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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(79113 résultats)
Il y a 2 ans et 281 jours

A Colmar, découverte d’une ancienne fortification

En cœur de ville de Colmar, une campagne de fouille d’archéologie préventive prescrite par la Drac Grand-Est sa été lancée suite au projet de réaménagement de la place de la Cathédrale par la ville. Un ancien mur d’enclos du cimetière a été découvert par les archéologues de l’Inrap en parties sud-est et sud-ouest de la collégiale Saint-Martin. Réalisé en gros galets de rivière liés au mortier de chaux, il atteint une épaisseur maximale de 0,85 m. Les deux tronçons observés sont chacun conservés sur une dizaine de mètres ; leur tracé est incurvé et forme un plan ovalaire, enserrant un espace plus restreint que celui de l’église actuelle. Il pourrait donc avoir ceint l’édifice ayant précédé la collégiale, retrouvé lors des fouilles réalisées dans les années 1970, qui était de taille moindre que l’église actuelle. L’hypothèse privilégiée à ce stade des investigations est que ce mur puisse correspondre à celui érigé par les bourgeois de la ville de Colmar à partir de 1212. À cette date en effet, les bourgeois (dont c’est la première mention dans les textes) vendent un terrain communal pour 60 marcs d’argent, somme destinée à la construction d’un mur autour de l’église et de son cimetière. L’importance de la somme déboursée pourrait indiquer qu’il s’agit d’un mur de fortification, ce que l’épaisseur et la solidité de la maçonnerie observée semblent confirmer. La fortification des cimetières était chose courante dans l’Alsace médiévale, région morcelée politiquement et en proie à d’incessants conflits : elle permettait aux populations de se mettre à l’abri au sein d’un périmètre consacré, disposant du droit d’immunité. Photo : le mur mis au jour en partie sud-est de la place © B. Dottori, Inrap  
Il y a 2 ans et 281 jours

A Colmar, découverte d’une ancienne fortification

En cœur de ville de Colmar, une campagne de fouille d’archéologie préventive prescrite par la Drac Grand-Est sa été lancée suite au projet de réaménagement de la place de la Cathédrale par la ville. Un ancien mur d’enclos du cimetière a été découvert par les archéologues de l’Inrap en parties sud-est et sud-ouest de la collégiale Saint-Martin. Réalisé en gros galets de rivière liés au mortier de chaux, il atteint une épaisseur maximale de 0,85 m. Les deux tronçons observés sont chacun conservés sur une dizaine de mètres ; leur tracé est incurvé et forme un plan ovalaire, enserrant un espace plus restreint que celui de l’église actuelle. Il pourrait donc avoir ceint l’édifice ayant précédé la collégiale, retrouvé lors des fouilles réalisées dans les années 1970, qui était de taille moindre que l’église actuelle. L’hypothèse privilégiée à ce stade des investigations est que ce mur puisse correspondre à celui érigé par les bourgeois de la ville de Colmar à partir de 1212. À cette date en effet, les bourgeois (dont c’est la première mention dans les textes) vendent un terrain communal pour 60 marcs d’argent, somme destinée à la construction d’un mur autour de l’église et de son cimetière. L’importance de la somme déboursée pourrait indiquer qu’il s’agit d’un mur de fortification, ce que l’épaisseur et la solidité de la maçonnerie observée semblent confirmer. La fortification des cimetières était chose courante dans l’Alsace médiévale, région morcelée politiquement et en proie à d’incessants conflits : elle permettait aux populations de se mettre à l’abri au sein d’un périmètre consacré, disposant du droit d’immunité. Photo : le mur mis au jour en partie sud-est de la place © B. Dottori, Inrap  
Il y a 2 ans et 281 jours

Monument jeu d’enfant

Les 22 et 23 octobre 2022, 52 monuments du Centre des monuments nationaux (CMN) proposeront une programmation exceptionnelle pour la 24e édition de « Monument jeu d’enfant ». Palais, châteaux, sites archéologiques et abbayes se découvriront sous un nouveau regard, entre apprentissage et émerveillement. Durant deux jours, des formes inédites et ludiques d’appropriation des monuments seront proposées aux enfants de 5 à 12 ans et leurs familles: ateliers de découverte de danse contemporaine, représentations théâtrales, initiations à la sculpture et au croquis, mais aussi ateliers de couture et de broderie, de peinture, de dessin numérique, jeux de piste insolites, et bien d’autres encore.
Il y a 2 ans et 281 jours

Domestiquer la grande hauteur : un duplex rénové dans une tour, par Studio Okami

Le concept Majamaja a été conçu par Pekka Littow comme une unité d'habitation autonome qui peut être installée sur des territoires hors réseau. Préfabriquée, facilement transportable, elle peut être assemblée en pleine nature sur des fondations rudimentaires. Le petit espace habitable s'articule autour d'un […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 281 jours

revetements de sol textiles designs flotex collections designers

Flotex Designer est un ensemble de revêtements de sol textiles floqués dont les designs spécifiques sont le fruit de la collaboration de Forbo avec les grands noms du design international. Grâce à l'utilisation combinée de l'impression digitale et de la densité des fibres des revêtements de sols floqués Flotex, cette collection propose des systèmes de motifs inédits aux designs innovants.
Il y a 2 ans et 281 jours

revetements de sol textiles designs flotex collections designers

Flotex Designer est un ensemble de revêtements de sol textiles floqués dont les designs spécifiques sont le fruit de la collaboration de Forbo avec les grands noms du design international. Grâce à l'utilisation combinée de l'impression digitale et de la densité des fibres des revêtements de sols floqués Flotex, cette collection propose des systèmes de motifs inédits aux designs innovants.
Il y a 2 ans et 281 jours

G11 INHIBITEUR POLYVALENT

GEB a développé la gamme de produits HVAC dédiée à l'entretien des circuits de chauffage et sanitaire. La gamme HVAC de GEB est composée principalement de produits curatifs (G30 désembouant, G40 colmateur de fuites…) et de produits préventifs (G10 inhibiteur) pour traiter les installations de chauffage.
Il y a 2 ans et 281 jours

Vers un système intégré de gestion des connaissances

Hervé Charrue - Photo : Raphaël DautignySécuriser le capital de connaissances et encourager le partage et l'appropriation des savoirs et des savoir-faire au sein du CSTB sera bénéfique pour l'ensemble des acteurs de la construction et améliorera tant la performance du CSTB que les conditions d'exercice de leurs missions par ses collaborateurs. Le programme de Knowledge Management, lancé en 2021, vise à mettre en place un système intégré de gestion des connaissances. En avril 2021, le CSTB s'est lancé dans une démarche de Knowledge Management (KM), ou gestion des connaissances de l'entreprise. Il s'agit de mettre en place un système intégré afin de gérer et exploiter de manière optimale les actifs immatériels du CSTB, en connexion avec les bases de connaissances externes. Le KM ne se réduit pas à constituer une nouvelle architecture de l'information. Il porte aussi sur la mise en visibilité, l'organisation et la transmission des connaissances entre collaborateurs. Hervé Charrue - Directeur général adjoint en charge de la Recherche et du Développement Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 281 jours

Vers un système intégré de gestion des connaissances

Hervé Charrue - Photo : Raphaël DautignySécuriser le capital de connaissances et encourager le partage et l'appropriation des savoirs et des savoir-faire au sein du CSTB sera bénéfique pour l'ensemble des acteurs de la construction et améliorera tant la performance du CSTB que les conditions d'exercice de leurs missions par ses collaborateurs. Le programme de Knowledge Management, lancé en 2021, vise à mettre en place un système intégré de gestion des connaissances. En avril 2021, le CSTB s'est lancé dans une démarche de Knowledge Management (KM), ou gestion des connaissances de l'entreprise. Il s'agit de mettre en place un système intégré afin de gérer et exploiter de manière optimale les actifs immatériels du CSTB, en connexion avec les bases de connaissances externes. Le KM ne se réduit pas à constituer une nouvelle architecture de l'information. Il porte aussi sur la mise en visibilité, l'organisation et la transmission des connaissances entre collaborateurs. Hervé Charrue - Directeur général adjoint en charge de la Recherche et du Développement Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 281 jours

L'ex-président du Panama Martinelli accusé d'avoir reçu des pots-de-vin d'un groupe brésilien de BTP

"Qu'on me coupe les couilles s'il y a un sou qui m'implique" dans le méga-procès anti-corruption qui s'est ouvert la semaine dernière à Panama, a déclaré l'ancien chef de l'Etat devant plusieurs centaines de partisans qui l'acclamaient lors d'une manifestation jusqu'au siège de la Cour suprême du pays."Tout cela ce sont des rumeurs (...) c'est un procès truqué", a lancé M. Martinelli, réputé pour ses propos souvent outranciers. Selon lui ce procès est monté contre lui pour l'empêcher de se présenter de nouveau à l'élection présidentielle en 2024.Le parquet a réclamé vendredi en audience préliminaire le jugement de l'ancien président Martinelli (2009-2014) ainsi que de M. Juan Carlos Varela, qui lui a succédé à la tête de l'Etat de 2014 à 2019. Une cinquantaine de personnes, dont plusieurs anciens ministres, sont également mis en cause.En 2016, le groupe Odebrecht avait reconnu devant un tribunal de Brooklyn (Etats-Unis) avoir distribué plus de 788 millions de dollars de pots-de-vin dans toute l'Amérique latine, dont 59 millions de dollars pour le seul Panama. Le groupe brésilien s'est vu notamment adjuger la construction des deux lignes de métro de la ville de Panama, l'agrandissement de l'aéroport international de la capitale, ainsi que plusieurs tronçons du boulevard de front de mer de la ville.L'ancien président Martinelli (2009-2014), un prospère homme d'affaires qui possède notamment une chaîne de supermarchés, avait "pleinement conscience de l'origine illicite des fonds", selon l'acte d'accusation lu à l'audience de vendredi. Il "avait même mis sur pied "toute une structure illégale" pour collecter les pots-de-vin, selon le parquet.Deux fils de M. Martinelli, détenus aux Etats-Unis après avoir été extradés du Guatemala où ils avaient été arrêtés, se sont de leur côté déclarés coupables d'avoir reçu 28 millions de dollars du groupe de BTP brésilien, avant d'être condamnés à trois ans de prison par un tribunal de New York.Dans des aveux, plusieurs anciens responsables du groupe brésilien ont en outre mis en cause l'ancien président Martinelli.
Il y a 2 ans et 281 jours

L'ex-président du Panama Martinelli accusé d'avoir reçu des pots-de-vin d'un groupe brésilien de BTP

"Qu'on me coupe les couilles s'il y a un sou qui m'implique" dans le méga-procès anti-corruption qui s'est ouvert la semaine dernière à Panama, a déclaré l'ancien chef de l'Etat devant plusieurs centaines de partisans qui l'acclamaient lors d'une manifestation jusqu'au siège de la Cour suprême du pays."Tout cela ce sont des rumeurs (...) c'est un procès truqué", a lancé M. Martinelli, réputé pour ses propos souvent outranciers. Selon lui ce procès est monté contre lui pour l'empêcher de se présenter de nouveau à l'élection présidentielle en 2024.Le parquet a réclamé vendredi en audience préliminaire le jugement de l'ancien président Martinelli (2009-2014) ainsi que de M. Juan Carlos Varela, qui lui a succédé à la tête de l'Etat de 2014 à 2019. Une cinquantaine de personnes, dont plusieurs anciens ministres, sont également mis en cause.En 2016, le groupe Odebrecht avait reconnu devant un tribunal de Brooklyn (Etats-Unis) avoir distribué plus de 788 millions de dollars de pots-de-vin dans toute l'Amérique latine, dont 59 millions de dollars pour le seul Panama. Le groupe brésilien s'est vu notamment adjuger la construction des deux lignes de métro de la ville de Panama, l'agrandissement de l'aéroport international de la capitale, ainsi que plusieurs tronçons du boulevard de front de mer de la ville.L'ancien président Martinelli (2009-2014), un prospère homme d'affaires qui possède notamment une chaîne de supermarchés, avait "pleinement conscience de l'origine illicite des fonds", selon l'acte d'accusation lu à l'audience de vendredi. Il "avait même mis sur pied "toute une structure illégale" pour collecter les pots-de-vin, selon le parquet.Deux fils de M. Martinelli, détenus aux Etats-Unis après avoir été extradés du Guatemala où ils avaient été arrêtés, se sont de leur côté déclarés coupables d'avoir reçu 28 millions de dollars du groupe de BTP brésilien, avant d'être condamnés à trois ans de prison par un tribunal de New York.Dans des aveux, plusieurs anciens responsables du groupe brésilien ont en outre mis en cause l'ancien président Martinelli.
Il y a 2 ans et 281 jours

Trente ans après la crue meurtrière de 1992, Vaison-la-Romaine se souvient

Le 22 septembre 1992, après quelques heures de pluies intenses, l'Ouvèze, paisible rivière du Vaucluse, s'est transformée en un tumultueux torrent. Elle a emporté un camping et détruit 80 maisons, principalement dans un lotissement construit en zone inondable, charriant sur son passage des arbres, voitures et caravanes.Le bilan humain de ces inondations est un des plus lourds des 30 dernières années en France: plus de 40 morts.Fierté de cette ville de 6.000 habitants, le pont romain, submergé par une eau boueuse à 17 mètres de hauteur, a perdu ses parapets mais ne s'est pas écroulé."42 morts et 500 millions d'euros de dégâts matériels. Chacun se souvient des images de ces caravanes projetées sur le pont romain. Cette catastrophe parle à tout le monde. On voit bien que cela peut arriver", a rappelé lundi la préfète du Vaucluse, Violaine Demaret.Près du pont, elle a dévoilé un repère de la hauteur record de l'eau le jour du drame, une étape des commémorations organisées cette semaine, alors que le dérèglement du climat est devenu une préoccupation mondiale.Sous le soleil, des touristes arpentant les rues de la vieille ville regardent, incrédules, le filet d'eau serpentant sous le pont qui ne porte plus les stigmates de la catastrophe."On a tout perdu""Après l'inondation, j'ai eu comme objectif que plus personne ne s'aperçoive que la ville avait été sinistrée. Cela a pris cinq ans et coûté 120 millions de francs" (18 millions d'euros), a confié à l'AFP l'ancien maire, Claude Haut.Aujourd'hui, seule une plaque sur le pont romain, un monument à l'emplacement du lotissement détruit et l’œuvre d'un artiste représentant des petits menhirs comme autant de victimes, rappellent la catastrophe.Beaucoup de témoins âgés du drame sont morts depuis, certains ont quitté la ville mais pour ceux qui sont restés, la mémoire des faits reste vivace. Donya Ghzal avait sept ans en 1992. Elle était la dernière, avec son frère et sa sœur, à être restée dans l'école de la ville inondée."On a tout perdu", raconte-t-elle les larmes aux yeux. Sa mère, réfugiée sur le toit de leur maison, avait été évacuée par hélicoptère. "Elle n'avait rien physiquement mais son regard était vide, elle était sous le choc". Comme d'autres familles sans logement, elle a pu reconstruire une maison au Clos d'Ariston, surnommé "le lotissement des sinistrés", sur un terrain donné par la ville."Tout a commencé le matin avec une forte pluie. En fin de matinée, c'était déjà anormal. On n'y voyait pas à trois mètres. A midi, c'était la nuit noire. Les lampadaires étaient éclairés. En sortant de chez moi, j'ai entendu des cris et j'ai vu cette étendue d'eau, ce n'était plus une rivière mais un lac", s'est souvenu l'ex-maire Claude Haut qui, après le drame, a interdit toute construction dans le lit de l'Ouvèze."Le phénomène va se répéter""Aussi exceptionnel soit-il, le phénomène de Vaison-la-Romaine va se répéter. On ne sait pas où ni quand mais la dérive climatique va conduire à des évènements extrêmes de plus en plus nombreux et de plus en plus brutaux", prédit Stéphane Roos, directeur adjoint Sud-Est à Météo-France."Mais depuis 1992, des outils ont été mis en place qui permettent d'anticiper au mieux et surtout d'informer le grand public", rassure Yann Laborda du service de prévision des crues, évoquant les sites de vigilance (Apic, Vigicrues...) ou l'envoi de SMS d'alerte pour prévenir les habitants du déclenchement d'un plan de sauvegarde communal.Des capteurs ont également été installés sur des bouées en Méditerranée et sur les différents cours d'eau pour suivre les évolutions hydrologiques et prévoir au mieux crues et inondations."Mais il reste des points où l'anticipation reste courte. Cela se compte en heures. Un temps suffisant pour sauver des vies si les habitants" savent réagir, souligne Yann Laborda.L'Etat entend développer une culture du risque chez les citoyens: "Reporter ses déplacements, laisser ses enfants à l'école, monter à l'étage, ne pas utiliser sa voiture, s'éloigner des cours d'eau et rester informé", prône un dépliant visant à inculquer les bons réflexes.Chez les pompiers, des spécialisations inondations ont été développées. Ils sont 121 a en avoir bénéficié dans le Vaucluse où 90% des communes sont exposées à ce fléau.
Il y a 2 ans et 281 jours

Trente ans après la crue meurtrière de 1992, Vaison-la-Romaine se souvient

Le 22 septembre 1992, après quelques heures de pluies intenses, l'Ouvèze, paisible rivière du Vaucluse, s'est transformée en un tumultueux torrent. Elle a emporté un camping et détruit 80 maisons, principalement dans un lotissement construit en zone inondable, charriant sur son passage des arbres, voitures et caravanes.Le bilan humain de ces inondations est un des plus lourds des 30 dernières années en France: plus de 40 morts.Fierté de cette ville de 6.000 habitants, le pont romain, submergé par une eau boueuse à 17 mètres de hauteur, a perdu ses parapets mais ne s'est pas écroulé."42 morts et 500 millions d'euros de dégâts matériels. Chacun se souvient des images de ces caravanes projetées sur le pont romain. Cette catastrophe parle à tout le monde. On voit bien que cela peut arriver", a rappelé lundi la préfète du Vaucluse, Violaine Demaret.Près du pont, elle a dévoilé un repère de la hauteur record de l'eau le jour du drame, une étape des commémorations organisées cette semaine, alors que le dérèglement du climat est devenu une préoccupation mondiale.Sous le soleil, des touristes arpentant les rues de la vieille ville regardent, incrédules, le filet d'eau serpentant sous le pont qui ne porte plus les stigmates de la catastrophe."On a tout perdu""Après l'inondation, j'ai eu comme objectif que plus personne ne s'aperçoive que la ville avait été sinistrée. Cela a pris cinq ans et coûté 120 millions de francs" (18 millions d'euros), a confié à l'AFP l'ancien maire, Claude Haut.Aujourd'hui, seule une plaque sur le pont romain, un monument à l'emplacement du lotissement détruit et l’œuvre d'un artiste représentant des petits menhirs comme autant de victimes, rappellent la catastrophe.Beaucoup de témoins âgés du drame sont morts depuis, certains ont quitté la ville mais pour ceux qui sont restés, la mémoire des faits reste vivace. Donya Ghzal avait sept ans en 1992. Elle était la dernière, avec son frère et sa sœur, à être restée dans l'école de la ville inondée."On a tout perdu", raconte-t-elle les larmes aux yeux. Sa mère, réfugiée sur le toit de leur maison, avait été évacuée par hélicoptère. "Elle n'avait rien physiquement mais son regard était vide, elle était sous le choc". Comme d'autres familles sans logement, elle a pu reconstruire une maison au Clos d'Ariston, surnommé "le lotissement des sinistrés", sur un terrain donné par la ville."Tout a commencé le matin avec une forte pluie. En fin de matinée, c'était déjà anormal. On n'y voyait pas à trois mètres. A midi, c'était la nuit noire. Les lampadaires étaient éclairés. En sortant de chez moi, j'ai entendu des cris et j'ai vu cette étendue d'eau, ce n'était plus une rivière mais un lac", s'est souvenu l'ex-maire Claude Haut qui, après le drame, a interdit toute construction dans le lit de l'Ouvèze."Le phénomène va se répéter""Aussi exceptionnel soit-il, le phénomène de Vaison-la-Romaine va se répéter. On ne sait pas où ni quand mais la dérive climatique va conduire à des évènements extrêmes de plus en plus nombreux et de plus en plus brutaux", prédit Stéphane Roos, directeur adjoint Sud-Est à Météo-France."Mais depuis 1992, des outils ont été mis en place qui permettent d'anticiper au mieux et surtout d'informer le grand public", rassure Yann Laborda du service de prévision des crues, évoquant les sites de vigilance (Apic, Vigicrues...) ou l'envoi de SMS d'alerte pour prévenir les habitants du déclenchement d'un plan de sauvegarde communal.Des capteurs ont également été installés sur des bouées en Méditerranée et sur les différents cours d'eau pour suivre les évolutions hydrologiques et prévoir au mieux crues et inondations."Mais il reste des points où l'anticipation reste courte. Cela se compte en heures. Un temps suffisant pour sauver des vies si les habitants" savent réagir, souligne Yann Laborda.L'Etat entend développer une culture du risque chez les citoyens: "Reporter ses déplacements, laisser ses enfants à l'école, monter à l'étage, ne pas utiliser sa voiture, s'éloigner des cours d'eau et rester informé", prône un dépliant visant à inculquer les bons réflexes.Chez les pompiers, des spécialisations inondations ont été développées. Ils sont 121 a en avoir bénéficié dans le Vaucluse où 90% des communes sont exposées à ce fléau.
Il y a 2 ans et 281 jours

Illuminations, enseignes, éclairages, les Champs-Élysées adoptent un plan de sobriété énergétique

C’est pourquoi, sur « la plus belle avenue du monde », les horaires des illuminations, ceux des éclairages et des lumières des enseignes vont être significativement réduits. Cette décision prise par le Comité Champs-Élysées, à l’issue de son conseil d’administration du 20 septembre 2022, après consultation de l’ensemble de ses adhérents, parmi lesquels certaines des plus grandes marques mondiales et plusieurs acteurs culturels majeurs de la capitale, se veut à la fois une réponse aux recommandations du gouvernement, un accompagnement des mesures annoncées par la Ville de Paris, un appui aux dispositions que viennent de prendre plusieurs des principales entreprises de notre pays. Les Champs-Élysées, engagés pour leur rénovation dans une étude urbaine qui fait une part importante à la transition écologique, sont conscients des enjeux énergétiques, de la nécessité de les surmonter, de l’urgence à agir. Pour cela, ils ont voulu, dans une démarche, non pas de contrainte et d’obligation, mais de pédagogie et de conviction, formuler sans attendre des propositions concrètes qui conjuguent sobriété et efficacité, solidarité et rapidité.Concernant les Illuminations de Noël, deux décisions ont été prises avec le souci de faire la part tant de leur efficacité que de la volonté de conserver l’émerveillement et la « magie de Noël ». À l’instar des dispositions adoptées pour plusieurs des monuments parisiens, leur scintillement cessera à 23h45, soit 2h15 plus tôt que les années précédentes. En brillant du dimanche 20 novembre au lundi 2 janvier inclus, au lieu du dimanche 20 novembre au lundi 9 janvier, elles dureront 6 semaines contre 7 auparavant. À titre exceptionnel, elles demeureront allumées les 24 décembre et le 31 décembre.Ces choix sont importants : ils permettront de réduire de 44% la consommation d’énergie des illuminations. Cette évolution vient prolonger les initiatives déjà prises par le Comité Champs-Élysées depuis plusieurs années. En 15 ans, entre 2006 et 2021, grâce, notamment, à la mise en place d’éclairages LED, l’électricité nécessaire aux illuminations aura été diminuée de 97%. Sans évoquer les 480.000 KwH nécessaires aux illuminations jusqu’en 2006, les illuminations 2022 ne mobiliseront que 13.176 kwH, soit la consommation annuelle d’un foyer de 3/4 occupants, contre 23.400 KwH en 2021.Concernant les boutiques, les vitrines, les écrans, au terme d’un processus de concertation mené depuis la rentrée avec ses adhérents, le Conseil d’administration du Comité Champs-Élysées souhaite que les enseignes de l’avenue éteignent leur éclairage au plus tard à 22h00 et 7h00 le lendemain, au moins. Les commerces et les acteurs économiques poursuivant leurs activités au-delà (cinémas et restauration principalement) pourront naturellement dépasser cette limite. Le Comité les incite cependant à éteindre leur éclairage aussitôt qu’ils seront fermés. Cette mesure entre en application immédiatement et devra être généralisée avant le 15 octobre 2022. Les foncières, les propriétaires et les utilisateurs de bureaux des Champs-Élysées ont été invités également à se joindre ce mouvement. La durée de ce plan de sobriété énergétique sera prolongée autant que de besoin. Il fera l’objet régulièrement de points d’étape.De manière générale, le Comité Champs-Élysées incite ses adhérents à utiliser l’application gratuite et ouverte à tous, EcoWatt, éditée par RTE et l’ADEME, qui mesure, en temps réel, le niveau et le pic de consommation énergétique, à lancer des plans d’information de leurs salariés, à initier des actions de communication vers leurs clients sur les modifications des comportements individuels permettant des économies d’énergie à long terme.On l’aura compris : l’objectif du Comité est de proscrire les consommations énergétiques superflues, sans compromettre le rayonnement culturel, touristique, commercial, économique des Champs-Élysées, ni à la qualité esthétique et ludique des promenades sur l’avenue lors des périodes de fêtes. La sobriété énergétique ne doit pas être synonyme de récession économique ou d’austérité psychologique. Les Champs de la sobriété restent les Champs-Élysées. La traditionnelle conférence de presse des illuminations aura lieu dans la matinée du 27 octobre : le nom du parrain ou de la marraine, le sponsor, ainsi que le nouveau design des Illuminations seront annoncés à cette occasion. Innovation dans cette communication, dans un souci d’excellence et d’exemplarité partagées, un événement marquera la première extinction des illuminations le même jour.Pour Marc-Antoine Jamet, président du Comité Champs-Elysées : « Les Champs-Élysées sont, pour le monde entier, un symbole et une vitrine, celle de Paris, celle de la France. Il était de notre devoir de nous montrer, collectivement, solidairement, exemplaires. Une semaine après avoir salué la première rotation de la barge qui transporte au cœur de la capitale, par la Seine, les matériaux indispensables à nos chantiers de réparation en cours, (trottoirs, chaussées), précurseurs discrets, mais réels, en matière d’économies d’énergie, le temps était venu, par notre action, par notre modèle, de participer concrètement et d’inciter à la sobriété énergétique. En agissant ainsi, nous avons un souhait et un espoir. Notre souhait, c’est que Paris reste une fête. Non seulement nous sommes, comme l’immense majorité des Français, soucieux de préserver l’atmosphère si particulière des fêtes de fin d’année, pour nos enfants, pour notre moral, pour nos traditions, mais nous sommes conscients de ce que notre attractivité touristique, commerciale et culturelle représente de croissance et d’emplois. Les Champs de la sobriété restent les Champs-Élysées. Mon espoir, c’est que notre célébrité soit au service de la sobriété énergétique à laquelle il faut adhérer et que nous entraînions dans notre sillage l’ensemble des comités de quartiers, des cercles d’entreprise, pour que cet esprit de frugalité se répande. Y compris dans l’excellence énergétique, les Champs-Élysées doivent être un modèle et rester premiers. »
Il y a 2 ans et 282 jours

La piste d'une réforme des retraites dans le prochain budget de la Sécurité sociale n'est "pas tranchée", selon Dussopt

Malgré l'opposition unanime des syndicats, qu'il a rencontrés lundi, le ministre du Travail a confirmé sur RTL que la piste d'une réforme par un amendement au budget de la Sécu "fait partie des scénarios" envisagés par l'exécutif.Assurant vouloir "éviter ce qu'on appelle un passage en force", il a toutefois rappelé que "si nous sommes bloqués, si nous sommes dans une impasse, s'il n'y a aucune volonté d'accompagnement, nous disposons d'outils dans la Constitution"."Il est normal que le gouvernement se garde toutes les possibilités", a-t-il insisté, ajoutant que la stratégie "n'est pas tout à fait tranchée" et est encore "en cours de réflexion et de travail".L'objectif reste néanmoins "d'équilibrer le système" de retraite, menacé par le retour des déficits selon M. Dussopt, qui a évoqué une perte de "plus de 12 milliards" d'euros en 2027 et d'une "vingtaine de milliards" en 2030. Pour y remédier, l'idée d'un recul de l'âge légal de départ ou d'un allongement de la durée de cotisations tient la corde. "On pourrait mixer les deux mesures", a suggéré le ministre, évoquant "éventuellement des contreparties" sur "le niveau minimum de pension et la question de la pénibilité".A charge pour les syndicats de "dire ce qu'ils veulent comme améliorations", mais "aussi comment c'est financé", a-t-il souligné, répétant que cela "passe par plus de travail, à l'échelle de la société (et) à l'échelle d'une vie".
Il y a 2 ans et 282 jours

A Lyon, l'ancien bâtiment du marché de gros réenchante la Confluence

RÉOUVERTURE. Déjà transformé en salle de musique en 2006, l'ancien bâtiment du marché de gros de Lyon renaît une nouvelle fois avec un ensemble flambant neuf pouvant accueillir 70 concerts par an. Si les ailes du bâtiment ont été détruites et reconstruites, sa façade et son esprit industriel ont été préservés. Découverte.
Il y a 2 ans et 282 jours

La révolution du béton magnétique

Les bétons magnétiques doivent permettre de recharger les véhicules électriques par induction lorsqu’ils circulent. [©Magment] On n’arrête plus le progrès ! Du béton magnétique pour recharger des véhicules électriques ! Ainsi, le groupe cimentier Holcim étend sa collaboration avec l’Allemand Magment, spécialisé dans la mise au point de bétons aux propriétés magnétiques. Ce procédé va permettre de recharger les véhicules par induction lorsqu’ils circulent sur des routes équipées d’une telle technologie. Une ambition commune « Holcim et Magment partagent un objectif commun : accélérer la transition de notre monde vers un taux net zéro, grâce à des solutions innovantes et durables, déclare Edelio Bermejo, responsable du Global Innovation Center de Holcim. D’ici 2040, pratiquement toutes les nouvelles voitures vendues seront électriques. Nous sommes ravis d’associer notre béton magnétisable à la technologie de Magment. Cela va permettre aux véhicules de se recharger pendant qu’ils se déplacent. » Électrification des sols industriels Parmi les autres applications en cours de développement, il existe aussi des projets d’électrification des sols industriels. Leur objectif est de recharger en continu les robots des entrepôts et des usines. Forte de ses 120 start-up, Holcim continue d’innover, à travers le monde, en développant de nouvelles technologies pour accélérer la transition vers le zéro carbone.
Il y a 2 ans et 282 jours

Crise énergétique : les aides aux entreprises probablement bientôt adaptées

PRATIQUE. À l'issue d'une réunion avec les fédérations professionnelles - dont celles du BTP et des industriels des matériaux de construction -, Bercy a rappelé la batterie de dispositifs mise en place pour épauler les entreprises face à la flambée des prix du gaz et de l'électricité. Le Gouvernement envisage d'ailleurs d'adapter les mesures "dans les prochaines semaines".
Il y a 2 ans et 282 jours

Crise énergétique : les aides aux entreprises probablement bientôt adaptées

PRATIQUE. À l'issue d'une réunion avec les fédérations professionnelles - dont celles du BTP et des industriels des matériaux de construction -, Bercy a rappelé la batterie de dispositifs mise en place pour épauler les entreprises face à la flambée des prix du gaz et de l'électricité. Le Gouvernement envisage d'ailleurs d'adapter les mesures "dans les prochaines semaines".
Il y a 2 ans et 282 jours

Cap vers le pays du Soleil levant pour Colas et son revêtement photovoltaïque

INNOVATION. Colas annonce la commercialisation de sa solution de revêtement photovoltaïque Wattway au Japon. Une nouvelle étape dans son déploiement à l'international, se félicite le groupe.
Il y a 2 ans et 282 jours

Cap vers le pays du Soleil levant pour Colas et son revêtement photovoltaïque

INNOVATION. Colas annonce la commercialisation de sa solution de revêtement photovoltaïque Wattway au Japon. Une nouvelle étape dans son déploiement à l'international, se félicite le groupe.
Il y a 2 ans et 282 jours

Grand Site Tour Eiffel : Thomas Corbasson répond aux détracteurs du projet

En mai dernier enflait une polémique autour du projet Grand Site Tour Eiffel, accusé de supprimer ...More about Cet article Grand Site Tour Eiffel : Thomas Corbasson répond aux détracteurs du projet est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 282 jours

Laurent Cousin, nouveau responsable commercial Sud-Ouest Allu France

Laurent Cousin, nouveau responsable commercial Sud-Ouest Allu France. [©Allu France] Allu France tient son nouveau responsable commercial Sud-Ouest. L’industriel, producteur de matériels de recyclage et de revalorisation de matériaux utilisés, a choisi Laurent Cousin. Ce dernier a commencé sa carrière il y a plus de trente ans, en tant que responsable vente dans l’automobile. Petit à petit, Laurent Cousin grimpe les échelons jusqu’à devenir chef de toute une équipe de vente. Après trois décennies dans l’automobile, il décide de changer de secteur : « Je me suis dit : “j’ai 55 ans et il me reste 10 ans à faire”. J’ai fait le tour du secteur automobile et je suis prêt pour nouvelle aventure. » Allu et Laurent Cousin, valeurs communes Désireux d’occuper un poste de responsable commercial, Laurent Cousin a tout de suite été séduit par Allu France. « J’ai des valeurs qui me sont chères, notamment l’environnement. J’ai trouvé très intéressant le concept d’Allu : le recyclage et la revalorisation de matériaux. Je me suis retrouvé dans ces engagements ». Chez Allu France, Laurent Cousin sera chargé d’élargir le réseau du groupe et travaillera avec les professionnels. « On collabore avec des entreprises de travaux publics, des revendeurs d’engins ou encore des entreprises végétales comme les pépiniéristes. Au-delà du recyclage des matériaux, nous agissons aussi sur la décontamination des sols. »  Le nouveau responsable commercial s’est dit “enthousiaste” à l’idée de commencer cette nouvelle aventure. « En plus de mes missions commerciales, j’ai un niveau de chiffre d’affaires à réaliser. Et ça, c’est quand même très intéressant et stimulant. »
Il y a 2 ans et 282 jours

Principaux indicateurs du marché du logement neuf en Ile-de-France au 2ème trimestre 2022

Sur la base de cette analyse chiffrée couvrant la période allant des mois d’avril à juin 2022, quatre tendances traduisent le contexte actuel du marché du logement neuf en Ile-de-France :Après un bon début d’année 2022, les ventes de logements neufs en Ile-de-France sont stables ce trimestre. En revanche, sur un an, la tendance est à la hausse et la région enregistre une croissance de 18% des transactions (7.465 unités dont 96% en collectif). À l’échelle départementale, Paris (-10%), la Seine-Saint-Denis (-20%) et l’Essonne (-33%) voient leur volume de transactions décroître tandis que les volumes sont stables en Seine-et-Marne.Le reste des départements enregistre des hausses comprises entre 15% (Hauts-de-Seine) et plus de 100% (Val-de-Marne). En volume, plus d’un tiers des logements se sont vendus dans les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne.La promotion immobilière neuve ne faiblit pas (+17%) et dépasse de nouveau le seuil des 10.000 nouveaux logements. Le nombre de maisons neuves s’est légèrement restreint par rapport au trimestre précédent et représente 4% des mises en vente totales. De même que pour les ventes, le Val-de-Marne se démarque par une progression des commercialisations de près de 90% sur un an et par le volume le plus élevé de la région (2.250 unités). A contrario, l’Essonne a attiré moins de promoteurs qu’au 2ème trimestre 2021 et engrange le plus faible volume de mises en vente après Paris.Mécaniquement, le stock de logements disponibles s’accroît et atteint 30.541 unités au 30 juin 2022 (+53%). Le Val-de-Marne (>100%) suivi du Val-d’Oise (+62%) et des Hauts-de-Seine (+54%) connaissent les renchérissements de stock les plus conséquents. L’encours de maisons neuves continue de croître : 1.415 maisons neuves sont disponibles à la fin du 2ème trimestre 2022, soit deux foix plus qu’au 2ème trimestre 2021.Sur un an, le prix moyen d’un appartement neuf en Ile-de-France augmente de 4,3% et atteint 6.053 €/m². L’ensemble des départements franciliens a enregistré une hausse de prix mais dans des proportions très variables, entre +1,5% dans les Yvelines et +12,5% dans le Val-d’Oise. En valeur, Paris (14.408 €/m²) demeure le territoire le plus onéreux tandis que la Seine-et-Marne (4.466 €/m²) suivie de l’Essonne (4.618 €/m²) affichent les prix les plus abordables dans le neuf. À l’échelle communale, le prix moyen dans les villes limitrophes de la capitale continue de s’envoler et dépasse le prix de certains arrondissements parisiens comme à Saint-Mandé (14.591 €/m²), Levallois-Perret (13.115 €/m²), Boulogne-Billancourt (12.792 €/m²) ou encore Charenton-le-Pont (11.867 €/m²).
Il y a 2 ans et 282 jours

Principaux indicateurs du marché du logement neuf en Ile-de-France au 2ème trimestre 2022

Sur la base de cette analyse chiffrée couvrant la période allant des mois d’avril à juin 2022, quatre tendances traduisent le contexte actuel du marché du logement neuf en Ile-de-France :Après un bon début d’année 2022, les ventes de logements neufs en Ile-de-France sont stables ce trimestre. En revanche, sur un an, la tendance est à la hausse et la région enregistre une croissance de 18% des transactions (7.465 unités dont 96% en collectif). À l’échelle départementale, Paris (-10%), la Seine-Saint-Denis (-20%) et l’Essonne (-33%) voient leur volume de transactions décroître tandis que les volumes sont stables en Seine-et-Marne.Le reste des départements enregistre des hausses comprises entre 15% (Hauts-de-Seine) et plus de 100% (Val-de-Marne). En volume, plus d’un tiers des logements se sont vendus dans les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne.La promotion immobilière neuve ne faiblit pas (+17%) et dépasse de nouveau le seuil des 10.000 nouveaux logements. Le nombre de maisons neuves s’est légèrement restreint par rapport au trimestre précédent et représente 4% des mises en vente totales. De même que pour les ventes, le Val-de-Marne se démarque par une progression des commercialisations de près de 90% sur un an et par le volume le plus élevé de la région (2.250 unités). A contrario, l’Essonne a attiré moins de promoteurs qu’au 2ème trimestre 2021 et engrange le plus faible volume de mises en vente après Paris.Mécaniquement, le stock de logements disponibles s’accroît et atteint 30.541 unités au 30 juin 2022 (+53%). Le Val-de-Marne (>100%) suivi du Val-d’Oise (+62%) et des Hauts-de-Seine (+54%) connaissent les renchérissements de stock les plus conséquents. L’encours de maisons neuves continue de croître : 1.415 maisons neuves sont disponibles à la fin du 2ème trimestre 2022, soit deux foix plus qu’au 2ème trimestre 2021.Sur un an, le prix moyen d’un appartement neuf en Ile-de-France augmente de 4,3% et atteint 6.053 €/m². L’ensemble des départements franciliens a enregistré une hausse de prix mais dans des proportions très variables, entre +1,5% dans les Yvelines et +12,5% dans le Val-d’Oise. En valeur, Paris (14.408 €/m²) demeure le territoire le plus onéreux tandis que la Seine-et-Marne (4.466 €/m²) suivie de l’Essonne (4.618 €/m²) affichent les prix les plus abordables dans le neuf. À l’échelle communale, le prix moyen dans les villes limitrophes de la capitale continue de s’envoler et dépasse le prix de certains arrondissements parisiens comme à Saint-Mandé (14.591 €/m²), Levallois-Perret (13.115 €/m²), Boulogne-Billancourt (12.792 €/m²) ou encore Charenton-le-Pont (11.867 €/m²).
Il y a 2 ans et 282 jours

Seine-Saint-Denis : après quatre ans de travaux, le lycée Jacques-Feyder est inauguré

Le lycée Jacques-Feyder à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) a ouvert ses portes lors de la rentrée scolaire 2022. À Épinay-sur-Seine...
Il y a 2 ans et 282 jours

Seine-Saint-Denis : après quatre ans de travaux, le lycée Jacques-Feyder est inauguré

Le lycée Jacques-Feyder à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) a ouvert ses portes lors de la rentrée scolaire 2022. À Épinay-sur-Seine...
Il y a 2 ans et 282 jours

Georges à Rennes

À Rennes, le premier festival d'architecture voit le jour sous la houlette de la Maison de ...More about Cet article Georges à Rennes est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 282 jours

Pyrénées-Atlantiques : un nouveau pôle culturel à Mourenx

La commune de Mourenx (Pyrénées-Atlantiques) dispose d’un nouvel équipement dédié à la culture musicale. Le nouveau pôle culturel de la...
Il y a 2 ans et 282 jours

Pyrénées-Atlantiques : un nouveau pôle culturel à Mourenx

La commune de Mourenx (Pyrénées-Atlantiques) dispose d’un nouvel équipement dédié à la culture musicale. Le nouveau pôle culturel de la...
Il y a 2 ans et 282 jours

Moselle : poursuite de la requalification du collecteur unitaire sur la route de Guentrange à Thionville

À Thionville, la Communauté d’agglomération Portes de France engage de nouveaux travaux dans le cadre de la requalification du collecteur...
Il y a 2 ans et 282 jours

Moselle : poursuite de la requalification du collecteur unitaire sur la route de Guentrange à Thionville

À Thionville, la Communauté d’agglomération Portes de France engage de nouveaux travaux dans le cadre de la requalification du collecteur...
Il y a 2 ans et 282 jours

Les autorités sanitaires suggèrent de mieux reconnaître certains cancers liés à l'amiante

Ces deux types de cancers sont "sous-déclarés et sous-reconnus", quand ils sont liés à une exposition professionnelle à l'amiante, a estimé dans un communiqué l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).Celle-ci, qui avait été saisie par plusieurs ministères (Santé, Travail...) pour évaluer le sujet, vient de rendre un rapport dans lequel elle confirme l'existence d'un lien de cause à effet entre ces cancers et l'exposition à l'amiante.En revanche, l'Anses n'a pas examiné le lien entre l'amiante et d'autres cancers - pharynx, estomac, colorectaux -, alors que cela lui avait été demandé. Elle explique ce choix par des considérations de "ressources" et de "calendrier".L'amiante, utilisé pendant plusieurs décennies au cours du XXe siècle dans la construction de bâtiments, est désormais interdit dans de nombreux pays comme la France, en raison de ses effets dangereux pour la santé.Son lien avec les cancers du larynx ou des ovaires était déjà reconnu depuis plusieurs années par différents organismes, dont l'Institut de veille sanitaire - ancêtre de l'actuel Santé publique France - et, à l'étranger, le Centre international de recherche sur le cancer, lié à l'ONU.Il est toutefois documenté de manière moins bien détaillé que pour d'autres cancers, comme ceux de la plèvre ou du poumon."L'amiante étant couramment associé aux cancers des poumons et de la plèvre, ni les médecins ni les malades ne font le lien avec d'autres cancers", a regretté Alexandra Papadopoulos, cadre de l'Anses, citée dans le communiqué.L'institution ouvre donc la voie à une meilleure indemnisation des malades, en favorisant leur reconnaissance comme maladie professionnelle. Elle se prononce pour la création de tableaux de maladies professionnelles pour ces deux types de cancers, comme c'est déjà le cas pour ceux des voies bronchopulmonaires.Une telle mesure créerait une "présomption d'origine" pour les cancers concernés, ce qui faciliterait les démarches des patients."Actuellement, il est déjà possible de faire reconnaître ces cancers en tant que maladie professionnelle, mais cela demande à la victime d'apporter la preuve du lien entre le cancer et son travail", a expliqué Mme Papadopoulos.
Il y a 2 ans et 282 jours

Jérôme Pécresse, haut dirigeant de General Electric, quitte ses fonctions

"GE confirme le départ prochain de son vice-président sénior Jérôme Pécresse, qui a décidé de se consacrer à de nouveaux projets", a indiqué la direction de General Electric France, confirmant une information de l'hebdomadaire Marianne.M. Pécresse, polytechnicien, était le dirigeant mondial de l'activité énergies renouvelables, qu'il a dirigée pendant "pratiquement dix années". Il est l'époux de Valérie Pécresse, présidente Les Républicains du conseil régional d'Île-de-France et candidate malheureuse à la dernière élection présidentielle.M. Pécresse a "mené le processus d'intégration des activités énergétiques d'Alstom vendues à GE" en 2015, rappelle GE. "Il a notamment été le fer de lance du développement réussi de GE dans le domaine de l'éolien offshore, qui constituera un pilier essentiel de GE Vernova", a poursuivi l'industriel américain."Je laisserai mes responsabilités opérationnelles à la fin de septembre quand débutera la phase de transition", a indiqué Jérôme Pécresse dans une lettre aux salariés, consultée par l'AFP."Je suis fier des contributions que nous avons apportées ensemble au secteur des énergies renouvelables presque partout dans le monde", écrit-il encore, se disant "convaincu que le développement des énergies renouvelables partout dans le monde continuera à s'accélérer et que la technologie permettra d'en repousser les limites"."L'avenir des entités françaises est dans les mains des Américains", redoute Philippe Petitcolin délégué CFE-CGC (GE turbines à gaz). M. Pécresse pouvait "faire passer les messages" mais "maintenant, la France n'a plus d'interlocuteurs", a-t-il ajouté, voyant dans le départ du dirigeant "un mauvais signal"."Pour nous, il est foutu dehors", sourit Alexis Sesmat, délégué Sud Industrie à l'entité turbines à gaz de General Electric. "C'était le seul et dernier interlocuteur français pour Bercy. La dernière carte du gouvernement français est tombée".Dans l'article 4 de l'accord de novembre 2014, signé entre GE et l'État français lors du rachat de la branche énergie d'Alstom, que l'AFP a pu consulter, l'entreprise s'engage en effet "à proposer au conseil d'administration de GE, après en avoir informé l'État, l'élection au Conseil d'administration de GE d'un président-directeur général de nationalité française de premier plan".Selon Alexis Sesmat, cette annonce est faite "dans la ligne directe de la réorganisation et la scission du groupe".Fin 2021, General Electric a annoncé une réorganisation de ses activités, entraînant la scission en trois entreprises de l'énergie, du médical et de l'aéronautique."Le centre de gravité de la partie énergie n'est plus en France mais bien outre-Atlantique ", dénonce le délégué syndical. Dans l'accord de 2014, valable 10 ans, GE s'engage pourtant à localiser des centres mondiaux en France.
Il y a 2 ans et 282 jours

Brem présente deux nouveaux radiateurs au design raffiné et contemporain

HOT, un radiateur sèche-serviette léger et discretDans la maison, la salle de bains est la pièce de détente par excellence. Afin d’y ajouter encore plus de confort, rien de tel qu’un radiateur sèche-serviette élégant au design italien, conçu par un designer renommé. Cet élément, qui assure également le chauffage, confère à la salle de bains un aspect unique.Le modèle HOT du designer Fiorenzo Mussi est fabriqué sur une plaque radiante Lamina et conçu en acier de haute qualité. Il séduit par son élégance et son design épuré. Ce nouveau radiateur présente un porteserviette en anneau à la fois discret et élégant et disponible en blanc sablé, gris quartz, noir foncé ou autres coloris du nuancier Brem.HOT se décline en six hauteurs de 88 à 167 cm pour une largeur de 53,5 cm. Il développe des puissances de 408 à 897 W.Ce modèle existe en version à eau chaude, électrique ou mixte.Fiche technique : Designer : Fiorenzo Mussi Puissance (en W) : 408 a 897 3 options disponibles : eau chaude, électrique ou mixte 80 finitions au nuancier de Brem Cinq versions : H 88 à 167 cm, L 53,5 cm, P 10, 5 cm Poids : 11,9 – 24,7 kg Prix public indicatif : à partir de 743 EUR TTCPIET, un vibrant hommage à Piet MondrianLe designer Fiorenzo Mussi a donné vie au matériau acier de haute qualité. Il a tracé des lignes verticales et horizontales s’entrecroisant de manière géométrique et rigoureuse en hommage à l’œuvre de Piet Mondrian. Fabriqué sur une plaque radiante S-Platt, ce nouveau radiateur sèche-serviette est idéal pour décorer une salle de bain avec modernité et élégance, tout en garantissant un confort thermique de qualité.PIET existe en finition brillante, satinée et mate (Soft Touch). Il est disponible en trois hauteurs de 180, 200 et 220 cm pour une largeur de 36 à 72 cm. PIET développe des puissances de 713 à 2345 W.Ce modèle existe en version à eau chaude, électrique ou mixte.Fiche technique : Designer : Fiorenzo Mussi Puissance (en W) 713 à 2345 3 options disponibles : eau chaude, électrique ou mixte 80 finitions au nuancier de Brem Trois versions : H 180 à 220 cm, L 36 cm à 72 cm, P 5,8 cmPrix public indicatif : à partir de 1398 EUR TTC
Il y a 2 ans et 282 jours

SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit

Implanté depuis dix ans en région Rhône-Alpes, le distributeur de matériaux et de solutions d’éco-construction Femat fait du bâtiment performant et de la rénovation énergétique le socle de son offre de produits et de services. Le spécialiste est sur le point d’achever son chantier phare, celui de son nouveau siège social à Dardilly (69). Ce bâtiment, baptisé le FematLab, constitue un modèle de construction responsable et performante, vitrine du savoir-faire de l’entreprise. En charge de la conception du projet, l’agence ARCHIGROUP a eu pour objectif majeur de définir un bâtiment avec une forte inertie et une étanchéité à l’air de l’enveloppe complète. L’objectif de ce bâtiment tertiaire est de répondre aux critères d’exigence Passivhaus visés par Femat. Le choix s’est ainsi porté sur un voile 100 % béton. C’est l’entreprise PRATIC Pral Rémi Assistance Technique Ingénierie Conseils) qui a assuré la maîtrise d’œuvre d’exécution et le pilotage du chantier. Fidèle à ses engagements, la maîtrise d’ouvrage était attachée à une isolation biosourcée et a retenu la solution en fibre de bois Pavatex® de SOPREMA pour l’isolation de la façade. Le projet devait répondre à un défi majeur : comment obtenir la validation du bureau de contrôle pour cet isolant, qui dispose d’un Avis Technique uniquement pour pose sur les constructions à ossature bois, sur un ouvrage avec une structure en béton ? L’agence SOPREMA Entreprises de Lyon a ainsi été consultée et a accompagné la maîtrise d’œuvre dans la recherche d’une solution adaptée. Elle a été retenue pour les lots étanchéité et façade bardage. Elle a réfléchi à un complexe technique hybride « sur-mesure » en réalisant une ossature bois sur le système en voile béton, permettant de poser l’isolant en fibre de bois Pavatex® sur l’ensemble des façades (1 000 m2). Photo : SOPREMA Entreprises Cet article SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 282 jours

SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit

Implanté depuis dix ans en région Rhône-Alpes, le distributeur de matériaux et de solutions d’éco-construction Femat fait du bâtiment performant et de la rénovation énergétique le socle de son offre de produits et de services. Le spécialiste est sur le point d’achever son chantier phare, celui de son nouveau siège social à Dardilly (69). Ce bâtiment, baptisé le FematLab, constitue un modèle de construction responsable et performante, vitrine du savoir-faire de l’entreprise. En charge de la conception du projet, l’agence ARCHIGROUP a eu pour objectif majeur de définir un bâtiment avec une forte inertie et une étanchéité à l’air de l’enveloppe complète. L’objectif de ce bâtiment tertiaire est de répondre aux critères d’exigence Passivhaus visés par Femat. Le choix s’est ainsi porté sur un voile 100 % béton. C’est l’entreprise PRATIC Pral Rémi Assistance Technique Ingénierie Conseils) qui a assuré la maîtrise d’œuvre d’exécution et le pilotage du chantier. Fidèle à ses engagements, la maîtrise d’ouvrage était attachée à une isolation biosourcée et a retenu la solution en fibre de bois Pavatex® de SOPREMA pour l’isolation de la façade. Le projet devait répondre à un défi majeur : comment obtenir la validation du bureau de contrôle pour cet isolant, qui dispose d’un Avis Technique uniquement pour pose sur les constructions à ossature bois, sur un ouvrage avec une structure en béton ? L’agence SOPREMA Entreprises de Lyon a ainsi été consultée et a accompagné la maîtrise d’œuvre dans la recherche d’une solution adaptée. Elle a été retenue pour les lots étanchéité et façade bardage. Elle a réfléchi à un complexe technique hybride « sur-mesure » en réalisant une ossature bois sur le système en voile béton, permettant de poser l’isolant en fibre de bois Pavatex® sur l’ensemble des façades (1 000 m2). Photo : SOPREMA Entreprises
Il y a 2 ans et 282 jours

winlab met l innovation a l honneur a batimat

WinLab’, l’incubateur du CCCA-BTP, accélérateur d’innovation dans la formation aux métiers du BTP, a pour ambition de valoriser et partager à l’occasion du salon Batimat 2022 (hall 1, stand G24) les projets innovants développés par les formateurs et les apprentis des organismes de formation aux métiers du BTP, ainsi que les solutions innovantes de start-up pour les accompagner.
Il y a 2 ans et 282 jours

winlab met l innovation a l honneur a batimat

WinLab’, l’incubateur du CCCA-BTP, accélérateur d’innovation dans la formation aux métiers du BTP, a pour ambition de valoriser et partager à l’occasion du salon Batimat 2022 (hall 1, stand G24) les projets innovants développés par les formateurs et les apprentis des organismes de formation aux métiers du BTP, ainsi que les solutions innovantes de start-up pour les accompagner.
Il y a 2 ans et 282 jours

Logique constructive et repères culturels : 18 logements sociaux au Raincy par Barrault Pressacco

Le concept Majamaja a été conçu par Pekka Littow comme une unité d'habitation autonome qui peut être installée sur des territoires hors réseau. Préfabriquée, facilement transportable, elle peut être assemblée en pleine nature sur des fondations rudimentaires. Le petit espace habitable s'articule autour d'un […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 282 jours

Certivea et la Smart Buildings Alliance récompensent les bâtiments connectés et communicants les plus remarquables

Des projets remarquablement innovants qui permettent de répondre dès maintenant aux enjeux de sobriété et flexibilité énergétique, et apportent aux utilisateurs des services adaptés au plus près de leurs besoins (qualité de vie, sécurité, maintenance, connectivité, etc.).Pour Patrick Nossent, Président de CERTIVEA : « Depuis 4 ans, le label Ready2Services aide les acteurs dans la transition numérique de l’immobilier. Un virage qui permet de faire d’un bâtiment une véritable plateforme de services intégrés pour répondre notamment aux enjeux immédiats de sobriété et de flexibilité énergétique tout en offrant les services numériques maintenant indispensables aux utilisateurs. Ces Trophées sont aujourd’hui l’occasion de célébrer l’engagement des lauréats et de montrer la voie à tous les acteurs de la filière pour porter le développement des bâtiments connectés, intégrés dans la ville durable et intelligente. »Pour Sébastien Meunier, Président de la Smart Buildings Alliance : « Le label R2S et ses extensions servicielles apportent une solution concrète à tous les acteurs de l’immobilier pour les accompagner dans leur transition énergétique et numérique. Bien au-delà de la seule connectivité du bâtiment, la démarche Ready2Services porte une vision du numérique responsable et créateur de valeur pour les occupants, les exploitants, les gestionnaires d’immeubles et les propriétaires. Elle propose un socle solide pour répondre aux objectifs de sobriété énergétique dans le bâtiment et aider tout le secteur à consommer moins et consommer mieux. La SBA est fière aujourd’hui de participer à la remise des Trophées R2S qui distinguent des acteurs et réalisations remarquables en termes de performances et de services numériques. »Le palmarès 2022 des Trophées Ready 2 ServicesCatégorie « Bâtiment Neuf »Immeuble Origine – ICADE – Nanterre (92)2 immeubles de bureaux neufs situés à Nanterre (92), dans le prolongement de Paris-La Défense, intégrés dans un ensemble mixte formant un îlot urbain ouvert sur la ville, occupés par le groupe Technip Energies.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Exploitation »Immeuble Wave – VINCI Energies – Lille (59)Livré en 2019, WAVE est le siège régional de VINCI Energies, situé dans le quartier central de la métropole Lilloise avec Euratechnologies, 1er incubateur de startups en France.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Rénovation »Le ‘156’ à Paris – MAIFLe nouveau bâtiment MAIF a accueilli en 2020 ses premiers occupants provenant de 3 sites parisiens. Le bâtiment a fait l’objet d’une rénovation concertée, avec notamment des objectifs environnementaux et numériques.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Campus »Campus Région du numérique Charbonnières-les-Bains - Région Auvergne-Rhône-AlpesOuvert depuis janvier 2021, le campus accueille des étudiants, enseignants, entreprises et industriels sur un espace de 11 ha. Le lieu se veut un catalyseur d’innovations permettant d’accompagner la transformation numérique des acteurs régionaux.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Top 3 des acteurs qui cumulent le plus grand nombre de m² labellisés ou en cours de labellisationCovivioIcadeRedman[Plus de détails, cliquez ici]Le Label R2S, la meilleure preuve qu’un bâtiment est équipé, connecté et sécurisé pour des services numériques performants et durablesReady2Services (R2S) est le socle de la famille des labels ‘Numérique’ délivrés par CERTIVEA. Déployé dès 2018, le label R2S, fruit de la collaboration entre CERTIVEA et la Smart Buildings Alliance, a été conçu pour aider les acteurs, quel que soit leur secteur, dans le déploiement d’infrastructures numériques sûres, évolutives et performantes, pour améliorer le bien-être, la performance et la durabilité au sein des bâtiments tertiaires, quelle que soit leur étape de vie (neuf, exploitation ou rénovation).Les bâtiments labellisés R2S répondent à des exigences couvrant six thèmes complémentaires : Connectivité - Architecture Réseau – Equipements et interfaces – Sécurité numérique – Management Responsable – Services Numériques.Une nouvelle version du label a été lancée à l’été 2022. Ces 4 années ont en effet été l’occasion de nourrir une réflexion poussée autour de l’évolution de ce label unique en son genre, en prenant en compte les retours d’expériences, les réglementations récentes, mais aussi les attentes des maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, prestataires… Parmi les nouveautés de la nouvelle version, on notera une prise en compte accrue des réseaux sans fil (Wi-Fi, GSM, IoT, géolocalisation), l’ajout d’un critère sur la présence d’un Building Operating System (BOS) ou encore la fiabilité de la connexion internet. Autres points importants : la clarification du rôle des protocoles (BACnet, LonWorks, KNX…), qui ont toute leur place dans un bâtiment labellisé R2S, et l’accent mis sur un numérique plus responsable et performant afin de réduire l’empreinte environnementale du bâtiment.Le label R2S en données clés+100 : Bâtiments labellisés ou en cours de labellisation R2S1,7 M de m² :Surface cumulée des bâtiments engagésX 3 : Progression du nombre de projets engagés entre 1er trimestre 2021 et 202250/50 : Répartition des projets entre IDF et reste de la France+100 : Référents R2S formés à travers la France
Il y a 2 ans et 282 jours

Big Bag ‘n Go devient “EndLess”

 Le Groupe confirme son ambition d’incarner la bascule idéologique en matière d’économie circulaire  Septembre 2022 marque un nouveau tournant pour le Groupe Big Bag ‘n Go qui devient « EndLess ». EndLess incarne sa mission : rendre accessible l’économie circulaire en alliant pragmatisme et technologie pour faciliter la valorisation des déchets. Représentant un processus continu sans […]
Il y a 2 ans et 282 jours

Livre blanc « Douche Senior » : le guide complet Kinedo pour tout savoir sur la douche sécurisée

Inventeur de Kinemagic, concept du changement de baignoire par une douche en une journée, le spécialiste français de la salle de bains Kinedo vient d’éditer un livre blanc aussi exhaustif que didactique : « Douche Senior, le guide complet ».  Adapter son logement pour bien vieillir chez soi, accompagner les personnes en perte de mobilité […]
Il y a 2 ans et 282 jours

RECTOR &TECHNIWOOD : L’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Dans un contexte règlementaire encourageant la performance énergétique par la mixité des matériaux et la sobriété carbone des bâtiments, la construction hors-site est en plein développement. Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées […]