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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

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Il y a 2 ans et 305 jours

Béton cellulaire Ytong

Avec l'entrée en vigueur de la RE2020, les pénuries rencontrées par certains fabricants, la hausse des prix des matériaux de construction et des coûts énergétiques, de nombreux acteurs de la construction cherchent des solutions qui permettent de livrer leurs chantiers dans les délais et de maîtriser leurs dépenses, tout en répondant aux exigences de la réglementation actuelle. Dans ce contexte, le béton cellulaire Ytong se révèle comme une véritable alternative aux maçonneries traditionnelles tant en termes de performances thermiques, d'efficacité énergétique, d'empreinte carbone, que de disponibilité et de prix !
Il y a 2 ans et 306 jours

Deux tours jumelles détruites par implosion en banlieue de Delhi en Inde

Une implosion contrôlée, au moyen de quelque 3.500 kg d'explosifs, a détruit, en quelques secondes, les "tours jumelles" hautes de 100 mètres, à Noida, dans le sud-est de New Delhi.Des milliers de riverains, ainsi que des dizaines de chiens errants, ont été évacués par simple précaution, l'équipe chargée de la démolition assurant que toutes les mesures de sécurité ont été prises."Il s'agit d'une belle prouesse d'ingénierie", s'est félicité le chef de l'équipe de démolition, Joe Brinkmann, cité par le quotidien Times of India.La Cour suprême avait conclu l'an dernier que les structures avaient été construites illégalement en collusion avec les autorités locales.Elle avait également ordonné au géant du secteur de la construction Supertech, de rembourser tous les acquéreurs d'appartements. Aucun d'entre eux n'avait encore e'mménagé dans les tours.Cette démolition est un rare exemple de fermeté des autorités à l'égard de promoteurs véreux.Alliance sacrilègeUday Bhan Singh Teotia est l'un des riverains dont les plaintes contre Supertech ont conduit à l'ordre de démolition."Le plan initial prévoyait 650 appartements, mais le constructeur a ajouté 1.000 appartements supplémentaires de manière frauduleuse", a déclaré à l'AFP M. Teotia."Les deux nouvelles tours qu'ils ont construites nous privaient de tout, de notre air et de la lumière du soleil. Il ne restait plus aucun espace vert", a-t-il poursuivi."L'ordonnance du tribunal expose l'alliance sacrilège entre les constructeurs et les autorités corrompues", a-t-il ajouté.Aucun des responsables de Supertech n'a répondu aux appels de l'AFP.L'avocat Jayant Bhushan, qui représentait les plaignants dans cette affaire, estime que les constructeurs doivent faire le ménage dans leurs affaires afin de regagner la confiance des potentiels acquéreurs."Quand les constructeurs ne suivent pas les règles, ce sont encore et toujours des acquéreurs malchanceux qui finissent par en payer le prix", à l'AFP.Les classes moyennes tombent dans le panneau, pressées d'acquérir le logement de leurs rêves, investissant toutes leurs économies dans des projets qui, souvent, ne voient jamais le jour. Elles se retrouvent entraînées dans de longues batailles juridiques contre de puissants promoteurs.Cités fantômesL'Inde, troisième plus grande économie d'Asie, à la croissance la plus rapide du monde, a connu un boom de la construction ces dernières années.Des promoteurs immobiliers peu scrupuleux, en quête de gros profits, rognent souvent sur les coûts de construction, en toute impunité, et capitalisant sur la faiblesse de la réglementation.Les entreprises construisent souvent des étages ou des tours supplémentaires et utilisent des matériaux de qualité inférieure, tandis que les fonctionnaires sont soudoyés pour fermer les yeux.Quand ils ne respectent pas la loi, les constructeurs s'en tirent souvent avec des pénalités et abandonnent tout simplement les chantiers inachevés.Dans les banlieues de Delhi, à Noida et Greater Noida, on estime que plus de 100 tours résidentielles ont été ainsi abandonnées, donnant à ces zones l'allure d'affreuses cités fantômes, défigurant le paysage.En 2020, quatre tours de luxe dans l'État méridional du Kerala avaient été abattues, pour infraction à des règles environnementales.Cependant les démolitions sont rares en Inde.
Il y a 2 ans et 306 jours

Assurance chômage : l'entrée en vigueur du "bonus-malus" pénalise 6.500 entreprises

Promesse de campagne d'Emmanuel Macron en 2017, le bonus-malus consiste à moduler la contribution d'assurance chômage - 4,05% de la masse salariale – à la hausse (malus) jusqu'à un plafond de 5,05% ou à la baisse (bonus) jusqu'à un plancher de 3%, en fonction "du taux de séparation" des entreprises.Ce taux de séparation correspond au nombre de fins de contrats – hors démissions - ou de missions d'intérim assorties d'une inscription à Pôle emploi, rapporté à l'effectif de l'entreprise. Un taux de 180% dans une entreprise de 100 salariés signifie qu'il y a eu 180 fins de contrat de travail sur un an.Présentée par l'ex-ministre du Travail Muriel Pénicaud comme la contrepartie des règles durcissant l'indemnisation des chômeurs, cette mesure, vivement combattue par le patronat, vise à inciter les entreprises à allonger la durée des contrats de travail proposés.Le montant du bonus ou du malus a été calculé en comparant le taux de séparation des entreprises - entre le 1er juillet 2021 et le 30 juin 2022 – et le taux médian dans leur secteur d'activité.Mais son champ d'application est limité. Il ne vise que les entreprises de plus de 11 salariés de sept grands secteurs très consommateurs de contrats courts ("hébergement et restauration", "fabrication de denrées alimentaires", "transports et entreposage", "autres activités spécialisées, scientifiques et techniques" comme la publicité ou les sondages, "travail du bois, industrie papier", "fabrication de produits en caoutchouc et en plastique", "assainissement, gestion de déchets").Ces sept secteurs ont été retenus car ils avaient un taux de séparation moyen sur 2017-2019 supérieur à 150%, soit plus de trois contrats courts pour deux CDI, selon le ministère du Travail.Cependant, pour la première année d'application, les entreprises les plus touchées par la crise sanitaire (notamment dans l'hôtellerie-restauration et le transport) ont été exemptées du bonus-malus.Au final, selon le ministère du Travail, confirmant à l'AFP des chiffres dévoilés vendredi par les Echos, environ 18.000 entreprises employant 1,3 million de salariés verront leur cotisation modifiée en septembre. Environ 63% sont gagnantes et 37% perdantes. L'agroalimentaire est le meilleur élève (74% de bonus) mais il est trop tôt pour savoir si c'est une conséquence de la mesure ou si ce sont des difficultés de recrutement qui poussent les entreprises à proposer des contrats plus longs.
Il y a 2 ans et 306 jours

La crise énergétique entraine une ruée sur les granulés de bois de chauffage en France

"Alors que les installations de poêles ou de chaudières fonctionnant aux granulés de bois se poursuivent à un rythme soutenu, la demande actuelle en granulés de bois est anormalement élevée", s'alarme dans un communiqué la FF3C qui compte 300 distributeurs de granulés sur la France métropolitaine.Si cette tendance se poursuit, la FF3C n'exclut pas d'arriver à "un déficit d'offre de 5% à 15%", selon la rigueur de l'hiver."Les craintes de pénurie énergétique inquiètent les consommateurs qui font des réserves et se ruent sur les granulés de bois avant l'hiver", a expliqué un porte-parole à l'AFP.Dans ce contexte de tensions sur les approvisionnements, qui font grimper les prix, "la distribution pourrait être priorisée pour assurer les livraisons aux clients habituels, particulièrement ceux dont le granulé de bois est l'unique source de chauffage", poursuit la fédération.La profession recommande par ailleurs aux consommateurs "de différer les projets d'installation neuve qui n'ont pas encore été concrétisés" et "de n'effectuer aucun règlement de commande en ligne avant livraison s'ils ne connaissent pas leur fournisseur".Le marché en volume des granulés de bois, qui était de 1,8 million de tonnes à l'hiver 2020/21 et de 2 millions de tonnes à l'hiver dernier, est estimé à 2,4 millions de tonnes pour l'hiver prochain, selon des chiffres communiqués par la FF3C.
Il y a 2 ans et 306 jours

Climat, énergie : après le sombre tableau, l'exécutif veut rassurer avec de premières mesures

L'exécutif marche sur des œufs après un été tourmenté par les canicules et la flambée des prix générée par la guerre en Ukraine qui se prolonge.Lors du Conseil des ministres de rentrée, mercredi, le chef de l'Etat a planté le décor en adoptant un ton sombre qui tranchait avec l'optimisme cultivé depuis son arrivée à l'Elysée en 2017.Face à la "série de crises graves" - du conflit en Ukraine au dérèglement climatique -, il a évoqué "la fin de l'abondance" et "la fin de l'insouciance", qui vont rendre nécessaires "des efforts", voire "des sacrifices"."Il ne s'agit pas de promettre du sang et des larmes, mais c'est important que chacun soit conscient de la gravité du moment", a abondé Elisabeth Borne, samedi, dans Le Parisien."Mobilisation générale"Soucieuse d'afficher un exécutif à la manœuvre, la Première ministre a présenté de premières mesures samedi, dont le déblocage d'un "fonds vert" doté d'1,5 milliard d'euros et destiné aux collectivités locales pour "les aider dans l'accélération de leur transition écologique".La cheffe du gouvernement a également promis que l'exécutif allait amortir "les hausses" des prix de l'énergie après la fin du bouclier tarifaire en décembre, grâce à des "dispositions spécifiques" pour les "plus fragiles"."Ce qui se passera en France n'est pas ce qui se passe en Angleterre où le prix de l'énergie augmente d'un seul coup de 80%", a insisté dimanche le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran.Lundi, devant le Medef, Mme Borne doit également appeler les entreprises et les particuliers à la "mobilisation générale" en matière de sobriété énergétique, afin que leur consommation baisse de 10%, avant d'en faire le bilan fin septembre-début octobre."Sobriété choisie plutôt que rationnement subi", résume Matignon. Si Elisabeth Borne ne reviendra pas devant les patrons sur la taxation des "super profits", à laquelle elle ne ferme pas la porte, elle incitera à nouveau les entrepreneurs à baisser les prix ou à donner du pouvoir d'achat à leurs salariés en utilisant à plein les dispositifs existants. Elle doit également évoquer les réformes envisagées autour de l'assurance chômage.Le message "est de dire aux entreprises: si vous ne tenez pas votre rôle au service du pouvoir d'achat des Français et des salariés, l'État prendra ses responsabilités" sur les super profits, a fait valoir dimanche M. Véran.Poussée par la gauche, qui envisage d'organiser un référendum d'initiative partagée sur la question, la taxation des "super profits" fait débat au sein de la majorité.Samedi, Mme Borne a aussi jugé "indispensable" que les "plus favorisés" donnent l'exemple, tels que les propriétaires de jets privés."Peur"Ces dossiers seront également au menu du séminaire de rentrée qui rassemblera mercredi l'ensemble des ministres à l'Elysée.Sur ce sujet comme sur d'autres, alors qu'il ne dispose pas de majorité absolue à l'Assemblée, Emmanuel Macron espère bâtir un consensus en lançant le 8 septembre le Conseil national de la refondation, une instance déjà controversée qui doit réunir élus, acteurs de terrain et société civile.Mais les oppositions, qui ont fait leur rentrée ce week-end, doutent de sa capacité à relever ces défis alors que son bilan environnemental est jugé très insuffisant."Tout ce qu'il propose est trop timide", dénonce l'écologiste Julien Bayou.Depuis la Drôme, dimanche, le leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon a fustigé le pessimisme de M. Macron: "Nous ne partageons pas cette méthode lamentable qui consiste à jouer sur la peur, car la peur tétanise".De son côté, la droite s'alarme de l'aggravation de l'état des finances publiques tandis que le Rassemblement national donne la priorité à la défense du pouvoir d'achat.Dans ce contexte, Élisabeth Borne n'a pas exclu de faire adopter le budget en recourant cet automne à l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote mais engage la responsabilité du gouvernement. Car "les Français ne nous ont pas demandé l'immobilisme", a-t-elle fait valoir.
Il y a 2 ans et 306 jours

La production électrique française frappée à tous les niveaux par la crise

Une capacité dépendante du nucléaireAu 1er juin 2022, le parc électrique français installé avait une capacité de production totale de 139,279 gigawatts (GW), dont 44% grâce au nucléaire, selon le gestionnaire du Réseau de transport d'électricité (RTE).Il faut distinguer la puissance électrique d'une installation, ou sa capacité de production, exprimée en watts, de la production réelle en watts-heure qui correspond à l'énergie délivrée ou consommée.En 2021, le nucléaire a permis de produire 360,7 térawatts-heure (Twh), soit 69% de la production totale.Mais en raison de problèmes de corrosion affectant des réacteurs et du calendrier de maintenance du parc, retardé par le Covid, EDF a revu à la baisse ses prévisions pour 2022.L'entreprise prévoit de produire entre 280 et 300 térawattheure (Twh), "probablement" dans le bas de cette fourchette. En fin de semaine, 32 réacteurs nucléaires sur 56 étaient à l'arrêt et le nucléaire ne représentait qu'un peu plus de la moitié de la production.La chaleur peut aussi affecter dans certains cas la production nucléaire, même si ce phénomène reste limité.La faible production nucléaire d'EDF a contribué à une hausse sans précédent des prix de gros de l'électricité, qui ont atteint plus de 1.100 euros le megawattheure vendredi en France.Les renouvelables accélèrent mais la météo se dégradeEn 2021, l'éolien, le solaire, l'hydraulique et les bioénergies représentaient 44% des capacités françaises, contre 12% pour le gaz, le fioul et le charbon, selon RTE. Mais les renouvelables ne représentaient que 24% de la production, contre 7% pour les combustibles fossiles.Si l'éolien a accéléré son développement, dépassant récemment 20 gigawatts de puissance, il reste loin de l'objectif à horizon 2023 (24,1 GW). Les conditions météorologiques "défavorables" ont par ailleurs fait baisser la production au deuxième trimestre.La production d'électricité solaire photovoltaïque a quant à elle augmenté de 32% par rapport au premier semestre 2021. Côté capacités, la puissance installée (15,2 GW) reste loin de l'objectif 2023 (20,1 GW).L'hydraulique, qui représente 18% des capacités de production, est aussi affaibli par les fortes chaleurs, la sécheresse et les faibles précipitations. A fin juin, la production était en baisse de 5,7 TWh, à 18,9 TWh, selon EDF.Côté énergies fossiles, la centrale à charbon de Saint-Avold (Moselle) devrait redémarrer l'hiver prochain face à la crise énergétique liée aux conséquences de la guerre en Ukraine et notamment à la décision de la Russie de fermer progressivement le robinet de gaz vers l'Europe. Une seule autre centrale au charbon est encore ouverte dans l'Hexagone, en Loire-Atlantique.Les stocks de gaz sont eux remplis à plus de 90% mais la France en est beaucoup moins dépendante que ses voisins pour l'électricité.La France contrainte d'importerLa consommation d'électricité en France en 2021 était de 468 TWh, une petite remontée après les creux observés pendant la pandémie. A fin juin, la consommation avait déjà atteint 242,3 TWh, avec un mois de janvier particulièrement froid.Avec les vagues de chaleur, des pics de consommation ont été observés cet été.Conséquence de tous les problèmes observés sur le parc français et de la guerre en Ukraine, le pays a dû importer de l'électricité tous les mois entre novembre 2021 et juin 2022, sauf en février et mai.En 2021, la France était largement exportatrice (87 TWh exportés contre 44 importés), avec la Suisse, le Royaume-Uni et l'Italie sur le podium des plus gros importateurs.
Il y a 2 ans et 306 jours

La production électrique à partir de biogaz a reculé à l'été, sauf pour le biométhane

ANALYSE. Si le nombre d'installations produisant de l'électricité à partir de gaz renouvelables a légèrement augmenté sur les six premiers mois de 2022, leur puissance développée a chuté. Le biométhane est par contre beaucoup mieux loti, avec des unités de production et une puissance en progression. Mais l'avenir reste incertain.
Il y a 2 ans et 306 jours

Nouveaux lasers multi-lignes Lax 600 et Lax 600 G de Stabila

Les nouveaux lasers Lax 600 et Lax 600 G de Stabila sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. [©Stabila] Les nouveaux lasers multi-lignes Lax 600 et Lax 600 G de Stabila, alimentés par batterie, sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. Trois lignes à 360° permettent une mise à niveau en position horizontale et verticale en même temps. Et deux lignes verticales perpendiculaires permettent de diviser l’espace en quatre fois 90°. Ces caractéristiques sont complétées par un aplomb vers le haut et le bas, généré par l’intersection des lignes verticales. Ainsi que par une ligne horizontale pour des reports de hauteur exacts et des travaux d’implantation précis. Une sécurité maximale pour un nivellement efficace Les nouveaux lasers Lax 600 et Lax 600 G sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. Les deux modèles se distinguent surtout par la couleur des lignes laser. Sur le modèle Lax 600, elles sont rouges avec une portée allant jusqu’à 30 mm. Tandis que sur le Lax 600 G, elles sont vertes et donc encore plus visibles avec une portée allant jusqu’à 40 m. Ils permettent de travailler directement sur les lignes laser fines, des diodes haute puissance garantissant à chaque fois une visibilité maximale. En termes de maniabilité, les deux lasers sont identiques et très simples, chaque touche n’ayant qu’une seule fonction. Après un auto-nivellement rapide à l’aide de la technologie à pendule adaptée aux chantiers, le laser est immédiatement prêt à l’emploi. Ce dernier est aussi protégé de manière optimale contre l’infiltration d’eau et de poussière selon l’indice de protection IP 65. Grande autonomie grâce à la batterie Cas Pour la première fois, les lasers de Stabila sont équipés d’une batterie Cas Li-Power 12 V (2 Ah). Ils peuvent donc être combinés avec tous les blocs batteries 12 V des marques Cas 12 V et les chargeurs de toutes les marques Cas. Selon le modèle, la batterie offre des durées d’utilisation différentes : jusqu’à 28 h pour le Lax 600 et jusqu’à 15 h pour le Lax 600 G. L’affichage de la capacité permet de vérifier en permanence le niveau de charge. Pour prolonger les autonomies, les lignes peuvent être activées ou désactivées individuellement en fonction de l’application. Avec le chargeur rapide SC 30, la batterie est entièrement rechargée en 45 mn maximum. Les nouveaux lasers multi-lignes sont livrés avec cible avec support magnétique et réticule pour l’alignement du laser sur une cible. Mais aussi avec support universel à positionnement flexible SUB 10 et support mural montable SWB 10. Et enfin, coffret de transport pour un transport aisé et un rangement sûr.
Il y a 2 ans et 306 jours

Ouverture partielle à la Réunion de la nouvelle route du littoral construite sur la mer

Construit sur la mer en plein océan Indien à l'issue d'un chantier titanesque commencé en 2015, cet axe de circulation qui fera 10,5 kilomètres de long une fois achevé en 2028, a déjà coûté plus de deux milliards d'euros, alors qu'il devait être livré en 2020-2021 et que le montant des travaux initialement prévu était de 1,6 milliard.L'actuelle route du littoral est connue pour ses nombreuses fermetures en raison des conditions climatiques et des risques d'éboulements de la falaise qui la surplombe, alors que 60.000 véhicules l'empruntent chaque jour.La nouvelle route, qui relie le chef-lieu Saint-Denis au site de la Grande Chaloupe, n'ouvrira dans un premier temps que dans le sens nord-ouest sur une portion de 8 kilomètres, et dans les deux sens avant fin 2022. Un premier pas avant l'ouverture totale du tronçon d'ici 2023."L'urgence était d'ouvrir le premier tronçon de la route et le viaduc (...) C'est un évènement attendu par les Réunionnais. On leur a tant promis", a déclaré Huguette Bello dans une conférence de presse.Mais l'ouverture totale de ce tronçon ne représentera qu'une première étape pour ce chantier hors normes.La Région Réunion devra ensuite entamer la seconde partie des travaux: un nouveau viaduc financé en partie par l'Etat, à hauteur de 420 millions d'euros, pour un coût total de 840 millions d'euros.Un nouveau marché a été lancé par la Région pour la fabrication de cet ouvrage qui reliera la Grande Chaloupe à la commune de La Possession, et permettra de fermer totalement l'ancienne route du littoral.Ce second viaduc devait initialement être une digue. Un projet contesté devant les tribunaux par des militants écologistes, en raison de l'énorme quantité de roches nécessaire à sa réalisation, supposant l'ouverture de nouvelles carrières dans l'île pour mener à bien ces travaux.Le tribunal s'est finalement opposé à l'ouverture de ces carrières.C'est dans ce contexte qu'il a été décidé d'ouvrir le premier tronçon du viaduc, menant à la construction d'un raccordement entre l'ouvrage et la Grande Chaloupe.
Il y a 2 ans et 306 jours

Geplast présente IrYs, le nouveau coffre demi-linteau fabriqué avec 98% de matière recyclée

Fabriqué en France et avec 98% de matière recyclée, il répond aux enjeux majeurs de la RE2020 (construction bas carbone) tout en proposant de véritables performances d’isolation thermique, acoustique et d’étanchéité à l’air pour l’utilisateur final.Breveté et sous avis technique, IrYs s’adapte particulièrement à deux types de poses : l’ossature bois et la maçonnerie traditionnelle.L’éco-conception au cœur du projet IrYs pour répondre à la RE2020 entrée en vigueur au 1er janvier 2022.L’ensemble des profils PVC et pièces injectées, les embouts en ABS et les tiroirs en polyamide sont réalisés uniquement avec de la matière recyclée.Le coffre IrYs fait l’objet d’une Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES individuelle) présentant le résultat d’une analyse depuis l’extraction des matières premières jusqu’à leur fin de vie. Celle-ci est enregistrée sur la base INIES, répertoriant les différentes FDES des produits du bâtiment.Pour préparer cette FDES, Geplast a réalisé un Inventaire du Cycle de Vie (ICV) de tous les composants du coffre IrYs. Grâce à l’utilisation de matières recyclées pour les profils PVC ainsi que pour les accessoires, le coffre IrYs permet de réduire l’impact carbone des constructions intégrant ce système.Selon notre Module d’Information Environnementale (MIE), le coût carbone pour 1m2 de fermeture est de 4,37 Kg CO2 eq. En comparaison des données du ministère de l’Environnement, un volet roulant en aluminium est de 251 Kg CO2 eq.En utilisant 420 T de recyclée par an pour la fabrication du coffre, Geplast économise ainsi ce même tonnage de matière vierge. L’éco-conception est donc le cœur du projet IrYs.IrYs est idéal pour les baies XXL. Il est le 1er coffre sous avis technique jusqu’à 3,50 m.Avec un enroulement maximisé de ø200 mm, il est compatible avec tous les types de protections solaires du marché : lames bioclimatiques et lames grandes portées, lames standards, B.S.O et moustiquaires.Son utilisation permet donc une meilleure gestion des apports solaires, évite la surchauffe dans les bâtiments l’été et réduit considérablement l’utilisation de climatisation.Le montage de ce coffre est rapide et intuitif.La réduction et/ou la combinaison de certaines pièces du coffre (tulipes et éclisses intégrées dans l’embout, consoles) permettent de limiter le nombre d’outillage et donc de réduire le coût carbone du produit fini. Les assemblages se réalisent principalement par clippages limitant ainsi l’utilisation d’outils motorisés de type perceuse, visseuse (concept breveté)...Le système de pattes de reprise de charge est facile à poser car il n’y a pas besoin de renfort acier et le service après-vente est facilité grâce aux tiroirs amovibles. Enfin, tous ces éléments permettent un démantèlement facilité (aucun renfort acier vissé, toutes les pièces se déclipsent et peuvent se recycler).Des performances certifiéesTHERMIQUE : Up = 0,64 W/m2.K en doublage 120 mmACOUSTIQUE : Essais en coursAÉRAULIQUE : Étanchéité à l’air : C*4 avec treuil et moteur (PV CSTB)Résistance au vent : V*4 en largeur 3,50 ml avec pattes de reprise RF038 (PV CSTB)
Il y a 2 ans et 306 jours

La France accélère l'éolien mais sans rattraper son retard dans les énergies renouvelables

Près de la moitié de cette augmentation de capacités provient de la mise en service au printemps 2022 du premier parc d'éoliennes en mer en France, au large de Saint-Nazaire, selon les statistiques du ministère de la Transition énergétique, publiées vendredi sur son site.Au 30 juin 2022, le parc éolien français atteint ainsi une puissance de 20,0 gigawatts (GW), loin derrière l'objectif du pays de produire 24,1 GW d'électricité éolienne d'ici fin 2023.Le secteur de l'éolien, qui déplore notamment la lenteur de délivrance des autorisations, n'avait gagné qu'un GW sur toute l'année 2021.Par ailleurs, la production d'électricité éolienne, qui représente 7,8% de la consommation électrique française, a fortement chuté par rapport au deuxième trimestre 2021 (- 11 %), "du fait de conditions de vent plus défavorables", d'après le service des données et études statistiques du ministère.Du côté du parc solaire photovoltaïque, seulement 1,098 GW d'électricité a été raccordée au cours des six premiers mois de 2022, contre 1,534 GW au cours de la même période en 2021."Ce ralentissement de la puissance nouvellement raccordée s'explique par une proportion plus élevée de raccordements de centrales de faibles puissances ce semestre", explique le service.Au total, la puissance du parc solaire photovoltaïque atteint 15,2 GW, contre un objectif inscrit dans la loi de 20,1 GW fin 2023.La production d'électricité solaire photovoltaïque a quant à elle augmenté de 32% par rapport au premier semestre 2021, représentant sur la période 3,8% de la consommation électrique française.
Il y a 2 ans et 306 jours

En Anjou, le briquetier Rairies Montrieux porte la tradition familiale et patrimoniale

REPORTAGE. Le fabricant de solutions en terre cuite pour la maison et la façade des bâtiments pour professionnels et particuliers investit massivement dans son usine. Depuis une centaine d'années, la famille Montrieux promulgue le savoir-faire traditionnel et local, en développant toutefois une logique d'internationalisation.
Il y a 2 ans et 306 jours

Des vélos indestructibles, en béton armé

La station vélo de Léopold Kessler prend place à côté du Musée d’art contemporain de Cracovie, en Pologne. [©ACPresse] Inutile de tenter de garer son Vélib’ au niveau de la Surrogate Citybike, à Cracovie, en Pologne. Malgré son apparence classique, avec borne de retrait et bicyclettes stationnées, nous ne sommes pas en présence d’une station urbaine pour vélos. Mais d’une œuvre signée de l’artiste contemporain Léopold Kessler. Né à Munich, en 1976, il aime à explorer la limite entre l’espace public et la sphère privée. Léopold Kessler réalise de petites interventions dans l’environnement urbain qui l’entoure. Ces travaux reposent sur des observations malicieuses et humoristiques de la vie urbaine. Et montrent une conscience aiguë des systèmes qui font fonctionner la société d’aujourd’hui. Ces œuvres sont parfois difficiles à remarquer, mais restent toujours très précises et spécifiques à chaque site. Léopold Kessler vit et travaille à Vienne, en Autriche. Ville où il a étudié la sculpture et obtenu son diplôme en 2004. A côté de l’usine d’Oskar Schindler La Surrogate Citybike (station vélo de substitution) s’inscrit tout à fait dans cette démarche artistique. De prime abord, on ne la remarque pas. C’est une station vélo comme une autre, installée sur le côté d’un bâtiment public. En l’occurrence, le Musée d’art contemporain de Cracovie, qui occupe une partie de l’ancienne usine de production de biens d’équipements en acier émaillé d’Oskar Schindler. L’œuvre de Léopold Kessler est un miroir de l’évolution des mentalités et des habitudes des urbains. Au cours des dernières années, le principe du vélo partagé a prospéré dans les villes du monde entier. En effet, la bicyclette semble constituer la solution adéquate à de nombreux problèmes contemporains, comme les embouteillages et la pollution. En outre, elle tend à améliorer la santé des personnes l’utilisant. Toutefois, les systèmes de vélos en libre-service exigent une société adulte, car ils incitent les gens à abandonner leur voiture. Et nécessitent la création de pistes cyclables. Il faut aussi outrepasser certains instincts archaïques-capitalistes : au lieu d’acheter son vélo pour un usage privé, on profite d’un véhicule collectif standardisé… Les vélos sont fabriqués en béton armé. [©ACPresse]Tout y est : cadre, selle, pédalier et même le petit panier accroché sur le guidon. [©ACPresse]Malgré son apparence, ce n’est pas une station de location de vélos. [©ACPresse]Le message sur le panneau d’informations est clair : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler…” [©ACPresse]De loin, les vélos sont plus vrais que nature. De près aussi, mais la selle en béton semble tout de même un peu dure ! [©ACPresse]Le logo ne laisse planer aucun doute : c’est une station vélos. [©ACPresse] Ce n’est pas pour garer son vélo Aujourd’hui, le principe du vélo partagé prospère même dans des endroits qui semblent incompatibles avec son apparition. Du fait de l’absence de pistes cyclables, de la présence d’une circulation automobile dense et difficile, ou encore à cause d’un climat très rigoureux, en hiver.  La station Surrogate Citybike est entièrement construite en acier et en béton, selon un processus de fabrication standardisé, solide et bon marché. Elle n’est pas faite pour être utilisée, et ne peut pas l’être. C’est une installation permanente du musée. La vraie station se situe tout près, comme le précise un petit panneau d’informations : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler. Un parking à vélos est présent au niveau de l’entrée principale du musée, à côté de la Galerie Re”. Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 306 jours

La CAPEB et EDF élargissent leur partenariat pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments

Ce nouveau partenariat signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB et Lionel Zecri, Directeur du Marché d’Affaires d’EDF, vise à accompagner les entreprises adhérentes de la CAPEB dans des actions permettant de réaliser des économies d’énergie et de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’habitat collectif et les bâtiments tertiaires pour la période 2022-2025, notamment via le Portail 3E d’EDF. La CAPEB et EDF renforcent leur collaboration dans le cadre de l’élargissement du dispositif d’économie d’énergies existant pour le résidentiel, l’habitat collectif et les bâtiments tertiaires, EDF a ainsi développé un programme de partenariat au sein de son portail 3E sur lequel les entreprises adhérentes de la CAPEB pourront valoriser les travaux de performance énergétique dans l’habitat collectif et les bâtiments tertiaires pour la période 2022-2025. La CAPEB, au travers de son réseau et particulièrement via les CAPEB départementales, continuera à sensibiliser les professionnels impliqués dans la rénovation énergétique à l'intérêt du dispositif mis en place par EDF afin qu’ils incitent leurs clients à réaliser des opérations d’efficacité énergétique éligibles aux CEE. Pour chaque opération qui fera l’objet d’un dossier conforme et finalisé dans le Portail 3E, l’entreprise fera bénéficier son client d’une aide financière qui sera versée par EDF.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Fort de notre précédent partenariat, qui a permis de toucher 4.000 entreprises et d’accompagner plus de 60.000 dossiers de particuliers, puis de son renouvellement en janvier dernier, cette nouvelle opportunité d’élargissement est la bienvenue pour mobiliser encore plus d’entreprises adhérentes et de clients sur le sujet de la transition énergétique. Le dispositif d’EDF est fiable et intuitif pour accompagner au mieux nos entreprises et adhérents. Nous souhaitons le voir perdurer pour réussir la transition du secteur dans l’habitat collectif et tertiaire. »Pour Lionel Zecri, Directeur du Marché d’Affaires d’EDF : « EDF est particulièrement fier d’élargir son partenariat avec la CAPEB en intégrant l’habitat collectif et tertiaire au dispositif existant. En effet, favoriser les travaux de rénovation énergétique est une formidable occasion d’accompagner nos clients dans leur transition énergétique. Ces travaux leur permettent de réduire non seulement leur facture énergétique grâce à une consommation maitrisée, mais aussi leur empreinte carbone pour agir contre le changement climatique. »
Il y a 2 ans et 307 jours

A Saint-Gall, un ‘Learning center’ signé Sou Fujimoto

A l’Université de Saint-Gall (Suisse) pour la HSG Foundation, l’architecte Sou Fujimoto a livré en 2021, Square, un ‘Learning center’ en structure béton de 9 650 m².  Une étape clé dans les ambitions éducatives du campus helvète. Communiqué. « Questionnant les futures manières d’étudier, le nouveau Learning center de l’université de Saint-Gall tente de repenser le […] L’article A Saint-Gall, un ‘Learning center’ signé Sou Fujimoto est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 307 jours

Le vieux Buenos Aires se fait un lifting, mais le cœur inquiète

Dans la rue Humberto 1er, à quelques encablures de l'emblématique Place de Mai, l'asphalte a sauté. Agenouillés, des ouvriers remettent un à un, près d'un siècle plus tard, des pavés dans les rues du "Casco historico", centre historique de la capitale.Voies cyclables, plantations d'arbres, bus détournés, restaurations XXL, telles celle de l'immeuble Art nouveau Otto Wulf (1914) jadis légation de l'Empire austro-hongrois : d'ici mi-2023, 67.000 m2 du centre porteño seront retouchés par le "Plan Casco" dans lequel la ville va investir 2,2 milliards de pesos (17 millions d'euros).L'objectif est double : "restaurer un des quartiers les plus historiques, au patrimoine important", et "réinventer la vie dans l'hypercentre", explique Felipe Miguel, chef de cabinet de la municipalité (centre-droit) de la capitale de 3 millions d'habitants.Ironiquement, il y a une dizaine d'années, une municipalité du même bord, alors gérée par le futur chef de l'Etat Mauricio Macri (2015-2019), recouvrait d'asphalte les pavés de plusieurs quartiers (environ 3.400 des 30.000 rues de Buenos Aires sont pavées), ulcérant des associations de riverains.On invoquait alors une nuisance sonore moindre, des pneus épargnés, l'écoulement des eaux de pluie... "Il y a des quartiers qui ont changé et où prime la mobilité, d'autres plus typiques qu'il faut préserver", justifie Felipe Miguel.Le Covid en plusCar le patrimoine est de nouveau l'avenir. Comme tout ce qui pourrait doper un centre-ville, à la fois quartier d'affaires et de tourisme, que le souffle de vie a quitté pendant la pandémie et un confinement parmi les plus longs du monde."La pandémie est venue aggraver un problème déjà en cours, inexorable : la perte d'habitants du centre, à la population +flottante+, sur-utilisé le jour, sous-utilisé la nuit", explique Silvia Farje, architecte et experte en patrimoine, ex-ministre de la Culture de la ville.Un centre, poursuit-elle, où une population vieillissante ne peut plus entretenir des immeubles centenaires, où cette dernière n'est pas remplacée par des jeunes, peu enclins à vivre dans un quartier régulièrement paralysé par des manifestations sociales, déserté la nuit, dans des bâtiments dépourvus du confort numérique qu'ils ont appris à goûter en télétravail en périphérie.L'idée de rédemption par les vieilles pierres a quelque chose d'ironique, pour une capitale qui dans son histoire n'a pas toujours eu les égards dûs à ses vieilles pierres. N'hésitant pas, par exemple, à raser une partie du Cabildo, bâtiment iconique de 1751, pour percer en 1894 l'Avenida de Mayo, avenue cossue copie conforme d'un grand boulevard parisien. La référence d'alors.Risque du "parc à thème"L'"âge d'or" de l'Argentine (de 1880 aux années 1930) et ses vagues d'immigrants européens, ont valu à la capitale un rare patchwork d'influences, du style colonial à l'Art déco, de l'italianisant néo-renaissance au rationalisme..."Une accumulation éclectique plus qu'un style. Un vrai palimpseste", résume Patricio Cabrera, dirigeant de l'association de sauvegarde du patrimoine Basta de Demoler (Stop aux démolitions).Mais sur l'Avenida de Mayo, les "A vendre" ou "A louer" fleurissent aux fenêtres. Selon M. Miguel, 60% des occupants du coeur de Buenos Aires travaillaient dans des bureaux avant la pandémie, un chiffre qui a dégringolé à 20%. Beaucoup ne reviendront pas. Des rideaux de commerces, privés de clients, sont baissés pour de bon.D'où l'espoir de faire revivre un "centre à usage mixte", entre professionnels, touristes, habitants, jeunes si possible. Depuis 2021, les aides au crédit et incitations fiscales se multiplient pour qui veut habiter l'hypercentre, ouvrir un commerce ou transformer des bureaux en habitations. Un chantier-défi "qui prendra des années", reconnaît M. Miguel.A court terme, les 2,1 millions de visiteurs étrangers annuels de Buenos Aires (chiffre pré-Covid) sont une cible de choix. Mais aussi un risque, entre "touristification" et "gentrification" du centre historique, "comme cela s'est passé dans beaucoup de capitales du monde", souligne l'ONG Observatorio de la Ciudad.Et si Basta de Demoler salue "la conscience nouvelle du patrimoine, qui voit revenir des pavés, chose impensable il y a 40 ans", l'association met en garde contre le risque de "sacrifier l'essence à l'esthétique" et "devenir un parc touristique à thème".
Il y a 2 ans et 308 jours

Au Canada, un centre autochtone signé Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture

Le  concours pour la conception du centre autochtone Mukwa Waakaa’igan à Sault-Sainte-Marie (Ontario, Canada) pour l’Université Algoma a désigné les agences canadiennes Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture. Le futur équipement (budget : 12,38M€), dont la livraison est prévue en 2024 deviendra le nouveau cœur universitaire, conçu pour offrir un espace accueillant à des visiteurs […] L’article Au Canada, un centre autochtone signé Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 309 jours

Démarrage du plus grand parc éolien offshore d'Écosse, selon les industriels

La première éolienne, sur un total de 114, a été mise en service tôt lundi matin, à quelque 27 kilomètres au large du comté d'Angus.La ferme, d'une capacité totale de 1.075 mégawatts (MW) et à même d'alimenter l'équivalent de 1,6 million de foyers, doit être pleinement opérationnelle au cours du premier semestre 2023, selon les deux partenaires.Le projet Seagreen, d'un coût de 4,3 milliards de dollars, sera le plus grand parc éolien offshore d'Écosse, où de nombreux projets sont en développement, et il sera le plus profond du monde sur fondation fixe, par 59 mètres de profondeur d'eau, selon leur communiqué."Une fois achevé, Seagreen contribuera de manière significative aux objectifs ambitieux de l'Écosse et du Royaume-Uni en matière d'énergie renouvelable", a commenté Paul Cooley, directeur de l'éolien en mer chez SSE Renewables."Voir cette turbine tourner en mer du Nord et démarrer la production d'électricité en toute sécurité est une réussite fantastique pour tous ceux liés au projet", qui a "déjà apporté des bénéfices à la communauté locale et à la chaîne d'approvisionnement britannique", a-t-il ajouté, cité dans le communiqué.Pour le français TotalEnergies, il s'agit du tout premier projet éolien marin à démarrer en Europe (son premier dans le monde à fonctionner est celui de Yulin à Taïwan).Le groupe était parvenu à un accord avec SSE Renewables en juin 2020 pour acquérir une participation de 51% dans le projet Seagreen."Nous sommes satisfaits de démarrer la production d'électricité sur le site de Seagreen, une première en mer du Nord britannique", a déclaré Vincent Stoquart, directeur Renewables de TotalEnergies. C'est "une nouvelle étape dans le développement des capacités d'éolien offshore de TotalEnergies", qui vise 35 gigawatts (GW) de capacité électrique renouvelable en 2025.
Il y a 2 ans et 309 jours

XYLEXPO 2022 : le point de départ d’un nouveau cycle technologique

Du 12 au 15 octobre 2022, à fieramilano Rho, aura lieu Xylexpo, la biennale mondiale des technologies pour le travail du bois et des composants pour l’industrie du meuble, promue par Acimall, l’association des constructeurs italiens de machines et d’outils pour le travail du bois, et organisée par CEPRA. Depuis 1968, exposition unique et immanquable pour les opérateurs du secteur, Xylexpo offre une vision large et exhaustive sur les technologies pour le travail du bois et ses dérivés, en interprétant au mieux l’évolution du secteur grâce à ses multiples facettes. Capable de renouveler continuellement les contenus et les services, à partir de cette édition Xylexpo change la période de déroulement, en passant du printemps à l’automne pour intercepter au mieux les exigences d’investissement des visiteurs qui, dans l’après-pandémie, se « retrouvent » avec un calendrier des salons profondément modifié. En faisant ce choix, Xylexpo sera de fait le point de départ du cycle d’innovation qui caractérisera les deux années suivantes, en s’affirmant comme la scène idéale pour présenter en avant-première les nouveautés technologiques développées par les entreprises, dans le meilleur moment pour récolter les intentions d’achat des utilisateurs, toujours très élevées dans la partie finale de l’année. Enregistrez-vous pour Xylexpo 2022 Reconnue comme le salon mondial pour la haute technologie pour le travail du bois, la manifestation se déroulera en parallèle avec BI-MU, la biennale internationale dédiée au monde des machines-outils pour le travail du métal, des robots, de l’automation, des technologies additives et auxiliaires. UN SALON DIFFÉRENT DE TOUS LES AUTRES L’évolution qui caractérise le secteur bois-ameublement, parmi les plus attentifs à la recherche de l’équilibre parfait entre beau et fonctionnel, doit énormément à l’industrie des machines et des technologies de production, tout comme à celle des composants, des équipements et des matériaux de dernière génération. Réelles forges d’expérimentation capables de donner forme, couleur et interprétation concrète aux idées de ses clients, les entreprises leaders du secteur trouvent depuis toujours en Xylexpo leur point de référence, faisant de cet événement un des moments capables de dicter les « règles » pour toutes les exigences de production au niveau international. STAR INTERNATIONALE Tout en étant solidement liée au marché italien, parmi les plus importants et évolués au monde pour les technologies et les matériaux, et devant satisfaire la demande d’un monde ample et exigent du meuble et du design, Xylexpo a une projection très importante vers l’étranger. Enregistrez-vous pour Xylexpo 2022 Avec un résultat consolidé dans le temps, qui voit les visiteurs étrangers dépasser 30 % du total, Xylexpo fait partie des toutes premières manifestations au monde pour son taux d’internationalité. Un fait qui consolide ultérieurement la capacité d’attraction de la manifestation vers le public international : la présence, comme d’habitude, de nombreuses délégations étrangères organisées par ICE – Agence pour la promotion à l’étranger et l’internationalisation des entreprises italiennes – notre partenaire institutionnel de référence. Pour l’occasion, ICE portera à Xylexpo 150 ouvriers étrangers qui travaillent principalement dans les secteurs de la production de produits semi-finis et finis en bois, spécialement sélectionnés et provenant principalement de la Méditerranée, des Balcans, de l’Est de l’Europe, de la Scandinavie et de la Baltique, pour un total d’environ 20 pays.
Il y a 2 ans et 309 jours

De nouveaux bureaux à haute efficacité énergétique pour Hellio

Des bureaux en cohérence avec l'image et le positionnement de Hellio Hellio a changé son siège social dans un quartier dynamique et en pleine évolution, idéalement localisé sur la ligne 14 du métro. Les équipes de Hellio occupent désormais un plateau de près de 1.500 m2 au 6ème étage de l'immeuble Factory.Ce bâtiment neuf et moderne se veut être proche de l'image de l'entreprise et de son positionnement. L'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a fait le choix d'intégrer ce bâtiment de bureaux conçu dans une démarche environnementale exigeante : HQE Exceptionnel, BREEAM Very Good, WELL Ready ; et qui propose de nombreux services aux utilisateurs.Parmi les caractéristiques notables du bâtiment :Une isolation par l'extérieur des façadesDes protections solaires extérieures (brises soleil orientables)Un éclairage luminaires LEDUne production d'eau chaude faite par la CEVE (CPCU de la ville de Clichy)Une production d'eau glacée faite par 2 groupes froid en terrasseUne ventilation double fluxUne gestion centralisée de tous les équipements techniques« Plus proche de notre image et de notre positionnement, Hellio a changé son siège social dans un quartier dynamique et en pleine évolution, au sein d'un bâtiment à haute efficacité énergétique, en parfaite adéquation avec notre métier de la maîtrise de l'énergie », précise Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.
Il y a 2 ans et 309 jours

Pompes en ligne nouvelle génération Wilo-Yonos GIGA2.0-I et Wilo-Yonos GIGA2.0-D

Une nouvelle série de pompes en ligne suit, basée sur la même plateforme pour l’entraînement des pompes à moteur ventilé à commande électronique : la Wilo-Yonos GIGA2.0-I/-D.Les interfaces analogiques et numériques offrent une possibilité d'intégration dans la gestion technique centraliséeLa Wilo-Yonos GIGA2.0 est une pompe en ligne nouvelle génération à commande électronique, adaptée au pompage de grandes quantités d’eau sur de grandes hauteurs manométriques pour les applications de chauffage, de climatisation et de refroidissement dans les grands bâtiments et pour l’industrie (réfrigération industrielle, récupération de chaleur, …).Grâce à la technologie de moteur à aimant permanent IE5 et à l'hydraulique de pompe éprouvée (MEI ≥ 0,4), elle offre un haut rendement énergétique ainsi qu'une grande fiabilité.Via la technologie du bouton vert associée au guidage par menu sur un écran couleur, elle est très facile à installer et à utiliser.Les interfaces analogiques et numériques permettent une intégration dans les systèmes d’automatisation des bâtiments.La Wilo-Yonos GIGA2.0 existe en configuration simple (Wilo-Yonos GIGA2.0-I) et en version double (Wilo-Yonos GIGA2.0-D). La première étape du lancement sur le marché comprend les deux versions d’une puissance nominale de 0,55 à 4,0 kW. Les avantages de la nouvelle Wilo-Yonos GIGA2.0-I/-D :Installation et utilisation simplifiées grâce au bouton unique de sélection et le guidage via un menu de navigation.Fiabilité élevée grâce à une technologie d’entraînement innovante couplée à une hydraulique de pompe éprouvée.Haut rendement énergétique lié à l’association du moteur à aimant permanent IE5 (selon l’IEC 60034-30-2) et à une hydraulique haut rendement pour une réduction des coûts énergétiques.Entretien minimal : protection moteur intégrée.Communication optimale basée sur une large offre de protocoles : Modbus RTU, BACnet MS/TP, LonWorks (TP), PLR, CANopen, Ethernet IP (BACnet IP, Modbus TCP).Performances accrues grâce aux multiples modes de régulation : Mode pression constante Δp-c,Mode pression variable Δp-v,Mode régulation de vitesse n-const,Mode de régulation PID.Visualisation de la vitesse, de la hauteur manométrique, de la consommation électrique.Module électronique nouvelle génération permettant l’adaptation efficiente des performances hydrauliques en fonction des réels besoins de l’installation.Prêt à l'intégration dans la gestion technique centralisée via des interfaces analogiques et numériques et des modules CIF.
Il y a 2 ans et 309 jours

Le défi des installations de bornes de recharge dans les copropriétés

La copropriété de Gérard fait partie des 2% équipées en France, pour 10.000 places environ. Des chiffres encore faibles, en dépit du droit à la prise mis en place en 2011, qui permet à chaque copropriétaire d'installer, à ses frais, une prise pour son véhicule.Ce manque de bornes privées dans les habitats collectifs reste un obstacle de taille à l'électrification des voitures, brique indispensable dans la lutte contre le changement climatique."Des premières discussions dans la copropriété à la première installation, nous avons attendu 18 mois. Mais d'autres voisins ont suivi le mouvement et bientôt, nous aurons 17 bornes!", nuance le retraité, qui ne souhaite pas donner son nom, pendant que deux ouvriers d'un installateur privé s'attellent à équiper des places voisines.L'installation ne coûte rien à la copropriété: les propriétaires paient pour leur propre borne, et des subventions couvrent le reste.Car, outre la borne individuelle, il faut financer des infrastructures collectives, comme les câbles et parfois des compteurs communs. Le financement de ces équipements a longtemps été un point de discorde pour les copropriétés qui, jusqu'à peu, devaient les prendre à leur charge."Il y a toujours une crainte de certains copropriétaires de devoir payer pour les autres, ralentissant les demandes d'installation", explique Mathias Laffont, directeur des études à l'Union Française de l'Electricité (UFE). "A présent, des techniques existent pour faire uniquement payer les utilisateurs, moyennant quelques centaines d'euros pour l'achat de la prise, en plus de l'abonnement mensuel souscrit auprès de l'opérateur".Accélérer ce développementDes aides existent pour les propriétaires, les copropriétés et les opérateurs: Logivolt Territoires, lancé par la Banque des Territoires, le guichet de la Caisse des dépôts, finance toutes les dépenses collectives; le dispositif Advenir, financé par une enveloppe annuelle de fonds publics et piloté par l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere-France), en couvre la moitié.Les nombreuses start-up du secteur, Bornes Solutions, Zeplug ou Park'n Plug en tête, l'assurent: la demande d'équipements dans les habitats collectifs est en plein essor. Elles estiment qu'un million de places pourraient être équipées rapidement.Le reste à charge pour le particulier, après les aides, est entre 700 et 900 euros, selon elles.Mais les choses ne vont toujours pas assez vite.44% des Français vivent dans des habitats collectifs mais "70% des bornes privées sont en habitat individuel", d'après Clément Molizon, délégué général de l'Avere-France.Pour accélérer ce développement, un décret très attendu doit permettre à Enedis, le gestionnaire du réseau électrique, d'équiper les copropriétés en équipements de recharge, sans leur faire payer le moindre euro, en intégrant les coûts dans le tarif d'acheminement de l'électricité (Turpe). Une "concurrence déloyale", dénoncent au passage les installateurs privés, rassemblés derrière l'Association Française des Opérateurs de Recharge pour véhicules électriques (Afor).Pénurie de personnelEnedis anticipe "des milliers, puis des dizaines de milliers de nouvelles demandes, une fois le décret validé", comme l'assure Olivier Huet, directeur de projet infrastructure de recharge des véhicules électriques en résidentiel collectif d'Enedis. "Toutes les solutions sont nécessaires, le marché est trop important".Autre défi pour les opérateurs, le déploiement de prises de recharge dans les parkings privés en extérieur, qui nécessitent des travaux plus lourds. "C'est aujourd'hui trop onéreux pour que les opérateurs et les copropriétés puissent en assumer le coût", explique Lara Dupont, de Zeplug.A cela s'ajoute enfin le manque de personnel formé, estimé à "plusieurs milliers de personnes" par les opérateurs."Le secteur est en forte croissance, mais on manque cruellement de bras", déplore Jérôme Princet, directeur général de Bornes Solutions et vice-président de l'Afor.
Il y a 2 ans et 309 jours

Dans les Hauts-de-France, la brasserie du pays flamand voit double

Face à une croissance exponentielle de ses ventes de bière, la brasserie du pays Flamand a doublé la surface de ses bâtiments pour la porter à 5000 m² sp. Aperçu.
Il y a 2 ans et 309 jours

Pourquoi et comment se former aux peintures naturelles et écologiques ?

Pourquoi chercher une formation aux peintures naturelles en bâtiment, me direz-vous ? Parce que si ces peintures sont beaucoup plus abordables, les utiliser n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît, surtout lorsqu’on souhaite utiliser des produits écologiques, sains pour la santé et l’environnement. Voici quelques explications et pistes pour vous former à la peinture écologique en bâtiment….  […]
Il y a 2 ans et 310 jours

Grand Paris Express : Colas et Eiffage remportent un marché à 26 millions d'euros

Mandataire d’un groupement à 50/50 avec Eiffage Énergie Systèmes, Colas Rail s'est vue attribuer par la Société du Grand Paris (SGP) le marché portant sur le système de traction de la ligne 18.
Il y a 2 ans et 310 jours

Toujours plus performante, la gamme d’isolant Métisse obtient de nouvelles certifications de sécurité au feu

Précurseur et acteur majeur de la fabrication d’isolants thermiques et acoustiques biosourcés, Le Relais Métisse maîtrise l’intégralité de la chaîne de sa fabrication 100% française, depuis la collecte de la matière première jusqu’à la valorisation. En effet, Métisse est un isolant en coton issu du recyclage de jeans collectés et triés par Le Relais, leader français de la collecte et du tri des TLC (Textiles, Linge et Chaussures) depuis 1984.Une nouvelle certification qui permettra de répondre aux attentes du marchéCette année 2022 marque une nouvelle évolution pour l’isolant Métisse, qui a obtenu de nouvelles certifications et accède à un nouveau classement.Auparavant classé « Euroclasse E », l’ensemble de la gamme (RT, flocon et Eko) est désormais certifié « Euroclasse D » en produit nu*. Son traitement ignifuge innovant à cœur (sans sel de bore) en fait un isolant biosourcé sécurisé face au feu.Métisse a également obtenu près de 30 PV et extensions feu en s’associant avec Placo. L’association de ces deux pionniers et leaders sur leurs secteurs a permis d’obtenir ces nombreuses certifications et valide ainsi un très grand nombre de configurations de systèmes (de la cloison simple à la cloison élaborée) aux normes ignifuges et acoustiques. Il obtient également un nouveau classement BS1D0 (en complexe) par le Crepim (laboratoire classé COFRAC).L’obtention de ces nouvelles certifications pour l’isolant Métisse permet désormais de répondre aux demandes des ERP - Etablissements Recevant du Public (lieux de santé, d’enseignements ou logements collectifs). En effet, l’isolant atteint des performances de haut niveau et répond à des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons et EI45 à EI120 en contre-cloisons.*Retrouvez le certificat du Crepim (laboratoire Cofrac) sous le rapport n°DO-22-3628\B-R1, sous ACERMIMétisse précurseur sur le marché, multiplie les distinctionsLa gamme Métisse accède à de nombreuses distinctions : premier isolant issu de l’Economie Sociale et Solidaire, premier isolant certifié issu d’une filière de collecte textile entièrement intégrée et maîtrisée, premier isolant ignifugé au cœur de la matière par un procédé de plein bain. L’isolant a été couronné par le Prix BePOSITIVE Awards (catégorie Bâtiment Performant) en février 2019. Puis un an plus tard la marque s’est à nouveau distinguée avec l’obtention du Label Produit Biosourcé Filière Française pour l’ensemble de sa gamme thermique : 70% minimum pour la gamme RT (panneaux et rouleaux) et 73% minimum pour les flocons.Un isolant au cœur de la transition énergétiquePar leurs caractéristiques physiques (transformation et stockage du CO2 atmosphérique), les fibres végétales, matières premières biosourcées, constituent un levier fort et une réponse fiable, durable et concrète aux enjeux du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources naturelles. Par sa composition en fibres de coton biosourcé, issu du recyclage, l’isolant Métisse s’inscrit pleinement dans la Transition Energétique pour la Croissance Verte.
Il y a 2 ans et 310 jours

Les prêts immobiliers grippés par la hausse des taux

Principal obstacle selon les courtiers: le taux d'usure. Révisé chaque trimestre par la Banque de France, il fixe le taux maximum auquel les banques ont le droit de prêter.Actuellement, il s'élève à 2,57% pour les crédits immobiliers à 20 ans tous frais compris, dont l'assurance et l'éventuelle commission des courtiers.Or, comme les banques empruntent elles-mêmes plus cher qu'en début d'année, elles peuvent être tentées d'évincer les courtiers pour préserver leurs marges."Les seules populations qui vont pouvoir emprunter, ça va être les moins de 45 ans qui sont en bonne santé et en même temps qui ont des revenus et des apports personnels assez élevés pour être intéressants pour les banques. Mais c'est un client sur deux, pas plus", craint Olivier Lendrevie, président du réseau de courtiers Cafpi."Quand, à cause d'un problème de paramétrage d'une réglementation, vous mettez hors-jeu un potentiel acquéreur sur deux, vous déséquilibrez le marché et vous créez les conditions d'une crise qui peut être très grave", prévient-il.Les acquéreurs en meilleure position pourraient en effet mieux négocier leurs achats, faute de concurrents, et faire chuter les prix de l'immobilier.Selon un sondage commandé par des associations de courtiers, 40% des professionnels interrogés estiment qu'au moins quatre dossiers sur dix ont été refusés depuis le début de l'année."Ça va arriver"Des professionnels de l'immobilier et de la finance se montrent eux plus prudents."On n'a pas encore un ressenti aussi fort que les courtiers mais ça va arriver, automatiquement", témoigne auprès de l'AFP Peggy Montesinos, spécialiste de l'immobilier au Conseil supérieur du notariat."Aujourd'hui, même si les taux remontent, ils restent attractifs et très en dessous de l'inflation. Il n'en demeure pas moins que la conjugaison du taux d'usure et de la remontée des taux désolvabilise une partie des primo-accédants, notamment les plus modestes et les plus jeunes", juge auprès de l'AFP Véronique Bédague, directrice générale de Nexity.Les banques "sont vigilantes aux indicateurs qui pourraient témoigner de tensions sur le crédit immobilier. Ces indicateurs se multiplient au fil des jours, comme le constatent les Français qui cherchent un crédit pour acheter leur logement", a fait savoir la Fédération bancaire française (FBF)."La profession bancaire est donc sensible à ce que le dispositif de l'usure, cette mesure de protection des emprunteurs, ne devienne pas une mécanique d'exclusion des ménages pour financer leurs projets solvables", ajoute l'organisation professionnelle."Normalisation"La Banque de France se démarque en revanche nettement du constat des courtiers.L'institution rappelle que le taux d'usure est fait "pour protéger les ménages qui empruntent, et pas les intérêts des courtiers ou des prêteurs."Un "éventuel effet d'éviction" des emprunteurs "n'existait pas significativement avant fin juin; nous regarderons précisément pour fin septembre", ajoute-t-elle.Dans une publication du 2 août, la banque centrale note que la "production de crédits à l'habitat commence à se normaliser progressivement" tout en restant "au-delà des moyennes mensuelles de ces dernières années".Elle enregistre un encours des crédits aux particuliers en croissance de 6,2% en juin sur un an, soutenu par la composante "habitat" (+6,6%). Les nouveaux prêts accordés représentaient 22,7 milliards d'euros en juin, en baisse par rapport à mai (26,8 milliards) mais "plus élevés que les moyennes mensuelles observées depuis 5 ans" qui varient de 16,9 à 22,8 milliards, souligne la banque centrale.Par ailleurs, la remontée des taux d'intérêt des nouveaux crédits se poursuit "très progressivement": 1,26% en moyenne en mai, 1,35% en moyenne en juin et 1,44% attendu en juillet, selon la banque centrale. Il s'agit cependant du taux nominal, auquel viennent s'ajouter l'ensemble des frais liés à l'obtention d'un crédit, pour obtenir le taux effectif global du prêt (TAEG), plafonné par la loi.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a promis d'évoquer le sujet "dès les premiers jours de la rentrée" avec le gouverneur de la Banque de France.
Il y a 2 ans et 310 jours

Réhabilitation du Pavillon Bleu d'Amiens

Cette tuile de la marque Koramic trouve son origine dans les Flandres. Son aspect authentique et son profil ondulé sont des atouts pour les demeures du Nord. Grâce à son caractère régional assumé, cette réhabilitation est un témoignage vibrant de période luxuriante s’étendant de la fin du XIXème au début de la 1ère Guerre Mondiale.Un lieu emblématique d’Amiens à complètement reconstruireCette ancienne laiterie devenue, après extension, une ginguette en 1898 puis une discothèque jusque dans les années 2000 était désaffectée depuis lors, malgré sa situation remarquable. Longeant le canal de la Basse Selle, le bâtiment se situe dans le parc zoologique d'Amiens, un lieu de promenade connu de tous dans la région.Propriété de la Métropole, il a fait l'objet d'un appel d'offres pour sa réhabilitation et la création d’un espace de restauration. C'est l'agence Socréa, architectes du patrimoine, qui a été chargée du projet.Pour Florent Basset, l'un des associés, « il a fallu sortir des chantiers habituels des bâtiments anciens, toucher à tous les corps de métier, et retrouver les traces du projet d'origine d'Anatole Bienaimé pour s'en rapprocher le plus possible ». Cet architecte réputé dans la région à la fin du XIXème siècle est notamment connu pour ses villas de bord de mer au Touquet-Paris-Plage ou à Berck-sur-Mer dont certaines sont classées monuments historiques. Des maisons souvent riches de décorations inventives et d'audaces architecturales.Convoquer l’esprit d’une époquePour Florent Basset, il était important de retrouver la richesse de « l’architecture pittoresque extravagante, qui mêle progrès techniques de cette période et imaginaires littéraires ». À l'aide d’archives retrouvées et de cartes postales anciennes, il a tenté de se rapprocher au plus près de la villa d'époque. Le charme du site vient de l'harmonie conjuguant diversité et alignement de plusieurs formes d'architecture. En effet, se superposent une laiterie, une tour, un kiosque, une salle puis une véranda polygonale, introduits par portails et passerelle japonisants. Le tout aligné face au parc et au canal. Florent Basset note que « toutes les façades sont orientées sud pour un ensoleillement maximal. La disposition des soubassements et des fenêtres apporte de la rigueur à cette profusion de formes différentes ».Une tuile choisie sur carte postaleTraditionnellement, les constructions de la région utilisent la terre cuite pour la toiture. Florent Basset s'est servi d'une ancienne carte postale pour trouver la bonne référence de tuile. « Je souhaitais restituer une ondulation avec un effet d'écaille en diagonale. Le modèle de tuile à onde douce Vieille Panne 451 de Koramic correspondait parfaitement. Il n'y a pas eu d'hésitation ». Le toit est agrémenté de figurines en terre cuite et de galeries de faîtage, décorations typiques de la région à la Belle Époque. Les épis de faîtage en forme d'animaux (héron, écureuil, hibou) composent un bestiaire rappelant la présence du zoo tout autour. Florent Basset précise que la pose des tuiles a été facilitée par les accessoires disponibles, et souligne que « le dialogue entre couvreurs et charpentiers a été essentiel pour optimiser la pose, surtout pour les endroits les plus délicats ».Une décoration intérieure réinventéePour l'architecture intérieure, Florent Basset a mis ses pas dans ceux des architectes de l'époque en retrouvant leurs sources d'inspiration : le Japon, Jules Verne avec notamment Cinq semaines en Ballon ainsi que les grandes avancées techniques d'alors comme la Tour Eiffel ou le Pavillon Baltard. Entièrement reconstruit, le Pavillon Bleu se devait d'afficher « une rutilance spectaculaire ». C'est la raison pour laquelle, une seule teinte de tuile a été choisie pour affirmer une reconstruction à neuf pleine de vibrations. Le Pavillon Bleu a retrouvé ses couleurs d'origine et ses promeneurs curieux lèvent la tête pour reconnaître ici un escargot ou là un échassier perché sur le toit...Zoom chantier...Type de projet : Rénovation du Restaurant Pavillon Bleu du Zoo d’Amiens (80)Lieu : Restaurant Le Pavillon Bleu, Zoo d’Amiens (80)Produit utilisé : Vieille Panne – 451 RougeArchitecte : SOCREA, Architectes du patrimoine – Florent Basset à Compiègne (60)Maître d’ouvrage : Amiens MétropoleEntreprise de pose : Emmanuel Delaforge à Sommereux (60)
Il y a 2 ans et 310 jours

« Density of lives » à la galerie d’architecture à Paris

A la galerie d’architecture à Paris, l’exposition « Density of lives » présente la vision de l’agence ITAR sur la densification urbaine. Jusqu’au 15 octobre 2022. Densifiez ! Pour beaucoup c’est un mot d’ordre qui se traduit par des données quantitatives, à l’image des habitants par kilomètre-carré, de l’emprise au sol, ou encore de la surface […] L’article « Density of lives » à la galerie d’architecture à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 310 jours

Une trop forte concentration d'usines de panneaux photovoltaïques en Asie s'inquiète l'AIE

Le monde doit diversifier ses approvisionnements en panneaux photovoltaïques s'il veut garantir sa transition énergétique, a mis en garde l'Agence internationale de l'énergie (AIE) début juillet.
Il y a 2 ans et 310 jours

Retour : Un appartement à Athènes par Point Supreme architects

Le numéro 449 d'AA « Architectures Méditerranéennes » présente une multitude de projets méditerranéens, d'un spa ...More about Cet article Retour : Un appartement à Athènes par Point Supreme architects est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 310 jours

ISP obtient la certification ISO 45001

Inter Service Pompes vient d’obtenir la certification ISO 45001. [©ACPresse] Inter Service Pompe (ISP) poursuit sa démarche d’amélioration de la qualité de ses services à tous les niveaux. N° 1 du pompage du béton en France, l’entreprise avait déjà obtenu la certification ISO 9001 version 2015 pour l’ensemble de ses activités et de ses entités. « Y compris pour notre atelier de maintenance du matériel, la division Inter Service Dallages ou encore Inter Service Gestion », rappelle Antonio Agostinho, président d’ISP. Cette certification a été renouvelée le 19 juillet dernier. Mais une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, ISP a décroché le même jour l’ISO 45001 version 2018, qui spécifie les exigences du management de la santé et de la sécurité au travail. « A travers cette nouvelle certification, nous sensibilisons et responsabilisons encore plus l’ensemble de nos collaborateurs à la sécurité, confirme Antonio Agostinho. Et garantissons, en même temps, un très important niveau de sécurité à nos clients ». En attendant l’ISO 14001 L’obtention de l’ISO 45001 confirme le sérieux d’ISP en matière de sécurité, action qu’il poursuit depuis des années déjà. Par exemple, à travers le montage systématique de systèmes de détection des lignes à haute tension sur toutes ses pompes à béton… Après les ISO 9001 et 450001, ISP compte bien obtenir encore l’ISO 14001. Cette dernière certification valide le système de management environnemental des entreprises. A suivre donc dans les mois qui viennent…
Il y a 2 ans et 310 jours

Une nouvelle centrale mobile pour l’Aerolithys

L’Unité mobile génie civil est la dernière-née des centrales de production in situ du béton mousse Aerolithys. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, Aerolithys est aujourd’hui diffusé en exclusivité sur le marché français par la société Béton Mousse Technologie (BMT). Ce produit est en priorité utilisé en bâtiment pour la réalisation de ravoirage permettant la remise à niveau des sols. Les chapistes et autres carreleurs en sont les principaux applicateurs. L’autre emploi de l’Aerolithys est le remblaiement technique en génie civil. A savoir, en comblement de cavités ou de conduites, en remplissage de l’extrados des murs de soutènement, en couche d’assise en élargissement de chaussée, en rehaussement de quai… C’est pour ces dernières applications que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… « Ce véhicule a été conçu à 100 % en interne, explique Jacky Fronteau, président de BMT. Nous en avons aussi assuré le montage, à partir de sous-ensembles identifiés sur le marché. De fait, notre centrale mobile est un modèle unique. » Cinq fois plus léger qu’un ravoirage classique BMT l’a baptisé UMGC pour Unité mobile génie civil. Cette dernière complète une première centrale mobile sur porteur d’une capacité de 25 m3/h, davantage utilisée en bâtiment. En 2023, un autre véhicule d’une taille intermédiaire viendra sans doute compléter le dispositif. En attendant, l’UMGC constitue le fleuron de la flotte BMT. Outre son débit, il offre aussi la possibilité de pomper le béton mousse sur une longueur proche de 500 m, grâce à la présence de tuyaux flexibles intégrés. Ainsi, BMT sait livrer son béton mousse Aerolithys prêt à l’emploi, assurant en même temps une assistance technique au coulage. Pour mémoire, de par sa fluidité, ce béton garantit le remplissage de toutes les formes, ainsi qu’un enrobage parfait des gaines et canalisations, sans risque de les endommager. Il est cinq fois plus léger qu’un ravoirage classique, réduisant d’autant les charges sur la structure portante. 100 % recyclable et sans COV Coulage d’un béton mousse Aerolithys sur un chantier de bâtiment. [©Béton Mousse Technologie] En génie civil, Aerolithys permet d’améliorer le rendement des chantiers, en éliminant la multiplication des couches de terrassement nécessaires dans les procédés classiques. Le matériau offre une compacité homogène sur toute l’épaisseur du remblai et prévient, de fait, les risques de tassement différé. Le béton mousse Aerolithys est proposé dans une gamme de densité allant de 300 à 500 kg/m3, pour une résistance en compression de 1,2 à 2,5 MPa. Il constitue un bon isolant thermique, affichant une coefficient thermique ʎ de 0,08 à 0,11 W/(m.K). Son côté acoustique est tout aussi intéressant, avec un affaiblissement au bruit d’impact ΔLw de 12 dB à partir d’une épaisseur de 90 mm. Enfin, le béton mousse Aerolithys est 100 % recyclable, ne contient pas de COV et ne produit pas de déchets. Le procédé de fabrication permet aussi de réduire le nombre de camions sur la route. Car, avec une seule citerne à ciment, il est possible de produire sur place quelque 100 m3 de béton mousse. Soit un volume nécessitant environ 13 voyages de toupies entre la centrale et le chantier de mise en œuvre, s’agissant d’un béton classique.
Il y a 2 ans et 310 jours

Le gel des loyers des logements énergivores entre en vigueur

"Aujourd'hui, on ne peut pas laisser vivre des gens dans des passoires thermiques et ne pas agir en leur faveur", déclare le ministre délégué au Logement, Olivier Klein, dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. "Et agir en leur faveur, c'est bloquer, à partir du 24 août les loyers, pour que les locataires soient protégés et que les propriétaires soient encore plus invités à mener les travaux nécessaires", poursuit le ministre.Les étiquettes F et G du diagnostic de performance énergétique (DPE) correspondent à des logements consommant plus de 330 kilowattheures au mètre carré par an ou émettant plus de 70 kg d'équivalent CO2 au mètre carré par an.Soit 17% du parc de résidences principales en France.Dans les prochaines années, de nouvelles restrictions entreront en vigueur pour les propriétaires de logements dont le DPE est mauvais, afin de les inciter à l'améliorer.A partir de janvier 2023, les pires passoires thermiques, qui consomment plus de 450 kilowattheures par an au mètre carré (soit environ 90.000 logements), seront purement et simplement interdites à la location.Suivront, en 2025, l'ensemble des logements classés G (soit 7% du parc actuellement) puis les F en 2028 (10%) et les E en 2034 (22%).Pour atteindre les objectifs climatiques que s'est fixés la France, la totalité du parc immobilier français doit être transformée en "bâtiments basse consommation" d'ici à 2050, à peu près équivalent aux catégories A et B, lesquelles représentent aujourd'hui 2 et 3% du parc respectivement.L'usage des bâtiments représente un cinquième des émissions de gaz à effet de serre de la France.
Il y a 2 ans et 310 jours

Dans les Vosges, un collège métallique fissuré va fermer

La découverte de fissures fragilisant la structure métallique du collège Val-d’Ajol entraîne sa fermeture pure et simple, à quelques jours de la rentrée.
Il y a 2 ans et 311 jours

La fondation EFB récompense les futurs experts des industries de construction

Le prix recherche Ecole Française du Béton à dimension RSE a été remis à Amr Aoulela, pour son travail sur la résistance des matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d'assainissement.
Il y a 2 ans et 311 jours

Lancement prochain de l'appel d'offres pour le second parc éolien offshore Centre-Manche

"Une procédure de mise en concurrence sera lancée en 2022 en vue de l'attribution du deuxième parc éolien en mer situé en zone 'Centre-Manche' d'une puissance pouvant aller jusqu'à environ 1,5 gigawatts", indique le JO qui publie cette décision en date du 9 août et signée par la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.Dénommée "Centre-Manche 2", la zone concernée pour l'implantation de ce parc est d'une superficie de 270 km2, située en zone économique exclusive à quelques dizaines de km de la pointe nord-est du Cotentin.Le cahier des charges pour ce projet "prévoira notamment l'obligation pour le lauréat d'étudier les conditions de cohabitation avec la pêche au sein du parc éolien, pendant la phase d'exploitation, dans les limites permises par les exigences de la sécurité de la navigation maritime et de sécurité des biens et personnes", selon le JO.Les pêcheurs côtiers en Manche ont manifesté à plusieurs reprises ces dernières années leur opposition à ces centrales éoliennes en mer dont ils craignent en particulier les effets sur les poissons et crustacés et donc sur l'avenir économique de leurs entreprises."Le dialogue avec tous les acteurs intéressés par le projet, dont ceux de la pêche professionnelle, sera poursuivi dans les différentes instances existantes, en particulier au sein du Conseil maritime de façade Manche-Est-Mer du Nord, notamment au sujet des études environnementales et de la cohabitation des usages", selon la décision rapportée par le JO."Une instance de concertation et de suivi (...) sera installée lors de l'attribution du projet, associant notamment les élus, les associations, les professionnels et le grand public", spécifie le texte.Nettement plus proche des côtes, le premier projet éolien offshore Centre-Manche, situé à une dizaine de km au large de Courseulles-sur-Mer (Calvados), et dont la construction a débuté en février 2021, doit comprendre 64 éoliennes pour une puissance de 450 mégawatts. D'une superficie de 50 km2, il est censé entrer en service en 2024.En février dernier, Emmanuel Macron avait annoncé l'objectif de doter la France d'une cinquantaine de parcs éoliens en mer pour "viser 40 gigawatts en service en 2050".
Il y a 2 ans et 311 jours

Var : le nouveau magasin Lidl de La Seyne-sur-Mer ouvrira courant 2023

Le futur magasin Lidl de La Seyne-sur-Mer proposera une surface de vente de 1 722 m².
Il y a 2 ans et 311 jours

Les bénéfices de Geberit affectés par l'inflation et la hausse du franc suisse

Son bénéfice s'établit à 402 millions de francs suisses (soit environ 415 millions d'euros) contre 460 millions au premier semestre l'an dernier.Sur le premier semestre les ventes du groupe, qui fabrique des douches, toilettes et équipements de salles de bains, ont été plutôt bonnes, à 1,9 milliard de francs suisses, soit une progression de 5,5%.Mais l'inflation a fait grimper ses coûts: "les ajustements des prix de ventes ne peuvent se faire qu'avec un délai, ce qui signifie qu'il n'a pas été possible de compenser entièrement la hausse du prix des matières premières et de l'énergie sur la période", indique Geberit dans son communiqué.Pour le troisième trimestre, Geberit s'attend à une poursuite de la hausse de ses coûts avec l'inflation, ce qui devrait mener à de nouvelles hausses des prix.Par ailleurs, le groupe qui vend une grande partie de ses produits en Europe, en particulier en Allemagne, a été affecté par la hausse du franc suisse par rapport à l'euro, un impact négatif estimé à 106 millions de francs suisses.Geberit qui avait profité de l'engouement des consommateurs pour l'aménagement de la maison et la rénovation pendant la pandémie, voit cette tendance fléchir, notamment en France.La marge opérationnelle de Geberit a été grignotée, passant de près de 30% au premier semestre 2021 à 25% au premier semestre 2022.Pour le reste de l'année Geberit s'attend à une "croissance à un chiffre" des ventes et à une marge d'Ebitda (rentabilité opérationnelle sans prendre en compte les charges calculées) à 28%.Geberit avait suspendu en mars ses activités en Ukraine et en Russie après le déclenchement de la guerre: il employait quelque 590 personnes en Ukraine et 70 personnes en Russie.
Il y a 2 ans et 311 jours

La menuiserie aluminium valorise le patrimoine des territoires dans la durée

Le choix de la menuiserie aluminium c’est celui du sur-mesure qui permet de s’adapter aux particularités régionales, en neuf ou en rénovation tout en respectant les règlementations en vigueur. C’est aussi celui de la réduction des consommations d’énergie et d’un matériau alliant liberté architecturale et grande recyclabilité.
Il y a 2 ans et 311 jours

Ceramics of Italy

Terre, eau, feu, air. Les quatre éléments.  C’est ainsi que la nature se transforme en céramique italienne. La même alchimie,… Cet article Ceramics of Italy est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 2 ans et 311 jours

Selfbéton, distributeur exclusif de Beton2Go en France

François Behr, Pdg de Selfbéton, devant un distributeur automatique de BPE de Beton2Go. [©Selfbéton] L’industriel allemand Massfeller vient de confier la distribution exclusive sur la France de ses centrales de BPE en libre-service Beton2Go au Mosellan Selfbéton. Cette décision fait suite au remarquable développement des chiffres de vente de Selfbéton depuis le début de la coopération entamée en 2020… En effet, à ce jour, quelque 54 unités de ce type sont en service sur le territoire national ! C’est en 2018 que le premier distributeur automatique de béton prêt à l’emploi (ou centrale en libre-service) Beton2Go a été installé en France. Massfeller avait lui-même pris en charge ce projet. Avant d’ouvrir une coopération avec, entre autres, Selfbéton. Son Pdg François Behr avait développé le concept Selfbéton à partir d’une des premières installations tests françaises au sein de son ancienne entreprise Silix (aujourd’hui cédée au groupe de négoce en matériaux Busca). L’avènement du béton en libre-service « Nous pensons que le marché français pourrait avoir les mêmes opportunités de développement que le marché allemand, explique Lukas Massfeller, Pdg de Beton2Go. Selfbéton est pour nous un partenaire fiable et engagé. Le professionnalisme de l’entreprise dans les opérations de commercialisation et la gestion des services nous ont convaincus. C’est pourquoi nous avons décidé de confier la distribution de nos installations en France à Selfbéton et sous le nom de Selfbéton. » En d’autres termes, la marque Beton2Go n’apparaîtra plus sur le territoire français…   Aujourd’hui, le principe du distributeur automatique de béton prêt à l’emploi tend à se développer en France. Il constitue une alternative à la centrale à béton classique qui peine à servir les “petits” clients – artisans et particuliers – désireux d’acheter une petite quantité de béton. A travers ses unités, Selfbéton répond à ce besoin spécifique, en offrant un service adapté avec une disponibilité immédiate du matériau. Le distributeur automatique Beton2Go lance la production par le biais d’une carte magnétique ou d’un QR-code. Et délivre en quelques minutes la recette de béton souhaitée.
Il y a 2 ans et 311 jours

Accueil mitigé pour le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables

Au menu du texte de 20 articles : des mesures transitoires pendant 48 mois pour simplifier les procédures (allégement des obligations d'évaluation environnementale ou extension du vote du public par voie électronique), la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers), une mutualisation des débats par façade maritime pour l'éolien en mer.Le texte encourage encore le "partage de la valeur" des projets renouvelables auprès des riverains, qui y seraient ainsi plus favorables.Le Conseil d'Etat et le Conseil national de la transition écologique viennent d'être saisis sur ce texte, qui devrait être présenté au Conseil des ministres mi-septembre."La France accuse un retard", par rapport à ses voisins européens, reconnaît le texte dans son exposé des motifs, mettant en cause des lourdeurs administratives et juridiques.Il faut ainsi 10 ans pour développer un parc éolien en mer, deux fois plus longtemps qu'ailleurs. La France vient seulement de produire des électrons en provenance de son premier parc marin, au large de Saint Nazaire.Le pays hôte de l'accord de Paris contre le réchauffement climatique est généralement en retard sur son plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre, et Emmanuel Macron a annoncé en février une hausse des objectifs sur les renouvelables.La France veut multiplier par dix les capacités solaires pour dépasser les 100 GW et déployer 50 parcs éoliens marins pour atteindre 40 GW d'ici 2050. Le doublement de la capacité éolienne terrestre à 40 GW sera en revanche plus lent que prévu, en 10 ans au lieu de 30."Il y a beaucoup de bonnes idées" dans le projet de loi, salue Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER)."Sur les mesures de simplification on est évidemment très favorable, notamment sur l'éolien en mer": "ça peut raccourcir beaucoup les délais de développement des projets", note-t-il.Mais il reste prudent: "Beaucoup de choses vont se décider dans les décrets"."Indéfendable"L'accueil est en revanche beaucoup plus négatif à la Ligue de protection des oiseaux (LPO), qui regrette un projet "purement sectoriel" qui "oublie complètement les enjeux de biodiversité"."Comment peut-on aller mettre de l'éolien dans les sites naturels protégés, les sites Natura 2000, les couloirs de migration?", s'agace Yves Verilhac, directeur général de la LPO."L'IPBES (les experts biodiversité de l'ONU) dit que l'artificialisation des milieux est la première cause d'effondrement de la biodiversité. Or là qu'est-ce qu'on propose? D'aller mettre des panneaux photovoltaïques plein champ dans des secteurs où c'était impossible avant, en dérogeant à la loi montagne, à la loi littoral etc.""Les meilleurs alliés des énergies renouvelables, comme la LPO, décrochent. C'est indéfendable".Certaines mesures soulèvent aussi des problèmes juridiques, comme la possibilité de "relever plus facilement les seuils de soumission à évaluation environnementale systématique", inscrite dans le texte. L'idée est d'exempter les petits projets de cette procédure longue et coûteuse.Une mesure qui irait à l'encontre du principe de "non-régression", qui découle de la loi de 2016 sur la biodiversité. Ce principe dispose que la protection de l'environnement "ne peut faire l'objet que d'une amélioration constante".Le projet de loi "le neutralise en expliquant que c'est un principe symbolique, décoratif, et qu'on ne pourra plus s'en prévaloir devant un juge", explique l'avocat Arnaud Gossement."C'est la première fois de l'histoire du droit de l'environnement que le législateur serait amené à neutraliser un principe général du droit qu'il vient de créer"; "c'est très dangereux parce que ça crée un précédent", estime-t-il.Selon l'avocat, il est possible de simplifier les études d'impact sans pour autant détricoter ce principe du droit environnemental, par exemple en allégeant l'étude ou en mutualisant les frais.Un débat que devront trancher les parlementaires, en octobre si le calendrier gouvernemental est maintenu.
Il y a 2 ans et 312 jours

Colas Rail signe son premier contrat au Panama

Le contrat remporté en sous-traitance par Colas Rail s’inscrit dans le cadre du projet de construction de 20 km de monorail pour la future ligne 3 du métro de Panama, de stations entre Ciudad del Futuro et Panama Pacifico, et d’un dépôt de maintenance à Ciudad del Futuro.Colas Rail réalisera la conception, la fourniture et l’installation de 100 km de rail d’alimentation électrique, et participera à la construction du dépôt.La durée du contrat remporté est de plus de 30 mois.Pour Christophe Mansuy, Directeur Général-International de Colas Rail : « Ce projet est remarquable à plusieurs égards.Tout d’abord, c’est l’aboutissement d’une collaboration avec Hitachi Rail sur la zone Amériques. Ensuite, pour la première fois, Colas Rail participe à un projet de monorail. Enfin, ce contrat marque le lancement de nos activités au Panama, illustrant notre volonté de poursuivre notre développement en Amérique latine. »