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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(79115 résultats)
Il y a 2 ans et 282 jours

Livre blanc « Douche Senior » : le guide complet Kinedo pour tout savoir sur la douche sécurisée

Inventeur de Kinemagic, concept du changement de baignoire par une douche en une journée, le spécialiste français de la salle de bains Kinedo vient d’éditer un livre blanc aussi exhaustif que didactique : « Douche Senior, le guide complet ».  Adapter son logement pour bien vieillir chez soi, accompagner les personnes en perte de mobilité […]
Il y a 2 ans et 282 jours

RECTOR &TECHNIWOOD : L’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Dans un contexte règlementaire encourageant la performance énergétique par la mixité des matériaux et la sobriété carbone des bâtiments, la construction hors-site est en plein développement. Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées […]
Il y a 2 ans et 282 jours

Alkern : de nouveaux investissements pour accélérer la décarbonation de la construction neuve

De nouveaux investissements pour développer les solutions bas carbone  Kit Piscine  Nouveaux parements aménagement extérieur Fabricant leader de produits préfabriqués en béton, Alkern, avec un CA 2021 de 247 millions d’euros pour 1 000 collaborateurs, revendique expertise et savoir-faire dans une activité tournée autour de trois grands marchés : le bâtiment, l’aménagement extérieur et les […]
Il y a 2 ans et 282 jours

Taux d'usure : manifestation de courtiers devant la Banque de France

"Il y a aujourd'hui un blocage sur le taux d'usure", explique à l'AFP Marion Massot, courtière à Alsace Crédits venue spécialement à Paris pour participer à la manifestation.Le profil type des candidats à l'emprunt refusés selon elle: les plus de 55 ans, du fait du coût de l'assurance emprunteur, mais aussi des jeunes, dont des primo-accédants. La profession, via l'Union des intermédiaires de crédit (UIC) et sa secrétaire générale Bérengère Dubus, demande en conséquence "une rehausse exceptionnelle de l'usure au 1er octobre" et à être reçue en personne par le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau.La deuxième demande a été exaucée en début d'après-midi.Le gouverneur "a rappelé à cette occasion que le rôle de la Banque de France était de calculer le taux de l'usure du crédit immobilier sur la base des dispositions fixées par la loi pour protéger les emprunteurs", indique l'institution dans un communiqué."Compte tenu des données collectées auprès des banques, le taux de l'usure sera ainsi normalement relevé le 1er octobre, de façon bien proportionnée et plus marquée qu'en juin dernier, en accord avec le ministre de l'Économie et des Finances. Ceci permettra, dans le respect de la loi, de régler les certaines situations plus difficiles d'accès au crédit relevées ces dernières semaines", précise la Banque de France.Le taux d'usure est sous le feu des critiques notamment des courtiers qui l'accusent de freiner considérablement l'accès au crédit immobilier.Il s'élève actuellement à 2,57% pour les crédits immobiliers à 20 ans tous frais compris, dont l'assurance emprunteur et l'éventuelle commission des courtiers.Son calcul est réalisé chaque trimestre par la Banque de France, qui prend en compte les taux moyens pratiqués par les banques au cours des trois derniers mois augmentés d'un tiers.Bercy et la Banque de France ne partagent pour l'instant pas les inquiétudes des courtiers sur l'état du marché immobilier.Dans un entretien au journal Sud-Ouest dimanche en date du 21 août, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire indiquait que le marché de l'immobilier restait "dynamique".Une affirmation reprise dans la foulée par le gouverneur de la Banque de France, qui indiquait dans les colonnes de Ouest France que le secteur immobilier était aujourd'hui "correctement financé".L'encours des crédits à l'habitat était en effet en hausse en juillet, selon les derniers chiffres de la Banque de France.
Il y a 2 ans et 282 jours

leul menuiseries une nouvelle gamme aluminium serie 5700 visible et 5200 cache

Cette nouvelle gamme de menuiseries alu en dormant de 70 mm, équipée de ruptures de ponts thermiques larges et renforcés permet d'optimiser les performances et ainsi de répondre aux demandes environnementales, thermiques et acoustiques entrées en vigueur (RE 2020). Elle joue la carte de séduction, de la finesse, d’un design élégant et contemporain. Ces deux séries permettent de repousser les limites dimensionnelles tout en privilégiant la lumière.
Il y a 2 ans et 282 jours

Wavin France dévoile ECH'O

Le Groupe Wavin est depuis les années 90 fortement impliqué dans une démarche de développement durable à l'échelle mondiale. En France, le programme ECH'O s'articule autour de 3 piliers majeurs en faveur de l'environnement et d'une politique sociétale responsable. Impliquant l'ensemble des salariés, il traduit une volonté de répondre à des objectifs de développement durable et de démontrer les contributions RSE de l'entreprise.
Il y a 2 ans et 282 jours

Lignotrend : Aménagement créatif de bureaux avec LIGNO® Acoustique

L'aménagement intérieur se révèle un outil fondamental pour transmettre efficacement la culture, les valeurs et l'image d'une entreprise. Le bien-être des collaborateurs dans les locaux ou encore l'attrait d'une entreprise pour les candidats sont souvent influencés par la perception de l'espace. L'ameublement, les couleurs, la lumière et surtout la qualité des matériaux contribuent à créer des expériences intérieures uniques. C'est pourquoi les architectes d'intérieur misent sur l'effet naturel des panneaux en bois véritable LIGNO® Acoustique. Ses différents types de profilés et de bois apportent une touche de nature dans les bureaux et ennoblissent les murs et les plafonds. Ces panneaux s'intègrent dans les cloisons et les éléments encastrés ou, imprimés, ils deviennent de véritables oeuvres d'art. Grâce à leur grand choix de conifères et de feuillus (plus de vingt variantes différentes), les panneaux de revêtement LIGNO®Acoustique permettent d'exprimer des messages d'aménagement très différents et de créer des ambiances très personnelles et caractéristiques dans la pièce.
Il y a 2 ans et 283 jours

La Cour de cassation examine jeudi 22 septembre l'annulation rare du procès de la Chaufferie

Cet examen, très attendu du monde judiciaire, doit permettre de trancher plusieurs points. Une très longue enquête est-elle, en soi, une atteinte aux droits de la défense ? Ou bien, faut-il apprécier au cas par cas et identifier concrètement quelles atteintes ont été portées à la défense ?Et si ce délai déraisonnable est bien constaté, faut-il alors annuler toute la procédure ? Ou bien, juger l'affaire mais demander une réparation financière ?Jusqu'à maintenant, la réponse était la compensation financière. Mais le tribunal correctionnel de Nanterre, puis la cour d'appel de Versailles, se sont éloignés de la jurisprudence de la Cour de cassation et ont statué pour la sanction dans l'affaire de la Chaufferie, en invalidant près de vingt ans de procédure.Dans ce dossier, cinq chefs d'entreprise sont accusés d'avoir faussé, entre 1999 et 2003, l'attribution du juteux marché du chauffage et de climatisation du quartier d'affaires de La Défense, aux portes de Paris dans les Hauts-de-Seine, estimé à plusieurs centaines de millions d'euros.Ils devaient comparaître le 11 janvier 2021 à Nanterre, en l'absence d'un protagoniste phare, l'ancien sénateur et maire de Puteaux (UMP) Charles Ceccaldi-Raynaud, mis en examen en 2007 et décédé en 2019.Au premier jour du procès, le tribunal a décidé d'annuler l'intégralité des actes d'enquête, arguant que le droit des prévenus à être jugés dans un délai raisonnable, consacré par le droit européen, avait été bafoué."Un avant et un après"Dans sa décision de 29 pages, le tribunal a méticuleusement détaillé la chronologie.La complexité de l'affaire justifiait-elle cette durée ? Non, répond le tribunal : "la nature des infractions poursuivies et le nombre de personnes mises en cause" ne présentaient pas un "caractère exceptionnel".La défense a-t-elle sciemment ralenti l'enquête? Non, "cinq des six personnes mises en examen dans ce dossier ont participé pleinement" à l'instruction, écrit le président de la chambre, Olivier Protard.Les autorités judiciaires ont-elles été réactives? Non, malgré sept juges d'instruction et une durée "totalement inhabituelle" de l'enquête, il n'y a pas eu de confrontation entre les prévenus soupçonnés de corruption et le bénéficiaire présumé, Charles Ceccaldi-Raynaud.Des manquements qui n'auraient pu être palliés par un procès, selon le tribunal : l'ancien maire est décédé et deux des prévenus n'auraient pu "rendre compte de leurs actions" à l'audience, l'un étant presque centenaire et l'autre atteint de Parkinson.Trois jours plus tard, le parquet de Nanterre avait fait appel, arguant notamment qu'il n'y avait pas "d'excuse de vieillesse" à accorder.Devant la cour d'appel de Versailles, le parquet général avait demandé l'expertise médicale des deux prévenus les plus âgés, afin d'ouvrir la voie à un nouveau procès. Mais l'annulation du procès pour corruption avait été confirmée.La cour d'appel a toutefois ordonné la tenue d'un procès sur un autre volet de l'affaire, où se sont constituées des parties civiles et où doivent être jugés deux hommes, plus jeunes et encore en capacité de se défendre selon la cour, pour abus de biens sociaux.Le parquet général s'est pourvu en cassation. Et c'est ce pourvoi qui est examiné jeudi par la plus haute juridiction judiciaire."Il y a un avant et un après la Chaufferie de la Défense", commente auprès de l'AFP une magistrate en banlieue parisienne. Du fait des "personnalités impliquées", ce dossier a donné une visibilité à la question du délai raisonnable, estime-t-elle.Pour Olivier Baratelli, avocat de l'un des prévenus, Jean Bonnefont, ancien dirigeant des ex-Charbonnages de France âgé de 99 ans, cette annulation a contribué à "écrire l'histoire judiciaire". "Les grands principes européens rentrent enfin dans le droit français : un vent de fraîcheur", a-t-il déclaré à l'AFP.D'autres nuancent. L'avocat Olivier Morice, qui a récemment obtenu deux jugements d'annulation, "ne voit pas dans la Chaufferie l'origine d'un tournant, mais une marche en avant au caractère inéluctable".Depuis, au moins une demi-douzaine de décisions similaires ont été prononcées, presque toutes frappées d'appel. Des procès portant sur des faits très anciens ont aussi été renvoyés, dans l'attente de la décision de la Cour de cassation.
Il y a 2 ans et 283 jours

Le gouvernement demande aux préfets d'aller plus vite sur l'éolien

Face à la crise énergétique, quatre ministres dont ceux de l'Intérieur, de la Transition écologique et de la Transition énergétique demandent aux services déconcentrés de l'Etat de "mettre en place toutes les actions requises afin de faciliter et d'accélérer le traitement des dossiers (...) en cours et à venir".Au total, ces dossiers en cours d'instruction représentent "près de 10 GW de projets photovoltaïque et éolien et environ 5 TWh de capacités de gaz renouvelables".Pour le gouvernement, il s'agit de "faire en sorte qu'aucune instruction n'excède 24 mois, sauf situation très exceptionnelle", selon cette circulaire. Les services déconcentrés de l'Etat sont également invités à observer "un objectif de 18 mois entre la date de dépôt d'un projet de renouvellement ou d'augmentation de puissance de parcs éoliens existants, et sa mise en œuvre". Selon Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne, le syndicat des professionnels de la filière éolienne (350 membres), la circulaire vise notamment l'accélération du traitement des dossiers d'éolien terrestre, sources de controverses récurrentes dans l'opinion. "Il y a 5 GW de projets (d'éolien terrestre) en attente d'autorisation, soit 15% de la capacité déjà installée sur le territoire, c'est considérable", a-t-il souligné.Alors que le développement de projets éoliens suscite de plus en plus d'opposition, freinant leur déploiement, le gouvernement veut faire adopter un projet de loi pour accélérer les procédures et rattraper le retard de la France dans l'éolien et le solaire.En février, dans un discours prononcé à Belfort, peu avant la guerre en Ukraine, le président Emmanuel Macron avait fixé les lignes de la nouvelle politique énergétique de la France, en annonçant un vaste plan de relance du nucléaire civil et l'essor de l'éolien marin, mais un coup de frein sur les éoliennes terrestres."Dans la situation énergétique que nous connaissons avec des hivers qui s'annoncent difficiles au moins jusqu'en 2025, l'indisponibilité d'une partie du parc nucléaire et la crise du gaz russe, l'éolien, le solaire et la méthanisation sont les seuls moyens de production que nous avons pour produire des megawattheures en plus", a souligné Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne.
Il y a 2 ans et 283 jours

Colas va commercialiser Wattway au Japon

Colas Japan et son partenaire TOA Road viennent de lancer la commercialisation du revêtement photovoltaïque circulable au Japon. Colas a...
Il y a 2 ans et 283 jours

L’activité des matériaux de construction est restée en retrait cet été

Les matériaux n’échappent pas à cette spirale, confrontés à des hausses de coûts d’un côté et, de l’autre, à des difficultés pour répondre à des carnets, gonflés par les anciennes commandes mais dont les nouvelles entrées tendent à se raréfier au fil du temps. Le deuxième semestre s’ouvre ainsi sur des tendances en repli pour les granulats et le BPE (-3,3 % et -2,4 % en volume respectivement, à fin juillet sur un an) tandis que les indicateurs de demande, bien que donnant des premiers signes d’essoufflement, se maintiennent encore à des niveaux corrects, notamment dans le bâtiment.Repli des productions en juillet, plus modérée dans les granulatsSelon les premiers résultats encore provisoires, les volumes de granulats produits en juillet auraient baissé de -1,6% par rapport à juin, déjà en repli de -3,2% par rapport à mai (données CVS-CJO) ; comparée à juillet 2021, l’activité cède -6,8% et, sur les trois derniers mois connus, affiche un recul de -8,3% par rapport au trimestre précédent et -6,6% par rapport au même trimestre d’il y a un an. En cumul sur les sept premiers mois de l’année, et en dépit d’un bon début d’année, les volumes de granulats ont perdu -3,3% sur un an, ce qui laisse la tendance sur douze mois glissants à -2,8%.Côté BPE, les cubages auraient connu une quasi-stabilisation en juin (+0,4% par rapport à mai) mais se seraient repliés de -1% en juillet par rapport à juin, ce qui laisse l’activité de juillet en retrait de -2,4% par rapport à l’an passé (CVS-CJO). Au cours du dernier trimestre, les volumes de BPE produits cèdent -2,6% au regard des trois mois précédents et -3,1% sur un an. De janvier à juillet, l’activité du béton perd ainsi -2,4% sur un an et, en cumul glissant sur douze mois, le repli atteint -2,9%.L’évolution de notre indicateur Matériaux traduit aussi la rupture à mi-semestre avec une progression de l’activité de +1,4% sur un an au premier trimestre suivie d’un recul de -5,2% au deuxième trimestre, laissant le glissement sur un an à -2,3% pour les sept premiers mois de 2022 (données CJO, provisoires). Quasiment tous les matériaux termineraient le semestre en repli, hormis les tuiles et briques dont la vigueur du premier trimestre, portée par la bonne conjoncture de la maison individuelle, parviendrait à compenser le repli des mois suivants.BTP : les signaux de fragilisation de la demande se multiplientLes derniers indicateurs disponibles pour le bâtiment soufflent le chaud et le froid sur une conjoncture très perturbée par les chocs exogènes. Selon la dernière enquête INSEE menée en août auprès des professionnels du gros œuvre, le climat des affaires demeure bien orienté à haut niveau. Si l’opinion sur leur activité passée s’est légèrement dégradée, en revanche, leurs perspectives pour les mois futurs se redressent de même que leur jugement sur les carnets de commandes. Ces derniers atteignent désormais 10,3 mois soit un point haut jamais atteint par le passé. Les contraintes qui pèsent sur l’outil de production demeurent importantes mais elles ont amorcé un repli depuis le début de l’été, notamment s’agissant des difficultés d’approvisionnement et des obstacles matériels. En revanche, les entreprises restent confrontées à des insuffisances de personnel ainsi qu’à des difficultés de recrutement et les entrepreneurs envisagent toujours d’accroître leurs effectifs dans les prochains mois. Côté construction, les mises en chantier de logements marquent le pas ces derniers mois, sans doute en raison des contraintes d’offre que connaît le secteur. Avec 385.000 logements commencés ces douze derniers mois à fin juillet (+0,4% sur un an), les chantiers ont connu un repli de -3,8% ces trois derniers mois, comparé à la même période de l’an passé. Surtout marqué dans le segment du collectif, ce recul contraste avec le dynamisme des autorisations.En effet, bien qu’en repli par rapport à leur niveau exceptionnel de fin 2021-début 2022 (lié à l’effet d’anticipation de l’entrée en vigueur de la règlementation environnementale RE2020 au 1er janvier), le niveau des permis reste élevé en juillet. Compte tenu des délais d’instruction plus ou moins longs selon la nature du logement (2-3 mois dans l’individuel pur, davantage pour l’individuel groupé et le collectif), on estime que cet effet d’anticipation est désormais quasiment absorbé dans le segment de l’individuel. Cependant, côté logements collectifs et résidences, le nombre de permis a atteint un niveau très élevé en juillet, de plus de 31% au-dessus de sa moyenne de 2021, dont 69 % auraient été déposés en 2021 selon le ministère. A fin juillet et sur douze mois, on dénombrait ainsi 507 000 autorisations (+11,8% sur un an) dont 135.900 ces trois derniers mois (+5,7%), un stock important de chantiers à réaliser dont 57% concernent le logement collectif et en résidence. Mais du côté du marché de la maison individuelle, les dernières données de Markemetron confirment que la demande s’essouffle. Sur les sept premiers mois de 2022, les ventes ont reculé de 27,3% sur un an, certes après une année 2021 assez exceptionnelle. Et la dégradation de l’environnement économique (remontée des taux d’intérêt, inflation qui rogne le pouvoir d’achat et l’épargne des ménages, hausse des prix immobiliers...), ne laisse guère entrevoir d’amélioration à court terme. D’ailleurs, côté promoteurs, les ventes du deuxième trimestre ont également reculé, de -13% par rapport à la même période de l’an passé (-12,2% pour les appartements et -23,4% pour les maisons selon le ministère). Globalement, les stocks de logements poursuivent leur décrue, l’offre des promoteurs s’étant elle-même sensiblement ajustée à la baisse, et les prix continuent de progresser au cours de ce deuxième trimestre : +4,9% sur un an (à 4.621 € le m2 pour un appartement) et +5,2% (à 349.572 € en moyenne pour une maison). Si le tableau apparaît donc mitigé côté résidentiel, côté non résidentiel, l’horizon semble un peu s’éclaircir. Les surfaces de locaux commencés ont gagné +7,8% sur un an au cours des trois derniers mois de mai à juillet, laissant le cumul sur douze mois en hausse de +12,1% sur un an. Quant aux permis, ils restent orientés à la hausse sur le dernier trimestre, (+8,6% sur douze mois), les locaux commerciaux ou industriels affichant les plus fortes progressions.TP : très léger « mieux » côté carnetsL’activité des travaux publics reste pénalisée par l’atonie des prises de commandes et les hausses de coûts. En cumul, de janvier à juillet, les travaux réalisés affichent une stagnation en valeur par rapport à la même période de l’an passé (+0,3%) mais l’estimation en volume, déflatée par l’indice TP01, laisse la tendance fortement négative (-9%). Interrogés cet été par l’INSEE, les chefs d’entreprise n’anticipaient pas d’amélioration dans les prochains mois, leurs carnets peinant encore à s’étoffer. En juillet, les marchés conclus se sont, il est vrai, redressés (+13,7% en valeur, +2,1% en volume, par rapport à juillet 2021) mais l’évolution des heures travaillées (-0,9% sur un an de janvier à juillet) traduit une activité qui manque véritablement de ressort.
Il y a 2 ans et 283 jours

Les 10 lauréats du « Prix d’architectures 2022 »

Le Grand prix d'architectures a été décerné aux architectes de l’agence DATA pour leur exemplaire transformation d’un immeuble de bureau de la RATP en 52 logements, l’immeuble Abel Hovelacque. Tout en gardant le poste de commandement de la ligne 5 du métro dans les sous-sols, ils sont notamment parvenus à ajouter 2 niveaux de logements sans alourdir le bâtiment par un travail subtil d’allègement des structures existantes. Le jury a aussi retenu la qualité et l’originalité des plans des appartements. 10 autres réalisations architecturales ont reçu le Prix d’architectures. Les enjeux actuels du logement, et notamment de son rôle dans la crise climatique, ont conduit le jury à sélectionner 5 opérations d’habitation dont 3 réhabilitations sur les 10 projets distingués. À l’heure du Plan climat et de la catastrophe écologique et esthétique qu’il entraine par la médiocrité des rénovations majoritairement mises en œuvre, le jury a souligné l’exemplarité de deux opérations de transformation d’immeubles sociaux des années soixante.Le jury a aussi voulu montrer que si l’excellence architecturale s’exprimait dans de prestigieuses opérations comme la restructuration de la Bibliothèque Nationale de France ou la médiathèque de Grasse, elle pouvait aussi advenir jusque dans les plus petites communes de France avec des budgets extrêmement modestes.DATA architectes pour l’immeuble Abel Hovelacque, réhabilitation-transformation de bureaux en logements sociaux et poste de commandement de la ligne 6 du métro à Paris. Maîtrise d’ouvrage : RATP et Logis-TransportsLes 10 lauréats du « Prix d'architectures 2022 »Bruno Gaudin & Virginie Brégal pour la rénovation et restructuration du Quadrilatère Richelieu, Bibliothèque nationale de France à Paris. Maîtrise d’ouvrage : ministère de la Culture, ministère de l’Éducation nationale, ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, OPPICIvry Serres et Beaudouin architectes pour la médiathèque Charles Nègre de Grasse.Maîtrise d’ouvrage : ville de GrasseCollet Muller Architectes pour 26 logements sociaux à Dammartin-en-Goële. Maîtrise d’ouvrage : I3FBarrault Pressacco pour les 18 logements sociaux rue Thiers au Raincy. Maîtrise d’ouvrage : I3FRégis Roudil pour 8 logements intermédiaires sociaux E en pierre massive à Gignac-la-Nerthe. Maîtrise d’ouvrage : 3F SudFrançois Brugel Architectes Associés et Marc Dujon pour la réhabilitation de 106 logements sociaux Montera-Gabon à Paris. Maîtrise d’ouvrage : Paris Habitat OPHRobain-Guieysse et bmc2 pour la réhabilitation des tours de logements Mounier dans le quartier Maurepas Gros-Chêne à Rennes. Maîtrise d’ouvrage : Archipel HabitatBRA pour la réhabilitation de l’ancienne école et extension pour une salle associative et citoyenne à Tréméven dans les Côtes d’Armor. Maîtrise d’ouvrage : Commune de TrémévenDebarge Bellaigue Ordynski architectes pour le réaménagement du site de la batterie à Longues-sur-Mer.Maîtrise d’ouvrage : Bayeux Intercom, le département du Calvados, le Conservatoire du Littoral et la commune de Longues-sur-MerEGR pour l’extension de la mairie de Biot. Maîtrise d’ouvrage : commune de Biot
Il y a 2 ans et 283 jours

Renouvelables : les filières éolienne et pompes à chaleur en plein essor

ANALYSE. Les énergies renouvelables ont représenté 13% de la consommation d'énergie primaire et 19,3% de la consommation d'énergie finale brute de la France en 2021, selon des données compilées par le ministère de la Transition énergétique. Le poids des ENR dans l'économie tricolore s'accroît progressivement, certaines connaissant un développement plus marqué que d'autres.
Il y a 2 ans et 283 jours

Renouvelables : les filières éolienne et pompes à chaleur en plein essor

ANALYSE. Les énergies renouvelables ont représenté 13% de la consommation d'énergie primaire et 19,3% de la consommation d'énergie finale brute de la France en 2021, selon des données compilées par le ministère de la Transition énergétique. Le poids des ENR dans l'économie tricolore s'accroît progressivement, certaines connaissant un développement plus marqué que d'autres.
Il y a 2 ans et 283 jours

La fin de la tour-capsule Nagakin

La tour-capsule tokoyïte Nagakin a été démantelée. [©Creative Commons Attribution-Share Alike 4.0] Située dans le quartier de Ginza à Tokyo, la tour-capsule Nagakin est la première œuvre majeure de l’architecte japonais Kisho Kurokawa (1934 – 2007). Ce dernier est reconnu comme l’un des fondateurs du Mouvement métaboliste. Qui connaît son âge d’or dans les années 1970 avec la tenue de l’Exposition universelle de 1970, à Suita (Osaka). Puis, l’inauguration de la tour Nakagin, à Tokyo en 1972. Un démantèlement devenu obligatoire L’emplacement retenu pour la tour-capsule se situe à Ginza, à la croisée des quartiers qui concentrent une majorité de bureaux d’affaires et donc avec eux, les futurs locataires visés par l’architecte. En 1972, le Sud du quartier de Ginza présente un paysage urbain peu élevé. La vue offerte par les derniers étages de la tour permet donc de bénéficier d’un panorama dégagé. Les allures de vaisseau spatial de la tour-capsule sont visionnaires pour les années 1970 et la tour devient vite un symbole emblématique de la capitale japonaise. Mais avec le temps, elle ne respectait plus certaines règles de salubrité et de sécurité impératives. En particulier, les problématiques sismiques. Il faut dire que la tour était prévue pour être rénovée tous les 25 ans. A raison d’un coût de 70 000 € par capsule, cette rénovation n’a jamais eu lieu. Il a donc été décidé qu’elle serait démantelée par la société Tokyo Build, faute de moyens pour la rénover. Il s’agit d’un démantèlement et non d’une démolition. Certaines capsules ont trouvé acheteurs, d’autres seront exposées dans des musées aux quatre coins du monde, comme le Centre Pompidou par exemple… M. C.
Il y a 2 ans et 283 jours

La Région Paca débloque un fonds en faveur des EnR et de la transition écologique

TRANSITION. Plusieurs filières sont concernées par cet outil, notamment la production d'énergies renouvelables et l'efficacité énergétique.
Il y a 2 ans et 283 jours

La Région Paca débloque un fonds en faveur des EnR et de la transition écologique

TRANSITION. Plusieurs filières sont concernées par cet outil, notamment la production d'énergies renouvelables et l'efficacité énergétique.
Il y a 2 ans et 283 jours

Marché 2021 des installations solaires photovoltaïques individuelles

Ce chiffre correspond à une progression de 13,5% par rapport à 2020. Une dynamique honorable mais nettement inférieure à celle enregistrée sur le segment de 3 à 9 kW qui double ses volumes (120.680 kW, + 100,8% par rapport à 2020). L'autoconsommation reste toujours autant plébiscitée avec 90% des opérations sur le segment de 3 kW ou moins. Sur les 8 dernières années, on évalue ainsi à plus de 200 MW le volume total des installations de moins de 3 kW ayant été installées en autoconsommation en France.Géographiquement, le marché reste majoritairement localisé dans le sud de la France avec la Nouvelle Aquitaine et l'Auvergne-Rhône-Alpes comme fers de lance (40% de la puissance installée sur le segment de moins de 3 kW). Côté prix de vente des équipements, la tendance à l'augmentation, observée pour les autres technologies renouvelables destinées aux particuliers (solaire thermique, pompes à chaleur ou appareils de chauffage au bois), s'applique également ici puisqu'en moyenne, une installation s'est vendue 6 à 7% plus cher en 2021. Cependant, le début d'année 2022, marqué par la politique zéro COVID chinoise et la guerre en Ukraine, laisse présager une accentuation des problèmes d'approvisionnement et de hausse des prix en France et plus largement en Europe.Ces constats sont issus de l'étude quantitative 2022 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des installations solaires photovoltaïques individuelles.
Il y a 2 ans et 283 jours

Évolution du marché des installations solaires photovoltaïques individuelles

Ce chiffre correspond à une progression de 13,5% par rapport à 2020. Une dynamique honorable mais nettement inférieure à celle enregistrée sur le segment de 3 à 9 kW qui double ses volumes (120.680 kW, + 100,8% par rapport à 2020).L'autoconsommation reste toujours autant plébiscitée avec 90% des opérations sur le segment de 3 kW ou moins. Sur les 8 dernières années, on évalue ainsi à plus de 200 MW le volume total des installations de moins de 3 kW ayant été installées en autoconsommation en France.Géographiquement, le marché reste majoritairement localisé dans le sud de la France avec la Nouvelle Aquitaine et l'Auvergne-Rhône-Alpes comme fers de lance (40% de la puissance installée sur le segment de moins de 3 kW).Côté prix de vente des équipements, la tendance à l'augmentation, observée pour les autres technologies renouvelables destinées aux particuliers (solaire thermique, pompes à chaleur ou appareils de chauffage au bois), s'applique également ici puisqu'en moyenne, une installation s'est vendue 6 à 7% plus cher en 2021. Cependant, le début d'année 2022, marqué par la politique zéro COVID chinoise et la guerre en Ukraine, laisse présager une accentuation des problèmes d'approvisionnement et de hausse des prix en France et plus largement en Europe.Ces constats sont issus de l'étude quantitative 2022 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des installations solaires photovoltaïques individuelles.
Il y a 2 ans et 283 jours

Kingfisher : un bénéfice en repli au premier semestre 2022

RÉSULTATS. Le groupe britannique de bricolage, Kingfisher, qui possède les enseignes françaises Castorama et Brico Dépôt, affiche un résultat après impôt en recul de 32,9% au premier semestre 2022/2023. Néanmoins, les deux années précédentes ont été exceptionnelles en raison de la crise sanitaire et du regain pour la maison, le bricolage et le jardin.
Il y a 2 ans et 283 jours

UNICEM entreprises engagées : 30 ans d’engagements pour le développement durable dans la filière carrières et matériaux de construction

Cette assemblée générale qui s’est déroulée en présence d'Alain Boisselon, Président de l’Union Nationale des Industries de Carrières et Matériaux (UNICEM) et de Louis Natter, Président de l’association UNICEM entreprises engagées (UEE), a été l’occasion de revenir sur les 30 ans d’engagements en matière de développement durable de la profession à travers les actions concrètes portées par les entreprises de la filière. L’assemblée générale a constitué le point d’orgue de la série d’évènements qui se sont déroulés en régions et qui se poursuivront jusqu’à la fin de l’année.Un programme qui valorise 30 ans d’engagements Au cours de cet évènement, Catherine Bonin, Directrice de l’international, du développement et de l’innovation au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), Présidente UEE de 2006 à 2011, Benoist Thomas, Secrétaire général du Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) et David Henry, Directeur entreprise Henry Frères, Président de l’UNICEM Bretagne, sont intervenus dans le cadre d’un débat sur le thème « 30 ans d’engagements, et maintenant ? ».Cette séquence d’échanges aura permis de montrer pourquoi les entreprises souhaitent s’engager dans une démarche de progrès, comment les actions mises en place fédèrent les équipes en interne et comment les démarches ont évolué de la dimension environnementale vers celle, plus globale, de la RSE.Pour David Henry : « Notre engagement dans la charte environnement nous a permis, grâce à l’accompagnement d'UEE, de nous lancer dans le label RSE. Afin d’assurer cette transition, nous avons lancé une concertation en interne et l’idée a été très vite acceptée par les collaborateurs. C’est une des clés du succès de la démarche du Label RSE proposé par la profession ».Pour Benoist Thomas : « Le Label RSE est une démarche de management qui offre aux collaborateurs des chemins de progrès et permet aux entreprises de s’exprimer aussi bien sur leurs outils de production que sur les solutions constructives qu’elles proposent à leurs parties prenantes. Telles étaient les raisons qui ont motivé le SNBPE au moment de son engagement ».Cette table ronde a également été l’occasion de dresser les enjeux à venir.Catherine Bonin « Parmi les grands enjeux qui attendent la profession, on peut citer la gestion de l’eau et l’indépendance minérale. Une partie de la solution résidera dans la capacité des entreprises et des territoires à être plus résilients. »L’accompagnement des PME dans leur démarche RSE et en faveur de l’environnement est au cœur des missions et actions menées par l’association. En 2020, un guide méthodologique destiné à ces entreprises a par exemple été publié afin de faciliter leur engagement dans la RSE puis plus récemment un quiz de sensibilisation à visée pédagogique sur ces enjeux leur a été proposé. La mise à disposition d’outils et l’organisation de formations à destination des adhérents font également partie intégrante des dispositifs d’accompagnement déployés par UEE.François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) est revenu lors de cette assemblée générale sur la question « RSE, contrainte ou opportunité pour les PME ? ».Pour François Asselin : « Faire reconnaître les entreprises vertueuses fait partie des combats de la CPME. L’Etat doit absolument encourager ceux qui s’engagent dans ces démarches exemplaires et leur donner un avantage ».L’objectif immédiat est donc d’obtenir, de la part des pouvoirs publics, une reconnaissance formelle des labels sectoriels tels que le Label RSE UEE, qui valide toutes les conditions requises.Pour Louis Natter : « Cette reconnaissance est attendue par nos entreprises. Elle aura mécaniquement deux effets : mobiliser encore davantage de PME en faveur de la RSE et générer des contreparties tangibles, en particulier la prise en compte de ces démarches dans la commande publique et privée ».Une remise de prix pour saluer les engagements des entreprises adhérentes Lors de l’assemblée générale, les lauréats du concours vidéo « 30 ans d’engagements » lancé en février 2022 ont reçu leur prix des mains du jury exclusivement externe, présidé par Sylvain Boucherand, président de la commission environnement du Conseil Economique, Social et Environnemental. Le jury était composé de : Florence Cayola, Présidente du groupe presse Cayola, Guiomar Henriques, Responsable Collecte de l’OPCO2i Île-de-France, Claire Pétreault, Créatrice et Présidente des Pépites Vertes, Florence Presson, Adjointe au Maire de Sceaux déléguée aux transitions et à l’économie circulaire & solidaire.Ce concours de vidéos ouvert aux collaborateurs des entreprises adhérentes, avait pour objectif de valoriser les métiers et les actions mises en place par les professionnels de la filière, en lien avec le Label RSE ou la démarche Cap Environnement. Les Lauréats : Catégorie« Fiers de nos sites » :1ère prix, attribué à Hugo Dusseux, entreprise Lafarge2ème prix, attribué à Kévin Thirion, entreprise EiffageCatégorie « Passionnés par nos métiers » :1ère prix, attribué à Marc Chimot, groupe CB2ème prix, attribué à Carine Pires, entreprise GarandeauCatégorie « Engagés avec nos parties prenantes » :1ère prix, attribué à Anthony Nguyen, entreprise Vicat2ème prix, attribué à Abigail Torres Guerrero, entreprise CemexPrix Coup de cœur du jury, attribués à :David Wingel, entreprise CemexPierre Proy, groupe CBPrix du Public (décernés à la suite d’un vote du public sur youtube) :Catégorie « Fiers de nos sites » attribué à Antoine Moreau, entreprise Bronzo PerasssoCatégorie « Passionnés par nos métiers » attribué à Lucas Jacquemet, entreprise CMGOCatégorie « Engagés avec nos parties prenantes » Abigail Torres Guerrero, entreprise Cemex
Il y a 2 ans et 283 jours

Réouverture du bâtiment B de l’université de Caen

L’université de Caen occupe une place à part dans l’histoire des universités françaises. Fondée au 15e siècle, elle est l’une des universités les plus anciennes. Détruite entièrement pendant la seconde guerre mondiale en 1944, sa reconstruction qui s’est étalée sur presque 10 ans a été l’occasion de repenser son organisation. Ainsi, Henry Bernard, son architecte urbaniste, avait décidé de rebâtir une université monumentale sur le modèle des « campus » à l’anglo-saxonne. Ce pari audacieux symbolisait la renaissance de la cité normande. 64 ans plus tard, la rénovation du bâtiment B, classé au titre des monuments historiques depuis 1962, est une nouvelle étape de l’évolution de l’université de Caen. La restauration du bâtiment B qui vient de se terminer, après 6 ans de travaux et 29 millions d’euros de budget, permet d’offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales grâce à de nombreuses innovations pédagogiques et à un cadre de vie de qualité, tout en mettant en place des innovations technologiques. Cette rénovation intégrale du bâtiment B, première grande étape des rénovations du Campus 1, témoigne de la stratégie de l’université de Caen en matière de gestion immobilière tournée vers l’avenir : des bâtiments connectés, performants énergétiquement, vecteurs de vie étudiante et d’animation et ouverts aux nouvelles manières d’enseigner en relation avec l’utilisation du numérique.Pour Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie : « La rénovation intégrale du bâtiment B est un condensé de l’ambition écologique et technique de l’université en matière de gestion de son patrimoine immobilier et témoigne de la permanence de cette vision novatrice du célèbre architecte, Henri Bernard. Projet très ambitieux, cette rénovation vise à la fois l’excellence thermique et la modularité des espaces dans un patrimoine classé. »Histoire : Tel le Phénix, l’université de Caen renaît de ses cendresLe Bâtiment B du campus 1, classé monument historique, a été conçu après la deuxième guerre mondiale par le grand architecte Henri Bernard dans le cadre de la reconstruction du centre-ville de Caen après sa destruction pendant la bataille de Normandie. Achevé en 1967 et ayant subi de multiples modifications, le bâtiment était en mauvais état et nécessitait une rénovation complète pour retrouver son dessin initial et être en phase avec les usages contemporains.Les travaux entre traditions et innovationsFermé entre 2016 et 2022, le bâtiment B a été intégralement vidé pour n’en conserver que la structure primaire. En accord avec les architectes des Bâtiments de France et selon le projet initial d’Henri Bernard, des modifications des façades ont été opérées afin d’ouvrir le bâtiment sur le campus et sur la ville, de faire entrer plus largement la lumière naturelle et d’en faciliter la circulation.L’opération a duré 6 ans durant lesquels jusqu’à 25 corps d’état se sont succédés sur le chantier. Le budget total, hors équipements, est de l’ordre de 29 M€ apportés par l’université de Caen, la Région Normandie, le département du Calvados et le Plan de relance (France Relance). Malgré les « surprises » comme la présence d’amiante qui a nécessité un désamiantage complet (15.000 m2) et les retards générés par la crise sanitaire, le planning initial a été respecté. Le bâtiment B est prêt pour la rentrée de septembre 2022 grâce, notamment, à la maîtrise de la technologie BIM (modélisation des données du bâtiment) par les équipes de l’Université.Des innovations technologiques...Afin de répondre à l’ambition de l’université en termes de développement durable, le bâtiment intègre les impératifs écoresponsables actuels. Ainsi, en choisissant la pose de fenêtres ultraperformantes alliées à une chaudière biomasse bois-gaz, l’université́ anticipe le durcissement de la règlementation en matière de consommation énergétique. De plus, le recours à des matériaux biosourcés a été privilégié par l’architecte ; ainsi, les menuiseries (tablettes, chaises) sont en hêtre, un bois local. Par ailleurs, un système de récupération de l’eau de pluie assure une part significative de la consommation du bâtiment....Aux innovations pédagogiquesL’innovation pédagogique est au cœur de la restauration du bâtiment. C’est pourquoi, l’équipe du CEMU, le service d’appui à la pédagogie de l’université qui accompagne les enseignants dans leur démarche pédagogique et l’intégration du numérique dans leurs enseignements, va prendre ses quartiers au 3ème étage du bâtiment B. Dès à présent, les enseignants peuvent utiliser tous les outils digitaux à leur disposition et compter sur les ingénieurs pédagogiques du CEMU pour les épauler dans leur démarche pédagogique, notamment dans l’intégration du numérique dans leurs enseignements.Afin de mettre les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage, un ensemble de 18 salles de travail connectées d’une capacité de 8 et 12 personnes facilitant le travail collaboratif autour d’un écran sont réparties dans le bâtiment. Cela permet aux étudiants de se retrouver, d’échanger et de se poser. L’idée est de favoriser le travail collaboratif en mode projet. Les salles de cours intègrent tous les outils numériques (prises réseaux, WiFi) et les équipements audiovisuels (vidéoprojecteurs, écrans, casques, etc.). Certaines salles de cours sont modulables et peuvent, si nécessaire, devenir des grandes salles d’examen grâce à un jeu de cloisons mobiles, spécialement étudiées pour offrir une isolation phonique adéquate lorsqu’elles séparent les salles.Le bâtiment possède même son propre plateau d’enregistrement vidéo et son studio audio de qualité professionnelle.
Il y a 2 ans et 283 jours

Moselle : nouveau collège Marie-Curie-de-Fontoy, un exemple du « Collège de demain » dans le Département

L’Eurodépartement de la Moselle a concrétisé son programme « Collège de demain » à Fontoy. Le nouveau collège Marie-Curie a ouvert ses portes...
Il y a 2 ans et 283 jours

Moselle : nouveau collège Marie-Curie-de-Fontoy, un exemple du « Collège de demain » dans le Département

L’Eurodépartement de la Moselle a concrétisé son programme « Collège de demain » à Fontoy. Le nouveau collège Marie-Curie a ouvert ses portes...
Il y a 2 ans et 283 jours

Hauts-de-Seine : l’ancienne École nationale de céramique de Sèvres transformée en Jardin des métiers d’art et du design

L’ancienne École nationale de céramique de Sèvres (Hauts-de-Seine) connaît une seconde jeunesse. Elle a été réhabilitée pour accueillir le...
Il y a 2 ans et 283 jours

Bouygues Travaux Publics investit dans une technologie innovante pour l'éolien offshore

Avec l'acquisition exclusive de la technologie d'embase flottante OO-Star, détenue par Floating Wind Solutions, Bouygues Travaux Publics souhaite accélérer son développement de l'éolien offshore.
Il y a 2 ans et 283 jours

Issa Megaron, la villa-grotte en béton

L’agence Proarh Architecture a imaginé une villa tout en béton sur le flanc d’une colline en Croatie, véritable grotte artificielle verdoyante. [©Damir Fabijanic] Située sur l’île croate de Vis, la maison Issa Megaron a été l’occasion pour l’agence Proarh Architecture d’imaginer et de construire une vaste habitation en béton. Elle s’intègre dans le pays. Et repousse les limites de ce que l’on peut faire en architecture moderne “troglodyte”. Pour renforcer cette idée de “grotte artificielle”, les toits de béton sont recouverts de végétation et de pierres locales. Seules, deux des terrasses verticales constituent des espaces de vie habitables. Et offrent une vue dégagée sur le paysage environnant. Cette résidence se confond directement avec la colline. Tout en béton armé et en pierre. Les façades angulaires dominent une piscine d’un bleu profond, entourées de baies qui s’étendent sur toute la longueur de la maison. Cette dernière est envisagée comme un volume creusé, une poche résidentielle, une grotte artificielle, le souvenir d’un abri primitif. Une référence au mégaron grec Tous les éléments porteurs sont en béton armé, ce qui donne à l’intérieur un aspect fini. Tout comme l’antre de la villa. [©Damir Fabijanic]Tous les éléments porteurs sont en béton armé, ce qui donne à l’intérieur un aspect fini. Tout comme l’antre de la villa. [©Damir Fabijanic]Tous les éléments porteurs sont en béton armé, ce qui donne à l’intérieur un aspect fini. Tout comme l’antre de la villa. [©Damir Fabijanic] Elle fait référence au “mégaron”, qui désigne la pièce principale (parfois unique) des riches habitations de l’âge du bronze, en Grèce et en Anatolie. Et, par extension, le nom de ce type de maisons. Cette villa se développe sur deux niveaux : les espaces “nuit” et un salon au premier étage. Et, au rez-de-chaussée, une salle à manger et une cuisine ouvertes sur les terrasses couvertes et non couvertes, et sur la piscine. Tous les éléments porteurs sont en béton armé, ce qui donne à l’intérieur un aspect minéral. L’absence totale d’infrastructure et l’inaccessibilité générale impliquent une autarcie presque totale. Refroidissement et ventilation naturels, réutilisation de l’eau de pluie, panneaux solaires et autres moyens élaborés d’exploiter les ressources naturelles permettent à l’installation de fonctionner comme un lieu de vie et de travail. En auto-suffisance… M. C.
Il y a 2 ans et 283 jours

Artisanat du Bâtiment – Conjoncture du 2e trimestre 2022

Hausse des prix des matériaux et de l’énergie au 2e trimestre 2022 : la CAPEB inquiète pour 2023 malgré une conjoncture encore favorable aujourd’hui  Paris, le 6 septembre 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) présente les chiffres de l’activité du 2e trimestre 2022 pour les entreprises artisanales du […]
Il y a 2 ans et 283 jours

Elec calc 2022, le logiciel qui révolutionne la conception électrique des bâtiments

Dans cette nouvelle version, les innovations sont orientées autour de la sécurité des installations électriques et de la continuité d’exploitation. Il sera possible aussi de répondre aux enjeux des Smart Grids car le logiciel, dans la version elec calc GRID, permet de prendre en compte les flux de puissance provenant d’une source photovoltaïque.Pour Jérôme Mullie, Directeur Technique Trace Software : « Aujourd’hui la continuité d’exploitation est un enjeu majeur dans beaucoup d’applications, il est donc indispensable de pouvoir intégrer tous les paramètres de réglage pour effectuer rapidement des analyses, et ainsi optimiser la sélectivité de l’installation. Dans la version 2022, nous avons développé un simulateur de défaut qui, en temps réel et en tous points de l’installation, permet à l’utilisateur d’obtenir la séquence de déclenchement des protections. »Parmi les nouveautés d’elec calc :Le contrôle de coordination entre les disjoncteurs et les interrupteurs sur la base des tables fabricantsLa gestion de la temporisation long retard ainsi que la fonction i2tLa vérification de la sélectivité différentielleLa simulation des différents défauts de court-circuit en tous points de l’installation afin de connaître la séquence de déclenchement des protections en amontLa prise en compte de la source PV avec elec calcTM GRID. Elle sera définie automatiquement en source à puissance contrôlée avec la puissance active et réactive imposée.Intégration des contrôles sur les bornes IRVE définis dans le guide 15-722 et le label EV ReadyLa prise en compte du classement de résistance au feu Euroclasses pour les canalisationsLe connecteur vers la plateforme Onfly de BIM&CO pour récupérer les bases de bornes IRVE et d’onduleurExport du projet vers Hagercad.T, logiciel de conception et de chiffrage d’armoiresLes clients ayant un abonnement sont automatiquement avertis depuis leur logiciel de la disponibilité de cette nouvelle version.
Il y a 2 ans et 283 jours

saunier duval vous donne rendez vous sur interclima hall 3 allee f stand 090 et a l exterieur

L’occasion pour la marque de vous inviter gratuitement à découvrir ou redécouvrir ses produits dédiés au chauffage, à la climatisation et à la production d’eau chaude sanitaire... en statique mais également en fonctionnement ! Au programme : Gaz verts, RE2020, pompes à chaleur fabriquées en France, services de connectivité...
Il y a 2 ans et 283 jours

une gamme solaire complete pour repondre a tous les chantiers

Pour la production d’énergie solaire par la toiture, EDILIANS a développé un ensemble de solutions pouvant répondre à tous les types de projets et de budgets grâce à sa Tuile Solaire Max, ses tuiles en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux photovoltaïques EASY ROOF ACCESS.
Il y a 2 ans et 283 jours

solisysteme l inventeur de la pergola bioclimatique exposera a batimat 2022

Après plusieurs années d’absences liées à la crise sanitaire, SOLISYSTEME fera son grand retour à BATIMAT pour l’édition 2022. Historiquement présent pour ce moment emblématique du milieu du bâtiment, SOLISYSTEME a voulu ces retrouvailles aussi surprenantes que chaleureuses. Rendez-vous donc du 03 au 06 Octobre sur le stand SOLISYSTEME, Pavillon 5.2 – Stand E035 à Paris – Porte de Versailles.
Il y a 2 ans et 283 jours

kp1 devoile sa strategie environnementale

Le groupe entend participer activement au bâti de demain, éco-responsable et performant. Depuis son origine, KP1 est engagé dans une démarche environnementale en proposant des systèmes préfabriqués en béton précontraint, synonyme de frugalité : moins de béton, moins d’aciers, moins de carbone. Aujourd’hui, nous dévoilons notre stratégie environnementale avec l’ambition de réduire de 50 % notre impact carbone à horizon 2031. Cet objectif répond aux évolutions sociétales en matière d’empreinte carbone et va au-delà des exigences fixées par le calendrier de la RE 2020.
Il y a 2 ans et 284 jours

Retraites : reçus par Dussopt, les syndicats pas rassurés

Dialogue de sourds au ministère. Invités à discuter du dernier rapport du Conseil d'orientation des retraites (COR) publié la semaine dernière, les syndicats n'ont pu que constater leurs désaccords avec un Olivier Dussopt suspecté de "noircir la perspective financière pour légitimer une mesure qui interviendrait rapidement", selon Yvan Ricordeau, négociateur attitré de la CFDT.Au contraire, "il n'y pas le feu dans le système de retraite, donc ne mettons pas le feu dans le pays sur cette question", a-t-il dit.Une position partagée par toutes les organisations présentes. "Il n'y a pas péril en la demeure", affirme ainsi Catherine Perret au nom de la CGT, qui menace par avance de "couper immédiatement toute discussion avec le gouvernement" et de "rentrer dans la confrontation sociale" si une réforme des retraites était intégrée au prochain budget de la Sécurité sociale.A une semaine de la présentation du projet de loi, "cette piste, y compris avec passage par le 49-3, n'a pas été écartée", indique Cyril Chabanier. Pour le leader de la CFTC aussi, un tel "passage en force" mettrait "fin aux concertations" et déboucherait "sur un conflit qui irait sûrement dans la rue". L'exécutif "nous trouvera sur sa route", prévient Michel Beaugas, chef de file pour Force ouvrière, qui "appellera à la manifestation et certainement à la grève" pour contrer un éventuel recul de l'âge légal ou de la durée de cotisation."S'ils s'entêtent, il y aura des réactions extrêmement fortes", prédit son homologue de l'Unsa, Dominique Corona, souhaitant que le gouvernement "entende cet avertissement fort, clair et précis". Ce ne semble pas être le cas pour le moment. "On a senti qu'Olivier Dussopt rôdait les éléments de langage pour passer une mesure rapidement", avance le numéro un de la FSU, Benoît Teste.Le patron de la CFE-CGC, François Hommeril, fait la même lecture: "Le ministre nous dit que les déficits à venir vont être terrifiants, et que le seul moyen de les affronter, c'est de demander aux salariés de travailler plus longtemps".
Il y a 2 ans et 284 jours

La réglementation "anti-Airbnb" au Pays basque finalement autorisée par la justice

Dans leur ordonnance rendue le 16 septembre, les juges de la juridiction administrative mettent "fin à la suspension de l'exécution de la délibération du conseil communautaire de la Communauté d'agglomération Pays Basque du 5 mars 2022".Saisi d'un référé suspension, ce même tribunal avait donné raison le 3 juin à un collectif de 50 requérants propriétaires et sociétés de conciergerie, qui avait relevé un "doute sérieux" quant à la légalité de cette mesure votée début mars.Début juillet, les élus du Pays basque avaient revu leur règlement, au regard des observations formulées par les juges des référés, pour en proposer une version "ajustée".La mesure de compensation oblige les propriétaires à produire, dans la même ville et avec une surface équivalente, un bien sur le marché locatif à l'année pour compenser un logement transformé en meublé touristique. Elle doit s'appliquer à 24 communes du Pays basque d'une zone dite "tendue".Les règles avaient été précisées, pour y introduire une "meilleure proportionnalité", face à la "rareté voire l'inexistence de locaux éligibles à la compensation", soulignée par les juges.Le nouveau règlement permet notamment aux propriétaires d'acheter des "droits de commercialité" à d'autres pour récupérer des locaux et concède également que des locaux de rez-de-chaussée, jusque-là exclus du cadre, puissent être convertis tant que leur vitrine ne donne pas sur le domaine public.A la suite de cette décision, la version modifiée de la règle de compensation pourra désormais s'appliquer à compter du 1er mars 2023. Le combat juridique entre l'agglomération basque et les requérants n'est toutefois pas terminé : après ce référé suspension, moyen d'urgence fondé sur la forme de la délibération, une audience au fond, sur le contenu même de la mesure et sur sa légalité, aura lieu dans les prochains mois.L'association Alda, qui défend le droit à se loger au Pays Basque, s'est réjouie de cette décision, un "camouflet" à l'égard "des divers lobbies et multi-propriétaires (...) qui avaient multiplié les recours contre ce règlement", écrit-t-elle dans un communiqué.Selon elle, le vote du 5 mars "a stoppé net l'hémorragie du parc résidentiel privé vampirisé par les airbnb permanents" et "dissuade aujourd'hui les investisseurs financiers et prêts bancaires qui attendront de connaître l'issue finale des procédures judiciaires actuelles avant d'acheter des logements habités à l'année pour les transformer en meublés de tourisme".Plus de 16.000 meublés touristiques sont recensés dans les 24 communes du Pays basque concernées, soit une augmentation de 130% entre 2016 et 2020, selon l'Agence d'urbanisme Atlantique et Pyrénées (Audap).En novembre, une manifestation pour le droit au logement avait rassemblé entre 6.500 et 8.000 personnes dans les rues de Bayonne.
Il y a 2 ans et 284 jours

Un gratte-ciel en Chine ravagé par un incendie

Le feu, désormais éteint, a touché le bâtiment de l'opérateur téléphonique China Telecom à Changsha. Cette ville peuplée de 10 millions d'habitants est la capitale de la province du Hunan.Les impressionnantes images diffusées par la télévision publique CCTV montraient d'immenses et puissantes flammes orange ravager tout un côté du bâtiment, qui compte 42 niveaux en surface.Sur des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, on peut voir une fumée noire extrêmement dense s'échapper de l'immeuble et des passants s'enfuir afin d'éviter d'être touchés par des débris incandescents tombés du ciel."Selon une enquête préliminaire", l'incendie "se serait déclaré sur un mur extérieur du bâtiment", ont indiqué les pompiers de la province sur le réseau social Weibo."Le feu a été éteint et aucune victime n'a été trouvée", ont-ils souligné, disant avoir reçu le premier appel au secours à 15H48 (07H48 GMT).Immeuble calcinéDes internautes ont publié des images d'un long bras articulé des pompiers projetant à l'aide d'une lance de l'eau sur la carcasse noire du bâtiment en partie calciné."L'incendie a été éteint vers 16H30" et "les communications (téléphoniques) n'ont pas été interrompues", a précisé China Telecom dans un message publié sur Weibo, confirmant l'absence de victime pour le moment.La construction du gratte-ciel avait été achevée en 2000, selon CCTV.Cette relative modernité de l'immeuble pourrait expliquer en partie l'absence de victime pour le moment, des exercices anti-incendie étant régulièrement pratiqués dans les bâtiments des grandes villes.Des précédentsDes incendies mortels surviennent toutefois régulièrement en Chine, où l'application parfois laxiste des consignes de sécurité et les constructions illégales peuvent compliquer l'évacuation d'un bâtiment en feu.En juin 2021, dans la province du Henan (centre), l'incendie d'une école d'arts martiaux avait fait 18 morts, pour la plupart des élèves âgés de sept à 16 ans.Les médias officiels avaient indiqué que le bâtiment abritant l'école n'avait pas passé les contrôles de sécurité obligatoires. L'événement avait provoqué un tollé en ligne et une mobilisation sur les réseaux sociaux pour de meilleures normes anti-incendie.En 2017, deux incendies avaient tué plus d'une vingtaine de personnes dans des quartiers de Pékin habités par des travailleurs migrants venus d'autres provinces.En 2010, un vaste incendie avait ravagé un immeuble résidentiel de 28 étages à Shanghai, tuant 58 personnes.
Il y a 2 ans et 284 jours

Menace de fermeture d'une usine Saint-Gobain près de Lyon : les salariés mobilisés

RÉORGANISATION. Le site vénissian (69) de l'entreprise Savoie Réfractaires, filiale du groupe Saint-Gobain spécialisée dans les matériaux réfractaires, pourrait fermer ses portes en 2023. Si les salariés tentent de sauver leur usine, Saint-Gobain semble davantage tabler sur le dialogue et le reclassement.
Il y a 2 ans et 284 jours

Energie, réindustrialisation... Elisabeth Borne distribue quelques gages aux régions

DÉCRYPTAGE. Intervenant en clôture du congrès des Régions de France, le 16 septembre 2022, la Première ministre Elisabeth Borne n'a pas "livré des décisions prises par l'Etat en [les] mettant devant le fait accompli". Ce qui ne l'a pas empêché de se montrer favorable à certaines avancées, tandis que les régions se disent prêtes à prendre plus de responsabilités. Et pourquoi pas le pilotage de certaines agences ou dispositifs d'aides à la rénovation.
Il y a 2 ans et 284 jours

Hausse des coûts, REP bâtiment, aides à la rénovation énergétique... les 26 propositions des artisans du bâtiment au gouvernement

La CAPEB rappelle, s’il le fallait encore, que nous sommes dans un contexte économique qui fait craindre une baisse importante de l’activité dans le bâtiment d’ici à la fin du second semestre 2022. Alors oui, les artisans du bâtiment défendent, eux aussi, la nécessité de mettre en œuvre une transition énergétique et écologique ambitieuse dans le secteur, et notamment dans le domaine de la rénovation des bâtiments existants (réduction des dépenses énergétiques, réduction des émissions des gaz à effet de serre, décarbonation). Mais la CAPEB rappelle que cette révolution ne doit pas se faire au détriment de son volet social, notamment de l’emploi, ni au détriment de l’activité économique des entreprises. Et c’est dans ce contexte que s’inscrivent les propositions de la CAPEB faites au Gouvernement.Elles visent donc à conforter l’activité des entreprises dans un contexte économique menaçant (hausse des coûts des matériaux et des équipements, hausse des coûts de l’énergie, difficultés d’approvisionnement, etc.), à booster les travaux de rénovation énergétique en donnant aux donneurs d’ordre, et notamment aux particuliers, les moyens de les financer, et, enfin, à permettre la transition écologique du secteur dans le cadre d’un calendrier volontariste mais réaliste. Compte tenu de l’importance des enjeux, les propositions de la CAPEB ne concernent quasiment que le secteur de la rénovation et ont volontairement été limitées en nombre. La CAPEB reste plus que jamais aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment, investis et déterminés.Lutter contre la hausse des coûts et l'inflationHausse des prix : La CAPEB demande une réelle transparence Assurer une réelle transparence sur les hausses de prix pratiquées par les industriels et les négoces, en lien avec la crise de la COVID, la guerre en Ukraine et la décarbonation des process industriels.REP Bâtiment (responsabilité élargie du producteur dans le secteur du bâtiment)La CAPEB demande à disposer d’un calendrier de mise en œuvre réalisteDécaler la mise en œuvre de la REP BÂTIMENT au 1er janvier 2024 pour éviter d’ajouter de l’inflation (a minima 1,5% dès 2023 et 6% à terme) à l’inflation, mais également afin de laisser un temps suffisant aux entreprises pour intégrer le montant des éco-contributions dans leurs devis.Cette disposition, indolore pour les finances publiques, est également rendue nécessaire du fait du retard pris dans la mise en œuvre de la REP (agrément des éco-organismes, détermination des éco-contributions, traçabilité, etc.).Construction neuveLa CAPEB demande l’indexation des plafondsIndexer, pour l’ensemble des dispositifs existants, les plafonds de ressources sur l’inflation réelle.MaPrimeRénov'La CAPEB demande de booster les travaux de rénovation énergétiqueIndexer les aides de MaPrimeRénov sur l’inflation constatée dans le secteur du bâtiment afin d’éviter une augmentation du reste à charge des ménages.CEE (Certificats d'Économie d'Énergie)La CAPEB demande à indexer les primes CEEIndexer les primes CEE dans le cadre des coups de pouce, ainsi que les plafonds de ressources sur l’inflation constatée par type de travaux afin d’éviter une augmentation du reste à charge des ménages.Pass'RénoLa CAPEB demande la mise en place d’une aide de 300€ pour les ménages modestesMettre en place un Pass’Réno de 300 € environ, de manière temporaire (6 mois) afin d’amortir l’impact de l’inflation, pour les ménages très modestes (revenus d’un couple inférieur à 22.320 €, environ 3 millions de ménages) et pour les passoires thermiques, fléchant prioritairement les travaux d’urgence et les travaux d’entretien-maintenance-dépannage.Cette disposition serait complémentaire au chèque énergie actuel, d’un montant de 150 € (distribué à près de 5,8 millions de ménages).Ce Pass’Réno serait d’un coût d’environ 700 millions d’euros, mais plus ciblé sur les travaux de performance énergétique (et non sur les coûts de l’énergie) et les plus précaires.Cette mesure permettrait d’amortir la hausse des coûts (5 à 10% en moyenne sur les devis au premier trimestre 2022) pour les particuliers et de maintenir l’activité des entreprises du bâtiment en ne cassant pas la dynamique actuelle.Booster les aides à la rénovation énergétique et simplifier les dispositifsMaPrimeRénov'La CAPEB demande la diminution du reste à chargeDiminuer de moitié le reste à charge pour les ménages modestes et très modestes pour accélérer la rénovation énergétique du parc de logement avec l’octroi d’un bonus en cas de réalisation de travaux multigestes (ex. : 1 geste chauffage + 1 geste isolation) ou de rénovation globale.Cette mesure générera une augmentation des économies en termes de dépenses énergétiques et diminuera la demande en énergie. Elle favorisera l’activité et l’emploi dans le secteur du bâtiment en 2023, période qui sera plus difficile pour la filière si aucune mesure de soutien n’est prise.Le coût direct de cette mesure pourrait s’élever autour de 480 millions d’euros sur un an, éventuellement renouvelable en fonction des résultats constatés en nombre de rénovations énergétiques.CEE (Certificats d'Économie d'Énergie)La CAPEB demande une valorisation du systèmeRedynamiser le marché des CEE en augmentant le niveau des obligations des obligés.Stabiliser le dispositif des CEE sur la durée de la cinquième période en évitant les « stop and go » successifs, notamment pour ce qui concerne les opérations « coup de pouce ».Mettre en œuvre aussi rapidement que possible le programme OSCAR, et notamment ses volets SIMPLIFICATIONS et ACCOMPAGNATEURS DES PROS, en le renforçant, le cas échéant, en fonction des premiers résultats constatés sur le terrain.Financer un audit énergétique gratuit dès le premier geste réalisé par un particulier en vue d’élaborer un parcours travaux de rénovation énergétique pour le logement/la maison afin d’atteindre un niveau de performance de consommation souhaitable.Rénovations globalesLa CAPEB demande que leur réalisation soit facilitée pour les TPEEn complément de l’actuel taux de TVA à 5,5% pour les travaux de rénovation énergétique, mettre en place une TVA à taux réduit à 5,5% pour tous les travaux réalisés en groupement momentané d’entreprises (GME) constitué de plus de trois corps de métiers, ce qui incitera les entreprises artisanales de proximité à se constituer en GME pour réaliser des travaux complets et facilitera la vie des particuliers par la mise en place d’un interlocuteur unique de chantier.Cette mesure est d’un coût faible, voire marginal pour l’État et constituera un levier fort pour accélérer le nombre de rénovations globales et permettre une massification des travaux portée non par une minorité de grands faiseurs, mais par le plus grand nombre des TPE du bâtiment (soit 95% des entreprises du bâtiment), expertes dans leurs métiers.Qualification RGELa CAPEB demande de renforcer la crédibilité du dispositif et de le simplifierImposer la présence d’un référent RGE par tranche de 10 salariés au sein des entreprises qualifiées RGE.Dynamiser le dispositif de la qualification « chantier »* en mobilisant l’ensemble des organismes de qualification autour d’objectifs précis et en faisant connaître ce dispositif par des actions de communication et de promotion de grande ampleurFixer un taux de contrôle par entreprises RGE en fonction du nombre de chantiers réalisés par l’entreprise, le choix des chantiers à contrôler devant être effectué par l’organisme de qualification sur la base de l’ensemble des chantiers réalisés par l’entreprise (choix réellement aléatoire).Coordonner les contrôles réalisés au titre de la qualification RGE et au titre des CEE : choix des chantiers, référentiel de contrôle, etc.* Nouvelle appellation de la qualification « coup par coup »Donner aux artisans les moyens d'exercer sereinement et efficacement leur métierZFE-m (zones à faibles émissions mobilité)La CAPEB demande un calendrier de mise en œuvre réalisteAdapter le calendrier de mise en place des ZFE-m pour tenir compte des réalités économiques des entreprises de proximité et de l’offre de véhicules sur le marché.Intégrer aux processus de mise en place des ZFE-m des représentants des organisations professionnelles représentant les entreprises de proximité.Créer un organe de gouvernance nationale ad hoc des ZFE-m.Autoriser des dérogations locales pour la circulation de certains véhicules en ZFE-m, tout en veillant à leur cohérence au niveau national.Parc des véhicules professionnelsLa CAPEB demande un accompagnement financierFavoriser, par des dispositions financières chocs, la transformation du parc des véhicules des professionnels vers des véhicules propres afin de diminuer le poids de l’énergie dans les charges des entreprises, mais aussi pour contribuer à l’atteinte des objectifs que la France s’est fixée en termes de maîtrise des consommations énergétiques.Cette mesure pourrait être complétée par une offre packagée à destination des entreprises : aide à l’acquisition d’un véhicule électrique intégrant un financement préférentiel couvrant la mise en place d’une borne IRVE et installation de panneaux photovoltaïques pour alimenter la borne de recharge, permettant ainsi un fonctionnement en totale autoconsommation.Lutter pour plus d'équité dans l'exercice des métiers du bâtimentConcurrence déloyaleLa CAPEB demande des mesures rapidesLimiter à deux ans, dans le BTP, le recours au régime de la microentreprise en activité principale.Supprimer tous dispositifs légaux générant des situations de dumping social, renforcer les sanctions existantes, notamment concernant le détachement de salariés, et contrôler le bon paiement des cotisations sociales.Contrôler l’exercice d’activités dissimulées favorisé par les plateformes de mise en relation qui facilitent la possibilité d’échapper aux obligations fiscales et sociales, et l’exercice d’activités sans les qualifications professionnelles requises dans le bâtiment.Sous-traitance en cascadeLa CAPEB demande sa limitationLimiter la sous-traitance en cascade, au rang 1, pour contribuer à la solidité financière des entreprises et à la qualité des travaux réalisés.
Il y a 2 ans et 284 jours

25 ans après son interdiction, l’amiante continue de peser sur nos vies

Un numéro hors-série de 84 pages, pour rouvrir le dossier de l’amiante, véritable boîte de Pandore, dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences. Une enquête fouillée et édifiante sur les millions de tonnes de matériaux toxiques qui subsistent dans de nombreux bâtiments, notamment dans les écoles de la République. Le média révèle également, alors même que leur importation est formellement prohibée, que des produits manufacturés contenant de l’amiante continuent de franchir les frontières de l’Europe. Un nouvel acte, dans cette tragédie sans fin, est en train de se jouer.L’amiante d’aujourd’hui, ce sont les cancers de demainPour réaliser ce hors-série consacré aux 25 ans du scandale de l’amiante, la rédaction d’Infodiag a interrogé de nombreux grands témoins, dont la sociologue de la santé Annie Thébaud-Mony, présidente de l’Association Henri-Pézerat, du nom de son compagnon, lanceur d’alerte en matière d’amiante dès les années 1970. Pour cette spécialiste des maladies professionnelles, on peut véritablement parler d’un « crime industriel ». « J’ai été impressionnée par la mortalité précoce chez les ouvriers. Mourir d’un cancer à 40-50 ans n’est pas la même chose que de mourir d’un cancer à 80-90 ans. Je ne m’y fais pas, je trouve toujours ça terrible », souligne-t-elle. Dans cet entretien, Annie Thébaud-Mony évoque également avec colère les années 80, et « l’usage contrôlé de l’amiante » qui constituait à ses yeux une véritable mystification. Pendant longtemps, rien n’a bougé. Et puis, en 1995, des études publiées en Grande-Bretagne ont montré que l’on s’acheminait vers une catastrophe sanitaire similaire à celle du sang contaminé. C’est alors que le couvercle a sauté.Seule une volonté politique peut changer la donne…Suite à son interdiction de 1997, la production et la commercialisation de l’amiante ont été stoppées. Mais le combat n’est pas fini. Les équipements de protection respiratoire utilisés sur les chantiers ne sont pas suffisamment étanches pour éviter l’inhalation de fibres d’amiante. Il faut donc abaisser encore les valeurs limites de façon drastique et envisager des équipements comme ceux utilisés dans l’industrie nucléaire. Le problème tient au coût très élevé du désamiantage. À partir de là, les considérations économiques reprennent le pas sur la santé. Le ministère du Travail ou les parlementaires arguent qu’un renforcement de la réglementation mettrait les entreprises en difficulté avec des milliers d’emplois supprimés.Pour Aline Archimbaud, qui a présidé le Comité de suivi de l’amiante au Sénat, autre grand témoin interrogé par Infodiag : « Seule une volonté politique, avec un pilotage national, peut changer la situation. Nous ne pourrons pas tout désamianter du jour au lendemain, vingt, trente ans ou plus seront nécessaires. Si nous n’avons pas une stratégie nationale pour identifier les urgences, nous ne nous en sortirons pas. »L’amiante à l’école : une vraie bombe à retardementLe hors-série d’Infodiag révèle un autre scandale. En France, 8 établissements scolaires sur 10 sont concernés par l’amiante, sans que l’on sache forcément où il se trouve. La réglementation est sans doute bien faite, mais elle demeure très mal appliquée dans les écoles de la République. La seule enquête réellement sérieuse qui ait été menée sur le sujet remonte à 2016. 20.000 établissements ont alors répondu à un questionnaire de l'Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement (ONS), organe de l'éducation nationale aujourd'hui disparu. Ce qu’il en est ressorti : 85% des établissements scolaires français sont sortis de terre avant 1997. Leurs bâtiments sont donc concernés par l’amiante et par l’obligation de remplir un Dossier technique amiante (DTA). Or, 30% des établissements ayant répondu à l’enquête ont indiqué ne pas disposer de ce document.38% des DTA des écoles publiques comptent au moins un matériau amianté (cela s’élève à 77% pour les lycées publics et 80% pour les lycées professionnels).En 2022, l’amiante continue de frapper durement le corps enseignant. Chaque année, on recense peu ou prou une douzaine de maladies professionnelles liées à l’amiante ; soit près de 10% des maladies professionnelles reconnues au sein de l’Éducation nationale.
Il y a 2 ans et 284 jours

Amiante : deux autres cancers bientôt reconnus comme maladies professionnelles ?

SANTÉ AU TRAVAIL. Un lien existe entre le fait d'être exposé à l'amiante et celui de développer un cancer des ovaires et du larynx, assure l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).
Il y a 2 ans et 284 jours

B2O innove dans le secteur des installateurs d’équipements techniques avec son tout nouveau module IoT

 Business Office Oxygen, éditeur et intégrateur d’ERP SaaS pour les installateurs et le BTP, lance son module IoT. C’est le premier logiciel français du secteur à intégrer nativement les données de capteurs IoT à un ERP. Cette innovation va aider les installateurs à optimiser la planification de toutes leurs interventions, qu’elles soient curatives, préventives et […]
Il y a 2 ans et 284 jours

Face à la crise, trop de passoires thermiques

Selon France Info, l’exécutif prévoit de relever le budget du dispositif “Ma Prime Rénov” passant d’une enveloppe de 2 milliards d’euros en 2022 à une enveloppe de 2,6 milliards d’euros dans le projet de loi de finances 2023. Alors que nous nous apprêtons à affronter des risques de pénuries, cet hiver, aussi bien au niveau des énergies fossiles que de l’électricité, une étude dévoilée cet été dresse un bilan inquiétant du nombre de passoires thermiques. Selon elle, sur les 30 millions de résidences principales que compte la France au 1er janvier 2022, environ 1,5 million de logements (5 % du parc) seraient peu énergivores (étiquettes A et B du DPE). À l’opposé, environ 5,2 millions de logements (17 % du parc) seraient des « passoires énergétiques » (étiquettes F et G du DPE). La date de construction du logement, sa taille, sa localisation, le caractère individuel ou collectif de l’habitat et le statut d’occupation figurent parmi les caractéristiques influant sur les performances énergétiques. La part des passoires énergétiques est plus élevée dans les résidences secondaires (32 %, soit 1,2 million de logements) et dans les logements vacants (27 %, soit 0,8 million de logements) ce qui porte l’estimation du nombre de passoires énergétiques à un total de 7,2 millions de logements sur l’ensemble du parc. La nouvelle méthodologie du DPE, en particulier sa nouvelle échelle de classement des logements, combinant des critères de consommations énergétiques conventionnelles et d’émissions induites de gaz à effet de serre, conduit à une plus grande part de logements chauffés aux énergies fossiles parmi les passoires énergétiques. L’observation de ces performances est aujourd’hui rendue possible par la collecte par l’Ademe de l’ensemble des DPE réalisés en France. Elle n’en demeure pas moins complexe, l’exploitation de la base des DPE de l’Ademe à des fins statistiques se heurtant à plusieurs limites. Les DPE sont en effet réalisés à certains moments de la vie des logements, lors des transactions et des mises en location. Ils ne sont donc pas représentatifs du parc (les logements neufs étant notamment surreprésentés). Cette difficulté est traitée ici par le recours au répertoire de logements de l’Insee «Fidéli», qui permet d’assurer la représentativité des résultats par rapport à certaines caractéristiques observables des logements potentiellement liées à la performance énergétique, telles que leur caractère individuel ou collectif, leur date de construction, leur surface, la qualité du bâti, etc. Source : étude de l’Observatoire national de la rénovation énergétique (ONRE) – juillet 2022  
Il y a 2 ans et 284 jours

Solaire photovoltaïque : les solutions d’avenir mises en lumière sur batimat

Avec ses partenaires, Enerplan et le GMPV-FFB (Le Groupement des Métiers du Photovoltaïque de la Fédération Française du Bâtiment), BATIMAT a imaginé un nouvel espace dédié à la filière solaire photovoltaïque, de 400 m2 au cœur du Pavillon 1 sur lequel seront réunis 12 exposants français et internationaux : ALBIOMA, ALEXIS ASSURANCE, APEM ENERGIE, CREAWATT FABRICK, DUALSUN, ENERPLAN, GMPV, GSE INTEGRATION, K2 SYSTEMS, SYSTOVI, VALENERGIES, GOODWE. Un espace de conférences sera aussi disponible. Les visiteurs pourront assister, chaque jour à des conférences et des pitchs, animés par les exposants sur l’espace Photovoltaïque : Les Ateliers photovoltaïques – Les idées reçues sur le photovoltaïque (INES : Institut National du Solaire), lundi 3 octobre : 14h30-15h15 – Le photovoltaïque citoyen, mardi 4 octobre : 10h30-11h15 – La promotion des métiers auprès des jeunes (FFB), mardi 4 octobre : 14h30- 15h15 – Mieux travailler ensemble pour l’installation d’un projet photovoltaïque (GMPV- FFB), mercredi 5 octobre : 10h30-11h15 – Le B-A BA de l’autoconsommation (Enerplan), mercredi 5 octobre : 14h30-15h15 – Comment bien penser un projet en autoconsommation (Atlansun), jeudi 6 octobre : 10h30-11h15 Une session Experts’Corner se tiendra le jeudi 6 octobre de 16h à 17h30 sur l’Agora 1 du Pavillon 1 sur la thématique « Relever le défi européen de la solarisation de nos bâtiments et parkings» – En partenariat avec Enerplan et GMPV-FFB (Espace Photovoltaïque). Seront également programmées des sessions de pitchs, qui permettront aux exposants de l’espace de présenter leurs nouveautés et leurs solutions aux visiteurs. Ces pitchs se dérouleront chaque jour entre 10h et 17h, en alternance avec les 6 conférences et seront animés par les 20 exposants de l’espace.