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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Nouvelles technologies

(2658 résultats)
Il y a 4 ans et 68 jours

Vinci met des milliards sur la table pour devenir un géant des énergies renouvelables

Vinci a "signé un accord avec ACS pour l'acquisition de ses activités énergie", a-t-il indiqué jeudi dans un communiqué.Il s'agit pour le groupe français d'un "développement stratégique majeur" visant à créer un "acteur mondial de l'ingénierie, des travaux et services dans le domaine de l'énergie". L'objectif est également de "développer des projets d'énergie renouvelable".A la Bourse de Paris, vers 11H00 (heure de Paris), le titre de Vinci montait de 2,92% à 89,93 euros, dans un marché en légère hausse.L'opération, qui devrait être finalisée vers la fin de l'année, va permettre au géant du BTP de mettre la main sur la division Services industriels d'ACS.Cette entité d'environ 45.000 collaborateurs génère un chiffre d'affaires de plus de 6 milliards d'euros, principalement en Espagne et en Amérique latine. Elle est dédiée à l'ingénierie et aux travaux essentiellement dans le domaine de l'énergie.L'acquisition concerne également les participations détenues par ACS dans huit concessions dans le domaine des réseaux de transmission électrique ainsi qu'une plateforme de développement de projets de concessions dans les énergies renouvelables.Le prix de l'acquisition est estimé à environ 4,9 milliards d'euros. Payable "entièrement en numéraire", elle sera financée par la trésorerie disponible et les lignes de crédit, précise Vinci.En outre, le groupe pourra effectuer des paiements additionnels, sur une période de 8,5 ans au plus tard après la finalisation de l'opération, lorsque la société développera des capacités d'énergie renouvelable supplémentaires. Le montant maximum cumulé de ces paiements pourra atteindre 600 millions d'euros."Acteur majeur" des renouvelablesLa plateforme de développement de projets de concessions doit "permettre à Vinci de devenir un acteur majeur du secteur des énergies renouvelables".Le groupe a déjà identifié de "nouvelles opportunités" de projets pour cette activité, principalement dans le photovoltaïque, l'éolien et l'éolien en mer. Ces projets représentent le développement d'une capacité d'environ 23 gigawatts."Les synergies issues de notre complémentarité géographique, de nos expertises techniques et de nos modèles d'affaires intégrés, seront un atout de taille pour gagner de nouveaux projets et saisir des opportunités" dans le secteur des énergies renouvelables, a commenté Xavier Huillard, président-directeur général de Vinci, cité dans le communiqué.Par ailleurs, Vinci et ACS comptent également créer une coentreprise qui pourra acquérir "des actifs matures d'énergie renouvelable". Cette société serait détenue à 51% et consolidée en intégration globale par Vinci.Le groupe Vinci, connu notamment pour ses concessions d'autoroutes et d'aéroports, était déjà présent dans le domaine des infrastructures liées à l'énergie et aux énergies renouvelables via sa division Vinci Energies, qui a généré un chiffre d'affaires de 13,7 milliards d'euros l'an dernier.Cette entité, présente dans 56 pays, est un acteur majeur de l'ingénierie et des travaux électriques. Elle est active dans les infrastructures d'énergie (environ 4 milliards d'euros de chiffres d'affaires), mais aussi de communication et de transport. Elle travaille également sur des projets de bâtiments ou d'usine.Vinci Energies propose notamment à ses clients des "solutions techniques" afin de réduire leur empreinte carbone.En Europe, cette division occupe une "position forte" dans de nombreux pays dont l'Allemagne, la Suisse, la Belgique et l'Espagne, selon le site internet du groupe.Sur ces marchés, il fait face à la concurrence d'Engie, de Spie, d'Eiffage ou encore de Bouygues.Le groupe Vinci a réalisé un chiffre d'affaires de 44 milliards d'euros en 2020, en recul de 10%, en raison de perturbations liées à la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 68 jours

Les stores anti-chaleur Reflex'Sol au Théâtre de Narbonne

Aujourd'hui, le Théâtre de Narbonne est devenu un lieu nourri de l'aventure du spectacle vivant. Il participe au développement d'une cité tout autant qu'elle favorise l'ouverture du cœur et de l'esprit du citoyen. Le centre culturel a obtenu le label Scène Nationale qui lui attribue des missions de service public. L'architecture respecte une certaine géométrie : la transparence tournée vers le centre-ville. Le théâtre s'appuie sur 2 axes : l'alignement avec la Cathédrale et le canal de la Robine. Avec ses grandes baies vitrées, le bâtiment possédait une problématique de clarté et de chaleur. L'isolation thermique du bâtiment a été optimisée avec la prescription d'une cinquantaine de stores anti-chaleur CALIFORNIEN de la marque REFLEX'SOL, toile 555.Issues de la recherche spatiale, les toiles réflectrices REFLEX'SOL sont composées de rubans de Mylar métallisés qui renvoie le rayonnement solaire à l'extérieur et empêche le réchauffement des pièces vitrées. C'est la solution de protection solaire idéale pour les baies vitrées. Non seulement elles vous protègent mieux que toutes les protections solaires extérieures, et elles ne sont pas soumises aux intempéries et à leurs aléas.Conformément aux réglementations thermiques qui imposent une consommation d'énergie inférieure à une consommation de référence et en été, une température inférieure à une température de référence, les stores Anti-Chaleur REFLEX'SOL proposent une protection solaire largement suffisante pour limiter l'utilisation d'une climatisation. Les solutions de protection solaire de la marque REFLEX'SOL sont proposées par la société Adeima qui vous présente des stores et solutions de réflexions 100 % Made in France depuis 1987. Testés en centre de recherche et brevetés, bien plus que de simples stores, les produits REFLEX'SOL offrent bien-être et confort intérieur.Les produits REFLEX'SOL sont disponibles dans toutes la France, auprès des meilleurs fabricants de véranda et storistes.Des toiles réflectrices issues de la recherche spatialeDepuis près de 30 ans les stores REFLEX'SOL habillent les vérandas, fenêtres et baies vitrées des particuliers et des professionnels de toiles réflectrices performantes qui permettent de lutter efficacement contre l'effet de serre. Mieux encore, les stores et toiles Réflex'sol protègent également du froid et transforment les parois vitrées en un magnifique élément de décor.Les grandes surfaces vitrées qu'offrent les vérandas et les baies vitrées sont à la fois un bonheur esthétique et une magnifique source de luminosité... Mais de nombreux propriétaires se rendent compte rapidement que cet espace à vivre se transforme en four dès les premières chaleurs où, au contraire, en glacière, lorsque les températures deviennent négatives, rendant l'espace inutilisable.Grâce à ses solutions isolantes performantes et réflectrices, REFLEX'SOL propose des toiles qui permettent de lutter efficacement à la fois contre l'effet de serre au sein des vérandas mais également du froid, vous permettant de profiter de vos espaces vitrés tout au long de l'année. Le store anti-chaleur CALIFORNIENStore à bandes verticales, le store anti-chaleur CALIFORNIEN REFLEX'SOL permet la variation de luminosité et la création d'ambiance. Le store CALIFORNIEN coulisse sur un rail de guidage thermolaqué aux couleurs des menuiseries. Avec ses bandes orientables de 127 mm (ou 89 mm) aux motifs et coloris coordonnés aux stores sous toiture de vérandas, il répond aux besoins de protection solaire, protège des regards et dose agréablement la lumière. Il se manœuvre aisément par une chaînette téflon ou métallique, par un lanceur, par un moteur.Pour en savoir plus sur la gamme REFLEX'SOL consultez leur site internet.
Il y a 4 ans et 70 jours

Du 29 mars au 2 avril, la Semaine de l'entreprise coopérative BTP

Une opération inscrite dans le programme de promotion de l'entrepreneuriat du CCCA-BTP La Semaine de l'entreprise coopérative BTP est une initiative pilotée par le CCCA-BTP, en partenariat avec la Fédération des SCOP du BTP. Sa première édition se déroule partout en France, du 29 mars au 2 avril 2021.Son objectif vise à promouvoir le modèle exemplaire de l'entreprise coopérative dans le secteur de la construction auprès des apprentis en formation dans les métiers du BTP. Ce modèle s'inscrit pleinement dans le programme de promotion de l'entrepreneuriat, mis en place par le CCCA-BTP auprès des apprentis pour les sensibiliser à la création, la reprise et la transmission d'entreprise.Les 600 entreprises coopératives du BTP mobilisées dans tous les territoiresLors de cette Semaine, les 600 sociétés coopératives du BTP se mobilisent en région pour venir à la rencontre des jeunes en formation au sein des organismes de formation aux métiers du BTP qui participent à cette initiative. Au-delà de faire découvrir aux apprentis du BTP le modèle coopératif, qui, par ses spécificités, ses valeurs et son mode de gouvernance séduit de plus en plus de jeunes, son objectif est également d'accompagner des apprentis, futurs entrepreneurs, qui achèvent leur parcours de formation, dans la réalisation de leur projet professionnel.Une semaine à la découverte d'un modèle d'entreprise équitable, démocratique et pérenne, où…Les salariés ont le pouvoir de décider. Ceux-ci détiennent au moins 51 % du capital social et 65 % des droits de vote.Les dirigeants sont choisis et élus par les salariés. Ce sont eux qui pilotent la société au quotidien, mais ils sont élus dans les assemblées générales.Les bénéfices sont équitablement répartis. Ces profits sont distribués entre les salariés (participation et intéressement), les réserves de la SCOP et les associés (dividendes).La démocratie prévaut. Chaque associé dispose d'un droit de vote égalitaire, quel que soit le capital détenu sur le principe : un homme = une voix.Un tiers des bénéfices est réservé pour assurer l'avenir et la pérennité de l'entreprise. La part des bénéfices mise en réserves contribue à consolider les fonds propres et à conforter l'avenir de l'entreprise. C'est sans doute ce qui explique la pérennité des 600 sociétés coopératives du BTP.Une quarantaine d'événements inscrits au programme Ces événements sont organisés au niveau régional par les Fédérations régionales des SCOP du BTP et les organismes de formation du BTP.Diverses animations sont au programme, avec :des ateliers et des conférences pour présenter le modèle coopératif ; des SCOP dating pour le recrutement d'apprentis ou de nouveaux sociétaires ;des visites d'entreprise coopérative ou de chantier réalisé par une SCOP. Toutes les régions de France participent, y compris La Réunion, avec douze événements en Auvergne-Rhône-Alpes, deux en Bourgogne Franche-Comté, deux en Bretagne, un en Centre-Val de Loire, deux en Grand-Est, trois en Haut-de-France, deux en Ile-de-France, deux en Normandie, trois en Nouvelle-Aquitaine, trois en Pays de la Loire et quatre en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Zoom sur six événements organisés en région BTP CFA Loire-Atlantique (site de Saint-Herblain) : 29 mars 2021Conférence de présentation du modèle coopératif et témoignages de l'entreprise coopérative SCOP SCETEC et de la Fédération Ouest SCOP du BTP.Les Compagnons du Devoir et du Tour de France de Nancy : 29 mars 2021Atelier-conférence sur le modèle coopératif et organisation d'un SCOP dating.BTP CFA Isère (Bourgoin-Jallieu) : 30 mars 2021Atelier-conférence sur le modèle coopératif et échanges avec la SCOP ARTSCOP BOIS, un ex-apprenti menuisier aujourd'hui salarié dans cette entreprise coopérative, la Fédération régionale Auvergne-Rhône-Alpes des SCOP du BTP, en présence des apprentis et de l'équipe pédagogique du centre de formation. Fédération compagnonnique régionale d'Orléans : 31 mars 2021Conférence de présentation du modèle coopératif, échanges et témoignages avec la Fédération Île-de-France - Centre Val-de-Loire des SCOP du BTP, l'Union régionale des Scop (UR SCOP) Centre Val-de-Loire et l'entreprise SCOP Leplâtre.Bâtiment CFA Côte d'Or (Dijon) : 31 mars 2021Atelier-conférence sur le modèle coopératif et organisation d'un job dating.Bâtiment CFA Limoges : 1er avril 2021Visite par les apprentis du CFA de deux entreprises coopératives à Limoges : SCOP AEL et SOPCZ et conférence de présentation du modèle coopératif. Plus d'informations sur le site Internet dédié du CCCA-BTP.
Il y a 4 ans et 71 jours

Un diagnostic digital pour les industriels et les négociants

Brands at Work propose sur son site Internet un diagnostic digital, pour mesurer le degré d'engagement dans la transition digitale.
Il y a 4 ans et 71 jours

Il est temps que nous nous parlions ! Consacrez-nous 5 minutes.

Nous avons procédé, il y a deux ans, à une refonte de notre site Internet. Acpresse.fr a été repensé dans sa forme et s’est enrichi dans son contenu, avec des articles à forte valeur ajoutée. Reportages chantiers, articles techniques et scientifiques, créations design et artistiques, reportages vidéos, podcasts… Tous les jours, toute l’équipe se mobilise pour vous offrir des contenus originaux et de qualité sur les thématiques du béton, de l’isolation et des process industriels. Dans le même temps, nous avons aussi multiplié les canaux de diffusion, en ajoutant au web, newsletters et print, une présence soutenue sur les réseaux sociaux.  Aujourd’hui, nous souhaitons évaluer la pertinence de notre dispositif numérique dans le fond et dans la forme à travers une enquête audience. Notre engagement à vous apporter une information fiable et de qualité n’a de valeur que s’il est validé par nos lecteurs. C’est pourquoi votre participation à notre enquête est cruciale. Elle nous permettra de recevoir vos critiques, vos appréciations, de mieux cerner vos attentes, vos besoins en information. Et ainsi  d’apporter des réponses éditoriales ad’hoc. Actualités en région, produits, portraits de professionnels…, notre ambition est de mettre en place un dialogue régulier avec vous, nos lecteurs, et de vous ouvrir nos rubriques. Notre questionnaire ne vous prendra que 5 minutes de votre temps. L’équipe d’ACPresse
Il y a 4 ans et 71 jours

Jean-Jacques Annaud cherche des vidéos amateurs de l'incendie de Notre-Dame pour un film

Les séquences, qui doivent représenter "de préférence les embouteillages provoqués par l'évènement, les chants dans la nuit pour encourager les pompiers ou les réactions à l'étranger à la vision de Notre-Dame en feu", peuvent être envoyées sur le site internet dédié "notredamebrule.com".Les images sélectionnées pourront être intégrées, moyennant rétribution, au film "Notre-Dame brûle" qui doit sortir en 2022.Réalisateur de très gros succès comme "L'ours" (1988), "Le nom de la Rose" (1986) ou "Deux frères" (2004), Jean-Jacques Annaud s'est lancé à 77 ans dans le tournage de ce film sur l'incendie qui a partiellement détruit la cathédrale parisienne le 15 avril 2019.Conçu comme un film à grand spectacle, pour le cinéma, il mêlera environ 5% d'images d'archives du drame, avec des reconstitutions, en studio et dans des lieux comme la cathédrale de Bourges.Le scénario, lui, veut coller à la réalité du sinistre : "Nous ne racontons pas de bobards, il suffit de suivre la réalité qui est infiniment plus baroque, parfois burlesque", a expliqué le réalisateur en mars à l'AFP, lors du début du tournage à Bourges."Je n'aurais pas osé faire ces rebondissements dramatiques, si ce n'était pas verrouillé sur la vérité. Je n'ai jamais écrit un scénario avec autant de bonheur, aussi rapidement", a-t-il ajouté.
Il y a 4 ans et 74 jours

L'OPPBTP relance sa campagne de sensibilisation nationale pour éviter le bruit dans le BTP

Elle est l'occasion de délivrer davantage d'informations sur ce sujet et d'aider les encadrants et les opérateurs à adopter les bons réflexes. Avec plus de 64% des salariés concernés par les nuisances sonores en 20171, le bruit est omniprésent dans le BTP. Parfois négligé sur le terrain, ses conséquences sur la santé des opérateurs sont pourtant bien réelles. Consciente de cet enjeu, la profession se mobilise pour rappeler que de nombreuses solutions de prévention existent et en faciliter l'accès.Accompagner les professionnels grâce à une campagne de sensibilisation nationaleLa campagne nationale « Contre le bruit, j'agis » vise en premier lieu à sensibiliser l'ensemble des professionnels du BTP à ce risque majeur, en leur rappelant l'importance de la prévention collective et en leur présentant l'étendue des solutions existantes pour adopter les bons réflexes. En second lieu, l'Organisme se donne l'objectif de valoriser les protections individuelles contre le bruit (PICB) les plus efficaces et à faciliter leur acquisition.Pour protéger au mieux les professionnels, l'OPPBTP rappelle les grands principes de prévention à mettre en œuvre. Après avoir évalué les risques sur le terrain, les entreprises disposent de nombreuses mesures de protection collective afin d'agir à la source et d'éviter aux opérateurs une exposition nocive. Dans un second temps et si le bruit persiste, des EPI permettent de protéger les collaborateurs des nuisances sonores auxquels ils sont inévitablement exposés.Réaliser une évaluation des risquesL'évaluation des risques constitue le point de départ de la démarche de prévention et de sa mise en œuvre. Etablir un diagnostic en amont permet de définir ensuite les mesures nécessaires à la protection des opérateurs. L'employeur doit donc identifier les postes de travail les plus exposés et les équipements qui représentent les principales sources de pollution sonore. Pour cela, il lui faut caractériser les sources de bruit, distinguer les bruits continus des bruits impulsifs, réaliser des mesures à l'aide d'un sonomètre et prendre en compte la durée moyenne des travaux concernés par les nuisances. Des outils d'évaluation et plan d'action sont proposés sur le site preventionbtp.fr.Investir dans le bon matérielA partir du diagnostic établi, la première mesure à mettre en place est d'agir à la source du bruit, en le prenant en compte parmi les critères d'achat lors de l'investissement matériel. Ainsi, l'Organisme recommande de s'équiper des outils dotés des meilleures performances acoustiques en s'appuyant sur les indications données par le fabricant, figurant sur la notice et l'étiquetage. De plus, certains types d'équipement sont à privilégier. Par exemple, les machines thermiques ou pneumatiques peuvent être remplacées par des électriques, moins bruyantes. Il est également possible de réaliser des encoffrements de certaines machines afin de les isoler acoustiquement.Adapter l'organisation du travail et de l'activitéDans un second temps, l'organisation du travail doit être optimisée de manière à réduire autant que possible le temps d'exposition au bruit des opérateurs. Pour cela, il faut distinguer physiquement sur le chantier les opérations les plus bruyantes de celles qui ne le sont pas. Une planification des tâches peut également permettre aux salariés d'alterner entre activités bruyantes et calmes pour éviter une surexposition. Cette réflexion organisationnelle bénéficie ainsi non seulement à la santé des collaborateurs, mais également à la productivité sur le chantier.Recourir aux équipements de protection individuelleSi malgré ces précautions, les opérateurs sont toujours soumis à une exposition au bruit supérieure au seuil de nocivité de 81 dB, il devient alors essentiel de les équiper de protections individuelles. Celles-ci doivent impérativement être portées pendant toute la durée de l'exposition et être adaptées aux conditions de travail et aux personnes qui les portent. L'Organisme insiste notamment sur le fait qu'une surprotection est inutile, voire contre-productive. « Il est important de déterminer l'atténuation acoustique adéquate, en fonction de la tâche effectuée et de l'environnement de travail dans lequel évolue l'opérateur. Dans le cas contraire, celui-ci risque de ne plus rien entendre autour de lui et de ne plus pouvoir communiquer avec ses collègues, ce qui le dissuaderait de porter l'EPI. » précise Mohamed Trabelsi, Responsable du Domaine EPI à la Direction Technique de l'OPPBTP.Un partenariat pour faciliter l'équipement des professionnelsDevant la grande diversité d'EPI existants, la campagne « Contre le bruit, j'agis » vise à accompagner les professionnels dans leur choix et favoriser l'accès à un équipement adéquat. Ainsi, l'OPPBTP s'est rapproché de 9 fabricants et distributeurs partenaires : 3M, Cotral, Earsonic, Auditech-Innovation, Interson, Uvex, MSA, Delta Plus et groupe RG. Cette collaboration permettra aux entreprises de bénéficier d'offres promotionnelles exclusives, toujours dans le but de faciliter l'acquisition d'EPI.Ensemble, l'OPPBTP et ses partenaires ont choisi de valoriser les équipements de protection les plus efficaces. On retrouve ainsi :Les bouchons personnalisés qui permettent de filtrer seulement les bruits qui agressent l‘oreille tout en conservant une communication classique.Les coquilles antibruit qui ont l'avantage d'être particulièrement résistantes et de s'ajuster facilement.Les casques antibruit électroniques qui offrent une meilleure restitution du son en dehors du bruit environnant. Ils peuvent également être communicants pour maintenir le contact entre l'opérateur et son équipe.« Nous nous engageons à accompagner les entreprises dans une démarche active d'équipement de leurs collaborateurs lorsque celle-ci est nécessaire. En nous associant aux fabricants et fournisseurs de protections individuelles contre le bruit, nous souhaitons faciliter tous ensemble l'acquisition de ces protections et faire un pas de plus vers une protection optimale des professionnels. » Paul Duphil, Secrétaire Général de l'OPPBTPLa campagne prévoit une opération de promotion multimédia, conçue par l'OPPBTP et ses partenaires, avec différents outils et dispositifs de communication.Un kit opérationnel de promotion sera déployé auprès des professionnels du BTP. Ce dernier est composé de :Posters et stickers pour inciter les professionnels du BTP sur le terrain à afficher leur engagement « contre le bruit, j'agis »,D'une vidéo courte dont l'ambition est la viralisation sur les réseaux sociaux,De bannières pour aller capter les professionnels dans leur univers de navigation web (médias, partenaire loueurs…),D'une page internet pour délivrer des conseils en rappelant les principes généraux de prévention et faire le lien avec les offres des partenaires sur les équipements de protection individuelle,D'une lettre explicative envoyée aux 240 000 entreprises du BTP.Les organisations professionnelles et salariales ainsi que les services de santé au travail se mobilisent pour soutenir et relayer cette campagne.Le bruit, un risque majeur encore trop souvent oubliéLe bruit constitue une nuisance majeure dans le milieu professionnel. Une exposition prolongée peut occasionner une perte auditive irrémédiable ainsi que d'autres risques associés, tels que de la fatigue, du stress, des troubles de l'équilibre ou, encore, des troubles cardio-vasculaires. Dans le secteur du BTP, il altère également à court terme la vigilance et la concentration, augmentant ainsi le risque d'accidents.Or, les professionnels de la construction sont particulièrement exposés aux nuisances sonores. En effet, les sources de bruit sont très nombreuses sur les chantiers ou dans les ateliers (environnement de travail bruyants, équipements ou engins de forage, engins de TP, équipements à moteur thermique, équipements motorisés, outillage éléctroportatif…). Cela place le BTP en tête des secteurs les plus touchés par le risque bruit. Utilisés quotidiennement, la plupart de ces outils produisent plus de 81 dB, soit le niveau à partir duquel des dommages irréversibles pour l'audition sont susceptibles de survenir.« Le bruit est parfois négligé dans le secteur du BTP car il est déjà très exposé à de nombreux autres risques, souvent perçus comme prioritaires. Par ailleurs, les professionnels ont tendance à minimiser le risque lié au bruit car ses conséquences sur la santé n'ont pas d'effet immédiat. Malheureusement, la perte auditive est déjà réelle et irrémédiable lorsque les personnes touchées commencent à se rendre compte des difficultés qu'ils rencontrent, d'où l'importance de mettre en place des mesures préventives. »Antoine Hauter, médecin du travail1 Source : Enquête Sumer 2017 sur les conditions de travail
Il y a 4 ans et 75 jours

Legallais.com, désigné meilleur site E-commerce 2021

Après avoir été de nouveau labellisée Great place to work en novembre, reconnue Entreprise engagée par le Trophée RSE des experts comptables en décembre, Legallais a reçu le prix Or du meilleur site e-commerce BtoB en février.Organisé par BFM Business et la Fevad, Fédération du e-commerce et de la vente aux professionnels sur la base d'un sondage réalisé par Médiamétrie auprès de 1.645 entreprises françaises (collectivités locales, industries, professions libérales, artisans-commerçants, entreprises de services) ayant acheté sur un site de e-commerce B2B au cours des 1é derniers mois. Les notes tiennent compte de 5 critères : choix des produits, fonctionnement du site, rapport qualité/prix, politique RSE et service client. Legallais avait 15 concurrents parmi lesquels CDiscountPro, Manutan, JPG ou Téréva.Plus de 50.000 références accessibles dont le stock est affiché en temps réel, des configurateurs, des guides de choix ou encore un espace pro personnalisé pour gérer et optimiser le processus d'achats ( suivre devis, commandes et livraisons, créer un catalogue sur-mesure avec liste d'achats, tarifs négociés et personnalisés...) sont autant de services et d'atouts pour faire du site legallais.com un allier quotidien des 60.000 clients."Nous sommes très fiers de recevoir cette distinction, c'est tout le travail des équipes Legallais pour offrir à nos clients les meilleurs services disponibles sur internet, qui se voit récompensée aujourd'hui." Philippe Nantermoz, Directeur général
Il y a 4 ans et 75 jours

Le spécialiste de la protection périmétrique ouvre sa filiale en Allemagne : SORHEA GmbH

Avec plus de 33 ans d'expérience, SORHEA s'est imposée sur le marché de la sécurité comme le spécialiste des systèmes de détection d'intrusion. Concepteur et fabricant depuis 1987, l'entreprise développe des produits de qualité reconnue comme ses barrières à infrarouge actif.
Il y a 4 ans et 75 jours

Nouvelle mise à jour du Guide de préconisations de sécurité sanitaire de l'OPPBTP

L’enjeu principal est de remobiliser toutes les entreprises et tous les salariés sur l’absolue nécessité de se protéger contre la Covid-19 alors que les nouveaux variants mettent tout le pays sous tension, en particulier dans les départements concernés par de nouvelles mesures de confinement. Le respect des gestes barrières reste la base de la prévention, avec le télétravail pour les postes qui le permettent. Cette nouvelle version du guide intègre ainsi des modifications relatives à l'isolement des cas contact et des salariés symptomatiques ainsi qu'à l'aménagement des lieux de restauration.Ainsi, après un test positif, la période d'isolement pour les personnes contaminées passe de 7 à 10 jours au moins.Les risques de contamination sont les plus forts lors des repas et des pauses, quand il est impossible de garder le masque. La plus grande vigilance est donc requise pour leur organisation. Cette nouvelle version du guide rappelle les dispositions pour l'aménagement des lieux de restauration collective :Respect de l'hygiène des mainsDésinfection régulière des places et ustensilesPort du masque lors des déplacements ; n'enlever celui-ci qu'une fois assis à sa placeDistance minimale de deux mètres entre les places et placement en quinconce, ou installation de cloisons assurant une séparation physique, comme illustré sur la fiche pratique publiée par l'OPPBTP. En fonction de la taille et de l'aménagement des tables, un ou plusieurs collaborateurs pourront y prendre place.De façon exceptionnelle, avec le retour des beaux jours, il est souhaitable d'encourager les collaborateurs des chantiers à manger en extérieur, et d'aménager des espaces à cet effet. Les collaborateurs de bureau peuvent si besoin manger à leur place de travail.Enfin, le guide rappelle que les salariés doivent se munir des attestations de déplacement nécessaires en fonction des consignes gouvernementales applicables dans leur département.« Après de trop longs mois de mobilisation contre cette épidémie qui se traduisent par de la fatigue et de la lassitude, toutes les entreprises doivent redoubler d'attention, en particulier lors des pauses et des repas. »Paul Duphil, Secrétaire Général de l'OPPBTPDans sa boîte à outils Covid-19, l'OPPBTP propose un choix d'affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires, notamment lors des périodes de repas ou de pause.La nouvelle version du guide est disponible sur le site internet de preventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l'OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu'à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.
Il y a 4 ans et 77 jours

Le courtier Meilleurtaux acquiert l'assureur en ligne Active Assurances

"Jusqu'à présent, nous n'étions présents sur l'assurance-auto et l'assurance santé qu'en tant que pur comparateur. Avec ce rachat, nous allons pouvoir vendre, émettre et opérer la gestion de contrat sur ces métiers. C'est une nouvelle activité pour le groupe", a expliqué Guillaume Autier.Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé mais selon le quotidien économique, la valorisation d'Active Assurances serait supérieure à 150 millions d'euros.C'est la plus grosse acquisition pour le groupe, qui avait racheté en 2017 l'assureur Assurea, et au début du mois le courtier spécialisé dans l'épargne Mes-Placements.fr. "Avec cette opération, notre palette de services financiers est enfin complète", a assuré M. Autier dans les Echos. Meilleurtaux est passé en octobre sous le contrôle du fonds d'investissement américain SilverLake, qui a pris une participation majoritaire pour un montant compris entre 700 et 800 millions d'euros, selon une source proche du dossier. Le groupe affirmait alors avoir engrangé un chiffre d'affaires consolidé supérieur à 200 millions d'euros en 2019, soit le double de son niveau de 2016. Il revendiquait également avoir enregistré en 2019 plus de 90 millions de visites sur ses sites internet et "intermédié près de 10 milliards d'euros de crédits immobiliers".
Il y a 4 ans et 81 jours

Coût, surnombre, inefficacité: la Cour des comptes épingle les chambres de commerce et d'agriculture

Les CCI, qui ont près de 3 milliards d'euros de budget annuel et emploient 18.000 personnes, sont censées depuis une loi de 2019 facturer des prestations concurrentes de celles "proposées par de nombreux intervenants déjà présents sur le marché du conseil aux entreprises", souligne le rapport annuel de la Cour, publié jeudi.Mais la connaissance précise par les chambres de commerce des besoins à satisfaire sur ce marché "demeure dans la plupart des cas superficielle", selon la Cour, qui déplore des investissements insuffisants dans la formation des collaborateurs."Les coûts de gestion affichés actuellement par les CCI sur ces actions ne peuvent être équilibrés sans l'affectation d'une part importante de ressource fiscale", poursuit le rapport, selon lequel les CCI vivent aujourd'hui grâce à une "fiscalité à la justification incertaine".Pour les CCI comme pour les Chambres des métiers et de l'artisanat (CMA), les Sages de la rue Cambon demandent "une évaluation complète et sans tabou de l'utilité des réseaux consulaires pour les entreprises" qui "devra permettre de vérifier la légitimité du maintien du financement public".En 2022 les taxes affectées aux CCI, actuellement de 575 millions, baisseront de 50 millions d'euros par rapport à 2019, a précisé à l'AFP le président de CCI France Pierre Goguet.Mais la Cour des comptes juge sévèrement le rôle joué par les CCI et les CMA durant la crise du Covid.Ce rôle, qui "a principalement consisté à donner gratuitement de l'information, apparaît marginal auprès des entreprises", loin derrière celui des experts comptables, de la télévision et des sites internet gouvernementaux, selon un sondage BVA auprès de 800 chefs d'entreprise cité par la Cour.Obligation de transformationM. Goguet et le président de CMA France Joël Fourny regrettent, dans leurs réponses à la Cour des comptes, que l'action des CCI et des CMA "soit ainsi dénigrée sur la base de la citation d'une seule enquête portant de surcroît sur un sujet sur lequel elles n'étaient pas les opérateurs désignés".Les deux présidents affirment que cette charge est perçue comme "une profonde injustice" par "les milliers de chefs d'entreprises élus et collaborateurs des chambres"."Le réseau des CMA doit être encouragé et son caractère public ne saurait être remis en cause", affirme M. Fourny dans une déclaration à l'AFP, rappelant que le réseau des CMA est "leader en formation par apprentissage"."Je ne sais pas comment on aurait soutenu nos entreprises sans la proximité et la capillarité de nos chambres", a déclaré de son côté M. Goguet, ajoutant que les collaborateurs du réseau "sont mobilisés, week-ends compris, pour aider les écosystèmes territoriaux".Dans sa réponse à la Cour, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire affirme que "les réformes en cours, ainsi que la crise sanitaire, imposent aux réseaux consulaires l'ardente obligation d'accélérer leur transformation et de renforcer leur visibilité"."Le gouvernement sera particulièrement attentif et exigeant quant au respect de ces engagements, à la qualité des services rendus et à l'exemplarité de leur gestion interne", a averti M. Le Maire.3 chambres d'agriculture en CorseQuant aux 102 chambres d'agriculture, dotées d'un budget annuel de 800 millions d'euros dont deux tiers de fonds publics, la Cour a regretté que les fusions, demandées par elle en 2017, ne se soit pas produite.A titre d'exemple, "les chambres d'agriculture de Corse, au nombre de trois pour une activité restreinte, pourraient envisager la création d'une unique chambre de région".Déficitaires, les chambres doivent améliorer leur gestion, prévient le rapport, et ouvrir leurs instances, alors que 97 des 102 chambres sont dirigées par la FNSEA, le premier syndicat agricole, et ses alliés."Des coûts injustifiés continuent d'être supportés par le réseau, souvent au profit d'organisations agricoles : des chambres d'agriculture allouent des subventions destinées au fonctionnement des organisations syndicales d'exploitants agricoles ou leur accordent des avantages en nature", est-il rapporté.
Il y a 4 ans et 83 jours

Valode & Pistre prime les jeunes architectes

Le 1er prix a été décerné à Assia Ghani et Mélina Ndoumbe avec leur projet “Maisons ouvrières”, à Roubaix. [©Archi Jeunes /Valode & Pistre] L’agence parisienne Valode & Pistre Architectes a lancé un grand concours autour de l’habitat durable. Celui-ci est dédié aux étudiants en école d’architecture et aux jeunes diplômés de moins d’un an. Les résultats viennent d’arriver… Cinq prix pour cinq visions de l’habitat collectif de demain. Le jury a ainsi récompensé les meilleures réponses à ce thème. La réflexion des candidats s’est portée à la fois sur la dimension sociale et les enjeux environnementaux de l’habitat.  De nouvelles formes d’habitat Les architectes Denis Valode et Jean Pistre, co-fondateurs de l’agence éponyme, pensent qu’il est nécessaire d’ouvrir le débat avec une nouvelle génération d’architectes. Ceci, pour imaginer de nouvelles formes d’habitats. « Conscients aussi des difficultés d’insertion professionnelle de cette jeune génération, directement impactée par les effets de la crise sanitaire, ils ont souhaité agir concrètement pour tendre la main aux talents de demain », peut-on lire dans le communiqué de presse. Le projet architectural attendu était une proposition d’habitats collectifs innovants. Apportant des réponses au constat d’inadaptation des logements et de leur environnement. Ainsi qu’aux aspirations apparues lors de la crise de la Covid et du confinement, en particulier. Le contexte, la localisation, les caractéristiques urbanistiques et le choix entre réhabilitation et construction neuve étaient laissés à l’appréciation des candidats. Les lauréats sont… • Le 1er prix a été décerné à Assia Ghani et Mélina Ndoumbe avec leur projet “Maisons ouvrières”, à Roubaix. Il s’agit d’un projet de régénération d’un quartier constitué de maisons ouvrières typiques des Flandres. L’objectif est de développer des extensions, de structurer des associations de volumes. Mais aussi de redévelopper l’usage des jardins pour définir un habitat adapté à de nouvelles conditions de vie. Le duo de filles gagne une bourse de 8 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois au sein de l’agence Valode & Pistre. • Le 2e prix récompense “au Kêr de demain”, un projet de développement d’un habitat urbain dans des quartiers très pauvres de Dakar, au Sénégal.Porté par Zineb Bennouna et Marylou Machecourt, ce projet est constitué de groupement de logements assemblés autour de la ressource en eau. Ceci, avec des préoccupations d’auto-suffisance et de convivialité. La mise en œuvre de la construction remet au goût du jour des techniques traditionnelles oubliées, comme la voûte nubienne en terre. Les lauréats remportent une bourse de 6 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois au sein de l’agence. • Le 3e projet récompensé propose “Prémalliance”, à Grenoble. Il s’agit de la réhabilitation/transformation d’un complexe tertiaire préfabriqué des années 1970. Les espaces sont reconfigurés pour créer des logements panoramiques disposant de loggias et d’un espace non affecté. Diaeddine Khaled remporte une bourse de 4 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois. • Telmo Escapil-Inchauspe remporte le 4e prix avec son projet “What goes up must come down – Vivre dehors”. Une construction de deux extensions en forme de tours transparentes dans l’espace inutilisé d’une résidence d’habitat social, à Paris. Le gagnant remporte une bourse de 3 000 €. • Enfin, pour le 5e et dernier prix, remporté par Louis Gibault, il récompense le projet “Tour circuit – Circuit court”. Une tour constituée d’un empilement de maisons individuelles. C’est comme une nouvelle typologie d’habitats qui associe mixité, flexibilité et qui est pensée comme un éco-système. Lui aussi bénéficie d’une bourse de 3 000 €. Par ailleurs, les projets des lauréats seront exposés pendant une période de deux mois au sein de l’agence (VIIe arrondissement parisien). Et seront visibles sur le site Internet de l’agence.
Il y a 4 ans et 84 jours

Transport et stockage des vaccins anti-Covid 19 : les solutions d’enregistrement et de contrôle de température Testo

Maintenir les vaccins anti-Covid 19, comme celui de Moderna, à une température de – 20°C et/ou + 2 à + 8°C, est essentiel pour respecter la chaîne du froid et assurer leur qualité. Testo, spécialiste des instruments de mesure, dispose d’une offre large d’enregistreurs de données de température, classiques ou connectés, pour garantir l’efficacité des vaccins, de leur livraison jusqu’à leur stockage en pharmacie. Suivi des températures pendant le transport des vaccins Extrêmement précis et conformes aux directives de l’OMS, le testo 184 T3 est l’enregistreur de données le plus adapté pour réaliser les contrôles lors du transport des vaccins anti-Covid 19 dont la température doit être maintenue entre -20°C et/ou + 2°à + 8°C. Placé dans les colis de vaccins, le testo 184 T3 avec son capteur intégré en format clé USB, assure la surveillance de ces produits sensibles pendant le transport. La commande intuitive de l’enregistrement des données est réalisée à partir du bouton marche/arrêt. Sa programmation est simple grâce au fichier de configuration stocké au sein de l’appareil. A réception de la marchandise, la lecture des enregistreurs embarqués permet de s’assurer que les colis ont bien été transportés dans les bonnes conditions de température.En connectant l’enregistreur à un ordinateur via un port USB, il permet de récupérer facilement les données collectées, d’éditer un rapport automatique ou un ticket de contrôle sur site grâce à une imprimante.Les enregistreurs testo 184 T3 peuvent être consultés également à l’aide d’un Smartphone Android compatible NFC. Contrôle et suivi des températures pendant le stockage des vaccins Dans les pharmacies d’officines, le Conseil de l’Ordre National des Pharmaciens recommande l’utilisation d’enceintes réfrigérées professionnelles dans lesquelles les vaccins et les produits thermo-sensibles doivent être stockés entre +2° C et +8° C pour conserver leurs qualités. Au sein de ces enceintes, le pharmacien a l’obligation d’enregistrer et suivre en continu la température à l’aide d’appareils de mesure automatiques pour respecter la chaîne du froid. Pour une plus grande fiabilité, le Conseil de l’Ordre recommande aujourd’hui des enregistreurs de température à 2 points de mesure, point haut et point bas, car la température n’est parfois pas stable. Testo propose deux types d’appareils de mesure répondant à ces obligations : . testo 175 T2, enregistreur de données de température doté d’un capteur interne (CTN) et un raccord pour une sonde de température externe permettant de mesurer les conditions ambiantes dans les stocks et contrôler simultanément la température des vaccins. La sonde de température CTN, intégrée à l’enregistreur de données, effectue des mesures extrêmement précises (plus ou moins 0,5°C). Visibles sur l’écran de l’enregistreur à tout moment, les données les plus importantes peuvent être contrôlées sans devoir les consulter sur PC. Même à des cadences de mesure courtes, l’enregistreur de données peut être consulté moins fréquemment grâce à sa mémoire étendue à 1 million de valeurs et ses piles longue durée. Le logiciel ComSoft Basic, en libre téléchargement, permet une programmation rapide de l’enregistreur et une analyse aisée des données. . testo Saveris 2 T2, enregistreur de données WiFi Doté d’un écran et de 2 entrées pour des sondes de température CTN ou contacts de porte, le testo Saveris 2 T2 est l’enregistreur de données idéal pour contrôler, en même temps et de manière automatisée, les températures de 2 enceintes réfrigérées. Le système d’enregistreurs de données WiFi testo Saveris 2 T2 constitue une solution simple, flexible et sûre pour la mesure et la surveillance des valeurs de température et des contacts de porte des réfrigérateurs. Il enregistre et transmet toutes les valeurs de température et de fermetures de portes mesurées vers le Cloud de Testo, via le réseau WiFi. Les valeurs sont ensuite consultables partout et à tout moment via un Smartphone, une tablette ou un PC connecté à Internet. En cas de dépassement des limites, la fonction d’alarme avertit immédiatement par e-mail ou par SMS l’utilisateur. Une sonde de température CTN avec câble plat Pour la mesure et le suivi à l’intérieur des enceintes réfrigérées, les enregistreurs testo 175 T2 et testo Saveris 2 T2 doivent être reliés à une sonde de température équipée d’un câble plat de 2 mètres pouvant être glissé dans le joint de la porte du réfrigérateur. Avec l’ensemble de ces solutions de mesure testo garantissant la bonne conservation des vaccins anti-Covid 19, les professionnels font le choix de la qualité et de la sécurité. http://www.testo.com
Il y a 4 ans et 84 jours

Esthétique parisienne : habitants vs professionnels, exercice périlleux

Qu’attendre de contributions citoyennes sur une plateforme internet au regard de la demande d’expertise que requiert le développement urbain ? Vox populi, vox dei ? Mercredi 10 mars 2021, Emmanuel Grégoire, adjoint à l’urbanisme et l’architecture de la mairie de Paris et premier adjoint, via une vidéo publiée sur le compte Youtube de la mairie […] L’article Esthétique parisienne : habitants vs professionnels, exercice périlleux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 85 jours

Ehret lance la motorisation Voletronic io et fait entrer les volets battants dans la maison connectée

Cette nouvelle offre de motorisation, en partenariat avec Somfy, est une innovation majeure qui permet à EHRET de propulser sa gamme de volets battants dans le monde de la maison connectée !EHRET signe l'union du traditionnel et de la modernitéTout à la fois emblème de la tradition, de l’esthétique et de la sécurité, le volet battant est un classique indémodable. Caractère dominant d’une maison, il habille ses façades, leur donne du cachet et valorise l’esthétisme de l’ensemble. Sa robustesse en a toujours fait un atout sécuritaire indéniable, et ses aptitudes thermiques sont connues de tous.Avec la nouvelle motorisation VOLETRONIC io, EHRET propose à ses clients un volet battant traditionnel doté de toute la modernité qu’offre la maison connectée, grâce à un protocole radio domotique bidirectionnel. Une innovation majeure qui intègre toutes les fonctionnalités domotiques et notamment le retour d’information de la part du moteur.C’est-à-dire qu’avec la connectivité le volet peut être actionné (ouverture et/ou fermeture) de n’importe quel lieu et que simultanément, l’utilisateur obtient la confirmation que l’ordre a bien été réalisé ou qu’au contraire il y a eu une anomalie.Côté design, si la question de l’esthétique et du clair de jour est souvent perplexe dans le choix du volet roulant, elle ne se pose pas avec le volet battant. Là encore, EHRET assure esthétique et discrétion. Le clair de jour est optimisé grâce à un carter profilé etune intégration discrète à la façade. Côté coloris, en tout, ce sont plus de 4.000 coloris qui sont proposés à la vente dont un nuancier de 213 coloris RAL et 3 coloris AkzoNobel -2100, 2700 et 2900- disponibles sans plus-value.Des variantes design avec des formes spécifiques (cintre, triangle...) sont également possibles pour répondre à des demandes personnalisées et s’adapter à l’esthétique de la maison.Une utilisation au doigt et à la voixSelon le nombre de vantaux à manipuler, il est possible de concevoir et d’actionner des installations pour des volets battants de 1 à 4 vantaux (de 440 à 2400 mm de largeur).La manipulation est aisée via 3 modes de pilotage (commande murale tactile, télécommande ou smartphone) et le retour d’information en temps réel assure que la commande soit bien réalisée, même à distance.La motorisation VOLETRONIC io d’EHRET offre de nombreux bénéfices en termes de confort. Cette motorisation intègre le protocole radio domotique bidirectionnel io deSomfy, assurant ainsi une compatibilité des volets battants avec la solution domotiqueTahoma.Il est donc possible de créer des scénarios pour prévoir à l’avance les heures d’ouverture ou de fermeture des volets, comme par exemple l’ouverture automatique des volets du lundi au vendredi à 7h30 et une fermeture à 19h. Il est aussi possible de prévoir des horaires décalés lors des congés par exemple, pour simuler une présence à la maison et ainsi décourager des cambrioleurs.À tout moment, l’utilisateur garde la main sur ses volets et peut modifier, compléter ou annuler des ordres préprogrammés. Tahoma étant compatible avec les assistants vocaux, ces différentes actions pourront même être déclenchées par la voix, en le demandant simplement à Alexa, Google ouSiri.Un volet battant intelligentEquipée du protocole io Somfy la motorisation VOLETRONIC io est l’une des plus intelligentes et assure fiabilité et performance en matière de sécurité. Elle est notamment équipée d’une sécurité en cas de gel et est capable de détecter des obstacles afin que le moteur ne force pas, protégeant ainsi tout le système. Chaque bras est doté d’un moteur indépendant réalisant une action coordonnée avec l’autre bras pour une fermeture toute en douceur. La motorisation exécute également une pause avant la fermeture, évitant ainsi tout risque de pincement des doigts.Le système est pourvu d’une protection contre le vent avec un anémomètre et une position de sécurité indépendante pour chaque ventail en cas de vent. Chaque bras est muni d’un système de fusible. Par ailleurs, une autonomie est assurée en cas de coupure de courant (une batterie de secours est disponible en option). Lorsque les volets sont fermés, les moteurs les maintiennent bloqués, ainsi ils favorisent le retard à l’effraction.L’atout connectivité des professionnelsS’il est vrai que le protocole io existait déjà depuis plusieurs années dans le monde du volet roulant ou de la porte de garage, c’est une nouveauté dans le monde du volet battant et un nouvel atout de vente pour les installateurs professionnels. Le nombre de volets motorisés est toujours en croissance mais concerne principalement les volets roulants offrant déjà de la connectivité. Les professionnels peuvent désormais accroître leur offre et proposer à leurs clients des volets battants connectés en neuf comme en rénovation. De quoi susciter un nouvel engouement.Par ailleurs la motorisation VOLETRONIC io d’EHRET s’installe facilement. Dotée d’un moteur à réglage de fin de course automatique, l’installation ne nécessite aucun paramétrage du volet.Il n’est plus nécessaire d’ouvrir le carter pour programmer le moteur, la programmation s’effectue depuis le point de commande. Ainsi tous les paramètres de base pour l’installation sont accessibles depuis la télécommande.Pour finir, l’outil de diagnostic et maintenance connecté, Serv-e-Go®, va permettre à l’installateur de réaliser un diagnostic de l’installation à distance, il pourra également reconfigurer une installation. Un service qui viendra compléter la satisfaction client pour une intervention rapide et efficace.Solution universelle, la motorisation VOLETRONIC io est idéale pour motoriser et connecter des volets battants neufs ou existants. 100 % personnalisable, elle s’adapte à tous les types de pose et est compatible avec tous types de fenêtres, cintrées ou avec feuillures et volets précadre.Alors nul besoin de sortir de sa maison ou d’ouvrir ses fenêtres pour fermer ses volets, avec EHRET il est désormais possible de garder l’esthétique et l’élégance de ses volets battants et de profiter de tout le confort et de la sécurité de la maison connectée.
Il y a 4 ans et 85 jours

Comment procéder à l’isolation des murs intérieurs ?

Le sentiment de confort à l’intérieur de l’habitat est majoritairement dû à sa température ambiante. En effet, une température adaptée à la saison, chaud en hiver et frais en été, permet à ses locataires de s’y sentir à l’aise. Afin d’éviter des écarts voire des baisses de températures, il est primordial de choisir une bonne isolation. De plus, une isolation de qualité réduira votre facture d’énergie et par conséquent engendrera peu de coûts supplémentaires. Alors, quoi de mieux que l’isolation thermo-acoustique ? Ce procédé d’isolation possède de nombreuses qualités qui lui permettent de s’imposer de plus en plus au sein des foyers de manière durable. Choisir le bon isolant Le plus dur dans les travaux d’isolation est de choisir le parfait isolant. Vous avez l’embarras du choix en la matière, mais tout dépend des caractéristiques de votre maison. Dans bien des cas, utiliser un isolant thermo-acoustique peut être une bonne idée. Comme son nom l’indique, ce type d’isolation permet à la fois de bien vous chauffer (isolation thermique) et d’atténuer le bruit de l’extérieur et de l’intérieur (isolation phonique) pour vous garantir un confort maximum. Si vous avez une maison en bordure de route que vous souhaitez chauffer, n’hésitez plus ! À installer dans les murs, et disponible pour quelques centaines d’euros le m2, c’est le must des isolants proposés par les grandes marques. Cette isolation vous permettra d’améliorer votre confort de vie, de réduire votre impact environnemental mais aussi d’effectuer des économies sur vos factures d’énergie. Pour les petits budget, la laine de verre ou bien la ouate de celluloses peuvent également être de bonnes alternatives. Cependant, ces techniques possèdent quelques points négatifs, le principal étant l’apparition de ponts thermiques. Au fil des années, la laine ou la ouate va s’affaisser, ce qui créera un espace dans vos murs qui laissera passer le froid. A contrario, le procédé de l’isolation projetée permet de répandre la matière de manière uniforme et ainsi éviter les ponts thermiques. Pour ceux qui ont un petit budget, un isolant en laine de verre, en chanvre ou en celluloses, voire en fibre de bois peut également être une bonne idée. Ce sont les classiques de l’isolation. Il s’adapte à toutes les pièces et est facile à installer. Depuis plusieurs années, ils ont prouvé leur valeur. Pour l’isolation des murs, la mousse polyuréthane est également une alternative très en vogue. C’est une technique efficace et rapide qui consiste à verser de la mousse isolante dans les murs. L’isolant coûte assez cher, mais est très efficace pour couvrir chaque cm2 de vos murs. Cette isolation peut s’adapter à des combles aménagés. Mais si vous avez des combles perdus à isoler, on vous recommande le soufflage. C’est non seulement moins cher, efficace, mais c’est aussi plus rapide. Un Professionnel RGE pour vous aider Pour profiter des avantages du pacte d’isolation solidaire et garantir la réussite de votre projet d’aménagement, on vous conseille de faire appel à un professionnel RGE. Mais qu’est-ce que le label RGE ? Il s’agit d’un label que seuls les prestataires reconnus par l’État peuvent porter. Il est synonyme de compétence et de fiabilité. Il est important de vérifier que l’artisan engagé possède ce label avant les travaux, afin de s’assurer qu’ils soient éligibles aux aides. Il vous faut maintenant chercher votre artisan. Il existe plusieurs moyens de le trouver. Tout d’abord, sur Internet, mais veillez à choisir le prestataire qui aura la meilleure réputation. Vous pouvez également vous faire accompagner par l’agence nationale de l’habitat (Anah) ou encore avoir recours au bouche-à-oreille. L’isolation thermo-acoustique : des travaux qui prennent du temps mais qui sont bénéfiques. Cette isolation à base de polyuréthane projeté est un processus qui requiert du temps. Il faudra en effet démonter les murs avant de procéder à la mise en place des isolants. Vous devez donc prendre des dispositions pour votre hébergement. Tout le temps des travaux, votre maison sera inhabitable. Après la mise en place des isolants, ce qui peut prendre quelques jours en fonction de l’importance des travaux à faire, l’artisan procédera à la remise en état des lieux, à savoir la fixation des murs et aux colmatages des éventuels trous. Néanmoins, le jeu en vaut la chandelle ! Cette technique possède de nombreux avantages. Elle jouit d’une résistance optimale aux moisissures et d’une résistance thermique élevée. Cette technique est également capable de s’adapter aux imperfections de toutes les surfaces, ce qui n’est pas le cas de tous les isolants. En outre, il s’agit d’un procédé à la certification QB, gage de qualité et de sécurité. L’isolation polyuréthane est une solution durable avec un faible impact carbone. Quand rénover l’isolation de votre maison ? Contrairement à certaines informations, il n’est pas nécessaire de rénover votre isolation tous les ans. Il vous suffit de bien choisir votre isolant et votre prestataire. Mais alors, comment savoir si vous devez procéder à cette rénovation ou non ? Quand la performance énergétique de votre résidence commence à défaillir, il est temps de faire quelques changements. Si vous avez poussé votre appareil de chauffage dans ses retranchements, mais que vous sentez tout de même un courant d’air, c’est également le moment pour d’engager un professionnel de l’isolation pour vous accompagner dans la rénovation de votre habitation. Vous devez contacter un professionnel qui procèdera à un bilan thermique. Il s’agit d’un diagnostic d’isolation sur votre logement. Cela vous permettra de savoir s’il faut rénover ou non. En ce qui concerne la laine de verre, elle est assez économique et fait partie de l’un des isolant les plus performants. Pour ce qui est de l’isolation de polyuréthane, son atout majeur est sa longévité. En effet, contrairement aux isolation à la laine de verre ou ouate de celluloses, celle-ci a une plus grande durabilité dans le temps. Son installation par projection empêche l’apparition de ponts thermiques, et par conséquent perdure dans le temps. De plus, tout comme la liane de verre, elle est l’une des isolation les plus performante. De quelles aides pouvez-vous bénéficier ? Dans le cadre de la réduction de la consommation d’énergie, l’État français va l’inciter grâce à différentes stratégies. L’une d’elles consistant à financer les travaux d’économies d’énergie des habitations. La rénovation de l’isolation d’un habitat peut être une action onéreuse. Cependant, l’isolation projetée est moins coûteuse que dans l’imaginaire collectif. Il existe plusieurs aides, auxquelles elle est éligible, qui faciliteront le financement de ces travaux de rénovation. Depuis le 1er janvier 2020, l’État a mis en place une nouvelle aide : Ma Prime Rénov’. Il s’agit d’une aide financière reversée à la fin des travaux de rénovation énergétique. Cette prime varie, de 2000 à 20 000 euros, en fonction des revenus du propriétaire du futur logement rénové et des travaux engagés. Ces travaux doivent être réalisés par un professionnel RGE afin de pouvoir avoir recours à la prime. En 2021, quatre catégories de revenus seront créées afin de déterminer le montant de la prime. C’est une prime cumulable avec d’autres, sous certaines conditions. On peut également avoir recours à la prime CEE si les travaux sont réalisés par un artisan RGE. Il s’agit d’un dispositif mis en place en 2006 qui oblige les fournisseurs d’énergie à financer partiellement les travaux de rénovation énergétique faits par les particuliers. Il est intéressant de noter que cette prime est cumulable avec « Ma Prime Rénov’ » tout comme avec le crédit d’impôt. Le montant de cette prime dépend de la zone géographique mais aussi des caractéristiques de l’installation. Elle peut également donner lieu à une prime bonifiée si les revenus sont modestes. Certains artisans, comme Syneris par exemple, propose aux particuliers de leur monter le dossier de demande de CEE ou d’autres démarches administratives liées aux travaux d’isolation , afin de faciliter leur changement énergétique.
Il y a 4 ans et 89 jours

Dans quelles mesures faut-il changer les gouttières de sa maison?

Au cours de la construction d’une maison ou d’un immeuble, l’installation des gouttières est incontournable. Ces dispositifs assurent l’évacuation des eaux de pluie qui tombent sur la toiture. Ils contribuent également à la protection de la structure, car ils acheminent les eaux de pluie le plus loin possible des fondations et de la façade. Vu leur importance, il est crucial d’entretenir régulièrement les gouttières. Cependant, il peut arriver qu’on soit obligé de les remplacer. Justement, nous allons voir dans quelles mesures procéder à leur changement. Remplacer ses gouttières : un diagnostic préalable s’impose À la fin de la saison hivernale ou après un épisode de grêle, il est toujours conseillé d’inspecter ses gouttières, car celles-ci peuvent être endommagées ou fissurées. Idéalement, on effectue cette opération durant les beaux temps. D’ailleurs, elle nécessite quelques préparations comme les travaux d’inspection seront exécutés en hauteur. Il faudra donc bien s’équiper pour éviter les accidents. Ainsi, l’opérateur doit impérativement porter un casque de protection, des chaussures antidérapantes, des harnais, etc. Avant de diagnostiquer les gouttières, il faudra éliminer les résidus de végétaux et tous les éléments qui sont logés dans leurs parois. Ce nettoyage permet d’avoir une meilleure visibilité sur les défauts de celles-ci. Pour l’ensemble de ces opérations, vous pouvez solliciter les services d’un couvreur professionnel comme https://www.artisan-couvreur-86.fr/ . Quels sont les signes de détérioration des gouttières ? Certains symptômes témoignent de la détérioration des gouttières. Il s’agit entre autres de : La stagnation d’eau Des fuites d’eau au niveau des joints Des trous et des fissures Des crochets endommagés ou fragilisés. Dans la mesure où vous constatez l’un ou plusieurs de ces signes, cela signifie que vos gouttières sont endommagées. Toutefois, il faut savoir qu’un tel phénomène empêche la bonne évacuation des eaux de pluie. Des travaux de réparation s’imposent alors s’il est impossible de remplacer uniquement les portions de gouttières percées. Ici encore, nous vous encourageons à contacter un couvreur professionnel. Un diagnostic approfondi de vos gouttières lui permettra de déterminer les différentes réparations à opérer. À qui faire appel pour le remplacement de ces gouttières ? Comme vous l’aurez compris, le remplacement des gouttières nécessite absolument l’intervention d’un professionnel. En effet, les travaux ne sont pas aussi faciles qu’ils paraissent. Outre le démontage des conduits, il faudra également emboiter les unes aux autres différentes parties des gouttières et les installer convenablement. D’ailleurs, le choix du matériau et la réussite de leur pose sont les garanties d’une bonne évacuation des eaux. Par conséquent, n’hésitez pas à contacter un couvreur-zingueur, car c’est le spécialiste en travaux des gouttières. Pour trouver un bon artisan, vous pouvez demander conseil à vos proches ou faire des recherches sur internet. Dans tous les cas, pensez à demander une demande de devis pour vos travaux auprès de 3 ou 4 entreprises spécialisées. Cela vous donnera une idée du budget que vous devez préparer. Vous saurez également ce qui se fait sur le marché. Pour terminer, sachez que ce professionnel peut également se charger de l’entretien et de la réparation de vos gouttières en plus de leur installation.
Il y a 4 ans et 90 jours

Constructech.club et Planète Bâtiment : Menuiserie mixte bois/aluminium à ouvrant caché

Référence du développement durable dans le secteur de la construction, Planète Bâtiment s’intéresse évidemment à l’innovation. Et quoi de mieux que d’aller voir du côté des start-up. C’est pourquoi nous avons noué un partenariat avec Constructech.Club. Espace de rencontres entre start-up et acteurs de la construction, ce club a pour objectif de créer des synergies entre ces deux écosystèmes afin d’accompagner la transformation du secteur et co-construire le chantier du BTP. Ainsi, dans chaque numéro de Planète Bâtiment et sur notre site internet, nous publierons des exemples d’innovations soutenue par Constructech.Club. Découvrez le deuxième article de Constructech.Club dans le dernier numéro de Planète Bâtiment : Menuiserie mixte bois/aluminium à ouvrant caché Bonne lecture Stéphane Miget – Rédacteur en chef de Planète Bâtiment
Il y a 4 ans et 91 jours

Alkern, leader des produits préfabriqués en béton, prêt pour le bas carbone et la RE2020

Ainsi, si en 2010 l'industriel affichait un CA de 122 millions d'euros avec près de 650 salariés, Alkern réalise aujourd'hui plus de 200 millions de CA avec un millier de collaborateurs, soit un doublement de sa taille en l'espace de 10 ans.Reconnaissons d'ailleurs le savoir-faire d'intégrateur du Groupe Alkern qui cible chaque acquisition, permet à des sociétés parfois sans succession de perdurer et de se développer au sein d'un groupe prônant la sécurité et la performance.Précisons que ce chiffre d'affaires est réalisé à 90% en France et 10% en Belgique, et qu'il est généré par trois domaines principaux d'expertise :le bâtiment avec une large gamme de solutions en béton pour la construction de maisons individuelles et bâtiments collectifs (blocs béton, poutres, planchers, appuis de fenêtre,…) qui représente 45% du CA ;l'aménagement extérieur : terrasses, pavés, margelles, pour 30% ;et les TP (voirie, aménagement urbain, assainissement et réseaux secs) à hauteur de 20%.Avec 51 sites répartis sur le territoire hexagonal (et 2 en Belgique), Alkern, dirigé depuis début 2020 par Xavier Janin, produit 100% localement et revendique désormais, par exemple, la fabrication de plus de 2 blocs béton par seconde.Cette production locale et le maillage densifié des usines Alkern s'accompagnent aussi d'une importante R&D. Un département qui se focalise notamment sur la réduction de son impact environnemental, tout en apportant des solutions aux problèmes majeurs d'aménagement du territoire (performance thermique des bâtiments, gestion des eaux de ruissellement, réduction des îlots de chaleur urbains…).Xavier Janin, président d'Alkern depuis 1 an, précise : « Nous avons la particularité de pouvoir intervenir sur toute la chaîne de décision : depuis la conception jusqu'à la livraison sur site. Nous avons 53 usines et des bureaux d'études, qui nous permettent, en amont des projets, d'assister les maîtres d'œuvre et les maîtres d'ouvrage à dimensionner nos offres pour leurs projets et leurs besoins. »La Proximité, le credo ALKERNLe marché de la préfabrication béton exige une grande proximité avec les clients, afin de répondre au mieux aux attentes régionales (formats, couleurs, réglementations, etc.) et apporter une assistance technique adaptée. Grâce à son maillage industriel particulièrement homogène, le Groupe Alkern répond parfaitement aux exigences de tous ses clients en leur proposant de larges gammes de produits, où qu'ils soient situés sur l'ensemble du territoire national. Les structures commerciales et administratives, décentralisées en région, favorisent et renforcent les relations directes entre le site de production et le client, créant ainsi un véritable gage de simplicité et d'efficacité dans les partenariats établis.2020 : Bilan d'une année hors normesAprès un démarrage dynamique en 2020, l'élan des premiers mois a été brutalement arrêté par la pandémie de COVID-19.Alkern a su réagir rapidement, suite à l'arrêt brutal de l'activité et s'organiser afin de reprendre les livraisons, à la demande de ses clients, sous une semaine.En terme d'activité, l'intérêt des ménages confinés pour leur extérieur s'est traduit par une croissance notable de l'activité Amex chez Alkern (+20% entre juin et décembre 2020 versus 2019). Le rattrapage des chantiers arrêtés et la mise en place de protocoles sanitaires plus simples sur les chantiers de maisons individuelles ont aussi permis à Alkern de réaliser une croissance de 10% de son activité bâtiment, sur la même période. En revanche, la baisse du nombre de permis de construire sur le 2nd semestre est une alerte. Enfin, l'activité TP a pâti du report des élections municipales, du décalage des chantiers et du faible niveau d'appels d'offres, se traduisant par une baisse de l'activité de 20%, sur la fin d'année.En parallèle, devant cette situation exceptionnelle, 2020 a aussi été un accélérateur de modernisation avec la mise en place de nouvelles manières de travailler (outil de réunion à distance, digitalisation de certains process) et une organisation commerciale plus proche des clients.En résumé, Alkern a su faire face à une année 2020 compliquée et a permis de lancer des chantiers structurants pour l'entreprise.Xavier Janin de préciser : « Lors du premier confinement, nous avons arrêté toutes nos activités tout comme la majorité des acteurs du BTP. Cela étant, dès le 24 mars nous pouvions livrer nos clients avec des mesures sanitaires strictes et nous avons su, par la suite, répondre à la demande de rattrapage des chantiers qui avaient été mis en veille. D'un point de vue organisation et management, la crise de la Covid-19 a été un véritable accélérateur de décision. Le fait d'avoir travaillé dans un environnement instable et imprévisible, nous a en effet amenés à mettre en place des points quotidiens pour prendre des décisions de façon très rapide. Cela nous a forcé à repenser notre façon de travailler. Le virage digital a été pris au sein de notre organisation, là où nous n'avions pas conscience de nos limites avant les restrictions de déplacement imposées par la Covid-19. Ces technologies sont désormais devenues des standards pour nos réunions. Nous avons ainsi réécrit notre stratégie : la modernisation de l'entreprise, l'intensification de la prescription de nos produits, une R&D plus soucieuse de l'environnement et la poursuite de notre croissance externe, sont désormais les sujets qui nous mobilisent ».Indicateurs de performance environnementale Alkern 2020Alkern affiche une politique environnementale volontariste et soutenue qui sera encore renforcée sur les prochaines années. À travers les indicateurs détaillés ci-dessous, Alkern suit son impact environnemental et met en avant les avantages du matériau béton :La décarbonation des bâtimentsAinsi grâce à l'utilisation de blocs rectifiés Alkern à la place de blocs traditionnels ; l'économie de l'impact carbone représente l'équivalent de 28 millions de kilomètres parcourus en voiture en 2020. De même, mentionnons le remplacement de produits d'origine pétrochimique (PSE) par une mousse 100% minérale (partenariat Airium®), qui a permis l'économie de quelques 5.525 m3 de PSE, soit le volume moyen d'un immeuble de 20 étages.Produits s'inscrivant dans l'économie circulaireDe même, l'utilisation de matières premières recyclées (remplacement de granulats par de la coquille Saint-Jacques broyée par exemple), est à l'origine d'une économie de 2,2 tonnes de granulats. Tout comme la réutilisation des palettes qui permet de préserver 37 300 m3 de bois ou encore le recyclage de déchets de laine de roche qui a atteint 8 237 tonnes l'an dernier.Gestion de la ressource en eauLa gestion de la ressource en eau constitue un autre axe de la politique environnementale du groupe Alkern. Ainsi, la diminution de la consommation d'eau par l'utilisation des blocs joints minces vs blocs traditionnels a permis d'économiser l'équivalent de 4 piscines olympiques. Autre aspect écologique d'avenir, la diminution de l'imperméabilisation des sols: en effet, grâce à la gamme O' et ses 5 références drainantes, Alkern a aménagé quelque 78.385 m2 de surfaces perméables (soit 13 terrains de foot). Enfin, précisons que le stockage d'eau de pluie par l'Hydrocyl (destiné à la réalisation de chaussées réservoirs) a permis de créer le stockage de 1.400 m3 d'eau pluviale.RE2020 Alkern ready : cap sur la performance environnementale pour des bâtiments mieux isolés au moindre impact carboneAlkern, et ses équipes R&D, travaillent depuis longtemps sur la performance thermique et bas carbone de ses produits et a ainsi lancé toute une gamme de blocs béton rectifiés et majoritairement isolés. Ces blocs d'une résistance thermique entre 0,3 et 2,14 m2.K/W répondent aux enjeux de la RE2020 pour la maison individuelle. Pour le bâtiment collectif et l'enjeu de traitement des ponts thermiques, Alkern a lancé en 2020 le système R+MUR, solution économique de paroi bas carbone affichant une empreinte carbone entre -30 et -70% moindre que les solutions standard actuelles.L'engagement d'Alkern pour améliorer l'impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d'€ ont été investis sur les sites d'Izeaux (38) et Mouy (77), d'une part dans l'intégration d'une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d'autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100% minérale Airium®, permettant de proposer un bloc 100% recyclable, sans étape de tri.Objectif : certification ISO 14001 pour l‘ensemble des sites pour 2024Au-delà de la certification de l'intégralité de ses sites ISO 14001 pour 2024, Alkern s'engage dès cette année à ce que chacun de ses 51 sites français s'approprie pleinement l'un de ces objectifs : réduction de la consommation de matières premières, réduction des consommations d'énergie, réduction de la consommation en eau, réduction de la production de déchets et réduction de l'impact local des opération.A ce propos Xavier Janin confirme : « Avec cette R&D plus soucieuse de l'environnement, nous répondrons aussi aux nouvelles réglementations environnementales. À l'évidence, les bâtiments de demain seront plus vertueux et émettront moins de CO2. La diminution de l'impact carbone de nos processus de fabrication comme de nos produits est au cœur de nos préoccupations. Nous avons la chance d'avoir déjà avec les blocs préfabriqués en béton une des solutions la plus bas carbone du marché mais nous travaillons à lancer des solutions encore plus vertueuses pour garder un coup d'avance sur les solutions constructives alternatives. »Les leviers de croissance pour soutenir cette stratégie :Une nouvelle vitrine digitale pour particuliers et professionnelsLe digital, durant le confinement, a connu un essor important, et Alkern a décidé de prendre le virage de ces outils, tant pour ses clients BtoB, ses partenaires (réseaux de distribution et de poseurs/installateurs), que pour le BtoC. Ainsi, Alkern lance en 2021 une initiative e-business pour apporter plus de supports et de réponses à ses clients.La 1ère étape est le lancement, le 1er mars, du nouveau site internet Alkern, nouvelle vitrine digitale présentant l'ensemble de l'offre.Plus moderne, développé en responsive design, le nouveau site web Alkern présente l'ensemble des produits fabriqués par Alkern, et fournit également aux visiteurs des contenus pédagogiques et utiles pour le choix des produits et leurs mises en œuvre.Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, Alkern emploie plus de 1.000 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires de plus de 200 millions d'euros. Le Groupe s'appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l'aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 92 jours

L’outillage nécessaire pour les plombiers chauffagistes

Si vous avez un problème de plomberie ou de chauffage, vous allez sans doute appeler un plombier chauffagiste. Pour résoudre votre problème, sachez qu’un tel professionnel dispose de divers outils : clés à molette, pinces en tout genre, douilles et cliquet, tournevis, marteau, chalumeau, etc. Entrons dans le détail ! L’importance de l’outillage Le métier de plombier chauffagiste nécessite un réel savoir-faire pour faire face aux différentes problématiques rencontrées mais pas seulement. En effet, un outillage bien spécifique s’avère aussi indispensable. Lorsque vous appelez un expert en plomberie et chauffage, celui-ci viendra alors certainement avec une mallette à outils bien garnie. Celle-ci contiendra certainement de nombreuses pinces, clés à molette, tournevis, etc. Vous y trouverez aussi sans doute divers outils de mesure. De plus, si vous allez faire un tour dans le camion d’un tel professionnel, vous y découvrirez à coup sûr un outillage bien plus complet : chalumeau, furet électrique, caméra d’inspection des tuyaux, etc. Sans continuer cette énumération, notez simplement qu’un outillage adapté assure un travail efficace et de qualité. Zoom sur quelques outils du plombier chauffagiste Certains outils du plombier chauffagiste sont bien connus. Effectivement, même si vous n’êtes pas un grand bricoleur, vous avez probablement déjà utilisé un tournevis, un marteau ou encore une clé à molette. En revanche, certains outils vont sans doute être plus exotiques pour vous : le chalumeau ou encore le furet électrique. Le chalumeau Comme évoqué, le chalumeau représente un des outils très utilisés par les plombiers chauffagistes. Utilisant deux gaz (l’oxygène et l’acétylène), le chalumeau oxyacétylénique sert notamment à réaliser diverses soudures : étain, plomb, zinc, aluminium, etc. En parallèle, un tel outil peut être utilisé pour découper le métal. Dans ce domaine, de nombreux modèles se côtoient sur le marché : le Vulcane Express représente par exemple l’un d’eux. Le furet électrique A côté du chalumeau, un plombier chauffagiste disposera certainement d’un furet électrique. Bien évidemment, ce n’est pas un animal. En réalité, cet outil sert au débouchage des canalisations. En l’occurrence, il existe plusieurs méthodes de débouchage. Toutefois, face à un bouchon tenace, il conviendra d’employer les moyens adaptés. Pouvant atteindre une rotation de 600 tours par minute, un furet électrique peut venir à bout des bouchons les plus persistants. La caméra thermique Tous les plombiers chauffagistes n’en possèdent pas. Toutefois, certains se sont équipés d’une caméra thermique afin d’effectuer rapidement les recherches de fuite. Cette méthode d’investigation aussi appelée thermographie infrarouge permet de repérer les fuites cachées sans endommager quoi que ce soit. Plus exactement, la caméra thermique va indiquer les écarts de température sur les murs, sols ou plafonds. Ainsi, un écoulement d’eau pourra être détecté, celui-ci entraînant obligatoirement une perte de chaleur. En parallèle, d’autres appareils existent pour la recherche de fuite cachée. Cela inclut notamment le détecteur à ultrasons, aussi appelé « reniflard », qui permet de détecter les fuites par la méthode du gaz traceur. En réalité, un plombier chauffagiste dispose d’un nombre conséquent d’outils permettant de venir à bout de multiples problématiques : détection de fuites d’eau, réparation de tuyaux, débouchage de canalisation, etc.
Il y a 4 ans et 92 jours

Les Français de plus en plus adeptes du Do It Yourself pour leurs travaux de rénovation

Les Français veulent se débrouiller seulsEn matière de travaux, le sondage révèle que les Français sont adeptes du Do It Yourself. En effet, 35,8% des Français indiquent effectuer leurs travaux seuls. 34,6% précisent faire appel à un artisan pour certaines tâches et effectuer le reste seul. Enfin, 20,1% confient faire uniquement appel à un artisan pour leurs travaux. 1 Français sur 2 réalisant ses travaux seul indique le faire « à chaque fois ». 39,2% le font quant à eux « parfois »."La crise du COVID-19 a fait émerger une réelle envie des Français de vouloir améliorer leur habitat, ce par leurs propres moyens. Lorsque l'on reste à travailler chez soi, on prend conscience de l'importance d'avoir une pièce en plus, on a envie d'améliorer son jardin ou encore de repeindre les murs. "Aurélien De Nunzio, co-fondateur de Permettez-moi de construireFaire des économiesD'après les résultats du sondage de Permettez-moi de construire, les Français choisissent d'effectuer leurs travaux seuls car :C'est moins cher (60%)Ils sont passionnés par la rénovation (27,6%)Ils estiment que c'est « mieux fait » (12,4%)Quels types de travaux ?Concernant la nature des travaux que les sondés réalisent eux-mêmes, la rénovation des sols et des murs arrive en première position avec 38,8%. 23,1% optent pour l'aménagement du jardin. 21,8% se lancent dans des créations d'ouvertures / maçonnerie / construction (extension de maison par exemple). 13,6% s'attaquent à l'électricité et 2,7% à la plomberie / chauffage."Les résultats de notre sondage mettent en lumière le fait que 21,3% des Français s'attaquent eux-mêmes aux travaux du gros œuvre. Cela traduit une vraie prise de confiance en leurs capacités à se débrouiller seuls, sur une tâche aussi ardue."Aurélien De NunzioComment se forment-ils ?Pour se former à la réalisation de ces travaux, 49,3% des sondés indiquent avoir appris grâce à leurs parents / amis / famille. 43,1% se sont formés grâce à des tutos sur Internet. 7,6% ont quant à eux pris des cours de bricolage.Amélioration du confort et gain d'espaceLes raisons poussant les Français à entamer des travaux sont diverses. 43% le font pour améliorer le confort de leur logement. 27,8% effectuent des rénovations pour obtenir un gain d'espace. 11,9% anticipent la valorisation immobilière de leur bien pour la revente. 10,6% veulent rendre leur logement plus beau. Enfin, 6,6% souhaitent améliorer la performance énergétique de leur bien."Seulement 6,6% des Français effectuent des travaux pour améliorer la performance énergétique de leur bien. Ce chiffre ne devrait pas tarder à grimper avec la généralisation de MaPrimeRénov' mise en place au 1er janvier 2021."Aurélien De NunzioUn budget plutôt élevéCôté budget travaux, pour 33,3% des Français il est compris entre 5.000 et 20.000€. 22,4% des Français ont plus de 50.000€ de budget. 19,9% ont entre 20.000 et 50.000€ de budget. 16,7% entre 2.000 et 5.000€. Et 9% ont moins de 2.000€ de budget.Les amis à la rescoussePour un petit coup de main au moment d'attaquer la rénovation, 60,6% des sondés demandent du renfort à un(e) ami(e). 47,9% font appel à leur conjoint(e). 7% font quant à eux appel à un(e) voisin(e).
Il y a 4 ans et 93 jours

L’écosystème Somfy s'enrichit d’une nouvelle offre solaire avec Oximo® Solar io

Les avantages de l’énergie solaireDepuis quelques années, le marché de l’énergie connaît de profonds changements. Le soleil est une énergie naturelle, accessible et renouvelable. L’énergie solaire peut être exploitée en installant des panneaux thermiques ou des panneaux photovoltaïques.Recyclables, les panneaux solaires - qu’ils soient thermiques ou photovoltaïques - sont simples et rapides à installer. Ces systèmes sont fiables et stables, notamment grâce à leur résistance aux intempéries et aux variations de température, et ne nécessitent que très peu de maintenance.Les panneaux photovoltaïques monocristallins sont appréciés pour leur rendement (entre 16 et 21%) et ont une durée de vie estimée entre 25 et 30ans.**** Source : Ministère de l’Ecologie - SolaireDes réserves à prendre en compteSi les consommateurs sont désormais plus sensibilisés aux énergies renouvelables pour leur habitat, on identifie néanmoins des freins importants qui les dissuadent d’adopter le solaire pour la motorisation des volets roulants.En effet, bien que le marché du solaire soit en très forte croissance, certains consommateurs craignent encore un manque de fiabilité ou d’autonomie.Si les bénéfices des motorisations et automatismes en terme d’économies d’énergies sont réels, c’est un modèle qui doit encore être standardiséOximo® Solar ioOximo® Solar io est un nouveau système motorisé pour volet roulant éco-conçu et auto-alimenté par la lumière du jour.Ultra-performant, Oximo® Solar io fonctionne à la lumière naturelle (autonomie de 45jours sans lumière). Son installation est facilitée grâce à l’application Solar App.L’écosyteme Oximo® Solar io, c’est aussi une démarche responsable, conçue pour satisfaire aux exigences du label ACT FOR GREEN.Un nouveau moteur Oximo® Solar ioEn 2015, Somfy révolutionne le marché du volet roulant avec sa dernière génération de moteursS&S0 RS 100 io connectés, silencieux et éco-conçus. A l’instar des moteurs phares Somfy, le nouveau moteur Oximo® Solar io reprend les caractéristiques techniques qui ont fait le succès de la marque :La détection d’obstacleLe moteur s’arrête automatiquement en cas d’obstacle à la descente.La résistance à l’effractionRésistance au levage lorsque le tablier est baissé.Protection en cas de gelLe moteur se bloque en cas de gel à la remontée pour éviter toute détérioration.Soft stop & startUn démarrage et un accostage en douceur pour protéger le volet roulant.Somfy Drive ControlTMAnalyse électronique permanente du couple moteur pour limiter les efforts et permettre une longévité accrue de l’écosystème.En complément, Oximo® Solar io dispose d’une alerte batterie faible et donne le statut de la batterie (correcte ou faible) et du panneau solaire (fonctionnel ou défaut, par exemple, lorsque celui-ci a une ombre portée qui limite sa performance).Un panneau photovoltaïque pour capter la lumière du jourGrâce à sa fixation universelle, le panneau s’adapte à tous les types de coffres ou de murs.Quelle que soit l’orientation de la fenêtre, un seul panneau est nécessaire, et il peut se déporter en cas d’obstacle à la luminosité grâce aux rallonges de 1 et 5m.Batterie : 2 solutions pour chaque type d’installationLa lumière naturelle suffit à elle seule pour charger la batterie. En obscurité totale, elle est parfaitement autonome pendant 45 jours minimum, sur la base de 2 montées et 2 descentes par jour.2 solutions sont disponibles pour couvrir tous les besoins :Installation à l’intérieur du coffre avec une batterie sans coque permettant un encombrement optimisé.Installation à l’extérieur avec une batterie coque alu, se déclipsant et et démontant facilement en laissant les supports au mur.45 jours minimum d’autonomie (2 montées/2 descentes)Fonctionne de manière optimale entre -20°C et +60°CSolution de secours possible grâce au chargeur de batterie externe Somfy.Un large choix de pilotageTaHomaOximo® Solar io est compatible avec l’écosystème TaHoma, soit près de 300 types de produits de la maison (Somfy et les plus grandes marques de l’habitat ainsi que les assistants vocaux Amazon Alexa, Google Assistant et Apple HomeKit).En connectant Oximo® Solar io à la box TaHoma et à son écosystème de produits (alarmes, motorisations de portail, porte garage, stores extérieurs et intérieurs…), l’utilisateur pourra profiter d’une expérience unique et enrichie de la maison connectée.Ouverture des volets roulants, désactivation de l’alarme, déverrouillage de la porte d’entrée et ouverture du portail pourront être déclenchés de manière combinée lorsque l’utilisateur rentrera chez lui. Par exemple, le scénario « matin » programme l’ouverture des volets roulants à 7h et la désactivation de l’alarmeCommande murale sans filSmoove ioCommande murale mécanique ou tactilePour piloter 1 volet roulantTélécommande de centralisationNina ioPour piloter plusieurs équipements de manière individuelle ou groupéeLes volets motorisésLes stores Les brises soleils orientales
Il y a 4 ans et 93 jours

La CAPEB réoriente sa politique syndicale vers l'ensemble des femmes dans l'artisanat

Cette réorganisation en faveur des femmes cheffes d'entreprises est issue d'enquêtes et études menées auprès des femmes et permet aujourd'hui à la CAPEB de porter une nouvelle offre syndicale. Les combats et victoires passés, menés pour la défense et la reconnaissance des conjointes d'entreprises, sont toujours d'actualité : un statut légal demeure obligatoire pour toute activité régulièrement exercée au sein de l'entreprise.L'entreprenariat au féminin : un nouveau défi pour la CAPEBLa CAPEB a diligenté une étude(1) pour entendre les femmes chefs d'entreprises. L'objectif est au départ de répondre à une demande des dirigeantes d'entreprises qui se présentaient dans le réseau des CAPEB départementales. En effet, être dirigeante est un défi quotidien qui traduit une double réussite, en tant que femme mais également en tant que cheffe d'entreprise. Ces femmes investies dans la gestion de leur entreprise ont besoin d'être aidées et accompagnées tout au long de leur parcours professionnel.C'est l'une des raisons pour laquelle la CNFA et les CDFA ont souhaité prendre acte des conclusions de cette étude et ont décidé d'intégrer ces femmes entrepreneures au sein de leurs commissions respectives. Localement, ces commissions s'organisent pour leur assurer un accueil spécifique, leur proposer des thématiques propres à leurs expériences et les intégrer dans les sections professionnelles de leurs métiers.Synthèse de l'enquête sur les femmes cheffes d'entrepriseLes femmes cheffes d'entreprise sont le plus souvent créatrices de leur entreprise. Elles exercent majoritairement une activité mixte entre le métier d'artisane et la gestion de l'entreprise. En effet, 53% d'entre elles ont créé leur entreprise, 33% l'ont reprise et pour 14% d'entre elles il s'agissait d'une transmission d'entreprise.54% d'entre elles décrivent leur activité comme mixte « métier d'artisane » et « gestionnaire », 44% comme « gestionnaire exclusivement » et 2% seulement comme « artisane exclusivement ». Les femmes cheffes d'entreprise sont très majoritairement présentes en ligne, et 91% des entreprises interrogées sont référencées sur internet.Une forte notoriété et une forte présence de la CAPEB ressortent de cette enquête : 92% des femmes cheffes d'entreprise non adhérentes interrogées déclarent connaitre la CAPEB.Un peu plus de la moitié des répondantes (58%) pensent qu'il est légitime que les organisations professionnelles agissent spécifiquement pour les femmes cheffes d'entreprises. Leurs attentes sont en priorité centrées sur des actions de communication spécifiques, telles que des informations sériées, des événements et des offres de services dédiés. Pour le tiers de femmes chefs d'entreprise pensant que les organisations professionnelles ne devraient pas mettre en place d'actions spécifiques à destination des femmes chefs d'entreprise, les motivations avancées sont le fait qu'il n'y ait pas de différence entre hommes et femmes (56%) et que les femmes chefs d'entreprise sont chefs d'entreprise d'abord et avant tout (29%)« Conjuguez les métiers du bâtiment au féminin ! » une réponse à la mixité des métiers du bâtiment « Conjuguez les métiers du bâtiment au féminin ! » a sa page Facebook, vitrine des actions territoriales mises en œuvre autour de la mixité par le réseau :Une rencontre avec des partenaires locaux,Une action d'un professionnel dans un collègeUne action de promotion des métiers de la CAPEB,La signature d'une convention,Des femmes chef d'entreprises intervenant pour la CAPEB,Un groupe de stagiaires composé essentiellement de femmes,#STOPAUXCLICHÉS agit collectivement pour la mixité des métiers du bâtiment. Et toujours d'actualité : le choix des statuts pour les conjointesLes conjoints qui participent de manière habituelle et régulière à l'activité de l'entreprise ont l'obligation de choisir un statut. La déclaration du statut choisi par le conjoint doit s'effectuer au Centre de Formalités des Entreprises (CFE) de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat. Cette déclaration se fait soit lors de la création de l'entreprise ou à tout moment auprès du CFE par le biais d'une déclaration modificatrice des statuts des conjoints.Le statut de conjoint collaborateurLe conjoint marié ou pacsé participant de façon régulière à l'activité de l'entreprise peut opter pour le statut de conjoint collaborateur, même s'il exerce une activité salariée ou non-salariée à l'extérieur. Pour ce faire, le conjoint ne doit pas être rémunéré pour cette activité, et ne doit pas détenir de parts sociales dans l'entreprise. Le chef d'entreprise doit exercer son activité en entreprise individuelle ou être le gérant majoritaire ou appartenir à un collège de gérance majoritaire d'une entreprise en SARL, EURL. Une fois inscrit, le conjoint collaborateur est alors affilié au CPSTI et verse des cotisations sociales.Le statut de conjoint salariéLe conjoint peut être salarié dans l'entreprise et bénéficier à ce titre des mêmes droits et obligations que les autres salariés. Il cotise alors au régime général de la Sécurité sociale. Pour cela, il doit participer effectivement à l'activité de l'entreprise, percevoir un salaire correspondant à sa catégorie professionnelle et avoir un contrat de travail et des fiches de paie mensuellesLe statut de conjoint associéQuel que soit le régime matrimonial du couple, le conjoint peut être associé dans une entreprise artisanale. Il participe alors à la constitution du capital social de la société par l'acquisition de parts sociales. Pour ce faire, il doit procéder à des apports à la société. Le conjoint associé participant à la gestion de l'entreprise et ne relevant pas du régime général doit obligatoirement être affilié au CPSTI.(1) Méthodologie de l'enquête réalisée par OBEA sur l'attente des femmes chefs d'entreprisePassation de questionnaires auprès de femmes chefs d'entreprise dans le bâtiment avec un fichier d'adhérentes de la CAPEB (153 questionnaires femmes chefs d'entreprise) et un fichier de non adhérentes de la CAPEB (114 questionnaires femmes chefs d'entreprise).Enquête téléphonique (CATI) réalisée sur le premier trimestre (février-mars) 2019.Échantillon de 267 répondantes au global.
Il y a 4 ans et 96 jours

L'UFME accélère la mise en place du réseau de collecte et de démantèlement des fenêtres en fin de vie

Après avoir lancé en 2019 sa Charte d'engagement présentant les bonnes pratiques nécessaires à la collecte et à la maîtrise du traitement des déchets, elle intègre depuis octobre 2020 deux nouveaux chargés de mission environnement. Mathilde Crenn-Sutter (en charge des régions Ouest et Nord de la France) et Laurent Suet (en charge du Sud et de l'Est) renforcent ainsi le Groupe de Travail Environnement.Ils accompagnent les signataires de la Charte UFME dans l'atteinte de leurs engagements. Leurs premières missions visent à mettre en place des outils dédiés à la traçabilité et à la consolidation des volumes collectés et traités. Ces actions incluent des interventions sur le terrain auprès des acteurs de la Filière pour les aider à progresser quantitativement et qualitativement. La densification du réseau figure également parmi leurs priorités. En moins de quatre mois, plusieurs concrétisations ont déjà eu lieu : la liste des signataires volontaires est passée à 46, soit une augmentation de plus de 30%. Restant en veille sur les sujets environnementaux, leur mission est évolutive et s'adaptera aux futures révisions règlementaires et normatives.Créer et faire vivre une synergie entre les métiers et les régions : la clé de la réussiteDans un esprit collectif et collaboratif, Mathilde Crenn-Sutter et Laurent Suet se positionnent comme des facilitateurs dans l'identification et la mise en relation entre les différents maillons de la chaîne afin de préserver un circuit vertueux en boucle fermée.« L'enjeu principal repose sur la complémentarité des métiers concernés pour susciter une émulation. Nous sommes ouverts à tous les acteurs. Nous rencontrons des recycleurs, des entreprises spécialisées dans le vitrage, le PVC ou encore la quincaillerie, des points de collecte, des déchetteries, des communes et régions, afin de construire un maillage de l'ensemble du réseau sur tout le territoire. Une carte nationale est en cours d'élaboration et sera enrichie au quotidien pour identifier les points de collecte rapprochés. Ce réseau pérenne participera à l'augmentation des volumes de récupération. », s'accordent à l'unisson les deux chargés de mission.Regards croisés de signataires de la Charte UFMENelly Philipponnat, Directrice Bâtiment Durable Saint-Gobain Glass Bâtiment France« Le Groupe Saint-Gobain étant très impliqué dans les questions environnementales, et notamment celle de l'économie circulaire en matière de vitrage, notre adhésion à la Charte UFME était une évidence. C'est une démarche profonde, intelligente et pédagogique ancrée dans cet ADN dont nous partageons les valeurs. Au-delà de la signature, il est essentiel d'être présent dans la filière baie vitrée et de développer un recyclage complémentaire fenêtre et verre plat. Cela passe nécessairement par tout un travail de sensibilisation et de mobilisation des acteurs. La mise en relation est fondamentale pour faire connaître cette jeune filière dans chaque région auprès des lieux de collecte et de démantèlement. ».Yann de Bénazé, Président Profine France SAS« Profine a été l'un des premiers signataires de la Charte UFME. Le volet environnemental et recyclage fait historiquement partie de nos valeurs. En témoigne par exemple notre rôle précurseur de premier extrudeur gammiste à avoir inventé en 1994 le PVC stabilisé sans plomb. La valeur ajoutée de la filière animée par l'UFME réside dans l'impulsion qu'elle donne au recyclage des matières en fin de vie. L'enjeu est de taille, sa réussite repose sur la massification et la généralisation. La déconstruction des grands chantiers est lancée. Le défi sera donc d'élargir au maximum la collecte des matières en fin de vie jusqu'aux petits chantiers, sur l'ensemble du territoire. ».François Picart, Directeur Valorsol Environnement« Valorsol Environnement propose une traçabilité intégrale, du dépôt des déchets jusqu'à leur valorisation dans les filières certifiées. Nous avons développé plusieurs filières de valorisation des déchets qui peuvent bénéficier d'une seconde vie. Les menuiseries en font partie. Elles sont porteuses de matériaux à forte valeur, tels que le PVC, l'aluminium et le verre. Et c'est en cela aussi que leur recyclage s'avère compliqué. Il est indispensable de collecter les déchets entiers au plus près de la source afin de leur offrir la meilleure revalorisation grâce au travail de précision mené par les unités de démantèlement. La mise en relation entre les différents opérateurs constitue la grande force de la filière développée par l'UFME. ».Les dernières informations et la liste actualisée des signataires de la Charte sont disponibles à cette adresse. Dans la continuité du relooking de son site Internet, l'UFME mettra prochainement en ligne les fiches d'identité des signataires ainsi qu'une carte de France pour illustrer le maillage territorial. L'UFME travaille également sur une identité visuelle qui permettra aux signataires de rendre visible leur engagement.
Il y a 4 ans et 97 jours

La troisième édition des Trophées Grues à tour démarre

Les différents Trophées de l’édition 2020. [©DLR 2020] Organisés par la Fédération des matériels de construction et de manutention (DLR) et le Syndicat professionnel des monteurs et dépanneurs de grues (SPMDG), les Trophées Grues à tour sont un événement pour les acteurs du marché. Ils récompensent les meilleurs d’entre eux, tout en évaluant les initiatives innovantes. C’est à la suite des deux premières éditions très réussies que les trophées ont été renouvelés. Bien que les conditions en 2020 fussent particulièrement difficiles, les acteurs du secteur des grues ont voulu plus que jamais valoriser leurs savoir-faire. Rappelons que la seconde édition a permis de mettre en avant les valeurs et les atouts des métiers du secteur des grues à tour. Parmi les nombreuses candidatures, quatre entreprises ont été distinguées : ·Uperio France, dans la catégorie “Chantier de l’année” ;·Manitowoc, dans la catégorie “Montage grues à montage par éléments (GME) de l’année” ;·Vadori Frère, dans la catégorie “Montage grues auto-montantes(GMA) de l’année”;·AMCS Technologies, dans la catégorie “Innovation technique de l’année”. L’édition 2021 des Trophées Grues à tour Ainsi, grâce au succès des précédentes éditions, DLR et SPMDG ont souhaité renouveler le concours. Les candidatures sont ouvertes à tous jusqu’au 28 juillet 2021. Pour cela, les candidats doivent se rendre sur le site Internet des Trophées. Et y télécharger le dossier de participation. Une fois rempli, celui-ci devra être soumis au jury composé de professionnels et de membres d’institutions reconnues, qui délibérera pendant l’été. Quant à la cérémonie de remise des prix, elle aura lieu, fin septembre 2021.  Charline David
Il y a 4 ans et 97 jours

Nouveaux télémètres connectés GLM 50-27 C/CG professional : Une robustesse à toute épreuve et un transfert des données encore plus rapide grâce au cloud

Un design anti-choc au service des chantiers les plus exigeants Idéals pour les chantiers les plus rudes, les nouveaux télémètres GLM 50-27 C Professional (faisceau rouge) et GLM 50-27 CG Professional (faisceau vert) de Bosch offrent une meilleure visibilité du point de laser, notamment dans les zones avec une luminosité difficile, et effectuent des mesures de distance précises de ± 1,5 mm jusqu’à 50 m. Autre particularité, ils sont d’une conception extrêmement robuste. En effet, ils disposent d’un boîtier renforcé à 360° en caoutchouc, qui absorbe efficacement les chocs, et d’un écran incassable avec un clavier en silicone d’une grande résistance. Même après des chutes d’une hauteur de 1,50 m sur du béton, ils restent intacts. Certifiés IP65, ils résistent à la fois aux projections d’eau et à la poussière. Une interface utilisateur optimisée et des fonctions étendues L’interface utilisateur intelligente des télémètres GLM 50-27 C/CG Professional offre de nombreuses fonctions. Intuitive, grâce à une molette de sélection et de larges touches du clavier, l’utilisation de l’appareil est encore plus facile, même avec des gants de travail. Les différentes fonctions s’affichent par des symboles et des mots-clés tels que «Longueur», «Mesure continue» ou «Niveau». Les télémètres Bosch réalisent en toute simplicité des mesures indirectes, des calculs de surface et de volume. Dotés d’un capteur d’inclinaison, ils peuvent être utilisés pour mesurer les pentes et servir de niveau à bulle numérique. Les GLM 50-27 C/CG Professional disposent de nouvelles fonctions : – Assistance pour guider l’utilisateur lors de ses premiers pas avec l’outil en lui proposant des animations claires sur les différentes fonctions de mesures, – Mètre ruban pour simplifier la lecture des différentes mesures prises, – «Grands chiffres» pour prendre des mesures en série, – Annotation pour mesurer et marquer des distances très rapidement. D’autre part, les nouveaux télémètres Bosch offrent un maximum de lisibilité des données grâce à un écran couleur à contraste élevé. Celui-ci pivote automatiquement, comme sur les Smartphones, pour permettre à l’utilisateur de lire facilement les valeurs affichées dans n’importe quelle position. Par ailleurs, si l’écran est hors de vue de l’utilisateur, les GLM 50-27 C/CG Professional émettent un Bip sonore et des vibrations qui confirment que les mesures effectuées sont bien enregistrées. Enfin, l’autonomie de la batterie a été améliorée grâce à 2 piles AA et à l’optimisation des parties matérielle et logicielle. Traitement des données plus facile grâce à la connectivité Bluetooth et à la nouvelle application MeasureOn Bosch Grâce à l’interface Bluetooth, les télémètres GLM 50-27 C/CG Professional Bosch se synchronisent à la nouvelle application MeasureOn Bosch, qui fusionne le chantier avec le Smartphone. Les architectes, les peintres, les électriciens, les façadiers… peuvent ainsi établir rapidement et facilement de la documentation, créer des devis, calculer les besoins en matériel, la superficie de pièces et de murs, la pose d’éléments de fixation, ajuster des plans… Un véritable gain de temps ! En effet, le travail est plus efficace car les mesures enregistrées et les informations collectées peuvent être transférées directement vers l’application et traitées ultérieurement. Tout est archivé dans un seul endroit, un espace de travail numérique, pour avoir une meilleure vue d’ensemble de tous les projets. L’utilisateur peut organiser les informations en fonction de ses besoins et partager rapidement les données et les documents à des clients, des collègues… Avec l’application MeasureOn, les mesures peuvent être ajoutées aux photos, des plans organisés par pièces peuvent être dessinés rapidement et intuitivement avec un doigt, les photos et les notes peuvent être combinées dans une même vue… L’application calcule alors automatiquement les surfaces au sol, les surfaces des murs et la superficie de la pièce. Les erreurs de transmission manuelle sont éliminées par le transfert de données numériques et celles liées aux notes illisibles également. Gratuite et téléchargeable depuis l’App Store d’Apple et le Google Play Store, l’application MeasureOn est compatible avec tous les télémètres laser connectés Bosch. Les données stockées dans l’application peuvent être enregistrées dans le cloud afin que les informations soient automatiquement disponibles sur tous les appareils de l’utilisateur (tablette, smartphone, PC), quel que soit l’endroit où il se trouve (chantier, bureau, maison…). Le cloud est accessible sur le site dédié à l’application via tous les navigateurs internet. Un identifiant Bosch permet d’accéder à tous les services numériques Bosch. Prix de vente conseillés : GLM 50-27 C : 179 € H.T / GLM 50-27 CG : 199 € H.T Points de vente : Négoces en matériaux, Fournitures industrielles
Il y a 4 ans et 97 jours

Felix Clercx et Fiberdeck donnent naissance à… Felix Distribution

Il y a plus d’un an, le groupe français Forestia, principalement connu pour sa filiale de bois composite Fiberdeck a repris l’importateur de bois tropicaux néerlandais Felix Clercx, fondé en 1891. Malgré la pandémie de Coronavirus, l’année écoulée s’est avérée très fructueuse et les sociétés Felix Clercx (BV & Gmbh) et Fiberdeck (SAS) implantées aux Pays-Bas, en Allemagne et en France ont décidé d’unir leurs activités pour donner naissance à Felix Distribution. – Fiberdeck, spécialiste des bois composites co-extrudés à très longue durée de vie propose une gamme complète qui comprend des lames de terrasse, des clôtures et du bardage. – Felix Clercx, avec sa marque FelixWood®, apporte son savoir-faire unique et reconnu en matière d’importation de bois tropicaux et feuillus de qualité avec une certification de gestion durable. Felix Distribution devient le spécialiste des produits d’aménagement extérieur en bois et bois composite qu’il distribue en Europe avec ses marques : Fiberdeck® (bois composite), FelixWood® (bois exotique), Cobrafastner® (fixation & structure terrasse) et Owlialights® (éclairage terrasse). D’autres marques exclusives selon chaque pays complètent l’assortiment : Fiberon®, Newtechwood® (bois composite), Moso® (thermo-bambou) et Bfix® (fixation terrasse). « L’UNIFICATION DES GAMMES OFFRE À NOTRE CLIENTÈLE EUROPÉENNE UN PLUS LARGE CHOIX DE PRODUITS ATTRACTIFS ET BIOSOURCÉS. » Les valeurs des deux entreprises se reflètent également dans cette nouvelle entité. Chez Felix Distribution, l’humain est au centre de tous les projets. La qualité des relations avec ses différents partenaires, employés, clients, fournisseurs et prestataires est la priorité. Les efforts sont concentrés sur la satisfaction de leurs besoins en développant des services adaptés FELIX DITRIBUTION ASSURE UNE QUALITÉ DE SERVICE À TRAVERS TOUTE L’EUROPE Les synergies entre les plateformes logistiques de Helmond (NL) et Lille (FR) permettent d’améliorer la réactivité de livraison et d’offrir davantage de produits avec une préparation de commandes à la pièce. UN NOUVEAU SITE … Pour améliorer la communication, un nouveau site internet www.felixdistribution.com avec une plateforme BtoB facilite les échanges de données et d’informations avec les clients et partenaires. Cette plateforme BtoB s’est enrichie de nouvelles fonctionnalités comme une banque d’images multimarques, des fiches techniques, ainsi que des configurateurs de terrasses et de clôtures 3D : fr.mydeckplanner.com et fr.myfenceplanner.com. RENDRE LES PRODUITS PLUS ABORDABLES AVEC UN CONSEIL PERTINENT, MAIS AUSSI SIMPLIFIER LA RELATION CLIENT, TEL EST L’OBJECTIF. Notre planète a des ressources limitées. Felix Distribution a délibérément fait le choix de commercialiser des nouveaux produits pratiques, fonctionnels et à longue durée de vie, mais surtout respectueux de l’environnement. 100% des bois sont d’origine légales, et plus de 50% des volumes sont déjà certifiés FSC®. Tout est mis en œuvre pour proposer d’ici 5 ans 100% de bois certifiés. L’entreprise est exemplaire au Pays-Bas dans l’application de la législation EUTR et en tant que membre de l’association FSC® Tous les bois composites sont fabriqués avec 95% de matières plastiques recyclées. Sur l’année qui vient de s’écouler cela représente 6 500 tonnes de déchets plastiques qui ont été transformés en produits très durables. Tous les déchets de bois entrant dans la fabrication des lames composites sont certifiés FSC®. L’utilisation de polyéthylène recyclés d’origine européenne dans les bois composite permet de réduire de plus de 50% les émissions de CO2 par rapport à l’utilisation de plastique vierge. C’est une première étape dans la démarche de réduction de l’empreinte carbone du groupe. Évitons le gaspillage, en utilisant des produits éco-conçus, à longue durée de vie et respectueux de notre environnement. Felix Distribution : DES PRODUITS « SMART » ET UN COMMERCE ÉQUITABLE POUR L’HOMME ET L’ENVIRONNEMENT. FELIX WOOD Felix Clercx, fondée en 1891 à Helmond (Pays Bas) est une entreprise familiale qui a développé son savoir-faire à travers 3 générations dans l’importation et la distribution de bois exotiques. L’entreprise a été rachetée par le groupe Forestia en décembre 2019. La marque FelixWood® a été créée en 1992. Elle est reconnue dans l’univers des bois de jardin haut de gamme (terrasse et clôture). En provenance principalement d’Indonésie et d’Afrique, les bois tropicaux sélectionnés sont déjà à plus de 50% certifiés FSC® et 100% d’origine légale. Felixwood® propose aussi un bois feuillus européen : le Robinier (naturellement imputrescible) et une gamme de bois thermo-chauffés pour offrir une alternative aux bois exotiques. Les bois thermo-chauffés sont très stables et durables sans traitement chimique. Les bois FelixWood® sont sélectionnés selon un cahier des charges très strict avec un contrôle permanent de ses partenaires pour s’assurer d’une qualité homogène. www.felixwood.com FIBERDECK Fiberdeck® a été créée à Lille (France) en 2006 dans le but de développer des produits en bois composite pour l’aménagement extérieur. Les lames de terrasse, de bardage et de clôture distribuées par Fiberdeck® ont été développées à partir des dernières technologies de co-extrusion. La co-extrusion consiste à appliquer un film de protection de polyéthylène à la surface des lames. Cette technologie révolutionne le marché du bois composite. Elle permet de régler les problèmes récurrents de taches et de décoloration des lames composite de première génération. Avec un retour d’expérience de près de 10 ans, Fiberdeck garantie ses produits sur une durée de 20 ans en utilisation résidentielle et 10 ans en utilisation commerciale contre toute décoloration. Lancée en 2019, la première lame de bardage à claire-voie co-extrudée WEO est certifiée par le CSTB (Centre Scientifique Technique du Bâtiment- Paris) avec un ATEx (Avis Technique Expérimental). Une lame a l’aspect résolument moderne sans aucun entretien, avec une couleur d’origine garantie pendant 20 ans. Les produits Fiberdeck® sont simples à entretenir et durent très longtemps. Ils sont fabriqués à partir de 95% de déchets recyclés et n’utilisent pas de résines polymères vierges. Le bois, qui représente 60% du volume des produits provient de déchets (sciures) d’industrie du meuble. Il est certifié FSC. Réalisée à partir de déchets recyclés, la matière produite est 100% recyclable et ne libère aucun produit toxique. Les bois composite Fiberdeck® offrent ainsi une alternative séduisante par rapport à d’autres matériaux moins durables et moins simple à entretenir. www.fiberdeck.com COBRAFASTENER Les produits Cobrafastener® ont été mis au point pour faciliter la mise en œuvre des terrasses en bois et bois composite et augmenter la durée de vie de leur structure. Le dernier produit mis au point est le clip Cobra Hybrid. Il s’agit d’un clip universel qui permet de fixer les lames de terrasse en bois composite. Ce clip bi-matière est constitué d’une plaque en inox crantée et d’une vis pré-équipée dans le clip. Il permet un gain de temps à la pose de 30% par rapport à d’autres clips. Il s’ajuste à la rainure de la lame. Sa vis est compatible pour être utilisée sur des lambourdes en bois exotique ou aluminium. Cobrafastener®, est aussi une gamme de cales, plots réglables Nivo, d’un concept de structure aluminium Structural et des ancres de fondation. La gamme est complétée par des outils comme le redresseur de lame de terrasse, un gabarit de pose, des forêts, permettant de faciliter la mise en œuvre. Avec les produits Cobrafestener® la pose des terrasses en bois devient plus facile et plus durable. www.cobrafastener.com
Il y a 4 ans et 98 jours

Oknoplast, un réseau premium qui ne cesse de grandir

Une croissance continue pour OknoplastLe groupe a été à même de maintenir ses campagnes promotionnelles en suivant le calendrier prévu avec une campagne promotionnelle de printemps, une sur l'automne et l'hiver. Ces prises de paroles ont été extrêmement bénéfiques pour conserver un lien avec le grand public afin de travailler la notoriété du groupe, mais également auprès des professionnels de la menuiserie qui sont toujours plus nombreux à le rejoindre.Cela s'est d'ailleurs révélé par un franc succès au niveau des volumes de commandes, ainsi qu'au niveau du nombre de nouveaux clients puisque le groupe a obtenu une croissance de +8% par rapport à 2019.Un réseau qui s'étoffe sur le territoire nationalOknoplast a enregistré 17 nouveaux partenaires Premium depuis le début de l'année 2020 montant ainsi le nombre de partenaires à 209 revendeurs sur le territoire national. Le groupe compte bien poursuivre sur cet élan pour les années à venir.Oknoplast vous invites à découvrir le portrait d'un de ses nouveaux partenaires, Monsieur Mickael Ruz de la Société MRM sur Saint-Gaudens (31) :Depuis combien d'années votre entreprise existe ?J'ai créé ma société il y a 8 ans en tant qu'auto-entrepreneur. Au fil des années, l'entreprise a bien grandit. Je me suis alors entouré de poseurs dans un premier temps afin de répondre à la demande sur notre secteur. Depuis maintenant deux 2 ans, j'ai souhaité prendre une toute nouvelle orientation en intégrant la vente de notre propre sélection de produits. La société MRM s'est alors solidement agrandie et compte aujourd'hui 12 collaborateurs : 2 commerciaux, 1 directrice commerciale, 1 assistante de direction, 1 apprentie commerciale, 1 chargé d'affaire sur la partie isolation, 2 équipes de pose et 1 métreur.Comment avez-vous découvert OKNOPLAST ?J'ai découvert les produit OKNOPLAST grâce à leur première campagne publicitaire TV. J'ai alors entrepris des recherches sur internet afin d'en apprendre un peu plus sur le groupe, leurs gammes et les avis qui pouvaient circuler sur les produits. J'ai alors pris contact avec le commercial en charge du secteur sud-ouest d'OKNOPLAST afin d'obtenir une présentation de l'entreprise et ses produits.Qu'est-ce qui vous a séduit dans le partenariat premium proposé par OKNOPLAST ?J'ai eu un très bon feeling avec mon interlocuteur commercial. Une présentation claire et complète d'OKNOPLAST, ses produits, son réseau, sans aucune sensation de forcing. Notre collaboration a débuté avec 1 à 2 commandes afin de tester les produits et d'éprouver la pose et le service logistique. Mon équipe de pose et moi-même avons validé les tests, qui ont été vraiment concluants et satisfaisants. Souhaitant conforter mon choix d'aller plus loin dans la collaboration avec OKNOPLAST j'ai participé à l'une des visites usine proposée par le groupe. J'ai ainsi pu en apprendre plus sur OKNOPLAST, sa structure et son organisation. Mon souhait n'était absolument pas d'aller chercher du prix. Ce que je souhaitais avant tout, c'était de trouver un fabricant qui m'accompagnerait avec des produits de qualité, une offre complète et des services qualitatifs. Et c'est ce que j'ai trouvé avec OKNOPLAST.Comment s'est passée votre intégration au sein du réseau ?L'intégration au sein d'OKNOPLAST est agréable et plutôt simple. De nombreux outils sont mis à notre disposition pour nous aider au quotidien comme My Oknoplast qui nous permet d'avoir un suivi en ligne simple et rapide sur nos commandes, nos livraisons, nos demandes SAV, les retours de palettes, les commandes d'outils marketing, etc… Notre commercial nous accompagne sur la mise en place de l'Atelier Oknoplast afin de donner naissance à un véritable showroom en partenariat avec le groupe. Nous avons également pu bénéficier de formations à Rennes au siège avec Monsieur Jean-Luc Schlosser. L'occasion pour mon équipe et moi-même de rencontrer les collaborateurs du pôle de la filiale France, aussi bien les techniciens, que le service administration des ventes et le marketing. Nous conservons un lien de proximité avec notre commercial qui vient régulièrement nous voir et avec qui nous avons un soutien constant dans la recherche éventuelle de solutions en cas de problèmes mais également pour faire naître des évolutions en réponse aux nouveaux projets à venir.Quelles sont vos premières impressions après ces premiers mois depuis la mise en place de votre collaboration avec le groupe ? Et que pouvons-nous vous souhaiter pour la suite ?Nous sommes très satisfaits de cette collaboration pour le moment. Nous avons reçu un bon accompagnement lors de notre intégration dans le réseau ce qui fut très appréciable. A présent, nous espérons pouvoir continuer de grandir, gagner de plus en plus de parts de marché sur notre secteur afin de venir y ouvrir de nouvelles agences.
Il y a 4 ans et 99 jours

Valérie Pécresse lance un "RJA" pour former les 18-25 ans en Ile-de-France

"Le paradoxe de cette crise, c'est qu'il y a à la fois des secteurs économiques qui sont à terre et des secteurs économiques qui recrutent massivement et qui sont en pénurie d'emploi", à savoir "le numérique, la sécurité, l'agroalimentaire, l'industrie, la santé et le social, le bâtiment et la construction", a précisé la présidente (Libres!) de région, dans l'émission le Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI.Ces derniers secteurs proposent "des dizaines de formations aux centaines de métiers" qui amènent la région à financer "45.000 formations vers ces métiers, avec des embauches directes à la clé", a affirmé Valérie Pécresse.La mesure coûtera 270 millions d'euros à la région, a indiqué son entourage à l'AFP."En s'inscrivant à l'une des formations gratuites et qualifiantes du catalogue régional", les stagiaires de la formation professionnelle toucheront "un revenu net de 500 à 670 euros par mois, pour toute formation suivie d'une durée au moins égale à quatre mois", explique la région sur son site internet.La part variable, une prime allant jusqu'à 1.000 euros, sera attribuée si la formation appartient à l'un des secteurs en tension."C'est un revenu de 4.000 euros pour six mois de formation dans des métiers qui recrutent: le jeune qui s'engagera dans ces formations non seulement sera rémunéré mais en plus est sûr à la sortie (...) de trouver un emploi", a résumé Mme Pécresse qui s'oppose ainsi à la mise en place d'un RSA jeunes le temps de la crise, réclamé par plusieurs personnalités de gauche dont la maire PS de Paris Anne Hidalgo."Je suis totalement contre enfermer des jeunes de 18 à 25 ans dans l'assistanat", a affirmé l'ancienne porte-parole du gouvernement de François Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy.Valérie Pécresse a également annoncé la généralisation d'une aide régionale de 1.300 euros pour financer le permis de conduire, frein potentiel à l'embauche, des jeunes Franciliens en insertion professionnelle. Une mesure qui concerne potentiellement 60.000 personnes, a affirmé Valérie Pécresse.
Il y a 4 ans et 100 jours

Nouvelle génération de caméras Daitem : au service de la protection des locaux professionnels

Daitem lance une nouvelle génération de caméras de vidéosurveillance connectées à l'alarme ou en fonctionnement autonome. Nouvelle technologie avec une très haute qualité d'images en 4K, plus de fonctionnalités, plus d'accessoires… cette nouvelle gamme vidéo aux capacités étendues a été conçue pour répondre précisément aux besoins des professionnels pour la protection de leurs locaux.
Il y a 4 ans et 103 jours

Avec "Soigner", l'université populaire du pavillon de l'Arsenal tombe à point nommé

L’université populaire animée par l’architecte, professeur et philosophe Richard Scoffier poursuit son troisième cycle des «actes fondamentaux», avec la master classe «Soigner», samedi 27 février 2021 à 11h, en direct sur la page Facebook et le site internet du pavillon de l’Arsenal. Les actes fondamentaux consistent en […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 103 jours

Le Mondial du Bâtiment se réinvente pour son édition de 2022

L’édition 2022 du Mondial du Bâtiment marquera le grand retour de l’évènement à Paris, au Parc des expositions de la porte de Versailles. [©ACPresse] Faire table rase du passé pour revenir aux fondamentaux, tout en s’inscrivant dans les tendances actuelles et à venir. C’est exactement ce qu’est en train de faire Reed Expositions France, l’organisateur du Mondial du Bâtiment. Et d’annoncer la tenue de l’évènement, non plus cette année, mais du 3 au 6 octobre 2022. Avec une grande nouvelle : « Le Mondial du Bâtiment revient au Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris », annonce Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Et de poursuivre : « Ce retour est plébiscité, puisque 93,6 % des exposants et 97,9 % des visiteurs ont exprimé leur intention de participer à la prochaine édition ».  Le rendez-vous qui réunit les salons Batimat, Idéobain et Interclima s’inscrira donc dans un Parc des expositions rénové. La première nouveauté pour les exposants est le format même des stands : limité à 99 m2 par société. Toutefois, il y aura possibilité d’intégrer un étage…  Des stands de 9 à 99 m2 Dans le détail, les surfaces proposées débuteront à 9 m2, pour échelonner par multiple de 9 : 18 m2, 36 m2, 54 m2 et 99 m2. Autre évolution, les exposants pourront choisir leur emplacement dès l’inscription. Premier arrivé, premier servi… Cette approche globale permet de rendre sa présence sur le salon plus économique. Car un stand plus petit ou limité en taille génère un moindre coût. D’autant plus que la durée de l’évènement ne sera plus que de 4 j. « Nous répondons à la demande des exposants de simplifier la préparation des salons. Tout en améliorant les flux logistiques autour de la porte de Versailles », reprend Guillaume Loizeaud. Octobre 2022 : la date est encore bien lointaine. Aussi, pour animer la communauté des professionnels exposants dès maintenant, le Mondial du Bâtiment a choisi de mettre en place des salons “augmentés”. Ceci, à travers un blog qui complétera les sites Internet dédiés aux salons physiques. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations. Il y aura aussi à leur disposition des fiches produits, un annuaire des fournisseurs. Mais aussi des show-rooms virtuels, des vidéos de démonstrations ou des contenus sur les métiers. « Ce blog sera mis en service dès le mois de mai 2021. » Des matinales sur Batiradio « Nous venons de faire le choix de nous engager sur des ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. [©Reed Expositions France] Toujours en amont des salons physiques, et en parallèle du blog, sont initiés “Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment. Et ce, sous la forme d’une matinale diffusée sur Batiradio. Mais aussi disponible en podcasts et en vidéos. « Ces rendez-vous décrypteront les grandes tendances de la construction pour favoriser les échanges entre les professionnels face aux enjeux du secteur », explique Guillaume Loizeaud. Les matinales sont programmées chaque premier vendredi du mois. Et doivent débuter le 2 avril 2021, entre 9 h 00 et 12 h 30. Toutes s’organiseront de la même matière. A savoir, le Rendez-vous France Relance, le Grand dossier du Mondial du Bâtiment, la Rénovation énergétique dans les territoires. Mais aussi, le Décryptage RE 2020, les Métiers, la Construction 4.0, les Tendances et le Design.  Pour l’année 2021, les thématiques du Grand dossier sont déjà en place. Le 2 avril, les débatteurs tenteront de répondre à la question : “En quoi la RE 2020 va-t-elle permettre de construire durable ?” Et au fil des mois, d’autres sujets seront égrenés [lire encadré]. Pour 2022, en revanche, le programme n’est pas encore déterminé. Mais une fois connu, il permettra de tenir jusqu’aux salons physiques. Ceux-ci occuperont six pavillons du Parc de la porte de Versailles, soit quelque 140 000 m2 d’expositions.  Batimat se déploiera sur 4 halls Batimat sera le mastodonte de l’évènement. Le pavillon 1 sera celui du gros œuvre, de la structure et de l’enveloppe. Les thèmes fédérateurs mis en avant par les exposants devraient être ceux du climat et de l’environnement. Construction Tech, le rendez-vous de l’innovation, des start-up et des “smart technologies”, et Interior&Garden, autrement dit les aménagements intérieurs et extérieurs, seront les deux autres points d’entrée de ce hall. Le matériel de chantier et l’outillage retrouveront le pavillon 4. Quant aux pavillons 5 et 6, ils concentreront les menuiseries et les fermetures. De son côté, Interclima, dédié aux équipements techniques pour le bâtiment, c’est au sein du pavillon 3 qu’il prendra ses quartiers. Avec l’entrée en application de la RE 2020, les sujets à balayer seront nombreux. Outre les enseignements de la nouvelle réglementation, les énergies renouvelables, la rénovation des bâtiments tertiaires. Ou encore la qualité de l’air intérieur seront des thèmes omniprésents dans les allées. Tout comme l’amélioration des logements et les solutions éco-responsables de confort d’été.  Réduire l’empreinte carbone du salon Le Mondial du Bâtiment occupera 6 halls du Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. [©Reed Expositions France] La préservation de l’environnement et la réduction de l’empreinte carbone constitueront donc un véritable leitmotiv pour les exposants comme pour les visiteurs. Et qu’en sera-t-il de l’organisateur lui-même ? Les cordonniers sont-ils les plus mal chaussés ? Ou bien, charité bien ordonnée commence par soi-même ? Reed Expositions France semble préférer le second dicton populaire. « Notre retour à la porte de Versailles et les nouvelles attentes du public sont l’occasion de lancer une démarche d’amélioration sur les sujets fondamentaux du RSE. Aussi, nous venons de faire le choix de nous engager sur quatre ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud. Ainsi, l’organisateur s’engage, dès maintenant, à réduire son empreinte carbone. Du moins à la mesurer, tout en mettant des actions concrètes pour entamer cette démarche. Au programme : optimisation des process logistiques, accès au site privilégiant les mobilités écologique. Mais aussi éco-conception des aménagements, des zones communes et des stands. Un salon éco-responsable Reed Expositions France améliorera aussi la gestion des déchet. Avec, pour ambition, de les réduire d’au moins 10 % dès l’édition 2022. Par ailleurs, il souhaite accroître la circularité des matériaux utilisés, tout en améliorant le dispositif de tri. Ceci sera accompagné d’achats responsables qui privilégieront les produits, et des services éco-conçus et respectueux de l’environnement. Ou qui seront réalisés auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA). Enfin, la restauration sur place n’est pas oubliée. Là, Reed Expositions France veut mettre en place une offre limitant le gaspillage, gérant mieux les surplus et valorisant les bio-déchets. A la vue de toutes ces explications, l’édition 2022 du Mondial du Bâtiment semble née sous une bonne étoile. Et, à bien y réfléchir, l’organisateur pourrait même réussir à transformer tout le désarroi amené par la crise de la Covid-19 en quelque chose de positif !  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 103 jours

CDVI enrichit son offre de contrôle d’accès haute sécurité ATRIUM KRYPTO avec Mobile-Pass KRYPTO, une solution de badges dématérialisés

Sur un marché du contrôle d’accès encore majoritairement dominé par les badges traditionnels, la technologie mobile gagne du terrain. Ainsi dans les prochaines années, 20% des entreprises devraient utiliser des smartphones contre 5% en 2016*. Fin 2020, CVDI lançait son système de contrôle d’accès hautement sécurisé ATRIUM KRYPTO pour répondre aux nouvelles exigences de lutte contre la cybercriminalité. Aujourd’hui, l’entreprise va encore plus loin et présente MobilePass KRYPTO, une solution de badges virtuels offrant le même niveau de sécurité que les méthodes type DESfire® EV2. Une solution de contrôle d’accès par smartphone hautement sécurisée Soucieux d’accompagner ses clients dans une transition en douceur vers la technologie mobile, CDVI a intégré, dès la conception de son système ATRIUM KRYPTO, un module BLE (Bluetooth Low Energy) dans ses lecteurs de badges K2 et K3 (avec digicode intégré) hautement sécurisés. Pour activer cette solution d’identification sur smartphone, il suffit au gestionnaire d’un établissement : d’acquérir une licence de 25 badges Mobile-PASS KRYPTO, d’attribuer des droits d’accès virtuels à un utilisateur au fur et à mesure des besoins via le logiciel de gestion, de lui envoyer à distance sur une plateforme ultra sécurisée. A réception, ce dernier récupère l’autorisation d’accès sur son smartphone qui devient un badge dématérialisé. En fonction de ses droits, il peut alors l’utiliser grâce à l’application mobile ATRIUM BT, téléchargeable gratuitement sur l’Apple Store ou Google Play et compatible avec les montres connectées. Dès lors, différents modes d’identification sont possibles pour déverrouiller une porte : par appui sur le bouton « ouvrir la porte » de l’application, par balayage du smartphone devant le lecteur, en mode automatique « mains libres » ou par reconnaissance vocale « ouvrir la porte ». La solution s’adapte aux contraintes de l’accès ! Intégrant le chiffrement AES de « bout en bout » issu de la technologie DESfire® EV2, les badges virtuels développés par CDVI apporte un degré de sécurisation élevé qui est renforcé par les codes/ schémas de déverrouillage dont dispose la majorité des smartphones. Outre l’avantage de pallier aux négligences du facteur humain qui reste la principale faille de sécurité dans un bâtiment (oubli ou prêt d’un badge, entrée en même temps qu’un collègue…), cette solution dématérialisée présente en plus un intérêt essentiel pour respecter les protocoles sanitaires en vigueur actuellement. En effet, la fonction comptage/décomptage du système ATRIUM KRYPTO associée au Mobile-PASS KRYPTO, qui détecte l’ouverture de porte même si des employés rentrent à plusieurs en même temps dans une pièce, permet une gestion contrôlée des flux sans risque de dépasser le nombre de personnes autorisées dans un même endroit. Souplesse de gestion et simplicité d’utilisation Plus flexible qu’un système de contrôle d’accès par badges traditionnels, Mobile-PASS KRYPTO de CDVI offre une gestion dynamique des droits. En toute simplicité, le gestionnaire d’un bâtiment peut, à distance et en temps réel : activer/désactiver des badges avec des droits d’accès spécifiques à chaque utilisateur, programmer des badges temporaires, avec autorisation d’entrée à des horaires définies, suivre instantanément des événements d’accès pour modifier ou révoquer les droits si nécessaire. Idéale pour les administrations publiques et les collectivités (centre sportif, salle des fêtes…), cette solution dématérialisée s’avère particulièrement adaptée aux espaces de coworking qui, tout en facilitant l’accès des visiteurs, doivent garantir la sécurité des lieux. Transformant n’importe quelle marque de smartphone en trousseau de clé virtuel et intelligent, Mobile-PASS KRYPTO représente également un véritable gain de temps pour les utilisateurs qui n’ont plus besoin d’être présents pour retirer leur badge. *source cabinet d’analyse américain Gartner
Il y a 4 ans et 103 jours

Première réunion du Conseil National de l’Hydrogène

La stratégie pour le développement d’un hydrogène décarboné place la France parmi les pays les plus en pointe sur cette technologieCette stratégie, qui a été annoncée par le gouvernement le 8 septembre 2020, prévoit 7 milliards d'euros de soutien public d'ici 2030, dont 2 milliards d'euros d'ici 2022, dans le cadre de France Relance et des Investissements d’Avenir.La supervision des travaux menés pour la mise en œuvre de cette stratégie est assurée par un coordonnateur, Hoang Bui, dont la nomination a été confirmée.Les co-présidents du CNH, Benoit Potier, président directeur général d’Air Liquide, et Patrick Koller, directeur général de Faurecia, ont présenté une analyse comparative des stratégies internationales sur l’hydrogène, se fondant notamment sur les travaux du Conseil mondial de l’hydrogène (Hydrogen Council).Il en ressort que la France est positionnée dans le peloton de tête des pays les plus avancés pour leur stratégie, aux côtés de l’Allemagne en Europe ou de la Chine, la Corée et le Japon en Asie. Les critères d’évaluation suivants ont été analysés : développement de la production de l’hydrogène renouvelable et bas carbone, définition d’objectifs clairs, dispositif de pilotage et de suivi de la stratégie, moyens financiers, adaptation des réglementations.Le lancement de la stratégie en septembre a engendré une forte dynamique industrielleLe Conseil national de l’hydrogène constate une forte dynamique industrielle qui est amenée à se poursuivre dans les prochains mois.Dans le cadre de France Relance, 27 projets de R&D et d’intégration de technologies hydrogène ont d’ores et déjà été soutenus, pour 212 M€ d’investissement total et 37 M€ de soutien public(2).A ces projets viennent s’ajouter 60 M€ de soutien à la filière aéronautique dans le cadre du CORAC (Comité d’orientation de la recherche pour l’aéronautique civile). Par ailleurs, début 2021, un soutien financier a été annoncé pour aider 4 régions (Occitanie, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est) à acquérir 14 trains hydrogène représentant un investissement total de 300 M€.Dans le cadre de la première session de l’appel à projets « écosystèmes territoriaux » de l’ADEME, 7 projets, représentant un investissement de 136M€ et une demande d’aide de 45M€, ont été présélectionnés pour soutenir la production par électrolyse et la mobilité hydrogène. La deuxième session de cet appel à projets compte déjà plus de 47 nouvelles demandes ouvertes, pour une présélection en juin.De premiers éléments ont été présentés concernant les projets d’envergure qui pourraient bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du PIIEC(3) en cours de construction au niveau européen, sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne. Ces projets français représentent un montant total d’aide avoisinant les 8 Mds € et concernent la production d’électrolyseurs, la décarbonation de l’industrie lourde, la production des équipements pour la mobilité. Les projets retenus donneront lieu aux premiers versements d’aides dès la fin de l’année.Dans ce cadre France Hydrogène a dénombré 4 projets d’usines en France de fabrication d’électrolyseurs et a identifié des installations d’électrolyse projetées d’une puissance totale de 3,2 GW, soit d’ores et déjà près de 50% de l’objectif fixé par la stratégie nationale de disposer d’une capacité d’électrolyse sur notre territoire de 6,5 GW en 2030.Des projets innovants utilisant les technologies de l’hydrogène sont également en développement dans les systèmes électriques des zones non interconnectées en outre-mer, tel que le projet CEOG(4) de centrale photovoltaïque à puissance garantie avec stockage hydrogène. Les modalités de son soutien sont en cours d’étude.Les écosystèmes français affichent une bonne maîtrise des technologies clés et le CNH travaille à renforcer les compétences et la chaine de valeur françaiseLe Conseil national Hydrogène a établi une cartographie des technologies clés, en s’appuyant sur l’expertise de l’ensemble des comités stratégiques de filières concernés. Cette analyse montre que la France maîtrise ou disposera rapidement de toutes les technologies critiques nécessaires à sa souveraineté et permettant un passage rapide à l'échelle industrielle. Des thématiques prioritaires ont été identifiées pour faire l’objet de travaux complémentaires. Il s’agit par exemple des membranes, des compresseurs d’air pour piles à combustible et électrolyseurs, ou encore des procédés de décarbonation pour l’industrie sidérurgique et les cimenteries.Le Conseil national de l’Hydrogène a ainsi initié des travaux pour identifier des contributeurs, former des consortia et développer des technologies, équipements, applications et logiciels correspondant pour renforcer la chaine de valeur française.Afin de soutenir ces nouveaux projets de R&D, le Secrétariat général pour l'investissement a amélioré le dispositif d’aide « briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » opéré par l’ADEME, en portant notamment la part de subvention dans les aides accordées à 60%, voire 75% sous certaines conditions.Les industriels du Conseil national de l’hydrogène s’engagent pour développer les formations au sein de la filièreLa dynamique de la filière hydrogène est porteuse de perspectives importantes d’emplois.France Hydrogène est ainsi en cours de finalisation d’un référentiel des compétences-métiers qui sera présenté fin mars et accessible par internet. Sur les 75 métiers identifiés, une quinzaine apparait déjà en tension. Pour y remédier, des initiatives dans le domaine de la formation professionnelle ont été évoquées lors de cette réunion, telles que « la Symbio Hydrogen Academy » portée par l’entreprise Symbio et ses actionnaires Faurecia et Michelin. Elle vise à former 300 personnes par an aux métiers de l’hydrogène dans la région lyonnaise.De la même manière, le groupe Air Liquide apporte son soutien aux initiatives telles que la « H2 Académie », qui est destinée notamment à former des étudiants en BTS à partir de septembre 2021 à Port-Jérôme, près du Havre.Le Conseil national de l’hydrogène se réunira régulièrement pour s’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie hydrogèneLa prochaine réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra d’ici l’été. Elle permettra de faire le point sur des thématiques d’intérêt commun telles que :les enjeux de réglementation et de normalisation spécifiques au domaine de l’hydrogène, via des groupes de travail associant les industriels pour construire un cadre réglementaire permettant le développement de la filière en toute sécuritéles projets et partenariats autour des technologies clefs qui font encore défaut à la filière françaisela mise en place de mécanismes de soutien à la production d’hydrogène renouvelable et décarbonéla question des infrastructures de transport et de distribution(1) Le rôle et la constitution du Conseil national de l’hydrogène avaient été précisés lors d’un communiqué de presse le 11 janvier 2021.(2) Les subventions proviennent des fonds de modernisation automobile et aéronautique, du soutien aux projets industriels dans les territoires, du Programme Investissements d’Avenir dans le cadre du Comité d’orientation de la recherche pour l’automobile et les mobilités (CORAM).(3) Projet Important d’Intérêt Européen Commun. Le dispositif, à l’instar de celui sur les batteries, autorise les Etats membres à financer les projets au-delà des limites habituellement fixées par la réglementation européenne lorsqu’il s’agit de soutenir des projets de grande ampleur qui apportent une contribution très importante à la croissance économique, à l’emploi et à la compétitivité de l’industrie et de l’économie de l’Union(4) Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais
Il y a 4 ans et 105 jours

Parrot choisi par la Direction Générale de l’Armement (DGA) pour la fourniture de micro-drones ANAFI USA

Parrot, le premier Groupe européen de micro-drones, a été choisi par la DGA pour fournir son micro-drone ANAFI USA en vue d’équiper les 3 armées françaises (Air, Mer et Terre), dans le cadre de son appel d'offre lancé en février dernier.Ce succès est le fruit de deux années de travail pour développer, sécuriser et produire un micro-drone spécifiquement conçu pour répondre aux besoins des forces armées. Le drone ANAFI USA, spécialement adapté pour les Forces armées du monde entier, offre aux soldats un micro-drone quadricoptère de 500 g disposant de capacités d’observation de jour et de nuit. Avec 32 minutes de vol, il détient la meilleure performance de sa catégorie. Le contrat-cadre d’une durée de 5 ans s’entend pour plusieurs centaines de systèmes de drones, des équipements complémentaires, le développement d'adaptations et la formation de pilotes référents. Les premiers systèmes seront livrés dans les prochains mois. ANAFI USA permet d’étendre les capacités de reconnaissance des forces françaises. Grâce à son puissant zoom 32x, articulé autour de deux caméras 4K 21 mégapixels, la détection de cibles de taille humaine est possible jusqu’à 2 km de distance avec une précision de 13 cm de détail. Les images du zoom sont fusionnées avec celles obtenues par la caméra thermique FLIR Boson. Cette dernière permet de repérer les points chauds de jour comme de nuit. Déployable en 55 secondes, il est également très discret : avec une signature sonore de 79 dB à une distance de 1 m, il est inaudible dès 130 m.Grâce aux partenariats de développement logiciels mis en œuvre par Parrot avec des acteurs à la pointe dans leurs domaines, les utilisateurs peuvent également bénéficier de l'écosystème grandissant de logiciels compatibles. Ceux-ci permettent par exemple de gérer des flottes de drones en temps réel (Skyward, A Verizon company, DroneSense), de générer des photos/vidéos visibles et thermiques (Survae) et des cartographies tactiques (Pix4Dreact). Des prestations de R&D sont également prévues pour adapter ANAFI USA aux besoins des armées françaises. ANAFI USA est une révolution pour les organisations de Défense, issu de l’expertise développée par Parrot dans le grand public. Celles-ci cherchent désormais à mettre rapidement à disposition de leurs Hommes des technologies récentes, à la performance éprouvée, à un coût maitrisé.La technologie de la plateforme ANAFI, basée sur la banque de composants de la téléphonie mobile, atteint un niveau de fiabilité renforcée par les centaines de milliers d’heures de vol des drones grand public. Les choix technologiques de ANAFI USA offrent un coût d’acquisition et des performances sans commune mesure avec ceux de produits traditionnellement développés pour les forces armées.ANAFI USA a aussi répondu aux exigences de la DGA en termes de sécurité. Sécurisation de la liaison, sécurisation des données, sécurisation du firmware : il répond aux normes de cybersécurité les plus exigeantes. Une signature numérique protège de tentatives de modification malveillante du logiciel du drone.Le drone permet d’enregistrer les données de la mission uniquement sur le segment sol, et non dans le vecteur aérien, puis de les extraire pour analyse, par connexion physique. Le drone dispose d’une connexion WPA2 sécurisée et de protocoles ouverts qui garantissent la confiance dans l’interopérabilité des données enregistrées pour des missions sensibles.ANAFI USA est entièrement développé en France et produit aux États-Unis. Aucun composant essentiel n’est produit en Chine. Le drone et son application de pilotage fonctionnent sans nécessiter d'accès à Internet.Les traitements de données sont soumis aux normes les plus strictes du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données). Toutes les données du drone sont entièrement sous la maîtrise de l’utilisateur. Lorsqu'elles sont partagées, les données sont stockées sur des serveurs sécurisés en Europe.L’application de pilotage FreeFlight 6 auditée par l’entreprise privée Bishop Fox mondialement réputée pour ses services de sécurité offensive, confirme également la sécurité offerte aux utilisateurs et la protection de leurs données.ANAFI USA a aussi été sélectionné par des organisations partenaires du gouvernement fédéral américain dans le cadre du projet Blue sUAS. Il s’agit du seul drone d’une entreprise non américaine à être commercialisé sur la plateforme d’achat de l’armée, des agences gouvernementales et des forces de sécurité américaine : le « GSA Schedule ». Il est déjà commandé et utilisé par de nombreux policiers, agences fédérales et pompiers aux États-Unis et dans d’autres pays du monde.Le prototype de Parrot a également été finaliste dans la première tranche du programme SRR du ministère de la défense américain. Celui-ci continuera d’être évalué de manière indépendante par le gouvernement dans le cadre des mesures de réussites de l’« Other Transaction Agreement » (OTA). Le gouvernement américain fournira une notification séparée pour permettre à d'autres agences du DoD ou du gouvernement fédéral de passer d'éventuelles futures commandes.Parrot, pionnier et leader de l’industrie du drone en Europe, avec une R&D à Paris de 200 ingénieurs, se réjouit d’avoir été sélectionné par la DGA. Le Groupe qui s’appuie sur un total de plus 350 ingénieurs avec ses filiales en Europe et aux États-Unis, considère le marché de la Défense et de la Sécurité comme l’un des plus prometteurs.Le savoir-faire du Groupe Parrot s’articule principalement autour des micro-drones professionnels à marque Parrot, d’ailes volantes dédiées aux professionnels pour réaliser des missions plus longues (senseFly) et de solutions logiciels d’analyses et de mesures d’images (Pix4D) adaptées à un grand nombre de drones de toutes marques.Au-delà de la Défense et de la Sécurité, les autres domaines d’applications du Groupe Parrot sont la gestion et l’inspection des infrastructures d’énergie et de communication (lignes haute tension, tours de réseaux cellulaires, fermes solaires, centrales nucléaires et éoliennes, mines et carrières), la gestion et le suivi de chantiers (immobilier, routes, rails, ouvrage d’art), l’agriculture de précision (santé des cultures, hydrométrie, contrôles des parasites).Henri Seydoux, Président Directeur général, fondateur et principal actionnaire de Parrot conclut : « Nous sommes très fiers d’avoir gagné cet appel d’offre de la DGA et de continuer à travailler sur de nouvelles opportunités avec les États-Unis. C’est le fruit du travail minutieux accompli par nos équipes en France depuis plus de 2 ans, et celui de 10 ans d’expertises. En faisant le pari de développer la plateforme ANAFI, conçue pour le grand public, robustifiée pour les besoins des professionnels, et sécurisée pour les exigences des forces armées, nous avons franchi une étape importante pour le Groupe. Dans le monde actuel, Parrot est convaincu qu'il est clé pour les forces de sécurité, et les armées, de s’appuyer sur les puissants équipements issus de la high-tech grand public, et hautement sécurisés. ».
Il y a 4 ans et 105 jours

Hager enrichit son offre KNX avec une passerelle de communication pour compteurs d’énergie

La marque franco-allemande confirme ainsi sa présence dans l’univers KNX, et sa volonté de proposer aux intégrateurs, aux bureaux d’études et aux installateurs des solutions de comptage toujours plus simples à installer et à connecter.Compatible avec la majorité des compteurs d’énergie Hager[1] et tous les modes de communication (impulsionnel, Modbus, M-bus), la passerelle de comptage KNX TXF121 se connecte automatiquement grâce à une cellule infrarouge, dès lors qu’elle est positionnée à gauche d’un compteur d’énergie Hager. Elle se distingue aussi par son encombrement réduit : un seul module. Elle s’intègre facilement sur le rail DIN d’un tableau électrique.Avec la passerelle TXF121, il est désormais possible de rendre les compteurs d’énergie communicants et de transmettre sur le bus KNX les données mesurées sur les réseaux monophasés jusqu’à 80A et sur les réseaux triphasés jusqu’à 125A en lecture directe. Il est également possible de renvoyer les données des compteurs triphasés utilisant des transformateurs de courant.Dans le cadre d’installations tertiaires (commerces, centres commerciaux hôtels etc.) ou résidentielles (villa, multi-résidentiel), la passerelle TFX121 permet notamment de connaître l’état du réseau électrique, la qualité d’énergie, les consommations par zone ou par usage.C’est une nécessité, voire une obligation dans le cadre normatif de la RT2012 ainsi que les mesures environnementales de l’IEC 60 364-8-1 et de l’ISO 50 001, qui exigent que les constructions soient équipées d’instruments de mesure de la consommation par zone ou par usage.Auto-alimentée par le bus KNX, le TXF121 permet de renvoyer l’ensemble des données de mesure sur n’importe quel superviseur KNX. Il est alors possible de cibler les consommations, d’établir un diagnostic pour mettre en place des actions correctives et d’anticiper les dérives afin d’éviter une surconsommation.Disponible en programmation sous ETS pour les grands projets, la passerelle de comptage KNX Hager est également paramétrable en mode Easy, afin de permettre des installations simples et rapides dans un environnement produit Hager. Grâce à la nouvelle passerelle de comptage KNX TXF121, il est désormais possible de renvoyer sur un superviseur Hager domovea paramétré en Easy des données de comptage électrique.Grâce à la nouvelle passerelle de communication TXF121, les professionnels de la filière ont accès à une solution simple à installer, à encombrement réduit, avec une référence unique adaptée à la majorité des compteurs de la gamme Hager.[1] Sauf ECM140D et ECR140D.
Il y a 4 ans et 106 jours

Bilan des sanctions prises par la DGCCRF en 2020 en matière de délais de paiement interprofessionnels

La DGCCRF contrôle chaque année le respect des délais de paiement légaux. En 2020, elle a contrôlé à ce titre plus de 900 établissements, dont 35 entreprises publiques et 278 entreprises ayant bénéficié d’un prêt garanti par l’Etat.Si toutes les entreprises sont tenues de respecter les délais légaux de paiement, il est tout particulièrement important de vérifier que tel est bien le cas de celles bénéficiaires d’un prêt garanti par l’Etat (PGE).Ce dispositif de soutien vise notamment à aider les entreprises à régler leurs fournisseurs dans le respect des délais légaux afin d’éviter une transmission des incidents de paiement à l’ensemble de l’économie.Lors de ces contrôles, il a été constaté que près de 30% des entreprises payaient une fraction non négligeable de leurs factures au-delà des délais légaux(2). À l’issue des contrôles, lorsque des manquements ont été mis en évidence, les suites ont consisté pour 40% en des avertissements, pour 20% en des injonctions – suites dites pédagogiques et correctives – et pour 40% en des procédures d’amende administrative. 182 procédures d’amende administrative, représentant au total plus de 29,9 millions d’euros ont ainsi été lancées en 2020, dont 91 décisions de sanction notifiées aux entreprises contrôlées (pour un montant total d’amendes de près de 9,4 millions d’euros), et 91 procédures de sanction en cours (pour un montant, non encore définitif, de plus de 20,5 millions d’euros).Depuis l’entrée en vigueur des sanctions administratives en 2014, 1.375 amendes administratives ont ainsi été notifiées par la DGCCRF, pour près de 91,3 millions d’euros au total.En 2020, plusieurs amendes d’un montant supérieur à l’ancien plafond de 375.000 euros (relevé à 2 millions d’euros par la loi «Transparence» du 9 décembre 2016) ont été prononcées à la suite de manquements à la législation relative aux délais de paiement :2.000.000 € à l’encontre de la société CORA, spécialisée dans la grande distribution1.230.000 € à l’encontre de la société XPO Distribution France, spécialisée dans le transport routier990.000 € à l’encontre de la société La Banque Postale, spécialisée dans la banque et les services financiers750.000 € à l’encontre de la société AGEFOS PME Ile-de-France, spécialisée dans la gestion des fonds de la formation professionnelle des entreprises530.000 € à l’encontre de la société Lubrizol France, spécialisée dans la fabrication de produits chimiques390.000 € à l’encontre de la société TEREOS France, spécialisée dans le transport et la transformation de la betterave en produits finis383.000 € à l’encontre de la société Nocibé France distribution, spécialisée dans le commerce de détail de parfumerie et de produits de beautéEn 2021, la DGCCRF continuera de mener une action résolue de lutte contre les retards de paiement, en ciblant particulièrement ses contrôles sur les grandes entreprises et ETI ayant bénéficié d’un prêt garanti par l’Etat.La DGCCRF saura également faire preuve de pragmatisme dans ses contrôles et les suites qu’elle leur donnera, en tenant compte dans chaque dossier, à la fois de la gravité des manquements relevés et de la situation financière de l’entreprise qui en est l’auteur.En application de la règlementation, ces sanctions pour retards de paiement font l’objet d’une publication sur le site internet de la DGCCRF : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/sanctions-delaispaiement.Pour renforcer la dimension préventive et dissuasive de son action, la DGCCRF communique plus spécifiquement sur les sanctions prononcées les plus importantes. Cette communication illustre la détermination du Gouvernement à lutter contre les retards de paiement de toutes les entreprises, y compris les entreprises publiques.(1) Voir rapports annuels de l’Observatoire des délais de paiement.(2) Une fiche pratique relative à la règlementation des délais de paiement peut être consultée à l’adresse suivante: https://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dgccrf/documentation/fiches_pratiques/fiches/delais-de-paiement.pdf
Il y a 4 ans et 110 jours

Essai au feu concluant pour le béton de chanvre

Le Centre d’essai au feu du Cérib a soumis une façade en béton de chanvre à un incendie à travers le test Lepir 2. [©Cerib] Durant l’automne 2020, le Centre d’essais au feu du Cérib a conduit, le 16 octobre 2020, pour l’association “Construire en Chanvre” un test Lepir 2. Autrement dit, un essai de résistance au feu grandeur nature. Ceci, sur une paroi en béton de chanvre. Objectif : compléter les références déjà acquises pour ce matériau de construction en matière de comportement au feu. Les résultats sont désormais disponibles… Rappelons que le béton de chanvre est le mélange d’un liant minéral (chaux), d’un granulat végétal labellisé, obtenu après défibrage de la tige de chanvre, et d’eau. Une mise au point qui remonte à 1986, date à laquelle une première maison a été rénovée, en utilisant un béton de chanvre. « Ce test s’inscrit dans la continuité du programme d’essais au feu réalisés pour l’évolution des règles professionnelles. Avec le soutien financier du programme Pacte », précise Philippe Munoz, référent “Construire en Chanvre” pour ce programme. Le corps d’épreuve est une façade en béton de chanvre de 30 cm d’épaisseur, de 5,75 m de large et 6,55 m de haut (deux étages), avec une ossature bois noyée en son sein. Et une finition extérieure avec un enduit chaux-sable. Cet ensemble a été soumis à un feu très violent pendant 1 h. Une température de 1 100 °C après 36 mn d’incendie « Le but était de voir comment se comportait la façade, en termes de propagation des flammes. De vérifier que le feu ne se diffuse pas par la jonction entre la façade et le plancher entre les deux étages. Et de s’assurer que la température ne dépasse pas 180 °C. Sur la face supérieure de ce plancher », détaille, Christophe Tessier, directeur du Centre d’essais au feu du Cérib. L’analyse de l’ensemble des relevés de température issu des 125 thermocouples équipant la façade en béton de chanvre et ossature bois a permis de confirmer les appréciations qualitatives formulées lors de l’essai. L’élément soumis à essai est déclaré… « conforme à la réglementation applicable vis-à-vis de la non-propagation du feu par les façades pour une durée de 60 mn » (extrait de l’appréciation de laboratoire n° 026090). A l’instar de ce que laissait présager « la hauteur impressionnante des panaches de flammes », la sollicitation a bien été extrêmement sévère : la température dans la chambre de feu a dépassé 1 100 °C après 36 mn pour revenir à 900 °C en fin d’essai. Et les deux panaches de flammes atteignant 950 à 1 050 °C ont sollicité la maquette par l’extérieur. Le béton de chanvre, bon pour le service En réponse, l’enduit extérieur de 2 cm est resté adhérent au béton de chanvre.  Ce dernier a aussi joué son rôle d’écran de protection thermique de l’ossature bois noyée. En effet, à l’exception des linteaux et des doubles montants au niveau des ouvertures, aucun bois d’ossature n’a dépassé 100 °C pendant l’essai. Le dernier résultat attendu était le comportement de la jonction façade/plancher intermédiaire pour laquelle l’élévation de température admissible en face non exposée de plancher (face supérieure) mesurée à 50 mm en retrait de la façade est bornée à 180 °C. Résultat obtenu : 44 °C ! Soit le quart de la valeur limite. A cet instant, il y avait plus de 800 °C d’écart de température entre la face supérieure du plancher et la chambre de feu (26 cm plus bas)… La parution de l’Appréciation de laboratoire n° 026090 sera disponible sur la partie publique du site Internet de “Construire en Chanvre” (au même titre que le PV de classement EI 240). Une chose est certaine : le béton de chanvre est bon pour le service, pour une utilisation en façade.
Il y a 4 ans et 111 jours

La FNBM devient Fédération des distributeurs de matériaux de construction

La FNBM devient Fédération des distributeurs de matériaux de construction. [©ACPresse] Depuis 1erjanvier 2021, la Fédération des distributeurs de matériaux de construction (FDMC) a succédé à la Fédération du négoce de bois et des matériaux de construction (FNBM).  « Trop souvent, nous avons souffert d’un manque de visibilité et d’identification par les acteurs gouvernementaux, explique Franck Bernigaud, président de la FDMC. La crise que nous traversons encore démontre que nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas être reconnus.  Faire connaître les métiers du négoce auprès des jeunes Mise en place d’un nouveau logo. [©FDMC] Ainsi, la mutation se déroulera tout au long de l’année. Ceci, avec la mise en place d’un nouveau logo, d’une charte graphique et d’un site Internet. Cela a commencé par une nouvelle identité visuelle. Aujourd’hui, la FDMC regroupe des spécialistes et des généralistes ou multi-généralistes qui diffusent des matériaux. Ceci, à destination de chantiers de gros œuvre, de bois, de couverture, de travaux publics, ou encore de carrelage et de sanitaire. « Avec cette appellation nouvelle, nous pourrons mieux défendre les intérêts des négociants que nous sommes. Et de nous faire connaître plus aisément par les jeunes, qui ne perçoivent pas assez les atouts qu’offre notre métier. »  C’est dans cette perspective que la FDMC s’investit dans un partenariat entre son opérateur de compétences Constructys et les ministres de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur. A savoir, Jean-Michel Blanquer et Frédérique Vidal. Avec cette convention de coopération, la Fédération pourra communiquer auprès des jeunes, sur le monde de la distribution et du négoce et préparer l’avenir. « C’est dès à présent que nous devons anticiper les évolutions d’une relance économique que le gouvernement a favorisée », conclut Franck Bernigaud.
Il y a 4 ans et 111 jours

Logiciels : Donner vie à la centrale

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les logiciels d’aide à la production des bétons ne se limitent plus à piloter les automatismes des centrales. De la gestion des flottes en direct à la digitalisation des bons de livraison, en passant par l’analyse prédictive, ils sont un puits, encore sans fond, de gain de productivité. Amis : Une solution globale pour la préfabrication Arcade : Nouvelle version Command Alkon : Large choix Delta Automation : Pour toutes les installations d’un site Exxia : Nouveau venu Marcotte Systems : Solution complète RSAI : Nouvelle mouture Amis propose à ses clients Prefamis. Cet automatisme pour centrales à béton de préfabrication associe la robustesse sur les postes de production, à la puissance de l’informatique sur les postes de gestion déportés, à travers le logiciel Datamis. Dans les ateliers, les postes de production sont équipés d’automates programmables avec écrans tactiles industriels de marques réputées et internationalement distribuées. Dans les bureaux, Datamis est installé sur les postes de gestion (PC, serveur…) en réseau avec la production. Cette organisation permet la formulation des bétons, l’analyse complète de la production, mais aussi la traçabilité des alarmes de maintenance. Le logiciel Datamis est conçu pour s’intégrer pleinement avec les systèmes d’information (ERP). De son côté, Prefamis intègre la totalité des composantes de l’usine de production. Comme l’ensilage des granulats, les sécurités remplissages des silos, mais aussi la livraison béton par tout type de bennes-bus. Sans oublier, la maintenance, avec prise en main à distance par tablette. La solution globale Prefamis est aujourd’hui utilisée à la fois par des entreprises indépendantes et par des grands groupes de l’industrie du béton. La solution globale Prefamis permet la gestion de la production des sites de préfabrication.[©Amis] Le successeur du logiciel de laboratoire Wil se nomme Massia-Laboratoire.[©Arcade] Après le succès de Wil, Arcade a présenté son successeur Massia-Laboratoire, au cours de l’année dernière. Pour l’éditeur, 2020 a été remplie de projets. Qui ont enrichi ce logiciel de nouveautés fonctionnelles importantes. En collaboration avec Delta Automation, il propose désormais une solution clefs en main : de la conception des formules bétons jusqu’à la livraison sur chantier. En passant par le suivi production, le contrôle qualité et le suivi livraison. La gamme de logiciels Massia, c’est aussi Massia Labo Mobilité, l’application mobile qui permet de saisir les prélèvements et essais sur smartphone ou tablette. Massia #Portail qui partage les documents avec les clients et partenaires, et peut s’interfacer avec les logiciels et matériels. Le logiciel Wil continue cependant d’être maintenu et commercialisé, tout en gagnant en facilité avec son application “Mobilité”. Les progiciels Command Alkon s’appuient sur plusieurs modules, dont Conactive Process Control (CP) et Conactive Quality Control (CL). La solution d’automatisation Command Alkon CP a été, il y a peu, revue et modernisée. Permettant de gérer l’ensemble d’une centrale BPE, elle offre la possibilité d’améliorer la qualité de production et l’efficacité des opérations. Ceci, grâce à la visibilité constante offerte sur toutes les opérations de production. Le module CL est, lui, l’assistant intelligent du technicien de contrôle qualité. En un seul endroit, ce dernier pourra retrouver tous les outils nécessaires à la gestion des matériaux, les mélanges, les tolérances. Le tout avec les tests et les analyses disponibles sur une seule plate-forme. Et ce, afin d’optimiser les formulations en fonction des besoins de chaque coulée. Quant au Conactive Materials Manager, il permet de gérer l’approvisionnement en matériaux à travers la gestion des automates de transport. De son côté, et comme son nom l’indique, Maintenance Manager planifie les interventions de maintenance pour limiter les arrêts de centrales. Il offre aussi la possibilité de consulter le journal des tâches effectuées et l’ensemble de statistiques sur la centrale. Le BPE monégasque EMT vient d’opter pour la suite de logiciels Command Alkon. [©Command Alkon] Parmi les derniers arrivés sur le marché, Delta Automation cherche à se démarquer. Ceci, à travers son système Delta Mix. Ce sytème permet de suivre la production du béton, de l’édition du devis à l’inscription dans la comptabilité. En passant par la génération des bons de production, la fabrication de produits et la facturation. « Nos solutions évoluent en permanence, explique Pascal Parrain, gérant de Delta Automation. Nous proposons à nos clients un module générique, qui fonctionne pour toutes les entreprises. Si besoin, nous développons des solutions spécifiques à leurs problématiques. Nous nous demandons alors si cette réponse peut leur être utile. Dans ce cas-là, nous l’intégrons directement à notre logiciel général. » Pour se démarquer, Delta Automation embarque de l’intelligence artificielle pour l’analyse prévisionnelle des productions. Tout en intégrant des modules destinés aux silos, aux matériaux et aux bassins de décantation. Permettant de gérer l’ensemble des installations d’un site de production. Enfin, l’industriel travaille main dans la main avec Arcad [Lien]. Le but est d’inclure des solutions Delta dans la suite Arcade. Le logiciel Eazzy d’Exxia utilise l’intelligence artificielle pour réaliser des analyses prédictives. [©Exxia] Exxia est une société créée fin 2019, spécialisée dans la conception de progiciels pour la production et le contrôle du BPE. « Notre plate-forme web se nomme Eazzy et fonctionne pour les professionnels des granulats, du BPE, de la préfabrication ou de la construction routière, explique David Ortolan, président de l’entreprise. Il dispose d’un socle commun à toutes les entreprises, qui englobe le pilotage, l’administration des ventes, la gestion de la production, le contrôle qualité et la gestion de la logistique. En fonction des besoins, nous activons ou désactivons ces options. » Adopté en particulier par Béton Solutions Mobiles, Eazzy dispose de fonctionnalités de navigation spécifiques. « Nous intégrons la reconnaissance vocale, des interfaces tactiles mobiles, une messagerie interne, les plannings dynamiques ou encore le traitement graphique des données internes ou externes en temps réel. » Tout en projetant une grosse mise à jour en cours d’année, « nous travaillons à l’incorporation d’intelligence artificielle pour optimiser les coûts de nos clients. Grâce à l’analyse prédictive, nous pourrons orienter la production en temps réel, en jouant simultanément sur plusieurs variables comme la qualité, les ressources humaines, les ventes prévisionnelles, les disponibilités logistiques, l’anticipation du trafic ou encore la météo ». L’ensemble des solutions Marcotte Systems permet la gestion des centrales à béton, de leur flotte de véhicules et de leurs activités commerciales. Ainsi, le module Marcotte Batch permet d’ajuster la quantité de chaque constituant d’une formulation, même en pleine exécution de ce lot. Le tout, en préservant ses ratios clefs. Ensuite, Marcotte Dispatch comprend un ensemble de caractéristiques, qui allège beaucoup la tâche des agents techniques de production. Le contrôle de charge des centrales et d’occupation des véhicules, en temps réel, permet aux répartiteurs d’agir de suite sur leurs livraisons et d’assurer une qualité de service optimale. Puis vient Marcotte GPS & eTicket, qui donne un relevé des statuts et du positionnement, en temps réel, des camions, grâce à une simple application. Dans le même temps, la plate-forme web permet la digitalisation des bons de livraison. Enfin, avec Marcotte Insights, les utilisateurs ont accès à une plate-forme offrant des données clefs pour l’analyse des performances de livraison et d’exécution de la production. Ceci, pour effectuer d’éventuelles corrections ou prédire les futurs besoins, en lien avec le carnet de commandes. Les logiciels Marcotte Systems permettent la gestion et l’anticipation des besoins des centrales BPE.[©Marcotte Systems] Le logiciel RSA Dispatch vient s’ajouter à la suite de solutions de RSAI. [©RSAI] L’année 2020 a été celle du renouveau du site Internet de RSAI. Et du lancement d’une nouvelle mouture de son logiciel phare. Profitant d’une interface revue, le nouveau site Internet permet de composer rapidement le menu de ses besoins. Quant à la nouvelle version du logiciel, elle améliore la navigation de la suite, qui a déjà convaincu des entreprises dans huit pays francophones, en Europe et en Afrique. « Notre solution s’organise autour de plusieurs modules, dont le principal est RSA Beton, explique Rémi Gueugneau, responsable commercial BTP et carrière. Il s’agit là de la gestion complète des automatismes de la centrale, le tout via une interface épurée. RSA Gestion Commerciale permet d’éditer les devis, offres, factures avec des termes et des pratiques adaptés aux métiers de la construction. RSA Qualité centralise les choix en matière de formulation, de paramétrage et de gestion des droits, pour l’ensemble des centrales d’une même entreprise. RSA Demat permet aux chauffeurs d’envoyer des informations en direct sur leurs actions, aux clients d’obtenir des statistiques sur leurs différentes livraisons. Enfin, RSA Dispatch, complètement repensé avec une interface graphique intuitive, est un module de prise de commande pour le BPE et les granulats. Planifiant au passage les livraisons et la charge de travail des différents sites. » Sur la même base, RSAI propose des solutions pour la préfabrication et les carrières. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 112 jours

ZW France annonce la sortie d'ARCHLine 2021

Dans cette version 2021, vous découvrirez de nombreuses nouveautés qui contribuent à accélérer et à améliorer le flux de travail de conception et de documentation.Les principales nouveautés :1. Fonction Pousser/Tirer: La fonction Pousser/Tirer, bien connue des utilisateurs de logiciels de conception 3D est désormais intégrée afin de vous donner toujours plus de possibilité et de fluidité dans la modélisation de vos modèles 3D. Utilisez cet outil pour créer des solides en 3D à partir de contours en 2D et transformez vos solides en bâtiment paramétrique en un clic !2. Références externes IFC, RVT, DWG, PDF… : Cette fonctionnalité permet de lier des fichiers IFC, RVT, DWG, PDF au sein du projet. L'utilisation de Xref est la meilleure option pour visualiser du contenu externe à des fins de coordination.Le fichier IFC, RVT, DWG, PDF est automatiquement mis à jour lorsque vous ouvrez le projet et peut être mis à jour à tout moment. De plus, le modèle importé est traité comme une unité. Le modèle est affiché en 2D / 3D et les données BIM associées peuvent être visualisées.3. Nouvelles classifications IFC :La classification IFC est un outil universel pour communiquer des informations BIM dans un format standardisé. Le système de classification permet aux différentes parties d'avoir une compréhension commune de tous les éléments. Divers systèmes de classification des informations sur les bâtiments sont utilisés au niveau international, (OmniClass - Etats-Unis, Uniclass 2015 - Royaume-Uni). En outre, vous pouvez classer les éléments en fonction de n'importe quelle norme nationale. ARCHLine.XP est prêt à intégrer toute sorte de matrice et convention BIM au format Excel. Il est également possible de gérer les normes industrielles et les bases de données personnalisées, afin de partager des données de la classification IFC avec tout le monde, même s'ils utilisent des logiciels différents.4. Calepinage intégré dans les styles : Une nouvelle fonctionnalité vous permet d'intégrer un style de calepinage complexe à un style de mur existant. Vous pouvez créer des systèmes de fixation et des structures complexes et les intégrer à des motifs de calepinage.5. Gabarits Métier : Un gabarit de projet est un environnement de départ pour un nouveau projet.Le gabarit contient les paramètres personnalisés par défaut pour le projet et détermine les unités de mesure par défaut, les styles, les calques, la structure des niveaux et du bâtiment et les mises en plans. Si le gabarit par défaut n'est pas tout à fait adapté à votre méthode de travail, vous pouvez le modifier selon vos propres besoins et l'enregistrer comme gabarit personnalisé. L'utilisateur peut créer ou enrichir ses propres gabarits.Plus de détails et d'informations, vidéos & tutoriels PDF sur : www.archline.fr
Il y a 4 ans et 114 jours

Publication d’une nouvelle fiche conseils par l’OPPBTP

Cette nouvelle fiche conseil sde l’OPPBTP vient compléter la boîte à outils Covid-19. [©OPPBTP] En raison des restrictions sanitaires liées à la crise du Covid-19, la prise de repas sur les chantiers est devenue un moment délicat. Les distances de sécurité ne peuvent pas être toujours respectées. Et les entreprises rencontrent des difficultés à réaliser un roulement. Pour cela, l’utilisation de séparations physiques est fortement recommandée. L’OPPBTP publie donc une fiche de conseils et prévention pour aider au choix et à l’utilisation de ces séparations. Elle complète la boîte à outils Covid-19 mis en place par l’OPPBTP à disposition des entreprises du secteur.  Largement recommandées par l’OMS, le Haut conseil de la santé et bien d’autres organismes, ces séparations physiques sont indispensables. Elles permettent d’intercepter les gouttelettes respiratoires et les particules projetées lors d’une discussion. Elles sont aussi utiles pour garantir la distanciation sociale, tout en gardant un lien entre les professionnels. Dans ce guide, l’OPPBTP rappelle des points de vigilance à prendre absolument en compte quant à l’utilisation de ces séparations. Les entreprises doivent s’assurer que les séparations sont aux bonnes dimensions, qu’elles protègent l’utilisateur de tous les côtés. Il faut aussi éviter les séparations avec ouvertures et privilégier celles disposant de moyens de fixation sur les surfaces. Enfin, il est recommandé d’aérer régulièrement l’espace de prise de repas, ainsi que de le nettoyer entre chaque personne (cette dernière remarque reste valable même hors période Covid…). L’OPPBTP demande aussi de ne retirer le masque qu’en position assise.  Retrouvez la fiche conseils sur le site internet de preventionbtp.fr Charline David 
Il y a 4 ans et 117 jours

Pour la 1ère fois, Eclisse France s'adresse plus spécifiquement aux architectes et décorateurs d'intérieur

Les produits Eclisse sont bien connus des architectes et décorateurs d'intérieur…« Ouvrir sur l'avenir », Eclisse France en a fait son crédo depuis 25 ans, que ce soit en terme d'innovation technique, d'optimisation des performances, de durabilité, d'esthétique et de design ou encore de confort d'utilisation.Unique 95, Collection Syntesis®, ECLISSE 40… sont autant de produits phares largement inspirés de l'écoute des besoins des architectes et des décorateurs d'intérieur, pour conserver un temps d'avance.Maryline Guillou, Responsable marketing d'Eclisse France, explique la relation de la marque avec les prescripteurs « Nous accompagnons les professionnels de l'aménagement intérieur depuis 25 ans. Ils connaissent Eclisse à travers les produits. Régulièrement nous mettons à leur disposition de nouveaux outils pour les aider dans leurs projets et réalisations ».Sur son site Internet ou sa chaîne Youtube, Eclisse propose :Les produits au format BIM / DWG ;Les fiches techniques ;Ainsi que des vidéos explicatives.La marque a également en place :Un suivi personnalisé de la commande au SAV ;Une présence aux salons Architect@Work, depuis deux ans déjà, en France et au Luxembourg.Aujourd'hui, Eclisse France va plus loin dans l'aventure de la création avec les architectes et décorateurs d'intérieur et renforce la relation.…c'est pourquoi en 2021, la marque Eclisse met en place de nouvelles actions vers ces prescripteurs« Pour les 25 ans d'Eclisse France, nous souhaitons développer notre relation avec les architectes et décorateurs d'intérieur et nous affirmer en tant que marque. C'est pourquoi nous avons décidé de développer des outils de communication qui leur sont spécifiquement dédiés, tout en maintenant nos liens avec les artisans-poseurs, négoces... ; et ce tout au long de l'année, que ce soit auprès des étudiants en architecture que des professionnels installés » poursuit Maryline Guillou.Une présence dans les écoles d'architectureDepuis le 1er janvier, Eclisse est présent dans 30 écoles d'architecture. Environ 25.000 étudiants peuvent s'exercer dans leurs projets avec les portes intérieures de la marque grâce à une matériauthèque digitale.Un catalogue exclusif "prescripteurs" : VisionsLe catalogue Visions met en avant le savoir-faire et les créations des architectes et décorateurs d'intérieur. Réalisé au départ par l'Italie, Eclisse France l'adapte pour l'hexagone.Dès mars 2021, les réalisations des professionnels intégrant les produits Eclisse, adaptés au marché français, seront mises en avant. Une façon pour la marque de les remercier avec ce catalogue d'inspirations de décorations intérieures et de designs.Visions sera à disposition des professionnels sur le site Internet et en version papier sur demande.Sans oublier...Eclisse France développera d'autres outils en 2021 :Une action de marketing direct à Paris, Nantes, Lyon & Nice (en mars)La création d'une médiathèque en ligne (au cours du 1er semestre)