Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Transport et infrastructure

(29812 résultats)
Il y a 8 ans et 64 jours

Enfin des travaux prévus sur la "route de la mort"

Au cours de son déplacement ce 18 avril, en Saône-et-Loire, François Hollande est revenu sur le futur aménagement à deux fois deux voies de la Route Centre Europe Atlantique (RCEA) reconnue comme l'une des voies routières les plus meurtrières de France. Il a confirmé que, pour le tronçon de la RN 79, le calendrier des travaux prévus de 2019 à 2021 serait tenu.
Il y a 8 ans et 64 jours

Mipirail, la caisse de résonnance de la filière ferroviaire occitane

Regroupant les entreprises de la filière ferroviaire en Occitanie, le cluster d'entreprises Mipirail partage avec ses adhérents une même conviction : le collectif rend compétitif.
Il y a 8 ans et 64 jours

Bosch Rexroth : un réseau de distribution fort en France

Bosch Rexroth poursuit le déploiement du réseau mondial de la division Hydraulique Mobile. En France, le réseau de partenaires officiels constitue un pilier de la stratégie de croissance du groupe.
Il y a 8 ans et 64 jours

Les géomètres-experts souhaitent une application en bonne et due forme du décret CAP

A compter du 1er mai 2017, les articles L.441-4 et R.441-4-2 du Code de l'Urbanisme entreront en application. Afin de faciliter la poursuite des activités des géomètres-experts en matière de permis d'aménager, le Conseil supérieur de l'Ordre des géomètres-experts a réaffirmé sa volonté de mener à bien ces opérations en associant l'ensemble des compétences nécessaires.
Il y a 8 ans et 64 jours

Un concurrent de poids à l'horizon pour Vinci concessions

Le groupe autoroutier espagnol Abertis, gestionnaire des autoroutes françaises Sanef, a annoncé avoir reçu une offre de rapprochement de la part de l'italien Atlantia. Ce rapprochement qui verrait la création d'un géant mondial des autouroutes pourrait prendre la forme d'une offre publique d'achat (OPA) amicale, mais ni la date ni le prix de l'opération ne sont encore fixés.
Il y a 8 ans et 64 jours

Les infrastructures, croissance et financements, au Forum des TP 2017

Dans cette vidéo, suivez le débat portant sur "Les infrastructures, croissance et financements", tournée à l'occasion du Forum des TP 2017.
Il y a 8 ans et 65 jours

Signature d'un accord-cadre entre e.l.m. leblanc et l'Institut Mines-Télécom

Les partenaires, fortement impliqués dans les thématiques liées à l'industrie du futur, ont décidé de mutualiser leurs efforts et formaliser leurs collaborations.
Il y a 8 ans et 65 jours

Arabie Saoudite : le réseau électrique musclé

Siemens a remporté une commande portant sur la fourniture de deux sous-stations mobiles à National Grid SA, le gestionnaire de réseau de transport et de distribution d'électricité de la Saudi Electricity Company (SEC). Ces équipements doivent permettre d'améliorer la résilience du réseau électrique d'Arabie Saoudite.
Il y a 8 ans et 65 jours

François Hollande en visite au Mecateamcluster

Le chef de l'Etat est parti à la rencontre du Mecateamcluster à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire) le 18 avril dernier. Objectif : faire connaissance avec le seul cluster français de la maintenance des engins de travaux ferroviaires.
Il y a 8 ans et 65 jours

Rio : la plate-forme qui connecte transport et logistique

Rio est une plate-forme ouverte et basée sur le cloud pour l'écosystème du transport et de la logistique. Indépendante des constructeurs, elle permet une vue globale de la chaîne d'approvisionnement et sera commercialisée au printemps 2017.
Il y a 8 ans et 65 jours

Zeck s'attaque au marché français !

Constructeur allemand de matériels d'installation et de maintenance de lignes aériennes et câbles souterrains, Zeck se présente comme le leader mondial en son domaine. Sa branche ferroviaire propose diverses solutions pour installer ou remplacer câbles et caténaires sous tension mécanique. Gisela Gruber, responsable des pays francophones, évoque pour nous les ambitions françaises de la société. Vidéo.
Il y a 8 ans et 65 jours

Grand Paris : les nouveaux modes de mobilité à l'honneur

Le 24 avril prochain, le Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif) et la Société du Grand Paris (SGP) lancent un nouvel appel à projets ("Pour de nouvelles mobilités actives, électriques et numériques").
Il y a 8 ans et 65 jours

Point.P lance la nouvelle édition de son catalogue Matériaux

Diffusé sur toute la France à plus de 500.000 exemplaires, le nouveau catalogue Matériaux de Point.P est un outil précieux pour les professionnels dans leurs chantiers au quotidien.
Il y a 8 ans et 65 jours

La commune est la seule échelle intelligible

Nicolas Dupont-Aignan est le seul des candidats à avoir répondu à nos questions sur l’architecture*. Maire d’Yerres (Essonne) depuis 1995 et député (aujourd'hui non inscrit) du département depuis 1997, Il se veut gaulliste et souverainiste. Parmi les travaux récents sur sa commune, la réhabilitation et réfection des façades de l'école élémentaire Brossolette, livrées en février […]
Il y a 8 ans et 65 jours

Eurovia remporte un contrat autoroutier en Slovaquie

Le groupement incluant Eurovia (mandataire), Doprastav et Metrostav Slovakia, a été notifié du contrat de construction d'une nouvelle portion de 8 km de l'autoroute D1 à proximité de Pre¨ov, à l'Est du pays. Cette autoroute traversera à terme la Slovaquie d'Est en Ouest, et permettra de relier l'Autriche et l'Ukraine.
Il y a 8 ans et 65 jours

Un incendie sur quatre est d'origine électrique en France

50.000 incendies sont de source électrique, chaque année en France, selon une étude réalisée par l'Observatoire national de la sécurité électrique. Pour sensibiliser et prévenir les consommateurs, le Groupe de réflexion sur la sécurité électrique dans le logement (Gresel) rappelle l'entrée en vigueur, à partir du 1er juillet, de l'obligation par les propriétaires bailleurs de fournir un diagnostic électrique du logement. Explications.
Il y a 8 ans et 65 jours

Syntec-Ingénierie réaffirme son soutien et adhésion à Mediaconstruct

Cinq organisations professionnelles ont annoncé par voie de presse quitter Mediaconstruct. Dans ce contexte, Syntec-Ingénierie, la fédération professionnelle de l'ingénierie, tient à réaffirmer son soutien et son adhésion à l'association de promotion et développement du BIM (Building Information Modeling) dans le secteur du bâtiment et des infrastructures.
Il y a 8 ans et 65 jours

ATMB : une autoroute à pas de velours

ATMB, concessionnaire autoroutier, ajoute 350 ml d'écrans acoustiques supplémentaires, sur la Route Blanche (RN235) et l'Autoroute Blanche (A40). Ils permettront de protéger du bruit routier de 19 habitations.
Il y a 8 ans et 65 jours

Syntec ingénierie vole au secours de Mediaconstruct

Syntec ingénierie a réaffirmé son "soutien et son adhésion" à Mediaconstruct, l'association française de promotion et de développement du BIM dans le secteur du bâtiment et des infrastructures. La semaine dernière, cinq organisations professionnelles ont quitté l'organisme.
Il y a 8 ans et 65 jours

Cisma : des industriels en forme, mais une économie volatile

Le nouveau Président du Cisma, le syndicat des équipements pour la construction, les infrastructures, la sidérurgie et la manutention, Jean-Claude Fayat, a pu présenter une activité bien meilleure en 2016 qu'en 2015. En effet, la production française des biens d'équipements pour le BTP, la manutention et la sidérurgie, a clôturé l'exercice sur un chiffre d'affaires de 7,86 Md¤, soit une augmentation de + 8,9 %, retrouvant le niveau d'activité de 2008.  
Il y a 8 ans et 66 jours

Inondations : la Somme prête pour la nouvelle compétence

Les riverains de la Somme n'attendent pas 2018 pour mettre leurs établissements de coopération intercommunale en ordre de bataille, face au risque inondation. Bien avant la contrainte de la loi Notre, ils se sont dotés d'un syndicat mixte à la carte compétent dans l'eau potable, l'assainissement, la régulation hydraulique et la préservation des milieux: un exemple mis en valeur dans le dossier du dernier numéro de Paysage Actualités, consacré à la prévention des inondations.
Il y a 8 ans et 66 jours

Le financement de la Cité de la gastronomie bouclé grâce à un gros apport privé

Le financement de la future Cité internationale de la gastronomie de Lyon est désormais bouclé grâce à l'apport de groupes privés, le plus souvent originaires de la région, a annoncé jeudi le maire de la ville Gérard Collomb.
Il y a 8 ans et 69 jours

Rencontre avec : Jean-Charles de Castelbajac

Le VIA (Valorisation de l'Innovation de l'Ameublement) a 40 ans ! Pour fêter cet anniversaire, l'organisme s'offre une exposition itinérante, " No Taste for bad taste ". À l'occasion de sa présentation à l'Institut français de Milan, la rédaction de Muuuz a rencontré le touche-à-tout et inclassable Jean-Charles de Castelbajac qui s'est ici plié à l'exercice de la scénographie. Il y avait ici du second degré, de la poésie dans l'air, de l'émotion dans les mots et des étoiles dans les yeux. Muuuz : Pourquoi le VIA vous a-t-il choisi pour être scénographe de cette exposition ?Jean-Charles de Castelbajac : Je suis l'excellence incarnée ! Depuis 30 ans, je conçois de manière décloisonnée : j'ai toujours fais du design, de la mode, de l'art, etc. Au départ, j'étais comme un petit ruisseau à contre-courant, puis je suis devenu une rivière, un fleuve, maintenant je suis arrivé à la mer.C'est amusant que le VIA m'ait choisi. Quand on me l'a proposé, j'ai tout de suite accepté avec joie ! Comment avez-vous choisi le titre " No taste for bad taste " ?Nous l'avons choisi avec les équipes du VIA, mais il aurait également pu être " No taste for good taste " car le goût est quelque chose de subjectif. Personnellement, j'ai le goût de l'imparfait. Comment avez-vous opéré la sélection de quarante pièces de design français présentée lors de l'exposition ? et leurs dix valeurs associées (art de vivre, héritage, savoir-faire, élégance et touche de luxe, etc.) ?Tout ceci s'est décidé de manière collégiale, rigoureuse et arbitraire. Mon seul regret : qu'il n'y ait pas 10 pièces de plus qui parlent de demain car pour moi toute exposition doit annoncer la relève.Les dix valeurs essentielles qui nous ont permis de répartir notre sélection de quarante objets se sont imposées d'elles-mêmes, de concert avec le conseil supérieur du VIA. Moi, je leur ai juste donné une définition moderne en leur associant chacune un pictogramme que j'ai dessiné, car j'ai la passion des blasons. Pour moi un dessin en dit plus que de longues phrases. Parmi ces dix valeurs, dans laquelle vous reconnaissez-vous particulièrement ?" Le beau bizarre ! ", qui aurait pu être la onzième de ces valeurs ! ou le trouble, l'invisible, le mystère... Quels principes ont guidé votre intervention répartie en dix tentes ?L'idée était de parler de nomadisme, de voyage dans le temps. De faire quelque chose de très onirique, de très français, avec une référence au style national, à la tradition, et d'en faire perdurer le savoir-faire. En effet, ces tentes sont tout sauf modernes : leur chapiteau est en fonte, elles sont peintes à la main... mais elles sont avant tout l'expression d'un geste. La base de mon travail est ainsi de prendre l'histoire et de la transformer : je suis un conteur d'histoire. C'est ce que j'ai voulu dire dans ma scénographie, faire vivre aux visiteurs un voyage presque enfantin, régressif. Quelle histoire se cache donc derrière ces tentes ?Elles ont été faites à Paris par les Ateliers Richard, avec qui j'avais déjà travaillé dans les années 1970 dans le cadre de défilés de mode, et qui fabriquaient déjà ce type de structures du temps de la cour à Versailles. Avec eux, je voulais ramener le goût de l'excellence. Cela faisait longtemps que je n'étais pas autant rentré dans les détails, comme le faisait par exemple Mies van der Rohe dans ses maisons. J'ai aussi voulu créer toute une dramaturgie autour de l'arrivée de ces tentes, en dessinant des caisses en bois peintes dans lesquelles tout ce campement peut être transporté et qui peuvent s'emboîter comme un mécano. Comme un voyage de comédiens dans le temps ou les campagnes militaires de Jules César, chaque caisse contient ici un élément : les tentures, les montants, les chapiteaux, etc. Au final, je n'ai jamais été aussi créatif. C'est fascinant ! Quand vous créez depuis cinquante ans, sans mélancolie : un classement générique émotionnel s'immisce à l'intérieur de vous. Le concept se met alors immédiatement en route... Photographies :1) ©James Bort (www.jamesbort.com)3, 4, 5, ) ©Francesco Secchi Pour en savoir plus, visitez le site du VIA, du French design et de Jean-Charles de Castelbajac
Il y a 8 ans et 69 jours

Rencontre avec : Jean-Charles de Castelbajac

Le VIA (Valorisation de l'Innovation de l'Ameublement) a 40 ans ! Pour fêter cet anniversaire, l'organisme s'offre une exposition itinérante, " No Taste for bad taste ". À l'occasion de sa présentation à l'Institut français de Milan, la rédaction de Muuuz a rencontré le touche-à-tout et inclassable Jean-Charles de Castelbajac qui s'est ici plié à l'exercice de la scénographie. Il y avait du second degré, de la poésie dans l'air, de l'émotion dans les mots et des étoiles dans les yeux. Muuuz : Pourquoi le VIA vous a-t-il choisi pour être scénographe de cette exposition ?Jean-Charles de Castelbajac : Je suis l'excellence incarnée ! Depuis 30 ans, je conçois de manière décloisonnée : j'ai toujours fais du design, de la mode, de l'art, etc. Au départ, j'étais comme un petit ruisseau à contre-courant, puis je suis devenu une rivière, un fleuve, maintenant je suis arrivé à la mer.C'est amusant que le VIA m'ait choisi. Quand on me l'a proposé, j'ai tout de suite accepté avec joie ! Comment avez-vous choisi le titre " No taste for bad taste " ?Nous l'avons choisi avec les équipes du VIA, mais il aurait également pu être " No taste for good taste " car le goût est quelque chose de subjectif. Personnellement, j'ai le goût de l'imparfait. Comment avez-vous opéré la sélection de quarante pièces de design français présentée lors de l'exposition ? et leurs dix valeurs associées (art de vivre, héritage, savoir-faire, élégance et touche de luxe, etc.) ?Tout ceci s'est décidé de manière collégiale, rigoureuse et arbitraire. Mon seul regret : qu'il n'y ait pas 10 pièces de plus qui parlent de demain car pour moi toute exposition doit annoncer la relève.Les dix valeurs essentielles qui nous ont permis de répartir notre sélection de quarante objets se sont imposées d'elles-mêmes, de concert avec le conseil supérieur du VIA. Moi, je leur ai juste donné une définition moderne en leur associant chacune un pictogramme que j'ai dessiné, car j'ai la passion des blasons. Pour moi un dessin en dit plus que de longues phrases. Parmi ces dix valeurs, dans laquelle vous reconnaissez-vous particulièrement ?" Le beau bizarre ! ", qui aurait pu être la onzième de ces valeurs ! ou le trouble, l'invisible, le mystère... Quels principes ont guidé votre intervention répartie en dix tentes ?L'idée était de parler de nomadisme, de voyage dans le temps. De faire quelque chose de très onirique, de très français, avec une référence au style national, à la tradition, et d'en faire perdurer le savoir-faire. En effet, ces tentes sont tout sauf modernes : leur chapiteau est en fonte, elles sont peintes à la main... mais elles sont avant tout l'expression d'un geste. La base de mon travail est ainsi de prendre l'histoire et de la transformer : je suis un conteur d'histoire. C'est ce que j'ai voulu dire dans ma scénographie, faire vivre aux visiteurs un voyage presque enfantin, régressif. Quelle histoire se cache donc derrière ces tentes ?Elles ont été faites à Paris par les Ateliers Richard, avec qui j'avais déjà travaillé dans les années 1970 dans le cadre de défilés de mode, et qui fabriquaient déjà ce type de structures du temps de la cour à Versailles. Avec eux, je voulais ramener le goût de l'excellence. Cela faisait longtemps que je n'étais pas autant rentré dans les détails, comme le faisait par exemple Mies van der Rohe dans ses maisons. J'ai aussi voulu créer toute une dramaturgie autour de l'arrivée de ces tentes, en dessinant des caisses en bois peintes dans lesquelles tout ce campement peut être transporté et qui peuvent s'emboîter comme un mécano. Comme un voyage de comédiens dans le temps ou les campagnes militaires de Jules César, chaque caisse contient ici un élément : les tentures, les montants, les chapiteaux, etc. " Au final, je n'ai jamais été aussi créatif. C'est fascinant ! Quand vous créez depuis cinquante ans, sans mélancolie : un classement générique émotionnel s'immisce à l'intérieur de vous. Le concept se met alors immédiatement en route... " Jean-Charles de Castelbajac Photographies :1) ©James Bort (www.jamesbort.com)3, 4, 5, ) ©Francesco Secchi Pour en savoir plus, visitez le site du VIA, du French design et de Jean-Charles de Castelbajac  
Il y a 8 ans et 69 jours

Tunnels et espace souterrain : la France accueillera la 3ème édition des ITA Tunnelling Awards

Organisée par l'Association Internationale des Tunnels et de l'Espace Souterrain (AITES), l'édition 2017 des ITA Tunnelling Awards, qui récompensent les réalisations les plus innovantes et remarquables dans le secteur des tunnels et de l'espace souterrain, se tiendra à Paris le 15 novembre.
Il y a 8 ans et 69 jours

130 citoyens concernés par l'avenir des infrastructures en Rhône-Alpes

Le 5 avril dernier, 130 personnes ont participé à la rencontre "La qualité de nos infrastructures est décisive pour notre avenir. Parlons-en vraiment !" organisée par la FRTP Rhône-Alpes et la section TP de la Fédération départementale BTP 42 à Saint-Etienne.
Il y a 8 ans et 70 jours

Delta Drone pour la collecte de données en carrières Eurovia

Delta Drone a été retenu par Eurovia, filiale de Vinci spécialisée dans la construction d'infrastructures et le principal producteur de granulats en Europe, pour déployer ses solutions de collecte de données par drones dans 240 de ses carrières en France.
Il y a 8 ans et 70 jours

Cergy-le-Haut : le RER A trouve sa voie

Dans l'objectif de mieux maîtriser la gestion de la circulation des trains du RER A et de la ligne L, SNCF Réseau lance la construction d'une 4e voie à la gare terminus de Cergy-le-Haut (95).
Il y a 8 ans et 70 jours

Snøhetta : Centre International d'Art Pariétal (Lascaux IV)

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 
Il y a 8 ans et 70 jours

Snøhetta : Centre International d'Art Pariétal (Lascaux IV)

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 
Il y a 8 ans et 70 jours

Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture : Centre international d'art pariétal

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de Snøhetta et à l'agence bordelaise Duncan Lewis Scape Architecture. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture
Il y a 8 ans et 70 jours

Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture : Centre international d'art pariétal

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de Snøhetta et à l'agence bordelaise Duncan Lewis Scape Architecture. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta et Duncan Lewis Scape Architecture
Il y a 8 ans et 70 jours

Snøhetta : Centre International d'Art Pariétal (Lascaux IV)

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la Grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard et permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave.Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre International d'Art Pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seule un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 
Il y a 8 ans et 70 jours

Snøhetta : Centre international d'art pariétal

Largement connue pour la concentration de ces grottes paléolithiques, la vallée de la Vézère héberge dorénavant une nouvelle cavité, cette fois construite de la main de l'homme : le Centre international d'art pariétal, dit Lascaux IV. Une architecture tellurique de 8 600 mètres carrés confiée aux Norvégiens de l'agence Snøhetta. Zoom sur le quatrième volet de la saga Lascaux qui dure depuis bientôt 80 ans. En 1940, se produisait l'un des plus gros coups de chance de l'archéologie : quatre adolescents découvraient par hasard celle que l'on surnomme aujourd'hui la chapelle Sixtine de la préhistoire, la grotte de Lascaux. Dégradée par l'humidité produite par la respiration des visiteurs, elle est fermée au public en 1963, avant d'être reproduite à l'identique vingt ans plus tard afin de permettre aux curieux de découvrir ses peintures rupestres, sans en abîmer les originales. Contrairement à Lascaux II, le quatrième opus possède un fac-similé intégral " non plus partiel " de la grotte et, pour plus de réalisme, imite l'atmosphère du site : température (16 °C), humidité, éclairage et sons. Ce travail de peinture réalisé à la main a nécessité 2 ans de réalisation par 25 artistes. Une expérience sensorielle intégrale au c"ur de l'époque préhistorique, dans un monolithe de béton que les architectes ont imaginé comme une réinterprétation contemporaine d'une cave. Le projet est ainsi semi-enterré dans une colline en pente douce, dont la toiture végétalisée est accessible aux visiteurs et fait partie intégrante de la scénographie du Centre international d'art pariétal, répartie sur deux niveaux avec la reproduction de la grotte, un patio minéral et longiligne, et des espaces d'exposition détaillant notamment des fragments de la cavité. Depuis la route qui passe en contrebas, seul un léger soulèvement du terrain et deux failles telluriques " l'une verticale, l'autre horizontale ", laissent présager la présence de l'établissement culturel. Un nouveau coup de maître pour l'agence Snøhetta, ici associée à SRA Architectes et Duncan Lewis Scape Architecture, dans une enveloppe à la fois massive et délicate. Photographies : Éric Solé, Boegly + Grazia photographers, Dan Coutrice Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta 
Il y a 8 ans et 70 jours

Le Maroc lance la construction d'une centrale solaire photovoltaïque

Le roi du Maroc Mohammed VI a lancé dans le sud du pays la construction du dernier volet du projet Noor, l'une des plus grandes centrales solaires au monde.
Il y a 8 ans et 70 jours

Le Maroc lance la construction d'une centrale solaire photovoltaïque

Le roi du Maroc Mohammed VI a lancé dans le sud du pays la construction du dernier volet du projet Noor, l'une des plus grandes centrales solaires au monde.
Il y a 8 ans et 70 jours

La production d'équipements pour la construction retrouve des couleurs

" Quand le bâtiment va, tout va ", et ce n'est pas le CISMA qui dira le contraire ! Le syndicat a en effet annoncé le 13 avril dernier que la production française d'équipements pour la construction, les infrastructures, la sidérurgie et la manutention a progressé de 8,9% en 2016, retrouvant ainsi ses niveaux d'avant-crise. Une tendance qui devrait se confirmer cette année, même si la croissance devrait s'amoindrir légèrement.
Il y a 8 ans et 70 jours

NuGen : la patate chaude du nucléaire britannique

Engie a cédé à Toshiba les 40% du capital de NuGen, leur co-entreprise. La construction de 3 nouveaux réacteurs nucléaires au Royaume-Uni par NuGen devient de plus en plus douteuse.
Il y a 8 ans et 70 jours

A Lyon, la cité de la gastronomie est bouclée financièrement

Une dizaine de partenaires privés apporteront les fonds nécessaires à l'acquisition des futurs locaux de la Cité de la gastronomie au sein du Grand Hôtel-Dieu.
Il y a 8 ans et 70 jours

Sécurisation et simplification des autorisations d'urbanisme : le Code mis à jour des dernières mesures

Publié au "JO" de ce 13 avril, un arrêté intègre au Code de l'urbanisme les dernières mesures de simplification annoncées, de même que les évolutions législatives et réglementaires intervenues depuis 2013. 
Il y a 8 ans et 70 jours

Présidentielle 2017 : l'UNPI propose 7 mesures-choc pour le logement

L'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI) a communiqué, le 11 avril, sept mesures d'urgence pour le futur locataire de l'Elysée. Il s'agit de "prendre à bras-le-corps la politique du logement". Au menu, notamment, la suppression du permis de construire en zone urbaine.
Il y a 8 ans et 70 jours

Diagnostic Electrique Obligatoire : Hager lance Hager Check

Institué en 2009 auprès des propriétaires pour la vente d'un bien immobilier de plus de 15 ans, le Diagnostic Electrique Obligatoire porte sur l'évaluation des risques électriques d'un logement et de ses dépendances.
Il y a 8 ans et 70 jours

Diagnostic Electrique Obligatoire : Hager lance Hager Check

Institué en 2009 auprès des propriétaires pour la vente d'un bien immobilier de plus de 15 ans, le Diagnostic Electrique Obligatoire porte sur l'évaluation des risques électriques d'un logement et de ses dépendances.
Il y a 8 ans et 70 jours

Eurovia décroche un nouveau contrat en Slovaquie

Un groupement incluant la filiale de Vinci remporte le contrat de construction d'une portion de 8 km d'une autoroute en Slovaquie. Un pays où d'importants projets d'investissement sont dans les tuyaux.