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Il y a 5 ans et 49 jours

Une annulation des JO de Tokyo enverrait "un mauvais signal à Paris-2024"

Mardi, le président du comité d'organisation des JO-2020 Yoshiro Mori a affirmé que les Jeux, déjà reportés d'un an (23 juillet - 8 août 2021), devraient être annulés si la pandémie n'était pas maîtrisée d'ici à l'année prochaine et le Premier ministre japonais Shinzo Abe a déclaré mercredi qu'ils seraient "difficiles" à organiser dans ce cas.QUESTION: Après le report, quelles seraient les conséquences financières d'une éventuelle annulation des JO Tokyo?REPONSE: "Je suis incapable de donner un chiffre. Le report de 2020 à 2021 a coûté très cher. J'ai vu passer des chiffres, autour de 3 milliards de dollars. Pour le report, il faut financer un an de plus la structure organisatrice des JO, indemniser les promoteurs pour les livraisons retardées des programmes prévus en période post-olympique (bureaux, logements...)... En revanche, il y a aussi un décalage de revenus au moment des Jeux".Q: Et en cas d'annulation pure et simple?R: "Vous devez rembourser tout un tas de parties prenantes: les diffuseurs, les top-partenaires qui ne peuvent pas bénéficier de leurs droits pendant la période des Jeux, les partenaires, tous les billets... C'est aussi un peu tout le modèle économique du Comité international olympique (CIO) qui est remis en cause en cas d'annulation. Ça fait peser des incertitudes sur tous les programmes de solidarité olympique. Le CIO, grâce aux JO, en finance de très nombreux sur l'ensemble de la planète. Beaucoup d'institutions vivent grâce aux subsides du CIO. Sur le cycle 2017-2020, plus de 500 millions de dollars (460 millions d'euros) sont reversés à différents acteurs (fédérations, comités olympiques, athlètes...). C'est moins une catastrophe pour le CIO qui a une réserve grâce aux Jeux précédents et a mis en place un mécanisme d'assurances".Q: Les athlètes en payeront-ils aussi le prix?R: "Ça peut amener des difficultés pour les athlètes, notamment ceux qui bénéficient de bourses pour se préparer et participer aux JO. Le ruissellement de richesses est tellement important normalement que l'interruption brutale peut occasionner des difficultés pour les bénéficiaires. Dans beaucoup de sports, les Jeux, c'est le moment d'une carrière, d'une vie, celui sur lequel l'athlète va construire son modèle économique. Ne pas les disputer, ça revient à ne pas pouvoir s'exposer, à le priver de contrat, de sponsors et donc de pouvoir vivre décemment".Q: Quelles seraient les conséquences pour Paris-2024 d'une éventuelle annulation ?R: "Elle constituerait un très mauvais signal. Elle ferait peser des incertitudes sur ceux de Paris. D'abord en termes de financement. Une partie du financement de Paris provient de la précédente olympiade. J'espère que ça a été relativement sécurisé. Cela peut aussi détourner certains sponsors de l'olympisme".Q: Cette pandémie peut-elle entraîner des surcoûts pour Paris-2024?R: "Je pense que les promoteurs de Paris ont ces éléments en tête, qu'ils sont en train d'analyser le surcoût éventuel que cela va générer. Le contexte a changé sans qu'on ait pu s'y préparer. Il est peut-être urgent de refaire une revue de projets, comme c'est prévu, pour voir quels sont les impacts négatifs ou positifs de cette crise sur l'organisation de Paris 2024. Mais, potentiellement, il pourra y avoir des surcoûts: nouvelles normes, autres organisations... S'il y a des surcoûts, on pourra voir s'ils peuvent être absorbés par la réserve +aléa+ prévue dans le budget. Sinon, il faudra voir comment ajuster et, pourquoi pas, réduire la voilure sur certains programmes et faire en sorte que la promesse que le budget ne dérape pas soit bien tenue".Q: Ciblez-vous un endroit particulier à réduire?R: "Il est difficile de cibler une infrastructure, c'est globalement le projet qui doit être revu, analysé au regard d'un contexte sanitaire, lequel a changé et ne sera pas forcément le même en 2024. C'est très compliqué car on ne connaît pas le contexte de 2024. Il faut pouvoir se dire, si cela arrive: on aura tout fait pour pouvoir disputer les Jeux. En sachant que si c'est le même qu'aujourd'hui, il y aura la même décision: ce sera report ou annulation".Propos recueillis par Rémy ZAKA
Il y a 5 ans et 49 jours

Récession confirmée pour l'économie française après un premier trimestre désastreux

Le produit intérieur brut français s'est contracté de 5,8% au premier trimestre, selon une première estimation dévoilée jeudi par l'Institut national de la statistique (Insee).Début avril, la Banque de France avait évalué ce recul à environ 6%.Il s'agit en tout état de cause de la baisse la plus forte dans l'historique des évaluations trimestrielles du PIB débuté en 1949. Et elle dépasse largement les reculs du premier trimestre de 2009 (-1,6%), dans la foulée du début de la crise financière de 2008, ou du deuxième trimestre de 1968 (-5,3%), marqué par les mouvements sociaux du mois de mai, précise l'Insee.Après le recul de 0,1% enregistré au dernier trimestre 2019, ce nouveau chiffre confirme que la France est bien entrée en récession.La chute de l'activité "est principalement liée à l'arrêt des activités +non essentielles+ dans le contexte de la mise en place du confinement à partir de la mi-mars", pour endiguer l'épidémie de Covid-19, explique l'Insee.L'économie est comme "un organisme placé sous anesthésie" et qui "n'assure plus que ses fonctions vitales", indiquait la semaine dernière l'Institut. "La moitié des salariés se trouvaient, fin mars, dans une entreprise dont l'activité s'est arrêtée ou a diminué de plus de moitié"."Les mesures de confinement mises en place le 17 mars se sont traduites par une chute sans précédent de la consommation de l'investissement et du solde commercial en mars", analyse l'assureur-crédit Euler Hermes dans une note.A premier trimestre, et malgré un début d'année plutôt positif, la consommation des ménages a ainsi reflué de 6,1%, alors que de nombreux commerces, les restaurants ou encore les cafés, ont été fermés sur décision du gouvernement. Sur le seul mois de mars, elle a plongé de 17,9%.L'investissement a reculé de 11,8% et le commerce extérieur s'affiche lui aussi en repli: -6,5% pour les exportations et -5,9% pour les importations.L'Insee ne publie pas de prévision pour l'ensemble de l'année 2020 mais elle a estimé que chaque mois de confinement amputerait la croissance de 3 points sur un an.Le gouvernement table lui à ce stade sur une chute du PIB de 8% cette année, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire ayant répété que la crise aurait un impact comparable à la grande dépression de 1929."Il faut être lucide sur le fait qu'une fois que le choc a été absorbé" il y a un risque de "multiplication des faillites" d'entreprises, d'impact "sévère" sur l'emploi, et de perte de marchés à l'export de la France, a-t-il prévenu mercredi.Déjà, les inscriptions à Pôle emploi ont connu une hausse historique en mars, après seulement deux semaines de confinement."cataclysmique"Le recul du premier trimestre "est un chiffre très impressionnant mais c'est presque une mise en bouche malheureusement qui nous prépare à un deuxième trimestre cataclysmique avec un mois et demi de confinement (...) et un déconfinement très progressif", a déclaré à l'AFP Mathieu Plane, économiste à l'OFCE.Pour tenter de limiter les dégâts, le gouvernement a lancé un plan de soutien massif de 110 milliards d'euros pour les entreprises et les salariés, ainsi qu'un dispositif de garanties de crédits jusqu'à 300 milliards.Malgré cela, le Premier ministre Edouard Philippe a mis en garde contre "le risque de l'écroulement" de l'économie française en annonçant mardi un déconfinement progressif à partir du 11 mai.Ce déconfinement est attendu avec une certaine impatience par de nombreuses entreprises, malgré les difficultés qui s'annoncent pour garantir des conditions de sécurité maximales.Le ministre de l'Economie a lui appelé "un maximum de Français" à reprendre le travail dès le 11 mai.La reprise "prendra du temps" en l'absence d'un retour à la normale immédiat de l'activité et de la prudence attendue de la part des ménages et des entreprises, a de son côté prévenu l'Insee.Le gouvernement planche déjà sur un plan de relance pour la rentrée, afin de stimuler la consommation et apporter une aide spécifique aux secteurs les plus touchés par la crise, en particulier le transport aérien, l'automobile ou le tourisme.
Il y a 5 ans et 49 jours

Coronavirus : les industriels du béton se dotent d'un guide de bonnes pratiques

SANTÉ. Les industriels du béton annoncent avoir mis au point un guide de bonnes pratiques pour encadrer les mesures sanitaires nécessaires contre la propagation du coronavirus. A l'image du document établi par l'OPPBTP pour la construction, d'autres secteurs se dotent d'un tel guide pour rassurer et inciter leurs entrepreneurs à relancer l'activité.
Il y a 5 ans et 49 jours

Covid-19 : cas concrets de reprise avec des chantiers de rénovation énergétique

Hellio s'engage aux côtés de ses entreprises partenaires en réalisant un tour de France pour les accompagner sur le terrain et leur apporter son soutien logistique avec la fourniture de matériel.Parmi elles, LMD Calorifuge et K&S RENOV HABITAT ont ainsi pu réaliser il y a quelques jours le calorifuge des réseaux hydrauliques, l'isolation des points singuliers en chaufferie, et l'isolation des planchers bas pour l'ensemble d'une copropriété à Boissy-Saint-Léger (94).« Afin d'anticiper la reprise du secteur qui s'annonce très importante, Hellio soutient l'activité sécurisée de nos artisans qui ont le matériel et qui peuvent travailler en toute sécurité », souligne Christophe Février, président et fondateur d'Hellio. « Rappelons que la reprise des chantiers d'économies d'énergie est une priorité pour le ministère de la Transition écologique et solidaire ».Dans le Val d'Oise, LMD Calorifuge, société créée en 2011 spécialisée en travaux de calorifuge et d'isolation de points singuliers, et KS RENOV Habitat, créée en 2014 spécialisée en isolation des planchers bas, ont décidé de poursuivre leur activité en adaptant leurs habitudes de travail. Ces entreprises sont partenaires d'Hellio depuis 5 ans, spécialiste des économies d'énergie de l'habitat qui accompagne les ménages dans leurs projets de rénovation énergétique, du conseil à la réalisation, en passant par leur financement.Continuité des chantiers dans le respect des consignes sécuritairesPour ces deux entreprises qui emploient chacune une dizaine de salariés, la continuité de leur activité était une nécessité :« Le Covid-19 aujourd'hui, cela représente 90% de baisse d'activité pour nos structures. Depuis la mi-mars nous n'avons fait que 3 chantiers, comparé aux 20 chantiers que nous aurions faits habituellement sur cette période », témoigne Mickaël Schmidt, gérant de LMD Calorifuge et KS RENOV HABITAT.Et sur le terrain, lors des interventions, plusieurs précautions sont prises pour assurer la sécurité des collaborateurs et des clients, dans le respect des gestes barrières et des consignes sanitaires transmises par l'OPPBTP.« Nos travaux se déroulant dans les parties communes des bâtiments, nous veillons à désinfecter toutes les poignées de porte qui ont été touchées. Nous demandons à nos collaborateurs de respecter absolument la distance de sécurité d'un mètre cinquante. Nous nous assurons également qu'ils se déplacent de manière individuelle, c'est-à-dire que lorsque deux opérateurs doivent se rendre sur un même chantier, ils doivent venir chacun avec leur camion pour ne pas être confinés dans le même véhicule », précise Mickaël Schmidt.Le principal frein vient du côté des copropriétaires qu'il faut réussir à convaincre afin de pouvoir réaliser les travaux :« Nous menons en amont un grand travail pédagogique afin de leur expliquer qu'il n'y aura pas de coexistence entre eux et nos salariés. Une fois que ces chantiers sont terminés, les membres du conseil syndical et les copropriétaires sont très contents de la réalisation des travaux qui ont pu se dérouler durant ce temps-là. »Soutien et évaluation de la situation des entreprises partenaires par HellioAfin de soutenir l'activité de ses entreprises partenaires et de veiller à leur sécurité, Hellio a entrepris un tour de France des chantiers qui ont repris.L'objectif : évaluer les freins de l'activité, soutenir les professionnels partenaires et les accompagner dans la reprise par une série de mesures de terrain : numéro vert dédié, lettre d'information hebdomadaire sur l'actualité fiscale et comptable du secteur, réorganisation des carnets de commande, fourniture de matériel sanitaire (gel hydro alcoolique, blouses et masques) et de travail (fourniture d'isolant, mise à disposition de véhicules de courtoisie, etc.).« En tant qu'entrepreneur, cela me tient à coeur d'être sur le terrain pour soutenir et évaluer la situation de nos entreprises et artisans partenaires. Hellio accompagne des centaines d'entreprises de travaux qui se lèvent tous les matins pour rénover l'habitat Français. Aujourd'hui, je suis là pour les soutenir dans la reprise des travaux en toute sécurité. Nous sommes prêts pour la reprise des chantiers et de mes équipes », insiste Christophe Février.Ce soutien et cet accompagnement du spécialiste des économies d'énergie sont appréciés par l'entreprise, comme en témoigne Mickaël Schmidt :« Hellio nous soutient durant cette période difficile en travaillant avec nous sur le contact au niveau des syndics pour rassurer les clients sur le fait que les travaux peuvent se réaliser en toute sécurité, pour les occupants et pour nos collaborateurs. Hellio nous simplifie également les dossiers administratifs pour la partie prise en charge des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) ».La rénovation énergétique, moteur de la continuité et de la reprise économiqueDe par la nature des travaux, la plupart des chantiers de rénovation énergétique se prête plus facilement au redémarrage. L'absence de co-activité, l'inoccupation de certains chantiers (en cours de construction ou autres : résidences secondaires, déménagements, etc.) ou encore la configuration des maisons qui permet d'accéder aux combles sans passer par l'espace habitable ou encore la faible fréquentation des parties communes dans les immeubles sont autant de facteurs favorables à une reprise en toute sécurité.« Nous pouvons continuer jusqu'à présent à travailler sur ce type d'intervention car les travaux se déroulent essentiellement dans les chaufferies, les parkings, les locaux de caves, des endroits finalement peu fréquentés par les habitants. Nous arrivons tôt le matin et partons tard donc la possibilité de croiser d'autres personnes est infime », explique Mickaël Schmidt.Les équipes d'Hellio indiquent que les appels des particuliers pour s'informer sur les programmes d'économie d'énergies sont particulièrement nombreux en ce moment. Preuve que la rénovation énergétique reste au coeur des préoccupations des Français.Et pour cause ! La poursuite des travaux de rénovation énergétique est la clé pour faire baisser les factures d'énergie des ménages en hausse pendant le confinement, mais aussi toute l'année !Les travaux réalisés il y a quelques jours sur cette copropriété concernaient le calorifuge des réseaux hydrauliques, l'isolation des points singuliers en chaufferie, et l'isolation des planchers bas. Ces trois opérations vont permettre aux copropriétaires d'économiser plus de 10 % sur la facture énergétique de la chaufferie.Laurent Michel, directeur général de l'énergie et du climat, l'a d'ailleurs confirmé dans sa lettre mensuelle sur les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), diffusée le 22 mars 2020 : dès la fin de crise, les CEE « doivent être un moteur de la relance ».
Il y a 5 ans et 49 jours

Architectes : 36 propositions de l'UNSFA pour relancer l'activité

PROPOSITIONS. L'Unsfa a publié ce jeudi 30 avril, 36 propositions pour un plan de reprise de l'activité. Des mesures visant la création d'un plan de relance ambitieux pour la filière, un soutien renouvelé des entreprises d'architecture aujourd'hui en difficulté et, enfin, permettant d'offrir une meilleure qualité de vie aux Français, en s'appuyant sur la création architecturale et l'innovation.
Il y a 5 ans et 49 jours

Consolidation du sol d'assise d'une habitation fissurée

Un pavillon victime de la sécheresseConstruite dans les années 70's, cette habitation individuelle du sud de la France présentait de multiples fissures sur ses façades et sur les murs de refends. Celles-ci, d'ampleur millimétrique à centimétrique, étaient devenues visibles sur l'extérieur et l'intérieur du bâtiment. Le phénomène s'est empiré en 2018 avec les fortes chaleurs sévissant dans la région. Les fissures se sont généralisées sur l'ensemble des murs porteurs de l'ouvrage. Résoudre ce problème par une intervention rapide, efficace, et pérenne était devenue une urgence pour les propriétaires, et la société URETEK® répondait parfaitement à ces besoins.Des injections de résine adaptées aux sols argileuxAu préalable, une étude du sol a été réalisée par le bureau d'étude d'ingénierie géotechnique OGéo. La typologie du sol, les réseaux sous terrain existants ainsi que le diagnostic sur l'origine des désordres affectant l'ouvrage ont été analysés.Le sol, de nature limono-argileuse avec des blocs calcaires, se caractérisait notamment par sa sensibilité aux phénomènes de dessiccation/réhydratation, cause principale du sinistre. Cela se traduisait alors par des tassements différentiels de fondations sous l'ensemble de l'ouvrage.Les équipes régionales d'URETEK® sont intervenues en consolidant le sol d'assise des fondations de la maison via le procédé d'injection de résine expansive, Deep Injections. Mis en œuvre sous l'ensemble de l'ouvrage, le traitement a été déployé sur 193 ml sous semelle, et jusqu'à une profondeur de 2,50 à 3,80 m par rapport au terrain aménagé. L'ampleur de cette intervention aura seulement nécessité 14 jours de travaux.L'effet des injections a renforcé les zones traitées à faible compacité et entraîné une meilleure répartition des charges pour assurer la stabilité de l'ouvrage.Au-delà d'avoir amélioré la portance moyenne du sol d'assise des fondations traitées, le traitement du sol par injection de la résine expansive URETEK® a eu pour but de limiter le phénomène de retrait/gonflement des formations à dominante argileuse :Grâce au compactage du terrain résultant de la forte expansion de la résine qui entraîne une diminution de l'indice des vides,Avec le remplissage et l'imperméabilisation des macro-vides résiduels sous fondations ainsi qu'au sein des fissures de retrait.Le chantier s'est déroulé avec un contrôle scrupuleux des injections, de 2 manières :Par un contrôle laser permanent pendant les injections, jusqu'à réaction de l'ouvrage en surface indiquant un sol devenu suffisamment porteur, Par des tests pénétrométriques réalisés avant/après les injections, pour confirmer l'amélioration de la résistance du sol traité.Le + URETEK®Dans le cadre de la période d'observation post-traitement, une injection d'appoint (prévue dans le contrat initial) a été réalisée ponctuellement pour reprendre un léger tassement différentiel localisé de fondations apparu après la première intervention.Inventeur de la technique d'amélioration des sols par injection de résine expansive.Première entreprise ayant obtenu un avis technique validé par le CSTB depuis 2015.Les bénéfices pour le sinistréTechnique peu invasive et quasiment non-destructiveAucun déménagementRéutilisation immédiate du bâtimentChantier propre, peu de poussièresSérénité budgétaireEn savoir plus :Deep Injections : cliquez iciDécouvrez les solutions URETEK® : cliquez ici
Il y a 5 ans et 49 jours

Covid-19 : Le Sénat mise sur la transition énergétique comme levier du plan de relance d'après-crise

Cette audition s'inscrit dans le cadre des travaux de suivi, conduits par Daniel Gremillet, Roland Courteau et Daniel Dubois, de l'impact de cette crise sur le secteur de l'énergie.Après avoir entendu une cinquantaine d'acteurs de terrain depuis le début du mois d'avril (grands énergéticiens, fédérations professionnelles de l'électricité, du gaz et du pétrole, représentants de la rénovation énergétique, des énergies renouvelables – EnR – et des biocarburants, Commission de régulation de l'énergie, Médiateur de l'Énergie, Agence internationale de l'énergie) et relayé leurs difficultés auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, les sénateurs ont jugé indispensable d'engager une réflexion prospective sur le devenir de notre transition énergétique.Aussi ont-ils échangé hier sur le rôle de la transition énergétique dans la stratégie de sortie de crise : pour les sénateurs, l'accompagnement de la rénovation énergétique, le soutien aux projets d'EnR, la lutte contre la précarité énergétique sont autant de leviers mobilisables pour relancer l'activité économique tout en atteignant nos objectifs énergétiques et climatiques.Les sénateurs ont rappelé leur vive inquiétude quant au cap poursuivi dans ces domaines par le Gouvernement, regrettant la difficile application de la loi « Énergie-Climat », pourtant adoptée dans un esprit de consensus par le Sénat en septembre dernier.Pour Daniel Gremillet, « six mois après l'adoption de cette loi, dont j'étais le rapporteur pour notre commission, tout reste à faire : une ordonnance a été adoptée, une dizaine de mesures règlementaires prises, un rapport publié. La programmation pluriannuelle de l'énergie et la stratégie nationale bas-carbone viennent tout juste d'entrer en vigueur. Il faudra attendre l'été pour que le Gouvernement prenne l'ordonnance sur les centrales à charbon … davantage encore pour celle sur l'hydrogène. C'est trop peu et trop lent ».Les sénateurs ont regretté la faiblesse des moyens budgétaires et fiscaux mis par le Gouvernement en regard de nos objectifs énergétiques et climatiques, plaidant pour leur revalorisation significative à l'occasion des prochains textes financiers.Pour Roland Courteau, « il devient urgent de se pencher sur les difficultés rencontrées par nos énergéticiens en termes de trésorerie et d'investissement, de soutenir le secteur de la rénovation énergétique, en corrigeant les effets de bord de la dernière réforme du crédit d'impôt pour la transition énergétique et en améliorant les aides aux particuliers et aux entreprises, d'accompagner les ménages en situation de précarité énergétique, en revalorisant le chèque énergie. Lors du dernier collectif budgétaire, le Sénat a adopté, à notre initiative, plusieurs amendements pour soutenir les filières très sinistrées des biocarburants : il est regrettable que le Gouvernement ne les ait pas conservés in fine ».Enfin, les sénateurs ont relevé que la transition énergétique ne peut réussir sans indépendance énergétique, insistant sur la nécessité de garantir notre sécurité d'approvisionnement mais aussi notre souveraineté industrielle, dans un secteur aussi stratégique que celui de l'énergie.Pour Daniel Dubois, « l'atteinte de la neutralité carbone d'ici à 2050 nécessite un soutien réaffirmé à la filière nucléaire, qui continuera de produire la moitié de notre mix en 2035, et doit donc demeurer compétitive et attractive. À cet égard, la chute des prix de l'électricité, les difficultés de la régulation et les reports d'investissements observés dans cette filière ne constituent pas une bonne nouvelle pour le climat. Une relocalisation des EnR est également nécessaire : nous attendons beaucoup de l'application du critère du bilan carbone dans les futurs appels d'offres – apport sénatorial majeur à la loi “Énergie-Climat” – qui permettra à nos industriels français et européens de lutter contre le dumping environnemental ».Les sénateurs poursuivront leurs travaux de suivi tout au long de la crise et formuleront des préconisations concrètes pour inscrire la transition énergétique au cœur du plan de relance.
Il y a 5 ans et 49 jours

La nouvelle gamme TZ de Panasonic se connecte avec le futur

Une taille ultra compacte pour des utilisations spécifiques La nouvelle gamme TZ est toujours plus compacte. Avec seulement 779 mm de largeur l'unité intérieure peut facilement être installée au-dessus d'une porte, ce qui en fait la solution idéale pour les espaces limités dans les logements. Cette largeur est disponible pour les systèmes d'une puissance de 2 à 5 kW.Un contrôle intelligent avancé Panasonic a été l'un des premiers fabricants à intégrer le Wi-Fi dans l'ensemble de ses unités murales compatibles en multi-split, et la nouvelle unité TZ ne fait pas exception. Une fois connectée à Internet, elle peut être commandée de n'importe où et à n'importe quel moment au moyen de l'application Comfort Cloud de Panasonic. C'est la solution idéale pour contrôler la climatisation à distance.De plus, grâce à Comfort Cloud de Panasonic, les unités intérieures peuvent être connectées aux principaux assistants vocaux du marché pour une commande simple et pratique. Ainsi, les propriétaires qui ont l'habitude de contrôler leur éclairage et leur audio à la voix peuvent définir des préférences pour leurs climatiseurs muraux TZ afin de créer l'environnement souhaité.Des améliorations concrètes pour l'utilisateur final Le système de chauffage et de climatisation a été pensé pour simplifier la vie de l'installateur, et amélioré pour l'utilisateur final. Panasonic a installé un filtre qui capture les particules fines dangereuses (PM2,5) qui se trouvent en suspension dans l'air – y compris la poussière, les polluants dangereux, les pollens, la saleté, la fumée et les gouttelettes liquides. Le filtre capture et réduit les particules, ce qui permet de maintenir la qualité de l'air de la pièce.Panasonic propose aussi une solution extrêmement silencieuse. Le bruit du fonctionnement de l'unité intérieure du climatiseur Inverter a encore été réduit. L'Inverter fait varier en permanence la puissance de sortie pour permettre un contrôle plus précis de la température en n'émettant pas plus de 20 dB(A)[1] - de quoi passer une nuit paisible dans un confort optimal.L'unité murale TZ est dotée du système Aerowings de Panasonic : deux lames indépendantes concentrent le flux d'air pour rafraichir une pièce le plus rapidement possible et permettent de distribuer l'air frais de manière homogène dans l'ensemble de la pièce pour un confort maximum. Les doubles lames Aerowing permettent de mieux contrôler la direction du flux d'air pour éviter qu'aucune zone ne subisse un courant d'air glacé permanent.NOUVELLE télécommande sans fil Grâce à un accès rapide aux fonctionnalités clés et à un couvercle coulissant révélant d'autres options, la télécommande Sky rétro-éclairée offre un contrôle facile et intuitif. Les utilisateurs apprécieront le design innovant de la télécommande élégante et profilée qui est dotée d'un écran plus large et d'une interface plus conviviale, facilitant l'accès à la plupart des fonctions courantes.Ergonomique, la télécommande apporte de nombreux avantages supplémentaires au système de climatisation. Le nouvel écran rétro-éclairé, permet d'effectuer les réglages même dans l'obscurité.Un produit repensé pour une installation et une maintenance faciles Les nombreuses innovations apportées à la gamme TZ ont permis de réduire considérablement le temps d'installation. Le climatiseur TZ est si léger et compact qu'une seule personne suffit pour l'installer. L'unité est également dotée d'une plaque de fixation renforcée qui offre davantage de stabilité et de solidité pour réaliser une installation simple et soignée. Elle offre enfin une vue et un accès pratiques au tuyau d'évacuation et aux inserts de câblage et 13 mm supplémentaires ont été dégagés pour la tuyauterie afin que les installateurs puissent désormais vérifier que les tubes et isolations sont solidement et soigneusement fixés.Conçue spécifiquement pour les installateurs, l'unité dispose d'une grille frontale facile à enlever pour un accès direct à l'intérieur. Les composants internes ont également été restructurés pour faciliter la maintenance, et l'électronique et les câbles sont désormais implantés sur un seul côté de l'unité.Nouvelle gamme de modèles TZ : Unités intérieures pour single split et multi split : CS-TZ20/25/35/42/50/60/71WKEW Unités intérieures pour multi split uniquement : CU-MTZ16WKE Unités extérieures pour single split : CU-TZ20/25/35/42/50/60/71WKE[1] Modèles 2,5 et 3,5 kW : en mode silencieux alors que l'appareil fonctionne en mode refroidissement avec une faible vitesse de ventilateur.
Il y a 5 ans et 49 jours

Relance progressive de l’activité chez Sothoferm

Fermé depuis le 17 mars dernier, le numéro un du volet battant en France a relancé son activité le lundi 27 avril.
Il y a 5 ans et 49 jours

Les solutions de ventilation Ubbink choisies pour la construction d'une maison neuve à Sennecey-lès-Dijon

Les solutions et le savoir-faire Ubbink permettent ainsi d'assurer une parfaite ventilation de la maison, avec un minimum de pertes de charge, et de récupérer l'énergie nécessaire au fonctionnement du chauffe-eau thermodynamique.Une réflexion en amont pour une construction optimaleSitué à Sennecey-lès-Dijon (21), le chantier consiste à construire un pavillon contemporain au sein d'un lotissement. Cette réalisation s'inscrit parfaitement dans la démarche du constructeur ESYOM, précurseur dans la construction de maisons à basse consommation énergétique et dont le mot d'ordre est de trouver les solutions d'innovation pour des maisons plus abordables, plus confortables et plus sécuritaires. Dans ce cadre, ESYOM a proposé l'installation d'un chauffe-eau thermodynamique sur air extrait. Ce type d'installation permet de récupérer les calories issues de la ventilation pour assurer le fonctionnement du chauffe-eau et réaliser ainsi des économies importantes. Par ailleurs, l'installation devait répondre à plusieurs exigences : facilité de mise en œuvre, maîtrise de la qualité de la pose, performance et pérennité.Des systèmes performants alliant qualité d'air optimale et confortAinsi, ESYOM s'est tourné vers Ubbink et les produits des gammes AERFOAM et AIR EXCELLENT. Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les systèmes Ubbink apportent une réponse appropriée (conduits semi-rigides ne s'écrasant pas; intérieur des conduits double peau et lisse, limitant les pertes thermiques, les pertes de charge et les nuisances acoustiques ; système démontable pour une facilité d'entretien ; éléments se clipsant entre eux pour une connexion parfaitement étanche...).Ainsi, pour le réseau de ventilation allant du chauffe-eau thermodynamique au mur pour l'extraction de l'air : c'est la gamme de conduits et coudes de ventilation AERFOAM qui a été choisie. En effet, celle-ci est largement plébiscitée par les professionnels pour son installation facile et pratique. Les éléments AERFOAM sont en Polyéthylène Expansé (EPE), matériau léger, aux propriétés techniques performantes et se fixent à l'aide de colliers de fixation robustes et se connectent avec des raccords garantissant l'étanchéité entre les éléments du système. Depuis début 2019, la gamme AERFOAM affiche une empreinte carbone nulle grâce à l'utilisation de ressources organiques dans son processus de fabrication. Elle contribue ainsi à la réduction des émissions de CO².Pour le réseau de distribution d'air du chauffe-eau thermodynamique, c'est le réseau circulaire composé de la gamme AIR EXCELLENT qui a été sélectionné. Celui-ci permet en effet de maîtriser une ventilation performante tout en améliorant la qualité de l'air. Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les systèmes disposent de conduits-semi rigides pour contourner le risque d'écrasement, limitent les pertes thermiques et les pertes de charge. Facile à installer, la gamme AIR EXCELLENT est intuitive et se pose sans outil.« Pour toutes nos maisons chauffées au gaz depuis 3 ans, le choix d'un réseau semi-rigide s'est imposé comme une évidence. En effet, celui-ci permet une ventilation performante et, ainsi, une amélioration de la qualité d'air intérieur. En comparaison à un réseau souple, qui aura tendance à s'encrasser et à favoriser la condensation et donc à entraîner des pertes de charge, les produits Ubbink permettent de parer à ces problématiques et donc de répondre à toutes nos attentes », indique Gilles Moyse, promoteur du chantier. La pose du réseau n'a nécessité qu'une journée. La fin du chantier est prévue pour mai 2020.Fiche identité chantierProjet : Résidence Sennecey-lès-Dijon / Maisons ESYOMLivraison travaux : Mai 2020Promoteur : Gilles Moyse - ESYOM
Il y a 5 ans et 49 jours

Matériaux : les propositions de l’Unicem pour une reprise à court terme de l’activité

L’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction a publié une série de propositions de court terme, en vue d’assurer la sauvegarde des entreprises de la fédération, majoritairement des TPE et PME.
Il y a 5 ans et 49 jours

AIMCC : Sept leviers pour la relance économique

L’AIMCC et le Comité stratégique de filière “Industrie pour la construction” (CSF IPC) proposent 7 leviers pour la relance économique du secteur. [©Technologie photo créé par rawpixel.com – fr.freepik.com] L’AIMCC et le Comité stratégique de filière “Industrie pour la construction” (CSF IPC) proposent 7 leviers pour la relance économique du secteur. Pour formuler ce plan, l’AIMCC (animatrice du CSF IPC) s’est appuyée sur une conviction forte. Ainsi, l’écologie et l’économie doivent converger pour sortir au plus vite de la crise. « Nos propositions conjuguent 3 priorités, explique Hervé de Maistre, président du CSF IPC. Soutenir les plus fragiles, redonner rapidement de l’activité aux entreprises françaises et accélérer la transformation environnementale. Pour réussir le plan de relance, il nous faut des décisions audacieuses, un état d’esprit collectif et une gouvernance efficace. Les industriels sont conscients de la gravité de la situation. Prêts à assumer leurs responsabilités aux côtés des pouvoirs publics et de tous les acteurs de la construction. » En dehors des 7 mesures qu’ils proposent, l’accélération de la reprise est une condition importante pour l’AIMCC et le CSF IPC. « Plus la reprise sera lente, plus les capacités d’actions seront exposées à un risque. Ceci, dans un contexte concurrentiel toujours aussi vif malgré la crise. » 1 – Une relance de la construction durable et résiliente par la mobilisation de l’épargne privée. Pour José Mickael Chenu, directeur marketing du groupe Vinci et vice-président d’EGF BTP. « La mobilisation de l’épargne privée est une voie possible de la relance rapide. Notamment dans le logement neuf, mais aussi, par exemple, pour le plan Campus Universités et autres… » 2 – La massification de la rénovation énergétique performante des maisons individuelles et des quartiers pavillonnaires. « Il est indispensable de créer une nouvelle dynamique en matière de rénovation énergétique des maisons individuelles, explique Eric Mestrallet qui anime le pilote industriel en Ile-de-France en lien avec la Métropole du Grand Paris du projet “Parcours rénovation énergétique performante”. Elle est bien souvent assimilée à un angle mort des politiques publiques depuis une dizaine d’années. De plus, c’est un enjeu pour générer de la valeur ajoutée locale, pour valoriser le patrimoine des propriétaires occupants et pour apporter, dans certains cas, une réponse à la dégradation des quartiers. Et ainsi, éviter le sentiment de “relégation” de nos concitoyens. » 3 – La promotion du Made in France. « Il est indispensable de faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et la “mieux-disance”, commentent Nicolas Vuillier, président de l’Unicem, et Didier Petetin, directeur général de Vicat. Et ainsi, promouvoir la création de la valeur ajoutée locale par nos industries et l’ensemble de nos partenaires au sein de la filière, synonyme de résilience et d’indépendance. » 4 – La prise en compte prioritaire des ménages démunis pour une rénovation BBC aidée et financée à 100 %. « Il faut penser aussi et surtout aux ménages les plus démunis, indique Jacques Pestre, administrateur de la FNBM qui pilote les actions relatives à la rénovation de l’habitat. Ils sortiront de la crise, encore plus fragilisés et le projet : “100 % aidé et financé” sera réservé aux ménages des 3 premiers déciles. » 5 – Chèque “rénovation travaux” à destination de tous les ménages. « Il faut relancer la machine rapidement et tenir compte des leçons de la dernière relance post-crise 2008. Explique Hugues Vérité, délégué permanent du CSF IPC et délégué général de l’AIMCC. Et ce, en redémarrant encore plus vite. La création éventuelle d’une “monnaie verte” constituerait une des pistes les plus efficaces. » 6 – L’industrialisation des solutions de rénovation performante pour les universités et les pools de bâtiments publics. « Ainsi, il est possible en moins de 6 mois de lancer un programme ambitieux de rénovation globale à l’échelle de 10 universités inscrites dans leur territoire 1. Déclare Patrice Barbel, enseignant-chercheur et conseiller patrimoine au sein de la Conférence des présidents d’universités. Ce sont elles qui seront les étalons d’un déploiement généralisé – 15 000 000 m2 – sur 3 ans dans le cadre d’une industrialisation des solutions d’efficacité énergétique performantes et volontaristes. Mais aussi, de financements innovants de types “fonds d’amorçage” associés à des fonds de garantie. L’objectif cible sera de stabiliser un modèle économique soutenable et vertueux pour l’ensemble des acteurs des territoires : bilan carbone, mobilité, emplois, innovations, formations, recherche… » 7 – Le respect dans les relations commerciales, un gage de confiance réciproque essentiel pour une reprise accélérée. « Il faut de la loyauté dans les relations commerciales, conclut Philippe Gruat, administrateur de l’AIMCC et référent PME-TPE-ETI au sein du Conseil national de l’industrie pour la filière. Notamment sur le respect des délais de paiement et des créances entre acteurs de la chaîne, soit la pierre angulaire d’une reprise et d’une relance fondées sur la confiance de toute la filière. »
Il y a 5 ans et 49 jours

Rémi Bouchié, nouveau directeur du CSTB’Lab

Etienne Crépon, président du CSTB, a nommé Rémi Bouchié à la direction du CSTB’Lab. [©CSTB] Etienne Crépon, président du CSTB, a nommé Rémi Bouchié à la direction du CSTB’Lab, accélérateur d’entreprises innovantes dans le domaine de la construction et de l’aménagement. Ses missions ? Rémi Bouchié poursuivra le développement stratégique du CSTB’Lab. Il pilotera la sélection de nouvelles entreprises innovantes, travaillant sur les thématiques émergentes de la construction. L’objectif 2020 pour l’accélérateur est d’accueillir une douzaine de nouvelles start-up. De plus, Rémi Bouchié accompagnera les actions engagées pour renforcer les synergies entre les start-up et le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment). Et leurs échanges avec les acteurs de la construction. Des travaux de recherche pourront, par exemple, être engagés par le CSTB, dans le cadre d’une collaboration avec une start-up de l’éco-système CSTB’Lab. Ceci, dans la mesure où les thématiques seraient cohérentes avec sa programmation scientifique. Le parcours de Rémi Bouchié Ce nouveau modèle de coopération constituera un levier de création de valeur pour le secteur du bâtiment. « L’accompagnement transversal proposé aux start-up par le CSTB’Lab les aide à développer leurs solutions et à rencontrer leur marché. Mais et surtout, leur dynamisme et leurs idées sont de formidables atouts pour le CSTB, souligne Rémi Bouchié. Et ce, pour faire progresser l’innovation et les connaissances. Développer avec ces jeunes pousses des coopérations structurantes contribuera à renforcer les synergies entre la recherche et l’innovation technologique. Et sera bénéfique pour l’ensemble de la filière. Je suis heureux d’accompagner cette évolution, en rejoignant le CSTB’Lab qui apporte des réponses concrètes aux besoins et enjeux du bâtiment et de la ville de demain. »  Diplômé en génie énergétique et environnement (GEN), option génie des systèmes thermiques, Rémi Bouchié, 36 ans, rejoint la direction “Enveloppe, Isolation et Sols” du CSTB en 2006. Depuis 2017, il y dirige une équipe d’experts en transferts hygrothermiques des composants d’enveloppe des ouvrages. 
Il y a 5 ans et 49 jours

Radiateurs électriques Acova Zenia : un design révolutionnaire pour une nouvelle vision du sèche-serviettes

Dernier né de la collection Signature rassemblant les appareils de la marque aux designs les plus contemporains, originaux et aux fonctionnalités innovantes, le radiateur sèche-serviettes électrique Acova Zenia allie gain de place et discrétion. Conçu sous la forme d’un « meuble sèche-serviettes chauffant » avec 3 configurations d’installation, il sèche les serviettes dissimulées dans leur rangement et offre une chaleur douce et réactive dans la salle de bains par un double système de chauffage. Un concept inédit « trois-en-un » Grâce à sa conception révolutionnaire, Acova Zenia est bien plus qu’un sèche-serviettes. Au design épuré et moderne, Acova Zenia est un meuble chauffant : deux barres porte-serviettes sur la surface intérieure de la porte permettent de dissimuler les serviettes et de les maintenir à bonne température tout en chauffant la salle de bains. Solution trois-en-un élégante, il remplit alors 3 fonctions : rangement, chauffage et porte-serviettes. Un double système de chauffe pour une chaleur douce et réactive Ingénieux, Acova Zenia intègre un double système de chauffage : . un soufflant (1000 Watts) totalement intégré et invisible pour le chauffage de la salle de bains, . et une porte chauffante en verre de sécurité (225 W) à rayonnement infrarouge , qui peut s’ouvrir à droite ou à gauche suivant le modèle choisi. Pour un confort de chauffe absolu, le soufflant peut être allumé selon les besoins et assure une montée en température de plusieurs degrés en quelques minutes. Chaleur douce et réactive sont ainsi obtenues dans la pièce avec Acova Zenia. Trois configurations d’installation Caméléon, le meuble sèche-serviettes électrique Acova Zenia, aux dimensions compactes (H 100 x L 45 cm), offre 3 configurations d’installation : . en applique sur un mur, . encastré dans une cloison sur un châssis pour allier discrétion et gain de place, . intégré dans le meuble de salle de bains de la collection Sana de Burgbad (colonne de 1,76 m ou mi-colonne de 1,02 m de haut). Disponible en blanc et en noir, Acova Zenia se marie harmonieusement avec le meuble Sana de Burgbad, proposé dans plus de 70 finitions. Pratique : le pilotage au doigt et à l’œil Le réglage du chauffage et du séchage s’effectue via une interface de commande tactile intégrée sur la façade avant de la porte ou via l’application mobile Acova Connect (Bluetooth). 4 modes sont disponibles au choix : . confort : chauffage de la surface frontale, . Boost : chauffage en marche forcée grâce au soufflant, . préchauffage : seul le soufflant fonctionne pour bénéficier de serviettes agréablement préchauffées en quelques minutes à la sortie du bain ou de la douche, . séchage rapide et hygiénique des serviettes à l’aide du soufflant. http://www.acova.fr
Il y a 5 ans et 49 jours

Vracs de l’Estuaire ouvre une nouvelle page sur la toile pour renforcer la proximité avec ses clients

Depuis son implantation en France en 2016, Vracs de l’Estuaire, cimentier appartenant au groupe familial marocain Cimat-Cimaf, place au cœur de sa stratégie de développement, l’écoute, l’agilité et la réactivité pour offrir des solutions constructives, fiables et compétitives à ses clients. Après avoir adapté son organisation pour continuer à livrer ses clients en cette période de crise sanitaire et de confinement, Vracs de l’Estuaire renforce son écosystème digital pour rester au plus proche d’eux. La refonte du site internet et l’ouverture d’une page LinkedIn illustrent l’engagement du cimentier agile auprès de ses partenaires. Un site internet aux couleurs de la nouvelle identité visuelle Aux couleurs de sa nouvelle identité visuelle et de sa signature de marque, le site internet vracsdelestuaire.fr incarne le positionnement singulier de Vracs de l’Estuaire : « le nouveau cimentier agile », une alternative pour les acteurs du BTP en quête de souplesse. Véritable vitrine de l’entreprise, il démontre, au travers de ses différentes rubriques et du blog intitulé « notre magazine », les engagements, l’offre et l’expertise de Vracs de l’Estuaire. Les réalisations témoignent de la confiance accordée par les plus grands acteurs du BTP à ce nouveau cimentier. Une présence sur les réseaux sociaux Pour compléter la refonte de son site internet, développer sa visibilité comme marque employeur et créer une véritable communauté autour de son activité, Vracs de l’Estuaire vient d’ouvrir une page LinkedIn qui compte déjà près de 400 abonnés. Le contenu est porté par des collaborateurs de l’entreprise. Un compte Twitter complètera ce dispositif dans les prochains mois. Vracs de l’Estuaire en bref Implantée dans la zone industrialo-portuaire du Havre, l’usine de broyage de clinker de Vracs de l’Estuaire produit une gamme de ciments labélisés CE et NF destinés aux centrales à béton, aux usines de préfabrication et aux négoces de matériaux. En 24 heures, les ciments sont livrés en vrac dans un rayon de 350 km depuis le site. Pour le conditionnement en sacs de 35 kg ou 25 kg, le délai de livraison est de 5 jours au maximum. Avec ce nouvel écosystème digital et son engagement quotidien auprès des professionnels du BTP, Vracs de l’Estuaire démontre son agilité et établit une relation de proximité et de confiance avec ses actuels et futurs clients. http://www.vracsdelestuaire.fr
Il y a 5 ans et 49 jours

Rémi Bouchié, nouveau Directeur du CSTB'Lab

Âgé de 36 ans, diplômé de l'Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Lyon, Rémi Bouchié accompagnera le développement stratégique du CSTB'Lab. Il poursuivra et pilotera notamment les réflexions et actions engagées pour renforcer les coopérations entre les jeunes pousses et le CSTB, dans un objectif de création de valeur pour le secteur du bâtiment.Une vision large de la construction, associant recherche, innovation et techniqueDiplômé en Génie Énergétique et Environnement (GEN), option Génie des Systèmes Thermiques, Rémi Bouchié rejoint la direction Enveloppe, Isolation et Sols du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) en 2006.Ingénieur Recherche et Expertise, il participe notamment à la recherche de solutions d'évaluation innovantes pour la performance énergétique des bâtiments, à l'élaboration des règles de calcul supports pour l'application de la RT 2012 (Règles Th-Bât), ainsi qu'à la réalisation de normes européennes au sein du groupe CEN TC 89.Depuis 2017, il dirige au CSTB une équipe d'experts en transferts hygrothermiques des composants d'enveloppe des ouvrages. Chargée notamment d'accompagner les entreprises dans leur parcours d'innovation, l'équipe aide ces-dernières à évaluer l'intégrabilité de leurs solutions et limiter les risques de pathologies.Ces différentes missions ont permis à Rémi Bouchié de développer une forte expertise et une vision transversale des enjeux de la construction, associant recherche, innovation et technologie. C'est en s'appuyant sur ce parcours pluridisciplinaire que Rémi Bouchié prend aujourd'hui la Direction du CSTB'Lab.Les missions de Rémi Bouchié au sein du CSTB'LabRémi Bouchié poursuivra le développement stratégique du CSTB'Lab. Il pilotera ainsi la sélection de nouvelles entreprises innovantes, travaillant sur les thématiques émergentes de la construction (économie circulaire, transition numérique, industrialisation de la rénovation thermique, etc.). L'objectif 2020 pour l'accélérateur est d'accueillir une douzaine de nouvelles start-up.Il accompagnera également les actions engagées pour renforcer les synergies entre les start-up et le CSTB, et leurs échanges avec les acteurs de la construction. En effet, au-delà de l'accompagnement transversal proposé par le CSTB'Lab', l'objectif est aujourd'hui d'évoluer vers davantage de co-développements avec les innovateurs, dans une logique de partenariats « gagnant-gagnant ». Des travaux de recherche pourront par exemple être engagés par le CSTB, dans le cadre d'une collaboration avec une start-up de l'écosystème CSTB'Lab, dans la mesure où les thématiques seraient cohérentes avec sa programmation scientifique.Ce nouveau modèle de coopération, complémentaire à l'accompagnement scientifique et technique fondamental du CSTB'Lab, constituera un nouveau levier de création de valeur pour le secteur du bâtiment, comme le souligne Rémi Bouchié :« Si l'accompagnement transversal proposé aux start-up par le CSTB'Lab les aide à développer leurs solutions et rencontrer leur marché, leur dynamisme et leurs idées sont aussi de formidables atouts pour le CSTB, pour faire progresser l'innovation et les connaissances. Développer avec ces jeunes pousses des coopérations structurantes contribuera à renforcer les synergies entre la recherche et l'innovation technologique et sera bénéfique pour l'ensemble de la filière. Je suis heureux d'accompagner cette évolution en rejoignant le CSTB'Lab qui apporte des réponses concrètes aux besoins et enjeux du bâtiment et de la ville de demain. »
Il y a 5 ans et 49 jours

Le Groupe Millet reprend progressivement son activité

La priorité : la sécuritéLe plan de reprise du Groupe MILLET a été établi pour assurer en priorité la sécurité de ses collaborateurs, et respecter les nombreuses mesures préconisées par le gouvernement. Il a été finalisé dès la fin du mois de mars et validé par son Comité Social et Économique.Dès le 1er Avril les équipes de production du Groupe MILLET ont repris progressivement le travail sur un rythme de 70 à 80% de ses capacités, dans le respect des nouvelles règles, à savoir respect des gestes barrières, distances entre salariés, usage de masques obligatoire, mise à disposition de gel hydroalcoolique et de produits désinfectants pour leur poste.Pour éviter les rassemblements le covoiturage est interdit, les arrivées se font en décalé, suppression des vestiaires et du pointage, espacements dans les salles de repas. Les cantines et toilettes sont désinfectées plusieurs fois par jour par une société extérieure afin de limiter les risques.Des équipes qui ont répondu présentAfin d'assurer l'accompagnement de ses clients, le Groupe a mis à disposition de ses salariés le matériel nécessaire au télétravail, prioritairement pour le service clients.L'application M Connect (disponible sur IOS et Android), est idéale pour informer les clients de l'état de leurs commandes en temps réel.Face à cette situation sans précédent, Le Groupe MILLET est fier de l'implication de ses équipes qui ont su s'adapter rapidement.Le Groupe MILLET est prêtLe redémarrage ayant confirmé l'efficacité des mesures prises, les capacités de production du Groupe MILLET sont opérationnelles à plus de 90%. L'ensemble du Groupe est désormais mobilisé et prêt pour traiter, fabriquer et livrer les prochaines commandes de ses clients.L'actualité évolue au fil des jours, le Groupe MILLET continuera de faire preuve d'agilité pour garantir la santé de tous ses salariés, préserver l'emploi et aider ses clients à reprendre leur activité au plus vite en garantissant un service optimal.
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : 11,3 millions de Français en chômage partiel

Il n'y aura "pas un couperet le 1er juin" pour le dispositif d'activité partielle mais "le taux de prise en charge de l'État sera probablement un peu moins important" au-delà de cette date, a-t-elle dit, sans plus de précision chiffrée.Cela concerne 890.000 entreprises.Interrogée sur le coût du chômage partiel (24 milliards d'euros), alors que certains députés de l'opposition jugent qu'il est sous-estimé par le gouvernement, elle a indiqué qu'elle avait "répondu à l'Assemblée"."Quand une entreprise déclare qu'elle va utiliser le chômage partiel, elle le déclare souvent pour tous ses salariés et pour trois mois complets alors qu'en fait ils vont reprendre au bout de quelques semaines", a-t-elle dit."On sait que c'est toujours des chiffres moins importants que ce qui était déclaré", a-t-elle dit, qualifiant de "vraisemblable" les 24 milliards d'euros.Comme on lui demandait si les parents qui doivent garder leurs enfants en raison des rentrées progressives dans les établissements scolaires allaient continuer à être indemnisés, la ministre a répondu positivement.Entre le 15 mars et jusqu'au 1er mai, ces parents bénéficient d'indemnités journalières via un arrêt maladie et vont basculer au 1er mai dans un système de chômage partiel.Le ministère anticipait jusqu'à présent que cela dure jusqu'à la reprise du 11 mai."Le système restera en l'état tout le mois de mai", a dit la ministre. "A partir du 1er juin, il faudra une attestation de l'école", a-t-elle ajouté.Interrogée sur l'assurance chômage, elle s'est bornée à répéter qu'il "fallait regarder s'il y avait des règles à adapter".Tous les syndicats demandent à l'exécutif de renoncer à une réforme jugée très sévère et dont une partie est déjà entrée en vigueur en novembre dernier.Interrogée sur une "année blanche" demandée par les intermittents du spectacle à travers plusieurs pétitions, elle a répondu que "la crise est malheureusement dans tous les secteurs", et fait état de "réunions de travail avec le ministère de la Culture".Quant à la reconnaissance du Covid-19 comme maladie professionnelle, pour l'instant décidée pour les soignants uniquement, elle a indiqué: "C'est un sujet dont on a discuté avec les partenaires sociaux".FO et la CFDT réclament qu'elle soit reconnue pour les autres professions. La Fnath (association des accidentés de la vie) et l'Association nationale des victimes de l'amiante sont insatisfaites également.
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : Le gouvernement appelle "un maximum de Français" à reprendre le travail le 11 mai

"Mon message est très simple: il faut que nous nous retroussions les manches tous ensemble", a affirmé sur LCI le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, au lendemain de la présentation du plan de déconfinement par le Premier ministre Édouard Philippe.A l'image du chef du gouvernement, le ministre a appelé à "poursuivre le télétravail" dans "les entreprises où il y a beaucoup de salariés et où il est encore possible", qualifiant cette mesure "d'appropriée pour que les choses se fassent progressivement avec le maximum de sécurité sanitaire".Il a aussi appelé les commerces qui rouvriront leurs portes le 11 mai à "prendre des mesures de précaution. Il faudra des guides de bonnes pratiques dans tous les commerces", a-t-il estimé.M. Le Maire a notamment jugé "normal" que "l'entrepreneur fournisse les masques quand il est nécessaire" à ses salariés."Il faut reprendre le travail et il faut qu'un maximum de Français reprennent le travail", a-t-il ajouté, multipliant les appels à la solidarité et ayant parfois recours au terme de "nation" pour inciter ses concitoyens à se mobiliser."Le retour à l'activité est indispensable pour la nation française. Nous devons retourner au travail, nous devons reprendre notre activité et nous devons le faire tous ensemble", a-t-il insisté.Dans son discours de la veille devant les députés, M. Philippe avait mis en garde contre "le risque de l'écroulement" de l'économie française si le déconfinement n'était pas mis en oeuvre "progressivement, prudemment".Pour cette année, le gouvernement table sur une forte récession avec une chute du PIB de 8%, la dégringolade la plus brutale depuis 1945."Il faut que ce retour à l'activité se fasse dans les meilleures conditions possibles le 11 mai", a ajouté le ministre, assurant qu'il souhaitait transmettre "un message d'optimisme et de volontarisme" aux entrepreneurs et aux salariés: "Nous allons préparer ça bien et nous allons réussir cela ensemble".M. Le Maire a également tenu à souligner que le gouvernement travaillait de manière "totalement solidaire" pour faire face à la crise et il a démenti à son tour l'existence de tensions au sein de l'exécutif, comme l'avait déjà fait la veille le président Emmanuel Macron. "Personne ne comprendrait, pas un Français, que nous ne soyons pas tous mobilisés au gouvernement, dans la majorité pour aider les Français et soutenir la France", a souligné le ministre, dont le nom circule dans la presse comme successeur éventuel de M. Philippe à Matignon.Plan de relance à la rentréeConcernant les mesures pour relancer l'économie française, il a estimé que le gouvernement ne présenterait "certainement pas" avant la rentrée, en septembre ou en octobre, son plan de relance de l'économie française, assurant qu'il fallait avancer étape par étape.Mais aux restaurateurs très en difficulté avec leur activité à l'arrêt encore de longues semaines et qui réclament une baisse de la TVA dans leur secteur, il a répondu qu'il n'était "pas sûr que ce soit l'outil le plus approprié".Plus généralement, il a insisté sur le besoin d'un plan de relance européen: "rien ne serait pire que d'avoir la France qui prend certaines dispositions pour son plan de relance et l'Allemagne qui ne prendrait pas des dispositions similaires".Selon lui, "il faut que la relance soit elle aussi massive et que notamment l'Union européenne réponde présent et vienne soutenir les plans de relance nationaux".Dans cette période de crise, avec des entreprises qui risquent la faillite ou qui subissent de fortes pertes en Bourse, M. Le Maire a annoncé le renforcement des mesures pour renforcer le contrôle sur les investissements étrangers.Le seuil de déclenchement du contrôle des investisseurs non européens prenant des parts dans une grande entreprise française sera "abaissé de 25% à 10%" jusqu'à la fin de l'année, et de manière plus générale le contrôle sera élargi au secteur des biotechnologies, a-t-il affirmé.
Il y a 5 ans et 50 jours

La crise du Covid-19 change-t-elle les projets immobiliers des Français ?

ETUDE. Le promoteur Capelli, en partenariat avec l'institut Poll&Roll, a interrogé les Français pour savoir comment ils envisageaient leur projet immobilier après la crise sanitaire. Est-il remis en cause ? Quels sont les nouveaux critères d'achat recherchés ? Réponses.
Il y a 5 ans et 50 jours

Rénovation énergétique: les régions attendent un signal de l’Etat

La rénovation énergétique fait partie des cibles identifiées par les régions de France pour une relance durable, à l’issue de la crise sanitaire. Cette priorité découle des travaux pilotés par Agnès Langevine, présidente de la commission Transition écologique et énergétique de l’association des régions de France et vice-présidente de la région Occitanie.
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : Élisabeth Borne salue les efforts de la filière nucléaire

Le comité stratégique de la filière nucléaire s'est réuni autour d'Élisabeth Borne pour présenter les mesures mises en œuvre pour répondre aux problématiques rencontrées par les acteurs de la filière - exploitants, donneurs d'ordre, sous-traitants - en cette période de crise sanitaire. Il s'agissait de s'assurer de la mobilisation de l'ensemble des métiers du nucléaire nécessaires à la continuité de l'approvisionnement électrique et de la bonne application des mesures de protection sanitaire des salariés.La filière a présenté les mesures spécifiques mises en œuvre qui permettent d'assurer l'approvisionnement en énergie du pays, et notamment l'adoption saluée d'une charte de bonnes pratiques en période de crise sanitaire, traduisant les engagements pris par les grands donneurs d'ordre vis-à-vis de leurs salariés et des sous-traitants.La ministre a insisté à cette occasion sur l'importance d'une bonne coordination des arrêts de réacteurs nucléaires dans les semaines et mois à venir pour travaux de maintenance et rechargement en combustible, afin de maximiser la disponibilité du parc de production pendant l'hiver. La filière devra s'assurer de la mobilisation de chaque acteur pour relancer ces chantiers dans les meilleurs délais pour tenir cet objectif.Enfin, la filière a présenté ses propositions en vue de retrouver rapidement une croissance durable au sein des entreprises du secteur, composé majoritairement de petites et moyennes entreprises. Plusieurs de ces mesures font déjà l'objet de travaux avec l'Etat, dans le cadre notamment de la Programmation Pluriannuelle de l'énergie, publiée le 23 avril 2020, ou du Plan National de Gestion des Matières et Déchets Dangereux.
Il y a 5 ans et 50 jours

Dalkia et la Fib, nouveaux adhérents à France Industrie

La Fib et Dalkia viennent de rejoindre l’organisation professionnelle France Industrie, portant à 67 le nombre de ses membres actifs. France Industrie] France Industrie se renforce avec l’adhésion de deux nouveaux membres. D’une part, Dalkia, la filiale “valorisation des énergies renouvelables et des économies d’énergie” d’EDF. De l’autre, la Fédération de l’industrie du béton (Fib). Assurant la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton, la Fib assure la représentation de ce secteur industriel. Ceci, auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Ses adhérents sont des TPE, des PME et des PMI, réparties sur l’ensemble de la France selon un maillage territorial très dense. Ce sont des entreprises industrielles du béton locales, créatrices de richesse et d’emplois directs. Et surtout non délocalisables. Le rôle de chacun des protagonistes France Industrie est l’organisation professionnelle représentative du secteur industriel sur le territoire national. Elle rassemble 23 fédérations sectorielles et les présidents de 44 grandes entreprises privées et publiques. Ces dernières intervenant dans tous les secteurs industriels. Avec l’appui de ses adhérents, l’organisation s’attache à promouvoir l’image des métiers industriels auprès des jeunes. Ainsi qu’à engager des actions sur les enjeux prioritaires communs à toute l’industrie. Désormais, France Industrie compte 67 membres actifs. « Je tiens à saluer l’arrivée de ces deux nouveaux adhérents au sein de France Industrie. Plus que jamais en cette période critique pour l’économie française, l’expertise de Dalkia et la représentativité de la Fédération de l’industrie du béton vont contribuer à relever tous ensemble les défis de l’industrie de demain », a déclaré Philippe Varin, président de France Industrie.  Et Bertrand Bedel, président de la Fib, de conclure : « En cette période difficile pour notre secteur et notre industrie, la Fib aura à cœur d’appuyer France Industrie. Ceci, pour valoriser le rôle fondamental des industriels du béton et promouvoir l’image de leurs métiers auprès des jeunes. Dans ce cadre, elle s’engagera pleinement à ses côtés pour mener des actions à forts enjeux d’avenir. Et ce, tant le monde d’après devra concilier dynamique économique et attractivité des territoires, innovation et numérique. Ainsi qu’économie circulaire et excellence environnementale ».
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : les artisans du bâtiment demandent aux particuliers et entreprises de relancer leurs chantiers

La CAPEB demande donc aux particuliers, qui ne sont pas à risques et aux entreprises d'ouvrir leur porte aux artisans exerçant leur activité, afin qu'ils terminent les travaux initiés ou qu'ils en engagent d'autres... Il en va de la santé économique de l'artisanat du Bâtiment.Suite à la publication du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction-Covid-19 de l'OPPBTP, toutes les CAPEB d'Auvergne-Rhône-Alpes accompagnent les chefs d'entreprises pour les aider à prendre les mesures urgentes et spécifiques à mettre en œuvre pour assurer les conditions sanitaires nécessaires à la reprise de leurs travaux, en les aidant à se procurer notamment masques et gel hydro-alcoolique. La santé de leurs collaborateurs et celle de leurs clients est en effet la première priorité des entreprises artisanales du Bâtiment.La seconde priorité est de nature économique. En effet, sans une reprise progressive de leur activité, nombre d'entreprises artisanales du Bâtiment n'auront d'autres choix que de déposer le bilan. Or, les artisans du bâtiment sont des professionnels qui travaillent avec leurs salariés, leur conjoint, leurs clients, dans nos villages, juste à côté de chez nous. Ce sont des acteurs majeurs du tissu économique local.Nous avons tous un rôle à jouer. La CAPEB en appelle donc à la responsabilité de chacun et demande aux particuliers, qui ne sont pas risques, d'ouvrir leur porte et aux entreprises, de redémarrer leurs chantiers, en toute confiance !
Il y a 5 ans et 50 jours

Un écrin brut pour le musée des Arts décoratifs

La réouverture de l’aile Rohan du MAD a été marquée par la scénographie minimaliste du Studio Adrien Gardère pour l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode”. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Nicolas Cèbe, architecte-co-fondateur, Jérôme Stablon, architecte-co-fondateur, et Guillaume Cantardjian, architecte-co-fondateur de l’atelier d’architecture Bien Urbain. [©Bien Urbain] Au musée des Arts décoratifs (MAD) de Paris, les galeries dédiées à présenter les expositions temporaires sur la mode se déploient dans l’aile Rohan du Louvre. Le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli (Ier arrondissement) la bordent. Les Galeries de la Mode ont été repensées, à la demande de l’institution. Et ce, grâce au mécénat de Stephen et Christine Schwarzian. Ceci, par les équipes du Studio Adrien Gardère (scénographe). Qui, pour l’occasion, s’est associé avec l’atelier d’architecture Bien Urbain. Retrouver le bâtiment originel Au cœur du Musée des Arts Décoratifs, les salles d’expositions dédiées principalement à la mode se déploient dans l’aile Rohan du Louvre, qui longe le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli. [©Bien Urbain] « Il a fallu un an pour réhabiliter les plus de 1 200 m2 de l’aile Rohan du MAD. Il y avait déjà eu une rénovation de ces espaces dédiés à la mode dans les années 1990. Mais ils étaient devenus obsolètes », décrit Jérôme Stablon, architecte chez Bien Urbain. Avec un gros curage de l’existant pour commencer. « Il a fallu “recomprendre” le bâtiment originel. » C’est ainsi que les murs sont apparus avec de la pierre, du béton et des blocs béton apparents. « Les laisser bruts a été une évidence. Cela correspond bien à l’univers de la mode actuelle. Et c’était nécessaire pour redécouvrir l’aile Rohan. » L’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” inaugure les nouvelles galeries de la mode du MAD, entièrement rénovées. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Teintes stabilisées Une lasure minérale a permis de stabiliser les teintes des murs, sols et plafonds. Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. La réouverture de ces espaces a d’ailleurs été marquée par la scénographie minimaliste du Studio Adrien Gardère. Celle-ci réalisée pour l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” . Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. [©Bien Urbain/Luc Boegly]Dans un écrin de béton brut, l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” retrace les moments forts de cette revue mythique, son évolution depuis 1867. [©Bien Urbain/Luc Boegly] La chape fluide, tout comme le béton de l’escalier, ont été livrés en toupies, stationnées dans le cour du Louvre, le temps des livraisons. [©ACPresse]Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. [©Bien Urbain]Un gros curage de l’existant a donc été effectué. « Il y a fallu “recomprendre” le bâtiment originel ». [©Bien Urbain/Luc Boegly]Outre le besoin de redonner au lieu tout son lustre, l’intervention de coulage de la chape fluide est surtout destinée à la remise en l’état des sols. [©ACPresse] Le coulage de la chape fluide a été divisée en deux interventions : tout d’abord, environ 900 m2 au premier niveau, puis l’ensemble du rez-de-chaussée. [©ACPresse]Mise en œuvre sur les sols, la Chape Liquide Excelio d’Anhydritec ne nécessite aucun ponçage. Mais un balayage doit être réalisé. [©ACPresse]En arrière plan, l’escalier en demi-cercle permet de relier le rez-de-chaussée au premier niveau. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Un escalier de béton brut Faisant face à une fenêtre donnant sur le jardin des Tuileries, l’escalier en béton brut prend la forme d’un demi-cercle ascensionnel et enveloppant. « Ce nouvel escalier sculptural et discret relie les deux étages des espaces d’exposition. » [©Bien Urbain] Et l’autre intervention s’est effectuée avec la création d’un escalier en béton brut. Juste en face d’une fenêtre donnant sur le jardin des Tuileries. Et ce, en demi-cercle ascensionnel et enveloppant. « Ce nouvel escalier sculptural et discret. Il relie les deux étages des espaces d’exposition. » Quelque 80 m2 de plancher ont été déposés pour ce faire. L’entreprise Cobalt a coulé le béton, « un C4 classique », en une seule fois. Le tout grâce à trois toupies stationnées dans le jardin du Louvre. « Epique… » Les coffrages étaient assez sympas, selon les dires de Jérôme Stablon.  « Il y a eu des reprises et des réenduits pour tout bien ajuster. » L’entreprise REM a réalisé la serrurerie de l’escalier et le garde-corps vitré de cette section des Arts Décoratifs. Fiche repère Maîtrise d’ouvrage : Musée des Arts décoratifs (MAD)Maîtrise d’œuvre : Studio Adrien Gardère Bien Urbain – atelier d’architecture Betom Ingénierie ACLSurface : 1 280 m² SUMontant des travaux : 1,7 M€ HTStatut : Livré en février 2020 Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 50 jours

Les sept piliers de la relance des industriels de la construction

L’AIMCC, l'association française des Industries des matériaux et produits de construction et le Comité stratégique de filière « Industries pour la construction » proposent un plan de relance tourné vers l’investissement durable et responsable.
Il y a 5 ans et 50 jours

Poutrelles RAID Hybrides : gain de temps et économies pour des planchers performants

Plus légères que des poutrelles précontraintes traditionnelles, les poutrelles RAID® Hybrides sont manuportables. Elles permettent d’atteindre de grandes portées (6.20 m de long sans étais et 9 m avec étais), qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Autre atout, les raidisseurs triangulaires assurent une prise en main facile pour un transport aisé. Un confort de travail très apprécié et qui renforce l’efficacité des équipes sur les chantiers.Economiques, les poutrelles RAID® Hybrides font réaliser jusqu’à 12% d’économie de béton dans le cas de montages réalisés avec des entrevous béton ou polystyrène à bords droits.Par ailleurs, les poutrelles RAID® hybrides assurent une sécurité totale sur chantier : elles sont certifiées sous Avis Technique. Elles sont également certifiées Origine France Garantie.Les montages isolantsLes poutrelles RAID® hybrides Fabemi s’associent avec les entrevous polystyrène suivants pour assurer la correction des ponts thermiques :OPTIRAID : entrevous coffrant en polystyrène pour réaliser des planchers intermédiaires légers, en neuf comme en rénovation.RAIDtherm : entrevous polystyrène à languette limitant les pertes énergétiques des planchers bas, et entrevous polystyrène décor à languette permettant de conserver une sous-face plate.RAIDtherm sous chape flottante : entrevous polystyrène à languette combiné à la mise en œuvre d’une chape flottante servant à optimiser les épaisseurs des isolants et à réduire de manière significative les pertes linéiques.Fabemi, une solution pour chaque construction :https://www.fabemi-structures.com/
Il y a 5 ans et 50 jours

Exposition : Erwin Wurm

Conçue par la Maison Européenne de la Photographie en partenariat avec les Magasins Généraux, l'exposition intitulée « Erwin Wurm, photographs », la première grande rétrospective consacrée au travail photographique de l’artiste Erwin Wurm (né en 1954), invite à découvrir en images son univers absurde, et ses sculptures aussi drôles que réflexives. L’exposition « Erwin Wurm, photographs », dont l’ambition est de rendre compte de l’importance de la photographie dans l’œuvre d’Erwin Wurm, présente pour la première fois en France plus de 200 objets visuels – des planches contact originales, des tirages, des études – réalisées par le plasticien autrichien depuis les années 1980. L’accrochage et le propos de cette rétrospective proposent de réinterroger la démarche artistique d’Erwin Wurm, en sa qualité de « sculpteur » contemporain, à travers ses photographies. Après avoir été accepté en section « sculpture » à l’Académie des beaux-arts de Vienne, Erwin Wurm, qui rêvait de devenir peintre, décida de déconstruire la sculpture pour mieux la questionner. Il développe depuis un vocabulaire sculptural inattendu, influencé par les préceptes de l’art minimaliste et de l’art conceptuel. À mi-chemin entre sculpture et performance, ses œuvres interrogent le rapport que tout un chacun entretient avec son corps et les objets du quotidien. Erwin Wurm imagine des mises en scène absurdes, où il contraint les corps, altèrent les habitudes et détournent des objets, et les immortalise grâce à la photographie ou la vidéo. Dans les images de ses célèbres One Minute Sculptures (1997), on découvre que l’artiste confronte son corps, ou celui d'autrui, à ses propres limites. Si les images des performances sculpturales d’Erwin Wurm sont d’abord des documents de constat, qui illustrent ces sculptures éphémères, elles sont devenues rétrospectivement des objets d’art à part entière. Tout l’enjeu de la rétrospective est donc de donner à voir les différents aspects de l’œuvre protéiforme d’Erwin Wurm. L’exposition dévoile en effet les divers aspects de son œuvre complexe. À la fois drôles et sociocritiques, ses « sculptures photographiques » questionnement avec humour les conventions sociales. Dans sa série « Instructions for Idleness » (2001), l’artiste suggère de « passer la journée en pyjama », de « s’exprimer exclusivement en baillant » ou de « fantasmer sur le nihilisme », quand, dans « How to Be Politically Incorrect » (2002-2003), il se moque des règles de politesse et encourage son modèle à « cracher dans la soupe de quelqu’un ». Le parcours est aussi ponctué de plusieurs œuvres interactives qui nous invitent à faire l’expérience des performances-sculptures conçues par Erwin Wurm. Ce choix judicieux des commissaires, Simon Baker et Laurie Hurwitz, nous rappelle que les œuvres photographiées sont avant tout des sculptures à expérimenter. Comme la MEP est actuellement fermée au public en raison du coronavirus, les équipes du centre culturel proposent de découvrir les expositions via ses comptes Facebook et Instagram. Dans un post Instagram « Take over » publié le 22 avril sur le profil de la MEP, par exemple, l'artiste Erwin Wurm nous fait visiter son atelier. Pour en savoir plus, visitez le site de la Maison Européenne de la Photographie. Photographies : © Erwin WurmLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : Le guide OPPBTP est-il suffisant pour une reprise des chantiers en toute sécurité ?

« En cette période de pandémie, le rôle de référent COVID-19 sur chantier préconisé dans le guide de l’OPPBTP prend toute son importance… Mais ne va pas assez loin. » Indique Patrick VRIGNON, Président de BTP ConsultantsUn référent indépendant pour un système de management efficace Pour plus d’efficacité dans sa mission, le référent COVID-19 doit faire vivre un système de management d’amélioration au sens propre du terme : établir des procédures, vérifier leur application, exploiter les écarts et mener les actions correctives associées.Au-delà des préconisations du Guide du 10 Avril 2020, le rôle du référent COVID-19 devrait également consister à surveiller les situations de travail, établir les procédures à suivre, s’assurer qu’elles soient réalistes, contrôler leur application, mesurer et analyser les écarts, étudier le résultat de son travail, l'efficacité de ses méthodes, etc.Une telle fonction doit impérativement être indépendante de la chaîne de production à l’image de ce qu’est le contrôle extérieur dans le domaine du suivi qualité. Faire appel à une tierce partie afin de privilégier la sécurité face au rendement et permettre ainsi d’éviter toute situation de doutes pouvant conduire à des arrêts de chantier. C’est pourquoi, il est essentiel que ce soit le Maître d’Ouvrage qui le désigne et à lui qu’il rapporte périodiquement.Quand le secteur de la construction doit s’appuyer sur les pratiques industriellesSur la base de référentiels de management orientés santé et sécurité, le secteur de l'industrie s'assure de la capacité des sous-traitants à remplir les critères établis lorsqu'ils opèrent sur site. Ces référentiels permettent d'évaluer les pratiques en place et les résultats atteints par les sous-traitants impliqués. Les analyses montrent que les entreprises opérant sous ces référentiels ont 2 à 3 fois moins d'accident que la moyenne nationale, quel que soit leur corps de métier.D'ailleurs, la plupart de ces entreprises reconnaissent que cela leur permet de mettre en place les bonnes manières de faire, de respecter les procédures, d'avoir des salariés formés en conséquence, de mettre les valeurs humaines au cœur de leur projet.Comment faire changer des habitudes profondément ancrées ? Le travail autour du Guide de l'OPPBTP a le mérite de définir des procédures, des règles ayant pour objectif de diffuser une culture de la discipline vis-à-vis du risque COVID-19. Certes c'est un travail préalable indispensable, mais pour les chantiers avec des risques de promiscuité importants, l'expérience montre que cela ne suffit pas. La multiplication des règles induit souvent une attitude de contournement par les acteurs et il peut exister un fossé entre ce qui est écrit et ce qui est vécu.Il ne suffit donc pas de figer un cadre devant être respecté par chacun mais de faire s'approprier par tous une nouvelle manière de travailler ensemble. Responsabilité de chacun, qualité relationnelle qui donne confiance aux acteurs pour parler des sujets difficiles, intelligence collective qui permet de trouver des solutions aux problèmes au fur et à mesure qu'ils se présentent. On voit donc que faire appliquer le guide OPPBTP est, avant tout un sujet de management et sous-estimer la force des habitudes serait une profonde erreur.Or, les habitudes du secteur du bâtiment, contrairement à d'autres secteurs exposés depuis longtemps aux risques sanitaires, s'appuie sur des règles du vivre ensemble très éloignées de ces nouvelles mesures dénombrées dans le guide. Faire évoluer les habitudes de travail sur chantier est donc un véritable projet de changement et doit être abordé en tant que tel.« Nous entrons dans une longue période d'incertitudes ponctuée qui sait, de séquences de confinement et de déconfinement, de recul et de reprise de la vague épidémique. La seule certitude que nous devons rechercher collectivement, c'est celle de nous appuyer sur un dispositif garantissant la santé à tout moment de nos intervenants sur chantier. »
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : BTP Consultants souhaite aller plus loin que le guide OPPBTP

« En cette période de pandémie, le rôle de référent COVID-19 sur chantier préconisé dans le guide de l’OPPBTP prend toute son importance… Mais ne va pas assez loin. » Indique Patrick VRIGNON, Président de BTP ConsultantsUn référent indépendant pour un système de management efficace Pour plus d’efficacité dans sa mission, le référent COVID-19 doit faire vivre un système de management d’amélioration au sens propre du terme : établir des procédures, vérifier leur application, exploiter les écarts et mener les actions correctives associées.Au-delà des préconisations du Guide du 10 Avril 2020, le rôle du référent COVID-19 devrait également consister à surveiller les situations de travail, établir les procédures à suivre, s’assurer qu’elles soient réalistes, contrôler leur application, mesurer et analyser les écarts, étudier le résultat de son travail, l'efficacité de ses méthodes, etc.Une telle fonction doit impérativement être indépendante de la chaîne de production à l’image de ce qu’est le contrôle extérieur dans le domaine du suivi qualité. Faire appel à une tierce partie afin de privilégier la sécurité face au rendement et permettre ainsi d’éviter toute situation de doutes pouvant conduire à des arrêts de chantier. C’est pourquoi, il est essentiel que ce soit le Maître d’Ouvrage qui le désigne et à lui qu’il rapporte périodiquement.Quand le secteur de la construction doit s’appuyer sur les pratiques industriellesSur la base de référentiels de management orientés santé et sécurité, le secteur de l'industrie s'assure de la capacité des sous-traitants à remplir les critères établis lorsqu'ils opèrent sur site. Ces référentiels permettent d'évaluer les pratiques en place et les résultats atteints par les sous-traitants impliqués. Les analyses montrent que les entreprises opérant sous ces référentiels ont 2 à 3 fois moins d'accident que la moyenne nationale, quel que soit leur corps de métier.D'ailleurs, la plupart de ces entreprises reconnaissent que cela leur permet de mettre en place les bonnes manières de faire, de respecter les procédures, d'avoir des salariés formés en conséquence, de mettre les valeurs humaines au cœur de leur projet.Comment faire changer des habitudes profondément ancrées ? Le travail autour du Guide de l'OPPBTP a le mérite de définir des procédures, des règles ayant pour objectif de diffuser une culture de la discipline vis-à-vis du risque COVID-19. Certes c'est un travail préalable indispensable, mais pour les chantiers avec des risques de promiscuité importants, l'expérience montre que cela ne suffit pas. La multiplication des règles induit souvent une attitude de contournement par les acteurs et il peut exister un fossé entre ce qui est écrit et ce qui est vécu.Il ne suffit donc pas de figer un cadre devant être respecté par chacun mais de faire s'approprier par tous une nouvelle manière de travailler ensemble. Responsabilité de chacun, qualité relationnelle qui donne confiance aux acteurs pour parler des sujets difficiles, intelligence collective qui permet de trouver des solutions aux problèmes au fur et à mesure qu'ils se présentent. On voit donc que faire appliquer le guide OPPBTP est, avant tout un sujet de management et sous-estimer la force des habitudes serait une profonde erreur.Or, les habitudes du secteur du bâtiment, contrairement à d'autres secteurs exposés depuis longtemps aux risques sanitaires, s'appuie sur des règles du vivre ensemble très éloignées de ces nouvelles mesures dénombrées dans le guide. Faire évoluer les habitudes de travail sur chantier est donc un véritable projet de changement et doit être abordé en tant que tel.« Nous entrons dans une longue période d'incertitudes ponctuée qui sait, de séquences de confinement et de déconfinement, de recul et de reprise de la vague épidémique. La seule certitude que nous devons rechercher collectivement, c'est celle de nous appuyer sur un dispositif garantissant la santé à tout moment de nos intervenants sur chantier. »
Il y a 5 ans et 50 jours

"Le guide OPPBTP va évoluer pour coller à la réalité du terrain", P. Duphil

ENTRETIEN. Un mois après la parution du guide de l'OPPBTP, le directeur général de l'organisme, Paul Duphil, revient pour Batiactu sur la reprise des chantiers dans le secteur et les futures évolutions de l'outil.
Il y a 5 ans et 50 jours

Comment bien entretenir sa toupie au quotidien ?

Une toupie véhicule toujours l’image du producteur du béton. C’est pourquoi elle doit être propre et en parfait état. [©ACPresse] 1 – Pourquoi une toupie doit-elle être dans un parfait état ? Une toupie est un véhicule industriel destiné au transport du béton, une matière première d’une densité de 2,4 t/m3, soit une cargaison de 18 t pour un volume de 7,5 m3… Le poids total en charge d’un tel véhicule atteint donc les 32 t sur la route. Il est donc essentiel qu’il soit parfaitement sûr. Son bon état en est la garantie première. Une toupie véhicule en même temps l’image de l’entreprise de production de béton prêt à l’emploi à laquelle elle est rattachée. C’est elle que le client voit en premier quand elle arrive sur le chantier avec sa cargaison. Le parfait état de ce véhicule est donc le gage de la qualité du matériau qu’il contient. Et, de facto, du producteur de BPE.  2 – Quels sont les vérifications et les entretiens que doit effectuer le chauffeur d’une toupie avant de prendre son service ?  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule et de ses organes de sécurité. [©ACPresse] Le chauffeur de la toupie a l’obligation professionnelle de faire un check-up complet de son véhicule avant de commencer sa tournée.  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule. Cela va de l’état des pneumatiques à la propreté des organes de sécurité, comme les rétroviseurs, la caméra de recul ou le panonceau “Interdiction de doubler par la droite”. La propreté générale du véhicule est confirmée en même temps.  Ce contrôle commence par une vérification visuelle du véhicule et de ses organes de sécurité. [©ACPresse] Vient ensuite le test des organes de sécurité : plaques minéralogiques, caméra de recul, feux flash de recul ou encore de l’avertisseur de recul sonore. Si besoin, le chauffeur peut se faire aider par le centralier pour confirmer le bon fonctionnement de tel ou tel organe. Le bon fonctionnement et la propreté de l’éclairage général (feux avant et arrière, clignotants…) sont aussi contrôlés durant cette étape.  Le plein de la bombonne à eau est fait à l’issue de ces vérifications et, surtout, la cuve de la toupie est mise en mode “vidange” pour s’assurer qu’elle est bien vide et sèche (il peut pleuvoir durant la nuit…). Enfin, il ne faut pas oublier un coup d’œil sur le niveau de carburant. 3 – Une fois le béton livré sur site, y a-t-il des opérations à réaliser immédiatement ? La situation idéale est quand le chantier dispose d’une aire de lavage équipée d’un big bag. Dans ce contexte, le chauffeur peut réaliser un nettoyage rapide de sa toupie et vidanger les résidus de béton frais encore présents dans la cuve.  Mais le cas le plus courant est l’absence, sur chantier, de ces dispositifs. A ce moment-là, la seule chose possible est de vider, dans la cuve, l’essentiel de la bombonne d’eau pour délayer les résidus de béton. Cela permet de pré-rincer la cuve, qui sera vidangée, puis lavée dès le retour à la centrale.  En revanche et quelle que soit la situation, le chauffeur a l’obligation de nettoyer la goulotte avant de quitter le chantier, histoire de ne pas perdre de résidus de béton sur le chemin du retour… Les toupies les plus récentes disposent de goulotte anti-pertes, ce qui n’interdit pas de veiller à leur propreté. 4 – Que doit faire le chauffeur lorsqu’il est de retour à la centrale ?  Le lavage de la cuve est absolument obligatoire dès lors qu’un béton spécial a été transporté. [©ACPresse] Laver la cuve constitue l’étape indispensable. Cela pallie les risques de pollution entre deux types de bétons différents (celui qui a été transporté et celui qui le sera à la tournée suivante). En même temps, cette action réduit le volume des dépôts de béton durci, qui finissent toujours par s’accumuler un peu dans la cuve.  Le lavage de la cuve est absolument obligatoire dès lors qu’un béton spécial a été transporté. Par spécial, le transporteur entend béton peu hydraté, béton à projeter, par exemple.  Lors de son passage à la centrale, le chauffeur ne doit surtout pas oublier de refaire le plein de sa bombonne d’eau. De même que vérifier la propreté de la toupie dans son ensemble  Le cas échéant, le chauffeur peut profiter de son temps d’attente pour parfaire la propreté de sa toupie, car cette dernière représente le producteur de BPE tout le temps 5 – Quelles sont les opérations d’entretien complémentaires à réaliser en fin de service ?  La toupie doit rejoindre son stationnement en parfait état et être prête pour le service. [©ACPresse] A vrai dire, les opérations de fin de service sont les mêmes que durant le service : propreté de la toupie, propreté de la cuve, plein d’eau. La laitance du béton s’élimine très bien, quand elle est fraîche et beaucoup moins bien une fois sèche…  La toupie doit rejoindre sa place de stationnement pour la nuit en parfait état et être prête pour le service du lendemain (ce qui ne supprimera pas les étapes de contrôle d’avant service). 6 – Quels sont les risques si l’entretien courant est mal effectué ? Trois risques majeurs peuvent être identifiés : surcharge de la toupie, dégradation de l’image véhiculée et, enfin, capacité financière à la baisse au moment de la revente.  Un poids lourd en surcharge constitue un danger sur la route, car ses dispositifs de sécurité (système de freinage en particulier) sont sur-sollicités. Le moteur est aussi mis à contribution au-delà de ses limites. La surcharge potentielle est due aux résidus de béton, qui sont pris au fond de la cuve au fil des tournées. Aussi, la rigueur du nettoyage opérée par le chauffeur est essentielle pour limiter ces dépôts. Pour sa part, le locatier JMS pèse chacune de ses toupies une fois tous les trois mois pour vérifier qu’il n’y a pas de dérive au niveau de leur poids à vide. Si la présence de béton durci est constatée dans la cuve, une opération de déplombage est organisée.  Cette intervention trimestrielle est aussi le moment choisi pour réaliser une vérification complète de l’état de la toupie, pour effectuer les graissages complémentaires… Sujet réalisé en collaboration technique avec Raphaël Guiller, responsable exploitation et logistique de Bétons Solutions Mobiles et Jean-Marc Ségué, directeur de JMS Services
Il y a 5 ans et 50 jours

Cythelia Energy révolutionne le monde du solaire avec la France entière en 3D

Un cadastre solaire complet et ultra-précisPrécis à 25 cm, ce modèle 3D permet de déterminer le potentiel solaire de chaque m² de toutes les toitures et parkings de France, en calculant automatiquement les orientations et inclinaisons des toitures et l'impact des ombrages du relief et de l'environnement proche (bâtiments et végétation). 10 000 milliards de points peuvent ainsi être localisés sur le territoire français. Une performance unique !Calculer au m² près le potentiel solaire du pays entier : des révolutions dans les usagesRévolution des cadastres solairesLes cadastres solaires, qui connaissent un réel engouement en France parmi les collectivités locales, sont pré-calculés et disponibles sur la France entière. Ils peuvent être mis à disposition de la population en un clic grâce à la solution archelios MAP Collectivité.Les cadastres solaires deviennent ainsi accessibles pour les petites communes comme pour les grandes métropoles, sans attendre de longs mois pour obtenir les premiers résultats.Révolution des études de patrimoinesIl est aujourd'hui relativement long et fastidieux d'étudier le potentiel solaire du patrimoine foncier et bâti d'entreprises ou de collectivités. La solution archelios™ MAP Patrimoine permet d'utiliser les données de potentiel solaire par m² sur la France entière pour étudier automatiquement et très précisément le potentiel de chaque bâtiment et parking, sur un parc allant de quelques dizaines à plusieurs milliers de sites.Révolution des études prospectives de territoireIl devient possible grâce à la solution archelios™ MAP Prospection de déterminer quel est le potentiel solaire de toute commune ou communauté de communes française et quelles sont précisément les toitures et parkings les plus adaptées pour les besoins de chaque acteur : collectivités, centrales citoyennes, développeurs de projets photovoltaïques.Révolution des études de prévision de productionPour un projet sur bâtiment ou parking devant faire l'objet d'une étude précise du potentiel (étude de productible) grâce à un logiciel métier, il est généralement fastidieux de prendre en compte les ombres portées par les arbres et les bâtiments environnants. Une visite sur site est souvent nécessaire, avec un relevé des hauteurs des obstacles.Grâce aux données 3D disponibles sur la France entière, le module 3D Map du logiciel archelios™ PRO permet d'importer l'environnement du site étudié en quelques secondes, faisant gagner un temps précieux aux installateurs et bureaux d'études, tout en gagnant en précision.Révolution du monitoring des installations photovoltaïquesIl n'est pas rare que l'environnement proche d'une installation photovoltaïque (colline, arbres, bâtiments, édicule d'ascenseur) génèrent de fausses alarmes de monitoring. En effet, le logiciel de monitoring ne « sait » pas que la sous-production d'une partie de l'installation n'est pas due à une défaillance, mais seulement à une ombre portée.Le logiciel de monitoring photovoltaïque archelios™ O&M prend en compte parfaitement ces ombrages. Il calcule la production attendue de manière précise grâce à un modèle 3D de l'installation, intégrant l'environnement proche de la centrale (arbres, bâtiments…).
Il y a 5 ans et 50 jours

HIRSCH Isolation lance Cellomur® Ultra ECA, le 1er isolant PSE à Empreinte Carbone Améliorée

HIRSCH Isolation lance le 1er isolant PSE à Empreinte Carbone Améliorée, réalisé à partir de ressources renouvelables : déchets organiques d’origine européenne ! L’isolant Cellomur® Ultra ECA* est le premier polystyrène expansé issu de la biomasse en France. L’isolant Cellomur® Ultra ECA est réalisé à partir de déchets organiques de 2ème génération, c’est-à-dire non consommables, issus de l’industrie alimentaire et forestière européenne. Le composant ainsi obtenu est parfaitement sain et garantit les mêmes qualités isolantes qu’un PSE classique. Le procédé de transformation en panneaux est similaire au cycle de production classique et ne génère aucune surconsommation d’énergie. Cellomur® Ultra ECA bénéficie ainsi d’une empreinte carbone à très faible impact, – 60 % par rapport à un PSE classique, pour les mêmes caractéristiques techniques. Cellomur® Ultra ECA couvre les mêmes domaines d’application que le PSE classique (maisons individuelles, logements collectifs, etc.). Il répond aux exigences de la RT 2012, au label E+C- et aux futures exigences de la RE 2020.
Il y a 5 ans et 50 jours

CAPAROL DÉVOILE SA NOUVELLE COULEUR : LE NOIR CARBONE ‘’NERONE 5’’

Pour mettre au point sa collection tendance, CAPAROL a travaillé avec The Institute International TrendsScouting de Hildesheim. La collection se compose de trois nouveaux univers, chacun autour d’une nuance noire et de neuf couleurs harmonieusement combinées. Pour la première fois, CAPAROL a développé des techniques de surface expérimentales pour compléter l’expérience de ses univers de couleurs.
Il y a 5 ans et 50 jours

Travaux d'économies d'énergies: appel en faveur d'un fonds d'urgence

L'Union française de l'électricité et les fédérations du bâtiment et de l'énergie ont appelé le gouvernement à créer un fonds d'urgence en faveur des travaux d'économies d'énergie.
Il y a 5 ans et 50 jours

À Grenoble, GSE achève la construction d'un ensemble de bureaux à haute performance environnementale

C'est au cœur de la Zone d'Aménagement Concerté « ZAC » de la Presqu'île de Grenoble, face au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), que GSE a construit le nouveau siège social de la société XENOCS. Celle-ci est reconnue comme étant le leader mondial sur le marché des équipements de laboratoire pour la caractérisation des matériaux à l'échelle nanométrique au travers de la technique de diffusion des rayons X.Un bâtiment de 5 5000 m² à l'architecture contemporaineDessiné par le cabinet Aotu architecture, ce projet met en évidence l'esthétique architecturale et la qualité des matériaux utilisés, notamment pour la façade, élément essentiel de l'harmonie du bâtiment.Développé pour Xenocs par GSE, ce bâtiment de 5 500 m² réparti sur 4 étages accueille le siège social du groupe, des ateliers de production, un show-room et des salles propres. Chaque étage bénéficie de larges terrasses et de toitures végétalisées. Le dernier étage accueille des salles de réunion partagées avec d'autres locataires.Le site, qui a été terminé fin 2019, propose des espaces propices au bien-être, au travail collaboratif, à l'innovation et à la créativité grâce à des bureaux ouverts, modernes, aérés et de nombreux open spaces.GSE a été extrêmement attentif aux détails de finitions des façades pour atteindre le niveau élevé de qualité de réalisation attendue par Frédéric Bossan et Peter Hoghoj, dirigeants de XENOCS. Et le résultat est au rendez-vous puisque la seule différence entre le dessin de concours d'architecte et les photos de la réalisation, ce sont … les montagnes de l'arrière-plan.… à haute technicité…Du fait de la spécificité et des besoins techniques de l'entreprise XENOCS, GSE a réalisé des ateliers, des bureaux et des salles à empoussièrement contrôlé.… et aux performances environnementales élevéesLe bâtiment est équipé d'une pompe à chaleur réversible à eau, limitant ainsi son impact environnemental.« Avec son aspect innovant, ses quatre étages superposés à la façon d'un escalier, l'esthétique architecturale de ce bâtiment est un élément essentiel du projet et a été un point déterminant dans le choix des dirigeants de la société XENOCS. Nous avons su travailler, avec le cabinet d'architecte AOTU et l'assistant maître d'ouvrage DESTIM , en synergie afin d'être en mesure de livrer un projet au plus proche des attentes et des valeurs du client. Nous sommes particulièrement fiers de construire un site aussi qualitatif, en termes de qualité architecturale, qualité environnementale et qualité fonctionnelle des aménagements » déclare Roland Paul, CEO de GSE.Grenoble Presqu'île : une charte environnementale ambitieuseAprès avoir été terrain militaire, puis de recherche nucléaire, puis de recherche sur les nano et micro technologies, la Presqu'île scientifique de Grenoble va devenir un nouveau quartier d'habitation, de bureaux et de commerce. Ce vaste projet de nouveau quartier est aménagé par la société d'économie mixte InnoVia, pour le compte de la Ville de Grenoble. Au confluent du Drac et de l'Isère, sur 265 hectares, la ZAC Presqu'île allie qualité de vie, performance économique, dynamisme universitaire et scientifique.Une charte environnementale ambitieuse s'applique également à toutes les nouvelles constructions, et à laquelle ce projet a dû répondre afin de réglementer les consommations énergétiques des bâtiments. L'objectif consiste à situer les dépenses énergétiques de 30 % en dessous de la Réglementation thermique 2012.La zone accueille d'ores et déjà le nouveau siège social du Crédit Agricole Sud Rhône-Alpes ainsi que les nouveaux bureaux de Schneider Electric.
Il y a 5 ans et 50 jours

« Nous maintenons notre objectif de 50% de chiffre d’affaires à l’international d’ici 2025 » - Benoît Clocheret, président d'Artelia

La crise sanitaire renforce la volonté du président de cette société indépendante d’ingénierie de miser davantage sur ses filiales internationales. La présence d’Artelia dans des pays tels que le Danemark, le Vietnam ou le Rwanda, a assuré une continuité de l’activité, quand les chantiers en France étaient à l’arrêt. L’épidémie de coronavirus créé cependant des incertitudes sur les surcoûts entraînés par les mesures sanitaires nécessaires à la reprise.
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : L’UNICEM coordonne la commande et la distribution de 400.000 masques pour ses adhérents

Plus que jamais impliquée auprès des entreprises adhérentes et afin de les soutenir dans la mise en place de leurs plans de continuité ou de reprise d'activité, l'UNICEM a organisé, en coordination avec les équipes du ministère de l'Économie et des Finances, la livraison de 400 000 masques.200 entreprises en cours d'approvisionnementIndispensables pour garantir la sécurité des travailleurs et permettre ainsi la continuité ou la reprise de l'activité, l'UNICEM a fait de l'obtention de masques pour ses adhérents une priorité. Grâce à une mobilisation totale de la fédération, aussi bien au niveau national pour effectuer la commande qu'au niveau de ses délégations régionales pour en assurer la distribution, 200 entreprises reçoivent depuis quelques jours les masques tant attendus. Un gros travail de sourcing et une collaboration étroite avec les services de la Direction Générale des Entreprises ont été nécessaires afin d'éviter les contrefaçons qui se multiplient à l'heure actuelle.« Malgré des délais croissants dus à l'explosion de la demande en provenance des pays impactés par la pandémie et les difficultés liées aux problématiques de transport, cette opération est un vrai succès. C'est une étape clé pour permettre aux entreprises du secteur de continuer leur activité dans des conditions optimales, avec des organisations de travail adaptées à la situation sanitaire » indique Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM.D'autres commandes sont envisagées, selon les besoins des entreprises adhérentes, dans les semaines à venir.
Il y a 5 ans et 50 jours

Notre avis sur les isolants biosourcés en panneaux, rouleaux ou blocs préfabriqués

Les laines de bois, de chanvre, de lin, de coton, d’herbe, de pailles, la ouate de cellulose, le liège, nous sont souvent présentés comme des isolants de dernière génération. Qu’en est-il réellement ? Sont-ils si récents qu’ils mériteraient d’être présentés comme des innovations majeures ? Les sources étant multiples, en tout cas bien plus nombreuses […]
Il y a 5 ans et 50 jours

Bientôt déconfinés: deux kits de survie pour ouvrir les portes

Webinar le jeudi 07 mai 2020 de 14h30 à 15h15   L’écriture architecturale de la façade : matérialité, contrastes et jeux de lumières Son caractère unique s’inscrit autant dans son traitement d’ensemble que dans ses détails à travers les jeux structurels, les contrastes et mixités de matières, les […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 51 jours

Masques et plan de soutien au BTP en Auvergne-Rhône-Alpes

"Ces masques en tissu, lavables cinquante fois, seront mis gratuitement à disposition des entreprises du BTP de moins de 20 salariés, dès la semaine prochaine", a indiqué M. Wauquiez lors d'un point presse. "La condition sine qua non du redémarrage du secteur, ce sont les équipements de protection"."Les grands groupes sont eux capables d'assurer la logistique en matière de protection", a t-il estimé.Les 100.000 masques sont fabriqués par l'entreprise iséroise Porcher Industries, spécialiste des textiles techniques et composites.Les masques seront distribués dans chaque département via les fédérations, FFB (Fédération française du bâtiment) et Capeb (Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment).Par ailleurs, la région relancera ses propres chantiers suspendus depuis la crise sanitaire et n'appliquera pas de pénalités de retard."Il y a un besoin de relance et on a les moyens financiers pour répondre à la crise. On doit accompagner nos entreprises pour pouvoir repartir sans casse sociale", a relevé M. Wauquiez."Alors, on n'attend pas, on met tout de suite 150 millions d'euros sur la table pour réenclencher la commande publique et inciter tous les maîtres d'ouvrage, en particulier les communes, à relancer des chantiers avec la garantie du soutien de la région", a-t-il insisté.Une enveloppe de 15 millions d'euros est également débloquée par la région pour aider les entreprises du BTP à faire face aux surcoûts des chantiers dus au Covid-19."Les maires seront également accompagnés par la région. Il faudra aussi des engagements de l'État car les collectivités ont perdu des recettes fiscales", a-t-il ajouté.
Il y a 5 ans et 51 jours

Le CCCA-BTP va financer des projets innovants des organismes de formation

Le CCCA-BTP continue d'agir et de contribuer à l'effort national pour soutenir et développer la formation professionnelle dans les métiers du BTP, en organisant en 2020 onze appels à projets qui visent à financer des expérimentations et innovations portés par des organismes de formation. Huit des appels à projets programmés ont été lancés, malgré le contexte de la crise liée au coronavirus, et trois autres le seront d'ici au mois de juin.Le CCCA-BTP, financeur de projets innovants Avec cet important programme d'appels à projets, le CCCA-BTP consacre un budget prévisionnel de 30 M€ pour soutenir les expérimentations et innovations portés par des organismes de formation aux métiers du BTP et en assurer leur déploiement. Dans le cadre des orientations définies par le conseil d'administration, ce budget prévisionnel pourra être adapté, afin de répondre à la nécessité d'un plan de relance pour soutenir le développement de l'apprentissage BTP à l'occasion de la prochaine rentrée.Ces appels à projets répondent aussi à l'évolution des dispositifs et des modalités de financement du CCCA-BTP, au regard des missions qui lui sont confiées par la loi et pour mettre en œuvre la politique de formation professionnelle initiale, en particulier l'apprentissage, définie par les partenaires sociaux des secteurs du bâtiment et des travaux publics dans leurs accords de branche.Dans cette période de confinement et de ralentissement économique et social, qui impacte aussi la formation professionnelle, le CCCA-BTP reste mobilisé pour accompagner au mieux l'ensemble des organismes de formation dans la continuité de leurs activités. Dans le cadre de sa nouvelle offre de services, il a été décidé de lancer dès maintenant les appels à projets déjà programmés.Ce programme permettra aux équipes pédagogiques des CFA et organismes de formation de se mobiliser sur des projets d'expérimentation et d'innovation, sans attendre la sortie de la crise. Les projets sélectionnés pourront ainsi bénéficier des financements accordés par le conseil d'administration du CCCA-BTP.Les porteurs de projets pourront faire aussi appel à des co-financements privés ou publics : FSE (Fonds social européen), PIA (Programme d'investissements d'avenir), PIC (Plan investissement compétences), et/ou à des partenariats, en vue d'optimiser les financements et les déploiements des projets sélectionnés.En 2019, le CCCA-BTP avait organisé ses premiers appels à projets pour un budget global de 2M€. Une dizaine de porteurs de projets a ainsi été accompagnée, avec le financement de projets leur permettant d'expérimenter des projets novateurs sur leur territoire, notamment en termes de recrutement de jeunes et d'intégration du numérique dans la formation.Le mot de Jean-Christophe Repon, président du CCCA-BTP « En cette période troublée où solidarité et responsabilité s'imposent, avec une réforme de l'apprentissage désormais pleinement opérationnelle, le CCCA-BTP concrétise, avec ce programme d'appels à projets, une nouvelle approche d'offres de services au profit de tous les organismes de formation du BTP. Plus que jamais, nous nous devions nous mobiliser pour les accompagner dans le maintien, la continuité et le développement de leurs activités. Ce programme démontre aussi une nouvelle fois notre capacité à continuer d'agir et à contribuer, sur notre champ d'action, à l'effort national et au profit du développement de la formation professionnelle à nos métiers. C'est aussi tout simplement notre rôle et ce qu'attendent de nous les organismes de formation du BTP.Notre conseil d'administration s'est donné les moyens de ses ambitions, avec un programme doté d'un budget conséquent pour soutenir et accompagner les expérimentations et innovations, mais qui devra être revu pour accompagner les apprentis et les entreprises à la reprise de l'activité dans notre secteur, tout particulièrement pour soutenir le développement de l'apprentissage BTP d'ici au mois de septembre. Il s'inscrit également dans la dynamique que nous avons initiée au cours des années précédentes pour explorer, expérimenter et accélérer des projets innovants, notamment en termes de pédagogie de l'alternance. Avec ce programme d'appels à projets, notre ambition est claire : valoriser l'excellence de la formation professionnelle aux métiers de la construction de demain, au profit des jeunes et des entreprises de notre secteur du BTP. »Les thématiques du programme d'appels à projets du premier semestre 2020 Les appels à projets du programme 2020* concernent notamment : la mise en œuvre des transitions (énergétique, numérique…) ; l'accroissement de l'acquisition des compétences des apprentis et la valorisation de l'excellence ;l'enseignement du français comme langue étrangère pour les publics dont la langue maternelle est étrangère ;la valorisation et l'acquisition des compétences socio-professionnelles ; l'adéquation emploi/compétences sur les métiers en tension ; l'accompagnement à la mobilité internationale des apprenants ;l'accompagnement à la préparation des apprentis aux concours nationaux et internationaux ;l'ouverture socio-culturelle des jeunes en formation ;la création de contenus pédagogiques en distanciel et les méthodes, outils et usages des réalités virtuelles et augmentées. * Programme complet des onze appels à projets en annexe.Un programme ouvert à toutes les compétences du BTP, de l'orientation et de la formationLes appels à projets organisés par le CCCA-BTP sont prioritairement destinés à tout organisme de formation aux métiers du BTP dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, ou en lien avec les acteurs du BTP, et qui peuvent notamment faire valoir des compétences en termes d'apprentissage.Critères et processus de sélection des projets Un groupe technique paritaire de sélection des projets, composé de membres du conseil d'administration du CCCA-BTP, est constituée pour s'assurer, notamment, de la pertinence de la proposition et du public bénéficiaire du projet proposé, de la qualité des partenariats territoriaux mis en place par le porteur de projet, ou encore de la démarche d'expérimentation proposée. Les critères de sélection sont répartis en nombre de points sur 100 : qualité, performance et caractère d'innovation du projet (35 points) ;expertise et expérience de la formation professionnelle, du suivi socioéducatif ou socioprofessionnel et connaissance du secteur du BTP (20 points) ;calendrier et retroplanning de la conception, réalisation et exploitation du projet et équipe pressentie (15 points) ;perspectives de démultiplication, d'essaimage et de valeur ajoutée du projet et de ses livrables (20 points) ;budget prévisionnel et éléments permettant de sécuriser le déploiement du projet (10 points). En fonction des éléments apportés par les candidats, les budgets alloués par projet et porteur de projet sont déterminés par un Groupe technique paritaire ad hoc et votés définitivement par le conseil d'administration du CCCA-BTP.Règlements de consultation et informations pratiquesL'ensemble des informations (règlements de consultation, dossiers de réponse, etc.) relatives aux appels à projets sont disponibles sur le site Internet du CCCA-BTP, rubrique « Appels à projets ».Afin d'organiser et suivre les différents appels à projets, le CCCA-BTP a mis en place une cellule dédiée, auxquels les porteurs de projets peuvent s'adresser pour toute demande d'information : cellule.aap@ccca-btp.fr.
Il y a 5 ans et 50 jours

Cutwork devient le plus jeune studio jamais récompensé par les FRAME Awards

Le studio Cutwork remporte le prix “Innovation sociale” des FRAME Awards 2020 pour son projet Flatmates, destiné... Cet article Cutwork devient le plus jeune studio jamais récompensé par les FRAME Awards est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.