Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(78544 résultats)
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : Elisabeth Borne a réuni les acteurs du secteur pétrolier

L'approvisionnement en produits pétroliers répond à des besoins du quotidien pour de nombreux Français et est essentiel à la vie économique du pays et à son fonctionnement. La ministre et les acteurs ont pu constater que l'approvisionnement était aujourd'hui totalement assuré dans un contexte de ralentissement très fort de la consommation des carburants routiers et aériens (de 60 à 95% de baisse selon les produits). Les stocks commerciaux des opérateurs pétroliers dans les dépôts sont à un niveau particulièrement élevé. Certaines installations ont dû réduire leur fonctionnement, pour ne pas s'arrêter et être opérationnelles lors de la reprise économique.Dans ce contexte économique difficile, la ministre a remercié les entreprises et leurs salariés pour leur mobilisation qui a permis le maintien des services essentiels, dont les stations-services sur les autoroutes - nécessaires en particulier pour les transporteurs routiers de marchandises – de même que les livraisons de combustibles aux particuliers ou de gazole non routier aux entreprises du BTP et du secteur agricole.Le ministère de la Transition écologique et solidaire reste attentif au bon fonctionnement de l'ensemble de la logistique des produits pétrolier, en lien avec les acteurs du secteur, pour continuer à assurer l'approvisionnement en carburant sur l'ensemble du territoire.Par ailleurs, Elisabeth Borne a annoncé le lancement d'échanges avec les représentants des opérateurs pétroliers afin de définir les principes et bonnes pratiques permettant de renforcer la continuité de l'activité du secteur, tout en assurant le respect des consignes sanitaires. Ces travaux permettront également de préparer la reprise de certaines activités et le retour progressif à la normale dans un contexte de déconfinement.
Il y a 5 ans et 25 jours

Une chute brutale et sans précédent de l’activité artisanale du bâtiment

Depuis le 17 mars, 80 % des entreprises artisanales du bâtiment sont à l’arrêt, 17 % ont maintenu une activité réduite n’exposant pas les salariés aux risques sanitaires et 3 % poursuivent une activité quasi-normale pour les interventions d’urgence selon la dernière note de conjoncture de la Capeb . Pour les entreprises du bâtiment, la principale raison de cet arrêt des chantiers s’explique par le refus des clients particuliers (71 %) et des clients professionnels, publics ou privés (45 %) de continuer les travaux. Pour 46 % des chefs d’entreprises, la baisse d’activité s’explique également par la volonté de protéger leurs salariés. Enfin, les difficultés d’approvisionnement en produits et matériaux par les fournisseurs font également parties des critères mis en avant par 39 % des chefs d’entreprise. Un chiffre corroboré par les chefs d’entreprises ayant poursuivi leur activité et qui déclarent pour 84 % d’entre eux éprouver des difficultés à obtenir les matériaux nécessaires. L’activité est en net recul de 12 % et concerne l’ensemble des entreprises artisanales, quelle que soit leur taille. Les entreprises employant 10 à 20 salariés ont subi une perte de croissance de 13 % et celles de moins de 10 salariés sont concernées par une baisse de de 12 %. La construction neuve, avec 14 % de baisse par rapport au 1T2019, est la plus touchée. Une situation provoquée en partie par l’arrêt soudain des chantiers après un essoufflement régulier de l’activité chaque trimestre depuis 2016. Les permis de construire affichent un recul de 1,6 % au cours des 12 derniers mois (de février 2019 à janvier 2020 par rapport à la même période de l’année précédente), soit 451 500 autorisations au total. De son côté, le nombre de logements commencés, cumulés sur douze mois (de février 2019 à janvier 2020), a reculé de 1,2 % (par rapport à la même période l’année précédente), soit 409 200 logements commencés. L’activité en entretien-rénovation est également affectée par la baisse d’activité de – 10,5 % par rapport au T12019. Le volume des travaux d’Amélioration de Performance Energétique du Logement (APEL) est également concerné par ce net recul et fait face à une baisse de – 8,5 %, contre 1,5 % de croissance au trimestre précédent. Le solde d’opinions concernant la trésorerie s’établit à – 29 points (contre – 11,5 points pour la moyenne de long terme). Pour Patrick Liébus, président de la CAPEB, « Il est essentiel que les entreprises puissent bénéficier d’aides spécifiques pour couvrir, au moins une partie des surcoûts découlant de la mise en œuvre de règles sanitaires (le transport des salariés, la réorganisation des chantiers, la gestion de la co/activité, le réaménagement des bases de vie, des vestiaires, des sanitaires sur site, la désinfection des surfaces, la gestion des déchets, et bien évidemment la fourniture des équipements de protection nécessaires), alors qu’il est bien souvent impossible de répercuter ces surcoûts aux clients notamment lorsqu’il s’agit de particuliers. » Graphique : au cours du premier trimestre 2020, l’activité de l’artisanat du bâtiment recule de 12 % par rapport au même trimestre de l’année précédente. (Capeb)
Il y a 5 ans et 25 jours

Coronavirus : l’OPPBTP lance une plate-forme d’entraide pour les entreprises

En pleine crise du Coronavirus, l’OPPBTP propose aux professionnels du secteur un outil d’échanges et de partage d’expériences sur les sujets utiles pour assurer la sécurité des personnes en activité.
Il y a 5 ans et 25 jours

Coronavirus : le BTP toujours parmi les plus gros consommateurs de chômage partiel

D’après les données publiées le 22 avril par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares), la construction (13, 65 %, contre 14,2 % au 7 avril dernier) fait partie des quatre secteurs qui concentrent, à eux seuls, 64 % des demandes d’activité partielle déposées dans le cadre de la crise sanitaire causée par l’épidémie de Covid-19.
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : une appli contrôle le port des équipements de protection

Permettre le respect des procédures de prévention sur chaque siteCette extension permet de procéder à la vérification de la conformité du port des équipements de protection individuelle par chaque intervenant sur un chantier ou site de production. Les clients donneurs d'ordre des plateformes Bativigie/Activigie peuvent ainsi s'assurer du bon respect des procédures de prévention définies pour leurs sites en matière de port des EPI. Une procédure simple, qui vient prolonger de manière concrète les préconisations de l'OPPBTP (l'organisme professionnel de prévention du BTP), visant à lutter contre la propagation du virus Covid 19, notamment par l'utilisation d'un masque de protection.« Très concrètement, lors d'un contrôle, l'opérateur en charge de celui-ci va systématiquement procéder à une vérification visuelle de la présence des équipements de protection attendus. Si un défaut est constaté sur un intervenant, celui-ci ne pourra pas accéder au chantier ou site de production. Une déclaration d'incident est activée par notre plateforme, avec une notification simultanée au donneur d'ordre et à l'entreprise employeur. Cette dernière devra alors s'assurer que son salarié dispose des équipements nécessaires et en adopte le bon port », détaille Frédéric Pradal, créateur et dirigeant des plateformes Bativigie/Activigie.Nouvelle version de l'application : à télécharger sans surcoûtLa nouvelle application est d'ores et déjà disponible, en téléchargement via Apple Store ou Play Store. Cette nouvelle version est entièrement gratuite, sans surcoût de service, pour les clients et utilisateurs des plateformes Bativigie/Activigie. Depuis 2015, Bativigie et Activigie fournissent aux donneurs d'ordre de la construction et de l'industrie des services de vigilance sous-traitance uniques en France. La plateforme logicielle sécurise les chantiers et sites industriels des risques liés au travail illégal, en permettant un contrôle des personnels via une application dédiée. Celle-ci, embarquée sur un simple smartphone, assure la vérification de la conformité des opérateurs présents sur un site au regard d'une douzaine de points de contrôle (carte d'identité, attestation Urssaf, déclaration de détachement…). Le système gère en amont l'ensemble des données et documents relatifs aux intervenants et garantit une traçabilité intégrale de la vigilance mise en œuvre, avec un reporting en temps réel sur les incidents. En cinq années, plus de 6000 chantiers ont ainsi été réalisés sous contrôle Bativigie.
Il y a 5 ans et 25 jours

DÉNY SECURITY présente KBOX, l’armoire électronique qui simplifie la gestion des clés

Leader français de l’organigramme et du contrôle d’accès, DÉNY SECURITY connaît parfaitement tous les enjeux de sécurité auxquels sont confrontés les responsables de site. Parmi eux figurent l’attribution, le stockage et la traçabilité des trousseaux. Pour faciliter et sécuriser cette gestion des clés, en particulier dans les petites et moyennes structures, DÉNY SECURITY propose KBOX, une nouvelle gamme d’armoires électroniques de gestion des clés.   Une gamme évolutive à l’identification facile et rapide D’une capacité modulaire de 10 à 120 clés en fonction des besoins, la nouvelle gamme d’armoires électroniques KBOX de DÉNY SECURITY constitue une solution idéale pour la gestion et la traçabilité en toute tranquillité des trousseaux, dans les bâtiments tertiaires, les collectivités locales, les hôpitaux ou les sites industriels, de petite et moyenne taille.   Dotée d’une porte robuste en acier, cette armoire électronique permet de ranger les clés et de gérer leur accès. Evolutive par module de 10 clés, elle convient également à la gestion de smartphones, GPS ou encore de flotte automobile grâce à un boîtier de rangement métallique adaptable dans la KBOX.   Sécurisée, l’ouverture de l’armoire s’effectue simplement via un système d’identification multiple (par code, badge ou mixte code et badge) qui laisse ou non l’utilisateur accéder à la clé autorisée. Un voyant lumineux lui indique visuellement la ou les clés qu’il est habilité à sélectionner.   Pour protéger un passe et le ranger dans l’armoire KBOX, il suffit au gestionnaire de l’équiper d’un porte-clés inviolable. Son design conique et son emplacement dans l’armoire en forme d’entonnoir garantissent non seulement une fixation rapide mais évitent aussi les erreurs lors de la restitution. Entièrement conçu en métal, le porte-clés bénéficie d’une grande robustesse.   Toutes les informations de prêts sont enregistrées dans l’armoire électronique et accessibles par l’administrateur en temps réel grâce au logiciel interne qui centralise toutes les données.   Un système de gestion sécurisé Très simple d’utilisation, le logiciel de gestion intégré à l’armoire KBOX de DÉNY SECURITY garantit une traçabilité de mouvement des clés extrêmement pointue. Facile à prendre en main, il permet à l’administrateur du parc : • d’ajouter à tout moment une nouvelle clé ou un nouvel utilisateur, • de programmer des plages journalières et horaires pendant lesquelles sont autorisés les emprunts de certaines clés, • d’extraire toutes les informations utiles au suivi et à la gestion du parc sur un fichier Excel.   En cas de non restitution à l’heure définie, une alarme informe immédiatement le gestionnaire des clés sur l’écran de l’armoire et sur son ordinateur connecté au réseau.   Avec, selon les établissements, un nombre parfois considérable de clés à gérer et de prêts quotidiens, la gamme d’armoires électroniques KBOX de DÉNY SECURITY apporte une réponse fiable et simple aux procédures de gestion des trousseaux. http://www.deny-security.com
Il y a 5 ans et 25 jours

Façade anglaise en bois brûlé Kebony

La délicate patine flambée apportée au bois Kebony prépatiné s’accorde harmonieusement avec l’esprit contemporain de cette maison individuelle située dans le nord de Londres, signée par le bureau d’architecture Claridge Architects. Les lames de « Hijo Ni Mirikiteki Na », réalisées par la société Shou Sugi Ban, sont posées en diagonale et apportent au bâtiment une palette de tons gris qui complètent le caractère suburbain des jardins environnants.Le nom de la société Shou Sugi Ban reprend un terme japonais se traduisant par « planche de cèdre brûlé ». Cette entreprise basée au Royaume-Uni fabrique du bois en utilisant la technique ancienne de bois brûlé, brossé ou pré-patiné, et travaille avec le bois Kebony pour offrir un produit d’apparence unique et intrigante. Développée en Norvège, la technologie brevetée Kebony est un procédé respectueux de l’environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent de façon permanente les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Le bois Kebony est ainsi le matériau idéal pour ce processus de bois brûlé, car il développe une surface intéressante ainsi qu’une teinte noire profonde, tout en conservant sa durabilité reconnue.M. Karl Harrison, fondateur de la société Shou Sugi Ban, commente son choix en ces termes : « Kebony est l’un des types de bois les plus durables sur lesquels nous travaillons – pour notre plus grand plaisir. L’effet “brûlé” met en évidence le grain du bois. La réaction de nos clients a été enthousiaste. Nous nous réjouissons d’avance de proposer dans l’avenir d’autres projets faisant appel à Kebony. »* Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 5 ans et 25 jours

L’OPPBTP lance une plate-forme d’entraide

La plate-forme d’entraide de l’OPPBTP est consultable sur www.Entraide-COVID19.preventionBTP.fr [©DR] L’OPPBTP lance une plate-forme en ligne d’entraide à destination des entreprises du BTP. Ceci, afin d’inciter la sécurité et la prévention en cette période de pandémie de Covid-19. Cet espace s’adresse à tous les professionnels du BTP, qu’ils soient artisans, préventeurs, maîtres d’ouvrage, chefs d’entreprises… Cet outil leur permet d’échanger et de partager leurs idées, bonnes pratiques et expériences terrain. Ceci, via des photos, des vidéos ou encore des documents Word. Il leur faudra juste s’inscrire sur le site. Cela peut concerner tous les sujets utiles pour assurer la sécurité des professionnels en activité. Des équipements à l’organisation des chantiers, en passant par la gestion des préconisations sanitaires ou la mise en œuvre opérationnelle. Pour faciliter la consultation, le visiteur peut effectuer une recherche de sujet par catégorie ou bien par mot clef, grâce à la barre de recherche. Par ailleurs, l’équipe de conseillers de PréventionBTP en direct se tient à disposition pour répondre à toutes les questions des visiteurs par mail, à l’adresse endirect@preventionbtp.fr. La plate-forme d’entraide est consultable ici
Il y a 5 ans et 25 jours

Artisanat : de premiers chiffres donnent une idée de l'ampleur de la crise

ÉTUDE. De premiers chiffres viennent donner une idée de l'ampleur de la crise déclenchée par la mise en confinement à la mi-mars. Sans surprise, les artisans du bâtiment payent déjà un lourd tribut à la crise sanitaire et demandent à l'État de nouvelles mesures de soutien.
Il y a 5 ans et 25 jours

Le conseil scientifique chargé de la restauration de Notre-Dame de Paris est en place

La loi du 29 juillet 2019 pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a institué, au sein de l’établissement public dédié, un conseil scientifique, consulté sur les études et opérations de conservation et de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. De cette instance doit naître une dynamique de réflexion sur et pour le monument. Sur proposition du général Jean-Louis Georgelin, président de l’établissement public, les membres du conseil scientifique ont été nommés le 27 mars par Franck Riester, ministre de la Culture, en raison de leur expertise dans les domaines des monuments historiques, de l’archéologie, de l’histoire, de l’histoire de l’art, de l’ingénierie, des sciences et techniques et des matériaux. Placé sous la présidence du général Jean-Louis Georgelin, le conseil scientifique est nommé pour une durée de cinq ans renouvelable : M. d’Alessandro (Christophe), organiste et directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique ;M. Berné (Damien), conservateur en chef du patrimoine, en charge de la sculpture au musée de Cluny ;Mme Caponi (Gisella), directrice honoraire de l’institut supérieur pour la conservation et la restauration de Rome ;M. Dillmann (Philippe), directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique, coordinateur des travaux de recherche menés par le Centre national de la recherche scientifique au profit de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Dion (Anne), conservatrice générale du patrimoine, adjointe au directeur du département des objets d’art au musée du Louvre ;M. Drouin (Gilles), ecclésiastique, directeur de l’institut de théologie à l’institut catholique de Paris, chargé par l’archevêque de Paris d’animer la réflexion relative au réaménagement liturgique de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Gouzi (Christine), professeure d’histoire de l’art à Sorbonne Université, spécialiste de la peinture religieuse ;M. Léniaud (Jean-Michel), directeur d’études à l’école pratique des hautes études, directeur honoraire de l’école des chartes, président de la société des amis de Notre-Dame de Paris ;M. Loyer (François), directeur de recherche honoraire au Centre national de la recherche scientifique, directeur honoraire de la commission du Vieux Paris, spécialiste de l’architecture et de l’urbanisme du XIXe siècle ;M. Lucan (Jacques), architecte, historien, professeur d’architecture à l’école d’architecture de Marne-la-Vallée et à l’école polytechnique fédérale de Lausanne ;M. Mouton (Benjamin), ancien architecte en chef des monuments historiques, ancien vice-président du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) ;Mme de Ponthaud (Marie-Suzanne), architecte en chef des monuments historiques, en charge des cathédrales de Chartres et de Reims ;M. Sandron (Dany), professeur d’histoire de l’art à Sorbonne Université, directeur au centre André Chastel ;Mme Sire (Marie-Anne), inspectrice générale des monuments historiques. Photo : Anna Ader
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : focus sur l'exposition des riverains à la pollution automobile

Des mesures locales en complément des modélisations nationalesEn complément entre autres des publications de l'Ineris sur l'évolution de la qualité de l'air en France, d'images satellites d'agences spatiales, des communiqués d'Atmo France et localement des différentes AASQA sur l'impact du confinement sur la qualité de l'air, Atmo France a réalisé un focus synthétique sur l'évolution des oxydes d'azote (NOx) à proximité des axes routiers à fort trafic grâce aux données historiques des stations de mesure des associations agréées en charge de la surveillances et de l'information sur la qualité de l'air en France. Les NOx proviennent en grande partie du transport routier ; or la baisse drastique de ce dernier est l'un des éléments le plus marquant du confinement pour l'ensemble du territoire métropolitain et outre-mer. Pour les personnes dont le lieu de vie est proche de grands axes routiers, leur exposition aux NOx est particulièrement importante.Grace à la surveillance et aux données de terrain des AASQA, il est possible de voir, sur tout le territoire, l'historique de la pollution de l'air à différents polluants, notamment aux NOx, ainsi que l'évolution de cette pollution.Pourquoi choisir les oxydes d'azote (NOx) comme indicateur ?Les NOx regroupent le monoxyde d'azote (NO) et le dioxyde d'azote (NO2) exprimés en µg/m3 équivalent NO2. La source principale d'émission de NOx en ville est le trafic routier pour plus de 2/3. Indicateurs de pollution du trafic routier, ces polluants sont règlementés par la législation européenne. Leur surveillance sur le territoire est obligatoire et le NO2 est une espèce particulière suivie en raison de sa toxicité. La France est, d'ailleurs, en contentieux avec la Commission européenne pour non-respect des directives concernant les concentrations de ce polluant dans l'air ambiant de nombreuses agglomérations. L'équilibre en NO et NO2 étant très sensible à la température, l'indicateur NOx est plus stable que le simple NO2 en période de variation importante de température.Les NOx sont également précurseurs d'autres polluants : dans certaines conditions climatiques et d'ensoleillement, ils réagissent avec certains polluants selon des processus physico-chimiques complexes intervenant dans l'atmosphère. Ils réagissent en particulier avec les composés organiques volatils (COV) pour conduire à la formation d'ozone troposphérique ou avec l'ammoniac (NH3) pour former des particules secondaires (dont les niveaux sont d'ailleurs restés soutenus certains jours pour une bonne partie de la France, malgré les mesures de confinement).Diminution importante des expositions aux oxydes d'azote (NOx) en bordure des axes de traficAtmo France avec l'appui des AASQA a analysé l'évolution des concentrations moyennes journalières en NOx du 1er au 31 mars 2020 sur des stations représentatives de l'exposition à la pollution dû au trafic dans les principales agglomérations françaises. Les émissions de NOx étant globalement en lien avec le trafic routier, les données de la station de référence à l'exposition du trafic ont été utilisées et ce, pour toutes les préfectures de région ainsi que pour les agglomérations de plus de 500 000 habitants.La baisse du trafic routier lié au confinement a eu pour impact une baisse globale des concentrations de NOx sur tout le territoire français métropolitain et outre-mer. Sur le mois de mars 2020, la mise en place du confinement a mené à une baisse des concentrations moyennes journalières en NOx proches des axes routiers de 50% à Bordeaux ; 70% à Toulouse ; 67% à Fort-de-France ; 69% à Dijon ; 62% à Rennes et 69% à Marseille par exemple (voir infographie ci-dessus).L'évolution des niveaux de NOx a également été analysée pour plusieurs agglomérations de plus de 500 000 habitants. L'impact de la baisse du trafic routier y est également visible sur les concentrations de NOx. Par exemple l'agglomération de Paris a observé une baisse de 73%, l'agglomération de Grenoble de 72%, l'agglomération de Toulon de 49% et l'agglomération de Nice de 69%.MéthodologieAfin de montrer l'impact du confinement sur la pollution en NOx, Atmo France a réalisé sur quelques stations trafic représentatives dans chaque agglomération un ratio entre la moyenne des concentrations journalières en NOx du mois de mars avant la mise en place du confinement (1er au 17 mars 2020) et au début du confinement (18 au 31 mars 2020). Exprimé en pourcentage, ce ratio indique l'évolution des niveaux de NOx mesurés sur les grands axes routiers en mars 2020 avant et pendant le confinement.Les concentrations journalières en NOx du mois de mars 2019 sont également renseignées sur les graphiques en partie III afin d'illustrer l'état des concentrations en NOx en 2019 à la même période*. La comparaison entre les mois de mars 2019 et de mars 2020 illustre aussi cette baisse des concentrations, tout en gardant à l'esprit que les variations observées résultent d'une part de l'impact du confinement sur la circulation mais aussi de conditions météorologiques qui ont pu localement être très différentes entre 2019 et 2020.* A la suite d'incidents techniques, dans certaines régions, quelques données journalières sont indisponibles. A noter que la réglementation oblige les AASQA à disposer d'au moins 90% de données sur l'année.
Il y a 5 ans et 25 jours

Reprise des chantiers: les acteurs du BTP bretons réunis autour d’une charte de bonnes pratiques

Les entreprises du BTP, les maîtres d’ouvrage publics et privés et les architectes ont planché sur une charte régionale qui vise à la répartition équitable des surcoûts liés à la crise sanitaire.
Il y a 5 ans et 25 jours

Nouveau directeur commercial France chez Veka

Le spécialiste de l’extrusion de profilés de PVC et de la conception de systèmes de menuiseries (fenêtres, volets et portes) VEKA annonce la nomination... Cet article Nouveau directeur commercial France chez Veka est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 25 jours

Nouvelle gouvernance chez Egis

Laurent Germain, directeur général, et Pierre-Marie Chavannes, président non exécutif du conseil d’administration d’Egis. [©Egis/PatriceMaurein] Nicolas Jachiet, Pdg d’Egis, a décidé de faire valoir ses droits à la retraite et quittera le groupe le 31 octobre prochain. Actionnaire majoritaire d’Egis, la Caisse des dépôts et consignations a proposé la nomination de Laurent Germain, au poste de directeur général. Celle-ci sera confirmée lors du prochain conseil d’administration, le 2 juillet prochain. « Au cœur des défis majeurs du XXIesiècle comme le changement climatique, les nouvelles mobilités, la révolution numérique. Fort de collaborateurs à l’expertise très reconnue et à l’engagement exemplaire, de son positionnement international équilibré, Egis est idéalement positionné pour atteindre une position de leader mondial dans les transports et la mobilité du futur et dans la construction de la ville durable », indique Laurent Germain. La Caisse des dépôts et consignations présentera aussi la nomination de Paul-Marie Chavanne, comme président non exécutif du conseil d’administration d’Egis. « Je suis très honoré d’avoir été proposé à la présidence du conseil d’administration d’Egis. Aujourd’hui, notre priorité reste centrée sur la gestion de la crise sanitaire. Et dans les prochaines semaines, tout sera mis en œuvre pour un passage de témoin réussi entre Nicolas Jachiet et le futur directeur général, Laurent Germain », explique Paul-Marie Chavanne. Le parcours de Laurent Germain et Paul-Marie Chavanne  Laurent Germain est aujourd’hui directeur général de Segula Technologies, groupe d’ingénierie français et de conseil en technologies. Il est diplômé de l’Essec (Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales). Mais aussi de l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris. Il est ancien élève de l’Ecole nationale d’administration (ENA). Après avoir exercé différentes fonctions au sein du ministère de l’Economie et des Finances, il devient, en 2004, conseiller de François d’Aubert, ministre délégué à la Recherche, en charge des affaires budgétaires. Un an après, il est nommé directeur financier du Centre national d’études spatiales (CNES). En 2014, il rejoint Segula Technologies. Ingénieur de l’Ecole centrale de Paris, ancien élève de l’Ecole nationale d’administration, Paul-Marie Chavannes est inspecteur des Finances. Il a débuté sa carrière au ministère de l’Economie et des Finances. Ensuite, il a occupé des fonctions de direction générale dans plusieurs groupes industriels. En 2001, il devient Pdg de Geopost, la filiale de colis express de La Poste.
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : l'UFME accompagne ses adhérents

Ayant à cœur de remplir pleinement sa mission de relais d'information et de soutien, l'équipe de permanents de l'UFME, en télétravail, reste quotidiennement à l'écoute des besoins et préoccupations de ses adhérents.En veille permanente, elle repère et diffuse les dernières informations gouvernementales et des autres organisations professionnelles du secteur. Les adhérents sont ainsi informés en temps réel :des nouvelles mesures liées à la loi d'urgence sanitaire et intégrées dans le code du travail,des préconisations de sécurité, un sujet cher aux adhérents qui priorisent avant tout la préservation de la santé des collaborateurs et des clients,des différents et récents guides de recommandations pour sécuriser les activités lorsque la reprise est en cours ou imminente.La récente diffusion à ses adhérents de son « Guide sur la reprise de l'activité « chantiers » dans le diffus Menuiseries intérieures & extérieures » illustre sa démarche d'adaptation des guides de préconisations sanitaires du BTP aux spécificités des métiers de la menuiserie, et dans un premier temps avec l'étape « métré ». Cet outil, résultat des travaux menés par le Groupe de Travail « Sécurisation des chantiers dans le diffus », présente des recommandations et des préconisations pour :définir les risques liés à son activité vis-à-vis des collaborateurs dans l'entreprise et sur le chantier, et des clients,adapter ses activités et son intervention sur le chantier en temps de crise sanitaire, en analysant les exigences préalables, en hiérarchisant ses chantiers et en définissant les conditions d'intervention du métreur chez le client.Lutter contre l'isolementSe revendiquant historiquement comme un soutien fort des industriels, l'UFME multiplie les prises de contacts régulières avec ses adhérents. Une manière de lutter contre l'isolement. L'équipe les aide à décrypter et assimiler les informations au fil de l'actualité, à appliquer les mesures sanitaires ou encore à regrouper les commandes de masques.
Il y a 5 ans et 25 jours

Le fonctionnement du chauffage au bois (partie 2)

Dans cette deuxième partie de notre dossier spécial « chauffage au bois », la technique est au rendez-vous. Nous allons aborder le fonctionnement de tous les types de chauffage au bois : de la cuisinière de nos aînés à la chaudière à hydroaccumulation avec production d’eau-chaude. L’exhaustivité en toute simplicité, tel est le défi que je souhaite relever […]
Il y a 5 ans et 26 jours

Loyers des commerces : la CPME pour un fonds abondé par les assureurs et le e-commerce

Si une solution est "en passe d'émerger avec les bailleurs institutionnels, la question reste pleine et entière pour les autres types de location commerciale", relève l'organisation patronale dans un communiqué.Les principales organisations de bailleurs ont appelé leurs adhérents à annuler trois mois de loyers pour les très petites entreprises (TPE) qui ont dû fermer au début du confinement, mais 16 fédérations de commerçants ont jugé insuffisante leur proposition qui ne concerne que les TPE bénéficiaires du fonds de solidarité.Aussi, pour ne pas "léser les bailleurs non institutionnels", la CPME propose que soit "mis en place un fonds dédié abondé par les assurances et par les géants du e-commerce"."Les assureurs qui mettent en avant des arguments juridiques pour refuser l'indemnisation des pertes d'exploitation, auraient ainsi l'occasion de démontrer leur volonté de prendre part plus significativement aux efforts consentis par tous pour venir en aide aux plus petites entreprises", argumente l'organisation.Tandis que les banques ont beaucoup augmenté les prêts accordés aux entreprises rencontrant des difficultés de trésorerie grâce au dispositif de prêts garantis par l'État à hauteur de 90%, les assureurs sont souvent accusés de ne pas en faire assez.Dans le cadre de l'élargissement du fonds de solidarité aux TPE, ils ont porté leur contribution de 200 à 400 millions d'euros."De la même façon, les géants du e-commerce qui dans la période actuelle voient sensiblement s'accroitre leur activité pourraient ainsi manifester leur solidarité avec les commerçants de proximité qui, eux, voient baisser sensiblement leurs volumes de ventes", poursuit le communiqué de la CPME.
Il y a 5 ans et 26 jours

Covid-19 : La récession et le déficit seront peut-être plus "impressionnants" que prévu, selon Darmanin

"Il y aura peut-être un troisième budget rectificatif avec des chiffres sans doute encore plus impressionnants", a affirmé le ministre sur France Inter.Le gouvernement a présenté la semaine dernière un nouveau projet de budget rectifié pour 2020, le deuxième en moins d'un mois. Voté dans la nuit de vendredi à samedi à l'Assemblée nationale, il est examiné mardi au Sénat.Il intègre une prévision de contraction du produit intérieur brut (PIB) de -8% cette année, un déficit de 9% du PIB, une dette publique de 115%. Alors que le précédent plan d'action prévoyait de mobiliser 45 milliards d'euros (dont des reports de charges et d'impôts) pour soutenir l'économie, la nouvelle mouture doit relever ces aides à 110 milliards d'euros."La stratégie du gouvernement est de s'adapter aux demandes économiques" des Français et des entreprises, a assuré Gérald Darmanin, ajoutant que le gouvernement "a préféré l'endettement à la faillite"."Nous sommes dans le montant de déficit et de dette jamais atteint depuis la seconde guerre mondiale", a-t-il insisté."Il n'y a pas de plafond (...) Aujourd'hui la France continue de pouvoir emprunter dans des conditions satisfaisantes (...) avec des taux bas", a-t-il encore ajouté.M. Darmanin a d'ores et déjà annoncé que les reports de charges pour les entreprises seraient prolongés pour les échéances du mois de mai.
Il y a 5 ans et 26 jours

Humbert & Poyet : Appartement rue des Archives

Les architectes Emil Humbert et Christophe Poyet mêlent matériaux nobles, œuvres d’art contemporaines, meubles d’esprit Art Déco ou Memphis et références au classicisme dans un duplex historique de la rue des Archives. En plein Marais, le duo Humbert & Poyet imagine une habitation raffinée, où le classicisme côtoie la modernité, pour une famille. Les décorateurs Emil Humbert et Christophe Poyet ont en effet répondu par un appartement élégant et subtil aux commanditaires, qui désiraient un logement convivial et fonctionnel adapté au quotidien de leur famille. Inspirés par l’histoire du bâtiment de la rue des Archives, les architectes ont pris le parti de modifier l’organisation spatiale de ce duplex de 250 mètres carrés en revenant à une distribution classique des pièces. Le premier niveau est désormais réservé aux salles de séjour – le salon, la salle à manger, la cuisine et la bibliothèque –, quand le second accueille la chambre parentale et son dressing, la chambre d’enfant et la salle de bain. Des moulures discrètes et une imposante cheminée ont été ajoutées. Ces clins d’œil au classicisme, qui ponctuent l’appartement, sont aussi habilement mariés à des éléments modernes et contemporains : « Nous sommes particulièrement inspirés par les mouvements modernistes, art déco et Memphis, alliés au classicisme, on retrouve ces périodes à travers les choix des meubles, des couleurs et des finitions dans notre travail et la conception de cet appartement. Tout cela se combine pour former des espaces uniques qui sont des déclarations en soi, forts et raffinés. » L’entrée donne le ton. On y découvre du terrazzo en all-over – au sol, sur les murs et les marches de l’escalier –, ainsi que des œuvres d’art et des pièces de mobilier de créateurs célèbres, notamment une peinture de Keith Haring, des chaises de Le Corbusier, une console de Jean Prouvé, des céramiques des artistes Georges Jouve et Olivier Gagnère. À l’instar du hall, toutes les pièces de l’appartement sont audacieusement décorées, avec des beaux matériaux – bois, marbre, laiton, terrazzo –, des pièces de mobilier et des objets d’art iconiques, des meubles de Humbert & Poyet. Dans le salon, par exemple, le canapé de velours bleu Grand Théodore, le lampadaire en albâtre brillant Ava et la table-basse Gabrielle signés Humbert & Poyet côtoient les appliques et les lampes dessinées par le designer italien Gino Sarfatti, les tabourets Tulip crés par l’architecte finno-américain Eero Saarinen, une photographie prise par le sulfureux photographe américain Robert Mapplethorpe et une peinture imaginée par le plasticien français Bertrand Lavier. Après avoir fait ses preuves en rhabillant quantité d’adresses commerciales – les restaurants Beefbar à Paris, Mexico, Monaco, Hong-Kong et Malte, l’hôtel The Hoxton et la boutique Maison Weill à Paris – Humbert & Poyet confirme sa très bonne réputation avec de nombreux projets résidentiels. Affaire à suivre… Pour en savoir plus, visitez le site de Humbert & Poyet.Photographies : © Francis AmiandLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 26 jours

« J’ai fait passer le test sérologique à mes salariés »

Eric Thiebaut, président de la PME familiale de fermetures Soreba à Ribeauvillé (Haut-Rhin), a décidé de dépister l’immunisation des salariés au Covid-19. Objectifs : rassurer les clients particuliers et adapter au mieux les règles de protection sanitaire selon les cas, à l’heure où l’activité repart.
Il y a 5 ans et 26 jours

Entre la métropole et la campagne, la ville

Pour les citadins paniqués, la vie à la campagne est une illusion délétère. Pour un développement harmonieux, la ville dense est un bien commun qui doit retrouver sa fonction de protection et de creuset culturel. Le confinement conduit naturellement à […] L’article Entre la métropole et la campagne, la ville est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 26 jours

Top 10 des meilleures villes où investir dans l'immobilier neuf selon son profil d'acquéreur

Les meilleures opportunités d'investissement dans l'immobilier neuf se trouvent actuellement dans les périphéries de grandes villes particulièrement dynamiques : Grenoble, Annecy, Genève, Paris, Toulouse, Marseille et Aix-en-Provence, Bordeaux. Les prix du neuf sont souvent supérieurs aux prix de l'ancien. Ce surcoût, justifié par la qualité des constructions et, dans de nombreux cas, compensé par les avantages fiscaux attachés au neuf, est bien moindre lorsqu'on s'éloigne (mais pas trop) des grandes agglomérations. Il y a donc de nombreuses pépites à découvrir lorsqu'on analyse systématiquement toutes les villes françaises où des biens neufs sont proposés. « Les villes mises en lumière par ce double classement proposent un environnement plus apaisé, plus vert, bien moins cher, et bien plus rentable que les métropoles qu'elles bordent. La méthodologie suivie dans cette étude a permis de ne sélectionner que des opportunités équilibrées d'investissement en veillant, au-delà de la rentabilité ou de la plus-value attendue, à ce que les risques (non location, impayé de loyer, éloignement des transports ou des services de base) soient également bien maîtrisés. » Commente Mathieu Morio, fondateur de GridkyClassement profil rentabilitéA seulement 2 km de Grenoble, Saint-Martin-le-Vinoux (38) arrive en tête de classement. La rentabilité locative brute des investissements y est de 6,5% (en prenant en compte l'avantage fiscal Pinel, et 4,5% sans cet avantage). Cette ville bénéfice à plein du dynamisme économique et éducatif de Grenoble (5ème ville la plus innovante du monde), tout en présentant des prix plus attractifs. Elle se situe au cœur du Parc naturel régional de Chartreuse tout en étant à 3 arrêts de tram de la métropole. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année à Saint-Martin-le-Vinoux représente 35% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a ainsi augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Arrive en seconde position du classement Allonzier-la-Caille (74), petite ville de 2.000 habitants située à 10 minutes d'Annecy et 20 min de Genève, placée en pleine nature tout en bénéficiant de la proximité avec 2 centres économiques majeurs. La rentabilité locative atteint 5,7% (avec levier fiscal). Reflétant cette situation privilégiée, le taux de logements vacants y est particulièrement bas, à 4,9% contre 7,1% au national.On retrouve en troisième place la commune d'Asnières-sur-Seine (92), qui figure régulièrement dans les classements des villes de banlieue les plus courues par les parisiens. Commune de l'ouest parisien située à moins de 15 min de la Défense, Asnières-sur-Seine bénéficie d'un cadre paisible et du charme des bords de Seine. La rentabilité locative dans le neuf, notamment dans le nouvel écoquartier Seine Ouest, est de 5,6% (avec levier fiscal). Ville aisée, le taux de cadres y atteint 33% contre 25% au niveau national.La Bouilladisse (13) est la quatrième ville où l'investissement d'un bien neuf est le plus rentable avec 5,5% (avec levier fiscal). La commune de 6.000 habitants bénéficie d'une position stratégique entre Marseille, Aix en Provence et Aubagne (accessibles en moins de 30 min). Reflétant ces avantages, la part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 7,6% contre 3,7% en moyenne nationale. Par ailleurs, le taux de logements vacants y est particulièrement bas à 5,5%, et les cadres, 27% des habitants, y sont fortement représentés.Balma (31), aux portes de Toulouse (accessible en 20 min par le métro A et plusieurs lignes de bus), arrive en cinquième position du classement avec une rentabilité de 5,5% (avec levier fiscal). Balma propose un bassin d'emplois sur place avec par exemple AG2R La Mondiale et plusieurs sièges de banques implantées localement. Il s'agit de l'une des communes les plus intéressantes en première couronne de Toulouse. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 35% contre 3,8% en moyenne nationale, et la population a augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Pontault-Combault (77), idéalement placée entre les pôles d'emplois de Créteil et de Marne-la-Vallée, et à seulement 30 min du centre de Paris en transports, Pontault-Combault est la sixième ville dans le classement Gridky. La rentabilité locative brute de l'investissement dans un bien neuf y est de 6% (avec levier fiscal), notamment en raison d'une forte demande locative. Il n'y a que 4,1% de logements vacants (presque deux fois moins que la moyenne nationale), et la balance démographique est de +5,1% sur 5 ans. Pontault-Combault est légèrement moins bien classée que les villes qui la précèdent en dépit d'une meilleure rentabilité, car le risque locatif y est un peu plus fort (tout en restant néanmoins excellent), avec un poids des loyers dans les revenus des habitants à 17% (au même niveau que la moyenne nationale).A 15 km de Perpignan, Saint-Cyprien (66) se place à la 7ème position du classement. Ville à la fois moderne et ayant gardé son atmosphère de village, Saint-Cyprien est située à 5 min de la mer. La rentabilité locative d'un appartement neuf y est de 6% (avec levier fiscal). La tension locative y est maximale avec seulement 0,2% de logements vacants. Il n'y a donc quasiment aucun logement disponible à la location sur la commune. Saint-Cyprien n'est toutefois pas classée plus haut en dépit de son excellent taux de rentabilité, car la croissance démographique, à 1,9% sur 5 ans, y est légèrement moins élevée que sur les villes mieux classées.Tournefeuille (31), commune de 27.000 habitants située à l'ouest de Toulouse, arrive en 8ème place. La proximité avec la ville rose, et ses nombreuses lignes de bus la reliant en 20 min, lui permettent de bénéficier de l'afflux démographique que connaît la région depuis plusieurs années : Tournefeuille a vu sa population croître de 2,6% sur les 5 dernières années, et l'arrivée de 12% de nouveaux ménages chaque année. Vous pouvez y espérer une rentabilité locative de 5,3% (avec levier fiscal).En 9ème position du classement, on retrouve Clamart (92). La rentabilité locative atteint 5,3%. Déjà à moins de 30 min de Paris en voiture, la commune va bénéficier du Grand Paris avec l'arrivée en 2024 de la ligne 15. Cette position privilégiée dans le sud-ouest parisien motive de nombreux nouveaux ménages à y emménager (+9,4% chaque année). Enfin, Clamart est en pleine mutation, avec l'émergence de nouveaux quartiers (le Panorama par exemple) offrant une haute qualité de vie.Gradignan (33), à seulement 9 km de Bordeaux, est à la 10ème place du classement. La rentabilité locative atteint 5%. La ville bénéficie d'un boom démographique avec une augmentation de 9,5% de sa population sur les 5 dernières années. La commune a vu son besoin en logements bondir, ce que reflète le très faible pourcentage de logements vacants (3%).Classement profil « plus value »Allonzier-la-Caille (74) passe en première position. Il existe sur cette ville certains biens neufs ayant un prix au m² de 3 760 €, ce qui est inférieur aux prix de l'ancien (qui se situent actuellement entre 2 826 € et 5 291 €), avec un prix moyen de 3 919 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 54%.Balma (31) arrive en seconde place. Le prix au m² des biens neufs est de 3 276 € face à un prix au m² dans l'ancien qui se situe actuellement entre 2 177 € et 4 124 € (avec un prix moyen de 2 973 €). L'écart de prix au m² des biens neufs par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone n'est ainsi que de 10%. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 53%.Asnières-sur-Seine est toujours troisième du classement. Le prix au m² de certains biens neufs est de 5 549 €, très proche du prix au m² dans l'ancien (qui se situe actuellement entre 3 563 € et 7 093 € sur cette zone, avec un prix moyen de 5 054 €). Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 60%.Fait son apparition en quatrième position du classement, la ville de Bruges (33), située au nord de Bordeaux. Le prix au m² des biens neufs est de 3 917 € en regard d'un prix dans l'ancien allant de 2 574 € à 4 771 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 524 €. Le neuf y est donc à peine 11% plus cher que l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. Par ailleurs, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 16% sur 5 ans sur cette zone, et le taux de logements vacants n'y est que de 3,2% (contre 6,9% au national).Saint-Martin-le-Vinoux se place en cinquième position. Avec des biens neufs accessibles dès 2 555 € alors que le prix au m² dans l'ancien se situe actuellement entre 1 757 € et 3 554 € sur cette zone, (avec une moyenne de 2 491 €), le prix de ce bien neuf est inférieur au prix maximum observé actuellement sur le marché de l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. De plus, l'écart de prix au m² de ce bien neuf par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone est de 2,6%, alors que l'écart moyen entre le neuf et l'ancien est de 44% sur l'ensemble du marché. Ce lot est donc sensiblement moins cher au m² par rapport aux prix dans l'ancien que les autres biens neufs actuellement en vente. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 52% sur cette ville.Frontalière avec la Suisse (à moins de 30 min du centre-ville de Genève), la ville d'Etrembières (74) arrive en sixième place des villes où investir dans le neuf pour maximiser sa plusvalue. Le prix au m² des biens neufs est de 4 221 €, soit quasiment au même niveau que les prix de l'ancien qui se situent entre 2 924 € et 5 789 € sur cette zone, avec un prix moyen de 4 010 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 44%. La population a augmenté de 29% sur 5 ans sur cette zone.Autre ville frontalière avec nos voisins helvétiques, Gex (01) se place en septième position. Le prix au m² des biens neufs est de 3 685 € quasiment au niveau de l'ancien qui se situe actuellement entre 2 844 € et 5 595 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 574 €. De plus, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 42%. La population a par ailleurs augmenté de 21% sur 5 ans à Gex.Première métropole du classement, Bordeaux (33) est la 8ème ville où il est le plus intéressant d'acheter un bien neuf pour espérer obtenir une belle plus-value. Le prix au m² des biens neufs les plus intéressants est de 4 449 €, ce qui n'est pas très cher en comparaison d'un dans l'ancien qui se situe entre 3 131 € et 5 845 €, avec un prix moyen de 4 307 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 49%.On retrouve la ville de Bouilladisse en 9ème place du classement. Le prix au m² des biens neufs est de 3 169 €, très proche du prix de l'ancien qui se situe entre 2 162 € et 4 362 €, avec un prix moyen de 3 011 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 2,3% sur 5 ans sur cette zone. La part des cadres dans les actifs sur cette zone (27%) reflète un environnement plutôt aisé.Biscarrosse (40) est 10ème .Le prix au m² des biens neufs est de 3 280 €, ce qui est inférieur à la moyenne du prix dans l'ancien : 3 442 €, avec un min de 2 530 € et un max de 4 651 € sur cette zone. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 50%. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 14% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a augmenté de 13% sur 5 ans sur cette zone.
Il y a 5 ans et 26 jours

Coronavirus : la construction mondiale recule de 1,4% en 2020

Le cabinet d’analyses économiques Global Data estime que le secteur du BTP, à l'échelle mondiale, connaîtra une contraction de 1,4% en 2020 à cause de l’épidémie. Entre l'Europe, l'Asie et l'Afrique : tour d’horizon des zones géographiques les plus touchées.
Il y a 5 ans et 26 jours

Amaury Omnès, Hirsch Isolation : "Cette crise nous rappelle l'importance d'un habitat confortable"

DG de Hirsch Isolation, acteur majeur du polystyrène expansé, Amaury Omnès fait le point sur la situation de l'entreprise durant cette crise. Et sur les perspectives qui se dessinent pour l'après-crise.
Il y a 5 ans et 26 jours

Covid-19 : appel à reprendre l'activité et assouplissements pour les Ehpad

Sommé par le président Emmanuel Macron de présenter un plan de déconfinement avant la fin avril, son Premier ministre Édouard Philippe en a dessiné dimanche les grands principes, sans entrer dans les détails.Une chose est claire: il n'y aura pas de retour à la normale avant de longs mois, mais il faut relancer un pays à l'arrêt depuis le 17 mars.La ministre du Travail Muriel Pénicaud a appelé lundi les chefs d'entreprises à reprendre leur activité s'ils le pouvaient en annonçant que 9,6 millions de salariés étaient actuellement au chômage partiel et dont le salaire est payé par l'État, soit près d'un salarié du privé sur deux.Le chômage partiel ne sera pas abandonné le 11 mai "sinon il y aurait des catastrophes", a-t-elle déclaré. "Mais ça va être dégressif".Le confinement sur huit semaines en France pour lutter contre l'épidémie de coronavirus va se traduire par 120 milliards d'euros de pertes pour l'activité, selon une étude publiée lundi par l'OFCE."Pendant la période de confinement, le produit intérieur brut (PIB) est réduit de 32%", correspondant à cinq points de PIB sur l'année 2020, précise l'Observatoire français des conjonctures économiques.Le gouvernement estime de son côté que le PIB reculera sur l'ensemble de l'année 2020 de 8% sous l'effet du choc économique.Masque, accessoire de mode ?Le gouvernement est toujours à l'œuvre pour trouver la formule qui permettra au pays de redémarrer tout en maintenant les précautions sanitaires qui reposeront sur les gestes barrière, des tests massifs et l'isolement des malades.Un assouplissement a été mis en place dès lundi pour humaniser l'isolement des personnes les plus vulnérables: le droit de visite est rétabli pour les familles dans les Ehpad et les établissements qui accueillent des personnes en situation de handicap, dans des conditions "extrêmement limitées", a annoncé dimanche le ministre de la Santé Olivier Véran.Face à "beaucoup d'inconnues" qui entourent encore le virus, les Français vont "devoir apprendre à vivre avec lui", a averti le Premier ministre."Il faut changer culturellement notre mode de vivre. Nous étions plutôt proches les uns des autres, cela va changer une des composantes fondamentales de notre société", a déclaré lundi Karine Lacombe, cheffe du service infectiologie de l'hôpital Saint-Antoine sur France Inter.Son confrère, Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses de la Pitié-Salpêtrière, espère de son côté que le port de masques, qui "apparaît comme la mesure barrière la plus efficace" "s'imposera par le simple bon sens". "Le masque pourrait devenir un accessoire de mode, espérons-le", a-t-il déclaré.Test virologiqueLes masques, et leur pénurie, restent un sujet de crispation majeur, alors que le plus gros avion-cargo du monde, l'Antonov An-225 Mriya, s'est posé dimanche à l'aéroport de Paris-Vatry (Marne) avec à son bord huit millions de masques médicaux en provenance de Chine.Les masques "grand public", qui seront produits en France à 17 millions d'exemplaires par semaine d'ici le 11 mai, seront eux probablement rendus "obligatoires" dans les transports publics.En ce qui concerne le dépistage, l'objectif du gouvernement est de pouvoir réaliser à partir du déconfinement 500.000 tests par semaine pour les personnes présentant des symptômes et celles ayant été en contact avec un malade du Covid-19, a indiqué M. Véran.Après le 11 mai, "si vous êtes porteur de symptômes (...) et que vous voulez savoir si vous êtes malade, ou si vous avez été en contact rapproché d'une personne dont on sait qu'elle est malade, vous pouvez, vous devrez bénéficier de ce test virologique", a assuré M. Véran.Le nombre de patients hospitalisés pour une infection au Covid-19 s'élevait dimanche à 30.610 dont 5.744 patients dans un état grave en réanimation. Il s'agit du onzième jour consécutif de baisse du nombre de patients en réanimation et du 5e de baisse consécutif des hospitalisés.Sur les 395 morts annoncés dimanche soir, 227 sont décédés à l'hôpital, soit le nombre le plus bas de décès à l'hôpital depuis quatre semaines (23 mars avec 186 morts).Ces statistiques traduisent la poursuite d'une "très lente décrue épidémique, mais le nombre de personnes hospitalisées reste très élevé", a-t-il souligné en appelant à ne pas relâcher les efforts alors que l'épidémie a désormais causé le décès de près de 20.000 personnes en France (dont un peu plus de 12.000 dans les hôpitaux).Le quotidien des 67 millions de Français continuera donc d'être bouleversé: "il n'est pas raisonnable d'imaginer voyager loin à l'étranger très vite", a indiqué M. Philippe, alors que le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, avait averti que "les mariages, les anniversaires, les grandes réunions familiales devront être évités dans les mois qui viennent".Sur la réouverture des école, un autre sujet polémique, M. Philippe est resté prudent, indiquant que plusieurs hypothèses étaient à l'étude, "par territoire" ou "par moitié de classe".
Il y a 5 ans et 26 jours

Valorisation : le recyclage des déchets de plâtre a bondi de 15% en 2019

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. En 2019, plus de 100.000 tonnes de déchets de plâtre ont été recyclées, ce qui représente une progression de 15% en comparaison à 2018. Un score que les industriels de la filière mettent au crédit d'investissements découlant de la Charte de gestion des déchets du plâtre, signée en 2008, ainsi qu'à celui du maillage territorial des collecteurs.
Il y a 5 ans et 26 jours

Delta Dore lance un plan d'aide à la reprise destiné aux professionnels du bâtiment

Plaçant l'humain au cœur de la stratégie d'entreprise, le groupe technologique s'engage auprès des artisans installateurs et des distributeurs pour les prochains mois. Ce dispositif, qui débute dès mi-avril avec des formations à distance gratuites se compose de plusieurs actions qui s'échelonneront jusqu'à la fin de l'année et seront communiquées prochainement.« Chez Delta Dore, nous avons agi très tôt contre le COVID-19 en mettant en place des mesures pour les collaborateurs et assurer leur sécurité sanitaire. Il nous semblait également important d'apporter notre soutien aux professionnels avec qui nous collaborons toute l'année, et plus particulièrement pendant les prochains mois. Grandir de cette situation difficile et totalement inédite impose que nous puissions tout mettre en œuvre pour s'aider les uns les autres » explique Pascal Portelli, président du directoire de Delta Dore.Phase 1. Préparer l'après-crise dès aujourd'hui avec des formations gratuites à distancePour répondre aux besoins des professionnels, Delta Dore a mis gratuitement à disposition, depuis le 14 avril, 5 modules de formation couvrant tous les domaines de la maison connectée :Comment préconiser un écosystème domotique ?Comment préconiser un système d'alarmeComment naviguer dans l'univers de l'IP et des réseaux domestiques ?Ainsi que des 2 formations sur les nouveautés Delta Dore : les caméras Tycam, la solution de comptage Tywatt ou encore les moteurs tubulaires pour volets roulants TymoovSous forme de classes virtuelles de 2 heures et accessibles jusqu'à 8 personnes, les participants ont ainsi la possibilité d'échanger avec les formateurs et experts Delta Dore qui leur permettront d'optimiser leur montée en compétences.Les premières sessions ayant été fortement plébiscitées avec 90% d'inscriptions en l'espace d'un jour et demi et un taux de satisfaction de 97%, de nouveaux créneaux sont disponibles jusqu'au mois de mai et pourront être ajoutés suivant les sollicitations des professionnels.Les formations qui ont remporté une forte adhésion : « Caméras Tycam », « Comment naviguer dans l'univers IP » et « Comment préconiser un écosystème domotique »Les thématiques et le planning des sessions de formationComment y participer ?
Il y a 5 ans et 26 jours

Rénovation d'une bâtisse à Glatens

Niché dans les hauteurs d'un petit village du Tarn-et-Garonne, le Château de Glatens, comme son adresse l'indique, a amorcé sa mue en vue d'accueillir de nouveaux hôtes. Erigé dans un parc de plusieurs hectares, il est devenu la propriété de la famille anglo-saxonne Parfitt, tombant sous le charme de cette grande demeure historique en 2017.S'en sont suivis de longs mois de chantier pour réhabiliter l'ensemble du bâtiment, en 2 phases de travaux réparties sur 2 ans. Dans ce cadre, le choix de la solution de chauffage et de rafraîchissement pour assurer un confort de vie intérieur optimal a constitué un enjeu majeur de cette réfection. Totale invisibilité Pour l'accompagner dans sa décision d'équipement, Justin Parfitt s'est appuyé sur le savoir-faire de Jérémy Bozoyan, gérant de l'entreprise EURL BOZOYAN basée à Saint-Aignan (82) et spécialisée dans les travaux de génie climatique/chauffage. www.bozoyan.fr« Ma société n'était encore jamais intervenue pour un projet d'une telle envergure » se souvient Jérémy Bozoyan. Dans leur cahier des charges, les propriétaires exigent une installation parfaitement intégrée au bâti, soit complètement dissimulée derrière des cloisons, grilles de soufflage et autres aménagements afin de limiter l'impact sur la décoration intérieure. Pour la phase 1 du chantier correspondant à la moitié du bâti, Jérémy Bozoyan préconise l'installation d'une unité de soufflage puissante de marque Daikin pour alimenter les 4 chambres du 1er étage par un réseau de gaine Airzone dissimulé en faux-plafond. L'unité de soufflage d'une puissance de 14 kW (référence FBA140A) et la pompe à chaleur éco-énergétique (référence RZASG140MV1) à laquelle elle est raccordée fonctionnent grâce à l'énergie renouvelable, l'air, permettant des économies d'énergie substantielles. Habituellement, la pompe à chaleur est installée à l'extérieur du logement, en façade du pignon, pour permettre au ventilateur de capter les calories présentes dans l'air et les restituer sous forme d'air chauffé l'hiver ou d'air rafraîchi pendant l'été. Au Château de Glatens, la famille Parfitt ne souhaitait aucun équipement apparent. De fait, Jérémy Bozoyon a eu l'idée de se servir de vastes combles pour abriter les installations, additionnées à un système de ventilation pour favoriser l'apport d'air neuf. Il a rajouté une pompe à chaleur de petite puissance (référence RXM35K) pour permettre le chauffage et le rafraîchissement de l'unique chambre du rez-de-chaussée. Dans cet espace immense, Jérémy Bozoyan a installé une unité console non carrossée de 3.5 kW (référence FNA35A) encastrée dans le mur, ne laissant apparaître qu'une grille de soufflage. L'ensemble de ces solutions Daikin fonctionnent au réfrigérant R-32, au faible potentiel de réchauffement planétaire. Bien que chaque chambre dispose de son propre thermostat, depuis sa chambre Justin Parfitt a la main sur les températures de toutes les chambres. Les unités disposent du WiFi pour permettre leur pilotage et la programmation de plages horaires de fonctionnement à distance, depuis un smartphone, un ordinateur ou une tablette via l'application Daikin Online Controller. « Le confort acoustique a constitué l'autre enjeu de cette opération. Monsieur Parfitt souhaitait l'équipement le moins sonore du marché. Daikin sait parfaitement répondre à ce besoin, proposant les solutions les plus discrètes du marché», raconte Jérémy Bozoyan. Ces travaux liés à la phase 1 ont démarré en mars 2018 pour prendre fin au printemps 2019, juste à temps pour accueillir de nouveaux locataires puisque la famille Parfitt a le projet de louer à la semaine sa propriété pendant 6 mois, chaque année.
Il y a 5 ans et 26 jours

Zoom sur : Oki Sato

Fondateur du désormais incontournable studio nendo, le japonais Oki Sato n’en finit pas de nous surprendre. Du haut de ses 43 ans, le designer et architecte a su se créer un univers reconnaissable entre tous, entre poésie nippone et rationalité occidentale. Retour sur le parcours d’un grand nom de la discipline. Né au Canada, c’est à Tokyo (Japon) qu’Oki Sato se forme à l’architecture. Un cursus de 6 ans qui, au lieu de la stimuler, bride la créativité de l’esthète : « On me disait tout le temps ne fais pas ci, pas ça, si bien que je me sentais assez stressé une fois diplômé » dira-t-il d’ailleurs au sujet de ses études. Une rigidité dont veut à tout prix s’échapper le futur fondateur du studio nendo. C’est pourtant au cours d’un voyage de fin d’étude à la biennale de design de Milan en 2002 qu’une révélation s’offrira à lui. La ville italienne vibrant au rythme de la création, la liberté des artistes et la joie du public confirmeront à Oki Sato ce qu’il commence à soupçonner : ce sera le design, un point c’est tout.« Je ne pense pas que le design doive être perçu comme quelque chose de trop spécial (...) ou réservé à une "élite" de designers ou de spécialistes, mais devrait être accessible à tous. Je pense que quiconque ayant un regard différent sur les objets du quotidien est déjà un designer. » Oki Sato, designer En 2003, un an après cette prise de conscience, le designer fait une rencontre déterminante : celle de Giulio Cappellini, directeur artistique de l’éditeur éponyme. L’expertise et l’ouverture d’esprit de l’Italien marquera un tournant dans la création d’Oki Sato qui soumettra à son mentor des dizaines de dessins par mois, les améliorant au fil du temps et des commentaire de Cappellini. Arrivé à maturation, son Ribbon Steel sera le premier objet d’Oki Sato édité par la marque, qui produit depuis 2007 un projet de nendo par an. Aujourd’hui à la tête d’une agence de plus de 50 personnes à Tokyo, Oki Sato a su garder son âme d’enfant, et c’est probablement ce qui le différencie de tous ses confrères. Avec la nature comme source d’inspiration et l’épure japonaise comme ligne de conduite, le studio nendo propose des créations ludiques, poétiques et toujours caractérisées par une pointe d’humour. La collection de couverts Skeleton, la vaisselle Plank ou le désormais iconique Jelly Vase, on ne compte plus les ouvrages remarquables du collectif. Des créations qui s’accompagnent de grandes expositions, comme lors de la Design Miami / Basel 2018, où d’ « Invisible Outlines », une rétrospective organisée au Grand Hornu en 2017. Plus récemment, celui qui a été élu designer de l’année à Maison & Objet 2014, a investi les incroyables volumes du Bon Marché Rive Gauche (7ème arrondissement) pour l’exposition « ame nochi hana », une série d’installations conçues autour du thème de la pluie. Une carte blanche onirique qui fait suite à celles données à Leandro Erlich (2018) et Joana Vasconcelos (2019).Loin de rendre le tablier, Oki Sato est aujourd’hui en charge du design des intérieurs des nouveaux TGV qui seront inaugurés à l’occasion des JO 2024 de Paris. Un pas dans la création française qui annonce également la future ouverture d’une antienne parisienne du studio.Un designer définitivement à part !Pour en savoir plus, visitez le site du studio nendoZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 26 jours

Politique énergétique : 3 propositions des organisations de la filière électrique

A la suite des consultations publiques sur la Stratégie Nationale Bas Carbone et la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie, le SERCE estime que les grandes orientations en matière de politique énergétique…Cet article Politique énergétique : 3 propositions des organisations de la filière électrique est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 26 jours

Politique énergétique : 3 propositions des organisations de la filière électrique

A la suite des consultations publiques sur la Stratégie Nationale Bas Carbone et la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie, le SERCE estime que les grandes orientations en matière de politique énergétique et climatique pourraient être enrichies de recommandations issues de l’étude “L’électricité au coeur du bâtiment performant, au service de l’usage : une réponse aux enjeux énergétique, climatique et numérique” réalisée par les organisations de la filière électrique. Parmi les recommandations et mesures concrètes déclinées dans cette étude, le SERCE considère que trois leviers sont particulièrement pertinents pour atteindre les objectifs de transition énergétique et climatique portés par la PPE et la SNBC, notamment en lien avec l’amélioration de la performance énergétique des bâtiments tertiaires. Mesurer pour comprendre et maîtriser sa consommation énergétiqueLe SERCE estime que le sous-comptage des consommations énergétiques offre la possibilité d’auditer en continu les différents postes de consommation afin d’adopter une démarche d’efficacité énergétique personnalisée, agile et tangible. En associant un service d’Energy Management au matériel déployé, de nouveaux projets énergétiques verront le jour en lien avec le niveau de maturité du maître d’ouvrage sur le sujet : cartographie énergétique, qualification des actions de performance énergétique, plan d’actions…Proposer des démarches de rénovation énergétique assorties de garanties de performanceEn s’appuyant sur les solutions de comptage, les opérations d’amélioration de la performance énergétique des bâtiments peuvent intégrer un engagement réel et mesurable dans la durée, sous la forme d’un CPE qui peut favoriser la limitation de l’investissement initial.Accélérer la décentralisation du système électrique afin de pouvoir intégrer massivement les énergies renouvelables et gagner en efficacité.Le SERCE demande l’augmentation du seuil de participation au guichet ouvert pour les installations photovoltaïques en autoconsommation en le passant de 100 à 500 kW, ce qui leur permettrait notamment de bénéficier d’un tarif d’achat pérenne sans passer par la procédure complexe des appels d’offres.
Il y a 5 ans et 26 jours

NGE signe une croissance record en 2019

RÉSULTATS. Le groupe NGE s'impose encore un peu plus dans le paysage du BTP. Après avoir passé la barre des 2Mds€ en 2018, l'année 2019 aura été celle de tous les records, avec une croissance du chiffre d'affaires de plus de 20%, exclusivement organique. Des performances qui permettent d'être suffisamment solides pour affronter la crise économique qui suivra la crise sanitaire liée au covid19.
Il y a 5 ans et 26 jours

Un nouvel acteur ambitieux sur le marché de la pompe à chaleur

Le spécialiste de la climatisation HEIWA se positionne sur le marché des pompes à chaleur. Ses PAC affichent des performances équivalentes à ceux des marques leaders du secteur, mais avec un prix inférieur de 30 à 40% hors pose. HEIWA a l’ambition de doubler son chiffre d’affaires tous les ans et d’atteindre 10% de parts de marché dans 5 ans, pour intégrer ainsi le Top 5 des fabricants français de pompes à chaleur. En 2019, l’entreprise représentait déjà 1% de part de marché en France. La marque s’appuie sur une stratégie de déploiement autour de distributeurs forts et spécialisés dans les principales régions de France. elle a déjà scellé un partenariat avec le réseau national de distribution Yesss Electrique. D’ici fin 2020, elle souhaite être présente chez 5 distributeurs régionaux leaders pour environ 1000 points de distribution de produits HEIWA. Un réseau d’installateurs partenaires va être créé : les ECO EXPERTS HEIWA. Fin 2020, la marque souhaite y fédérer 100 professionnels sur toute la France. Les ECO EXPERTS HEIWA formeront un réseau national d’installateurs référents, avec une maîtrise parfaite des produits et une attention particulière portée à la relation client. Ce réseau offrira aux installateurs un accompagnement complet, sur le plan technique, commercial et marketing.
Il y a 5 ans et 26 jours

Meljac met la couleur à l'honneur

En matériaux nobles, tous les produits MELJAC sont fabriqués en France et labellisés Origine France Garantie.Une palette de choix pour voir la vie en couleursMELJAC propose des modèles pétillants et colorés pour une esthétique rayonnante, adaptée aux envies de chacun.Les matériaux nobles utilisés comme le laiton, le verre et la porcelaine de Limoges peuvent revêtir la teinte recherchée qui s'accordera avec la décoration d'un intérieur. Chaque modèle est personnalisable avec de la gravure.Les collections en laiton et en verre trempé peuvent revêtir les nombreuses teintes du nuancier RAL. Les produits en porcelaine (émaillée ou biscuit) existent en une trentaine de couleurs à sélectionner dans une palette spécifique. Des motifs personnalisés peuvent y être peints à la main. MELJAC propose également une gamme en plexiglass et sait rendre ses produits discrets pour mettre en valeur les couleurs d'un revêtement mural :
Il y a 5 ans et 26 jours

L’Ademe propose de nombreuses formations gratuites

Pendant la période de confinement, l’ADEME propose différentes opportunités de formation gratuites à suivre en distanciel : MOOC, e-learning, webinairs, synthèses multimedia conçues par l’ADEME et/ou en partenariat, pour acquérir…Cet article L’Ademe propose de nombreuses formations gratuites est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 27 jours

Covid-19 : appel à faire grâce de trois mois de loyer aux petites entreprises

Cette demande s'inscrivait dans un contexte de fortes tensions entre les fédérations de commerçants, qui demandaient une annulation généralisée des loyers, et leurs principaux propriétaires, notamment les centres commerciaux, qui privilégiaient un simple report.L'Association française de la gestion financière (AFG), l'Association française des sociétés de placements immobiliers (Aspim), CDC Habitat (groupe Caisse des dépôts), le Conseil national des centres commerciaux (CNCC), la Fédération des sociétés immobilières et foncières (FSIF), ainsi que la Fédération française de l'assurance (FFA), expliquent dans un communiqué commun que ces "mesures seront appliquées de façon automatique et sans considérer la situation particulière des entreprises en question".Jeudi soir, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire avait demandé aux propriétaires de parcs immobiliers de ne pas percevoir pendant trois mois les loyers dus par les TPE obligées de cesser leur activité pour endiguer l'épidémie de Covid-19 qui sévit en France depuis plusieurs semaines.De nombreux petits commerces, jugés non essentiels, ont été contraints de fermer par le gouvernement depuis la mi-mars.Dans un communiqué séparé vendredi, Bruno Le Maire a salué "un geste de solidarité très important qui va permettre de soulager la trésorerie des petites entreprises"."code de bonne conduite"Pour les TPE forcées de fermer, "nous appelons tous nos adhérents à accorder une annulation de trois mois de loyers, à l'exclusion des charges qui resteront dues puisqu'elles correspondent à des coûts réels encourus par les propriétaires même en période de fermeture des commerces", précisent les signataires.Compte tenu de "la prolongation de la durée de fermeture des commerces imposée par la crise sanitaire, et de la reprise économique que nous pouvons envisager comme progressive", les bailleurs estiment que cette décision s'impose pour leurs "plus petits locataires, très fortement fragilisés par la crise économique"."Par ailleurs, nous demandons à nos adhérents d'engager des discussions avec leurs autres locataires connaissant des tensions de trésorerie, sur la base des différentes situations individuelles", précisent-ils.Pour ces locataires, "diverses options sont envisageables selon les propriétaires et selon les locataires, notamment en fonction de leur taille et des difficultés de trésorerie qu'ils rencontrent et des capacités financières propres des bailleurs et locataires", selon la même source.Vendredi matin, le groupe immobilier français Icade, présent dans le secteur des bureaux, avait pris les devants en annonçant qu'il renonçait pour un trimestre aux loyers des petites entreprises à l'arrêt à cause du coronavirus.D'autres acteurs - la foncière d'Auchan, la SNCF et la plus petite Compagnie de Phalsbourg - ont également décidé d'annuler des loyers.Outre ces mesures, les fédérations de bailleurs, la FFA et la Caisse des dépôts se sont engagées à rédiger, avec les Fédérations de commerçants et sous l'égide de M. Le Maire, "un code de bonne conduite des relations entre les propriétaires et les locataires commerciaux dans le cadre de la situation de crise économique".Un médiateur sera nommé par Bercy pour veiller à sa bonne application et au règlement amiable des différends qui pourront naître entre propriétaires et locataires de commerces.
Il y a 5 ans et 27 jours

Le Covid-19 sera-t-il reconnu comme une maladie professionnelle ?

Qui veut que le Covid 19 soit reconnu comme maladie professionnelle ?Après le ministre de la Santé Olivier Veran qui l'a évoqué pour les soignants, Christophe Castaner, le ministre de l'Intérieur, veut qu'il soit reconnu comme maladie professionnelle pour les personnels du ministère.L'Académie de médecine s'est dite aussi favorable à ce que cette reconnaissance ne bénéficie pas qu'aux seuls personnels de santé mais aussi à ceux qui travaillent pour "le fonctionnement indispensable du pays", dans les secteurs de l'alimentation, des transports et de la sécurité.Plusieurs syndicats le demandent également depuis le début de la crise pour les salariés et les agents publics.La CFDT préconise que "toutes les situations de travail en présentiel puissent, en cas d'atteinte à la santé due au Covid 19, relever d'une imputabilité d'office à titre professionnel". Elle plaide pour la création d'un "fonds" dédié pour prendre en charge les personnes atteintes.Dans l'attente, les syndicats conseillent aux salariés qui auraient contracté le virus au travail ou sur le trajet pour s'y rendre de le déclarer en accident du travail.Qu'est-ce qu'une maladie professionnelle ?L'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) rappelle qu'une maladie est considérée "comme "professionnelle" si elle est la conséquence directe de l'exposition plus ou moins prolongée d'un travailleur à un risque physique, chimique ou biologique, ou résulte des conditions dans lesquelles il exerce son activité professionnelle".Le concept remonte à une loi de 1919 reconnaissant le saturnisme, et récemment le débat sur la reconnaissance du burn out comme maladie professionnelle avait été relancé, sans succès.Une liste des maladies reconnues est établie dans des tableaux annexés au code de la sécurité sociale et au code rural. Si le salarié entre dans les critères (avec des durées d'exposition au risque), il n'a pas besoin de prouver le lien entre sa pathologie et son travail. Si tous les critères ne sont pas remplis, il faut apporter la preuve du lien entre son travail et la maladie et c'est donc bien plus compliqué.Faire entrer une nouvelle maladie professionnelle dans ces fameux tableaux suppose un décret, pris après discussion au sein du Conseil d'orientation des conditions de travail (Coct) où siègent aussi syndicats et patronat."Cela peut aller très vite si le gouvernement veut aller vite mais cela peut aussi s'enliser", explique Jérome Vivenza (CGT), membre du Coct. Certains syndicats veulent mettre cette question à l'agenda du Coct rapidement, a-t-il indiqué à l'AFP. Une réunion se tiendra le 24 avril.Quelles sont les conséquences de la reconnaissance en maladie professionnelle ?La reconnaissance d'une maladie professionnelle permet une prise en charge à 100% des frais médicaux mais permet aussi de recevoir une indemnité en cas d'incapacité temporaire ou permanente. En cas de décès, les ayants droits peuvent également percevoir une rente.Tout cela est financé par la branche dite "ATMP" (accident du travail et maladie professionnelle) de la sécurité sociale, financée par les cotisations des entreprises dont le taux varie en fonction de la sinistralité.A noter qu'il est difficile pour l'instant, alors que la connaissance de ce virus est parcellaire, d'en identifier les séquelles, notamment pour ceux atteints par une forme grave du Covid 19 ayant entraîné plusieurs jours en réanimation. Séquelles respiratoires? Séquelles neurologiques et cognitives? Des médecins esquissent des pistes, à tâtons.C'est pour cette raison que la CFDT réclame un "droit de suite à l'épidémie, permettant de prendre en considération des séquelles et pathologies éventuelles liées au Covid 19, non encore connues à ce jour".
Il y a 5 ans et 27 jours

Qui est le nouveau directeur commercial France de Veka ?

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de l'extrusion de profilés PVC pour fenêtres, portes et volets, Veka, annonce la nomination de son nouveau directeur commercial.
Il y a 5 ans et 27 jours

Covid-19 : près des trois-quarts des artisans fermés

"Seulement 27% des entreprises artisanales sont actuellement en activité en France", selon une enquête en ligne menée par l'organisation, présentée dans un communiqué."Les entreprises autorisées ne sont pas épargnées: 26% d'entre elles ont aussi fermé. Enfin, 58% des entreprises artisanales ont mis en place l'activité partielle pour leurs salariés ou apprentis", détaille CMA."Nous avons tous en ligne de mire la reprise de l'activité, nous nous y préparons", a souligné Christian Vabret, le président par intérim de CMA France. "Nos entreprises ont d'ores et déjà besoin d'un plan de relance et du soutien d'un État stratège et interventionniste pour garantir leur survie et le rebond".Les chambres souhaitent l'application d'une "nouvelle fiscalité verte et durable" avec une taxation des produits extérieures à l'UE et un "soutien massif de l'État en faveur des entreprises engagées dans l'économie circulaire".Elles demandent également l'effacement ou la neutralisation des charges sociales et fiscales pour les entreprises les plus en difficulté, la défiscalisation des heures supplémentaires, un "dispositif exceptionnel d'amortissement des prêts de trésorerie", et des mesures incitatives au recrutement de salariés et d'apprentis.
Il y a 5 ans et 27 jours

Jean-Jacques Châtelain, nouveau président d'Actions 3PF

Président sortant de l'UNA Peinture-vitrerie-revêtements de la Capeb, Jean-Jacques Châtelain pilote désormais l'association en charge de la promotion de la filière.
Il y a 5 ans et 27 jours

"Il faut complexifier l'obtention de la qualification RGE" E. Barthès, Symbiote

INTERVIEW. Edouard Barthès, président de Symbiote, syndicat de la rénovation énergétique "tous métiers confondus", expose à Batiactu les actions à mener pour massifier la rénovation du parc, afin d'atteindre notamment l'objectif de neutralité carbone en 2050.
Il y a 5 ans et 27 jours

Les chantiers dans le BTP commencent à reprendre progressivement

A Antony (Hauts-de-Seine), des coups de marteau piqueur résonnent dans une rue tranquille du centre-ville. A l'arrière d'une petite maison, deux maçons s'affairent pour réaliser les fondations d'une extension."Les travaux devaient commencer le 21 mars, ils ont été repoussés à cause du confinement", explique Typhaine, la propriétaire.Guillaume Guillauby et Jean-Marc Adélaïde, la cinquantaine, travaillent ensemble sur ce chantier censé durer au moins un mois. Les deux auto-entrepreneurs viennent de se remettre au travail, après un mois de confinement."Financièrement, je pouvais tenir encore longtemps, mais je tournais en rond chez moi", raconte Guillaume, masque FFP3 sur le visage et gants de travaux sur les mains. La condition pour reprendre? "Je n'accepte que les chantiers en extérieur" et ceux pour lesquels "un ou deux" artisans suffisent, dit-il."Certains ne font pas attention"Dans la petite cour, chacun utilise ses propres outils, comme avant l'épidémie de Covid-19 et les deux hommes disent veiller à garder une distance d'un mètre entre eux. Ils ignorent l'existence d'un guide sanitaire récemment publié pour le BTP.Plusieurs de leurs confrères ont également redémarré leur activité mais "certains ne font pas attention, travaillent à 6 ou 7 dans un espace réduit et ne respectent pas les distances de sécurité", regrette Guillaume.D'autres chantiers restent à l'arrêt, faute de matériaux ou "parce que les clients refusent la présence des artisans", témoigne Jean-Marc.Sur ce chantier, les maçons "prennent leurs précautions, ne rentrent pas dans la maison, et tout ce temps ils étaient eux aussi confinés chez eux, donc on est plutôt rassurés", affirme Typhaine, enceinte de son troisième enfant.Matthieu (prénom modifié), courtier en travaux en Ile-de-France, a vu tous les chantiers qu'il accompagne arrêtés net au début du confinement. Depuis, "tous ceux sur lesquels les clients ne sont pas présents ont repris, mais de façon partielle, soit parce qu'il y a un manque de matériaux de construction, soit parce qu'il y a moins de salariés sur place en même temps"."Sur les petits chantiers, il est plus facile de reprendre et de respecter les règles sanitaires", observe-t-il.Pressions"Les chantiers n'ont pas repris ou de manière épisodique, essentiellement sur de petits chantiers", confirme la FFB, la fédération du secteur, interrogée par l'AFP."Le bâtiment est passé de 15 à 25% (d'activité, NDLR), c'est encore très modeste", indiquait mardi la ministre du Travail Muriel Pénicaud.Face au risque pour les salariés de s'exposer au Covid-19 pour des travaux jugés non essentiels, la majorité des syndicats du bâtiment s'opposent au redémarrage des chantiers et rejettent le guide de préconisations sanitaires du secteur validé par le gouvernement et les fédérations patronales."C'est très, très difficile de faire respecter les consignes du guide", alors qu'il n'y a, par exemple, pas toujours suffisamment de points d'eau sur les chantiers pour le lavage régulier des mains, relève Christian Renard, de la CGT Vinci.Son syndicat s'inquiète du redémarrage de gros chantiers et appelle les salariés à se mettre en grève s'ils jugent leur santé en danger. M. Renard dénonce des "pressions sur certains salariés" qui viennent "parfois travailler la peur au ventre".Interrogé, le groupe Vinci assure "placer la santé et la sécurité des personnels de chantiers et des parties prenantes comme priorité" et affirme que "la reprise s'effectuera en concertation avec les représentants du personnel et en dialogue constant avec les maîtres d'ouvrages". En France, "l'activité pourra reprendre progressivement au travers de chantiers-tests", précise l'entreprise.Dans les travaux publics, la reprise risque de se faire attendre, estime Eric (prénom modifié), conducteur de camion aspirateur pour une PME dans le Nord. Actuellement au chômage partiel, il est d'habitude envoyé sur de gros chantiers. "Il y a des pressions des donneurs d'ordre, tout le monde veut reprendre au plus vite", confie-t-il, "les grands groupes sont en train de s'équiper en masques mais ça arrive au compte-goutte".
Il y a 5 ans et 27 jours

Covid-19 : L'activité en France a perdu 120 milliards d'euros sur huit semaines à cause du confinement

"Pendant la période de confinement, le produit intérieur brut (PIB) est réduit de 32%", correspondant à cinq points de PIB sur l'ensemble l'année 2020, précise l'Observatoire français des conjonctures économiques."Près de 60% de la baisse de revenu national est absorbée par les administrations publiques" à travers la hausse du déficit, tandis que "35% est au compte des entreprises, ce qui pose la question du rebond après l'épisode de confinement", selon cette étude.La reprise de l'activité dépendra beaucoup de la reprise de la consommation, à savoir dans quelle mesure les Français dépenseront ce qu'ils ont épargné durant le confinement ou se constitueront une épargne de précaution.Pour l'OFCE, "la contribution de huit semaines de confinement à l'évolution du déficit public serait de 2,8 points de PIB, soit 65 milliards d'euros", mais si l'intégralité de cette épargne était consommée, ce ne serait que 20 milliards d'euros, soit 0,9 point de PIB.Dans ce cas, la perte annuelle d'activité serait ramenée à 2 points de revenu national au lieu de 5.Mais face aux incertitudes sur la sortie de crise, "l'épargne accumulée pourrait ne pas être consommée complètement et rapidement", relève l'étude.D'autant que "les ménages verraient leur revenu se réduire de 9 milliards d'euros" pendant le confinement.Aussi, "les restrictions qui persisteraient, notamment sur les mouvements de personnes, pourraient avoir des impacts sectoriels massifs" et il pourrait y avoir des "ajustements coûteux en chômage", estime encore l'OFCE.Enfin, "les huit semaines de confinement conduiraient à réduire le taux de marge des entreprises de 2,9 points de valeur ajoutée sur l'année, soit l'équivalent d'une perte de 35 milliards d'euros".Le gouvernement estime de son côté que le PIB de la France reculera sur l'ensemble de l'année 2020 de 8% sous l'effet du choc économique provoqué par le coronavirus, qui ne sera pas limité aux huit semaines de confinement. Il prévoit également une envolée du déficit public à 9% du PIB pour cette année.