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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35912 résultats)
Il y a 8 ans et 85 jours

Publicité digitale : l'offre d'Architectures à Vivre

Nous mettons aujourd'hui en lumière l'offre proposée par le magazine Architectures à Vivre en matière de publicité digitale. Pour rappel, ce titre est la revue d'architecture la plus diffusée en France avec 55 000 exemplaires tirés (dont 45 000 en diffusion payante) et 9 500 abonnés. Quelle ligne éditoriale ? Traitant depuis plus de 16 ans de la maison contemporaine, du design et de la culture architecturale dans son ensemble, Architectures à Vivre se présente comme un magazine haut, s'adressant à une double cible, à la fois composée de particuliers et de professionnels : - les architectes, architectes d'intérieur et prescripteurs (30% du lectorat) - les particuliers CSP+ en phase de réalisation de leur projet d'habitat (70% du lectorat)   Elle se compose principalement de 3 types de contenus : - Des reportages détaillés présentant des projets architecturaux avec photographies, plans et fiches techniques détaillant les matériaux et les équipements utilisés lors de la construction et de l'aménagement. - Des pages thématiques " S'équiper " permettant de découvrir les nouveautés en matière de cuisine, salle de bain, chauffage, mobilier, etc. - Des pages d'actualités, des portraits d'architectes et designers et des contenus relatifs au tourisme architectural et urbain.   Quelle offre en matière de communication digitale ?   S'il est avant tout une revue papier, le magazine Architectures à Vivre existe également sur le web (https://www.avivremagazine.fr/), annonçant 28 902 visiteurs uniques au 1er semestre 2016 avec 24 145 pages vues par mois. L'offre digitale se décompose principalement autour de deux axes : le display et les newsletters.   L'offre display Pour rappel, le display adverstising désigne l'affichage de bannières et encarts publicitaires sur les sites web. Architectures à Vivre propose 4 possibilités (forfaits mensuels) en la matière : - Pavé / Droite Haut - 300 x 250 pxl " 2500¤ - Bannière Large / Gauche " 728 x 90 pxl " 1500¤ - Pavé 2ème scroll droite " 300 x 250 pxl " 1500¤ - Bannière large footer gauche " 728 x 90 pxl " 1500¤   Les 2 offres newsletters La newsletter " Solution produits " Elle permet de présenter son/sa réalisation/produit/innovation/aménagement ou équipement avec un témoignage prescripteur et une description technique. Pour un tarif de 3 000 HT, comprenant la création/rédaction du contenu et l'envoi, elle est adressée à un fichier qualifié de 20 000 à 30 000 contacts selon la cible.   La newsletter " Mise en kiosques " Elle permet d'associer sa marque lors des emails de promotion de la prochaine édition du magazine à l'ensemble de sa base comptant 64 145 mails qualifiés. Le taux d'ouverture annoncé est de 27,5% pour un taux de clics de 20,1%.
Il y a 8 ans et 85 jours

Premier pas vers le BIM pour le centre hospitalier de Brest

Pour saisir les opportunités qu'offre le BIM dans l'exploitation des bâtiments et de leurs équipements, le Centre hospitalier régional et universitaire (CHRU) de Brest a sollicité le CSTB. En 2016, celui-ci a mené un audit des logiciels techniques actuellement utilisés par le CHRU, et évalué la possibilité de les coupler à une base de données BIM. Une première étape dans la transition numérique. Le Centre hospitalier régional et universitaire de Brest gère un parc conséquent de bâtiments, répartis sur 7 sites différents. Sa direction ambitionne d'utiliser le BIM pour accélérer et faciliter ses futures opérations d'aménagement et d'extension, et surtout pour maintenir et exploiter l'ensemble de ses sites de façon plus efficace et pérenne tout en réduisant ses coûts. Enfin, elle souhaite faire du BIM, un outil d'aide à la décision et de support à des services innovants, pour les professionnels comme pour les usagers. Pour cela, la mission du CSTB en 2016 a consisté dans la définition des étapes qui jalonnent l'engagement dans le numérique du CHRU de Brest - de l'optimisation des outils informatiques actuels au déploiement de projets en BIM. Des couplages pertinents L'ensemble des logiciels métier utilisés au sein de l'hôpital, ont d'abord été analysés. Il s'agit de savoir dans quelle mesure le BIM pourrait apporter une valeur ajoutée à leur usage quotidien. Les services de l'hôpital audités ont concerné les domaines suivants : informatique, biomédical, maintenance (chauffage-ventilation-climatisation, électricité, plomberie?), travaux, qualité et logistique. Sur cette base, le CSTB a identifié de façon précise les logiciels qui mériteraient d'être couplés à la maquette numérique, et quels usages pourraient être optimisés grâce à l'usage du BIM. Parmi eux, citons la possibilité de : visualiser des maquettes à jour (plutôt que des plans désuets) ; localiser les différents réseaux et équipements dans l'hôpital ; accéder à l'ensemble de la documentation technique et aux diagnostics d'amiante depuis la maquette numérique ou coupler la maquette numérique à des logiciels d'exploitation (GMAO ou GTB). Numérisation du parc existant S'il choisit de concrétiser l'usage du BIM, le CHRU de Brest devra procéder au cas par cas, à la numérisation de son patrimoine immobilier existant dans un format IFC. Cette modélisation BIM lui permettra de bénéficier d'un socle numérique. La visualisation des bâtiments, et les données associées, pourront ainsi être partagées et modifiées à long terme par les acteurs, en utilisant une visionneuse comme eveBIM, développée par le CSTB et mise gratuitement à leur disposition. Perspectives du BIM En faisant de la maquette numérique le référentiel commun des outils de gestion de ses différents parcs (immobiliers et équipements), le centre hospitalier vise à optimiser sa gestion et à développer de nouvelles fonctionnalités adaptées aux besoins émergents, actuels et futurs. Mettre le numérique au service de l'exploitation du CHRU de Brest est également un terrain d'expérimentation privilégié pour le CSTB. Il développe son savoir-faire dans le BIM multi-échelles en exploitation, en complément de projets BIM menés en rénovation (aéroport de Faro au Portugal, parc universitaire Epaurif en Ile-de-France) et en construction (nouvel hôpital d'Ajaccio, quartier Ecocité à Champs-sur-Marne). En savoir plus : L'expertise BIM multi-échelles du CSTB
Il y a 8 ans et 85 jours

Offrir à l'ÉcoCité de Champs-sur-Marne, confort sonore et performance énergétique

Dans la Cité Descartes à l'Est parisien, une nouvelle ÉcoCité vise innovation architecturale, qualité de vie et performance énergétique. L'EPA Marne a initié ce projet dans le cadre de la démarche nationale "Ville de demain" portée par le Plan Investissement d'Avenir. Cet acteur du territoire relève le défi d'un lieu de vie agréable et ouvert, aménagé autour de voies ferrées. Pour développer des innovations adaptées, des partenaires comme Elithis et Urban Practices, Linkcity, Bouygues Bâtiment IDF, la RATP et le CSTB sont engagés aux côtés de l'EPA Marne. L'Établissement Public d'Aménagement de Marne-la-Vallée souhaite aménager les espaces urbains situés sur les talus du RER A, à proximité de la gare de Noisy-Champs. Cette bande de 100 000 m² accueillera différentes constructions : logements, bureaux, services... > Le projet en vidéo Stratégie énergétique du quartier Enjeu clé : aborder la conception du système énergétique du quartier, en amont de l'appel d'offres, organisé par lots de bâtiments auprès de différents promoteurs. Ceci offre l'avantage d'envisager globalement les besoins en énergie du quartier et les solutions d'approvisionnement optimales. C'est précisément la démarche de l'EPA Marne, soutenue par les propositions des cabinets de conseil Elithis et Urban Practices et des experts du CSTB. Les trois partenaires analysent l'opportunité de mutualiser des solutions énergétiques pour l'ensemble du quartier. Cela se concrétiserait par une boucle d'eau desservant tous les immeubles, sur laquelle se brancherait la pompe à chaleur de chacun. Pour une demande simultanée en eau chaude et eau froide, l'objectif avec un tel système mixte est d'optimiser la consommation d'énergie à la source. Simulation énergétique avec Dimosim Dès le début, la solution Dimosim a été adoptée par l'aménageur pour porter cette analyse. Ce logiciel de calcul et de simulation dynamique, élaboré par le CSTB, permet d'étudier les flux énergétiques à l'échelle du quartier. Ses résultats techniques constituent une aide à la décision pour l'aménageur. Actuellement, le CSTB procède au calcul des besoins en énergie de chaque futur bâtiment. Dimosim offre une vision de la demande en énergie au travers d'une représentation chromatique et d'une courbe horaire par bâtiment sur une année. En superposant toutes les demandes des bâtiments, le CSTB obtient les besoins en chaud et froid à l'échelle quartier. Il analyse ainsi l'opportunité d'une solution d'approvisionnement partagée et peut la prédimensionner. Prochaine étape en 2017 : simuler la future ÉcoCité dotée d'un système mixte avec Dimosim. Il s'agit de préciser la caractérisation technique du réseau (systèmes de production et stockages). Puis, les calculs de consommation permettront d'évaluer les économies d'énergie générées dans le temps avec cette solution (par rapport à un système standard). Ceci constituera une base pour l'aménageur, qui souhaite calculer l'investissement initial et le temps de retour sur investissement. Solutions pour le confort acoustique et vibratoire L'étude du futur quartier inclut également le traitement des nuisances acoustiques et vibratoires provenant du RER. Pour offrir des lieux de vie agréables, l'EPA Marne et Linkcity ont souhaité limiter l'impact du bruit aérien et des vibrations souterraines ressentis dans les immeubles d'habitation à proximité de la voie ferrée, lors du passage des trains. En 2016, le CSTB a travaillé avec l'ensemble des partenaires pour imaginer et concevoir des solutions innovantes sous trois formes : des protections vibratoires enterrées ; des dispositifs antibruit de faible hauteur proches des voies ferrées ; l'utilisation des façades pour agir sur l'ambiance sonore extérieure. Pour évaluer leur pertinence, le CSTB s'appuie sur son expertise et ses logiciels de calcul prévisionnels avancés, dont Mefissto pour le calcul des impacts vibratoires. Simulation des vibrations avec Mefissto Mefissto permet de simuler les vibrations du plancher et le niveau de bruit solidien ressentis par les occupants dans les bâtiments. Il permet ainsi d'évaluer la capacité d'une solution à réduire les vibrations, telle une double paroi installée à proximité des niveaux en sous-sol. Avant d'effectuer les simulations, le CSTB et la RATP ont effectué un important travail de mesure sur site et d'analyse, pour ensuite construire un modèle réaliste du sol. En outre, les échanges avec les partenaires ont permis de prendre en compte les contraintes de mise en "uvre et de proposer des solutions viables et reproductibles - et ce dès la phase avant-projet. Prochaine étape : en 2017, le CSTB et les partenaires du projet vont finaliser l'exploration des performances techniques et économiques de plusieurs solutions pour apporter aux équipes du projet les informations utiles à leur décision. En savoir plus : EPA Marne, lauréat de l'appel à projet ÉcoCité 2 Explorer les scénarios pour améliorer la performance énergétique d'un quartier
Il y a 8 ans et 85 jours

Noues urbaines pour améliorer la gestion des eaux pluviales

En milieu urbain, les eaux pluviales génèrent des risques de pollution et d'inondation. Une situation liée à l'urbanisation croissante, qui rend les sols imperméables. Dans le cadre d'un projet R&D partenarial, Matriochkas, avec l'Ifsttar Nantes, l'École centrale de Nantes, Nantes Métropole et l'Agence de l'eau Loire Bretagne, le CSTB s'intéresse à la « noue », un système qui permet la rétention et l'infiltration de ces eaux. Il teste cette solution grandeur nature dans sa plateforme d'essais Aquasim. Pollution et inondation : pourquoi ? Quand la pluie tombe dans un champ, l'eau s'infiltre en terre. En revanche, en milieu urbain, l'eau s'écoule. Quand elle tombe sur une chaussée, elle la lessive et embarque avec elle des micropolluants (hydrocarbures, particules...) que l'on retrouve ensuite dans les milieux récepteurs (bassins, rivières...). Problème concomitant, l'urbanisation imperméabilise les sols et augmente ainsi le risque d'inondation en cas de fortes précipitations. La gestion des eaux pluviales est donc devenue avec l'urbanisation croissante, un enjeu crucial pour les collectivités. Parmi les techniques utilisées pour résorber ces eaux, les « noues » ont fait leurs preuves. Ce dispositif permet la rétention de l'eau et son infiltration progressive. Si la technique est bien connue, ses caractéristiques physiques et son comportement le sont moins. Des noues en grandeur réelle dans Aquasim Dans le cadre du projet quadriennal Matriochkas débuté en février 2015, le CSTB a mis en place un dispositif expérimental pour tester ces noues grandeur nature dans Aquasim. Cette plateforme d'essais nantaise est dédiée à l'étude du cycle de l'eau à l'échelle du bâtiment et de la parcelle. Deux noues d'1,5 m de profondeur et de 25 m2 de superficie, chacune composée de sol naturel et de sable, ont été installées dans deux bassins étanches en béton de même dimension. Des capteurs (32 par noue) permettent de mesurer le taux d'humidité et la succion matricielle du sol (une force qui aspire l'eau dans le sol). Reproduire des pluies de différentes natures Outre la mise en place du dispositif expérimental, la première étape du projet a consisté à collecter, avec l'aide de Nantes Métropole, des eaux pluviales de différentes natures. Il a fallu aussi construire des scénarios de précipitations, fidèles à ce que l'on rencontre sur le territoire français : pluie annuelle, décennale... Grâce à des systèmes d'arrosages dédiés, ces pluies vont pouvoir être reproduites dans Aquasim. Et pour représenter au mieux les réalités naturelles, à partir de différents paramètres, il est prévu de pouvoir augmenter les doses de polluants ou de simuler une remontée de nappe. Perspectives : accompagner l'innovation Cette expérimentation menée par le CSTB va permettre de créer un système « noue » de référence, dont le comportement aura été caractérisé. Elle constitue un premier pas au service du développement d'une nouvelle filière industrielle. Si des acteurs offrent des solutions innovantes pour améliorer la gestion des eaux pluviales en milieu urbain, ils pourront désormais faire évaluer leur performance en usage de manière fiable. En savoir plus : Le projet Matriochkas L'expertise Gestion durable de l'eau du CSTB
Il y a 8 ans et 85 jours

Le BIM au service du contrôle technique

La transition numérique dans la construction, une révolution qui engage toute la chaîne des acteurs, à chaque étape d'un projet, pour que les atouts du BIM en matière de productivité et de qualité portent leurs meilleurs fruits. Dans un projet, la vérification du respect des règles de l'art par un bureau de contrôle agréé, se déroule dès la conception des ouvrages et jusqu'à la fin des travaux. Ce métier fait évoluer ses pratiques pour intégrer le BIM et contribuer à l'amélioration de la sécurité et des performances des projets. Fort de son expertise BIM multi-échelles, le CSTB accompagne les spécialistes du contrôle technique dans leur démarche numérique. Zoom sur deux collaborations lancées en 2016 avec Qualiconsult et Socotec. Mission du CSTB auprès de Qualiconsult Qualiconsult et le CSTB ont signé fin 2015 un accord pour inscrire le BIM et la maquette numérique dans les pratiques du contrôle technique et optimiser ce processus métier au bénéfice des projets. Cela suppose de connecter les outils du contrôle technique à la maquette numérique. Le CSTB a pour mission d'expérimenter la méthodologie BIM et de développer les interfaces nécessaires. La spécificité de cette démarche réside dans son caractère expérimental puisqu'elle s'est appliquée dès 2016, à une situation réelle. Qualiconsult et le CSTB se sont associés à un projet emblématique opéré en BIM : la construction de la nouvelle Ecole normale supérieure de Cachan à Saclay (Île-de-France). Confiée à Renzo Piano Building Workshop, cette opération récompensée par un trophée BIM d'OR en septembre 2015, sera livrée en 2019. Elle est un terrain privilégié pour expérimenter sur l'ensemble des phases d'un projet de construction, le couplage entre : les caractéristiques du projet, enregistrées dans la maquette numérique BIM ; et le logiciel métier de Qualiconsult, GAIA, qui intègre leur référentiel technique de vérification du respect de la réglementation et de prévention des risques. Pour cela, le CSTB finalise actuellement le développement d'un module dédié aux besoins spécifiques du contrôleur technique. Intégré à la visionneuse eveBIM développée par le CSTB, il permettra d'optimiser la gestion des données avec la maquette numérique. Ces recherches pourraient aboutir à une automatisation, en tout ou partie, de la vérification de certaines règles. Un gain de temps et d'efficacité, qui s'accompagne d'une véritable montée en compétence des équipes de Qualiconsult dans le BIM. En ce sens, le CSTB met en place en 2017, un programme de formation pour sensibiliser et accompagner les équipes de Qualiconsult dans leur appropriation des nouvelles pratiques. Mission du CSTB auprès de Socotec Sécuriser les projets de construction en BIM : un axe de développement majeur de l'innovation pour Socotec. Début 2016, il s'est associé au CSTB dans cette optique, et souhaite ainsi contribuer à l'optimisation des performances et à la maîtrise des risques dans les projets. Cette collaboration se concrétise en 2016 par la création du 1er protocole BIM pour le contrôleur technique, publié sous forme de Livre blanc. Partagé au sein du COPREC, ce protocole est désormais mis à disposition de toute la filière professionnelle. Il formalise les modalités d'intervention et de collaboration des différentes parties prenantes dans le cadre d'un projet de construction en BIM, en intégrant le rôle du contrôle technique. Déclinable par projet, il permet la sécurisation des objectifs du maître d'ouvrage, de la conception, et surtout de l'exploitation. Par ailleurs, avec le CSTB, Socotec fait évoluer l'équipement de ses collaborateurs avec des outils adaptés au BIM : tables numériques, visionneuse pour lire les maquettes numériques, tablettes?. Il dispose notamment d'eveBIM, la visionneuse développée par le CSTB. Par ailleurs, il met en place un programme de formation avec l'appui du CSTB, qui propose un panel de formations par métier dans le BIM. Trois sessions ont été proposées en 2016 et deux autres sont déjà programmées en 2017. Ces actions mettent en évidence un enjeu clé : le développement du langage BIM dans les pratiques de la construction. Ce qui se traduit par l'utilisation privilégiée du format IFC afin de favoriser l'interopérabilité des outils avec la maquette numérique. Socotec s'appuie sur ce format standard pour répondre aux demandes des différents projets qui lui sont confiés. En savoir plus : L'expertise Numérique BIM du CSTB
Il y a 8 ans et 85 jours

Favoriser la résilience des bâtiments au service du bien-être de leurs occupants

Comment expliquer mal-être, troubles physiques voire pathologies sévères chez les occupants d'un bâtiment, sans raison clairement identifiée ? Le syndrome des bâtiments malsains, identifié par l'OMS (Organisation mondiale de la Santé) depuis les années 70, est la manifestation de problèmes psychologiques et sanitaires, directement associés à un lieu construit. Le CSTB a mené des travaux sur ce phénomène complexe avec une approche multicritères, pour favoriser la restauration du bien-être et de la santé des occupants dans un cadre de vie de qualité. En 2016, les chercheurs sont intervenus dans un établissement francilien dédié à la pratique de la danse. Diagnostiquer le syndrome Professeurs et élèves de cet établissement artistique souffrent depuis plusieurs années de troubles physiques " fatigue excessive, troubles respiratoires, maux de tête, malaise, problèmes ORL... " évoluant parfois en troubles psychologiques " mal-être, dépression, malgré des travaux importants menés sur le bâtiment. La perception d'inconfort persistante de ces usagers a renforcé leur mal-être : volume insuffisant des studios de danse, vétusté, absence de lumière naturelle, gêne olfactive, sensation d'exiguïté... Enfin, la fréquentation du lieu qui a augmenté ces dernières années, a aggravé les maux et l'inconfort. Ces éléments sont caractéristiques du syndrome des bâtiments malsains (dit aussi Sick Building Syndrom - SBM). Privilégier une analyse multicritères Fort de ses travaux de recherche, le CSTB s'appuie sur la prise en compte de deux dimensions, environnementale et psycho-sociale, pour identifier les facteurs qui expliquent ce phénomène. Concrètement, il s'agit ici de conjuguer l'évaluation du niveau de confinement de l'air, l'étude de la qualité de l'air, et une analyse des plaintes rapportées par les occupants. Des mesures aérauliques ont ainsi été réalisées dans l'établissement de danse grâce à l'installation de capteurs... En complément, une cinquantaine d'entretiens a été menée auprès d'usagers volontaires pour recueillir leur perception de la situation et identifier des solutions à sa gestion. Proposer des solutions À l'issue des investigations, l'ensemble des informations recueillies a confirmé un syndrome du bâtiment malsain, manifeste au travers des répercussions sur la santé physique et le mal-être ressenti. Les facteurs environnementaux sont apparus comme des explications à l'émergence du problème, la façon de le prendre en compte a conditionné les effets psychologiques observés. Les propositions du CSTB visent à : améliorer la qualité de l'environnement thermique, physico-chimique, olfactif, visuel " et optimiser le fonctionnement de l'installation de distribution d'air ; favoriser l'adéquation du bâtiment au regard des qualités d'usage (l'apprentissage de la danse) ; prendre en compte les facteurs socio-organisationnels et considérer leur rôle dans la situation de stress (communiquer sur les décisions, mettre en place un comité de suivi intégrant les plaignants dans le processus de décision, aménager des espaces de repos). Selon le CSTB, la solution passe nécessairement par la mise en "uvre de ces actions d'amélioration techniques et organisationnelles, ou bien il faut transférer les activités sur un autre site. Publications scientifiques du CSTB : Marchand D., Laffitte J.D., Weiss K., Ramalho O., Chaventré F. et Collignan B. (2017) : « L'incertitude, un facteur explicatif de l'évolution des crises environnementales ». In : Bulletin de psychologie. Le rôle de l'incertitude dans la construction sociale des problématiques environnementales. In Press, Paris Marchand, D., Weiss, K. & Zouhri, B. (2016) : "Emerging risks and quality of life: towards new dimensions of well-being?" In: Fleury-Bahi, Navarro & Pol, Handbook of environmental psychology and QOL research. Springer. P. 531 543 Marchand D., Depeau S. et Weiss K. (2014) : L'individu au risque de l'environnement. InPress, Paris Marchand D., Brisson G. et Plante S. (2014) : « L'apport des sciences sociales à la gestion du risque sanitaire environnemental ». In : D. Marchand, S. Depeau K. Weiss (eds), L'individu au risque de l'environnement. Chap.7, p.197-228. In Press, Paris Marchand D., Weiss K., Ramalho O., Chaventré F. et Collignan B. (2013) : « Le bien-être face aux incertitudes environnementales ? ». In : APPA " Revue Pollution Atmosphérique ; n°219. Octobre 2013 Marchand D., Chaventré F., Ramalho O., Laffitte J.D., Collignan B., Weiss K. (2013) : « De l'évaluation du risque à la gestion de la crise : le cas du syndrome des bâtiments malsains ». In : Environnement Risque et Santé, 2013 ; 12 : 325-9. doi : 10.1684/ers.2013.0632 Demillac R., Kermarec F., Esvan M. et Marchand D. (2012) : « Prise en charge interdisciplinaire d'un syndrome collectif inexpliqué dans une école du centre-ville de Rennes (Ille-et-Vilaine) ». In : BEH, n°48, décembre 2012, p 552-555 En savoir plus : L'expertise Santé-Confort du CSTB
Il y a 8 ans et 85 jours

Développer une méthode pour évaluer les interactions entre les systèmes urbains et la biodiversité

La prise en compte de la conservation de la biodiversité a été renforcée dans les réglementations portant sur l'aménagement urbain, notamment avec la loi pour la reconquête de la biodiversité adoptée en 2016. L'objectif est de doter les acteurs de l'aménagement et de la construction d'indicateurs et d'outils pour évaluer les impacts de bâtiments et quartiers sur la biodiversité. Le CSTB a noué fin 2016 un partenariat sur trois ans avec le Muséum national d'Histoire naturelle et l'EPA Marne. Il porte sur le développement d'une méthodologie fiable pour évaluer les interactions entre les systèmes urbains et la biodiversité. Biodiversité, critère d'évaluation environnementale Le CSTB développe depuis plusieurs années une expertise en Analyse du cycle de vie (ACV) et des outils d'évaluation environnementale multicritère. Si les impacts d'un projet sur la consommation d'énergie, le changement climatique, la production des déchets... sont bien pris en compte dans cette approche, les effets sur la biodiversité sont jusqu'à présent restés difficiles à intégrer. Fin 2016, le CSTB s'est associé à deux partenaires pour élaborer dans le cadre d'une thèse, une méthode d'évaluation des interactions entre les systèmes urbains et la biodiversité. Le Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN Paris) apporte son expertise sur le vivant, complémentaire aux compétences du CSTB dans les domaines de l'analyse de cycle de vie, du bâtiment et de la ville. En qualité d'aménageur, l'EPA Marne, qui cofinance la thèse, souhaite bénéficier d'outils d'aide au choix pour privilégier les scenarios de construction les plus favorables à la biodiversité. Approche originale de la recherche L'originalité du projet de recherche est son caractère hybride, qui vise à faire converger : l'approche ex situ basée sur l'ACV, jusqu'ici non localisée précisément dans le temps et l'espace, et l'approche in situ du diagnostic écologique associé à un espace déterminé. Ce qui nécessite de formaliser et d'intégrer des connaissances issues de champs d'expertise complémentaires. Pour inclure la biodiversité dans les outils basés sur l'ACV, les verrous scientifiques à lever concernent notamment la prise en compte des causes de perte de biodiversité (perte d'habitat pour la faune et la flore, pollution, espèces invasives, changement climatique...) mais aussi les impacts positifs d'un projet urbain sur la biodiversité (création de zone humide, de corridors écologiques...). Pour chaque type d'interaction entre les systèmes urbains et la biodiversité, il s'agira de développer des modèles adaptés à différents scénarios. Ces modèles seront testés dans le cadre du suivi de projets réels à Marne-la-Vallée. Le CSTB s'appuiera sur la maquette numérique urbaine et les systèmes d'information géographique (SIG). Il réalisera des développements pour intégrer le thème de la biodiversité parmi les critères pris en compte. Celui-ci sera ainsi inclus dans le processus global de conception d'un projet en mode BIM, comme l'ensemble des autres métiers (structure, énergie...). En savoir plus : L'expertise Analyse du cycle de vie du CSTB Loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages
Il y a 8 ans et 85 jours

Architecture : à Bordeaux, Agora 2017 explorera le(s) paysage(s)

Après les métropoles millionnaires en 2010, le patrimoine en 2012 et les espaces publics en 2014, la biennale d'architecture, d'urbanisme et de design de Bordeaux se consacrera, du 14 au 24 septembre, au paysage dans tous ses états?
Il y a 8 ans et 85 jours

Pose du thermostat Qivivo chez ekWateur

En février dernier, la société ekWateur, fournisseur collaboratif d'énergie verte, dont les locaux sont situés dans le 9ème arrondissement de Paris, a installé un thermostat Qivivo sur son système de chauffage.
Il y a 8 ans et 85 jours

Pose du thermostat Qivivo chez ekWateur

En février dernier, la société ekWateur, fournisseur collaboratif d'énergie verte, dont les locaux sont situés dans le 9ème arrondissement de Paris, a installé un thermostat Qivivo sur son système de chauffage.
Il y a 8 ans et 85 jours

Renault Trucks : 273 postes d'opérateurs à pourvoir

Grâce à une bonne santé financière Renault Trucks peut se permettre de recruter 273 opérateurs en CDI dans le courant 2017 pour ses sites industriels de Lyon, Bourg-en-Bresse, Limoges et Blainville-sur-Orne.
Il y a 8 ans et 85 jours

Les Outre-Mer demandent plus de pouvoir financier

Avec le soutien de l'association Régions de France, les territoires ultra-marins français demandent aux candidats à la présidentielle d'être mieux pris en compte dans la campagne et dans la mise en "uvre des politiques à venir. Une demande des plus pressantes au regard de la situation en Guyane où une délégation ministérielle se rend justement pour répondre à la crise.  
Il y a 8 ans et 85 jours

A Utrecht, Cepezed réalise la passerelle de Moreelse

Le 16 décembre 2016 a eu lieu l'ouverture de la nouvelle passerelle de Moreelse (Moreelsebrug) qui constitue le trait d’union entre le quartier du Croeselaan et le parc Moreelse. Les cyclistes ainsi que les piétons ont maintenant une gracieuse promenade surélevée à leur disposition.
Il y a 8 ans et 85 jours

La reprise se confirme dans le bâtiment

Le scénario de reprise de l'activité dans le bâtiment se confirme et se diffuse depuis la mi-2016, même s'il ne s'observe pas sur tout le territoire. De fait, il concerne presque exclusivement le neuf.
Il y a 8 ans et 85 jours

La reprise se confirme dans le bâtiment

Le scénario de reprise de l'activité dans le bâtiment se confirme et se diffuse depuis la mi-2016, même s'il ne s'observe pas sur tout le territoire. De fait, il concerne presque exclusivement le neuf.
Il y a 8 ans et 85 jours

"Epamarne se transforme en opérateur d'aménagement et de développement urbain au service des élus", Nicolas Ferrand, directeur général d'Epamarne et d'Epafrance

Tour d'horizon, avec le directeur général des établissements publics d'aménagement de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne) des sujets qui font son actualité: l'élargissement du périmètre d'intervention d'Epamarne, la participation au concours "Inventons la métropole du Grand Paris", la construction bois, le BIM?
Il y a 8 ans et 85 jours

Paris Plage ne veut plus du sable de Lafarge

Depuis 2002, le groupe Lafarge mettait à disposition de Paris Plages du sable. Mais l'annonce du cimentier se disant prêt à participer au mur anti-clandestins de Donald Trump pas mal à Paris. Le Conseil de la ville a décidé de se passer désormais du sable de Lafarge.
Il y a 8 ans et 86 jours

De la déontologie de l'architecte, un homme comme les autres ?

Martine, depuis qu'elle est maire sans étiquette de Sainte-Gemmes, une petite ville de banlieue, dans une communauté d'agglomération, a eu l'occasion de découvrir nombre de turpitudes d'élus, plus encore les faiblesses de l'homme, fut-il architecte. Désormais férue d'architecture, comme le lui impose sa fonction, elle se désole à l'écoute des nouvelles de cette élection présidentielle, […]
Il y a 8 ans et 86 jours

A Oman, un architecte français haut perché

Sculpté dans le paysage de la montagne, l'hôtel Anantara Jabal Akhdar, conçu Atelier Pod et livré début 2017 est un lieu unique culminant à plus de 2 000 mètres d'altitude, posé comme hors du temps, à la cime d'un paysage fait de roches et de ciel à perte de vue. Lotfi Sidirahal, architecte Franco-Marocain, a […]
Il y a 8 ans et 86 jours

Qui veut les 500 millions d'euros du PIA 3 dédié à la ville durable ?

La Caisse des Dépôts a publié l'appel à manifestation d'intérêt nommé " Territoire d'innovation de grande ambition " du troisième programme d'investissement d'avenir (PIA 3) dédié à la ville durable. Les candidats ont jusqu'à la fin du mois de septembre pour candidater. Au total, une vingtaine de projets seront sélectionnés.
Il y a 8 ans et 86 jours

Mécénat participatif pour la demeure guernesiaise de Victor Hugo

Hauteville House, située sur les hauteurs de St Peter Port à Guernesey, est le seul Musée de France hors du territoire national. Gérée par Paris Musées tout comme l'autre demeure emblématique de Victor Hugo place des Vosges à Paris, Hauteville House est l'unique demeure ayant appartenu au célèbre écrivain. Elle a aussi été son refuge … Cet article Mécénat participatif pour la demeure guernesiaise de Victor Hugo est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 8 ans et 86 jours

Alexandra Kehayoglou : Hand-Tufts Carpeted Landscapes

La créatrice argentine Alexandra Kehayoglou réalise à la main des tapis sculpturaux sur le thème de la nature, alliant art et artisanat. Pour ce faire, elle utilise comme matière première les chutes des fils de la fabrique de textile El Espartano appartenant à sa famille. Ses compositions singulières résultent d'un long processus de création manuel et technique. De taille monumentale, ces pièces peuvent recouvrir un meuble ou grimper au mur pour devenir tapisserie, conférant une atmosphère unique à l'espace qu'elles occupent. L'artiste imite tissus végétaux et textures naturelles, recréant des paysages bucoliques maritimes et forestiers où fils et fibres se transforment en mousses, herbes, eau et sable. À travers son "uvre Alexandra Kehayoglou immerge le public dans son univers et l'invite à dépasser le stade de la contemplation pour utiliser et faire vivre ses productions. Photographies/Illustrations : Alexandra Kehayoglou Pour en savoir plus, visitez le site d'Alexandra Kehayoglou
Il y a 8 ans et 86 jours

Alexandra Kehayoglou : Hand-Tufts Carpeted Landscapes

La créatrice argentine Alexandra Kehayoglou réalise à la main des tapis sculpturaux sur le thème de la nature, alliant art et artisanat. Pour ce faire, elle utilise comme matière première les chutes des fils de la fabrique de textile El Espartano appartenant à sa famille. Ses compositions singulières résultent d'un long processus de création manuel et technique. De taille monumentale, ces pièces peuvent recouvrir un meuble ou grimper au mur pour devenir tapisserie, conférant une atmosphère unique à l'espace qu'elles occupent. L'artiste imite tissus végétaux et textures naturelles, recréant des paysages bucoliques maritimes et forestiers où fils et fibres se transforment en mousses, herbes, eau et sable. À travers son "uvre Alexandra Kehayoglou immerge le public dans son univers et l'invite à dépasser le stade de la contemplation pour utiliser et faire vivre ses productions. Photographies/Illustrations : Alexandra Kehayoglou Pour en savoir plus, visitez le site d'Alexandra Kehayoglou
Il y a 8 ans et 86 jours

Mailitis Architects : The Shaolin Flying Monks Theatre

L'origine des arts martiaux remonte à l'illustre temple de Shaolin, fondé au Ve siècle dans la province du Henan (Chine). C'est dans cette même région, au c"ur d'une forêt de cyprès géants et en flanc de la montagne Songshan, que la tradition perdure grâce à un théâtre de métal et d'acier réalisé par l'agence lettone Mailitis Architects qui réinterprète le relief du paysage environnant. Cette gigantesque structure dédiée aux spectacles des moines Shaolin volants est composée de deux éléments imbriqués. D'abord l'amphithéâtre, en plein air, accueille le public venu admirer les prouesses des moines. De forme pyramidale, la peau de l'édifice est composée d'une multitude de marches - menant à l'auditorium - sous lequel se trouvent trois niveaux, accessibles aux moines ainsi qu'aux visiteurs. Face à lui, la partie maîtresse : le tunnel à vent, en forme de corolle. Les moines peuvent alors l'emprunter et léviter devant leurs spectateurs, en y apportant des chorégraphies aériennes dignes de la saga des Tigre et Dragon. La propulsion des religieux est permise par l'ingénieuse disposition des marches, non-jointes, permettant de laisser passer le vent afin d'alimenter la turbine en air. Si cet édifice est en accord avec son environnement, c'est notamment grâce à la volonté des architectes d'y incorporer des clins d'"il aux éléments naturels qui l'entourent : la montagne surplombant la forêt ; et les cyprès auxquels la cheminée fait référence. Bien que la technologie contemporaine constitue l'essentiel de la fabrication de l'ouvrage, la pierre utilisée provient d'une carrière locale dans laquelle elle est taillée à la main, ce qui renforce encore l'aspect vernaculaire de l'ensemble.   " L'image architecturale et conceptuelle fait preuve de respect envers la beauté de la nature environnante et l'héritage historique du site ", Mailitis Architects.   Ce projet est le témoignage d'un respect envers la nature qui se retrouve autant dans la conception du projet que dans sa réalisation : l'écosystème est non seulement révéré, mais il est aussi source d'inspiration et de mise en valeur pour la préservation de l'environnement et la culture de ces moines Shaolin. Photographies : Ansis Starks Pour en savoir plus, visitez le site de Mailitis Architects  
Il y a 8 ans et 86 jours

Aides à l'accession à la propriété : la ministre soutient les principales recommandations du rapport 

Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l'Habitat durable, s'est vu remettre ce matin le rapport parlementaire d'Audrey Linkenheld et de Michel Piron sur "Les aides à l'accession à la propriété : mieux soutenir les ménages, mieux prendre en compte la diversité des territoires". 
Il y a 8 ans et 86 jours

Une ville nouvelle naît au Burkina Faso

Architecture-Studio associé à Arcade Architecture, Beckmann N'Thepé Architectes, Coldefy & Associés Architectes Urbanistes et Hardel + le Bihan architectes ont remporté le concours international d'architecture portant sur la création de la ville nouvelle de Yennenga, située à 15 km de Ouagadougou, au Burkina Faso.
Il y a 8 ans et 87 jours

La banque Natixis s'installera dans les tours Duo en 2021

Ivanhoé Cambridge a loué à la banque Natixis les 90 000 m2 de bureaux des tours Duo, dans le XIIIe arrondissement de Paris. Les travaux confiés à Vinci débuteront prochainement pour une livraison début 2021.
Il y a 8 ans et 87 jours

Chamrousse tout schuss pour devenir la première station "Smart Grid"

VU AU MIPIM. Parmi les "smart cities", les villes en pointe sur le numérique et le développement durable, la station de ski alpine Chamrousse (Isère) entame un projet de rénovation énergétique. Il allie "Smart Grid et fluides", à l'échelle, pour la première fois, en altitude, sur près plus de 76.000 m². Découverte.
Il y a 8 ans et 87 jours

A Clermont-Ferrand, le complexe sportif Philippe-Marcombes rénové et transformé en parc urbain ouvert sur la ville

Dans son projet de requalification du complexe sportif Philippe-Marcombes, l'agence Auer Weber a imaginé onze sites aménagés et paysagers qui constitueront un grand parc urbain à vocation sportive, compétitive, éducative et ludique.
Il y a 8 ans et 87 jours

MoederscheimMoonen Architects : P+R Station Zutphen

La municipalité de Zutphen (Pays-Bas) intègre à son ancien quartier industriel Noorderhaven un parking extérieur destiné aux usagers de la gare ferroviaire et dessiné par l'agence néerlandaise MoederscheimMoonen Architects. Le complexe P+R offre 375 places de stationnement pour voitures et 600 emplacements pour vélos. Le bâtiment parallélépipédique de quatre niveaux et ses pignons sont une réinterprétation des anciens entrepôts industriels q ui dominaient autrefois la ville. À l'arrière de l'édifice, deux rampes en spirale se greffent à cet ensemble géométrique pour permettre la circulation des véhicules et dynamiser l'ensemble de la construction. Le parking est revêtu de fine lamelle de bois en claustras parsemées de bandes d'acier rouge et de néons qui animent la façade. Cette peau allège considérablement l'imposante bâtisse tout en garantissant un éclairage et une ventilation naturelle, paramètre très important pour un espace exposé à autant d'émanations de Co². Le complexe porte une enveloppe graphique dont le rythme et la transparence évoluent en fonction des moments de la journée. Photographies : Harry Noback , Bart van Hoek Pour en savoir plus, visitez le site de MoederscheimMoonen Architects
Il y a 8 ans et 87 jours

Au Qatar, Volvo creuse sous le désert

Les machines de Volvo Construction Equipment participent à la construction d'une ville durable (Smart City) à Lusail, au Qatar, en plein milieu du désert.
Il y a 8 ans et 90 jours

Carte BTP: la Nouvelle-Aquitaine a pris de l'avance

Les premières cartes nouvelle génération ont été distribuées jeudi 23 mars aux salariés du bâtiment en Nouvelle-Aquitaine et Occitanie.
Il y a 8 ans et 90 jours

Gérard Cosme élu président de l'Association française de développement urbain

Le conseil d'administration de l'Association française de développement urbain vient d'élire un nouveau président, pour succéder à Daniel Vachez.  
Il y a 8 ans et 90 jours

Un jardin minéral multiactivités pour une maison québécoise

Cabane perchée pour les enfants, piscine aux allures de bain romain, anciennes fontaines rénovées, mini-chalet, terrasse en pierre naturelle... Le moins que l'on puisse dire c'est que Mickaël Anselin a déployé les grands moyens pour aménager et décorer les abords de sa maison. Il a transformé son jardin en un véritable terrain de jeu à ciel ouvert pour sa famille. Un parcours multiactivités qui valorise les abords de son habitation construite des années 1950. Visite.
Il y a 8 ans et 90 jours

Une passerelle en aluminium de 65 mètres installée en Corse, un record

Début mars, dans le port de commerce d'Ajaccio en Corse, trois immenses passerelles en aluminium d'un seul tenant ont été installées. La plus grande, longue de 65 mètres, constitue même un record mondial, selon le constructeur. Précisions.
Il y a 8 ans et 90 jours

Une passerelle en aluminium de 65 m à Ajaccio !

Poralu Bridge, activité passerelles de Poralu Marine, vient de livrer et de poser dans le port du commerce d'Ajaccio (Corse) 3 passerelles en aluminium géantes, réalisées d'un seul tenant, de 65, 55 et 40 m de long.
Il y a 8 ans et 90 jours

La première ville verte des Etats-Unis en quête d'habitants

Les voitures y roulent sans chauffeur, devant des maisons construites selon les dernières normes écologiques, un restaurant de produits locaux ou une ferme utilisant l'énergie solaire: bienvenue à Babcock Ranch, première ville verte des Etats-Unis, qui cherche désormais des habitants.
Il y a 8 ans et 90 jours

La première ville verte des Etats-Unis en quête d'habitants

Les voitures y roulent sans chauffeur, devant des maisons construites selon les dernières normes écologiques, un restaurant de produits locaux ou une ferme utilisant l'énergie solaire: bienvenue à Babcock Ranch, première ville verte des Etats-Unis, qui cherche désormais des habitants.
Il y a 8 ans et 91 jours

L'Assemblée nationale décrypte les aides à l'accession à la propriété (rapport)

Stabiliser les dispositifs de soutien à l'accession à la propriété, renforcer la territorialisation de ces derniers, mieux mesurer les coûts qu'ils représentent pour les finances publiques... Telles sont quelques-unes des recommandations émises par les députés Audrey Linkenheld et Michel Piron, qui ont remis à Emmanuelle Cosse un rapport savamment intitulé " Les aides à l'accession à la propriété : mieux soutenir les ménages, mieux prendre en compte la diversité des territoires ". Détails.
Il y a 8 ans et 91 jours

Grande manifestation pour sauver Romainville

La ville de Romainville est sur le point d'engager la phase II d'un projet de destruction urbaine de son centre-ville, notamment sa place du marché. Des citoyens se mobilisent contre des projets kitschs, surtout motivés par la densification foncière due à l'arrivée du métro en 2022. Mobilisation sur place ce dimanche 26 Mars. Depuis 2007, la ville de Romainville en Seine-Saint-Denis a initié un projet de transformation de son centre urbain. Entre le quartier Marcel-Cachin et le centre-ville,...
Il y a 8 ans et 91 jours

Arpajon repense à la transformation de son centre-ville d'ici à 2021

Le programme de requalification de 26.000 m² d'espaces publics du centre-ville d'Arpajon (Essonne) a été confié à l'agence d'architecture Mutabilis, vient d'annoncer, Paris Sud Aménagement. Les travaux débuteront au premier trimestre 2018 pour des livraisons qui s'échelonneront entre 2018 et 2021 par phases.
Il y a 8 ans et 91 jours

"Fluvialisation" des chantiers publics: demandez le guide

Comment favoriser le recours au transport par voie d'eau sur les grands chantiers publics ? Pour répondre à cette question de façon la plus précise et la plus opérationnelle possible Voies navigables de France (VNF), via sa branche territoriale du Nord et du Pas-de-Calais, a confié à EY Société d'avocats la réalisation d'une boîte à outil juridique. L'outil a rencontré un franc succès lors de sa présentation, le jeudi 23 mars à Lille.
Il y a 8 ans et 91 jours

Konieczny : Ark House

La protection est une thématique redondante dans le travail de l'architecte Konieczny. Après avoir réalisé en 2009 The Safe House, véritable coffre-fort habitable, il conçoit l'imprenable Ark House sur les pentes de la campagne polonaise avec la volonté de concilier sécurité et ouverture maximale sur l'extérieur pour profiter de la vue bucolique. La maison rectangulaire aux angles vifs est disposée de biais par rapport à la l'inclinaison paysagerpaysagère. Afin de protéger cet abri montagnard, seule son entrée est accessible depuis la colline sur laquelle elle repose, tandis que la partie opposée accueillant les chambres s'inscrit en surplomb de la montagne. Des parois coulissantes extérieures offrent la possibilité d'obstruer complètement les vitrages, transformant la bâtisse en véritable forteresse imprenable dont le pont levis d'accès peut être relevé. Élaboré pour intégrer au mieux la topographie du lieu, le monolithe est monté sur des pieux dissimulés derrière un habillage de béton, pour laisser les eaux de pluie s'écouler tout en conservant l'unité de l'ensemble. Sa peau brute à l'allure minérale et la toiture pentue font échos aux reliefs de la région. Les longues baies vitrées allègent quant à elles la structure massive et réfléchissent l'humeur du ciel. Pari réussi pour l'architecte polonais qui jouit d'une maison de campagne implantée dans un cadre montagneux. Photographies : Olo Studio Pour en savoir plus, visitez le site de Konieczny
Il y a 8 ans et 91 jours

Présidentielle 2017: l'Académie d'architecture interpelle les 11 candidats

Dans une lettre ouverte aux candidats à l'élection présidentielle publiée ce mercredi 22 mars, 300 signataires, membres de l'Académie d'architecture, présidée par Manuelle Gautrand, leur demandent clairement de "l'audace, une vision et une ambition pour le territoire et la cité." Des questions architecturales et urbaines qu'ils estiment oubliées des programmes.