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Toute l'actualité du bâtiment

255421 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 82 jours

SPÉCIAL BAS CARBONE ET RE2020 : L’APPROCHE PRAGMATIQUE DE KNAUF POUR ACCOMPAGNER LES ACTEURS DU BÂTIMENT

Avec des cahiers thématiques commandables gratuitement en ligne et un mini-site web dédié :  bas-carbone-re2020.knauf.fr Knauf souhaite faciliter l’accès aux données environnementales, donner des repères en proposant un tour d’horizon des réponses les plus adaptées pour la construction bas carbone et la RE2020.  Afin d’accompagner les concepteurs de bâtiments (architectes, BE, économistes…), les entreprises générales […]
Il y a 3 ans et 82 jours

Puy-de-Dôme : Clermont Auvergne Métropole poursuit le déploiement de son schéma cyclable

Pour cette année, Clermont Auvergne Métropole a programmé plusieurs opérations d’aménagements qui découlent du schéma cyclable.
Il y a 3 ans et 82 jours

Puy-de-Dôme : une nouvelle crèche à Riom

À Riom, une nouvelle crèche a ouvert ses portes dans le quartier de La Varenne.
Il y a 3 ans et 82 jours

Rhône : rénovation de la chapelle Saint-Bonnet à Montmelas-Saint-Sorlin

La chapelle Saint-Bonnet à Montmelas-Saint-Sorlin est au centre d’un projet de rénovation porté par la Fondation du patrimoine.
Il y a 3 ans et 82 jours

La justice annule l'autorisation d'exploiter un parc éolien déjà construit

La cour administrative d'appel de Nantes a annulé l'autorisation d'exploiter un parc éolien déjà construit, en raison d'"inconvénients excessifs" pour la protection des paysages et le voisinage.
Il y a 3 ans et 82 jours

Melun : des aménagements pour la reconquête de l’île Saint-Étienne

De nombreux projets municipaux contribueront à la revalorisation de ce joyau historique de la ville de Melun.
Cimbat
Il y a 3 ans et 82 jours

Seine-Saint-Denis : des travaux de rénovation et d’extension dans neuf collèges départementaux

Le Département entend accélérer son plan de rénovation et d’adaptation au changement climatique de ses établissements scolaires. De nouvelles places sont également prévues.
Il y a 3 ans et 82 jours

Var : requalification du cœur des quartiers d’Agay et de Boulouris à Saint-Raphaël

La Ville de Saint-Raphaël a confié cette mission au Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement.
Il y a 3 ans et 82 jours

Yvelines : des projets à venir pour rendre la circulation plus fluide dans la ville de Plaisir

La ville de Plaisir et ses partenaires travaillent actuellement sur des projets d’aménagement de voirie.
Il y a 3 ans et 82 jours

Achat d’un habitat léger : quelles sont les garanties ?

Si suite à l’achat d’un habitat léger son propriétaire constate l’apparition d’un défaut, quelles sont les garanties dont il bénéficie pour pouvoir se retourner contre le vendeur ? Dans cette partie nous allons explorer les différentes options existantes : les garanties du droit de la construction, la garantie des vices cachés et la garantie légale […]
Il y a 3 ans et 82 jours

Le confort du rationalisme : les bureaux de l'agence d'architecture Nomade, à Vannes

La transformation de la caserne de Reuilly, dans le XIIe arrondissement de Paris, restitue à la ville une place d'armes et plusieurs bâtiments réhabilités, placés en retrait de la parcelle. L'immeuble de logements de Charles-Henri Tachon, dressé sur le lot B1 en marge de l'intervention, fait signal sur la rue de Chaligny. Il est construit en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 82 jours

Transport et logistique : Toulouse lance sa ZFE le 1er mars

La Métropole de Toulouse met en place sa zone à faible émission (ZFE), avec des conséquences sur la circulation des véhicules, notamment pour les entreprises.
Il y a 3 ans et 82 jours

Projet "Grand Stade" : la Fédération de rugby condamnée à payer 150.000 euros

Dans sa décision, le tribunal a considéré "que la résiliation du contrat de promotion immobilière pour la construction du Grand Stade avant la fin de la seconde phase était prématurée et que la FFR a rompu le contrat au cours d'une phase et non après l'achèvement de cette phase", a indiqué à l'AFP une source judiciaire.La FFR a été reconnue coupable d'avoir réalisé une "résiliation fautive" du contrat avec le consortium selon cette source, précisant que le "surplus des demandes a été rejeté".La Fédération devra acquitter la somme de 150.000 euros au titre du "préjudice" du fait de cette résiliation avec Ibelys, qui avait réclamé devant le tribunal plus de 16 millions d'euros en guise de réparation, a expliqué à l'AFP Alexandre Martinez, le trésorier général de la Fédération.Dans ce dossier, la FFR, dont le président Bernard Laporte avait fait de l'abandon de ce projet de "Grand Stade" l'une de ses promesses de campagne, a déjà été condamnée à verser 3,36 millions d'euros à la communauté d'agglomération Paris Sud Seine-Essonne-Sénart, en juillet 2020.La Fédération avait fait appel de la décision dans cette affaire qui, pour l'instant, n'a pas été été à nouveau examinée par la justice.Le projet de "Grand Stade", sur le territoire des communes de Ris-Orangis et Bondoufle (Essonne), avait été abandonné par Bernard Laporte dès son élection à la présidence de la FFR en décembre 2016.Quant à la décision du tribunal d'Evry, notifiée aux parties jeudi, "nous n'avons pas encore décidé si nous allons faire appel", a encore souligné vendredi M. Martinez, mais "la probabilité est assez faible".Elle constitue "une excellente nouvelle et démontre que notre approche était pertinente", étant donné que le total des sommes réclamées à la FFR pour rupture de contrat dépassait les 50 millions d'euros et qu'au final la Fédération n'a été condamnée à verser "que 3,5 millions environ", a ajouté son trésorier général : "C'est toujours trop mais ça aurait pu être bien plus".D'une capacité prévue de 82.000 places, le Grand Stade, appelé à devenir le phare du rugby français et initié par l'ex-président de la FFR Pierre Camou, avait un coût estimé à 581 millions d'euros."Maintenant que l'on connaît l'épilogue de cette affaire, côté Fédération en tous les cas, cette décision (d'abandon du projet) a eu des conséquences extrêmement positives pour les clubs et le rugby français en règle général : ça nous a libéré des contraintes financières qui (nous) pesaient dessus et ça nous donne de fait une vraie marge de manœuvre en terme de gestion financière", a conclu le dirigeant.
Il y a 3 ans et 82 jours

Le financement de la LGV Bordeaux-Toulouse est officiellement bouclé

"Les 24 collectivités ont validé l'ensemble du plan de financement", a précisé samedi la préfecture à l'AFP, ajoutant que "maintenant la société de financement va pouvoir se créer".La création de cette société doit intervenir avant le 23 avril, date fixée par la loi d'orientation des mobilités (LOM), avait rappelé vendredi dans un communiqué le préfet coordinateur du projet et préfet d'Occitanie Étienne Guyot.Selon la région Nouvelle-Aquitaine, ce plan de financement, très critiqué localement par les élus écologistes et une dizaine d'associations environnementales opposés au projet, doit être transmis le 22 février au Conseil d'État, avant un examen en Conseil des ministres en mars."Désormais, tous les voyants sont au vert pour avancer concrètement vers la création de la société de projet d'ici avril, dans la perspective de démarrer les travaux en 2024 comme le Premier ministre (Jean Castex) vient de s'y engager", a estimé samedi la présidente de la région Occitanie, Carole Delga.Le coût du projet de LGV est estimé à 14,3 milliards d'euros, avec un financement prévu à 40% par l'État, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine et 20% par l'Union européenne.Si les collectivités d'Occitanie s'étaient rapidement mises d'accord pour réunir 2,2 milliards d'euros de contributions nettes, celles de Nouvelle-Aquitaine ont tardé à rassembler l'ensemble du 1,7 milliard d'euros demandé.Début février, la région avait débloqué une contribution supplémentaire de 225,6 millions d'euros pour pallier les refus de la communauté d'agglomération Pays basque et des départements de Lot-et-Garonne et de Gironde de participer au projet, tandis que les Pyrénées-Atlantiques et l'agglomération de Dax ont engagé une participation plus faible qu'attendu.Actuellement, le Paris-Bordeaux (550 km) en TGV se fait en deux heures environ, et le trajet Bordeaux-Toulouse (240 km) dure également deux heures. Ce dernier serait divisé par deux avec la prolongation de la LGV.La deuxième phase du Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) prévoit une extension de la ligne LGV du sud de la Gironde vers Dax, dans les Landes.Le 16 février, l'agglomération de Dax avait été la dernière à décider, deux mois après un premier refus, de cofinancer le projet.Les élus dacquois ont validé une participation directe de 12,8 millions d'euros, soit 10 millions de moins que ce qui leur était initialement demandé.
Il y a 3 ans et 82 jours

Quelle que soit la durée du chantier, les sanitaires sont obligatoires

Les professionnels du secteur des sanitaires mobiles alertent leurs clients du risque de sanctions financières qu'ils encourent dans un communiqué du 16 février.
Il y a 3 ans et 82 jours

Balcon effondré d'Angers : l'entreprise de gros oeuvre reconnaît une "faute"

PROCÈS. Celui qui était à l'époque gérant de l'entreprise de gros oeuvre ayant réalisé les travaux du bâtiment dont le balcon s'est effondré, à Angers, en 2016, a reconnu une "faute" commise par ses équipes.
Il y a 3 ans et 82 jours

Castorama se lance dans le reconditionnement de produits

ÉCONOMIE CIRCULAIRE. L'enseigne de bricolage, Castorama, a noué un partenariat avec la plateforme de vente de produits reconditionnés, Back Market, afin de pouvoir y vendre des produits remis en état.
GDA
Il y a 3 ans et 82 jours

Philippe Colin, directeur de l'organisation et des ressources humaines de Lafarge France

Philippe Colin a rejoint Lafarge France fin 2021 en tant que de directeur de l'organisation et des ressources humaines. Membre du comité de direction, il reporte directement à François Petry, président directeur-général.
Il y a 3 ans et 82 jours

Bouygues Bâtiment lance la rénovation thermique de l'Université Rennes 1

GRANDS PROJETS. Pour la rénovation énergétique de l'ensemble de son parc, l'Université Rennes 1 a désigné un ensemble de 16 bâtiments comme pilote de la rénovation. Bouygues Bâtiment Grand Ouest est mandataire du groupement qui aura pour mission de "répondre aux enjeux de massification".
Il y a 3 ans et 82 jours

Transition : "Nous avons des solutions de grande valeur à faire valoir", F. Petry

PRÉSIDENTIELLE 2022. La transition écologique et la lutte contre le réchauffement climatique constituent de nouvelles opportunités pour les industriels du béton, qui assurent que leurs produits ont une carte à jouer. Le président de la Filière Béton, François Petry, détaille à Batiactu les propositions formulées par le secteur aux candidats à l'élection présidentielle dans différents domaines : construction neuve, urbanisme, commande publique...
Il y a 3 ans et 83 jours

2021, une année au top pour Schneider Electric

RÉSULTATS. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, annonce une année 2021 record avec de nombreux résultats à "leurs plus hauts niveaux historiques".
Il y a 3 ans et 83 jours

Paris ville-jardin : logique de guerre à Ithaque ?

Dans une tribune publiée par Le Monde (21/02/2022)*, Christophe Najdovski, maire-adjoint de Paris en charge de l’« Écologie pour Paris », développe pour la capitale de la France le concept de « ville-jardin ». Lequel fait logiquement suite à celui de ces « forêts urbaines » censées la composer. D’un oxymore l’autre inventé par Anne Hidalgo, maire candidate à la fonction […] L’article Paris ville-jardin : logique de guerre à Ithaque ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 83 jours

Miroir, ô mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ?

Chaque année depuis douze ans, le classement par chiffres d’affaires des agences d’architecture françaises publié par le magazine D’A. donne le pouls de la profession. Il n’y a plus qu’à écouter ce qu’il dit de la santé des agences en 2021. Chaque année, le magazine D’Architectures gratifie la profession d’un classement pour le moins pragmatique. […] L’article Miroir, ô mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 83 jours

Fibre optique : union de Kosc et Covage autour du marché entreprises

RÉSEAUX. Kosc Télécom se rapproche de Covage pour former un nouveau pôle d'activité au sein du groupe Altitude, autour des offres de gros sur le marché de la fibre pour les entreprises. Avec un objectif ambitieux en ligne de mire.
Il y a 3 ans et 83 jours

Le nord de la France à pied d’œuvre contre deux tempêtes hivernales

Pris sous les vents des tempêtes Eunice puis Franklin, le nord de l’Hexagone se relève après une intense mobilisation.
Il y a 3 ans et 83 jours

Quand l’Etat discourt de la vertu, les Français trinquent

La Réglementation Ecologique 2020 (RE 2020) est applicable sur tous les nouveaux logements dont la demande de permis de construire a été déposée après le 1er janvier 2022. Petite subtilité sémantique : nous sommes passés d’une réglementation thermique à une réglementation écologique. Il ne s’agit donc plus d’offrir aux nouveaux acquéreurs des appartements isolés pour […] L’article Quand l’Etat discourt de la vertu, les Français trinquent est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 83 jours

Les professionnels de la rénovation énergétique alertent le gouvernement sur les conséquences dramatiques de l’arrêt des aides

Une situation inquiétante...Un an plus tard le constat est préoccupant, selon la lettre ouverte du Symbiote adressée au gouvernement le 22 février : Les chantiers de rénovation de l'isolation de combles, de murs, de planchers, ainsi que des mises en places d'équipements performants ont diminué de 80%.Les rénovations performantes en application avec la fiche BAR-TH 164 sont inexistantes.Des licenciements massifs se produisent, accompagnés de fermetures des entreprises depuis les 6 derniers mois avec une estimation d'environ 13 000 pertes d'emplois.Les ventes d'isolants et d'équipements subissent également une baisse de l'ordre de 50% malgré les investissements des industriels et le fait que l'industrie des produits d'isolation soit une industrie nationale et locale.Les particuliers semblent eux aussi dans l'incompréhension face à l'arrêt du dispositif d'aide pour la rénovation énergétique au moment où l'inflation des coûts d'énergie est particulièrement forte.... mais des solutions sont possibles pour sortir de la criseAfin de permettre la relance des travaux de rénovation, le syndicat demande donc :La mise en place d'un nouveau dispositif coup de pouce pour limiter l'effondrement complet des travaux d'isolation via un changement de méthode de calcul de la bonification et du forfait.Une augmentation de la bonification de la fiche BAR-TH 164.Une augmentation de 500TWh pour les CEE réalisés chez les ménages précaires.Un encadrement contrôlé pour éviter les dérives et les éco-délinquants.Pour lire la lettre ouverte du Symbiote, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 83 jours

Zéro artificialisation nette : Jean Castex veut "rassurer" les élus

URBANISATION. Dans une circulaire publiée ces derniers jours, le Premier ministre indique aux préfets la marche à suivre pour rassurer et accompagner les élus dans la territorialisation des objectifs de réduction de la consommation d'espaces naturels.
Il y a 3 ans et 83 jours

Anne Hidalgo tente de convaincre les chefs d'entreprise lors d'un événement du Medef

PRÉSIDENTIELLE 2022. La candidate à l'élection présidentielle était l'invitée de l'organisation patronale cette semaine et a présenté son programme économique. Revalorisation du Smic, déploiement massif des énergies renouvelables, fiscalité... de nombreuses thématiques ont été abordées.
Il y a 3 ans et 83 jours

Ille-et-Vilaine : les travaux d’extension et de réfection du service restauration du lycée Bertrand-d’Argentré débutent à Vitré

Chiffré à 5,2 millions d’euros, le chantier d’agrandissement et de rénovation du lycée Bertrand-d’Argentré durera vingt-quatre mois.
Il y a 3 ans et 83 jours

Les maisons intelligentes : un atout pour l'indépendance des personnes âgées

Aujourd'hui, la technologie des capteurs intelligents est présente dans le monde entier dans les maisons intelligentes, les immeubles de bureaux, les systèmes modernes de contrôle des bâtiments et l'industrie 4.0. La mise en réseau d'équipements intelligents joue un rôle de plus en plus important, rendu possible par l'utilisation de données transmises par des capteurs. Ces données sont utilisées dans les bâtiments principalement pour économiser des coûts et de l'énergie. Mais dans les maisons intelligentes, l'accent est plutôt mis sur les besoins des habitants, sur le confort et la sécurité.L'assistance à l'autonomie à domicile appartient à cette dernière catégorie, car l'accent est davantage mis sur la sécurité, le confort et l'indépendance que sur l'efficacité et la réduction des coûts. Le vieillissement de la population dans les pays développés pose des défis majeurs au secteur de la santé. La population mondiale est de plus en plus âgée, les personnes ayant besoin de soins sont plus nombreuses, mais le personnel soignant disponible n'augmente pas dans la même proportion. En conséquence, les soins de santé pour les personnes âgées sont de plus en plus coûteux. Par ailleurs, de plus en plus de personnes âgées souhaitent rester le plus longtemps possible à leur domicile.Les technologies modernes peuvent contribuer à la mise en place de solutions adaptées. Les développements et les innovations dans les domaines de l'automatisation des bâtiments et de la maison intelligente peuvent apporter une contribution importante à cet égard. Les capteurs sans fil basées sur le standard radio EnOcean peuvent être facilement installées dans des infrastructures existantes et peuvent ainsi contribuer à améliorer la qualité de vie des personnes au quotidien, notamment lorsqu’elles sont entrées dans la vieillesse. Ces solutions peuvent également apporter un soutien, voire un soulagement, aux proches et au personnel soignant.Sécurité et confort à la maison - même à un âge avancéLes capteurs de mouvements dans les matelas et les chambres, les détecteurs de présence et de chute ou les boutons d'appel d'urgence et de commande simples à installer fournissent des informations importantes et nécessaires pour permettre de vivre en toute sécurité et confortablement chez soi, même à un âge avancé. Il est important que cette assistance s’intègre de façon transparente dans la vie quotidienne. Un autre aspect significatif est l'utilisation simple et intuitive des équipements, comparable aux applications des smartphones. La maison intelligente peut être la bonne solution pour cela. La commande intelligente de la lumière, du chauffage, des stores et d'autres appareils électriques augmente le confort de vie de toute la famille. Des aides pour les personnes âgées peuvent venir s'y ajouter facilement et de manière invisible. Il peut s'agir de capteurs qui enregistrent l'activité et le bien-être, par exemple. L'un des avantages est qu'ils ne fournissent une assistance qu'en cas de besoin et en cas d'urgence.Des systèmes radio adaptables en toute flexibilitéUne condition importante pour ces solutions est qu'elles puissent être facilement installées dans des environnements existants, tant à domicile que dans les établissements de soins. Cela permet aux personnes ayant besoin d'aide de vivre de manière aussi indépendante que possible dans leur environnement familier, et ce le plus longtemps possible. Ces solutions sont également avantageuses pour certains établissements de santé, mais si elles doivent être mises en place dans des installations existantes, les activités quotidiennes doivent être perturbées le moins possible. C'est pourquoi les systèmes câblés ne sont pas adaptés à ce cas de figure, car l'effort à fournir pour équiper chaque capteur d'un câble serait bien trop important. En outre, la flexibilité des solutions serait grandement altérée, car une fois installés, les capteurs seraient très difficiles à démonter et installer ailleurs. C’est pourquoi les systèmes sans fil ont clairement l'avantage : Sans être tributaires d’un quelconque câblage, les interrupteurs, les détecteurs de fumée, les capteurs de présence, de température, de qualité de l'air et de lumière ne nécessitent aucun entretien et peuvent être installés simplement là où ils sont vraiment nécessaires, même sur des meubles, des vitres ou des portes : par exemple, un détecteur de mouvement pour la commande de la lumière sur le cadre du lit ou un capteur tactile intégré dans le matelas pour la commande de la lumière et du chauffage, qui signale également si la personne âgée s'allonge de manière inhabituelle le matin ou quitte le lit de manière inattendue la nuit. En même temps, ces capteurs peuvent aussi être intégrés à tout moment dans des systèmes existants.Fonctionnement entièrement sans pilesDe nombreuses solutions qui fonctionnent sans alimentation électrique externe présentent un inconvénient majeur : des piles doivent générer l'énergie nécessaire aux interrupteurs et aux capteurs. Ceci a un impact négatif sur les coûts de maintenance d'une part et sur l'environnement d'autre part. Les piles doivent être contrôlées et remplacées régulièrement, ce qui est très coûteux avec un grand nombre de capteurs. L'élimination des piles pose également problème, car leur contenu toxique, nocif pour l’environnement, impose un traitement spécifique.La technologie EnOcean empreinte une voie radicalement différente : Les interrupteurs et capteurs sans fil captent et stockent l’énergie nécessaire à leur fonctionnement. Lorsqu'un interrupteur est actionné, le convertisseur d'énergie électromécanique situé à l'intérieur convertit le mouvement en énergie. Ce signal peut être utilisé pour allumer et éteindre des appareils ménagers et des lumières, par exemple. Les modules alimentés par de petites cellules photovoltaïques peuvent se contenter de faibles intensités lumineuses, ne dépassant pas 50 lux. Il peut s'agir de capteurs de température, de CO2 et de présence, par exemple, mais aussi de contacts fixés su des fenêtres ou de capteurs d'humidité. Toutefois, les capteurs peuvent également fonctionner sans piles si l'apport de lumière est trop faible : une différence de température de seulement deux degrés Celsius fournit suffisamment d'énergie pour actionner une vanne de chauffage autoalimentée.Une assistance automatisée au quotidienGrâce à leur fonctionnement par signal radio, ces solutions peuvent être adaptées progressivement à l'évolution des besoins. Les lumières peuvent être allumées et éteintes automatiquement grâce à des détecteurs de présence, et des contacts magnétiques sur les fenêtres et les portes permettent de baisser automatiquement le chauffage lorsque la fenêtre est ouverte ou lorsque tout le monde a quitté la maison. Lorsque les lieux sont inoccupés, tous les appareils électriques tels que la cuisinière et la machine à laver peuvent être éteints par sécurité.Alors que de nombreuses personnes âgées souhaitent rester dans leur environnement familier le plus longtemps possible, de nombreuses applications basées sur le standard radio EnOcean peuvent contribuer à faire de ce souhait une réalité.ConclusionAvec l'aide des technologies modernes, il est possible de rester indépendant même à un âge avancé. Parmi ces technologies, les capteurs autonomes et sans fil occupent une place de choix et prennent de plus en plus d'importance dans le secteur de l'assistance à l'autonomie à domicile, car ils offrent aux personnes âgées un degré élevé d'indépendance et de confort. Toutefois, cette forme d'assistance ne doit pas être imposée et ne doit pas porter atteinte à la vie privée des individus (comme les caméras). Les solutions basées sur des capteurs au standard radio EnOcean sont particulièrement adaptées à ce type d'application. Une fois installés et mis en service, ils fonctionnent sans aucune maintenance et fournissent des données fiables pour contrôler et surveiller l'état de santé des personnes ayant besoin d'aide. Tribune d'Emmanuel FRANCOIS, Sales Manager West Europe chez EnOcean GmbH (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 83 jours

Seine-et-Marne : bientôt un nouveau parc de stationnement à Mée-sur-Seine

La commune du Mée-sur-Seine, en Seine-et-Marne, se dotera de 52 nouvelles places de stationnement d’ici à fin mars 2022.
Il y a 3 ans et 83 jours

La commission des finances à l'Assemblée Nationale se penche sur le chèque énergie

Créé dans le but de remplacer les tarifs sociaux de l'énergie, le chèque énergie vise à lutter contre les effets de la précarité énergétique en offrant aux ménages modestes une aide au paiement de leurs factures d'énergie. Dans le rapport publié ce jour, la Cour des comptes dresse un ensemble de constats qui lui paraissent justifier la conduite d'une réflexion sur la nature réelle du dispositif : en ce sens, elle relève notamment que le seul critère retenu par les pouvoirs publics - le niveau de vie des membres des ménages - rend son ciblage peu performant. En outre, le fait que le chèque puisse financer tout type d'énergie va à l'encontre des objectifs climatiques de la France, puisqu'il aboutit à subventionner pareillement l'usage d'énergies carbonées et décarbonées. Au-delà d'une évolution paramétrique du chèque énergie et du renforcement de sa cohérence, la Cour propose trois scénarios possibles, en fonction d'une clarification des objectifs poursuivis. Le dispositif existant pourrait être simplifié et amélioré pour maintenir sa vocation sociale et le rendre plus accessible Dans le dispositif actuel, les tranches de revenus formant le barème du chèque ne prennent pas en compte l'évolution pluriannuelle du niveau des salaires en France, ce qui entraîne un risque de diminution mécanique du nombre de ménages relevant des premières tranches (et recevant un chèque de montant plus élevé). Par ailleurs, le taux d'usage (80 %) semble atteindre un plafond, malgré les efforts de promotion des pouvoirs publics et de leurs partenaires. La Cour relève également que les informations relatives aux bénéficiaires demeurent lacunaires, qu'il s'agisse de leurs caractéristiques sociodémographiques, des autres aides sociales qu'ils perçoivent, de leurs consommations énergétiques ou de l'usage qu'ils font du chèque énergie. Enfin, la possibilité d'utiliser le chèque énergie pour financer des travaux de rénovation énergétique n'a pas eu le succès escompté, avec moins de 900 bénéficiaires par campagne.L'ASP gère correctement le dispositif mais doit s'engager plus activement à dégager des économies de gestion Sous le pilotage du ministère de la transition écologique, la gestion du dispositif est assurée par l'Agence de services et de paiement (ASP), qui assure directement une partie de sa mise en œuvre opérationnelle. Alors que le nombre de bénéficiaires a considérablement augmenté depuis la création du chèque énergie, la Cour souligne que l'ASP a su s'adapter aux multiples changements en développant de nouveaux outils et services (dématérialisation, pré-affectation, etc.), et en renforçant l'assistance aux utilisateurs. S'agissant de la gestion budgétaire, elle a, en revanche, été moins satisfaisante lors des premières années d'existence du chèque énergie. La stabilisation du dispositif devrait permettre de dégager des économies supérieures à celles constatées actuellement.Le choix d'un critère simple pour son attribution a pour effet un ciblage imprécis des bénéficiaires Si le dispositif actuel fonctionne correctement, sa cohérence vis-à-vis de ses objectifs poursuivis soulève des interrogations. En retenant comme critère de mesure de la précarité énergétique le taux d'effort (la part des revenus consacrés aux dépenses énergétiques domestiques), il apparaît qu'environ 25 % des ménages en situation de précarité énergétique ne reçoivent pas le chèque énergie. En sens inverse, environ la moitié des ménages qui le reçoivent ne remplissent pas les conditions pour être considérés comme étant en situation de précarité énergétique. En outre, son montant est trop faible pour permettre de lutter efficacement contre cette précarité, et relègue sa fonction à celle d'une aide sociale de soutien au pouvoir d'achat des ménages disposant du niveau de vie le plus faible. La décision du Gouvernement, en septembre 2021, d'attribuer à tous ses bénéficiaires un chèque uniforme exceptionnel de 100 € renforce cette tendance. Enfin, le fait que le chèque puisse financer tout type d'énergie (carbonées et décarbonées) va à l'encontre des objectifs climatiques de la France.La clarification des objectifs pourrait guider la refondation de ce dispositif Pour la Cour, ces constats pourraient justifier d'engager une réflexion sur la nature réelle du chèque énergie afin de renforcer sa cohérence. Dans cette optique, elle propose au législateur de choisir entre les trois scénarios suivants : rendre cette aide libre d'emploi par les ménages, accompagner le maintien du dispositif actuel d'une hausse de la taxation du carbone, ou cibler les seuls ménages en situation de précarité énergétique - ce qui permettrait d'augmenter le montant de l'aide à coût global constant.
Il y a 3 ans et 83 jours

L’Établissement français du sang de Vendée sera en chantier à compter de mars 2023

Les consultations entreprises en vue du réaménagement du sous-sol de l’Établissement français du sang de Vendée, ouvriront à l’automne 2022.
Il y a 3 ans et 83 jours

Val-d’Oise : le centre-ville d’Herblay-sur-Seine sera en travaux en mars 2022

Le chantier de réaménagement du centre-ville d’Herblay-sur-Seine est estimé à 6 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 83 jours

La Capeb demande l'équité entre toutes les entreprises dans son livre blanc

La Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment, qui représente 59 000 adhérents, a dévoilé son livre blanc le 15 février, en vue des élections présidentielles 2022.
Il y a 3 ans et 83 jours

Futur des entreprises et de leur lieu de travail : 2021 vs 2022, qu’est-ce qui a changé ?

En 2022, Génie des Lieux renouvelle cette enquête auprès de 3 512 personnes qui renforce certaines attitudes ou au contraire qui met en lumière de nouveaux comportements.81 % des entreprises veulent faire revenir leurs collaborateurs au bureau en 2022, elles étaient 77 % en 2021 ! Pas de télétravail dans des espaces de coworking pour 71 % d’entreprises en 2022 (67 % en 2021). 67 % ne prévoient toujours pas de consulter les salariés sur l’évolution du travail (61% en 2021). 57% des sociétés ne laisseront pas aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail (52% en 2021).Les incontournables dans le futur qui sont renforcés :Une grande proportion de collaborateurs en télétravail : 72 % en 2022 (contre 64 % en 2021).La possibilité aux collaborateurs de travailler en tiers-lieux : 58 % (contre 61 % en 2021).Une surface de bureau réduite au minimum : 62 % (contre 57 % en 2021).La bonne question à se poser : le retour au bureau oui, mais pour quoi faire ?Pour Romain Millet, Ergonome, directeur New Ways of Working chez Génie des Lieux : « Cette enquête met en évidence les grandes questions des entreprises que nous accompagnons. Le retour au bureau est le sujet principal, mais la question primordiale est : « pour y faire quoi ? ». Car oui, le télétravail a fait son entrée fracassante avec la crise sanitaire et il est aujourd'hui une caractéristique essentielle de la situation. Nous sommes passés de l'adaptation forcée à l'anticipation pour demain. Le Future of Work est bien la question qui taraude les entreprises. Elles sont en demande d'une expertise pour établir une analyse poussée de leurs activités et penser à la meilleure organisation pour un modèle hybride. C'est seulement après ce travail introspectif que l'on pourra adapter les aménagements et les outils à ces nouveaux modes de travail, et cela clairement, au service de la performance du collectif. »2022 : Une adaptation à la crise sanitaire bien meilleure qu’en 2021 Depuis le début de la crise sanitaire, les entreprises françaises ont pu opérer de nombreux changements. Ainsi, en 2021, 41 % des Français estimaient que leur société s’était « moyennement » adaptée à la situation et seulement 28 % que celle-ci était « bonne ». En 2022, il semble que les entreprises se sont bien améliorées puisque 37 % estiment que l’adaptation de leur entreprise est « bonne », 14 % « très bonne » et voir « excellente » pour 7 %. Des évolutions différentes en seulement 1 an Tout comme en 2021, c’est le télétravail qui reste la préoccupation majeure : 46 % en 2021 et 41 % encore en 2022. La communication interne qui enregistrait 19 % de représentativité en 2021 a certainement eu moins de nécessité en 2022 avec seulement 10 % et se trouve remplacée par la mise en place de nouvelles règles de fonctionnement avec 16 % (12 % en 2021) juste devant la formation des managers avec 15 % (13 % en 2021). Les nouvelles grandes réflexions : adaptation des espaces et des outils En 2021, l’adaptation des espaces était déjà envisagée ou en cours pour 61 % des entreprises. En 2022, c’est encore plus une réalité avec 69 % de représentativité (34 % oui et 35 % en cours). Même constat pour l’adaptation du management qui comptabilisait 48 % de « oui » en 2021 et 49 % en 2022. D’autres projets restent encore en cours comme le positionnement de l’entreprise à 51 % en 2021 et 48 % en 2022, ainsi que la mise en place de nouveaux modes d’organisation à 55 % en 2021 et 51 % en 2022. Le développement de nouveaux outils fait également un bon en 2022 avec 45 % « d’en cours » contre 44 % de qui ne l’avait pas envisagé en 2021.Toujours pas de télétravail en coworking Déjà en 2021, très peu d’entreprises (seulement 9 %) proposaient à leurs collaborateurs de télétravailler dans des espaces de coworking à proximité de leur domicile. En 2022, ce taux a baissé pour atteindre 7 % et les réfractaires sont encore plus nombreux aujourd’hui avec 71 % contre 67 % en 2021.Encore moins de concertation A la question « Votre entreprise a-t-elle consulté les collaborateurs sur leur souhait d'évolution des pratiques de travail, du management, des environnements de travail, etc.? », la réponse qui était « non » à 61 % en 2021 l’est toujours en 2022 pour 67 % des personnes interrogées. Choisir son lieu de travail ? Laisser totalement le choix aux salariés du télétravail ou du présentiel n’était pas au goût du jour en 2021… et encore moins en 2022 ! En effet, 52 % des entreprises déclaraient l’année dernière ne pas laisser aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail et elles sont aujourd’hui plus de 57 % à le revendiquer. Seulement 24 % sont susceptibles d’accorder cette liberté pour du télétravail de 1 ou 2 jours par semaine (15 % en 2021). Un fort besoin d’accompagnement pour réaménager les espaces ! La question du réaménagement des espaces de travail reste la priorité et surtout le sujet qui nécessite un véritable accompagnement. C’est ce que déclarent 77 % des professionnels interrogés en 2022 et qui étaient déjà 64 % dans ce cas en 2021. L’organisation des modes de travail intéresse également 68% des sociétés (contre 61 % en 2021) ainsi que les nouvelles façons de manager à 62 % (contre 59 % en 2021). Les objectifs pour 2022 ? Les mêmes qu’en 2021 ! Le télétravail c’est bien, mais faire revenir les collaborateurs au bureau reste la préoccupation N°1 de 81 % des entreprises en 2022 (77 % l’année dernière). Le deuxième objectif pour 75 % concerne l’amélioration des espaces afin de mieux gérer l’hybridation quasi inévitable du travail : à distance et en présentiel. A la troisième place, 55 % des entreprises veulent rassurer leurs équipes sur les enjeux sanitaires (61 % en 2021). Retour vers le futur du travail ?Même si les entreprises veulent plus de présentiel, le télétravail fait désormais partie intégrante du quotidien. Ainsi, plus de 72 % des entreprises envisagent une grande proportion de collaborateurs en home office dans le futur et étaient déjà 64 % à le penser en 2021. La possibilité de travailler dans différents lieux ne fait plus partie de leur vision du travail dans l’avenir et enregistre 58 % de votes contre 61 % l’année dernière. En revanche, la réduction des surfaces de bureau à son strict minimum est plus envisagée pour 62 % en 2022 alors qu’ils n’étaient que 57 % en 2021.
Il y a 3 ans et 83 jours

TDF 2022 : reconnaissance de la 13ème étape avec Groupe 6

Pour cette deuxième journée de reconnaissance* au cœur des Alpes, un petit arrêt par la capitale verte 2022 et l’un de ses bâtiments emblématiques : Grenoble (Isère) et le projet IntenCity, nouveau siège social de Schneider Electric réalisé par Groupe 6. La treizième étape, le vendredi 15 juillet permettra au peloton de se décrasser après l’arrivée […] L’article TDF 2022 : reconnaissance de la 13ème étape avec Groupe 6 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 83 jours

En Myanmar, les temples écroulés de Bagan sont une mine à ciel ouvert

A Bagan, au Myanmar, l’ancienne Birmanie, la jungle est jonchée de temples détruits par les invasions, l’histoire et les séismes. Pour y construire un ‘resort’, elle offre ainsi une brique rouge, matériau abondant et peu onéreux, et surtout immense ressource culturelle. Carnet de dessins de Jean-Pierre Heim. Un petit avion à hélices me transporte de […] L’article En Myanmar, les temples écroulés de Bagan sont une mine à ciel ouvert est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 83 jours

Rockwool remporte le trophée de la Relation Commerciale France Matériaux

Chaque année France Matériaux, groupement de négoces en matériaux indépendants, adresse à ses 147 adhérents un formulaire pour évaluer leurs fournisseurs sur trois critères essentiels : relation commerciale, dynamique de l'offre et qualité de service. Véritable reconnaissance par les paires, les fournisseurs les mieux notés sont alors récompensés par le Trophée France Matériaux. Parmi les Lauréats 2022, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, s’est vu attribuer le Trophée de la Relation Commerciale. En 2020 ROCKWOOL avait déjà reçu une récompense aux Trophées du Négoce dans la catégorie « Service aux négoces » pour sa plateforme intuitive Rockcommerce, une plateforme digitale sur mesure permettant aux clients ROCKWOOL d’harmoniser et d’optimiser la réalisation de l’ensemble des démarches, le tout de manière autonome : consulter l’ensemble des fiches produits, passer une commande de manière simplifiée, effectuer un tracking en temps réel sur les livraisons mais aussi de visualiser et d’archiver les factures.« Nous remercions tous les adhérents de France Matériaux qui à travers ce prix viennent souligner le travail des équipes du service commercial de ROCKWOOL. En effet, ce sont eux qui forment cette dynamique commerciale positive et centrée sur la satisfaction du client. Aujourd’hui c’est l’ensemble de ces efforts pour accompagner et conseiller nos clients qui est récompensé par le Trophée France Matériaux.» commente Sébastien Flament, Directeur Régional Sud Est de ROCKWOOL