Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

Pour la première fois, l'Association Française de l'Eclairage (AFE) et ID Efficience Territoriale, le magazine des innovations territoriales, organisent les Trophées de l'éclairage innovant AFE / ID Efficience Territoriale qui mettent en valeur les pratiques innovantes et exemplaires des collectivités locales et des maîtres d'ouvrage en matière d'éclairage.

Elles sont plusieurs milliers chaque année sur les chantiers en France, indispensables à la manutention des charges mais aussi potentielles sources d'accident, notamment en ville. Les grues à tour doivent être stabilisées correctement lorsqu'elles sont hors service pour éviter d'être renversées par le vent. Pour mieux prévenir ce risque, l'INRS, Institut national de recherche et de sécurité, et le CSTB, expert en aérodynamique, ont élaboré une brochure de référence. Une première recommandation de la Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) a informé les chefs de chantiers dès 2004 de l'impact des bâtiments proches sur la stabilité des grues par une description qualitative. Désormais, des règles concrètes permettent d'évaluer la vitesse de stabilité des grues et ainsi de mieux prévenir le risque de chute. Ces règles ont été publiées en 2015 dans une brochure de référence élaborée par l'INRS, Institut national de recherche et de sécurité et le CSTB, expert dans ce domaine. Elles s'appuient sur 4 années d'étude du comportement au vent des grues à tour, au travers d'essais sur maquette en soufflerie atmosphérique au CSTB. En définitive, la stabilité des grues repose sur deux conditions principales : comprendre et maîtriser l'impact des bâtiments à proximité, dont la hauteur est similaire ou supérieure à celle de la grue. En effet, les perturbations de l'écoulement dues aux bâtiments peuvent agir fortement sur la partie flèche/contre-flèche de la grue lorsqu'elle est en girouette, jusqu'à provoquer son instabilité. En savoir plus : L'expertise Aérodynamique de l'Institut Carnot CSTB

Pour l'ADEME et le ministère du Logement, de l'Égalité des territoires et de la Ruralité, le CSTB a réalisé plusieurs études en 2014-2015 sur les consommations d'énergie dans les logements en France et sur les facteurs de leur évolution. Celles-ci contribuent à l'élaboration et au suivi de la stratégie nationale bas carbone appliquée aux bâtiments. Mieux connaître les dépenses et consommations d'énergie des ménages français selon la typologie de leur logement constitue un enjeu clé pour élaborer la stratégie nationale bas carbone, instituée par la loi de transition énergétique pour la croissance verte. En effet, les objectifs de réduction des émissions de CO2 d'ici 2030 sont particulièrement ambitieux pour le bâtiment. En s'appuyant sur les données de la nouvelle enquête Phébus, le CSTB a réalisé un état des lieux très détaillé des performances du parc résidentiel français et apporté des éléments de compréhension sur les dynamiques qui font évoluer ces performances : travaux de rénovation, choix résidentiels des ménages, comportements et usages, prix des énergies, etc. Les études apportent un éclairage original sur l'effet rebond. Les économies d'énergie liées à l'amélioration de l'efficacité énergétique de l'habitat s'avèrent souvent inférieures à celles espérées par les modèles de calculs thermiques. Une des explications de cet écart a pour origine le phénomène appelé effet rebond : les ménages auraient tendance à augmenter leur confort ou diminuer leurs restrictions dans leur logement rénové et mieux isolé. Les différentes analyses développées sur les données Phébus montrent cependant que l'effet rebond serait limité, restant la plupart du temps inférieur à 20 %. En savoir plus : Expertise Économie de l'Institut Carnot CSTB

Le programme d'aménagement du sud-est de la capitale (Paris 13ème) prévoit la construction de deux tours asymétriques pour accueillir bureaux, commerces et hôtel. Dessinées par les Ateliers Jean Nouvel, ces tours DUO s'élèveront respectivement à 180 et 122 mètres, avec 39 et 27 étages. En amont des travaux qui commenceront en 2016, l'Institut Carnot CSTB a étudié la tenue et le confort au vent des deux tours avec le bureau d'études structures Aedis Ingénierie, à la demande du maître d'ouvrage, le groupe Ivanhoé Cambridge et Hines. Évaluer la stabilité au vent des futures tours dans leur environnement urbain, étudier le confort des piétons et véhicules à proximité : le CSTB a répondu à ce double objectif au travers d'une étude aérodynamique expérimentale, couplée à la simulation numérique. Davor Grgic, fondateur du bureau d'études structures Aedis Ingénierie, nous en parle. " Le projet DUO prévoit la réalisation de deux tours de grande hauteur à géométrie complexe. La première tour présente dans sa hauteur une "façade en escalier". La deuxième, trapézoïdale, penche de 10 %. Il est essentiel de vérifier la tenue au vent de cette tour qui, par son inclinaison, sollicite déjà beaucoup son noyau central. Le vent, venu du côté opposé à l'inclinaison, est le plus préjudiciable. Nous avons fait appel à l'Institut Carnot CSTB pour déterminer la charge de vent supportée par les deux tours. Une étude expérimentale s'est imposée pour recueillir des valeurs très précises. Pour cela, le CSTB a réalisé une maquette du projet au 1/200e, testée en soufflerie atmosphérique. Les essais ont finalement confirmé que l'oscillation des tours sous l'effet du vent restait en toute situation au-dessous des valeurs maximales. Couplés à une simulation numérique, les essais ont également permis de vérifier le confort au vent des piétons se promenant sur le parvis, au pied des tours. Par ailleurs, nous avons analysé l'impact de la tour DUO 1 sur la sécurité des véhicules qui circulent sur le boulevard périphérique à proximité. Les études expérimentales et numériques ont montré que la tour fait obstacle à l'écoulement du vent, provoquant son accélération brutale par endroit. Ce qui est susceptible de déstabiliser les voitures. Le CSTB nous a ainsi proposé d'installer des pare-vent perforés au pied des tours, côté périphérique, pour créer une transition dans l'écoulement du vent. Nous avons apprécié l'esprit créatif et collaboratif de l'équipe du CSTB qui nous a accompagnés dans une conception aboutie du projet. Nous travaillons ensemble depuis une dizaine d'années et avons mis en place une méthode qui nous permet d'obtenir des données fiables. " La rénovation des tours de grande hauteur pose également des problématiques aérodynamiques. Pour exemple, en 2015, le CSTB a étudié la faisabilité de renouveler l'enveloppe des deux tours Pascal à La Défense, du point de vue de la tenue au vent. Avant de voir ses façades rénovées, la Grande Arche a également fait l'objet d'études par le CSTB : dimensionnement au vent du projet ; étude de confort pour les piétons qui accèderont désormais au belvédère au sommet de l'Arche ; vérification de la sécurité au vent du chantier qui utilise des nacelles. En savoir plus : L'expertise Aérodynamique de l'institut Carnot CSTB L'offre Grands ouvrages de l'institut Carnot CSTB Stabiliser les grues à tour pour la sécurité des chantiers

En juin 2015, l'établissement public d'aménagement Bordeaux-Euratlantique et le CSTB ont signé un accord de collaboration de recherche dans le domaine du numérique. Il se traduit par la mise en place d'une démarche CIM " un BIM étendu à la ville " au service de plusieurs projets pilotes sur l'OIN Bordeaux-Euratlantique. Questions à Stéphan de Faÿ, directeur général de l'EPA Bordeaux-Euratlantique. CSTB : Pourquoi l'EPA Bordeaux-Euratlantique s'est-il engagé dans le BIM-CIM (Building et City Information Modelling) ? Stéphan de Faÿ : C'est notre responsabilité d'acteur public de développer la qualité des espaces de vie à long terme et cela n'est possible qu'avec une approche globale, de la conception à la réalisation, jusqu'au fonctionnement des bâtiments et du quartier. Le BIM est un ressort clé, car il organise la production et le partage des données, à toutes les échelles, de manière fiable. Nous souhaitons par ailleurs que les données recueillies soient rendues publiques et exploitables par les acteurs du territoire au service de l'innovation durable. Nous faisons appel au CSTB pour son expertise confirmée en BIM et pour son objectivité scientifique et technique, et nous nous appuyons sur lui pour garantir l'interopérabilité des données produites. Pour cela, sa mission est de définir avec nous des structures et des formats de données de référence. Le CSTB est également chargé de réaliser une maquette numérique multi-échelles : modéliser les détails utiles des projets de construction en les intégrant dans le territoire, selon un processus collaboratif et évolutif. Qu'attendez-vous concrètement de la maquette numérique ? Elle est un outil d'information : au-delà de la représentation visuelle, la maquette numérique apporte une connaissance fine des objets du bâtiment et de la ville (caractéristiques physiques, coûts, délais, quantités, consommation énergétique, etc.). C'est aussi un outil de travail partagé qui réunit, dès le début, l'ensemble des acteurs autour d'un projet commun. Avec la maquette numérique, nous pouvons mettre les problématiques d'exploitation au c"ur des projets. On s'attend à une optimisation du rapport coût/qualité/délai des projets de construction et d'aménagement. Cela nécessite une appropriation de la méthode et de l'outil. Historiquement le processus de travail est plus cloisonné par expertise, par étapes. La maquette numérique opère un changement comparable au passage de la machine à écrire à l'ordinateur et nous souhaitons porter cette nouvelle culture avec le CSTB auprès de la filière. Par ailleurs nous souhaitons avec le CSTB améliorer le potentiel de la maquette numérique au service de la concertation. L'objectif est de perfectionner l'imagerie numérique 3D, pour mieux partager les projets d'aménagement avec le grand public. Nous sommes convaincus que cela enrichira encore le développement de notre territoire. Enfin, nous souhaitons rendre les informations de la maquette numérique accessibles en open data, dans les limites permises par la protection des données individuelles. Les entreprises pourront ainsi s'en saisir et proposer des services créateurs de valeur. C'est la dynamique économique et sociale du territoire que nous soutenons avec une meilleure gestion des données autour du BIM-CIM. En savoir plus : L'offre Numérique de l'institut Carnot CSTB À propos de l'EPA Bordeaux-Euratlantique : OIN Bordeaux-Euratlantique : Opération d'Intérêt National, Bordeaux-Euratlantique prévoit la construction de 2 500 000 m² de logements, bureaux et équipements publics sur plus de 700 ha, dans les communes de Bordeaux, Bègles et Floirac. +40 000 nouveaux habitants et +30 000 nouveaux salariés sont attendus à terme sur ce territoire.

Le projet principal du Studio Akkerhuis, une agence parisienne, concerne la définition d'un plan urbain et la conception de 12 bâtiments sur le site de la Meelfabriek (fabrique de farine), une vaste friche industrielle située à Leiden, entre La Hague et Amsterdam. Après la première version du plan d'ensemble produite par l'architecte suisse Peter Zumthor, […]

La création de ce nouvel équipement public, socio-culturel et sportif a vocation à contribuer à l'animation de plusieurs quartiers (Aplemont, Dumont d'Urville, Sanvic) et sera implanté Place Danton en lieu et place de l'ancienne Maison d'arrêt du Havre. Communiqué. K. Architectures (Karine Herman et Jérôme Sigwalt) a été retenu pour cet équipement dont le programme […]

La nouvelle mairie de Saint-Jacques-de-la-Lande en Ille-et-Vilaine, (2550 m² pour un budget de 5.7M¤ HT), livrée au printemps 2016, fut pour LAN Architecture (Benoît Jallon et Umberto Napolitano) l'occasion de pouvoir allier une stratégie urbaine à un geste architectural. Communiqué. Nous avons essayé d'imaginer un lieu qui puisse être à la fois un lieu de […]

Vendre, louer, former, Abem France mise sur sa capacité à proposer une offre globale. D'abord, en mettant à la disposition de ses clients, des matériels de détection hauts de gamme, mais également, son expérience et savoir-faire, auprès des acheteurs et utilisateurs, une assistance à tous les niveaux. Être actif et réactif, dans un métier de terrain qui pose régulièrement des questions, Abem France intègre cette dynamique.

Le pôle tertiaire et médical livré en juillet 2015 à Nozay (Loire-Atlantique). A la Bolle Festsäle de Berlin en Allemagne, il recevait dès novembre suivant  une ‘mention spéciale Jeunes architectes’. Le programme mixte de l'ouvrage, intitulé Dialogue entre matière et paysage par l'architecte Samuel Delmas, proposait un pôle tertiaire, un pôle médical, les aménagements paysagers, le […]

Réunissant les professionnels de la route, le salon Interoute&Ville aura lieu pour la première fois à Paris. Cette implantation stratégique, au carrefour des marchés européens, doit lui permettre d'accentuer sa dimension internationale.

En Ile-de-France, l'inspection du travail a effectué 494 contrôles sur chantier et d'entreprise au premier trimestre 2016. Selon la préfecture de la région Ile-de-France et de la ville de Paris, 25 infractions ont été constatées et 16 amendes délivrées.

La ville de Clichy-la-Garenne a attribué la nouvelle délégation de service public (DSP) du chauffage urbain au groupement Coriance - Idex qui aura pour mission de baisser la facture énergétique en passant à 100% la part des énergies renouvelables dans le réseau d'ici à 2025.

La commune de Mareuil-la-Motte (Oise) vient de débuter un important chantier visant à s'offrir un réseau d'assainissement collectif neuf.

Helis est une micro architecture imaginée par ootro estudio, un jeune studio espagnol installé au sud d'Alicante. Constituée d'une coque aux géométries pyramidales elle forme un abri éphémère dédié au repos et à la contemplation du paysage. "Helix ha sido imaginado para el descanso y la contemplación. El proyecto nace como una iniciativa independiente con la voluntad de establecer una relación de respeto entre el individuo y el paisaje." ootro estudio Helix est fabriqué avec une série de pyramides en carton qui s'assemblent avec leurs rabats. La pointe de chacune des pyramides a été coupée et depuis l'intérieur elles fonctionnent comme des canons projetant la vue sur des points précis et des détails du paysage alentour. Ses concepteurs souhaitaient plonger le visiteur dans une relation sereine et respectueuse avec les éléments alentour, une parenthèse calme et tranquille. Les pyramides et leurs géométries ont été obtenues à l'aide d'une découpe laser offrant la précision souhaitée pour ce genre de réalisation. Photographies : ootro estudio Pour en savoir plus, visitez le site de ootro estudio  

Les dents creuses sont l'occasion de redynamiser les traits d'une ville lorsqu'elles sont soumises à des projets de densification. Elles sont de véritables sujets d'architecture et d'urbanisme. Non loin du canal Saint-Martin, Vincent Parreira et son équipe y répondent par un programme mixte mêlant équipements sportifs et logements sous une façade dessinée par de généreuses loggias habillées de mélèze. La parcelle, longtemps restée vide de toutes constructions en dur, souffrait de ses utilisations précédentes. Les activités, presque industrielles, avaient laissé une empreinte polluée sur la parcelle à laquelle il a fallu répondre par de longs et précieux travaux sur le sol. Une fois cicatrisée elle a pu accueillir 69 logements, un gymnase et une salle de danse au c"ur d'un projet dessiné par Vincent Parreira. "Implanté le long du passage Delessert dans un volume semi-enterré, l'équipement induit des contraintes qui fondent les particularités du projet." Vincent Parreira Situé passage Delessert dans le 10e arrondissement de Paris, le projet installe le gymnase dans un niveau semi-enterré. Un volume conséquent qui reste amplement éclairé par de la lumière naturelle grâce aux façades vitrées depuis la rue et la cour. Au même niveau, une salle voisine est offerte à la pratique de la danse. Sous les équipements, le programme s'est doté d'un étage de parking, une obligation encore présente lors des esquisses. Les logements commencent à partir du premier niveau. Ils concilient et conjuguent leurs trames avec celle, structurelle, des grandes salles situées au-dessous. Les poutres portant sur plus de 20 mètres deviennent les murs de refend. Les portiques ont été répartis de manière à ne pas entamer la diversité des typologies souhaitées. Des duplex familiaux, avec double hauteur dans les séjours, se combinent avec toute une série de surfaces allant du studio étudiant au T5. L'équipe de conception a par contre offert à chacun un espace extérieur permettant de profiter un maximum des qualités du site. Toutes les loggias sont situées sur la rue et cadrent, dans une composition habillée de mélèze, le théâtre et la paysage offerts par la capitale : des vues dégagées sur les toits et les monuments de Paris pour les étages supérieurs, un dialogue plus intime avec les autres bâtiments du quartier pour les autres. Grâce à ces loggias, le projet parvient à conjuguer les échelles de la ville et de la rue à celles de l'intimité et de l'habitation. L'espace extérieur, en plus d'être à vivre, offre une transition et une mise à distance permettant d'ouvrir le logement par de larges baies vitrées. La distribution des logements s'est installée sur les façades sur cour. Un grand vide en c"ur d'ilot, laissé libre par les choix d'implantation du projet, est en partie occupé par les coursives. En structure légère, elles n'encombrent pas le lieu et laissent circuler l'air et la lumière. Chaque accès aux appartements devient une promenade où le c"ur des ilots voisins se dévoile. Elle débute depuis l'un des deux halls d'entrée et se termine par une passerelle, comme un ultime seuil, attribuée à chacun des logements. "Regardant plutôt du coté des pittoresques parcours domestiques de Mon Oncle de Jacques Tati, ou des ambiances de Fenêtre sur cour d'Alfred Hitchcock, le bâtiment se veut autant une machine à habiter qu'une machine à voir." Vincent Parreira Intitulé du projet : Less Lieu : Paris (75), 10e arrondissement Maîtrise d'ouvrage : ICF La Sablière, Assistance à maitrise d'ouvrage sites et sols pollués : Letourneur Conseil Maîtrise d'oeuvre :Architecte mandataire : AAVP Architecture - Vincent ParreiraEquipe AAVP : Vincent Parreira - Marie Brodin, Nicolas Fontaine Descambres - Lara Ferrer Surface : 6 445  m² Montant des travaux : 14 870 000 ¤ HT Calendrier :Concours : janvier 2010Début du chantier : janvier 2014Livraison : avril 2016 Photographies : Luc Boegly Pour en savoir plus, visitez le site de AAVP Architecture  

Non loin de Santiago de Cacém au Portugal, un amas de volumes blancs émerge des chênes lièges. Avec Monte Do Córrego, l'Atelier dos Remédios réalise un rêve familial où tout n'est que lumière et tranquillité au milieu des plaines pastorales. "Monte do Córrego is about a family coming together to enjoy Alentejo's scenic countryside, and the design results both from a dialogue between architecture and landscape as well as indoor and outdoor." Atelier dos Remédios Semi-enterrée, la résidence au toit végétalisé se fait discrète et épouse harmonieusement le paysage aride. Ses volumes blancs aux formes insolites se pénètrent par de larges baies ou une volée de marches conduisant à l'entrée principale. La famille profite de différents espaces de vie et de rencontre, dont des salons, des terrasses abritées, différentes cours baignée de soleil et un patio circulaire autour duquel s'organisent les espaces nuit. Si la maison s'organise principalement sur un rez-de-chaussée, elle se complète de quelques volumes supérieurs, dont des chambres profitant d'un accès direct au toit terrasses et à la piscine. Photographies : Fernando Guerra | FG-SG Pour en savoir plus, consultez le site de Atelier dos Remédios.    

À l'occasion d'un déplacement à Chaumont sur Loire dans le Loire et Cher, la ministre de l'environnement Ségolène Royal a signé des conventions d'appui financier avec 9 territoires à énergie positive dans le cadre de l'application de la loi de transition énergétique.

Située dans l'ouest du Ghana, la mine d'or Kinross Chirano est un pionnier de l'innovation. Son secret ? Elle combine des camions FMX de Volvo Trucks avec des tombereaux A40 pour ses opérations souterraines.

Le studio Caseyfierro Architects achève la transformation d'un complexe industriel en atelier pour l'artiste plasticien Anish Kapoor. Vingt ans après s'être installé dans le sud londonien, l'artiste indien profite enfin d'un lieu à la mesure de ses "uvres monumentales.     Artiste pluridisciplinaire, Anish Kapoor travaille toute sorte de média et utilise une infinie variété de techniques et procédés. Son travail requiert un espace important et modulable. L'artiste exigeait notamment un volume avoisinant les 7,5 mètres de haut ainsi qu'une structure capable de soulever des charges d'au moins 3 tonnes en tout point du studio. "Individual spaces have differing atmospheres. Each has a bias towards a specific method or material, and sophistication of the method used to create the work." Caseyfierro Architects Six espaces de tailles et de fonctions différentes ont ainsi été aménagés sur les 3 100 m² du complexe. Le plus vaste des studios a vu son sol abaissé et présente désormais 9 mètres de hauteur sous plafond. La structure d'origine  a été conservée et ses larges poutres métalliques peuvent soutenir et déplacer d'importantes charges, répondant aux exigences d'Anish Kapoor. Différentes mezzanines ont été aménagées au c"ur de ces vastes studios. Elles offrent des espaces intimes dédiés aux activités les plus fines, telles la peinture, le dessin et l'élaboration de maquettes. L'une des mezzanines forme quant à elle une galerie où l'artiste peut tester ses "uvres en situation d'exposition. "The architectural interventions provide an internal world free from external distraction, maintaining a discrete presence on the street " Caseyfierro Architects Tirant partie des caractéristiques d'un bâtiment à sheds, les architectes ont favorisé un éclairage naturel complété par de longues lampes néon. Le haut de la façade nord est parcouru d'une large fenêtre bandeau tandis que les fenêtres d'origine ont été murées et intégrées aux briques rouges. L'ensemble des studios profite ainsi d'une abondante luminosité tout en conservant l'exclusivité des "uvres dont les ombres mystérieuses se dessinent au travers des profilés de verre. Si les briques rouges qui composaient le bâtiment industriel apparaissent ponctuellement, l'ensemble du complexe s'habille d'un blanc immaculé offrant une configuration idéale pour l'appréciation des "uvres et un terrain de jeu infini à l'artiste dont les expérimentations s'inscrivent sur les murs au fil du temps. Photographies : Jim Stephenson, CFA, Ben Blossom Pour en savoir plus, consultez le site de Caseyfierro Architects.      

Dalkia, EDF et le CSTB ont signé un partenariat de recherche portant sur les mécanismes et la prévention de l'entartrage dans les systèmes thermiques et les réseaux d'eau chaude sanitaire. L'objectif de ce partenariat d'une durée de 5 ans est de réaliser des études fondamentales et opérationnelles sur des traitements physiques qui visent à limiter les phénomènes de création de tartre. Ces phénomènes sont à l'origine de la majorité des défaillances des systèmes de production d'eau chaude sanitaire. Les traitements envisagés vont contribuer à préserver l'environnement grâce à des économies significatives d'énergie et à la réduction de l'usage des produits chimiques. Très peu d'études ont abordé à ce jour la problématique de l'entartrage, même si des travaux génériques ont déjà été réalisés pour tenter d'expliquer les mécanismes de formation du tartre. Le partenariat signé par Dalkia, EDF et le CSTB permettra de mieux connaître et développer la recherche autour de dispositifs innovants qui pourraient lutter efficacement contre le tartre. Cette collaboration vise également à mobiliser d'autres acteurs intéressés par cette thématique pour constituer des consortiums de recherche. Ces travaux de recherche seront conduits au sein de l'Institut Carnot CSTB, structure à part entière dédiée aux activités de recherche du CSTB. Pour Dalkia et EDF, ce partenariat avec un organisme public reconnu comme le CSTB, leur permet d'identifier des solutions innovantes, plus respectueuses de l'environnement et qui pourraient garantir in fine à leurs clients une performance énergétique optimale et des économies importantes. En effet, les dégâts causés aux ballons d'eau chaude sanitaire sont évalués à plus de 400 M¤ par an en France. La mise en place de traitements efficaces contre le tartre permettrait de prolonger la durée de vie des chauffe-eaux et de réduire leur taux de renouvellement. Pour le CSTB, cette collaboration s'inscrit plus globalement dans son implication scientifique dans le domaine de gestion durable de l'eau, en vue de réduire l'impact anthropique des constructions et de promouvoir le bâtiment et la ville durables. Du composant des réseaux intérieurs du bâtiment (canalisations, accessoires de robinetterie, etc.) jusqu'à l'ouvrage à l'échelle du quartier (procédés d'épuration des eaux usées, ouvrages enterrés d'assainissement des eaux usées et des eaux pluviales), le CSTB mobilise des moyens expérimentaux exceptionnels (grand équipement de recherche AQUASIM) et des outils de simulation numérique pour caractériser et optimiser les performances sanitaires, environnementales et mécaniques des différents systèmes de gestion de l'eau. S'agissant d'un partenariat de recherche ouvert, d'autres organismes pourront s'y associer notamment dans la réalisation de mesures expérimentales dans les mois à venir. En savoir plus : Dalkia et EDF signent un partenariat de recherche avec le CSTB, communiqué de presse, 09/05/2016

Zaha Hadid Architects (ZHA), en coordination avec des partenaires locaux et la ville de Prague, s'est vu confier la régénération d'une friche industrielle à proximité de la gare Masaryk à l'abandon depuis des décennies.

A Gonfreville-l'Orcher (Seine-Maritime), un an après le lancement du programme de restauration, deux baraquements issus des Cités Provisoires (1945?) retrouvent… Cet article Deux baraquements après-guerre muséifiés est apparu en premier sur Archicree.

En Seine-Saint-Denis, la ville de Livry-Gargan interpelle la SNCF qui négligerait le nettoyage des voies du tramway T4 reliant Aulnay-sous-bois à Bondy.

En couvrant plus de 80 % du territoire français, Hyundai Heavy Industries estime bénéficier d'une bonne couverture géographique et s'appuie sur des distributeurs performants, autonomes et proches de l'utilisateur final.

Loi NOTRe, loi MAPTAM? les dernières réformes territoriales ont apporté de profondes mutations dans le paysage de l'intercommunalité à fiscalité propre en Ile-de-France. Tour d'horizon.

Alstom a annoncé le 4 mai 2016 la fourniture de 5 trains X'Trapolis supplémentaires pour le réseau de trains de banlieue de Melbourne en Australie.

ABB et Cavotec ont signé un protocole d'accord pour proposer des solutions shore-to-ship (solution d'alimentation électrique des navires à quai) complètes à l'échelle mondiale. Elles permettent aux navires à quai de se raccorder au réseau terrestre et ainsi de couper leurs moteurs, évitant les émissions nocives, les bruits et les vibrations dans les ports, généralement situés aux abords des villes.

Siemens a remporté une commande pour un parc éolien offshore en mer Baltique, situé dans les eaux territoriales allemandes et baptisé Arkona. Elle porte sur la fourniture, l'installation et la mise en service de 60 turbines éoliennes offshore à entraînement direct d'une puissance de 6 MW chacune.

La ville de Neuilly-sur-Seine a débuté les travaux du nouveau parking Madrid destiné à créer des places de stationnement dont manque cruellement le quartier situé entre les quais de Seine et la rue des Graviers, particulièrement dans le secteur de la rue de Longchamp, doté de nombreux commerces et restaurants.

Depuis l'avènement du décret DT-DICT, obligatoire depuis le 1er juillet 2012, le monde des travaux publics a pris le virage règlementaire tant attendu. Exploitant de réseaux, collectivités territoriales et entreprises, connaissent clairement les règles et responsabilités de chacun en matière de sécurité sur les chantiers se déroulant à proximité des réseaux. Mais ce n'est pas suffisant, et le secteur a encore besoin de cadres. Benito Bruzzo fait partie de ces acteurs engagés à établir des règles. C'est au sein de l'Observatoire Ile-de-France des risques travaux qu'il mène cette mission depuis 2007. Aujourd'hui, il nous dit où en sont les travaux.