Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

Quand le minimalisme vient au secours de la densification urbaine. À Almere Poort, la Slim Fit, d'Ana Rocha Architecture, consiste un concept de micro-habitation permettant d'installer une maison de trois niveaux sur une surface au sol de 16 mètres carrés seulement, soit la superficie de deux places de parking ! Lauréat du concours Building Expo Tiny Housing organisé en 2016 par la municipalité d'Almere (Pays-Bas), la Slim Fit se veut être la première d'une longue lignée de mini-maisons, pensée pour les personnes souhaitant vivre dans une habitation individuelle et fonctionnelle, sans pour autant en délaisser leur confort.Sur trois niveaux et 50 mètres carrés de surface de plancher, le bâtiment en triple orientation et tout en hauteur est organisé en réponse aux trois fonctions de base du quotidien : se nourrir, se divertir et se reposer. Le rez-de-chaussée abrite cuisine et salle à manger, le premier étage le salon, et au-dessus de lui le coin nuit et sa salle de bain attenante. Tous ces espaces superposés sont reliés par une colonne de circulation verticale avec étagères intégrées en bois de pin. Pour lutter contre la sensation d'exiguïté, voire d'enfermement, de larges ouvertures ont généreusement été positionnées sur trois des quatre façades de la demeure. Elles permettent une ventilation et un éclairage naturels du lieux, habillé de panneaux et de mobilier en contreplaqué de bouleau. Comme quoi, occuper en centre-ville un logement individuel confortable, et peu gourmand en superficie, est encore possible ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Ana Rocha Architecture Photographies : Christiane Wirth

MOUVEMENT SOCIAL. L'Union nationale des producteurs de granulats s'inquiète de l'impact des grèves de cheminots sur son activité. L'approvisionnement des chantiers qui ne pourra plus se faire par train, se fera donc par la route, avec des conséquences environnementales et financières. Analyse.

Si trouver une garderie pour des enfants en bas âge s'annonce souvent compliqué, les installer dans une structure qui serait en plus fonctionnelle et élégante relève presque de la mission impossible. Pour répondre à ce besoin, l'agence nippone Hibinosekkei érige à Yokohama (Japon) un ensemble contemporain accueillant aussi bien des salles de classe pour les maternelles qu'une garderie pouvant occuper les jeunes élèves après l'école. Pour ce projet de 160 mètres carrés, les architectes ont réhabilité un ancien bâtiment résidentiel vétuste, proche de l'école maternelle du quartier, paré pour l'occasion d'un revêtement métallique perforé sombre. Cette nouvelle peau est rythmée par des fenêtres reprenant l'image d'Épinal du pignon de maison. En plus de donner son identité graphique à la construction, ces grandes ouvertures permettent de baigner les espaces éducatifs de lumière naturelle. Loin de ressembler à un immeuble d'habitation, l'ensemble est déployé sur deux niveaux, chacun d'eux abritant des salles modulables, tantôt pour accueillir les bambins scolarisés après la classe, tantôt pour garder les plus petits durant la journée, quand les parents ne peuvent s'en occuper. L'intérieur est entièrement recouvert de panneaux de contreplaqué, choisis pour leur aspect chaleureux. Les espaces sont assez dépouillés et minimalistes. En effet, peu de mobilier a été installé de façon à ménager la plus grande surface au sol possible pour le jeu. Ainsi pour que les enfants laissent libre court à leur imagination, seuls des tableaux noirs aux murs, du matériel audiovisuel et des cases de rangement peuplent ce royaume infantile. De quoi soulager les parents et stimuler leur progéniture. Pour en savoir plus, visitez le site de Hibinosekkei Photographies : Kenjiro Yoshimi

Nous avons appris avec une grande tristesse la disparition de Nicole Schilling, fondatrice de l'agence de relations presse Schilling Communication, spécialisée dans le secteur de la construction. Connue pour son professionnalisme, Nicole a aussi été une personne chaleureuse, pleine de ressources et d'énergie, capable d'apporter un vrai soutien aux journalistes en liant avec eux une … Cet article Décès de Madame Nicole Schilling est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Fuir brièvement l'atmosphère étouffante de la ville sans avoir à en sortir ? C'est le défi que se sont lancé les agences AIM Architecture et URBAN MATTERS, qui réalisent à Shanghai (Chine) Urban Bloom, un jardin citadin féérique dans lequel le temps semble s'arrêter. Ce qui était à l'origine un parking de 330 mètres carrés se mue, sous la houlette des architectes et paysagistes en charge du projet, en un écrin de verdure disposé au milieu d'étendues de béton. Un morceau de nature onirique installé sur une structure composée de palettes empilées sur lesquelles une multitude de plantes s'épanouissent. Un choix simple qui minimise le coût de la réalisation ainsi que son impact sur le quartier. Pour compléter l'ensemble, des ballons éclairant disposés au haut de poteaux. Au c"ur d'un quartier animé mêlant résidences, bureaux, restaurant, boutiques et écoles, Urban Bloom est conçu pour apaiser ses habitants et favoriser leur rencontre. Son caractère modulable permet à chacun de s'approprier l'espace selon ses désirs et besoins. Ainsi, ce qui peut être un simple endroit de relaxation peut rapidement se transformer en théâtre en plein air, site de conférence ou de rassemblement. Un projet simple qui prouve que peu de moyens peuvent être nécessaires pour faire de grandes choses. Pour en savoir plus, visitez le site de AIM Architecture Photographies : DR

L'Association QUALITEL, "uvrant pour l'amélioration et la valorisation de la qualité du logement, présente les grandes tendances 2017 de la certification et des labels environnementaux et énergétiques associés. Un bilan notamment marqué par une nette progression de l'activité sur le marché de la rénovation. 103 652 logements ont été certifiés NF Habitat-NF Habitat HQE, plus … Cet article La qualité certifiée des logements en progression constante est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

FICHE PRATIQUE. La fixation des salaires minimaux est le rendez-vous incontournable dans le secteur du BTP. Ceux-ci sont négociés au niveau régional par les partenaires sociaux et déterminent le seuil en-dessous duquel aucun salarié ne peut être rémunéré. Aucune modification n'a été publiée cette semaine...

Le SNBPE présentera les actions, ses outils et son savoir-faire pour répondre aux défis de demain à l'occasion de conférences et de tables rondes du prochain World of Concrete Europe 2018. L'article Le SNBPE répond présent au prochain Woc Europe est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.

Désormais intégré au groupe d'HeidelbergCement, le spécialiste de la chaux Socli fête quarante années au service de son matériau de prédilection et des artisans. L'article Socli fête ses 40 ans est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.

Alors que la prochaine assemblée générale de LafargeHolcim se déroulera le 8 mai 2018, Thomas Schmidheiny et Bertrand Collomb ont annoncé qu'ils ne se représenteraient pas à leur réélection. L'article Des changements au sein de LafargeHolcim est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.

Installé aux Abattoirs Musée-FRAC Occitanie Toulouse dans le cadre de l'exposition " 100 contestations possibles ", The Cube est une "uvre à la fois simple et complexe. Basée sur le concept d'anamorphose, l'installation joue avec les illusions d'optiques et pousse les spectateurs à interagir avec elle, afin d'en comprendre le mécanisme. Composée d'une multitude de volumes rouges, l'"uvre ne forme un tout que lorsqu'on l'observe depuis un point de vue spécifique. Si l'on s'éloigne, elle se mue en un ensemble épars composé d'éléments indépendants. Le spectateur contribue ainsi littéralement à la construction de The Cube. C'est par son placement stratégique que l'installation prend en effet tout son sens. Si la technique de l'anamorphose a déjà été exploitée par de grands noms de l'histoire de l'art comme Georges Rousse ou Felice Varini, l'Atelier Yok Yok y intègre ici un travail en volume, là où les noms précités se contentaient de la 2D. Le studio d'architectes-ingénieurs s'amuse alors avec les codes de la géométrie dans l'espace pour remettre en question les perceptions du spectateur. De plus, en unifiant des structures autonomes, ils métaphorisent le fondement même de la notion de révolution : des entités qui s'allient les unes aux autres afin de créer un seul et même groupe contestataire. Un parti pris qui intègre avec brio cette intervention visible jusqu'au 12 avril. " 100 contestations possibles ", jusqu'au 12 avril 2018 aux Abattoirs-Musée FRAC Occitanie Toulouse (31) Pour en savoir plus, visitez le site de l'Atelier Yok Yok Photographies : DR

La Cour des comptes a dressé un bilan "encourageant" du versement de l'aide publique "Habiter mieux" qui a financé 240.000 rénovations énergétiques de logements depuis 2010.

Si la ville de Bergen Op Zoom (Pays-Bas) ne craint plus les attaques des envahisseurs, elle n'en reste pas moins cernée par une impressionnante ligne de défense datant du XVIIe siècle. Une série de forteresses récemment restaurée, dont la tour Pompejus, ancienne enceinte de contrôle qui offre aujourd'hui une large vue sur l'ensemble de la région du Barbant. Nommée la " West Brabantse Water Defense Line ", la fortification a été édifiée en 1627 afin de protéger des assauts français et espagnols les états de Zélande et de la Hollande méridionale. La tour Pompejus, qualifiée ainsi en hommage au premier commandant de l'ensemble, Pompejus de Roovere, consistait en une construction oblique pointée vers l'adversaire qui permettait d'avertir la défense en cas d'attaque. Si la construction initiale a aujourd'hui disparue, l'agence hollandaise RO&AD lui donne un second souffle avec un nouvel ensemble de 25 mètres de haut revêtu de bois comprenant un point d'information, un espace d'exposition, un théâtre en plein air en partie basse et un observatoire offrant aux visiteurs un panorama à couper le souffle sur la région agricole - après avoir gravi 129 marches... En écho à l'inclinaison de l'ancienne structure, les architectes imaginent un substitut penché mais plus aérien que ce qui était autrefois un fort en pierre massif. Le résultat : une tour en acier revêtue de lames de bois Accoya®, dont la façade est réalisée d'après le diagramme de Voronoï, décomposant un plan en cellules, créant ainsi un motif en pavage. Un concept complexe, au rendu visuel percutant. Un projet impressionnant qui redonne vie à une zone militaire tombée en désuétude. Pour en savoir plus, visitez le site de RO&AD Photographies : Katja Effting

La Cour des comptes a dressé mercredi 4 avril un bilan "encourageant" du versement de l'aide publique "Habiter mieux" qui a financé 240.000 rénovations énergétiques de logements depuis 2010, et fait des préconisations pour la rendre encore plus efficace.

Les projets de tours en bois se multiplient, alimentés par la promesse de bénéfices environnementaux et soutenus par de nouvelles techniques de construction bois.

Jusqu'au 2 juillet la Cité de l'architecture et du patrimoine rend hommage à l'architecte Georges-Henri Pingusson, " l'une des dernières figure du mouvement moderne français à n'avoir fait l'objet d'aucune exposition rétrospective ", comme le livre le commissaire de l'événement, Simon Texier. À l'étage de la Cité de l'architecture et du patrimoine, l'institution présente en cinq actes et quatre frises chronologiques le travail de l'architecte clermontois Georges-Henri Pingusson (1894-1978), " l'architecte aux deux chefs d'"uvre ", comme se plaît à le nommer Simon Texier, historien de l'architecture et professeur à l'Université de Picardie Jules-Verne. Au-delà de ces deux figures de proue " le Latitude 43 à Saint-tropez (83) livré en 1932 et le Mémorial des martyrs de la déportation à Paris (4e) achevé trente ans plus tard ", aux typologies très différentes, l'exposition révèle cinquante années d'une pratique professionnelle très variée. Cette dernière a ici été découpée par son commissaire en quatre périodes : " Régionalisme et Art déco (1925-1930) ", " Modernisme et modernisation (1931-1939) " " Reconstruire et aménager (1940-1953) " et " Confirmer et transmettre (1954-1978) " ; auxquelles s'ajoute un aparté sur son travail sur le mobilier et le design. Le visiteur découvre donc en premier lieu une production aux accents régionalistes, principalement des maisons, bien éloignées des lignes modernistes qui caractériseront par la suite son travail. " On ignore quand s'est opéré le virage ", livre Simon Texier au sujet de ce changement de style. En tant que membre de l'UAM, " il était aux premières loges de l'architecture moderne française. Mais comme il était volontairement à contre-courant, il s'est placé souvent à la marge, ce qui fait toute sa beauté, même s'il en a payé le prix ", constate l'historien, précisant que ce postulat lui a valu d'être exclu des chantiers de la Reconstruction.Puis la scénographie amène ainsi les curieux à découvrir les "uvres représentatives de cet architecte formé aux Beaux-Arts. D'abord le Latitude 43, hôtel en béton blanc tout en coursives et demi-niveaux, première " barre " de logement de la Côte d'Azur mais surtout parangon moderniste ; puis ses églises, le Mémorial des martyrs de la déportation, ouvrage enterré à l'extrémité de la Cité, aussi discret que son évocation est puissante ; et enfin la reconstruction du Vialle de Grillon (84), dont il ne verra malheureusement pas la fin. Une exposition qui se veut non-exhaustive mais qui permet de découvrir un architecte iconique par le biais de ses "uvres maîtresses. Le tout dans un lieu et avec un commissaire d'exposition qui font particulièrement sens, puisque Georges-Henri Pingusson avait légué ses archives à la Cité de l'architecture et du patrimoine et que Simon Texier a soutenu en 1998 la thèse de doctorat : Georges-Henri Pingusson, architecte (1894-1978) : l'architecte comme "transcendance poétique du concret", ou l'impossible doctrine. Une cohérence, pour un événement hommage à la production d'un esthète décédé il y a de cela quarante ans. Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'architecture et du patrimoine Photographies/Illustrations :© ENSBA, Cité de l'architecture & du patrimoine / Archives d'architecture du XXe siècle (sauf mention contraire) 01- 1929-1930. Sanatorium, Aincourt, pers. du bâtiment principal, n.d., cliché Chevojon Affiche de l'exposition02- 1930-1932. Hôtel Latitude 43, Saint-Tropez, pers. des fauteils de repos et table basse pour le hall, n.d04-08 Gaston Bergeret09- 1926-1931. Centrale thermique au charbon Arrighi, Vitry, avec Paul Furiet, pers. de l'usine10- 1926-1931. Centrale thermique au charbon Arrighi, Vitry-sur-Seine, étude pers. pour la porte d'entrée principale, 1929 11- 1930-1932. Hôtel Latitude 43, Saint-Tropez, affiche publicitaire, 1932, imprimerie Chachouin © ENSBA, Cité de l'architecture & du patrimoine / Archives d'architecture du XXe siècle12- 1930-1932. Hôtel Latitude 43, Saint-Tropez, pers. aérienne de l'aménagement des terrasses 13- 1930-1932. Hôtel Latitude 43, Saint-Tropez, vue extérieure, n.d., cliché anonyme14- 1930-1932. Hôtel Latitude 43, Saint-Tropez, vue partielle de la façade, n.d., cliché anonyme15- 1954-1962. Mémorial des martyrs de la Déportation, Paris 4e, perspective16- 1954-1962. Mémorial des martyrs de la Déportation, Paris 4e, vue de l'escalier sud menant au parvis, n.d.17- 1954-1962. Mémorial des martyrs de la Déportation, Paris 4e, vue du chevet de Notre-Dame de Paris, n.d. cliché R. Bouwens, Paris18- 1954-1962. Mémorial des martyrs de la Déportation, Paris 4e, vue intérieure avec une femme n.id., n.d.19- 1954-1962. Mémorial des martyrs de la Déportation, Paris 4e, vue intérieure, n.d. cliché R. Bouwens, Paris20- Boust Saint-Maximin © Région Grand Est " Inventaire général, Ph.G.Coing21- Fleury_la Nativité de la vierge, nef © Région Grand Est " Inventaire général, Ph.G.André22- Perspective extérieure de l'église Jésus-Ouvrier à Arcueil, n.d., [1938]23- Trappe à linge de la maison usinée présentée à l'Exposition d'urbanisme et d'habitation à Paris, cliché Studio Jean Collas, Paris, n.d. [1946-1947]24- Vue extérieure de la maison usinée présentée à l'Exposition d'urbanisme et d'habitation à Paris, cliché Studio Jean Collas, Paris, n.d. 1946-194725- Vue intérieure d'une chambre au Salon des artistes décorateurs, 1930, cliché Chevojon

Dacryl, société française spécialiste de la fabrication de panneaux décoratifs, a annoncé une nouvelle collection de portes. A la fois… Cet article Dacryl dévoile ses portes lumineuses est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.