Les structures concernées sont nombreuses : plateaux de bureau, établissements de santé, établissements scolaires, équipements sportifs ou encore monuments historiques… En France, ce sont plus de 940 millions de mètres carrés qui sont concernés par le décret tertiaire. Notre volonté : accompagner nos clients installateurs et les utilisateurs des bâtiments dans leurs démarches de réduction de consommation d'énergie, et faire de cette réglementation une opportunité de business au service des enjeux énergétiques de demain. C'est ainsi une couverture de l'ensemble de l'écosystème électrique qui sera proposée aux professionnels du marché afin de leur apporter, partout en France, des réponses adaptées à leurs besoins de sécurité, de qualité et de conformité. »
Il y a 2 ans et 183 jours

Chiffre d'affaires en hausse au troisième trimestre 2022 pour Loxam

RÉSULTATS. Le spécialiste de la location de matériels, Loxam, annonce une croissance à deux chiffres de son chiffre d'affaires au troisième trimestre ainsi que sur neuf mois.
Il y a 2 ans et 183 jours

FIS V Zero, la première résine sans substances nocives ! fischer France engagé avec EcoTree dans le reboisement des forêts françaises dans le cadre d’une campagne inédite 

Depuis plus de 60 ans, fischer parfait sa démarche environnementale à bien des niveaux car limiter l’impact des produits utilisés dans l’industrie, la construction, la décoration… sur l’environnement et la santé des utilisateurs est une vraie nécessité. En tant que pionnier dans le domaine des solutions de fixation durables, fischer a mis au point la première résine sans substances nocives :  FIS V Zero.Avec une formule chimique brevetée, sans peroxyde de benzoyle, la FIS V Zero est plus respectueuse de l’homme et de l’environnement. Puisqu’aucune substance dangereuse n’entre dans sa composition, elle est exempte de pictogrammes de danger et de fiche de données de sécurité. De plus, les cartouches usagées peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Au cours du premier semestre, pour soutenir le lancement de la résine sans substances nocives FIS V Zero et accentuer son engagement en faveur de l’environnement et du développement durable, fischer s’est associé à EcoTree et Papier Ensemencé. Ces partenariats inédits, avec des acteurs qui œuvrent pour l’environnement et dont les missions sont vertueuses, prennent tout leur sens avec la résine FIS V Zero fischer.  SOUTENIR DES DÉMARCHES ENVIRONNEMENTALES VERTUEUSESActeur français engagé, EcoTree œuvre à la préservation et à la valorisation des forêts françaises ainsi qu’à la protection de la biodiversité. fischer s’est engagé à ses côtés pour participer au reboisement.Ainsi, en achetant la résine FIS V Zero, les utilisateurs ont contribué au reboisement de forêts françaises, gérées par EcoTree. Ce sont 2000 arbres, 1000 pins maritimes et 1000 chênes sessiles dits « chênes noirs », qui ont été plantés dans la forêt de Berné (Morbihan).Fidèle à sa démarche de développement durable, fischer a souhaité faire évoluer ses supports de communication, favorisant des matériaux recyclés, recyclables et biodégradables, en s’associant à Papier Ensemencé, une start-up qui conçoit des solutions de communication éco-responsables. Aussi, pour promouvoir l’opération sur la résine FIS V Zero, ancrée dans une démarche environnementale, fischer a opté pour un flyer ensemencé, 100% biodégradable. Une fois le flyer humidifié et planté, les graines qu’il renferme donnent naissance à de belles fleurs des champs. Véritable alternative au recyclage, le papier ensemencé est l’illustration parfaite du zéro déchet !À travers cette belle opération FIS V Zero et l’aide des nombreux distributeurs partenaires, fischer a mis en exergue l’art de mixer innovation et environnement. Des partenariats vertueux que l’entreprise entend bien renouveler. FIS V Zero : PLUS RESPECTUEUSE DE L’HOMME ET DE L’ENVIRONNEMENT Innovante, la résine FIS V Zero fischer est exempte de peroxyde de benzoyle, une substance couramment utilisée dans les scellements chimiques et classée comme allergisante, irritante pour les yeux et dangereuse pour l’environnement. fischer a remplacé ce composé par des substances plus respectueuses de l’environnement et un nouveau procédé de durcissement breveté.Grâce à cette formulation classée A+, la résine répond aux exigences les plus élevées pour maintenir une bonne qualité de l’air intérieur avec de faibles émissions de COV (Composés Organiques Volatils) comme le confirme le certificat Eurofins Indoor Air Comfort Gold, ce qui la rend idéale pour une utilisation dans des pièces fermées.UNE RÉSINE POLYVALENTELa résine FIS V Zero fischer convient à toutes les applications de fixation chimique courantes dans le domaine du bâtiment comme du bricolage. Elle permet le scellement de fers à béton, la fixation de garde-corps, de stores bannes, de mains- courantes, d’éléments de charpente, de constructions métalliques, d’équipements de jardins, de cuisines et de sanitaires… et est agréée pour tous les matériaux de construction (brique pleine, brique pleine silico-calcaire, bloc creux en béton léger, maçonnerie creuse…). Avec la FIS V Zero, l’ancrage se fait sans contrainte d’expansion, ce qui permet des distances aux bords et des entraxes réduits.  D’une résistance au feu R120, elle dispose d’ETE pour béton fissuré et non-fissuré, maçonnerie creuse et pleine et reprise de fers à béton.Flexible, cette résine d’injection peut être utilisée tout l’année sur les chantiers, dans des trous de forage inondés et par des températures de -10°C à 40°C. Son temps de durcissement est de 60 minutes à une température de 22 °C.PLUS DE CONTRAINTE DE RECYCLAGE ET DE STOCKAGE Pratiques, que l’on soit professionnel du bâtiment ou particulier, les cartouches usagées de la FIS V Zero peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Et, puisqu’aucune substance nocive n’entre dans sa composition, elle est la seule résine à être exempte de pictogrammes de danger sur l’étiquette et de fiche de données de sécurité, ce qui lève les contraintes de logistique et de stockage liées aux produits chimiques. Comme les autres scellements d’injection, la FIS V Zero s’injecte dans le trou de perçage nettoyé. Lors de l’extrusion du produit, les 2 composants (résine et durcisseur stockés séparément) sont mélangés et activés dans le bec mélangeur. Les cartouches ouvertes peuvent être réutilisées. www.fischer.fr
Il y a 2 ans et 186 jours

Saint-Gobain Distribution lance le CFA Lab'

FORMATION. Saint-Gobain Distribution Bâtiment France souhaite participer davantage à la formation de la jeune génération. Pour cela, il lance un programme baptisé CFA Lab'. Objectif : répondre aux besoins de recrutement sur trois métiers du secteur.
Il y a 2 ans et 186 jours

Cedeo enrichit son outil de chiffrage Solu+

Solu+ : aider les professionnels à être plus performantSolu + est un outil de chiffrage qui permet de dimensionner et chiffrer précisément les produits et la main d’œuvre nécessaires à la réalisation de chantiers en neuf et en rénovation. Les professionnels l’utilisent pour faire leurs devis, chiffrer leurs chantiers et sélectionner les meilleures solutions. Solu + leur permet de soumettre à leur client une ou plusieurs solutions et devis si besoin.Facile à utiliser, seulement quelques étapes suffisent à réaliser le chiffrage du chantier :Sélection du ou des ouvrages concernés ;Saisie des caractéristiques du chantier ;Obtention rapide d’une solution technique de pro tenant compte des normes et DTU en vigueur ;Comparaison des prix, des mises en oeuvre et des performances ;Consultation des tarifs CEDEO personnalisés chiffré en prix net et finalisation de la commande en ligne ;Impression du rapport détaillé (avec ou sans prix) et export du chiffrage dans le devis Tolteck.Enfin tout au long de la saisie des éléments nécessaires au chiffrage, le professionnel bénéficie de points d’informations sur la configuration du chantier et des solutions et peut aussi vérifier la disponibilité et les délais de livraison des produits.10 parcours sont déjà disponibles pour les membres de CEDEO Boost : Chaudière murales gaz ; PAC air/eau ; Radiateurs/sèches-serviettes ; Planchers chauffants ; Cabine de douche Concerto ; Calcul de puissance chaud/froid…Accessible sur PC, tablette et smartphone, Solu + est gratuit et exclusivement réservé aux membres de CEDEO Boost.Solu+ : toujours plus de nouveautésSolu + permet de chiffrer rapidement des monosplit / multisplit pour le résidentiel ou le petit tertiaire ; les unités souhaitées (murale, console, cassette, plafonnier et gainable) ; les supports muraux ou supports au sol ; les pompes de relevage ; les liaisons frigorifiques ; les câbles électriques et disjoncteurs et la régulation associée.L’outil facilite le travail du professionnel en permettant de :combiner des monosplits et des multisplits dans le même parcours pour le chiffrage de l’installation ;dimensionner le groupe extérieur selon le la température de base extérieure de la commune saisie ;configurer les diamètres et les longueurs des liaisons frigorifiques et des câbles électriques selon les contraintes du chantier.CEDEO propose également un nouveau chiffrage sur la ventilation et, dans les prochains mois, des chiffrages sur la robinetterie encastrée, les pompes eau froide.
Il y a 2 ans et 190 jours

nouveau pantalon stretch moovy le confort en couleur

Un nouveau pantalon vient enrichir le vestiaire du concepteur français de vêtements professionnels MOLINEL! Stretch et coloré, ce modèle, baptisé « MOOVY », allie le confort au style décontracté pour le plus grand bonheur des professionnels (artisans, opérateurs de fabrication, paysagistes, caristes, magasiniers, vendeurs en magasin de bricolage...).
Il y a 2 ans et 190 jours

Capeb : De nouveaux signataires contre le prix des matériaux

Vingt-quatre nouveaux signataires rejoignent l’initiative de la Capeb pour lutter contre la crise du prix des matériaux. [©Capeb] Les chiffres de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment au 3e trimestre 2022 le confirment. La tension sur les prix et les difficultés d’approvisionnement perdurent et affectent tous les corps de métier. Cette tendance est amenée à se poursuivre en 2023. Ce contexte menace la croissance du secteur dans son ensemble. Et plonge les entreprises artisanales du bâtiment dans une situation d’imprévisibilité inédite, Pour préserver le niveau d’activité de la filière, la Capeb avait lancé, en avril dernier, un appel à la solidarité économique aux acteurs de la filière. A l’époque, 8 industriels et distributeurs1 avaient répondu présents. Désormais, 24 partenaires² les rejoignent pour s’engager aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment et faire face à cette crise sans précédent. Pas d’amélioration en 2023 « Le marché ne pourra pas continuer à subir des hausses de coûts des matières premières, telles que nous le vivons aujourd’hui, déclare Jean-Christophe Repon, président de la Capeb. Et les prévisions indiquent que la situation ne va pas s’améliorer en 2023. Nous devons agir ensemble pour limiter au plus juste l’impact de la hausse du coût des matériaux. Nous nous félicitons aujourd’hui de la décision des acteurs de s’engager dans une démarche de solidarité économique au sein de la filière. Elle est, pour nous, essentielle, si nous voulons parvenir à maintenir l’activité. Et accélérer la contribution du secteur à la transition énergétique. » Lire aussi : Nominations en cascade pour le nouveau bureau de la Capeb Pour ce 3e trimestre 2022, les conséquences de ces hausses s’accentuent. La croissance de l’activité des PME du bâtiment ralentit, passant de 3 % à 2 % en volume. Ceci, alors que le contexte de prix des matériaux demeure très dégradé. Et que la crise énergétique pèse de plus en plus lourdement sur les entreprises artisanales. Ces dernières font d’ailleurs état de besoin en trésorerie important (15 % d’entre elles déclarent des besoins de trésorerie, pour un montant moyen de 22 000 €). Elles confirment aussi une détérioration de leurs marges (solde d’opinion à – 39 points, avec 42 % des entreprises rapportant une baisse de leurs marges). Vingt-quatre nouveaux signataires pour la Capeb Ainsi, les 24 nouveaux signataires s’engagent sur les propositions suivantes : informer au préalable leur client des hausses de prix. Mais aussi émettre des devis valables au moins un mois (hors produits à court), et augmenter leur prix seulement le 1er de chaque mois. « Autant d’engagements, pris dans le cadre d’une démarche inter-filière inédite. Qui sont très encourageants, afin que la filière dans son ensemble et les entreprises artisanales du bâtiment que je représente parviennent à sortir par le haut de la crise que nous traversons. Nous continuerons à porter cette voix dans d’autres hémicycles, tels que l’Assemblée nationale », conclut Jean-Christophe Repon. 1BDR Thermea France au travers de ses marques De Dietrich, Berner, Chappée et Oertli, Coroxyl, Dimos, Layher, Téréva, Urmet/Yokis France et Viessmann. 2Frans Bonhomme, le groupe Herige et ses trois sociétés (VM, Atlantem, Edycem), Pladur, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France et ses sociétés associées (Point.P, Cedeo et Brossette, La Plateforme du Bâtiment, Pum Plastiques, Asturienne, SFIC, Dispano, Décocéram, CDL Elec), Isover, Knauf Insulation, Placo et l’Oracab Weber, Wurth, Wienerberger
Il y a 2 ans et 191 jours

Orne : Guibout Matériaux inaugure sa centrale BPE rénovée

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. L’acquisition de leur première centrale à béton permet à Guibout Matériaux de produire chaque année 20 000 m3 de béton. [©Guibout matériaux] Fondée en 1867, à Flers, l’entreprise Guibout Matériaux, spécialisée dans la distribution de matériaux de construction, continue son essor. Forte de ses six points de vente dans l’Orne, la Mayenne et le Calvados, la société a inauguré, le 22 septembre 2022, sa centrale à béton rénovée. Acquise en mai 2020, l’unité Guibout Béton est située à Messei, à 5 km au Sud de Flers. « C’est un nouveau défi pour notre société, déclare François Guibout, président de l’entreprise éponyme. Nous avions déjà notre unité de préfabrication, à Magny-le-Désert, mais elle ne faisait pas de BPE. Nous avons appris que Norma Béton, un acteur historique du BTP local souhaitait vendre son activité. Après de longues réflexions, nous nous sommes dit que c’était une parfaite opportunité de renforcer la complémentarité et la synergie de nos activités. Nous nous sommes donc lancés dans cette belle aventure ! » Plusieurs séries de travaux ont été réalisées durant ces deux ans, afin de mettre en conformité cette centrale. En tout premier lieu, l’accueil clients des bureaux a été déplacé au plus près du site de production et des locaux sociaux ont été créés. Par la suite, plusieurs cases à granulats ont été rénovées. Lire aussi : OMG, nouveau malaxeur italien Plus récemment, 4 bassins de décantation pour le traitement des eaux de process ont été installés par Eiffage. S’ajoute à cela un système de recyclage des eaux décantées. Il est utilisé pour le nettoyage des toupies, de la piste et du malaxeur OMG à doubles arbres verticaux, d’une capacité de 1,5 m3. Concernant les outils informatiques et téléphoniques, une modernisation a été opérée. Guibout Matériaux est passé au logiciel de Command Alkon. Grâce à ce dernier, l’industriel produit en moyenne chaque année, 20 000 m3 de béton. La zone de chalandise couvre 50 km autour de la centrale. Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 192 jours

Zeloce, du parking Ikea à la digitalisation des transports des chantiers

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Laszlo Kiss, président de Zeloce, à Batimat. [©ACPresse] A l’heure où la société se digitalise, le secteur de la construction se doit de se mettre à la mode. Zeloce a, en ce sens, développé une technologie digitale. Elle permet de suivre et optimiser les opérations de livraison des chantiers sur toute la chaîne. Laszlo Kiss, président de la start-up, raconte l’histoire de sa création : « Il y a 6 ans, sur le parking d’un Ikea, nous avons créé une solution de livraison en moins d’une heure. Nous avons commencé à travailler avec des négoces et nous avons mis en place pour Kiloutou un système de livraisons en deux heures. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez le dossier spécial innovations dans le béton ici Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 193 jours

Juridique : La clause de non-concurrence des salariés

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. Pour être valable, la clause de non-concurrence doit respecter certains critères. [©ACPresse] De nombreuses conditions de validité encadrent la clause de non-concurrence des salariés. Et sa mise en œuvre peut aussi être source d’incertitudes. Elle est un outil qui permet à l’employeur de se prémunir, entre autres, contre le débauchage de ses salariés par des concurrents et contre la création d’une société concurrente par un salarié qui connaîtrait la clientèle et les “ficelles du métier”. Les critères de validité La loi est muette sur les conditions de validité des clauses de non-concurrence. Mais la Cour de cassation, dans un arrêt du 10 juillet 2002, est venue en fixer les grandes lignes : “Attendu qu’une clause de non-concurrence n’est licite que si elle est indispensable à la protection des intérêts légitimes de l’entreprise, limitée dans le temps et dans l’espace, qu’elle tient compte des spécificités de l’emploi du salarié et comporte l’obligation pour l’employeur de verser au salarié une contrepartie financière, ces conditions étant cumulatives »1. Pour ne pas encourir la nullité, une clause de non-concurrence doit : • Etre nécessaire aux intérêts de l’entreprise, cela signifie que le nouvel emploi du salarié doit créer un risque pour le premier employeur, risque dont il est légitime qu’il se protège ;• Etre limitée dans le temps et sa durée ne doit pas être excessive ;  • Etre limitée dans l’espace ;• Prévoir une contrepartie financière qui ne soit pas dérisoire. Enfin, ces conditions ne doivent pas avoir pour effet d’empêcher le salarié de retrouver un emploi conforme à son expérience professionnelle. Il doit exister une certaine proportionnalité entre l’interdiction de concurrence et la contrepartie versée au salarié. Toutes ces conditions sont cumulatives. En pratique, avant de rédiger une clause de non-concurrence, l’entreprise devra impérativement vérifier les stipulations de la convention collective applicable. De nombreuses conventions collectives prévoient des stipulations particulières qu’il faudra respecter. C’est en particulier le cas de : • La convention collective nationale des salariés du négoce des matériaux de construction ;• La convention collective nationale métropolitaine des entreprises de la maintenance, distribution et location de matériels agricoles, de travaux publics, de bâtiment. La mise en œuvre de la clause La clause de non-concurrence des salariés a vocation à s’appliquer après la rupture du contrat de travail, quelles que soient les modalités de rupture du contrat. En revanche, à moins que la convention collective ne stipule le contraire, la clause peut prévoir la faculté pour l’employeur d’y renoncer. Si la clause est bien rédigée, elle permet à l’employeur de s’en priver volontairement et ainsi de ne pas avoir à payer la contrepartie financière au salarié. Ce dernier point est à l’origine de nombreux contentieux. Il est donc fondamental que, dès la rupture du contrat (que ce soit par démission, licenciement ou même par rupture conventionnelle), l’employeur s’interroge sur la nécessité de mettre en œuvre la clause de non-concurrence et sur les modalités de renonciation. Le non-respect de la clause Si l’employeur décide, sans respecter les conditions de renonciation, de ne pas payer la clause, le juge pourra le contraindre et le condamner au versement de dommages et intérêts en réparation du préjudice subi par le salarié. Si le salarié viole sa clause de non-concurrence, il s’expose à devoir restituer les sommes perçues et à être condamné à des dommages et intérêts. 1Cour de Cassation, Chambre sociale, du 10 juillet 2002, 00-45.135, publié au bulletin. Olivier JavelAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 193 jours

WEB TV Würth : le liveshopping selon Würth

La WEB TV chez WürthLa Web TV repose sur un concept très connu, celui du téléshopping ! Würth France a souhaité rajeunir le concept et offrir à ses clients une expérience inédite d’achat en ligne. Pour faire simple, en visionnant la WEB TV, ils pourront découvrir les produits en vidéo via des démonstrations, poser des questions aux experts (chefs de produits, chefs de marché, formateurs…) et même acheter les produits présentés en bénéficiant d’offres exclusives.L’avantage c’est l’interactivité ! La WEB TV permet de créer du lien avec les clients, même à distance et surtout différemment.Toutes les émissions sont disponibles en replay sur https://eshop.wurth.fr/Web_TV/Web_TV/replay.cyid/replay.cgid/fr/FR/EUR/La WEB TV gagne le prix de la meilleure stratégie digitale à Zepros du Bâtiment En 2022, le groupe Zepros a renouvelé son événement ZE AWARDS DU BÂTIMENT. Ces Trophées ont vocation à distinguer les entreprises les plus dynamiques parmi les Négoces d’une part, les Artisans-PME d’autre part dans trois grandes catégories : performance commerciale, démarche RSE, stratégie numérique.Würth France a participé à ces Trophées en présentant le concept de la Web TV dans la catégorie « stratégie numérique ». Le 20 octobre dernier, elle a été récompensée par le prix de la meilleure stratégie digitale dans la catégorie Négoce lors de la cérémonie qui a eu lieu aux pavillons des étangs.
Il y a 2 ans et 194 jours

Kingfisher tient bon au 3ème trimestre 2022 grâce à la rénovation énergétique

RÉSULTATS. Le groupe britannique de bricolage, Kingfisher, qui possède les enseignes françaises Castorama et Brico Dépôt, annonce un chiffre d'affaires en légère hausse au troisième trimestre. Un résultat porté par la demande de produits pour la rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 195 jours

Bientôt 130 référents d'aide à la rénovation chez VM

FORMATION. Dans la poursuite son dispositif "Ecosolutions", le distributeur de matériaux de construction du Grand Ouest, VM, annonce proposer une formation à ses collaborateurs dédiée aux aides à la rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 196 jours

Marie Arnout élue présidente de la FDMC

Marie Arnout prendra le poste de présidente de la FDMC à partir du 1er janvier 2023. [©FDMC] Lors de son comité directeur du 16 novembre dernier, la Fédération des matériaux de construction (FDMC) a élu Marie Arnout à sa présidence. Ceci, pour un mandat de 3 ans, qui débutera le 1er janvier 2023. Après avoir remercié ses collègues à l’issue du scrutin, Marie Arnout a rendu hommage au travail accompli par son prédécesseur Franck Bernigaud. Et indiqué vouloir poursuivre l’ouvrage entrepris. « La FDMC est désormais structurée et solidement implantée en tant qu’organisation professionnelle représentative dans la distribution bâtiment. Je souhaite accroître son rayonnement dans la filière de la construction et continuer dans le chemin tracé. » Le comité directeur de la FDMC a aussi élu à la vice-présidence, François-Xavier Guilloux, au poste de trésorier, Laurent Etellin et à celui de trésorier-adjoint, Jean-Yves le Holloco. Son parcours Depuis 1987, Marie Arnout dirige une entreprise familiale Aux Docks de Clamart (92). De plus, elle est adhérente du groupement Gedimat. Et présidente de l’Union régionale des négociants en matériaux de construction d’Ile-de-France depuis 2007. Membre du comité directeur de la FDMC depuis 2008, elle a été vice-présidente de 2014 à 2017. Elle en est la trésorière depuis 2017. En parallèle, la Fédération a présenté son nouveau site Internet. Depuis son changement de dénomination, sa refonte était devenue incontournable, afin de communiquer de manière plus efficace avec les adhérents. Ce site contribue ainsi à développer la dynamique dans laquelle la FDMC est désormais engagée, tant auprès de ses adhérents qu’auprès des institutions.
Il y a 2 ans et 196 jours

Jean-Luc Guéry, président d’Inoha : « Conserver des fabricants français constitue un enjeu majeur »

Le président d’Inoha (Industries du nouvel habitat), qui fédère les industriels fournisseurs des réseaux de distribution du bricolage, évoque...-Négoce