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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Nouvelles technologies

(2658 résultats)
Il y a 3 ans et 316 jours

Quatre sites allemands inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco

Le comité allemand de l'Unesco a annoncé cette décision prise à l'occasion de la réunion annuelle du Comité du Patrimoine Mondial, à Fuzhou en Chine, qui se tient via internet jusqu'à la fin juillet.Créée à la fin du 19me siècle à l'initiative du Grand Duc Ernest Ludwig de Hesse, la "colline de Mathilde" située à Darmstadt dans l'ouest du pays "constitue un exemple remarquable d'esthétisme visionnaire", a estimé la présidente du comité allemand de l'Unesco Maria Böhmer.Par leurs créations réalisées pour la plupart entre 1901 et 1914, les artistes et architectes ont ouvert la voie vers l'architecture moderne, a-t-elle estimé dans un communiqué.Les artistes ont axé leur travail sur la créativité et sur l'art expérimental sous la direction de Joseph Maria Olbrich, un ancien membre de la Sécession viennois.Le complexe, qui comporte notamment la "Tour du Mariage" surnommée aussi la tour aux cinq doigts en raison de sa toiture originale, des sculptures, des mosaïques et des jardins, a été fortement endommagé par les bombardements alliés lors de la dernière guerre avant d'être restauré entre 1982 et 1990.Le comité de l'Unesco a également décidé d'inclure onze villes thermales dans son patrimoine mondial, dont trois allemandes, Baden-Baden, Bad Ems und Bad Kissingen, ainsi que Vichy en France ou encore Montecatini en Italie.
Il y a 3 ans et 320 jours

16e édition du Concours Photo de l'Agence qualité construction : Éviter les désordres dans le bâtiment

La communication passe de plus en plus par l'image, celle-ci interpelle, suscite la curiosité, facilite la compréhension du désordre et devient un véritable « témoin »... Cet apprentissage par l'image, l'Agence qualité construction l'a inscrit dans sa vocation, le Concours Photo AQC en est l'un des grands vecteurs car il touche un large public. La diversité et le nombre de professionnels du bâtiment, d'amateurs de photographies, d'étudiants (287 candidats toutes catégories confondues) en sont la parfaite illustration.Le jury a particulièrement noté le nombre conséquent de photographies reçues (621 photos toutes catégories confondues) qui a rendu cette édition plus riche dans les thèmes abordés : enveloppe et ITE, équipements de ventilation, menuiseries, toiture-terrasse, ferraillage...Aux termes des délibérations, le jury, composé de professionnels du bâtiment, a récompensé 3 lauréats pour la catégorie générale, et exceptionnellement 4 lauréats pour la catégorie étudiant, pour encourager l'investissement et le travail de ces derniers.L'ensemble des photos lauréates et distinguées est disponible sur le site Internet de l'AQC https://qualiteconstruction.com, la rubrique « Nos Ressources ».Catégorie générale : des participants tous corps d'état !Les plus grands contributeurs de la catégorie générale restent majoritairement des experts en construction ainsi que des architectes. Mais les profils se diversifient au fil des éditions et viennent enrichir le champ des thématiques : maçons, responsables d'assainissement, techniciens en énergie, conseillers techniques d'organisations professionnelles, formateurs, enseignants, agents immobiliers, contrôleurs techniques...Leurs regards techniques et pointus leur permettent de « dénicher » tous les types de pathologies subies par le bâtiment en exploitation : soulèvement de chape sous un sol sportif, réseau EP obstrué par un bouchon de racine d'arbre, VMC fixée en façade extérieure nord sans isolation thermique, pose de menuiserie sans rejingot ni pente, positionnement anarchique de chevillage d'une ITE, section d'entrée d'air non conforme...Catégorie étudiant : le concours photo inscrit au programme de nombreuses écolesDepuis la création de cette catégorie, il y a maintenant sept ans, l'intérêt des établissements s'accentue : ils sont de plus en plus nombreux (13 établissements, contre 6 l'année précédente) à inscrire ce concours à leur programme de formation.Le jury a souligné la qualité de leurs candidatures, aussi bien en termes de photographies qu'en termes d'analyse et de proposition de solution pour tenter d'éviter le désordre observé. Il a exceptionnellement attribué un deuxième prix spécial cette année dans cette catégorie.Pédagogique, ce concours incite les étudiants à observer et rechercher les raisons qui ont engendré le désordre. Ils comprennent ainsi plus aisément les enjeux de conception, de mise en œuvre et du respect des bonnes pratiques. Cela vient aussi renforcer leur capacité d'analyse, ces étudiants se projetant ainsi plus aisément dans leurs futurs métiers.L'Agence qualité construction les félicite et les remercie de ce jeune regard qu'ils continuent chaque année à apporter sur les désordres dans le bâtiment.Catégorie Générale : Éviter les désordres dans le bâtiment, apprendre par l'image !
Il y a 3 ans et 320 jours

Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit sa croissance malgré la crise

L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.William COIGNARD, le fondateur, souligne : Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne.Cette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international. Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Alors qu’une troisième vague épidémique contraint le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop a développé une stratégie qui permet d’intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.William COIGNARD précise : Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat.Zoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux…Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.William Coignard précise : Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.
Il y a 3 ans et 321 jours

Hager lance une nouvelle version de son serveur domotique domovea

Entièrement repensée, la deuxième génération de domovea, apporte trois évolutions majeures : une déclinaison en deux niveaux de fonctionnalités, basic ou expert, un nouvel outil de paramétrage intégré et une nouvelle interface totalement personnalisable par l’utilisateur. Basée sur le standard KNX, la solution de connectivité de Hager répond à tous les projets, de la maison individuelle au bâtiment tertiaire, en passant par les petits commerce.Une nouvelle version, trois évolutions majeuresLa déclinaison en deux niveaux de fonctionnalités, basic ou expert, permet d’adapter encore mieux la solution au besoin du client ;Le nouvel outil de paramétrage intégré au produit est dédié à l’installateur. Il simplifie de manière significative le paramétrage et ouvre l’accès à plus de fonctions ;La nouvelle interface est totalement personnalisable par l’utilisateur pour s’adapter à ses exigences et à ses besoins.domovea, vers plus de connectivitédomovea est le centre névralgique pour piloter toutes les fonctions intelligentes du bâtiment et les composants connectés en KNX : éclairages, ouvrants, alarme, caméras, chauffage, compteur énergétique… domovea est compatible avec les principaux objets connectés (IoT) du marché : Sonos, Philipps Hue, Netatmo, Tado, Google ou Amazon. Installés en natif, ils peuvent être configurés facilement et sont tous pilotables sur smartphone et tablette depuis l’application domovea.Une interface entièrement personnalisableEn choisissant domovea, l’utilisateur opte pour une solution de connectivité sur mesure qui lui permet de piloter son installation selon ses besoins et son mode de vie. La nouvelle version va encore plus loin, avec la possibilité de personnaliser entièrement le design de son interface pour l’adapter à ses envies et à ses usages. En version basic, il peut créer lui-même des scénarios simples, les domograms, directement dans l’application. En version expert, c’est l’installateur qui programme pour son client des séquences complexes et des fonctions logiques, grâce notamment à la passerelle IoT intégrée nativement.Plus de fonctionnalités et un mode de configuration simplifiéLe nouveau serveur domovea s’installe dans le tableau électrique et fonctionne toujours en local, sans cloud. Pour répondre à tous les projets, domovea s'interface via des produits hager avec le protocole Dali, mais aussi, grâce à la puissance du KNX,avec Zigbee, Enocean ou encore le Modbus.Deux modes de configuration sont possibles : le mode « KNX easy », utilisant l’outil intégré, Hager Pilot ou le mode KNX standard nécessitant l’utilisation du logiciel ETS.Le mode de configuration simplifié « easy » permet de paramétrer facilement l’installation. Les fonctions sont pré-paramétrées. L’installateur doit simplement configurer les composants de l’installation sur l’interface simplifiée Hager Pilot.Caractéristiques techniquesBasic :5 caméras ONVIFDomogramsProgrammation en localInterface KNX/IP localExpert :50 caméras ONVIFJusqu'à 10 régulateurs virtuelsAutomatisme complexes, jusqu'à 100 Programmation en local et à distanceAvec la nouvelle version de sa solution domovea, Hager offre une solution sur-mesure, entièrement personnalisable à ses utilisateurs. Pour les installateurs, deux niveaux de fonctionnalités facilitent la configuration de la solution pour répondre à tous les projets résidentiels et tertiaires.
Il y a 3 ans et 330 jours

Mise à jour du rapport Carto Amiante avec les résultats de 4 nouvelles situations de travail

Mobilisés sur cette problématique, la DGT, l’OPPBTP et l’INRS, représentant l’Assurance Maladie – Risques professionnels, ont initié en 2014 le projet CARTO Amiante. Cette opération exceptionnelle, sans équivalent en Europe, permet d’établir une cartographie de l’empoussièrement amiante des processus de travail les plus courants du BTP en sous-section 4 (SS4).Dans ce cadre, les partenaires ont présenté en 2017, puis en 2019, deux séries de résultats et de préconisations issus d’une campagne massive de mesurage d’empoussièrement, concernant au total 11 situations de travail.Aujourd’hui, le rapport CARTO Amiante a été mis à jour en incluant les résultats de 4 nouvelles situations de travail. Ils reflètent une amélioration des modes opératoires intégrant la mise en œuvre de processus innovants. De nouvelles situations de travail et de faibles niveaux d’empoussièrementLe troisième rapport CARTO Amiante est issu de l’analyse de 398 mesures d’empoussièrement menées sur les chantiers de 168 entreprises. Ces mesures ont été réalisées dans le cadre de 15 situations de travail différentes, dont 4 nouvelles (en gras) :Perçage de dalles et revêtements de sol,Recouvrement de dalles et revêtements de sol,Vissage et dévissage sur dalles et revêtements de sol,Décollement de quelques dalles et revêtements de sol,Perçage de peintures et enduits intérieurs,Application de peinture ou d’enduit sur peintures et enduits intérieurs,Pose de toile de verre ou de papier peint sur peintures et enduits intérieurs,Dépose de papier peint (raclage) sur peintures et enduits intérieurs,Grattage manuel sur peintures et enduits intérieurs,Découpe et démontage par outils manuels de canalisations extérieures en amiante ciment,Démontage et déconstruction de quelques éléments de la toiture,Démoussage de toiture,Perçage de colle de carrelage faïence,Décollement de carreaux de faïence collée avec de la colle amiantée,Perçage de peintures et enduits de façade extérieure.Les résultats sont très encourageants avec globalement de faibles niveaux d’empoussièrement. En effet, sur 15 processus de travail exploitables, 13 sont de niveau d’empoussièrement 1 (empoussièrement inférieur à 100 fibres/litre) et 2 sont de niveau 2 (empoussièrement compris entre 100 et 6 000 fibres/litre).Cela permet donc de conclure qu’il existe des solutions opérationnelles simples en matière de prévention du risque amiante qui, si le geste professionnel de l’opérateur est maîtrisé et si le mode opératoire de chaque situation est respecté, permettent d’obtenir ces résultats encourageants.Un appel à candidatures pour poursuivre la campagneDésormais, une réelle dynamique s’est installée autour de la campagne CARTO Amiante. Depuis près de 6 ans, le nombre de candidatures n’a cessé d’augmenter pour atteindre, à fin décembre 2020, 1717 candidatures dont 656 ont été retenues et ont fait l’objet de mesurages. Forts de leurs résultats encourageants, l’OPPBTP et la DGT poursuivent la campagne et recherchent des chantiers pour effectuer de nouvelles mesures, financées par l’OPPBTP, en situations réelles en SS4.Les situations actuellement recherchées sont les suivantes :Dans le domaine du bâtiment :Dans le domaine des travaux publics :Les entreprises sont invitées à candidater via la plateforme dédiée : www.carto-amiante.frLa dernière version du rapport CARTO Amiante dans son intégralité est disponible ici.
Il y a 3 ans et 330 jours

Fit®, la nouvelle gamme de chaudières murales gaz à condensation de Saunier Duval

Fit® : la nouvelle gamme de chaudières à condensation Saunier DuvalPensées à la fois pour l’installateur et le particulier, les chaudières Fit® allient performance, design et technologies innovantes. Saunier Duval fait ainsi évoluer 4 de ses chaudières existantes : Thema AS Condens, ThemaPlus Condens, IsoTwin Condens et IsoMax Condens, et complète son offre avec 4 nouveaux modèles : ThemaPlus H-Condens, ThemaFast M-Condens, ThemaPlus M-Condens et IsoTwin M-Condens.L’objectif est d’offrir aux professionnels et particuliers la solution la plus adaptée, quels que soient la configuration et les besoins : chauffage seul, mini-accumulation, accumulation dynamique, conduit individuel (C13, C33, B23p / C93) ou encore conduit collectif 3CEp (nouveauté)… Zoom sur les nouvelles technologies de la gamme.FlameFit®, la combustion optimiséeFlameFit® assure en permanence l’ajustement de la combustion de la chaudière afin de garantir aux utilisateurs une consommation minimale et une compatibilité gaz simplifiée :installation rapide : choix du gaz directement depuis l’interface de la chaudièreflamme optimisée et économies d’énergie : analyse en continu de la combustioncompatibilité avec le gaz naturel, le gaz de Groningue et le gaz propaneconfort maintenu : intégration d’un mode secours en cas de panne pour assurer aux utilisateurs du chauffage et de l’eau chaude en attendant l’intervention d’un professionnelchaudières prêtes pour le futur : compatibilité avec les gaz vertsDisponible sur les chaudières Thema AS Condens, ThemaPlus Condens, IsoTwin Condens et IsoMax Condens.IsoDyn3, le confort en eau chaude pour les plus exigeantsIsoDyn3 est l’évolution de la technologie IsoDyn2, à savoir 2 ballons de 21 litres en inox avec un rechargement en seulement 5 minutes. Si cette technologie bénéficie des avantages de l’existante, elle dispose de nouveautés qui assurent encore plus d’économies d’énergie et une longévité accrue de la chaudière à ses utilisateurs :• adaptation au rythme de vie grâce à l’apprentissage ECS (eau chaude sanitaire) : la chaudière démarre aux meilleurs moments de la journée• détection des petits puisages : à l’aide du capteur de débit ECS placé à la sortie des ballons, la chaudière ne démarre pas lors de faibles demandes en eau chaude• jusqu’à 7 fois moins de démarrages qu’une chaudière standard à ballon !Disponible sur les chaudières IsoMax Condens, IsoTwin Condens et IsoTwin M-Condens.H-Condens, la condensation sur le chauffage ET sur l’eau chaude sanitaireLe corps de chauffe en inox H-Condens offre une condensation à la fois sur le chauffage ET sur l’eau chaude sanitaire grâce à une spire supplémentaire :nouveau corps de chauffe innovant développé pour Saunier Duvalpréchauffage de l’arrivée d’eau froide entre 3 et 5 °C permettant une réduction de la consommation de gaz8 % d’économies d’énergie sur le sanitaireréduction des émissions de CO2Disponible sur la chaudière ThemaPlus H-Condens.Des fonctionnalités et des équipements pensés par et pour le professionnelLa gamme Fit®, c’est aussi un ensemble de fonctionnalités et d’équipements communs à toutes les chaudières :régulation et connectivité en un clic : technologie Clic Express avec boîtier radio et/ou de connectivité intégrables directement sous la chaudièrebouton ON / OFF intégré : protection de la carte électronique lors des interventions pour une maintenance facile et sécuriséeremplacements facilités grâce aux nouveaux kits de remplacementsinterfaces tactiles et intuitives : choix du gaz lors de l’installation, affichage des consommations, assistant intégré (IsoMax Condens)cache-tubulures magnétique et nouveau panneau acoustique anti-vibratileMiSet & MiPro Sense, les régulations connectables compatibles avec Fit®MiSet et MiPro Sense, ce sont deux régulations disponibles en versions radio et filaire. Compatibles avec toutes nos chaudières de la gamme Fit®, la première est idéale pour assurer le confort en appartement pour 1 zone de chauffage et la deuxième pour le confort de la maison avec la gestion de 1 à 3 zones.MiSet & MiPro Sense s’accordent parfaitement avec les nouvelles chaudières Fit® : interface design et tactile et assistant utilisateur de série pour la programmation des plages horaires. Ces régulations sont également connectables avec le nouveau MiLink V3 pour permettre un pilotage du chauffage à distance par les utilisateurs avec l’application MiGo Link. Pour les professionnels, un site internet et une application MiGo Xpert sont disponibles pour suivre le parc de chaudières à distance.M-Condens, les chaudières dédiées au 3CEpLa nouvelle gamme M-Condens (ThemaFast M-Condens, ThemaPlus M-Condens et IsoTwin M-Condens), dédiée aux conduits 3CEp, a été développée dans l’optique de faciliter et sécuriser la mise en œuvre et l’entretien sur ces conduits collectifs.Les avantages :données de combustion optimisées pour un dimensionnement au plus justegamme prête pour la nouvelle méthode de dimensionnement (EN 13384-2 : A1)gain de temps à l’installation avec l’assistant de démarrageadaptation automatique de la puissance de la chaudière en fonction de la configuration entrée par le professionnel, directement sur l’interfaceinstallation et entretien facilités : clapet anti-retour intégré de série au bras de mélangemaintenance simplifiée : coude avec trappe de visite permettant le blocage des retours de fuméesQuelle est la différence entre une chaudière à condensation et une chaudière non-condensation ?Dans une chaudière gaz non- condensation, le circuit d’eau de chauffage est réchauffé grâce à la combustion de gaz (naturel, propane ou de Groningue). C’est en passant dans le brûleur que ce dernier produit de la chaleur qui est ensuite transmise à l’eau ou à un fluide caloporteur. Depuis 2018, les émissions de NOx d’une chaudière non-condensation doivent être ≤ 56 mg / kWh.Dans une chaudière gaz à condensation, le circuit de chauffage est alimenté par la combustion du gaz (naturel, propane ou de Groningue) mais aussi par les fumées produites par cette dernière. Elles sont refroidies afin d’en récupérer la chaleur. Ce procédé permet ainsi d’économiser jusqu’à 30 % d’énergie par rapport à une chaudière de 25 ans.Une fabrication françaiseCes nouvelles chaudières à condensation sont fabriquées en France au cœur de l’usine Saunier Duval à Nantes. Avec plusieurs lignes de production dédiées aux chaudières à condensation, la marque confirme sa volonté de promouvoir le savoir-faire français sur le territoire et à l’international.Site historique, l’usine de Nantes est labellisée « Vitrine Industrie du Futur » grâce notamment à l’automatisation de sa ligne d’assemblage de chaudières murales gaz à condensation et à sa digitalisation et utilisation en temps réel des données.
Il y a 3 ans et 331 jours

Les 20 ans de Paris Plages sous le signe du sport

Pour que l'on s'y sente comme en vacances - même sans sable, abandonné en 2017 -, mais aussi en forme olympique: jusqu'au 22 août, Paris Plages fête ses 20 ans avec en toile de fond l'entrée de la capitale dans "son" olympiade à la fin des Jeux de Tokyo - du 23 juillet au 8 août -, où la maire PS Anne Hidalgo recevra le drapeau olympique lors de la cérémonie de clôture.Du sport, il en sera question sur les berges piétonnisées de Seine avec du tai-chi, de la pétanque ou du babyfoot. Disciplines également présentes autour du bassin de La Villette, où les sports nautiques seront à l'honneur: canoë kayak, kayak polo, stand up paddle, pédalos mais aussi mur d'escalade flottant... La baignade y est reconduite avec quatre bassins accessibles jusqu'au 9 septembre.Il n'y en aura pas que pour les sportifs: concerts et performances artistiques lors d'un week-end d'ouverture dédié à l'Afrique sur le bassin de La Villette, bal inclusif sur les quais de Seine samedi, ciné-concert en hommage à Charlie Chaplin lundi et mardi sur le parvis de l'hôtel de ville...Jeux de société et animations autour de la lecture et de l'écriture pour les plus jeunes, expo photo ou poésie pour les plus grands: l'éducation et la culture ne sont pas oubliées, ni les adeptes du farniente qui devraient se battre pour un transat près d'un palmier.Dans un contexte de progression du variant Delta qui fait craindre une reprise épidémique, le port du masque y est "recommandé" et des médiateurs de lutte anti-Covid proposeront une "aide à la prise de rendez-vous" pour les volontaires à la vaccination.Et le Trocadéro? Petits nouveaux de Paris Plages, les célèbres jardins situés face à la Tour Eiffel doivent accueillir un stade éphémère entièrement dédié au sport du 17 juillet au 13 septembre: retransmission des Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo, compétitions de skate et de basket à 3, initiations...Mais pour des raisons variées (tranquillité, patrimoine, environnement), les élus LR, Modem et EELV - ces derniers pourtant alliés d'Anne Hidalgo - ont voté contre la grille tarifaire liant la mairie aux partenaires privés, obligeant l'adjoint Pierre Rabadan à trouver un autre montage financier d'ici une semaine. Ce dernier s'est dit "déterminé à faire aboutir ce projet".
Il y a 3 ans et 331 jours

Forte diminution des formations à la prévention dans les entreprises artisanales du BTP

Après une forte hausse en 2018, les résultats attestent en 2019 d'une baisse significative (-14%) de la formation continue dans l'artisanat du BTP (tous domaines confondus). Cette chute concerne tous les domaines de formation : -16% pour le domaine de la gestion, -19% pour le domaine de la prévention et -3% pour le domaine technique. A noter cependant que, comme l'édition précédente, la prévention reste le premier domaine de formation en 2019 et représente 52% des formations suivies par les actifs de l'artisanat du BTP. Les formations obligatoires à la sécurité restent les plus suivies : la conduite d'engins (25%), l'électricité (24%), le travail en hauteur (20%), le secourisme (15%) et l'amiante (10%).Les formations liées aux contraintes physiques et à l'utilisation de produits dangereux en augmentationAvec une part de 52% contre 55% en 2018, les formations à la prévention restent le 1er domaine de formation en 2019 malgré une baisse. Ainsi, 66.904 actifs ont été formés, soit une baisse de 19% par rapport à 2018 où l'on comptabilisait 82.700 stagiaires.Dans cette catégorie, les formations les plus dispensées sont celles qui sont obligatoires : la conduite d'engins (25%), l'électricité (24%), le travail en hauteur (20%), le secourisme (15%) et l'amiante (10%). A noter que les formations liées aux contraintes physiques et les formations liées à l'utilisation des produits dangereux sont quant à elles en augmentation (respectivement +7% et +19%). Ces augmentations positives soulignent l'importance de ces enjeux pour les entreprises artisanales du BTP en termes d'accidentologie et de maladies professionnelles. Au regard de la population interrogée, les métiers de travaux publics ainsi que les couvreurs, plombiers-chauffagistes, les électriciens et les charpentiers menuisiers agenceurs paraissent être davantage actifs en matière de suivi de formations à la prévention que les autres corps de métier.En superposant ces résultats avec les risques avérés sur les chantiers, l'Observatoire met cependant en évidence un écart entre la principale cause des accidents survenus et les thématiques de sécurité suivies par les professionnels. Ainsi, les contraintes physiques comme la manutention manuelle constituent la 1ère cause d'accidents pour les professionnels du BTP alors que la formation à ce risque reste très faible (1% des formations suivies). Un constat qui démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des artisans et des salariés des entreprises artisanales à l'adoption des bons gestes et aux bonnes postures sur leur lieu de travail. Ces efforts ne pourront être faits sans que de nouveaux moyens de sensibilisation comme la réalité virtuelle ou la réalité augmentée ne soient proposés aux entreprises artisanales.Formations à la prévention : une dynamique inégale selon les profils et le territoireDans la continuité des éditions précédentes, les métiers des travaux publics, les électriciens, les couvreurs-plombiers-chauffagistes et les charpentiers menuisiers agenceurs figurent parmi les métiers les plus représentés dans les formations à la prévention au regard de leur effectif de référence. Les métiers de la pierre (-53%) et du paysage (-61%) sont les catégories les plus touchées.De plus, comme les années précédentes, 95% des stagiaires de ces formations à la prévention sont des salarié(e)s alors qu'ils ne représentent que 60% des actifs. Ce constat s'explique en partie par les obligations de formation qui concernent essentiellement les salariés, même si de plus en plus de formations à la prévention visent également les artisans travaillant seuls.L'Observatoire montre également que l'implication dans la formation dépend de certains critères, au-delà des métiers. Ainsi, comme les années précédentes, l'étude montre que 97% des stagiaires formés à la prévention sont des hommes. Malgré une féminisation progressive des métiers, les femmes, qui représentent 13% des salariés et 4% des chefs d'entreprises du bâtiment, restent sous-représentées dans les formations à la prévention (3%) malgré une légère augmentation de 2% depuis 2018. En effet, elles restent majoritairement affectées aux activités administratives et sont donc moins concernées par les formations sécurité axées sur les problématiques liées aux chantiers.Autre variable qui influe sur le suivi des formations : l'âge. En 2019, les stagiaires âgés de 20 à 40 ans restent les plus impliqués dans les formations à la prévention (64%). A l'inverse, la tranche d'âge « 51 ans et plus » présente un écart négatif important par rapport à sa valeur de référence (14% seulement de présence aux formations alors qu'ils représentent 26% des actifs du BTP). Le bagage de l'expérience peut être à l'origine de leur faible présence en formation à la prévention.Enfin, les résultats de l'Observatoire attestent d'un dynamisme inégal selon les régions : la région Grand-Est ainsi que les régions Hauts-de-France et Occitanie montrent une forte présence en formation. À l'inverse, l'Ile-de-France et la Provence-Alpes-Côte d'Azur montrent un dynamisme moins important au regard de leur effectifs de référence. A noter cependant que ces résultats doivent être mis en perspectives avec les caractéristiques propres à chacune d'elles (activité des entreprises, politiques incitatives…)Cap sur le digital pour adapter l'offre de formations aux besoins des entreprises artisanales du BTPLes acteurs de la formation professionnelle ont redoublé d'efforts pour identifier de nouvelles actions afin de développer des offres dans lesquelles le distanciel et le présentiel se combinent en fonction de leur pertinence pédagogique et des besoins du client :Proposer des formations adaptées au métier, à la taille de l'entreprise, facile d'accèsSensibiliser les chefs d'entreprise sur leurs obligations en matière de formations à la sécuritéDévelopper des formations avec la réalité virtuelle et la réalité augmentéePoursuivre le développement des formations numériques en distanciel pour tout ou partieJean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, affirme : « Ces formations en distanciel sont un levier efficace pour permettre aux participants de se former à leur rythme et aux entreprises artisanales de gagner du temps tout en étant adaptées à la prévention des risques professionnels. Il est donc important de poursuivre le développement de ces formations en ligne et de prendre en compte le retour d'expérience des stagiaires afin d'adapter au mieux ces offres aux besoins des professionnels. Ce format permet d'allier la théorie et la pratique sur le terrain avec des mises en situation sur chantier, des simulations d'accidents, des chasses aux risques, des entrainements aux gestes techniques... A noter cependant que le développement et la mise en place de ces formations représente encore un coût élevé ! »De son côté, pour sensibiliser les chefs d'entreprise aux formations obligatoires qu'ils doivent suivre, l'IRIS-ST propose sur son site internet un onglet formation avec des outils d'accompagnement :L'outil d'auto-diagnostique en ligne : à travers un questionnaire en ligne, le chef d'entreprise renseigne différentes situations de travail qui portent sur les différents thèmes de formation obligatoire et obtient, en quelques clics, la liste des formations sécurité obligatoires pour ses salariés ou pour lui-même.Les fiches synthétiques pour chaque formation incluant des informations sur les modalités à connaître telles que la durée, les prérequis, les objectifs ou encore le cadre règlementaire de la formation.Les fiches par métier qui reprennent l'ensemble des formations obligatoires à la sécurité indispensables pour son métier. À noter toutefois que ces listes sont données à titre indicatif et doivent être adaptées à l'activité et aux conditions réelles de travail des entreprises.De son côté, pour sensibiliser les chefs d'entreprise et les équipes des entreprises artisanales, l'OPPBTP propose plusieurs e-learning gratuits :Sur le site preventionbtp.fr/formation, une collection de modules appelés Dclic Prévention. Ces modules de 15 minutes permettent d'acquérir les savoirs essentiels en prévention sur différents sujets : utilisation d'un échafaudage en sécurité, Port du harnais, Chargement des véhicules et arrimage des charges, Bruit, Hygiène, Accueil, PPSPS, …. Ils sont composés de vidéos et de quiz pour tester ses connaissances. Ils peuvent être suivis en ligne ou téléchargeables pour animer des réunions sur la sécurité.Sur la chaine youtube OPPBTP, une collection de modules Minutes Prévention. Ces modules de 2 minutes font prendre conscience des risques et de l'intérêt de s'en protéger : le casque, la fatique au volant, les échelles, …Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB et de l'IRIS-ST, commente : « Les résultats de cette nouvelle édition de l'Observatoire des formations à la prévention mettent en évidence une forte baisse de la formation en continue de nos artisans du bâtiment. Or, nous savons combien la prévention dans nos métiers est essentielle pour éviter les accidents sur les chantiers. Cette chute du suivi des formations nous a donc suffisamment alertés pour que nous élaborions de nouvelles solutions, davantage adaptées aux contraintes du moment et aux besoins de nos artisans. C'est pourquoi, nous souhaitons développer davantage d'offres dans lesquelles le distanciel et le présentiel se combinent grâce aux technologies digitales comme la réalité virtuelle et augmentée. Une incitation qui je l'espère portera ses fruits ! »Paul DUPHIL, Secrétaire général de l'OPPBTP : « La formation est un levier fondamental pour enrichir les compétences des compagnons mais aussi des chefs d'entreprise artisanales en termes d'organisation et d'évolution des compétences individuelles et collectives. Les technologies digitales connaissent un développement sans précédent et révolutionnent tous les secteurs d'activité. Plus de 90% des artisans du BTP sont connectés, grâce à un smart phone, un ordinateur ou une tablette. Dans ce contexte l'OPPBTP met à disposition des artisans de nouveaux formats de formation adapté à leurs enjeux et à leurs impératifs, tels que des vidéos courtes et opérationnelles utilisables en autonomie, des formations en E-learning, des webinaires… et bénéficier d'une assistance technique à distance grâce à "Prevention BTP en Direct". »Françoise DESPRET, Présidente de la CNATP « Pour assurer la continuité de leurs activités durant la crise sanitaire, les formateurs ont adapté les formations prévues en présentiel en cours à distance. Nous même, Organisations Professionnelles avons proposer des réunions en visioconférence. Nos entreprises ont ainsi pu se familiariser à ces nouveaux outils, ces nouvelles habitudes et trouver certains avantages notamment le gain de temps en déplacement. Si le présentiel demeure essentiel pour l'aspect pratique et pour les relations humaines, pour construire nos progressions, nous devons réfléchir à la construction de formations hybrides en combinant le présentiel et distanciel. »Télécharger la nouvelle note de synthèse de l'Observatoire (faits marquants de l'année 2019) via ce lien
Il y a 3 ans et 331 jours

Feu vert du G20 à l'accord sur la taxation des multinationales

Les ministres des Finances ont également adressé un appel aux pays récalcitrants, la déclaration ayant été signée désormais par 132 des 139 membres du groupe de travail de l'OCDE qui réunit pays avancés et émergents."Nous invitons tous les membres" de ce groupe dit "cadre inclusif" OCDE-G20 qui "n'ont pas encore adhéré à l'accord international, à le faire", ont indiqué les ministres. Un appel qui a été entendu par Saint-Vincent-et-les-Grenadines, un petit pays des Caraïbes qui s'est rallié à l'accord.Le ministre italien de l'Economie Daniele Franco, dont le pays préside le G20, a salué devant la presse un "accord très important, que nombre de collègues ont qualifié d'historique".En donnant son "feu vert aux éléments clé des deux piliers de la réforme", le G20 "contribue à stabiliser le système fiscal international pour les prochaines années" et à arrêter "la course à la baisse" pour les taux d'imposition.Les grands argentiers ont également appelé le groupe de l'OCDE à "traiter rapidement les questions restantes" et à présenter "un plan détaillé pour la mise en oeuvre des deux piliers" de l'accord d'ici la prochaine réunion du G20 en octobre.Le "pilier 1" de l'accord consiste à réaffecter une part de l'impôt sur les bénéfices payé par les multinationales aux pays dits "de marché", c'est-à-dire ceux où elles réalisent leurs activités. L'impôt ne sera donc plus dû uniquement là où leurs sièges sociaux sont installés.En ligne de mire, les entreprises qui réalisent plus de 20 milliards d'euros de chiffre d'affaires mondial et dont la rentabilité est supérieure à 10%.Son objectif: éviter que les multinationales et surtout les Gafa (acronyme désignant les géants Google, Amazon, Facebook et Apple), qui ont largement profité de la pandémie de Covid-19 et des confinements, paient des impôts dérisoires au regard de leurs revenus.Le "pilier 2" correspond à l'instauration d'un taux d'impôt effectif minimum "d'au moins 15%" sur les bénéfices des multinationales. Un Etat pourra taxer les profits étrangers d'une de ses entreprises nationales qui aurait été imposée à l'étranger à un taux inférieur à ce taux minimum, afin de compenser l'écart.
Il y a 3 ans et 334 jours

Plus de 7 Français sur 10 opposés à une hausse de l'âge de départ à la retraite, selon Elabe

Au total, 62% des Français - soit un point de moins que dans l'étude datée d'avril 2019 - "sont favorables à une hausse des impôts ou des taxes pour les foyers les plus aisés pour financer le système de retraite", contre 38% qui y sont opposés, indique l'étude Elabe publiée pour Les Echos, Radio Classique et l'Institut Montaigne.Ils sont 71% à se dire opposés à une hausse de l'âge légal de la retraite (inchangé), contre 29% favorables, et 91% (-2) opposés à une baisse du montant des retraites.En outre, plus d'une personne sur deux (52%) juge que "le système de retraite tel qu'il fonctionne aujourd'hui en France fonctionne bien", contre 47% qui estiment le contraire.Et plus on est âgé, et plus on a foi en ce système, souligne le sondage: ainsi, "les retraités sont davantage convaincus du bon fonctionnement du système de retraite actuel" (62 % estiment qu'il fonctionne bien, soit 3 points de plus qu'en 2019) par rapport aux actifs (49%).Toutefois, le jugement des actifs a progressé par rapport à l'enquête précédente (+14 points).Enfin, interrogées sur les régimes spéciaux de retraite, 65% des personnes sondées sont favorables à "la suppression des 42 régimes existants dont les régimes spéciaux".Reçus à l'Elysée mardi, syndicats et patronats sont unanimement opposés à la mise en oeuvre d'une réforme avant la présidentielle de 2022. Même chose pour le Medef, partisan d'un relèvement de l'âge de départ à 64 ans mais qui craint que la relance ne soit entravée par d'éventuels mouvements sociaux. Et la majorité est elle-même divisée sur le contenu de la réforme et sur son calendrier.Le chef de l'Etat, qui doit prendre la parole dans quelques jours, a remis sur la table le sujet de la réforme des retraites lors d'un déplacement dans le Lot début juin.L'étude Elabe a été réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 1.002 personnes, selon la méthode des quotas, interrogées par Internet les 6 et 7 juillet.
Il y a 3 ans et 335 jours

Groupe Sylvestre : « La Compagnie des Bétonniers permettra de challenger les groupes nationaux »

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Rudy Sylvestre, gérant du groupe éponyme, devant l’iconique boule de toupie à l’entrée du site de Maubec, signée Namek. [©Groupe Sylvestre] Vous avez investi dans une nouvelle centrale et de nouvelles pompes. Pouvez-vous nous en dire plus sur ces investissements ?  Rudy Sylvestre : Il nous fallait moderniser notre outil de production. Nous disposons de deux centrales sur notre site de Maubec, dans le Vaucluse. L’une d’elles datait des années 1970. Nous avons ainsi investi dans une centrale Liebherr, qui nous permet de produire plus et davantage “vertueux”. Nous aurons une capacité mensuelle comprise 2 500 et 3 500m3 de béton. Depuis la mise en service, nous sommes sur un cumul de près de 25 000 m3.  Nous avons aussi acquis deux nouvelles pompes à béton Schwing Stetter sur porteurs Mercedes Benz. Trois autres sont en commande. Cela va nous permettre d’être plus réactifs et de pouvoir gérer nos plannings de manière indépendante.  Vous avez aussi revu et corrigé votre site Internet ? En effet. Il s’agissait de moderniser l’image du groupe. Dans ce cadre, nous avons recruté un responsable communication. Une nouvelle identité graphique a été créée pour l’ensemble des sociétés du groupe. Puis, nous avons voulu améliorer notre présence sur Internet et les réseaux sociaux. En parallèle, nous développons une application qui permettra de présenter, dans un premier temps, l’étendue de nos services et la gamme de nos produits. Dans le futur, les clients auront accès à leur compte et pourront ainsi consulter leurs devis, régler leurs factures et communiquer avec les différents services en ligne.  Qu’est-ce que la Compagnie des Bétonniers et comment s’inscrit-elle dans le renouveau du groupe Sylvestre ? Par le passé, le groupe Sylvestre était à la tête de deux terminaux cimentiers et de treize centrales à béton. Ceci, en partenariat avec un grand bétonnier national. Mais tout s’est arrêté un jour… Aujourd’hui, nous ne sommes plus tenus par aucune clause. Nous pouvons donc repartir de l’avant. C’est pourquoi nous lançons la Compagnie des Bétonniers, afin d’unir des indépendants. L’idée est de leur proposer de devenir partenaires. Chacun apporte une part au capital, à la hauteur de ses capacités. En fédérant les indépendants, nous pourrons acheter du matériel ou des matériaux en commun. Mais aussi partager des équipements. J’ai aussi dans l’idée de créer un laboratoire aux moyens mutualisés. Un atout pour répondre à de plus gros chantiers. Nous avons déjà été rejoints par l’industriel Réseau Chape de Châteaurenard, dans les Bouches-du-Rhône. Nous démarrons localement, mais l’idée est de créer une enseigne nationale…  Lire aussi : Pour le groupe Sylvestre, « Art is BTP »… Malgré l’engouement pour la consommation locale, n’est-il pas compliqué d’être un indépendant dans le béton ?  Oui, c’est compliqué. Il y a de plus en plus de regroupements et de rachats d’indépendants. De toute façon, une centrale a un rayon de chalandise de 30 km. Mais il y a aussi les gros chantiers. Là, le plus souvent, ce sont les bétonniers nationaux qui interviennent. La taille compte, tout comme la force de communication. Nous devons nous affirmer face à eux et nous ne pouvons le faire qu’en nous unissant au sein d’une entité comme la Compagnie des Bétonniers. Qui peut vous rejoindre ? Quelles en sont les implications ?  Vient qui veut. Même si, au niveau local, deux indépendants ne s’entendent pas, nous pouvons jouer les intermédiaires et les aider à mutualiser leurs moyens… La seule règle est d’avoir une en-tête à l’effigie de la Compagnie des Bétonniers avec son propre nom en dessous.  A la fin de chaque année, nous partagerons les bénéfices, à hauteur de la participation au capital.  C’est un discours très militant… Tout à fait. Il est temps de taper du poing sur la table et de concurrencer frontalement les groupes nationaux. Ensemble, nous sommes toujours plus forts ou plus imposants. Nous pouvons rivaliser avec tout le monde et sur n’importe quel chantier.  Propos recueillis par Yann Butillon Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 95
Il y a 3 ans et 335 jours

À Saint-Cyr-sur-Loire, l'école se love dans le parc municipal, grâce à Hessamfar Vérons

Plus de 400 articles de la rubrique « Détails » -10 ans de publications- sont désormais accessibles aux abonnés, à partir de la page d'accueil du site internet de la revue, avec une simple recherche par mots-clés ou thématiques. « Dieu est dans les détails », disait Mies van der Rohe – à la suite de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 336 jours

AMC lance sa base de données "Détails d’architecture"

Plus de 400 articles de la rubrique « Détails » -10 ans de publications- sont désormais accessibles aux abonnés, à partir de la page d'accueil du site internet de la revue, avec une simple recherche par mots-clés ou thématiques. « Dieu est dans les détails », disait Mies van der Rohe – à la suite de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 336 jours

Venise 2021, le top 10 de la rédac #5 : Décortiquer une maison japonaise ordinaire

Plus de 400 articles de la rubrique « Détails » -10 ans de publications- sont désormais accessibles aux abonnés, à partir de la page d'accueil du site internet de la revue, avec une simple recherche par mots-clés ou thématiques. « Dieu est dans les détails », disait Mies van der Rohe – à la suite de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 337 jours

Surveillance acoustique et visuelle du Pont Masséna

Le pont Masséna, mis en service en 1970, est un pont à haubans de 492m situé sur le périphérique parisien. Dans le cadre de la surveillance préventive de cet ouvrage, les 4 haubans composés de 19 câbles mono-toron chacun doivent faire l’objet d’une attention particulière.Ainsi, ces haubans ont été équipés d’un réseau de 120 capteurs vibratoires très haute fréquence raccordés à des centrales d’acquisition qui enregistrent en temps réel de potentielles anomalies. En cas d’événement anormal, l’amplitude de l’onde acoustique générée est détectée par les capteurs, déclenchant une alerte. Les signaux émis par chaque capteur sont analysés et permettent de localiser la rupture le long du hauban.Le système de surveillance acoustique est complété par un dispositif visuel infrarouge composé de caméras afin de faciliter l’analyse du phénomène surveillé. En post-traitement, une analyse des signaux est réalisée de manière semi-automatique pour localiser l’événement sur le haubans. Afin de centraliser les données et permettre de visualiser la temporalité des événements, les équipes de la Ville de Paris disposent d’un accès sécurisé à la plateforme web SIMon-e® développée par SITES.« Sur le Pont Masséna, pour répondre à la problématique de notre client (la surveillance renforcée des haubans) et aux enjeux d’intervention (le maintien de la circulation routière du Boulevard Périphérique Parisien, même de nuit), nous avons mobilisé une dizaine de personnes SITES pour mettre en œuvre un dispositif de surveillance visuelle et acoustique des haubans.La complémentarité de nos équipes (instrumentation, expertise en analyse et traitement de signaux, études, atelier de conception et fabrication, expertise génie civil, management de projet) a été une force qui nous a permis de mener à bien cette mission de grande ampleur dont la première phase d’installation s’est étalée sur 4 mois avant le démarrage d’une phase d’exploitation qui durera près de 3 ans.C’est une référence importante pour SITES qui montre notre capacité à répondre aux enjeux forts de la surveillance d’ouvrages d’art qui requièrent d’être à la pointe de la technique, tout en prenant en compte les enjeux grandissant de planning, de sécurité et de respect de l’environnement. »Géraldine CAMP, Responsable du projet Pont Masséna - SITES.
Il y a 3 ans et 337 jours

Réalisation d'un éco quartier avec des logements à haute performance énergétique à Lunéville

Le 15 avril dernier, les premiers habitants de l’éco quartier Libération, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), emménageaient dans leur logement. Entre l’avenue de la Libération et l’allée des Lilas, sur un peu plus d’un hectare, une ancienne pépinière a laissé la place à un programme de construction neuve de 31 logements à haute qualité environnementale conduit par l’Office Public de l’Habitat (OPH) de Lunéville à Baccarat.Énergie positiveCe nouvel espace d’habitat social alliant urbanisme durable et performance énergétique combine habitat individuel et collectif tout en favorisant une forte mixité sociale. Il compte vingt maisons individuelles et un immeuble abritant onze appartements.« La performance énergétique est notre cheval de bataille, souligne Adrien Kremer, chargé d’opérations à l’OPH. Lorsque nous avons lancé le concours de conception-réalisation, notre cahier des charges imposait une consommation d’énergie inférieure de 20 % aux exigences de la réglementation en vigueur RT 2012. En option, nous envisagions une cibleRT2012 -50 %. Nous avons eu l’opportunité de répondre à l’appel à projetE+C- pour des bâtiments à énergie positive et faible empreinte carbone répondant à la future réglementation environnementale RE 2020. Le bâtiment collectif est labellisé avec un niveau E3C1. »Pour assurer la maîtrise des charges locatives, le bailleur social vise aussi la pérennité des performances. Celle-ci passe par l’utilisation de matériaux durables, recyclables et réutilisables. Adrien Kremer rejette tout gadget sophistiqué et favorise les solutions simples ayant fait leurs preuves, comme l’isolation thermique par l’extérieur (ITE) pour une enveloppe de bâtiment pérenne et performante.Haute isolationL’ITE est la solution retenue pour assurer une haute isolation à l’immeuble collectif par l’équipe lauréate du dialogue compétitif, conduite par Eiffage Construction Lorraine. Pour abriter les onze logements, les architectes de l’agence Bagard & Luron et le bureau d’études Huguet conçoivent un bâtiment R+2 constitué de deux ailes encadrant les circulations verticales.« Cette partie centrale n’étant pas chauffée, les deux ailes nord et sud sont traitées comme des bâtiments séparés dotés chacun de leur enveloppe », décrit Jérôme Guillaumond, l’architecte de l’agence en charge de l’opération. Les deux parallélépipèdes construits en blocs de béton, simples et compacts, sans décrochements autres que les dalles de balcons, sont enveloppés d’une ITE sous enduit. Les façades sont animées par un jeu de contrastes entre des corps de bâtiments blancs et des pignons gris foncé.Label E+CCette conception simple du bâtiment et de son enveloppe s’avère très efficace, comme le confirme l’étude thermique réalisée par le bureau d’études Huguet. En effet le coefficient Bbio (besoin bioclimatique conventionnel), qui mesure la performance thermique du bâtiment indépendamment des systèmes énergétiques mis en œuvre, est ici très favorable. Il est de 45,3 pour l’aile nord et 38,6 pour l’aile sud, soit respectivement 46,1 % et 54 % de moins que le Bbio maximum fixé par laRT 2012 (84) pour tous les bâtiments neufs.Autre exigence de la réglementation thermique RT 2012, la consommation d’énergie primaire conventionnelle est limitée à 76,1 kWh/m2.an pour l’aile nord et 77,9 kWh/m2.an pour l’aile sud. Or, elle n’atteint respectivement que23,7 kWh/m2.an (soit - 68,9 %) et 27,2 (soit - 65,1 %) pour les deux parties du bâtiment dotées de chaudières à gaz.Pour compléter ces excellents résultats, une quarantaine de mètres carrés de panneaux solaires posés sur le toit de l’immeuble fournissent suffisamment d’électricité pour offrir au bâtiment un bilan énergétique positif : il produit plus d’énergie qu’il en consomme. L’objectif du label E+C- est ainsi atteint avec un niveau E3C1.Des produits de qualité bien mis en œuvreL’application de l’ITE sur les façades de l’immeuble a été confiée à la société Enduiest. Depuis une trentaine d’années, cette entreprise familiale réalise des chantiers de ravalement et d’ITE en Lorraine et en Champagne. Recruté il y a deux ans et demi pour développer l’activité dans les bâtiments neufs, le chargé d’affaires Sébastien Piernot a suivi le chantier du quartier Libération de Lunéville depuis le chiffrage jusqu’à la réception. L’ITE prescrite sur cette opération est le StoTherm Vario 1. « Nous sommes très vigilants quant au choix des produits employés et la gamme Sto offre une solution complète permettant de répondre qualitativement à ce type d’opération. Mais un produit de qualité doit aussi être bien mis en œuvre.Pour cela le site internet de Sto est une aide appréciable, il permet de consulter les différents carnets de détails, les guides d’applications, etc…Toutefois, lorsqu’il y a une interrogation technique nous sollicitons l’avis du conseiller technique Sto, pour cette opération nous avons eu recours à lui deux fois, ce dernier a été très réactif et nous a apporté les solutions. »Système d’ITE hydrauliqueLes panneaux de polystyrène expansé Sto-Panneau PS 15 SE de 200 mm d’épaisseur sont d’abord collés sur les 650 m2 de façade en blocs de béton au moyen de Sto-Mortier Colle B. Puis est appliqué le sous-enduit minceStoLevell Uni armé d’un treillis Sto-Fibre de verre standard. Ce sous-enduit est obtenu en mélangeant une poudre à base de liant hydraulique avec de l’eau. « Le StoTherm Vario 1 est un système d’ITE que nous connaissons bien puisque l’entreprise Enduiest l’utilise sur 80 % de ses chantiers d’isolation thermique par l’extérieur. Habitués au gâchage de produits en poudre, nos compagnons enduiseurs apprécient le sous-enduit hydraulique livré en sacs », précise Sébastien Piernot.Afin de protéger des chocs les parties basses de l’immeuble, l’entreprise aposé sur toute la hauteur du rez-de-chaussée un treillis d’armature complémentaire renforcé en fibre de verre, le Sto-Fibre de Verre Blindaget. Cette armature est marouflée dans l’enduit StoLevell Uni avant une deuxième passe armée du treillis Sto-Fibre de verre standard.Couleurs contrastéesLa finition est enfin assurée par un enduit organique taloché prêt à l’emploi à base de résine acrylique Stolit K 1.5. Blanc sur les trois quarts de la façade, l’enduit est teinté d’un gris soutenu sur trois murs. Afin d’éviter l’absorption de chaleur qui pourrait réduire la durabilité du système en provoquant des fissures ou des déformations, cet enduit foncé est doté de la technologie X-black développée par Sto.Il ne reste plus aujourd’hui qu’à terminer l’aménagement du parc pour favoriser les rencontres entre les habitants et mettre en valeur les nouveaux bâtiments.
Il y a 3 ans et 338 jours

DUCO s’associe à Daikin

DUCO garantit depuis 30 ans des produits innovants et de haute qualité qui assurent un climat intérieur sain. Pour ce faire, l’entreprise propose une gamme étendue de grilles et de…Cet article DUCO s’associe à Daikin est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 343 jours

En Russie, entreprises et autorités commencent à se tourner vers l'éolien

Mercredi, le géant de l'internet russe Yandex a ainsi annoncé avoir signé un contrat de cinq ans pour la fourniture d'énergie issue de parcs éoliens finlandais.Cette énergie, qui sera fournie par le groupe finlandais Ilmatar Energy à partir de janvier, est destinée à couvrir 100% des besoins d'un centre de données du groupe russe en Finlande.Toujours mercredi, le fonds souverain russe a annoncé le rachat par sa co-ntreprise avec le groupe finlandais d'énergie Fortum de deux champs éoliens en Kalmoukie (sud de la Russie). Cette coentreprise avait déjà annoncé en mars la construction d'une centrale solaire photo-voltaïque dans cette même région.Si ces initiatives impliquent des entreprises finlandaises, c'est que la Russie dispose de peu de structures de ce type et surtout du savoir-faire qui va avec, qu'elle va chercher en Europe.Parmi les principaux acteurs du secteur, l'agence nucléaire Rosatom a lancé plusieurs grands parcs éoliens depuis 2020 avec le fabricant néerlandais d'éoliennes Lagerwey.Longtemps au deuxième plan, le changement climatique est devenu un sujet récurrent dans le discours public russe ces derniers temps. Les régions russes de Sibérie et de l'Arctique sont parmi les plus exposées au monde au réchauffement.Elles ont enregistré ces dernières années des records de chaleur, mais aussi de gigantesques et inhabituels feux de forêts. Mais la Russie voit aussi du positif à ce réchauffement, à commencer par le développement d'une route commerciale maritime reliant Europe et Asie par l'Arctique, plus praticable grâce à la fonte des glaces.La Russie figure aujourd'hui au 4e rang des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre au monde et Vladimir Poutine, après des années d'hésitations, a ratifié en octobre 2019 l'accord de Paris sur le climat.
Il y a 3 ans et 343 jours

Qualit'EnR fête ses 15 ans et dresse un bilan de la demande en énergies renouvelables dans le bâtiment

La crise sanitaire a profondément accéléré la demande des consommateurs en faveur des solutions à énergies renouvelables pour le chauffage, l’électricité et la production d’eau chaude. Alors que les acteurs de la filière et les consommateurs ont besoin de construire une relation fondée sur la confiance et le savoir-faire, Qualit’EnR publie une nouvelle version de son annuaire des installateurs qualifiés et œuvre pour améliorer les compétences du secteur en développant les référentiels des programmes de formation et en multipliant les audits des installations.15.600 installateurs qualifiés et une demande en forte croissanceDepuis 2 ans, Qualit’EnR enregistre une très forte augmentation des demandes de qualification de lapart des installateurs : +31 %. En 2020, l’organisme de qualification a traité plus de 27.000 demandes, recevant jusqu’à 880 dossiers par semaine.« L’explosion de la demande est notable même si Qualit’EnR enregistre des hausses successives depuis 8 ans. Aujourd’hui, alors que d’un point de vue général les demandes de qualification connaissent un certain recul, les qualifications RGE, et particulièrement celles spécifiques aux énergies renouvelables, se développent. Qualit’EnR est fier de porter une offre de qualité pour les professionnels RGE engagés dans le développement des EnR », explique Teddy Puaud, DéléguéGénéral de Qualit’EnR.Dans le détail, « L’évolution des demandes de qualification RGE suit naturellement l’évolution du marché et les clients favorisent les installations éligibles aux subventions. Nous suivons de près les attentes des consommateurs et les demandes de la filière. Pour cette raison, nous lançons 2nouvelles qualifications : Ventilation + en juin, dédiée aux installations de ventilation mécanique etRecharge Elec + en juillet, consacrée à l’installation d’infrastructures de recharge pour véhicules électriques hors-résidentiel », détaille Teddy Puaud.Aujourd’hui, Qualit’EnR fédère 15.600 installateurs qualifiés et compte plus de 26.000 qualifications actives, toutes certifiées RGE. « En termes de parts de marché, cette « communauté » positionneQualit'EnR comme le leader français des organismes de qualification sur les énergies renouvelables dans l’habitat », conclut Teddy Puaud.Qualit'EnR, engagé sur la qualité des installationsDepuis 15 ans, Qualit'EnR fait bouger les lignes de l’EnR et des critères RGE en élaborant, avec des experts de chaque filière, les référentiels de formation proposés aux installateurs via des organismes partenaires. À ce jour, près de 90.000 stagiaires ont été formés dans une logique de terrain et sur la base de référentiels spécifiques aux énergies renouvelables et au bâtiment, redéfinis tous les ans par l’association et son réseau d’experts.« Pour nous, c’est une grande fierté que ces stages puissent être proposés de façon uniforme partout en France car la formation constitue le point d’entrée d’une filière qui gagne en compétence », exprime Maxence Olivard, Ingénieur du pôle formation Qualit’EnR.En parallèle, Qualit'EnR a réalisé près de 50.000 audits d’installations via des organismes de contrôles partenaires. Depuis janvier 2021, la cadence s’est accélérée puisque le gouvernement et les professionnels ont défini 6 domaines de travaux dits « critiques » dans lesquels les contrôles des entreprises RGE sont désormais renforcés. En chiffres, Qualit’EnR devrait réaliser 9.000 audits d’installations en 2021 contre 5.400 en 2020. « Ces audits ont aussi une vocation pédagogique pourles installateurs qui souhaitent améliorer leurs pratiques. Avec eux, nous travaillons dans une logiquede partenariat depuis longtemps », détaille Thomas Fourmessol, Directeur technique chez Qualit’EnR.Un annuaire référence pour les consommateursL’annuaire recensant les installateurs qualifiés Qualit’EnR vient de faire peau neuve. Dédié à un usage grand public et pensé pour le consommateur qui souhaite trouver un professionnel de confiance près de chez lui en quelques clics, cet annuaire est accessible depuis le site internet deQualit’EnR.Simple, l’utilisateur est d’abord invité à renseigner le type de travaux qu’il veut effectuer (chaudière, PAC, eau chaude, installation électrique…). Il indique ensuite le numéro de son département et obtient instantanément la liste des installateurs qualifiés proches de chez lui répondant à son besoin.L’annuaire est également enrichi d’une photothèque des installations réalisées par les installateurs RGE qualifiés chez Qualit’EnR.
Il y a 3 ans et 343 jours

En première mondiale, Lucibel installe le LiFi dans une gare

Soucieux d'offrir à ses clients du Salon Grand Voyageur une excellente qualité d'accès à internet avec un très haut niveau de sécurité, le groupe SNCF a retenu la solution LiFi de Lucibel pour effectuer cette expérimentation.Délivrant un débit de 100 Mbps et utilisant une lumière infrarouge bidirectionnelle, la solution installée dans ce nouvel espace convivial de la Gare de Lyon est accessible par le biais d'une Lifibox Lucibel qui permet à quatre utilisateurs d'accéder simultanément à internet depuis leur ordinateur. Grâce à ce très haut débit et à une faible latence, la technologie d'avant-garde LiFi offre des conditions optimales d'accès à internet. L'échange de données est parfaitement sécurisé car l'accès à internet n'est possible que sous le cône de lumière, à l'inverse du WIFI dont les ondes radio traversent les murs et peuvent donc être interceptées à distance.Au-delà de cet aspect sécurité, la technologie LiFi présente un autre avantage décisif : par son absence d'ondes radio, elle ne présente aucun danger pour la santé, ni aucune gêne, et est donc parfaitement tolérée par les personnes électrosensibles.Fidèle à sa tradition d'innovation et toujours soucieux du bien-être de sa clientèle, l'opérateur ferroviaire se devait de permettre à ses clients d'expérimenter la technologie LiFi dont le caractère très prometteur laisse entrevoir, à terme, de nombreux cas d'usage, tant pour ses clients que pour son personnel ou pour certaines applications techniques. Frédéric Granotier, Président fondateur du groupe Lucibel voit dans cette réalisation innovante à la Gare de Lyon, la promesse d'un bel avenir en raison des avantages décisifs qu'offre cette technologie LiFi, qui gagne rapidement en notoriété et en maturité, et sur laquelle le groupe Lucibel est pionnier.
Il y a 3 ans et 344 jours

Otis dévoile une nouvelle génération d’ascenseurs connectés 100% digitalement intégrés

Otis lance mondialement les nouvelles solutions de mobilité Gen360 et Gen3. Elles embarquent nativement la solution IoT Otis ONETM, qui fournit en temps réel des informations sur l’état des équipements. Otis ONETM peut également apporter des scenarios prédictifs permettant une maintenance plus proactive – ainsi que la possibilité de réaliser des diagnostics et des interventions à distance.Otis Worldwide Corp. (NYSE:OTIS), leader mondial de la mobilité verticale, a annoncé aujourd’hui le lancement d’une nouvelle génération d’ascenseurs digitalement intégrés, à l’image du monde ultra-connecté d’aujourd’hui. Lors de l’évènement virtuel international Welcome to Tomorrow - qui a rassemblé clients, collaborateurs et acteurs de l’industrie de la mobilité, de plus d’une centaine de pays – Otis a ainsi présenté ses nouvelles solutions de mobilité Gen360TM et Gen3.En France, c’est l’écosystème Gen360 qui est proposé au marché. Il a été conçu pour répondre aux attentes actuelles et futures d’un monde de plus en plus connecté, celles des passagers, architectes, promoteurs immobiliers, en passant par les propriétaires et les gestionnaires de parcs.Il s’appuie sur les 20 ans d’expertise technologique et design développée sur de la gamme Gen2® à courroies plates pour amener de nouveaux standards en termes de sécurité, de performance et de confort.La solution IoT (Internet des Objets) Otis ONETM est nativement intégrée dans le Gen360TM. En collectant et en analysant les données transmises par les capteurs intelligents positionnées sur les ascenseurs, Otis ONE procure des données de performance en temps réel, un flux proactif d’informations et des aperçus prédictifs. La technologie Otis ONE permet également de résoudre de nombreux problèmes à distance et en toute sécurité. Grâce aux API (Application Programming Interface) intégrées au cloud, l’écosystème Gen360TM peut être connecté à d’autres systèmes de bâtiments intelligents, apportant ainsi une réelle valeur ajoutée aux gestionnaires de parcs et comme aux passagers.« L’ascenseur connecté représente l’avenir et incarne notre vision d’une mobilité urbaine intégrée et fluide » déclare Judy Marks, Présidente et CEO Monde d’Otis. « Il crée de la valeur pour nos clients en augmentant la disponibilité des équipements. Il améliore la productivité de nos propres équipes, et il s’intègre au cœur de l’écosystème de tout bâtiment intelligent. »Gen360 : l’ascenseur complètement réinventéL’écosystème Gen360, conçu autour d’une toute nouvelle architecture électronique, établit de nouveaux standards en matière d’expérience digitale et proactive. Ses technologies de pointe permettent d’améliorer le design, la sécurité, la maintenance, l’expérience et l’accompagnement.Avec l’écosystème Gen360, les architectes sont libres de concevoir des bâtiments avec des toits plats plus simples et plus attrayants, car il n’est plus nécessaire de prévoir d’édicule sur le toit ou d’espace refuge en haut de gaine. Une plateforme pliable, encastrée dans le plafond de la cabine, permet en effet d’effectuer la plupart des opérations de maintenance en toute sécurité depuis l’intérieur de la cabine et non plus sur le toit de celle-ci.De nombreux composants mécaniques de sécurité ont été remplacés par une technologie électronique « drive by wire », inspirée des industries automobile et aérospatiale, permettant une surveillance à distance 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ceci permet d’augmenter la fiabilité globale de l’équipement et de libérer de l’espace dans la gaine pour accueillir des cabines plus grandes. La nouvelle architecture électronique réduit également de manière significative les risques d’immobilisation. Dans de nombreux cas, le nouveau système de sécurité électronique est capable de ramener en douceur la cabine à l’étage le plus proche.L’écosystème Gen360 utilise des capteurs sophistiqués pour détecter et prévenir les incidents potentiels, ce qui permet de réduire au minimum les temps d’immobilisation. Les experts d’Otis accèdent à une vue directe à 360° en gaine pour diagnostiquer visuellement et précisément et résoudre de nombreux problèmes à distance sans interrompre le service.L’écosystème Gen360 embarque également un nouvel écran eViewTM plus grand qui permet une connexion vidéo avec le centre d’assistance Otis Line (en plus de la connexion vocale). Il propose des ambiances sonores immersives exclusives qui agrandissent la perception de l’espace, des nouvelles signalisations palières primées et plus de 400 000 combinaisons de design intérieur – ainsi qu’une suite d’outils en ligne pour un accompagnement complet des projets, de la conception au service en passant par l’intégration d’API.Conçu pour les bâtiments résidentiels et commerciaux, neufs ou anciens, l’écosystème Gen360 est actuellement déjà en service dans six pays européens. Il est disponible en Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse. Gen3 est disponible en Amérique du Nord, en Australie, en Chine et dans d’autres régions d’Asie.
Il y a 3 ans et 351 jours

L’OPPBTP et BTP-Prevoyance partenaires de la start-up Biodata bank pour prévenir les coups de chaleur sur les chantiers

Cette dernière a développé et breveté un bracelet intelligent dédié à la prévention, permettant d’analyser la température corporelle pour éviter les coups de chaleur. L’objectif de ce partenariat est de mettre en place, avec plus de 850 salariés du bâtiment et des travaux publics, un premier test à grande échelle de cette solution. Il s’agit également de sensibiliser les professionnels du BTP à ce risque de plus en plus présent dans l’environnement de travail, et de s’assurer de la valeur ajoutée médicale et technique de la solution en termes de prévention, grâce à la participation d’experts et médecins sensibilisés à la question.Le coup de chaleur, un risque majeur sur les chantiersLes périodes caniculaires toujours plus intenses, fréquentes et prolongées, et les importantes variations climatiques impactent directement les métiers du bâtiment et des travaux publics dont de nombreuses activités sont réalisées en extérieur. Les professionnels du BTP sont ainsi de plus en plus exposés au risque de « coup de chaleur », qui correspond à une élévation de la température du corps au-delà de 39° C et constitue une urgence vitale. En effet, le coup de chaleur doit être pris en charge et soigné rapidement pour ne pas entraîner de séquelles. Conscients de son impact sur leur santé, les acteurs du BTP sont donc de plus en plus mobilisés sur cette problématique.Une innovation au service de la préventionLa solution de détection développée par Biodata bank, la Heat Warning Watch Canaria™, est un bracelet intelligent permettant d’analyser la température corporelle pour détecter les coups de chaleur dans des cas d’usage très variés. Au coeur de cette innovation, un nouveau capteur de flux thermique et algorithme qui permet de surveiller la température corporelle sans connexion de communication requise. Facile à distribuer, hygiénique et imperméable, le bracelet a vocation à permettre d’alerter simplement l’utilisateur lorsque sa température corporelle augmente d’un degré grâce à un signal luminaux et sonore.Du fait de son intérêt évident sur les chantiers, la start-up a pu intégrer en novembre 2019 l’Accélérateur Santé Prévention du BTP, à l’issue du 6ème comité de sélection de start-up. Créé par l’OPPBTP en partenariat avec la Fondation Excellence SMA, PRO BTP et le CCCA-BTP, et piloté par Impulse Partner, l’Accélérateur Santé Prévention du BTP se donne en effet l’objectif de repérer et soutenir des projets innovants et des start-up, en particulier en aidant à la mise en relation avec des clients potentiels du BTP et à l’expérimentation des solutions innovantes.C’est dans ce cadre que Biodata bank, l’OPPBTP et BTP-PREVOYANCE souhaitent aujourd’hui conjuguer leurs efforts pour réaliser le premier test de la solution sur chantier.Une première expérimentation auprès de plus de 850 salariés du BTPCe partenariat a pour objectif d’évaluer la fiabilité et la valeur ajoutée en prévention du bracelet intelligent développé par Biodata bank pour pouvoir, à long terme, accompagner la profession face à la problématique du coup de chaleur, en lui apportant une nouvelle solution innovante et fiable. Pour cela, l’OPPBTP a élaboré un protocole expérimental d’essai dans les conditions réelles d’utilisation, ayant débuté au début du mois de juin 2021. Celui-ci prend en compte les spécificités de plusieurs métiers représentés par une population cible de plus de 850 personnes salariées du BTP, au sein de 24 entreprises volontaires et 53 entités identifiées avec l’aide de BTP-PREVOYANCE. Au terme d’une période de test de la solution de 3 mois, les salariés testeurs volontaires pourront livrer leurs retours d’expérience sur la solution. Grâce à cette évaluation, l’OPPBTP livrera une évaluation du dispositif reposant sur l’expertise médicale de Dominique Leuxe, médecin conseil national de l’OPPBTP, et l’expertise technique de Mohamed Trabelsi, responsable du domaine EPI au sein de l’OPPBTP.Les mesures et les conclusions issues de cette expérimentation permettront d’enrichir une démarche globale d’amélioration de la prévention du risque de coup de chaleur.De nombreuses ressources à destination des entreprisesSur son site internet preventionbtp.fr, l’OPPBTP met à disposition des professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics de nombreux outils afin de les aider à connaître et à adopter les bons réflexes pour se protéger en cas de hausse des températures. Dans la rubrique Sur les chantiers, la page « Je suis exposé à des températures extrêmes » regroupe ainsi l’ensemble des ressources en lien avec cette situation de travail. Les professionnels y retrouveront notamment :Des solutions concrètes et pratiques à mettre en œuvre sur le terrain (Covid-19 : porter un masque par fortes chaleurs ; Choisir les bons vêtements de protection ; Bien choisir ses équipements de protection individuelle des yeux et du visage…) ;Des affiches à télécharger gratuitement, à imprimer et à placarder dans les bases vie ;Des questions / réponses pour répondre à toutes les interrogations des entreprises concernant la prise en charge des risques liés aux fortes chaleurs ;Des références juridiques pour comprendre la réglementation légale autour de la gestion des épisodes de canicule, dans un contexte de pandémie Covid-19 ;Une fiche conseil afin d’adopter les bons réflexes pour aérer et rafraîchir ;Des articles de fond (Travaux en extérieur en plein soleil: comment bien se protéger des UV ? ; Tout savoir sur le régime d'indemnisation des intempéries) et des actualités sur le sujet.Sur sa chaîne Youtube, l’OPPBTP propose en outre une playlist de 6 courtes vidéos qui rappellent en images tous les bons gestes à adopter sur les chantiers.
Il y a 3 ans et 355 jours

Fin du port du masque en extérieur : la dernière version du guide de préconisations sanitaires de l’OPPBTP reste valable

Le guide de préconisations de sécurité sanitaire publié par l’OPPBTP n’est pas modifié à la suite de cette annonce. En effet, en raison des efforts physiques à fournir lors de nombreuses activités du BTP, le port du masque en extérieur n’était déjà pas obligatoire pour les chantiers en extérieur, sauf en cas :de travail à moins de 2 mètres d’une autre personne,de doute sur la possibilité d’organiser le travail pour respecter la distance minimale de 2 mètres,de regroupement,d’obligation de port du masque dans l’espace public pour les chantiers situés dans celui-ci. Du fait des annonces du Premier ministre, cette dernière exception n’est plus applicable, sauf décision contraire locale spécifique des pouvoirs publics.Il appartient néanmoins aux entreprises de déterminer les consignes applicables à chaque chantier en fonction de l’évaluation des risques spécifique à chaque opération et du taux de présence de salariés sur chaque chantier.« Tout en nous réjouissant de l’amélioration sensible de la situation épidémique, nous appelons néanmoins entreprises et salariés à la vigilance dans la mise en œuvre des mesures d’assouplissement, la Covid étant encore parmi nous et les variants source d’inquiétude comme le montre la situation au Royaume-Uni ou au Portugal. L’OPPBTP encourage également tous les personnels du BTP à se faire vacciner, sauf contre-indication médicale, et rappelle que les services de santé au travail sont à disposition des entreprises et des salariés. » ajoute Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.Dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose un choix d’affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires.Le guide de préconisations sanitaires est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.Pour télécharger la 13e édition du Guide de préconisation de sécurité sanitaire, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 356 jours

Urban eLab, un nouveau think tank qui rassemble constructeurs et promoteurs

NUMÉRIQUE. La Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI) et la Smart Buildings Alliance (SBA) lancent le think-tank Urban eLab, pour aider professionnels, élus et citoyens à s'approprier les outils digitaux dans le Bâtiment. Une plateforme internet sera lancée en septembre.
Il y a 3 ans et 358 jours

Les sculptures en béton de Joséphine Chevry sauvées par Alphi

En novembre dernier, Béton[s] le Magazine lançait un appel à mécénat pour sauver les œuvres en péril de Joséphine Chevy à La Grande Motte. Et le coffreur Alphi a répondu présent pour la moitié de son budget. Ce mécénat portera sur la rénovation des “Peignes”, sculptures en forme de “I” en béton. « Nous avons souhaité davantage participer à des évènements artistiques et culturels. Tout à commencer avec la photographe Lisa Ricciotti en janvier 2020. Avec la crise sanitaire, les choses ont été ralenties. Mais grâce à Béton[s] le Magazine, nous avons découvert le travail de Joséphine à La Grande Motte. Et nous avons adoré. Je connais d’autant plus cette ville balnéaire que j’ai effectué mes études d’ingénieur à Montpellier. J’ai toujours trouvé remarquable la réalisation architecturale de Jean Balladur, qui a pensé un mode de vie et un vivre ensemble de toutes pièces. Les sculptures de Joséphine sont liées à ce contexte. Elles font partie du visage de La Grande Motte et nous ne pouvions pas les laisser dépérir. Nous avons de plus avec elle un amour commun du béton », s’enthousiasme Alexandre Souvignet, le Pdg d’Alphi. Retour sur l’œuvre de Joséphine Chevry Il est des rencontres quasi-magiques, avec le béton comme élément fédérateur. Par un intermédiaire, je décroche mon téléphone. Pas moyen de se déplacer dans l’atelier-maison pour cause de Covid-19. J’appelle donc sur FaceTime la sculptrice Joséphine Chevry pour une interview. Et tout de suite, ça matche. Le courant passe avec cette dame élégante de 84 ans, à la voix rauque de fumeuse patentée. Là, elle me narre sa rencontre avec le béton. Avec Jean Balladur. Avec tant d’architectes. La Grande Motte (34) et son Jardin Minéral, qui dépérit sous les vents marins salés et corrosifs. Et qu’elle voudrait sauver… Mais commençons par le début de son aventure artistique. Les débuts Quand Joséphine Chevry, dite “Joséphine”, s’est-elle découverte une âme d’artiste ? « A 3 ans, je scarifiais les potirons du jardin de ma nounou. Ou j’arrosais avec une boîte de conserve trouée les cours poussiéreuses. Mes premières performances, si je puis dire… », explique Joséphine. A 16 ans, elle quitte la France pour Edinbourg, au Royaume-Uni, et s’y inscrit aux Beaux Arts. Puis, elle en revient, désirant devenir sculptrice. « Je voulais rentrer aux Beaux Arts de Paris. Maman qui était avant-gardiste, m’a dit “oui”… » Elle trouve déjà un soutien de l’Académie Charpentier, puis dans l’Atelier Marcel Gimond. Tous deux stimulent son travail aux Beaux Arts. C’est la rencontre avec l’architecte Jean Balladur qui l’encourage et lui donne confiance pour se présenter au Grand Prix de Rome, qu’elle décroche en 1966. Val d’Yerres (91), murs Cariatides et soutènement d’un parking, oeuvre réalisée avec l’architecte Jean Maneval. [©Fonds privé de l’artiste]Bernay (27), création de moules en polystyrène pour la réalisation d’une fontaine, oeuvre réalisée avec l’architecte Jean Balladur. [©Fonds privé de l’artiste]Evry (91), clôture des jardins privés du lotissement « les Epinettes », oeuvre rélisée avec l’architecte Jean Balladur. [©Fonds privé de l’artiste] Ses premières réalisations seront le fruit de sa fascination pour le béton. « Boue liquide qui, solidifiée, devient inaltérable », indique Joséphine, avec laquelle elle crée des ouvrages de grandes dimensions. « Joséphine Chevry va vers une matière modeste et primitive, mais moderne : le béton. C’est une boue liquide qui fait prise. Elle se prête avec complaisance à toutes les sollicitations du coffrage qui la contient. Elle utilise alors la souplesse et la force de cette matière contemporaine. La force, dont nous venons de parler, s’augmente par la grandeur que cette sculpture affectionne et qu’autorise la modicité de coût de ce produit. Peu de sculpteurs savent aussi bien qu’elle inscrire leur imaginaire dans la dimension qu’exige l’architecture et son environnement », expliquait alors l’architecte Jean Balladur. Le béton comme emblème Portrait de l’audacieuse Joséphine Chevry. [©Olivier Ramon] « Ma relation à l’objet est le poids, sa massivité. Je n’expose pas mes sculptures en galerie. J’aime voir les gens déambuler dans mon travail, martèle Joséphine. J’aime la proximité du corps. J’aime que chacun puisse toucher mes œuvres. J’aime descendre la sculpture de son socle pour la mettre dans la rue, les jardins, la confondre avec les architectures. Le béton m’a ainsi tendu les bras et répondait parfaitement à mes aspirations. » Les choses s’enchaînent. Au niveau de l’entrée des Beaux Arts de Dunkerque (59), elle réalise un drapé en béton de 6 m de haut. Puis, à la station de ski Puy-Saint-Vincent (05), elle sculpte toutes les coursives… Caen (14), les Mâts, éléments en béton préfabriqué, oeuvre réalisée avec l’architecte H. Ploquin. [©Fonds privé de l’artiste] Joséphine fait partie de ce mouvement de jeunes artistes de l’époque, qui vont se confronter à l’échelle du chantier architectural et urbain. Et apprendre à maîtriser ces outils et matériaux. Inventive, elle crée des moules légers en polystyrène en plusieurs morceaux, qui lui permettent de concevoir des formes par assemblage. La surface du matériau est aussi travaillée. Des empreintes sont gravées au fer de forge. Pour varier les textures et découper les blocs béton, elle utilise un fil chaud. Par contact, ce dernier fond le polystyrène et creuse le support, qui servira pour mouler le béton. Cette technique lui permet de concevoir des formes, dont le registre varie de l’arabesque à l’accident. Les coulées de béton épousent les parois des banches, qui libèrent une variété de concrétions monumentales en relief stratifiées, feuilletées, parfois drapées.  “Bétonner” La Grande Motte La Grande-Motte, 1968, une famille à la plage devant le Jardin Minéral en fond. [©Archives de la Mairie de la Grande Motte] Et nous arrivons à La Grande Motte, qui est son premier grand chantier, en 1968. Et ses œuvres monumentales. C’est Jean Balladur, encore et toujours lui, qui lui confie la réalisation de sculptures sur les dunes du Point Zéro. Il lui propose comme première page d’écriture, la plage de La Grande Motte, avec pour contrainte de fixer le sable. Car il n’y avait que marais et monceaux de sable assez “moches”. « Toute cette côte-là était sauvage dans les deux sens, le bon et le mauvais », se souvient Joséphine. A l’époque, elle arrive avec un seau de sable et des morceaux de carton. « A l’image de l’arbre ou de la concrétion du coquillage, la sculpture de Joséphine Chevry laisse affleurer à la surface de la matière le discours énigmatique du monde des choses », insistait Jean Balladur. Et ces deux-là, vont déambuler dans les dunes, parler art, parler de tout. « Une véritable symbiose. » Création du « Jardin Minéral » en 1968. Archive de la Mairie de La Grande Motte. [©Pierre Pillet paysagiste]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fabrice Duvert]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste] Joséphine dessine alors sur le sable les premières formes d’écriture : des “I”, des “O” et des jambages. Elle propose ainsi un alphabet de formes simples en béton préfabriqué. Et un énorme chantier commence, de « folie le chantier ! » Moulés en béton brut, ces modules élémentaires sont préfabriqués en série, avant d’être fixés dans le sol que l’artiste a modelé en pentes douces. Le vent, la dune… Sur la dune, le béton… Joséphine a dessiné un jardin en béton, où l’on peut pique-niquer. Des formes derrière lesquelles se cacher des vents de sable, entre lesquelles courir et s’amuser à écouter les sons du souffle marin… Le Jardin Minéral devient emblématique du Point Zéro. Il figure même dans le label du Patrimoine du XXe siècle. Un jardin de sculptures en béton à sauver Création du « Jardin Minéral » en 1968. Archive de la Mairie de La Grande Motte. [©Pierre Pillet paysagiste] Après plusieurs tempêtes (notamment en 1989) et agressions climatiques, le béton des œuvres monumentales du Jardin Minéral de la Grande Motte a subi de graves lésions. De même que l’invasion de lichens et de mousse. Il est donc urgent de retrouver la “peau d’origine” des sculptures dégradées. En effet, le béton est soumis à l’épreuve du temps et du climat. Les facteurs environnementaux contribuent au développement de pathologies diverses : encrassement des surfaces, éclatement, eau douce (pluviale, acide sulfurique et nitrique) et eau de mer (sulfurique), provoquant dissolutions et décompositions du matériau. Il en est de même du cycle “gel-dégel”, qui entraîne des phénomènes d’écaillages, puis d’éclatement. Bref, il faut sauver ces œuvres en péril. A cette fin, Joséphine a créé l’association “Sous le vent_le béton”, afin d’envisager un chantier de restauration. Les travaux prévus portent sur le désensablage, la restauration des bétons après échantillonnage. Mais aussi sur la reconstitution des Peignes (formes en “I”) et le nettoyage et protection des bétons par hydro-gommage d’origine végétale, peiling et gommage. Enfin, l’étanchéité. La mairie de la Grande Motte soutient le projet et le coffreur Alphi a répondu présent pour le mécénat des Peignes, ce qui représente 50 % du budget de rénovation. C’est pourquoi nous appelons tous nos lecteurs cimentiers, bétonnières, industriels, entreprises générales… à soutenir cette initiative. A bon entendeur… Joséphine Chevry dans son atelier en 2018 en préparation de son exposition pour les 50 ans de La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste] Association “Sous le vent_le béton”5 rue Marcel Pagnol – 34920 Le CresTél : +33 6 81 13 40 13 contactventbeton@gmail.comSite Internet Muriel Carbonnet 
Il y a 3 ans et 358 jours

NOUVELLE STRATÉGIE DE MARQUE : SIPOREX devient la nouvelle marque forte multicanal dédiée aux projets d’aménagement et cloisons en carreaux béton cellulaire

Jusqu’alors, au sein du groupe Xella, l’offre de produits en béton cellulaire était disponible sous les marques SIPOREX et YTONG. Chacune d’entre-elles disposait de son propre réseau de distribution pour commercialiser des produits équivalents. SIPOREX, marque devenue générique très connue du grand public et distribuée exclusivement en Grandes Surfaces de Bricolage, est essentiellement utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration ainsi que la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre YTONG, elle est commercialisée via les négoces de matériaux pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels ainsi que la mise en oeuvre de murs coupefeu. Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété SIPOREX auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à YTONG, le groupe Xella a redéfini entièrement sa stratégie de marques. Il établit ainsi une nouvelle offre multicanal, plus claire avec des marques fortes, chacune ancrée dans leur univers : SIPOREX devient la marque dédiée au second oeuvre pour l’aménagement intérieur (cloison, meuble de rangement, habillage…) avec une offre de carreaux de 5, 7 et 10 cm disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux. YTONG devient la marque dédiée au gros oeuvre pour la construction (murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires…) avec des blocs de 15 à 42 cm désormais disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.   François CHARDON – Directeur Marketing et Prescription Xella « Nous avons choisi de repositionner nos marques SIPOREX et YTONG pour plusieurs raisons. Nous voulons mieux exploiter la notoriété de SIPOREX auprès des particuliers et des professionnels et offrir davantage de visibilité à la marque YTONG pour promouvoir les bénéfices des murs YTONG, notamment auprès du grand public, en lien avec notre communication YTONG Inside. Ensuite, il est essentiel d’avoir un discours en accord avec les avantages clés pour chaque application. Notre ambition est de créer des marques fortes pour chaque univers – SIPOREX pour le second oeuvre et YTONG pour le gros oeuvre – avec des moyens bien différenciés. Enfin, cette approche répond à l’évolution du marché et à la typologie des clients. Aujourd’hui, les particuliers comme les professionnels s’approvisionnent, pour leurs matériaux, dans tous les réseaux de distribution, en GSB comme en Négoces en matériaux. C’est pour toutes ces raisons, que nous avons entièrement redéfini notre stratégie en proposant une nouvelle offre multicanal pour les deux marques, afin d’en faire des marques fortes dans leur propre univers.»   Nouvelle gamme SIPOREX : une offre optimisée pour l’aménagement Idéale en rénovation, la nouvelle gamme SIPOREX a été optimisée pour répondre à tous les projets d’aménagement intérieur et extérieur : moduler des pièces avec des cloisons droites ou courbes, habiller des murs, créer des meubles de rangement, concevoir une cuisine extérieure… Complète, elle propose des carreaux en béton cellulaire et les accessoires de pose spécifiques : – Des carreaux droits (lisse ou emboîtement) : 5, 7 et 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 et 50 cm – Des carreaux courbes de 30 et 60° : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm – Des linteaux armés : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm / longueurs 125, 150 et 200 cm – Des accessoires de pose : mortier colle, colle prête à l’emploi, truelle.   Les carreaux SIPOREX Les carreaux, les carreaux courbes et les linteaux SIPOREX présentent des caractéristiques exceptionnelles pour tous les travaux d’aménagement. Résistant au choc et léger (22 à 55kg /m2), le béton cellulaire est un matériau plein qui peut recevoir des fixations lourdes. Imperméable, perspirant et hydrofuge, il peut s’utiliser dans toute la maison, même dans les pièces humides (cuisine, salle de bains). Incombustible et ininflammable, il est particulièrement adapté à l’habillage d’une cheminée. Pour le confort et le bien-être des occupants, c’est un matériau sain, écologique et classé A+, qui préserve l’air intérieur. Pratique, il convient pour de multiples applications. Par ailleurs, le carreau SIPOREX est simple à manipuler car il est compact et léger. Facile à mettre en oeuvre, il se découpe, se ponce et se façonne facilement pour offrir une grande liberté dans les projets. Pratique, il s’assemble par emboîtement ou par collage. De nombreuses finitions peuvent être posées sur les carreaux SIPOREX : enduits de finition, carrelage, peinture, toile de verre, résine…   Innovation : SIPOREX Easyfix Une colle prête à l’emploi pour simplifier la pose des carreaux SIPOREX Pour faciliter le montage des carreaux de béton cellulaire et réduire le temps de mise en oeuvre d’une cloison ou de réalisation d’un aménagement, SIPOREX lance une nouvelle colle vinylique : SIPOREX Easyfix. Classée A+ et labellisée EC1 Plus, cette colle est parfaitement adaptée aux travaux d’intérieur car sa formulation est saine et écologique. A très faible émission de COV, elle répond aux plus hautes exigences en matière d’environnement et de santé. Pratique et prête à l’emploi, SIPOREX Easyfix est une colle qui permet un montage à sec, rapide, sans préparation préalable, ni eau ni outillage ! Un véritable gain de temps. Ergonomique, le flacon à double embout (espacé de 4 cm) assure une bonne répartition de la colle sur la partie du carreau à encoller. Son temps d’ajustement est de 10 minutes, ce qui laisse le temps de bien positionner les carreaux. La bouteille d’1kg est adaptée pour un projet de 9 à 14 m2, et permet de coller 50 m linéaire de carreaux SIPOREX. Prix public conseillé : 17,50 euros HT / Points de vente : GSB, Négoces en matériaux   Une nouvelle communication orientée «projets utilisateurs» Les outils de communication (réseaux sociaux, site, guide de pose…) autour de la nouvelle gamme SIPOREX sont orientés sur les projets des utilisateurs. Ils veulent éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de projets finis, créatifs… et un discours simple « Avec des SI on peut tout faire ! » : PERFORMANT ! Un matériau résistant, léger, hydrofuge, coupe-feu, sain et écologique. FACILE ! Un matériau pour de multiples applications, mêmes les plus créatives grâce aux carreaux courbes, et rapide à poser avec la colle SIPOREX Easyfix. PRATIQUE ! Un matériau compact, facile à manipuler et à travailler, qui autorise plusieurs finitions. ECONOMIQUE ! Un matériau compétitif qui offre un gain de temps dans sa pose.   Un accompagnement soutenu des points de vente partenaires Pour accompagner le lancement de la nouvelle gamme SIPOREX, Xella met à la disposition des partenaires distributeurs un guide pratique à destination des utilisateurs. Concis et didactique, il présente les avantages des carreaux SIPOREX avec : – une approche projet « Avec des SI on peut tout faire ! » pour offrir la possibilité au lecteur de se projeter dans des réalisations concrètes, – un guide de choix, – les règles de montage pour les cloisons et les rangements. Des ILV et des offres promotionnelles sont aussi proposées. Avec ces outils, les points de vente peuvent orienter les particuliers et les professionnels dans leurs projets, et s’assurer une bonne rotation produits en magasin. Par ailleurs, pour parfaire les connaissances des points de vente partenaires, Xella va plus loin en proposant des sessions de formation en ligne et en organisant une journée de visite d’usine et de montage de produit. Enfin, Xella, partenaire du programme de fidélité VIPros, participe à l’opération « Série Illimité » pour promouvoir la nouvelle marque SIPOREX. Du 1er juin jusqu’au 30 octobre les artisans et professionnels du bâtiment ont la possibilité de gagner un véhicule utilitaire hybride Ford Transit Custom, ainsi que plusieurs lots offerts par les marques partenaires du programme VIPros.
Il y a 3 ans et 359 jours

Signée A+Architecture, halle des sports en toile de Nîmes

L’agence A+Architecture a été retenue en 2021 pour la construction à Nîmes (Gard) de la Halle des sports Mas de Vignoles pour la ville maître d’ouvrage. Doté de cinq salles pour onze disciplines, l’image de l’ouvrage de 7 477 m² SU est celle d’un drapé en toile de… Nîmes. Budget : 11,8 M€ HT. Livraison prévue : […] L’article Signée A+Architecture, halle des sports en toile de Nîmes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 363 jours

Un projet de maison individuelle ? Découvrez le nouveau site internet Ytong Inside

En 2021, la sensibilisation des particuliers aux solutions constructives en béton cellulaire Ytong pour leur projet de maison individuelle prend une nouvelle dimension avec l'arrivée du site ytong-inside.fr. Les enjeux environnementaux ont contribué à faire évoluer le secteur du bâtiment et de la construction de maisons individuelles en termes d'économies d'énergie, de confort thermique... Une réflexion globale sur les éléments de structures, notamment la maçonnerie dont dépend une grande partie de la performance énergétique, du confort des habitants et de la durabilité du bâti, apparaît essentielle.
Il y a 3 ans et 364 jours

L'interdiction de remplacement de chaudières fioul suscite l'inquiétude et le mécontentement des foyers équipés

Alors que le décret fixant les modalités est attendu “très prochainement”, Hellio révèle les résultats d'une enquête réalisée conjointement avec FioulReduc, site internet indépendant de vente de fioul à prix bas, également auditionné pour le rapport du député. Conscient que ce changement va impacter bon nombre d'utilisateurs et soucieux de proposer à chaque ménage le système de chauffage le mieux adapté, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a souhaité s'intéresser au comportement des consommateurs de fioul ainsi qu'à leurs attentes. Cette étude, à laquelle 1.018 consommateurs de fioul ont répondu en ligne entre le 8 et le 26 mars 2021¹, dévoile que près d'1 consommateur de fioul domestique sur 2 souhaite conserver ce mode d'énergie pour se chauffer. De manière générale, le décret portant sur l'interdiction de remplacement de chaudières fioul suscite de l'inquiétude et du mécontentement chez 68% des consommateurs.Les principales dispositions déjà connues du décret relatif à l'interdiction des chaudières au fioul et au charbonEn novembre 2018, le Premier Ministre, Edouard Philippe, fixait l'intention de renouvellement de toutes les chaudières fioul d'ici 10 ans². Dans cet objectif et après une consultation publique en début d'année à laquelle Hellio a participé, la publication au journal officiel du texte définitif relatif à l'interdiction des chaudières au fioul et au charbon est attendue dans les semaines à venir.Ce décret vise les systèmes de chauffage utilisant des combustibles très fortement émetteurs en gaz à effet de serre. Cette interdiction porte sur l'installation d'équipements de chauffage dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (écoles, commerces, hôpitaux…).Concrètement, à la mi-2022, il sera impossible de faire installer dans un logement ou une entreprise une nouvelle chaudière au fioul émettant plus de 250g de CO2 par kWh, soit l'intégralité des chaudières fonctionnant au fioul actuel 100% fossile. Il sera toutefois possible de faire réparer les équipements en place.Des exceptions sont prévues, notamment dans le cas d'une impossibilité technique de remplacement, ou lorsqu'il n'existe pas de solution de raccordement à des réseaux de chaleur ou de gaz.Le choix de rester au fioul guidé par la satisfaction de son équipement en placeSelon les résultats de l'enquête, le profil des consommateurs de fioul est le suivant : leur foyer est composé de 2,3 personnes en moyenne, ils sont en majorité retraités, avec un âge moyen de 61 ans. Le revenu moyen de leur foyer est de 37 343 € et ils dépensent en moyenne 1 632 € en fioul chaque année.Ces consommateurs apprécient le fioul avant tout pour son confort de chauffe (36%), sa simplicité dans la gestion au quotidien (27%) et sa fiabilité (20%). Selon eux cependant, le principal inconvénient du fioul est son prix variable à 36%. L'impact environnemental du fioul figure également parmi les inconvénients cités.Face à cette mesure réglementaire ne portant que sur les nouvelles installations, près d'un répondant sur deux déclare que cette interdiction ne va pas les pousser à changer d'énergie dans les 5 années à venir. La principale motivation invoquée par les consommateurs est le bon fonctionnement de leur installation avec 47% des réponses exprimées. Autre réponse significative, 17% répondent ne pas avoir les moyens de changer d'énergie de chauffage. Ils sont également 17% à déclarer que, selon leur situation (géographique, raccordement…), le chauffage fioul est la solution la moins coûteuse pour eux.“À l'heure actuelle, ma chaudière fonctionne correctement avec une révision régulière faite par un plombier. De plus, habitant à la montagne, je ne vois pas quel autre moyen de chauffage je pourrais adopter, l'électricité est trop onéreuse”, indique cet utilisateur du Puy-de-Dôme lors de l'enquête.Cette décision gouvernementale suscite de l'inquiétude pour 36% des consommateurs et du mécontentement pour 32% d'entre eux, comme en témoigne ce consommateur de Haute-Garonne : “J'ai bénéficié d'aides pour mettre une chaudière fioul à condensation. Cela paraît incohérent que cet équipement soit maintenant bientôt interdit.”Les perspectives de l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioulPour 15% des répondants se chauffant au fioul, l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul va les pousser à changer d'équipement de chauffage, à plus ou moins court terme. Leur choix se porterait à 52% vers une pompe à chaleur, 32% pour une chaudière à granulés de bois et 12% pour une chaudière gaz.La possibilité d'utiliser du biofioul (fioul comportant des biocarburants afin de le rendre plus écologique en diminuant son taux de soufre et ses émissions de CO2) en remplacement du fioul suscite la curiosité d'une majorité de consommateurs (51%). Les réserves évoquées à ce sujet concernent la compatibilité de leur matériel, le surcoût lié à ce produit et son impact écologique.Les aides financières : un élément déclencheurAfin d'atteindre son objectif de changement de toutes les chaudières fioul dans les 10 prochaines années, le gouvernement français a mis en place plusieurs aides financières.Celles-ci semblent jouer un rôle déclencheur dans la volonté de changement de systèmes de chauffage des ménages. Sur les 15% de répondants déclarant vouloir changer de chaudière pour passer du fioul à une autre énergie, les aides financières actuelles représentent la plus grande motivation (41%).Pourtant, si ces dernières sont citées comme un outil essentiel dans la volonté de changement de mode de chauffage, 69% des consommateurs de fioul déclarant ne pas encore envisager le renouvellement de leur équipement au fioul souhaitent avoir davantage de moyens financiers et plus d'un tiers attendent plus d'informations et de conseils (28%).Rappel des aides au changement de chaudièreMaPrimeRénov'Cette aide publique permet de financer les travaux d'isolation, de chauffage, de ventilation ou d'audit énergétique d'une maison individuelle ou d'un appartement en habitat collectif. Les travaux doivent avoir été effectués par des entreprises labellisées RGE. Depuis le 1er octobre 2020, MaPrimeRénov' est accessible à l'ensemble des propriétaires, quels que soient leurs revenus, qu'ils occupent leur logement ou qu'ils le mettent en location. Son montant varie en fonction des niveaux de revenus classés en 4 catégories : bleu (ménages très modestes), jaune (ménages modestes), violet (revenus intermédiaires), rose (revenus élevés). Hellio est mandataire de l'Anah depuis juillet 2020.Le Coup de Pouce chauffageLes dispositifs “Coups de pouce” sont des primes financières forfaitaires allouées à la réalisation de travaux d'économie d'énergie en échange d'exigences de qualité et de garantie de performance énergétique. Créé par le Ministère de la transition écologique en janvier 2019, le dispositif “Coup de pouce Chauffage” aide les ménages à changer leur chaudière peu performante pour un équipement à haute performance énergétique ou utilisant des énergies renouvelables. Hellio, signataire de la charte d'engagement de ce “Coup de pouce” accompagne les ménages dans ces changements. Le “Coup de pouce Chauffage” est cumulable avec MaPrimeRénov' et l'éco-prêt à taux zéro.“Cette tendance conforte l'idée selon laquelle les aides financières sont un instrument essentiel des politiques publiques sur l'efficacité énergétique. Une visibilité sur le long terme de ces aides est indispensable à la fois pour les ménages et pour les professionnels de la rénovation énergétique. C'est particulièrement le cas pour les entreprises de fourniture de fioul dont l'activité va devoir être réorganisée. Outre cette stabilité, on dénote également un besoin d'écoute, d'information et de compréhension des citoyens des évolutions liées à la transition énergétique. Le remplacement des équipements fioul en 10 ans ne se fera pas sans les ménages qui veulent être conseillés, informés mais aussi libres dans le choix de l'énergie et de l'équipement ! Hellio revendique depuis plusieurs années une stabilité des aides financières, et développe les compétences de ses conseillers en rénovation énergétique dans cette perspective”, insiste Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques pour Hellio. “Après une phase de surprise et d'agacement face à des déclarations politiques et médiatiques parfois un peu stigmatisantes et imprécises, nos clients commencent à intégrer les mesures annoncées par le gouvernement. Une majorité considère cependant avec pragmatisme qu'il n'y a pas d'urgence à tout changer puisque leur chaudière fonctionne encore bien mais envisage volontiers une transition vers le biofioul. Ceux qui sont contraints ou décidés à quitter le fioul souhaitent aujourd'hui plus d'aides financières et un meilleur accompagnement pour ne pas sacrifier le confort et la simplicité qu'ils ont toujours connu avec le fioul”, résume Hervé Degrève, fondateur de FioulReduc.Pour télécharger l'étude complète : cliquez ici(1) - Méthodologie : FioulReduc et Hellio ont organisé conjointement une consultation auprès des 124.000 clients de FioulReduc répartis sur toute la France, à laquelle 1 018 personnes ont répondu en ligne entre le 8 et le 26 mars 2021.(2) - Carburants, 17 novembre, chauffage… Les annonces d'Édouard Philippe sur RTL
Il y a 4 ans et 1 jours

L’OPPBTP met une nouvelle fois à jour le Guide de préconisations de sécurité sanitaire

En effet, au vu des données sanitaires, de nouvelles étapes peuvent être franchies dans la reprise des activités tout en assurant la protection des salariés. La nouvelle version du guide intègre donc, en conformité avec les recommandations du Haut Conseil de Santé Publique et de l’Etat, les modifications suivantes :Le télétravail : ce sont les entreprises qui fixent, pour toutes les activités qui le permettent, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine, dans le cadre du dialogue social de proximité. Chaque fois que nécessaire, l’ensemble des acteurs des opérations de construction doivent pouvoir se rendre sur chantier.Pauses repas : une vigilance particulière doit être respectée dans les espaces de restauration. Il est préconisé de déjeuner seul ou en groupe de maximum 6 personnes, afin de limiter le nombre de contacts et de garder une distance minimale de deux mètres entre les tables occupées, sauf si une paroi assure une séparation de l’espace.Moments de convivialité dans le cadre professionnel : les moments de convivialité se tiennent de préférence dans des espaces extérieurs et ne réunissent pas plus de 25 personnes avec respect des gestes barrière : port du masque, mesures d’aération/ventilation et règles de distanciation.L’importance de l’aération des locaux par une ventilation naturelle ou mécanique (portes et/ou fenêtres ouvertes autant que possible) est rappelée. La fiche proposée dans le guide a été mise à jour.Il est à noter qu’une nouvelle adaptation des règles sanitaires est annoncée par le gouvernement pour le 30 juin, en raison de l’amélioration de la situation épidémique attendue d’ici la fin du mois.Dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose un choix d’affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires.Le guide de préconisations sanitaires est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.Pour télécharger la 13e édition du Guide de préconisation de sécurité sanitaire, cliquez ici.
Il y a 4 ans et 5 jours

Dans l’Utah, imaginé par Luxury Frontiers, un camp de toile Serge Ferrari

L’agence Luxury Frontiers, experte en lodges expérimentaux, prône durabilité et sophistication dans ses concepts d’hospitalité. Dans le désert de l’Utah dans l’Ouest américain, elle a conçu Camp Sarika, dix pavillons nichés au cœur du Grand Canyon. Un projet innovant primé à plusieurs reprises* rendu possible avec les toiles Flexlight Dualtone 702 du Groupe Serge Ferrari. […] L’article Dans l’Utah, imaginé par Luxury Frontiers, un camp de toile Serge Ferrari est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 6 jours

Nouvelle caméra thermique Testo 883

La caméra thermique Testo 883 voit tout et offre une assistance intelligente. [©Testo] La nouvelle caméra thermique Testo 883 a été spécialement développée pour les professionnels qui ont besoin d’un outil aux fonctions intelligentes pour détecter la moindre différence de température d’un bâtiment. Pour analyser en détail les images et pour réaliser rapidement des rapports thermographiques fiables avec une qualité d’illustration parfaite. Grâce à cette caméra thermique, aucune anomalie thermique pendant la maintenance électrique et mécanique n’est oubliée. Les plus de la caméra thermique Testo 883 La Testo 883 voit tout et offre une assistance intelligente. Elle recherche les ponts thermiques et les défauts d’isolation. Elle enregistre directement dans l’image thermique le lieu de mesure correspondant. Ceci, grâce à la technologie Testo SiteRecognition. En effet, cette dernière prend en charge l’enregistrement et la gestion des images thermiques de manière automatique. En évitant les confusions et les erreurs d’évaluation, cette fonction fait gagner du temps au technicien. Car l’attribution manuelle des images n’est plus nécessaire. De plus, la sensibilité thermique inférieure à 40 mK permet de mettre en évidence même les différences de température minimes lors du conseil en rénovation énergétique et de la thermographie des bâtiments. La caméra thermique bénéficie d’une résolution infrarouge de 320 x 240 pixels, extensible à 640 x 480 pixels. Pour réaliser une thermographie précise des bâtiments ou d’objets éloignés, son objectif standard 30° x 23° est remplaçable par un téléobjectif 12° x 9°. Toujours connecté pendant le travail Outre la gestion des lieux de mesure, le logiciel Testo IRSoft permet de réaliser aussi l’analyse, le traitement et la documentation détaillés des images thermiques. Il est téléchargeable gratuitement sur : www.testo.com/irsoft. Enfin, l’App Testo Thermography offre de nombreux atouts au technicien. Notamment, la réalisation d’analyses rapides sur site ou l’intégration des valeurs de mesure de la pince ampèremétrique Testo 770-3 dans l’image thermique. Et également l’utilisation d’un smartphone ou d’une tablette comme deuxième écran… Grâce à l’écran tactile qui facilite l’accès au menu et à l’outil de rédaction de rapports du logiciel intuitif Testo IRSoft, ces derniers sont créés de manière rapide et aisée. Les images infrarouges et réelles s’affichent simultanément à l’écran dès l’analyse et sont automatiquement ajoutées à celui-ci. Différents modèles sont disponibles (format PDF ou RTF au choix), tant pour une documentation courte et rapide que pour des rapports détaillés. Ils reprennent toutes les informations pertinentes sur le lieu et les tâches de mesure, ainsi que les résultats des analyses.
Il y a 4 ans et 6 jours

Le plafond tendu, une technique pour embellir vos intérieurs délicate et fine, demandant à être exécutée par un expert.

Décoplafond, c’est plus de 30 ans d’expérience, des dizaines de chantiers de plafonds tendus installés, toujours avec la qualité et dans le respect des délais. Pietro Di Tursi est un expert artisan qui va améliorer et embellir n’importe quelle pièce de votre habitat, grande ou petite. Que vous souhaitiez décorer votre maison, créer un look professionnel de premier ordre pour le bureau ou inspirer une atmosphère unique dans votre environnement, Décoplafond.com est la solution en Occitanie, venez sur notre site, nos espaces sociaux découvrir les chantiers, apprécier le travail réalisé, la transformation avant/après la pose d’un plafond tendu dans les endroits les plus insolites (hauteur de plafond, entre-poutres élevées) ou les salles plus ou moins exigues. Décoplafond s’occupe de la pose de plafonds tendus, ainsi que les éléments liés à cette technologie pour embellir le design d’intérieur et pour générer un nouvel effet de finition incomparable pour une variété d’applications dans les projets existants dans tout intérieur. Notre distinction est la capacité de créer des plafonds tendus, chauffants particulièrement soignés et fins et de fournir une installation terminée clé en main, de votre espace de vie. Notre service est rapide et efficace, nous fournissons une attention méticuleuse aux détails, des matériaux de haute qualité, un goût sur et reconnu et un staff d’installation professionnelle qualifiée. Pour nous, les choix du client sont primordiaux, nous sommes à votre écoute, et décoplafond apporte un point de vue d’expert, afin d’adapter vos envies aux contraintes techniques ainsi nous livrons des designs d’intérieur contemporains, traditionnels ou vintages correspondant strictement à vos spécifications. Les toiles tendus matériaux peuvent être imprimés pour des effets supplémentaires (peuvent même être rétro-éclairées) et sont entièrement imperméable, lavable. La toile est également sans entretien, hygiénique, non toxique et est classé au feu selon les normes de classe euro B-s1, d0 conformément à la norme NF EN 13501-1. Ce test est relatif aux performances et à la sécurité du produit, tel qu’il aurait été installé en tant que barrière de sécurité hygiènique. Notre produit empêche la propagation des flammes ou une augmentation critique de la température. Adaptable à tous les leiux et formes, il peut s’installer aisément dans n’importe quelle pièce de votre logement, qu’il s’agisse d’un appartement ou d’une maison individuelle. Il faut savoir qu’il ne s’installe pas directement sur le plafond, mais sur les murs; grâce à des lisses profilées qui y sont fixées. Le faux plafond tendu est alors étiré d’un mur à l’autre. Deux techniques sont utilisées dans cette étape : le montage à chaud ou le montage à froid. Le montage à chaud consiste à étirer la toile sous l’effet de la chaleur pour qu’elle ait un aspect lisse, à la grande différence, que le plafond tendu est démontable et remontable à volonté. Le montage à froid permet quant à lui d’obtenir le même résultat sans avoir à chauffer le plafond. D’une résistance peu commune, la toile tendue résiste à l’eau et au poids. Faire appel à un professionnel qui maitrise parfaitement la technique de ce type d’ouvrage, et a l’habitude de le réaliser. Vous aurez ainsi la certitude d’avoir un bon rendu visuel, dans un délai moindre tout en limitant les risques de mauvaise pose. Piétro Di Tursi met un oint d’honneur à réaliser vos projets en respectant les lieux, la propreté du chantier, la netteté de son travail en font un des spécialiste midi-pyrénéen de la pose de plafond tendu, même dans des bâtiments anciens, des granges rénovées … Décoplafond est un expert qui outre le plafond tendu, est aussi un spécialiste de la pose de plafond chauffant, aujourd’hui c’est un vecteur d’économies très importantes sur votre budget énergie, vous serez entourés, lovés dans une châleur descendante, agréable et …économique. Venez faire une estimation de votre chantier sur https://decoplafond.com/demander-un-devis/,nous sommes respectueux de votre anonymat et ne profitons pas des informations ainsi recueillies, respecter nos clients est un sacerdoce de l’entreprise depuis toujours.
Il y a 4 ans et 12 jours

Jusqu’où les propriétés du béton pourront-elles s’étendre ?

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le béton sait prendre de multiples formes, parfois les plus inattendues… [©ACPresse] Depuis plus de 20 ans, les nouveaux bétons – BHP, Bap et autres Bfup – n’ont cessé de s’étendre et de s’améliorer. Et cela ne s’arrête pas. De nouvelles propriétés physiques apparaissent. Le béton drainant avale l’eau des crues. Un autre réduit les îlots de chaleur, en devenant réfrigérant. Quant au 3e, il se cicatrise tout seul…   Par définition, le béton est un matériau hétérogène, mélange d’un certain nombre de constituants de base. Mais il est toujours possible d’en remplacer un ou deux, ou d’en rajouter un de plus… C’est ce que s’évertuent à faire les chercheurs sur leurs paillasses. Et le succès peut être, parfois, au rendez-vous. En lisant la presse, en furetant sur Internet, en assistant à des congrès ou au détour d’une allée sur un salon, on découvre parfois des bétons étonnants. En voici un petit florilège… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 12 jours

Valérie Lesage, chargée d'affaires Myral : « Un accompagnement esthétique et technique à chaque étape du projet d'ITE »

Objectif : grâce à la solution Myral, donner corps à l'inspiration esthétique dans le respect des exigences techniques et réglementaires. Rencontre avec Valérie Lesage, chargée d'affaires Myral pour le Nord de la France. Quel est le rôle du service commercial Myral ?Valérie Lesage : Nous avons un rôle central, celui d'être l'interlocuteur unique de nos clients. L'équipe prescription intervient à chaque étape du projet : dès sa détection, pendant le montage technique, puis lors de la phase d'appels d'offres jusqu'à la mise en chantier et la réalisation. Autrement dit, nous sommes aux côtés des maîtres d'ouvrage et des maîtres d'œuvre de A à Z. Notre vision de la relation commerciale est claire : elle se construit en liens étroits avec notre bureau d'études et notre service technique. Avoir un seul interlocuteur, c'est n'avoir aucune perte d'information. De plus, notre maillage territorial est dense et nous sommes à même de répondre rapidement à chacune des demandes. En choisissant Myral, nos clients savent qu'ils peuvent compter sur nous pour mener à bien leurs projets d'isolation thermique par l'extérieur.La notion d'accompagnement sur-mesure est-elle essentielle ?Valérie Lesage : Absolument ! C'est l'ADN de Myral, un axe fort que je porte depuis près de 9 ans au sein du service commercial : pas question de laisser seuls nos prescripteurs et poseurs. Le but est qu'ils puissent appréhender notre solution singulière d'ITE de manière simple et sans mauvaise surprise. Nous faisons ainsi des descriptifs de projets précis et nous formons les entreprises de pose au démarrage de chantier. Si une nouvelle contrainte apparaît, nous sommes là pour trouver des solutions. Cet accompagnement sur-mesure permet d'être dans une relation de confiance mutuelle. Chez Myral, apporter notre expertise et notre assistance est une méthode qui marche et qui a fait ses preuves. « Avec son accompagnement de A à Z, Myral se positionne en alternative robuste et crédible »Quelles sont les attentes des maîtres d'œuvres au lancement d'une solution ITE ?Valérie Lesage : De la souplesse et de la réactivité ! La solution Myral s'adapte aux évolutions règlementaires, c'est ce que recherchent les maîtres d'œuvres qui nous prescrivent. Ainsi, nous allons pouvoir ajuster notre réponse aux différents points singuliers de leurs projets. Par exemple, la technique de mise en œuvre Myral s'adapte très facilement aux coupes de principes des architectes. Nous réagissons vite en combinant les contraintes éventuelles de chaque projet : techniques, règlementaires (sécurité incendie, sismique, acoustique, point de rosée, support amianté…), budgétaires et les souhaits esthétiques des clients. Et en plus de cela, ils sont séduits par le rapport qualité/prix de nos produits. Au final, les maîtres d'œuvres s'approprient facilement la solution et se projettent sur le rendu réel global du bâtiment.Justement, l'aspect esthétique des panneaux Myral est décisif…Valérie Lesage : C'est effectivement un point majeur. Notre démarche est d'expliquer notre solution aux maîtres d'œuvre pour qu'ils perçoivent la réalisation technique telle qu'elle sera posée. Dès qu'ils connaissent toutes les spécificités des produits Myral, comme ses joints saillants très esthétiques, les architectes ont une palette de détails immense sur laquelle ils peuvent laisser libre court à leur imagination. Nous offrons une infinité de laquages. Aucun concurrent ne propose une telle variété sur le marché. C'est une alternative par rapport aux produits déjà existants. Et couplé au fourni-posé de notre solution, c'est une réussite !« Le produire en France est une garantie du savoir-faire Myral »Comment la certification Origine France Garantie de la solution Myral est-elle perçue ?Valérie Lesage : C'est un vrai plus pour les maîtres d'ouvrage. Le produire en France est très recherché dans le contexte sanitaire et économique que nous vivons. Nous sommes fiers d'être une entreprise française qui fabrique ses panneaux d'isolation en France depuis toujours. Pour le client final, cette certification apporte la garantie d'un produit et d'un savoir-faire tricolore unique. C'est aussi rassurant, car nos clients savent que nous sommes à leurs côtés au quotidien, dans les territoires et pas à l'autre bout du monde ! La proximité est une valeur essentielle du groupe Myral.Pour plus d'information sur Myral, visitez leur site internet : https://www.myral-pro.com/
Il y a 4 ans et 13 jours

La 1ère usine au monde de panneaux photovoltaïques en pérovskites ouverte en Pologne

"On change d'échelle, on passe du laboratoire à l'industriel", a déclaré à l'AFP Olga Malinkiewicz, la fondatrice de la société, se félicitant d'ouvrir "la première usine au monde de cellules photovoltaïques en pérovskites".Les modules pérovskites permettent de fabriquer des panneaux photovoltaïques légers, souples, ayant des taux de transparence, des teintes mais aussi des formes variables et qu'on peut poser facilement sur un ordinateur portable, une voiture, un drone, un engin spatial ou un bâtiment, même à l'ombre et à l'intérieur.Les pérovskites sont des structures atomiques répandues dans la nature mais qui peuvent être facilement obtenues en laboratoire. L'efficacité de nouveaux modules est comparable à celle des panneaux traditionnels en silicium.Les coûts de leur fabrication sont réduits par rapport au procédé de simple impression à jet d'encre inventé par Olga Malinkiewicz, 38 ans, qui permet de les produire à des températures ambiantes.La chercheuse a inventé sa technologie il y a huit ans, alors qu'elle était doctorante à l'Institut des sciences moléculaires (ICMol) de l'Université de Valence, en Espagne.Sa découverte, remarquée par la revue Nature, lui a valu notamment le prestigieux prix du concours Photonics 2, organisé par la Commission européenne, et un autre de la MIT Technology Review.L'usine est située à Wroclaw, dans le sud-ouest de la Pologne. Selon Olga Malinkiewicz, d'ores et déjà "la demande dépasse les capacités de production" de la chaîne estimées initialement à 40.000 m2 par an.Petits ou grandsLes premières commandes commerciales sont venues du secteur de l'internet des objets et du bâtiment où les nouveaux modules s'intègrent facilement aux façades et surfaces différentes.La technologie de production consiste à imprimer sur des feuilles de plastique transparent des couches successives de modules photovoltaïques, dont celle de pérovskites, formant un ensemble aux paramètres techniques, formes, tailles et couleurs prédéfinis.Ces modules peuvent être très petits ou grands, ils peuvent être aussi découpés ou, au contraire, collés entre eux pour obtenir de très grandes surfaces si nécessaire."Nous utilisons des pérovskites synthétiques qui peuvent atteindre l'efficacité et la puissance considérables, et qu'on n'a pas besoin d'extraire de la nature", a précisé Mme Malinkiewicz lors de l'inauguration de son usine.Dans l'Himalaya et dans l'espaceLes modules pérovskites ont été testés, "avec d'excellents résultats", dans des simulateurs des conditions dans l'espace extra-atmosphérique, a souligné la chercheuse à l'AFP.Un module pérovskite de surface d'une double feuille A4, souple et pliant, a "fait ses preuves comme chargeur de téléphone et d'autres équipements électroniques lors d'une expédition dans l'Himalaya, dans les conditions météorologiques extrêmes", a-t-elle ajouté.La société Saule Technologies, du nom d'une déesse païenne balte régnant sur le soleil, la terre et le ciel, est contrôlée par des investisseurs privés polonais, dont Columbus Energy, leader du photovoltaïque et énergie verte dans le pays, et japonais, avec le multimillionnaire Hideo Sawada.La société, dont l'équipe compte 70 personnes de 15 pays différents, prépare sa prochaine introduction à la Bourse de Varsovie et songe déjà à la construction de nouvelles usines "en Europe ou peut-être au Japon"."Sur l'ensemble des installations photovoltaïques en Europe, seulement 4% sont fabriquées sur le continent. Nous sommes d'accord avec l'Union européenne pour dire qu'il est important de se mettre à les fabriquer" dans l'UE, a déclaré Mme Malinkiewicz.
Il y a 4 ans et 13 jours

Orange s'engage dans le maintien de la qualité du réseau cuivre

INTERNET. Le déploiement de la fibre ne doit pas faire oublier le maintien de la qualité du réseau cuivre, encore essentiel dans de nombreux territoires. Orange propose un panel d'actions pour ce faire, sous l'égide du gouvernement.
Il y a 4 ans et 13 jours

Tec7, spécialiste du collage et de l’étanchéité pour la construction, se développe en France

Reconnue à l’international pour la qualité de ses produits de collage et d’étanchéité dans la construction, TEC7 propose désormais ses produits de haute qualité en France. Lancée il y a une trentaine d’années par l’entreprise familiale belge Novatech International, la marque TEC7 a développé des produits uniques permettant de remplacer par un seul polymère toute une série de mastics et de colles. TEC7 est un acteur majeur sur le plan international grâce à son procédé basé sur la technologie MS polymère Hybride permettant une adhérence renforcée et une résistance à la traction élevée. TEC7 propose aujourd’hui une gamme complète pour tous les travaux de collage, d’étanchéité, de lubrification, de nettoyage et de dégraissage. La mission de TEC7 est de simplifier le quotidien des professionnels du BTP sur le terrain. Dans de nombreux pays d'Europe, les produits TEC7 se sont rapidement imposés comme des incontournables grâce à leur qualité et à leur capacité à répondre à de multiples applications avec un seul produit.Novatech International, maison mère de TEC7, s’appuie sur sa propre R&D pour développer en permanence de nouveaux produits et créer des solutions innovantes et pratiques. Toutes les formules sont propres à TEC7 et adaptées aux exigences des professionnels sur les chantiers. Les produits TEC7 sont également conçus pour minimiser leurs impacts sur l’environnement, avec toujours autant de performance. Tous les produits TEC7 sont certifiés A+ et les composés à partir de MS polymère Hybride ne contiennent aucun solvant et aucun isocyanate, aucune substance nocive pour l’homme comme pour l’environnement. Les polymères MS Hybrides répondent aux exigences de qualité et de sécurité les plus élevées du secteur.Une gamme de produits faciles d’utilisation pour accompagner de façon performante les artisans sur leurs chantiersGrâce à la qualité et au large domaine d’application des produits, TEC7 propose une gamme restreinte avec l’essentiel des solutions : les 3 produits phares TEC7, X-SEAL et X-TACK répondent à 90 % des applications de collage, d’étanchéité et de montages puissants.Une résistance exceptionnelle...Les polymères MS Hybrides assurent une résistance unique pour assembler le bois, le polyester, le polystyrène, la brique, le béton, et même le béton cellulaire. Sans trace, les colles TEC7 conviennent également pour les pierres naturelles, les miroirs.... Pour les montages qui nécessitent une excellente adhérence initiale, TEC7 possède dans sa gamme la colle de montage la plus puissante du marché : X-TACK ! Déjà puissante avant durcissement (600kg/m2), elle assure une résistance à la traction incomparable de 26 kg/cm2. Sa résistance chimique est également excellente contre l’eau, même salée, les solvants aliphatiques, les huiles, les acides anorganiques dilués et les alkalis.... même sous l'eauParfaitement étanches, les polymères MS Hybrides TEC7 peuvent être appliqués mêmesous l’eau. Les solutions TEC7 peuvent ainsi être utilisées en toiture, dans les universmarins, les salles de bains... Leurs qualités et leurs performances ne seront pas affectéeset l’utilisateur pourra travailler sans contrainte logistique particulière.Des services sur-mesureParce que la qualité demande un accompagnement sur-mesure, les équipes de professionnels TEC7 sont sur le terrain et interviennent en 48h en cas de besoin d’assistance. Des tutos sont également proposés sur le site Internet www.tec7.fr et surYoutube. Sur le terrain, des matinées techniques sont organisées chez les distributeurs partout en France pour découvrir les produits avec des conseils personnalisés ! Pour participer aux prochains RDV TEC7 : www.tec7.fr/contactez-nous.
Il y a 4 ans et 14 jours

La solution Myral désormais disponible sur BIMObject

Objectif : faciliter le travail des maîtres d’œuvre en leur permettant de télécharger gratuitement sur la plateforme en ligne les données pour leurs logiciels 3D. Le groupe poursuit ainsi son développement dans le BIM, initié il y a déjà plusieurs années.Les panneaux M32 dans leurs différentes finitions sont désormais accessibles sur le site internet BIMObject, plateforme mondiale de modélisation numérique référente. Une évidence pour Myral, dont le bureau d’études travaille déjà depuis plusieurs années à la modélisation des solutions sous le logiciel Revit.Pour Julien Bagnard, responsable du développement Myral : « Être présent sur cette bibliothèque numérique BIM est une étape naturelle de notre stratégie de développement. Elle s’inscrit dans notre volonté d’accompagnement des maîtres d’œuvre à planifier, concevoir, construire et gérer leurs projets avec des outils adaptés et complets. Avec BimObject, la solution Myral est rendue accessible au plus grand nombre ! »Le BIM : une étape naturelle au service des maîtres d’œuvre MyralGrâce à BIMObject, les informations sur les produits Myral sont désormais disponibles en quelques clics : résistance thermique du panneau ou du système, masse volumique, possibilités de pose… Ces données techniques sont téléchargeables pour être ensuite exploitées dans les logiciels de modélisation 3D.Cela répond à un besoin fort : celui des architectes, ingénieurs et autres professionnels de la construction. Tous vont pouvoir travailler librement et facilement avec la solution Myral, dans la droite ligne des outils numériques ou calepinages automatiques que le groupe propose déjà. Le but : améliorer les modélisations 3D pour des visualisations toujours plus réalistes !
Il y a 4 ans et 14 jours

Constructech.club et Planète Bâtiment : BIM 5D en phase d’exécution, mythe ou réalité ?

Référence du développement durable dans le secteur de la construction, Planète Bâtiment s’intéresse évidemment à l’innovation. Et quoi de mieux que d’aller voir du côté des start-up. C’est pourquoi nous avons noué un partenariat avec Constructech.Club. Espace de rencontres entre start-up et acteurs de la construction, ce club a pour objectif de créer des synergies entre ces deux écosystèmes afin d’accompagner la transformation du secteur et co-construire le chantier du BTP. Ainsi, dans chaque numéro de Planète Bâtiment et sur notre site internet, nous publierons des exemples d’innovations soutenue par Constructech.Club. Découvrez le troisième article de Constructech.Club dans le dernier numéro de Planète Bâtiment : BIM 5D en phase d&rsquo;exécution, mythe ou réalité ? Découvrez la version numérique de > Planète Bâtiment 64 < en intégralité
Il y a 4 ans et 14 jours

Delphine Piquard nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard

Arrivée en juillet 2020 au sein du Groupe Lorillard, Delphine Piquard est la nouvelle Directrice Supply Chain au niveau groupe. Diplômée de l’Ecole des Mines de Nancy, Delphine Piquard a débuté sa carrière en tant qu’ingénieure logistique sur un site d’Arcelor Mittal dans le Doubs, pour évoluer vers la division automobile, en tant que responsable de la planification et des affectations des volumes sur les différentes usines du groupe. 7 ans plus tard, elle quitte l’entreprise pour rejoindre Tarkett, en août 2010, où elle pilotera la mise en place du département Prévision et Planification de la division européenne. Puis en février 2017, elle prend le poste de Directrice Supply Chain de l’usine Sophartex, une création de poste qui lui permet de concevoir la mise en place de sa fonction avec une dimension service client. 3 ans et demi passés, elle choisit le challenge Lorillard – un poste de Directeur Supply Chain au niveau Groupe avec une gestion de flux plus complexes entre les différents sites, des entités commerciales aux besoins variés et la nécessité d’harmoniser et d’homogénéiser les offres de service pour chacune. LE CLIENT AU CENTRE DE LA LOGISTIQUE… Delphine Piquard en a fait une notion indissociable, le client est au centre de toute réflexion logistique. Un aspect prioritairement intégré dans l’approche logistique qu’elle a pensée pour les différents sites du Groupe Lorillard. L’un de ses premiers objectifs – en accord avec le Directeur Industriel, Hubert Marti – a été l’uniformisation de l’offre produit sur les différents sites du Groupe, afin de produire au plus près du client. C’est donc dans une optique de proximité qu’une approche régionale a été pensée, tout en tenant compte des contraintes d’équilibrage des charges de travail entre les différentes usines. Pour ce faire, un circuit de distribution converge entre les différents sites, notamment les 4 sites de PVC (Bourges, Pralong, Chartres, Bayonne). Ainsi, chaque client bénéficie d’un point d’ancrage grâce à des navettes qui approvisionnent des menuiseries entre chaque site en région, tenant lieu de plateforme de proximité pour les clients régionaux. Et pour mieux évaluer et maîtriser ce process de proximité, un travail avec le service HSE a permis de mettre en place des indicateurs mesurant le nombre moyen de kilomètres parcourus par les camions par rapport au nombre de menuiseries expédiées. Ainsi le service logistique est en capacité de gérer précisément les affrètements de camions pour réaliser des tournées. « Dans cette même vision de proximité, pour les livraisons dans les grandes villes, un projet est en cours de réflexion à horizon 2022 », explique Delphine Piquard, « Les transporteurs rencontrent de nombreuses contraintes de livraisons liées à la circulation, aux accès difficiles aux chantiers, etc. Notre objectif c’est de mettre en place une plateforme logistique en petite couronne ; un endroit de stockage plus proche des clients finaux pour des livraison plus fréquentes. La région parisienne, notamment le quart Nord-Est entre Gennevilliers, Pantin et Montreuil, sera notre plateforme prototype avec une flotte de véhicules électriques ou au gaz naturel, nous permettant de réaliser des plus petites livraisons et plus fréquemment ». Ces plateformes serviront également de bureaux pour les conducteurs de travaux et accueilleront un stock avancé de quincaillerie. … ET DE LA TRANSFORMATION DIGITALE « La nécessité d’une stratégie de management de la chaîne logistique dans l’entreprise a depuis longtemps été intégrée par les dirigeants. Mais la transformation digitale a façonné un environnement logistique de plus en plus exigeant pour les entreprises, à tel point que l’on parle aujourd’hui de l’agilité de la supply chain » constate Delphine Piquard. Au-delà de permettre au Groupe Lorillard de gagner en performance, délais et production, la transformation digitale est, pour Delphine Piquard, un moyen de maintenir un flux d’information efficace entre les différents acteurs : fournisseurs, fabricants mais aussi les clients. C’est l’une de ses missions qu’elle s’attache à déployer depuis son arrivée au sein du Groupe en juillet 2020. Cette transformation digitale a débuté par la définition du processus et des modes opératoires communs pour tous les clients du Groupe (concessions, agences, artisans, etc.) afin d’harmoniser toutes les pratiques. « Pour ce faire, le principe réside en la mise en place d’une bonne communication entre les différents interlocuteurs. On établit des flux d’information et des notifications en temps réel. On définit des alertes pour déterminer les expéditions livrées ou retardées. Une communication efficace entre toutes les parties impliquées est impérative afin que le client puisse vivre une expérience positive » explique Delphine Piquard. En relation avec les entités commerciales, dans le cadre de la rédaction des cahiers des charges, et le service informatique, pour le développement des process informatiques, le service logistique a automatisé et informatisé la gestion des délais. « Désormais quand la commande est passée, le client reçoit un accusé de réception avec date. Et depuis mars dernier, si l’on rencontre un retard, un processus automatique d’email permet d’alerter le service Administration des Ventes qui prend contact avec le client ou le conducteur de travaux pour le prévenir. La prochaine étape consistera à avoir de la visibilité sur le suivi de la commande et de la livraison. Nous travaillons ce développement avec les transporteurs afin que ce flux d’information soit efficient d’ici 2022 ». Toutes ces évolutions induisent un changement dans les méthodes de travail mais l’automatisation des processus simplifie tout. L’un des exemples les plus parlant c’est la mise en place d’un QR code sur l’ensemble des menuiseries produites dans le Groupe. Effectif depuis mars 2021, ce QR Code simplifie les flux d’informations et permet tout à la fois de recommander un vitrage s’il est cassé, d’avoir accès aux données de la menuiserie ou encore d’ouvrir directement une demande de refabrication dans le cadre d’une non-conformité. Dernier projet pour fin 2021 : le process de gestion des travaux pour les conducteurs leur permettra, selon l’avancement du chantier, de demander la livraison des menuiseries, via leur Smartphone, quand ils en ont besoin grâce à un nouvel outil de planification. Cet outil permettra d’absorber la complexité de la gestion des différents sites ; les conducteurs de travaux des différentes entités du Groupe travaillant dans toute la France. Ils se sentiront également moins isolés et auront accès directement et temps réel aux informations de planification et de suivi de leur livraison. Opérer la transformation digitale d’un Groupe multi site est un challenge que Delphine Piquard et son équipe concrétisent. Au quotidien, ils occupent un rôle à la fois transversal et central au sein du Groupe. Leur travail implique l’encadrement, la coordination et l’animation des équipes logistiques sur chaque site. Et pour s’assurer de la satisfaction client, ils doivent en interne optimiser les processus afin de réduire les temps de production, maîtriser les délais et favoriser une gestion fluide des informations. A Chartres, aux côtés de Delphine Piquard, une équipe logistique de 15 personnes est à l’œuvre. Des recrutements sont en cours pour embaucher 2 ingénieurs supply chain qui seront en charge de la bonne mise en œuvre de tous les processus, en amont et en aval, sur les différents sites du Groupe. Plus d’information sur ces recrutements via le site Internet : http://www.lorillard.fr/recrutement/offres-d-emploi Partager la publication « DELPHINE PIQUARD, nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard » &nbsp;
Il y a 4 ans et 19 jours

Bouygues repasse dans le vert au 1er trimestre et prévoit un retour à un niveau d'avant-crise en 2022

Le groupe avait accusé une perte nette de 204 millions d'euros l'an dernier à cause notamment de l'arrêt de chantiers lors des premières restrictions liées à la crise sanitaire. Dans un communiqué publié jeudi, le constructeur confirme ses objectifs pour 2021, malgré "un contexte toujours incertain"."En 2021, le chiffre d'affaires et les résultats du groupe devraient être bien supérieurs à ceux de 2020, sans toutefois atteindre ceux de 2019" a assuré jeudi le directeur financier du groupe, Pascal Grangé, lors d'une conférence téléphonique, anticipant une sortie de crise l'année prochaine."En 2022, le résultat opérationnel courant du groupe devrait revenir à un niveau équivalent ou légèrement supérieur à celui de 2019" a-t-il ajouté. Au premier trimestre, le groupe dont les activités vont des chantiers aux télécoms, a vu son chiffre d'affaires progresser de 7%, à 7,742 milliards d'euros, porté par "une activité commerciale solide" et une croissance "dans tous les métiers".Au premier trimestre, les prises de commandes de l'activité "Constructions" ont bondi en France (+35% à 1,142 milliards d'euros), par rapport au premier trimestre 2020 marqué par la mise en place du premier confinement, mais ont reculé à l'international (-12%).A la fin mars, le carnet de commandes progresse légèrement sur un an de 2% à taux de change et périmètre constants, à 33,4 milliards d'euros, malgré un léger repli en France (-2%).Futur géant des médiasSa filiale TF1 affiche une croissance de 3% sur un an, avec un chiffre d'affaires de 510 millions d'euros au premier trimestre.Bouygues a annoncé lundi qu'il comptait débourser 641 millions d'euros pour sceller une fusion entre sa filiale TF1 et son concurrent historique M6, et former un géant français des médias face aux plateformes numériques des GAFA.Cette opération pourrait entraîner des synergies annuelles de "250 millions à 300 millions d'euros à l'issue des trois premières années de la transaction", mais reste soumise à l'analyse de l'Autorité de la concurrence des marchés, indique Bouygues dans son communiqué.Selon M. Roussat, en France "le marché de la publicité digitale", réalisé "au deux tiers par Google et Facebook", est désormais "deux fois plus important que le marché de publicité télé".Les deux mastodontes américains "captent 90% de la croissance de ce marché" a-t-il ajouté pour défendre son projet du fusion, qui présente un risque de monopole sur la publicité audiovisuelle dans le pays.Objectifs confirmés pour Bouygues TelecomSur le marché de la téléphonie, la filiale Bouygues Telecom a amélioré son objectif annuel de rentabilité, a précisé le groupe jeudi.L'opérateur a vu son chiffre d'affaires bondir de 17% au premier trimestre, à 1,7 milliards d'euros, et compte faire progresser son Ebitda (excédent brut d'exploitation), après loyer, de 7% cette année.La rentabilité reste toutefois affectée par la pandémie qui limite les voyages et donc les revenus issus de l'itinérance (à hauteur de 20 millions d'euros).Enfin, la contribution d'Alstom au bénéfice net du groupe s'élève pour sa part à 121 millions d'euros, contre 35 millions l'an passé, a précisé le groupe jeudi.Cette hausse s'explique essentiellement par la cession en mars des parts du constructeur-ferroviaire détenues par Bouygues, qui ne possède plus désormais que 3,12% du capital d'Alstom.
Il y a 4 ans et 19 jours

Yubii Home, le cœur d’une nouvelle expérience de maison intelligente

Compatible avec plus de 3.000 appareils d'autres marques, Yubii Home, box domotique unique, permet à l'utilisateur de contrôler l'ensemble de sa maison intelligente grâce aux assistants vocaux Amazon Alexa, Google Assistant et Siri. Ce nouveau système peut prendre en charge une caméra IP et jusqu'à 5 dispositifs via le cloud.L'idée de la maison intelligente atteint désormais sa pleine expression avec Yubii Home. Ce nouveau système permet de recevoir les données des différents capteurs, de les traiter et d’interagir suivant les informations collectées.Avec Yubii Home, les commandes vocales et le contrôle à distance sont facilités. Par exemple, l’utilisateur peut programmer les lumières pour qu'elles s'allument le matin, ouvrir la porte du garage ou créer l’atmosphère souhaitée grâce aux différentes possibilités de réglage des éclairages. Le résultat est un environnement unique, personnel, intelligent et confortable qui répond aux besoins de chacun.Les points forts de Yubii Home sont non seulement le confort et la simplification des activités quotidiennes, mais aussi et surtout l'accent mis sur la durabilité, les économies et le bien-être.Conformément à la stratégie verte de l'entreprise, l'un des objectifs de Yubii Home est de minimiser l'impact environnemental des maisons en contrôlant intelligemment le chauffage et l'éclairage, en surveillant les appareils électriques afin de réduire leur consommation. Des petits gestes quotidiens qui peuvent avoir un grand impact sur l’environnement mais également sur le budget de la famille.Le bien-être devient également primordial, grâce au contrôle de l'humidité, au chauffage intelligent, à la mesure de la qualité de l'air, à la détection du monoxyde de carbone et à la notification des situations dangereuses, afin de garantir à tout moment les bonnes conditions environnementales pour le foyer.Yubii Home – Your new smart home experience from Nice Group on Vimeo.Yubii Home, une solution complète pour chaque élément de la maisonÉclairageGrâce aux capteurs de mouvement, aux micromodules électriques et aux commandes automatiques intelligentes, il n'est plus nécessaire d'allumer et d'éteindre constamment l'éclairage dans toute la maison.SécuritéUne large gamme de détecteurs d'inondation, de monoxyde de carbone et de fumée, de capteurs de porte/fenêtre et de caméras permettent de protéger l’intérieur, de manière fiable et continue contre tout danger, même invisible.ChauffageYubii Home permet à l’utilisateur de gérer le confort dans chaque pièce grâce au contrôle des vannes thermostatiques intelligentes, des thermostats, des prises murales et des interfaces Wifi pour la climatisation.Portail et portes de garageYubii Home est compatible avec les portails et portes de garage automatisés, ainsi, l’utilisateur peut contrôler leur fermeture et ouverture à distance.Solutions de protection solaireL’utilisateur a la possibilité d’automatiser les volets roulants, les stores et les pergolas au système Yubii Home afin de gérer intelligemment la lumière naturelle et augmenter l'efficacité énergétique de la maison.ÉlectricitéGrâce aux prises et interrupteurs intelligents connectés aux appareils tels que le lave-vaisselle, le lave-linge ou le four, Yubii Home peut les allumer ou les éteindre en cas de besoin, surveiller et mesurer leur consommation d'énergie, et protéger la maison contre les surcharges électriques. Pour les appareils à basse tension, le Smart Implant, est un module miniaturisé qui rend intelligents tous types d’objets même les plus anciens.
Il y a 4 ans et 19 jours

L'OPPBTP met à jour le Guide de préconisations de sécurité sanitaire

A l'heure où le déconfinement progressif du pays est en cours et où le risque épidémique reste élevé, l'enjeu principal est de faire en sorte que les entreprises et tous les salariés restent mobilisés sur l'absolue nécessité de se protéger contre la Covid-19. Cela passe notamment par la vaccination, encouragée dans le cadre de la stratégie vaccinale des autorités sanitaires, la possibilité de réaliser des autotests, et l'importance de la ventilation comme mesure essentielle de prévention.Ainsi, cette nouvelle version du guide intègre, en conformité avec les recommandations de l'État, les modifications suivantes :La vaccination des salariés et des employeurs est encouragée, dans le cadre de la stratégie vaccinale des autorités sanitaires. Cette vaccination repose sur le volontariat et le secret médical. Elle peut être réalisée par les services de santé au travail ; dans ce cas le salarié peut s'absenter sur ses heures de travail après avoir informé son employeur de son absence pour visite médicale, sans avoir à en préciser le motif. Les salariés en situation d'affection de longue durée bénéficient d'une autorisation d'absence pour cette vaccination. Dans tous les autres cas, les employeurs sont incités à faciliter l'accès des salariés à la vaccination. Le salarié est invité à se rapprocher de son employeur afin de déterminer par le dialogue la meilleure manière de s'organiser.Les entreprises peuvent mettre à disposition de leurs salariés, si elles le souhaitent, des autotests dans le respect des règles de volontariat et de secret médical et avec une information du salarié par un professionnel de santé.L'aération est une mesure essentielle de prévention. Il est donc fortement recommandé d'aérer par une ventilation naturelle ou mécanique en état de marche (portes et/ou fenêtres ouvertes autant que possible, idéalement en permanence si les conditions le permettent et au minimum 5 minutes toutes les heures). Une ventilation de la pièce par deux points distincts (porte et fenêtre par exemple) est à privilégier. Sinon, il faut s'assurer d'un apport d'air neuf adéquat par le système de ventilation fonctionnant correctement.L'OPPBTP rappelle l'importance de maintenir les gestes barrières, y compris le lavage des mains.« Notre vigilance collective sera le gage de réussite des différentes étapes de déconfinement. Des étapes qui devraient se traduire par de nouvelles versions du protocole sanitaire et du guide de l'OPPBTP les 9 et 30 juin prochains, incluant des assouplissements attendus des consignes sanitaires. » ajoute Paul Duphil, Secrétaire général de l'OPPBTP.Pour mémoire dans sa boîte à outils Covid-19, l'OPPBTP propose un choix d'affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires.Le guide de préconisations sanitaires est disponible sur le site internet de preventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l'OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu'à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.