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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(79116 résultats)
Il y a 2 ans et 290 jours

Une centrale électrique flottante acheminée en Nouvelle-Calédonie par la SLN (Eramet)

La Société Le Nickel (SLN) a réceptionné le 3 septembre une centrale au fioul flottante pour sécuriser la production de son usine métallurgique de Nouméa.
Il y a 2 ans et 290 jours

Un nouvel outil pour mieux prendre en compte le potentiel photovotaïque des toitures

Spacemaker, plateforme de préfiguration et d'analyse d'Autodesk, propose désormais une nouvelle analyse qui permet de calculer le potentiel de production d'électricité par des panneaux solaires installés sur les toits.
Il y a 2 ans et 290 jours

Le premier verre bas carbone

Saint-Gobain Glass vient de lancer ORAÉ®, un nouveau substrat de verre dont l’empreinte carbone est la plus faible au monde. Cette prouesse technique fait suite à l’annonce de début juillet révélant la production du premier verre bas carbone pour le marché de la construction. Son empreinte carbone est estimée à 7 kg CO2 éq./m2 (pour un substrat de 4 mm), soit une réduction d’environ 40 % par rapport à la valeur moyenne européenne des produits de Saint-Gobain Glass. Plusieurs campagnes de production ont été menées à bien au cours du premier semestre 2022, associant l’utilisation d’électricité renouvelable et un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin, dont 55 % de calcin externe). Ceci a été rendu possible grâce aux initiatives Saint-Gobain Glass Recycling en Europe et permet d’augmenter la quantité déclarée de contenu recyclé selon la norme ISO 14021:1999, sans affecter le taux de calcin de la production courante.
Il y a 2 ans et 290 jours

Hellio et l'Ucanss s'engagent pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments de la Sécurité Sociale

Cette collaboration vise à faciliter l'obtention des primes financières CEE, permettant aux organismes de Sécurité sociale de mieux valoriser les travaux de rénovation énergétique sur leur parc immobilier. Une signature qui augure des économies d'énergie pour les bâtiments tertiaires des organismes de la Sécurité sociale à l'heure où le prix de l'énergie est une préoccupation pour tous.Rénover pour faire face à la hausse des prix de l'énergie et atteindre les objectifs du décret éco-énergie tertiaireL'institution Sécurité sociale représente plus de 4 millions de m² de surface de bureaux, avec une consommation d'énergie annuelle d'environ 540 GWh.Face à la forte hausse des prix de l'énergie et dans la perspective des objectifs de réduction des consommations d'énergie du décret éco-énergie tertiaire à atteindre (- 40% d'ici 2030, – 50% d'ici 2040, et – 60% d'ici 2050), la rénovation énergétique apparaît comme un des leviers majeurs à actionner pour consommer moins et mieux l'énergie. D'autant plus que celle-ci bénéficie du soutien des CEE, un dispositif d'aides privées financé par les plus gros fournisseurs d'énergie (EDF, Total Energies, Engie, etc.).De nombreux organismes de Sécurité sociale projettent de réaliser des travaux d'économies d'énergie, ce qui permettra de générer des Certificats d'Économies d'Énergie qui contribuent :à la valorisation des travaux de performance énergétique,au financement de tout ou partie des travaux d'efficacité énergétique,et à l'accélération du lancement de projets grâce à des moyens financiers supplémentaires.Simplifier les démarches d'obtention des aides financières CEEGuidée par la volonté de simplifier les démarches d'obtention des financements des caisses de Sécurité sociale pour la rénovation de leurs bâtiments, l'Ucanss a choisi de s'appuyer sur l'expertise de Hellio, acteur du dispositif depuis 2008.Concrètement, Hellio accompagne l'Ucanss et les Caisses nationales de Sécurité sociale dans la détection de gisements d'économies d'énergie et réalise des préconisations techniques et d'optimisation des CEE pour les travaux de rénovation énergétique à mener. L'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie apporte également son aide pour le montage des dossiers CEE et le versement des primes.Cette signature annonce de nombreuses actions communes entre Hellio et la Sécurité sociale. D'une durée de 4 ans, le partenariat a été conclu pour toute la durée de la 5e période des CEE.« L'an dernier, nous nous engagions dans le programme Impulsion2021 qui a permis de sensibiliser des milliers de collaborateurs aux gestes éco-responsables et de tester des solutions techniques innovantes à gains rapides. Dans le prolongement, cette convention de partenariat signée avec Hellio nous inscrit dans une démarche durable en faveur de la transition énergétique qui est un enjeu sociétal et économique majeur » souligne Raynal Le May, Directeur de l'Ucanss.« Nos objectifs communs, grâce aux CEE valorisés par Hellio et aux travaux réalisés par la Sécurité sociale, reposent sur un triptyque essentiel pour massifier la transition énergétique : maximiser les économies d'énergie des bâtiments, travailler sur le confort thermique des usagers et collaborateurs et améliorer la valorisation du patrimoine immobilier », souligne Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.
Il y a 2 ans et 290 jours

Vers le TCE biosourcé

La montée en puissance de la construction biosourcé réanime la volonté de faire évoluer les charpentiers vers des entreprises générales.
Il y a 2 ans et 291 jours

Eolien en mer : Bouygues Travaux publics s'offre une technologie d'embase flottante

ACQUISITION. Le groupe Bouygues passe par une opération de croissance externe afin d'accélérer le développement de l'éolien offshore, en rachetant une technologie innovante dans le flottant.
Il y a 2 ans et 291 jours

Lars Petersson nouveau CEO du Groupe Velux succède à David Briggs qui prend sa retraite

Lars Petersson a occupé le poste de président et de directeur général chez Hempel, entreprise mondiale de revêtements basée au Danemark. Avant Hempel, Lars Petersson a occupé des postes de direction chez Inwido, un fabricant de fenêtres et portes, ainsi que chez Tarkett, une société multinationale française spécialisée dans les revêtements de sols. Depuis 2019, Lars Petersson est membre du conseil d'administration de l'entreprise danoise Dovista.Pour Jørgen Jensen, président du conseil d'administration du Groupe VELUX : « Lars Petersson apporte une vaste expérience grâce à son solide parcours au sein d'entreprises industrielles mondiales appartenant à des secteurs connexes. Sous sa direction, Hempel a lancé avec succès une stratégie de croissance ambitieuse axée principalement sur les clients et a démontré un engagement tout aussi fort à assumer le leadership en matière de Développement Durable. Je suis convaincu que nous avons trouvé en Lars Petersson la personne adéquate pour poursuivre la stratégie de développement du Groupe VELUX. »Pour Lars Petersson : « Je suis honoré et ravi d'avoir l'opportunité de diriger le Groupe VELUX. Je travaille dans le secteur des matériaux de construction depuis 20 ans et j’ai toujours admiré VELUX pour la puissance de sa marque et la qualité de ses produits. L'entreprise est l’héritage d’une stratégie avant-gardiste dans son secteur tout en gardant un sens aigu de sa responsabilité sociétale. J'ai hâte de rejoindre VELUX et de contribuer aux objectifs définis visant à développer l'entreprise tout en mettant toujours plus haut l’enjeu de Développement Durable »Lars Petersson a 53 ans. D’origine suédoise, il réside dans la région de Copenhague.David Briggs prend sa retraite et quitte VELUXAprès cinq ans passés à la tête du Groupe VELUX, David Briggs quittera son poste de CEO en septembre.Pour Jørgen Jensen, président du conseil d’administration du Groupe VELUX : « David a mené une carrière couronnée de succès de près de 30 ans chez VELUX et, sous sa direction ces cinq dernières années, le rayonnement de VELUX s'est poursuivi et accéléré. Je suis désolé de le voir partir mais je respecte pleinement son désir de passer plus de temps avec sa famille. Avec le conseil d'administration et une solide équipe de direction, David a mis en place une stratégie efficace afin d’assurer une croissance significative à l'horizon 2030 et à véritablement montré la voie en termes de Développement Durable au sein du secteur de la construction. Nous demeurons pleinement attachés aux principes fondamentaux de cette stratégie. »Pour David Briggs : « Diriger cette magnifique entreprise et représenter ces talentueux collaborateurs ont été le plus grand honneur et privilège de ma vie. Depuis 2018, nous avons obtenu des résultats dépassant ce que beaucoup pensaient ne pas être possible et nous pouvons tous en être fiers. Et cela grâce à l'engagement de nos collaborateurs mais aussi de nos partenaires, fournisseurs et clients. Je pense sincèrement que le meilleur est à venir pour VELUX, comme le prévoit la stratégie d'entreprise que nous avons lancée en 2021 et qui commence déjà à donner de bons résultats. Il m'est difficile de m'éloigner de cette entreprise que j'aime tant et en laquelle je crois, mais je sens que le moment est venu pour moi et pour ma famille. Avec un conseil d'administration solide, soutenu par les actionnaires historiques de VELUX, je ne doute pas que VELUX continuera à se développer et demeurera ce qui est probablement l’une des meilleures entreprises de matériaux de construction au monde dans les années à venir. »
Il y a 2 ans et 291 jours

Pôle emploi prépare un plan d'action ciblant les secteurs qui peinent à recruter

Dans ces documents, initialement dévoilés par Mediapart, l'opérateur public évoque la mise en place d'"un vivier de candidats motivés et prêts à l'emploi ou susceptibles de l'être moyennant une action rapide d'adaptation".Concrètement, un document daté du 25 août identifie 23 métiers comme "particulièrement en tension", c'est-à-dire "générant un nombre d'offres d'emploi significatif sans susciter des candidatures en nombre suffisant". Ces métiers, constituant "un cadre a minima" qui pourra être complété, sont répartis dans trois secteurs (hôtellerie/restauration, santé/social et transport) et vont de cuisinier à infirmier en passant par livreur.Le document évoque une "mise en oeuvre opérationnelle" du plan à la date du 19 septembre. A cette date, un portefeuille de suivi de 150 à 200 candidats sera crée dans chaque agence.Sollicité par l'AFP, Pôle emploi a indiqué qu'il s'agissait d'un "document de travail", se refusant à tout commentaire.Du côté des syndicats de l'opérateur, Michel Breuvart (SNU-FSU, 2e syndicat) déplore que cela "accrédite une nouvelle fois dans l'opinion publique l'idée qu'un certain nombre de demandeurs d'emploi se complait dans le chômage alors que des postes restent vacants"."Aucune leçon n'est tirée de la crise Covid qui a vu des milliers de travailleurs dans ces secteurs d'activités se détourner de ces métiers car premières victimes de la crise sanitaire", ajoute-t-il, pointant "des conditions de travail souvent désastreuses dans ces secteurs".Le gouvernement avait lancé à l'automne 2021 un plan de réduction des tensions de recrutement, passant notamment par le déblocage de 1,4 milliard d'euros, pour former davantage de salariés et demandeurs d'emploi. Depuis, le nouveau ministre du Travail Olivier Dussopt a indiqué vouloir "accentuer" les efforts.
Il y a 2 ans et 291 jours

Face à la crise énergétique, les piscines de Paris seront fermées "en dernier recours"

La fermeture partielle ou totale des piscines, équipements très énergivores, "sera le dernier recours si on n'a pas d'alternatives", a répondu Pierre Rabadan, interrogé par l'AFP sur cette éventualité après l'annonce lundi par la maire PS Anne Hidalgo, lors d'un séminaire de rentrée, de la nécessité d'économiser 250 millions d'euros pour boucler le budget. Le même jour, une trentaine de piscines publiques françaises gérées par l'exploitant privé Vert Marine fermaient brutalement, l'entreprise affirmant ne plus pouvoir faire face à l'augmentation des prix de l'énergie.Parmi celles-ci, l'espace Pailleron (XIXe), nouvellement exploité par Vert Marine, est resté fermé jeudi, jour de sa réouverture programmée.La mairie "a été mise devant le fait accompli, on est clairement sur une position de chantage", fustige Pierre Rabadan pour qui "d'autres solutions étaient possibles" et qui garde l'objectif de faire rouvrir "dans les meilleurs délais" l'équipement sportif.Pour les piscines qu'elle gère directement, la mairie n'envisage "pour l'instant" pas de réduction d'horaires voire de fermeture "parce qu'on tient aux équipements sportifs", affirme l'élu en rappelant que la Ville bénéficie d'un "coût de l'électricité encadré jusqu'à fin 2023"."Mais si la crise devait durer plusieurs mois, la question devrait se poser à un moment", prévient l'ancien rugbyman qui anticipe des "surcoûts massifs de plusieurs dizaines de millions d'euros" pour la ville.En attendant, la mairie cherche des solutions pour "diminuer la consommation énergétique des équipements sportifs, en particulier des piscines", explique-t-il.Outre les travaux lourds, des aménagements "à plus court terme" vont être entrepris pour améliorer la "régulation de la température en fonction de la température extérieure", la conservation de la chaleur ou encore la filtration de l'eau, détaille M. Rabadan.Paris compte 42 piscines publiques, la grande majorité en régie et trois, dont Pailleron, en délégation de service public (DSP).Les élus parisiens doivent par ailleurs débuter le 15 septembre les discussions avec les organisations syndicales des maîtres-nageurs, dont les grèves spontanées ont engendré des fermetures inopinées de piscines depuis plusieurs mois.Selon Pierre Rabadan, 3 à 4 piscines se sont retrouvées fermées en moyenne par jour en juillet, puis 1 à 2 en août. Mais avec 300.000 visiteurs en juillet, les piscines parisiennes ont retrouvé des niveaux de fréquentation pré-Covid, se réjouit la mairie.
Il y a 2 ans et 291 jours

Bruno Le Maire confirme la suppression de la CVAE étalée sur deux ans

"Nous supprimerons cet impôt de production en deux fois, sur 2023 et sur 2024", a déclaré le ministre sur LCI, ajoutant que "nous le ferons en deux fois par souci d'équilibre de nos finances publiques"."En 2023, il y aura une baisse de quatre milliards des impôts de production", a-t-il assuré. La CVAE rapporte actuellement environ le double. Bruno Le Maire a néanmoins voulu rassurer les chefs d'entreprise sur l'engagement pris."Cette trajectoire en deux temps sera inscrite dans le budget 2023 pour que toutes les entreprises, notamment les industries auxquelles j'attache une importance vitale, aient l'assurance que effectivement cet impôt de production sera supprimé en 2024", a-t-il ajouté.La possibilité d'un étalement sur deux ans de la suppression de la CVAE avait été évoquée par le journal Les Echos dès jeudi. Le ministère des Comptes publics n'avait pas alors souhaité commenter cette information, sans toutefois la démentir.La perspective de cet étalement a fait réagir vivement le Medef. "Nous ne comprendrions pas que la CVAE soit une variable d'ajustement budgétaire au moment où les entreprises souffrent également de l'inflation, de l'intensification de la concurrence internationale et doivent aussi investir dans le décarbonation", a déclaré aux Echos de lundi le numéro deux de l'organisation patronale, Patrick Martin.La suppression de la CVAE en 2023 avait été annoncée début juillet par la Première ministre Elisabeth Borne dans son discours de politique générale. Bruno Le Maire a par ailleurs de nouveau pris la défense du crédit impôt recherche (CIR), un allégement fiscal souvent critiqué pour être détourné de son objectif de financement de la recherche par les entreprises, jugeant qu'il "fait l'attractivité de notre pays" et "permet d'améliorer l'innovation et l'investissement dans l'innovation".
Il y a 2 ans et 291 jours

Alphi rachète Simpra

Simpra assure la construction de coffrage sur mesure pour les chantiers de travaux publics et de génie civil. [©ACPresse] Le groupe savoyard Alphi vient d’annoncer l’acquisition de 100 % des titres de l’industriel francilien Simpra. Né il y a 60 ans, ce dernier est spécialisé dans la construction de coffrages sur mesure à destination des chantiers de génie civil et d’ouvrages fonctionnels. A sa tête, Jean-Paul Buvat et Alain Nouhaud en assurent le développement, tant en France qu’à l’international où Simpra réalise aujourd’hui 50 % de son chiffre d’affaires. A l’issue de la transaction, Alain Nouhaud poursuit son activité au sein de l’entité Simpra, assurant ainsi la permanence des savoir-faire et l’aboutissement de nombreux projets à l’étude… De plus en plus internationale Pour Alphi, cette intégration constitue un véritable renforcement de l’offre commerciale vers des outils jusqu’à maintenant peu présents dans la gamme. A savoir, des équipements spécifiques, réalisés à façon. En même temps, le groupe savoyard accroît sa capacité à proposer des coffrages pour dalles et voiles, de type grimpant, des étaiements ou encore des systèmes de protection de façades. « Il s’agit pour nous d’une opportunité de mutualisation des compétences, aussi bien au niveau des équipes que des matériels, en France comme à l’international », indique Alexandre Souvignet, président l’Alphi. Et de poursuivre : « Alphi et Simpra partagent des valeurs clefs comme le service clients, l’expertise technique, l’excellence opérationnelle et, surtout, un mode de management bienveillant ». [Web uniquement] La reprise de Simpra confirme le dynamisme du groupe Alphi en matière de développement et de croissance externe. Elle intervient quelques mois après l’acquisition du Suisse Adria, forte de près de 100 ans d’expertise dans l’étaiement et le matériel pour la construction. Et s’inscrit dans le cadre de l’accélération du déploiement d’Alphi à l’international, en direction du Portugal, du Royaume-Uni, de l’Afrique et de l’Inde.
Il y a 2 ans et 291 jours

Des chantiers rénovation, fiabilisation de l'acte de construire, innovation

Romain Mège - Photo : Raphaël DautignyPour massifier la rénovation, il est indispensable, en premier lieu, de s'appuyer sur une bonne connaissance du parc des bâtiments existants pour savoir où l'on en est, mesurer les progrès réalisés et les efforts restant à fournir et fiabiliser les stratégies de rénovation à l'échelle d'un territoire, ou à celle du parc d'une foncière ou d'un bailleur. Pour que les acteurs puissent arrêter leur projet et le mener à bien, il est nécessaire de concevoir des protocoles d'évaluation multicritère : à la fois des nouveaux produits, mais aussi des systèmes et matériaux qui, tombés en désuétude, ne disposent pas de la documentation scientifique et technique nécessaire. Nos travaux sont à la fois théoriques et appliqués, prenant alors la forme de « recherche action », accompagnant des collectivités et des propriétaires dans leur appropriation des outils numériques et dans la découverte de toutes les opportunités que ceux-ci peuvent engendrer. Romain Mège - Directeur de Domaine d'Action Stratégique Recherche En savoir plus : Consultez les Feuilles de route scientifiques et techniques, vision 2030 Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 291 jours

J-11 avant l’ouverture du SIBCA

Plus que quelques jours avant l’ouverture du SIBCA, le 1er salon de l’Immobilier Bas Carbone qui se tiendra du 22 au 24 septembre au Grand Palais Ephémère de Paris. Sous le Haut Patronage d’Emmanuel Macron, Président de la République et organisé conjointement par l’Association BBCA et France Conventions, le Sibca sera le 1er rendez-vous des professionnels de l’immobilier dans un écosystème en mutation, pour concevoir, construire et rénover les grands projets urbains et les bâtiments de demain. Au programme :  Les Grands Débats – Organisés par l’Association BBCA, les Grands Débats du Sibca vont couvrir les enjeux clés de l’immobilier bas carbone avec des keynotes, en abordant plusieurs thématiques, le financement bas carbone, l’architecture bas carbone, le Shift Project, l’exploitation des forêts, la neutralité carbone des bâtiments… La remise des trophées BBCA – L’Association BBCA dévoilera deux nouveaux labels : le label BBCA Quartier et le label BBCA Exploitation. L’Association remettra également les Trophées BBCA pendant l’événement. Les Conférences – Elles accueilleront une trentaine de prises de parole organisées par les exposants du Sibca, pour présenter auprès de leur écosystème et des médias, leurs actualités, réalisations exemplaires et solutions bas carbone. > Découvrez le programme des Grands Débats et Conférences Bati-Journal et Planète Bâtiment, partenaires de l’événement, ont le plaisir de vous inviter gratuitement à découvrir cette première édition du Sibca. Participez dès maintenant, en commandant votre badge d’accès ! Cet article J-11 avant l’ouverture du SIBCA est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 291 jours

Face à la sécheresse les Canalisateurs alertent sur l’urgence de renouveler et de sécuriser les réseaux d’eau

À l’heure où préserver la ressource en eau est devenu un enjeu écologique crucial, directement lié au changement climatique, un gaspillage d’1 milliard de m 3 chaque année n’est plus soutenable. Les Canalisateurs rappellent que des solutions existent pour mieux préserver ce patrimoine, qui invisible, n’en ait pas moins précieux et se doit d’être transmis aux générations futures.L’impératif de renouveler plus rapidement les réseaux d’eauLe taux de renouvellement annuel du réseau d’eau potable en France est de 0,67%, soit, en moyenne, un renouvellement tous les 160 ans, alors que la durée de vie d’une canalisation est bien inférieure, de l’ordre de 80 ans. Le rendement moyen des réseaux de distribution d’eau potable évalué pour l’année 2020 à 80,1% n’est pas satisfaisant, d’autant plus que le rythme de recharge des nappes phréatiques est relativement faible.À l’échelle « France entière », cela représente 20% du volume d’eau potable perdu, soit sur cinq litres d’eau distribués dans le réseau, qui ont été captés et traités, un litre qui n’arrive jamais jusqu’au robinet du consommateur, du fait des fuites dans les réseaux de canalisations qui tardent à être rénovés, sécurisés ou remplacés.Le devoir d’une meilleure gestion et connaissance patrimonialeC’est une réelle gestion patrimoniale, à commencer par l’inventaire détaillé des réseaux, qui permet, notamment, de cibler les investissements les plus efficaces et rentables. Mais, avec un indice de connaissance et de gestion patrimoniale (ICGP) qui s’élève à 100 points sur 120 pour les réseaux d’eau potable, la connaissance n’est que parcellaire.Cette moyenne cache aussi des disparités : toutes années confondues, environ la moitié des services d’eau potable, qui ne sont à priori pas ceux qui ont la meilleure connaissance et gestion de leur patrimoine, n’ont pas renseigné l’ICGP dans la base de données Sispea, et 10% des services d’eau potable disposent d’un indice inférieur à 40 points (le plus souvent des petites collectivités rurales).Une dépréciation du patrimoine plus rapide que son renouvellementCes dernières années, bien que la capacité d’autofinancement des collectivités soit restée stable, les investissements se sont, eux, orientés à la baisse, créant une dépréciation du patrimoine plus rapide que son renouvellement. Le déficit d’investissement pour les réseaux d’eau et d’assainissement est estimé à près de 2 Mds € par an. Et, si l’on n’agit pas très rapidement, les travaux de renouvellement coûteront à l’évidence plus cher.Les Canalisateurs, des acteurs engagés pour inscrire la problématique de l’eau au cœur du changement climatiqueIl y a urgence à investir pour les territoires en matière de réseaux de manière curative et préventive, pour réduire enfin les fuites, diminuer ainsi les prélèvements sur le milieu aquatique naturel, éviter de gaspiller de l’énergie (pompage de l’eau, traitement pour la rendre potable) et de consommer inutilement des produits pour le traitement. Qui plus est, l’eau destinée à la consommation humaine provient de ressources de plus en plus difficiles à exploiter, parce qu’elles sont plus lointaines, plus polluées ou déjà très sollicitées.Pourtant, les entreprises de canalisations mettent en œuvre toute une panoplie de solutions pour renforcer la performance et la résilience des réseaux, leur capacité à anticiper et à s’adapter au changement climatique, à limiter les prélèvements sur la ressource, en particulier sur les territoires où elle est soumise à un stress hydrique important.Travaux de remplacement des canalisations défaillantes, déploiement de l’interconnexion de l’eau potable pour relier et sécuriser les réseaux de distribution entre les communes, et réduire ainsi les inégalités entre les territoires, nouveaux moyens de stockage de l’eau ou de réutilisation des eaux usées traitées, adaptation et dépollution des réseaux d’eaux pluviales, construction d’adducteur…, c’est une multitude de solutions efficientes qui sont mises en œuvre par les entreprises de canalisations.Les Canalisateurs soutiennent et développent aussi des innovations technologiques pour mieux surveiller les réseaux d’eau, par un système de canalisations connectées à l’aide de puces, pour faciliter la détection de fuites et anticiper une détérioration complète. Pour repérer les fuites, d’autres dispositifs sont également déployés, dont la recherche par gaz traceur, par électroacoustique ou par des chiens renifleurs.Mais, trop de ces travaux, qui permettraient de lutter efficacement contre les fuites, tardent toujours à être réalisés. Et ce, malgré l’engagement de longue date des Canalisateurs, notamment, pour accompagner la mise en place des inventaires du patrimoine et des Chartes qualité de l’Astee et pour sensibiliser toutes les parties prenantes du secteur de l’eau à cette problématique.Pour Pierre Rampa, président des Canalisateurs : « Le combat mené par les Canalisateurs pour prioriser les travaux de renouvellement et de sécurisation des réseaux d’eau fait aujourd’hui particulièrement sens et ne manque pas de relancer le débat. Nos entreprises, nos métiers ont un rôle de premier plan à jouer pour améliorer leur gestion patrimoniale, assurer un fonctionnement hydraulique optimal, pour maintenir la qualité et pérenniser les infrastructures de canalisations. Espérons qu’à l’épreuve de cette sécheresse historique toutes les solutions, qui concourent à offrir aux citoyens un approvisionnement de qualité en eau, seront enfin durablement déployées sur tous les territoires. La Profession publiera prochainement les résultats des travaux réalisés par ses 80 délégués territoriaux, avec l’association La Fresque du Climat, pour agir face au changement climatique. »
Il y a 2 ans et 291 jours

Habillage en métal coloré pour la route de la soie

A Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), à proximité de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle et du parc d’affaires d’Aerolians, le Paris Asia Business Center (ou Silk Road Paris) conçu par l’agence ArchiFrance compte 22 pavillons à usage de comptoirs de commerce de gros (387 comptoirs). Le tout est vêtu d’une robe colorée par Métal déployé. Faisant partie de la […] L’article Habillage en métal coloré pour la route de la soie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 291 jours

Avis d’avocat : droits d’auteur des architectes, les exceptions

L'architecture dans l'œil du juridique : à l'invitation de L'Architecture d'Aujourd'hui, le cabinet d'avocats Loyseau de ...More about Cet article Avis d’avocat : droits d’auteur des architectes, les exceptions est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 291 jours

Les industriels de la ventilation seront présents sur le salon Interclima 2022

Qualité de l'air intérieur et ventilation seront l'une des thématiques fortes du salon Interclima, du 3 au 6 octobre à Paris, Porte de Versailles.
Il y a 2 ans et 291 jours

Au salon IFA 2022, les offres de stockage d’électricité pour les chantiers se multiplient

Le couple panneaux solaires portatifs + batterie fait son apparition à IFA 2022. Les solutions les plus puissantes peuvent alimenter des outils portatifs et des équipements de chantier.
Il y a 2 ans et 291 jours

La croissance devrait atteindre 0,3% au troisième trimestre, selon les prévisions de la Banque de France

En dépit d'un niveau très élevé d'incertitude lié notamment à la crise énergétique, "l'activité continue globalement de résister", selon les résultats de la dernière enquête de conjoncture réalisée par la banque centrale.L'Insee a de son côté prévu mercredi une croissance légèrement inférieure, de 0,2%, au troisième trimestre."L'activité a été un peu meilleure qu'attendu au cours du mois d'août", a déclaré le directeur général de Banque de France, Olivier Garnier, lors d'une présentation à la presse.L'activité progresse dans les services marchands, les loisirs et la restauration, tout comme le conseil et la programmation. Mais la location de matériels et d'automobiles recule en raison de problèmes d'approvisionnement, détaille la note de conjoncture.Dans le bâtiment, l'activité est "quasi-stable" et elle progresse légèrement dans l'industrie, où elle connaît une évolution contrastée selon les secteurs.L'activité progresse ainsi dans les produits informatiques et électroniques, tout comme dans l'habillement, mais elle recule dans les industries chimique, pharmaceutique, le bois et le papier.L'agro-alimentaire progresse aussi légèrement. Les chefs d'entreprise interrogés par la Banque de France "ne mentionnent pas à ce stade d'impact significatif des mauvaises conditions climatiques", à savoir la sécheresse, "sur la production au cours du mois d'août" pour ce secteur.Pour le mois de septembre, "les chefs d'entreprise s'attendent à une progression de l'activité dans la plupart des secteurs", selon la note.La situation des carnets de commande est stable dans l'industrie et "se dégrade dans le bâtiment", en restant cependant supérieure à sa moyenne sur quinze ans.Les difficultés d'approvisionnement diminuent mais concernent encore une entreprise sur deux dans l'industrie (51%) et un peu moins dans le bâtiment (43%)."Ce repli correspond à ce qu'on voit au niveau mondial", commente Olivier Garnier.À l'inverse, au niveau des difficultés de recrutement, le directeur de la Banque de France n'observe "pas de baisse significative".Enfin, la pression inflationniste diminue mais "le tassement que l'on voit dans les prix à la production va mettre du temps à se voir dans les prix à la consommation", estime M. Garnier.La Banque de France révisera le 15 septembre sa projection de croissance pour l'ensemble de l'année 2022, ainsi que pour 2023 et 2024.
Il y a 2 ans et 291 jours

Avant 1ère Interclima 2022 : Evolution & révolution avec testo 300 nouvelle génération et testo 316

Nécessitant des process de plus en plus complexes, le travail quotidien des professionnels du chauffage et de la climatisation est de plus en plus exigeant. Pour les aider, TESTO a souhaité rendre la technique de mesure encore plus simple. C’est ainsi que le leader mondial des appareils de mesure dévoile au salon INTERCLIMA deux innovations majeures au service de la facilité et de l’efficacité de travail des acteurs du génie climatique. Intuitif, le nouvel analyseur de combustion testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION réalise à l’aide des Smart Probes sans fil du fabricant des mesures de combustion, en un temps record, pour déterminer jusqu’à 4 paramètres en même temps (pression, température, …). Sans alternative sur le marché, la nouvelle série testo 316, avec son modèle révolutionnaire testo 316-2-EX, assure, quant à elle, la détection fiable et combinée des fuites de gaz et des gaz réfrigérants dans les installations de chauffage et de pompes à chaleur. testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION, des mesures sans fil en simultané et en un temps record. Doté des mêmes qualités de précision et de robustesse que testo 300 (écran tactile intuitif Smart-touch, …), l’analyseur de combustion testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION bénéficie d’évolutions technologiques majeures au service de l’efficacité. Le nouveau connecteur testo Bluethooth® permet au testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION de réaliser, parallèlement à l’analyse de combustion, des mesures sans fil de quatre paramètres supplémentaires en se connectant en même temps aux trois Smart Probes suivantes : • testo 115i pour la mesure des températures aller-retour, • testo 510i pour la mesure de la pression de gaz dynamique et statique, • testo 915i pour la mesure de la température de l’air comburant. Toutes les données s’affichent à l’écran et sont lancées et arrêtées simultanément. Pratique, testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION se connecte automatiquement à l’Appli mobile testo Smart, via Bluetooth, sur smartphone et tablette afin de dupliquer en direct sur le terminal mobile, des valeurs de mesure, y compris celles des Smart Probes. Grâce à cette fonction de double écran et à la documentation aisée via l’App testo Smart, le technicien dispose de toutes les mesures importantes, même en cas de distance élevée entre l’appareil et la commande du brûleur. Les données pour la documentation et la création ainsi que l’envoi des protocoles par e-mail sont intégrés dans l’App testo Smart. Evitant des erreurs de transfert, toutes les valeurs enregistrées sur l’analyseur testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION sont envoyées dans le logiciel spécifique de l’utilisateur à l’aide du nouveau QR code, par l’interface programmée au préalable. Plus rapide et plus simple à utiliser, l’analyseur testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION facilite la mesure de combustion dans les installations de chauffage. testo 316-2-EX, premier capteur au monde, deux-en-un, pour la détection combinée des fuites de gaz et fluides frigorigènes Toujours dans un même souci d’efficacité, Testo lance sa nouvelle série de détecteurs de fuite de gaz testo 316 composée de 4 appareils couvrant tous les besoins et domaines d’utilisation, de la petite à la grande installation industrielle. Dans cette nouvelle gamme, testo propose une innovation révolutionnaire : le premier capteur au monde deux-en-un testo 316-2-EX qui localise, sans changer de détecteur, aussi bien les fuites de gaz combustibles que celles des fluides frigorigènes présents dans les pompes à chaleur. testo 316-2-EX offre aux professionnels des fonctions de pointe : • dotée d’une protection antidéflagrante certifiée ATEX, il est particulièrement adapté aux milieux dont les exigences en matière de sécurité sont élevées. • en cas de fuite, des alarmes sonores et visuelles se déclenchent grâce notamment à l’indicateur à LED multicolore (vert, jaune, rouge) sur la tête du capteur. • grâce au mode de précision et à l’identification automatique des types de gaz et fluides les plus courants, testo 316-2-EX rend la détection des fuites encore plus simple et fiable. • la sonde flexible facilite la mesure même dans les endroits difficilement accessibles. • les valeurs de concentration des gaz en ppm ou en pourcentage LEL (limite inférieure d’explosivité) peuvent être appelées, documentées et affichées sur Smartphone et tablette via l’App testo Smart. testo 316, une gamme de détecteurs de fuite de gaz polyvalente Complète, la série testo 316 se compose de trois autres appareils adaptés à chaque besoin : • testo 316 i, connecté et tout simplement SMART, idéal pour localiser des fuites au niveau des conduites de gaz ; • testo 316-1, équipé d’un écran et tout simplement EASY, pour faciliter l’identification, la localisation des fuites et même la lecture des valeurs de concentration en ppm ou en pourcentage LEL ; • testo 316-1-EX, tout simplement SAFE, doté de fonctions avancées et adaptées aux installations de gaz combustibles dans lesquelles les exigences en matière de sécurité sont élevées : protection antidéflagrante (UE) certifiée selon ATEX. Grâce à ses nouveaux appareils connectés testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION et testo 316 qui augmentent l’efficacité des brûleurs et des chaudières par une combustion optimale et sans perte de gaz, Testo offre à tous les acteurs du génie climatique de précieux avantages. Les installateurs et les spécialistes de la maintenance bénéficient ainsi de techniques de mesure simplifiées. Les exploitants, quant à eux, réalisent des économies, ce qui est indispensable à l’heure où le coût de l’énergie et des matières premières explosent. Parallèlement au lancement de ces nouveautés, testo accompagne les professionnels par de nombreux services : formations, réparation, maintenance et étalonnage. http://www.testo.com
Il y a 2 ans et 291 jours

Une nouvelle pompe à chaleur air/eau Daikin pour préparer l'hiver sans énergie fossile

Cette gamme présente la particularité d'être compacte, performante et silencieuse.Venant remplacer la gamme Daikin Altherma M en taille 5 et 7, cette solution est idéale pour les projets de construction neuve (notamment pour les petites tailles) comme pour les programmes de rénovation lors du remplacement/relève des chaudières non condensation (gaz ou fioul) et le remplacement d'une ancienne PAC Air/Eau Monobloc.Groupe Monobloc tout en unLe groupe extérieur de la nouvelle gamme Daikin Altherma 3 M disponible de la taille 4 à 8 dispose d'une grille de ventilation avec un habillage blanc.La pompe à chaleur Daikin Altherma 3 M Moyenne Température à 55°C est disponible en chauffage seul ou en version réversible (chauffage et rafraîchissement), uniquement en version monophasée. La gamme dispose aussi d'un appoint électrique 3kW integré de série.Elle peut être connectée à des radiateurs basse et moyenne température, à un plancher chauffant ou chauffant/rafraîchissant (en cas de solution réversible) ou à des ventilo-convecteurs (qui fonctionnent en chauffage et en rafraîchissement).Tous les composants nécessaires au fonctionnement de ce système sont intégrés dans le groupe extérieur, libérant l'espace intérieur de toute installation, à l'exception d'un ballon d'eau chaude sanitaire ou d'un chauffe-eau thermodynamique ou solaire si cette option est retenue.Daikin offre la possibilité d'installer le groupe extérieur en-dessous d'une fenêtre pour gagner encore davantage en discrétion. Grâce à son monoventilateur dissimulé et ses couleurs sobres, l'appareil se fond aisément dans le décor, et se fait également oublier sur le plan acoustique avec une pression sonore à partir de 36 dB(A) à 5 m.Compact et discret, il présente aussi l'avantage de faciliter les opérations de maintenance des installateurs grâce à l'intégration d'une plaque rotative sur le devant du groupe afin de simplifier l'accès à la platine électronique.Réponds aux objectifs de neutralité carboneEn fonctionnant en mode chauffage l'hiver comme en mode rafraîchissement l'été, la nouvelle série de la gamme Daikin Altherma 3 M est proposée avec le label énergétique allant jusqu'à A+++ (fonctionnement à 35°C). Le confort est aussi assuré en hiver, avec une température de sortie d'eau à 55°C jusqu'à des températures extérieures de -15°C, et un fonctionnement garanti jusqu'à -25°C.Le système fonctionne au réfrigérant R-32, fluide ayant un potentiel de réchauffement planétaire 3 fois plus faible que le R-410a (ancien fluide équipant les PAC Daikin Altherma) et favorisant la décarbonisation de nos équipements de chauffage. De plus, le R-32 permet également de réduire la quantité de fluide nécessaire au fonctionnement du système, comparativement au R-410a.De tels atouts permettent à la gamme Daikin Altherma 3 M de correspondre en tous points aux exigences de la Règlementation Environnementale 2020 pour favoriser les constructions bas carbone. De plus, le système est éligible aux aides en faveur de la rénovation énergétique, qui sont cumulables et fonction des revenus des foyers (Ma Prime Renov' – CEE – des aides régionales…).Contrôle et connectivitéComme pour l'ensemble de sa gamme de pompes à chaleur air/eau Daikin Altherma de 3 ème génération, la solution monobloc bénéficie des mêmes avantages grâce à sa connectivité au Cloud Résidentiel Daikin. Grâce à une carte WLAN (livrée de série) et une connexion sans fil sécurisée, l'utilisateur final à un accès simplifié à différents services connectés.Il peut aisément piloter sa pompe à chaleur Daikin Altherma 3 M Monobloc depuis son smartphone ou sa tablette, à domicile ou à distance, au moyen de l'application « Onecta ». Elle permet de faire fonctionner le système de chauffage, de définir des programmations, de commander les températures en temps réel et de suivre les consommations.Un des services connectés permet aussi le pilotage par la voix via les assistants vocaux « Amazon Alexa » et « Google Assistant » grâce à des consignes claires telles que « OK Google, allume la pompe à chaleur ».Daikin s'est associé avec Somfy, Niko et Sowee afin de renforcer son eco-système de maison connectée. Le contrôle et le pilotage du système de chauffage (marche/arrêt – fonction mode boost ECS…) s'effectuent très facilement.Avec l'achat de la PAC Daikin Altherma 3 M, le particulier est invité à s'inscrire sur la plateforme standbyme.daikin.fr (http://standbyme.daikin.fr/), développée par Daikin, pour lui offrir la possibilité de souscrire à la garantie 10 ans pièces.L'installateur peut, quant à lui, souscrire à un nouveau service : DCS Residential. Une fois l'installation du client utilisateur reliée au cloud résidentiel Daikin et l'enregistrement de l'unité sur Stand By Me, l'installateur peut, par la suite modifier les paramètres à distance (fonction Marche/Arrêt, activation du mode boost ou alors réglage de la température de sortie d'eau).A l'intérieur du logement, la télécommande design « Madoka » (disponible en blanc, gris ou noir) se fixera facilement et discrètement au mur (85 x 85 mm) et permettra de contrôler un large nombre de fonctionnalités.
Il y a 2 ans et 291 jours

Rehau Window Solutions et AGC Glass Europe partenaires pour développer des portes et fenêtres avec du verre isolant sous vide

Zoom sur la fenêtre du futur REHAU Window Solutions et AGC Glass Europe franchissent une étape stratégique, le 20 juillet dernier à Erlangen (siège social de REHAU), dans le développement et la commercialisation de solutions innovantes et d'avenir pour les fenêtres avec vitrage isolant sous vide. Ces deux leaders mutualisent leur savoir-faire et leur expertise technique pour proposer des solutions complètes et durables, apportant une meilleure efficacité énergétique, un niveau de confort plus élevé et une recyclabilité optimale. Une solution pérenne qui répond aux attentes du marché et aux défis énergétiques Pour Frank Zimmermann, CTO de REHAU Window Solutions : « Nous nous réjouissons de cette collaboration très réussie entre deux leaders de l'innovation. REHAU Window Solutions franchit ainsi une nouvelle étape cohérente sur le chemin de la croissance que nous poursuivons activement avec nos clients et nos partenaires dans le but de toujours oser la différence et booster notre business. » Une fenêtre à la pointe de la technologique, toujours plus écologique Fortement engagée en faveur du développement durable, REHAU a mis en place, depuis de nombreuses années, un système de recyclage de chutes de production pour les réintégrer dans la fabrication de nouveaux profilés de fenêtres EcoPuls (contenant entre 40 et 75% de matière première recyclée). En utilisant de la matière première recyclée issue notamment des fenêtres en fin de vie, REHAU réduit de plus de 88% les émissions de CO2 liées à la production*, soit 97.000 tonnes de CO2 en moins. Leur approche unique de recyclage EcoPuls représente un concept de durabilité inégalé dans l'industrie. Le vitrage isolant ultra-mince sous vide FINEO d'AGC Glass Europe (à partir de 6 mm d'épaisseur totale) contribue également à atteindre des performances thermiques et acoustiques inégalées, une meilleure transmission lumineuse et un poids réduit. Grâce à son faible poids (jusqu’à 4 fois plus léger et plus fin qu’un triple vitrage traditionnel), ce nouveau vitrage représente un véritable avantage dans les phases de production et d'installation. Le vitrage plus fin et les valeurs de performances énergétiques plus élevées, se traduisent par une efficacité des ressources et une réduction des émissions de CO2. La construction monolithique, composée exclusivement de verre, permet un recyclage simple et complet de la vitre FINEO, qui est donc 100% recyclable.Pour Serge Martin, CEO de FINEO Glass : « Nous sommes très enthousiastes quant à cette collaboration avec REHAU. Ce développement conjoint apportera des solutions parfaitement en phase avec les attentes du marché, à travers des produits innovants, économes en énergie et durables. » La combinaison innovante de la fenêtre et du verre sous vide FINEO permet d'obtenir un meilleur design, de meilleures performances et même une meilleure durabilité. Une deuxième collaboration entre REHAU et AGC Glass Europe pour le marché Français Nous sommes heureux d’annoncer une nouvelle collaboration entre CLARA by AGC et REHAU France, visant à combiner le design unique en verre Clara avec les avantages d’un cadre de fenêtre en PVC de la marque REHAU. Grâce à ce nouveau partenariat nous accélérerons la sortie sur le marché d’une des fenêtres les plus modernes de sa génération dans un matériau 100% recyclé et recyclable. La fenêtre Clara by Rehau est en cours de développement et sera disponible en 2023 sur le marché Français.
Il y a 2 ans et 291 jours

Politerm® R agrégat isolant en PSE regranulé

Conçu avec du polystyrène recyclé, Politerm® R entre dans une démarche d’économie circulaire et responsable. Les chutes de PSE issues des blocs et panneaux, lors de la découpe, sont récupérées, broyées finement et ensachées pour un produit final 100 % recyclé. Politerm® R est destiné à la réalisation de chapes, mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Il isole thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, dans les immeubles collectifs ou les maisons individuelles.
Il y a 2 ans et 291 jours

Spécial agencements hôteliers : les mélaminés et stratifiés POLYREY allient esthétique et technique

Hôtels, appart’hôtels, résidences de tourisme… s’avèrent autant de lieux où l’esthétique et l’originalité séjournent à l’envi grâce aux mélaminés et stratifiés Polyrey. Conjuguant design, résistance et facilité d’entretien, les solutions Polyrey s’adaptent en effet idéalement   l’univers de l’hôtellerie, avec l’avantage d’une parfaite complémentarité des décors et matériaux. Mélaminés Panoprey®, stratifiés Polyrey HPL®, stratifiés compact Reysipur®, […]
Il y a 2 ans et 291 jours

Le plâtre à la trace

Pari Plâtre est une nouvelle unité de recyclage des plaques de plâtre collectées par Bennes Services et le réseau Placo Recycling, en vue d'une réintroduction du gypse dans le cycle de production d'une usine Placo.
Il y a 2 ans et 291 jours

Archiplan

 Parce que chaque projet est unique, chaque plan est différent, chaque attente est essentielle, la collection ARCHIPLAN – design studio VitrA – apporte des solutions intelligentes. 50 meubles pour architecturer librement 1 matériau durable : le bois contreplaqué 3 coloris finition mat : blanc, noir, taupe 4 largeurs : 45, 60, 90 et 120 cm  […]
Il y a 2 ans et 291 jours

Resideo présente la maison intelligente et connectée de 2022

Chacun et chacune rêve d’un avenir meilleur. Smart Home, où en sommes-nous en 2022 ? Et pour améliorer ce futur, les consommateurs, en France comme à travers le monde, ont besoin de pouvoir vivre et travailler au sein de maisons et bâtiments sains et sûrs. Chez Resideo, nous créons des produits et des services qui automatisent […]
Il y a 2 ans et 292 jours

Une alternative écologique aux huiles polluantes utilisées pour démouler le béton dans le secteur de la construction

KEBANCHE, développée par Kemica Coatings, est une résine mono-composant sans solvant qui, appliquée sur les banches comme anti-adhérent du béton, permet de remplacer les huiles polluantes servant à le démouler dans le domaine de la construction. Applicable à froid et réticulant à froid, elle est utilisée comme revêtement des banches bois ou acier sur chantier […]
Il y a 2 ans et 292 jours

Réalités sécurise le projet de rénovation du mythique stade Bauer et démarre la construction de la Bauer Box

Le stade Bauer, qui reste ouvert tout au long du chantier, accueillera le premier match du Red Star FC lundi 12 septembre 2022. Le chiffre d’affaires prévisionnel du projet est supérieur à 250 M€, dont 45 M€ consacrés à la rénovation du stade Bauer. Un lieu mythique depuis 1924... et pour les années à venir Lieu emblématique du football francilien, le stade Bauer va permettre au Red Star FC, au fil de sa réhabilitation, de bénéficier d’un nouvel équipement sportif plus adapté à ses ambitions. Durant l’été 2022, une nouvelle pelouse hybridée a ainsi été posée et la rénovation des tribunes, qui débute en septembre 2022, permettra à terme d’accueillir 9.700 personnes. En 2024, 100 ans après les derniers Jeux Olympiques de Paris, le stade Bauer accueillera à nouveau les Jeux en tant que terrain d’entraînement officiel. Bauer Box : une nouvelle destination attractive pour Saint-Ouen En 2026, Bauer sera bien plus qu’un stade ! Le projet de REALITES prévoit en effet la construction de la Bauer Box, une nouvelle destination expérientielle, dont les travaux démarrent également en septembre 2022. Sur plus de 30.000 m2, ce nouveau lieu dont la programmation est toujours en cours entremêlera sport, éducation, cultures urbaines et de nombreux services de proximité pour toutes les Audoniennes et les Audoniens. La Bauer Box prévoit notamment d’accueillir une offre de coliving, des bureaux réversibles en établissement d’enseignement supérieur, un pôle médical ainsi que plusieurs restaurants et boutiques. La livraison de la Bauer Box est prévue pour début 2026.
Il y a 2 ans et 292 jours

3 innovations qui pourraient révolutionner la production d’électricité solaire

Il n’est plus temps de tergiverser ! Les énergies renouvelables sont nécessaires dans le mix énergétique pour préparer nos nations à devenir plus résiliente et autonome face aux énergies fossiles. Les chercheurs du monde entier l’ont bien compris et rivalisent d’innovations, dont certaines pourraient changer la donne sur des panneaux photovoltaïque qui ont déjà vu leur […]
Il y a 2 ans et 292 jours

WikiVillage pour l’innovation écologique par AAA et DVVD

L’Atelier d’architecture autogéré (AAA) associé à DVVD a conçu pour le promoteur REI et la foncière responsable ETIC, WikiVillage, un cluster dédié à l’innovation écologique et de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) dans le quartier Saint-Blaise (Paris). Le chantier promet une forêt urbaine de 7 500 m². Livraison 2023. Communiqué. Le WikiVillage Factory (WVF) est […] L’article WikiVillage pour l’innovation écologique par AAA et DVVD est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 292 jours

Au Caire, une île vent debout contre sa transformation en "Manhattan"

Manifestations, affrontements et arrestations ont commencé mi-août "quand les autorités ont donné quatre jours aux habitants de zones préemptées par le gouvernement pour partir", affirme à l'AFP un habitant quinquagénaire souhaitant conserver l'anonymat.Sur cette île du nord du Caire, dans un coude du Nil, 100.000 Egyptiens vivent dans des maisons en briques ocres entre champs verdoyants, canaux d'irrigation et bétail. Chaque jour, par milliers, ils vont travailler en ferry dans les autres quartiers du Caire.Pour le ministre du Logement Assem el-Gazzar, ces logements sont "insalubres". Et ceux qui contestent sont "des forces du mal" qui "s'opposent systématiquement aux projets de développement".En 2017 déjà, des affrontements entre habitants et forces de sécurité avaient fait un mort.A l'époque, le gouvernement accusait les habitants d'avoir construit "illégalement depuis plus de 15 ans" des maisons sur des terres agricoles. Faux, répondait alors l'avocat Khaled Ali en partageant sur Facebook des actes de propriété ainsi que l'acte de naissance d'une habitante née sur l'île "il y a 100 ans"."Ce n'est pas Manhattan"Deux ans plus tard, la justice administrative tranchait, justifiant les expulsions par "l'intérêt public".Le père de famille de 50 ans, travailleur indépendant dans le secteur agricole, se dit prêt à partir, mais pas à n'importe quel prix."On nous propose 70 euros par m2, mais avec ça, on ne peut rien acheter hors de l'île", se lamente-t-il, alors même que Le Caire ne cesse de dire que réaménager Warraq peut rapporter gros.Déjà, l'ancien président Hosni Moubarak, renversé en 2011 par la rue, voulait transformer la plus grande île de la capitale --six km2-- en quartier d'affaires.Le président actuel, Abdel Fattah al-Sissi, un ancien maréchal, a réactivé ce plan et l'a confié au génie militaire."Ce n'est pas Manhattan mais Warraq", fanfaronnait le gouvernement en publiant fin juillet les plans d'"Horus City", du nom du dieu du soleil de l'Egypte ancienne.Gratte-ciel scintillants, héliports et marinas cohabiteront avec des espaces verts pour près d'un milliard d'euros.Les habitants pourraient y trouver leur place, assure à l'AFP un autre résident, trentenaire, qui refuse aussi de donner son nom."Nous voulons seulement que 1,26 km2 soit laissé aux habitants –même derrière un mur", plaide-t-il.Et si l'Etat refuse, "on ne partira pas", menace-t-il, assurant posséder tous les documents prouvant qu'il occupe légalement les lieux. "On paye nos impôts, l'eau et l'électricité, pourquoi ne pourrait-on pas bénéficier du développement de notre île ?"Au-delà de Warraq, d'autres îles craignent de subir le même sort, comme Dahab, plus au sud.Cette année, 17 d'entre elles, dont Warraq, ont perdu leur statut de réserves naturelles après avoir été confiées à l'armée."Vider les pauvres"Mais s'opposer au remodelage du Caire peut coûter cher : en 2019, le militant Ramy Kamel a été détenu pendant plus de deux ans pour "terrorisme", parce qu'il "avait dénoncé des déplacements forcés de chrétiens, notamment à Warraq", explique à l'AFP l'historienne Amy Fallas.Si les quartiers plus cossus ne sont pas épargnés par la politique du bulldozer, les secteurs informels défavorisés sont les premiers visés, assure l'urbaniste Ahmed Zaazaa.Le gouvernement veut "entièrement vider le cœur de la capitale des pauvres", dit-il à l'AFP, dans un pays où deux tiers des habitants vivent autour du seuil de pauvreté.Pour l'urbaniste, l'Etat cherche "à pourvoir aux besoins de la nouvelle capitale" qui se construit à 50 kilomètres de là.Selon lui, "pour que la main-d’œuvre puisse y accéder, (l'Etat) construit des logements sociaux et des axes de transport qui modifient la géographie du Caire" et "détruisent les quartiers historiques du centre" et leur tissu social.A Warraq aussi, les habitants disent redouter de se retrouver déracinés et isolés dans des quartiers où la solidarité entre voisins qui leur permet actuellement de survivre aura disparu.Depuis la prise de pouvoir de M. Sissi en 2013, M. Zaazaa compile rapports officiels, coupures de presse et images satellitaires.Selon lui, environ "15.000 bâtiments ont été démolis au Caire" --un chiffre énorme car "Beyrouth, par exemple, compte 18.000 bâtiments".A Warraq, "les non-résidents ne peuvent pas entrer", explique l'habitant trentenaire.Et les experts en sont réduits à consulter des images satellitaires pour constater l'avancement des destructions.
Il y a 2 ans et 293 jours

Paris devrait annoncer prochainement un plan de sobriété énergétique

"La sobriété énergétique, la protection des Parisiens et l'accélération de la transition énergétique" sont les trois priorités actées par la maire et sa majorité de gauche lors d'un séminaire de rentrée lundi, a résumé Dan Lert (EELV) en inaugurant dans le XIIe arrondissement des panneaux solaires permettant de couvrir la consommation annuelle d'une douzaine de foyers."C'est peu, pour Paris, mais c'est déjà ça", a résumé Patrick Gèze, président d'Enercitif, une "coopérative citoyenne d'énergies renouvelables" avec laquelle la ville a réalisé ces dernières années 15 projets de panneaux photovoltaïques sur les toits de ses bâtiments publics.En tout, Paris compte actuellement environ 500 installations photovoltaïques, dont un quart sur des bâtiments de la mairie.Selon Dan Lert, la capitale est actuellement alimentée à 21% par les énergies renouvelables, dont 7% qu'elle produit elle-même. "Notre objectif, c'est 45% en 2030, dont 10% produits localement", rappelle-t-il."La marche est très haute, il ne faut pas se le cacher", concède l'élu, qui appelle le gouvernement à faire un "choix clair" en stabilisant un environnement juridique jusqu'ici "mouvant" et en facilitant les "contrats directs avec les producteurs d'énergies renouvelables" et "la massification de l'auto-consommation", soit une production solaire directe pour les habitants ou usagers de l'immeuble.A travers un nouveau programme, la Ville va lancer sur 12.000 m2 de surface 15 autres centrales d'énergie solaire, dont 3 en 2023, a-t-il annoncé.Sur la rénovation énergétique, M. Lert a rappelé que la ville avait "triplé les budgets" pour la rénovation énergétique des bâtiments, à travers un nouveau plan de près de 60 millions d'euros pour un objectif ambitieux de 40.000 logements rénovés par an à l'horizon 2030.Le deuxième Plan Climat parisien voté en 2018 vise à faire de la capitale une ville neutre en carbone en 2050.
Il y a 2 ans et 294 jours

Sobriété énergétique : réunion du groupe de travail "Industrie"

Pour bâtir ce plan, la méthode du gouvernement s’est appuyée sur deux piliers : l’anticipation et la concertation. La Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le 23 juin dernier, lors d’un déplacement dédié à la crise énergétique, le lancement d’un plan de sobriété énergétique pour réduire de 10% notre consommation, première marche avant une réduction de 40% d’ici 2050.Pour y parvenir, plusieurs groupes de travail ont été initiés par le ministère de la Transition énergétique, en mobilisant l’ensemble du Gouvernement : « Etat exemplaire » (29 juin avec Stanislas Guérini), « Entreprises et organisation du travail » (1er juillet avec Olivier Dussopt), « Etablissements recevant du public et les grandes surfaces commerciales » (7 juillet avec Olivia Grégoire), « Logement » (27 juillet avec Olivier Klein), « Collectivités territoriales » (28 juillet avec Christophe Béchu et Caroline Cayeux), « Numérique et télécommunications (28 juillet avec Jean-Noël Barrot),« Sports » (30 août avec Amélie Oudéa-Castéra) et « Transports » (6 septembre avec Clément Beaune).Le lancement du groupe « Industrie » s’inscrit dans ce cadreA cette occasion, les ministres Agnès Pannier-Runacher et Roland Lescure ont rappelé la nécessité d’une mobilisation collective pour faire la chasse au gaspillage énergétique. Dans le contexte de crise que nous traversons, la réussite du plan de sobriété permettra d’éviter les mesures contraignantes. A plus long terme, la sobriété énergétique sera fondamentale pour atteindre nos objectifs climatiques.Les pistes évoquées par le groupe de travailLes premières réflexions issues du groupe de travail « Entreprises et organisation du travail », qui a été lancé le 1er juillet et réunit les organisations syndicales et patronales, ont été partagées par le Medef dans la perspective de diffuser les bonnes pratiques parmi les industriels. Ces mesures de bon sens concernent, au premier chef, le chauffage qui doit être fixé à 19°. Elles portent également sur les outils de mesure, de suivi et de pilotage des consommations énergétiques. Elles concernent enfin la gestion de l’éclairage, dont l’optimisation peut entraîner jusqu’à 70% de dépenses en moins ; les transports, pour favoriser la mobilité durable ; mais également la sensibilisation aux écogestes, notamment en matière d’usages numériques.Au-delà des mesures transverses sur les bâtiments tertiaires discutées dans d’autres groupes de travail, les mesures de sobriété énergétique propres au secteur industriel portent sur les processus industriels mais aussi les chaînes logistiques ou encore l’organisation du travail au sein des entreprises.Concernant les processus industriels, le comité stratégique de filière « Nouveaux systèmes énergétiques » a présenté l’initiative « IDécarbone » qui réunit les porteurs de solutions capables d’organiser la sobriété des industriels. L’initiative vise à référencer des solutions de décarbonation et à mettre en relation les professionnels et les entreprises souhaitant décarboner leurs sites industriels. La 1ère rencontre nationale entre les porteurs de solution et les industries est prévue le 10 octobre 2022.La Fédération des Industries Ferroviaires (FIF) a souligné, de son côté, que l'innovation pouvait être source de sobriété, prenant l’exemple du TGV du futur, plus économe, qui optimise et récupère l’énergie de freinage.Plusieurs acteurs du secteur ont également fait part de leur volonté de mieux partager les bonnes pratiques, dont l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) auprès des 42 000 entreprises qu’elle représente.Enfin, France Logistique a présenté plusieurs axes de travail pour optimiser les distances parcourues dans les entrepôts, mutualiser les moyens de transport, tout en rappelant l’urgence de décarboner les véhicules en investissant davantage dans la transition des flottes diesel de poids-lourds.Hausse des prix de l’énergieAu-delà du plan de sobriété énergétique, cette réunion a aussi permis aux ministres de partager le plan du gouvernement de sécurisation des approvisionnements en gaz et en électricité pour cet hiver, et de rappeler leur volonté de protéger les industries.Pour faire face au choc de l’énergie, un diagnostic fin des enjeux est nécessaire. Les industriels ont été invités à préciser dans quelle mesure ils sont exposés à la hausse des prix, en particulier au regard de la perte de compétitivité à l’international.Les ministres ont rappelé les premières mesures de soutien aux industriels affectés par cette hausse des prix, notamment la prolongation et la simplification de l’aide « gaz et électricité » destinée aux entreprises grandes consommatrices de gaz et d’électricité. Les services déconcentrés de l’Etat sont mobilisés pour accompagner les entreprises qui rencontrent des difficultés.Pour Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique : « Comme l’Etat, les entreprises - y compris industrielles - prendront toute leur part dans la réduction de notre consommation d’énergie. Mais je le rappelle : la sobriété, c’est la chasse au gaspillage, c’est l’attention au chauffage, à l’éclairage, ce n’est pas demander aux entreprises de baisser leur production ou leur activité. Il s’agit d’efforts collectifs, proportionnés et raisonnables. La réussite de ce plan nécessitera la mobilisation de tous. »Pour Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie : « Ce diagnostic sera particulièrement précieux pour renforcer l’action des autorités française auprès de l’Union européenne pour protéger l’industrie française et européenne, et pour se doter des outils en France qui permettront de soutenir au plus juste l’appareil productif. »
Il y a 2 ans et 294 jours

Conseil national de la refondation : Macron annonce une "consultation en ligne"

Le chef de l'État a fait cette annonce juste avant d'ouvrir à huis clos le Conseil national de la refondation (CNR) à Marcoussis (Essonne), estimant que cette grande consultation "viendra compléter la réunion d'aujourd'hui" et les déclinaisons territoriales du CNR."On va ouvrir dès la semaine prochaine une consultation nationale très large, qui sera en ligne, qui sera ouverte" et "je souhaite qu'il y ait des débats sur le terrain qui puissent être en ligne, qui puissent être ouverts. Tout ça mérite de la transparence, de l'ouverture", a déclaré Emmanuel Macron.Un site dédié au CNR doit aussi être lancé dans la soirée, selon l'Elysée. Alors que cette nouvelle instance est boudée à son ouverture par les oppositions et plusieurs syndicats, Emmanuel Macron a jugé que les absents avaient "tort". Mais il a assuré que "la porte sera toujours ouverte" pour la suite des discussions."52 personnes représentant forces politiques, syndicats et élus ont été invitées, quarante sont là. Les 12 qui ne sont pas là ont tort (...) et il ne faut pas expliquer après qu'on n'a pas été consulté, ou que c'est trop vertical", a déclaré le chef de l'Etat.Sur la tenue à huis clos des débats, que certains participants auraient demandé, le président a expliqué que "la clé (était) d'installer la confiance" et qu'il leur avait donc "laissé le choix" du huis clos ou pas.Emmanuel Macron n'a pas exclu que des propositions issues des débats du CNR puissent "déboucher sur des référendums"."Je n'exclus rien (...) si le processus que nous lançons aujourd'hui permet de découler sur cela, nous le ferons".Après le CNR, il y aura une phase "d'accouchement collectif" pour "créer du consensus" et "dire sur quoi on est d'accord et pas d'accord"."Il y a en même temps une part d'action", a-t-il dit : "Dès les prochaines semaines, on va changer l'école, la santé, grâce à ses déclinaisons territoriales, en bâtissant ces feuilles (de route). Donc oui ça peut déboucher aussi sur des référendums".Les participants au CNR désireux de "dialoguer" malgré des "réserves"Des participants au Conseil national de la refondation (CNR) jeudi à Marcoussis (Essonne) ont fait part à leur arrivée de leur volonté de "dialoguer" au sein de cette nouvelle instance malgré certaines "réserves" :Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef (patronat) :"On est à un moment un peu charnière de notre civilisation avec tous ces événements qui se sont produits depuis trois ans (..) Donc réinventer des modes de dialogue est une bonne chose. On voit d'ailleurs qu'il y a une fatigue démocratique (...) C'est comme dans (le film) +La vérité si je mens+, je donne sa chance au produit".Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT :"Je veux savoir si c'est une démarche loyale ou si ce n'est pas le cas", a-t-il dit, désireux de "porter (ses) propositions", dans une "démarche d'écoute de confrontation des points de vue, et de co-construction". Refusant "la politique de la chaise vide", il a souligné que "ceux qui ne sont pas là ne pourront pas dire ce qu'ils pensent".Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale :Le CNR "ça sert à discuter, à échanger et à poser un certain nombre de règles et de principes de méthode".Guy Geoffroy, vice-président de l'Association des maires de France (AMF) :Il sera "très vigilant sur le point d'arrivée de la démarche engagée". La démarche "nous semblait un peu confuse. Le président a fait en sorte que ce soit moins confus".François Sauvadet, président de l'Association des départements de France :"J'ai des réserves là-dessus, je ne suis pas sûr que ce soit la meilleure méthode pour travailler sérieusement. Mais je suis un républicain (..) aujourd'hui nous avons de tels défis qu'on doit tous se mettre du côté des Français".Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes :"Refonder c'est préparer l'avenir. On ne peut pas faire de bonnes politiques publiques si on n'a pas aussi des finances saines et si on n'est pas capable d'investir dans l'avenir".Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) :"C'est un pari d'avenir qui est intéressant. On est ouverts au dialogue. On est dans l'urgence et j'espère que ça va être perçu dans la journée".Sébastien Martin, président d'Intercommunalités de France :"On a hésité, on a collectivement réfléchi (...) après on a pris une position commune qui était de ne pas faire la politique de la chaise vide". On attend "d'autres pratiques, peut-être un Etat moins descendant, une prise en compte de la France des bassins de vie".Thierry Beaudet, président du Conseil économique, social et environnemental (Cese) :"J'attends que ça marche pour les Français parce que face aux crises (…) on a besoin d'espaces de convergence. La logique bloc contre bloc a montré ses limites"."La culture de la convergence c'est la culture du Cese, des acteurs de la société civile. Mais la réussite du CNR est de la responsabilité d'abord du président de la République, de sa capacité à entendre et pas seulement écouter, et cela dans la durée".Hugues Vidor, président de l'union des employeurs de l'économie sociale et solidaire (Udes) :"Les partenaires sociaux ont un rôle à jouer face à l'ensemble des crises" et "les Français attendent des solutions très concrètes". Il attend "des décisions, une impulsion et un travail en concertation avec les pouvoirs publics".
Il y a 2 ans et 294 jours

Les écologistes critiquent vertement Anne Hidalgo et sa gestion très décevante de Paris

"Pour l'instant, on nous propose simplement un budget de récession. Ce n'est pas admissible." Fatoumata Koné, la présidente du groupe écologiste au Conseil de Paris, n'a pas mâché ses mots vis-à-vis de l'exécutif parisien après un séminaire pendant lequel, selon elle, "rien n'a été conclusif".Les Verts, alliés indociles qui comptent désormais 28 conseillers (sur 163) et 7 adjoints (sur 32) avec les ex-Génération.s, n'ont toujours pas obtenu le programme d'investissement de la mandature (PIM) qu'ils réclament depuis des mois pour financer, en priorité notamment, la transition écologique de la ville. Pomme de discorde supplémentaire: forcée de trouver des solutions pour boucler un budget plombé par la crise sanitaire puis la crise énergétique, Anne Hidalgo "a annoncé la nécessité de faire une économie de 250 millions d'euros" dans les finances de la ville, a indiqué Mme Koné."On ne va pas couper dans le gras comme ça, à l'aveugle, ce n'est pas responsable", a-t-elle fustigé.D'autant que ce montant, souligne à l'AFP Jérôme Gleizes, l'un des vice-présidents du nouveau groupe, "sera sans doute à réévaluer en fonction des prix de l'énergie".Même si écologistes et socialistes sont d'accord sur deux priorités, "le climat et le social", "pour le moment cette confiance, elle n'est pas là", a asséné Fatoumata Koné qui a également repositionné son groupe comme étant frontalement opposé au projet de rénovation de la porte de Montreuil (XXe), acté lors de la précédente mandature.Attribué au promoteur Nexity, ce projet, qui prévoit la transformation d'un grand rond-point inhospitalier en place végétalisée, et l'édification d'un immeuble au-dessus du périphérique, est un "non-sens" pour Mme Koné et les écologistes, opposés aux constructions aux abords de l'anneau routier."Pourquoi détruire des arbres sur de la pleine terre pour mettre de faux arbres ?", s'est interrogé Jérôme Gleizes, en référence aux 76 arbres déjà abattus pour les travaux. L'élu a également jugé "assez bizarre de vendre à 83 euros le m2" la surface de l'hôtel prévu dans l'immeuble-pont contesté.Comme contre-projet, les écologistes portent désormais "un projet sobre" pour des "habitants qui demandent surtout de traverser en toute sécurité", et plutôt qu'un immeuble pour loger les puciers, "une structure légère comme une halle ou un auvent", a détaillé Nathalie Maquoi, ex-présidente des élus Génération.s.
Il y a 2 ans et 294 jours

Douches « zéro ressaut » : un guide de mise en œuvre conçu par le CSTB

Le CSTB vient de publier un guide pour la mise en œuvre des douches accessibles « zéro ressaut » dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs. Il présente les solutions techniques existantes et les produits adaptés à la conception de ce type d'ouvrage. L'arrêté du 11 septembre 2020 supprime le ressaut maximal de 2 cm entre le sol de la salle d'eau et l'espace douche jusqu'alors autorisé. L'évolution de cette réglementation « zéro ressaut » doit permettre l'accessibilité à l'espace douche à toutes les populations restreintes dans leurs déplacements, les seniors notamment ou celles souffrant d'un handicap. Cette nouvelle disposition favorise notamment le maintien à domicile des personnes âgées. Un espace de douche « zéro ressaut » étant un ouvrage techniquement complexe à réaliser, il est nécessaire de combiner différentes contraintes telles que l'écoulement de l'eau vers le dispositif d'évacuation, l'étanchéité du support, la résistance à la glissance de l'espace douche, l'acoustique et les exigences réglementaires électriques. Pour respecter le caractère accessible, des dimensions minimales sont également attendues pour l'espace douche (120 x 90 cm) et les zones adjacentes (espace d'usage et espace de manœuvre). Plusieurs solutions de réalisation évaluées techniquement Sollicité par la Direction de l'Habitat, de l'Urbanisme et des Paysages (DHUP), le CSTB a conçu un « guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible “zéro ressaut” dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs ». Au travers d'un groupe de travail piloté par le CSTB, près de 80 acteurs (promoteurs, entreprises, industriels, contrôleurs techniques, assureurs et experts) se sont mobilisés pour identifier les solutions techniques les plus aptes à répondre à cet objectif règlementaire. Trois façons de réaliser une douche « zéro ressaut » ont ainsi été identifiées pour les deux configurations possibles que sont les espaces de douche ouverts et les espaces de douche cloisonnés : les espaces de douche maçonnés ; les receveurs de douche prêts à revêtir ; les receveurs de douche finis. Pour autant, ce guide n'exonère pas les acteurs de justifier de l'aptitude à l'usage ouvrage par ouvrage, en respectant les DTU, ATec ou ATEx, d'autant que certaines combinaisons de produits ne bénéficient pas encore toutes d'un retour d'expérience en France. Ce guide, qui a pour vocation d'alerter les concepteurs sur les dispositions à prendre selon la configuration de mise en œuvre retenue, est une version provisoire en attente d'être complétée à court terme avec d'autres solutions techniques (notamment pour les receveurs finis) dès lors qu'elles bénéficieront d'évaluations techniques. Que ce soit par l'évaluation de solutions innovantes ou la certification, le CSTB accompagne l'ensemble des filières professionnelles dans cette évolution. En savoir plus : « Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible “zéro ressaut” dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs »
Il y a 2 ans et 294 jours

Socotec acquiert Ascaudit

Le groupe Socotec a racheté l’intégralité du bureau d’études d’Ascaudit [©Socotec] Le groupe Socotec a racheté l’intégralité du bureau d’études d’Ascaudit. Ceci, via sa filiale Socotec Smart Solutions. Présent sur toute la France avec 10 implantations, Ascaudit est composé de 135 experts techniques et réalise plus de 12 M€ de chiffre d’affaires. Il travaille en direct sur de grands projets tertiaires, ainsi qu’avec les bailleurs sociaux, les grandes copropriétés et les collectivités territoriales.   « Rejoindre le groupe Socotec et sa filiale Smart Solutions permet à nos équipes de passer une nouvelle étape favorable au dimensionnement de nos activités, déclare Hervé Lasseigne, dirigeant historique d’Ascaudit. Nous obtenons une présence renforcée sur le territoire français, une base de clients plus large et un partage des expertises qui vient accélérer le développement de prestations. En particulier sur les enjeux de la sobriété énergétique, de l’adaptation et de la rénovation des bâtiments. » Une culture similaire Grâce à cet achat, une nouvelle offre complète de solutions d’ingénierie de spécialités est ainsi proposée. Elle accompagne les acteurs publics et privés sur la performance énergétique de leurs bâtiments, leur accessibilité et leur sécurité.  « Nos positionnements se combinent avec d’un côté, Socotec Smart Solutions qui œuvre déjà sur ce marché auprès des propriétaires fonciers et industriels. Puis de l’autre, avec Ascaudit très bien implanté auprès des bailleurs sociaux et des collectivités, précise Hervé Montjotin, directeur général du groupe Socotec. Notre culture est proche, puisque les deux entreprises sont composées d’ingénieurs de la construction avec des compétences fortes et recherchées et une culture du service clients, qui ne transige pas et qui apporte une qualité de service forte et reconnue à ses clients et partenaires. » Avec cette acquisition, le groupe devient n°3 sur le marché français de la transition énergétique et de de la performance du patrimoine immobilier. Son panel de prestations s’étend aussi aux attestations d’effets équivalents dans le cade la loi Essoc sur tout projet d’innovation.
Il y a 2 ans et 294 jours

Architecture, écologie, patrimoine : les passions de Charles

ArchitectureDans les années 1980, Charles a lancé une croisade contre une architecture moderne qu'il jugeait "laide", comparant même à une "monstrueuse verrue" un projet d'extension de la National Gallery sur Trafalgar Square à Londres, finalement abandonné. Il a mis ses idées en pratique en soutenant la construction d'un village modèle appelé Poundbury sur ses terres du Dorset, dans le sud-ouest de l'Angleterre, au début des années 1990.Le lotissement, construit dans un style géorgien néoclassique, a été jugé "sans âme" par certains critiques, mais a suscité l'intérêt des acheteurs.Charles a également aidé à revitaliser Nansledan, une extension de la ville de Newquay, dans une région pauvre, anciennement minière des Cornouailles, avec des logements colorés respectueux de l'environnement et des équipements locaux.Ecologie et agriculture bioSensible de longue date à la cause environnementale, Charles a créé un jardin et une ferme entièrement biologiques dans son domaine de Highgrove dans le Gloucestershire, dans l'ouest de l'Angleterre. Il a également lancé la gamme d'aliments et de boissons issu de l'agriculture biologique Duchy Originals, commercialisée par les supermarchés haut de gamme Waitrose.Passionné de jardinage, Charles a révélé dans une interview en 1986 qu'il parlait aux plantes, s'attirant des moqueries. Mais ses opinions en matière de défense de l'environnement sont devenues plus partagées au fil des ans.Lors du sommet du climat COP26 à Glasgow en novembre 2021, il a exhorté les responsables politiques à redoubler d'efforts dans la lutte contre le réchauffement.Sa voiture, une Aston Martin qu'il possède depuis plus de 50 ans, a été modifiée pour pouvoir rouler avec du surplus de vin blanc anglais et du lactosérum provenant du processus de fabrication du fromage. Elle fonctionne avec un mélange de 85% de bioéthanol et 15% d'essence sans plomb.TransylvanieCharles a acheté plusieurs maisons en Transylvanie, une région du centre-ouest de la Roumanie surtout connue comme terre d'origine de Dracula. Il les a restaurées en utilisant des méthodes et des meubles traditionnels. L'une a été transformée en maison d'hôtes.En 2015, il a lancé sa propre fondation caritative en Roumanie, qui vise à protéger le patrimoine culturel et naturel du pays et de promouvoir le développement durable.Charles se targue d'être un parent éloigné d'un prince du XVe siècle connu sous le nom de Vlad l'Empaleur ou Dracula et aurait, selon ses propres dires, "la Transylvanie dans (son) sang".
Il y a 2 ans et 294 jours

La production d’électricité photovoltaïque bat un record dans l'UE, permettant de réduire l'importation de gaz

Entre mai et août, la production solaire s'est élevée à 99,4 térawattheures (TWh), un quart de plus qu'en 2021 : à la même période l'an dernier, la part du solaire dans la production électrique européenne atteignait 9% (77,7 TWh), selon l'organisme spécialisé dans l'énergie.Selon ce rapport, 18 des 27 pays de l'UE ont enregistré cet été des records de production solaire, notamment les Pays-Bas (23% de son bouquet électrique), l'Allemagne (19%), l'Espagne (17%).La France se situe en revanche sous la moyenne avec seulement 7,7% de la production électrique venue cet été du solaire.La plus forte poussée du solaire depuis 2018 a eu lieu en Pologne où la production photovoltaïque a été multipliée par 26, suivie par la Finlande et la Hongrie (cinq fois plus de solaire), note Ember, qui tire ces données d'Entsoe, le réseau européen des gestionnaires de transport d'électricité.Sans cette production solaire, l'UE aurait dû acheter 20 milliards de m3 de gaz supplémentaires, ont calculé les analystes, pour une facture de 29 milliards d'euros, au prix du gaz quotidiennement relevé de mai à août.La progression de la production de l'été 2021 à l'été 2022 (22 TWh) a, à elle seule, permis d'économiser sur ces quatre mois 4 milliards de m3 de gaz, pour plus de 6 milliards d'euros.Pour autant, si le solaire accélère, son déploiement est encore largement insuffisant. Selon les projections d'Ember, le continent sera pour ces années à venir à moins de la moitié de ce qu'il faudrait pour tenir les objectifs énergétiques et climatiques de l'UE à l'horizon 2030.
Il y a 2 ans et 294 jours

"Le patrimoine n'est pas un coût, c'est un investissement", Stéphane Bern

SÉRIE PATRIMOINE (1/5). Dans un entretien exceptionnel à Batiactu, Stéphane Bern dresse un bilan de sa Mission patrimoine et revient sur l'enjeu économique des chantiers de restauration patrimoniale pour les territoires. S'il se félicite de l'engouement des jeunes et actifs en reconversion pour les métiers du bâtiment, il dénonce aussi l'implantation d'éoliennes ou de panneaux photovoltaïques dans des paysages ou à proximité de sites classés.
Il y a 2 ans et 294 jours

Les géomètres-experts saluent un arrêt de la Cour de cassation qui "renforce la protection des droits des propriétaires"

Par cet arrêt, la Cour de cassation rappelle que le plan annexé aux actes de copropriété ne peut être que l’œuvre d’un géomètre-expert en ce qu’il délimite les droits fonciers. À défaut, il est inopposable. La solution est applicable à toutes copropriétés, quels que soient leur nature ou le nombre de copropriétaires. Il n’existe en effet qu’un seul régime de copropriété.Reconnu et consacré de longue date par la jurisprudence, le monopole confié par l’État aux géomètres-experts a fait l’objet de nombreuses convoitises. L’arrêt de la Cour de cassation, conformément aux dispositions de la loi du 7 mai 1946, vient rappeler que les actes de délimitation des biens fonciers pour être opposables doivent être réalisés par une profession règlementée et contrôlée. Il en va de la protection des droits des propriétaires.Que l’on soit propriétaire d’un terrain ou d’un lot de copropriété, les garanties offertes doivent être les mêmes. Il n’y a pas de régime de « sous propriété » en France, et c’est heureux, car il s’agit d’un droit protégé par la Constitution. Il est donc légitime que la définition des limites de propriété et des droits qui y sont attachés soit confiée à des professionnels bénéficiant d’une formation initiale d’excellence, soumis à des règles de déontologie, à une obligation d’assurance, de formation continue et contrôlés régulièrement par leur Ordre professionnel.Ce rappel par les hauts Magistrats de la Cour de cassation de la garantie offerte à tous les propriétaires, d’un terrain comme d’un lot de copropriété, est d’autant plus important que nous entrons dans une période instable sur le plan économique. Inflation, hausse des taux d’intérêt, pénurie de matériaux et d’énergie, dérèglement climatique, tous ces facteurs sont anxiogènes et économiquement à risque. L’immobilier reste alors une valeur refuge pour nombre de Français. Nous n’avons pas le droit de « jouer » avec ce qui constitue pour la plupart d’entre eux l’épargne d’une vie.La contrepartie financière à fournir pour le copropriétaire reste par ailleurs très raisonnable au regard de la garantie et de la sécurité tant juridique qu’économique offertes, puisqu’une étude menée par l’Ordre des géomètres-experts démontre que l’établissement d’un plan annexé à un état descriptif de division de copropriété est facturé en moyenne 400 euros TTC par logement (sur la base de 250 relevés d'honoraires pour des prestations réalisées en ville comme en zone rurale). Par ailleurs, comme toutes les prestations des géomètres-experts, l’élaboration d’un plan annexé à un acte de copropriété et délimitant les droits fonciers est soumise à concurrence. Il n’y a donc aucun tarif préétabli.Enfin, il semble utile et nécessaire de préciser que cet arrêt ne conduira pas les copropriétaires à recourir à un géomètre-expert pour établir ce type de plan pour les copropriétés existantes. Cet arrêt rappelle le principe qui vaudra pour les copropriétés exposées à un contentieux sur les limites des lots existants et, bien entendu, pour l’ensemble des plans annexés aux états descriptifs de division en copropriété à établir.Pour le Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, Monsieur Joseph Pascual : « L’arrêt de la Cour de cassation en date du 29 juin 2022 vient sécuriser et protéger les droits de tous les propriétaires, ce que nous saluons, et réaffirmer le monopole des géomètres-experts en matière de délimitation des biens fonciers. »Pour aller plus loin sur ce sujet, consultez notre interview de Monsieur Joseph Pascual, Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, du 8 septembre 2022.
Il y a 2 ans et 294 jours

Hoffman Green ouvre sa première filiale en Suisse

La future usine suisse d’Hoffmann Green sera calquée sur le site de production H2 de Bournezeau, en Vendée. [©Hoffmann Green Cement] Hoffmann Green Cement annonce l’ouverture de sa première filiale à l’international, en Suisse, en partenariat avec plusieurs acteurs locaux du secteur de la construction. Un développement qui s’inscrit dans la continuité d’un premier accord signé, en avril 2021, avec le groupe Maulini, pour la fourniture de ciment sans clinker issu de la technologie H-UKR. Un contrat opéré pour une durée de deux années et qui semble avoir fait de nouveaux émules, intéressés par ce type de solutions constructives décarbonées. L’essor d’Hoffmann Green en dehors des frontières nationales repose sur la signature d’accords de licences avec des partenaires locaux. Ces derniers sont en charge de financer, de construire et d’opérer des unités de production, puis de commercialiser les ciments décarbonés 0 % clinker d’Hoffmann Green sur leur territoire. C’est sur ce modèle que vient d’être mis en place, en Suisse, une première joint-venture. Société commune qui sera contrôlée par des signataires locaux, licenciés exclusifs des ciments Hoffmann sur le territoire helvète. Le miroir de l’usine de production H2 Disposant des mêmes caractéristiques que les ciments produits sur les sites de Bournezeau, les ciments décarbonés fabriqués en Suisse le seront dans une unité calquée sur l’usine H2. Cette deuxième unité de production d’Hoffmann Green est aujourd’hui en cours de construction en Vendée. « Après avoir signé il y a plus d’un an notre premier contrat hors de France, nous sommes fiers d’accélérer notre développement à l’international au travers d’un modèle de licences sur les technologies et les process Hoffmann Green, résument Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement. L’ouverture de cette première filiale en Suisse prouve l’attractivité de notre solution décarbonée sans clinker en dehors de nos frontières et constitue une étape structurante dans le développement de notre marque. »
Il y a 2 ans et 294 jours

Énergies renouvelables : solaire photovoltaïque, les solutions d’avenir mises en lumière sur Batimat

Pour cela, BATIMAT a choisi de mettre en avant, pour son édition 2022 qui se tient du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles, les solutions émergentes qui concourent à la préservation du climat et de l’environnement. Parmi celles-ci, le photovoltaïque sera présent sur un espace dédié. Il fera aussi l’objet d’ateliers pratiques ainsi que d’une session Experts’Corner dédiée.En fort développement en France depuis 2009, la filière solaire photovoltaïque enregistre une hausse de 11,1% en 2020 (13,6 TWh) par rapport à 2019. L’autoconsommation photovoltaïque est, de son côté, en plein essor. En 2019, elle s’est élevée à 116 Gwh*.Vitrine des enjeux du secteur et des solutions innovantes, BATIMAT ne pouvait que mettre en avant cette thématique phare. Avec ses partenaires, Enerplan et le GMPV-FFB (Le Groupement des Métiers du Photovoltaïque de la Fédération Française du Bâtiment), BATIMAT a imaginé un nouvel espace dédié de 400 m2 au cœur du Pavillon 1 sur lequel seront réunis 12 exposants français et internationaux : ALBIOMA, ALEXIS ASSURANCE, APEM ENERGIE, CREAWATT FABRICK, DUALSUN, ENERPLAN, GMPV, GSE INTEGRATION, K2 SYSTEMS, SYSTOVI, VALENERGIES, GOODWE.* Ministère de la Transition Ecologique - Chiffres clés des énergies renouvelables - Édition 2021Un espace de conférences sera aussi disponible où des animations sont prévues chaque jour.Les événementsLes visiteurs pourront assister, chaque jour à des conférences et des pitchs, animés par les exposants sur l’espace Photovoltaïque :Les Ateliers photovoltaïquesLes idées reçues sur le photovoltaïque (INES : Institut National du Solaire), lundi 3 octobre : 14h30-15h15Le photovoltaïque citoyen, mardi 4 octobre : 10h30-11h15La promotion des métiers auprès des jeunes (FFB), mardi 4 octobre : 14h30-15h15Mieux travailler ensemble pour l’installation d’un projet photovoltaïque (GMPV-FFB), mercredi 5 octobre: 10h30-11h15Le B-A BA de l’autoconsommation (Enerplan), mercredi 5 octobre : 14h30-15h15Comment bien penser un projet en autoconsommation (Atlansun), jeudi 6 octobre : 10h30-11h15Assemblée Générale du GMPV le jeudi 6 octobre de 12h à 15h30 (salle Océanie, Pavillon 4). Possibilité pour les journalistes d’y assister, sur inscription auprès du GMPV.Une session Experts’Corner se tiendra le jeudi 6 octobre de 16h à 17h30 sur l’Agora 1 du Pavillon 1 sur la thématique « Relever le défi européen de la solarisation de nos bâtiments et parkings » - En partenariat avec Enerplan et GMPV-FFB (Espace Photovoltaïque).Une session Experts’Corner se tiendra le jeudi 6 octobre de 16h à 17h30 sur l’Agora 1 du Pavillon 1 sur la thématique « Relever le défi européen de la solarisation de nos bâtiments et parkings » - En partenariat avec Enerplan et GMPV-FFB (Espace Photovoltaïque).