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Toute l'actualité du bâtiment

255549 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 45 jours

Croissance Verte, un outil régional pour faciliter la rénovation énergétique

En Pays de la Loire, les collectivités locales s’intéressent au sujet de la rénovation énergétique et facilitent le rapprochement entre le grand public et les artisans. L’initiative s’intitule Croissance Verte.
Il y a 3 ans et 45 jours

Découvrez le programme de Marine Le Pen pour le BTP en infographie

INFOGRAPHIE PRÉSIDENTIELLE. La candidate du Rassemblement national met en avant l'idée d'une France de propriétaire, priorise un renforcement du nucléaire dans le mix énergétique et souhaite mettre l'accent sur les TPE-PME dans la vie économique. Découvrez le contenu de son programme pour le BTP en infographie.
Il y a 3 ans et 45 jours

Naissance de la commission Patrimoine et Histoire du génie civil

Début mars dernier, l’Association française du génie civil (AFGC) a créé la commission Patrimoine et Histoire du génie civil. Ici, le pont de Chazelet. [©François Houssin] « La commission Patrimoine et Histoire du génie civil de l’AFGC a été créée pour valoriser les hommes, les techniques et les matériaux. Mais aussi les ouvrages de génie civil, ainsi que leur histoire. Sans oublier la sauvegarde des ouvrages présentant un intérêt patrimonial », indique Patrick Guiraud, directeur des travaux publics chez Cimbéton, à l’initiative du projet. Et de poursuivre : « Il y avait un vrai besoin. Par le passé, nous avons déjà mené des actions pour sauver notamment de la destruction pure et simple la halle Freyssinet, dans le XIIIe arrondissement de Paris ». A destination des acteurs du patrimoine Bernard Quénée, directeur scientifique de Setec-Lerm, est le président de cette nouvelle commission. Celle-ci est composée d’une vingtaine de membres de l’AFGC et d’experts du patrimoine. C’est une association de conseils et d’expertise, qui met mettre au service des acteurs du patrimoine la richesse et le savoir-faire des adhérents de l’AFGC. Et ce, à destination des acteurs des services du patrimoine. « Nous allons couvrir tous les matériaux, toutes les époques et tout type d’ouvrages, ponts, barrages…. A court terme, le site de l’AFGC va être enrichi de données sur le patrimoine, de nouveaux articles et photos. Puis, dans un second temps, nous allons mettre en avant, lors des prochaines Journées du Patrimoine, en septembre prochain, la sauvegarde du pont de Chazelet, le premier pont en béton armé au monde. Enfin, nous allons organiser une journée technique, début octobre prochain, pour faire connaître le pont Albert Louppe. Aussi appelé pont de Plougastel signé Eugène Freyssinet. »
Il y a 3 ans et 45 jours

Précadres saillants pour extension d’une polyclinique à Caen

Le projet d’extension de la Polyclinique du Parc à Caen, entrepris par GCI Construction début 2019 et livré en octobre dernier, a pour ambition d’accompagner son développement médical et d’améliorer l’accueil des patients. D’une superficie de 5 360 m2 sur 5 niveaux, ce bâtiment héberge notamment 60 chambres d’hospitalisation supplémentaires (en ambulatoire et en hospitalisation), un pôle de douleur chronique et une salle de rééducation physique. Le programme constructif et l’insertion urbaine ont été imaginés par l’architecte Colin SUEUR, qui souhaitait créer en façades des jeux de volumes 3D. Cette enveloppe animée se compose de panneaux de béton brut en extrémité Ouest et d’un bardage, en position intermédiaire, assurant la liaison avec l’existant. 18 précadres d’habillage saillants « PrecHab Façade », verticaux et horizontaux, ont été fabriqués et livrés prêts à installer par LOUINEAU. Leurs dimensions variées et XXL (jusqu’à 8 400 mm de longueur et 8 600 mm de hauteur), conjuguées à une masse vue imposante de 220 mm, participent à la dynamique visuelle de ce bâtiment apparaissant comme une proue à l’angle de deux rues**. Le bureau d’études LOUINEAU et l’entreprise locale ALUTIL, qui les a mis en œuvre, ont travaillé de concert pour retranscrire à l’identique cette signature architecturale. Pour les 83 ouvertures sans précadre d’habillage, des bavettes en aluminium LOUINEAU recouvrent les appuis de fenêtre. Tous les châssis sont posés en applique, nécessitant l’utilisation de cornières filantes (CFIL) pour garantir la reprise de charge. Ces solutions de l’industriel disposent d’une rupture de pont thermique intégrée qui renforce les performances de l’ouvrage et le confort des occupants. Exploitant : Polyclinique du Parc – ELSAN Maîtres d’ouvrage : ICADE Santé – ELSAN Maître d’œuvre : GCI Construction Architecte : Colin SUEUR Entreprise de pose : ALUTIL Photo et menuiseries : LOUINEAU
Il y a 3 ans et 45 jours

Somfy signe un accord avec Elcia pour l'accompagner dans son développement européen

Partageant des valeurs communes d’innovation et de service clients, SOMFY et ELCIA souhaitent mettre en place ce partenariat pour répondre au double objectif de développement du groupe ELCIA en Europe et d’accompagnement des installateurs de menuiseries dans la vente de solutions connectées.Fondée en 1999, ELCIA rassemble 210 collaborateurs en France, et compte plus de 24 000 utilisateurs. Le Groupe commercialise notamment ProDevis, logiciel n°1 de chiffrage et de gestion commerciale pour les installateurs Menuiserie, Store et Fermeture, une solution permettant d’optimiser les échanges entre les industriels, leurs réseaux de vente et les clients particuliers.Accompagnement de la croissance d’ELCIA Cette opération va permettre d’accompagner l’ambition de croissance du groupe ELCIA en Europe, et notamment en Allemagne. Le groupe SOMFY y a développé un solide réseau d’experts depuis la création de sa filiale en 1969, et connaît les enjeux de ce marché, le plus important d’Europe dans le domaine de la menuiserie.Développement des outils digitaux nécessaires aux réseaux d’installation et de distribution Ce partenariat va également permettre de développer des outils digitaux innovants auprès des réseaux d’installation et de distribution de menuiseries. L’offre d’ELCIA s’est construite pour connecter l’univers de la menuiserie et répondre aux évolutions des besoins et des usages du secteur. Fort de cette expertise, ELCIA va enrichir ses solutions pour élargir sa proposition autour des menuiseries connectées, répondant ainsi aux grandes tendances d’évolution de l’habitat et de la maison connectée. Cette collaboration vise notamment à apporter un accompagnement approfondi de toute la chaîne de valeur dans sa digitalisation et permettre la poursuite de la structuration des réseaux d’installateurs pour garantir un service de grande qualité aux consommateurs.Sous réserve de la levée des conditions suspensives usuelles, cette prise de participation sera effective le 14 avril 2022. SOMFY financera cette prise de participation par sa trésorerie existante. « Le rapprochement avec SOMFY nous permet de bénéficier de l’expertise d’un Groupe industriel français tourné vers l’international, au capital stable et avec une vision long terme, pour notre développement en Europe, et va apporter de la valeur pour les clients en simplifiant la vie de tous les acteurs du marché grâce à nos solutions logicielles et des services innovants. » commente Franck Couturieux, Président-Fondateur d’ELCIA.« Nous nous réjouissons d’accompagner les équipes d’ELCIA au travers de cette prise de participation. L’innovation et le service clients sont des valeurs que nous partageons largement avec cette pépite française et cela va permettre de renforcer l’offre digitale pour les installateurs, optimisant la satisfaction des consommateurs » conclut Pierre Ribeiro, Directeur Général de SOMFY.
Il y a 3 ans et 45 jours

EHRET matérialise des panneaux de volets coulissants en mousse d’aluminium. Une prouesse sans pareil pour le nouveau centre de compétences de la société Materialise.

Il y a déjà quelques années que les mousses d’aluminium sont devenues des objets de design attrayant pour les surfaces. Mais c’est bien la toute première fois que des panneaux en plaques de mousse d’aluminium transformée sont utilisés à l’instar de protections solaires.  EHRET signe là une performance en matière de design. Inspirés de la […]
Cimbat
Il y a 3 ans et 45 jours

Rénovation énergétique d’un gymnase universitaire

En qualité de mandataire d’un groupement de conception réalisation, Spie batignolles grand-ouest conduit la réhabilitation énergétique du complexe sportif B9 de l’Université de Poitiers, au cœur de la région Nouvelle-Aquitaine. Ce projet soutenu par l’Etat dans le cadre du plan France Relance, a pour première ambition d’améliorer nettement la performance énergétique du bâtiment, avec comme objectif une réduction de la consommation d’énergie primaire de 60 %, et d’énergie finale de 64 %. L’Université de Poitiers vise la réalisation d’un « éco-campus », et cela passe cette année entre autre par la rénovation de l’un des éléments phares de son équipement sportif. Elle a opté pour l’expertise et la proximité de l’équipe constituée autour de Spie batignolles grand-ouest qui comprend le cabinet Créature Architectes, le bureau d’études Climat Conseil et la société d’ingénierie 3Ia. La réhabilitation debutera par l’isolation des façades qui recevront une ITE en laine de bois, un enduit décoratif, un bardage en matériaux composite ou une maille métallique anti graffiti selon la localisation. Les menuiseries actuelles en simple vitrage seront remplacées par des ensembles en aluminium double vitrage. La couverture qui a bénéficié de travaux d’entretien récents et dispose déjà d’un bon niveau de performance, sera conservée en l’état, dans le cadre d’une démarche qui vise à optimiser le ratio coût, performance. Des travaux de rénovation de la chaufferie prévoient la dépose des chaudières gaz existantes, la pose d’un nouveau ballon d’eau chaude sanitaire électrique, le changement de l’armoire électrique et l’installation de centrales de traitement d’air double flux. Des robinets thermostatiques seront placés sur chaque émetteur intérieur pour une utilisation plus raisonnée et la mise en place d’une GTC permettra le pilotage et le contrôle en temps réel des différentes consommations énergétiques. Les éclairages existants seront remplacés par des luminaires LED au rendement énergétique supérieur. Sur les toitures des bureaux seront installés environ 100 m² de panneaux photovoltaïques venant se rajouter aux travaux déjà prévus dans le marché initial. Visuel : Créature Architectes Cet article Rénovation énergétique d’un gymnase universitaire est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 45 jours

Nouvelle cheville DuoXpand

La cheville DuoXpand se compose d’un corps bi-matière et d’une vis (tête fraisée ou hexagonale). Le corps principal gris en nylon de haute qualité garantit la résistance de la fixation, tandis que l’expansion des lamelles rouge apporte une sécurité supplémentaire. Sa géométrie brevetée assure une expansion douce dans le matériau de construction évitant ainsi d’endommager les parois des matériaux creux et permettant un ancrage près du bord. Pour une installation sûre, des ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le trou lors de l’installation. La zone d’expansion, avec 2 profondeurs d’ancrage, permet une utilisation flexible dans tous les matériaux de construction selon l’ETE : 50 mm dans le béton, les briques pleines et creuses et 70 mm dans tous les autres matériaux.    
Il y a 3 ans et 45 jours

Un immeuble de bureaux, signal urbain, par Chartier Dalix à Saint-Denis

Né à Manchester en 1935, l'architecte britannique Norman Foster est diplômé de l'université de Manchester et de celle de Yale. Il fonde son agence en 1967 et manifeste rapidement un vif intérêt pour la flexibilité des espaces et l'innovation technologique. Lauréat du prix Pritzker en 1999, celui qui est […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 45 jours

A Saclay, l’IPHE – incubateur pépinière et hôtel d’entreprises – d’Ignacio Prego

Ignacio Prego Architectures a livré en septembre 2021 à Palaiseau (Essonne), sur le plateau de Saclay, un IPHE, c’est-à-dire un « Incubateur, pépinière et hôtel d’entreprise » de 6 400m², pour un coût de 18,07 M € un ensemble destiné à devenir un lieu emblématique de l’entrepreneuriat et de l’innovation à Paris-Saclay. Communiqué. Le monde du travail […] L’article A Saclay, l’IPHE – incubateur pépinière et hôtel d’entreprises – d’Ignacio Prego est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 46 jours

Au Val-Fourré, la foudre perdue de la tour Jupiter, coulée par les impayés

"Ça se dégrade mais malgré tout, on est bien ici, on a vécu ici, on y restera", ne démord pas Madeleine Lino, 51 ans, jogging gris et bras croisés.La concierge a "sacrifié" le poste qu'elle partageait avec son mari. Elle espérait soulager Jupiter gangrénée par les charges impayées et rester dans "sa tour", "la seule du Val-Fourré avec des fleurs" à ses pieds. Quelques tulipes orangées, jacinthes et rosiers jouxtant des poubelles pleines.Malgré ces ornements, Jupiter ne peut tenir la concurrence imposée par Neptune.Tout juste ravalée, celle-ci domine, en face, la froide dalle de béton qui tient lieu de forum public. Sa façade d'un blanc éclatant détonne dans la palette de gris de l'immense cité: 6.000 logements dont 5.000 sociaux, tassés sur les bord de Seine.A elle deux, les tours quasi-jumelles illustrent ces rêves urbains des années 1960 rattrapés par la pauvreté, ces copropriétés torpillées par des copropriétaires mauvais payeurs et des marchands de sommeil.Charges impayéesElles sont aujourd'hui au coeur de l'une des quatre opérations franciliennes de requalification des copropriétés dégradées d'intérêt national (Orcod-In): un plan de sauvetage exceptionnel, piloté par l'Etablissement public foncier d'Ile-de-France (Epfif). Plus largement, 400 millions d'euros sont prévus pour "ouvrir sur la ville" ce quartier prioritaire d'ici 2030.Neptune, majoritairement occupée par des propriétaires, sera maintenue à flot. Jupiter, de plus petites surfaces habitées à 80% par des locataires, doit disparaître."Quand j'ai acheté en 1982, on m'a vendu qu'ici c'était le XVIe arrondissement de Paris mais à Mantes-la-Jolie", assure Mohamed Hzeg. Le quartier est "calme" et le F4, acquis pour l'équivalent de 35.000 euros actuels, parfait pour ses enfants, songe alors l'ingénieur géomètre. "Il y avait une bijouterie, des marchands de costumes, c'était un bon standing", abonde Jean Bégué, président du syndic et fondateur en 1975, au rez-de-chaussée, d'un laboratoire d'analyses médicales encore en activité."On n'était pas au courant des comptes de la copropriété en achetant. A un moment, on se réveille et on comprend qu'il y a autant d'impayés, et là, on a commencé à tirer la langue", explique M. Hzeg, 80 ans, toujours dans son confortable F4.La situation s'est dégradée "petit à petit". Les procédures en justice, chronophages, n'y font rien, pas plus que les relances. Certains débiteurs renflouent, une dizaine non. Les charges s'alourdissent, 1.000 euros par trimestre pour un 82 m2. Les impayés dépassent les 200.000 euros fin 2020."Délabré, ça ?Alors que le quartier entame sa mue dans les années 1990 en faisant tomber les tours HLM pour dédensifier la zone, des bouées financières publiques sont lancées à Jupiter et Neptune."On a réalisé les travaux. Regardez les peintures, les boîtes aux lettres, c'est délabré ça ?", désignent les propriétaires dans des étages globalement propres.Il y a des cafards, des habitats indignes, rétorque l'Epfif, sans compter "les cas de suroccupation assez importants" et les "installations électriques insalubres". "Il n'y a plus d'autres options" que la destruction annoncée à l'automne pour 2026, assure Guillaume Idier, directeur de la communication de l'Epfif.Déjà quatorze propriétaires ont vendu leurs biens, sur la base "des prix du marché et de la valeur d'usage".Vendre à l'Epfif un 90 m2 pour, au mieux, 75.000 euros ? Lahcen Tioual s'y oppose. "Je ne vendrai pas pour des miettes", martèle l'ex-ouvrier de l'usine Simca de Poissy qui dit s'être "serré la ceinture" pour acheter neuf des 105 appartements de la résidence.Il s'affirme d'autant plus spolié que les propriétaires de Neptune n'ont déboursé en moyenne que 700 euros chacun, à comparer aux 3,3 millions injectés pour rénover cette passoire thermique.Dans Neptune aujourd'hui, "c'est beaucoup mieux", confirme sous le couvert de l'anonymat une de ses locataires. Même si l'un des deux ascenseurs est "hors service depuis trois ans" et que "ceux qui ne payaient pas leurs charges hier ne paieront pas demain".
Il y a 3 ans et 46 jours

Appel à candidatures pour le Prix Architecture espaces Bretagne 2022

Le Prix Architecture espaces Bretagne (PAeB) se déroule tous les deux ans et revient cette année pour une 18ème édition. Candidatures ouvertes jusqu’au jeudi 28 avril 2022. Depuis 1992, la Maison de l’Architecture et des espaces en Bretagne œuvre à la diffusion de la culture architecturale sur le territoire breton. Pour cela elle organise notamment […] L’article Appel à candidatures pour le Prix Architecture espaces Bretagne 2022 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 46 jours

Un nouveau directeur à la tête de l'activité "Construction & grand public" de Bostik

CARNET-NOMINATION. Spécialisé dans les solutions adhésives, Bostik (groupe Arkema) dispose d'un nouveau directeur France de l'activité "Construction & grand public" en la personne de Morgan Malecotte.
Il y a 3 ans et 46 jours

Quatre mois de prison pour les propriétaires d'un immeuble marseillais menaçant de s'effondrer

Les deux prévenus, condamnés par le tribunal correctionnel de Marseille pour mise en danger de la vie d'autrui, devront en outre s'acquitter d'une amende de 15.000 euros, soit le maximum possible, qui a été retenu "au regard de leurs motivations financières et de leur patrimoine conséquent", selon le jugement.Leur société civile immobilière (SCI) a été condamnée à une amende de 75.000 euros.Situé en plein centre de Marseille, l'immeuble de trois étages dont ils étaient propriétaires, très dégradé et rongé par l'humidité, présentait, selon le tribunal, "un risque avéré et immédiat d'effondrement, à l'image d'un château de cartes".L'alerte avait été donnée par un locataire en novembre 2018, quelques jours après le drame de la rue d'Aubagne --qui a fait huit morts dans l'effondrement de deux immeubles en plein centre-ville de Marseille--, précipitant l'évacuation des occupants et la fermeture de la pizzeria installée au rez-de-chaussée.Depuis des années, des fissures étaient apparues sur les façades et dans les appartements, trahissant un basculement de l'immeuble vers l'avant.L'expert désigné par le tribunal administratif, dans le cadre d'une procédure de péril grave et imminent, avait estimé que l'immeuble avait vocation à être démoli. Mais les propriétaires, sur la base de diagnostics moins alarmistes, avaient finalement obtenu des subventions publiques à hauteur de 400.000 euros pour des travaux structurels d'importance.Observant que la loi impose aux propriétaires de remettre à leurs locataires un logement décent, le tribunal a pointé du doigt leur "incurie", soulignant qu'ils n'avaient "pas réalisé les travaux d'envergure nécessaires à la sécurité de l'immeuble, et ce dans une démarche de maximisation de la rentabilité de leur bien". Les travaux et l'entretien n'étaient réalisés qu'a minima, ont noté les juges.La propriétaire occupant le dernier étage de l'immeuble a été relaxée, le tribunal considérant que les obligations de sécurité ne s'imposaient pas à elle. Elle avait alerté la SCI propriétaire du reste de l'immeuble.Outre le pizzaiolo, trois locataires évacués de l'immeuble ont été reçus comme parties civiles, leur indemnisation étant renvoyée à une audience le 9 décembre. Leurs avocats avaient plaidé que, sans les mesures de sécurité immédiate prises, notamment l'installation d'une "véritable cage métallique pour maintenir l'immeuble, il se serait effondré comme à la rue d'Aubagne".
Il y a 3 ans et 46 jours

Une serre horticole se modernise en salle d'hospitalité à Paris

ARCHITECTURE. L'agence d'architecture Forme a porté la réhabilitation d'une serre dans un quartier fortuné de la capitale. Elle a cherché à préserver le patrimoine existant en modernisant le bâtiment pour que ce dernier puisse accueillir diverses activités.
Il y a 3 ans et 46 jours

La CAPEB, l'IRIS-ST et l'OPPBTP présentent des solutions innovantes pour faciliter la pose de carrelages grands format

Ce programme, issu d’une étude menée depuis 2019, a pour objectif d’améliorer les conditions de travail des carreleurs confrontés à une augmentation des dimensions des carrelages. L’OPPBTP a mené une étude ergonomique avec la CAPEB et l’IRIS-ST en collaboration avec des équipementiers, afin d’identifier des solutions innovantes améliorant significativement les conditions de pose en préservant la performance.Le 25 mars, l’UNA Maçonnerie-Carrelage de la CAPEB, l’IRIS-ST, l’OPPBTP et les équipementiers présentent à des apprentis carreleurs du CFA d’Angers des solutions techniques pour améliorer les conditions de travail et faciliter la pose des grands carreaux.Une évolution majeure des formats de carrelage à prendre en compteDepuis quelques années, la tendance est au format XXL pour les carrelages. Il s’agit de carreaux dont les dimensions sont supérieures à 60 cm x 60 cm et peuvent même souvent dépasser le m2. Ces augmentations de format crées des difficultés aux carreleurs en termes de transport, manutention, découpe et pose. Elles imposent souvent d’avoir recours à deux personnes pour manipuler les carreaux et les poser. Ces contraintes peuvent même parfois conduire les artisans à décliner ce type de chantier.Face à ce constat, l’UNA Maçonnerie-Carrelage de la CAPEB et l’IRIS-ST ont engagé, en partenariat avec l’OPPBTP, une étude ergonomique sur les conditions de travail des carreleurs pour la pose de carreaux de grand format début 2019. Cette étude avait pour principal objectif de lister les problématiques rencontrées par les artisans carreleurs mais surtout de réfléchir aux moyens d’améliorer leurs conditions de travail. Pour cela, les partenaires ont décidé de collaborer avec des équipementiers pour trouver des solutions adaptées.L’observation, une étape fondamentaleEn 2019, une première phase observatoire a été lancée directement sur deux chantiers et menée avec un ergonome de l’OPPBTP. En parallèle, un relevé des caractéristiques des chantiers (neuf/rénovation – individuel/collectif), des matériaux mis en œuvre ainsi qu’un recensement des équipements existants ont été réalisés. Cela a permis d’obtenir des résultats concrets sur l’organisation d’un chantier, les postures de travail des carreleurs et les contraintes rencontrées. À l’issue de cette première phase de bibliographie et d’analyse du travail, l’UNA Maçonnerie Carrelage, l’IRIS-ST et l’OPPBTP ont réuni des équipementiers, des industriels et des start-ups afin de présenter les résultats de l’étude ergonomique et les constats établis.A ce stade il s’agissait essentiellement d’alerter et de sensibiliser les acteurs de la profession, et de déterminer l’appétence de chacun à s’engager sur le sujet en vue de trouver des solutions aux difficultés identifiées. L’ensemble des équipementiers, a confirmé son intérêt pour cette problématique et trois d’entre eux, Probst, Robotile et Raimondi, se sont engagés à collaborer dans la recherche de solutions.Identifier des solutions concrètesDifférents équipements, présents aux catalogues de Probst, Robotile et Raimondi, ont été expérimentés sur trois chantiers en 2021. Ce sont ces solutions qui sont présentées au CFA d’Angers le 25 mars.RobotileCarlita : machine d’assistance à la pose de carreaux de grands formats. Réduit les efforts liés à la pose des grands carreaux en permettant aux carreleurs de ne pas avoir à porter le poids des carreaux à l’encollage et à la mise en place.Tire-colle express : permet l’application de colle au sol en position debout donc en réduisant les contraintes posturales et en gagnant du temps.Probst :FXAH-120 : L’entreprise distribue des ventouses électriques pour faciliter la préhension manuelle (portage, positionnement). Elle conçoit et fabrique des accessoires (Solo et Duo sets) s’adaptant à ces ventouses et permettant la manipulation et la mise en place des carreaux en position debout.Raimondi :L’Easy move 150 associé au Only One est un dispositif de manutention et de mobilisation de carreaux de grands et très grands formats permettant de réduire les contraintes des carreleurs en facilitant la préhension et réduisant les charges à porter puisqu’une partie du poids est porté par des roulettes.Le Raizor est un outil de découpe de grands et très grands carreaux (jusqu’à 450 cm) se posant sur le carreau à découper et permettant ainsi d’éviter d’avoir à porter le carreau pour l’insérer dans la carrelette.Le Tyrrel, petit chariot permettant le déplacement des grands carreaux entre zone de stockage et zone de préparation, par une seule personne et évitant le déplacement sous charge.La publication d’un rapport de synthèse sur l’étude et ses résultats est prévue pour le second semestre 2022 en vue de faire connaître largement ces solutions.Pour Thierry Toffoli, Président de l’UNA Maçonnerie Carrelage de la CAPEB : « Les professionnels posent de plus en plus de carreaux grands formats qui sont très appréciés des clients. Ainsi, les apprentis sont amenés à mettre en œuvre ces produits lorsqu’ils sont en entreprise alors que l’enseignement qu’ils reçoivent en CFA ne le prévoit pas. Présenter les innovations auxquelles nous sommes parvenus en travaillant avec les fabricants est ainsi pour nous un moyen de faire avancer les choses, de rassurer les jeunes sur l’adéquation de leur formation avec l’évolution de leur métier et de leur montrer que leurs aînés s’emploient à la renforcer. Il importe que les innovations et ces progrès constants soient connus des futurs professionnels du carrelage, qui sont pour beaucoup les futurs chefs d’entreprise de l’artisanat du bâtiment. C’est la raison pour laquelle nous avons tenu à présenter les résultats de notre étude métier au sein du CFA BTP d’Angers. »Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Faire évoluer les produits et les techniques de mise en œuvre est un objectif constant de la CAPEB et l’objet d’un grand nombre des partenariats qu’elle noue avec les fabricants du bâtiment. C’est aussi l’objectif des études métiers que nous réalisons avec l’OPPBTP en vue d’améliorer les conditions de travail dans nos professions. Nous nous réjouissons que les innovations qui découlent de ces travaux soient dévoilées en avant-première à celles et ceux qui apprennent le métier au sein d’un BTP CFA. Une initiative que nous approuvons d’autant plus que la CAPEB vient de signer avec le CCCA-BTP une convention de partenariat qui vise précisément à intégrer l’innovation dans la pédagogie afin que nos métiers soient toujours à la pointe des connaissances et deviennent encore plus attractifs pour les jeunes en recherche d’orientation. »Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « L’ingénierie prévention des métiers de demain avec l’objectif d’une prévention intégrée portée par l’innovation est l’une des 5 priorités stratégiques du plan @Horizon 2025 de l’Organisme. Cette étude menée en partenariat avec la CAPEB et l’IRIS-ST a suscité l’adhésion d'équipementiers et d’industriels. Leur engagement a permis de développer des solutions novatrices très opérationnelles, intégrant pleinement la dimension « prévention et performance » et répondant ainsi à des enjeux très concrets du métier de carreleur. Former les jeunes et les nouveaux arrivants dans le BTP en leur assurant un haut niveau de compétence est une autre priorité stratégique de l’Organisme. Présenter ces solutions novatrices aux futurs professionnels du BTP, est donc une opportunité pour porter un message positif sur les métiers du BTP et montrer que ces acteurs accompagnés de l’OPPBTP sont engagés pour un avenir plus sûr pour le BTP »
Il y a 3 ans et 46 jours

Somfy va entrer au capital d'Elcia

PRISE DE PARTICIPATION. Le spécialiste de l'automatisation des ouvertures et des fermetures pour la maison, Somfy, annonce avoir prendre une participation dans Elcia, un expert des solutions et logiciels pour le secteur menuiserie, store et fermeture.
Il y a 3 ans et 46 jours

Atonie du marché des CEE : la ministre reconnaît qu'il y a un "problème"

RÉACTION. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a une nouvelle fois évoqué le sujet des débuts particulièrement timides de la cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE). Elle assure que l'État travaille le sujet et que les difficultés devraient se "résorber".
GDA
Il y a 3 ans et 46 jours

La construction métallique entre optimisme et inquiétude

Entre optimisme et inquiétude liés au conflit en Ukraine ou à l’emploi, Roger Briand, président du Syndicat de la construction métallique de France fait un point sur la situation du secteur et revient sur la RE2020 et la REP PMCB.
Il y a 3 ans et 46 jours

Irrigo, nouvel immeuble de bureaux sur les berges du canal de l'Ourcq

EN IMAGES. L'agence Leclercq Associés a livré, en début d'année, un immeuble de bureaux à Bobigny, sur les berges du canal de l'Ourcq, construit par GA Smart Building.
Il y a 3 ans et 46 jours

Renforcer les solidarités : 4ème appel à projets de la fondation Paris Habitat

La Fondation d’entreprise du groupe Paris Habitat a lancé un appel à projets pour soutenir des projets de recherche-action ou des expérimentations visant à renforcer les solidarités de proximité sur le territoire de la métropole du Grand Paris. Jusqu’au 30 avril 2022. A l’échelle des quartiers, des rues ou des résidences, des initiatives de solidarités […] L’article Renforcer les solidarités : 4ème appel à projets de la fondation Paris Habitat est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 46 jours

CDC Habitat a un nouveau directeur général

CARNET-NOMINATION. Vincent Mahé, ancien directeur général de la filiale d'habitation de la Caisse des dépôts, a démissionné. Anne-Sophie Grave conserve son poste de présidente du directoire.
Il y a 3 ans et 46 jours

Arnaud Leroy va quitter l'Ademe

Le président de l'Agence de la transition écologique a annoncé le 31 mars dans un communiqué qu'il quitterait ses fonctions le 9 juin prochain à l'issue du prochain Conseil d'administration.
Il y a 3 ans et 46 jours

Le solaire pourrait fournir rapidement l'équivalent d'un à deux EPR, selon la filière

La prise de conscience de nos besoins en énergie, sur fond de flambée des prix du gaz et du pétrole, de centrales nucléaires vieillissantes puis de guerre en Ukraine, est l'occasion d'accélérer le développement des ressources renouvelables, souligne Daniel Bour, président d'Enerplan, le syndicat des professionnels du solaire."La France détient le record d'Europe de la lenteur", relève-t-il.De fait, malgré une année 2021 record avec plus de 2 gigawatts (GW) d'installations nouvelles, elle accuse un retard criant dans la réalisation de ses objectifs solaires, fixés par l'État.Le pays, qui prévoit 20 GW de capacités installées en 2023, n'en est qu'à 13 GW - mélange de résidentiel, de toitures et d'ombrières grandes et moyennes et de centrales au sol (pour 60%).Le président Emmanuel Macron a proposé en février à Belfort de décupler les projets pour atteindre 100 GW en 2050.Mais pour Daniel Bour, Belfort "c'était avant l'Ukraine et la prise de conscience de la dépendance au gaz. Le solaire peut faire plus": 200 GW au moins.Et pour l'immédiat, il a un plan: réaliser 25 GW supplémentaires d'ici 2025, l'équivalent d'un à deux réacteurs EPR - quand la France ne prévoit pas d'inaugurer de nouveau réacteur avant 2037 (hors EPR de Flamanville en chantier depuis 2012).Pour le secteur du solaire, l'objectif n'a rien d'extraordinaire: "L'Allemagne, l'Italie... ont déjà fait 10 GW en un an"."Car les gouvernements avaient une volonté claire de les pousser", souligne Daniel Bour. "En France, l'enjeu n'était pas le même: le pays était plus décarboné", via le nucléaire. "Sauf qu'aujourd'hui, ça a évolué".Usines en EuropePour montrer son efficacité, la profession propose de se concentrer d'abord sur les terrains dégradés, avec une simplification de la procédure d'instruction pour ces sites aujourd'hui soumis aux mêmes contraintes administratives que les sites naturels sensibles.Anciennes carrières, anciennes mines, zones de déchets enfouis, terrains délaissés d'autoroutes, autour d'aéroports ou de voies de chemin de fer... "l'armée en a aussi", souligne-t-ilEnerplan appelle à "des mesures dérogatoires, pour un temps limité", par directive ou par la loi, pour accélérer le processus d'attribution des permis."Le solaire est soumis à trois codes - de l'environnement, de l'énergie, de l'urbanisme - qui peuvent se contredire entre eux et il y a de telles couches d'obligations que cela aboutit à des blocages", décrit Daniel Bour."Fonçons là où on peut foncer!", dit le responsable, qui veut aussi rassurer: "quand des terrains posent problème, pas question de dérogation. Mais il y a des terrains dégradés ou pollués pour lesquels on en fait trop; pour ceux-là, il y aurait toujours une étude environnementale, mais abrégée", suggère-t-il.Le solaire "est facilement mobilisable, et c'est un investissement quasi exclusivement privé", plaide-t-il encore. L'État en a longtemps garanti les prix, mais au niveau actuel du marché de l'électricité, il est désormais bénéficiaire net.Au fur et à mesure que les panneaux photovoltaïques s'étendent, le secteur ne craint-il pas une montée des réticences, comme pour l'éolien?"On a besoin d'ici 2025 d'environ 13.000 hectares, 120 ha par département, c'est raisonnable", répond Daniel Bour. "Mais oui, il faut faire attention, ne pas concurrencer l'agriculture, discuter avec la population, s'insérer dans le paysage. Et puis, à quelques exceptions près, on ne favorise pas le modèle des très grandes centrales".Enfin, le solaire a un autre argument, un autre impératif en fait: l'installation en Europe d'usines de panneaux solaires, insiste-t-il.Mais le continent n'a-t-il pas déjà perdu la bataille face aux Chinois?"Pas du tout!" répond Daniel Bour: "La technologie bouge sans cesse, on la trouve partout. Et la crise a surenchéri le coût du transport, s'installer en Europe devient rentable"."La Chine a inondé le marché car elle disposait d'un grand marché intérieur. Si ici il y a plus de volume, tout naturellement les industriels viendront".
Il y a 3 ans et 46 jours

L'environnement économique des sociétés d'architecture, thème du Printemps de l'Unsfa

ENTREPRISES. Le principal syndicat des architectes a centré sa journée annuelle d'échanges et de débats sur le rôle de l'architecte en tant que responsable d'entreprise. La formation de l'Université Paris Dauphine sur le management des sociétés d'architecture a été mise à l'honneur.
Il y a 3 ans et 46 jours

Le permis de construire de la gare sur les champs du Triangle de Gonesse maintenu par la justice

Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise a rejeté le recours de neuf associations qui contestent le permis de construire de la future gare de métro sur les champs du Triangle de Gonesse, au nord-est de Paris.
Il y a 3 ans et 46 jours

Région par région : où les Français aimeraient-ils investir dans l’immobilier locatif ?

TOP des régions françaises privilégiées En fonction de leur position géographique, les Français ont des envies d’investissement immobilier bien différentes, mais 6 régions se distinguent clairement comme étant des destinations préférées : Auvergne Rhône-Alpes, PACA, Bretagne, Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, Ile-de-France et Nouvelle Aquitaine. Ainsi, la région PACA est choisie par trois régions : Bourgogne Franche-Comté, Corse et Occitanie/Pyrénées-Méditerranée. Les Français qui habitent en Auvergne Rhône-Alpes, Centre - Val de Loire et Nouvelle Aquitaine sont davantage attirés par l’Auvergne Rhône-Alpes. L’Occitanie/Pyrénées-Méditerranée est la région privilégiée par les habitants du Grand Est et de la Normandie. Les Franciliens et les habitants du Pays-de-Loire choisissent plutôt la région Nouvelle Aquitaine. De leur côté, la région PACA et les Hauts-de-France investissent d’abord en Ile-de-France. Enfin, la Bretagne préfère opter pour des projets immobiliers dans sa propre région. Les Français toujours en recherche… même en vacances ! D’où qu’ils viennent, les Français adorent l’immobilier. En effet, plus de 79 % déclarent qu’ils profitent de leurs congés pour se renseigner sur les investissements immobiliers locaux. Dans le détail, 56 % le font systématiquement et 23 % de façon ponctuelle. Web firstParmi tous les moyens possibles pour effectuer leurs recherches, 68 % des Français utilisent prioritairement le web. En deuxième choix, 21 % préfèrent leur entourage et le bouche-à-oreille et enfin 11 % font appel à une agence immobilière. Encore peu d’investisseurs Même si l’intérêt des Français pour l’investissement immobilier locatif n’est plus à démontrer, seulement 29 % avouent en avoir déjà réalisé un. Un contexte compliqué… mais pas pour l’immobilier !Malgré la crise sanitaire mondiale qui bouleverse énormément l’économie et la vie de tous les jours, 59 % des Français considèrent que la période est tout de même propice pour réaliser des investissements immobiliers. Pourquoi les Français veulent-ils investir dans l’immobilier locatif ? A la question « Pour quel motif principal désirez-vous investir dans l’immobilier locatif ? », la retraite arrive en tête des réponses de 33 % des Français. Elle est suivie par la volonté de générer un complément de revenus à 27 % puis d’utiliser judicieusement des fonds disponibles à 21 %. Enfin, pour 18 % des répondants, il s’agit de protéger leurs finances avec un investissement dans la pierre. * Méthodologie : enquête réalisée auprès 9 458 personnes réparties sur l'ensemble du territoire français âgées de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 17 au 23 février 2022. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.
Il y a 3 ans et 46 jours

La certification RSE “Exemplarité” pour Eqiom Bétons

Eqiom Bétons reçoit le plus haut niveau du label RSE pour ses agences situées en Alsace, en Bourgogne, en Ile-de-France et au Nord-Pas-de-Calais. [Eqiom Bétons] L’Unicem récompense les bons élèves. Eqiom Bétons reçoit le plus haut niveau du label RSE pour ses agences situées en Alsace, en Bourgogne, en Ile-de-France et au Nord-Pas-de-Calais. L’union leur a ainsi délivré la certification “Exemplarité”, le plus haut niveau d’exigence du label. Cette distinction reconnaît la performance des initiatives sociales et environnementales du groupe. Quant aux agences de la Franche-Comté et de la Lorraine, elles conservent le même niveau d’excellence obtenu auparavant. L’attribution du label RSE s’est faite suite à une série d’audits externes dirigée par le Cérib sur chaque thématique de la charte du label (gouvernance, environnement, capital humain…). L’exemplarité RSE d’Eqiom Bétons Et il semble qu’Eqiom Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. « L’obtention de cette certification est une fierté pour Eqiom Bétons, déclare Anne-Lise Mignot, coordinatrice RSE et environnement Eqiom Bétons. Elle reconnaît notre engagement sociétal, l’implication de nos équipes. Mais aussi, la mutualisation de nos bonnes pratiques et la performance de notre politique RSE, appliquée depuis plusieurs années par l’ensemble de nos agences. Lire aussi : Christophe Bignolas, à la tête d’Eqiom Bétons Tous nos efforts portent leurs fruits et se voient aujourd’hui récompensés. Ce résultat motive et stimule tous nos collaborateurs qui s’investissent davantage chaque année pour le bien commun. » De plus, l’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être salué par le niveau “Maturité”. La prise en compte des remarques des évaluateurs, le partage des valeurs entre les agences et la mobilisation de tous les collaborateurs ont ainsi permis à Eqiom Bétons de remplir les conditions requises.
Il y a 3 ans et 46 jours

Vivre ailleurs que chez soi malgré l'âge ? Le dilemme des logements inadaptés

"Je n'ai pas envie de changer, je me débrouille comme ça", s'obstine l'ancienne comptable très attachée à la luminosité de son appartement. Elle y est locataire depuis 1987, et "ne se voit pas" ailleurs.Pourtant, son cercle d'amis, malades, diminue. La moindre marche est devenue un obstacle pour cette ex-randonneuse, rendant inatteignables les commerces ou la bibliothèque. Même le médecin ne se déplace plus chez elle.Le logement même devient "vraiment compliqué". Depuis deux ans, la retraitée réclame à son bailleur une barre de maintien dans sa douche. Elle avait également déposé un dossier pour obtenir un logement en rez-de-chaussée, "j'ai renouvelé une fois et puis j'ai oublié de refaire la demande", dit-elle préférant rester là, et seule comme 2,4 millions des plus de 75 ans en France.Le cas de Maribel est loin d'être isolé. "On n'a pas forcément l'offre pour répondre aux besoins", explique Thierry Asselin de l'Union sociale pour l'Habitat. Cette fédération de HLM préconise toutefois à ses membres d'"anticiper au maximum" la perte d'autonomie, alors que plus de 30% des locataires du parc social ont plus de 60 ans.La problématique de l'adaptation du logement aux seniors est d'autant plus brûlante en Seine-Saint-Denis que "l'accélération du vieillissement sera particulièrement forte dans le département le plus pauvre de la métropole, un territoire très dense, avec beaucoup de tours, où la précarité fait que les gens vont connaître la perte d'autonomie plus tôt", souligne Théo Petton, chargé de projets au Conseil départemental.Habitat inclusifPour relever les défis du grand âge, cette collectivité suit deux grands axes.Le premier, le "quartier inclusif", consiste à profiter des opérations de rénovation urbaine pour intégrer la problématique de la perte d'autonomie. Le département a sélectionné une douzaine de quartiers prioritaires et y fait dialoguer bailleurs, sociologues, designers et riverains afin de repenser les quartiers, entre trottoirs plus larges, bancs publics ou espaces de verdure accessibles.L'autre piste est l'habitat partagé, décliné sous diverses formes, de la collocation au béguinage, ces regroupements d'entraide de femmes créés au XIIe siècle. La Seine-Saint-Denis est l'un des 70 départements -le premier département francilien-, à s'être emparé de l'aide à la vie partagée (AVP) prévue dans la la loi de financement de la sécurité sociale pour 2021. Pour 2022, la Caisse nationale de la Solidarité pour l'autonomie a réservé plus de 20 millions d'euros en 2022 pour son déploiement."On en est aux prémices. Mais si on veut s'adresser à des seniors potentiellement précaires et isolés, il faut être porteur de projets", explique M. Petton. Car "quand on a passé toute sa vie dans un logement privatif, ce n'est pas facile de passer à la collocation à 70 ans".Le Conseil départemental doit sélectionner d'ici mai 30 porteurs de projets. Parmi les candidats, l'association des Petits Frères des Pauvres souhaite installer dans un immeuble social une douzaine de logements et une salle collective. Les habitants mutualiseraient les services d'une personne à mi-temps chargée d'entretenir cette pièce et de la faire vivre, avec des activités ou les services d'acteurs médicosociaux.L'idée est de bâtir des "anti-maison de retraite", avec pour l'instant un objectif assez faible: 103 seniors bénéficiaires des 10.000 euros annuels de l'APV d'ici 2024."Si l'on veut vieillir chez soi, il faut peut-être accepter de changer de chez-soi", estime Laurent Nowik, responsable de l'unité de recherche sur le vieillissement à la Caisse nationale d'assurance vieillesse. Mais cette mobilité est parfois "très contrainte" pour des retraités aux revenus faibles qui ne peuvent pas non plus se payer les résidences services privées qui se multiplient, surtout sur le littoral.Dans cette mosaïque d'alternatives naissantes, il faut selon M. Nowik, "une politique des pouvoirs publics pour encourager l'adaptation de l'habitat au vieillissement. Dans le fond, si c'est pour toucher six à huit personnes à chaque fois qu'on fait un habitat inclusif, c'est beaucoup d'argent pour qu'au final, dans 15 ans, ça ne concerne que très peu de monde".
Il y a 3 ans et 46 jours

Ressusciter le CESI pompe à chaleur contre le gaz russe

Le Chauffe-Eau Solaire Individuel (CESI) associé à une pompe à chaleur air/eau constitue une technique éprouvée, particulièrement efficace du point de vue énergétique pour la production d’ECS et de chauffage.
Il y a 3 ans et 46 jours

« Accélérer, intensifier et simplifier la politique de rénovation urbaine », Valérie Pécresse (LR)

Logement, énergie, urbanisme... La candidate Les Républicains à l'élection présidentielle a répondu aux questions du Moniteur.
Il y a 3 ans et 46 jours

Le Groupe BOUYER LEROUX renonce à l’acquisition du Groupe RIAUX

Le Groupe BOUYER LEROUX renonce à l’acquisition du Groupe RIAUX, leader sur le marché de l’escalier sur-mesure, à cause du contexte géopolitique actuel. Cette acquisition qui s’inscrivait dans la stratégie de développement du Groupe devait lui permettre de renforcer son offre de solutions éco-performantes et de se développer dans l’aménagement intérieur des logements. Le Groupe affiche, fin février, 5ème mois de son exercice 2021- 2022, une croissance de 22% de ses activités et se dit confiant quant à sa capacité à être résilient face au ralentissement des marchés de la construction. Un ambitieux programme de transition énergétique permettra au leader français des briques de mur en terre cuite de décarboner 90% de sa production à horizon 2025-2027.
Il y a 3 ans et 46 jours

Une "hausse des prix sans précédent" alerte l'industrie de la chimie de formulation

Dans un communiqué le 28 mars, la Fipec appelle à une "solidarité de filière" pour faire face aux tensions d'approvisionnements des matières premières et à la hausse des prix.
Il y a 3 ans et 46 jours

Les premiers pas du béton bas carbone dans la vraie vie des bâtiments

Edycem, spécialiste du béton prêt à l’emploi (BPE), construit son nouveau siège social à l’aide de ses bétons bas carbone Vitaliss.
Il y a 3 ans et 46 jours

Les modalités de la remise de 15 centimes d'euros par litre de carburant précisées

Un décret publié le 26 mars indique que la subvention sera versée aux "metteurs à la consommation" de carburants afin d'être répercutée jusqu'au consommateur, directement à la pompe.
Il y a 3 ans et 46 jours

KP1 dévoile son plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant

Nouveau plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant de KP1, un système “3-en-1”. [©KP1] KP1 poursuit le développement de son offre préfabriquée Milliwatt, en lançant son plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant. Cette nouvelle génération de solutions planchers en toute saison s’inscrit en adéquation avec les exigences de la RE 2020. Ce plancher peut être installé sur tous les niveaux (bas sur vide sanitaire, intermédiaire et haut de garage ou haut de sous-sol). Ceci, en logements individuels comme collectifs. La rapidité comme maître-mot Son atout premier ? Traiter trois fonctions en un unique système : la structure avec la dalle de compression la plus fine du marché (56 mm),l’isolation performante du plancher assurée par la large gamme d’entrevous et de rupteurs thermiques,le chauffage et le rafraîchissement des pièces à vivre, grâce à un kit composé de trames de tubes hydrauliques préformés, d’un grillage, d’accessoires et d’un plan d’installation spécifique au chantier. Ce système préfabriqué complet offre une mise en œuvre rapide. En une demi-journée, une équipe de deux professionnels réalise en moyenne la pose de 120 m2 de planchers. Pas d’étape de séchage de chape ! Un gain de temps entre 5 à 8 semaines pour les constructeurs de maisons individuelles et les particuliers. Ceci, en comparaison d’un système sans chape ou d’un plancher chauffant/rafraîchissant basse température traditionnel.
Il y a 3 ans et 46 jours

SBLM Platform® annonce sa présence au BIM World 2022 et l’organisation d’un concours de startups, en partenariat avec Village Francophone et BIM World.

5 & 6 avril 2022 – Paris Expo – Porte de Versailles – Paris – Stand D80/E81 Paris, le 17 mars 2022 – SBLM Platform®, écosystème co-entrepreneurial de sociétés innovantes et d’experts ayant pour vocation de structurer et d’assurer la collaboration, la fiabilité et la continuité du Flux de Données tout au long du Cycle […]
Il y a 3 ans et 46 jours

Trophée Béton Pro : les inscriptions sont ouvertes !

Les inscriptions pour la 3e édition du Trophée Béton Pro sont ouvertes. [©DR] Organisée par les associations Bétocib et Cimbéton, le Trophée Béton Pro a pour objet de récompenser des réalisations exemplaires en béton, construites en France au cours des cinq dernières années. Il s’agit aussi de sensibiliser le grand public à l’architecture béton. Et de montrer comment ce matériau évolue, en répondant toujours aux nouveaux objectifs environnementaux. La 3e édition est lancée… Ainsi, les inscriptions pour la 3e édition du Trophée Béton Pro sont ouvertes ! Les candidats (architectes, bureaux d’études, entreprises, industriels) peuvent soumettre leur candidature en ligne, jusqu’au 30 juin. Tous types d’ouvrages en béton, livrés entre le 1er janvier 2017 et le 30 juin 2022, sont éligibles à cette distinction biennale. Du logement individuel au logement collectif, de l’équipement privé à l’équipement public, culturel ou sportif. Mais aussi de l’ouvrage d’art à l’aménagement urbain… en neuf comme en rénovation. En octobre 2022, le jury rendra sa décision, qui sera suivie par la remise de prix du Trophée à la Maison de l’Architecture Ile-de-France. Il sera composé de représentants du ministère de la Culture, d’architectes, d’ingénieurs, d’élus, d’entreprises, d’industriels. La sélection des lauréats se fera sur la qualité architecturale et constructive des ouvrages. Ceci, en s’appuyant sur des critères, tels que la pertinence de l’utilisation du béton et de la mise en œuvre du matériau, l’usage esthétique. Mais aussi, la qualité d’intégration dans le site, structurelle ou environnementale, la durabilité…
Il y a 3 ans et 46 jours

Parella Technical – Un atout supplémentaire, présent de la conception à la réalisation des travaux, qui garantit sécurité, confort et cadre de vie optimal des collaborateurs

Parella Technical … est le bureau d’études techniques intégré de Parella. Il propose des expertises techniques, évalue, conseille et conçoit les installations techniques des bâtiments. Parella Technical accompagne ses clients afin d’optimiser la performance énergétique des bâtiments, dans le respect des réglementations thermiques, environnementales et du décret tertiaire. Réelle valeur ajoutée et véritable chaînon du […]
Il y a 3 ans et 46 jours

Nouvelle plate-forme “Bâtiment & Prescription” de l’Untec Services

Logo de l’Untec Services qui vient de lancer sa plate-forme “Bâtiment & Prescription”, à destination des maîtres d’œuvre. [©Untec Services] L’Untec Services a conçu et pensé la plate-forme “Bâtiment & Prescription”, afin de créer plus de proximité entre la maîtrise d’œuvre et les entreprises du BTP. Cette plate-forme propose aux premiers, sous format interactif, la mise en lumière technique des matériaux. Et, pour les secondes, des solutions constructives. Elle diffuse de l’information qualifiée à forte valeur ajoutée à travers des “Capsules techniques” en libre accès. Ces capsules qui comptent jusqu’à 6 modules donnent toutes les clefs et les bonnes pratiques sur les solutions et produits des marques référencées sur la plate-forme. Un module intègre aussi une vidéo d’une durée de 2 à 6 mn, un quiz et des fiches techniques et des documents complémentaires.
Il y a 3 ans et 46 jours

SO ACOUSTIC de CLIPSO relève le défi écologique à Nanterre ! « Origine » – Immeuble tertiaire bioclimatique

Situé à Nanterre, à deux pas de la Défense, Origine est l’ensemble tertiaire d’un projet mixte à l’architecture innovante, un immeuble connecté et écoresponsable qui s’inspire de la nature et de ses bienfaits. Né du concours porté par l’Icade, cet îlot urbain qui couvre près de 70.000 m2 a été remporté par les agences d’architecture Maud […]