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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(78553 résultats)
Il y a 5 ans et 6 jours

Le Groupe Serge Ferrari développe une technologie pour détruire le Covid-19 de ses surfaces

Le Groupe Serge Ferrari annonce avoir développé et breveté une technologie réduisant de 99,5% la charge virale du coronavirus Covid-19... Cet article Le Groupe Serge Ferrari développe une technologie pour détruire le Covid-19 de ses surfaces est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 6 jours

Intermat 2021 fourbit déjà ses armes

Isabelle alfano, directrice du salon Intermat. [©Comexposium] Alors que le déconfinement s’amorce tout juste, l’édition 2021 d’Intermat fourbit ses armes. Ce nouveau millésime se veut porteur d’avenir. Après les 55 j d’enfermement que chacun vient de vivre, on ne peut espérer moins ! « Dans ce contexte qui impacte notre secteur, l’heure est malgré tout de se projeter positivement dans l’après-crise du Covid-19, souligne Isabelle Alfano, directrice du salon Intermat. Nous sommes de tout cœur aux côtés de nos partenaires et de tous ceux déjà engagés dans la réussite de notre événement. Nous sommes persuadés qu’Intermat 2021, loin de cette période troublée, permettra de renouer avec un marché de la construction aux perspectives à nouveau positives. Et ce, en rassemblant Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : 400 agences Loxam se mobilisent pour accompagner la reprise progressive des chantiers

Un réseau de 300 agences assure la couverture globale du territoire pour les livraisons de chantier. Pour cela, les procédures d'hygiène et de sécurité mises en place dès les premiers jours du confinement sont rigoureusement poursuivies, en parallèle des recommandations du guide de l'OPPBTP.80% du réseau ouvertAujourd'hui, ce sont plus de 80% du réseau des agences Loxam qui sont en activité, avec 400 agences en mode drive et/ou livraison, en toute sécurité.L'ouverture de ces agences permet de mailler le territoire national et d'assurer une proximité avec de nombreux chantiers. Ainsi, les distances parcourues pour les livraisons sont limitées et - de facto - les risques de propagation du virus du Covid-19 d'un endroit à un autre.Les agences fonctionnent en appliquant les protocoles sanitaires les plus exigeants éprouvés depuis 5 semaines déjà dans le cadre d'un Plan de Continuation d'Activité (PCA) conforme aux principes de santé et sécurité au travail du Groupe certifiés ISO 45001. Parmi les mesures appliquées : le strict respect d'une distance de sécurité de 2 mètres entre personnes, l'instauration de zones de ‘quarantaine' avec des sas Départ et Retour pour les enlèvements/restitutions de matériels (y compris sur les chantiers), le nettoyage et la désinfection des machines entre chaque location, la priorité donnée aux échanges électroniques…" Notre Groupe est là, motivé et organisé pour accompagner - dans les meilleures conditions de sécurité et de santé - les professionnels qui reprennent leur activité en leur proposant un service de qualité et des process éprouvés depuis plus d'un mois déjà (début de la mise en place d'un plan de continuité dans notre réseau). Grâce à la mobilisation et à la détermination de nos équipes, c'est bientôt l'ensemble de nos 500 agences qui va être rouvert sur tout le territoire, nous permettant de répondre aux demandes des professionnels, ainsi que des particuliers. ", déclare Olivier Grisez, Directeur général de Loxam.Comment louer en toute sécurité dans le réseau LOXAM Pour retrouver les recommandations des agences Loxam face au Covid-19, rendez-vous à cette adresse. Priorité n°1 à la sécurité et à la santé" La sécurité pour tous et partout - tant pour nos collaborateurs que pour nos clients - est plus que jamais une priorité absolue pour notre Groupe. C'est d'ailleurs dans cette optique nous sommes en train d'équiper notre réseau des équipements nécessaires à un accueil prochain dans nos agences, avec la mise à disposition de gel hydroalcoolique, l'installation de parois plexiglass pour les comptoirs d'accueil ….", ajoute Loubna Bonneroy, Directrice Organisation & Méthodes chez Loxam.
Il y a 5 ans et 6 jours

Deux toupies 100 % électriques signées Liebherr

Nouvelle toupie série ETM 100 % électrique signée Liebherr. [©Liebherr] Pour Liebherr, l’année 2019 a été celle des toupies électriques de la série ETM. Lancés à l’occasion de la Bauma, à Munich, ces équipements se caractérisent par l’entraînement électrique de la cuve. Ceci, sans aucune aide du moteur du porteur, qui peut être thermique (diesel ou gaz), hybride ou électrique. Dans sa version initiale, la série ETM profite de porteurs (ou tracteurs) à motorisation diesel.  Aujourd’hui, c’est en quelque sorte la phase II du projet ETM qui débarque sur le marché, suisse pour commencer. En effet, en partenariat avec Designwerk, Liebherr a développé ses premières toupies 100 % électriques. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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Il y a 5 ans et 6 jours

Vracs de l’Estuaire revoit son site Internet

Vracs de l’Estuaire vient de revoir son site Internet. [©Cimat-Cimaf] Dès la page d’accueil affiché, la couleur est annoncée : “Le ciment devient agile”. Si on en doutait encore, la confirmation est là. Vracs de l’Estuaire, c’est le ciment avant tout. Un ciment régulier et produit en France, juste à côté du Havre (76). La matière première – à savoir, le clinker – provient, elle, de plus loin. Du Maroc pour être précis. Vracs de l’Estuaire ne cache d’ailleurs pas ses origines. Il suffit d’attendre quelques secondes pour que l’information apparaisse, toujours sur la page d’accueil : « Nous sommes l’acteur français du groupe international Cimat – Cimaf ». Cimat, comme Ciments de l’Atlas, Cimaf, comme Ciments d’Afrique, groupe familial marocain à la tête huit cimenteries. A quoi s’ajoutent cinq autres, en cours de construction. Ce qui donnera, à terme, une capacité de production de près de 9 Mt/an de ciment. L’unité française est la première établie en Europe. Il s’agit d’un centre de broyage de clinker et de production de ciments. Vracs de l’Estuaire se définit comme une alternative pour les acteurs du BTP en quête de souplesse. D’où la signature, sans équivoque : “Le ciment devient agile”.  Entre Internet, LinkedIn et Twitter  Tout juste mis en ligne, le nouveau site Internet se présente comme sa vitrine numérique. Il reprend les fondamentaux de sa nouvelle identité visuelle, dévoilée fin en 2019, lors du salon Batimat. A travers de ses différentes rubriques et son blog intitulé “Notre magazine”, le site met en avant aussi bien les engagements que l’offre des Vracs de l’Estuaire, en passant par son expertise. Et les exemples de réalisations témoignent de la confiance que les plus grands acteurs du BTP ont déjà accordée à ce cimentier encore jeune sur le marché français… Pour compléter la refonte de son site internet, Vracs de l’Estuaire a ouvert une page LinkedIn. Le contenu est porté par des collaborateurs de l’entreprise. Et un compte Twitter doit suivre dans les mois à venir. L’objectif avoué est de développer sa visibilité de marque employeur et de créer une véritable communauté autour de son activité.  Une zone de chalandise cimentière de 350 km Implantée dans la zone portuaire du Havre, l’usine de broyage de clinker de Vracs de l’Estuaire produit une gamme de ciments. Ceux-ci sont labélisés CE et bénéficient de la marque NF. Cette production est destinée aux centrales à béton, aux usines de préfabrication et aux négoces de matériaux. La zone de chalandise pour les livraisons en vrac, sous 24 h, est de 350 km autour du site. Pour le conditionnement en sacs de 35 kg ou 25 kg, le délai d’approvisionnement est de 5 j au maximum.
Il y a 5 ans et 6 jours

Smart City : Adeunis équipe le Port de Tourisme de Rome en capteurs IoT

Face à la croissance démographique et à une urbanisation de plus en plus forte, la gestion des villes devient de plus en plus complexe. Pour répondre aux enjeux de la ville de demain, les TIC1 et l'IoT sont des éléments constitutifs essentiels pour la création d'une infrastructure intelligente capable d'administrer et d'accompagner la population urbaine en constante augmentation ainsi que pour répondre aux problématiques environnementales.Améliorer l'organisation du portEn Italie, le Port de Tourisme de Rome est composé de nombreux locaux commerciaux, bureaux, logements et postes d'amarrage à quai, chacun disposant de leur propre compteur électrique. Afin de remplacer l'activité de relève manuelle des compteurs, qui était consommatrice de temps, de ressources et source d'erreurs, le Port de Tourisme de Rome a choisi de développer une solution pour sa zone portuaire basée sur l'IoT : 110 locaux commerciaux et 40 postes d'amarrage ont ainsi été équipés de capteurs PULSE d'adeunis et de logiciels de comptage et de contrôle.Optimiser le suivi des consommations d'électricitéGrâce à l'implémentation des capteurs PULSE d'adeunis, les consommations d'électricité sont suivies en quasi-temps réel : un dépassement de seuil peut ainsi être détecté et traité rapidement. Cette lecture rapide des consommations permet de réduire significativement les délais d'attente pour l'édition des factures en fin de période d'amarrage et d'éviter le gaspillage.La solution utilisée se compose :de capteurs PULSE d'adeunis ;du réseau LoRaWAN® d'Unidata ;de la plateforme de connectivité UniOrchestra d'Unidata.Les gestionnaires du port ainsi que les clients ont pu profiter immédiatement des bénéfices générés par ces solutions intelligentes, qui ont permis une organisation plus efficace du travail administratif et une réduction des coûts d'exploitation, mais aussi des économies financières considérables et un accès plus rapide aux factures pour les clients.Le port de Rome n'est pas le seul port européen à s'être équipé de capteurs adeunis. La société croate MARINACLOUD utilise également les capteurs adeunis afin de surveiller la tension des batteries et détecter la présence d'eau à l'intérieur de bateaux en hivernage.
Il y a 5 ans et 6 jours

La RE 2020 entrera en vigueur à l’été 2021

Les textes de la RE2020 seront publiés fin 2020 ou début 2021 pour entrer en vigueur à l’été 2021. [©ACPresse] Si le gouvernement a diffusé plusieurs documents sur les méthodes de la RE 2020, il annonce un report de son entrée en vigueur. La nouvelle réglementation pourrait ainsi être publiée fin 2020 ou début 2021 pour prendre effet à l’été 2021. Pour le ministère de la Cohésion territoriale, ce report, conséquence directe de la crise sanitaire, est dû à la complexité d’organiser les concertations et consultations autour de la RE 2020. « Ce travail de concertation est indispensable pour fixer collectivement une ambition environnementale à la fois exigeante et soutenable dans un contexte de reprise, indique le ministère dans un communiqué de presse. Dans la continuité de l’expérimentation E+C– qui préfigure la réglementation depuis 2017, l’ensemble des acteurs devra aussi bénéficier d’une période de plusieurs mois pour poursuivre l’appropriation des règles, entre leur officialisation et leur entrée en vigueur. » Concernant les simulations lancées autour des indicateurs, comme le label Reconnu garant de l’environnement (RGE), le Diagnostic de performance énergétique (DPE) ou encore les niveaux de performances s’achèveront en mai. « A l’issu de ces simulations, les ministères de la Transition écologique et de la Ville et du Logement mettront leurs résultats à disposition de tous, ainsi que l’outil qui aura été utilisé pour les réaliser. » Cette étape permettra aussi de lancer les concertations et de poser les bases d’un label facultatif, permettant de « préfigurer les bâtiments exemplaires de demain ».
Il y a 5 ans et 6 jours

Soprofen obtient le 1er Avis Technique sur un bloc-baie en polystyrène : le Chrono PSE2

Près de 30 ans après avoir obtenu le 1er Avis Technique de la profession pour son bloc-baie Mono VR, SOPROFEN démontre une nouvelle fois son expertise technique en recevant le 1er Avis Technique sur un bloc-baie en polystyrène expansé. Délivrée par la CCFAT* du CSTB, cette distinction confirme les performances exceptionnelles du Chrono PSE2 qui réunit le meilleur du bloc-baie et du coffre tunnel dans un seul volet roulant.   Reconnaissance du savoir-faire de SOPROFEN sur le marché du bloc-baie, cet Avis Technique (n°6/19-2402), publié le 24 avril dernier, formule une appréciation favorable de l’utilisation du Chrono PSE2 en construction neuve : • en tant que coffre de volet roulant et/ou brise-soleil orientable posé sur fenêtre extérieure PVC, bois ou aluminium, • avec une mise en œuvre effectuée en tableau, en ITE comme en ITI, dans des murs en maçonnerie ou en béton, et des monomurs.   Plus encore, les essais effectués par le CSTB confirment les performances exceptionnelles du Chrono PSE2 en termes : • d’isolation thermique grâce à la conception en polystyrène expansé du coffre et des joues ainsi que la mise en œuvre intégrée dans l’épaisseur du mur (Up jusqu’à 0.43W.m²K), • de résistance mécanique du coffre et de sa liaison sur une menuiserie de 3000 mm de large, avec des résultats probant après plusieurs milliers de cycles en pression/dépression (jusqu’à 1900 Pa) à des vents pouvant aller jusqu’à 200 km/h, • de perméabilité à l’air conformément aux exigences de la RT 2020 relative à l’étanchéité des bâtiments, • de confort acoustique avec 45 dB en standard.   Outre ces qualités, le Chrono PSE2 bénéficie d’une mise en œuvre qui le rend invisible de l’intérieur comme de l’extérieur. La pose de l’ensemble menuiserie + coffre (bloc-baie) en une seule opération : • assure un parfait assemblage en usine, • garantit une liaison et une étanchéité optimales des éléments au gros œuvre, • évite l’intervention de plusieurs corps d’état, • offre un véritable gain de temps sur les chantiers.   Premier fabricant à obtenir un Avis Technique sur un bloc-baie en polystyrène expansé, SOPROFEN, avec le Chrono PSE2, apporte aux acteurs de la construction une solution unique sur le marché, compatible avec les solutions domotiques, à la fiabilité et à la durabilité validées par le CSTB.   *Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques http://www.soprofen.fr
Il y a 5 ans et 6 jours

Eiffage remporte un contrat à 141 Millions d'euros pour construire un hôpital

L'hôpital, construit pour le compte du groupe hospitalier Nord-Essonne, comprendra une surface totale de 45.000 m³ et une capacité de 416 lits et regroupera "les activités de médecine, de chirurgie et d'obstétrique des hôpitaux de Juvisy, Orsay et Longjumeau"."Le lancement des travaux est programmé à l'été 2021 pour une livraison prévue fin 2023. L'entretien et la maintenance de l'hôpital seront assurés pendant 5 ans par les équipes du groupement", a précisé le groupe.Cette signature représente la "quatrième opération majeure signée par le groupe dans le secteur de la santé en 2020", rappelle Eiffage, après des contrats remportés pour 69 millions d'euros à Compiègne-Noyon (Oise), Sens (Yonne), et Reims (Marne) concernant la restructuration ou l'agrandissement d'établissements hospitaliers.Le groupe Eiffage, présent à la fois dans le BTP et la gestion de concessions, avait revu fin mars à la baisse ses prévisions pour l'exercice en cours à cause de la crise du coronavirus.
Il y a 5 ans et 6 jours

Aliaxis redémarre sa production

Le spécialiste des solutions dédiées au transport des fluides en matériaux de synthèse sous les marques Nicoll, Girpi et Aliaxis Utilities & Industry vient d’annoncer une reprise progressive de ses activités de production, à l’arrêt depuis le 17 mars.
Il y a 5 ans et 6 jours

Brochure Inspirations 2020 de Trilux pour imaginer de nouveaux projets d'éclairage

Ce document a vocation à être une source d'inspiration pour les projets d'éclairage de différents secteurs d'activité, en intérieur et en extérieur. On y retrouve également la gestion d'éclairage, les nouveautés 2020 et des focus thématiques.La brochure Inspirations 2020 TRILUX offre une vue d'ensemble des solutions Intérieur et Extérieur TRILUX, en les classant par application. Le document s'articule ainsi autour des inspirations tertiaire, industrie, retail, extérieur. La gestion d'éclairage y est aussi présentée. On retrouve pour chaque produit : des visuels produits, une mise en situation – source d'inspiration – et les principales informations techniques.Si le catalogue Produit 2020-2021 présente en détail l'ensemble des solutions et accessoires TRILUX, la brochure Inspirations 2020 suit, quant à elle, une organisation différente pour proposer des idées inspirantes par application.Côté innovation, la brochure intègre les nouveautés 2020, dont 3 nouveaux produits d'éclairage tertiaire qui seront disponibles prochainement : Arimo Fit LED, Creavo LED, Finea LED (plus d'informations à venir)Enfin, des focus thématiques sont présentés en annexe du document : gamme complète des services TRILUX, éclairage Architectural, solutions sur mesure, développement durable et éclairage biodynamique (HCL) avec la solution Wellumic.Téléchargez la brochure Inspirations 2020 en cliquant ici.
Il y a 5 ans et 6 jours

Une cuisine sur-mesure aux lignes contemporaines

AVANT/APRÈS. Pour créer la cuisine conviviale et chaleureuse dont rêvaient ses clients, le designer Xavier Pottiez a allié matériaux nobles et savoir-faire artisanal. Le mobilier, aux lignes sobres et épurées, s'intègre avec élégance dans cet ancien atelier. Photos.
Il y a 5 ans et 6 jours

Permis de construire : redémarrage le 24 mai 2020

Une nouvelle ordonnance permet aux délais applicables en matière d’urbanisme, de courir de nouveau le 24 mai, indépendamment de la prolongation de la période d’urgence sanitaire. Cette ordonnance vient donner de la visibilité aux acteurs du secteur et aux Français pour la continuité de leurs activités et de leurs projets. Elle s’inscrit dans la continuité des ordonnances du 25 mars, 15 et 22 avril qui ont permis d’adapter la question des suspensions de délais pendant la période de confinement.L’ordonnance permet également d’appliquer l’ensemble de ces dispositions à d’autres avis et autorisations liées à la demande d’autorisation d’urbanisme s’agissant de la construction de locaux commerciaux ; de lever toute ambiguïté sur le fait que les délais impartis à l’administration pour vérifier le caractère complet d’un dossier ou pour solliciter des pièces complémentaires dans le cadre de l’instruction d’une autorisation d’urbanisme reprennent dans les mêmes conditions et de faire repartir les délais dans lesquels ces autorisations peuvent être retirées également dès le 24 mai, car comme pour les recours, une purge trop tardive freine les projets.
Il y a 5 ans et 6 jours

RE 2020 : nouveau calendrier

Le Gouvernement a réaffirmé son objectif de mener à bien le chantier de la nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs, dite « RE 2020 ». Les ambitions de la RE 2020, annoncées le 14 janvier 2020 par le Gouvernement, demeurent plus que jamais pertinentes, en particulier : lutter contre le changement climatique en réduisant les émissions de gaz à effet de serre sur l’ensemble du cycle de vie du bâtiment, y compris lors de sa construction, diminuer les consommations énergétiques, et mieux conserver de la fraîcheur dans les bâtiments lors des vagues de chaleur. La crise sanitaire nous appelle également à travailler à des mesures simples, à court terme, pour garantir la qualité de l’air intérieur des logements. Au total, il s’agit de modifier en profondeur la façon de concevoir et de construire les bâtiments de demain.La crise sanitaire a rendu l’organisation des concertations et consultations plus complexe. Or ce travail de concertation est indispensable pour fixer collectivement une ambition environnementale à la fois exigeante et soutenable dans un contexte de reprise. Dans la continuité de l’expérimentation E+C- qui préfigure la réglementation depuis 2017, l’ensemble des acteurs devra également bénéficier d’une période de plusieurs mois pour poursuivre l’appropriation des règles, entre leur officialisation et leur entrée en vigueur.Le calendrier d’élaboration et de mise en œuvre de la RE2020 est ajusté pour tenir compte de l’impact de la situation sanitaire : les concertations se poursuivront pendant l’été pour permettre à tous les acteurs concernés d’y prendre part ; la publication des textes réglementaires (décrets et arrêté) interviendra fin 2020 ou au plus tard au tout début de l’année 2021 ; enfin, la nouvelle réglementation entrera en vigueur à l’été 2021.A plus court terme, la phase de simulations lancée en janvier afin d’éclairer les choix des indicateurs et niveaux de performance pertinents pour la RE2020 s’achèvera courant mai. A l’issue de ces simulations, les ministères de la Transition écologique et solidaire et de la Ville et du Logement mettront leurs résultats à disposition de tous, ainsi que l’outil qui aura été utilisé pour les réaliser. La présentation des résultats lancera une nouvelle étape de concertation avant l’été 2020. Cette concertation permettra par ailleurs de poser les bases d’un label facultatif permettant de préfigurer les bâtiments exemplaires de demain. Photo : Chantier Ris Orangis Promiceapf
Il y a 5 ans et 6 jours

Trêve hivernale jusqu’au 10 juillet

Face à la propagation du Covid-19, dès le 12 mars, le Président de la République avait annoncé le report inédit de fin de la trêve hivernale jusqu’au 31 mai, soit pour deux mois supplémentaires. Afin de tenir compte de la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 juillet, l’Assemblée nationale vient de voter un nouveau report de la fin de la trêve hivernale à cette même date.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le CAO des JO signé VenhoevenCS & Ateliers 2/3/4/

Le Centre Aquatique Olympique (CAO) est l’équipement majeur qui reste à construire pour les Jeux de Paris 2024. C’est l’architecte néerlandais Ton Venhoeven* (VenhoevenCS) et Ateliers 2/3/4/ qui emportent la mise. Budget en avril 2020 : 147 M€. Communiqué du maître d’ouvrage multicartes. Les Jeux de la XXIIIème Olympiade se dérouleront (peut-être) du 26 juillet au […] L’article Le CAO des JO signé VenhoevenCS & Ateliers 2/3/4/ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 7 jours

Hidalgo envisage la circulation alternée à Paris en cas de trafic automobile intense

"Si nous devions nous retrouver avec un trafic automobile trop intense, je demanderai des mesures de circulation alternée. Il en va de la santé des Parisiens et des habitants de la métropole", déclare-t-elle."Un afflux massif de véhicules motorisés augmenterait le niveau de pollution atmosphérique, laquelle est déjà responsable de 48.000 morts par an en France et 6.500 dans le Grand Paris", justifie Anne Hidalgo. "En plus, des études ont montré que la pollution aux particules entraînait une accélération de la propagation du coronavirus", insiste l'édile, convaincue qu'"on aggraverait la crise sanitaire si on laissait les voitures revenir".Pour favoriser l'usage du vélo, la maire de Paris avait annoncé il y a plusieurs jours la création de 50 km de pistes cyclables provisoires.En outre, plusieurs rues seront totalement piétonnisées, comme "Petits-Champs, Monsigny, Mouffetard, Faubourg-Saint-Denis, Aligre, ou au Carrousel du Louvre", détaille-t-elle auprès du JDD.D'autres auront "une ou deux files de stationnement" supprimées pour "élargir les trottoirs"."Les rues autour des écoles pourront aussi être fermées aux voitures, aux heures d'entrée et de sortie des enfants, ou de façon permanente", annonce la maire de Paris, mettant ainsi en application un de ses projets abordé lors de la campagne des municipales.Elle juge également "indispensable" pour les entreprises qui le peuvent de poursuivre le télétravail et, si ce n'est pas possible, d'instaurer des "horaires de travail décalés".En dépit de la demande de la maire de Paris pour leur réouverture, les parcs et jardins resteront fermés lundi en Ile-de-France, particulièrement touchée par le Covid-19."Je poursuis les discussions afin d'obtenir une dérogation adaptée pour Paris", indique Anne Hidalgo au JDD."Nous pouvons prendre des mesures pour éviter les pique-niques, les regroupements sur les pelouses ou l'accès aux aires de jeu. Nous pouvons aussi mettre en place un système avec des jauges maximales pour limiter le nombre des promeneurs. Le port du masque y serait obligatoire", esquisse l'édile, qui redoute "des attroupements dans les rues ou sur les trottoirs" si on ne rouvre pas "rapidement les parcs et les jardins".
Il y a 5 ans et 7 jours

Coup de pouce du gouvernement pour favoriser le vélo après le déconfinement

A travers toute la France, des villes font face au casse-tête des déplacements à partir du 11 mai : comment éviter que les habitants, qui risquent de se détourner des transports en commun par crainte du virus, se déportent massivement sur la voiture, ajoutant à l'épidémie des problèmes de congestion des routes et de pollution de l'air ?Depuis mi-avril, plusieurs municipalités, voire des départements entiers, planchent sur le sujet. Grenoble, Montpellier, Lyon, Rouen, Lille, Rennes, Nice, Paris, Montreuil, les départements du Val-de-Marne et de Seine-Saint-Denis... La liste ne cesse de s'allonger.Les pistes retenues: privilégier la marche à pied et le vélo, quand 60% des trajets effectués aujourd'hui en France en voiture font moins de 5 kilomètres.Pour accompagner l'essor du vélo comme mode de transport en France, à la traîne par rapport à d'autres pays européens, le gouvernement offre un coup de pouce aux personnes prêtent à adopter le vélo pour se déplacer au quotidien: un forfait de 50 euros pour faire réparer sa bicyclette d'occasion. Les réparateurs seront référencés sur une plateforme de la fédération française des usagers de la bicyclette (www.fub.fr), disponible à partir du 11 mai.Cette aide s'inscrit dans un plan plus global de 20 millions d'euros, qui servira aussi à financer des places de stationnement temporaires et des formations pour apprendre ou réapprendre à rouler à vélo.Le gouvernement va aussi accélérer l'instauration dans le secteur privé du forfait mobilités durables, jusqu'à 400 euros."Nous voulons que cette période fasse franchir une étape dans la culture vélo et que la bicyclette soit la petite reine du déconfinement en quelque sorte", a expliqué la ministre de la Transition écologique, Elisabeth Borne, dans un entretien au Parisien."Le gouvernement a pris conscience que le vélo est un outil permettant de répondre au défi du déconfinement", a dit à l'AFP Olivier Schneider de la FUB.Zones piétonnes temporairesDes villes et des départements préparent des aménagements spécifiques pour les piétons et les cyclistes, afin de leur offrir plus de place et leur permettre de circuler en toute sécurité."Je m'opposerai à ce que Paris soit envahie de voitures, synonymes de pollution" et source d'aggravation de la crise sanitaire, a fait valoir la maire de Paris dans un entretien à l'AFP. Anne Hidalgo prévoit de doubler les lignes de métro 1, 4 et 13, très fréquentées, par des pistes cyclables provisoires, ainsi que la création de nouveaux parkings relais aux portes de la capitale. La rue de Rivoli pourrait être fermée aux voitures particulières.La présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, a promis jusqu'à 300 millions d'euros pour le "RER vélo", un projet de 650 kilomètres de pistes cyclables sur neuf parcours, en priorité sur le RER A, B, C et D Sud. La Seine-Saint-Denis prévoit 60 km de pistes cyclables, le Val-de-Marne 40 km.Nice veut réserver certaines artères aux bicyclettes, Montpellier a déjà ouvert une piste cyclable temporaire.Pour les trajets à pied, le centre d'études Cerema recommande d'élargir des trottoirs en mordant sur les routes, surtout là où des files risquent de se former devant des commerces, ou d'utiliser des places de stationnement vides.Il rappelle que les maires peuvent restreindre la circulation selon les périodes, pour créer des zones piétonnes, par exemple autour les écoles, dans des rues commerçantes...Pour le vélo, il est possible de transformer des rues à deux voies en rue à une voie, avec une piste cyclable à côté, de réduire des quatre-voies en deux voies, avec des matériaux provisoires, en modérant la vitesse des voitures si besoin pour la sécurité des cyclistes.La mise en place d'installations temporaires, pour vélos et piétons, seront dispensées d'autorisations préalables, a précisé le ministère de la Transition écologique.Qui rappelle que la vente et la réparation de vélos font partie des activités autorisées pendant le confinement.Le Conseil d’État, lui, a rappelé que la bicyclette est autorisée pour se déplacer pendant le confinement.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le Covid-19 a stoppé net la dynamique du secteur du bricolage

MARCHÉ. Alors que le secteur du bricolage repartait à la hausse en 2019, il a été frappé de plein fouet par la pandémie de coronavirus au début de l'année 2020. La quasi-totalité des rayons a connu une embellie mais c'est le segment du confort thermique qui a tiré son épingle du jeu, tandis que les grandes surfaces de bricolage restent le premier circuit de distribution.
Il y a 5 ans et 7 jours

Les permis de construire ne seront pas affectés par la prolongation de l'état d'urgence

"J'ai présenté en Conseil des ministres l'ordonnance qui confirme que les délais d'urbanisme, d'aménagement et de construction reprendront au 24 mai", a annoncé sur Twitter le ministre du Logement Julien Denormandie.A cause du confinement imposé depuis fin mars en France contre la propagation du coronavirus, l'examen des permis de construire est gelé.Leur reprise est suspendue à la fin de l'état d'urgence sanitaire, décrété par le gouvernement pour gérer les circonstances exceptionnelles.A l'origine, il était prévu que l'instruction des permis reprenne son cours un mois après la fin de l'état d'urgence mais, après une vive opposition du secteur du logement face au risque d'une paralysie durable, le retour à la normale avait été ramené au jour même de la levée.Or, cette levée, d'abord prévue le 24 mai, a été repoussée de deux mois, à fin juillet afin de gérer le processus de déconfinement prévu à partir de lundi. Cela suppose donc théoriquement de reporter d'autant la reprise de l'examen des permis.Finalement, il n'en sera rien. L'ordonnance présentée jeudi par M. Denormandie maintient la date du 24 mai, "indépendamment de la prolongation de la période d'urgence sanitaire"."Les acteurs du BTP et les Français ont ainsi de la visibilité pour la continuité de leurs activités et projets", s'est félicité le ministre sur Twitter.
Il y a 5 ans et 7 jours

La fin de la trêve hivernale repoussée jusqu'en juillet

PROLONGATION. La trêve hivernale, qui interdit l'expulsion des locataires en cas d'impayés de loyer, a été une nouvelle fois prolongée. En raison de la crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19, elle a été étendue jusqu'au 10 juillet.
Il y a 5 ans et 7 jours

Retour à la normale pour le négoce

POINT SUR LA SITUATION. Entre drive et livraison, le négoce a maintenu une activité durant presque toute la durée du confinement. Depuis quelques jours, les points de vente rouvrent leur surface de vente et le retour à la normale concerne presque l'ensemble des réseaux.
Il y a 5 ans et 7 jours

Covid-19 : la vie économique reprend en France sous contraintes

"Nous rentrons dans un monde qui est nouveau, dans lequel il faut que nous apprenions à conjuguer activité économique, travail et circulation du virus, et le succès de ce défi que nous avons à relever, il dépendra de chacun d'entre nous", a affirmé lundi matin le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur BFM Business.Loin du rebond en fanfare de l'activité envisagé au début de la crise, la reprise sera lente et "progressive" a déjà rappelé l'Insee, même si elle a noté un redémarrage dans l'industrie et le bâtiment dès fin avril.Certes, une partie des commerces fermés vont pouvoir rouvrir, mais avec des contraintes de sécurité sanitaire importantes, tandis que certains salariés vont devoir poursuivre le télétravail, parfois en gardant encore leurs enfants.Le dispositif de chômage partiel va d'ailleurs se poursuivre, par exemple pour les parents qui ne souhaitent pas envoyer leurs enfants à l'école.Sans parler des transports, qui ne vont reprendre que partiellement."Il y a beaucoup de contraintes, ça vient percuter la manière de travailler", comme l'achat d'équipements de protection, la distanciation ou la désinfection des espaces de travail, a détaillé le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises François Asselin, invité lundi matin sur RTL.Il a notamment évoqué un "coût direct" pour protéger les salariés d'"à peu près 10 euros par jour hors taxes par salarié". "Prenez une petite entreprises de 10 salariés, c'est 2.000 euros par mois ou 20.000 euros à l'année, c'est quand même pas rien", a-t-il insisté.Les dirigeants d'entreprises s'attendent d'ailleurs encore à des mois difficiles. Selon une enquête du cabinet Xerfi réalisée fin avril, ils sont "plutôt inquiets sur l'allure de la reprise".La plupart (42%) retiennent le scénario le plus pessimiste d'une reprise très lente, en particulier dans le commerce, les transports, l'hébergement et la restauration, alors que les cafés et restaurants vont encore rester fermés pendant plusieurs semaines.Au final, seuls 40% des dirigeants d'entreprises pensent qu'ils auront retrouvé la totalité de leurs capacités de production d'ici à la fin de l'année.Plans de soutienOutre la reprise de la production, l'inconnue sera le rythme de rebond de la consommation, qui a diminué d'un tiers durant le confinement.Les ménages, qui ont beaucoup épargné en deux mois - environ 60 milliards à fin mai selon le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau - pourraient notamment tarder à retourner dans les magasins et à reprendre leur niveau de dépenses habituel.Côté industriels, certains secteurs, "risquent de continuer à souffrir de rupture dans leurs chaînes de production durant le déconfinement, étant donné leur dépendance vis-à-vis de composants venus de l'étranger et du (faible) niveau de leurs stocks", selon l'assureur crédit Euler Hermes, qui estime que le commerce international restera très affecté d'ici à la fin de l'année.La France pourrait aussi redémarrer plus lentement que d'autres pays, en particulier l'Allemagne, dont l'activité a moins ralenti durant son confinement.Ainsi dans le commerce, les ventes y ont chuté de moins de 6% en mars, contre plus de 14% en France, selon des données compilées par ING.Et plusieurs pays européens avaient déjà rouvert en avril certains point de vente, contrairement à la France."Tous (les pays européens) sont durement freinés, mais la France l'est davantage que l'Allemagne. Même l'Espagne et l'Italie auraient vu leur secteur du bâtiment moins touché qu'en France", a affirmé le gouverneur de la Banque de France, auditionné la semaine dernière par les députés."L'État continuera d'être présent" pour les entreprises, a d'ailleurs promis Bruno Le Maire, qui doit dévoiler prochainement des plans de soutien pour les filières les plus touchées, comme l'aéronautique et l'automobile. Avant un plan de relance de l'économie à la rentrée.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le gouvernement reporte la nouvelle réglementation environnementale

Ces nouvelles règles, dites RE 2020 pour "réglementation environnementale 2020", devaient succéder cette année à l'actuelle "réglementation thermique 2012" (RT 2012), avec une publication prévue à l'automne.La nouvelle réglementation doit durcir les règles en vigueur, qui imposent déjà des plafonds aux bâtiments neufs en matière de consommation d'énergie.Elle imposera notamment de prendre non seulement en compte la consommation d'énergie du bâtiment pendant son utilisation, mais aussi ses émissions de carbone lors de sa construction et sa destruction éventuelle. Elle vise aussi à généraliser les bâtiments à "énergie positive", qui produisent plus qu'ils ne consomment."La crise sanitaire a rendu l'organisation des concertations et consultations plus complexe", a admis le gouvernement dans un communiqué. "En conséquence, le calendrier d'élaboration et de mise en oeuvre de la RE 2020 est ajusté.""La publication des textes réglementaires - décrets et arrêté - interviendra fin 2020 ou au plus tard au tout début de l'année 2021; enfin, la nouvelle réglementation entrera en vigueur à l'été 2021", a-t-il détaillé.En début d'année, des arbitrages ont été rendus par le gouvernement mais ils ont suscité la colère du secteur gazier, qui les juge trop favorables au chauffage électrique.
Il y a 5 ans et 7 jours

Google abandonne son projet de smart city à Toronto

INTERNATIONAL. Le géant du numérique Google a annoncé renoncer à son projet de quartier futuriste à Toronto, au Canada. L'argument utilisé : l'incertitude économique liée à la crise sanitaire.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le leader de la transformation du bois de hêtre prépare ses innovations

Le groupe Lefebvre, leader français de la transformation du bois de hêtre, produit sur stock et attend avec impatience le redémarrage pour lancer des innovations longuement mûries.
Il y a 5 ans et 7 jours

Covid-19 : le FNPCA lance une campagne pour soutenir les artisans face à la crise

De l'alimentation au bâtiment en passant par la fabrication jusqu'aux services...Pour plus de 8 Français sur 10 l'artisanat a un rôle important en matière de création d'entreprises et la croissance économique[1]. Au cœur des territoires, en milieu urbain et rural, l'artisanat occupe en effet une place essentielle dans l'économie française avec 1,3 million d'entreprises recensées. Boulanger, coiffeur, fleuriste, plombier, mais aussi ambulancier, orfèvre et même prothésiste dentaire ou électrotechnicien, la diversité des métiers de l'artisanat répond à tous les besoins des Français dans leur quotidien. Les artisans jouent un rôle clé dans le service de proximité : les Français déclarent se sentir proches d'eux à 70%[1] et 71% préfèrent acheter à un artisan.Ainsi, 94% des Français ont une bonne opinion des artisans estimant notamment qu'ils sont dépositaires d'un véritable savoir-faire. Convaincus du rôle économique et de l'utilité des artisans, cette préférence affirmée trouve son explication dans les fondements mêmes de l'artisanat : savoir-faire, qualité, proximité, apprentissage et transmission.Aujourd'hui, la crise sanitaire liée au Covid-19 impacte lourdement le secteur de l'artisanat. Alors que les chantiers, commerces et services ont vu leurs portes se fermer pour une majorité depuis mi-mars, une enquête en ligne menée par CMA France révèle que seulement 28% des entreprises artisanales sont actuellement en activité en France et que 25% ont dû fermer en dépit de l'autorisation de maintien de l'activité[2]. Si certains artisans se limitent aux travaux d'urgence, ne présentant pas de risques sanitaires, 41% des entreprises artisanales ont mis en place l'activité partielle pour leurs salariés ou apprentis.Les artisans plus utiles que jamais : la nouvelle campagne du FNPCAFace à la crise sanitaire mais aussi économique, les initiatives fleurissent : systèmes de livraison à domicile, services de commande en ligne et drives, adaptation des horaires... Les artisans se sont organisés, se mobilisent pour mettre en place des solutions et ainsi continuer à maintenir autant que possible le lien avec les consommateurs et clients.Pour soutenir l'ensemble du secteur en cette période inédite et rappeler aux Français l'importance de « consommer artisanal », le FNPCA diffuse ainsi une campagne d'affichage à travers les supports de la presse quotidienne régionale du 7 au 18 mai 2020. Déclinée en 4 annonces presse, elle engage à la « préférence » et souligne la mobilisation sans faille des artisans tout en rappelant leur proximité avec les Français. En 2019, le FNPCA se lançait notamment « Sur la route de l'artisanat » à la rencontre des artisans de notre territoire avec une web série dressant le portrait de l'artisanat Français et valorisant la richesse des savoir-faire de nos artisans.[1]Sondage FNPCA - BVA 2017 - Les Français et les artisans[2]Enquête nationale CMA France Covid-19 au lundi 20 avril 2020
Il y a 5 ans et 7 jours

Faire repeindre sa maison, tout un projet !

Redonner un coup de neuf à son intérieur passe par le rafraîchissement des murs. Cette opération doit être réalisée avec attention et quoi de mieux que de la confier à un professionnel ? Réaliser un projet de peinture pour vos murs Si, en décrochant un tableau vous voyez apparaître un contraste sur le mur, il est temps de refaire la peinture. Les étapes de réalisation de cette opération (choix de la peinture, de la bonne couleur, etc.) nécessitent un certain savoir-faire. De ce fait, mieux vaut se faire aider par un spécialiste pour être sûr d’obtenir les meilleurs résultats. L’état des lieux de votre maison Repeindre toutes les pièces de votre maison ou seulement quelques-unes, un bon moyen de changer de décor et de redonner vie à votre intérieur. Bien qu’il n’existe pas, à proprement parler, de bon moment pour changer les couleurs de vos murs, tenez compte des signes qui indiquent que cette opération est nécessaire. En cas de fissures, de peinture écaillée, de murs jaunis ou de papier peint qui se décolle, vous devrez faire rénover la peinture de votre intérieur. Vous êtes dans une démarche de grande rénovation de logement ? Sachez que la peinture se fait à la fin du chantier, après que les fenêtres, l’électricité, la plomberie, etc., aient été rénovées. À qui confier vos travaux de peinture ? Bien que la peinture ne soit pas un travail compliqué, elle demande énormément d’attention et d’efforts pour être parfaitement réussie. Nous vous encourageons à confier cette tâche minutieuse à un professionnel pour obtenir un rendu de qualité dans chacune de vos pièces. Les enseignes spécialisées dans ce domaine proposent en général des travaux de peinture sur les boiseries, mais aussi sur les métaux. Contactez-en plusieurs et n’hésitez pas à demander un devis de peinture en ligne pour vous faire une idée du budget à prévoir pour repeindre l’intégralité ou certains des murs de votre logement. Assurez-vous que les documents fournis mentionnent les détails de la prestation ainsi que le prix au mètre carré. Quel type de peinture pour quelle pièce ? Le choix de la peinture pour repeindre vos murs tient compte des contraintes techniques. Ces dernières comprennent entre autres la pièce et le type de matériau à repeindre. Choisissez une peinture avec mention A+ Nous vous recommandons de demander à ce qu’une peinture affichant sur l’étiquette sanitaire la mention A+ soit utilisée. Les peintures contiennent des polluants : les COV, particulièrement nocifs pour les voies respiratoires. Les niveaux mentionnés sur l’étiquette sanitaire vont de C pour les émissions les plus élevées à A+ pour les plus faibles. Référez-vous également aux labels environnementaux reconnus, à l’instar de l’Écolabel Européen, de la NF Environnement, de l’Excell ou de l’Ange Bleu. À chaque pièce sa peinture La peinture glycéro ou à l’huile est résistante et durable. La peinture acrylique ou à l’eau, quant à elle, est plus facile à appliquer et sèche plus rapidement. Elle est en outre moins nocive pour l’environnement et les poumons. Dans une salle d’eau, il est recommandé de choisir une peinture appropriée pour les espaces humides. Pour habiller les murs d’une chambre d’enfant, mieux vaut opter pour une peinture résistant aux rayures et aux chocs. Par ailleurs, utilisez des peintures différentes pour les murs et les radiateurs, car une référence classique ne convient pas à cette source de chaleur. Rénovation peinture : quel budget et combien de temps prévoir ? L’on peut être tenté de faire soi-même ses travaux de peinture pour économiser. Toutefois, si vous souhaitez que les travaux soient parfaitement exécutés, confiez-les à une entreprise spécialisée. Rien ne vous empêche cependant de faire vos calculs prévisionnels. Comment déterminer le budget à prévoir pour repeindre ses murs ? Pour déterminer combien vous coûteront les travaux de peinture de votre intérieur, vous devez calculer la surface à couvrir. Incluez également le prix de la peinture ainsi que le coût de la main-d’œuvre. En fonction du nombre de couches que vous prévoyez, multipliez le résultat par deux ou trois. À noter que certains peintres professionnels facturent leurs services à l’heure. Ils se basent sur une estimation du temps nécessaire pour faire le travail. D’autres encore partent sur le nombre de mètres carrés à peindre. Si la maison est meublée, le devis prendra en compte la surface à peindre et le temps nécessaire pour protéger les meubles. Si le professionnel se base sur le nombre de mètres carrés à repeindre, il calculera la surface des murs et du plafond. Il fera par la suite la somme de l’ensemble des surfaces à retravailler, puis appliquera un tarif au mètre carré. Le devis fourni affichera un montant précis des travaux à entreprendre. Le calcul de la surface à peindre se fait en additionnant la surface totale des murs à celle des plafonds. Les boiseries à l’instar des plinthes et des portes sont en outre prises en compte pour établir un coût estimatif des travaux de peinture. Une idée du prix pour repeindre les murs de sa maison Pour peindre les murs, l’on compte en général un prix moyen au mètre carré de 20 à 30 euros hors taxes. Prévoyez 30 à 40 euros hors taxes pour les plafonds qui nécessitent davantage de travail. Sachez que le prix d’un travail de peinture au mètre carré varie en fonction de vos souhaits : recouvrement classique des murs ou peinture décorative. S’il faut retravailler le support avant de commencer à le repeindre, comptez 40 à 45 euros le mètre carré. Si vous voulez uniquement un rafraîchissement avec une seule couche de peinture, prévoyez un budget de 25 à 30 euros par mètre carré. À titre informatif, le coût d’un travail de peinture sur une façade se situe entre 30 et 100 euros par mètre carré en fonction de l’état du mur. Quant au temps nécessaire, toutes les étapes comprises, il est estimé entre 1 à 4 jours pour une pièce de 15 mètres carrés. Pour éviter les soucis de santé, mieux vaut quitter les lieux si toutes les pièces doivent être rénovées.
Il y a 5 ans et 7 jours

Une colocation manufacturée à Saint-Etienne, c’est l’A-MAS

L’agence stéphanoise A-MAS architectes (Stéphanie David et Eric David) a livré en janvier 2020 pour Alliade Habitat huit colocations étudiantes serties dans un ancien bâtiment industriel. Une surface de plancher de 880 m², 1,6 M€ de budget : typologie verticale et lumière intérieure. Communiqué. Les formes construites fabriquent une part de notre mémoire collective, par l’expérience […] L’article Une colocation manufacturée à Saint-Etienne, c’est l’A-MAS est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 7 jours

Bernard Laffaille : Précurseur de l’ingénierie-conseil

Bernard Lafaille est représentatif du passage de l’ingénieur, rival de l’architecte, à l’ingénieur-conseil, proche de l’architecte. [©Fonds Laffaille. SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] Rémois de naissance, Bernard Laffaille (1900-1955) a décroché son diplôme à l’Ecole centrale des arts et manufactures, en 1923. Jusqu’en 1932, il exerce comme ingénieur d’entreprise. Puis, directeur technique et co-gérant de la société “Construction de couvertures et charpentes en ciment”. Ceci, avant de lancer son activité d’ingénieur-conseil libéral. « Bernard Laffaille est représentatif du passage de l’ingénieur, rival de l’architecte, à l’ingénieur-conseil, proche de l’architecte. Ce dernier a désormais recours à l’ingénieur. Lafaille a ouvert la voie au rapprochement entre les deux corps de métier. Notre–Dame-de-Royan en est le parfait exemple. De ce que j’appelle le “Gothique moderne” ou l’incarnation parfaite de l’union entre l’architecte et l’ingénieur », résume Franck Delorme, historien de l’architecture et attaché de conservation à la Cité de l’architecture et du patrimoine de Paris. Le succès des “V Laffaille” Utilisé lors de la construction des rotondes de la SNCF, en Avignon et dans toute la France, le “V Laffaille” rend son inventeur célèbre. [©DR] En parallèle, Bernard Laffaille engage Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 7 jours

Emetteur d’Europe 1 : La cathédrale des ondes

A 317 m d’altitude, le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. [©Marco Kany] En 1954, la Sarre est toujours sous occupation française (même système économique). De fait, nombre de bâtiments sont réalisés par des architectes français. Afin de contourner la contrainte issue du système de radiodiffusion française de droit public, à l’extérieur des contours de la France naissent des radios dites “périphériques“ (Luxembourg, Monaco, Andorre et la Sarre pour Europe 1). Le projet de cet émetteur est imaginé par Jean-François Guédy (1908-1955), son premier grand projet, sorti fraîchement de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts. L’avant-projet de mars 1954 révèle une architecture futuriste dotée d’une tour d’émission massive. Si la toiture du hall, rappelant une feuille de palmier est portée par un système de raidisseurs disposé en éventail, la construction cependant n’était pas réalisable selon ce tracé de légèreté. Ainsi, les architectes Bernard Lafaille (1900-1955) et René Sarger (1917-1988) sont engagés pour revoir la copie. Flanquée de studios de télévision, de bureaux, de locaux sociaux et d’une tour-antenne, le grand hall de l’émetteur en forme de cœur et l’extraordinaire forme de toiture constituent ainsi le centre du complexe. Le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. Un “psychodrame technique”. De gauche à droite : Eugène Freyssinet prend les opérations en mains pour reconstruire la couverture. En renforçant les fondations, les ancrages périphériques, ainsi que les éléments porteurs, Eugène Freyssinet parvient à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille. La hall majestueux de l’émetteur Europe n° 1 à Feldberg. [©Marco Kany] Le choix architectural d’origine a conduit à une structure novatrice, constituée d’une coque béton à double courbure, de 5 cm d’épaisseur, bordée par une poutre ceinture en béton armé, elle-même appuyée sur les fins poteaux périphériques que l’on peut voir en façade. L’effet de voûte ne peut se mobiliser qu’en cas de blocage horizontal des ponts d’appuis (contreforts de nos cathédrales), contreforts inexistants dans le projet et supposés être remplacés par quelques tirants transversaux. L’effet de poussée des pseudo-voûtes de coque est d’ailleurs complété (et probablement dominé), par la poussée également transversale au bâtiment des arcs formant la poutre-ceinture, chargés par les effets de suspension de la coque en direction longitudinale. La combinaison en tension dans le sens de la longueur du bâtiment et en pseudo-compression dans le sens de la largeur est extrêmement difficile à évaluer dans les années 1950.  L’ouvrage ressemble au contour d’une goutte d’eau très aplatie ou d’une coquille Saint-Jacques. Eugène Freyssinet le comparait à un cœur. Les façades sont constituées de hautes vitres enserrées entre des poteaux très élancés, espacés d’environ 3 m environ et donc la hauteur va de 4,5 m vers la pointe de la goute à 9,5 m au milieu du bord opposé, en culminant à 16 m aux deux bords les plus éloignés. Les sommets des poteaux sont ainsi dans demi-plans, légèrement inclinés sur l’horizontale, formant un dièdre comme un livre ouvert, dont l’arête joint la pointe au milieu de la façade. Environ 3 000 m2 intérieurs sont couverts sans appuis intermédiaires par un voile mince en béton armé de 5 cm d’épaisseur, ayant une courbure concave vers le haut dans le sens perpendiculaire à l’axe de symétrie, et vers le bas dans le sens de cet axe. Ce voile, qui forme donc une voûte, est lié à une puissante ceinture supportée par les poteaux et donc chaque moitié, de part et d’autre de l’axe, forme dans un demi-plan une sorte d’arc prenant appui côté pointe sur un massif fixe. De l’autre sur une béquille articulée, est sous-tendu par trois puissants tirants rayonnants à partir de la pointe. La toiture suspendue en béton armé devait être sertie dans un cerclage périphérique, afin de pouvoir créer un espace libre de points porteurs. La poutre de rive devait être contenue par des tenseurs complémentaires, pour être appuyée sur trois points porteurs significatifs. Au début de l’été 1954, la construction est bien avancée. C’est alors que le directeur technique de l’entreprise chargée des travaux demande au bureau technique de lui indiquer la surélévation qu’il faut donner à chaque étai pour qu’après le décoffrage le voile, qui descend sous son propre poids, se trouve à sa cote théorique. Après plusieurs jours, il apprend que ces flèches atteignent par endroits au moins 70 cm, autant dire que l’opération de décoffrage lui paraît impossible. Au même moment, ce directeur technique dirige la construction d’un pont  franchissant la Sarre, en béton précontraint selon les procédés Freyssinet. L’idée lui vient de remplacer les armatures de béton armé, inertes, qui arment le voile et l’accrochent à la couronne, par des câbles Freyssinet traversant la couronne. Et en les tendant, de soutenir le poids du béton du voile, pour assurer le décoffrage, sans avoir à toucher aux étais. Soumis au bureau technique, ce projet est accepté. Une note technique justifiant les parties précontraintes de l’ouvrage doit être fournée…, mais elle ne le sera que partiellement (sans justification relative à la résistance de l’ouvrage). Le dossier de demande de permis de construire pour le projet fut déposé en avril 1954. Les notices de calcul jointes ultérieurement au dossier révèlent que la toiture s’affaisserait d’environ 70 cm à l’issue du décoffrage. Au vu de cette éventualité, on envisage de changer de principe constructif, en tentant d’intégrer dans le concept statique le système de béton précontraint mis au point par Eugène Freyssinet (1879-1962). Cette alliance de deux principes statiques différents échoua, et il se produisit au cours du processus de mise sous tension les 8 et 9 septembre 1954 une fissuration irréparable de la toiture.  Le “psychodrame” technique va alors débuter. Refuser de commencer les mises en retard aurait risqué de déclencher des pénalités de retard. Période de congés et précipitation de l’entreprise pour coller aux demandes d‘Europe 1 s’ajoutèrent. Et là, ultime erreur, les mises en tension commencèrent. Cela commença plutôt bien, mais le voile de béton se déchira sur toute la longueur du bâtiment. Dans le projet initial, les tirants étaient passifs. De ce fait, lors du décintrement du voile par la mise en précontrainte des câbles longitudinaux, le voile s’est déchiré parallèlement aux câbles. Et ce , en raison de la déformation de la ceinture sous l’effet de la précontrainte : les tirants non tendus ne pouvant s’y opposer, sans une déformation excessive pour le voile.Un seul recours : faire appel à des experts, qui déclinèrent, donc l’atout maître fut Eugène Freyssinet lui-même, que nul n’avait pensé déranger pendant ses vacances pour le consulter. L’homme comprend de suite ce qui s’est passé. « De toute évidence, les sollicitations imposées à la ceinture par la tension des câbles tendaient à la déformer, en l’élargissant transversalement, cette déformation devant être empêchée par l’action des tirants transversaux. […] Le directeur de l’opération crut pouvoir réussir à soulever sa voûte, en exagérant les tensions. Il accumula ainsi une énorme énergie potentielle dans les câbles et les bétons, en imposant des tractions plus fortes à sa voûte, dans une direction où elle n’était pourvue d’aucune armature efficace. »1.Pour faire simple : la mise en tension des câbles n’était pas la cause du sinistre. Elle l’avait néanmoins provoqué. Freyssinet, en renforçant les fondations, les ancrages périphériques ainsi que les porteurs, parvint à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille.  Eugène Freyssinet convainquit les experts de la pertinence de son diagnostic. Et il prit les opérations en mains pour reconstruire la couverture. Et ce, à 75 ans ! Il imposa des conditions particulièrement rigoureuses. Et il fit remercier tous les auteurs du projet de bâtiment. Les travaux se terminèrent à la fin de l’automne 1954. Une intervention lourde de rénovation a été programmée au début des années 1980, confiée à Freyssinet International. Les six gros tirants transversaux furent remplacés complètement par des tirants-butons. Les câbles de 12 fils de 5 mm longitudinaux de la coque furent changés par des paires de torons graissées de 15 mm plaqués sous la coque. L’isolation de la toiture reconstituée en face externe, sous la protection d’une nouvelle étanchéité. Grâce à son caractère unique, l’édifice a été classé monument protégé en 1999. Depuis août 2016 l’émetteur est la propriété de la Commune de Uberherrn. “Eugène Freyssinet. Une révolution dans l’art de construire”, 2004, Association Eugène Freyssinet, Presses de l’école nationale des Ponts et Chaussées. 2004. 1Revue “Travaux”, février 1956, n° 256, p. 49 à 58. “Résonnances : l’architecture française en Sarre après la seconde Guerre mondiale” du 11 au 13 octobre , conférence, visite de bâtiments dont l’émetteur.
Il y a 5 ans et 7 jours

La membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM célèbre ses 40 ans

Ces atouts, conjugués à l'expertise de plus d'un siècle dans la technologie du caoutchouc du Groupe Bridgestone/Firestone, ont permis à Firestone Building Products de fournir plus de 1,5 milliard de m² de membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM aux quatre coins de la planète. En France, l'industriel s'appuie sur ses distributeurs agréés, pour commercialiser RubberGard™ EPDM. Il offre également des services de proximité, aux maîtres d'œuvre et d'ouvrage ainsi qu'aux étancheurs, du lancement du projet à sa livraison : formation, calculs techniques, assistance sur site lors de l'installation et inspection une fois les travaux achevés.« Lorsque l'expert en pneus, Firestone, a décidé d'entrer dans l'industrie de la toiture plate en 1980, le marché, dominé à l'époque par les produits en asphalte, avait commencé à évoluer. Les membranes monocouches synthétiques ont émergé avec le désir de construire des bâtiments à haute performance et à des coûts d'installation plus compétitifs. Aujourd'hui, on considère que le rôle de la toiture d'un bâtiment va bien au-delà de la protection du contenu et de ses occupants. Elle doit être facile à installer, respectueuse de l'environnement et efficace du point de vue énergétique. Autant de critères auxquels répond la membrane RubberGard™ EPDM. Les 30 millions de m² installés chaque année dans le monde en témoignent. », explique Steven Forger, Directeur Firestone Building Products France et Europe du Sud.Zoom sur l'un des premiers chantiers françaisFirestone Building Products a installé l'une de ses premières membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM en France en 1998, sur une charpente en lamellé collé. Situé à Montauban, ce bâtiment industriel a été racheté en 2011 par Doumerc Pneus International. « Les 11 000 m² de membranes ont été mis en œuvre il y a 22 ans et à ce jour il n'y a aucun changement d'aspect en partie courante. L'étanchéité est quasi comme neuve malgré une tempête de grêle violente survenue en 2015. Alors que nous avons dû remplacer les 99 lanterneaux endommagés durant cet orage, les membranes, elles, sont restées intactes. Pas de poinçonnement ni de fuite ! Malgré les fortes chaleurs que nous connaissons dans le Sud-Ouest, notamment ces dernières années, les membranes restent souples sans s'abîmer ou se fissurer. Aujourd'hui, un étancheur agréé Firestone Building Products doit simplement reprendre quelques patches au niveau des angles des lanterneaux. De petits travaux de maintenance normaux après plus de deux décennies de mise en service. », explique son dirigeant Patrick Doumerc.Les atouts de RubberGard™ EPDMLa membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM a réussi le test EMMA (Equatorial Mounted Mirrors Ageing) qui l'a soumise à une exposition de 2 000 000 Langleys, soit en moyenne 20 ans sous les rayons du soleil équatorial. Les essais réalisés par le Süddeutsche Kunststoff Zentrum (SKZ), institut de recherche allemand, démontrent également que les membranes en EPDM conservent une élasticité jusqu'à 150% même après 50 ans d'utilisation grâce à leur composition exempte de plastifiant. Cette souplesse permet de faire face aux fluctuations importantes de température et aux éventuels mouvements des bâtiments. RubberGard™ EPDM fait preuve d'une haute résistance à l'ozone, aux UV, aux micro-organismes et aux conditions météorologiques extrêmes telles que la grêle. Chimiquement inerte, elle ne libère aucune substance toxique, ce qui en fait la solution idéale pour la récupération des eaux pluviales.Universelle, cette solution se pose à froid sans aucune flamme sur tous les types de bâtiments (commerciaux, industriels, tertiaires et résidentiels collectifs), et ce, quel que soit le climat, des températures inférieures à zéro de la Russie au soleil du désert d'Arabie Saoudite. Elle est compatible avec l'installation de toitures végétalisées extensives et photovoltaïques. Légère (1,35 kg/m²), elle peut être mise en œuvre sur une étanchéité existante. Ses grandes nappes (de 30,5 m de long, et entre 3,05m et 9,15m de largeur) permettent de réduire le nombre de joints, assurant une installation rapide, aisée et fiable par une entreprise agréée Firestone Building Products. Les modifications futures du toit, telles que l'ajout de puits de lumière ou l'intégration d'extensions du bâtiment, peuvent être effectuées facilement tout en conservant les performances globales du système de toiture.
Il y a 5 ans et 7 jours

Guillaume Gillet : L’architecte des Trente Glorieuses

Guillaume Gillet porté par ses condisciples après l’obtention du Prix de Rome, le 10 juillet 1946. [©Fonds Gillet. SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] Guillaume Gillet (1912-1987) s’est formé au métier d’architecte à l’Ecole des beaux-arts de Paris. La guerre de 1939-1945 interrompt ces débuts modestes. Il est fait prisonnier et passe toute la période de l’Occupation en captivité en Allemagne. A la Libération, il s’inscrit au concours pour le Grand Prix de Rome qu’il remporte en 1946. Architecte en chef des Bâtiments civils et Palais nationaux en 1952, il monte un cabinet, en partenariat avec plusieurs ingénieurs, dont Bernard Laffaille et René Sarger. Il acquiert sa renommé dans la réalisation de bâtiments religieux et pénitentiaires. Il collabore avec le ministère de la Justice et l’administration pénitentiaire pour laquelle il réalise une dizaine de prisons en France au cours des années 1960. Architecte du ministère de l’Education nationale, Guillaume Gillet construit aussi plusieurs collèges (Meaux, Montrouge, Bagneux…). Le sacre de Royan L’église de Royan est devenue une “icône”, un symbole du renouveau de l’architecture religieuse, et donc de l’architecture nouvelle, qu’inauguraient les Trente Glorieuses. [©Mairie de Royan – Philippe Souchard.] « La mode, et plus tard l’obligation, des concours n’était pas encore advenue : il fallait donc du talent voire de l’entregent pour se faire une place et une notoriété. » Et c’est sur un coup de téléphone que tout allait se déclencher. Celui, en 1954, de Max Brusset, député-maire de Royan, lui demandant de faire des plans pour l’église de la ville. « Ce n’est pas un concours, ce n’est pas non plus une commande, c’est une consultation à vos risques et périls. Je vous donne 15 jours pour répondre. » Et Gillet accepta. Elevé à l’ombre de l’abbaye cistercienne de Chaalis et de la cathédrale de Chartes, et imprégné de culture classique, il a su tirer la quintessence gothique pour produire une œuvre moderne. Il fit appel à l’ingénieur Bernard Laffaille qui élabora un procédé de construction rapide, fondé sur l’emploi d’un pylône préfabriqué en béton de section en V. Il s’agit d’un voile mince de béton de 8 cm d’épaisseur, en forme de selle de cheval, qui, plié en deux dans le sens de la longueur, peut-être dressé à la verticale sur son champ. A la suite de Notre-Dame-de Royan, Guillaume Gillet construira plusieurs églises et chapelles. Celles-ci témoignent des recherches menées avec les ingénieurs pour exploiter les possibilités nouvelles offertes par les voiles de béton et les charpentes en bois lamellé-collé : Saint-Crépin, à Soissons (1959-1965), Saint-Michel des Galoubies, à Chamalières (1959-1961), Notre-Dame-de-la-Solitude, à Vieux-Condé (1961-1966), Saint-Joseph-Travailleur, en Avignon (1967-1969)… Il utilisera aussi cette technique dans des édifices utilitaires comme les châteaux d’eau (La Guérinière, à Caen, et Belmont, à Royan). Le monde pénitentiaire Vu aérienne de la prison de Fleury-Mérogis réalisée entre 1965 et 1969. [©Fonds Gillet. SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] Son titre d’architecte des Bâtiments civils et Palais nationaux destina Guillaume Gillet à recevoir la commande de grands édifices de l’Etat. L’après Seconde Guerre mondiale fut une période propice à un renouveau architectural. Celui de l’Art sacré est connu. Le programme de la prison n’y échappa pas non plus, face à des établissements anciens, inadaptés, vétustes et surpeuplés. Les modèles datant du XIXe siècle, le ministère de la Justice chargea Guillaume Gillet de repenser le programme des maisons d’arrêt (Valenciennes en 1964, Muret en 1956, Fleury-Mérogis en 1969…). En 1962, il fut chargé de concevoir l’Ecole nationale de la magistrature, à Bordeaux. Etudiée par l’ingénieur Robert Lourdin, la charpente de la salle des pas perdus est constituée d’arcs en bois lamellé-collé portés par des piliers en béton armé. La construction du Palais des Congrès et de l’hôtel Concorde Lafayette en 1973. [©Gérard Guillat] Enfin, en 1975, Guillaume Gillet réalisa une des pierres angulaires du nouveau Paris : le Palais des Congrès de la Porte Maillot et l’hôtel Concorde Lafayette, un de plus grands gratte-ciel de la capitale.  Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 7 jours

SPIE innove et déploie l'intelligence artificielle pour répondre aux besoins de Thésée DataCenter

SPIE ICS est spécialisée dans les services liés aux infrastructures ICT1, depuis l'environnement utilisateurs jusqu'au data center. La filiale a été sélectionnée pour assurer la mise en œuvre technique de ce data center de colocation2 particulièrement novateur. SPIE ICS se voit ainsi confier les prestations de conseil et ingénierie avant intégration ainsi que l'installation des différents équipements techniques et de sûreté. Ce contrat ambitieux vient couronner une relation privilégiée initiée en 2016.« Nous sommes fiers de voir ce projet se concrétiser et d'en être l'un des principaux opérateurs. Nous avons très tôt fait confiance aux fondateurs de Thésée DataCenter dont l'audace et la compréhension des enjeux techniques ont été déterminantes », a déclaré Fabrice Raison, Directeur de Département chez SPIE ICS. « Nous en sommes d'autant plus heureux que nous partageons un ADN commun : la volonté d'allier innovations technologiques et efficacité énergétique ». Dès septembre 2020, plus de 40 collaborateurs de SPIE ICS seront mobilisés sur ce chantier préalablement modélisé en BIM3. La livraison du projet est prévue pour le 28 février 2021.Les équipes de SPIE ICS déploieront dans le cadre de cette mission l'ensemble de leurs compétences techniques en matière de data center. Elles s'attacheront tout particulièrement à mettre en œuvre des technologies de pointe permettant de garantir les objectifs de performance énergétique du projet. Il s'agira notamment d'atteindre une consommation électrique inférieure de 25% à celle des data centers de colocation les plus récents avec une empreinte carbone également réduite de 25%. « Au-delà de la solution de free-cooling4, nous avons eu recours à des techniques d'intelligence artificielle. La gestion et la régulation de la température en salle seront assurées par des capteurs dont les données seront analysées en temps réel par des algorithmes. 90% du temps, les salles informatiques seront ainsi refroidies sans aucune consommation d'énergie », indique Fabrice Raison.Autre expertise majeure apportée par SPIE ICS : la sécurisation du site avec une infrastructure de sûreté à 7 niveaux d'accès entre l'entrée sur le site et l'accès aux baies informatiques privatives et des points de passage obligés disposant des dernières technologies en termes de biométrie et de vidéosurveillance. Celles-ci seront couplées au dispositif de gestion technique du bâtiment ainsi qu'à un portail de services ouvert aux clients de Thésée DataCenter.1 Information and Communication Technology2 Un centre de colocation ou « hôtel porteur » est un type de centre de données où l'équipement, l'espace et la bande passante sont disponibles à la location pour les clients de détail.3 Le BIM ou Building Information Modeling est un processus intelligent basé sur un modèle 3D qui offre aux professionnels de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction (AEC) les informations et les outils nécessaires pour planifier, concevoir, construire et gérer plus efficacement des bâtiments et des infrastructures.4 Technique qui consiste à limiter l'usage de la climatisation en refroidissant un bâtiment grâce à l'air extérieur
Il y a 5 ans et 7 jours

Le renouvellement urbain s’adapte à la crise

La renouvellement urbain s’adapte à la crise et maintient son cap. En « 10 réponses sur le déroulement des projets » signées par son directeur général et son président, l’agence nationale pour le renouvellement urbain (Anru) manifeste sa volonté de souplesse et de pragmatisme. Crise ou pas, l’année 2020 reste celle de l’engagement du Nouveau programme national de renouvellement urbain et de la clôture du cycle engagé en 2004.
Il y a 5 ans et 7 jours

Thermador finalise l'acquisition de Thermacome malgré la crise sanitaire

Malgré la crise sanitaire, le distributeur en gros d'articles de robinetterie Thermador Groupe a finalisé l'achat de la société normande Thermacome.
Il y a 5 ans et 7 jours

Edycem : Fonctionner malgré tout

Philippe Queneau, directeur général d’Edycem, et Estelle Breillat, directrice qualité et développement. [©Edycem] En concomitance avec les annonces gouvernementales, Edycem, comme beaucoup d’industriels, décide de stopper son activité le 17 mars dernier. Ce jour-là, à midi, ses sites de production de béton, implantés du Finistère Sud au Bassin d’Arcachon, s’arrêtent. Tandis que les services supports (comptabilité, commercial, ressources humaines…) sont mis en télétravail. Edycem BPE, la branche béton prêt à l’emploi, compte 33 centrales et l’activité préfabrication – Edycem PPL –, une usine à Saint-Georges de Montaigu (85). « L’arrêt de l’activité est compliqué, explique Philippe Queneau, directeur général d’Edycem. Le télétravail était pratiqué très ponctuellement jusqu’alors dans l’entreprise et nous venions aussi d’acquérir 6 nouvelles centrales. » Dès la fin de la semaine, l’équipe dirigeante s’interroge sur une reprise partielle des unités de production, afin d’assurer les commandes et répondre aux demandes des chantiers encore ouverts. « Avant toutes décisions, nous avons voulu demander qui était capable de revenir ? » Une question évidente pour l’industriel qui place les valeurs familiales au cœur de son fonctionnement. Et Estelle Breillat, directrice qualité et développement, de poursuivre : « Nous avons mis en place une enquête et contacté près de 317 collaborateurs. » Résultat : 79 % des répondants souhaitaient retrouver leur travail. A contrario, 15 % étaient des personnes à risques ou avec des enfants à la maison et 6 % ont signifié leurs craintes par rapport à la reprise. Ainsi, les sites se sont ouverts en fonction des demandes. Une reprise progressive En mars, 14 centrales à béton étaient actives et engrangeaient 15 % de l’activité, par rapport à un mois de mars “traditionnel”. En avril, Edycem a pu assurer 42 % de son activité. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 10 jours

Etudiants d’architecture : concours ouvert pour les ouvrants

GYPASS, spécialiste des ouvrants, a lancé un concours pour les étudiants en écoles d’architecture. Inscriptions jusqu’au 15 juin 2020. La porte de garage et le portail sont des éléments-clés de valorisation de l’espace extérieur d’un habitat. Au-delà de leur aspect purement fonctionnel, ils contribuent à personnaliser un lieu et donner style et caractère à une […] L’article Etudiants d’architecture : concours ouvert pour les ouvrants est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 10 jours

Moscou va relancer l'industrie et le BTP mais ne lève pas le confinement

Selon Sergueï Sobianine, la situation dans la capitale russe permet d'autoriser le redémarrage de l'activité sur les chantiers et dans les industries, mais pas dans les magasins, restaurants, bureaux et autres entreprises de services.Ce sont 500.000 personnes qui pourront ainsi retourner au travail.Pour les autres, le confinement "ne sera pas assoupli. Au contraire, il faut le respecter précisément", a-t-il déclaré mercredi.Il s'agit de "stabiliser la situation épidémiologique et, progressivement et en fonction des possibilités, d'ouvrir un secteur d'activité après l'autre", a ajouté le maire.Sur le plan médical, il a relevé qu'au cours des deux dernières semaines, il n'y avait pas eu d'"augmentation du nombre des hospitalisations et des malades en état grave" ce qui témoignerait d'une "certaine stabilisation de la situation" à Moscou.La capitale russe compte plus de la moitié des 165.929 cas répertoriés en Russie. Ce chiffre fait de ce pays le 5e le plus touché en Europe et le 6e dans le monde, selon un comptage de l'AFP. Son taux de mortalité reste cependant faible, selon le bilan officiel, avec 1.537 morts.
Il y a 5 ans et 10 jours

Dunes et plages de Méditerranée en France abîmées par l'artificialisation et le tourisme

"Le bassin méditerranéen constitue l'un des 36 points chauds de la biodiversité dans le monde, où la biodiversité est particulièrement riche, mais aussi particulièrement menacée", rappelle le comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) dans un communiqué.La situation est identique en France, où "sept des neuf écosystèmes constituant les cordons dunaires et rivages sableux méditerranéens, représentant environ 26% du linéaire méditerranéen en France, dont la Corse, sont évalués +en danger+ ou +vulnérable+", poursuit l'UICN, qui a mené cette évaluation avec l'Office français de la biodiversité (OFB) et le Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)."Cette première évaluation de l'état de dégradation des littoraux sableux méditerranéens en France révèle combien ces écosystèmes ont été profondément affectés et fragmentés par l'artificialisation du littoral depuis les années 1960", souligne l'UICN, qui pointe aussi du doigt "les impacts actuels de la surfréquentation touristique et de la modification de la dynamique sédimentaire littorale à l'échelle de la façade méditerranéenne, qui aggravent les phénomènes d'érosion des côtes".Ces dunes et plages sableuses "limitent l'érosion et le recul du trait de côte" en France, tout en accueillant de nombreuses espèces, notamment des oiseaux migrateurs: la Camargue et les étangs palavasiens, à côté de Sète "rassemblent près de 190.000 oiseaux". Cette région accueille aussi "l'unique zone de nidification en France du flamand rose et plus de 80 % de la population française de la sterne naine".Les écosystèmes les plus menacés sont les dunes blanches, "en danger" selon la classification de l'UICN. Elles ont souvent disparu "au profit d'une urbanisation implantée directement en haut de plage, en particulier sur le littoral du golfe du Lion".Celles qui n'ont pas été artificialisées sont adossées à des routes, des parkings ou des zones urbaines "qui bloquent totalement leur mobilité". Le piétinement par les touristes l'été déstabilise les plantes et animaux et "accélère l'évacuation du sable par le vent".Six écosystèmes sont "vulnérables" sur le pourtour méditerranéen français: les plages sableuses, les laisses de mer végétalisées, les dunes grises , les junipéraies dunaires, les dunes embryonnaires et les dunes boisées. Deux autres milieux, les fruticées dunaires et les dépressions dunaires, doivent être étudiées de manière plus approfondie.
Il y a 5 ans et 10 jours

Réouverture de la Galerie d’architecture le 12 mai !

La Galerie d’architecture, fermée depuis la mi-mars, rouvrira ses portes le 12 mai. Une bonne occasion pour découvrir l’exposition... Cet article Réouverture de la Galerie d’architecture le 12 mai ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 10 jours

PPE : Équilibre des Énergies invite à maintenir le cap sur la réduction des énergies fossiles

Pour Brice Lalonde, ancien ministre de l'Environnement, Président de l'association Équilibre des Énergies : « Il faut lancer un programme de renaissance de l'activité économique de la France, fondé sur l'électricité et sur les autres énergies décarbonées, pour lutter contre le dérèglement climatique, conforter l'indépendance nationale, assurer la santé publique et promouvoir la justice sociale ».Baisser la consommation des énergies fossiles et développer les énergies décarbonées Le décret de la PPE impose une réduction significative de la consommation des énergies fossiles les plus présentes en France : d'ici à 2028, la consommation du pétrole devra avoir chuté de 34% par rapport à 2012 et celle de gaz naturel de 22%. Les pouvoirs publics confirment ainsi leur volonté de construire une politique énergétique fondée sur l'efficacité énergétique et sur des formes d'énergies décarbonées, électricité et énergies thermiques renouvelables essentiellement.Équilibre des Énergies salue ces dispositions et invite les pouvoirs publics à résister aux appels à la procrastination de ceux qui ne s'y retrouvent pas. L'urgence sanitaire ne doit faire oublier l'urgence climatique.Intégrer la transition énergétique dans un programme de renaissance économiqueLe défi du Gouvernement est à présent de parvenir à intégrer ces mesures, conçues avant la crise du Covid-19, dans une stratégie globale de renaissance économique visant à reconstruire l'économie française sur des bases décarbonées. Le problème est celui de l'urgence : la crise du COVID-19 fait obligation de définir rapidement des priorités et de sélectionner les actions les plus efficaces sur le plan énergétique, économique, environnemental et sociétal. Sans négliger les autres formes d'énergies décarbonées, réseaux de chaleur décarbonés et solaire thermique notamment, Équilibre des Énergies constate que l'électricité « coche toutes les cases » exigées par une relance économique vertueuse.C'est aujourd'hui qu'il faut engager la deuxième révolution électrique, celle qui permettra de faire passer, dans les meilleurs délais possibles, de 25 à 50% la part de l'électricité dans la couverture des besoins finaux. C'est la meilleure façon pour la France de se recentrer sur ses propres ressources énergétiques, de reconstruire son activité industrielle, de faire face aux défis climatiques, économiques et sociétaux et d'apporter de l'emploi et du confort à nos concitoyens.Relancer la constructionL'adoption de la PPE doit être l'occasion de jeter les bases d'une relance massive de la construction. L'administration doit finaliser sans attendre les grands chantiers réglementaires engagés avant la crise : RE 2020, nouveau DPE, traitement des logements à consommation excessive, remplacement des chaudières à fioul, etc.Les solutions sont là : construction bas carbone, solutions électriques (pompes à chaleur notamment), énergies thermiques renouvelables… L'industrie française et les installateurs sont prêts à se mobiliser pour répondre aux besoins.Une ambition forte pour le véhicule électriqueLe rôle de la mobilité électrique se trouve renforcée par le décret du 23 avril qui prévoit, d'ici à 2028, 5,2 millions de véhicules électriques ou hybrides rechargeables en circulation en France et 100 000 points de recharge ouverts au public seront disponibles.Équilibre des Énergies s'en réjouit mais alerte les pouvoirs publics sur les difficultés pratiques qui subsistent, notamment quant au développement des infrastructures de recharge accessibles au public ou en copropriété. Le marché est encore très fragile et la demande a besoin d'être davantage soutenue pour permettre le déploiement de la mobilité électrique à grande échelle.Retrouver une vision industrielleComme après toutes les grandes crises, l'énergie et l'électricité en particulier joueront un rôle essentiel. Développer les usages de l'électricité, c'est donner du confort et du mieux-être aux citoyens mais c'est aussi permettre à l'industrie française de se moderniser et à tout un ensemble d'industriels français de retrouver le chemin de la croissance et de participer au redressement national.C'est avec cette vision qu'il faut maintenant aborder l'Acte II de la PPE.
Il y a 5 ans et 10 jours

Sergei Tchoban – Une ville dessinée

Une ville dessinée, présentée par Sergei Tchoban, révèle l’interaction contrastée entre l’architecture historique et l’architecture moderne, si fortement présente dans nos villes. A Paris, jusqu’au 13 juin 2020. L’avenir de la ville européenne est le thème central du travail de Sergei Tchoban. Il est évident que le langage de l’architecture contemporaine et l’échelle des gestes […] L’article Sergei Tchoban – Une ville dessinée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.