Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(79116 résultats)
Il y a 2 ans et 303 jours

Matterport révolutionne les jumeaux numériques avec la caméra Pro3 et sa nouvelle plateforme cloud

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), a présenté le 30 août sa toute nouvelle caméra Matterport Pro3 ainsi que des mises à jour majeures de sa plateforme cloud de jumeaux numériques, leader du secteur. La Pro3 représente une avancée majeure dans la technologie de capture 3D, permettant de numériser chaque aspect du monde physique, à l'intérieur comme à l'extérieur. La plateforme de jumeaux numériques de nouvelle génération de Matterport s'appuie sur les expériences virtuelles immersives révolutionnaires de la société pour permettre une collaboration et une productivité avancées, se traduisant par des économies et une augmentation des revenus pour les organisations de toutes tailles, des petites entreprises aux multinationales.Ces nouvelles offres arrivent alors que la demande mondiale de jumeaux numériques - des modèles 3D interactifs et visuellement immersifs de bâtiments et d'espaces - continue d'augmenter. Selon Forrester Research, 55 % des décideurs mondiaux en matière de technologie logicielle ont déjà adopté les jumeaux numériques[1]. En tant que leader du secteur, Matterport a enregistré une croissance de 52 % de son nombre total d'abonnés au deuxième trimestre par rapport à la même période de l'année précédente, et sa plateforme de jumeaux numériques est utilisée par déjà 23 % des entreprises du classement Fortune 1000.Pour RJ Pittman, président-directeur général de Matterport : « Ce jour est un tournant pour la technologie 3D avec l'introduction des produits les plus puissants que Matterport ait jamais créés. Notre nouvelle caméra Pro3 et notre plateforme cloud créent des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et époustouflants au monde. L'opportunité n'a jamais été aussi grande pour les entreprises d'embrasser la puissance des jumeaux numériques de Matterport pour transformer leur activité. »Les solutions « Enterprise » de MatterportLes jumeaux numériques permettent aux chefs d'entreprise de naviguer en toute confiance dans un environnement économique incertain tout en accélérant la productivité d'une main-d'œuvre mobile et globale. 79% des chefs d'entreprise citent les économies de coûts et 71% les gains d'efficacité opérationnelle comme les principaux moteurs de leurs investissements dans les jumeaux numériques[2]. C'est la raison pour laquelle la nouvelle caméra Pro3 et la plateforme cloud ont été conçues pour répondre aux exigences des entreprises en matière de flexibilité, de fiabilité et de sécurité, faisant de la plateforme de jumeaux numériques de Matterport l'une des plus fiables du secteur.Les avancées de la nouvelle caméra Pro3 et de la plateforme cloud facilitent plus que jamais la création de jumeaux numériques immersifs pour les clients. Des clients de tous les secteurs - usines, détaillants, hôtels et compagnies aériennes - indiquent que les jumeaux numériques ont permis de réduire la durée des projets de 30% et de diminuer les frais de déplacement jusqu'à 50% grâce à une meilleure collaboration à distance. Un client du secteur de l'immobilier commercial a déclaré avoir conclu des ventes jusqu'à 85% plus rapidement. Les clients du secteur de l'hôtellerie constatent que les réservations et les taux d'occupation augmentent de 14% dans les établissements dotés d'un jumeau numérique.Et les avantages ne sont pas réservés aux grandes entreprises : les agents immobiliers qui utilisent des jumeaux numériques obtiennent jusqu'à 74% de biens en plus et 71% des acheteurs particuliers se déclarent aujourd’hui prêts à acheter une maison sans l'avoir vue si elle dispose d'une visite numérique en 3D.La plateforme pour jumeaux numérique de MatterportMatterport a imaginé une nouvelle plateforme logicielle cloud qui permet de créer, publier et gérer les jumeaux numériques de bâtiments et d’espaces de toute taille et forme, en intérieur comme en extérieur. Toutes ces nouvelles fonctionnalités s’intègrent de manière harmonieuse afin de permettre aux clients de créer en toute sécurité des environnements immersifs à explorer et où collaborer pour leurs employés, clients et partenaires.Parmi les fonctionnalités phares, il est possible :D’optimiser la productivité à partir d'un jumeau numérique unique grâce à un nouvel outil de travail collaboratif appelé Views, pour permettre aux groupes et aux grandes organisations de créer des flux de travail distincts, grâce à un système d’autorisations, pour gérer différentes tâches avec différentes équipes, telles que : les inspections virtuelles, la formation à distance, l'aménagement de l'espace, les visites virtuelles personnalisées, et bien plus encore.D’augmenter l'engagement des clients, la productivité et le taux de conversion avec les toutes nouvelles visites guidées et les étiquettes qui améliorent l'expérience des visiteurs. Désormais, les équipes de marketing et de vente peuvent créer des visites virtuelles de tout espace commercial ou résidentiel adaptées aux intérêts de leurs visiteurs, et les équipes d'exploitation peuvent créer des formations en ligne guidées pour les travailleurs à distance.D’aller plus loin en recourant aux services de capture « à la demande » de Matterport, disponible dans les grandes villes du monde et toujours plus performants avec la nouvelle caméra Pro3, et ainsi d’obtenir un jumeau numérique professionnel de la plus haute qualité, réalisé par un technicien de capture. Capture Services for Enterprise permet de numériser un seul espace ou un portefeuille de milliers de bâtiments, à l'intérieur comme à l'extérieur. Qu'il s'agisse de chaînes de magasins, de groupes hôteliers ou de campus d'entreprises, il n'a jamais été aussi facile d'obtenir un jumeau numérique Matterport photoréaliste et dimensionnellement précis pour gérer ses propriétés en ligne.D’accéder à l’ensemble des fonctionnalités de la plateforme, où que l’on soit, grâce à une solution mobile entièrement activée qui rassemble les capacités de capture, de personnalisation, de visualisation, de modification, de publication et de restauration des jumeaux numériques avec la nouvelle application Matterport pour les appareils iOS et Android.La caméra Matterport Pro3La caméra Matterport Pro3 est le dispositif de capture 3D Matterport le plus avancé, avec une puissante combinaison de capteurs travaillant en harmonie pour créer des images étonnantes, à l'intérieur comme à l'extérieur. Aucune autre caméra ne combine l'incroyable puissance de cet appareil à ce prix, rendant la capture 3D plus largement accessible.Grâce à un capteur personnalisé de 20 mégapixels et à un objectif à 12 éléments couvrant un angle ultra large, la caméra Pro3 produit des jumeaux numériques précis et détaillés aux couleurs vibrantes et réalistes. Les avancées du capteur LiDAR haute précision permettent de capturer des millions de mesures dans diverses conditions, de la lumière tamisée à la lumière directe du soleil, jusqu'à une portée de 100 mètres, en moins de 20 secondes par balayage.La caméra Pro3 révolutionne la capture 3D, établissant de nouvelles normes en matière de vitesse, de fidélité, de polyvalence et de précision. Alors que le maillage interactif était auparavant limité à 50.000 polygones, il est désormais illimité et le maillage des grands espaces peut facilement dépasser un million de polygones. De nouveaux jumeaux numériques sont désormais diffusés à la demande, au fur et à mesure que l'utilisateur se déplace dans un espace, disponibles sur les plateformes mobiles et web pour tous les utilisateurs avec des temps de chargement plus rapides, des fréquences d'images plus rapides et beaucoup plus de détails sans compromettre les performances.Le moteur Cortex AI de Matterport est mis à niveau pour capturer une portée 5 fois supérieure, permettant aux clients de transformer leurs espaces intérieurs et extérieurs, même lorsqu'ils rencontrent des zones denses comme des feuillages, des éclairages et des surfaces réfléchissantes difficiles. La puissance combinée de la nouvelle plateforme Matterport Digital Twin, de la caméra Pro3 et du moteur Cortex AI amélioré permet d'obtenir des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et étonnants jamais créés.Pour Lou Marzano, vice-président de la Recherche et du Développement et de la fabrication : « La caméra Pro3 est le fruit d'années de recherche avancée et d'une écoute attentive de nos clients. Le résultat est une véritable révolution dans la technologie de capture 3D. Les exigences de l'industrie du numérique poussent les normes de nos produits à de nouveaux niveaux, rendant la précision, la portée et la mobilité essentielles au succès de nos clients. Nous avons réuni tout cela dans un appareil portable qui atteint un nouveau palier en termes de rapport prix/performance pour la capture LiDAR commerciale. Certaines de nos plus grandes entreprises clientes ont déjà mis la Pro3 à l'épreuve en capturant de grands sites extérieurs, des stades aux campus, avec une vitesse et une précision jamais vue auparavant. Comme les Pro1 et Pro2 qui l'ont précédée, la caméra Pro3 est dans une classe à part et je suis très fier de l'équipe qui est à l'origine d'une autre première dans le secteur. »Dotée d'un nouveau design saisissant, propre à Matterport, la Pro3 regorge de fonctionnalités révolutionnaires, notamment :Un capteur de 20 mégapixels et un objectif à 12 éléments fabriqués sur mesure pour une capture ultra large de grands espaces ;Une capacité de capture de 100k points par seconde à des profondeurs allant de 0,5m à 100m ;Un capteur LiDAR haute précision pour une précision inégalée dans diverses conditions de lumière ;Un temps de démarrage de la caméra de moins de 40 secondes ;Des blocs de batteries amovibles pour un balayage continu, les batteries se rechargent complètement en 3,5 heures ;Un poids plume de moins de 2 kilos 5 - la Pro3 est 30 % plus petite et 35 % plus légère que la caméra Pro2 ;Une nouvelle fixation de trépied conçue pour la Pro3 et de nouveaux étuis pour une portabilité et une protection maximales.Prix et disponibilitéLa caméra Pro3 de Matterport est disponible sur matterport.com/pro3 ou chez les revendeurs partenaires de Matterport dont Amazon, B&H Photo et Video ou encore Adorama.La caméra Matterport Pro3 est vendue au prix de 5695 euros et comprend :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport ;Un support de trépied ;Une batterie et un kit de chargement ;Un an de garantie.Le kit Matterport Pro3 Accélération, au prix de 7695 euros. Il comprend tout ce qui est nécessaire pour une journée complète de capture :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport10 fichiers de nuages de points haute densité Matterport E57 pour réaliser rapidement de grands projets;10 MatterPaks pour extraire des plans d'étage, des fichiers de nuages de points et des fichiers OBJ à partir de jumeaux numériques ;Un support de trépied ;Deux piles avec un kit de chargement ;Un trépied, un chariot à roulettes, deux butées de porte, une valise rigide et un sac à dos ;Une garantie de 3 ans sur la caméra Pro3 et le support de trépiedLes accessoires sont disponibles séparément aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'Union européenne via Amazon. Pour obtenir des informations sur les prix, rendez-vous sur le site Web de Matterport.Disponibilité de la caméra Pro3 en fonction des régions :Amérique du Nord : commandes ouvertes dès aujourd'hui, date d’expédition estimée à début septembre 2022.EMEA/Asie Pacifique : ouverture des commandes imminente (date à confirmer), date d’expédition estimée à début octobre 2022.
Il y a 2 ans et 303 jours

Seine-et-Marne : renouvellement des canalisations de distribution d’eau potable sur la rue Chapu au Mée-sur-Seine

La société Sogea va remplacer environ 900 mètres de canalisations d’eau potable dans la rue Chapu.
Il y a 2 ans et 303 jours

RÉNOSTANDARD : des solutions intégrées et innovantes pour la rénovation des maisons individuelles

Issu du programme PROFEEL, RénoStandard a permis de développer et tester sur le terrain des méthodes et outils innovants destinés à accompagner et optimiser le développement de la rénovation globale pour des gammes de maisons individuelles « standardisées ». Accompagné par des experts du CSTB sur une dizaine de domaines techniques – procédés spéciaux d'isolation, structure, humidité, étanchéité, sécurité incendie, confort, carbone, etc. –, ce travail collectif a permis de faire émerger de nombreuses innovations, de l'échelle du composant à celle du bâtiment et de son usage. Le dispositif RénoStandard se poursuivra jusqu'en 2025 dans le cadre de PROFEEL 2, via le projet RESTORE. Lire la suite En savoir plus : Les 11 projets de référence RÉNOSTANDARD Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 303 jours

Au cœur urbain de Nice, le Groupe Kardham va rénover l'historique campus universitaire Valrose

Construire, rénover et redynamiserLa mission s’inscrit dans le parc classé de Valrose, d’une surface de 11 hectares, remarquable pour la richesse de sa flore et la beauté de ses monuments. Le projet comporte trois parties :La rénovation des façades de deux établissements recevant du public (ERP), les bâtiments chimie et sciences naturelles, ainsi que la rénovation de deux niveaux dans l’ERP sciences naturelles.La construction d’un bâtiment neuf de 500 m² SDP pour des laboratoires de recherche.Un volet « expression culturelle » pour redynamiser le campus : relier la scène de l’Isba, un chalet traditionnel ukrainien, au campus et réfléchir à comment accompagner de façon évènementielle la vie des étudiants sur le site.Les principales caractéristiques du projetRespecter un patrimoine de 31 bâtiments et ouvrages dont une multitude classée au titre des monuments historiques.La mise en valeur de ce magnifique passé culturel et espace paysager fonctionnera comme ligne de conduite pour le projet. Ce dernier se conformera ainsi à la protection des monuments historiques en respectant les ouvrages existants. Aucun pastiche d’une architecture locale ne sera recherché et les références aux ouvrages présents sur le site ne seront que des évocations subtiles. Une charte définie par l’architecte des monuments historiques imposera par ailleurs les coloris, matériaux et les mobiliers du site.Conserver le patrimoine végétal et s’intégrer dans le paysageLa rénovation des façades suit le plan de gestion, et marque les socles des bâtiments (socle métal dans les tons rouille). Les étages seront traités en isolation thermique par l'extérieur dans un ton pierre. Ces choix permettent de mettre en valeur le parc arboré qui présente richesse et diversité en essences végétales : les niveaux hauts s’effacent derrière les arbres et la végétation luxuriante. Les socles ramènent à la terre et assurent une pérennité.Constitué de deux niveaux, et principalement enterré, le nouveau bâtiment de recherche a été pensé par les équipes de Kardham comme un empilement de strates horizontales qui viennent s’insérer suivant les lignes topographiques du terrain, et s’ancre dans la colline, prouesse d’intégration dans un site naturel enclavé. Sa façade unique expérimente des parois en béton imprimé, avec l’objectif de travailler la matière dans une forme libre. Cette démarche architecturale s’inscrit dans la continuité historique propre au site, dans une veine art nouveau avec un rusticage caractéristique du début du 19ème siècle. La 5ème façade poursuit le thème du parc avec la création de jardins, intégrant un petit pavillon en bois aux façades en moucharabiehs végétalisés.Les espaces paysagers extérieurs sont traités comme des jardins accessibles pour tous avec des plantées de cépées et arbustes. Pour la toiture végétalisée non accessible, Kardham a opté pour une plantée en garrigue sur couche drainante : lavandes, graminées et plantes de garrigues résistantes. Une large terrasse en bois permettra d’accueillir de l’événementiel, redonnant vie au site de l’Isba.Intégrer des solutions bioclimatiques et environnementales nouvellesLe volet rénovation énergétique comprend la rénovation de l’enveloppe, avec une isolation de façade par l’extérieur et de nouvelles menuiseries, la gestion de la protection solaire (brise-soleil et stores) et la pose de panneaux photovoltaïques. L'énergie sera ainsi mieux maîtrisée. La construction neuve en bâtiment troglodyte enterré dans la colline, ainsi que la toiture végétalisée rejoignent une démarche de bâtiment durable. Notons que le chantier est réalisé dans un contexte de site occupé.Un campus reconnecté et accessible à tousLe parc d’origine avait été transformé lors de la construction de plusieurs bâtiments du campus par l’architecte René Egger. Leur implantation murait le chalet de l’Isba, créant une rupture. En requalifiant les abords de l’Isba avec la création d’un aménagement ouvert à tous, cette partie du parc est désormais reconnectée au campus.La mise en accessibilité ADAP (agenda d'accessibilité programmée) du site est traitée au fur et à mesure des chantiers de rénovations. Pour les personnes à mobilité réduite et les non-voyants, elle comprendra la création de places de stationnement implantées aux pied d’immeubles, la pose de rails de guidage et l’installation de rampes sur les cheminements jusqu’aux entrées des bâtiments. Elle répond à l’accessibilité pour tous, lors de la mise aux normes des escaliers existants : bande podotactile, main courante, etc.Concernant le thème de l’expression culturelle, il a été proposé d’établir des constructions bois éphémères de petite échelle jalonnant le Parc, supports de liens et connectivités entre les différents acteurs du campus. Celle positionnée sur des points hauts du Parc et aux pieds de l’Isba redynamise le lien.Caracteristiques du projetMaitre d’ouvrage : Université Côte d’AzurPartenaires : EQUANS, Tractebel, Edeis, Ineo, Dumez, CofelyMission : conception architecturale, suivi des travaux et AORLivraison : 3ème trimestre 2023
Il y a 2 ans et 303 jours

Eiffage veut acquérir 80% de Sun'R

Eiffage Concessions, est entré en négociations exclusives en vue de détenir plus de 80 % du producteur d'électricité photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 303 jours

Le fabricant d'outillage et d'équipement Mondelin célèbre ses 70 ans

Particulièrement connue pour son produit phare, le Levpano, n°1 des ventes de lève-plaque depuis 1976, l'entreprise lance cette année son nouveau site.
Il y a 2 ans et 303 jours

Le Groupe ADP sort du rouge au premier semestre avec un bénéfice net de 160 millions d'euros

Le chiffre d'affaires du groupe, très affecté par la crise sanitaire, a doublé à tout juste 2 milliards d'euros, tiré par la reprise des plateformes parisiennes, selon des chiffres publiés jeudi."Après deux années de Covid-19, le besoin et le désir de voyage sont très forts", a observé devant des analystes le PDG Augustin de Romanet.Contrôlé par l'État français, le groupe qui exploite au total 29 aéroports dans le monde avait perdu 248 millions d'euros en 2021 et 1,17 milliard en 2020. Il avait prévu un retour dans le vert cette année.Au total, ses installations ont accueilli 118 millions de passagers entre janvier et juin, une hausse de 134% sur un an, mais ne permettant de retrouver que 71,9% du niveau de 2019.Les aéroports de Roissy-Charles-de-Gaulle et Orly (Paris Aéroport) rejoignent la moyenne avec 71,6% du niveau de 2019, grâce à une multiplication par 3,5 du nombre de voyageurs à 37,5 millions. Les mouvements d'appareils y ont progressé de 123%.Le Groupe ADP prévoit désormais un niveau de trafic sur l'année 2022 qui devrait atteindre entre 74 et 84% du niveau de 2019, contre 70 à 80% prévus précédemment. Le retour aux niveaux d'avant la pandémie est attendu "entre 2023 et 2024".A Paris, la fourchette devrait se situer cette année entre 72 et 82% du niveau de 2019, puis l'an prochain entre 85% et 95%, les 100% devant être atteint quelque part entre 2024 et 2026.L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) a été multiplié par 4,5 au premier semestre, à 702 millions d'euros, soit une marge brute atteignant 35% du chiffre d'affaires.La direction a relevé ses objectifs pour ce dernier ratio sur les exercices 2022 et 2023 à 32-37% (contre 30-35% attendus précédemment).L'Ebitda devrait être supérieur à son niveau de 2019 (1,77 milliard d'euros) en 2024, le résultat net étant attendu "positif" ces prochaines années, a-t-elle aussi indiqué.Les relations avec la Russie et l'Ukraine étaient peu importantes à Paris.Elles l'étaient davantage pour les aéroports turcs de TAV Airports, contrôlés par le groupe, mais d'autres liaisons internationales leur ont permis de rebondir, a également observé le Groupe ADP.
Il y a 2 ans et 303 jours

Pompes à chaleur domestiques et fluides naturels : le couple gagnant

Quelle sera l’influence de la proposition de révision du règlement F-Gaz sur les technologies et le marché des pompes à chaleur ? Un rapport détaillé pointe les avantages des fluides naturels.
Il y a 2 ans et 303 jours

Le Groupe Millet à Batimat, un état d’esprit durable

Sensible depuis longtemps aux questions de durabilité, le salon sera également le moment pour l’industriel de présenter ses actions en faveur d’une production plus responsable.Le Groupe Millet engagé pour un monde durableAyant pour mission première de contribuer à l’amélioration de l’habitat et du cadre de vie dans le respect de l’environnement, le Groupe MILLET met en œuvre depuis toujours des actions nécessaires à une croissance réfléchie et maitrisée.Pleinement conscient de sa responsabilité d’industriel, le Groupe allie innovation, qualité et agilité pour développer des produits et des process de production performants et respectueux de l’environnement. Tout en prenant en compte le cycle de vie complet des matières premières et leur gestion responsable, notamment avec la certifications PEFC TM et FSC des essences bois.On peut citer parmi ses actions l’évolution stratégique depuis 2006 avec son activité de façade à ossature bois biosourcé, le développement de menuiseries multimatériaux ou bois entièrement démontables, la valorisation depuis 2008 des menuiseries en fin de vie avec une filière interne de tri et de démantèlement tous matériaux aboutissant sur la création de mobilier RU Édition au sein de l’Atelier M.Un stand engagéLe salon professionnel BATIMAT est toujours un rendez-vous important pour le Groupe MILLET. Plus qu’une vitrine pour son activité, l’entreprise y voit l’occasion de venir à la rencontre de ses fournisseurs, partenaires et clients, de prendre le temps et d’échanger avec eux.Cette année, en mettant en avant son engagement pour le développement durable, le Groupe espère les convaincre qu’en tant que maillons d’une même chaîne, il est possible de contribuer tous ensemble à une économie circulaire. Tout l’enjeu de cette édition de BATIMAT sera donc pour le Groupe de présenter la diversité de son savoir-faire en matière de sur mesure, d’écoconception, et d’expliquer sa vision de « l’après-menuiserie ».Le stand du Groupe MILLET, pensé à 80% de matière recyclées proposera ainsi :Son objectif zéro emballage Depuis 20 ans, par l’intermédiaire de ses chauffeurs-ambassadeurs, le Groupe sensibilise ses partenaires à la collecte des emballages avec un démarche unique de consigne de ses palettes mais aussi avec la mise en place en 2008 du Pack Recup visant à récupérer les vis, bloqueurs et cales réutilisables destinés à l’emballage des futures menuiseries.L’optimisation de sa logistiqueLes chauffeurs du Groupe MILLET participent également à la mise en place de l’Éco-Retour. Ces derniers viennent retirer les menuiseries usagées chez les clients de l’entreprise avant de les convoyer vers l’atelier M ou les centres de revalorisation.L’Atelier M avec la création du mobilier RU ÉditionLieu de démantèlement de menuiseries usagées, l’atelier M marque la volonté du Groupe MILLET depuis 2022 de donner une dimension encore plus importante à ses convictions écologiques et innovantes. Les matériaux récupérés y sont séparés, nettoyés, triés et valorisés dans les filières classiques du recyclage ou au travers de la fabrication de mobilier: RU Édition. Depuis sa mise en place, cette pratique singulière d’upcycling ouvre une nouvelle alternative pour recycler les anciennes fenêtres bois en mobilier contemporain.À travers toutes ces démarches, le Groupe MILLET évolue et se rapproche de ses objectifs.Par ses actions stratégiques engagées, il pense au futur sans craindre de se remettre en question pour mieux bâtir demain.
Il y a 2 ans et 303 jours

Brem présente deux nouveaux radiateurs au design raffiné

Brem, concepteur et producteur italien de radiateurs et de sèche-serviettes, présente ses derniers nés : deux radiateurs extra-plats au style résolument contemporain. Les nouveaux modèles HOT et PIET deviennent un objet utilitaire, mais aussi un élément architectural.
Il y a 2 ans et 304 jours

Les centres de formation des apprentis s'inquiètent de la baisse de leur financement

Début juillet, France Compétences, l'organisme qui gère les CFA, avait indiqué que les sommes versées à ces structures diminueraient de 5% en septembre 2022. Elles baisseront de 5% supplémentaires en avril 2023.Depuis 2020, les CFA sont financés par les entreprises en fonction du nombre de contrats signés, et l'Etat s'est substitué aux régions pour compléter ce financement.Depuis cette réforme, les comptes de France Compétences sont dans le rouge : le déficit, de 3,2 milliards d'euros en 2021, pourrait atteindre 5,9 milliards en 2022, selon un rapport de la Cour des comptes en juin, qui s'alarmait d'"une impasse financière".La cause principale de ce déficit est la réforme du financement conjuguée à l'explosion des entrées de jeunes en apprentissage qui a quasiment doublé en deux ans pour atteindre le niveau record de 730.000 en 2021 et permis une hausse du taux d'emploi des jeunes.Pour combler une partie de ce déficit, l'Etat avait versé une subvention exceptionnelle de 2,75 milliards d'euros en 2021. La somme octroyée pour 2022 a été ramenée à 2 milliards d'euros dans la loi de finances rectificative votée en juillet 2022."On avait déjà dépensé de l'argent pour nos recrutements depuis janvier", indique à l'AFP Pascal Picault, président de la Fédération des directeurs des CFA (Fnadir). Avec un budget établi sans savoir que les subventions seraient diminuées, M. Picault redoute que "certains CFA réfléchissent avant d'ouvrir" certaines formations à la rentrée.La baisse des financements varie en fonction des secteurs d'activité, de 10 à 40% parfois, assure Yves Hinnekint, directeur de l'école de commerce Talis et de l'association Walt, qui regroupe des acteurs de la formation en apprentissage.Autre inquiétude mise en avant par Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France (Anaf): les CFA risquent de baisser leurs dépenses liés à la qualité de vie des élèves apprentis (activités sportives, rénovation des internats, etc.) et aux postes hors enseignement.La loi de finances rectificative votée cet été prévoit en revanche une enveloppe de 743 millions d'euros pour la prolongation des aides exceptionnelles accordées par l'Etat aux entreprises pour l'embauche d'alternants - 5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur -jusqu'à la fin de l'année civile. Ces aides ne sont pas prises en charge par France Compétences.Le Gouvernement entend les protestationsLe gouvernement a accepté de revoir la baisse de financement prévue en septembre de certains contrats d'apprentissage, sur fond de vives protestations pendant l'été des centres de formation d'apprentis (CFA), a indiqué mercredi le ministère du Travail.Début juillet, France Compétences, l'organisme qui gère les CFA, avait annoncé une baisse en moyenne de 5% des niveaux de prise en charge des contrats d'apprentissage.Mais, sur certaines formations, la baisse des financements pouvait atteindre jusque 30% selon des responsables de CFA qui avaient tiré la sonnette d'alarme et craignaient de ne pouvoir ouvrir certaines sections en septembre."Des corrections doivent être effectuées sur 275 des 3.289 certifications (...) à la suite de vérifications réalisées par France Compétences sur sollicitation des branches professionnelles et des réseaux de CFA" et "à la demande" des ministres du Travail Olivier Dussopt et de la Formation professionnelle Carole Grandjean, a précisé le ministère dans un communiqué."Nous avons été entendus sur le court terme", s'est réjoui auprès de l'AFP Pascal Picault, président de la Fédération des directeurs des CFA (Fnadir)."Cette décision a été prise après une réunion lundi avec tous les acteurs et je pense qu'à l'avenir les CFA seront davantage consultés", s'est-il félicité.La Fnadir n'a cependant pas obtenu gain de cause sur le report de cette baisse, qui s'appliquera à tous les contrats d'apprentissage conclus à partir du 1er septembre (ou octobre pour ceux qui vont être corrigés) "alors que les budgets sont déjà établis", a regretté M. Picault.La Fnadir reste par ailleurs opposée à la seconde baisse de 5% envisagée pour l'instant en avril 2023.La baisse de la prise en charge de ces contrats résulte de la réforme de 2018 sur l'apprentissage qui a entrepris de rapprocher progressivement le niveau de la subvention du juste prix de la formation, explique le ministère délégué en charge de l'enseignement et de la formation professionnels.Les comptes de France Compétences sont par ailleurs dans le rouge: le déficit, de 3,2 milliards d'euros en 2021, pourrait atteindre 5,9 milliards en 2022, selon un rapport de la Cour des comptes en juin, qui s'alarmait d'"une impasse financière".La cause principale de ce déficit est la réforme du financement conjuguée à l'explosion des entrées de jeunes en apprentissage qui a quasiment doublé en deux ans pour atteindre le niveau record de 730.000 en 2021 et permis une hausse du taux d'emploi des jeunes.
Il y a 2 ans et 304 jours

L'explosion de l'inflation est le symptôme de notre dépendance aux hydrocarbures, selon le climatologue Rockström

"Depuis 1990, nous disons qu'il faut abandonner progressivement l'économie fondée sur les énergies fossiles au profit d'une économie basée sur les énergies renouvelables. Et maintenant, nous y voilà - nous nous prenons le mur", après "30 ans de sous- investissement", constate le scientifique, l'un des principaux artisans du concept de "limites planétaires" - seuils d'usage des ressources que l'humanité ne doit pas dépasser pour vivre dans un écosystème sûr.M. Rockström a travaillé deux ans sur sa contribution au rapport collectif "Earth For All : A Survival Guide for Humanity" (La terre pour tous: guide de survie pour l'humanité), publié mardi par le Club de Rome, ce groupe de réflexion de scientifiques et d'économistes fondé en 1968.L'ouvrage s'inscrit dans la lignée du célèbre rapport Meadows, publié en 1972 sous l'égide du Club de Rome. Ce document de référence, à l'origine de l'ouvrage "Halte à la croissance ?" ("Limits to Growth"), affirmait que le développement ne pouvait se poursuivre indéfiniment sans atteindre une limite de consommation des ressources.Cinquante ans plus tard, le nouveau rapport, auquel ont participé des auteurs du premier, prévoit deux scénarios de croissance.Le premier, surnommé "Too Little, Too Late" (trop peu, trop tard), verrait perdurer l'orthodoxie économique, aggravant les inégalités alors que le monde dépasse les objectifs de l'accord de Paris et s'oriente pour l'heure vers un réchauffement de 2,5 °C d'ici 2100 par rapport à la fin du 19e siècle.Le deuxième scénario, celui du "Great Leap" (Grand Bond), prévoit une mobilisation sans précédent des ressources pour mettre en oeuvre cinq changements sociétaux : l'éradication de la pauvreté et des inégalités, l'autonomie des femmes, une alimentation mondiale plus végétale et la décarbonation rapide de l'énergie.Les auteurs affirment que le Fonds monétaire international devrait accorder 1.000 milliards de dollars par an aux nations les plus pauvres pour créer des emplois verts et que les pays riches devraient annuler la dette de ceux à faibles revenus tout en accordant à leurs citoyens un "dividende de base universel".Scénario catastrophePour M. Rockström, le monde a atteint un "point d'urgence", car les catastrophes liées au climat - avec un réchauffement actuel de 1,1°C depuis l'ère industrielle - se produisent plus fréquemment que prévu."Nous y sommes: à 1,1 °C, les phénomènes que nous pensions voir à 2 °C se produisent beaucoup plus tôt et frappent plus durement", explique-t-il, après un été marqué par des records de sécheresse et de chaleur en Europe et en Chine, et des inondations cataclysmiques au Pakistan."Nous risquons de nous diriger vers un scénario catastrophe, non pas parce que nous injectons davantage de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre d'origine humaine, mais parce que le système terrestre lui-même commence à émettre ces gaz", compte tenu de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland et de l'augmentation des feux de forêts.Les scientifiques devraient "envisager une palette beaucoup plus large de scénarios", afin de mieux intégrer des phénomènes certes peu probables mais extrêmement dévastateurs et qui pourraient conduire à un emballement du réchauffement.M. Rockström se dit toutefois "assez pessimiste" sur les capacités de réforme des gouvernements. "Il y a trois ans, j'aurais dit que j'étais optimiste - nous avons vu un élan post-Paris avec davantage de politiques publiques et d'entreprises qui s'engagent", a-t-il déclaré."Maintenant, avec l'effondrement post-Covid de la confiance du public et la montée du populisme, je n'ai pas l'impression que nous soyons vraiment prêts à mettre en œuvre tous ces pas de géant", s'inquiète-t-il."C'est pourquoi le timing est vraiment important. Nous devons relancer le débat et parler de l'urgence d'agir. Est-ce un défi ? Absolument."
Il y a 2 ans et 304 jours

GCC s'engage pleinement dans la lutte contre le gaspillage de matériaux

REVALORISATION. Le groupe de BTP, GCC, déploie une nouvelle application visant à favoriser l'emploi de matériaux non-utilisés sur ses chantiers.
Il y a 2 ans et 304 jours

Paprec se renforce dans le recyclage des métaux

Le spécialiste du traitement et de la valorisation des déchets a fait l'acquisition de Menut, entreprise familiale spécialisée dans le recyclage des ferrailles et métaux et vise le million de tonnes de déchets recyclés de ce type.
Il y a 2 ans et 304 jours

Écoles

Du grec skholê, (« loisir », le lieu où on n’effectue pas de travail physique), l’école ...More about Cet article Écoles est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 304 jours

Rénover une copropriété, galère à tous les étages

Quand Esther, propriétaire d'un appartement en Seine-Saint-Denis, a découvert que son syndic de copropriété prévoyait de faire un ravalement de façade sans y adjoindre les moindres travaux de rénovation énergétique, elle s'est insurgée et s'est heurtée à un mur.Ses rencontres avec les membres du conseil syndical n'ont suscité que l'hostilité, ses e-mails, raconte-t-elle, "tombaient dans un trou"...Avec sa vie personnelle et professionnelle qui ne lui permet pas de s'impliquer comme elle le voudrait dans le dossier, elle regrette d'avoir "toujours un temps de retard" sur les décisions du syndic."Je pourrais faire ma super militante, aller choper les coordonnées de tout le monde et aller embêter la terre entière, mais j'ai pas le temps", confie-t-elle, découragée.Olivier (prénom modifié à sa demande), cadre parisien dans la transition écologique, s'est retrouvé dans la même situation, d'un conseil syndical qui approuve des travaux sans rénovation énergétique, comme c'est pourtant obligatoire depuis 2015. "Je suis tombé sur un syndic +old school+, à trois ans de la retraite, qui était en mode +c'est pas comme ça qu'on fait et de toute façon ça marchera pas+", raconte-t-il à l'AFP.Il est parvenu à stopper le projet, à ses yeux une "incurie climatique", en attaquant la décision en justice."C'est un choix personnel que j'ai fait, d'engager des frais juridiques pour mes convictions", dit-il. "J'ai ce luxe. Je suis un cadre supérieur, pas un ménage en précarité énergétique". "Si des gens comme moi ne le font pas, qui le fera ?"Des années de procédureLeur cas est symptomatique des embûches pour réussir une rénovation énergétique en copropriété, qui représentent 28% des bâtiments en France.La difficulté vient d'abord de la forme même des copropriétés, où les décisions, qui se prennent en votant en conseil syndical, peuvent être longues et fastidieuses à adopter, surtout quand elles engagent des sommes importantes."Entre le moment où on rentre en relation avec une copropriété et le moment où les travaux sont votés, il se passe quatre ou cinq ans en moyenne", témoigne Christophe Dujardin, président de l'agence régionale Ile-de-France Energies.Difficile de mettre tout le monde d'accord avec des propriétaires qui ont des projets, explique également Sébastien Catté-Wagner, expert en copropriétés à l'Agence nationale de l'habitat (Anah). "Vous avez des copropriétaires qui comptent vendre, des bailleurs-investisseurs qui n'ont pas envie de faire des travaux, des jeunes endettés pour qui ce n'est pas facile de payer 15.000 euros..."A quoi s'ajoute le peu de lisibilité des différentes aides.Contraintes et incitationsPour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments, pilier majeur de la transition écologique, l'Etat a en effet multiplié les mesures. Les propriétaires de logements sont obligés d'effectuer un diagnostic de performance énergétique (DPE) s'ils souhaitent les mettre en vente ou en location.Et pour les plus énergivores (étiquetés F et G), il est déjà interdit, depuis le 24 août, d'augmenter les loyers. A partir de 2023, ce sont des interdictions pures et simples de louer qui frapperont progressivement les passoires thermiques.Côté incitatif, le dispositif-phare de l'Anah, lancé en juillet 2021, s'appelle MaPrimeRénov' Copropriétés. Il peut subventionner 25% du montant des travaux, à condition que les gains de performance énergétique soient conséquents (35% au moins).Quelque 12.000 logements ont bénéficié du dispositif en 2021 pour un coût d'environ 70 millions d'euros.Les agences régionales de l'énergie proposent également des prêts et jouent un rôle d'"ensemblier", soit de pilote global des chantiers. "C'est de plus en plus discuté et vous allez voir pas mal de nouveaux services et acteurs. Je pense que les gros énergéticiens y réfléchissent", explique à l'AFP Carine Sebi, professeure à Grenoble Ecole de Management."Ce sujet de la rénovation énergétique, ça ne vient pas par conscience environnementale. Ça vient uniquement parce qu'on est contraint, soit parce que notre logement devient insalubre ou parce que notre facture d'énergie va exploser", ajoute-t-elle. "Il faut qu'on se saisisse de la crise actuelle liée à l'inflation pour valoriser les économies d'énergie engendrées par la sobriété mais surtout l'efficacité énergétique".
Il y a 2 ans et 304 jours

L'Insee confirme le rebond de 0,5% du PIB français au deuxième trimestre

Ce redécollage de la croissance s'explique notamment par un regain de consommation des ménages (+0,3% contre un repli d'1,2% au premier trimestre), "particulièrement dans l'hébergement et la restauration (+13,4% après -2,6%)", détaille l'Insee.Pour maintenir leurs dépenses malgré l'inflation, qui a fortement progressé au deuxième trimestre, les Français ont puisé dans leurs économies.De ce fait, "le taux d'épargne des ménages diminue fortement: il s'établit à 15,5%, après 16,7% au premier trimestre 2022", précise l'Institut national de la statistique.En 2019, avant l'irruption du Covid, le niveau moyen de ce taux se situait toutefois encore plus bas, à 15%.Le pouvoir d'achat des ménages a pour sa part continué à reculer au deuxième trimestre (-1,1%, après -1,6% sur les trois premiers mois de l'année).Traditionnel point faible de la France, le commerce extérieur a cette fois contribué positivement à l'évolution du PIB (produit intérieur brut) entre avril et juin. Les exportations ont légèrement progressé (+0,9%), tandis que les importations sont restées stables.L'emploi a également fait preuve de dynamisme, avec un nombre total d'heures travaillées en progression d'1,2% (après -0,2%).Après un premier trimestre marqué par la propagation du variant Omicron du Covid-19, l'Insee observe entre avril et juin une "baisse du recours aux arrêts maladies" et un "léger recul" du recours à l'activité partielle.Le rebond de l'activité économique au deuxième trimestre se traduit par des recettes fiscales en hausse pour l'Etat : celles de l'impôt sur les sociétés sont ainsi "très élevées", confirmant de récents propos en ce sens de responsables patronaux et ministériels.Sur la base de ces données, l'Insee évalue l'acquis de croissance (la croissance qu'on obtiendrait si l'économie stagnait pour le reste de l'année) à 2,5% pour l'année 2022.Un chiffre identique à celui de la prévision de croissance du gouvernement, mais légèrement plus optimiste que les anticipations de la Banque de France et du FMI (+2,3%).L'évolution du PIB français au printemps a été nettement plus rapide qu'en Allemagne (+0,1%), mais légèrement inférieure à la croissance en zone euro (+0,6%).Interrogé sur la probabilité d'une entrée en récession de la zone euro en 2022, François Villeroy de Galhau a "très clairement" écarté cette hypothèse. Quant à 2023, année où le gouvernement prévoit une croissance de 1,4%, "rien ne peut être exclu dans la période de grandes incertitudes que nous vivons", a estimé le banquier central. "Mais nous nous attendons pour la France à un net ralentissement plutôt qu'à une récession", a-t-il conclu.
Il y a 2 ans et 304 jours

La salle des fêtes de Laurenan, une rénovation "hors des sentiers battus"

RÉNOVATION DURABLE. C'est un projet faisant la part belle aux matériaux biosourcés qu'a imaginé le Laboratoire d'architecture de Bretagne, en rénovant la salle des fêtes de Laurenan (Côtes-d'Armor).
Il y a 2 ans et 304 jours

Les tuiles terre cuite solaire d’Edilians, un compromis idéal entre esthétique et production énergétique

Pionnier sur le segment des tuiles photovoltaïques en terre cuite, nous vous proposons aujourd’hui de découvrir notre gamme de tuiles en terre cuite solaire, pour une affinité esthétique et des performances sans pareil.   Les atouts de ces tuiles en terre cuite solaire sont nombreux : Un esthétisme inégalé : avec une intégration parfaite et discrète, l’identité architecturale est préservée  Une simplicité de pose : forme et caractéristiques de mise en œuvre identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels  Un véritable gain de temps et de rentabilité pour les professionnels de la toiture Une étanchéité irréprochable héritée des propriétés inhérentes à la terre cuite Une performance énergétique à haut rendement avec une autoconsommation solaire immédiate Une solution évolutive dans le temps : les tuiles en terre cuite solaire s’adaptent à une toiture existante en toute facilité *L’étanchéité de nos tuiles en terre cuite solaire Max est garantie 20 ans, et extensible jusqu’à 30 ans pour des toitures réalisées avec des tuiles terre cuite d’EDILIANS neuves et compatibles. Retrouvez l’ensemble des produits solaires sur le site de Edilians
Il y a 2 ans et 304 jours

L’Esquisse Hotel & Spa – Colmar

L’Esquisse Hotel & Spa – Colmar Travail de précision avec des résultats étonnants Sur ce projet ont été installé de grands volets repliants DucoSlide QuadraFold d’environ 3 m de hauteur, installés en nez de dalle pour créer une peau complète extérieure de façade. La quincaillerie du système DucoSlide BiFold et QuadraFold est très robuste, pour pouvoir garantir un fonctionnement parfait même avec de grandes dimensions. Sur le projet, le rail haut du mécanisme est situé dans l’encombrement de la dalle, ainsi que le rail bas de guidage du volet de l’étage supérieur. De ce fait, les parties mobiles, s’alignent parfaitement avec la hauteur du balcon dalle à dalle. Un vrai travail de précision, mais le rendu est superbe ! Construction ingénieuse qui garde la chaleur à l’extérieur La construction existe d’un ensemble QuadraFold repliant vers la gauche, et un ensemble QuadraFold se repliant vers la droite, soit 8 panneaux en tout quand le balcon d’environ 4,50 m de large est fermé. Quand les volets sont ouverts, la vue vers l’extérieur ne souffre d’aucun obstacle, car ils ont un très faible encombrement sur les extrémités. En refermant les volets, l’habitant de la chambre bénéficie d’une protection efficace contre les ardeurs du soleil, tout en laissant la place à belles ambiances intérieures. Intégration parfaite dans l’environnement verdoyant L’architecture de l’hôtel s’est invitée dans un cadre exceptionnel avec la projection de larges terrasses pour chaque chambre, suite et appartement. Grâce au DucoSlide QuadraFold les rayons du soleil sont filtrés, ce qui permet de voir sans être vu. En effet, les volets sont équipés de tôles d’aluminium spécifiques anodisées “or”, ces tôles étant perforées afin de créer une fresque originale représentant une forêt, ce qui ajout au facteur esthétique et ce qui fait que l’hôtel s’intègre parfaitement dans le cadre verdoyant qui l’entoure. Excellent travail d’équipe Cet exercice de conception, d’adaptation produit, de coordination et de suivi a été menée conjointement par AEA (architecte), DUCO (industriel), EDBAT (distributeur), et Schoenenberger (installateur). Un travail d’équipe garantissant un résultat impeccable pour la plus grande satisfaction du maître d’ouvrage. Pour plus d’information, rendez-vous sur duco.eu
Il y a 2 ans et 304 jours

Interview de Jean-Gabriel Niel, co-dirigeant et CEO de Graneet

Batinfo : Pouvez-nous faire un résumé de l'histoire de Graneet ?Jean-Gabriel Niel : Graneet est un projet que j'ai démarré avec mes associés en 2020. En 2019, alors que j’accompagnais une PME du BTP pour acheter un logiciel de gestion, j’ai découvert à quel point le suivi administratif et financier des chantiers était complexe et chronophage de part les spécificités métiers du secteur. En étudiant l’offre d’équipement disponible pour des PME, nous avons réalisé que les solutions existantes étaient généralement inadaptées, compliquées à mettre en place et à utiliser, et souvent très coûteuses. Pour toutes ces raisons, plus de 50% des sociétés utilisent encore Excel aujourd’hui pour gérer leur activité... Pour Véronique Combès, Gérante de Combès Bâtiment : « Graneet c'est très bien, c'est très simple et on va vite à l'essentiel. Je ne me suis jamais adaptée aux autres outils, pourtant j'en ai essayé plusieurs. » Forts de ce constat, nous y avons vu une opportunité unique d’apporter une solution 100% adaptée aux besoins de ces PMEs. Nous étions convaincus que la clé pour réussir était de construire un produit simple à prendre en main, mais très puissant et flexible. Et pour cela, nous avions besoin d’écouter les futurs utilisateurs. Nous avons passé près de 2 mois avec Enzo Dozias, co-fondateur et CPO de Graneet, à faire des entretiens avec une centaine de patrons d'entreprises du BTP pour mieux cerner leurs besoins. Nous avons pu construire lors de ces échanges l’ébauche de ce que serait la solution Graneet et cela nous a permis de signer nos 3 premiers clients. Avec cette validation en main, début 2020, nous avons décidé de créer l’entreprise et avons convaincu Raphaël Moulin, co-fondateur et CTO, de nous rejoindre. Après 6 mois de travail acharné, nos premiers clients commencent à utiliser Graneet en juin 2020. Les choses s'accélèrent pour nous à partir de là : nous rejoignons le Founders Program de Station F, l’équipe grossit et passe à 10 personnes, et forts de nos premiers succès et de la confiance de nos clients, nous réalisons une levée de fonds qui nous permet d’accélérer le développement du logiciel en recrutant de nouveaux talents, et de nous installer dans nos propres bureaux dans le XIème arrondissement à Paris.Nous sommes aujourd’hui une équipe de 20 personnes, les deux tiers travaillant à la construction du produit Graneet, le tiers restant étant en charge du commercial et de l’accompagnement des nouveaux clients. Convaincus de l’importance de construire une solution très puissante mais ultra simple d’utilisation, nous passons énormément de temps à travailler les composants et l'interface de notre solution. Nous co-construisons notre logiciel avec nos clients et nous réalisons par conséquent systématiquement des tests utilisateurs des nouvelles fonctionnalités sur lesquelles nous travaillons. Les professionnels du BTP ont peu de temps en dehors du terrain pour gérer le suivi financier et administratif de leurs projets et nous voulons les aider à mettre en place de meilleures pratiques de gestion pour maximiser leur marge en tant que partenaire de confiance. Pour Arnaud Mercier, Associé de Innovative & Smart Buildings : « Graneet est un logiciel simple à utiliser et agréable en plus d’être ergonomique. Le support est très réactif, l’équipe est super disponible en cas de problème et on sent qu’il y a un réel accompagnement derrière. D’autre part, son développement est co-construit avec l’équipe. »Batinfo : Actuellement quel est le positionnement de votre produit et de Graneet ?Jean-Gabriel Niel : Nous adressons les PME du BTP de tous les corps d’état qui font au moins 1 millions d'euros de chiffre d'affaires. Pour des entreprises de plus petite taille, notre solution est sans doute un peu trop poussée pour leurs besoins. Contrairement à la majorité des solutions de gestion commerciale BTP, notre solution est “cloud”, accessible en ligne par abonnement, et construite sur les dernières technologies avec une attention toute particulière portée à l'expérience utilisateur. Nous faisons attention à ce que l'accès aux données soit le plus simple et intuitif possible et, que les interfaces soient les plus performants. Nos clients apprécient particulièrement les tableaux de bord d’activité dans Graneet qui en sont un très bon exemple. Nous nous différencions également sur notre méthode de commercialisation : nous ne passons pas par des revendeurs mais vendons uniquement en direct à nos clients, ce qui permet un lien fluide entre nos équipes et les utilisateurs. Lorsqu’un de nos clients a un problème, il a accès à un canal de communication direct avec nos équipes techniques. Enfin, avec notre volonté d'être proches et réactifs pour aider nos clients rapidement, nous investissons aussi beaucoup dans l'accompagnement et le support qui sont au cœur de l'ADN de Graneet. Le temps de réponse moyen à un client est de 5 minutes et le temps de traitement moyen d'une demande est de moins de 30 minutes. Chiffres clés :8500 situations de travaux créées directement via GraneetPlus de 3000 chantiers gérés actuellement dans le logiciel500 millions d'euros facturés l'année dernière par les clients de GraneetBatinfo : Quel est l'avenir de Graneet ?Jean-Gabriel Niel : Notre objectif est de démocratiser l'utilisation de solutions de gestion par les PME du BTP, les aider à mieux appréhender le suivi financier de leur activité et à booster leurs marges en leur fournissant une visibilité et une transparence sur leur business, en temps réel. Nous sommes en train de finaliser le développement d’un groupe de fonctionnalités permettant le contrôle de gestion des projets pour pouvoir gérer l'allocation des différentes dépenses projet par projet : édition des bons de commandes, suivi des achats et des heures de main d’œuvre, analyse du budget. Nous cherchons à aller plus profond dans la chaîne de valeur du BTP et voulons intégrer le plus de services possibles à notre solution qui peuvent être utiles à nos clients et nous allons donc à partir de là travailler sur les connexions à des services externes au travers de partenariats. Pour pouvoir mettre en place ce plan ambitieux, nous continuons d'ailleurs à recruter dans toutes les équipes et serons une trentaine de personnes d’ici à la fin de l’année. Vos lecteurs pourront également nous retrouver pour la première fois sur le salon Batimat en octobre prochain !
Il y a 2 ans et 304 jours

Les patrons n'ont pas attendu le gouvernement pour s'engager dans la sobriété énergétique

Dans son discours devant le patronat, la cheffe du gouvernement Élisabeth Borne a demandé aux entreprises d'agir pour consommer moins d'énergie, agitant la menace de mesures de rationnement cet hiver, alors que la Russie pourrait couper l'approvisionnement de l'Europe en gaz.Chaque entreprise a été invitée à élaborer un plan de sobriété d'ici la fin septembre, et la Première ministre s'est montrée favorable à la nomination de "référents sobriété" en leur sein."La Première ministre veut nous faire croire qu'on aurait loupé certaines choses", alors que les entreprises "ont déjà commencé le travail", a réagi auprès de l'AFP Jean-François Faure, président de la société Aucoffre.com, spécialisée dans le commerce de métaux."Les actions qui vont être menées pour la guerre dont on parle (en Ukraine, NDLR) et qui sont liées à l'énergie sont de toute façon positives pour le vrai combat qui doit être mené et qui est cette fameuse transition énergétique", selon cet entrepreneur du Sud-Ouest qui a vu de près cet été les incendies à Landiras, en Gironde."Les entreprises, Madame la Première ministre, feront leur part sur le chauffage, les déplacements de leurs collaborateurs, mais surtout sur les +process+ de production", a assuré dans un discours le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux."Aujourd'hui, que les choses soient claires, il n'y a plus d'entrepreneur climatosceptique", a-t-il affirmé, assurant que la transition vers une économie bas carbone est devenue la première préoccupation des adhérents de l'organisation patronale, devant la fiscalité."Je ne sais pas ce que c'est que la sobriété, on a toujours travaillé comme ça. L'abondance, je ne sais pas ce que c'est. Ensuite, quand on parle de sobriété, pourquoi 10% (de réduction de la consommation, NDLR) ?", s'interroge Franck Legardeur, directeur général de Delmonicos, une petite entreprise de 11 salariés basée à Metz qui développe des solutions de rechargement pour véhicules électriques. Il ajoute auprès de l'AFP que "la première chose à faire, c'est de l'efficacité énergétique en mesurant mieux la consommation" des entreprises comme celle des particuliers.Rendre de la compétitivitéUn an après la fin du "quoi qu'il en coûte" pour soutenir ménages et entreprises face au Covid-19, le Medef demande au gouvernement de ne pas tout régenter."L'État ne doit pas tout faire en France car l'État ne sait pas tout faire", selon son président."J'entends ceux qui demandent plus d'allocations, plus de chèques, le retour du quoi qu'il en coûte, parfois même dans le patronat, et donc plus de dépenses publiques. Mais laissons Keynes reposer en paix dans sa tombe, la meilleure façon d'aider les ménages français, c'est de rendre de la compétitivité à leurs employeurs", a déclaré sous les applaudissements des patrons M. Roux de Bézieux.Sans surprise, il a demandé au gouvernement de continuer à réduire les impôts de production et les cotisations sociales sur les hauts salaires. La charge contre l'administration ne s'arrête pas là: "notre économie croule sous les règlements incohérents, inutiles ou incompréhensibles", tandis que "les entrepreneurs français sont désavantagés par le poids de la bureaucratie", affirme le président du Medef.Sur les grandes réformes sociales de l'assurance chômage et des retraites, le Medef appelle toutefois le gouvernement à intervenir, lorsqu'il ne peut pas s'appuyer sur des syndicats de salariés pour aboutir.Sur l'assurance chômage en particulier, "même avec les syndicats réformistes, nous n'avons pas le même diagnostic de la situation. Donc il est légitime que l'État reprenne la main", estime Geoffroy Roux de Bézieux.
Il y a 2 ans et 304 jours

AEG lance sa gamme d'instruments de mesure laser pour les professionnels

Niveau laser croix vert CLG330-K, avec point d’aplomb et 30 m de portéeKit niveau laser CLG220-K et niveau laser croix vert CLG220-B avec une portée de 20 mNiveau laser croix rouge CLR215-B avec portée à 15 mLes lasers AEG sont destinés aux professionnels du bâtiment tout corps d’état - plaquistes, soliers, menuisiers, charpentiers, carreleurs, cuisinistes, fenêtriers… et répondent à toutes les applications sur les chantiers.Précision et simplicité d’utilisation caractérisent ces instruments de mesure offrant une haute intensité lumineuse quelles que soient leurs portées, un réglage facile et une grande fiabilité.Points communs des différents modèlesPrécis et performants, ils sont pourvus d’un nivellement automatique et d’un avertisseur visuel lorsqu’ils ne sont pas de niveau. Leur bouton de blocage de lignes est idéal pour projeter des lignes en pente (installation d’un escalier, par exemple) et assurer un transport sécurisé.Faciles à utiliser, ils disposent d’un pavé de commande intuitif pour travailler rapidement avec précision.Polyvalents, ils s’installent rapidement sur tout type de support même dans les zones les plus complexes et bénéficient d’une conception antichocs pour des conditions de travail difficiles. Ils sont équipés d’un support aimanté puissant avec molette de réglage et d’un filetage 5/8” et ¼” compatible avec les trépieds standards du marché.Robustes, les niveaux lasers AEG bénéficient de l’indice de protection IP54 pour une haute résistance aux poussières et à l’eau. Leur boîtier est recouvert de protections caoutchouc et plastiques ultra résistantes en cas de choc.Les spécificitésLes niveaux laser CLG330-K, CLG220-K et CLG220-B sont équipés d’un faisceau vert à diodes haute densité d’une portée respective de 30 m et 20 m. Le modèle CLR215-B dispose d’une optique à laser rouge pour une portée de 15 m.Selon le modèle, les lasers AEG présentent différentes fonctions de projections.Niveau laser CLG330-K, polyvalence et longue portée de travail pour une meilleure productivité sur les chantiersLe laser CLG330-K garantit une grande précision grâce à son faisceau vert haute visibilité 4 fois plus intense qu’un laser croix rouge. Les professionnels peuvent l’utiliser à l’intérieur ou à l’extérieur et quelles que soient les conditions de luminosité. Il garantit différents types de projection : ligne horizontale, 2 lignes verticales, lignes transversales et il dispose également d’un point d’aplomb pour projection du sol au plafond.Sa portée de 30 m couvre toutes les applications sur les chantiers avec une précision de +/- 0,02 mm/m.3 modes d’utilisation sont possibles : manuel, auto (horizontal/vertical) et un mode détection pour réaliser simplement tous types de projet.Il est facile d’emploi et très précis avec sa mise à niveau automatique ; la durée d’auto-nivellement est de 3 secondes et sa plage de nivellement de +/- 3°. Un avertissement visuel et sonore se met en marche si le laser n’est pas de niveau.Pratique et très polyvalent, le laser CLG330-K est équipé de pieds pliables en métal avec appuis en caoutchouc pour une bonne stabilité au sol. Autonome, il permet de travailler pendant 6 heures avec 3 piles AA et est livré avec une cible laser qui étend sa portée à 50 m, un support de fixation aimanté avec un filetage 5/8” et 1/4” compatible avec tous les trépieds ainsi qu’une bande velcro pour le fixer sur les surfaces non métalliques.Une version accessoirisée CLG220-B & une version sur-accessoirisée CLG220-K : une offre de choix pour les professionnelsLes 2 modèles projettent une ligne horizontale et verticale simultanément jusqu’à 20 mètres. La couleur verte du laser améliore 4 fois plus la visibilité dans toutes les conditions de luminosité et est idéale pour tous les chantiers.Ils garantissent une précision de 0,04 mm/m, ceci grâce à une technologie de laser vert très puissante, un bouton de blocage des lignes et une plage de nivellement de +/- 3°. Rapide, le nivellement automatique des lasers croix vert AEG CLG220-K et CLG220-B se fait en moins de 3 secondes accélérant ainsi considérablement la productivité de travail des professionnels. L’utilisateur est averti par un signal visuel lorsqu’il est hors de la plage de calage automatique. Un support mural magnétique rotatif robuste assure une utilisation sur des surfaces métalliques et peut être fixé à toute autre surface à travers un trou d’accrochage. Ils disposent également d’un filetage 5/8” et 1/4” pour un montage sur trépied.Le kit laser CLG220-K est équipé en plus d’une pince de fixation aimantée ainsi que d’une cible laser vert pour améliorer la visibilité du faisceau laser sur de longues distances.D’une grande autonomie, ces 2 lasers permettent de travailler pendant 15 heures avec 2 piles AA.Niveau laser croix rouge CLR215-B, avec portée à 15 mètresIl projette 2 lignes indépendantes avec fonctions horizontale, verticale, ligne en croix jusqu’à 15 mètres ; avec cette portée, il facilite les mesures de moyenne distance et devient l’outil de mesure idéal pour tous les travaux de pose de carrelage, de lambris, d’étagères…Un interrupteur marche/arrêt avec verrouillage pendulaire garantit un transport sécurisé.Un support mural magnétique rotatif robuste permet une utilisation sur des surfaces métalliques et une fixation à toute autre surface grâce à un trou d’accrochage. Pratique, le filetage 5/8” et 1/4” assure un montage sur tous les trépieds standards.Les lignes clignotent lorsque le laser est hors niveau afin de garantir un alignement parfait avec une précision jusqu’à +/- 0,3 mm/m.Côté praticité, polyvalence et robustesse, le niveau laser croix rouge présente les mêmes caractéristiques que les autres modèles de la gamme.Autonome, il fonctionne jusqu’à 10 heures avec 2 piles AA.
Il y a 2 ans et 304 jours

Douches "zéro ressaut" : le CSTB publie un guide technique

MISE EN ŒUVRE. Le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) vient de publier un guide technique sur les douches zéro ressaut "à l'italienne". Il présente notamment les solutions constructives existantes pour ce type d'ouvrages.
Il y a 2 ans et 304 jours

Hunter Douglas, nouveau propriétaire de Derako International Architecture Bois

Une acquisition qui fait du sens…Aad Kuiper, directeur général de Hunter Douglas EMEA & Océanie, a déclaré : « L'acquisition de Derako s'inscrit dans notre stratégie visant à offrir une large gamme de systèmes de plafonds uni-ques et durables, permettant aux architectes et aux designers de réaliser des projets révolution-naires et créatifs. Nous sommes convaincus que Hunter Douglas et Derako constituent une base solide pour la poursuite de notre croissance et notre succès commun. »Pieter van Rees, Business Development & Marketing Manager chez Hunter Douglas Architectural, voit une grande opportunité dans cette acquisition : « Les deux entreprises ont leurs propres do-maines d'expertise qui se complètent très bien. Grâce à la longue expérience de Derako, de nou-velles possibilités s'ouvrent dans le monde entier pour continuer à développer le marché des sys-tèmes de plafonds et revêtements muraux durables en bois massif dans la construction. Hunter Douglas dispose d'un vaste réseau de distribution international à fort potentiel de croissance, par le biais duquel les solutions personnalisées de Derako peuvent être commercialisées.…, après un partenariat de longue date« Une longue période de fiançailles qui a débouché sur un mariage », c'est ainsi que Peter van Laar, directeur général de Derako International, décrit l'acquisition par Hunter Douglas. L'étroite colla-boration qui existe depuis deux décennies sur le marché européen a été déterminante pour que les deux parties finissent par se dire « oui ». Par le passé, Hunter Douglas a déjà collaboré avec Derako sur de nombreux projets dans le monde entier pour la fabrication de ses plafonds modulaires et systèmes de cloisons en bois massif.Les deux entreprises seront désormais dirigées par un seul et même management. Le site de production de Derako International à 't Zand (Pays-Bas) ainsi que la direction restent inchangés.Derako conçoit et produit des systèmes durables de plafonds, de revêtements muraux et de façades en bois massif, qui sont fabriqués exclusivement sur la base de projets et donc sur mesure. L'entreprise emploie 32 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires de 6,8 millions d'euros en 2021.
Il y a 2 ans et 304 jours

En Corrèze, Velux a testé le recyclage local

La marque a mis en place des partenariats locaux pour la revalorisation de 300 fenêtres de toit usagées, déposées par l'entreprise artisanale Bambou.
Il y a 2 ans et 304 jours

Delta Light agrandit sa collection avec 3 nouveaux luminaires associant illusion d'optique et design

L'expert en lumière complète la gamme Superloop avec l'élégant Superloop Oval Après les versions circulaire et carré, le nouveau Superloop Oval en forme d'ellipse participe également à cette recherche d'adéquation entre fonctionnalité et design. Malgré sa forme asymétrique, la lumière est diffusée de manière harmonieuse avec un subtil effet architectural. Le modèle Superloop Oval est disponible en formats Small (38,7 W – 4570 lm) et Medium (51,9 W – 6027 lm) ; et se décline en noir, blanc, flemish gold et flemish bronze. Le Superloop Slim : Un traitement révolutionnaire de la lumière En diffusant la lumière par l'intérieur, l'extérieur et la face inférieure du cercle, le Superloop Slim explore les limites de l'éclairage. Tel un halo céleste au calibre ultra discret, ce choix ingénieux propose trois manières de diffuser la lumière et de personnaliser l'atmosphère d'une pièce. La bande LED munie d'un diffuseur sablé permet au Superloop Slim de déployer uniformément la lumière. Tout comme les autres modèles de la gamme, le Superloop Slim est disponible en plusieurs diamètres : 700, 900, 1200 et 1700mm et se décline en noir, bronze flamand, or flamand, or et or blanc. Lass-Oh ! R : la parfaite imperfection De forme cyclindrique élancée et muni de grappes de LED parfaitement intégrées, Lass-Oh! R repousse les limites du luminaire standard et se positionne comme le roi du design imparfaitement parfait. La marque de fabrique de Lass-Oh! R, c'est la fracture du cercle. Bien qu'elle en donne l'illusion, la forme géométrique n'est plus complète. Tel un serpent se faufilant à travers la pièce, ce modèle est disponible en diamètre de 620mm ou 920mm, en couleur noire ou dorée. Entre design et fonctionnalité L'utilisation différentes des matériaux, en utilisant du plexi préformé plutôt qu'un plexi souple, ouvre la voie à un jeu de lumière débridé. Fluide et aérien, les modèles semblent planer dans la pièce, et donnent une dimension supplémentaire et sophistiquée aux familles Superloop et Lass-Oh !.En utilisant un seul luminaire ou en combinant différentes tailles, couleurs et design, il est possible de créer un ensemble stimulant, tendance et élégant tout en gardant un éclairage équilibré.
Il y a 2 ans et 305 jours

Dans les cendres de l'incendie du Caire, la difficile question des églises d'Egypte

Dimanche, quand un générateur en surchauffe a mis le feu à un climatiseur, 200 fidèles assistaient à la messe en l'église d'Abu Sifine, raconte à l'AFP le père Yohanna.En tout, 41 personnes sont mortes, asphyxiées par la fumée alors que les secours tardaient à venir.Le père Yohanna a perdu dans l'incendie six proches, dont des jumeaux de cinq ans et leur petit frère de quatre ans.Règles de sécurité, service d'urgences adéquats, locaux adaptés... Il reste beaucoup à faire, reconnaît le prêtre.Mais construire ou rénover une église est "devenu plus simple" grâce à une loi votée en 2016, assure-t-il.L'Etat affirme que ce texte a permis de "légaliser" 1.077 églises et se targue d'être un "modèle multiconfessionnel unique de coexistence et d'unité nationale".Un argument d'autorité qui permet de taxer les militants qui dénoncent des discriminations à l'encontre des coptes "de comportement anti-patriotique", accuse l'historienne Amy Fallas."Pas pratique", "inadéquat"L'Initiative égyptienne pour les droits personnels (EIPR), l'ONG des droits humains la plus en vue d'Egypte, accuse même cette nouvelle loi d'avoir creusé un peu plus le fossé.Selon elle, seules 40% des demandes de construction ou de rénovation d'église ont obtenu un accord préliminaire des autorités et 20% un accord définitif.L'église Abou Sifine incarne ces déboires: nichée dans un immeuble du dédale de ruelles du quartier d'Imbaba, à peine assez large pour laisser passer une voiture, elle n'avait qu'une entrée, rapidement barrée par les flammes, selon les témoins.Dans les étages, les escaliers étroits qui menaient aux salles pour l'enseignement et autres services proposés par l'église sont rapidement devenus des nasses forçant des fidèles à se "jeter par les fenêtres", a raconté un témoin à l'AFP.L'église ne faisait "que 120 mètres carrés", a rapporté le pape Tawadros II, chef de l'Eglise copte orthodoxe.Il faut "la relocaliser dans un espace plus grand", a-t-il plaidé, parce que nombre des 10 à 15 millions de Coptes d'Egypte vivent à Imbaba.Mais dans une mégalopole de plus de 20 millions d'habitants, la tentation est grande de construire là où il y a de la place: dans la grande banlieue."Ce n'est pas pratique", répond le père Yohanna. "Les lieux de culte doivent être proches des zones où habitent" les coptes, majoritairement installés dans les quartiers anciens du centre du Caire. Tawadros II lui-même --pourtant partisan déclaré du président Abdel Fattah al-Sissi-- l'a reconnu: les coptes doivent souvent faire avec "de petites églises dans des endroits inadéquats", souvent des maisons ou des immeubles des quartiers populaires sans détecteur de fumée ni issue de secours.Surtout les quartiers pauvresAprès Abou Sifine, deux autres églises ont été endommagées par des incendies nés de court-circuits."A chaque fois, c'est une question de vie ou de mort qui touche de façon disproportionnée des églises de quartiers pauvres", affirme Mme Fallas à l'AFP.Mais évoquer la discrimination des coptes, qui se plaignent régulièrement d'être tenus à l'écart en Egypte, n'est pas sans risque.En janvier, neuf coptes sont sortis de trois mois de prison pour avoir réclamé la reconstruction de la seule église de leur village, Ezbet Faragallah, au sud du Caire.En 2016, l'église Saint Joseph était partie en fumée dans un incendie --"volontaire" selon l'EIPR, alors que les coptes subissaient aussi des attaques d'islamistes radicaux notamment après le renversement par l'armée en 2013 du président islamiste Mohamed Morsi.Largement endommagée, Saint Joseph a été officiellement démolie en 2021 mais les autorités n'ont toujours pas délivré de permis de reconstruire alors qu'elles devaient répondre, selon la loi de 2016, sous quatre mois.L'église Abou Sifine d'Imbaba, elle, a obtenu un traitement différent. Avec tous les regards braqués sur les petits cercueils des victimes emportées dimanche par le feu, le génie militaire a annoncé qu'il la rénoverait --sur ordre de M. Sissi en personne.D'ici là, comme à Ezbet Faragallah, ses fidèles risquent de devoir se contenter d'une maison ou d'un appartement. Ces fameuses "petites églises dans des endroits inadéquats".
Il y a 2 ans et 305 jours

L'Ethiopie dit avoir terminé la 3e phase du remplissage de son mégabarrage sur le Nil

Ni Le Caire ni Khartoum n'ont réagi dans l'immédiat à cette annonce. "Ce que vous voyez derrière moi, c'est le 3e remplissage terminé", s'est réjoui le Premier ministre Abiy Ahmed dans un discours télévisé depuis le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne (Gerd), situé dans le nord-ouest du pays et présenté comme le plus grand d'Afrique. La hauteur de l'eau dans le réservoir atteint désormais 600 mètres, a-t-il précisé. Le réservoir contient désormais 22 milliards de m3 d'eau sur les 74 milliards de sa pleine capacité. "Le Nil est un cadeau que Dieu nous a offert pour que les Ethiopiens l'utilisent", et "ceux qui n'assument pas les responsabilités qui leur ont été confiées sont critiquables", a poursuivi M. Abiy, répondant implicitement aux critiques du Soudan et de l'Egypte. Il a toutefois promis que l'Ethiopie n'entendait pas s'accaparer les eaux du Nil et continuerait de veiller à ne pas nuire aux pays en aval. "Lois de la Nature" Soudan et Egypte ont plusieurs fois demandé à l'Ethiopie de cesser le remplissage du réservoir du Gerd, en attendant notamment que soit conclu un accord tripartite sur les modalités de fonctionnement du barrage. Tributaires du Nil, les deux pays affirment que ce mégabarrage, d'une puissance annoncée à terme de plus de 5.000 mégawatts (MW), va nuire à leur approvisionnement en eau. Fin juillet, l'Egypte avait protesté auprès du Conseil de sécurité de l'ONU contre l'intention annoncée de l'Ethiopie de poursuivre "unilatéralement" durant la saison des pluies en cours le remplissage du réservoir, entamé en juillet 2020, ce malgré l'absence d'accord entre les trois pays concernés sur le sujet. "Le Nil a été donné gratuitement à trois pays : l'Ethiopie, le Soudan et l'Egypte et ces trois pays ont bénéficié de l'opportunité d'utiliser gratuitement cette eau", a souligné M. Abiy, "si un quelconque pays pense qu'elle ne devrait pas être utilisée, il contrevient aux lois de la Nature". "Quand on a entrepris de construire un barrage sur le Nil, nous avons, dès le début, dit que nous ne voulions pas nous approprier le fleuve. Mais nous voulons jouir des bénéfices qui nous reviennent", a affirmé le Premier ministre éthiopien dans un tweet. "Nous espérons aussi que, tout comme l'Ethiopie, les autres bénéficiaires du Nil, le Soudan et l'Égypte, utiliseront le fleuve, chacun à leur manière (...) nous avons tenu notre parole que le projet ne causerait de tort à personne", a-t-il ajouté. "Menace existentielle" Lors d'une cérémonie jeudi, M. Abiy avait démarré la deuxième turbine (sur les 13 prévues) du barrage qui doit permettre, quand il fonctionnera à pleine capacité, de doubler la production électrique actuelle de l'Ethiopie. Pour l'heure, ces deux premières turbines ont une capacité de production totale de 750 MW. "Le projet dans son ensemble est désormais achevé à 83,3%", et ses travaux de génie civil "à 95%", a indiqué durant la cérémonie Kifle Horo, chef de projet du Gerd. L'objectif "des deux prochaines années et demie (...) est d'achever totalement le barrage, de procéder à chaque étape du remplissage et d'installer les turbines restantes" afin que le Gerd soit en mesure de produire à pleine capacité, a confirmé M. Kifle. Situé à une trentaine de kilomètres de la frontière soudanaise, sur le Nil-Bleu qui rejoint le Nil-Blanc à Khartoum pour former le Nil, le barrage est long de 1,8 kilomètre et haut de 145 mètres. Le coût du projet, lancé en 2011, est estimé à quatre milliards de dollars. En 2021, l'ONU a recommandé aux trois pays concernés de poursuivre leurs pourparlers entamés sous l'égide de l'Union africaine, et pour l'instant durablement dans l'impasse. L'Ethiopie estime que le barrage est essentiel à son développement, tandis que l'Egypte le considère comme une menace "existentielle" et que le Soudan a prévenu qu'il faisait peser de "grands risques" sur la vie de millions de personnes.
Il y a 2 ans et 305 jours

Repar'stores franchit une nouvelle étape en s'implantant en Allemagne

STRATÉGIE. Après le Luxembourg, le spécialiste de la réparation et la modernisation de stores et volets roulants, Repar'stores, annonce son installation en Allemagne. Une unité pilote vient d'être lancée dans la région de Stuttgart.
Il y a 2 ans et 305 jours

« Espace Océan », le cœur à l’ouvrage, pas les architectes

En août 2022, Ericka Bareigts, maire de Saint-Denis à La Réunion a fièrement annoncé le projet de parc lauréat qui doit voir le jour sur le site de l’ancien « Espace Océan », sonnant le glas d’une arlésienne dionysienne. A la manœuvre, les enfants de l’école primaire. Au jury, des passants. Même les baleines qui dansent au […] L’article « Espace Océan », le cœur à l’ouvrage, pas les architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 305 jours

"Nous risquons une pénurie de granulés bois d'ici à quelques semaines", E.Vial (Propellet)

CRISE. La demande en granulés de bois est supérieure à l'offre en France depuis quelques mois. De quoi entraîner une potentielle pénurie à l'automne 2022. Deux professionnels du secteur joints par Batiactu décryptent la situation actuelle.
Il y a 2 ans et 305 jours

Assurance chômage : prolongation des règles actuelles au conseil des ministres la semaine prochaine

Premier texte au menu du Parlement début octobre, ce projet de loi prévoit de prolonger jusque fin 2023 la convention actuelle d'assurance chômage, issue de la réforme de 2019 - appliquée du fait du Covid et des recours juridiques depuis l'automne 2021 - qui arrive à échéance le 1er novembre.Mais ce texte ouvre aussi la voie à la future réforme voulue par l'exécutif."Ce délai permettra d'engager les concertations nécessaires sur les règles d'indemnisation et sur la gouvernance, dont l'organisation actuelle ne correspond plus aux équilibres souhaités entre les partenaires sociaux, l'État, l'Unédic et Pôle Emploi", souligne le projet de loi, consulté par l'AFP."Le projet de loi sera présenté en Conseil des ministres" et "nous allons saisir les partenaires sociaux dès après", a déclaré Olivier Dussopt devant l'université d'été du Medef.Le gouvernement veut notamment moduler les règles d'indemnisation en fonction de la situation de l'emploi."Nous sommes convaincus que des règles incitatives doivent être mises en place, il est assez inacceptable et même insupportable d'être encore à un taux de chômage de 7,4% et d'avoir dans le même temps un retour unanime des chefs d'entreprises sur les difficultés de recrutement", a répété M. Dussopt.Selon lui, "la question du niveau de l'indemnité n'est pas forcément la bonne, c'est plutôt les critères d'accès à l'indemnisation à taux plein et la durée d'indemnisation à taux plein qui peuvent être des clés de discussion"."Cette question des critères, nous souhaitons que les partenaires sociaux s'en saisissent", a-t-il ajouté."Freins à l'embauche"S'ils sont tous opposés à cette modulation des règles, les syndicats sont cependant favorables à une négociation sociale si l'Etat leur laisse de réelles marges de manœuvre."Redonnez-nous la main le plus rapidement possible", a lancé le secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot, qui participait à la rencontre.Dans Le Monde, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, se dit hostile à un ajustement des "allocations aux demandeurs d'emploi en fonction du taux de chômage". "Ca n'a pas de sens, ça relève de la pure idéologie et c'est inefficace", attaque-t-il.M. Berger souhaite que "les organisations d'employeurs et de salariés puissent à nouveau définir les paramètres d'indemnisation, sans avoir à se conformer à un document d'orientation" produit par l'Etat.Il souhaite qu'ils puissent "discuter sur l'accompagnement et la formation des demandeurs d'emploi" et sur "les solutions à trouver pour lever les freins à l'embauche - liés au manque de logements, à l'absence de transports en commun ou à des problèmes de garde d'enfants".Reste à savoir si une négociation aura au final bien lieu car le Medef, favorable lui à une évolution des règles d'indemnisation en fonction de la conjoncture, s'est déjà dit convaincu de son échec."Ouvrir une négociation ne servira à rien vu qu'elle n'aboutira pas faute de diagnostic partagé avec les syndicats sur l'effet des règles d'indemnisation sur la reprise d'emploi. Il est légitime que l'Etat reprenne la main", a déclaré lundi son président, Geoffroy Roux de Bézieux.
Il y a 2 ans et 305 jours

La France ne manque pas d’eau, d’ailleurs surfacturée, elle manque d’idées !

La gestion de l’eau ne devrait être rien d’autre qu’un outil d’aménagement du territoire. Or la gestion très politique de l’eau du pays a des effets pervers contre-productifs et coûteux, voire de plus en plus ostensiblement dangereux. Par où commencer ? L’été que nous venons de passer, entre chaleur, feux et sécheresse, a mis en exergue […] L’article La France ne manque pas d’eau, d’ailleurs surfacturée, elle manque d’idées ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 305 jours

Résultats de la construction de logements et de locaux à fin juillet 2022

Le nombre de logements autorisés au cours des trois derniers mois reste cependant bien supérieur (+ 9,4%) à la moyenne des douze mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020). L'effet du nombre exceptionnel de demandes de permis déposées en décembre 2021 est dépassé depuis fin mars pour les logements individuels purs, s'estompe progressivement pour les logements individuels groupés mais reste très élevé pour les logements collectifs ou en résidence.Au cours des trois derniers mois, on estime que les logements commencés ont diminué (- 2,1%), de manière similaire aux trois mois précédents (- 1,9%), en données CVS-CJO. Au cours de ces trois mois, on estime que les mises en chantier de logements ont été inférieures (- 2,7%) à leur moyenne des douze mois précédant le premier confinement.D'août 2021 à juillet 2022, 507.000 logements ont été autorisés à la construction, soit 53.400 de plus qu’au cours des 12 mois précédents (+ 11,8%). Dans le même temps, on estime que 385 200 logements ont été mis en chantier, soit 1.400 de plus (+ 0,4%) que lors des 12 mois précédents (août 2020 à juillet 2021). Si on prend comme point de comparaison les 12 mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020), les nombres de logements autorisés et commencés au cours des 12 derniers mois sont supérieurs de respectivement 10,3% et 0,5%.Logements autorisésD'août 2021 à juillet 2022, 507.000 logements ont été autorisés à la construction, soit 53.400 de plus qu’au cours des 12 mois précédents (+ 11,8%).Les autorisations de logements individuels groupés (+ 22,1%) ont connu la plus forte progression, devant celles des logements collectifs ordinaires (+ 15,2%), des logements en résidence (+ 14,0%) et des logements individuels purs (+ 2,7%).Logements mis en chantierAu cours des douze derniers mois, on estime que 385.200 logements ont été mis en chantier, soit 1.400 de plus (+ 0,4%) que lors des 12 mois précédents (août 2020 à juillet 2021).Les logements individuels purs (+ 10,6%) auraient connu une forte progression. Les logements individuels groupés (+ 1,2%) auraient légèrement augmenté. En revanche, les logements collectifs ordinaires (- 4,5%) et les logements en résidence (- 8,3%) auraient diminué.
Il y a 2 ans et 305 jours

Retour à Al Ula, le calme du désert avant la cohue touristique

« J’ai découvert l’Arabie Saoudite il y a plus de trente ans. J’ai eu la chance de découvrir le site d’Al Ula en octobre 2021* et d’y retourner en juillet 2022. Seul sur tous les chantiers, en basse saison estivale à haute température, j’ai compris le potentiel touristique et symbolique de ce lieu merveilleux ». Carnet de […] L’article Retour à Al Ula, le calme du désert avant la cohue touristique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 305 jours

Suite à plusieurs acquisitions, Saint-Gobain emprunte 1,5 milliard d'euros

Le groupe français de matériaux de construction Saint-Gobain a annoncé début août l'émission d'un emprunt obligataire de 1,5 milliard d'euros, notamment dans le but d'allonger la maturité moyenne de sa dette.
Il y a 2 ans et 305 jours

Dans le Gard, le collège Voltaire fait la part belle aux biosourcés et aux savoirs locaux

EN IMAGES. Le projet répond à de nombreuses exigences environnementales, en utilisant des matériaux bruts et géosourcés et en apportant une vraie efficacité énergétique. Zoom sur cette conception exemplaire...
Il y a 2 ans et 305 jours

Kedry Prime de KE pour la terrasse du Club au Domaine des Ormes

Parmi les activités proposées figurent le mini-golf, le tir à l'arc, le ski nautique, un parcours aventure dans les arbres et des tyroliennes. (Travaux en cours : ouverture prévue en avril 2022)Vous pouvez également y aller le temps d’un repas pour faire une pause entre amis/famille dans une agréable atmosphère, grâce aux 3 bars et restaurants présents dont Le Club placé en face du parcours de golf.C’est pour développer la capacité d’accueil de ce restaurant chic & décontracté que KE est intervenu. En effet la terrasse extérieure était couverte par de simples tonnelles, qui ne permettaient pas l’exploitation de cette zone lors d’un temps moins favorable, fait d’averses ou de vent.Le besoin du propriétaire du domaine était donc de créer deux espaces distincts design et fonctionnels en toute saison.En remplacement de ces tonnelles, a été choisi d’installer 4 pergolas bioclimatiques Kedry Prime. Adossées au bâtiment et faisant une liaison parfaite entre intérieur et extérieur, les pergolas sont équipées d’éclairage LED dans les lames et les coulisses ainsi que de vitrage, pour offrir aux clients un confort parfait à tout moment tout en profitant de la vue sur le golf.Ainsi se sont créés deux espaces :Un premier, fait de 2 modules de pergolas, totalement fermé et protégé par un vitrage panoramique Line Glass pour un maximum de confort lors des repas.Un deuxième, plus ouvert, dans un esprit bar/café, fait de 3 modules et fermé par du vitrage uniquement sur le côté gauche.La couleur Corten (aspect rouille) a été choisie, se fondant le plus naturellement possible dans ce décor au charme ancien.Le choix s’est porté sur KE car le projet présenté était le seul à répondre à la complexité de la demande :Des structures robustes et designDes pergolas évolutives qui peuvent être complétées au fur et à mesureDes modules additionnables pour une couverture maximale avec un encombrement minimalUne installation qui garde une sensation d’être à l’extérieur tout en offrant le confort idéalUn projet avec une totale implication du propriétaire à dessiner le résultat finalLa possibilité de retravailler les structures pour un projet sur mesurePar la diversité de sa gamme et la modularité de ses produits, KE est le choix privilégié pour tous les établissements du monde des Cafés, Hotels et Restaurants.Les fiches techniques des produits installés sont disponibles sur demande.Localisation / client : Le Domaine des Ormes, 35120 Dol-de-BretagnePhotographe : Aphélie VangSuperficie couverte : 50m2 + 76m2Produits installés : 5 Kedry Prime couleur Corten avec fermeture latérale par vitrage panoramique coulissant Line Glass et installation d’une porte anti-panique.Kedry Prime Modules adossés sans limitation Rotation des lames jusqu'à 135° Résistance au vent et aux charges de neige avec des performances élevées Des capteurs et la domotique domestique peuvent être incorporés Possibilité de fermeture avec des stores techniques verticaux et des systèmes de baies vitrées coulissantesÉclairage avec bande led interne et externe.Détails
Il y a 2 ans et 305 jours

Les nombreux changements réglementaires de l'été synthétisés

À venir : un projet de décret à l’étude. Il prévoira une réhausse de l’objectif de la 5e période de plus de 25 %, correspondant à près d’1,5 milliard d’euros par an supplémentaires versés sous forme de primes aux travaux, réalisés principalement pour les ménages en situation de précarité*.Remplacement du Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires par le Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiairesUn arrêté, paru le 3 août 2022**, est venu remplacer le Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires par le Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et tertiaires. Ce nouvel arrêté transfère désormais le raccordement des bâtiments résidentiels collectifs aux réseaux de chaleur du Coup de pouce Chauffage vers le nouveau Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiaires. Le Coup de pouce Chauffage n’inclut maintenant plus que le raccordement des maisons individuelles aux réseaux de chaleur.Ces nouvelles dispositions entreront en vigueur pour toutes les opérations engagées, le 1er septembre 2022.Hellio est signataire de la charte d’engagement Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et collectifs tertiaires.Exemple : Dans le cadre du raccordement d’un bâtiment tertiaire à un réseau de chaleur, deux critères techniques sont à respecter :Le bâtiment n’a jamais été raccordé à un réseau de chaleur avant la réalisation de l’opération,Le réseau de chaleur est alimenté majoritairement par des énergies renouvelables ou de récupération.* Source** SourceDans ce cas, le montant de prime CEE pour un bâtiment de 100m2 s’élève à 49.500 €.De nouvelles modifications concernant l’arrêté contrôlesL’arrêté du 20 juillet 2022***, paru le 4 août dernier, vient modifier l’arrêté du 28 septembre 2021 relatif aux contrôles dans le cadre du dispositif des CEE****. Deux fiches d’opérations standardisées sont ainsi modifiées :La BAR-TH-104 - pompe à chaleur de type air/ eau ou eau/ eau : modification de la liste des points à contrôler en ce qui concerne le dimensionnement de la pompe à chaleur.La BAR-TH-159 - pompe à chaleur hybride individuelle : modification de la liste des points à contrôler en ce qui concerne le dimensionnement de la pompe à chaleur, le taux de couverture, par la pompe à chaleur hors dispositif d’appoint, des besoins de chaleur pour le chauffage du logement et la vérification du mode de régulation.Une autre modification est apportée à la BAR-TH-159 - pompe à chaleur hybride individuelle: le taux de couverture de la PAC pour couvrir les besoins de chauffage du logement (hors dispositif d’appoint) doit être d'au moins 70 %. Ce taux de couverture est calculé pour le mode de régulation choisi par le professionnel réalisant l’opération. La note de dimensionnement inclut le calcul de ce taux.Ces nouvelles modifications entreront en vigueur à compter du 1er novembre 2022 pour toutes les nouvelles opérations engagées.Création, abrogation et révision de certaines fiches d’opérations standardisées dans le cadre du 46e arrêtéDans le cadre du 46e arrêté, l’arrêté du 25 juillet 2022***** vient créer, abroger et réviser certaines fiches d’opérations standardisées.La BAR-TH-169 - pompe à chaleur collective de type air / eau ou eau / eau pour l’eau chaude sanitaire est créée et vient mettre en place un système centralisé constitué d’une ou plusieurs pompes à chaleur associées à un ou plusieurs ballons de stockage et de puissance thermique nominale inférieure ou égale à 400 kW pour la production d’eau chaude sanitaire collective. La date d’entrée en vigueur de cette nouvelle fiche est prévue pour le 5 août 2022.*** Source**** Source***** SourceLa BAR-TH-112 - appareil indépendant au bois et la BAT-TH-116 - système de gestion technique du bâtiment pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire font l’objet d’une révision :BAR-TH-112 - appareil indépendant au bois : modification de la date d’abrogation de la fiche (1er octobre 2027), modification des paragraphes concernant l’artisan RGE et modification des conditions de l’appareil à installer.BAT-TH-116 - système de gestion technique du bâtiment pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire : ajout des spécifications suivantes sur la partie “dénomination et modification dans les conditions de délivrances”.Ces révisions entreront en vigueur le 1er octobre 2022.À compter du 1er septembre 2022, trois fiches d’opérations standardisées sont abrogées :La BAR-EQ-102 - lave-linge ménager de classe A++ ou A+++La BAR-EQ-103 - appareil de réfrigération ménager de classe A++ ou A+++La IND-UT-123 - moteur prémium de classe IE3
Il y a 2 ans et 305 jours

Une passerelle pour relier la piscine olympique des JO-2024 au Stade de France

"Symbole des Jeux olympiques", une passerelle piétonne reliant le futur centre aquatique olympique (CAO) des JO-2024 au Stade de France a été installée le 9 août à Saint-Denis.
Il y a 2 ans et 305 jours

Clim' et portes ouvertes : le Groupement Actibaie appelle le gouvernement à agir en faveur de la transition énergétique

Si le décret se fait attendre, le Groupement Actibaie, syndicat professionnel affilié à la FFB (Fédération Française du Bâtiment) avance que l’automatisation des portes permettrait de remplir les exigences des arrêtés préfectoraux, mais également de réaliser des économies d’énergie en période de chauffage ou de climatisation.Des villes comme Bourg-en-Bresse, puis Lyon, Besançon, Paris ou Nantes ont pris des arrêtés municipaux depuis mi-juillet, alors que la France a connu une canicule exceptionnelle, pour que les magasins climatisés ferment leurs portes, sous peine d'amende.Pour Vladimir Luzbhin-Asseev, Responsable Technique du Groupement Actibaie : « En effet, les portes ouvertes provoquent des déperditions thermiques et augmentent la consommation énergétique des locaux d’environ 20%. Or une solution peu coûteuse et accessible existe sur le marché : les portes automatiques piétonnes. Toute porte battante peut être automatisée ou à défaut remplacée par une porte coulissante ce qui permettrait aux commerces de remplir leurs obligations réglementaires, mais également de réaliser des économies d’énergie importantes, alors même que le gouvernement annonce un plan national de sobriété énergétique. »Un projet de décret* passé en consultation publique en janvier 2021 avait déjà proposé l’obligation de fermeture des portes dans des bâtiments tertiaires chauffés ou refroidis, mais a été rejeté par le CSCEE.Pour Vladimir Luzbhin-Asseev : « La raison donnée était qu’il serait difficile de contrôler l’application d’une telle mesure. Les arrêtés préfectoraux et les amendes infligées aux magasins qui ne les respectaient pas montrent qu’une obligation de fermeture des portes est tout à fait applicable et contrôlable. Il est donc temps que le décret soit remis à l’ordre du jour des législateurs. »Accompagner les commerçants dans la transition énergétiqueSi les solutions existent, elles ont néanmoins un coût. En effet, pour l’automatisation d’une porte existante il faut compter environ 2.000 euros et 4.000 euros pour un nouveau système (travaux inclus). Une dépense conséquente pour certains commerçants.Pour Vladimir Luzbhin-Asseev : « Malheureusement, les différentes aides** allouées aux TPE et PME pour le financement de leurs travaux de rénovation énergétique concernent les gestes réalisés avant décembre 2021. Au vu des dernières dispositions prises par le gouvernement, il serait judicieux de remettre en place ces aides, devenues plus que nécessaires aux commerçants. »* Projet de décret relatif à l’obligation de fermeture des ouvrants des bâtiments ou partie de bâtiments tertiaires, chauffés ou refroidis, 4 janvier 2021.* Aides aux entreprises pour favoriser leur transition écologique, 9 décembre 2021
Il y a 2 ans et 305 jours

La famille Bouygues dépasse le seuil des 25% du capital de Bouygues

Martin Bouygues, président du conseil d'administration du groupe, son frère Olivier et leurs familles détiennent désormais "25,02% du capital et 29,37% des droits de vote" du groupe, indique l'Autorité des marchés financiers (AMF)."Ce franchissement de seuil résulte d'une acquisition d'actions Bouygues sur le marché", précise l'AMF.Ces parts dans le groupe sont détenus par les deux frères et leurs familles en quasi totalité via leur société commune SCDM, qui a réalisé cette acquisition "en utilisant ses ressources financières disponibles".Selon la déclaration à l'AMF, les familles Bouygues "agissent de concert entre elles et n'ont pas conclu d'accord de concert avec un tiers". Elles indiquent aussi envisager "d'accroître leur participation dans la société Bouygues en fonction des conditions et des opportunités de marché, sans que cela ne leur fasse franchir 30% du capital ou des droits de vote".La réglementation boursière oblige un actionnaire qui dépasse le seuil de 30% d'une entreprise à lancer une OPA (offre publique d'achat).Les familles Bouygues "n'envisagent pas de prendre le contrôle de la société Bouygues", "n'envisagent pas de solliciter de sièges supplémentaires au conseil d'administration" et affirment qu'elles "soutiennent la stratégie actuelle mise en oeuvre par la direction générale de Bouygues".Celle-ci a été confiée en février 2021, à Olivier Roussat, lorsque Martin Bouygues a commencé à passer la main à la tête en dissociant ses fonctions de président et de directeur général.Le groupe français est actuellement engagé dans deux grandes et couteuses opérations de fusion-acquisition.Bouygues tente d'acquérir Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et de mener à bien le rapprochement entre sa chaîne TF1 et M6.Le bouclage du rachat d'Equans, qui regroupe des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la climatisation ou le numérique, est toutefois contestée par l'autorité de la concurrence britannique CMA.Bouygues, qui a conclu la séance de mercredi à la Bourse de Paris en baisse de 1,23%, est valorisé à 11,6 milliards d'euros sur la place parisienne.
Il y a 2 ans et 305 jours

Var : la nouvelle apparence de la corniche de Tamaris vient d’être présentée au public

À La Seyne-sur-Mer (Var), les travaux de la future corniche de Tamaris commenceront d’ici à fin 2023 pour se terminer en 2027.