Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(78547 résultats)
Il y a 5 ans et 0 jours

Avec +87% de factures impayées, la trésorerie est à nouveau un enjeu crucial pour les entreprises

Pour la première fois, l'étude « Culture cash : enjeux et perspectives de la Direction Financière » combine la perception des Directions Financières avec des données concrètes issues des comportements de paiement de plus de 1,3 million d'entreprises en France. Cette étude sur la culture du cash apporte plusieurs grands enseignements pour le Directeur Financier post-Covid-19 en France :Environ 3,5 factures sur 10 sont échues avec plus de 10 jours de retard, versus environ 2 sur 10 avant le confinement ;Le nombre de factures payées de manière hebdomadaire chute à environ 680,000 factures versus une moyenne de 780.000 avant la période du confinement, soit 12% de baisse ;Les entreprises fournissant des services et de la prestation intellectuelle subissent des retards de paiement plus importants. A l'inverse, les entreprises délivrant des biens ou du transport ont des délais plus courts ;Une meilleure implication des fonctions opérationnelles ainsi qu'une utilisation plus poussée des technologies d'automatisation et d'intelligence artificielle figurent parmi les principales pistes pour optimiser la culture cash.A l'évidence, la crise économique due au Covid-19 aura donné à la Direction Financière une nouvelle dimension. Habituellement garante de la performance de l'entreprise, elle concentre, plus que jamais, ses ressources sur la pérennité de son activité par un ajustement quotidien de la trésorerie.« La crise économique sans précédent que nous traversons replace la culture cash au centre des préoccupations des entreprises et de leurs dirigeants, à l'heure où l'accès au crédit se tend et où les organisations cherchent à préserver leurs liquidités. L'étude que nous avons conduite met en lumière le nouveau rôle que sont amenées à jouer les Directions Financières au sein de leur organisation, véritables partenaires stratégiques du dirigeant d'entreprise dans ce contexte exceptionnel », analyse Baréma Bocoum, Associé Restructuring / Deal Advisory chez KPMG France.« Trop longtemps considéré comme une variable d'ajustement du ressort exclusif d'une poignée de spécialistes, le cash doit, lui aussi sortir de son long confinement. Alors que nous assistons à une véritable crise de confiance clients-fournisseurs dans toute l'Europe, il est désormais urgent que toute l'entreprise s'empare de ce sujet hautement stratégique. La capacité des Directeurs Financiers à diffuser les outils de pilotage collaboratifs de la relation client, en s'appropriant notamment les technologies d'analyse prédictive et d'automatisation, sera un atout capital pour éviter d'amplifier l'onde de choc de cette période inédite. Cette étude sans précédent arrive à point nommé pour les y aider », observe Olivier Novasque, PDG de Sidetrade.11 jours : c'est le retard moyen constaté en matière de délai de paiementL'étude KPMG France et Sidetrade révèle une vision fine des comportements de paiement inter-entreprises sur la période de janvier 2017 à février 2020 :Près d'un tiers des factures émises sur la période ont une échéance à 30 jours, et seulement 13,2% une échéance à 60 jours ;Le délai contractuel moyen de paiement des clients (ou DSO) est de 37 jours et le retard moyen constaté de 11 jours.Or, la crise du Covid-19 et l'impact du confinement ont d'ores et déjà des conséquences majeures sur les délais de paiement, qui viennent remettre la gestion du cash au centre de la stratégie globale de l'entreprise. Les chiffres présentés ci-dessous sont issus des données transactionnelles extraites de la plateforme Sidetrade et forment un échantillon de 15 millions de factures entre le 30 décembre 2019 et le 11 avril 2020.Augmentation de 4 points du nombre de factures impayées à plus de 10 jours ou payées avec plus de 11 jours de retard ;Chute de 12% du nombre de factures payées de manière hebdomadaire durant la période de confinement.Dans ce contexte, KPMG a modélisé une étude d'impact présentant, pour une entreprise industrielle avec des clients BtoB, la situation de trésorerie durant les 3 phases identifiées de la crise (confinement, reprise d'activité post-confinement et sortie de crise modélisée à partir de novembre 2020). Les scénarios envisagés permettent d'identifier 4 enjeux majeurs pour les entreprises :Des impacts financiers et opérationnels ;Un pilotage du cash minutieux ;Des leviers clés à activer ;Des axes d'amélioration de la performance à plus long terme.Top 3 des secteurs les plus impactés par les retards de paiement : L'Éducation, l'Hébergement et la RestaurationSur la période de janvier 2017 à février 2020, certains secteurs de l'économie sont plus sensibles aux problématiques de recouvrement et d'optimisation du poste client par essence. Les termes de paiement accordés tendent majoritairement vers 30 jours, ce qui est conforme à la LME et la Loi Macron.Le délai de paiement de 60 jours nets ne concerne qu'environ 11% des entreprises étudiées. Cette pratique se raréfie, même auprès des grands comptes.Le délai de paiement de 60 jours nets est plus fréquemment utilisé par les secteurs tels que : services administratifs, industries manufacturières, ventes de biens et matériels pour l'automobile.Néanmoins, les termes de paiement se contractent mais le comportement de paiement reste stable, créant un retard de paiement moyen de 11 jours.Côté fournisseurs, certains secteurs (comme celui des entreprises délivrant des biens ou du transport) bénéficient de délais plus courts. Cela tient au pouvoir de négociation / blocage plus important dans leur cas, ainsi qu'à la réglementation (Loi Gayssot). En revanche, ce sont les secteurs de l'Éducation, de l'Hébergement et de la Restauration qui subissent des retards de paiement plus importants.Côté acheteurs, ce sont les secteurs de la Production et distribution d'énergie, ainsi que les Services financiers qui subissent des retards de paiement significatifs.Quelles pistes pour optimiser sa culture cash ?L'intégration des fonctions opérationnelles au sein des Comités Cash est un facteur clé de succès. Celles-ci permettent d'anticiper les risques de tensions de trésorerie et améliorent sensiblement la qualité des prévisions, ainsi que l'accélération du cash. Ainsi, 50% des Directions Financières interrogées déclarent posséder des prévisions de cash intégrant les fonctions opérationnelles et 70% justifient la qualité de la culture cash de leur entreprise par le niveau d'implication des opérationnels.« Les entretiens menés avec les Directions Financières confirment l'importance de l'implication des opérationnels pour atteindre un bon niveau de performance cash. Paradoxalement, seulement 25% des Directions interviewées indiquent réaliser des « Comités Cash » réguliers et structurés. Une meilleure implication de l'ensemble des acteurs opérationnels de l'entreprise, couplée à l'appui des outils technologiques, représentent un levier puissant qui permet d'améliorer la stratégie économique de l'entreprise », complète Charles Durand, Directeur de Missions Restructuring / Deal Advisory chez KPMG France.L'étude met en avant 4 best practices pour une diffusion de la culture cash optimale au service de l'efficacité financière :S'inscrire dans la stratégie de la direction générale ;Mettre en place des indicateurs expliqués, partagés et communiqués ;Créer un système d'incentive financier aligné avec l'objectif ;Mettre en place des Comités Cash structurés au bon niveau et à la bonne fréquence.Enfin, et dans un contexte désormais post-covid-19, le Directeur Financier doit s'appuyer sur le numérique pour partager la culture du cash.L'analyse des données transactionnelles via les nouvelles technologies (process mining et data analytics) permet de mettre en lumière les gisements d'opportunités et de répondre aux besoins des Directions Financières (digitalisation du processus de facturation et robotisation du processus de recouvrement, mise en place d'un outil intégré permettant d'optimiser les prévisions de trésorerie…).Les technologies Cloud contribuent également à une digitalisation rapide du processus de gestion du poste client et à une diffusion accélérée de l'information auprès de tous les acteurs en charge d'un client.
Il y a 5 ans et 0 jours

Prysmian Group lance une application mobile pour sélectionner le câble adapté à son installation

PRYSMIAN CONFIRME SA VOLONTE DE FACILITER LE METIER DES INSTALLATEURS Sens, le 19 mai 2020 – Prysmian Group, leader mondial de l’industrie des câbles et des systèmes pour l’énergie et les télécommunications, lance sur le marché français CableApp, son application gratuite pour la configuration et le choix du câble nécessaire pour les installations électriques. Cette application est d’ores et déjà disponible et téléchargeable sur App Store et Google Play. Elle permet aux installateurs électriciens actifs sur le marché du bâtiment (résidentiel, tertiaire) et de l’industrie de déterminer très vite et sans risque d’erreur le câble et la section les plus appropriés à leurs chantiers. L’application est facile à utiliser, intuitive, et le calcul est immédiat. Une fois le câble et sa section déterminés, l’utilisateur peut en outre calculer les émissions de CO² ou les économies d’énergie liées au choix de la bonne section. Il peut également accéder directement aux fiches techniques des produits. CableApp inclut tous les câbles d’énergie de basse tension utilisés dans le bâtiment. Tous les câbles proposés sont conformes au RPC. « CableApp est un outil supplémentaire qui s’intègre parfaitement dans la stratégie plus globale du groupe Prysmian pour apporter une valeur ajoutée à l’ensemble de la filière. Prysmian group pense non seulement au produit et à sa qualité, mais aussi aux clients installateurs pour leur permettre d’identifier facilement la meilleure solution de câblage pour leurs projets » explique Francesco Zecchi, Directeur MID Europe du Sud pour Prysmian. Cette démarche s’inscrit dans la logique de Prysmian Group de faciliter le métier de l’installateur électrique. Prysmian a d’ailleurs lancé en 2016, le Prysmian Club (www.prysmianclub.fr), une plateforme web gratuite pour les professionnels de l’électricité. Il permet de bénéficier de toutes les informations utiles à leur métier: évolution des normes, informations techniques, cours en ligne, tutos… Précédemment dédié aux métiers de l’énergie, le site Prysmian Club France s’est récemment enrichi pour s’adresser aux professionnels des télécommunications : le Prysmian Club dispense désormais des informations sur ce marché, sur les normes et les métiers de la fibre optique.  
Il y a 5 ans et 0 jours

Talin Hazbar : Lithic

La designeuse et architecte syrienne Talin Hazbar puise son inspiration dans les civilisations passées, expérimente des matériaux bruts et signe des pièces de mobilier organiques. Les suspensions stalactites de sa dernière collection « Lithic » rendent hommage au conte populaire La Grotte de la créature, dont l’intrigue se déroule dans les montagnes de Khor Fakkan et de Fujairah (Émirats arabes unis). Les suspensions de la collection « Lithic » sont des structures modulaires en travertin, qui mettent en scène le conte populaire émirati La Grotte de la créature. Talin Hazbar a choisi la forme de la stalactite pour représenter l’habitation de l’être hybride mythique et la lumière artificielle pour symboliser sa puissance. Ces luminaires sont des objets référencés, dont la modularité sollicite l’imagination des collectionneurs. Chaque suspension peut en effet être ajustée à la convenance de l’acheteur, et ainsi raconter sa propre interprétation du récit. En intégrant le spectateur au processus de création, Talin Hazbar accorde une grande place à l’inventivité. Des pièces aussi surprenantes que créatives. Pour en savoir plus, visitez le site de Talin Hazbar. Photographies : © Talin HazbarLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 0 jours

Un tiltrotateur devant la tour Eiffel

Engcon France prend un cliché de son tiltrotateur devant la tour Eiffel. [©Engcon France] La filiale française du groupe Engcon innove et enregistre une photo pour le moins originale. Habitué des chantiers de construction, le tiltrotateur d’Engcon change de registre et prend la pose d’un modèle, le temps d’un cliché dans la capitale. En faisant poser un de ses tiltrotateurs en action devant la tour Eiffel, le groupe suédois verrait-il le potentiel de son outil aussi grand que le monument ? Le slogan de l’industriel “Une démo vaut 1 000 mots” prend en tout cas tout son sens. Car, qui sait ce qu’est un tiltrotateur ? Montée sur une pelle, cette attache articulée permet de tourner et d’incliner le godet ou une pince de tri dans tous les sens. Comme quoi une pelle bien placée peut devenir un excellent ambassadeur. A propos d’Engcon : Créé en 1990, le Suédois Engcon s’affirme aujourd’hui comme le leader mondial des constructeurs de tiltrotateurs. Doté d’un effectif d’environ 300 salariés, il a réalisé un chiffre d’affaires de 120 M€ en 2018. Le groupe est présent en France depuis 2002. 
Il y a 5 ans et 0 jours

Thermor présente sa nouvelle gamme de climatisation réversible connectée Nagano

Choisir le bon climatiseur pour se sentir bien chez soiAvec NAGANO, Thermor se donne pour mission d'améliorer le confort thermique de ses clients en toutes saisons.Les raisons de s'équiper ne manquent pas tant cette gamme présente des atouts indéniables en termes de performances et de fonctionnalités.Les climatiseurs connectés NAGANO bénéficient d'une large plage de fonctionnement : de -20°C à +43°C en été et de -20°C à + 24°C en hiver. Quelles que soient les températures extérieures, même aussi exceptionnelles soient-elles, le bien-être des occupants est assuré.Les climatiseurs connectés NAGANO mono ou multi-split (bi/tri/quadri) sont dimensionnés pour s'adapter aux petits comme aux grands espaces (jusqu'à 4 pièces).Disponibles dans des puissances allant de 2.600 W à 7.000 W en mono et de 4.000 W à 7.800 W en multi-split, ils chauffent ou refroidissent l'habitation très rapidement. Un confort absolu très appréciable.Affichant un niveau sonore de seulement 20dB(A), les climatiseurs connectés NAGANO savent se faire discrets afin de garantir la tranquillité de tous les utilisateurs.En plus d'être très efficace, la gamme de climatisation NAGANO est particulièrement esthétique avec son design élégant aux lignes épurées. Grâce à sa finition blanc mat, coloris intemporel et moderne à la fois, elle s'intègre harmonieusement à tous les styles d'intérieurs.La température parfaite en toutes saisonsLa souplesse de configuration et l'intégration de fonctionnalités innovantes offrent, incontestablement à l'utilisateur, une grande liberté et un niveau de contrôle extrêmement précis lui permettant de mieux maîtriser le confort thermique de son domicile tout en réduisant ses consommations d'énergie.la température s'ajuste au degré près, en fonction des habitudes de vie des occupants et des différents espaces de vie,la fonction Silence (quiet) bascule le ventilateur en petite vitesse et délivre un débit d'air plus faible,la fonction Intelligente (smart) mesure la température de la pièce pour adapter le confort automatiquement et garder une maison et confortable en toute circonstance,la fonction Sleep régule la température nocturne afin d'éviter un rafraîchissement ou un chauffage excessif la nuit,la fonction Timer permet aux particuliers de définir à leur guise une heure de déclenchement ou d'arrêt, un mode, une température de consigne et une vitesse de ventilation (au nombre de 3),le capteur ECOPILOT ajuste le débit d'air pour suivre ou pour éviter tout contact direct avec l'utilisateur en fonction de sa demande,le balayage à flux verticaux et horizontaux permet de répartir au mieux la fraîcheur ou la chaleur pour une homogénéité de température dans chaque pièce.Une simple pression sur les boutons de la télécommande permet de paramétrer avec une grande simplicité les commandes de l'affichage digital. Mais, l'utilisateur peut également, à distance, à partir d'un smartphone ou d'une tablette, allumer et éteindre l'appareil, modifier les réglages ou moduler la température, pièce par pièce. Il suffit pour cela de télécharger l'application Smart Clima depuis l'App Store ou Google Play.Cap sur les économies d'énergieAussi économique qu'efficace, la gamme de climatisation réversible connectée NAGANO affiche un haut niveau de classe énergétique en mode chauffage (A+++ et SCOP jusqu'à 4,6) comme en climatisation (A++ et SEER jusqu'à 8,50).Enfin, les climatiseurs NAGANO sont capables de détecter automatiquement la présence de l'utilisateur à 120° et jusqu'à 10 m. Ainsi, lorsque le capteur constate que la pièce est inoccupée, les fonctions chauffage ou refroidissement passent en mode économie (de + ou – 2°C).Installation, Formations et Stations SAV agrééesLa gamme de climatisation NAGANO s'installe très facilement. La mise en service quant à elle doit être effectuée par une entreprise disposant d'une attestation de capacité à manipuler les fluides frigorigènes. Si l'entreprise qui installe la climatisation de dispose pas de cette attestation, Thermor s'appuie sur un réseau de 120 stations SAV agréées pouvant assurer la mise en service et le dépannage des produits Thermor.Et pour accompagner encore davantage la filière professionnelle Thermor propose des formations, une assistance technique, un SAV sous 24 H, et une aide au dimensionnement. A ce sujet, Thermor vient de mettre en ligne une application mobile totalement gratuite (disponible sur l'App Store et Google Play via les mots clés « Thermor » ou « Climatisation » permettant de dimensionner précisément une installation de climatisation réversible.Une promotion exclusive pour les installateurs jusqu'au 31 Juillet 2020Enfin, pour compléter son dispositif de lancement, Thermor propose jusqu'au 31 Juillet 2020, une offre à destination des installateurs, soit 150€ TTC remboursés sur la 1ère installation d'une climatisation NAGANO.Une marque connue et reconnue, des fonctionnalités innovantes, un design réussi et un bouquet de services pour accompagner ses clients : autant d'atouts qui devraient permettre à Thermor de faire une belle entrée sur le marché de la climatisation !
Il y a 5 ans et 0 jours

Le DLR reporte son congrès à avril 2021

Le congrès DLR a été reporté à avril 2021, toujours à Nice, en raison de la pandémie du Covid-19. [©DR] La crise sanitaire actuelle continue de faire reculer la bonne tenue de salons. Ainsi, prévu à l’origine les 26 et 27 mars derniers à Nice, le congrès DLR a été annulé. Mais bien entendu, ce n’est que partie remise. La prochaine édition du rendez-vous annuel de la fédération des matériels de construction et de manutention est, d’ores et déjà, programmée les 1er et 2 avril 2021. Toujours à Nice. « Ce rendez-vous majeur des acteurs de la filière sera l’occasion de se retrouver et de dresser le bilan. Ceci, après la longue période de confinement, de désorganisation et de reprise de l’activité qu’auront alors traversé le pays et la profession », indique la fédération. Par ailleurs, le conseil d’administration de DLR a décidé de tenir son assemblée générale par voie dématérialisée, le 19 juin prochain. Enfin, il a reporté l’élection de son futur président à 2021. Bertand Carret, qui préside la fédération depuis 4 ans, ayant accepté de poursuivre son mandat jusqu’à cette date…
Il y a 5 ans et 0 jours

Penser la dignité des personnes âgées, par Dominique Coulon & associés

Déjà décalée de plusieurs mois pour faire face à la crise sanitaire, l'inauguration de la prochaine Biennale internationale d'architecture de Venise est finalement reportée à mai 2021. Les architectes du monde entier avaient bon espoir de redécouvrir la Sérénissime en août 2020. Le coronavirus aura finalement […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 0 jours

L'instruction des permis de construire reprendra son cours fin mai

La prolongation de l'état d'urgence sanitaire, désormais prévue jusqu'à fin juillet, ne concernera pas l'examen des permis de construire qui reprendra bien son cours fin mai.
Il y a 5 ans et 0 jours

DuPont Sustainable Solutions anime une formation de sensibilisation aux risques pour les employés de Siemens Gamesa offshore

DuPont Sustainable Solutions (DSS) a été choisi par la division Offshore de Siemens Gamesa pour former environ 6 000 employés à une plus grande prise de conscience des risques afin d’améliorer la sécurité. L’unité commerciale Onshore de Siemens Gamesa ayant déjà collaboré avec DSS, la société a choisi de lui faire à nouveau confiance en raison de sa grande expertise et de sa réputation en matière de sécurité et de gestion des risques opérationnels. Les deux sociétés se sont associées pour mettre en œuvre la formation DuPont TM Risk Factor TM à tous les niveaux de l’organisation, un coaching en leadership de groupe pour les cadres supérieurs et intermédiaires, ainsi qu’un certain nombre d’ateliers de sécurité dans les unités de conception technique. La formation ayant été conçue pour être livrée à distance grâce aux technologies numériques, le projet est actuellement en cours, sans interruption en raison du Covid-19. Siemens Gamesa est le leader mondial du marché de l’industrie éolienne offshore, avec des employés et des installations sur les marchés principaux (France, Allemange, Espagne, États-Unis, etc.) et en développement (Inde, Chine, Brésil, etc). Les activités de l’entreprise englobent tous les aspects de la chaîne de valeur, y compris l’innovation, le développement, la fabrication, l’installation et le service, pour n’en nommer que quelques-uns. Dans les domaines de la fabrication, de l’installation, de l’exploitation et de la maintenance, de nombreux employés travaillent seuls ou en petits groupes, d’où l’importance de renforcer la sensibilisation aux risques critiques pour leur sécurité. Le projet « Siemens Gamesa LeadSafe » a démarré avec un projet pilote fin 2019 après une première évaluation de la culture de sécurité de l’organisation par DSS pour personnaliser la formation. Le projet implique la plupart du personnel travaillant sur les sites de fabrication de l’entreprise, les bureaux, les sites de pré-assemblage et le personnel d’installation. Il comprendra également des ateliers sur mesure pour 200 ingénieurs visant à améliorer la sécurité dans le processus d’ingénierie. Compte-tenu de l’importance de protéger ses employés, Siemens Gamesa a décidé de poursuivre la mise en œuvre du projet durant la pandémie du Covid-19, une grande partie de la formation étant délivrée virtuellement. Les marchés, comme la Chine, dont la reprise économique est plus avancée ont été priorisés. « Nous faisons le choix de la sécurité chez Siemens Gamesa et nous sommes fiers de collaborer avec DSS pour fournir à nos employés des outils pour prévenir les incidents en gérant les risques. La sécurité est toujours notre priorité parce que nous la plaçons au-dessus de tout ce que nous faisons. Nous voulons nous assurer que tous les employés ont le bon état d’esprit quant à leur prise de décision chaque jour. C’est ce que le projet LeadSafe est censé nous aider à réaliser », explique Andreas Nauen, PDG de Siemens Gamesa Offshore Business Unit. Le premier séminaire de gestion a déjà eu lieu, se concentrant sur le rôle que les dirigeants jouent pour influencer et réaliser un changement de culture. La communication est un des éléments les plus importants. Comme l’a dit un participant par la suite, « le changement de culture modifie les échanges. Vous devez parler de sécurité pour motiver les gens et demander leurs commentaires. » En plus des séminaires de leadership et du coaching, DSS soutient Siemens Gamesa Offshore en formant un certain nombre d’employés à devenir eux-mêmes des formateurs internes. Cédric Parentelli, Directeur Général Europe et Afrique du Nord de DSS, a déclaré : « La clé de la performance en matière de sécurité repose sur le comportement sécuritaire. Bien que les mesures techniques puissent réduire considérablement le nombre d’accidents, elles ne suffisent pas à les éliminer. Pour ce faire, il faut sensibiliser les gens aux risques et au rôle que joue leur prise de décision dans les incidents. Avec ce nouveau projet de sécurité, Siemens Gamesa Offshore fait un pas important dans cette direction. Signe supplémentaire de son engagement pour la sécurité, Siemens Gamesa Offshore définit actuellement la portée des travaux, visant à étendre le projet de sécurité actuel au reste des métiers du groupe : Onshore et Services, et introduit également des actions transversales/corporates ». http://www.consultdss.com
Il y a 5 ans et 1 jours

Covid-19 : L'UNICEM présente au gouvernement des mesures pour une relance résiliente de l'activité

Dans ce contexte inédit, l'UNICEM a proposé au gouvernement, il y a quelques jours, des pistes d'action pour garantir la reprise de l'activité avec des mesures de court terme.Dans la continuité, l'UNICEM a élaboré des propositions pour un plan de relance de l'activité à moyen et plus long terme.Aujourd'hui, la fédération insiste sur la nécessité d'assurer une relance cohérente avec les enjeux de transition écologique et l'adaptation des villes et des territoires au changement climatique, tout en accentuant notre résilience et en tirant les enseignements de cette crise, avec une place toujours plus importante accordée à la responsabilité sociale des entreprises.L'UNICEM invite le gouvernement à décider la mise en œuvre de mesures fortes et concrètes, parmi lesquelles :Réaliser des infrastructures et des aménagements collectifs nécessaires à un développement de l'économie compatible avec le respect de l'environnement et la santé des concitoyensLa construction et les travaux publics doivent être relancés en suivant deux priorités :Un ambitieux programme d'entretien et de rénovation :des infrastructures routières structurantes, y compris les ouvrages d'art, des voies navigables et du réseau ferroviaire afin de permettre une augmentation du trafic marchandises ;du patrimoine historique bâti, domaine important pour l'industrie française de la pierre ornementale, et la sauvegarde de savoir-faire nationaux.Un plan d'investissement massif en faveur :de l'extension et la rénovation des infrastructures nécessaires à la réalisation des missions de service public (hôpitaux, EHPAD, établissements scolaires, centres de recherche et cités administratives…) ;de l'extension des infrastructures adaptées aux nouvelles mobilités (infrastructures cyclables, transports en commun urbain et interurbain, mobilités électrique ou hydrogène, développement de la mobilité connectée et autonome) ;de la modernisation et du développement du parc de logements sociaux ;de la construction d'ouvrages qui favorisent la résilience de nos villes face aux inondations et aux vagues de chaleur ;du développement des contournements urbains pour améliorer la sécurité des populations et la qualité de l'air dans les villes et villages.Faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et le mieux-disantL'UNICEM souhaite que soit réengagé le débat quant aux règles européennes des marchés publics afin que la commande publique puisse favoriser, lorsque cela est possible, le recours aux produits et matériaux locaux ou à des entreprises engagées dans une démarche responsable (labels RSE, ISO 14 001, ISO 26 000, labels sectoriels…).Accélérer le développement de l'économie circulaireLa filière de recyclage et de valorisation des déchets inertes du bâtiment est équilibrée économiquement et performante sur le plan environnemental. Le taux de recyclage de la filière dépasse les objectifs de la directive européenne : le seuil des 70% de recyclage et valorisation est d'ores et déjà atteint. Les déchets recyclables sont recyclés à hauteur de 80% et ils couvrent 28% des besoins en granulats pour la construction. L'UNICEM propose d'aller encore plus loin dans la performance du recyclage en s'appuyant sur ce modèle qui fonctionne. La fédération est prête à contractualiser avec les collectivités et les pouvoirs publics un objectif d'amélioration de la couverture du territoire en points de collecte visant à atteindre en trois ans un taux de recyclage de 95%. Elle a déjà commencé à agir dans cette direction en signant une convention avec la CAPEB pour accompagner les artisans dans l'amélioration du recyclage des déchets du bâtiment et la lutte contre les dépôts sauvages.Garantir une fiscalité environnementale réellement favorable à la transition écologique et profitable à tous les territoiresLes entreprises adhérentes à l'UNICEM sont convaincues de la nécessité d'une fiscalité incitative, cohérente avec les moyens humains, matériels et financiers dont elles disposent, en faveur de l'atteinte des objectifs de l'Accord de Paris. Cette fiscalité incitative, ou ayant vocation à susciter une évolution des pratiques en faveur de l'environnement, doit cependant être soumise à l'existence d'une alternative à ces dernières.L'UNICEM propose qu'une part significative des taxes environnementales soit réorientée vers les territoires qui accueillent leurs activités. Ceci constitue un préalable nécessaire :A l'acceptabilité, donc la pérennité, des activités industrielles ;Au maintien des budgets de nos communes, donc à leur investissement dans les leviers humains et infrastructurels sources de valeurs pour l'ensemble de notre pays. « Avec ce plan pour une relance résiliente, notre ambition est de proposer au gouvernement des mesures fortes et concrètes qui permettraient au tissu économique de rattraper une partie de l'activité perdue et d'accélérer la transition écologique et l'adaptation de nos villes et de nos territoires au changement climatique », conclut Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM.
Il y a 5 ans et 1 jours

«Nous tablons sur une baisse de 30 % des droits de mutation», Didier Réault, conseil départemental des Bouches-du-Rhône

Pandémie de Covid-19 oblige, le conseil départemental des Bouches-du-Rhône va voter son budget primitif en juillet et non pas en avril comme prévu. Pour l’établir, ses services devront tenir compte de l’impact de la crise sanitaire. Didier Réault, vice-président en charge du budget au conseil départemental des Bouches-du-Rhône, fait le bilan de deux mois de confinement.
Il y a 5 ans et 1 jours

Child Studio : Casa Plenaire

Si nos vacances à Santorin (Grèce) semblent compromises, notre imagination peut nous porter aussi loin que l’on puisse le souhaiter. Un constat qui a inspiré l’agence londonienne Child Studio qui propose un concept virtuel pour la marque Plenaire qui sent bon la plage. Quand design, cosmétiques et paysages estivaux se conjuguent au présent. Issue de l’imagination du Child Studio, à qui l’on doit notamment la pizzeria « Humble », la Casa Plenaire ressemble à la résidence secondaire balnéaire dans laquelle nous rêvons de passer notre été. Un refuge imaginaire qui permet à ses visiteurs virtuels de s’évader un peu de leur rayon de 100 kilomètres réglementaire. « La Casa Plenaire est née en réponse aux temps incertains actuels, où nous nous retrouvons confinés à nos maisons. » Che Huang et Alexy Kos de Child StudioDans un cadre mettant en scène des pièces de design emblématiques de Pierre Paulin, Eero Aarnio et Greta von Nessen, la résidence accueille subtilement les produits de la marque de soins pour la peau Plenaire qui se fondent avec brio dans un décor idyllique. A mi-chemin entre le moodboard créatif et le e-shop, la Casa Plenaire – comprenez « plein air » – est un collage composé d’un ensemble d’images cinématographiques invitant au bien-être. L’avenir du shopping en ligne ?Pour en savoir plus, visitez le site de Child StudioPhotographies : Child StudioZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 1 jours

La Biennale de Venise à nouveau reportée en 2021

La Biennale de Venise annonce que la 17e exposition internationale d’architecture – « How will we live together ? » est reportée à 2021, du samedi 22 mai au dimanche 21 novembre. La Biennale de Venise avait annoncé en mars dernier un premier report de la date d’ouverture de l’exposition internationale d’architecture, en raison de la crise sanitaire mondiale liée au Covid-19. La Biennale d'architecture de Venise, initialement prévue du 23 mai au 29 novembre 2020, devait ouvrir...
Il y a 5 ans et 2 jours

Cabinet vétérinaire et de curiosité par Raphael Campagnari en Côte-d’Or

Le cabinet vétérinaire de Venarey-les-Laumes (Côte-d’Or), conçu par Raphael Campagnari, avec Maguelone Montanié architecte, a été dans tous les sens du terme réalisé en circuit court : l’architecte est local, le client est du coin et l’entreprise Métal Déployé est à deux pas. Richesse du terroir ? L’architecte Raphael Campagnari vit à Villars-et-Villenotte, petite ville de la […] L’article Cabinet vétérinaire et de curiosité par Raphael Campagnari en Côte-d’Or est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 2 jours

Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie

Dans le cadre du programme EOLE SNCF à Mantes-la-Jolie (Yvelines) Atelier Aconcept a dévoilé en mars 2020 un bâtiment modulaire de 2 000 m², un monolithe tout en métal perforé réalisé pour un coût de 6,33 M€ HT. Communiqué. Le projet fait l’objet d’un repositionnement des bâtiments existants ainsi qu’un regroupement avec une brigade SNCF. […] L’article Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 3 jours

Covid-19 : les médecins du travail peuvent prescrire des arrêts de travail, mais ne feront pas de tests

Cette possibilité avait été prévue dans une ordonnance début avril.Les médecins du travail, qui ne peuvent pas prescrire des arrêts de travail contrairement à un médecin traitant, peuvent désormais le faire pour les "personnes atteintes ou suspectées d'infection au Covid-19, ou faisant l'objet de mesures d'isolement, d'éviction ou de maintien à domicile".En revanche, il n'est plus question de les autoriser à pratiquer des tests, comme le prévoyait l'ordonnance en vue, expliquait alors le ministère du Travail, "d'associer les services de santé au travail à une politique de tests plus massifs dans une perspective de sortie de confinement".Sur ce sujet, le ministère renvoie désormais au "protocole de déconfinement" diffusé la semaine dernière qui "interdit" les campagnes de dépistage en entreprise, comme avait commencé de le faire l'entreprise Veolia. Le Crédit mutuel et Engie se sont ravisés après avoir envisagé de mener de telles campagnes.Les services de santé au travail, qui représentent environ "12.000 personnes" selon le ministère, seront "recentrés" sur "les messages de prévention" afin de lutter contre le coronavirus, et sur l'application des guides de bonne pratique des différents métiers.Selon l'ordonnance, ils pourront aussi "suspendre certaines visites médicales obligatoires" et "privilégier les visites d'embauche et celles des personnes affectées à des postes à risque" notamment.Selon le texte de l'ordonnance, ils seront aussi chargés de "l'accompagnement des entreprises amenées, par l'effet de la crise sanitaire, à accroître ou adapter leur activité", et ce dans un délai fixé au 31 août 2020.
Il y a 5 ans et 3 jours

Covid-19 : l'Assemblée valide de nouvelles adaptations du droit du travail

Le but est "d'éviter les ruptures brutales" de contrats au moment où l'économie "repart", avait déclaré jeudi la ministre du Travail Muriel Pénicaud, au début de l'examen en première lecture du projet de loi composite relatif à "diverses dispositions liées à la crise sanitaire".Les députés ont adopté un amendement du gouvernement qui permet, par "accord d'entreprise", de fixer un nombre de renouvellement des contrats à durée déterminée (CDD) et contrats d'intérim à un niveau autre que celui prévu par accord de branche ou par la loi.Mme Pénicaud a souligné la "condition très importante de l'accord majoritaire" d'entreprise et les "garde-fous": cette "mesure n'existe que jusqu'au 31 décembre, elle accompagne la reprise" et il y a une "limite totale de 18 mois pour les contrats cumulés".Cette diposition était initialement renvoyée à une ordonnance.Des députés LREM ont défendu en vain, par la voix de Jacques Maire, le maintien de la "supériorité des accords de branches". "Si la branche se mobilise, il ne faut pas y déroger", a insisté ce "marcheur", à l'unisson de députés PS."Vous souhaitez précariser les salariés en permettant aux employeurs de déroger au nombre de renouvellement de CDD et contrats précaires", avait aussi dénoncé plus tôt l'insoumis Loïc Prud'homme, y voyant un "nouveau cadeau au patronat"."Nous pensons que la précarité doit être l'exception", avait renchéri Sébastien Jumel (PCF).Sur l'activité partielle, qui concerne actuellement 12,4 millions de salariés, le texte habilite le gouvernement à adapter les règles "aux caractéristiques des entreprises", au secteur ou aux catégories de salariés.L'objectif est de "moduler" le dispositif notamment pour "maîtriser la dépense publique", tout en tenant compte de certains secteurs comme l'hôtellerie et la restauration qu'il convient de "protéger plus fortement", a indiqué la ministre.Un amendement LREM a été adopté pour moduler l'activité partielle en "fonction de l'impact économique de la crise sanitaire" sur les entreprises, la ministre estimant qu'il va permettre de réagir "avec souplesse".Les communistes sont revenus inlassablement à la charge en vain pour avoir des détails sur la "réduction de voilure" annoncée du chômage partiel, rejoints notamment par le LR Antoine Savignat demandant que les élus soient "éclairés".Comme annoncé par le gouvernement la semaine dernière, un amendement prévoit aussi que le chômage partiel sera pris en compte pour la retraite de base. Il a reçu un soutien de tous les bancs.Les députés ont aussi temporairement relevé le plafond du temps de travail des étudiants étrangers de 60 à 80% d'un temps complet, en invoquant notamment leurs besoins financiers.
Il y a 5 ans et 3 jours

Covid-19 : La FFB interpelle le gouvernement et demande des compensations pour amortir les surcoûts des chantiers liés à la crise

La reprise des chantiers ne pourra pas se faire comme avant, en raison de l'application des préconisations sanitaires publiées par l'OPPBTP, dont le respect, indispensable, entraîne un allongement des délais et d'importants surcoûts d'exécution (mise en sécurité du chantier et du matériel, gardiennage, perte de rendement du fait des nouvelles conditions de travail, mobilisations supplémentaires de personnel et de matériels, variations du coût des matières premières ou de produits manufacturés, etc.).Redonner plein effet aux pénalités de retard, dans ce contexte, par une ordonnance prise sans associer les principaux acteurs et employeurs du secteur est d'une grande injustice.Aujourd'hui, la FFB interpelle le gouvernement sur la nécessité de prendre en compte les surcoûts liés à la Covid-19 que ne peuvent supporter les artisans et entrepreneurs, tant en marchés publics qu'en marchés privés.Des solutions existent, notamment la compensation des surcoûts de la Covid-19 par l'application systématique au prix des marchés d'un coefficient d'imprévision et l'annulation pendant quelques mois des charges sociales patronales.Pour Jacques Chanut, président de la FFB : " Le bâtiment avait été entendu sur le fait de décorréler l'instruction des permis de construire de la fin de l'état d'urgence sanitaire, mais les pouvoirs publics ont profité de cela pour décorréler également les délais de chantiers, sans donner de message clair à ce stade sur la nécessaire répartition des surcoûts de la Covid-19. Ce sujet important est aujourd'hui d'une grande priorité pour prévenir les dépôts de bilan des artisans et entrepreneurs du bâtiment, leur permettre de surmonter cette crise et participer, sur tous nos territoires, à la nécessaire reconstruction économique et sociale de notre pays."
Il y a 5 ans et 3 jours

Comment mieux isoler son domicile contre le bruit ?

Le bruit que font les enfants, la télévision allumée à toute heure ou la pratique du sport dans le salon augmentent le bruit dans les maisons, ce qui rend le travail à domicile plus difficile. Ne pas disposer d’un bon confort acoustique peut réduire notre concentration jusqu'à 48%, comme le souligne ROCKWOOL, leader de la fabrication d’isolants en laine de roche, un matériau durable et recyclable.Nous avons en tête que notre santé ne dépend que du régime alimentaire ou de l'exercice physique que nous faisons. Pourtant, un environnement bruyant peut causer, par exemple, des problèmes cardiaques. De plus, le bruit augmente le stress de 27% et diminue la productivité de 12%. Face à cette situation, améliorer l'acoustique des bâtiments en utilisant une isolation en laine de roche est une bonne méthode, car elle agit comme une barrière antibruit, isole et contrôle les vibrations. En raison de ses propriétés, ce matériau réduit l'impact acoustique provenant de l'extérieur ou du bâtiment lui-même.Le bruit, une nuisance invisibleLorsque nous choisissons une maison, nous le faisons en fonction du prix, de l'emplacement et des critères esthétiques, mais nous ne tenons généralement pas compte du confort acoustique qu'elle peut offrir. En réalité, c'est essentiel, car nous passons la majeure partie de notre temps à l'intérieur ; aujourd’hui, avec le confinement, ce phénomène a augmenté. Par conséquent, il est essentiel de miser sur des bâtiments durables, sûrs et confortables, pour ainsi augmenter la qualité de vie.La laine de roche, qui est au cœur des produits ROCKWOOL, est un matériau isolant et versatile qui absorbe le bruit. Son utilisation vous permet d’éviter d’entendre les pas des voisins sur le sol, les conversations dans la pièce d’à côté ou le déplacement de meubles, entre autres. Par conséquent, isoler correctement son logement est nécessaire pour se concentrer, être plus efficace au travail et être plus détendu.Comment isoler son appartement si les co-propriétaires s'opposent à la rénovation de l'immeuble ?Il n'est pas facile de convenir avec les voisins d'effectuer des travaux dans le bâtiment. Pour isoler votre appartement lorsque les voisins s'opposent à la réhabilitation complète du bâtiment, vous pouvez avoir recours à l'isolation par l'intérieur. Grâce à cette technique, il est possible de rénover uniquement l’appartement lui-même afin d’améliorer son confort acoustique et thermique. L'isolation en laine de roche, en raison de sa densité élevée est extrêmement résistante à la circulation de l'air, ce qui réduit et absorbe le bruit, rendant calmes les espaces auparavant bruyants.
Il y a 5 ans et 3 jours

Un nouveau président chez BDR Thermea France

Christophe de Fitte prend la direction générale de la filiale française du fabricant d'équipement pour le confort thermique et la production de l'eau chaude sanitaire.
Il y a 5 ans et 3 jours

Vitra : Chair Times

En ce temps propice au visionnage de documentaire, l’éditeur design Vitra dévoile « Chair Times », un film qui retrace l’histoire de la chaise à travers 125 objets issus de la collection du Vitra Design Museum. Du XIXème siècle aux créations les plus récentes, retour sur un artefact qui en dit long sur son époque. Véritables marqueurs de la mode et de l’éthique d’une société, les chaises sortent de nos salles à manger le temps d’un documentaire. Présenté par Vitra, « Chair Times » dévoile les facettes d’une pièce de mobilier qui permet de reconnaître et comprendre une époque. Structures sociales, matériaux, techniques, habitudes et styles sont tant d’éléments qu’une simple chaise permet de disséquer.Guidés par le président émérite de Vitra et l'ancien PDG Rolf Fehlbaum, de grands noms du design comme les créateurs Hella Jongerius et Ronan Bouroullec, l’architecte David Chipperfield ou encore les conservateurs du Vitra Design Museum Amelie Klein, Jochen Eisenbrand s’expriment et nous offrent des clés de compréhension inédites.De quoi passer le temps tout en s’instruisant ! Pour en savoir plus, visitez le site de VitraPhotographies : VitraZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 3 jours

Riou Glass imagine un verre chauffant auto-désinfectant

INNOVATION. La crise du Covid-19 challenge les services de R&D qui se démènent pour trouver des solutions innovantes visant à faciliter le quotidien. Dans ce cadre, Riou Glass annonce l'élaboration d'un verre chauffant auto-désinfectant. Détails.
Il y a 5 ans et 3 jours

ISOcomble sur les starting blocks pour la reprise d'activité

Cette période de crise sanitaire aura été un véritable défi pour bon nombre d'entreprises. Cependant, des dispositifs d'aide ainsi que des initiatives de la part de certaines sociétés ont permis de faire face à certaines difficultés. C'est pourquoi ISOcomble a particulièrement mis l'accent sur l'accompagnement complet de son réseau mais aussi auprès des particuliers, afin de préserver la santé et le bien-être de chacun malgré les tensions existantes.Suite à l'annonce du confinement et à la fermeture des agences, Stéphane Lagneaux, Directeur réseau ISOcomble, a tenu à garder un lien régulier avec les franchisés, en les informant par téléphone ou par email sur toutes les démarches possibles susceptibles de les aider. Puis, selon le souhait et la capacité de chacun, des chantiers ont pu reprendre chez les particuliers, en respectant à la lettre les mesures d'hygiène et de sécurité via les préconisations de l'OPPBTP (L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics). Stéphane Lagneaux précise : « Avant toute intervention, les équipes veillent à obtenir de la part du client la garantie de non contamination par le Covid-19 ainsi qu'un accord d'intervention. Nous insistons également sur la nécessité d'interagir le moins possible avec les experts ISOcomble sauf si nécessaire au moment de la signature des fins de travaux ou lors de l'état des lieux, en respectant les gestes barrières et en portant l'équipement de sécurité indispensable. »Grâce à des dispositifs clairs et précis informant les clients de manière détaillée sur le déroulement de la future intervention des équipes ISOcomble, tous les chantiers initialement prévus ont pu aboutir, soit un par jour par franchisé, et ce, dans de bonnes conditions sans que la qualité du travail effectué ne soit altérée. Par ces différentes actions, l'enseigne met en lumière ses atouts essentiels : la qualité des relations humaines via un accompagnement quotidien, l'ancrage local des agences de proximité ISOcomble et la qualité des travaux réalisés par des experts qualifiés pour rendre les habitats plus sains.Cela fait déjà plusieurs semaines que l'enseigne prépare sa reprise d'activité totale pour revenir au plus vite à des niveaux d'activité important. Dans ce sens, le réseau a axé ses réflexions autour d'actions de communication spécifiques permettant de valoriser le concept écologique, en plus de rappeler que l'opération « Coup de Pouce Isolation » se poursuit pour une isolation à partir de 1 euro.Un accent mis sur la communication digitaleEn vue d'optimiser la reprise d'activité totale des agences de proximité dès le 11 mai, le réseau a choisi d'accompagner ses franchisés sur tous les fronts. Notamment sur le volet digital avec un lancement prochain de campagnes SMS géolocalisées ainsi que des envois d'emailings ciblés, venant soutenir l'ancrage local des 20 agences existantes. Ces actions seront réalisées dans le but de gagner davantage en contacts qualifiés et d'accompagner au mieux l'ensemble du réseau en cette période transitoire. C'est pourquoi ISOcomble entend davantage occuper le terrain digital, plus que jamais dans l'air du temps, en accentuant sa présence sur les réseaux sociaux.Ces opérations ont pour but de se rapprocher des consommateurs vivant à proximité des agences et également de les rassurer sur les bonnes pratiques en cette période de reprise.Des atouts essentiels assurant la réussite du réseauTout en s'adaptant aux exigences actuelles face au contexte sanitaire, les équipes continuent d'assurer une isolation de qualité avec l'isolant le plus performant et durable existant sur le marché, ISOtextil, fabriqué à partir de chutes de vêtements neufs recyclés. Par ailleurs,il bénéficie d'un atout supplémentaire et non négligeable, une garantie de 15 ans, unique sur le marché.De plus, afin de répondre aux besoins des particuliers et s'adapter à tous les budgets, l'opération « Coup de Pouce Isolation » via les mécanismes de Certificats d'Economie d'Energie (CEE) se poursuit. Celle-ci participe amplement à la progression des agences ISOcomble tant en franchise qu'en succursale, témoin de l'engouement des consommateurs souhaitant bénéficier d'une isolation de qualité effectuée par des experts qualifiés et de proximité, à un prix minime.
Il y a 5 ans et 3 jours

Un nouveau directeur général pour BDR Thermea France

CARNET-NOMINATION. BDR Thermea France, fabricant d'équipement pour le confort thermique et la production de l'eau chaude sanitaire, annonce la nomination d'un nouveau directeur général France. Découvrez son parcours.
Il y a 5 ans et 3 jours

Du mobilier urbain en bambou à Marseille

Depuis quelques mois, un ensemble de petits mobiliers urbains parés de bambou orne la cité phocéenne pour le confort de ses habitants.  Dessinées par l’agence D&A (Devillers et Associés) développées, fabriquées et posées par la société SERI, leader du petit mobilier urbain, ces structures modulables allient solidité et élégance d’une structure en acier et d’une assise en bambou MOSO®. Baptisée PACHA, la nouvelle gamme de mobiliers modulables comprend une table de pique-nique, des bancs et banquettes, des chaises et tables basses dans un style contemporain, voire intemporel, aux finitions qualitatives et naturelles.  Une solution technique autour de l’acier et du bambou Développée dans le cadre d’un appel d’offres, la gamme de petits mobiliers urbains baptisée PACHA représente une solution pérenne pour résister aux intempéries sans accuser les outrages du temps. « L’entretien constitue l’un des points sensibles d’une assise et nous recherchions un matériau performant qui puisse répondre à cette problématique. Nous avons développé en collaboration avec l’agence D&A une solution technique fabriquée en France qui se démarque par la qualité du piétement en acier et de l’assise en bambou MOSO®, un matériau durable avec une longévité exceptionnelle. Cette solution s’est démarquée sur un certain nombre de points, en particulier la résistance et la durabilité qu’elle peut offrir avec une classe d’emploi 4, mais également sa dureté qui permet par exemple, de minimiser la taille du renfort central du banc, et ainsi, de gagner en esthétisme. » commente Stanislas PHILIPPE, Directeur Commercial chez SERI. Un procédé naturel et unique de thermo-traitement à 200°C appliqué sur la gamme MOSO® Bamboo X-treme® lui confère la plus haute classe de durabilité possible selon les normes européennes. L’un des grands avantages concerne son faible entretien. Etant donné que les propriétés ignifuges sont obtenues par le procédé de haute densité et le procédé thermique, il n’est pas nécessaire de procéder à un traitement ultérieur pour conserver ses caractéristiques. Résistants aux intempéries, les tasseaux Bamboo X-treme® sont également moins sensibles au vandalisme que de nombreux bois d’usage courant grâce à leur dureté. Enfin, la gamme PACHA a été créée avec une seule section de carrelets Bamboo X-treme (40*60) ce qui facilite l’entretien des différents mobiliers. Le choix de la solidité et de la performance environnementale Le choix du bambou MOSO® fait également écho au modèle de fabrication vertueux de SERI. Grâce à sa croissance rapide (jusqu’à 1m par jour) mais aussi parce qu’il dispose de propriétés avantageuses et supérieures à la majorité des bois, le bambou MOSO® est l’une des alternatives les plus prometteuses pour le développement durable. Sa culture ne provoque pas de déforestation et durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les bambous MOSO® ont un bilan carbone neutre sur l’ensemble de leur cycle de vie. Le bambou MOSO® est également facile à recycler, il peut être utilisé comme matière première pour faire des panneaux agglomérés ou brûlé dans une centrale d’énergie thermique ou dans un site de biomasse pour produire l’électricité. Enfin, fabriqués dans des usines ISO 9001 et ISO 14001, les produits sont conformes aux normes les plus strictes en matière de qualité, de sécurité et de protection de l’environnement.   À propos de D&A (Devillers & Associés) Fondée par Christian Devillers, Equerre d’Argent, Grand Prix de l’urbanisme, l’agence D&A dispose de compétences diversifiées pour répondre de façon globale et à toutes les échelles aux demandes de la ville d’aujourd’hui dans une dynamique multiscalaire et multidisciplinaire : du grand territoire aux villes et aux quartiers en renouvellement ou en reconversion, du traitement paysager et urbain des infrastructures de transport aux ouvrages d’art et de l’architecture … au mobilier urbain ! À propos de SERI La société SERI, issue des fonderies de Châtellerault, a été créée en 1921 par Jean LENOIR. Forte d’une expérience acquise dans la fabrication de produits industriels de grande qualité et toujours à l’écoute de son environnement, l’entreprise a développé son savoir-faire pour devenir depuis 1979 la référence comme concepteur et fabricant de mobilier urbain. Aujourd’hui, les collectivités locales, les bureaux d’études, les architectes et designers reconnaissent les compétences de SERI pour la conception et la fabrication industrielle de mobiliers urbains. SERI est considéré comme le spécialiste des grands aménagements urbains. www.seri.fr À propos de Moso Avec une expérience de près de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 80 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr  
Il y a 5 ans et 3 jours

La tuile Ténord Huguenot d'Edilians certifiée NF Faible Pente

L'unique modèle petit moule du marché certifié NF FPDernière née de la gamme des tuiles petits moules à relief d'EDILIANS, la TÉNORD Huguenot est une tuile à emboîtement produite dans le site de Wardrecques au cœur de l'Audomarois, dans les Hauts de France.Caractéristique des toitures de la région Nord, elle est la première et la seule tuile petit moule du marché à bénéficier de la certification NF Faible Pente et s'ajoute aux 12 modèles déjà certifiés d'EDILIANS. Sans aucune modification des pureaux de pose, la TÉNORD Huguenot peut être mise en œuvre jusqu'à 19% de pente ce qui autorise son installation sur des toitures plus plates, un atout pour répondre aux exigences des projets architecturaux plus contemporains.Une esthétique traditionnelleGrâce à un procédé de fabrication innovant sur moule en plâtre, la TÉNORD Huguenot offre un aspect de surface parfaitement lisse et une haute qualité de finition. Avec son nez fin, son cornet étroit et ses demi-lunes, son design respecte les codes traditionnels des toitures du Nord.S'inscrivant résolument dans le patrimoine historique de sa région, la TÉNORD Huguenot se décline dans une palette de 4 teintes brillantes (Flammé Rustique, Rouge, Anthracite, Terre d'Amarante) qui apportent une touche de modernité.Un jeu double et une pose simpleAux performances techniques élevées, la tuile TÉNORD Huguenot possède un double jeu de pose inédit de 20 mm longitudinal, au niveau du pureau, et de 4 mm latéral. Cette qualité de conception garantit une flexibilité de pose optimale ainsi qu'une simplicité d'installation en rénovation comme en neuf. En construction, son pureau maximum de 270 mm fait de la TÉNORD Huguenot la plus économique des tuiles du Nord (jusqu'à 18,7 tuiles au m²).Dotée d'un système de double emboîtement et recouvrement au service d'une étanchéité irréprochable, la tuile TÉNORD Huguenot peut être associée aux autres solutions pour la toiture et l'éco-habitat d'EDILIANS, telles que les accessoires (rive, plain plan, faîtage) et les écrans de sous-toiture.
Il y a 5 ans et 3 jours

Facilibot développe des solutions de désinfection qui pulsent

Sas de désinfection « minute », produit de désinfection express et sans danger, turbine de brumisation de désinfectant et même… drone pulvérisateur. Au Havre, une petite entreprise, spécialiste des autolaveuses robotisées, innove sur le secteur de la désinfection et développe des solutions facilitant la mise en place des protocoles sanitaires pour lutter contre le Covid-19 et donc la reprise des chantiers.
Il y a 5 ans et 3 jours

Les revenus d'Eiffage déjà affectés par le Covid-19 au 1er trimestre

Entre janvier et mars, le groupe, numéro 3 du BTP français derrière Bouygues et Vinci, a dégagé un chiffre d'affaires de 3,74 milliards d'euros, soit une baisse de 4,3% par rapport à un an plus tôt."La croissance enregistrée par le groupe au cours des deux premiers mois de l'année a laissé place à une chute brutale d'activité dès la mi-mars, à la suite des mesures mises en place pour limiter la propagation" du Covid-19, a résumé Eiffage dans un communiqué.Le groupe est affecté à deux titres. Ses chantiers ont été perturbés par le contexte sanitaire et son autre grande activité, l'exploitation d'autoroutes, a pâti de la réduction drastique des déplacements.Par contraste avec son concurrent Vinci, il n'a en revanche qu'une petite présence dans les aéroports et celle-ci se concentre en France, alors que de nombreuses incertitudes pèsent encore sur les voyages internationaux.Pour la suite, Eiffage, qui avait déjà annoncé que ses revenus et ses bénéfices baisseraient cette année, l'a confirmé, sans donner de nouvelle précision."Il apparaît difficile de projeter l'incidence de cette situation sur les résultats du groupe en année pleine", a-t-il conclu, prévenant d'une "forte dégradation d'activité attendue au deuxième trimestre".
Il y a 5 ans et 3 jours

Deux nouvelles versions de coulissants Sunflex en profilés alu

Sunflex décline son système SF 20 en deux nouvelles versions. Jusqu’alors disponible en tout verre, ce coulissant est désormais disponible en profilés alu afin de... Cet article Deux nouvelles versions de coulissants Sunflex en profilés alu est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 4 jours

La solution d'ITE Myral plébiscitée sur les chantiers C.O.B pour ses qualités esthétiques et sa facilité de pose

Les deux maîtres d'ouvrage ont été accompagnés pas à pas par les équipes (chargé d'affaires, bureau d'études, formation) de l'industriel pour un résultat final en parfaite adéquation avec leurs objectifs environnementaux et esthétiques. Alors que le matériau bois est en nette progression dans le bâtiment en France (+19.4% PDM dans le collectif), la solution d'ITE Myral est parfaitement compatible avec ce type de projet tant sur le plan technique qu'esthétique grâce à un système de fixation unique. Cette compatibilité s'accompagne d'une grande facilité de mise en œuvre permettant de respecter des délais ambitieux.Le Groupe scolaire Simone Veil labellisé E3C1, Argenteuil (95)L'architecte en charge du projet, Joël Mischke, souhaitait faire oublier l'image de l'ancien site industriel sur lequel le groupe scolaire est maintenant implanté. Au total, l'ensemble livré en septembre dernier est d'une surface de 5 833 m² et s'inscrit dans une démarche environnementale très forte, qui s'est concrétisée par l'obtention du label E+C- avec un niveau E3C1.Les choix des matériaux utilisés par l'architecte se sont tournés vers cet objectif, notamment avec le bois. Pour le revêtement de façade, Joël Mischke a trouvé dans la solution Myral un bardage compatible avec son projet, et qui puisse laisser libre court à sa créativité grâce à la large gamme de finitions proposées. « Pour la plus grande partie des bardages, j'ai donné la priorité au blanc, le zinc patina est utilisé en R+2 pour marquer quelques points singuliers comme le logement du gardien, et avec le poli miroir, j'ai obtenu un reflet du ciel très intéressant qui permet de casser l'effet de masse de l'ensemble… ». Chaque étage de l'édifice est paré de bardages aux finitions et coloris différents, offrant à l'ensemble un jeu de volumes intéressant. Si l'architecte a été convaincu par le rendu esthétique de la solution Myral, il a tout autant apprécié la facilité de mise en œuvre du revêtement de façade, grâce à ses panneaux facilement manipulables. Ils ont permis de gagner du temps dans le déroulement du chantier et d'avoir le bâtiment prêt pour la rentrée 2019. La Société Normande Poulingue, spécialisée dans la conception et réalisation sur le marché de la construction bois, représentée sur site par Mr Baugard Antoine, a mis en œuvre avec brio l'ensemble des façades. La facilité et la rapidité de mise en œuvre ont permis à l'entreprise de réaliser les bardages en part propre en évitant la sous-traitance.Un immeuble bas carbone pour répondre aux exigences du futur, Méricourt (62)L'immeuble est un ensemble de 3 étages réalisé dans le cadre d'un éco quartier qui comprend 36 logements. Sur ces bâtiments, la solution Myral en pose bardage ventilé a été choisie pour une surface totale de 1 858 m². Dans une logique d'aménagement innovant, le maire de Méricourt souhaitait une qualité de bâti qui réponde aux exigences du futur. Le cahier des charges visait à obtenir un bâtiment bas carbone à haute performance énergétique. Objectif atteint, puisque l'immeuble arrive aujourd'hui à une base RT 2012 -20%.Martial Schillinger est le promoteur à l'origine du projet, accompagné par le Groupe Alsacien Mathis, spécialiste en construction bois en conception réalisation. Ils ont été séduits par la facilité de mise en oeuvre de la solution Myral grâce aux lames d'un seul tenant de 10.86 mètres sur toute la hauteur du bâtiment, et au système de fixation simple et non apparent. Le large choix de finitions a permis de donner du caractère à l'ensemble : « L'esthétisme plaisait à tout le monde. Ces revêtements métalliques changent un peu de ce que l'on a l'habitude de voir : il s'agit d'un vrai parti-pris esthétique ». Le choix s'est porté sur des panneaux aspect zinc et aspect or pour faire le contraste avec la rythmique bois autour de l'immeuble. Alors que les bâtiments en béton autour de l'immeuble sont parés d'un revêtement bois, cet immeuble, le seul avec une structure 100% bois, est couvert d'un revêtement métallique, en faisant un bâtiment totémique de la ZAC. Le mariage entre les parements aspect or et aspect zinc confère une véritable signature architecturale à l'ensemble.« Les élus et l'agence d'Architecture Houyez apprécient le niveau de qualité perçu. Et cela nous a conforté dans notre volonté d'inclure cette solution dans nos futurs programmes. Soit en 100%, soit en mix avec d'autres produits.» - Martial Schillinger, promoteur construction bois à l'origine du projet de Méricourt
Il y a 5 ans et 4 jours

Avec WICONA le groupe scolaire et centre de loisirs Simone Weil se refait une beauté

En première couronne parisienne, Champigny-sur-Marne (94) s’inscrit dans la dynamique du Grand Paris. À deux pas du centre-ville et d’une future gare du Grand Paris Express, le quartier des Courtilles renforce ses équipements. Parmi eux : le premier groupe scolaire/centre de loisirs ouvert depuis 1974 sur la ville, dédié à l’accueil des enfants de maternelle et de primaire. Conçu par le cabinet d’architecture Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe), le projet devait prendre en compte la montée des effectifs des prochaines. Outre les exigences d’un bâtiment HQE, le cahier des charges demandait d’optimiser la mutualisation des espaces, la robustesse de l’ouvrage, sa facilité de maintenance. Fonctionnalité et pérennité sont donc les maitres mots de ce bâtiment, qui se devait aussi d’illustrer l’école républicaine, comme le souhaitait la municipalité. « Nous avons répondu avec un bâtiment qui interprète les codes de l’école de la république comme devant être imposante mais aussi précieuse, et d’un coût tout à fait compétitif, en construction et en maintenance. La réversibilité du bâtiment est un autre point qui nous tient à cœur au sein de l’agence, surtout pour un bâtiment public : il n’était pas question de laisser aux successeurs une carcasse non manipulable ! » déclare l’architecte Bernard Valero. Groupe Scolaire et centre loisirs Simone Weil / © Olivier Rolfe Large palette de solutions en aluminium WICONA Pour répondre à ces impératifs, une multitude de matériaux résistants ont été employés, des sols aux plafonds, en passant par les murs et façades. Parmi eux : une large palette de solutions en aluminium WICONA a été retenue. En effet, trois versions du système de mur-rideau MECANO (ossature 52 mm) sont utilisées. La solution de façade lisse MECANO VEC se hisse sur plus de 450 m2 sous le ruban de brise-soleil verticaux dorés apposé sur les façades sud et ouest de l’école primaire. Particulièrement performant en termes d’étanchéité et d’isolation, MECANO serreur ponctuel éclaire les rez-de-chaussée en intégrant des portes WICSTYLE 65. La version MECANO serreur filant, qui autorise des prises de volume importantes (jusqu’à 42 mm), a permis de réaliser la verrière de 19 m2 disposée en éclairage zénithal d’un escalier intérieur. Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe Diversité toujours côté châssis, avec les solutions WICLINE 65 HI (haute isolation) fixes et à frappe et les coulissants WICSLIDE 65, tantôt seuls, souvent intégrant un garde-corps vitré, parfois associés dans des ensembles composés coulissant/fixe/ ouvrant pompier. Des solutions feu complètent le dispositif (portes et châssis WICSTYLE 77 FP). Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe   Maître d’ouvrage : Ville de Champigny-sur-Marne (94) Architecte : Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe, 75) Entreprise : STM, groupe Roger Delattre (Faches-Thumesnil, 59) Photographe : Olivier Rolfe
Il y a 5 ans et 4 jours

Surélévation en bois d’une maison australienne près de Melbourne

Nichée derrière une maison en bois dans le nord-est verdoyant de Melbourne, en Australie, ces surélévation et extension modulaire, à la fois audacieuses et raffinées, ont été conçues par les architectes de Modscape. [De l’architecte] Ayant besoin d’un espace supplémentaire pour leur famille grandissante, les propriétaires ont décidé d’utiliser une solution modulaire et d’agrandir leur […]
Il y a 5 ans et 4 jours

Covid-19 : Apave et AFNOR lancent un label dédié à la sécurité sanitaire

Objectif : inspirer confiance, avec la délivrance d'une attestation et sa déclinaison visible (macaron) attestant qu'une entreprise de BTP applique à la lettre les règles sanitaires spécifiques au Covid-19.Comme de nombreux autres secteurs de l'économie française, les acteurs du BTP reprennent progressivement leurs activités après près de deux mois de crise sanitaire, mais doivent le faire en appliquant les mesures de protection contre le Covid-19 sur le lieu de travail et sur les chantiers. Pour tous ceux qui désirent montrer qu'ils les appliquent scrupuleusement, et ainsi rassurer leurs interlocuteurs et leurs clients, la vérification sur site par un organisme reconnu tierce partie est une excellente solution. Avec, si l'exercice est concluant, l'octroi d'un label reconnaissant ces bonnes pratiques. L'entreprise bénéficie ainsi du regard affûté d'un évaluateur impartial.Pour développer ce label, AFNOR Certification et Apave Certification, deux acteurs majeurs de la certification dans le secteur de la construction, ont bâti un cahier des charges adapté à la vérification des dispositions prises au niveau des entreprises (bureaux, dépôts et ateliers des entreprises, chaînes logistiques d'approvisionnement des matériaux ) et des chantiers (bases vie, bungalows de chantier ...) en capitalisant sur des documents sectoriels comme le guide de l'OPPBTP et les fiches métiers de la Direction Générale du Travail (DGT). Les évaluateurs missionnés dans les entreprises qui en feraient la demande s'y sont formés. « Je me réjouis de ce partenariat entre deux acteurs de premier plan, tous les deux tiers de confiance auprès des acteurs économiques du secteur de la construction et désireux d'amorcer une reprise saine, ambitieuse et résiliente, de nature à rassurer collaborateurs, clients et partenaires et qui doivent reprendre leurs chantiers dans les meilleures conditions », commente Franck Lebeugle, Directeur général d'AFNOR Certification.« Dans le contexte de reprise d'activités post crise Covid-19, ce partenariat entre Apave et Afnor est une excellente nouvelle. Nos équipes ont à cœur d'accompagner le secteur du BTP dans cette période si particulière. La mise à disposition de nos compétences communes et complémentaires en Certification, Bâtiment et Génie Civil et QHSE, s'inscrit dans la volonté commune de nos structures d'accompagner la reprise d'activités en toute sécurité et de soutenir la relance économique qui y est associée », déclare Philippe Maillard, Directeur général d'Apave.
Il y a 5 ans et 4 jours

Ubalt Architectes : INSEP x ADIDAS

Depuis janvier 2020, l'Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance (INSEP) bénéficie de nouvelles infrastructures, à la fois fonctionnelles et graphiques, conçues par Ubalt Architectes. Le studio parisien d’architecture Ubalt Architectes s’est associé à l’agence événementielle Ubi Bene pour rénover plusieurs espaces de l’INSEP dans le cadre de son partenariat avec la marque de sport adidas. Les équipes Ubalt Architectes ont pensé l’esprit du lieu autour des couleurs communes à l’INSEP et adidas, le blanc et le bleu. Du choix des couleurs à la sélection des matériaux, les architectes ont ainsi décidé de puiser leur inspiration dans les univers graphiques des deux entités pour mieux illustrer ce co-branding. Tout l’enjeu de la réhabilitation a donc consisté à concevoir un lieu fonctionnel à l’identité visuelle forte. Destinées à accueillir des sportifs de haut niveau, les nouvelles infrastructures de l’INSEP se composent de plusieurs espaces aux formes géométriques simples : une maison de vie, une salle de réunion, des vestiaires et des couloirs. La maison de vie des jeunes sportifs est un espace ouvert structuré selon les différentes activités des athlètes. Au centre de la salle est installée une grande cage de tôle déployée, qui comprend des tables hautes réservées aux repas ou aux moments de travail. De part et d’autre de la cellule, il y a une salle de jeu et un solarium. Avec son sol bleu, sa tôle déployée et son mobilier en carrelage immaculé, la salle de réunion baptisée du nom de la célèbre athlète française Micheline Ostermeyer répond à la décoration de la pièce principale. Dans les couloirs remaniés de la Halle Pajol, le bleu domine, rappelant une fois encore le partenariat entre l’institut français et la firme allemande. Les architectes ont recouvert les murs, les bancs et les douches des vestiaires de carrelage blanc, tandis que le grès du sol remonte le long du mur. Seules quelques touches discrètes de bleu contrastent avec les teintes sobres de la pièce. Tous les nouveaux espaces de l’INSEP sont animés par un subtil jeu d’associations de lignes graphiques, de matériaux bruts et de couleurs franches, qui crée l’esprit du lieu. L’endroit se veut fonctionnel, mais devient singulier grâce à la grande liberté prise par Ubalt Architectes pour réinterpréter le complexe sportif à l’image des deux structures. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Ubalt Architectes et celui de l’agence événementielle Ubi Bene. Photographies : Yohann Fontaine Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 4 jours

Covid-19 : Face à la crise, travailler plus ou travailler moins ?

Sur le temps de travail, le Medef a tiré le premier il y a un mois par la voix de son président, Geoffroy Roux de Bézieux, qui a estimé qu'il faudrait "poser la question du temps de travail, des jours fériés et des congés payés" pour accompagner la reprise.Devant le tollé -- "indécent" a claqué le numéro un de la CFDT Laurent Berger-- il a vite remballé sa proposition, aussi promue par l'Institut Montaigne.Sauf que depuis, des mauvais chiffres des demandeurs d'emplois sont arrivés, les prévisions de croissance plongent (-6 points de PIB pour les deux mois de confinement) et la crise de l'emploi se profile.Les idées ressortent.Si la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, martèle depuis deux mois que l'exécutif fait tout pour éviter les licenciements, elle a discrètement lâché cette semaine qu'elle ne pouvait "pas affirmer qu'il n'y aurait pas de licenciements dans les entreprises en difficulté".Vieux routier des relations sociales en France, et ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy, Raymond Soubie s'est même étonné de ne voir "personne anticiper" les plans sociaux, et la situation des entreprises qui seront face à des "marchés durablement réduits".Lui pronostique la disparition de "dizaines de milliers, et probablement des centaines de milliers d'emplois". Si bien qu'il préconise de revoir "d'urgence" les règles des plans sociaux pour les entreprises les plus en difficultés, et pour les autres de passer des accords prévoyant des efforts des entreprises sur l'emploi en échange d'efforts des salariés sur le temps de travail."C'est le monde d'après avec les recettes d'avant-hier!", a persiflé auprès de l'AFP un cadre de FO, qui craint de son côté les licenciements au compte-goutte dans des petites entreprises.Les accords de "performance collective" (ex-accords de maintien de l'emploi, préservation de l'emploi, mobilité), dénommés ainsi depuis les ordonnances travail de 2017, peuvent déjà porter sur la durée du travail et la rémunération."Confinement des esprits"La ministre du Travail, pour qui la durée légale du travail "n'est pas un problème", rappelait récemment que ce "dispositif s'inscrit dans le paysage" avec 13 accords en avril et 356 depuis le début de l'année.Dans un entretien au Monde, le président du Medef explique d'ailleurs mercredi qu'il faut voir la situation par secteur."Dans certains secteurs, la demande peut être soutenue, mais les contraintes sanitaires font que la productivité baisse: ce sont dans ces secteurs-là que la question du +travailler plus+ peut se poser, mais elle ne peut l'être qu'avec les salariés et entreprise par entreprise".A droite, les propositions se multiplient. Christian Jacob, le président de LR, plaide pour "sortir du carcan des 35 heures", et son parti planche sur un plan de relance, avec notamment les contributions de l'ex-ministre du Budget Eric Woerth.Mais l'allongement de la durée du travail n'est pas du goût de Laurent Berger, qui parle de "confinement des esprits" et de "vieilles lunes". Pour lui aussi, on "tarde trop" à se préoccuper de l'emploi alors que "le risque de faillites en cascade et son lot de drames sociaux et territoriaux se confirme"."Si on pense que l'on va s'en sortir positivement en promettant de la sueur et des larmes, on est chez les fous", estime-t-il dans l'hebdomadaire La Vie.Plutôt que de vouloir allonger la durée du temps de travail, "nous devons apprendre à travailler autrement et à travailler mieux", argumente-t-il, particulièrement inquiet de la situation des jeunes.Il promeut les propositions du "pacte pour le pouvoir de vivre", aux côtés d'une cinquantaine d'organisations, comme celle de favoriser les emplois dans la rénovation thermique des logements.Fidèle à sa position sur la semaine de 32 heures, la CGT milite pour travailler moins. "Comment va-t-on faire croire aux gens que si ceux qui ont du travail travaillent plus, ça va libérer de la place pour ceux qui n'en ont pas ?", cingle Philippe Martinez, son numéro un.
Il y a 5 ans et 4 jours

30.000 conseils municipaux installés fin mai

ÉLECTIONS MUNICIPALES. Le Premier ministre a confirmé le 12 mai que le gouvernement allait autoriser l'installation des conseils municipaux élus dès le 15 mars 2020 d'ici à la fin du mois. En revanche, aucune date n'est encore fixée pour finaliser l'élection dans les près de 5.000 communes qui devaient connaître un second tour initialement le 22 mars.
Il y a 5 ans et 4 jours

Fort impact du covid-19 sur le chiffre d'affaires d'Herige au 1er trimestre 2020

ACTIVITE. Le groupe Herige a dévoilé son chiffre d'affaires pour le premier trimestre 2020. Sans surprise, la crise sanitaire du coronavirus a fortement impacté les activités. Découvrez les principaux chiffres par activité.
Il y a 5 ans et 4 jours

Covid-19 : l'ingénierie alerte sur un risque de l'effondrement de l'économie

Alors que 70% des entreprises d'ingénierie enregistrent une chute de leurs prises de commandes publiques et privées, 90% d'entre elles anticipent un ralentissement durable de leur activité et craignent un effondrement économique global. L'ingénierie intervient dans tous les domaines d'activité (aéronautique, automobile, environnement, construction, BTP, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.) et dès les phases d'études et de conception.« "Quand le bâtiment va, tout va." Qui n'a jamais entendu cette phrase ? Ce que l'on sait moins, en revanche, c'est que quand l'ingénierie ne va pas, c'est l'économie toute entière qui n'ira pas, à moyen et long terme. L'ingénierie intervient à toutes les étapes des projets industriels et de construction et ce, dès leur genèse. 50% de projets d'ingénierie en moins aujourd'hui, c'est 50% de construction et d'installations en moins demain dans le BTP, l'industrie, l'énergie, etc. Notre secteur est un indicateur avancé de tendance de l'activité économique et du monde de demain. » explique Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.Une profession touchée de plein fouet par la crise…L'ingénierie accompagne maîtres d'ouvrages et industriels dans la conception et réalisation de leurs projets. Gel des contrats, suspension des appels d'offres en cours, report du second tour des élections municipales… Le baromètre révèle que 90% des entreprises d'ingénierie anticipent une baisse de leur activité au second semestre 2020 et plus d'1 entreprise sur 2 estime que cette contraction excédera 50%. Cela s'explique principalement par la baisse des commandes aussi bien dans le secteur privé que public, qui touche 70% des répondants.Pour préserver l'emploi et maintenir leur force de frappe, les entreprises d'ingénierie ont recouru massivement au télétravail, chaque fois que cela était possible. 54% de leurs collaborateurs sont ainsi en télétravail, mais avec un taux d'occupation qui s'amenuise au fil des mois. Et 30% d'entre eux sont désormais au chômage partiel.Le baromètre met également en lumière des problématiques de trésorerie pour les ingénieristes, qui sont des sociétés de services intellectuels sans réserve financière et qui ne peuvent pas stocker leur production. 62% des répondants ont demandé des délais de paiement pour les échéances sociales et/ou fiscales, 33% ont eu recours aux fonds de solidarité et 23% au prêt garanti par l'État. Plus d'1 entreprise sur 2 sera en difficulté de trésorerie sous 6 mois, sans reprise de l'activité économique.Notons que la mise en place des mesures de sécurité sanitaire en vue de la reprise entrainera des coûts supplémentaires, pouvant atteindre pour une entreprise 200€ par salarié par mois.…qui alerte sur les risques d'une reprise trop lente de l'activité économiquePartenaires des donneurs d'ordre publics et privés, les entreprises d'ingénierie sont mobilisées pour préparer l'après-crise et 60% d'entre elles ont déjà préparé un plan de relance. Dans ce contexte d'incertitudes et de gel des commandes, elles anticipent néanmoins un redémarrage économique lent et étalé sur plusieurs mois. Pour plus d'un tiers des entreprises, celui-ci n'aura pas lieu avant au moins un an. Une reprise jugée bien trop lente par la profession et qui mettrait en danger l'ensemble des filières économiques.Pierre Verzat explique : « Maîtres d'ouvrages et industriels doivent à tout prix maintenir leurs projets d'investissement, sous peine d'asphyxier l'ensemble du tissu économique de nos territoires et d'entrainer la disparition de beaucoup d'entreprises, souvent des PME, qui créent de l'emploi en local. »Pour un plan de relance qui garantisse le maintien de l'activité économique et soutienne la santé économique des entreprises Pour amorcer la relance, les entreprises d'ingénierie appellent à travers leur fédération professionnelle à :Garantir un maintien de l'activité économique, à travers :La mise en place des conditions de soutien à la commande publique : Relever le seuil de dispense de procédure pour la passation des marchés publics de prestations intellectuelles actuellement à 40K€, à 100K€ HT, jusqu'à la fin de la crise sanitaire.Garantir le bon fonctionnement des Commissions d'appels d'offres.Proroger d'un an les accords-cadres signés avec les acheteurs publics, expirant dans le courant de l'année 2020La simplification et l'accélération des procédures administratives pour favoriser la relance économiqueAssouplir de manière transitoire la règle du plafonnement des évolutions de contrats de prestations intellectuelles.Accélérer l'adaptation de l'administration au télétravail et plus largement la dématérialisation des procédures administrativesSoutenir la santé économique des entreprises en garantissant un niveau suffisant de trésorerie et un accompagnement vers la repriseProtéger la trésorerie des entreprises pour absorber le choc lié à la crise du Covid-19Garantir l'application de la réglementation concernant les délais de paiement afin d'alimenter la trésorerie des entreprisesPoursuivre les projets en phase travaux en autorisant les surcoûts de travaux liés à la réorganisation des chantiers, du fait du Covid-19 Accompagner les entreprises vers la reprise d'activitéPrévoir des modalités de sortie graduelle du dispositif exceptionnel d'activité partielle après le 31/12/20.Proposer des outils d'accompagnement aux entreprises en difficulté ou souhaitant être coachées pour la reprise.Développer l'innovation pendant la période de crise sanitaire à travers des mécanismes dédiés comme le Crédit impôt recherche (CIR).Retrouvez l'intégralité de la contribution de Syntec-Ingénierie.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents au cours de la semaine du 27 avril. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 5 ans et 4 jours

AMB Moustiquaire : fabricant historique de moustiquaire français

Nous sommes l’un des fabricants historiques  de  moustiquaires sur la France, celui qui propose le plus large choix de moustiquaires. Depuis maintenant plus de 25 ans, nous proposons une large gamme de produits de haute qualité. Outre cette qualité, nous travaillons en circuit court, avec des fournisseurs européens principalement espagnols et italiens pour nos aluminium et nos toiles. Nous créons et assemblons nos moustiquaires à vos mesures dans des délais réduits et avec une visibilité sur l’avancée de votre commande H24 ! Moustiquaire enroulables pour fenêtres : Voici notre moustiquaire enroulable sur mesure. Elle est vendue en kit, avec des largeurs différentes adaptées à toutes dimensions de fenêtres. Moustiquaire alu à enroulement : Ce modèle est une moustiquaire de gamme professionnelle à enroulement vertical pour fenêtre, dotée d’un frein de remonté viscodynamique. 3 coloris sont disponibles à la vente de série (Blanc 9010 – Ivoire 1013 – Marron 8014) mais d’autres coloris sont disponibles, pour ceux-là, veuillez nous contacter. Moustiquaire à toile plissée et à manoeuvre latérale double : C’est une moustiquaire à toile plissée et à manoeuvre latérale, nous avons un modèle sur mesure uniquement. Produit de grande qualité, facile à poser, elle est disponible dans plusieurs coloris. Elle est parfaite pour les grandes ouvertures comme les baies vitrées ou porte-fenêtres. Modèle à 2 vantaux à fermeture centrale, elle se manoeuvre latéralement grâce à sa poignée intérieure et extérieure. Pour faciliter le passage, en particulier pour les personnes à mobilité réduite, elle dispose d’un seuil plat (3mm seulement). Facile d’entretien, le bloc toile peut se démonter par simple declipsage. Moustiquaire en aluminium fixe : Une moustiquaire fixe en aluminium pour petites fenêtres à assembler soi-même. Dotée d’une toile en fibre de verre enrobée de pvc et d’un panneau fixe. Elle est une solution idéale pour vos petites ouvertures, pour des endroits sombres ou très peu fréquentés. (Cellier, Grenier, Sous-sol, Garage…). Moustiquaire alu enroulable sur mesure de luxe – Porte / Baie vitrée : Le modèle vertical pour fenêtre est le produit idéal. Doté d’un caisson, de coulisses en aluminium laquée et d’une toile en fibre de verre enrobée de pvc pour résister à toutes les conditions climatiques. La Concerto luxe est livrée avec un frein de remontée pour un confort d’utilisation et pour une meilleure tenue dans le temps. Moustiquaire vendue en kit, avec des largeurs différentes adaptées à toutes dimensions de fenêtres. Ce kit est recoupable soit par vous-même (en suivant les instructions de la notice), soit par AMB MOUSTIQUAIRE (en option) en indiquant les dimensions précises. Concerto luxe est garantie 5 ans (sauf toile). Pour découvrir et choisir vos moustiquaires, www.ambmoustiquaire.fr, vous avez une interrogation, une question appelez-nous au 05 63 81 19 61 ou écrivez nous par E-mail : contact@ambmoustiquaire.fr, nous répondrons à toutes vos interrogations.
Il y a 5 ans et 4 jours

Covid-19 : Le Sénat souhaite mettre la transition écologique au cœur de la relance

Parallèlement à un suivi « à chaud » de la gestion immédiate de cette crise et de ses impacts sur les différents secteurs qui relèvent de sa compétence (cliquer ici), la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat lance des travaux d'analyse des impacts profonds de cette crise et des leçons qui devront en être tirées pour le climat dans le cadre de la relance.Considérant que la crise actuelle constituait une sorte de répétition générale de crises potentiellement plus graves à venir, Gaël Giraud a plaidé pour la réindustrialisation verte de notre pays. La rénovation thermique des bâtiments, la mobilité verte et la formation professionnelle, pour disposer de main d'œuvre qualifiée dans le secteur du bâtiment par exemple, sont pour lui des priorités.L'indispensable relocalisation d'une partie de notre économie pourrait conduire selon lui à des nationalisations stratégiques. « Depuis une quarantaine d'années, l'État est devenu l'assureur général du secteur privé », a-t-il estimé, considérant qu'une réflexion devait être menée pour définir un nouveau dialogue et de nouvelles méthodes de collaboration entre l'État et le secteur privé pour une vraie industrie dont les coûts fixes seraient pris en charge collectivement.Interrogé sur la conditionnalité environnementale des aides accordées par l'État aux entreprises, Gaël Giraud a évoqué une difficulté, aujourd'hui à la main des États : celle de la pénalisation de la vertu écologique liée à la concurrence. « Il faut des critères quantitatifs clairs pour mesurer la profondeur des engagements des entreprises ».Interrogé à ce sujet par de nombreux sénateurs, il a estimé que, contrairement aux orientations prises à ce stade par la Commission européenne et par Bercy, le problème de la dette publique – que l'austérité budgétaire ne saurait résoudre dans un contexte déflationniste – n'était pas aujourd'hui le plus important et que la priorité devait aller au désendettement du secteur privé jusqu'à ce qu'il puisse réinvestir dans l'économie. Selon lui, malgré le matraquage médiatique sur le sujet, il n'y a pas d'hostilité de l'opinion publique à la dette, notamment dans un contexte où le chômage risque de devenir la principale hantise. Il a en revanche plaidé pour une annulation de la part des dettes publiques détenues par la Banque centrale européenne.Il a partagé les craintes exprimées sur un retour du plastique dans le cadre de la relance : « refaire dépendre une partie de notre économie du pétrole est la pire des mauvaises idées aujourd'hui ».Gaël Giraud s'est également montré favorable à l'outil de la taxe carbone, à même de fournir des recettes fiscales à l'État, lui permettant de financer des chèques énergies pour les contribuables pénalisés, au développement de monnaies locales dans les collectivités territoriales ainsi qu'à une non comptabilisation des investissements verts de long terme dans le cadre du pacte de stabilité et de croissance : « dans une entreprise, on ne met jamais sur un pied d'égalité les dépenses d'investissement de long terme et les dépenses courantes ».Interrogé sur ce sujet, il a estimé qu'aucun argument économique ne plaidait pour un allongement du temps de travail, créateur de chômage.Il a également mis en lumière l'importance d'une reconstruction de la coopération internationale, négligée ces dernières années. « Nous avons réduit la mondialisation à la simple globalisation marchande : or, elle ne se réduit pas à cela ». Il a ajouté : « On ne pourra pas venir à bout d'une pandémie comme celle du Covid‑19 sans une coopération de tous les pays de la planète ».L’audition (en vidéo) de M. Gaël Giraud, économiste
Il y a 5 ans et 4 jours

Charte de reprise FFB-CDC Habitat : un cadre de dialogue essentiel, mais qui ne suffit pas

Quel partage des responsabilités liées aux arrêts de chantiers ? Quelle prise de risque pour chacune des parties ? Est-il possible, et sous quelles conditions, d'organiser la continuité des études et des instructions, voire la reprise des travaux sur certains chantiers ?Une charte a ainsi été élaborée pour que toutes les parties puissent ensemble identifier les freins et contraintes liées à la reprise, disposer d'une lecture partagée du guide de l'OPPTBTP et ainsi s'accorder sur les principes d'une bonne gestion commune de cette situation exceptionnelle. Nous ne réussirons collectivement que si nous partageons les mêmes valeurs, celles d'un dialogue local permanent.Ce cadre volontariste ne doit toutefois pas faire oublier que, sur certains chantiers, les premières estimations font apparaître des surcoûts significatifs, correspondant aux frais liés à la prise en compte du risque sanitaire (distanciation sociale, achat de masques, de gants, rotations supplémentaires des camionnettes, etc.) et à la réorganisation des chantiers (mobilisations supplémentaires de personnels et de matériels, hausse du coût des matières, prolongation des frais financiers …).À travers cette charte, les entreprises du BTP et CDC Habitat se donnent un référentiel partagé pour objectiver ces surcoûts.Afin que ce cadre de négociation puisse aboutir à une déclinaison locale constructive, un soutien des pouvoirs publics sera également indispensable, pour éviter une contraction sensible de l'appareil productif, qui induirait des pertes d'emploi massives et une érosion des compétences cependant nécessaires au déploiement des grandes politiques publiques, notamment en matière de performance énergétique et environnementale.
Il y a 5 ans et 4 jours

2019 a été l’année d’une croissance retrouvée pour le marché du bricolage

En pleine crise sanitaire impactant tous les commerces, la FMB et INOHA dévoilent l’étude du marché du bricolage 2019 laissant apparaître une croissance solide jusqu’à l’arrivée du Covid-19. Alors que les deux premiers mois de l’année 2020 affichaient une progression dans la continuité de celle de 2019, la pandémie a freiné cette dynamique : avec une augmentation de 3,4% de son chiffre d’affaires par rapport à 2018, le marché du bricolage avait renoué avec la croissance et atteignait 28 milliards d’euros après plusieurs années atones depuis la crise de 2008. 2019 : un marché qui repartait à la hausse En 2019, la croissance du marché du bricolage a été soutenue par les ventes records enregistrées dans l’immobilier ancien : pendant 24 mois consécutifs, le volume de transactions s’est situé à un niveau très élevé, dépassant depuis juin 2019 la barre du million de transactions sur 12 mois glissants. L’achat de logements anciens implique généralement de nombreux projets de travaux qui s’inscrivent dans un contexte positif. L’indice de confiance des ménages s’est restauré en 2019 malgré les mouvements sociaux qui ont émaillé la fin de l’année. Après une croissance modérée en 2018 (+2%), la consommation de biens d’équipement du logement augmente (+5%). Enfin, la météo s’est elle aussi montrée très favorable en 2019, notamment sur les mois d’été propices à la réalisation de travaux. Dans ce contexte positif, le marché du bricolage a atteint en 2019 un chiffre d’affaires de 28 milliards d’euros (+3,4%), tous circuits confondus. Il représentait le secteur le plus dynamique dans l’habitat. Les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit de distribution n°1 du bricolage Les Grandes Surfaces de Bricolage captent l’essentiel des achats bricolage, distribuant 74% du marché. Les écarts de performance s’atténuent entre circuits de distribution. Après une année stationnaire en 2018, le taux de progression de la GSB (+2,5%) est très proche de celui enregistré par les négoces (+3,5%). Après des années de croissance, la dynamique du secteur du e-commerce ralentit (+11,8% vs 18% en 2018). 2019 : une embellie pour presque tous les rayons avec un grand gagnant : le confort thermique En 2019, presque tous les rayons ont profité de l’embellie du marché à l’exception de celui de la Peinture/Droguerie/Colles qui reste en léger retrait (-0,3%). Le grand gagnant est le Confort Thermique (+5,5%). L’augmentation des températures relevées ces dernières années continue à favoriser la vente d’appareils de climatisation et de ventilation. Liés aux travaux de rénovation, les rayons Plomberie/Salle de bains/Cuisine (+4,6%), Quincaillerie (+4,4%), Bâtiment (+3,8%), et Electricité (+3%) affichent également de belles progressions. Les rayons Décoration (+3,2%), Revêtements (+3,1%), Bois & Menuiserie (+3%) profitent également des tendances décoratives telles que les verrières intérieures et le grand retour du papier peint. Grâce à une météo favorable, le rayon Jardin (+3,5%) tire également son épingle du jeu. 2020 : un million de projets potentiels Un million de logements ont été vendus en 2019. Sur ce nombre de transactions, une partie représentait un réservoir de travaux pour 2020. Les conditions étaient donc réunies pour que la croissance du marché du bricolage enregistrée en 2019 se poursuive. Malgré de forts taux de croissance en janvier et février 2020, la dynamique du marché a été freinée par l’arrivée de la crise sanitaire et les mesures de confinement prises dès le 16 mars par le gouvernement. Cette crise va profondément affecter toute l’économie française, y compris le marché du bricolage. Cependant, à moyen ou long terme, ce réservoir de projets devrait permettre de redynamiser ce secteur. « Dans le contexte de crise sans précédent que nous vivons actuellement, nous pouvons néanmoins nous féliciter des très bons résultats 2019 qui confirment la place essentielle des GSB sur leur marché. Les premiers mois de 2020 prolongeaient cette tendance positive, qui a malheureusement été fortement freinée par l’arrivée du Covid-19. Mais on soulignera que dans cette crise, les enseignes de bricolage ont fait preuve de réactivité et développé leur agilité pour répondre aux défis inédits qui s’imposent à tous les acteurs de l’économie, et continuer de répondre aux attentes des clients. Cela a nécessité une réorganisation profonde, afin de garantir la sécurité des salariés et des clients et d’empêcher la propagation du virus. Chaque décision prise par les entreprises l’a été à l’aune de ces priorités et en vue de préserver leur fonctionnement sur le moyen et le long terme », déclare Mathieu Pivain, Président de la FMB. « L’année 2019 a été une belle année pour notre filière en réalisant l’un des meilleurs résultats depuis 10 ans. Le consommateur a envie de bricoler : cela reste une de ses activités préférées et cela semble se confirmer en temps de confinement. Nous avons un beau réservoir de projets qui, je l’espère, nous permettront d’être résilients face à la crise sanitaire et économique que nous traversons » conclut Jean-Eric Riche, Président d’INOHA. http://www.inoha.org http://www.fmbricolage.com
Il y a 5 ans et 4 jours

Extra Medium : MA

Le projet « MA », c’est tout d’abord une histoire de famille. Le terrain, acheté par les proches de l’architecte au début des années 2000, était jadis une ferme typique du Vaucluse se confondant avec le paysage. Repris en mains par les équipes d’Extra Medium il y a 4 ans, la demeure se transforme ainsi en un havre de paix où paysage, charme et design cohabitent en harmonie. Réhabiliter un lieu chargé d’histoire n’est pas tâche facile, surtout quand un lien sentimental nous unit à la bâtisse. C’est pourtant le pari que s’est lancé le cabinet Extra Medium qui fait revivre une vieille ferme de famille en lui insufflant une touche de modernité bienvenue. La maison, enfouie dans les collines, jouit d’une situation d’exception qui lui confère un caractère monastique, intime et agréable. Des qualités mises en valeur par les partis pris architecturaux de l’agence en charge du projet qui conçoit cette réhabilitation comme une chance d’offrir une nouvelle vie à ce patrimoine familial. La structure existante a été soigneusement déconstruite en plusieurs phases. L’empreinte et l’enveloppe ont été revues mais respectent toujours les proportions de l’ancienne construction. Inspirés par l’architecture vernaculaire du Vaucluse et l’histoire du site, les maîtres d’oeuvres réinterprètent les matériaux caractéristiques de la région, finissant les murs à la chaux et utilisant des tuiles anciennes pour la toiture.A l’intérieur, le calme règne. Déclinant divers matériaux locaux – pierres et marbre notamment –, les différents espaces sont d’une clarté apaisante. Les pièces lumineuses sont réchauffées par une présence subtile de bois clair, que l'on retrouve sur le mobilier ou les contours des fenêtres. Un foyer des plus réconfortant.Pour en savoir plus, visitez le site d’Extra MediumPhotographies : Simone BossiZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 4 jours

AMCC décline ses coulissants aluminium Elégance & Excellence en version à galandage

Si seulement 8% des 2 millions de coulissants vendus en France en 2017 sont des modèles à galandage*, ils n’en restent pas moins de plus en plus présents dans les projets architecturaux qui font la part belle aux espaces lumineux et aux ouvertures sur l’extérieur. A l’esthétique minimaliste, les lignes de coulissants aluminium Élégance & Excellence d’AMCC, désormais disponibles en version à galandage, s’inscrivent plus que jamais dans cette tendance.   Une esthétique panoramique pour un confort sans limite Idéal pour supprimer les frontières entre l’intérieur et l’extérieur de l’habitat, les nouveaux coulissants aluminium à galandage CG70 d’AMCC associent : • un dormant de 160 mm à coupe droite, avec ou sans panneau isolant, • un ouvrant équipé d’un double vitrage à isolation thermique renforcée 4/20/4 avec intercalaire à bord aluminium pour la ligne Élégance et à bord chaud pour la ligne Excellence. Ces caractéristiques techniques confèrent à l’ensemble d’excellentes performances pour atteindre un coefficient de transmission thermique de 1,7 à 1,4 W/m2.K et une étanchéité à l’air et à l’eau respectivement de A*3-E*6B-V*A2 pour le coulissant aluminium CG70 Élégance, et de A*4-E*6B-V*A2 pour la ligne Excellence. Avec leurs profilés et leur montant central étroits, les coulissants aluminium à galandage d’AMCC autorisent la création de larges baies vitrées, y compris de grande hauteur (jusqu’à 2,60 m), avec un clair de jour optimal. Disponibles sur-mesure en version monorail 1 vantail (avec refoulement sur un côté) ou monorail 2 vantaux (à refoulement sur deux côtés), les coulissants CG70 sont munis d’un rail en polyamide qui, associé à des joints en partie basse, facilite leur manipulation. Les vantaux disparaissent alors entièrement dans l’épaisseur de la cloison pour apporter un maximum de lumière naturelle. Cette ouverture maximale du coulissant permet également de gagner en liberté de circulation grâce à un accès totalement dégagé sur l’extérieur.   Des coulissants à la sécurité assurée et au design préservé Permettant de créer de larges ouvertures pour offrir une vue imprenable sur le paysage, les coulissants aluminium à galandage d’AMCC laissent entrer la nature dans le séjour sans négliger la sécurité. Pour cela, ils disposent : • d’un profilé de réception de cloison qui garantit une rigidité maximum et une protection renforcée, • d’une serrure à 2 ou 3 points de fermeture par crochets et gâches inox au service d’une grande résistance à l’effraction. Pour répondre aux exigences esthétiques et décoratives de chaque habitat, les nouveaux coulissants CG 70 sont proposés dans un large choix de coloris, en finition lisse ou granité mate ainsi qu’en bi-coloration, procédé qui permet d’appliquer une teinte différente sur les profilés intérieurs et extérieurs. Et pour une finition parfaite jusque dans les moindres détails, les coulissants sont manœuvrables à l’aide de différents modèles de poignées (poignée décalée anti-pince doigt, poignée Aktiv ou encastrée).   En enrichissant sa gamme de coulissants aluminium avec ces versions à galandage, AMCC propose une offre complète de coulissants, fenêtres et porte-fenêtres à frappe qui s’associent parfaitement, créant ainsi une harmonie entre l’ensemble des menuiseries de la maison. *Source étude TBC de 2018 sur « le marché des fenêtres en France en 2017 » http://www.amcc-fenetres.fr