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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(78552 résultats)
Il y a 5 ans et 11 jours

Ça bouge chez Urbat !

CARNET-NOMINATION. Le Conseil de Surveillance de la société Urbat Promotion a nommé un nouveau président du Directoire et président de la Société. Découvrez son profil.
Il y a 5 ans et 11 jours

Infranum lance une étude d'impact de l'épidémie de covid-19 sur ses activités

FIBRE OPTIQUE. La fédération Infranum a commandé une étude pour mesurer l'impact de la crise sanitaire sur la filière des infrastructures numériques. Un diagnostic qui doit l'aider à formuler des propositions précises et chiffrées au gouvernement dans le cadre du futur plan de relance de l'économie.
Il y a 5 ans et 11 jours

Covid-19 : les fabricants de produits de construction proposent un plan tourné vers l'investissement durable et responsable

Nous savons d'ores et déjà que l'impact négatif de la situation actuelle entraînera une crise économique française et européenne importante, et qu'un grand nombre d'entreprises françaises se retrouveront dans des situations extrêmement périlleuses. Une reprise rapide de l'activité économique est donc aussi urgente qu'indispensable.Alors que les premières positions du Haut conseil au climat et la Convention Citoyenne appellent les pouvoirs publics à une relance tournée vers la transition énergétique et environnementale, le plan de reprise et de relance élaboré par l'AIMCC, en tant qu'animatrice du CSF IPC, se base sur une conviction forte : l'écologie et l'économie doivent converger, pour sortir au plus vite de la crise.La contribution de la Filière Industries pour la Construction animée par l'AIMCC insiste premièrement sur l'accélération de la reprise car elle sera une condition sine qua non de succès de la relance : plus la reprise sera lente, plus les capacités d'action seront obérées dans un contexte concurrentiel toujours aussi vif malgré la crise.Hervé de Maistre, Président du Comité Stratégique de Filière des Industries Pour la Construction, appelle de ses vœux un plan de relance rapide, massif, environnemental et social : « Nos propositions conjuguent trois priorités : soutenir les plus fragiles, redonner rapidement de l'activité aux entreprises françaises, accélérer la transformation environnementale. Pour réussir le Plan de Relance, il nous faut des décisions audacieuses, un état d'esprit collectif, une gouvernance efficace. Les industriels sont conscients de la gravité de la situation, prêts à assumer leurs responsabilités aux côtés des pouvoirs publics et de tous les acteurs de la construction ».Les propositions du CSF Industries pour la ConstructionLe CSF Industries pour la Construction a émis une série de propositions dans le cadre du plan de relance auprès du Conseil National de l'Industrie et parmi celles-ci des thèmes essentiels ont rapidement émergé :Une relance de la construction durable et résiliente par la mobilisation de l'épargne privéePour José Mickael Chenu, Directeur Marketing du groupe Vinci et Vice-Président d'EGF BTP : « La mobilisation de l'épargne privée est une voie possible de la relance rapide, notamment dans le logement neuf mais aussi par exemple pour le plan Campus Universités et autres ».La massification de la rénovation énergétique performante des maisons individuelles et quartiers pavillonnairesPour Eric Mestrallet, qui anime le pilote industriel en Ile de France en lien avec la Métropole du Grand Paris du projet Parcours Rénovation Énergétique Performante » (PREP) : « il est indispensable de créer une nouvelle dynamique en matière de rénovation énergétique des maisons individuelles, bien souvent assimilé à un angle mort des politiques publiques depuis une dizaine d'années. C'est un enjeu pour générer de la valeur ajoutée locale, valoriser le patrimoine des propriétaires occupants et apporter dans certains cas une réponse à la dégradation des quartiers pour éviter le sentiment de « relégation » de nos concitoyens. Le soutien de l'Association des Maires de France met en évidence l'attente maintenant déterminante des Maires, pour initier une dynamique qui a fait ses preuves sur l'habitat vertical et les centres-villes ».La promotion du « Made in France »Pour Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM et Didier Petetin, Directeur Général de Vicat, il est indispensable de « faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et la mieux-disance et ainsi promouvoir la création de la valeur ajoutée locale par nos industries et l'ensemble de nos partenaires au sein de la filière, synonyme de résilience et d'indépendance ».La prise en compte prioritaire des ménages démunis pour une rénovation BBC aidée et financée à 100%Pour Jacques Pestre, administrateur de la FNBM, pilote des actions relatives à la rénovation de l'habitat, « il faut penser aussi et surtout aux ménages les plus démunis qui sortiront de la crise encore plus fragilisés, et le projet -100% aidé et financé- sera réservé aux ménages des 3 premiers déciles ».Chèque « rénovation travaux » à destination de tous les ménages Pour Hugues Vérité, délégué permanent du CSF IPC et délégué général de l'AIMCC : « il faut relancer la machine rapidement et tenir compte des leçons de la dernière relance post crise 2008 en redémarrant encore plus vite. La création éventuelle d'une « monnaie verte » constituerait une des pistes les plus efficaces ».L'industrialisation des solutions de rénovation performante pour les Universités et les pools de bâtiments publicsPour Patrice Barbel, enseignant chercheur, conseiller patrimoine au sein de la Conférence des Présidents d'Universités, « il est possible en moins de 6 mois de lancer un programme ambitieux de rénovation globale à l'échelle de 10 universités inscrites dans leur territoire (représentant 500 000 m2) qui seront les étalons d'un déploiement généralisé (15 000 000 m2) sur 3 ans dans le cadre d'une industrialisation des solutions d'efficacité énergétique performantes et volontaristes, et de financements innovants de type « fonds d'amorçage » associé à des fonds de garantie. L'objectif cible sera de stabiliser un modèle économique soutenable et vertueux pour l'ensemble des acteurs des territoires (bilan carbone, mobilité, emplois, innovations formation recherche...) ».Le respect dans les relations commerciales, un gage de confiance réciproque essentiel pour une reprise accéléréePour Philippe Gruat, administrateur de l'AIMCC, référent PME-TPE-ETI au sein du Conseil National de l'Industrie pour la filière, « il faut que la loyauté dans les relations commerciales, notamment sur le respect des délais de paiement et des créances entre acteurs de la chaîne, soit la pierre angulaire d'une reprise et d'une relance fondées sur la confiance de toute la filière ».
Il y a 5 ans et 11 jours

RE2020 : la méthode est publiée, les exigences manquent encore

Le 21 avril, le gouvernement a publié quatre documents sur la future RE2020 qui détaillent la méthode de calcul. 
Il y a 5 ans et 11 jours

Gamme pour toitures en zinc mates

GRANUM de Rheinzink a été conçue pour réunir les zincs mats permettant de magnifier les bâtiments haussmanniens ou les toitures à l’impériale, tout comme les architectures contemporaines. Les aspects de surface Skygrey et Basalte évoluent et donnent naissance à GRANUM, une ligne dédiée à ces finitions. Les propriétés des zincs Skygrey et Basalte ont évolué et ont été optimisés pour une plus grande stabilité de l’aspect et de meilleures aptitudes au profilage. La surface mate, obtenue par un traitement de haute technicité, laisse transparaitre, de façon pérenne, la veinure typique du zinc. Un atout esthétique et technique adapté aussi bien en rénovation qu’en constructions neuves. La gamme ne nécessite aucun entretien et constitue une solution durable pour tous les domaines d’application. RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, complète son offre d’aspects de surface de zinc, avec GRANUM, une gamme dédiée aux zincs mats.
Il y a 5 ans et 11 jours

LafargeHolcim limite les conséquences du Covid-19

Jan Jenisch est le CEO de LafargeHolcim. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim affiche un recul de ses ventes de 3,3 % au premier trimestre de cette année. Un résultat impacté par la crise de Covid-19 qui secoue l’Europe, et, avant elle, la Chine. « Nous faisons face à une crise sanitaire sans précédent avec le Covid-19. Qui change la manièr, dont nous vivons et dont nous travaillons, de bien des façons, a expliqué Jan Jenisch, CEO du groupe LafargeHolcim. Garder nos employés en bonne santé et en sécurité est notre préoccupation n° 1. Mais les résultats du premier trimestre montrent combien nous sommes résilients en tant qu’acteurs économiques. Grâce au renforcement de nos bases économiques, nous sommes tout à fait aptes à traverser cette tempête. Je suis confiant dans le fait que LafargeHolcim émerge de cette pandémie comme un acteur important du retour à la normale de la construction ». Encore trop tôt… Dans le détail des résultats région par région, l’Europe a montré une activité solide. Notamment grâce aux performances de la Suisse et de l’Allemagne. Alors que les marchés britannique, espagnol et français étaient fortement impactés par la crise. En revanche, l’Amérique du Nord a obtenu d’excellents résultats. Avec une demande constante en ciment et en granulats. Le volume total a progressé de 12 %, par rapport à l’année précédente. C’est surtout grâce aux très importants travaux engagés le long du fleuve Mississippi. En Amériques centrale et latine, le Mexique a fait figure de locomotive. Alors que l’Argentine, le Brésil la Colombie et l’Equateur, ont été fortement impactés à la mi-mars. L’Afrique et le Moyen-Orient ont obtenu de bons résultats, malgré des confinements en Afrique du Sud et au Liban. Et c’est sans surprise que l’Asie, qui a subi le plus fort impact de la pandémie, avec un marché chinois quasiment à l’arrêt depuis début janvier… Les conséquences les plus fortes sur l’économie sont attendues pour le 2e trimestre de l’année par le groupe cimentier. Notamment en Europe. Mais les résultats d’avril ont été encourageants dans de nombreux pays, notamment en Chine. Cependant, il est encore trop tôt pour que LafargeHolcim annonce des objectifs révisés pour cette année 2020.
Il y a 5 ans et 11 jours

Rencontre avec : Eva Nielsen

Diplômée des Beaux-Arts de Paris en 2009, l’artiste franco-danoise Eva Nielsen crée des œuvres protéiformes énigmatiques. Avec ses toiles peintes, parfois imprimées ou sérigraphiées, elle bouscule les codes de la peinture, mixe les médiums et sollicite l’imagination du regardeur. Rencontre avec une peintre inspirée et inspirante. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter votre parcours ?Eva Nielsen : Quand j’étais jeune, je ne voulais pas être artiste. Après un DEUG de Lettres Modernes et une maîtrise d’Histoire Européennes à la Sorbonne, j’ai finalement tenté les Beaux-Arts de Paris et j’ai été acceptée. Mon entrée aux Beaux-Arts a été une étape décisive dans mon parcours. J’ai adoré mes années là-bas. J’ai rencontré mes amis, des artistes très intéressants qui m’ont appris autant que mes professeurs. Grâce à la bourse Socrate, j’ai étudié à la Central Saint Martins en 2008. Ce séjour à Londres a été très enrichissant. Ensuite, j’ai rapidement commencé à travailler avec des galeries. Plusieurs résidences artistiques en France et à l’étranger ont ponctué ma carrière. J’ai eu la chance d’aller en Norvège avec l’artiste Mireille Blanc pour travailler à LKV en 2012, puis à Los Angeles avec le peintre Raphaël Barontini pour profiter de tous les ateliers techniques de The Cabin en 2017. Les expositions collectives ont également jalonné mon parcours. J’aime que mes œuvres soient confrontées aux créations d’autres artistes. Quelle est votre approche de la peinture ?Dans ma peinture, il est d’abord question de promouvoir l’hybridité, le collage et la pluridisciplinarité. La toile permet de saisir une partie d’un tout. Je suis très intéressée par l’image photographique, et son aspect tronqué. En photographie comme en peinture, l’artiste capture une vision, qui est forcément parcellaire. Le hors-champs est tout aussi intéressant que la toile. Techniquement, ma peinture se définit par superposition. J’aime, par exemple, faire coïncider un fond diffus avec une ligne franche obtenue par sérigraphie. La technique va aussi de pair avec l’intellect. Quand j’ai en tête une image, je choisis une technique spécifique pour la poser sur la toile. La technique découle ainsi de l’idée. J’aime cette rencontre du geste avec l’esprit. Vous êtes peintre, mais aussi photographe et sérigraphe. De la peinture à la sérigraphie, quel est votre processus de création ? Mon processus de création n’est pas défini. Il y a toujours une prise de risque, qui est d’ailleurs très excitante. En ce moment, je mixe toutes les techniques. Je peins ma toile, je l’introduis dans une imprimante et je la sérigraphie. Je me perds aussi dans les étapes, du collage à la surimpression. L’expérimentation de l’atelier au quotidien apporte son lot d’aléas. C’est important de voir l’accident et de le conserver. Quand j’étais étudiante, je m’opposais à l’accident. Aujourd’hui, au contraire, je chéris les imprévus. L’art le plus complet est sans doute celui où l’artiste parvient à réguler les improvisations pour les incorporer complétement au processus de création. Ainsi, la séance à l’atelier est complexe et intéressante. Parfois, je jette mes toiles. J’aime ce geste confiant, qui révèle une mise à distance de l’acte de création. Je reste persuadée que l’égo pour l’égo est assez nuisible, car l’envie de créer doit prévaloir. Mon œuvre rassemble des références multiples. L’art est une rencontre entre différents domaines. Je suis fascinée par le Black Mountain College, une université américaine humaniste qui fut marquée par les préceptes de Josef et Anni Albers. Avec l’arrivée du couple aux États-Unis au début des années 1930, le Black Mountain College devient une école avant-gardiste, où toutes les disciplines artistiques sont enseignées. J’aime toutes les créations. Je ne pourrais pas me cantonner à un seul médium. Beaucoup de vos œuvres sont issues d’une réflexion sur l’espace urbain. D’où vous vient cette fascination pour les paysages ? Je vis et travaille en banlieue depuis dix ans. La banlieue m’inspire beaucoup. Les paysages périurbains sont toujours pluriels. Ils évoluent constamment. En banlieue, j’aime l’alternance entre des paysages très construits et des lieux abandonnés comme les carrières en friche. À Villeneuve-Saint-Georges, par exemple, toutes les étapes de l’urbanisation sont visibles. Dès que je voyage, je prends les transports en commun et je visite les banlieues, que ce soit à Berlin ou à New York. J’aime découvrir comment une ville évolue. Les banlieues sont des lieux qui sont eux-mêmes des collages, des oxymores. J’aime que l’espace ne soit jamais défini. Je peins des lieux possibles, qui ne sont jamais figés. Je ne suis pas documentaliste ni géographe. Les lieux que je peins ne sont donc pas vraiment réels.Quel rapport entretenez-vous avec l’architecture ?Mon rapport avec l’architecture est empirique. Je la vis, je la vois, je la documente, je la peins. Je suis fascinée par la maison, mais aussi par l’abris tel que Louise Bourgeois le défini. Juste après la crise des subprimes, j’ai fait un road trip à Détroit et j’ai découvert tous les logements abandonnés, toutes ces habitations qui perdent leur valeur première d’espace vécu. L’architecture est à fois fabuleuse et fragile, car elle porte en elle-même sa propre fin. Lorsque je peins des architectures, ce n’est pas le bâtiment en soi qui m’intéresse, mais le rapport que l’homme entretient avec lui. Je suis aussi passionnée par la réalisation de maquettes. Quand j’avais dix ans, je me suis cassée la jambe. Après l’incident, j’ai dû rester sans bouger pendant un an. Un jour, mon père m’a offert une maquette. J’ai alors occupé ma convalescence en fabriquant des tonnes de maquettes. Quels artistes vous inspirent ? Pourquoi ?Je suis influencée par de nombreuses personnalités. J’aime beaucoup les peintres romantiques comme Caspar David Friedrich, qui laisse une grande place au regardeur dans ses peintures. Je cherche moi-même à substituer mes yeux à ceux du regardeur. Je souhaite que le regardeur puisse laisser libre cours à son imagination. On retrouve cela chez les artistes surréalistes. Man Ray me plaît beaucoup car il incarne parfaitement la modernité. Je m’inspire également de plusieurs artistes modernes et contemporains. J’adore Paul Cézanne, Paul Klee, Ed Ruscha, Georgia O'Keeffe, Lee Lozano ou encore Helen Frankenthaler. Mais je suis aussi fascinée par la photographie et l’architecture. Je suis fan des clichés poétiques pris par Luigi Ghirri et des architectures complexes imaginées par Zaha Hadid. Sur quoi travaillez-vous en ce moment ? Actuellement, je travaille sur trois séries. Dans une série, je peins des architectures anthropomorphiques, c’est-à-dire des architectures qui prennent une morphologie humaine. C’est lors d’un séjour à Sibiu en Roumanie que j’ai découvert ces bâtiments surprenants. Je réfléchis également sur l’idée d’image troublée, qui est d’ailleurs parfaitement illustrée par la photographie Portrait de l’espace de Lee Miller. Dans une autre série, j’envisage les architectures comme des percées dans l’horizon, des orbites à travers lesquels on tente de deviner une partie du paysage. J’aime travailler sur plusieurs séries simultanément pour pouvoir aller de l’une à l’autre sans me lasser. Pour en savoir plus, visitez le site de l’artiste Eva Nielsen et le site de la Galerie Jousse Entreprise. Visuels : Portrait © Vincent Ferrane, Œuvres © Eva NielsenLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 11 jours

Rénovation d’une toiture amiantée sans dépose

Déposer une toiture amiantée peut vite devenir lourd d’un point de vue financier car il convient de faire appel à une société spécialisée et certifée sous section 3 du Code du travail. Celle-ci doit sécuriser l’ensemble du chantier, dans un cadre législatif très strict. Pour rénover la toiture de leur concession automobile et éviter toute perte d’exploitation durant le chantier, les dirigeants de cette entreprise, située à Caudan dans le Morbihan, ont choisi une rénovation en sur-toiture avec le système ONDUCLAIR RENOV FC proposé par ONDULINE. Le bâtiment est composé de 3 halls, chacun recouvert d’une toiture ondulée en fibrociment amianté de 1 400 m2, soit une surface totale de 4 200 m2. Compte tenu de l‘importance de la surface à rénover et des contraintes économiques, il a été choisi de conserver l’ancienne toiture et de la recouvrir sans perçage avec un matériau adapté. Il a fallu opter pour une solution légère, qui puisse être supportée par la charpente existante.
Il y a 5 ans et 11 jours

Pierres en trompe l’oeil sur une façade en aluminium

Le Centre International de Conventions du Pays de Galles conçu par le cabinet Boyes Reed Architects, reprend certaines caractéristiques des bâtiments locaux, en les revisitant avec une vision actuelle. Pour le design de la façade, les architectes se sont inspirés des murs en pierre typiques des bâtiments civils du sud du Royaume-Uni, évoquant l’effet d’ardoise – gris foncé – et la pierre calcaire -gris clair chaud. Ils ont utilisé un revêtement en aluminium plié sous forme de blocs rectangulaires de différentes dimensions, de chez Kingspan. Les panneaux ont un noyau isolant hybride exclusif qui peut atteindre des valeurs de U de 0.08 W / m2 ∙ K. La jonction entre les panneaux se réalise à l’aide de languettes et fentes crénelées et atteint une excellente étanchéité à l’air. Les couches d’aluminium sont prétraitées afin d’améliorer la résistance à la corrosion et sont peintes avec la peinture en poudre de la collection Patina Stone (Adapta Color) classe 2. L’objectif n’est pas d’imiter la pierre, simplement l’évoquer grâce à la couleur, l’effet et l’opacité de cette gamme de peinture.
Il y a 5 ans et 11 jours

“Champs-Elysées : Histoire et Perspectives”, une expo immersive et participative

« Il faut plus de végétal, plus d’arbres, plus de fleurs pour que les petits oiseaux et les pollinisateurs reviennent à Paris », insiste le commissaire de l’exposition, Philippe Chiambaretta. [©PCA-STREAM] Au travers de dessins, films, photographies inédites, gravures et cartes créées pour l’occasion, l’exposition “Champs-Elysées : Histoire et Perspectives”, a débuté, le 14 février dernier, au Pavillon de l’Arsenal. Elle retrace l’histoire de cette avenue imaginée par Le Nôtre en 1664. Baptisée Champs-Elysées à partir de 1709, l’artère a été aménagée par Jacques-Ignace Hittorff et Adolphe Alphand au XIXesiècle.  En cette période de confinement, alors que les espaces culturels sont fermés, le Pavillon de l’Arsenal et l’agence d’architectes PCA-Stream ont lancé la version virtuelle de l’exposition. L’occasion de revenir sur l’histoire, mais aussi sur l’avenir de “la plus belle avenue du Monde”. Le public étant invité à réinventer les “Champs”. En effet, particularité de l’évènement, cette visite immersive est aussi participative. Parents et enfants peuvent désormais, depuis leur salon, se promener sur les Champs-Elysées du futur et en devenir les co-constructeurs. « Avec une ambition affichée : faire des Champs-Elysées le nouveau symbole d’une ville désirable, durable et inclusive », commente Philippe Chiambaretta, architecte chez PCA-Stream et commissaire de l’exposition. Pendant le confinement… Avant sa fermeture début mars dernier, cette exposition enregistrait déjà un succès aussi bien, en termes de fréquentation physique que de participation en ligne. Quelque 46 000 Franciliens avaient déjà formulé 1 600 propositions et réalisé 210 000 votes. Les résultats de cette consultation citoyenne, qui continuent, seront annoncés à la fin du mois de juin et remis aux pouvoirs publics. L’exposition propose toujours de nombreuses pistes pour permettre aux habitants de se réapproprier “leur” Champs-Elysées. A la fin de leur parcours, les internautes sont en effet invités à voter et à soumettre leurs propositions pour transformer l’avenue, via la plate-forme citoyenne Make.org. Et les enfants pourront partager leur vision de l’avenir des Champs-Elysées. Ceci, grâce à un concours de dessin en partenariat avec l’association Paris Mômes. Ce concours leur propose de s’inspirer de l’exposition virtuelle. Puis, de dessiner leur projet pour l’avenir des Champs-Elysées sur un fond à imprimer chez soi. Les enfants peuvent ensuite photographier et envoyer leur œuvre, jusqu’au 10 mai inclus par mail à : concours@parismomes.fr “Champs-Elysées : Histoire et Perspectives” a ainsi été réalisée en collaboration avec le prestigieux Media Lab MIT (Massachusetts Institute of Technology) pour réaliser sa mise en ligne. Ceci, en utilisant la palette la plus large possible de formats : plans du quartier en timelapse, films historiques, projection de flux dynamiques, vidéo immersive d’une “Vision 2030” pour les Champs-Elysées…  Une “Vision 2030” Les Champs-Élysées sont l’avenue la plus connue au monde et pourtant ils sont de moins en moins fréquentés par les Parisiens. Sur les 100 000 piétons qui l’arpentent quotidiennement, à peine 5 % sont des Parisiens en promenade. [©PCA-STREAM]Beaucoup de Parisiens n’aiment pas – ou n’aiment plus – les Champs-Élysées. [©PCA STREAM]Les 15 hectares de jardins sont relativement 40 fois moins fréquentés que le parc Monceau, distant d’un kilomètre seulement. [©PCA-STREAM]39 % des Parisiens déclarent en avoir une « mauvaise image », dont les principales caractéristiques sont selon eux d’être « touristiques », « bruyants », « artificiels », « stressants ». (Étude IFOP 2019). [©PCA-STREAM]En réalité le désamour des parisiens n’a rien d’irréversible, il exprime surtout le désir pour une nouvelle urbanité, dans un contexte de crise environnementale, d’accélération démographique et de creusement des inégalités. [©PCA-STREAM]C’est pourquoi le commissaire de l’exposition, avec l’aide des citoyens, « réenchanter les Champs-Élysées » pour en faire le modèle d’une ville durable, désirable, inclusive. [©PCA-STREAM]C’est dans ce cadre que le Comité Champs-Élysées, qui rassemble tous les acteurs culturels et économiques de l’avenue, a demandé à Philippe Chiambaretta et son agence PCA-STREAM de réfléchir à un réaménagement urbain de grande ampleur. [©PCA-STREAM]L’exposition propose toujours de nombreuses pistes pour permettre aux habitants de se réapproprier “leur” Champs-Elysées. A la fin de leur parcours, les internautes sont en effet invités à voter et à soumettre leurs propositions pour transformer l’avenue, via la plate-forme citoyenne Make.org. [©PCA-STREAM]Parents et enfants peuvent désormais, depuis leur salon, se promener sur les Champs-Elysées du futur et en devenir les co-constructeurs. [©PCA-STREAM] Cette exposition est la concrétisation d’un projet initié à l’été 2018 par le Comité Champs-Elysées, association qui réunit les acteurs culturels et économiques de l’Avenue. Et ce, afin de “réenchanter” les Champs-Elysées. Le comité a confié une mission de réflexion à l’architecte Philippe Chiambaretta. Sa “Vision 2030” inclut un réaménagement complet de l’avenue et de ses places (Etoile, Concorde) à l’horizon 2030. Egalement, la création d’un grand “parc central” de 28 ha, réunissant les jardins des Champs-Elysées et le Cours de la Reine. Ainsi que le renouvellement de la programmation artistique, culturelle… « Rafraîchir et végétaliser l’avenue, rendre les sols plus perméables, faciliter les mobilités douces, valoriser le patrimoine ou encore permettre aux habitants de se réappropier leurs Champs-Elysées. Tels sont les enjeux que réinterrogent l’exposition », conclut Philippe Chiambaretta. M. C.
Il y a 5 ans et 11 jours

Eiffage décroche un nouveau marché dans le milieu hospitalier

CONTRAT. Le groupe Eiffage a signé un contrat pour la conception, la réalisation, l'entretien et la maintenance (CREM) pour un nouvel équipement d'une surface de 45.000 m2, en région parisienne.
Il y a 5 ans et 11 jours

Espace de vie urbain en bois Kebony dans le centre ville de Cagnes sur Mer

C'est dans un environnement résidentiel agrémenté de petits commerces que se tient la toute nouvelle place de Gaulle, une place réaménagée pour la population à l'aide de bancs et d'une scène en bois Kebony. Des arbres apportent un ombrage naturel pendant l'été. C'est l'agence d'architectes paysagistes Guillermin qui a conçu et mené ce projet de requalification dans son ensemble, réalisé par le groupement Spada – Tama, qui a sous-traité la partie aménagement bois à la société Xyleo.« Nous devions créer une scène en platelage bois et des bancs solides, durables et démontables. La scène devant être utilisée pour des spectacles, il fallait aménager une trappe pour qu'une personne puisse entrer sous la scène et gérer les branchements électriques nécessaires », explique Yannick Daeffler, gérant de la société Xyleo. « Le projet devait initialement être réalisé en Ipé, pour une question de durabilité. Nous avons proposé de remplacer cette essence par du Kebony, qui présente les mêmes caractéristiques de durabilité et d'aspect – grâce à sa couleur marron chocolat et à l'absence de nœuds – mais dont l'impact écologique est bien moindre », poursuit-il.Le bois ainsi que le système Grad de fixation de lames utilisé ont été fournis par Woodstone Project. Développée en Norvège, la technologie brevetée Kebony est un procédé respectueux de l'environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l'alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées, sans recourir à la déforestation tropicale, ce qui donne un beau produit en bois très performant, idéal pour ce projet à la fois esthétique et soumis à un passage intense. Avec le temps, le bois Kebony développe une patine gris argenté, qui permettra à cet espace de se fondre harmonieusement avec ses environs urbains.Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 5 ans et 11 jours

Hoffman Green Cement Technologies poursuit son développement

Unité de production Hoffmann Green Cement Technologie à Bournezeau, en Vendée. [©ACPresse] Spécialiste du ciment décarboné pour la construction, Hoffman Green Cement Technologies (HGCT) a présenté, le 24 avril dernier, les résultats de l’année 2019. « Nous avons clôturé 2019 sur une dynamique positive. Qui a été marquée par le franchissement d’étapes clefs de notre plan de développement, ont expliqué Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de la société. Tout d’abord, nos différents succès commerciaux ont confirmé la pertinence et l’attractivité de notre positionnement. Et de sa valeur ajoutée dans un marché qui doit s’engager et accélérer sa transition énergétique. Nous avons ainsi commercialisé nos premières 1 000 t de ciments décarbonés, soit un niveau en ligne avec nos objectifs. » Réussite de l’introduction en bourse Fort du succès du démarrage de la commercialisation de ses ciments décarbonés, Hoffmann Green Cement Technologies a généré un chiffre d’affaires de 600 000 €. L’Ebitda 2019 s’élève à – 1,8 M€, contre – 800 000 € en 2018. Ceci, compte tenu de la montée en charge industrielle et commerciale de la société. Ainsi que du renforcement des équipes permettant de soutenir le développement prévu. De leur côté, les charges opérationnelles liées aux achats de matières pour la réalisation d’essais progressent de 700 000 €. Et les charges de personnel de 400 000 €. Fin décembre 2019, HGCT comptait 16 collaborateurs, contre 7 à fin 2018. A la même époque, les capitaux propres de la société s’élevaient à 70,5 M€. A la suite de l’introduction en bourse réalisée en octobre 2019, qui a permis à l’industriel de lever près de 75 M€ pour financer son plan de développement. HGCT compte sur l’extension de son site de production H1, situé à Bournezeau, en Vendée, initié fin 2019. L’unité de production va permettre à l’industriel de disposer d’une superficie supplémentaire de 1 000 m2 destinés au stockage et à l’expédition de ses ciments. Sur le plan logistique, la ligne d’ensachage automatisée a été mise en service avec une capacité de 250 sacs/h. Le robot pour la mise en palette de ces sacs a, lui aussi, été installé. Et peut gérer jusqu’à 500 sacs/h. Un plan à 2024 inchangé Concernant les futurs sites de production H2 et H3, les démarches administratives ont été effectuées, en respectant le plan de développement. Ces sites seront situés en Vendée et en Ile-de-France. Mais leur déploiement est pour l’heure freiné en raison de la pandémie de Covid-19. Cette dernière  impacte en particulier l’étude des demandes de permis de construire pour H2. Malgré la crise sanitaire actuelle, le cimentier ne dispose pas d’informations assez précises à ce stade pour remettre en question les objectifs prévus pour 2024. A savoir, atteindre une capacité de production totale de 550 000 t/an de ciments décarbonés. Et générer un chiffre d’affaires d’environ 120 M€. Soit près de 3 % des parts de marché du ciment en France à cette date, avec une marge d’Ebitda d’environ 40 %…
Il y a 5 ans et 11 jours

Un nouveau site Internet pour Arcade

Le nouveau site Internet d’Arcade est en ligne… [©Arcade] Editeur français de logiciels destinés aux professionnels des matériaux de construction, Arcade a créé une nouvelle ligne de produits baptisée Massia. « Chez Arcade, nous souhaitons proposer des logiciels à l’interface fluide et agréable. Ceci, en tirant profit des dernières avancées technologiques », annonce l’éditeur.  Afin d’accompagner le déploiement de sa solution, basée sur cinq modules complémentaires, Arcade vient de remettre à plat son site Internet. « Cette vitrine est souvent le premier contact qu’ont nos clients avec notre entreprise. Il nous semblait donc important qu’elle reflète cette volonté et l’esprit de nos produits. »La refonte du site a ainsi été entamée il y a quelques mois. Aujourd’hui, la nouvelle interface vient d’être dévoilée…  La suite Massia y tient une place centrale. Les différents modules y sont détaillés : Massia Gestion, Massia Laboratoire, Massia Maintenance, Massia Performance et Massia QSE & Foncier. Sans oublier l’appli Massia Labo Mobilité…  Le nouveau site Arcade en profite pour rappeler les grandes dates de l’histoire de l’entreprise, débutée en 1993. Ni les services qu’il propose, tels les formations, l’assistance technique. Enfin, l’accès aux actualités et aux newsletters d’information complète la visite, qu’on peut entamer ici. 
Il y a 5 ans et 11 jours

Avec la gamme Granum, Rheinzink met à l'honneur les zinc mats

Le résultat d’une technologie sophistiquéeLes propriétés des zincs Skygrey et Basalte ont évolué et ont été optimisés pour une plus grande stabilité de l’aspect et de meilleures aptitudes au profilage. La surface mate, obtenue par un traitement de haute technicité, laisse transparaitre, de façon pérenne, la veinure typique du zinc. Un atout esthétique et technique adapté aussi bien en rénovation qu’en constructions neuves. La gamme ne nécessite aucun entretien et constitue une solution durable pour tous les domaines d’application. RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, complète son offre d’aspects de surface de zinc, avec GRANUM, une gamme dédiée aux zincs mats.Des domaines d’application largesLes applications des zincs de GRANUM sont multiples : en couverture, en bardage, en détails architecturaux ou en évacuation des eaux pluviales. Les petites surfaces sont renforcées par ces nouvelles teintes et se démarquent clairement. Combinées avec d’autres matériaux comme la pierre naturelle, le bois ou le verre, elles produisent ainsi un net contraste artistique et architectural harmonisant design et tradition.Deux nuances subtilesNouvelle gamme d’aspect de surface proposée par RHEINZINK, GRANUM réunit les deux teintes subtiles répondant aux tendances architecturales actuelles :La teinte Skygrey présente un aspect gris mat traditionnel semblable à la patine formée par le temps dans la nature par le zinc naturel.La teinte Basalte, gris-foncé à la limite du noir, quant à elle, suit la tendance actuelle de l’architecture de surfaces.GRANUM complète l’offre d’aspects de surface proposée par RHEINZINK :CLASSIC : la forme la plus originelle des variantes du matériau. Sous l'influence des conditions climatiques, une patine typique gris-bleu se forme au fil du temps sur sa surface métallique brillante.prePATINA : les seules surfaces réellement prépatinées au monde. Seul RHEINZINK dispose du procédé de « prépatinage » qui permet d'obtenir, dès la sortie d'usine, la teinte gris-bleu ou gris-ardoise d'une patine naturelle sans recourir à une phosphatation, à un revêtement ou à un laquage.
Il y a 5 ans et 11 jours

En reprise d’activité commerciale, EDILTECO® France reste inflexible sur l’accompagnement de ses clients

EDILTECO® France n’a pas suspendu son activité industrielle le 16 mars dernier. « Nous avons décidé de maintenir une activité partielle en mode « dégradé » c’est-à-dire que l’on tourne à 38 % des volumes habituels » témoigne Laurent Mainy, Directeur EDILTECO® France. Deux raisons majeures ont incité EDILTECO® France à maintenir son activité. La première, aboutie suite à une réflexion menée sur l’anticipation de la reprise, a poussé EDILTECO® France à maintenir une activité partielle mais suffisante pour se préparer à la levée du confinement. La deuxième, étant les commandes des clients : « Depuis quelques semaines, les commandes commencent à se débloquer et les clients réouvrent doucement. Pour le moment, ce sont encore beaucoup de commandes de réapprovisionnement. La quasi-totalité de nos clients sont réouverts en mode drive. » explique Laurent Mainy. L’entreprise maintient donc un niveau d’activité lui permettant d’être en adéquation avec la cadence des commandes clients afin de répondre aux besoins des 3 marchés : Chape, Façade et BPE. « Nous fabriquons prioritairement les commandes des clients et dans le même temps nous nous constituons un stock conséquent pour la reprise, qui inévitablement va engendrer un flux de commandes important. Nos stocks sont pleins. » précise Laurent Mainy. EDILTECO® France ne déroge pas à son éthique : « la gestion se fait en bon père de famille », pour ainsi dire l’entreprise se veut active mais prudente, attentive et soucieuse de ses salariés et de ses clients. L’activité de l’entreprise se maintient et les projets en cours n’ont pas été stoppés. Un nouvel expanseur automatique discontinu, de dernière génération, va notamment être implanté en complément des 2 autres. Il sera opérationnel dès la mi-mai pour une expansion optimisée des billes de PSE.   L’ ACCOMPAGNEMENT DU CLIENT De leur côté, les commerciaux ont repris il y a 3 semaines en télétravail. EDILTECO® France qui entretient ses étroites relations avec les acteurs de la distribution du BTP, a maintenu une permanence commerciale depuis le début du confinement. Depuis 3 semaines, les commerciaux sont désormais disponibles de 10h 30 à 12h 00 mais aucun d’entre eux ne retournera sur le terrain avant le mois de juin. « A défaut d’être à proximité, nos commerciaux accompagnent les professionnels par la disponibilité, le conseil, l’information, l’assistance et le service ». Toutes les commandes seront donc gérées par téléphone. « Nous sommes dans une démarche d’accompagnement et nous sommes prêts à faire les efforts nécessaires pour aider au mieux nos clients. Pour ce faire, l’équipe commerciale a la latitude d’ajuster tarifs et franco, sans quantité d’approvisionnement minimale, afin de répondre aux besoins des clients et leur éviter du stock. C’est la force de notre PME : maintenir un niveau de service élevé » conclu Laurent Mainy. L’accompagnement et la satisfaction ont toujours été les piliers de l’engagement d’EDILTECO® France auprès de ses clients. Le souci de bien faire, de concevoir et produire sur le territoire français, de placer la qualité et la confiance au coeur des partenariats qui se nouent ; aujourd’hui plus que jamais, EDILTECO® en témoigne en continuant d’offrir un haut niveau de service et d’accompagnement.
Il y a 5 ans et 11 jours

Altarea a résisté au 1er trimestre et anticipe des perspectives post-coronavirus "élevées"

"Il est trop tôt pour évaluer les conséquences de cette crise sur nos résultats 2020, lesquels seront significativement impactés par le confinement d'une part et la reprise probablement lente d'autre part", indique dans un communiqué le président fondateur Alain Taravella. "Une reprise forte est néanmoins possible"."Les perspectives de nos marchés restent élevées, notamment en logement avec des attentes renforcées en matière de mixité urbaine, proximité, confort d'usage, modularité, sobriété énergétique", précise-t-il.Au premier trimestre, Altarea Cogedim a réalisé un chiffre d'affaires de 566,2 millions d'euros. Le recul est mesuré "malgré 15 jours de confinement", précise le promoteur.La branche Commerce, qui centralise notamment les revenus locatifs, a ainsi progressé (+10,6% à 61,6 millions d'euros), tout comme l'Immobilier d'entreprises (+15,4% à 117,8 millions d'euros), qui a pu s'appuyer sur la contribution en début d'années de grosses opérations réalisées au préalable.En revanche, le Logement (-11% à 368,9 millions d'euros) a connu un sérieux contrecoup et pâti de l'arrêt des chantiers imposés par le confinement.Altarea indique toutefois que sa situation avant la crise sanitaire était "saine" et assure que "la sortie de crise se précise" avec la réouverture de la majorité des centres commerciaux après le 11 mai et la reprise de 95% de ses chantiers à la mi-mai.Au 5 mai, le groupe bénéficie également de 2,67 milliards d'euros de liquidités.
Il y a 5 ans et 11 jours

TENDANCE BÉTON : PBM dévoile une nouvelle gamme d’escaliers dédiée à la maison individuelle

Catalogue TENDANCE BETON Gamme escaliers A la fois élégant et intemporel, l’escalier en béton donne une allure moderne à chaque intérieur. Il s’impose comme une solution design et confortable pour toute rénovation ou construction immobilière. Dans le catalogue “Tendance Béton”, PBM met en valeur son savoir-unique, en proposant une large gamme d’escaliers en béton. Le catalogue décline ainsi des formes variées d’escaliers : droit, quart tournant ou hélicoïdal, des escaliers mixtes béton / métal et des escaliers en kit. Ce catalogue regroupe 3 gammes d’escaliers :1- Gamme SoLoftDes escaliers mixtes en métal et en béton. Ce mariage équilibré confère à la fois confort et solidité extrême aux escaliers SoLoft.2- Gamme bétonDes escaliers monoblocs en béton. Cette gamme s’adapte à tous les intérieurs grâce à la variété des formes proposées et à l’élégance du béton.3- Gamme modulaireDes escaliers en béton, livrés en kit. Facile à assembler, cette gamme se monte marche par marche et s’intègre partout avec élégance.
Il y a 5 ans et 11 jours

Covid-19 : VM fait le point sur son dispositif de reprise

Un groupe de travail* dédié s'est penché sur la mise en place d'un nouveau parcours client. Expérimenté en interne sur le point de vente de VM La Roche-sur-Yon (85), il sera généralisé sur l'ensemble des 82 points de vente et salles d'exposition dès la phase de déconfinement. En complément de ce dispositif, l'enseigne a aussi misé sur ses outils digitaux tels que « Facil'VM » et le « Rendez-vous en ligne » pour simplifier le quotidien de ses clients.Une implantation réadaptée et approuvéeLe site de VM La Roche-sur-Yon a servi de support d'expérimentation pour déterminer un parcours client adapté et sécurisé. Les nouvelles règles de circulation ont été testées grandeur nature en point de vente et sur le parc, pour fluidifier les transactions. Ces règles sont en cours de déploiement sur tous les sites VM et LNTP.Les actions mises en œuvre s'organisent autour du circuit client, de la PLV et des accès au site :une bâche générique, positionnée sur le portail d'entrée, rappelle les gestes barrières et informe du nouveau plan de circulation,des barrières gèrent les flux d'entrée et de sortie des clients professionnels,des distributeurs de gel en accès libre et un panneau des gestes barrières sont installés à l'accueil,des vitres en plexiglas sont disposées sur l'ensemble des comptoirs qui sont entièrement rangés pour simplifier l'entretien régulier. Les bons sont signés par le client avec son propre stylo pour garantir la distanciation et l'absence de contact,un marquage au sol, respectant 1 m de distance de sécurité, dirige le client sur deux pôles différents, vers le drive ou pour passer une commande. Les comptoirs sont ainsi déplacés,les espaces Libre-Service peuvent, soit être fermés au client (les produits seront mis dans un carton en vente afin que le client ne les touche pas), soit être en accès ouvert avec un circuit type déterminé par des bandes de distanciation pour éviter les allers-retours dans les allées,le retrait des marchandises se réalise dans la cour avec une zone d'attente où le client doit patienter dans son véhicule. Processus identique pour les fournisseurs.Quand les outils en ligne prennent tout leur sensVM s'est appuyé sur ses outils digitaux développés ces dernières années pour faciliter le quotidien du client professionnel. En témoigne l'efficacité de Facil'VM. Durant le confinement, l'artisan pouvait se fournir pour ses chantiers en passant commande en amont via son espace privé. Disponible 7j/7 et 24h/24, cet outil permet de demander un devis, chiffrer ses travaux à partir de son tarif personnalisé, géolocaliser plus de 10 000 produits et commander. Pratique en cette période de crise sanitaire pour gérer son temps. Une fois la commande validée, le point de vente lui communiquait un horaire de retrait de la marchandise, sans accès à l'intérieur du point de vente. La livraison était également opérationnelle, pour les professionnels ainsi que les particuliers possédant un compte VM, qui avaient passé commande en amont (par téléphone ou par mail).Le drive restera privilégié à partir du 11 mai. Le système de « Rendez-vous en ligne » sera généralisé. Accessible sur le site www.vm-materiaux.fr, il optimisera le flux de clients en point de vente pour les choix de carrelage, menuiserie… Pour les commandes par téléphone, un message d'attente téléphonique rappelant les gestes barrières a été réalisé.Engagement et solidarité« Les valeurs qui animent VM ont, plus que jamais, été au cœur de notre démarche. Nos collaborateurs ont fait preuve d'une immense implication sur le terrain. Leur esprit d'équipe s'est doublé d'un dévouement remarquable. Alors que la distanciation sociale est une obligation, le sens de la proximité et de l'entraide de chacun(e) s'est révélé. Pour ne citer que quelques exemples, des magasiniers n'ont pas hésité à se déplacer sur d'autres sites pour prêter mains fortes à leurs collègues ou encore des directeurs de points de vente ont assuré le rôle de magasinier. Je tiens à nouveau à les remercier et à les féliciter pour leur implication. Je suis fier de mes équipes. », explique Éric ROUET, Directeur Général de VM.* Composé du Directeur Général, de deux Directeurs Commerciaux Réseaux VM et LNTP, de la Directrice Projets, du Directeur de point de vente de VM La Roche-sur-Yon, du service marketing clients, du service prévention sécurité et d'un membre du CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail).
Il y a 5 ans et 11 jours

Un nouveau DAF dans le Groupe Onduline

Le spécialiste de l’étanchéité des toitures vient de nommer Arnold Jacquier au poste de directeur administratif et financier du groupe.
Il y a 5 ans et 12 jours

La reprise se fait sentir dans le bâtiment, un préfet nommé pour la dynamiser

CONJONCTURE. Plus des deux tiers des entreprises du bâtiment ont repris une activité partielle durant l'avant-dernière semaine du mois d'avril, d'après une enquête menée par la Fédération française du bâtiment auprès de ses adhérents. Mais les adaptations sont nombreuses dans le contexte de crise sanitaire, et la situation varie suivant les régions. Détails.
Il y a 5 ans et 12 jours

Qui est le nouveau directeur administratif et financier d'Onduline ?

CARNET-NOMINATION. Onduline, spécialiste de l'étanchéité des toitures, a nommé un nouveau directeur administratif et financier. Quel est son parcours ? Réponse.
Il y a 5 ans et 12 jours

A travers le programme Vipros, des industriels veulent aider les artisans

INITIATIVE. Afin de soutenir les artisans du Bâtiment touchés par la chute de l'activité liée au coronavirus, des industriels se sont associés via le programme de fidélité Vipros. Au programme : des lots de produits gratuits et des réductions. Explications.
Il y a 5 ans et 12 jours

Baukunst aménagera les sous-sols de La Défense

LAUREATS. Paris La Défense a missionné, après un an de dialogue compétitif, le groupement mené par l'agence belge Baukunst, pour rendre vie à quatre immenses espaces inutilisés, situés sous la dalle du quartier d'affaires.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les entreprises du BTP qui tardent à passer au numérique sont-elles moins rentables ?

Finalcad, éditeur de logiciels dans le secteur de la construction, a publié les résultats d'une étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon afin d'étudier la transformation numérique dans ce secteur.L'étude a déterminé que la marge bénéficiaire moyenne d'un projet de construction est d'à peine 2% dans ces quatre pays. Elle révèle également que l'absence de transformation numérique rend dépendant le travail de nombreuses entreprises au papier, à une époque où le ralentissement dû à la pandémie mondiale de COVID-19 montre l'importance de numériser les activités et de recourir au télétravail.De surcroît, l'absence de numérisation entrave grandement la capacité des sociétés à collaborer et a une incidence directe sur leur chiffre d'affaires. En effet, 62% des personnes interrogées citent le manque de collaboration comme cause principale des retards des projets de construction.L'étude a également analysé la façon dont certaines missions sont réalisées comme la gestion des défauts et les inspections de santé et sécurité. Ses conclusions montrent que les entreprises ont mis en place une variété de méthodes et de processus : plus de la moitié d'entre elles (51%) utilisent plusieurs moyens de communication face à face, téléphone, e-mail et/ou papier pour informer la personne chargée des réparations dans le cadre de la démarche qualité.Fait inquiétant, 53% des sociétés utilisent un outil non fiable tel que les messages texte, les SMS ou la messagerie instantanée de type WhatsApp pour renseigner un incident ou un danger. Ce manque de cohérence en matière de saisie et de partage d'informations importantes présente une marge d'erreur et d'incompréhension considérable, qui peut entraîner un accroissement des risques de sécurité, des retards et des dépassements de budget.« La dépendance du secteur de la construction à des processus obsolètes, dans les bureaux ou sur site, constitue une source d'inefficacité importante. Ces pratiques ne sont pas durables dans un secteur où les faibles marges représentent un problème persistant », explique Frank Le Tendre, PDG de Finalcad. « Le BTP a pris du retard face à d'autres secteurs tels que la finance et la distribution en termes de numérisation, mais cette étude nous montre que de nombreux processus quotidiens présents dans tous les projets sont des cibles importantes en termes de transformation. Du contrôle des défauts à la sécurité, aucun domaine ne peut échapper à une amélioration grâce à l'optimisation des opérations. Par ailleurs, lorsque les pays sortiront de la récession causée par la pandémie de COVID-19, celles qui auront effectué leur transition numérique pourront agir rapidement pour reprendre le cours normal de leurs activités. »La non-numérisation entraîne d'autres conséquences pour les entreprises, notamment des difficultés pour obtenir des informations et récupérer les données permettant d'établir des factures non réglées lorsqu'un entrepreneur ne peut pas prouver qu'il a réalisé une mission : une majorité de répondants (90%) affirment que le « travail gratuit » est un problème habituel.De plus, les sociétés de construction souffrent de devoir « réinventer la roue » à chaque nouveau projet : 59% des personnes interrogées affirment créer parfois, souvent ou la plupart du temps de nouveaux modèles de documents pourtant déjà existants : un réel gaspillage de temps et de ressources.Ces deux résultats devraient représenter un facteur majeur de transformation numérique pour les responsables, les dirigeants et les promoteurs des entreprises de construction : un process numérique centralisé permet de s'améliorer continuellement et facilite considérablement la saisie des travaux supplémentaires ainsi que la création de modèles duplicables.« À l'instar d'autres domaines, la construction devra affronter une période difficile à court terme en raison de l'impact du COVID-19 sur les économies mondiales », poursuit Franck Le Tendre. « Cependant, sur le long terme, la construction présente un énorme potentiel de croissance. Les Nations Unies prévoient que les deux tiers de la population mondiale vivront dans les villes d'ici 2050, avec une accélération de la tendance des villes intelligentes. [1] Les entreprises de construction désirant saisir ces occasions doivent passer au numérique dès maintenant. La transformation numérique supprime les silos existants et simplifie la difficulté qu'elles rencontrent, à savoir jongler avec le personnel, les plans, les compétences et les matériaux pour répondre à un calendrier changeant, tout en améliorant leur rentabilité et la satisfaction des clients finaux. » L'étude Finalcad 2020 : La transformation digitale globale dans la construction est la première des deux parties d'une série visant à analyser la numérisation de la construction. Le second rapport sera publié à l'automne 2020.Consultez les résultats complets et téléchargez l'étude, ici.*L'étude a été menée en février et mars 2020, commandée par Finalcad et réalisée par Coleman Parks, une société indépendante d'études de marché. L'échantillon total englobe 400 personnes, dont 200 responsables de site/directeurs gérant en moyenne 10 sites, et 200 responsables/directeurs de siège. Les personnes interrogées ont été les chefs de projet sur sites et les directeurs d'unité opérationnelle chargés de la construction aux sièges qui travaillent dans des entreprises de construction commerciale et résidentielle au chiffre d'affaires supérieur à 51 millions de dollars par an en France, en Espagne, à Singapour et au Japon.Pour plus de détails, consultez la section Informations démographiques.[1]Les Nations Unies : Les prévisions indiquent que 68% de la population mondiale vivra dans les zones urbaines d'ici 2050, selon l'ONU, 16 mai 2018
Il y a 5 ans et 12 jours

Les producteurs de matériaux planchent sur la relance

L’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) a publié des propositions pour une relance "résiliente" de l’activité.
Il y a 5 ans et 12 jours

Covid-19 : entre combativité et inquiétude, les agents immobiliers préparent la reprise

Depuis mi-mars les réactions sont contrastées, certains agents ont opté pour une fermeture jusqu'à nouvel ordre, d'autres tentent d'assurer une continuité d'activité et de rester au contact des clients notamment grâce aux outils numériques.Alors que la profession prépare la reprise complète de son activité à compter du 11 mai prochain, Opinion System, fort de son positionnement unique sur le marché avec plus de 6.000 agences adhérentes, a souhaité les interroger pour prendre le pouls de la situation économique et avoir une vision au plus proche des réalités terrain tant sur l'impact de la crise sanitaire sur leur quotidien que sur leur perception de l'avenir.Impact du Covid-19 : assurer le maintien de l'activité... dans le brouillardLa fermeture des agences immobilières et l'interdiction de l'accueil du public dans les structures ont poussé les professionnels du secteur à s'adapter et revoir leur façon de travailler. Si la digitalisation est un moyen d'assurer une certaine continuité dans la gestion des dossiers en cours, entre la dématérialisation des actes authentiques, les visites virtuelles et les signatures électroniques, dans les faits, seules 2 agences sur 10 ont pu mettre en place le télétravail. 61% ont ainsi été contraintes de réduire la voilure en ayant recours au chômage partiel pour tout ou partie de leurs collaborateurs, 19% ayant décidé de suspendre temporairement leur activité.Si plus d'1 agent immobilier sur 2 (53%) fait part de ses craintes concernant sa capacité à rebondir, force est de constater que l'appartenance à un réseau est perçue comme un facteur de soutien et de protection supplémentaire face aux aléas de marché : 61% des agences indépendantes se déclarent inquiètes quant à leurs perspectives de développement et au maintien des emplois au sein de leur structure, contre 46% pour les franchisées. Une situation qui s'explique par la capacité des grandes têtes de réseaux à se mobiliser pour pérenniser les intérêts de leurs adhérents à l'image d'ORPI, par exemple, qui vient d'annoncer la création d'un fonds de solidarité de 10 millions d'euros.En manque de visibilité sur l'évolution de la situation économique, les agents immobiliers se montrent prudents et relativement attentistes face aux évènements : également optimistes et pessimistes (42%) sur les perspectives économiques d'une façon générale et le marché immobilier en particulier, ils sont par ailleurs 16% à ne pouvoir se prononcer sur la question. Là encore, les franchisés se distinguent par leur lecture plus positive de la situation (47%), quand les indépendants se montrent eux davantage alarmistes (48%).A l'écoute des signaux du marché, la profession prépare la repriseSelon de récentes études, plus de la moitié des acheteurs comptent reprendre leurs recherches dès la fin du confinement*, pourtant les agents immobiliers semblent divisés concernant l'impact de la crise sur la confiance des acheteurs/vendeurs, 46% d'entre-eux anticipant un durcissement du marché. De même, alors qu'1 futur acheteur sur 2 table sur une baisse progressive des prix*, la profession s'inquiète de leur stabilité à 45%.Parmi les grandes préoccupations soulevées par les professionnels, la réaction du marché bancaire occupe une place prépondérante : 70% des agents immobiliers sont inquiets de l'impact de la crise sur les conditions d'accès des Français au crédit immobilier et la remontée des taux immobiliers questionne plus d'1 agent immobilier sur 3 (39%).Malgré les difficultés occasionnées par la crise actuelle, les agents immobiliers restent mobilisés et préparent « l’après » : 96% rappellent leurs clients pour assurer le suivi des dossiers, 83% rattrapent leur retard sur des dossiers administratifs, 78% réactualisent leur base de données, 61% rappellent d’anciens clients pour prendre des nouvelles et 48% se penchent sur l’analyse des canaux ayant généré le plus de ventes au sein de leur agence.« Le marché de l'immobilier vit une situation sans précédent et il est encore impossible de mesurer avec précision l'impact de la crise sanitaire. De nombreuses incertitudes pèsent sur le moral des agents immobiliers qui s'inquiètent pour la survie de leurs agences et le maintien des emplois », observe Jean-David Lépineux, fondateur d'Opinion System. « Pour autant, dans ce contexte exceptionnel, assurer la continuité de l'activité est l'une de leurs priorités et ils sont une grande majorité à s'être organisés pour poursuivre une partie de leur mission auprès de leurs clients, grâce aux outils numériques notamment. Très attentive à l'impact psychologique du Coronavirus sur le comportement des vendeurs et des acheteurs, et au-delà sur celui des établissements bancaires, la profession reste mobilisée pour s'assurer les meilleures conditions de la reprise ».*Source : SeLoger
Il y a 5 ans et 12 jours

Pourquoi certains chantiers restent-ils suspendus en France ?

Le redémarrage de plusieurs chantiers de travaux publics et de bâtiments sous maîtrise d'ouvrage publique est reporté. Différentes raisons expliquent cette situation, qui inquiète les professionnels du BTP.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les Acteurs du logement d'insertion réclament un engagement fort de l'État

La crise sanitaire, que nous vivons, devient une crise sociale et économique car les personnes déjà en difficulté se retrouvent dans une situation encore plus précaire.Dans ce contexte, l'action des associations du logement d'insertion est précieuse : le logement est un droit, il est protecteur, il est l'élément indispensable à l'insertion. Face à ces constats, les Acteurs du logement d'insertion demandent la mise en place d'un soutien spécifique pour permettre aux personnes de se maintenir dans leur logement et à aux associations de poursuivre leur mission. Les Acteurs du logement d'insertion formulent deux demandes.1/ Aider les ménages à payer leur loyer et les charges / les résidents à payer leur redevanceFace à une augmentation conséquente des impayés de loyers et de charges (entre +15 et +30% d'incidents de paiement), l'État, les collectivités territoriales et l'ensemble des intervenants du logement doivent renforcer les outils de sécurisation existants :les FSL en premier lieu ;les aides aux salariés ;les garanties et assurances multiples, dont VISALE.Ils doivent aussi développer de nouveaux outils en renfort, comme un fonds national d'aide au paiement de la quittance.Ces outils de sécurisation doivent prendre en compte l'ensemble du secteur du logement d'insertion.2/ Soutenir les efforts des Acteurs du logement d'insertionSi les Acteurs du logement d'insertion sont mobilisés auprès des personnes logées durant la crise, ils rencontrent des difficultés opérationnelles qui les obligent à proposer de nouvelles formes d'accompagnement et attendent que les pouvoirs publics et l'État tiennent leurs engagements.Les subventions en attente doivent être débloquées rapidement. L'État doit montrer l'exemple aux collectivités qui soutiennent les associations locales. Les retards de versements de subventions sont, comme pour l'hébergement d'insertion et d'urgence, préjudiciables aux associations : ces retards, qui pèsent déjà sur leur trésorerie, menacent désormais un équilibre fragilisé (impayés, vacances, surcoûts divers). Faire peser les retards de paiement de subventions sur les prêts de trésorerie disponible n'est pas acceptable.L'État doit s'engager clairement sur le maintien de ces subventions et l'affirmer auprès de chaque service territorial. Le maintien des subventions, notamment d'accompagnement social, est essentiel. Les équipes restent aux cotés des personnes accompagnées tout au long de cette période de confinement : par téléphone, avec des astreintes parfois même de nuit. Les Acteurs du logement d'insertion demandent que l'ensemble des subventions prévues soit versé aux associations. Tant l'intermédiation locative, l'accompagnement social que le travail des hôtes de pensions de famille sont concernés.L'État doit mobiliser à plein les crédits d'AGLS 2020, pour soutenir le logement d'insertion.La mobilisation des crédits d'aide à la gestion locative sociale est toujours d'actualité. Or, chaque année, une part de cette subvention, est redéployée pour financer l'hébergement d'urgence. On peut craindre en cette période que cette enveloppe fasse l'objet de déploiements encore plus importants.Le logement d'insertion prend sa pleine part de la politique du Logement d'Abord : elle a montré ses réussites et cela commence à porter ses fruits. La crise ne doit pas enrayer un mouvement de fond, qui permet à des milliers de personnes de quitter d'hébergement d'urgence, ou d'insertion, ou la rue !
Il y a 5 ans et 12 jours

La revue “Routes”, en version électronique aussi

D’une revue trimestrielle en papier regroupant plusieurs reportages techniques, “Routes” se transforme à la fois en un flux continue de reportages digitalisés et en best-of papier. [©Cimbéton] Pour accompagner les évolutions technologiques et sociétales, la revue “Routes”, publiée par Cimbéton, a évolué en 2020. Comment ? « Plutôt que de tout basculer vers la digitalisation, il nous a paru judicieux de combiner le papier et le digital dans une nouvelle stratégie de communication »,peut-on lire dans l’édito de décembre 2019. Rappelons que les articles de “Routes” présentent des analyses ou des synthèses, des recommandations. Ou encore l’état de la pratique dans un pays, sur des thèmes d’actualité intéressant la route et le transport routier. Pleins feux sur “Routes Info # 01” Plus en détail ? « D’une revue trimestrielle en papier regroupant plusieurs reportages techniques, elle se transforme en un flux continu de reportages digitalisés. Sous la forme de : “Routes Info # xx”. Ceux-ci diffusés par e-mailing, au rythme d’un ou deux articles par mois en fonction des actualités. Et aussi en un best-of sous format papier, rassemblant les meilleurs articles ou reportages des mois écoulés. Et qui sera adressé par voie postale, en fin d’année, à tous les abonnés », explique Joseph Abdo, directeur de la rédaction. C’est ainsi que le premier reportage “Routes Info # 01” a été envoyé par mail. Et est disponible sur le site d’Infociments. Il décrit le retraitement au liant hydraulique routier (LHR) . La “solution idéale” pour la rénovation de la RD7, à Orvilliers-Saint-Julien (10). En effet, pour redonner une nouvelle jeunesse à cette route, le conseil départemental de l’Aube a choisi le retraitement en place à froid au LHR. Le chantier est très bien détaillé avec des photos, des schémas et de nombreuses explications techniques.
Il y a 5 ans et 12 jours

Vicat maintient son chiffre d’affaires, malgré la crise

Guy Sidos, Pdg du groupe Vicat : « Au premier trimestre 2020, la performance du groupe Vicat a été solide, en dépit du très fort ralentissement lié à la pandémie de Covid-19 ». [©Vicat] Pour le premier trimestre 2020, Vicat annonce un chiffre d’affaires de 615 M€, en progression de 0,2 % à périmètre et changes constants. L’activité cimentière en représente plus de la moitié, avec 319 M€ (+ 3,7 %). Béton et granulats comptent pour 228 M€ (- 2,1 %). Les autres activités atteignent 69 M€ (- 7,2 %). « Au premier trimestre 2020, la performance du groupe Vicat a été solide, en dépit d’un très fort ralentissement en fin de période en France, en Italie et en Inde, indique Guy Sidos, Pdg du groupe. Face à la crise sanitaire, Vicat a montré sa flexibilité et sa réactivité,en prenant très tôt des dispositions de protection de ses employés, de ses clients et de ses fournisseurs. Et en initiant des mesures fortes de réduction des coûts et de contrôle du besoin en fonds de roulement. Sans oublier la réduction des dépenses d’investissement à la hauteur de la situation. » Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 5 ans et 12 jours

Covid-19 : guide des recommandations sanitaires pour l'industrie du béton

Afin d'adapter la mise en œuvre des mesures de précaution aux spécificités des activités de l'Industrie du Béton, la FIB a participé, dans le cadre de la branche Industries et Carrières et Matériaux de la Construction, à l'élaboration du Guide des bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés de l'Industrie du Béton.Ce guide, qui vient d'être agréé par les autorités publiques, et notamment les ministères du Travail et de l'Environnement, présente un « tronc commun » généraliste des recommandations sanitaires à appliquer pendant la période de l'épidémie, complété par des recommandations spécifiques au secteur de l'Industrie du Béton. Avec l'appui du Cerib, le document à destination de toutes les entreprises de l'Industrie du Béton, vise à assurer, dans les meilleures conditions sanitaires et sécuritaires, la continuité ou la reprise des activités pendant l'épidémie. Ces recommandations ont pour vocation à présenter au sein d'un même document, et sans prétendre à l'exhaustivité, les informations sanitaires diffusées par les autorités publiques, en l'état des connaissances scientifiques actuelles, afin d'aider les entreprises de l'Industrie du Béton dans la mise en place de mesures d'hygiène et de distanciation sociale, dites « barrières », visant à limiter la propagation de l'épidémie sur les lieux de travail.Le Guide est téléchargeable sur le site de la FIB
Il y a 5 ans et 12 jours

L'hôtel 25hours Terminus Nord se dote d'une installation de génie climatique Daikin

Compte-tenu de la vétusté des précédents locaux, lesquels ne répondaient plus aux normes de sécurité les plus actuels notamment en termes de PMR, et des mauvaises performances énergétiques générées par des équipements obsolètes, le groupe 25hours a entrepris une opération de réhabilitation de grande envergure.Dans cette perspective, un volet important de ces travaux a concerné l'installation de VRV 3 tubes à récupération d'énergie pour fournir à la fois le chauffage et le rafraîchissement des chambres et espaces de vie de l'hôtel. L'installation a été confiée à l'entreprise Derichebourg.Installation de 25 VRV IV connectés à 262 unités intérieures Des solutions Daikin équipaient l'hôtel de l'enseigne initiale au moyen de solutions VRV d'une précédente génération. Celles-ci proposaient uniquement la fonction rafraîchissement, le chauffage étant assuré dans les chambres par des radiateurs à eau alimentés par une chaudière.Le nouveau propriétaire de l'hôtel s'est donc tourné vers les préconisations du bureau d'études et de Daikin, qui a ont su prendre en compte ses exigences, pour l'installation d'un système capable de fournir simultanément chauffage et rafraîchissement, au design contemporain et discret et aux performances énergétiques significatives.Au terme de 26 mois de rénovation pour une opération menée en TCE (tout corps d'état), le groupe hôtelier parvient à créer un établissement refait à neuf et parfaitement isolé sur une surface totale de 10 800 m² offrant 236 chambres. Une phase importante de gros œuvre a été nécessaire pour créer notamment le grand patio de 5 m de hauteur dans l'entrée de l'immeuble, positionné exactement en face de l'entrée de la Gare du Nord.L'installation Daikin mise en œuvre pour l'équipement des chambres et des pièces de vie collective telles que l'espace bar, le restaurant et les salles de réunion a concerné la pose de :22 VRV IV 3 tubes REYQ-T : 3 de taille 10, 5 de taille 12 et 14 de taille 8.3 VRV IV RXYQ-T sans chauffage continu : 2 de taille 12 et 1 de taille 8237 gainables à faible pression,24 gainables à moyenne pression8 cassettes extraplates FXSQ239 boîtiers de sélection (permettant la simultanéité de chauffage et de rafraîchissement)Les groupes VRV sont positionnés en toiture, à l'abri des immeubles voisins.Un équipement qui s'intègre parfaitement dans le design cosmopolite de l'hôtel Sous l'influence du célèbre architecte et designer Axel Shoenert, le décor de l'hôtel Terminus Nord a trouvé son inspiration dans les cultures africaines et indiennes. Les lieux de vie aménagés façon melting-pot mêlent différents courants artistiques et font la part belle au vintage, au cinéma d'antan et à l'économie circulaire avec l'intégration d'objets créés sur la base de produits recyclés, tels que des porte-valises réalisés à l'aide d'anciens pneus. Le design des solutions Daikin et le travail de pose de la société Derichebourg ont permis la parfaite adéquation de l'équipement à l'environnement hôtelier si particulier.Quelle que soit la température extérieure, le confort intérieur est assuré dans toutes les pièces, malgré des superficies variables. Pour répondre aux besoins des clients venus de tous horizons, les VRV 3 tubes à récupération d'énergie permettent de fournir simultanément chauffage et rafraîchissement.L'ensemble des unités intérieures équipant les chambres d'hôtel a été dissimulé en faux-plafonds, pour une discrétion totale du système de chauffage et climatisation, laissant uniquement apparaître une simple grille de soufflage.L'installation est régulée par le système I-Touch Manager. Celui-ci offre à la direction une gestion simple de la température ambiante de l'hôtel.Une réduction de la consommation notable : un premier constat plus que concluant 25 hours s'est fixé un programme d'économies d'énergie pour toutes ses références hôtelières, conduisant la direction technique à adopter un système Daikin. Au terme d'une pleine année d'exploitation du nouvel hôtel 25hours, le constat est sans appel : les économies d'énergie sont bien réelles. On note une nette réduction de la consommation de CPCU, laquelle a été divisée par 2, entre l'ancienne installation de chaudière et les pompes à chaleur, ainsi que d'électricité du fait de l'amélioration de l'isolation, et ce malgré le fonctionnement des PAC et l'augmentation du nombre de points lumineux.La direction technique prévoit de réaliser un bilan énergétique plus précis afin d'optimiser encore davantage ses consommations.
Il y a 5 ans et 12 jours

L’ÉCLAIRAGE LED INTELLIGENT, UN ALLIÉ EFFICACE POUR LUTTER CONTRE LE COVID-19 DANS LES BATIMENTS PROFESSIONNELS

EAS SOLUTIONS, spécialiste français de l’éclairage LED intelligent, développe des solutions d’éclairage connectées à des systèmes de supervision qui fournissent de précieuses données aux professionnels pour lutter contre Covid-19 au sein de leur établissement. Positionnés en hauteur, les projecteurs LED connectés sont munis de capteurs, luxmètre et détecteurs de présence qui, en plus d’éclairer efficacement, collectent en permanence des données sur la fréquentation et l’activité du site. Ce système communiquant par le maillage radio des luminaires LED, constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Avec les systèmes de gestion Light Rules et SiteWorx de Digital Lumens (division du groupe Osram avec laquelle travaille EAS SOLUTIONS depuis 2011), ces données, sauvegardées dans le Cloud ou sur les serveurs de l’entreprise, sont analysées en temps réel et utilisées habituellement pour améliorer la productivité et l’efficacité énergétique du site avec des réductions jusqu’à 90% des coûts en énergie. En période de Covid-19, ces données fournissent de précieuses informations sur les zones de fréquentation et les taux d’occupation des sites, montrant heure par heure et secteur par secteur, les endroits les plus fréquentés qui nécessitent une vigilance accrue pour garantir le respect de la distanciation sociale et la décontamination des lieux. Les données transmises par les luminaires LED connectés contribuent à attribuer les ressources de nettoyage et de décontamination prioritairement au bon endroit. Actualisées en temps réel, elles permettent d’organiser au mieux les tournées des équipes avec une vision précise des points de rassemblements, des circuits empruntés et des manipulations de marchandises. Il est même possible avec SiteWorx, d’avoir une cinématique sur la journée qui constitue un bon indicateur pour planifier les actions du lendemain. Comme le montrent les schémas ci-dessous, les fonctionnalités « Area » des systèmes de gestion qui sont incluses dans les offres standard Lightrules et SiteWorx assurent l’enregistrement des données de fréquentation sous les luminaires LED connectés et constituent ainsi le suivi d’une cartographie d’occupation. Afin que les professionnels exploitent au mieux pendant la pandémie ces données de fréquentation et de taux d’occupation, transmises par les systèmes de gestion de l’éclairage LED connecté, EAS SOLUTIONS se mobilise auprès de ses clients pour leur fournir une aide à distance en visio ou sur site dans le respect des mesures barrière de protection. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 5 ans et 12 jours

Le fabricant WILO gère les données de ses objets BIM à la volée depuis son catalogue produits PIM grâce à la technologie PIM2BIM de BIM&CO

Leader sur le marché international de la gestion des flux hydrauliques et aérauliques, WILO propose désormais ses produits en BIM. Pionnier dans l’usage du PIM (Product Information Management) et la diffusion de ses données vers son catalogue BIM, WILO a été fidèle à sa devise : Pioneering for you. Disposer d’un PIM représente pour le fabricant un incontournable : une source fiable et unique pour toutes les données techniques de ses produits. Diffuser ces données aux jumeaux numériques de ses produits, les objets BIM, était donc un impératif pour garantir leur pertinence. Ralph Huysers, International Business Developer de WILO, explique : « chez WILO, nous disposons d’un PIM stocké via un partenaire externe, avec des données dynamiques. Si nous avions publié nos objets BIM sur bimandco.com de manière classique, nous aurions diffusé des données qui auraient nécessité par la suite une modification en ligne sur la plateforme, ce qui est bien, mais n’était pas suffisant pour nous. Le PIM est la base de nos données produits, donc notre source d’informations. Il fallait que toute modification de données aussi petite soit-elle puisse être impactée en temps réel aux objets. » Les équipes de WILO ont donc été convaincues par la technologie PIM2BIM de BIM&CO qui permet de connecter n’importe quel PIM à bimandco.com. Pour appliquer ce processus aux produits WILO, BIM&CO a commencé par créer des objets BIM génériques basés sur les modèles ETIM MC. ETIM MC est une norme internationale ouverte permettant de standardiser la classification des produits électriques ou de génie climatique et qui indique par produit l’ensemble des caractéristiques à respecter et lier à un plan 2D. Ces objets ont ensuite été enrichis : les APIs de BIM&CO ont communiqué avec le PIM de WILO pour en récupérer les données, puis celles-ci ont été traduites vers le standard BIM&CO grâce à une technologie de mapping. « Grâce à notre technologie et aux modèles génériques ETIM MC, les objets BIM WILO stockés sur notre plateforme sont directement enrichis via le PIM de WILO ce qui permet de générer automatiquement un objet fabricant complet et fiable, sans aucune intervention humaine. Le fabricant peut modifier à tout moment sa base de données : les informations seront automatiquement mises à jour dans les objets de notre plateforme et dans les espaces Onfly de nos clients » précise Bertrand Beudot, Chef de Projets chez BIM&CO. Une avancée remarquable dans le monde de la gestion de données BIM : outre le fait que le fabricant a la garantie de proposer en permanence des produits à jour à ses utilisateurs, cette méthode s’avère être un réel gain de temps pour la gestion des objets BIM de l’entreprise. « Aborder la géométrie distinctement de la donnée permet une gestion poussée de la data. Grâce à notre OPMS (Open Property Management System), les données techniques des équipements répondent aux exigences de chaque phase du cycle de vie du bâtiment. Le fabricant s’assure ainsi d’offrir des produits adaptés à chaque besoin métier » conclut Muriel Bourgeay, CEO Spain, à l’origine du projet. Les objets BIM de la marque WILO sont disponibles sous ce lien.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les revenus de Gecina progressent au 1er trimestre, pas de prévisions sur le coronavirus

Entre janvier et mars, Gecina a enregistré 168,1 millions d'euros de revenus, soit une hausse de 2,6% par rapport à la même époque de l'an dernier, selon un communiqué.Le groupe, qui explique cette hausse par des choix avisés d'implantation concentrés sur Paris et ses abords immédiats, s'abstient pour autant de toute prévision annuelle, en pleine crise économique du coronavirus."Les incertitudes actuelles ne permettent pas à ce stade d'appréhender avec précision les conséquences de cette crise", reconnaît Gecina, qui avait suspendu fin mars ses précédentes prévisions.Le groupe a, par ailleurs, annulé trois mois de loyers auprès de ses plus petites entreprises locataires, comme l'a demandé le gouvernement aux principales entreprises immobilières.Il précise que ces locataires représentent moins de 2% des loyers qu'il tire des bureaux, son activité essentielle à côté d'un petit parc de logements.
Il y a 5 ans et 12 jours

Contre-exemple d’une maison « écologique », « économe en énergie » rénovée dans l’Ain

Une maison écologique, c’est quoi ? Est-ce l’association de matériaux écologiques ? Pour être écologiques, faut-il qu’ils soient dits “matériaux biosourcés” ? Est-ce une maison très performante thermiquement et, a priori, peu gourmande en ressources pour son chauffage ? Est-ce une maison sur laquelle peu de transformations ont été réalisées ? Est-ce une maison sur […]
Il y a 5 ans et 12 jours

La digitalisation pour améliorer la collaboration des équipes

L’éditeur de logiciels Finalcad a publié les résultats d’une étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon afin d’étudier la…Cet article La digitalisation pour améliorer la collaboration des équipes est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 12 jours

Constructions itinérantes en bois pour urgence sanitaire

La sévérité de la crise sanitaire que traverse le monde, le temps qui nous est imparti en raison du confinement aussi, font naître beaucoup de réflexions et de propositions innovantes. Avec la pandémie du Covid-19 le désir de tirer les leçons des manques actuels s’est fait jour, comme en témoigne le système de constructions modulaires en bois itinérantes COMBI, porté par un groupement réunissant promoteur, les architectes Djuric Tardio, et entreprises et invitant à réfléchir à...
Il y a 5 ans et 13 jours

Covid-19 : Avec le déconfinement, le télétravail appelé à jouer les prolongations

"Le télétravail doit se poursuivre", a répété le Premier ministre Édouard Philippe lundi au Sénat. Il est "raisonnable de dire" qu'il restera massif jusqu'à l'été, a prévenu Muriel Pénicaud, la ministre du Travail.De quoi parle-t-on ?Facilité par internet, les ordinateurs et les téléphones portables, le télétravail permet de pratiquer son activité professionnelle à distance, régulièrement ou occasionnellement, chez soi ou dans n'importe quel lieu différent de l'endroit ordinaire de travail, comme des espaces de coworking.Depuis 2017, un simple accord écrit ou oral entre le salarié et son employeur suffit pour télétravailler. Mais un accord d'entreprise négocié avec les représentants du personnel ou une charte élaborée par l'employeur peuvent préciser les conditions d'exercice.Et sauf événement exceptionnel, comme l'épidémie de Covid-19 en cours, un employeur ne peut pas imposer le télétravail à un salarié.Combien de télétravailleurs confinés ?"Il y a aujourd'hui 5 millions de Français" qui télétravaillent, a précisé lundi Mme Pénicaud. "Certains le faisaient déjà un peu" avant l'épidémie; "pour beaucoup" d'autres, "c'est une expérience nouvelle", a-t-elle relevé.Ils sont salariés d'entreprises privées, publiques ou encore fonctionnaires.Tous ne télétravaillent pas à plein temps. Certains alternent avec une présence sur leur site habituel de travail. Chez Renault, depuis début avril, "une très grande majorité des cols blancs" partagent leur temps entre télétravail et chômage partiel, indique une porte-parole du constructeur automobile.Un télétravail dégradé ?Le brusque passage à la mi-mars à un télétravail de masse, imposé, non-stop, avec les contraintes du confinement, le stress de la pandémie, pendant des semaines, a brouillé les cartes du télétravail classique."Le télétravail en confinement n'est pas une situation de télétravail normale", résume le cabinet Secafi. Dans des entreprises, tous les salariés, "le manager lui-même", se retrouvent jusqu'à "cinq jours" par semaine en télétravail, après sa mise en oeuvre "précipitée", "subie", parfois "improvisée", sans matériel adapté, énumère ce cabinet qui conseille les représentants du personnel.Le télétravail normal est au contraire voulu, préparé, exercé généralement un ou deux jours par semaine, sans s'isoler durablement des collègues.Autre impact du confinement: la frontière entre vie professionnelle et vie personnelle devient très poreuse. Des télétravailleurs doivent s'occuper des enfants et du suivi scolaire, partager espace de travail et accès à internet. Leurs conditions de télétravail peuvent être dégradées."On n'est pas dans une situation véritable de télétravail", "le télétravail, c'est travailler à la maison sans avoir des enfants à s'occuper", souligne le leader de la CGT, Philippe Martinez.Quid du moral des salariés ?Selon un sondage BVA paru lundi, une grande majorité des télétravailleurs s'accommodent de ce scénario inédit: près de sept sur dix jugent "facile" de travailler chez eux et d'y veiller sur leurs enfants.Mais OpinionWay a livré la semaine dernière un sondage bien plus sombre, avec deux télétravailleurs sur dix "en détresse psychologique élevée".Dans une enquête de la fédération de cadres Ugict-CGT publiée mardi, deux tiers des télétravailleurs "se plaignent d'une anxiété inhabituelle".Quelles règles demain ?Syndicats et gouvernement sont d'accord: il faut encadrer le télétravail pour éviter les dérives.Dans les entreprises "où il y a eu des accords de télétravail, ça se passe bien; dans toutes les autres boîtes, ça pose beaucoup de questions", avait rapporté la semaine dernière le président de la CFTC, Cyril Chabanier. Ces prochains jours, les partenaires sociaux vont plancher sur des "consignes fortes, pour parer aux problématiques urgentes", avait-il ajouté.Définir "les bonnes pratiques" est nécessaire, avait confirmé le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger.Quant à la ministre du Travail, elle a approuvé lundi une telle négociation entre partenaires sociaux, en prônant une issue rapide, avec un résultat "opérationnel" pour le déconfinement.
Il y a 5 ans et 13 jours

Rencontre avec : Pascale Risbourg

Styliste de formation, Pascale Risbourg délaisse rapidement la mode pour devenir créatrice de papiers peints, puis céramiste. Elle explore depuis plus de vingt ans la création et ne cesse de se renouveller. Aujourd’hui, elle vit et travaille en Belgique. Au détour d'une visite dans son pays d'adoption, la rédaction de Muuuz a eu l'occasion de s'entretenir avec cette artiste dans l'âme. Retour sur une rencontre audacieuse. Vous venez de la mode, pourquoi avez-vous finalement choisi l’artisanat ?La mode est ma première formation. J’étais certaine de faire quelque chose d’artistique. Je me suis inscrite à ESMOD, mais je me suis vite rendue compte que ce secteur était trop restreint pour moi. Je m’en suis donc éloignée. Je faisais des vêtements très ludiques, spectaculaires. Après mon diplôme, j’ai gagné plusieurs concours mais toujours en prenant le plus de distances possibles avec le vêtement. Mes créations les plus remarquées sont les plus artistiques, notamment celles de la transformation de l’objet en vêtement, ou du vêtement en objet, comme un sac convertible en robe ou une jupe qui se transforme en parasol. J’ai réalisé que, ce qui m'intéressait réellement, c'était surtout à la dimension performative de l'habit. J’ai créé des costumes pour des évènements, des publicités, des shoots. Dans chaque projet, j’aime l’idée de susciter des émotions. Quand je crée, je me demande toujours ce que je peux apporter. Je préfère provoquer une réaction. Je réalise des créations décalées, qui surprennent. Je suis inclassable. On peut me trouver là où on ne s’y attend pas. Quel est l’intérêt de faire ce que l’on a déjà fait ? C’est plus stimulant de trouver de nouvelles idées. Par exemple, avec mes robes-sacs, j’ai audacieusement bouleversé les codes de la mode. De même, avec ma Toile de Jouy érotique. C’est d’ailleurs grâce à celle-ci que j’ai commencé à m’éloigner du vêtement pour me diriger vers la création de papiers peints, d’œuvres murales. Quelles histoires se cachent derrière vos créations de papiers peints et de céramiques ?Quand je crée des papiers peints, je pense à la céramique, et inversement. J’attache toujours beaucoup d’importance à l'équilibre des formes et des couleurs. Je cherche à apporter un regard nouveau. Quand je suis allée au musée de la Toile de Jouy à Jouy-en-Josas dans les Yvelines, j’ai tout de suite été interpellée par les dessins et j’ai pensé à les revisiter avec humour. L’idée de ma première collection de papiers peints est née ainsi. J’essaie surtout de me renouveler et de ne pas suivre les tendances. Quand je crée un nouveau papier peint, je fais un travail d’assemblage. J’envisage l’ensemble comme une scénographie, puis je réfléchis aux choix des formes et des couleurs. Plus j’avance dans la réalisation d’une œuvre murale, plus je me concentre sur les détails. Lorsque je réalise des céramiques, c’est différent. Je réfléchis à la décoration sans m’imposer de cahier des charges. Contrairement à mes papiers peints, je ne suis pas dans une démarche de commercialisation. Toutes mes céramiques se situent entre art et design. Ce sont des objets qui se contemplent. L’aspect esthétique prend le dessus sur le fonctionnel. Où puisez-vous votre inspiration ?Je suis inspirée par mon environnement car il met en éveil mes sens. De la gastronomie aux nouvelles technologies, en passant par l’architecture, je puise mon inspiration partout. J’analyse constamment ce qui m’entoure, et j’essaie ensuite de donner un sens à mes observations pour les traduire dans un langage artistique qui m’est propre. « Je réalise des créations décalées, qui surprennent. Je suis inclassable. » Dans vos céramiques, quel est votre processus de création ?C’est un travail d’improvisation. J’utilise des moules en plâtre. Je compose avec ces formes prédéfinies jusqu’à me surprendre. Si je ne suis pas surprise, je retravaille ma pièce encore et encore pour obtenir une création surprenante. Je souhaite que mes pièces soient sincères. En ce moment, je surélève mes céramiques. Elles semblent être en équilibre. Ce rapport entre masse et fragilité m’intéresse, car je m’y retrouve. Comment construisez-vous votre univers ?Je suis un électron libre, mais je mène mes projets avec beaucoup de rigueur. Je suis obligée de me canaliser pour trouver une cohérence. Je cherche toujours à m’éloigner de ce que l’on peut attendre de moi. Vous utilisez la réalité augmentée pour animer les motifs de vos papiers peints et assiettes en porcelaine Erotic Toile de Jouy. Pourquoi souhaitez-vous intégrer les nouvelles technologies aux arts décoratifs ?C’est une recette de la créativité d’associer deux univers qui n’ont rien à voir. En exploitant la réalité augmentée pour donner vie aux saynètes suggestives de mes Toiles de Joy érotiques, je surprends le public. J’étais d’ailleurs très contente de voir sourire les visiteurs quand ils observaient mes papiers peints s’animer à l’édition 2019 de la COLLECTIBLE à Bruxelles, puis à l’occasion du parcours design « La Promenade du Collectionneur II » organisé par les galeries Gosserez et Maison Parisienne au Meurice en parallèle du PAD. Depuis mars 2019, vous travaillez aux Ateliers Zaventem, le foyer créatif conçu par Lionel Jadot, et participez donc à la vie des ateliers. Qu’apporte cette résidence à votre création ?C’est très stimulant de travailler là-bas. Il y a une effervescence créative. L’année dernière, j’ai eu la chance d’exposer mes créations à COLLECTIBLE aux côtés de tous les résidents volontaires des Ateliers Zaventem. Bruxelles est une véritable pépinière de talents. C’est une ville qui me convient très bien, car je peux m’exprimer avec intégrité sans être mise dans une case. Quelles sont vos prochains projets ?J’ai envie de raconter de nouvelles histoires. Je souhaiterais collaborer avec des galeries, des maisons d’éditions, et éventuellement partir en résidence à l’étranger. Avez-vous envie d’apprendre un nouvel art décoratif ?Cela ne serait pas sage [rires]. Je souhaiterais plutôt associer ma céramique avec le savoir-faire d’un autre artisan. Puis, j’aimerais aussi me perfectionner, notamment maîtriser les techniques de l’émail. Comment imaginez-vous le design de demain ?Avant d’être un objet, le design de demain est une réflexion. Selon moi, le design de demain sera un design écologique, un design de la récupération. On commence à voir des nouvelles formes, des formes marshmallow, et des nouveaux matériaux. L'upcycling se développe et séduit les jeunes créateurs. Je pense que la nouvelle génération de designers travaille sur des projets très intéressants. Je suis très contente que les jeunes talents, les étudiants, les jeunes pousses bouleversent les codes et envisagent un futur différent. La nouvelle génération de designers ne se donne pas de limite, et n’a pas peur de la critique. Les créations des jeunes designers ne sont pas forcément au point techniquement, mais au niveau artistique elles le sont. Et c’est l’essentiel. J’appellerai donc le design de demain le design marshmallow, un design hyper ludique aux frontières du surréalisme. Pour en savoir plus, visitez le site de Pascale Risbourg. Photographies : Portrait © Laetizia Bazzoni, Céramiques et papiers peints © Kaatje VerschorenLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 13 jours

Les meilleures sources d’information dans le domaine du BTP et du bâtiment

Chaque jour qui passe, les entreprises font face à une concurrence de plus en plus féroce. C’est notamment le cas dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. Si vous êtes le dirigeant d’une société œuvrant dans ce domaine, vous devez en permanence vous montrer performant et bien informé des évolutions de votre secteur d’activité. Dans ce cadre, il est utile de chercher des sources fiables qui vous permettent de recueillir un maximum d’informations de qualité. Nous vous présentons donc quelques sites que nous estimons fiables et qui constituent des sources de qualité. Il s’agit de Batirama, de Batiweb et de Batiactu. Les médias préférés des acteurs du BTP, Obat en tête ! Si vous gérez une entreprise dans le secteur du bâtiment et du BTP, vous avez certainement besoin de disposer d’outils et de matériels performants afin de mieux satisfaire vos clients. Oui, mais que choisir ? Il faut alors vous tourner vers des sources d’informations fiables pour faire les meilleurs choix, telles que le blog d’Obat, visible sur https://www.obat.fr/blog/, expert en conseils BTP. On y trouve notamment des articles sur le choix du meilleur logiciel de facturation et de devis, sur la valeur juridique d’un devis, etc. Vous cherchez des infos intéressantes sur l’affacturage ? Obat pourra vous renseigner ! Les débutants pourront également trouver des infos intéressantes pour se lancer dans le milieu du bâtiment. Faire connaître son entreprise en ligne est par exemple essentiel à ce jour pour percer dans le milieu du bâtiment. Ce blog BTP vous aiguillonnera pour trouver des informations sur la marche à suivre afin d’être visible sur internet. Des informations variées dans le domaine du BTP Bref, en plus de proposer un logiciel de devis et de facturation, le site Obat propose ainsi un blog aussi complet qu’intéressant, permettant aux artisans du BTP de trouver des réponses rapides à leurs interrogations. Les informations y sont aussi diverses que variées, allant du flocage d’un camion utilitaire pour professionnel à des questions juridiques, en passant par des infos sur la TVA des entreprises. Des informations sur la Fédération Française du Bâtiment vous seront également communiquées, afin que vous possédiez vraiment toutes les informations dont vous avez besoin avant de vous lancer dans le BTP, ou pour vous aider à solutionner des soucis durant l’exercice de vos travaux. Secteur du BTP : Batirama, un site web pour en apprendre davantage Batirama fait partie des sites web de référence pour s’informer sur le secteur BTP. Vous y trouverez de nombreuses informations utiles afin de défier la concurrence et améliorer votre entreprise. Produits et innovations Le site https://www.batirama.com/ présente, par exemple, le calendrier des manifestations susceptibles d’intéresser une entreprise du BTP. Vous pouvez encore y découvrir une rubrique présentant différents produits comme la protection des planches à rives, le plancher léger thermo-acoustique, le micro-béton pour revêtement de bassins ou encore le relais de contrôle de niveaux. Si vous êtes à la recherche de matériel de transport pour votre entreprise, vous pouvez découvrir dans une rubrique spécifique des articles qui traitent les différents véhicules adaptés pour votre métier. Batirama vous donne également la possibilité d’en apprendre davantage sur les indices et les index du bâtiment. Comme vous avez besoin d’être à l’affût des innovations et des nouveautés techniques dans votre secteur d’activité, vous pouvez y lire un article parlant, par exemple, du gant bionique. Celui-ci est conçu pour prévenir les troubles musculo-squelettiques des travailleurs et améliore leur endurance. Vous y trouverez d’autres publications comme celle qui vous donne de plus amples renseignements sur les outils pratiques censés aider les entreprises du secteur BTP à gérer les crises. Vous y trouverez également d’autres articles intéressants pour en savoir plus sur la plateforme d’entraide mise en place par l’OPPBTP, par exemple. Normes et techniques dans le secteur du bâtiment Dans le domaine du BTP plus que dans les autres secteurs d’activité, les normes ont une importance capitale. Grâce à Batirama, vous avez désormais la possibilité d’en savoir plus sur les normes à appliquer dans certains domaines. Par ailleurs, vous serez certainement intéressé de connaître ce qui change en matière de baux privés et commerciaux avec les mesures d’urgence. Ou encore, à propos de la responsabilité engagée quand la solidité de l’ouvrage que vous construisez est compromise. Il est également possible de recueillir des informations sur différentes techniques qui peuvent vous être utiles. Cela concerne, par exemple, les solutions pour isoler l’extérieur des logements et qui peuvent être utilisés sur les toitures, ou comment choisir les produits adaptés pour isoler les combles perdus. Batiweb, un site de référence pour se renseigner Nous vous invitons également à vous connecter sur le site de Batiweb si vous souhaitez obtenir des renseignements qui vous permettent d’avoir une longueur d’avance sur vos concurrents. Vous trouverez sur https://www.batiweb.com/ un grand nombre d’articles classés dans différentes catégories et qui sont susceptibles de vous intéresser. Actualités et produits Batiweb est un site intéressant qui vous informe sur toutes les actualités concernant le secteur BTP. Cela peut être la législation et la réglementation qui touchent votre métier, les événements du bâtiment, les nouveaux produits du BTP, la RT2012, l’éco-construction, le droit social, la vie des sociétés, les collectivités territoriales, etc. Il est également possible d’y découvrir des articles intéressants qui présentent les produits utilisés dans votre métier. Il peut s’agir d’électricité et de génie climatique, de construction industrialisée, de gros-œuvre, de matériel, d’aménagement extérieur, de second œuvre, de logiciel, d’éco-construction ou de menuiserie-fermeture. Architecture et divers Véritable mine d’informations pour les entreprises du BTP, Batiweb présente dans sa rubrique « Autres » les différentes formations, des dossiers spéciaux, des vidéos ainsi que diverses thématiques. Le portail de Batiweb propose encore une large palette d’articles axés sur de nombreux sujets. La rubrique « Architecture » présente également un certain intérêt pour les acteurs du bâtiment et des travaux publics, notamment les architectes. En effet, les différentes innovations dans ce domaine y sont affichées. Batiactu, le meilleur site pour s’informer sur votre secteur d’activité En tant que chef d’entreprise, vous devez rester informé en permanence sur votre secteur d’activité. Batiactu vous donne l’opportunité de le faire. Il est vrai que le site https://www.batiactu.com/ est agencé de manière à permettre aux internautes de découvrir facilement les renseignements dont ils ont besoin dans le domaine du BTP. Il présente 8 rubriques différentes afin de vous permettre de trouver l’article qui vous intéresse. Il s’agit de l’immobilier, de l’énergie, de BTP Chantiers, de négoce industriel, de stratégie, d’architecture conception, d’État et collectivités, et d’une Tribune d’experts. Vous pouvez également découvrir sur cette plateforme spécialisée des articles concernant le chiffrage, les marchés, la formation, l’emploi BTP, les événements du secteur, le réseau, etc. Il est encore possible de trouver sur Batiactu une liste de fabricants et de prestataires œuvrant dans le domaine du bâtiment. Pour mieux vous informer sur le secteur BTP, le blog Obat reste également un site web de référence. Il s’agit d’une source fiable qui s’adresse aux professionnels du bâtiment. Ces derniers peuvent donc y découvrir des articles pertinents qui les aident à mieux gérer leur entreprise et à se développer par la suite.
Il y a 5 ans et 13 jours

Malgré la crise du Covid-19, Thermador achève une acquisition

RACHAT. Le distributeur en gros d'articles de robinetterie Thermador Group a réalisé une acquisition dans un contexte de crise sanitaire. Néanmoins, pas de nouveau rachat devrait intervenir avant deux ans, a indiqué le groupe. Détails.
Il y a 5 ans et 13 jours

Passoires thermiques : le collectif Rénovons remet le couvert

135 milliards d’euros pour amener en 2040 les 6,7 millions de passoires thermiques aux normes des bâtiments à basse consommation : le collectif Rénovons a publié et commenté le 5 mai sa seconde étude sur la rénovation énergétique du logement, réalisée avec le cabinet conseil Siapartners.