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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

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Il y a 2 ans et 289 jours

Le climat et "l'humain", priorités de Catherine Vautrin à la tête de l'Anru

Nommée le 1er septembre à la tête de l'agence chargée de piloter la mutation des quartiers populaires, elle a succédé à Olivier Klein, devenu ministre délégué à la Ville et au logement.La priorité de son mandat sera, promet-elle, l'intégration du défi climatique dans le renouvellement urbain, dans le prolongement de la démarche "Quartiers résilients" annoncée lundi par Olivier Klein."Comment peut-on imaginer sortir des projets qui dans cinq ans, dans dix ans, soient incapables de répondre aux défis qui s'offrent à nous ?""Ce qu'on propose, c'est qu'à l'occasion des revues de projet, on reprenne chacun des projets, qu'on regarde si on est bien résilients en matière écologique, de consommation énergétique: à chaque fois qu'on peut se raccorder à un réseau de chaleur, est-ce qu'on l'a fait ?""Il faut, à chaque fois qu'on peut le faire, essayer de lutter contre les îlots de chaleur. Ce sont ces fameuses dalles avec du béton partout, pas un arbre... on peut enlever de l'enrobé, remettre de la végétalisation. Vous avez aussi l'isolation thermique des bâtiments, et c'est aussi bien contre le chaud que contre le froid. Ce ne sont pas que des économies de chauffage, c'est aussi de la qualité de vie en été.""Il faut aussi qu'on tire les conséquences du post-Covid", poursuit Catherine Vautrin."Quand les gens ont été confinés chez eux, qu'est-ce qu'ils nous ont dit ? Évidemment, l'espace (...) Dans un projet Anru, en moyenne, un balcon c'est 7.000 euros. C'est un coût supplémentaire, et pourtant, est-ce que ça ne vaut pas le coup qu'on regarde ? Parce que c'est offrir tout de suite un prisme différent de son logement. Un été comme celui-là, si le soir, on peut être un peu sur son balcon, c'est un peu d'air."En revanche, pas de rallonge budgétaire à l'horizon pour l'Anru, malgré l'envolée des prix des matériaux de construction, qui rend les chantiers plus chers."Maintien des budgets""Il est pas question de faire des opérations au rabais, et c'est d'autant plus vrai que les matériaux ont une importance fondamentale dans notre approche de sobriété et de résilience. (...) Mais à ce stade, je vais déjà me battre pour obtenir le maintien des budgets, je ne vois pas comment je peux obtenir un budget inflation dans le contexte", reconnaît-elle.L'ancienne ministre déléguée à la Cohésion sociale sous la présidence de Jacques Chirac veut également une évaluation plus profonde des projets urbains terminés."Je souhaite qu'on ait un regard extrêmement précis de l'état dans lequel sont les opérations que nous avons livrées y a dix-huit ans, quinze ans, dix ans, parce que c'est important qu'on ait un plan de gestion qui nous permette de regarder comment, dans le temps, les choix qui ont été faits ont vieilli." "Quand vous avez un quartier qui fait l'objet d'une rénovation complète, c'est normal qu'au-delà de la simple rénovation du quartier, il y ait un suivi de façon à ce que ce quartier, qui n'est plus le même, ait des ambitions auxquelles il doit répondre et qu'on puisse accompagner, voir ce qui va, ce qui ne va pas, de façon pourquoi pas à voir que quelque chose ne marche pas, comment tout de suite on agit et on n'attend pas que les choses se dégradent." Également présidente de la communauté urbaine du Grand Reims, Catherine Vautrin n'envisage pas de quitter son mandat local. "Ce que j'ai appris à Reims, ce que je vis à Reims tous les jours, me permet précisément de connaître les quartiers, d'expérimenter, de comparer, et je pense qu'une présidente de l'Anru doit être au quotidien au cœur des problématiques des habitants des quartiers", justifie-t-elle."Il n'y aurait rien de pire pour l'Anru que d'avoir à sa tête quelqu'un qui ne sait pas ce que c'est qu'un quartier et qui n'ait pas cette expérience".
Il y a 2 ans et 289 jours

Entretien avec Pierre Knoché, DG France de Kiloutou

D’où vient Kiloutou ? Depuis quand l'entreprise existe-elle ?Pierre Knoché : Le groupe Kiloutou a été fondé en 1980 par Franky Mulliez avec la volonté de devenir la première chaîne française de location de petits matériels et outillage. Tout a commencé avec 3 agences dans le Nord, aujourd’hui elles sont 564 réparties en France, en Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et depuis peu au Danemark et au Portugal. Aujourd’hui la société s’est considérablement développée avec un élargissement de sa gamme sur le matériel de terrassement, d'élévation et de véhicules et l'extension à l'international. Le parc matériel compte actuellement 265.000 matériels.Quelle est la place de Kiloutou sur le marché ? Comment décririez-vous l’évolution du marché de la location de matériel ?Pierre Knoché : Kiloutou est actuellement le 3ème loueur de matériel européen et 95% des clients sont des professionnels (aussi bien les grands acteurs du BTP, que les artisans ou les industriels).L’évolution du marché de la location de matériel est désormais orientée vers la lutte contre le réchauffement climatique :On sait que 20% des émissions de CO2 d’un chantier sont liées au fonctionnement du matériels (Etude Carbone 4 pour la FNTP - périmètre France). De sa fabrication à sa fin de vie, en passant par son usage et sa maintenance, un matériel à motorisation électrique rechargée sur le réseau, à hydrogène vert ou biogaz, permet jusqu’à 60% de réduction des émissions de CO2 par rapport à un modèle thermique.Notre principale préoccupation est donc de pouvoir proposer des matériels plus respectueux de l’environnement et moins émetteurs de CO2, sans faire de compromis sur leur performance. Désormais nous devons composer avec un mix énergétique (électrique, hybride, H2 et les biocarburants qui ont chacun leurs limites). Ces nouvelles technologies manquent encore de maturité (manque d’infrastructures de recharge à proximité des chantiers par exemple), mais nous ne pouvons pas passer à côté étant donné les avantages qu’elles apportent : réduction des émissions de CO2 et de particules fines, mais également des nuisances sonores pour les riverains ou encore des vibrations pour les compagnons.Ces grandes évolutions supposent aussi que l’on accompagne nos équipiers : notre force commerciale, formée à analyser chaque chantier pour déterminer le parfait mix usage / performance ; et dans nos ateliers, nos équipes techniques qui seront garantes de la pérennité de cette flotte.Quelles innovations pensez-vous avoir apporté au secteur ?Pierre Knoché : Dès 2007, Kiloutou a formalisé une stratégie RSE d’ampleur et est devenu en 2012 le premier loueur à établir le bilan carbone de ses locations. En 2012 nous avons signé le Global Compact qui nous engage à aligner notre stratégie sur 10 principes touchant les droits de l’Homme, les normes du travail, l’environnement et la lutte contre la corruption.Plus récemment, en 2021, Kiloutou a lancé la gamme iMPAKT qui réunit plus de 3500 matériels électriques ou hybrides, tous recensés dans le Guide des Matériels alternatifs, qui permet aux clients de comparer chaque matériel avec son équivalent thermique et ainsi de rendre compte des économies de carburant réalisées et les émissions de CO2 et de bruit évitées.Par la même occasion, le Groupe a lancé la première édition des Rencontres du Matériel Durable (RMD), qui réunit fabricants, clients et fédérations professionnelles afin de débattre et d’imaginer les solutions des chantiers de demain. Parce qu’il est évident que pour atteindre nos objectifs de réduction des émissions carbone à tous, c’est ensemble que nous devons travailler.Grâce aux études commandées par Kiloutou aux cabinets Carbone 4 et Arthur D.Little, les participants ont pu peser les pour et les contres des diverses énergies alternatives et avoir un aperçu du mix énergétique projeté à 2030 suivant deux scénarios : l’un conservateur, l’autre plus agressif. Ils ont également débattu de plusieurs propositions qui seront faites au Gouvernement. Rendez-vous est déjà donné en février prochain pour la 4ème édition.Et parce que la RSE comprend évidemment l’environnement, mais aussi l’Humain, Kiloutou s’est doté depuis plusieurs années d’une gamme de matériel dédiés à la sécurité et l’ergonomie sur les chantiers nommée Kare. On y retrouve notamment l’ergosquelette - qui permet de soulager les épaules dans une posture bras hauts, le gabarit laser - qui crée une frontière invisible pour éviter l’intrusion sur des chantiers à risque, le gilet connecté - qui prévient le risque de heurt engin-piéton, et le bras 0 gravité - qui soutient le poids d’un outil (jusqu’à 15kg) sans altérer la dextérité de son utilisateur. Ces dispositifs sont imaginés et conçus par des entreprises partenaires et nous fournissons à nos clients tout le conseil et leur mise en place directement sur les sites et chantiers.Quelle est la direction stratégique de Kiloutou dans les années à venir ? Avez-vous notamment des projets en cours en termes de digitalisation ?Pierre Knoché : Kiloutou a lancé son premier site internet vitrine en 2000. Aujourd’hui, il permet d’obtenir un devis et de réserver son matériel en ligne. Il est agrémenté de tutos vidéos pour permettre aux utilisateurs d’être le plus autonome possible. L’objectif est aujourd’hui de le rendre toujours plus personnalisé pour le client et d’en faire un réel apporteur d’affaires pour nos agences.Dans les en-cours, nous finalisons actuellement des projets qui avaient été mis en stand-by durant la crise sanitaire, notamment Youse : un système de partage de matériels qui vise principalement les clients industriels. L’objectif est de leur permettre, à travers une interface digitale, de mettre à disposition l’ensemble des matériels détenus ou loués à leurs équipes et prestataires et d’organiser un système de réservation. Cela permet d’amortir l’investissement, de limiter le nombre de matériels (et les émissions qui les accompagnent) sur un seul et même site et de verrouiller la responsabilité de chaque utilisateur.Nous poursuivons également notre partenariat avec l’entreprise Apizee pour la visio-assistance. L’objectif est de faire intervenir nos techniciens à distance afin de répondre aux questions de fonctionnement ou pannes légères. Sans application à télécharger, il permet 80% de résolution en moins de 4h et économise les déplacements.
Il y a 2 ans et 289 jours

Face à l'urgence climatique, les Canalisateurs alertent sur la vétusté des réseaux d'eau

INFRASTRUCTURES. Après un été marqué par la sécheresse et les restrictions d'eau qui ont touché une grande partie du pays, les Canalisateurs espèrent que l'état du patrimoine des canalisations devienne un sujet prioritaire et relancent l'alerte sur la vétusté des réseaux.
Il y a 2 ans et 289 jours

Carbon, l'espoir d'une usine géante de panneaux photovoltaïques en France

"Nous ne pouvons plus être dépendants de la Chine pour un produit aussi stratégique !", lance Pascal Richard, PDG de Carbon, interrogé par l'AFP.Neuf des dix premiers fabricants mondiaux sont chinois et sud-coréens, adossés à leurs immenses marchés intérieurs.Le panneau solaire, de fait, est au cœur des projets énergétiques français et européens.Un projet de loi "d'accélération des énergies renouvelables" doit être présenté mi-septembre en conseil des ministres.Il prévoit la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers...) et la simplification de certaines procédures - critiquée d'ailleurs par des ONG environnementales.Pour combler le retard français sur ses partenaires européens, Emmanuel Macron avait annoncé en février vouloir décupler les projets pour atteindre 100 gigawatts (GW) installés en 2050, contre 13 en 2022.Et encore : ces objectifs ont été fixés avant la guerre en Ukraine et la prise de conscience généralisée de la dépendance au gaz russe, qui a aussi conduit en mai la Commission à présenter son plan "REPowerEU" visant à quadrupler la production photovoltaïque dans l'UE d'ici 2030.Carbon entend bien prendre sa part dans ce gâteau de la "souveraineté énergétique européenne", explique M. Richard, ancien directeur France de l'allemand SMA (onduleurs pour le photovoltaïque).D'ici 2025, Carbon prévoit la construction d'une première usine de panneaux dont la capacité installée sera de 5 GW, employant 3.000 personnes, et passerait à 20 GW et 10.000 personnes en 2030. Un énorme effet d'échelle sur les prix, espèrent ses fondateurs. Le site d'implantation - classé Seveso - n'est pas arrêté, mais il faudra 80 hectares.Chasse aux investisseursL'investissement nécessaire pour ce projet totalement intégré doit s'établir à 1,3 milliard d'euros pour la première étape, "5 à 6 milliards" au total.La chasse au investisseurs est lancée, notamment aux subventions françaises et européennes. Une première levée de fonds "de plusieurs dizaines de millions d'euros" est programmée au premier trimestre 2023. Elle servira à "la mise en place des équipes" et "la poursuite des études".Mantra des cinq associés à parts égales, parmi lesquels le fabricant grenoblois de fours destinée à l'industrie photovoltaïque ECM : "toute la chaîne de valeur sera intégrée" une fois la matière première acquise – du polysilicium provenant d'Allemagne ou de Norvège dans un premier temps.Lingots, tranches (wafers), cellules, et donc panneaux finaux seront entièrement "made in France", là où d'autres acteurs du marché européen se contentent d'assembler les composants chinois. "Il n'y a aucun projet de cette envergure" en Europe, assurent les dirigeants de Carbon.Des gros énergéticiens intègrent d'ailleurs déjà les panneaux Carbon dans leur préfiguration de centrales solaires, affirme Laurent Pélissier, PDG d'ECM, "car ils veulent diversifier leurs portefeuilles fournisseurs et ne plus se retrouver dans des situations où il n'y a plus d'approvisionnement, ou avec des prix variant soudainement".C'est le cas de la Compagnie nationale du Rhône (CNR), qui a annoncé en mai un plan "massif" d'investissement dans le photovoltaïque (1 milliard d'euros), via la "solarisation" de toitures ou de terrains dégradés."A prix quasiment identique, ce qui sera un défi, et performance égale, nous aurons bien sûr une préférence" pour Carbon, affirme Julien Marchal, directeur des nouvelles énergies, déplorant avoir "perdu parfois 6 mois sur certains projets en raison des difficultés d'approvisionnements"."Nous réduirions aussi le risque transport, le risque de change et géopolitique, comme lorsque la Chine a brusquement arrêté ses usines pour sa stratégie zéro covid. L'empreinte carbone des panneaux français serait également bien meilleure, d'autant plus si des capacités de recyclage existent sur place", ajoute ce responsable.A ses yeux, Carbon pourrait même devenir "le Verkor du solaire", allusion à cette start-up grenobloise, soutenue notamment par Renault, qui va implanter une usine géante de batteries à Dunkerque.
Il y a 2 ans et 289 jours

Plan de réhabilitation des écoles à Marseille : une méthodologie multicritère développée par le CSTB

École primaire Ruffi à MarseilleUne mission de recherche dédiée à l'élaboration d'une méthodologie de réhabilitation globale et performante des écoles marseillaises a été proposée par le CSTB et validée par la Ville de Marseille et l'État. Elle vise à étudier quatre typologies d'écoles représentant la majorité des établissements scolaires du parc marseillais, et même du parc national. À partir d'un diagnostic multicritère sur un échantillon d'écoles représentatives de ces typologies, l'objectif est de pouvoir proposer des stratégies de réhabilitation globale permettant d'agir sur l'ensemble des critères pertinents pour ces types d'établissements. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 289 jours

UNE ETANCHEITE POUR PISCINES SANS CONTAMINATION BACTERIENNE

La résine SOUPLETHANE est un revêtement classé A+*, destinée à répondre aux exigences sanitaires appliquées aux piscines. Elle assure une parfaite étanchéité tout en résistant chimiquement à l’eau des piscines, même en cas de contre-pression d’eau venant de l’extérieur (jusqu’à 10 bars de contre-pression). SOUPLETHANE va permettre de réaliser une membrane liquide continue d’étanchéité et […]
Il y a 2 ans et 289 jours

Graneet sort son nouveau Module Contrôle de Gestion

Un pas de plus vers la réalisation de sa mission : permettre à plus de PME du BTP de mettre en place de meilleures pratiques de gestion souvent réservées aux grands groupes.Graneet est née en 2020 d’un double constat : les dirigeants de PME du BTP manquent de temps pour gérer le suivi administratif et financier de leurs chantiers. L’automatisation des processus leur ferait gagner un temps précieux, et pourtant le secteur est en mal de digitalisation : l’offre de logiciels de gestion commerciale BTP est vieillissante et mal adaptée aux besoins des PME. Ces solutions proposent des interfaces complexes à utiliser et non accessibles en mobilité.Graneet fournit une solution pensée spécifiquement pour les PME du BTP dans laquelle l’expérience utilisateur est centrale. Le logiciel se développe en co-construction avec ses clients pour s’assurer que chaque fonctionnalité colle parfaitement aux besoins métier.Le module contrôle de gestion a été ainsi co-produit avec une centaine de PME partenaires expertes sur le sujet. Historiquement, la plateforme permet à ses clients de faire chiffrage, factures directes ou d’avancement, puis de pointer les encaissements associés. Elle permet désormais d’enregistrer et d’allouer les dépenses de main d'œuvre, de fournitures ou de sous-traitance par chantier, tout en pilotant la marge en temps réel. Grâce à ces nouvelles fonctionnalités, les PME pourront mettre en place une gestion rigoureuse de leur activité de manière simple.Pour Nicolas Chupin, dirigeant de SOCRA et ARCOA : « Ce qui fait la valeur ajoutée de Graneet, c’est sa simplicité d’utilisation et de prise en main qui en font un allié du dirigeant pour piloter son activité. »Pour Enzo Dozias, co-fondateur et Chief Product Officer : « Nombreuses sont les PME du BTP qui naviguent à vue et n’ont pas de vision précise et temps réel de leur rentabilité par chantier. Avec Graneet, elles pourront maintenant éviter les mauvaises surprises et bénéficier d’un suivi qui n’était avant accessible qu’aux grandes entreprises ayant une direction financière. »Graneet sera d’ailleurs présent à Batimat du 3 au 6 Octobre 2022, sur le stand 1B36, pourprésenter cette innovation.
Il y a 2 ans et 289 jours

Un ancien refuge en ruine restauré en habitation durable et autonome

EN IMAGES. Rénover cet ancien refuge, isolé et près à s'effondrer, a été un vrai défi. Mais les architectes, déterminés à le sauver, sont parvenus à le transformer en une confortable maison familiale. Mieux, ils en ont fait un exemple d'habitation durable, entièrement autonome en énergies.
Il y a 2 ans et 289 jours

Pyrénées-Atlantiques : visite du chantier du couvent des Récollets les 17 et 18 septembre 2022

Le couvent des Récollets poursuit sa réhabilitation pour ouvrir d’ici à 2023 les portes de son futur Centre d’interprétation de l’architecture...
Il y a 2 ans et 289 jours

A Paris, des bureaux transformés en logements avec façades en paille

EN IMAGES. L'agence d'architecture NZI a mené pour Paris Habitat une opération de réhabilitation lourde consistant en la transformation d'un immeuble de bureaux en résidence pour étudiants, avec remplacement de la façade par des murs à ossature bois isolés en paille.
Il y a 2 ans et 289 jours

Un bardage métallisé en Alucobond A2 pour la réhabilitation de 190 logements collectifs à Bobigny

Sous la maîtrise d’ouvrage de Seqens - France Habitation, le groupe Arcane architectes a réhabilité une résidence de 190 logements collectifs sur une surface de 12.350 m2. Afin de répondre aux diverses contraintes des lieux, la proposition portait sur trois points essentiels :1. Uniformiser le traitement architectural au sein de la résidence pour assurer la cohérence au sein de l’ensemble immobilier par l’utilisation d’un nombre réduit de matériaux et de coloris. Afin de rompre la monotonie existante et l’effet de masse de la barre haute, deux types de parements sont apposés par alternance, surlignant le rythme existant. Le principe est maintenu sur les plots, où l’alternance crée un jeu de volumes.2. Moderniser l’écriture et valoriser les bâtiments. Un soin particulier a été apporté dans le choix du bardage et de son calepinage afin de proposer un dessin contemporain, toutefois suffisamment sobre pour lui permettre de traverser les « effets de mode ». La valorisation passe par l’utilisation de matériaux nobles, pérennes, et aux teintes sobres pour éviter un aspect « logement social » trop marqué : le bardage métallisé en ALUCOBOND et l’enduit métallisé. Le calepinage des façades a été réalisée très facilement et rapidement grâce à la solution HICAD-ALUCOBOND de modélisation 3D. 4 550 m 2 de panneaux ALUCOBOND A2 de la gamme sparkling ont été posés en cassettes avec la solution SANAGA du fabricant ACODI et rivetés avec la solution POLARIS d’ACODI.3. Traiter les désordres et pérenniser la réhabilitation. L’ensemble des actions visait à traiter les désordres sur le bâti et les dysfonctionnements d’usage, tels que la réparation des bétons et mise en œuvre de parements sur l’ensemble des façades isolées, la mise en œuvre de couvertines ou de bavettes en tête de tous les voiles ainsi que la pose de garde-corps cachant les nez de dalle, inclinés pour empêcher la halte et la nidification des pigeons et la pose de parements perforés (ventilés) au droit des «balcons-celliers ». Fiche techniqueMaître d’ouvrage : Seqens – France HabitationSurface : 12.350 m 2 SHABCoût HT : 4,9 M€Maîtrise d’œuvre : Groupe Arcane – architectes mandataires, P.A.B BET TCEFabricant : ACODI / Poseur : PRISIMO
Il y a 2 ans et 289 jours

La CAPEB, IRIS-ST et Knauf renouvellent leur partenariat

Ce renouvellement de partenariat a été signé par Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB, via sa filiale Béranger Développement, Christine MUSCAT, Directeur Général de KNAUF et David MORALES, Trésorier d’IRIS ST. Il vise à continuer de proposer aux artisans du bâtiment des solutions produits, systèmes et services de rénovation globale, dans les domaines d’expertise de KNAUF : l’aménagement intérieur et l’isolation thermique de l’enveloppe des bâtiments. La proposition veut accompagner les évolutions des marchés, en répondant en particulier aux attentes de confort dans l’habitat, à la gestion des déchets de chantiers, à l’amélioration des conditions de travail sur chantier et à la formation. Ce partenariat participera également à améliorer leurs performances des artisans en les sensibilisant sur les risques sur les chantiers.Dans le cadre de cet accord, la CAPEB s’engage à informer les entreprises artisanales du bâtiment de l’offre de KNAUF, spécialement adaptée aux rénovations énergétiques de qualité, à contribuer aux contenus des fiches solutions techniques de KNAUF ainsi qu’à la promotion de celles-ci auprès des entreprises artisanales du bâtiment. La CAPEB participera également à la conception des contenus de formation réalisés par KNAUF et les promouvra auprès des entreprises adhérentes. Ces formations, dispensées en régions, seront proposées aux entreprises artisanales du bâtiment qui pourront bénéficier d’un tarif spécifique.KNAUF s’engage, de son côté, à élaborer et à communiquer sur des outils et des services en ligne pour accompagner le choix et la mise en œuvre de ses solutions. KNAUF élaborera, en collaboration avec la CAPEB, des fiches sur les solutions techniques et les services proposés et assurera une assistance technique spécifique accessible aux entreprises adhérentes.Enfin, KNAUF mettra en œuvre des actions en faveur de la prévention des risques professionnels avec l’Institut de Recherche et d’Innovation sur la Santé et la Sécurité au Travail (IRIS-ST). Ces actions pourront, par exemple :consister à diffuser auprès des clients les « Mémos santé-sécurité » réalisés par l’Institut pour les différentes familles de métier de l’artisanat du bâtiment (diffusion sur les centres de formation et sur le site web de KNAUF) ;associer la CAPEB et IRIS-ST pour faire évoluer des produits KNAUF, notamment par le biais de tests réalisés par des entreprises artisanales du bâtiment ;·étudier la possibilité d’intégrer dans les formations techniques KNAUF une composante « prévention », à partir d’éléments fournis par IRIS-ST.De son côté, IRIS-ST s’engage à :sensibiliser les entreprises artisanales du bâtiment, clients de KNAUF, à la prévention des risques professionnels, par la mise à disposition du contenu des mémos santé /sécurité réalisés par IRIS-ST (format papier, numérique) ;mettre en place et animer des démarches de test d’équipements et/ou de matériaux (rédaction cahier des charges, constitution d’un groupe d’artisans volontaires, rédaction questionnaire, animation de réunions d’échanges, rapport de test...) ;sensibiliser et promouvoir auprès des entreprises artisanales les innovations de KNAUF.Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB, déclare :« Heureux de pouvoir signer le renouvellement de ce partenariat avec KNAUF et IRIS-ST. Il est en effet essentiel de pouvoir proposer aux entreprises que nous représentons les meilleures solutions en termes d’innovation et de sécurité. La promotion de la performance énergétique des bâtiments ne se fera pas sans l’entreprise artisanale que je représente. C’est notre activité. C’est notre mission. »Christine MUSCAT, Directeur Général de KNAUF ajoute :« KNAUF se réjouit de contribuer à relever aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment les enjeux de la rénovation globale, tant sur le plan de la sobriété énergétique que du confort dans l’habitat. Ensemble avec la CAPEB, nous continuerons à développer les actions les plus appropriées pour donner aux artisans les moyens de relever ces défis. »David MORALES, Trésorier d’IRIS ST, explique : « La santé et la sécurité au travail sont des enjeux essentiels dans le quotidien des métiers du BTP. En tant qu’organisme de référence sur ces sujets auprès des artisans, IRIS-ST est très heureux de nouer ce partenariat et de pouvoir ainsi mettre en avant des solutions innovantes, adaptées aux besoins des petites entreprises et répondant aux exigences de prévention des risques professionnels. »
Il y a 2 ans et 289 jours

Haute-Garonne : l’école de l’Aérogare de Blagnac sera ouverte aux visiteurs.

À Blagnac (Haute-Garonne), une journée portes ouvertes est prévue fin septembre 2022 à l’école de l’Aérogare. Accueillant de nouveau des...
Il y a 2 ans et 289 jours

Vicat : Carat, un bijou carbo-négatif

A l’état frais, le béton Carat présente une teinte presque noire… [©ACPresse] Carat constitue la nouvelle offre de liants carbo-négatifs, tout juste développée par le groupe cimentier Vicat. Carat, en référence à l’unité de mesure de masse des pierres précieuses, dont le diamant – carbone pur cristallisé – est la référence absolue. Ce nouveau matériau constitue une rupture technologique et n’entre pas dans le champ d’application des normes ciments NF EN 197-1 et NF EN 197-5… « Nous avons fait une demande d’Appréciation technique d’expérimentation ou Atex de type A pour les bétons formulés sur la base des liants Carat », souligne Damien Rogat, directeur innovation appliquée et systèmes constructifs de Vicat. Le cimentier devrait l’obtenir à la mi-2023…Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 289 jours

Guillaume Loizeau : « Batimat va aborder les grands enjeux du bâtiment »

Guillaume Loizeaud est le directeur du Mondial du Bâtiment. [©Florie Berger/Mondial du Bâtiment] Après une escapade à Villepinte, Batimat revient à la porte de Versailles. On reprend les bonnes habitudes et les recettes éprouvées ? Oui, mais pas uniquement. Depuis son départ de la porte de Versailles en 2013, beaucoup de choses ont changé dans le monde du bâtiment. Et cela a un impact sur l’organisation d’un évènement tel que celui-ci. Les attentes des exposants comme des visiteurs ont évolué et nous nous devons de leur apporter des réponses. Bien sûr, l’esprit demeure et nous voulons faire de ce rendez-vous un moment d’échange et de convivialité comme il l’est depuis toujours. Toutefois, c’est un Batimat – et, plus largement, un Mondial du Bâtiment – rénové qui ouvre ses portes ? Qu’est-ce qui change et qu’est-ce qui reste des anciennes formules ? L’édition 2022 passe à 4 j au lieu des 5 habituels. Dans l’organisation d’une entreprise, avoir ses équipes mobilisées pendant 4 j au lieu de 5 sur un salon peut avoir son importance. Et cela a évidemment un impact de coût. Par ailleurs, nous avons travaillé sur une proposition de stand qui ne dépasse pas 99 m2. Une manière de permettre à chacun d’avoir une meilleure visibilité, tout en optimisant les espaces. Enfin, l’impact environnemental étant un enjeu fort, un évènement comme Batimat ne pouvait pas l’ignorer. Nous nous sommes donc placés dans une logique de bilan carbone et de réduction des émissions avec différentes actions identifiées, grâce à un important travail d’analyse sur les transports, l’énergie, l’alimentation, l’hôtellerie. C’est contraignant, mais indispensable. Par ailleurs, le digital a dorénavant toute sa place. Nous avions déjà travaillé sur cette proposition et nous l’avons encore plus développée avec des outils, tels que Batiradio ou le site batiadvisor.fr. Et bien sûr, il n’y a pas de Mondial du Bâtiment sans ses Awards ! Un incontournable pour les exposants qui leur permet de présenter et de diffuser leurs innovations. Le gros œuvre reprend possession du hall 1. Comment sont organisés les espaces ? Quelle place le béton y occupe-t-il ? Nous avons une quinzaine d’exposants dans l’univers du béton, avec une vraie proposition de rupture chez certains. Ils sont regroupés dans l’espace dédié aux matériaux et à proximité immédiate du nouvel espace Low Carbon Construction. Y a-t-il quelques points forts “béton” à inscrire dans son agenda de visite (en dehors d’un passage obligé sur le stand Béton[s] le Magazine) ? La thématique “Bien vivre dans la ville de 2050” met en avant la décarbonation des matériaux. Dans ce cadre, le béton prend toute sa place avec des acteurs comme le Syndicat français de l’industrie cimentière et Cimbéton, qui représentent les industriels Ciments Calcia, Eqiom, Lafarge ou Vicat. Mais aussi des acteurs comme Cemex et encore Hoffmann Green Cement. L’espace Innovation est, lui, l’occasion de découvrir quelques belles solutions présentées aux Awards, comme le procédé CarbonCure, distribué par Edilteco. D’une manière plus large, quelles vont être les grandes thématiques abordées sur cette édition 2022 ? Batimat va aborder les grands enjeux du bâtiment à travers 4 thématiques fortes, déclinées dans les différents espaces et à travers les conférences qui auront lieu durant les 4 j. A savoir, la préservation du climat et de l’environnement, le bien-vivre dans la ville de 2050, la valorisation des métiers et la transformation des méthodes. La décarbonation est un sujet phare pour le Mondial du Bâtiment. Nous avons vu beaucoup de propositions autour de cet enjeu parmi les participants aux Awards. Nous y consacrons même un espace spécifique pour la première fois. En 2019, nous avions mis à l’honneur la construction hors site. Cette année, c’est un espace trois fois plus grand qui est consacré à ce mode constructif, qui se place parmi les moments forts du Mondial du Bâtiment. La digitalisation reste plus que jamais un thème central qui est mis en valeur grâce à notre espace Construction Tech avec plus de 80 start-up présentes. Pour finir, combien d’exposants “Batimat” sont-ils inscrits sur cette édition ? Et combien de visiteurs sont-ils attendus ? Nous enregistrons la présence de 1 300 exposants sur Batimat et espérons recevoir 200 000 visiteurs durant les 4 j.
Il y a 2 ans et 289 jours

ONDULINE FLEXOUTUILE

Le système de sous-toiture qui permet la réutilisation des anciennes tuiles et garantit l’étanchéité des toitures en tuiles même après de grosses intempéries  En France, la plupart des toitures sont recouvertes de tuiles différentes en fonction des régions (tuiles canal, tuiles plates ou mécaniques). Ce mode de couverture est apprécié pour sa fiabilité. Mais pour garantir une étanchéité […]
Il y a 2 ans et 289 jours

Schöck Stacon type LD : seuls goujons sous DTA validé par le CSTB

Avec encore une longueur d’avance sur la profession, Schöck annonce que sa nouvelle gamme de goujons Schöck Stacon® type LD vient d’obtenir un DTA (Document Technique d’Application), numéro 3.1/15-817_V2, délivré par le CSTB, en tant qu’éléments de liaison structurelle dans les ouvrages en béton armé. Cette exclusivité devrait s’accompagner très prochainement de la sortie d’un logiciel inédit, Scalix®, pour le dimensionnement des goujons. Fort de ces avantages concurrentiels, Schöck entend se démarquer plus que jamais ! Un système complet, économique et sûr Le traitement des joints de dilatation évite la fissuration du béton et la fatigue des armatures structurelles résultant d'une dilatation due à la température, au retrait du béton entre deux ouvrages ou bâtiments longs.Qu'il s'agisse de l'infra- ou de la superstructure, les solutions courantes pour liaisonner mécaniquement les ouvrages séparés par un joint de dilatation s’avèrent complexes à mettre en œuvre, onéreuses et sources d’un encombrement important : réalisation d’un corbeau en béton avec un appui de glissement ou réalisation d’une double structure (doubles murs).Simples d’utilisation, les goujons Schöck Stacon® type LD évitent les investissements supplémentaires et permettent une optimisation structurelle. A haute résistance mécanique et prêts à être mis en œuvre, ils relient les éléments de construction contigus du joint, assurant la reprise d’efforts de cisaillement importants tout en autorisant un ou plusieurs degrés de liberté (axial et radial). Composés de barres cylindriques en acier inoxydable ou en acier galvanisé, ils garantissent un traitement de qualité et sans entretien des joints de dilatation.Un large panel en diamètres et finitions pour toutes les configurations Produits sur mesure, les goujons Schöck Stacon® type LD déclinent plusieurs diamètres différents, disponibles en acier inoxydable ou en acier galvanisé à chaud, afin de s’adapter idéalement aux multiples configurations rencontrées sur les chantiers, aussi bien en intérieur qu'en extérieur.Au-delà d’être actuellement le seul fabricant à proposer des goujons bénéficiant d’un DTA, Schöck annonce également l’avènement d’un nouveau logiciel Schöck Scalix®, bientôt disponible pour le dimensionnement des goujons Schöck Stacon®. Le logiciel fonctionnera sur tous les navigateurs internet courants et permettra de définir instantanément et avec pertinence les références de goujons Schöck Stacon® les plus appropriées en fonction de chaque cas de figure. Précisons que ce nouveau logiciel traitera également l’implantation des rupteurs de ponts thermiques en ITE, à l’instar de son homologue Open BIM Schöck qui le réalise déjà pour les rupteurs dédiés à l’ITI.
Il y a 2 ans et 289 jours

Siniat lance Memotech, l’outil digital pour faciliter la réalisation de dossiers techniques

Lors des appels d’offres chantiers, il est impératif de fournir à la maîtrise d’ouvrage des dossiers techniques regroupant les produits et systèmes à mettre en oeuvre sur le chantier, avec l’ensemble des documents techniques justificatifs des performances des systèmes (PV feu, justificatifs acoustiques…). Avec Memotech, Siniat propose d’aider ses entreprises plaquistes partenaires à réaliser leurs dossiers […]
Il y a 2 ans et 289 jours

Avant première INTERCLIMA 2022 : ROLUX MULTIFLEX, le nouveau système de rénovation pour conduit Shunt et Alsace

À ce jour, le marché du remplacement des chaudières est en forte croissance. L’évolution des réglementations impose un niveau de performance énergétique et environnementale que seules les chaudières à condensation peuvent atteindre. Cependant, les conduits maçonnés existants sont incompatibles avec les chaudières hautes performances condensation. Il convient alors de prévoir un raccordement adéquat. Pour répondre […]
Il y a 2 ans et 289 jours

Plano 1200 – Un panneau idéalement conçu pour tous les murs et pour tous les sols

Tout réaliser sur-mesure dans la salle de bain avec un panneau léger et pouvant recevoir toutes les finitions, c’est possible avec le nouveau Plano 1200 de JACKOBOARD . Une solution qui va valoriser l’habitat ! • Pour tous les murs et pour tous les sols En neuf comme en rénovation, le Plano 1200 s’adapte à toutes […]
Il y a 2 ans et 289 jours

La CAPEB, IRIS-ST et KNAUF renouvellent leur partenariat afin d’accélérer la rénovation énergétique et sensibiliser les professionnels du bâtiment aux risques sur les chantiers

#Bâtiment / #Partenariat / #Formation / #Isolation / #RénovationEnergétique Paris, le 8 septembre 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), via sa filiale Béranger Développement, l’Institut de Recherche et d’Innovation sur la Santé et la sécurité au Travail (IRIS-ST), et KNAUF, leader des produits d’isolation thermique et acoustique et […]
Il y a 2 ans et 289 jours

Avancement de la construction du projet NATURA , première résidence bas carbone d’envergure en Occitanie

Dans le cadre de l’appel à candidature sur la cession des lots à construire en 2019, la SEM Oppidea et la ville de Toulouse ont désigné Premium Promotion pour la réalisation d’une opération ambitieuse sur le thème de la construction en matériaux biosourcés. Le projet Natura est la première résidence bas carbone de grande envergure […]
Il y a 2 ans et 289 jours

SIKA contribue aux exigences de la RE2020 grâce à ses solutions toitures durables

Leader de l’étanchéité pour les bâtiments, Sika a développé différentes solutions de toitures durables permettant de contribuer efficacement aux exigences de la Réglementation Environnementale RE2020. Présentées à l’occasion de BATIMAT 2022, ces solutions certifiées s’articulent autour de 3 gammes spécifiques : les membranes pour toitures solaires ; les membranes pour toitures végétalisées ; les membranes […]
Il y a 2 ans et 289 jours

Des maisons en bambou et paille toquilla pour répondre aux conditions climatiques locales en Equateur

Ces 3 prototypes de maison en bambou ont été réalisés par le Studio Rama sur l’île de Portete, située dans la province d’Esmeralda en Equateur. [De l’architecte] Le projet se déroule dans l’un des secteurs touchés par le tremblement de terre de 2016. À la suite de cet événement, les 80 familles qui vivaient sur l’île ont été […]
Il y a 2 ans et 289 jours

Apprendre par le faire : récits d'expériences pédagogiques aux Grands Ateliers

Les Grands Ateliers de l'Isle d'Abeau, rebaptisés GAIA-Les Grands Ateliers Innovation Architecture, initient un dialogue annuel autour des pratiques pédagogiques expérientielles développées au sein des écoles d’architecture. Les 17 et 18 octobre 2022, le designbuildLAB AE&CC de l'Ensa Grenoble, fort de son expérience de […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 290 jours

gerer les eaux pluviales avec des produits made in france

Les événements climatiques de ces dernières années nous obligent à réfléchir différemment les aménagements de nos villes et villages. Les inondations répétées, le ruissellement des eaux pluviales et les ilots de chaleur observés en ville conduisent les architectes vers de nouveaux matériaux. L’ère du tout bitume et du béton est révoquée. Nidaplast propose différentes solutions, véritables alternatives aux revêtements traditionnels pour collecter et infiltrer les eaux de pluie à la parcelle.
Il y a 2 ans et 290 jours

gestion des porte a faux en couvertine avec couvernet r sur platine

Couvernet® est un système de couvertine en aluminium. Tous les éléments sont réalisés sur mesure dans nos ateliers pour garantir une parfaite adéquation entre la couvertine et son support, assurant une étanchéité efficace et une finition impeccable. Afin de répondre à plusieurs problématiques chantiers, découvrez Couvernet® sur platine.
Il y a 2 ans et 290 jours

Les syndicats mettent en garde le gouvernement contre une mesure "cachée" sur les retraites

Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, et la ministre déléguée à la Formation professionnelle, Carole Grandjean, ont réuni lundi les partenaires sociaux pour leur présenter leur "feuille de route" du quinquennat sur les différents sujets de leur champ.Interrogés à la sortie, les syndicats ont indiqué que M. Dussopt ne s'était pas avancé sur l'hypothèse d'une mesure pendant les débats budgétaires, renvoyant à la publication du rapport du Conseil d'orientation des retraites (COR).Selon ce rapport, dont l'AFP a obtenu copie peu après et dont les partenaires sociaux n'avaient pas connaissance au moment de la réunion, le système de retraite a dégagé un excédent de 900 millions d'euros en 2021, pour la première fois depuis la crise de 2008, mais son retour durable à l'équilibre reste toujours projeté "vers le milieu des années 2030" dans le meilleur des scénarios.Le ministre réunira à nouveau les partenaires sociaux le 19 septembre pour discuter du diagnostic du COR."Ces échanges permettront successivement de partager un diagnostic du système de retraite et de formuler des propositions pour le rendre plus juste, plus équitable et plus soutenable", selon le dossier de presse communiqué à l'issue de la réunion. Il s'agira aussi de discuter emploi des seniors, pénibilité, etc..."Le rapport du COR devrait être l'alpha et l'oméga" du gouvernement, en a déduit Jean-François Foucard (CFE-CGC).Mais si le gouvernement décidait, à la suite de ce rapport, d'introduire dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale une mesure d'âge "cachée" comme une "accélération de la réforme Touraine", "cela serait dangereux et entraînerait une forte mobilisation, des manifestations et des grèves", a prévenu Michel Beaugas (FO).La réforme Touraine de 2014 augmente progressivement la durée de cotisation pour atteindre 43 ans pour les personnes nées en 1973 ou après."Cela bloquerait tous les autres chantiers", a souligné Cyril Chabanier (CFTC)."Il y a beaucoup de sujets sur lesquels la CFDT est prête à s'engager, comme l'accompagnement des bénéficiaires du RSA ou des demandeurs d'emploi longue durée, mais la sérénité ne sera pas de mise si l'automne est perturbé par une mesure brutale", a averti Laurent Berger (CFDT).Côté patronal, Geoffroy Roux de Bézieux (Medef) a reconnu des "divergences fondamentales" avec les syndicats. Mais si le Medef défend une réforme des retraites, sa priorité cet automne est la réalisation de la réforme de l'assurance chômage.Pour la CPME, François Asselin a estimé que "le pays avait besoin" d'une réforme et qu'il n'y avait "jamais de bon moment".
Il y a 2 ans et 290 jours

Sobriété énergétique : la chasse au gaspi des communes pour limiter la facture

Éclairage publicEn réduisant dès l'automne l'éclairage nocturne de la Tour Eiffel et des bâtiments municipaux de la capitale, dont l'emblématique Hôtel de Ville, Paris veut "donner l'exemple", a justifié la maire Anne Hidalgo, qui entend investir 286 millions d'euros dans la rénovation de l'éclairage public pour le rendre 60% moins énergivore qu'un quart de siècle plus tôt.Lille, qui a cessé d'éclairer les bâtiments publics la nuit, sauf sur la Grand'Place et la place de l'Opéra, ce qui lui permettra selon elle d'économiser 170.000 kWh par an, l'avait devancée début septembre. Marseille a acté une mesure similaire avec l'extinction des feux à 23h30, et à 22h30 en hiver, pour ses 140 monuments, avec Notre-Dame-de-la-Garde pour seule exception. La mairie de Toulon veut atteindre le même objectif "le plus vite possible".Depuis juillet 2021, l'emblématique citadelle Vauban de Besançon n'est plus éclairée systématiquement la nuit "pour baisser la consommation d'énergie, préserver la biodiversité et limiter la pollution lumineuse", selon la maire Anne Vignot.Les mêmes raisons sont invoquées par la ville de Montpellier, qui a validé et accentué en avril une expérimentation d'extinction de l'éclairage public sur cinq axes routiers.Les grandes villes ne sont pas les seules à éteindre la lumière : ainsi en Nouvelle-Aquitaine, Libourne, Saint-Sever ou le Syndicat Énergies Vienne, qui gère le service public de l'énergie dans 220 communes rurales du département, ont décidé de s'en priver la nuit.Ces mesures de rationnement s'accompagnent généralement du remplacement annoncé des ampoules par du LED.Température des bâtimentsLille avait marqué les esprits en annonçant une baisse de température de 2 degrés - de 20 à 18 - dans deux musées, une baisse équivalente de la température de l'air et de l'eau dans les piscines municipales, ou encore deux heures de chauffage en moins en fin de journée dans les salles de sport.Là aussi, Paris a emboîté le pas en annonçant une baisse généralisée d'un degré de tous les bâtiments ne recevant pas un public vulnérable (Ehpad et crèches). Le début du chauffage, désormais fixé à 18°C, sera repoussé à la fois le matin, d'une demi-heure, et dans l'automne, d'un mois.À Lyon, la Métropole a arrêté à 19°C la consigne de chauffe cet hiver dans son patrimoine pour faire face au doublement anticipé (de 55 à 100 millions d'euros) des coûts de l'énergie en 2023.La même température vaudra pour les communes rurales de la Vienne, avec un système de bonus/malus pour récompenser les municipalités les plus économes, et à Marseille, qui a par ailleurs fixé à 26°C le palier pour la climatisation l'été dans ses locaux.À Libourne, le maire Philippe Buisson a carrément décidé "de ne quasiment plus chauffer les gymnases", maintenus à... 10 degrés, sauf pour les douches et les vestiaires.Fermeture des piscinesComme Lille, la mairie de Toulon a prévu de baisser la température de l'eau de ses piscines de deux degrés, de 28°C à 26°C, "sauf pour une piscine qui accueille des maternelles et des bébés", et réfléchit également à des fermetures "ponctuelles" de ces établissements énergivores, par exemple lors des vacances scolaires.Si Paris n'envisage cette option qu'en "dernier recours", sa voisine Issy-les-Moulineaux a franchi le pas cet été, en fermant la plus énergivore de ses deux piscines, pour lesquelles l'envolée des prix de l'énergie représente un surcoût de 400.000 euros par an.Lille a également annoncé que deux fontaines municipales ne seraient pas remises en fonctionnement pour économiser l'eau et l'énergie. Les annonces de ce type vont se poursuivre dans les prochains jours, avec des plans d'économies attendus par exemple à Toulouse et Grenoble.
Il y a 2 ans et 290 jours

Piscine BEPOS, une première en France signée Po&Po. Le mémo

L’agence Po&Po (Bruno Palisson et Jean-Luc Calligaro) a livré en septembre 2022 à Bourgoin-Jallieu (Isère) la première piscine BEPOS, certifiée Certivea et NF HQE Equipements Sportifs.  Cet équipement, gouffre énergétique par définition, consomme deux fois moins qu’une piscine construite il y a dix ans et couvre 80% de ses besoins. Par quel miracle ? Le bon […] L’article Piscine BEPOS, une première en France signée Po&Po. Le mémo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 290 jours

Le gouvernement veut verdir la politique de la ville

"Je veux une revue de projet, de tous les projets existants, en 2023, sous l'égide des préfets", a déclaré le ministre lors des journées de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) à Paris."Ils devront réexaminer tous les projets, car parfois, il suffit de pas grand-chose, de se reposer les bonnes questions : est-ce que la cour de l'école que l'on rénove peut être moins bitumée? Est-ce que la couleur de l'immeuble que l'on réhabilite reflétera ou absorbera moins ou plus les rayons du soleil ?", a détaillé M. Klein qui présidait l'Anru avant d'entrer au gouvernement.Nommée "Quartiers résilients", la démarche s'accompagnera d'investissements dans une cinquantaine de "territoires-pilotes". "Je veux que l'on trouve dans ces quartiers les meilleures innovations en matière de végétalisation, en matière de récupération des eaux usées, de chauffage performant...", a égrené le ministre.Ces investissements, d'un montant de 100 millions d'euros, seront pris sur les 12 milliards déjà affectés par l'Anru au Nouveau programme national de rénovation urbaine (NPNRU) qui couvre la période 2014-2030. "Ils permettront d'orienter une partie des crédits restants (...) pour innover et expérimenter", précise-t-on dans l'entourage du ministre.L'été caniculaire, le deuxième plus chaud jamais enregistré selon Météo-France, a particulièrement affecté les habitants des quartiers prioritaires Politique de la ville, selon un sondage Harris Interactive commandé par l'Anru et publié lundi.Les habitants des quartiers prioritaires sont plus nombreux que le reste des Français à déclarer avoir souffert de la chaleur cet été (76% contre 70%), à avoir mal dormi à cause de la chaleur (74% contre 69%), et nettement plus nombreux à avoir eu des difficultés à trouver un endroit où se mettre au frais (62% contre 48%).L'urbanisme de ces quartiers laisse souvent peu de place à la nature et provoque des îlots de chaleur; et les logements y sont parfois moins bien protégés qu'ailleurs contre la chaleur."J'émets donc le voeu que cette démarche ne soit qu'une première étape d'un projet plus vaste et plus ambitieux, un projet plus large qu'on appellerait Quartiers 2030", a ajouté Olivier Klein, en écho au plan d'investissements promis par Emmanuel Macron dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle.
Il y a 2 ans et 290 jours

Cemex investit dans l’impression 3D

Cemex investit dans la technologie révolutionnaire d’impression 3D de Cobod. Via sa filiale de capital-risque, Cemex étend son partenariat avec Cobod, spécialiste des imprimantes 3D dans la construction. Une collaboration qui a débuté l’année dernière et qui s’accentue, afin d’innover dans le domaine de la construction additive. « En travaillant avec Cobod, Cemex a développé une expérience clients en matière de construction par impression 3D, qui est supérieure à tout ce qui a été fourni par le passé, déclare Gonzalo Galindo, responsable de Cemex Ventures. Nos efforts d’innovation nous positionnent à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui contribuent à la construction d’un avenir meilleur. » Limiter les dépenses Grâce à ce partenariat, une nouvelle technologie a été présentée. Elle consiste à utiliser du béton prêt à l’emploi dans le processus d’assemblage.  Mise en œuvre dans plusieurs pays, cette solution permet de réaliser des économies considérables par rapport aux méthodes et aux matériaux de construction imprimés en 3D. Un investissement colossal qui permet à Cemex de proposer une nouvelle façon de répondre aux besoins en matière de logements. Innover davantage De plus, les deux partenaires ambitionnent d’améliorer la performance des bâtiments. « Nous avons l’intention de continuer à développer de nouveaux matériaux innovants pour construire un avenir meilleur. Ainsi que de réduire de manière drastique les coûts et le temps de construction »,conclut Henrik-Lund Nielsen, fondateur et directeur général de Cobod.
Il y a 2 ans et 290 jours

Académie d’Architecture : Prix et Récompenses 2022

Depuis 1966, l'Académie d'Architecture, à travers ses Prix et Récompenses, distingue le travail d’hommes et de ...More about Cet article Académie d’Architecture : Prix et Récompenses 2022 est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 290 jours

Malgré une récession prévue pour toute l'Europe, la FFB se veut rassurante sur l'avenir du BTP

Dans ce contexte difficile, trois observations font tout de même ressortir du positif pour l'avenir du secteur : alors que la crise des matériaux et de l'énergie sévit encore, le BTP résiste toujours,les carnets de commande restent fournis et l'année 2022 semble globalement faite,les besoins à moyen et long terme s'avèrent globalement porteurs pour le bâtiment.L'activité : un bilan contrastéConcernant le logement neuf, les tendances se confirment et le rebond dû à l'entrée en vigueur de la RE2020 et de la réglementation du HCSF laisse progressivement place à une chute à l'amont de la filière.Bien qu'une remontée des mises en chantier soit encore possible d'ici la fin de l'année avec une hausse des permis d'environ 14%, en glissement annuel sur sept mois à fin juillet 2022, ces permis chuteront inévitablement avec l'effondrement des ventes de plus de 26% dans l'individuel diffus et de près de 15% dans la promotion immobilière, sur le premier semestre 2022 rapporté au même semestre de 2021. Les deux prochaines années s'annoncent « périlleuses » pour le logement neuf selon la FFB.À quelques jours du dévoilement du PLF, la FFB tient à rappeler l´importance de préserver la capacité d'investissement des acteurs-clés du logement. Notamment aux bailleurs sociaux, et en particulier à Action Logement. Le groupe paritaire joue un rôle majeur au service des salariés, des entreprises et des territoires. Déséquilibrer son modèle financier par des ponctions financières constituerait un risque supplémentaire dans cette crise du logement en devenir.La situation semble inverse pour le non résidentiel où, après deux années de marasme, 2022 ressort mieux orientée. De fait, les surfaces commencées et autorisées s’affichent en progressions respectives de près de 18% et 7% en glissement annuel sur sept mois à fin juillet 2022.Enfin, l’activité en amélioration-entretien continue de croître, bien que sa dynamique déçoive un peu, sans doute pénalisée par un marché des CEE encalminé depuis le début de l’année. La tendance ressort proche de +2% pour l’ensemble, comme pour la rénovation énergétique. Mais il faut aussi souligner que ce segment progresse régulièrement depuis la sortie de la crise sanitaire. En cumul depuis la fin du premier trimestre 2020, hors effet prix, l’amélioration-entretien s’affiche en hausse de 6,5% et la rénovation énergétique du logement de 12,4%.L’ensemble de ces éléments, y compris les révisions à la baisse des scénarios macro-économiques, conduisent à réévaluer un peu les prévisions de la FFB pour 2022. La croissance de l’activité s’établirait à +3,8% en volume, contre +4,3% prévu début décembre 2021, principalement du fait de la moindre progression de l’amélioration-entretien.Cela signifie aussi qu’à ce jour, l’élan pris avant d’entrer dans 2023 se révélera moindre qu’espéré, alors même que les attentes relatives au secteur se renforcent, compte tenu de la guerre énergétique toujours d’actualité.Emploi : un ralentissement inquiétantAu-delà du blocage des permis de construire, l’un des principaux facteurs expliquant ce tassement réside dans l’emploi, qui peine à suivre. Certes, par rapport à la fin du premier trimestre 2020, le secteur a créé près de 80.000 postes salariés et intérimaires, auxquels il faut ajouter 17.000 artisans non salariés, soit 97.000 personnes de plus. Toutefois, ce chiffre plafonne depuis la fin 2021.Sans doute la dégradation des perspectives globales joue-t-elle un rôle dans cette stabilisation à haut niveau. Mais surtout, les difficultés de recrutement perdurent ; elles se renforcent même chez les plus de dix salariés, pour atteindre des proportions historiques : plus de quatre entreprises sur cinq déclarent en souffrir.L’emploi constitue donc un goulet d’étranglement du secteur, alors que le vivier de compétences disponibles se trouve aujourd’hui à l’étiage.La guerre de l'énergie relance la crise des matériauxLe troisième facteur de blocage, aussi important que les précédents, réside toujours dans la crise des matériaux, relancée par la guerre de l’énergie. L’hystérie sur les marchés du gaz et de l’électricité a douché tous les espoirs d’accalmie et les perspectives s’assombrissent. De fait, les fermetures de chaines de productions semblent se multiplier depuis août : produits aluminium, zinc, acier, tuiles et produits verriers, … les difficultés d’approvisionnement et les craintes de pénuries réapparaissent, sans même évoquer l’impact sur les prix de ces matériaux.Globalement, sous l’effet de ces hausses, les coûts des entreprises de bâtiment ont déjà progressé de 12% entre la fin 2020 et juin 2022, selon l’index BT01 de l’Insee. Ce n’est pourtant pas fini, d’autant que l’inflation générale pèse sur les coûts de main d’œuvre. Et cela explique que les trésoreries se tendent, alors qu’il faut ajouter à ces chocs le début du remboursement des PGE.Les assises du BTP très attenduesLes Assises du BTP doivent permettre de répondre à cette situation, en faisant notamment appel à la solidarité de filière et à la solidarité nationale.La FFB a formulé nombre de propositions lors des réunions préparatoires. Par exemple, pour les marchés publics, la simplification des conditions d’obtention d’avenants visant à compenser la hausse des matériaux sans remise en cause du marché, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour traiter de gré à gré, le relèvement du taux d’avance minimal. D’autres suggestions relatives à la transition écologique ont également été formulées, notamment l’indexation des aides, le relèvement des obligations d'économie d'énergie pour la cinquième période des CEE ou la mise en œuvre effective de l’éco-contribution REP neuf mois après publication des tarifs, toujours inconnus à ce jour.La FFB demande donc avec force que la plénière des Assises du 22 septembre prochain soit considérée comme une nouvelle étape vers la constitution d’un véritable Conseil national de la construction et non comme une fin. De fait, les crises qui se succèdent depuis 2020 illustrent clairement le besoin d’une meilleure coordination au sein de la filière et d’une meilleure concertation avec le gouvernement.
Il y a 2 ans et 290 jours

Avec l’ouverture, l’ordre se grandit en proposant de compter les forces

A la rédaction de Chroniques, les débats sont incessants et portés avec conviction. C’est ainsi que Julie Arnault a pris exception de notre édito du 6 septembre intitulé ‘Pour le CNOA, les « vrais » architectes ont vécu, vive les « nouveaux » architectes’. D’aucuns se souviennent peut-être que le quotidien USA TODAY proposait chaque […] L’article Avec l’ouverture, l’ordre se grandit en proposant de compter les forces est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 290 jours

En amont des Assises du BTP, le secteur veut une transition énergétique "plus ambitieuse"

CONJONCTURE. Inquiet des perspectives macro-économiques, le bâtiment peut toutefois se consoler avec des chiffres encore très bons, et la création de 15.000 emplois depuis le début de l'année. La Fédération française du bâtiment (FFB) alerte cependant sur les nouvelles tensions que connaissent les marchés de matériaux, et appelle le Gouvernement à consacrer les financements nécessaires à la rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 290 jours

L'installation des 80 éoliennes du parc de Saint-Nazaire est terminée

L'installation des 80 éoliennes du parc de Saint-Nazaire, qui sera le premier parc éolien en mer de France, s'est achevée lundi 5 septembre, ce qui permettra une mise en service complète d'ici la fin de l'année 2022.
Il y a 2 ans et 290 jours

20 % du volume d’eau potable perdu

Avec 117 communes privées d’eau potable, 93 départements sur 96  en alerte sécheresse cet été, et à ce jour, de nombreux départements encore soumis à des restrictions d’eau, l’actualité relance l’urgence de renouveler le patrimoine des canalisations devenu trop vétuste. Le taux de renouvellement annuel du réseau d’eau potable en France est de 0,67 %, soit, en moyenne, un renouvellement tous les 160 ans, alors que la durée de vie d’une canalisation est de l’ordre de 80 ans. Le rendement moyen des réseaux de distribution d’eau potable évalué pour l’année 2020 à 80,1 % n’est pas satisfaisant, d’autant plus que le rythme de recharge des nappes phréatiques est relativement faible. À l’échelle « France entière », cela représente 20 % du volume d’eau potable perdu, soit sur cinq litres d’eau distribués dans le réseau, qui ont été captés et traités, un litre qui n’arrive jamais jusqu’au robinet du consommateur, du fait des fuites dans les réseaux de canalisations qui tardent à être rénovés, sécurisés ou remplacés. Les Canalisateurs rappellent que des solutions existent pour mieux préserver ce patrimoine, qui invisible, n’en ait pas moins précieux et se doit d’être transmis aux générations futures. Il y a urgence à investir pour les territoires en matière de réseaux de manière curative et préventive, pour réduire enfin les fuites, diminuer ainsi les prélèvements sur le milieu aquatique naturel, éviter de gaspiller de l’énergie (pompage de l’eau, traitement pour la rendre potable) et de consommer inutilement des produits pour le traitement. Qui plus est, l’eau destinée à la consommation humaine provient de ressources de plus en plus difficiles à exploiter, parce qu’elles sont plus lointaines, plus polluées ou déjà très sollicitées. Les entreprises de canalisations mettent en œuvre toute une panoplie de solutions pour renforcer la performance et la résilience des réseaux. Travaux de remplacement des canalisations défaillantes, déploiement de l’interconnexion de l’eau potable pour relier et sécuriser les réseaux de distribution entre les communes, et réduire ainsi les inégalités entre les territoires, nouveaux moyens de stockage de l’eau ou de réutilisation des eaux usées traitées, adaptation et dépollution des réseaux d’eaux pluviales, construction d’adducteur… Cet article 20 % du volume d’eau potable perdu est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 290 jours

La sécurité incendie par la grande porte !

WICONA commercialise WICSTYLE 75FP EI30, une porte coupe-feu 30’ en aluminium recyclé Hydro CIRCAL  La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 […]
Il y a 2 ans et 290 jours

Prolongement et simplification de l'aide d'urgence "gaz et électricité"

Le ministère de l’Économie et des Finances a décidé de simplifier et de prolonger cette aide, destinée aux entreprises grandes consommatrices de gaz et d'électricité, jusqu'à fin décembre 2022. Photo © cwizner de Pixabay
Il y a 2 ans et 290 jours

Sto déploie Sto'n'Go, une offre de produits essentiels ITE et ravalement pour la maison individuelle

Après la nouvelle organisation mise en place fin 2021 pour le marché de la maison individuelle, avec à sa tête Julien Velar, Sto France franchit une nouvelle étape dans son développement avec Sto'n'Go. Plus de 300 articles toujours en stock dans les agences StoSystème d'ITE complet (avec sous-enduit, colle, isolant en polystyrène, fixation), accessoires, nettoyants et décontaminants, primaires et revêtements de façade, éléments décoratifs et modénatures, laques, préparation et finitions intérieures, outillage… La sélection Sto'n'Go, c‘est plus de 300 articles pensés pour les chantiers en maison individuelle.Disponibles en enlèvement ou en livraison, ces produits essentiels sont toujours tenus en stock dans les 18 agences du réseau Sto pour répondre rapidement aux différents besoins du marché de la rénovation énergétique.Des enduits de finition pré-teintésCôté finition, Sto tient en stock jusqu'à 15 teintes incontournables, disponibles immédiatement et faciles à réassortir, en Stolit K1.5 et StoSilco K1.5.Nuances de blanc, de beige et de gris, cette sélection réalisée par le service StoDesign, expert de l‘esthétique en façade, permet de répondre largement aux besoins de rénovation des maisons individuelles, quelles que soient les spécificités locales.Et pour les artisans qui ne trouveraient pas leur bonheur parmi ces 15 teintes incontournables, les agences Sto peuvent teinter jusqu‘à 6 seaux dans les 32 couleurs du nuancier Maison Individuelle, pour un enlèvement immédiat.Un service dédié à la constitution des dossiers CEEDans le cadre du dispositif de demande de subvention de la prime CEE en maison individuelle, Sto met à disposition de ses clients un interlocuteur dédié pour les accompagner dans la constitution de leur dossier. Sto se positionne comme un guichet unique, collecteur de CEE à la place des artisans auprès de la plateforme de son partenaire mandataire, EBS.Résultat : des démarches administratives simplifiées, les primes CEE étant déduites de la prochaine commande auprès de Sto.Les agences Sto recentrées sur le marché de la maison individuelleFace à l'explosion du marché de la rénovation énergétique, Sto a décidé d'adapter son organisation logistique pour mieux servir ses clients.Une plateforme régionale dédiée aux plus gros clients nationaux a été mise en place dans la région lyonnaise afin de décharger les agences. Celles-ci peuvent désormais se concentrer sur les besoins des artisans locaux en maison individuelle, en quête de rapidité et de réactivité.« Avec un plan de développement sur 5 ans pour le marché de la maison individuelle, Sto se donne les moyens pour s'inscrire comme un acteur de la transition écologique. Avec cette offre, nous souhaitons fluidifier les travaux de rénovation énergétique de nos clients en maison individuelle, dont les carnets de commande sont pleins sur un an ! Notre accompagnement permet de répondre à leurs besoins rapidement, ils peuvent ainsi se concentrer sur la réalisation de leurs chantiers », souligne Julien Velar, coordinateur national maison individuelle Sto France.
Il y a 2 ans et 290 jours

La French Tech au salon IFA 2022, du très utile et de l’accessoire

Des projecteurs vidéos vraiment portatifs, transformer n’importe quelle surface en écran tactile, un collier pour chien connecté, la French Tech est venue en force à IFA 2022.
Il y a 2 ans et 290 jours

Mars Architectes révèle un "Paris caché" en coeur d'îlot

EN IMAGES. 14 logements bois en coeur d'îlot dans le 12e arrondissement de Paris. C'est le projet dessiné par Mars Architectes pour Gecina et livré en 2020. Les concepteurs ont fait appel à la préfabrication bois pour faciliter l'intervention en coeur d'îlot.
Il y a 2 ans et 290 jours

Avancement de la construction du projet Natura, première résidence bas carbone d'envergure en Occitanie

Isolation bois-paille, peinture à base d’algues ou encore chaufferie bois, sa conception est avant-gardiste et exemplaire en termes de consommation énergétique et de performance thermique.La pose d’une botte de paille de ce projet qui verra le jour fin 2023, a eu lieu sur site le jeudi 8 septembre, en présence de Mme Annette Laigneau, Adjointe au Maire de Toulouse en charge de l’Architecture Communale et Urbanisme, M. Jean-Jacques Bolzan, Adjoint au Maire, maire de quartier 6.1, Arènes Romaines, Saint-Martin-du-Touch, Purpan, les représentants d’Oppidea ainsi que les différents partenaires de Premium Promotion.Située à Saint Martin du Touch, la résidence Natura propose plus de 100 logements, du 2 au 5 pièces, répartis sur 4 plots d’habitation aux vastes surfaces extérieures.Les matériaux utilisés offrent une consommation énergétique et une performance thermique optimale qui permettent à Natura de s’inscrire dans de nombreuses démarches qualités et environnementales telles que la démarche BDO (Bâtiment Durable Occitanie) et l’appel à projet Nowatt de la Région Occitanie, et de viser des labels et certifications comme le NF Habitat HQE niveau Excellence et le E+C- niveau E3C2.Résidence bas carbone, le projet Natura répond à trois fondamentaux.Le recours aux matériaux biosourcésPour garantir un projet immobilier durable, le recours aux matériaux biosourcés est essentiel. A titre d’exemple, les façades de la résidence sont réalisées par des caissons en bois massif isolés avec des bottes de paille offrant ainsi une performance énergétique conforme aux attentes des bâtiments passifs. Le niveau d’isolation des parois est supérieur de plus de 50% par rapport aux projets RT2012 habituels. De plus, ce matériau naturel, abondant et dont le bilan environnemental est exemplaire en circuit court, offre un confort optimal l’été grâce à son déphasage important.Cette enveloppe très performante, couplée à une chaufferie bois et une pompe à chaleur communes à l’ensemble des bâtiments pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire garantissent des charges de fonctionnement extrêmement faibles.La préservation environnementale et la qualité des logementsLes toitures sont en forme de serres ce qui offre une double voire triple exposition dans chacune des pièces. Chaque logement dispose de terrasses. Enfin, la peinture utilisée dans tous les logements est écologique et à base d’algues. En cœur d’îlot, un vaste espace paysagé aux arbres centenaires préservés, des toits pour jardiner dans un potager partagé avec serre agricole commune, ou en rez-de-chaussée pour retirer des fruits et légumes bios depuis des casiers maraîchers offriront aux résidents une réelle qualité d’usage et les placeront au cœur du paysage.Le vivre ensemble et l’aménagement d’espaces partagésDes ateliers pour les jardins potagers seront proposés aux résidents pendant 2 ans afin que ces derniers puissent s’approprier les espaces communs et les faire vivre dans le temps. Enfin, les résidents pourront jouir d’un appartement polyvalent (à la fois chambre d’hôtes, lieu de rencontre des résidents ou de télétravail).« Nous construisons la ville de demain, pour un art de vivre plus pérenne et responsable » Sébastien Rue, Dirigeant – Fondateur de Premium Promotion.