Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

L'iconique Componibili fête ses 50 ans. Un demi-siècle de présence dans les foyers du monde entier et plus de 10 millions d'exemplaires vendus plus tard, l'inénarrable pièce de design éditée par Kartell continue de séduire et de se réinventer. Pour célébrer l'événement la marque italienne a invité douze designers et trois marques à repenser cet objet culte. Un hommage à sa créatrice Anna Castelli Ferrieri. À l'occasion du Salone del Mobile 2017, le showroom milanais de Kartell consacrait une exposition hommage à ce que la marque définit comme " un classique intemporel, depuis toujours tourné vers le futur " : le Componibili, modulaire et combinable, réalisé en ABS sans vis ni colle, dont le nom originel était mobili 4970/84. Quinze réinterprétations inédites du modèle en ABS et ont alors été exposées le temps du salon. Une invitation à laquelle ont répondu présents des personnalités et des marques du monde du design et de l'art telles que Ron Arad, Mario Bellini, Antonio Citterio, Ferruccio Laviani, Piero Lissoni, Alberto Meda, Alessandro Mendini, Nendo, Fabio Novembre, Philippe Starck, Tokujin Yoshioka et par les marques Emilio Pucci et Missoni, et même Disney. L'architecte-designer Mario Bellini converti par exemple le produit culte en une boîte de conserve à la Andy Warhol ; son confrère Ferruccio Laviani propose quant à lui de coucher la pièce de mobilier à l'horizontale et d'en faire un bac à fleurs ; tandis que Patricia Urquiola a répondu à l'exercice de manière plus radicale en intégrant une structure gonflable dissociant les trois fus de l'ensemble. Plus terre à terre : sous le dessin d'Alberto Meda, Componibili devient tout simplement tréteau par l'adjonction d'une planche.Quinze suggestions qui sont autant de révérences faites à la créatrice du modèle, Anna Castelli Ferrieri, décédée en 2006 et épouse du fondateur de la marque, Giulio Castelli. Face au succès remporté par cette production hétéroclite, la marque envisage actuellement de commercialiser certaines de ces pièces, réalisées à l'origine uniquement pour l'événement. Outre le génie de son trait, Anna Castelli Ferrieri était précurseur en son temps " designer, urbaniste et architecte émérite ", elle fut l'une des premières femmes diplômées en la matière par l'école polytechnique de Milan, avant d'être nommée directrice artistique de Kartell de 1976 à 1981. La pièce iconique, depuis déclinée en plus de 30 couleurs et en version métallique nommée Precious, le Componibili a été intégré à la collection permanente du MOMA à New York (USA) et du Centre Georges Pompidou à Paris (3e). Un objet intemporel, certes, mais qui a su se réinventer au fil des années et s'adapter à l'évolution des modes de vie grâce à sa polyvalence. " Il est à la fois, tabouret, chevet, table d'appoint, bibliothèque, support de téléphone, porte-plante... et amène de la couleur dans la maison, de la couleur gaie ! ", livre Lorenza Luti, directrice marketing et retail de la marque et petite-fille d'Anna Castelli Ferrieri, très émue par cette exposition hommage. Une histoire familiale, donc. " Tous les produits Kartell sont le fruit de collaborations de longue durée. Nous parlons beaucoup avec les designers avant de lancer un projet. On commence d'abord par se connaître, puis on explique nos modes de fabrication. C'est tout un processus ! Mais si cela fonctionne, vous rentrez dans la famille Kartell ", confie-t-elle. " 50 ou 60 projets développés chaque année, seulement la moitié est lancée, mais cela ne veut pas dire que les autres sont abandonnés. On aime prendre le temps de se poser autour d'une table et de réfléchir. Nous établissons des relations de confiance mutuelles. Si un produit est commercialisé, les designers savent qu'il est alors parfait pour le marché. " Lorenza Luti Nous laisserons ici les mots de la fin à Claudio Luti, président de la marque : " Les Componibili sont pour moi un "objet" familial, ils ont toujours fait partie de ma vie. " Photographies : © Kartell01) Patricia Urquiola02) La Rinascente Window_60s03) Componibili_Fabio Novembre204) Componibili_Anna Castelli Ferrieri_MoMA_196907) Componibili_Antonio Citterio08) Componibili_Disney09) Componibili_Ferruccio Laviani10) Componibili_Philippe Starck11) Componibili_Nendo12) Combinibili_60s13) Macy's New York 196814) Campaign_197715) Componibili_198716) Kartell Catalogue_199717) Salone del Mobile_2000 Pour en savoir plus, visitez le site de Kartell

D'ici l'été 2017, une colonne Morris en mesure de capter l'équivalent en dioxyde de carbone (CO²) de 100 arbres sera installée place d'Alésia à Paris dans le 14e arrondissement. Une idée développée par la jeune pousse Fermentalg en collaboration avec le groupe Suez.

Dans la ville de Guanwu (Chine), l'agence chinoise Aether Architects a totalement transformé une habitation abandonnée en un hôtel et un centre culturel. Sa particularité : l'ouvrage est entouré d'une armature métallique cubique d'un blanc éclatant qui fait office de double-peau protectrice. La rénovation apporte donc une nouvelle vie à un édifice désaffecté de deux niveaux, situé au beau milieu d'un quartier résidentiel. Il se divise en deux zones : l'une publique, avec un café en rez-de-chaussée et à l'étage une galerie d'art et un café-bibliothèque ; l'autre privée, avec un hôtel composé de quatre chambres à chaque étage. Des volumes sobres, de blanc vêtus, sont simplement ponctués de quelques plantes et meubles en bois. Le projet prend toute son ampleur à l'extérieur avec un exosquelette en métal qui l'englobe entièrement. Ce treillis cubique faisant office de brise-soleil n'est interrompu que par quelques percées qui correspondent aux portes et fenêtres de l'édifice. Pour rompre la monotonie géométrique de cet habillage, les concepteurs détournent la trame de cette double-peau qui bénéficie ainsi d'excroissances au sol et en toiture. Par le simple ajout d'une plaque de bois entre quatre barreaux métalliques, la peau devient un banc en rez-de-chaussée et puis plancher et assises sur le toit-terrasse accessible depuis le café. " Nous utilisons ce concept de structure en treillis brut afin de développer une série de petites unités imbriquées qui tricote et enveloppe la bâtisse originelle, lui donnant une nouvelle forme et créant un nouvel espace architectural. " Aether Architects Cet assemblage apporte alors de l'intimité aux clients de l'hôtel et offre une frontière poreuse entre la rue et le bâtiment. Photographies : Guillaume Grasset et Studio Erick Saillet Pour en savoir plus, visitez le site de Claude Cartier Studio

Dans la ville de Guanwu (Chine), l'agence chinoise Aether Architects a totalement transformé une habitation abandonnée en un hôtel et un centre culturel. Sa particularité : l'ouvrage est entouré d'une armature métallique cubique d'un blanc éclatant qui fait office de double-peau protectrice. La rénovation apporte donc une nouvelle vie à un édifice désaffecté de deux niveaux, situé au beau milieu d'un quartier résidentiel. Il se divise en deux zones : l'une publique, avec un café en rez-de-chaussée et à l'étage une galerie d'art et un café-littéraire ; l'autre privée, avec un hôtel composé de quatre chambres à chaque étage. Des volumes sobres, de blanc vêtus, sont simplement ponctués de quelques plantes et meubles en bois. Le projet prend toute son ampleur à l'extérieur avec un exosquelette en métal qui l'englobe entièrement. Ce treillis cubique faisant office de brise-soleil n'est interrompu que par quelques percées qui correspondent aux portes et fenêtres de l'édifice. Pour rompre la monotonie géométrique de cet habillage, les concepteurs détournent la trame de cette double-peau qui bénéficie ainsi d'excroissances au sol et en toiture. Par le simple ajout d'une plaque de bois entre quatre barreaux métalliques, la peau devient un banc en rez-de-chaussée et puis plancher et assises sur le toit-terrasse accessible depuis le café. " Nous utilisons ce concept de structure en treillis brut afin de développer une série de petites unités imbriquées qui tricote et enveloppe la bâtisse originelle, lui donnant une nouvelle forme et créant un nouvel espace architectural. " Aether Architects Cet assemblage apporte alors l'intimité d'un hôtel, ainsi que le design d'une galerie, qui en fait un cadre de vie à la fois pratique et agréable. L'ossature adoucit son environnement et la frontière avec l'agencement des rues. Photographies : Chao Zhang Pour en savoir plus, visitez le site de Aether Architects     

Dans la ville de Guanwu (Chine), l'agence chinoise Aether Architects a totalement transformé une habitation abandonnée en un hôtel et un centre culturel. Sa particularité : l'ouvrage est entouré d'une armature métallique cubique d'un blanc éclatant qui fait office de double-peau protectrice. La rénovation apporte donc une nouvelle vie à un édifice désaffecté de deux niveaux, situé au beau milieu d'un quartier résidentiel. Il se divise en deux zones : l'une publique, avec un café en rez-de-chaussée et à l'étage une galerie d'art et un café-littéraire ; l'autre privée, avec un hôtel composé de quatre chambres à chaque étage. Des volumes sobres, de blanc vêtus, simplement ponctués de quelques plantes et meubles en bois. Le projet prend toute son ampleur à l'extérieur avec un exosquelette en métal qui l'englobe entièrement. Ce treillis cubique faisant office de brise-soleil n'est interrompu que par quelques percées qui correspondent aux portes et fenêtres de l'édifice. Pour lutter contre une certaine monotonie géométrique, les concepteurs détournent la trame de cette double-peau qui bénéficie ainsi d'excroissances au sol et en toiture. Par le simple ajout d'une plaque de bois entre quatre barreaux métalliques, la peau devient alors un banc en rez-de-chaussée et puis plancher et assises sur le toit-terrasse accessible depuis le café. " Nous utilisons ce concept de structure en treillis brut afin de développer une série de petites unités imbriquées qui tricote et enveloppe la bâtisse originelle, lui donnant une nouvelle forme et créant un nouvel espace architectural. " Aether Architects Cet assemblage apporte alors de l'intimité d'un hôtel, qui en fait un cadre de vie à la fois pratique et agréable. L'ossature adoucit son environnement et la frontière avec la rue. Photographies : Chao Zhang Pour en savoir plus, visitez le site de Aether Architects     

Le groupement constitué de la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise, l'EPAMSA (maître d'ouvrage du quartier Mantes Université), SNCF Réseau et SNCF Mobilité (gares et connexions) a sélectionné le 28 mars dernier le groupement de l'Agence Nicolas Michelin & Associés (ANMA) pour réaliser l'étude urbaine et fonctionnelle du futur pôle gare du Mantois.

Depuis le Grenelle de l'environnement, on cherche à avoir une bonne gestion des eaux pluviales, que ce soit en termes de qualité qu'en quantité. Cette réglementation a vu le jour suite à l'imperméabilisation croissante des sols, de plus en plus d'urbanisation ce qui provoque une hausse des ruissellements et, en corollaire, une hausse des débits d'eaux pluviales. Si l'on ajoute à cela le dérèglement climatique qui tend à aller vers une intensification probable des événements pluvieux, il est évident que la gestion des eaux de pluie est un enjeu capital.

La première phase du futur projet immobilier de Sannois, Les Jardins de Cyrano, comprend 59 logements et des jardins.

Selon une étude de la Société du Grand Paris et de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur), le Grand Paris est bien pourvu en équipements sportifs.

La Commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat a organisé le 19 avril dernier une série d'auditions sur le contrat de performance entre l'État et SNCF Réseau, alors que la signature semble imminente. Les conclusions sont plutôt négatives.

Sur un chantier urbain, la tendance est à la réduction. Réduction de taille des machines, du temps d'intervention, du bruit, des poussières, bref des nuisances en général, sans oublier la protection de l'environnement, car il faut moins polluer et moins faire de déchets? La tâche est rude, mais c'est bien aujourd'hui la tendance qui s'affirme. Alors comment les principaux fabricants de trancheuses, Marais, Risa, Rivard, Vermeer, Ditch Witch ou encore Dalen, répondent-ils à ce cahier des charges " du moins ", avec la garantie d'en faire toujours " plus " côté performances ? Quelques éléments de réponse.

Les représentants de cinq candidats à la présidentielle ont tenté de répondre, parfois avec approximation, aux questions des maires de France sur la politique de la ville.

La ville de Paris et Autocité, filiale de Spie batignolles spécialisée dans les concessions de parkings, ont inauguré le nouveau parc de stationnement des Patriarches dans le 5e arrondissement de Paris.

Ce n'est plus vraiment nouveau, le caniveau a aujourd'hui bien pris le tournant de l'esthétique. Les fabricants ont largement intégré cette tendance et ne cessent de proposer des nouveaux designs. Mais au-delà de l'aspect décoratif, ce qui est déjà une évolution dans nos villes, les fabricants de caniveaux n'ont de cesse de faire évoluer leurs modèles, car les attentes en terme de protection de l'environnement, de durabilité ou de résistance, sont toujours là, avec un seul objectif au final, une meilleure gestion des eaux de surface.

Constructeur allemand de matériels d'installation et de maintenance de lignes aériennes et câbles souterrains, Zeck se présente comme le leader mondial en son domaine. Sa branche ferroviaire propose diverses solutions pour installer ou remplacer câbles et caténaires sous tension mécanique. Gisela Gruber, responsable des pays francophones, évoque pour nous les ambitions françaises de la société. Vidéo.

Le 30 mars 2017, Chroniques d'architecture a envoyé aux principaux candidats à l'élection présidentielle un email commun leur posant trois questions à propos d'architecture et d'urbanisme. Une semaine auparavant le CNOA leur avait fait 21 propositions tandis que l'Académie d'architecture, pas en reste, les interpellait quelques jours plus tard dans une lettre ouverte*. La rédaction […]

Le collectif French Touch aurait eu dix ans cette année. L’aventure unique a pourtant cessé après sept années de débats, de fêtes, d’éditions et de polémiques. "Sept ans, le temps de l’amour" ironise Gaëlle Hamonic. Sept ans pour se donner "les moyens de faire", de réfléchir sur la fabrique de la ville alors que dehors, […]

A l'approche de l'élection présidentielle, l'Ordre des architectes a interpellé le 21 mars 2017 les candidats sur plusieurs enjeux de société où les architectes sont partie prenante : la nécessaire construction de logements, un aménagement urbain et territorial équilibré, la qualité de conception et d'exécution dans la réhabilitation, l’économie numérique et le respect de l'indépendance […]

Le 22 mars 2017, l'Académie d'architecture, notant que des thématiques fondamentales sont absentes du débat public, adressait une lettre ouverte aux candidats à la Présidence de la République. Quelle place pour l'architecture et l'urbanisme dans leur projet politique ? Bonne question. Voici cette lettre in extenso. Cher Monsieur, L'architecture participe chaque jour à la construction […]

Dans le hameau de clos de Contes (06), pas loin de Nice, où il a son agence, l'architecte Cyril Chênebeau a réalisé la restauration et l'extension d'un tout petit bâtiment de 60 m² datant de la fin du XIXe. Livré en 2016, il s'agit d'un projet d’envergure modeste certes mais qui peut donner des idées […]