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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(78685 résultats)
Il y a 6 ans et 317 jours

Oknoplast présente la fenêtre intelligente

Bien que l'idée de la fenêtre intelligente pourvue d'écran tactile existe depuis un bon moment, ce n'est qu'aujourd'hui que ce projet voit réellement le jour. Lors du salon européen Fensterbau Frontale en Allemagne, le Groupe OKNOPLAST a présenté, sur son stand multimédia, la Fenêtre Intelligente Smart Window : une vraie révolution dans le monde des technologies et du design.
Il y a 6 ans et 317 jours

Rénovation urbaine : le doublement du budget du NPNRU est finalisé

CONVENTION. Ce 11 juillet, une nouvelle convention quinquennale finalisant le financement du Programme national de rénovation urbaine (PNRU) et celui du Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU) a été signée par l'Etat, le groupe Action Logement et l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU).
Il y a 6 ans et 317 jours

Événement : Design Parade Hyères 2018

À tous les amoureux de design : rendez-vous jusqu'au 30 septembre à la Villa Noailles de Hyères (83), demeure moderniste s'il en est, aujourd'hui devenue un centre d'art. Dans ce lieu situé depuis ses origines à l'avant-garde de l'art par ses commanditaires Charles et Marie-Laure de Noailles, venez découvrir le festival de la Design Parade 2018 et ses sélections. Une ode à la discipline et un hommage aux mécènes qu'étaient les Noailles. Et dire que la Villa Noailles, édifiée entre 1924 et 1934 par l'architecte Robert Mallet-Stevens, n'était plus qu'une ruine lorsque, à la fin des années 1980, cette belle endormie de 1 800 mètres carrés retrouve enfin sa splendeur passée grâce à de longs travaux de restauration. La vaste demeure, entre-temps classée au Monument historique, devient alors un centre d'art et une résidence d'artistes. Entre ces murs blancs avec une vue à couper le souffle sur la Méditerranée, des personnalités telles que Jean Cocteau, André Gide, Pablo Picasso, Salvador Dalí, Luis Buñuel s'y sont ainsi succédées. L'on imagine alors aisément l'animation qui régnait en ces lieux. Un joyeux bordel et une effervescence créatrice qui semblent encore vibrer dans ces vastes pièces fonctionnalistes et à l'orée de ses jardins cubistes. Un terrain de jeu rêvé pour ces hôtes de choix et les propriétaires de la demeure, le Vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure, riche héritière du cru. Mais voilà, la séparation du couple, suivie du décès de l'iconique maîtresse des lieux en 1970, signent la fin de plusieurs décennies d'émulation intellectuelle et artistique, aux allures de happenings longue durée.Heureusement, grâce au rachat de la maison par la Municipalité et à l'investissement de passionnés, la ruine retrouve son vaste d'antan et son âme d'enfant. Dans la lignée instaurée par les Noailles : place à la jeune création, donc ! Elle accueille ainsi le Festival international des arts et de la mode à partir de 1986, puis un prix photo à partir de 1997, et enfin la Design Parade en 2006, sous la houlette et l'"il rieur de l'enfant du pays : Jean-Pierre Blanc, directeur de l'institution. Fidèle à son histoire et à sa réputation de dénicheur de talents, cet édifice-paquebot a accueilli du 28 juin au 1 juillet pour sa 13e année consécutive, la Design Parade, festival international de design dirigé par Jean-Pierre Blanc et présidé par Pascale Mussard " fondatrice de Petit h, atelier-laboratoire de la marque Hermès. Quatre jours durant lesquels le public et un jury d'experts emmené par le designer Philippe Malouin, ont pu prendre le pouls de la création de demain. Parmi les dix designers présélectionnés sur dossier, ils ont eu la tâche ardue d'élire un Grand prix et de décerner une mention spéciale, tous deux ayant reçu différentes dotations émanant des partenaires de l'événement. Le premier revient à la Portugaise Sara de Campos (1989), avec l'ergonomique Uva " " raisin " en portugais ", un panier fonctionnel dédié à la récolte du raisin, inspiré de ses racines familiales viticoles ; le second salue une démarche toute autre, anthropologique cette fois, celle des designers américains Alex Sizemore (1995) et Hank Beyer (1994). Ces derniers, partis durant une année à la découverte de savoir-faire locaux aux États-Unis sont en effet revenus de ce périple initiatique avec un constat tout à fait différent de celui escompté : l'uniformisation des produits de masse. Une douche froide qu'ils racontent avec humour dans leur série For the rest of us, détournant l'objet qui selon eux est la représentation archétypale de la mondialisation, l'ordinateur, parodié ici en cire, terre ou encore charbon ; un truchement qui nous rappelle, à nous consommateurs, que le produit n'a aujourd'hui plus rien de naturel. La distinction du public revient quant à elle aux jeunes Camille Viallet (1992) et Théo Leclercq (1991) qui interrogent pour leur part la place du meuble dans l'espace public dans leur projet nommé La Cité. Une terminologie qui fait écho au sens premier du terme, celui de communauté, et qui réunit sous cette bannière des croquis de mobilier urbain et un prototype de banc à l'échelle 1:1 nommé Exèdre " une référence aux salles antiques semi-circulaires dotées de sièges. La revue hollandaise Frame a pour sa part auréolé la collection Bone du Canadien Loïc Bard de sa mention spéciale " Eye on talents ", " par ailleurs coup de c"ur de la rédaction de Muuuz. Un ensemble sensuel tout en rondeurs composé de bancs, chaises et tabourets en érable blanchi ou brûlé par les soins de l'ébéniste devenu designer, d'où aucune aspérité ne point. L'occasion également d'exposer d'anciennes jeunes pousses repérées lors de précédentes éditions de la Design Parade, notamment le travail de Philippe Malouin (1980), au travers d'une rétrospective revenant sur ses 10 ans de carrière, exposée dans l'ancienne piscine de la Villa. Les spectateurs auront par ailleurs le plaisir de découvrir la synthèse de la résidence d'artistes de Carolien Niebling, Grand Prix de l'édition 2017, à la manufacture de Sèvres (92) et au Cirva (Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques), par le biais d'un hommage aux plantes aquatiques prenant la forme de plats et de vases. Retour sur le travail d'un autre vainqueur : Arthur Hoffner et ses fontaines iconoclastes issues d'assemblages de matériaux que la bienséance nous empêcherait presque d'imaginer ensemble, et pourtant ! Ses objets sont si réussis que la Villa Noailles vient de faire l'acquisition de l'une de ses pièces mêlant bois, marbre, PVC et corde, qui trône dorénavant dans l'une des cours de la demeure. En somme, un retour... aux sources, pour cet ancien Prix du public et de la Ville de Hyères. Treize ans après sa fondation, la Villa Noailles assoie donc plus que jamais sa réputation de dénicheuse de talents. Il nous tarde déjà de venir y chiner les découvertes de la prochaine édition ! Design Parade, Villa Noailles, Hyères (83), jusqu'au 30 septembre Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Hyères Photographies :01) Membres du jury de la Design Parade Hyères 2018 (Philippe Malouin, Erwan Bouroullec, Felix Burrichter, Alexandra Cunningham Cameron, Maria-Cristina Didero, Marianne Goebl, Paul Johnson, Matylda Krzykowski, Livia Lauber et Carolien Niebling) - photo JPPM by Luc Bertrand02) La Cité, Camille Viallet & Theo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand03) Les 10 designers présélectionnés aux concours de la Design Parade Hyères 2018 (Loïc Bard, Anaïs Borie, Tom Chung, Marie Cornil, Sara de Campos, Julien Manaira Alex Sizemore& Hank Beyer, Camille Viallet & Théo Leclercq et Alexandre Willaume) - photo JPPM by Luc Bertrand04) Grand Prix Design Parade Hyeres : Uva, Sara de Campos - photo JPPM by Luc Bertrand05) Portrait Sara de Campos - photo JPPM by Emile Kirsch06) Grand Prix Design Parade Hyeres : Uva, Sara de Campos - photo JPPM by Luc Bertrand07) Mention spéciale du jury : For the rest of us, Alex Sizemore & Hank Beyer08) Portrait Alex Sizemore & Hank Beyer - photo JPPM by Emile Kirsch09) Mention spéciale du jury : For the rest of us, Alex Sizemore & Hank Beyer - photo JPPM by Luc Bertrand10) Prix du public Design Parade Hyères : La Cité, Camille Viallet & Théo Leclercq11) Portrait Camille Viallet et Theo Leclercq - photo JPPM by Emile Kirsch12) Prix du public Design Parade Hyères : La Cité, Camille Viallet & Théo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand13) Prix du public Design Parade Hyères : Exèdre, Camille Viallet & Théo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand14) Mention " Eyes on talents x Frame " Design Parade Hyères : Barn, Loic Bard15) Portrait Loic BARD - photo JPPM by Emile Kirsch16) Mention " Eyes on talents x Frame " Design Parade Hyères : Barn, Loic Bard - photo JPPM by Luc Bertrand17) Rétrospective, Philippe Malouin, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201818) Rétrospective, Philippe Malouin, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201819) La beauté des plantes aquatiques, Carolien Niebling, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201820) Le cours de l'eau, Arthur Hoffner, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 2018
Il y a 6 ans et 317 jours

Événement : Design Parade Hyères 2018

À tous les amoureux de design : rendez-vous jusqu'au 30 septembre à la Villa Noailles de Hyères (83), demeure moderniste s'il en est, aujourd'hui devenue un centre d'art. Dans ce lieu situé depuis ses origines à l'avant-garde de l'art par ses commanditaires et mécènes Charles et Marie-Laure de Noailles, venez découvrir le festival de la Design Parade 2018. Une ode à la discipline et un hommage aux passionnés d'art qu'étaient les Noailles. Et dire que la Villa Noailles, édifiée entre 1924 et 1934 par l'architecte Robert Mallet-Stevens, n'était plus qu'une ruine lorsque, à la fin des années 1980, cette belle endormie de 1 800 mètres carrés retrouve enfin sa splendeur passée grâce à de longs travaux de restauration. La vaste demeure, entre-temps classée au Monument historique, devient alors un centre d'art et une résidence d'artistes.Entre ces murs blancs avec une vue à couper le souffle sur la Méditerranée, des personnalités telles que Jean Cocteau, André Gide, Pablo Picasso, Salvador Dalí, Luis Buñuel se sont ainsi succédées. L'on imagine alors aisément l'animation qui régnait en ces lieux. Un joyeux bordel et une effervescence créatrice qui semblent encore vibrer dans ces vastes pièces fonctionnalistes et à l'orée de ses jardins cubistes. Un terrain de jeu rêvé pour ces hôtes de choix et les propriétaires de la demeure, le Vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure, riche héritière du cru. Mais voilà, la séparation du couple, suivie du décès de l'iconique maîtresse des lieux en 1970, signent la fin de plusieurs décennies d'émulation intellectuelle et artistique, aux allures de happenings longue durée. Heureusement, grâce au rachat de la maison par la Municipalité et à l'investissement de passionnés, la ruine retrouve son vaste d'antan et son âme d'enfant. Dans la lignée instaurée par les Noailles : place à la jeune création, donc ! Elle accueille ainsi le Festival international des arts et de la mode à partir de 1986, puis un prix photo à partir de 1997, et enfin la Design Parade en 2006, sous la houlette et l'"il rieur de l'enfant du pays : Jean-Pierre Blanc, directeur de l'institution. Fidèle à son histoire et à sa réputation de dénicheur de talents, cet édifice-paquebot a accueilli du 28 juin au 1 juillet pour sa 13e année consécutive, la Design Parade, festival international de design dirigé par Jean-Pierre Blanc et présidé par Pascale Mussard " fondatrice de Petit h, atelier-laboratoire de la marque Hermès. Quatre jours durant lesquels le public et un jury d'experts emmené par le designer Philippe Malouin, ont pu prendre le pouls de la création de demain. . Parmi les dix designers présélectionnés sur dossier, celui-ci a eu la tâche ardue d'élire un Grand prix et de décerner une mention spéciale, accompagnés de dotations émanant des partenaires de l'événement. La première récompense revient à la Portugaise Sara de Campos (1989), avec l'ergonomique Uva " " raisin " en portugais ", un panier fonctionnel dédié à la récolte des grappes, inspiré de ses racines familiales viticoles ; la seconde salue une démarche toute autre, anthropologique cette fois, celle des designers américains Alex Sizemore (1995) et Hank Beyer (1994), partis durant une année à la découverte de savoir-faire locaux aux États-Unis. Les deux compères sont en effet revenus de ce périple initiatique avec un constat tout à fait différent de celui escompté : l'uniformisation des produits de masse. Une douche froide qu'ils racontent avec humour dans leur série For the rest of us, détournant l'objet qui ,selon eux, est la représentation archétypale de la mondialisation : l'ordinateur, parodié ici en cire, terre ou encore charbon. Un truchement qui nous rappelle, à nous consommateurs, que le produit n'a aujourd'hui plus rien de naturel. La distinction du public revient quant à elle aux jeunes Camille Viallet (1992) et Théo Leclercq (1991) qui interrogent la place du meuble dans l'espace public dans leur projet nommé La Cité. Une terminologie qui fait écho au sens premier du terme, celui de communauté, et qui réunit sous cette bannière des croquis de mobilier urbain et un prototype de banc à l'échelle 1:1 nommé Exèdre " une référence aux salles antiques semi-circulaires dotées de sièges. La revue hollandaise Frame a pour sa part auréolé la collection Bone du Canadien Loïc Bard de sa mention spéciale " Eye on talents " " par ailleurs coup de c"ur de la rédaction de Muuuz. Un ensemble sensuel tout en rondeurs, composé de bancs, chaises et tabourets en érable blanchi ou brûlé par les soins de l'ébéniste devenu designer, d'où aucune aspérité ne point. L'occasion également d'exposer d'anciennes jeunes pousses repérées lors de précédentes éditions de la Design Parade, notamment le travail de Philippe Malouin (1980), au travers d'une rétrospective exposée dans l'ancienne piscine de la Villa revenant sur ses 10 ans de carrière. Les spectateurs auront également le plaisir de découvrir la synthèse de la résidence d'artistes de Carolien Niebling, Grand Prix de l'édition 2017, à la manufacture de Sèvres (92) et au Cirva (Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques), par le biais d'un hommage aux plantes aquatiques prenant la forme de plats et de vases. Au premier niveau de cette maison d'anthologie : zoom sur le travail d'un autre vainqueur, Arthur Hoffner, et ses fontaines iconoclastes issues d'assemblages de matériaux que la bienséance nous empêcherait presque d'imaginer ensemble, et pourtant ! Ses objets sont si réussis que la Villa vient de faire l'acquisition de l'une de ses pièces mêlant bois, marbre, PVC et corde, qui trône dorénavant dans l'une des cours de la demeure. En somme, un retour... aux sources, pour cet ancien Prix du public et de la Ville de Hyères. Treize ans après sa fondation, la Villa Noailles assoie donc plus que jamais sa réputation de dénicheuse de talents. Il nous tarde déjà de venir y chiner les découvertes de la prochaine édition ! Design Parade, Villa Noailles, Hyères (83), jusqu'au 30 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Hyères Photographies :01) Membres du jury de la Design Parade Hyères 2018 (Philippe Malouin, Erwan Bouroullec, Felix Burrichter, Alexandra Cunningham Cameron, Maria-Cristina Didero, Marianne Goebl, Paul Johnson, Matylda Krzykowski, Livia Lauber et Carolien Niebling) - photo JPPM by Luc Bertrand02) La Cité, Camille Viallet & Theo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand03) Les 10 designers présélectionnés aux concours de la Design Parade Hyères 2018 (Loïc Bard, Anaïs Borie, Tom Chung, Marie Cornil, Sara de Campos, Julien Manaira Alex Sizemore& Hank Beyer, Camille Viallet & Théo Leclercq et Alexandre Willaume) - photo JPPM by Luc Bertrand04) Grand Prix Design Parade Hyeres : Uva, Sara de Campos - photo JPPM by Luc Bertrand05) Portrait Sara de Campos - photo JPPM by Emile Kirsch06) Grand Prix Design Parade Hyeres : Uva, Sara de Campos - photo JPPM by Luc Bertrand07) Mention spéciale du jury : For the rest of us, Alex Sizemore & Hank Beyer08) Portrait Alex Sizemore & Hank Beyer - photo JPPM by Emile Kirsch09) Mention spéciale du jury : For the rest of us, Alex Sizemore & Hank Beyer - photo JPPM by Luc Bertrand10) Prix du public Design Parade Hyères : La Cité, Camille Viallet & Théo Leclercq11) Portrait Camille Viallet et Theo Leclercq - photo JPPM by Emile Kirsch12) Prix du public Design Parade Hyères : La Cité, Camille Viallet & Théo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand13) Prix du public Design Parade Hyères : Exèdre, Camille Viallet & Théo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand14) Mention " Eyes on talents x Frame " Design Parade Hyères : Barn, Loic Bard15) Portrait Loic BARD - photo JPPM by Emile Kirsch16) Mention " Eyes on talents x Frame " Design Parade Hyères : Barn, Loic Bard - photo JPPM by Luc Bertrand17) Rétrospective, Philippe Malouin, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201818) Rétrospective, Philippe Malouin, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201819) La beauté des plantes aquatiques, Carolien Niebling, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201820) Le cours de l'eau, Arthur Hoffner, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 2018
Il y a 6 ans et 317 jours

CEMEX France s'associe à ICF Performance pour le déploiement de sa solution THERMOFORM®

Début juin, CEMEX et ICF Performance ont signé un partenariat en vue d'accélérer le développement commercial de la solution constructive THERMOFORM®, particulièrement dans le secteur de la maison individuelle et des logements collectifs. Une synergie d'avenir pour des logements à empreinte carbone réduite.
Il y a 6 ans et 318 jours

Tope-La.fr : Une nouvelle plateforme d'entraide entre professionnels du bâtiment

Prévue pour septembre 2018, Tope-La se présente comme une plateforme de mise en relation en ligne permettant aux artisans et PME de trouver une solution face aux périodes de sous-charge et sur-charge qu'ils peuvent rencontrer dans le cadre de leur activité : Trouver des professionnels qualifiés avec qui travailler Tope-La permettra aux entreprises en sur-charge de travail de trouver facilement une aide qualifiée, outillé et véhiculé. Pour cela, l'entreprise n'aura qu'à se connecter sur la plateforme et enregistrer son besoin (activité, dates, secteur géographique) afin de se voir proposer une sélection de professionnels correspondant à ses critères et actuellement en recherche d'opportunités. Le service sera accessible sur toutes les plateformes : smartphone, tablette et ordinateur.   Sortie prévue au 2ème trimestre 2018 Tope-La propose aux professionnels intéressés de renseigner leur email afin d'être averti du lancement officiel de la plateforme, si vous souhaitez vous inscrire, rendez-vous sur le site : http://tope-la.fr/
Il y a 6 ans et 318 jours

A Rome, l'appel d'une mère pour signaler les nids-de-poule "meurtriers"

ITALIE. "Un peu de peinture sur le sol pour sauver des vies..." C'est l'appel lancé sur internet par la mère d'une jeune fille morte il y a deux mois des suites d'une chute à scooter dans une rue de Rome au revêtement dégradé.
Il y a 6 ans et 318 jours

Bas-Rhin : des butons hydrauliques pour un chantier ferroviaire

BUTONNAGE. Sur la commune de Molsheim (Bas-Rhin), la SNCF souhaite supprimer un des 50 passages à niveaux les plus dangereux de France. Pour ce faire, un groupement composé d'Eiffage Génie Civil et de Groundforce est chargé de construire une trémie routière souterraine. Pour assurer le soutènement temporaire des parois moulées, des butons hydrauliques spécifiques sont employés. Reportage.
Il y a 6 ans et 318 jours

Les Prix Smart Building du Gimélec remis à six jeunes pousses

PALMARÈS. Internet des objets, BIM, intelligence artificielle, data... Toutes les grandes tendances de la technologie ont été distinguées lors des Prix Smart Building organisés par le Gimélec et Construction21. Détails.
Il y a 6 ans et 318 jours

Audrey Faugloire : DEEP Coffee Roasters

Un coffee shop à la new-yorkaise en plein centre historique de Marseille (1er) ? Vous ne rêvez pas. Tony Collins vous accueille au DEEP Coffee Roasters conçu par l'architecte Audrey Faugloire, une boutique prête à vous envoûter de ses cafés torréfiés sur place ! Nul besoin d'investir dans des billets d'avion, c'est à Marseille qu'il faut aller ! Réhabilité en coffee shop, cet ancien bar à hôtesse situé dans le quartier de l'Opéra saura vous faire aimer le café. Le DEEP est ainsi une boutique et un atelier de torréfaction imaginé par le passionné Tony Collins et ses trois associés Davin, Adrien et Guillaume, le tout divinement décoré par Audrey Faugloire. Malgré un budget serré, l'architecte marseillaise conçoit un cadre sophistiqué et confortable où l'or noir se transforme derrière un comptoir plaqué bois et plan de travail en terrazzo. Derrière celui-ci : une étagère toute hauteur qui le sépare de l'atelier de torréfaction. C'est d'ailleurs dans cet espace qu'ont été retrouvés des vestiges d'anciens arsenaux du XVIIe siècle lors du chantier. Un patrimoine qu'Audrey Faugloire décide de mettre en valeur en conservant la calade et les arcades en pierres qui participent à ce décor brut. Rien d'ostentatoire donc. Une façade simple et efficace avec un cadre, des portes et un banc en bois ainsi qu'une large vitre sur laquelle est écrit en lettres majuscules DEEP, laissant transparaître trois tables rondes blanches et chaises vert sapin agencées pour la dégustation. Sol en béton brut et plafond peint en bleu d'eau et poutres apparentes blanches. L'un des pans de mur latéraux est consacré à la vente à emporter avec des étagères en bois d'Orme d'Amérique soutenues par des tiges en laiton, et en face à lui un mur gris clair avec large miroir servant de carte des cafés. Que l'on soit expresso, moka ou macchiato, boire son café ici où il est fraîchement moulu, c'est plutôt agréable. Pour en savoir plus, visitez le site d'Audrey Faugloire Photographies et illustrations : 01-08) Florence Vesval09) Audrey Faugloire Architecture
Il y a 6 ans et 318 jours

Audrey Faugloire : DEEP Coffee Roasters

Un coffee shop à la new-yorkaise en plein centre historique de Marseille (1er) ? Vous ne rêvez pas. Tony Collins vous accueille au DEEP Coffee Roasters conçu par l'architecte Audrey Faugloire, une boutique prête à vous envoûter de ses cafés torréfiés sur place ! Nul besoin d'investir dans des billets d'avion, c'est à Marseille qu'il faut aller ! Réhabilité en coffee shop, cet ancien bar à hôtesse situé dans le quartier de l'Opéra saura vous faire aimer le café. Le DEEP est ainsi une boutique et un atelier de torréfaction imaginé par le passionné Tony Collins et ses trois associés Davin, Adrien et Guillaume, le tout divinement décoré par Audrey Faugloire. Malgré un budget serré, l'architecte marseillaise conçoit un cadre sophistiqué et confortable où l'or noir se transforme derrière un comptoir plaqué bois et plan de travail en terrazzo. Derrière celui-ci : une étagère toute hauteur qui le sépare de l'atelier de torréfaction. C'est d'ailleurs dans cet espace qu'ont été retrouvés des vestiges d'anciens arsenaux du XVIIe siècle lors du chantier. Un patrimoine qu'Audrey Faugloire décide de mettre en valeur en conservant la calade et les arcades en pierres qui participent à ce décor brut. Rien d'ostentatoire donc. Une façade simple et efficace avec un cadre, des portes et un banc en bois ainsi qu'une large vitre sur laquelle est écrit en lettres majuscules DEEP, laissant transparaître trois tables rondes blanches et chaises vert sapin agencées pour la dégustation. Sol en béton brut et plafond peint en bleu d'eau et poutres apparentes blanches. L'un des pans de mur latéraux est consacré à la vente à emporter avec des étagères en bois d'Orme d'Amérique soutenues par des tiges en laiton, et en face à lui un mur gris clair avec large miroir servant de carte des cafés. Que l'on soit expresso, moka ou macchiato, boire son café ici où il est fraîchement moulu, c'est plutôt agréable. Pour en savoir plus, visitez le site d'Audrey Faugloire Photographies et illustrations : 01-08) Florence Vesval09) Audrey Faugloire Architecture
Il y a 6 ans et 318 jours

Bordeaux Métropole choisit Veolia pour la gestion des eaux pluviales et l'assainissement

Le Conseil de Bordeaux Métropole a confié à Veolia l'assainissement et la gestion des eaux pluviales de l'agglomération pour la période 2019-2025, en remplacement du groupe Suez.
Il y a 6 ans et 318 jours

Maurin Fixation dévoile un nouveau site Web avec de nouvelles fonctionnalités

MAURIN FIXATION annonce le lancement de son nouveau site internet. Toujours à la recherche de solutions pour répondre, voire même anticiper les besoins de ses clients, l'entreprise a effectué une totale refonte de son site. Celui-ci devient un véritable outil clair et intuitif au service des professionnels des secteurs de l'Industrie et du Bâtiment.
Il y a 6 ans et 318 jours

Les investissements dans le solaire en baisse au premier semestre

Les investissements mondiaux dans l'énergie solaire ont reculé au premier semestre 2018, sous l'effet de la réduction des coûts des installations photovoltaïques et d'un ralentissement des nouveaux projets en Chine, selon une étude publiée mardi.
Il y a 6 ans et 318 jours

Réalisation du Pavillon CONTEMPLATION

Dans le cadre d'un mécénat de compétences VINCI Construction France, sa filiale GTM Sud a réalisé un Pavillon en bambou Guadua de 1 000 m². Installé pour la première fois lors des Rencontres de la photographie d'Arles 2018, il a été imaginé par l'architecte colombien Simón Vélez et son associé Stefana Simic.
Il y a 6 ans et 318 jours

Álvaro Siza : Capela do Monte

Il faut emprunter un petit sentier pour pouvoir l'atteindre. La Capela do Monte, une chapelle minimaliste de 65 mètres carrés située à flanc de colline, a été érigée par l'architecte Álvaro Siza au printemps 2018 dans la campagne d'Algarve (Portugal). Un édifice tout en humilité qui s'inscrit dans un projet de revalorisation du patrimoine agricole de la région. Une architecture qui va à l'essentiel, voilà la Capela do Monte (signifiant chapelle de la montagne en portugais), intégrée au centre Monte da Charneca, un complexe d'habitation de 7 hectares en cours de construction dont l'ouverture est prévue au début de l'année 2021. Composé de sept maisons traditionnelles réhabilitées pourvues d'un système à énergie solaire ainsi que d'un verger, ce projet a pour but de créer une aire de retraite qui valorise le territoire auprès des touristes. Avec sa façade quasi-aveugle en U, ce large cube de deux niveaux en brique recouverte de chaux locale couleur crème et son parvis d'entrée dominent le hameau d'Algarve sur son flanc ouest. L'entrée se fait côté sud, par le biais d'un hall longitudinal chaleureux baigné de lumière zénithale. Sur les murs : trois scènes religieuses peintes sur un carrelage blanc issu de la ville de Viuva Lamego " reprenant la technique des azulujos chère aux Portugais ", et croquées par Álvaro Siza lui-même. Une fois passé le corridor, changement d'ambiance : une salle carrée immaculée aux parois recouvertes de carrelage sur leur moitié inférieure avec un mobilier en bois clair comprenant un autel, une série de chaises et une abstraction de la croix traditionnelle haute de 2,30 mètres, le tout éclairé zénithalement. D'un rationalisme épuré, ce rendez-vous spirituel situé à vingt minutes de la côte d'Algarve est un bijou de l'architecture dite " régionaliste critique ". Photographies : João Morgado " Fotografia de arquitectura
Il y a 6 ans et 318 jours

Álvaro Siza : Capela do Monte

Il faut emprunter un petit sentier pour pouvoir l'atteindre. La Capela do Monte, une chapelle minimaliste de 65 mètres carrés située à flanc de colline, a été érigée par l'architecte Álvaro Siza au printemps 2018 dans la campagne d'Algarve (Portugal). Un édifice tout en humilité qui s'inscrit dans un projet de revalorisation du patrimoine agricole de la région. Une architecture qui va à l'essentiel, voilà la Capela do Monte (signifiant chapelle de la montagne en portugais), intégrée au centre Monte da Charneca, un complexe d'habitation de 7 hectares en cours de construction dont l'ouverture est prévue au début de l'année 2021. Composé de sept maisons traditionnelles réhabilitées pourvues d'un système à énergie solaire ainsi que d'un verger, ce projet a pour but de créer une aire de retraite qui valorise le territoire auprès des touristes. Avec sa façade quasi-aveugle en U, ce large cube de deux niveaux en brique recouverte de chaux locale couleur crème et son parvis d'entrée dominent le hameau d'Algarve sur son flanc ouest. L'entrée se fait côté sud, par le biais d'un hall longitudinal chaleureux baigné de lumière zénithale. Sur les murs : trois scènes religieuses peintes sur un carrelage blanc issu de la ville de Viuva Lamego " reprenant la technique des azulujos chère aux Portugais ", et croquées par Álvaro Siza lui-même. Une fois passé le corridor, changement d'ambiance : une salle carrée immaculée aux parois recouvertes de carrelage sur leur moitié inférieure avec un mobilier en bois clair comprenant un autel, une série de chaises et une abstraction de la croix traditionnelle haute de 2,30 mètres, le tout éclairé zénithalement. D'un rationalisme épuré, ce rendez-vous spirituel situé à vingt minutes de la côte d'Algarve est un bijou de l'architecture dite " régionaliste critique ". Photographies : João Morgado " Fotografia de arquitectura
Il y a 6 ans et 318 jours

Logement neuf : pour la FFB, la dynamique est "cassée"

ANALYSE. Le rabotage des aides à la pierre, décidé l'an dernier, n'aura pas tardé à produire ses effets. En effet, d'après la Fédération française du bâtiment (FFB), le marché du logement neuf connaît déjà un "retournement".
Il y a 6 ans et 318 jours

Mass Operations : Antilope Café

Situé dans la ville de Montmerrey au Mexique, le café Antilope, réalisé par l'agence d'architecture Mass Operations, s'inspire de l'univers de Wes Anderson pour offrir le premier espace physique de la chaîne éponyme. Un design façon Grand Budapest Hotel ! Le temple du café ! L'Antilope est un volume longitudinal de plain-pied de 80 mètres carrés, où salle de restauration, comptoir et cuisine s'enchaînent. Influencée par la géométrie des films de Wes Anderson, l'équipe de Mass Operations divise un unique espace d'accueil en deux atmosphères qui se font face, à la fois distinctes et complémentaires. D'un côté se trouve donc la partie bar installée dans un décor rose pastel, ponctué de panneaux de marbre blanc, de sculptures animalières en fil de fer et de plantes, muni par ailleurs de tables en marbre et chaises hautes ; et de l'autre, une aire plus "froide" avec un mur blanc hachuré de lignes métalliques dorées, et tables rondes blanches, sièges et banquettes vert pin, où se trouve la zone de restauration. Les lattes de plancher et le faux-plafond disposés en biais complètent ce tableau géométrique. Au fond de la salle, un grand cadre de marbre flottant entre des caissons translucides rétro-éclairés sépare les clients du barista. Cette chapelle du torréfié risque d'attirer des fidèles ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Mass Operation Photographies : Lorena Darquea
Il y a 6 ans et 318 jours

Mass Operations : Antilope Café

Situé dans la ville de Montmerrey au Mexique, le café Antilope, réalisé par l'agence d'architecture Mass Operations, s'inspire de l'univers de Wes Anderson pour offrir le premier espace physique de la chaîne éponyme. Un design façon Grand Budapest Hotel ! Le temple du café ! L'Antilope est un volume longitudinal de plain-pied de 80 mètres carrés, où salle de restauration, comptoir et cuisine s'enchaînent. Influencée par la géométrie des films de Wes Anderson, l'équipe de Mass Operations divise un unique espace d'accueil en deux atmosphères qui se font face, à la fois distinctes et complémentaires. D'un côté se trouve donc la partie bar installée dans un décor rose pastel, ponctué de panneaux de marbre blanc, de sculptures animalières en fil de fer et de plantes, muni par ailleurs de tables en marbre et chaises hautes ; et de l'autre, une aire plus "froide" avec un mur blanc hachuré de lignes métalliques dorées, et tables rondes blanches, sièges et banquettes vert pin, où se trouve la zone de restauration. Les lattes de plancher et le faux-plafond disposés en biais complètent ce tableau géométrique. Au fond de la salle, un grand cadre de marbre flottant entre des caissons translucides rétro-éclairés sépare les clients du barista. Cette chapelle du torréfié risque d'attirer des fidèles ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Mass Operation Photographies : Lorena Darquea
Il y a 6 ans et 319 jours

Aides financières pour la rénovation énergétique d'un logement en 2018

Lors de leur projet de rénovation de maison individuelle ou d'appartement, les particuliers peuvent prétendre à différentes aides financières. Selon leur situation et les travaux effectués (isolation, chauffage, menuiserie?), il existe plusieurs aides pour les aider dans leurs travaux de rénovation énergétique qui peuvent être cumulées : Crédit d'impôt pour la transition énergétique, éco prêt à taux zéro, TVA réduite, aides locales, programme " habiter mieux " de l'Anah?
Il y a 6 ans et 319 jours

Écran de sous toiture PERSPIRE HPV TR2 DBA

Würth présente son écran de sous toiture PERSPIRE HPV TR2 version DBA, avec doubles bandes adhésives intégrées et inversées pour améliorer l'étanchéité à l'air et à l'eau de la membrane.
Il y a 6 ans et 319 jours

L'impossible mariage de l'architecture et du marketing ?

Le marketing présidant à la conception des grandes surfaces, ce n'est pas tant leur médiocrité architecturale que les rares exceptions qui étonnent. Toujours pas de chef-d'"uvre à l'horizon Quelque cinquante ans en France mais aucun chef-d'"uvre à son actif. La […] L'article L'impossible mariage de l'architecture et du marketing ? est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 319 jours

Le Label BBCA entre dans les aides de financement du logement social de la Ville de Paris

Le label BBCA, lancé par l'Association pour le développement du Bâtiment Bas carbone (BBCA), est désormais reconnu par la Ville de Paris qui offre des aides aux bailleurs sociaux investis dans l'obtention du label BBCA pour des opérations de logement social ou intermédiaire.
Il y a 6 ans et 319 jours

Carsten Höller : Florence Experiment

Le palais Strozzi de Florence (Italie) se transforme en laboratoire artistique géant avec Florence Experiment, une installation monumentale réalisée par Carsten Höller, à découvrir jusqu'au 26 août 2018. Dans la cour du palais Strozzi à Florence (Italie), chef-d'"uvre de la Renaissance devenu centre culturel, deux toboggans en acier et polycarbonate de 80 centimètres de diamètre et 25 mètres de longueur s'entrelacent ! Nommée Florence Experiment, l'installation a été commandée par le musée à l'artiste allemand Carten Höller, en collaboration avec le neurobiologiste italien Stefano Mancuso. Elle part d'une loggia au deuxième étage " à 20 mètres de hauteur " depuis laquelle est fournie une plante au visiteur avec laquelle il devra descendre jusqu'au rez-de-chaussée. Celui-ci est ensuite invité à rejoindre le laboratoire pop-up situé au sous-sol où des scientifiques analysent les paramètres photosynthétiques et les molécules volatiles de la plante, et les comparent à un deuxième groupe de plantes envoyées seules dans le toboggan et un troisième n'ayant pas du tout réalisé l'expérience.Toujours au sous-sol, deux cinémas projettent des extraits de films ' l'un de comédie et l'autre d'horreur ", et des tuyaux y captent de l'air avant de le transporter jusqu'à la façade sur laquelle se trouvent huit treillis où poussent des glycines. Chacun d'eux est composé de deux ramifications provenant des deux cinémas : Carsten Höller souhaite ainsi savoir si la progression des végétaux est impactée par l'odeur diffusée par les salles de cinéma et les spectateurs. Une réflexion artistique axée sur la relation entre l'humaine et la nature. Florence Experiment, Palais Strozzi, Florence (Italie) jusqu'au 26 août 2018 Pour en savoir plus, visitez le site du Palais Strozzi Photographies : Michele Giuseppe Onali, Martino Margheri
Il y a 6 ans et 319 jours

Carsten Höller : Florence Experiment

Le palais Strozzi de Florence (Italie) se transforme en laboratoire artistique géant le temps d'un été avec Florence Experiment, une installation monumentale réalisée par Carsten Höller, à découvrir jusqu'au 26 août 2018. Dans la cour du palais Strozzi à Florence (Italie), chef-d'"uvre de la Renaissance devenu centre culturel, deux toboggans en acier et polycarbonate de 80 centimètres de diamètre et 25 mètres de longueur s'entrelacent. Nommée Florence Experiment, l'installation a été commandée par le musée à l'artiste allemand Carten Höller, en collaboration avec le neurobiologiste italien Stefano Mancuso. Elle part d'une loggia au deuxième étage " à 20 mètres de hauteur " depuis laquelle est fournie une plante au visiteur avec laquelle il devra descendre jusqu'au rez-de-chaussée. Celui-ci est ensuite invité à rejoindre le laboratoire pop-up situé au sous-sol où des scientifiques analysent les paramètres photosynthétiques et les molécules volatiles de la plante, et les comparent à un deuxième groupe de plantes envoyées seules dans le toboggan et un troisième n'ayant pas du tout réalisé l'expérience.Toujours au sous-sol, deux cinémas projettent des extraits de films ' l'un de comédie et l'autre d'horreur ", et des tuyaux y captent de l'air avant de le transporter jusqu'à la façade sur laquelle se trouvent huit treillis où poussent des glycines. Chacun d'eux est composé de deux ramifications provenant des deux cinémas : Carsten Höller souhaite ainsi savoir si la progression des végétaux est impactée par l'odeur diffusée par les salles de cinéma et les spectateurs. Une réflexion artistique axée sur la relation entre l'humaine et la nature. Florence Experiment, Palais Strozzi, Florence (Italie) jusqu'au 26 août 2018 Pour en savoir plus, visitez le site du Palais Strozzi Photographies : Michele Giuseppe Onali, Martino Margheri
Il y a 6 ans et 319 jours

A Kuujjuaraapik, au Nunavik, un centre culturel Inuit signé Blouin Orzes architectes

Pour l'Administration régionale Kativik et le Village nordique de Kuujjuaraapik, au Canada, l'agence Blouin Orzes architectes a livré au printemps 2018 une salle à la fine pointe de la technologie pour diffuser la riche culture Inuit. Communiqué. Bien que vivant […] L'article A Kuujjuaraapik, au Nunavik, un centre culturel Inuit signé Blouin Orzes architectes est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 319 jours

Hager ready, pour un tableau électrique toujours plus pro

Nouvel assistant digital, Hager ready est une application permettant aux installateurs de concevoir un tableau électrique conformément aux exigences de la norme d'installation NF C15-100, ainsi que de créer schémas et étiquettes de repérage directement sur le chantier, au moment même où ils conçoivent ou rénovent le tableau électrique d'une maison ou d'un logement.
Il y a 6 ans et 319 jours

Arnaud de Seigneurens, nouveau Directeur Général Adjoint de France Fermeture

France Fermetures, fabricant français multi-spécialiste des produits de fermetures, vient de nommer Arnaud de SEIGNEURENS au poste de Directeur Général Adjoint en remplacement de Max PAGNIOL.
Il y a 6 ans et 319 jours

Quels logiciels pour réaliser l'Analyse du Cycle de Vie ?

Un petit nombre de logiciels ou de modules d’ACV savent s’interfacer avec les logiciels de conception architecturale ou avec les logiciels de calcul réglementaire RT2012.
Il y a 6 ans et 319 jours

Le Lutetia, renaissance d'un hôtel emblématique après quatre ans de travaux

Hôtel emblématique chargé d'histoire, le Lutetia rouvre ses portes après quatre ans de travaux avec l'ambition de décrocher la distinction "palace" et d'accéder au cercle feutré des établissements parisiens très haut de gamme, où il se distingue déjà par des atouts uniques.
Il y a 6 ans et 319 jours

Événement : Jean Prouvé Nord-Sud

Aux confins de la ville de Marseille (8e) se cache une ancienne usine à plomb du XIXe siècle : la Friche de l'Escalette, un terrain racheté par le galeriste parisien Éric Touchaleaume en 2011, aujourd'hui ouvert au public pour sa troisième exposition estivale intitulée " Jean Prouvé Nord-Sud ". Place aux cabanons de ce fameux architete-ingénieur ! Après l'exposition " Utopie Plastic " en 2017 dédiée à l'habitat plastique, c'est au tour du logement métallique préfabriqué d'être mis en avant à la Friche de l'Escalette ! Disposées dans la cour centrale de la Friche, deux petites maisons de plain-pied réalisées par Jean Prouvé, d'origine radicalement différentes, se font face : l'une provient en effet de Lorraine, l'autre du Cameroun. Les voici donc réunies au sein d'un site patrimonial industriel remarquable : une ancienne usine à plomb taillée dans la pierre par des maçons italiens au milieu du XIXe siècle, abandonnée et devenue décharge informelle. Après son rachat en 2011 par le galeriste, notamment spécialisé dans l'"uvre de Jean Prouvé, et son nettoyage durant deux années, le vallon de 3 hectares est enfin prêt à accueillir des expositions. Jusqu'au 2 septembre, l'antiquaire et propriétaire des lieux Éric Touchaleaume présente ainsi le Pavillon de Lorraine 6 x 9 et le Bungalow du Cameroun, deux modèles d'architecture légère de Jean Prouvé qu'il définit comme des " icônes par leur simplicité, leur solidité et leur pureté ".Le Pavillon Lorraine 6 x 9 (1944-1945), haut de 2,90 mètres, a été commandé à la Libération par Raoul Dautry, ministre de la Reconstruction, afin de reloger les Lorrains sinistrés de la guerre. Aujourd'hui il n'en reste plus qu'une vingtaine sur les quelques centaines réalisés par l'architecte. Pour répondre à l'urgence que représente le relogement de milliers de sans-abris, notamment victimes des bombardements, l'architecte-ingénieur propose un volume de plain-pied préfabriqué, livré en kit, montable et démontable très rapidement. Le système constructif repose sur une structure en tôle d'acier pliée " principalement composée de deux portiques supportant une poutre faîtière métallique ", bardée de panneaux standardisés à double paroi en lattes de sapin. Un module de base prévu pour être complété par d'autres unités en fonction des besoins : salle de bain, toilettes, kitchenette et placard-penderie. Le Bungalow du Cameroun (1958-1964), 3,61 mètres de hauteur, recourt pour sa part à une ossature mixte bois-acier, avec façade coulissante en aluminium. Ce choix s'explique par l'accessibilité géographique et financière de ce bois exotique en Afrique. Quatre poteaux tubulaires en tôle d'acier pliée, forment une trame permettant d'y adjoindre jusqu'à cinq modules. Ce qui fait la spécificité de ce bâtiment est sa façade constituée de deux panneaux latéraux rainurés, dans lesquels sont insérées sept grandes tôles ondulées horizontales, perforées en partie inférieure, ce qui assure un éclairage indirect et une ventilation naturelle. Ces aménagements sont à découvrir durant l'été dans l'exposition " Jean Prouvé à vivre aujourd'hui ", où un dispositif de réalité augmentée permet d'imaginer les espaces intérieurs de l'époque. Exposition " Jean Prouvé Nord " Sud ", Friche de l'Escalette, Marseille (8e), jusqu'au 2 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de la Friche de l'Escalette Photographies : Galerie 54
Il y a 6 ans et 319 jours

Événement : Jean Prouvé Nord-Sud

Aux confins de la ville de Marseille (8e) se cache une ancienne usine à plomb du XIXe siècle : la Friche de l'Escalette, un terrain racheté par le galeriste parisien Éric Touchaleaume en 2011, aujourd'hui ouvert au public pour sa troisième exposition estivale intitulée " Jean Prouvé Nord-Sud ". Place aux cabanons de ce fameux architete-ingénieur ! Après l'exposition " Utopie Plastic " en 2017 dédiée à l'habitat plastique, c'est au tour du logement métallique préfabriqué d'être mis en avant à la Friche de l'Escalette ! Disposées dans la cour centrale de la Friche, deux petites maisons de plain-pied réalisées par Jean Prouvé, d'origine radicalement différentes, se font face : l'une provient en effet de Lorraine, l'autre du Cameroun. Les voici donc réunies au sein d'un site patrimonial industriel remarquable : une ancienne usine à plomb taillée dans la pierre par des maçons italiens au milieu du XIXe siècle, abandonnée et devenue décharge informelle. Après son rachat en 2011 par le galeriste, notamment spécialisé dans l'"uvre de Jean Prouvé, et son nettoyage durant deux années, le vallon de 3 hectares est enfin prêt à accueillir des expositions. Jusqu'au 2 septembre, l'antiquaire et propriétaire des lieux Éric Touchaleaume présente ainsi le Pavillon de Lorraine 6 x 9 et le Bungalow du Cameroun, deux modèles d'architecture légère de Jean Prouvé qu'il définit comme des " icônes par leur simplicité, leur solidité et leur pureté ".Le Pavillon Lorraine 6 x 9 (1944-1945), haut de 2,90 mètres, a été commandé à la Libération par Raoul Dautry, ministre de la Reconstruction, afin de reloger les Lorrains sinistrés de la guerre. Aujourd'hui il n'en reste plus qu'une vingtaine sur les quelques centaines réalisés par l'architecte. Pour répondre à l'urgence que représente le relogement de milliers de sans-abris, notamment victimes des bombardements, l'architecte-ingénieur propose un volume de plain-pied préfabriqué, livré en kit, montable et démontable très rapidement. Le système constructif repose sur une structure en tôle d'acier pliée " principalement composée de deux portiques supportant une poutre faîtière métallique ", bardée de panneaux standardisés à double paroi en lattes de sapin. Un module de base prévu pour être complété par d'autres unités en fonction des besoins : salle de bain, toilettes, kitchenette et placard-penderie. Le Bungalow du Cameroun (1958-1964), 3,61 mètres de hauteur, recourt pour sa part à une ossature mixte bois-acier, avec façade coulissante en aluminium. Ce choix s'explique par l'accessibilité géographique et financière de ce bois exotique en Afrique. Quatre poteaux tubulaires en tôle d'acier pliée, forment une trame permettant d'y adjoindre jusqu'à cinq modules. Ce qui fait la spécificité de ce bâtiment est sa façade constituée de deux panneaux latéraux rainurés, dans lesquels sont insérées sept grandes tôles ondulées horizontales, perforées en partie inférieure, ce qui assure un éclairage indirect et une ventilation naturelle. Ces aménagements sont à découvrir durant l'été dans l'exposition " Jean Prouvé à vivre aujourd'hui ", où un dispositif de réalité augmentée permet d'imaginer les espaces intérieurs de l'époque. Exposition " Jean Prouvé Nord " Sud ", Friche de l'Escalette, Marseille (8e), jusqu'au 2 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de la Friche de l'Escalette Photographies : Galerie 54
Il y a 6 ans et 319 jours

Les investissements dans le solaire en baisse au 1er semestre

Les investissements mondiaux dans l'énergie solaire ont reculé au premier semestre 2018, sous l'effet de la réduction des coûts des installations photovoltaïques et d'un ralentissement des nouveaux projets en Chine.
Il y a 6 ans et 319 jours

Bétons à empreinte carbone réduite

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Il y a 6 ans et 320 jours

Entretien avec Valérie Sfartz, directrice du salon Artibat, à 6 mois de la 16ème édition

En 2018, ARTIBAT est le rendez-vous attendu de tous les acteurs de la filière construction. Quels atouts positionnent le salon comme espace de rencontres et vecteur d'innovation pour la filière ?
Il y a 6 ans et 320 jours

Un nouvel enduit prometteur pour l'isolation thermique par l'extérieur

Parex lance un enduit minéral  pour l’isolation par l’extérieur. Collage-calage de l’isolant sur paroi béton ou maçonnée, application de sous-enduit et finition : les trois opérations sont réalisées avec un produit.
Il y a 6 ans et 320 jours

Les notaires font le point sur leurs nouvelles installations

AUDITION. Le président du Conseil supérieur du notariat, Didier Coiffard, a été auditionné le 5 juillet dernier par le collège de l'Autorité de la concurrence, dans le cadre de ses travaux relatifs à l'élaboration d'une nouvelle carte des futures installations des notaires. Ce fut l'occasion pour la profession de faire le point sur sa situation.
Il y a 6 ans et 320 jours

Les Yvelines présentent leur plan banlieue en présence de Jean-Louis Borloo

Le président des Yvelines Pierre Bédier (LR), accompagné de Jean-Louis Borloo, a présenté à Chanteloup-les-Vignes un plan de rénovation urbaine pour les quartiers populaires.
Il y a 6 ans et 320 jours

Décloisonnée, cette maison se modernise et s'éclaire

VISITE. Trop cloisonnée et mal agencée, une maison de ville a subi une rénovation intégrale pour plus de lumière, des pièces plus spacieuses et une organisation plus moderne en font aujourd'hui une habitation agréable à vivre. Découvrez le résultat.
Il y a 6 ans et 320 jours

FreelandBuck : Urban Cabin 2018

Après Milan, Londres, New-York, Shanghai, ou encore Bruxelles, la firme automobile MINI poursuit son questionnement sur l'avenir de la vie en ville et le cas de Los Angeles (États-Unis), avec le prototype d'habitat Urban Cabin 2018. Aux manettes, le studio américain FreelandBuck et son logement modulaire ouvert sur l'espace public ! Face à la forte croissance de la population, l'augmentation des prix du loyer et le manque de place en milieu citadin, MINI, filiale anglaise du groupe automobile BMW s'intéresse à la façon dont l'architecture pourrait offrir une réponse flexible et en phase avec le monde d'aujourd'hui . Dans le même élan que ses voitures compactes citadines, elle propose donc divers prototypes de lieux de vie lors d'évènements internationaux : les Urban Cabins. À l'instar de ses prédécesseurs créés en 2016 par Asif Khan et par Sam Jacob en 2017, l'Urban Cabin 2018 se contente de peu d'espace pour offrir un maximum d'usages : structure en aluminium de plain-pied et de 15 mètres carrés installée sur le toit d'un ancien bâtiment industriel du XXe siècle dédié au co-working, à l'art et aux loisirs en plein air, elle ajoute cependant un espace public à la cabine afin de prolonger l'expérience de l'occupant.Elle se compose de deux boîtes blanches " dont l'une est surmontée d'un toit-terrasse " bardées en métal perforé, entre lesquelles se trouve un hall cubique semi-ouvert en polycarbonate translucide teinté. D'un côté se trouvent les pièces d'eau " cuisine et salle de bain ", et de l'autre la chambre à coucher avec ouverture zénithale si l'occupant souhaite passer une nuit à la belle étoile. L'intérieur est intégralement recouvert de panneaux de contreplaqué perforés de petites formes géométriques, permettant de laisser passer les rayons de soleil et d'installer un système d'étagères modulaires. Pour procurer d'avantage de lumière naturelle, deux ouvertures pivotantes ont été réalisées dans le mur de la cuisine, dont l'une se transforme en table à manger. Urban Cabin 2018 s'ajoute ainsi au panel de MINI Living, qui en est déjà à son troisième coup d'essai. Petit mais efficace ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Freelandbuck Photographies : Laurian Ghinitoiu
Il y a 6 ans et 320 jours

FreelandBuck : Urban Cabin 2018

Après Milan, Londres, New-York, Shanghai, ou encore Bruxelles, la firme automobile MINI poursuit son questionnement sur l'avenir de l'habitat en ville et le cas de Los Angeles (États-Unis), avec le prototype Urban Cabin 2018. Aux manettes, le studio américain FreelandBuck et son logement modulaire à la fois intimiste et ouvert sur l'espace public ! Face à la forte croissance de la population, l'augmentation des prix du loyer et le manque de place en milieu citadin, MINI, filiale anglaise du groupe automobile BMW, s'intéresse à la façon dont un module de micro-habitation peut s'adapter à différents environnements. Dans le même élan que ses voitures, compactes et citadines, elle propose donc divers prototypes de lieux de vie lors d'évènements internationaux : les Urban Cabins. À l'instar de ses prédécesseurs créés en 2016 par Asif Khan et par Sam Jacob en 2017, l'Urban Cabin 2018 se contente de peu d'espace pour offrir un maximum d'usages : structure en aluminium de plain-pied et de 15 mètres carrés installée sur le toit d'un ancien bâtiment industriel du XXe siècle dédié au co-working, à l'art et aux loisirs en plein air, elle ajoute cependant un espace public à la cabine afin de prolonger l'expérience de l'occupant.Elle se compose de deux boîtes blanches " dont l'une est surmontée d'un toit-terrasse " bardées en métal perforé, entre lesquelles se trouve un hall cubique semi-ouvert en polycarbonate translucide teinté. D'un côté se trouvent les pièces d'eau " cuisine et salle de bain ", et de l'autre la chambre à coucher avec ouverture zénithale si l'occupant souhaite passer une nuit à la belle étoile. L'intérieur est intégralement recouvert de panneaux de contreplaqué perforés de petites formes géométriques, permettant de laisser passer les rayons de soleil et d'installer un système d'étagères modulaires. Pour procurer d'avantage de lumière naturelle, deux ouvertures pivotantes ont été réalisées dans le mur de la cuisine, dont l'une se transforme en table à manger. Urban Cabin 2018 s'ajoute ainsi au panel de MINI Living, qui en est déjà à son troisième coup d'essai. Petit mais efficace ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Freelandbuck Photographies : Laurian Ghinitoiu
Il y a 6 ans et 320 jours

Eni reste le fournisseur de dernier recours en gaz

URGENCE. Le gazier italien Eni a été reconduit par le ministère de la Transition écologique et solidaire comme fournisseur de dernier recours pour les consommateurs non-domestiques.
Il y a 6 ans et 320 jours

Quand Miami rencontre Memphis au Paradiso Ibiza Art Hotel

Le Paradiso Ibiza Art Hotel a ouvert ses portes le mois dernier à Ibiza sur la côte nord-ouest de l’île des Baléares.… Cet article Quand Miami rencontre Memphis au Paradiso Ibiza Art Hotel est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.