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Toute l'actualité du bâtiment

255386 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 88 jours

Pyrénées-Atlantiques : le projet Amarra prévoit la construction de 12 nouveaux logements

La mairie de Ciboure projette de construire 12 nouveaux logements sociaux. Ils seront livrés en 2025.
Il y a 3 ans et 88 jours

Puy-de-Dôme : rénovation de la rue des Écoles

À Besse-et-Saint-Anastaise, les travaux de rénovation de la rue des Écoles vont débuter par une intervention sur les réseaux.
Il y a 3 ans et 88 jours

Passe Vaccinal en entreprise : que dit la loi ?

Depuis le 24 janvier 2022, un passe vaccinal est désormais prévu pour l’accès aux activités pour lesquelles était demandé auparavant un passe sanitaire. Le passe vaccinal est par conséquent obligatoire pour les salariés et les personnes qui interviennent dans ces lieux, tels que les cafés, restaurants, ou les transports longue distance.Attention pour autant, le passe vaccinal n’est pas une obligation vaccinale en tant que telle car ce passe est limité dans le temps. Il ne faut donc pas confondre le passe vaccinal et l’obligation vaccinale qui elle, existe toujours pour certains professionnels de santé notamment. Un salarié est-il autorisé à s’absenter pour se faire vacciner ?La loi du 5 août 2021 prévoit toujours à son article 17 que les salariés bénéficient d’une autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19.Le Ministère du travail a précisé, dans son question-réponse que l’employeur peut demander au salarié de justifier son absence en lui présentant la confirmation de rendez-vous de vaccination en amont ou le justificatif de la réalisation de l’injection a posteriori. Ce dernier a aussi ajouté qu’aucune durée maximale pour cette autorisation d’absence n’était fixée mais que la durée de l’absence devait toutefois être raisonnable au regard du temps de déplacement nécessaire pour le salarié.Ces absences n’entraînent aucune diminution de la rémunération. Elles sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par les intéressés au titre de leur ancienneté, et ne peuvent donc pas donner lieu à récupération.Par ailleurs, une autorisation d’absence peut également être accordée au salarié qui accompagne le mineur ou le majeur protégé dont il a la charge aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19.Est-il possible de licencier un salarié qui refuse de présenter son passe vaccinal?La jurisprudence a déjà admis le licenciement d’un salarié qui avait été engagé en qualité d’employé des pompes funèbres et qui avait refusé de se faire vacciner contre l’hépatite B alors que la vaccination était obligatoire. Si on transpose la jurisprudence au cas du salarié qui ne présente pas son passe vaccinal, on pourrait penser qu’il est possible de licencier le salarié pour cause réelle et sérieuse. Cependant le passe vaccinal n’est pas une mesure qui a vocation à durer dans le temps et la loi a prévu une procédure spécifique de suspension du contrat de travail à mettre en place en priorité.En conséquence, si un employeur décide de licencier un salarié avant même d’avoir mis en place la suspension du contrat de travail ou s’il décide de licencier le salarié après une courte période de suspension du contrat, le salarié pourrait surement faire reconnaître le licenciement sans cause réelle et sérieuse en cas de contentieux. Une autre possibilité de licenciement pourrait être envisagée si la période de suspension du contrat de travail du salarié était amenée à durer dans le temps. En effet, la jurisprudence admet le licenciement pour absences prolongées ou répétées qui perturbent le bon fonctionnement de l’entreprise. Dans ce cas, l’employeur doit prouver à la fois la perturbation de l’entreprise et la nécessité de remplacement définitif du salarié.Cette procédure n’est pas non plus sans risque. Si l’employeur licencie trop tôt le salarié pour absences prolongées perturbant le fonctionnement de l’entreprise, les juges pourraient estimer que le licenciement était sans cause réelle et sérieuse. Le licenciement dans l’un ou l’autre des cas envisagés reste risqué pour l’employeur. Étant donné qu’il est lié à la santé du salarié, un juge pourrait même considérer le licenciement comme nul. Un salarié dont le contrat de travail est suspendu pour défaut de présentation du passe vaccinal peut-il reprendre le travail s’il présente un certificat de rétablissement ?Le résultat d’un test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid-19, datant d’au moins 11 jours et de moins de 6 mois est un document qui vaut passe vaccinal.La procédure de suspension du contrat de travail du salarié qui ne présente pas de passe vaccinal a vocation à s’appliquer jusqu’à ce que le salarié présente à l’employeur un justificatif qui vaille passe vaccinal.Ainsi, un salarié dont le contrat de travail était suspendu car il n’a pas de schéma vaccinal complet mais qui attrape la Covid-19 et qui peut présenter un certificat de rétablissement à son employeur peut reprendre le travail pour la durée de validité de ce certificat.A l'issue de sa durée de validité, l’employeur devra à nouveau se rapprocher du salarié pour savoir s’il a un autre justificatif qui vaille passe vaccinal. Si ce n’est pas le cas, l’employeur devra à nouveau mettre en œuvre la procédure de suspension du contrat de travail.Attention, un décret à paraître va ramener la durée de validité du certificat de rétablissement à 4 mois au 15 février 2022 (au lieu de 6 mois à l’heure actuelle).Est-il possible de rompre un CDD ou un contrat de mission en l’absence de présentation du passe vaccinal?A l’instar du CDI, le CDD ou le contrat de mission d’un salarié temporaire peut être suspendu à défaut de présentation du passe vaccinal. Par contre, l’employeur ne peut pas le rompre pour le seul motif de la non présentation du passe vaccinal. A l’arrivée du terme du CDD ou du contrat de travail temporaire, l’indemnité de fin de contrat ou de fin de mission reste due au salarié à l’exclusion de la période de suspension. A quelle date prend fin le dispositif de présentation d’un passe vaccinal pour les salariés ?La présentation d’un passe vaccinal obligatoire pour l’accès à certains lieux définis à l’article 1 de la loi s’applique aux salariés à partir du 24 janvier 2022. Auparavant, la loi « vigilance sanitaire » du 10 novembre 2021 avait modifié la loi n° 2021- 689 du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de la crise sanitaire. En effet, l’article 2, 1°, a modifié l’article 1, II, A de la loi du 31 mai 2021 pour prévoir que le gouvernement pouvait mettre en œuvre le passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 au lieu du 15 novembre 2021 initialement. Ainsi, l’obligation de présentation d’un passe sanitaire pour l’accès à certains lieux a été prolongée jusqu’au 31 juillet 2022. Le passe vaccinal ayant remplacé le passe sanitaire à compter du 24 janvier 2022, la durée d’obligation de présentation du passe vaccinal court pour l’instant jusqu’au 31 juillet 2022.
Il y a 3 ans et 88 jours

Transport fluvial : VNF investira près de 345 millions d’euros en 2022

Après avoir investi près de 320 millions d’euros en 2021 pour entretenir, moderniser et développer ses infrastructures (dont 100 millions au titre du plan de relance), Voies navigables de France (VNF) va y consacrer cette année une enveloppe de près de 345 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 88 jours

Oise : la reconversion de l’ancien site de Matra Électronique de la ville de Lacroix-Saint-Ouen est en phase d’étude

Le projet s’inscrit dans un programme de reconversion des sites et des friches industrielles de l’agglomération de la région de Compiègne.
Cimbat
Il y a 3 ans et 88 jours

Essonne : des travaux sur les équipements communaux de Viry-Châtillon

À Viry-Châtillon, la halle des sports Jacques-Bédei et la médiathèque ont bénéficié de toits neufs. Les sanitaires du cimetière ont également été mis en accessibilité.
Il y a 3 ans et 88 jours

A Huzhou (Chine), toile soyeuse pour la ville aux mille soies selon Jiangong Architect

Dans la province du Zhejiang en Chine, le centre culturel et sportif de Huzhou Zhili conçu par l’agence de Shanghai Jiangong Architect accueille ses usagers sous une toiture légère composée de Flexlight TX 30 III HTL Serge Ferrari. Cette « toile soyeuse » est une solution éclatante pour Huzhou, « la ville aux mille soies ». Un […] L’article A Huzhou (Chine), toile soyeuse pour la ville aux mille soies selon Jiangong Architect est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 88 jours

Colloque Européen Bruxelles

Colloque Européen est un événement qui met en avant la problématique de la maintenance des ouvrages d'arts, dans le respect de l'environnement et de la nécessité de diminuer l'empreinte carbone. Grâce aux tables rondes, les visiteurs pourront échanger avec les intervenants sur les différentes thématiques abordées.
Il y a 3 ans et 88 jours

A Winterthur, Schenker Stores recycle ses anciens BSO dans la rénovation circulaire et durable des bâtiment du projet K118

Pour mieux comprendre ce projet, en préambule, quelques mots sur sa genèse. Il y a près de 12 ans, la fondation Abendrot – qui est l’un des plus grands fonds de pension Suisse – achète à Sulzer Immobilier AG la zone industrielle désaffectée de Lagerplatz à Winterthur, district du canton de Zurich, pour y mener un projet de réaménagement. Accompagné par l’agence d’urbanisme Denkstatt, le cabinet d’architectes Baubüro In Situ et les usagers existants, Abendrot conçoit un projet de restauration architecturale et thermique des bâtiments qui se fonde sur un principe de rénovation circulaire et durable, pour ainsi dire laisser en l’état ce qui peut l’être, réparer si nécessaire et ne reconstruire que ce qui n’est pas réparable. Aussi, pour transformer et étendre les bâtiments industriels avec des éléments de structure de façade et d’intérieur de réemploi, l’équipe a fait le choix d’utiliser des matériaux issus pour la plupart de chantiers de déconstruction situés dans un rayon de 100 kilomètres autour du site en projet. Ils sont, autant que possible, réemployés en exploitant au maximum leurs propriétés, tout en minimisant l’investissement en temps et en énergie supplémentaire nécessaires à leur mise en œuvre. Le projet K118, de Baubüro In Situ, qui est le projet pilote de rénovation et de surélévation de l’extrémité de la Halle 118, s’est achevé fin 2021 et place la barre très haut en matière de construction circulaire et durable. DES STORES DURABLES Le bâtiment 118 se compose d’un soubassement existant de 3 niveaux en brique dont les façades, planchers intermédiaires et la structure intérieure ont été conservés au maximum et renforcés lorsque cela s’est avéré nécessaire, afin de tirer profit au maximum de l’existant et de minimiser les déchets du chantier. A cela s’ajoutent trois niveaux de surélévation en structure métallique et façade en bois et isolation paille. Les fenêtres et les stores, tout comme les façades, les radiateurs et les parquets en bois, viennent de bâtiments démantelés de la région de Winterthur et notamment de l’immeuble de bureaux Orion à Zurich-Ouest. Outre les nombreux éléments de façade, les brise-soleil orientables VR 90 de Schenker Stores qui équipaient le bâtiment Orion, ont également pu être réutilisés pour le K 118. Au regard des solutions de protection contre le soleil, l’Orion s’est avéré être un coup de chance ! Après leur démontage, chaque BSO, chaque lamelle, chaque support, chaque étrier et chaque butée de verrouillage ainsi que tous les basculateurs, tous les supports Texband et toutes les bandes-échelles ont été contrôlés pour vérifier leur état et leur fonctionnement, et réparés si nécessaire. Ce long travail minutieux de vérification et de réparation a demandé une expertise notable : valeur ajoutée indéniable dans ce processus de rénovation circulaire. Au total, plus de 2750 pièces détachées ont été inspectées. Le but était d’en laisser un maximum dans leur état d’origine. En temps normal, Schenker Stores fabrique des stores sur mesure, mais pour ce projet, ce fut l’inverse: les embrasures des fenêtres ont été adaptées aux dimensions des stores après consultation avec le constructeur de la façade et le charpentier. La situation initiale particulière de ce projet a demandé une gestion minutieusement coordonnée de la part de toutes les parties prenantes ainsi que plus du double de l’effort de coordination habituellement nécessaire. Outre les stores recyclés, Schenker Store a également monté de nouveaux BSO VR 90. Spécialement conçu pour résister au vent, ce store à lamelles reliées s’intègre à presque toutes les particularités architecturales, et se distingue par ailleurs par sa longue durée de vie. L’actionnement est le seul élément qui distingue les nouveaux modèles de VR 90 des anciens modèles. Une motorisation fait désormais le travail là où il fallait avant tourner un treuil. Doté de lamelles à la forme spéciale en Z, leur profil élégant habille esthétiquement les façades. Les lamelles en Z sont stables avec une largeur de 90 mm et une épaisseur d’environ 0,42 mm. Leur position est réglable librement, en fonction des besoins. La technique éprouvée des stores à lamelles reliées est facile à manœuvrer et silencieuse. Grâce à leur forme spéciale, elles offrent un contrôle précis et en continu de la lumière naturelle ainsi qu’un très bon obscurcissement. Conçues en composites, les lamelles, en position fermée, offrent d’excellentes propriétés isolantes permettant de réduire les dépenses énergétiques. Contrairement au principe du « décyclage », tous les matériaux de construction n’ont ici pas été d’abord retravaillés par un processus énergivore, mais directement réutilisés. Au total, près de 50 tonnes de CO2 ont ainsi pu être économisées. Alors que les émissions de CO2 de la construction ont pu être réduites de plus de moitié, les coûts financiers sont restés dans les limites de ce que peut représenter un nouveau bâtiment similaire. La différence réside dans le fait que la majeure partie des dépenses est allée directement dans la valeur ajoutée des artisans impliqués, car le matériau de réutilisation , peu coûteux, nécessite cependant un certain travail manuel et une certaine expertise avant de pouvoir être installé. Le projet K 118 a remporté l’or au concours international Global Holcim Award 2021 et obtient ainsi la plus haute distinction en matière de durabilité.
Il y a 3 ans et 88 jours

Autour du chantier de la Tour Triangle, riverains et commerçants parisiens sont partagés

Ils ont pris place en contrebas du périphérique, derrière une palissade, au milieu d'une rangée d'arbres à moitié épargnée : après deux mois de travaux préparatoires, l'arrivée lundi de dix silos de 16 mètres de hauteur, renfermant du béton liquide, a marqué le début officiel d'un chantier de quatre ans.A terme, une pyramide de 180 m de hauteur pour 42 étages, soit 95.000 m2, doit devenir le troisième édifice le plus haut de Paris, derrière les tours Eiffel et Montparnasse. "Trois fois par semaine, je m'arrête et j'imagine cette horreur", frémit Michèle Guittard-Golberin, qui habite à une centaine de mètres de là.Cette riveraine de longue date lutte contre ce projet "aberrant" au sein du Collectif contre la Tour Triangle. "On ne verra plus ce ciel", désespère la retraitée de 70 ans pour qui le futur gratte-ciel "va faire une sacrée ombre".Au milieu du Parc des expositions et sous le périphérique, personne ne prête trop attention aux premiers travaux sur cette artère qui relie Paris à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Mais chacun y va de son avis."Arrêter avec ces délires"Nassera, 53 ans, redoute "beaucoup de monde" dans le quartier. Pour Rémi, éducateur spécialisé de 34 ans, "il faut arrêter avec ces délires" car "il y a assez de tours comme ça". Un autre passant redoute lui des "problèmes d'embouteillage, de circulation, de transports en commun".Du côté des "pour", Thierry, 52 ans, pense que la tour va permettre "une transition entre Paris et Issy". "Il y a des grandes capitales internationales qui évoluent, comme Londres", juge cet Isséen pour qui le choix du site, sans vis-à-vis direct, a été fait "de manière intelligente".Le tour "va redynamiser le quartier", positive Anne, une propriétaire qui espère voir "monter le prix du m2".La tour ne commencera à sortir de terre qu'à l'été 2023, pour finir d'être érigée mi-2025 et livrée en 2026, selon le calendrier du promoteur, le géant des centres commerciaux Unibail-Rodamco-Westfield (URW) qui anticipe 5.000 emplois directs et indirects pendant le chantier et 5.000 collaborateurs installés à terme.De quoi redonner espoir à des commerces à la peine après deux ans de crise sanitaire. "Tout le quartier vit avec les salons" du Parc des expositions, "c'est très dur pour nous", souligne Tran, gérante d'un restaurant de sushi."Depuis deux jours que le chantier est ouvert, on bosse bien le matin, les patron des sous-traitants payent le café", note une serveuse du Dupont qui redoute en revanche "la poussière en terrasse"."Réversibilité"Pour faire accepter son projet, URW met en avant les 1.000 m2 de panneaux photovoltaïques, le "béton bas carbone" et la "réversibilité" de la tour, critiquée pour faire la part belle à des bureaux (75% d'espaces de travail) pourtant mis à mal par le télétravail."Demain, on pourra si on le souhaite transformer 30.000 m2 de bureaux en logements", affirme URW.Pas de quoi convaincre Christine Nedelec, présidente de France Nature Environnement (FNE) Paris et SOS Paris, qui dénonce une "impasse verticale avec une pléthore d'ascenseurs" et "une tour-barre de 150 m de long". "C'est faux de dire qu'il n'y aura pas d'ombre", assure-t-elle."Sa forme a été définie pour ne pas générer d'ombre sur les riverains" mais en "majorité" sur le Parc des expos, répond Vincent Jean-Pierre, directeur du développement bureaux et projets mixtes chez URW.Les opposants espèrent toujours pouvoir arrêter le chantier, notamment grâce à l'enquête préliminaire pour "favoritisme" ouverte en juin 2021 autour de la concession.Jeudi 10 février, Patrice Maire, président de l'association Monts 14, a demandé à Emmanuel Macron un moratoire sur les travaux, s'appuyant sur un document récent de l'Unesco demandant à l'Etat de redéfinir la zone tampon entourant les Rives de Seine, classées au patrimoine mondial.
Il y a 3 ans et 88 jours

Une bonne année 2021 pour Vicat

Le cimentier français a réalisé un chiffre d'affaires de 3,12 milliards d'euros, en hausse de 16,2% par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 88 jours

Étienne Crépon, président du CSTB, "Grand Témoin" dans la revue Batimétiers

Dans la publication de la Fédération Française du Bâtiment (FFB), Étienne Crépon revient sur le rôle du CSTB pour accompagner les mutations que vit la filière du bâtiment. Transition environnementale, révolution numérique, besoins de rénovation, performances des produits adaptés à l'usage, sécurisation de l'innovation..., découvrez la prise de parole du président du CSTB sur les enjeux majeurs d'aujourd'hui et de demain pour le secteur de la construction et de l'aménagement. Étienne Crépon partage sa vision pour aider les acteurs à répondre à ces défis, mettant compétences, pluridisciplinarité et approche systémique du bâtiment, « un objet complexe, remplissant une multiplicité de fonctions... », à leur service. En savoir plus : Lire l'article
Il y a 3 ans et 88 jours

Plus de soutien pour le réemploi

Alors que l’arrêté REP PMCB est en préparation au ministère de la transition écologique – un décret a été publié en décembre et un arrêté portant sur le cahier des charges de la filière est en cours de finalisation -, les acteurs du réemploi solidaire et les ONG environnementales* demandent plus d’ambition pour la nouvelle filière et un soutien financier pour les acteurs du réemploi, comme il en existe dans d’autres filières.
Il y a 3 ans et 88 jours

La RE2020 en maison individuelle, tout simplement avec les solutions bio’bric

Un bâtiment bien conçu et bien isolé permet de limiter les consommations d’énergie. Plus la résistance thermique de l’enveloppe de la maison (murs de structure) est élevée et les ponts thermiques traités grâce à des accessoires isolants, plus le bâtiment gardera la chaleur produite en hiver. C’est le double objectif du Pack maison individuelle :Gamme de briques de murs alvéolées avec une résistance thermique allant de 0,75 à 1,50 m².K/W (contre 0,23 m².K/W pour une maçonnerie traditionnelle non isolante).Planelles en terre cuite pour réduire les déperditions d’énergie en about de plancher.Les coffres de volet roulant et les briques à bancher-acrotères viennent compléter le Pack pour garantir une façade homogène 100 % terre cuite.La forte inertie des briques bio’bric permet une régulation de la température intérieure. La brique agit comme un climatiseur naturel, pour un confort d’été optimal.Quant à la limitation de l’impact environnemental du bâtiment, la brique en terre cuite bio’bric présente un impact carbone limité rapporté à l’ensemble de son cycle de vie. Ses bons résultats environnementaux sont consignés dans les FDES (Fiches de déclaration environnementale et sanitaire) mises à disposition par bio’bric dans la base Inies.Par ailleurs, fabriqués en France à partir d’une matière première géosourcée, l’argile, les produits bio’bric ne se dégradent pas dans le temps et les moisissures ne s’y développent pas, ce qui permet d’assurer la pérennité des ouvrages.La haute performance thermique des solutions bio’bric permet d’optimiser les prestations d’isolation et/ou des choix techniques sur les équipements de la maison. En limitant l’épaisseur d’isolation, la surface habitable est préservée.bio’bric accompagne les constructeurs et maîtres d’œuvres dans la définition et l’optimisation de leur système constructif RE2020 ; en partenariat avec les bureaux d’études thermiques.
Il y a 3 ans et 88 jours

Profeel dresse le bilan de trois années de rénovation énergétique

Le programme Profeel présente le bilan des 9 projets menés collectivement en faveur de la rénovation énergétique. Une collection d'outils et ressources est désormais disponible gratuitement pour les professionnels.
Il y a 3 ans et 88 jours

Le Service d’Infrastructure de la Défense lancera pour 2,5 Mds € de travaux en 2022

Le SID (Service d’Infrastructure de la Défense) organise quatre journées de rencontres à destination des entreprises pour tenter de favoriser la concurrence et d’inciter les plus petites d’entre elles à répondre à ses appels d’offres.
Il y a 3 ans et 88 jours

Des chantiers plus responsables

Après un premier Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) de Chantier responsable, lancé en février 2021 sur les 8 départements d’Ile-de-France, le second AMI est lancé.
GDA
Il y a 3 ans et 88 jours

Forum des Travaux Publics

Forum des Travaux Publics s'organise autour d'un espace exposants, ainsi que de conférences. Les entreprises de travaux publics présentent leurs dernières innovations sur la thématique de la transition écologique. En fin de journée, une remise de prix est prévue pour récompenser les entreprises sur 6 catégories : Organisation et logistique des chantiers Economie circulaire Biodiversité Sobriété et décarbonation des engins Matériaux bas-carbone Eclaireurs."
Il y a 3 ans et 88 jours

Ille-et-Vilaine : bientôt un ensemble immobilier en bois dans la ZAC Beauregard-Quincé

À Rennes, Ataraxia Promotion pose la première poutre du programme immobilier l’Ile Ô Bois dans la ZAC Beauregard-Quincé.
Il y a 3 ans et 88 jours

Alpes-Maritimes : requalification des allées de la Liberté à Cannes : la phase 2 se poursuit

À Cannes, les travaux de réaménagement des allées de la Liberté prendront fin en juillet 2022.
Il y a 3 ans et 88 jours

Yvelines : rénovation du parc immobilier privé dans le centre ancien de Mantes-la-Jolie

La Ville, l’Agglomération et l’État mettent en place une opération programmée d’amélioration de l’habitat dans le centre ancien de Mantes-la-Jolie.
Il y a 3 ans et 88 jours

Eiffage signe un gros contrat avec le ministère des Armées

Leur co-entreprise Nové, détenue à 50/50, sera chargée de rénover près de 8.000 logements afin d'améliorer la performance énergétique du parc et de construire environ 3.000 logements neufs répartis sur 55 sites pendant "les premières années du contrat", selon un communiqué du groupement.À terme, près de 4.000 logements supplémentaires, actuellement gérés par d'autres prestataires, devraient progressivement être intégrés au contrat et être rénovés."Le financement du programme sera en partie assuré par des fonds propres apportés par les actionnaires de Nové et par un emprunt de 1,3 milliard d'euros souscrit par Nové auprès de la Banque européenne d'investissement (474 millions d'euros), de l'Établissement public des fonds de prévoyance militaire et de l'aéronautique (100 millions d'euros), et d'un pool de 10 banques commerciales", détaille le communiqué.Nové assurera également l'entretien-maintenance de l'ensemble du parc immobilier."Pour garantir tout au long de la concession le haut niveau d'ambition en matière environnementale attendu par le ministère des Armées, la création d'un fonds d'arbitrage carbone & climat dédié au projet est prévue", souligne le groupement."Les études des premiers projets de construction devraient débuter rapidement et des travaux préparatoires sur plusieurs sites sont attendus dès cette année", selon le communiqué.La gestion effective débutera début 2023 après une période de transfert avec le gestionnaire actuel.
Il y a 3 ans et 88 jours

Vendée : fin des travaux d’effacement des enrochements à Bretignolles-sur-Mer, à Saint-Hilaire-de-Riez et à Saint-Gilles-Croix-de-Vie

Les opérations de désenrochement à Bretignolles-sur-Mer, à Saint-Hilaire-de-Riez et à Saint-Gilles-Croix-de-Vie sont désormais terminées
Il y a 3 ans et 88 jours

La construction scolaire vise la performance E4C2

La labellisation E4C2, très difficile à obtenir, est néamoins envisagée par de nombreux projets de constructions. (Photo : Groupe scolaire de la ZAC des Orfèvres à Trévoux en construction. © Gallet Architectes)
Il y a 3 ans et 88 jours

Au procès des attentats du 13 novembre, une architecture humble et lisible pour faire justice

    Pisé, bauge, torchis, adobe… les constructions en terre crue sont présentes dans toutes les régions du globe. Car cette ressource inépuisable, utilisée depuis la nuit des temps, présente de nombreuses qualités. Naturelle et saine, elle affiche un faible bilan carbone et se recycle. Elle est endurante au feu, offre une […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 88 jours

Vaucluse : lancement de la réhabilitation du boulevard Daladier

À Orange, la première phase du chantier de requalification du boulevard Daladier a débuté le lundi 31 janvier 2022.
Il y a 3 ans et 88 jours

Val-d’Oise : un nouveau groupe scolaire au premier semestre 2023

Le futur groupe scolaire d’Argenteuil sera construit sur un terrain de 6 000 m2, à la croisée de trois quartiers.
Il y a 3 ans et 88 jours

Les Auralpins et le Gaz Vert : Résultats de l’étude menée auprès de 2 000 habitants de la région Auvergne-Rhône-Alpes

Présentation de GRDF et GRDF en région AuRA Principal gestionnaire de réseau de distribution de gaz en France, GRDF distribue, chaque jour, le gaz à plus de 11 millions de clients pour se chauffer, cuisiner, se déplacer, quel que soit leur fournisseur. Pour cela, conformément à ses missions de service public, GRDF conçoit, construit, exploite, […]
Il y a 3 ans et 88 jours

Rapport de branche du négoce des matériaux de construction sur l'exercice 2021

Emploi : malgré la crise, une hausse des effectifs et des perspectives d’emploi soutenuesL’enquête réalisée en 2021 pour l’exercice 2020 s’est faite auprès des 3.551 entreprises de la branche - dont 77 % de moins de 11 salariés - ce qui a permis de dégager un taux de représentativité global de 50 % des salariés et de 19 % des entreprises.L’un des principaux constats de cette analyse a montré que les chiffres de la branche de l’année 2020 sont en légère hausse tant sur le nombre d’entreprises (3.551 entreprises contre 3.301 en 2019) que sur les effectifs salariés (78.350 salariés, soit une hausse de 1,5 % comparé à 2019).À ces chiffres assez encourageants pour la branche, s’ajoute une donnée positive sur les perspectives de recrutement en 2020 puisque 40 % des entreprises envisageaient de recruter dans les prochains mois dans un cadre d’emploi pérenne (95 % des salariés sont en CDI et 96,5 % à temps plein). 10 % des entreprises ont indiqué rencontrer des difficultés de recrutement. Par ailleurs, les perspectives de recrutement se concentrent essentiellement sur les métiers de la force de vente, le management et ceux des chauffeurs-livreurs.Ainsi, malgré la crise sanitaire et une proportion de 60 % des salariés ayant connu au moins une période de chômage partiel (2% en 2021), le secteur reste dynamique. Par ailleurs, 20 % des salariés ont connu au moins une période de télétravail en 2020 (proportion qui a chutée de moitié en 2021 passant à 10%).Pour Stéphanie GAZEL, Secrétaire Générale Affaires Sociales et Formation de la Fédération des Distributeurs de Matériaux de Construction : « Pour cette édition du rapport de branche, portant sur les données 2020, nous avons souhaité prendre la mesure de l’impact de la pandémie sur l’organisation du travail dans les entreprises de la distribution des matériaux de construction. Ce contexte difficile s’est traduit par des périodes de chômage partiel mais nous constatons cependant une légère hausse des effectifs sur l’année. Les perspectives de recrutement témoignent également d’un dynamisme certain dans l’ensemble de la branche. »Les autres données marquantes de cette enquête Emploi :Il est intéressant de noter la répartition des emplois selon le sexe. Bien que la part des femmes ne représente que 25 % en moyenne, on constate qu’elle est plus importante dans les entreprises de moins de 11 salariés (30%) par rapport aux entreprises de 20 à 49 salariés (23%) et 50 à 299 salariés (23%).L’âge moyen des salariés de la branche est de 42 ans. Un âge moyen identique pour les hommes et pour les femmes.L’ancienneté moyenne des salariés de la branche est de 10 ans, soit une légère baisse comparée à 2019 (- 0,5 an). La répartition des salariés selon l’ancienneté est quasiment identique entre les hommes et les femmes.Formation : l’apprentissage largement plébiscitéEn termes de formation, l’année 2020 est marquée par une hausse sans commune mesure du nombre de contrats d’apprentissage (+ 85%) alors que les contrats de professionnalisation connaissent une baisse assez nette par rapport à 2019.Ainsi, en 2020, on compte 1.794 apprentis contre 970 en 2019 alors que les contrats de professionnalisation subissent une baisse passant de 711 contrats de professionnalisation signés en 2019 à 517 en 2020. On peut notamment expliquer cette évolution par une substitution d'une partie des contrats de professionnalisation par des contrats d’apprentissage, observable dans d'autres branches.Les autres données remarquables en 2020 sur les chiffres Formation :Sur les contrats de professionnalisation : 82 % des contrats de professionnalisation ont été signés par des entreprises de 300 salariés et plus.2 salariés sur 3 en contrat de professionnalisation suivent une formation en commerce et vente.Les BTS représentent plus de 40 des formations en contrats de professionnalisation inscrites au RNCP.Sur l'apprentissage : 558 entreprises ont signé des contrats d’apprentissage en 2020 soit 3,2 contrats en moyenne par entreprise.Plus de la moitié des contrats ont été signés par des entreprises de 300 salariés et plus.Près de 70 % des apprentis sont des hommes, soit une part nettement inférieure à celle des hommes dans le total des salariés (75 %) et donc une part supérieure d’apprenties femmes (31 %) par rapport au total des salariées (25 %).Près d’un apprenti sur deux suit une formation de commercial alors que les vendeurs conseils qui représentent 24 % des salariés sont peu représentés parmi les apprentis (2 % seulement).Sur le Plan de développement des compétences : En 2020, 1 621 stagiaires ont été formés dans les entreprises de moins de 11 salariés. 464 entreprises sont concernées avec une moyenne de 3,5 stagiaires par entreprise et les formations les plus suivies sont la conduite d’engins et le CACES ainsi que des formations de comptabilité gestion.Dans les entreprises de 11 salariés et plus (dont 39 % de 20 à 49 salariés), 4 909 stagiaires ont été formés en 2020. 420 entreprises sont concernées avec une moyenne de 11, 5 stagiaires par entreprise et les formations les plus suivies sont celles en lien avec les achats, le commerce et le marketing (27 %) devant la conduite d’engins et le CACES (25 %).
Il y a 3 ans et 88 jours

Non, il n’existe pas que la pergola bioclimatique ! AMEXSO, lance une nouvelle gamme de pergolas

 // Une gamme de pergolas sur mesure qui répond à toutes les envies et à tous les budgets  Dans un contexte où l’habitat et l’aménagement des espaces extérieurs battent toujours leur plein, AMEXSO lance une gamme complète de pergolas aluminium éprouvées, approuvées et certifiées Qualimarine et Qualicoat.  Cette gamme de pergolas, basée sur 4 produits […]
Il y a 3 ans et 88 jours

Ville Low tech : le projet de recherche URBALOTEK

La démarche low-tech appliquée à la ville s’érige comme une nécessité pour le développement durable. Ce concept a pour objectif de mettre sur pied des solutions technologiques simples, mais performantes, tout en consommant peu de ressources. Le projet de recherche URBALOTEK va précisément dans ce sens. Son objectif est d’interroger la pertinence d’une traduction de […]
Il y a 3 ans et 88 jours

Béatrice Mouton - portrait

Basée à Paris, l'agence Béatrice Mouton s'intéresse particulièrement à la construction préfabriquée comme outil pour raviver l'existant. Créée en 2008 et fédérant cinq personnes, l'agence Béatrice Mouton est spécialisée dans la construction hors site. Elle a […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 89 jours

Meudon : les carrières menacées

La carrière Arnaudet, à Meudon, est à juste titre considérée comme un patrimoine architectural, historique et scientifique de premier plan. Elle est aujourd’hui menacée. Ses plus beaux volumes sont voués à disparaître. Suite à une communication alarmiste et sur la base d’une étude de stabilité extrêmement prudentielle, concluant à un risque d’effondrement potentiel, différentes solutions de mise en sécurité ont été évoquées, dont malheureusement seule la solution de comblement...
Il y a 3 ans et 89 jours

Pratique du vélo en ville : Montreuil ville cyclable en plus forte progression ces deux dernières années

Pour Patrice Bessac, maire de Montreuil : « Meilleure progression en Seine-Saint-Denis : Montreuil ! Comment ne pas se réjouir de ce classement issu d'une enquête de satisfaction menée auprès de celles et ceux pour lesquels nous travaillons au quotidien à améliorer, sécuriser, faciliter les déplacements alternatifs. En deux ans, Montreuil s'est fortement impliquée et a fait preuve d'un réel volontarisme dans l'amélioration du partage de la voirie en aménageant 7 nouveaux kilomètres de pistes cyclables au sortir du premier confinement qui ont permis d'améliorer le réseau cyclable, de réduire les coupures et de renforcer les liaisons avec les autres réseaux comme celui du RER V, le réseau vélo de la Région Île-de-France. »Avec son adjoint en charge des mobilités et de la ville cyclable, Olivier Stern, Montreuil prête une attention renforcée à cette enquête de satisfaction spontanée qui se reproduit tous les deux ans car, c'est pour elle une façon de mesurer et d'évaluer les efforts qu'elle met en œuvre pour répondre à la diversité des besoins de mobilité des habitants. Montreuil est la ville d'Île-de-France qui enregistre la plus forte progression et qui creuse l'écart avec les autres villes. Montreuil obtient une des meilleures notes à la question de l’ouverture au double sens cyclable des rues en sens unique, résultat de la mise en place généralisée à toute la ville de la zone 30.Au-delà, Montreuil est récompensée pour l'écosystème favorable à l'usage du vélo qu'elle a réussi à générer et qui transparaît au travers de la bonne note obtenue dans les catégorie « trouver un magasin ou un atelier de réparation de vélo » et « efforts faits en faveur du vélo par la ville sont importants ».En effet, les cyclistes montreuillois ayant répondu au questionnaire de ce baromètre saluent les efforts de la Ville faits en faveur du vélo et disent se sentir en sécurité dans les rues résidentielles. Deux catégories qui permettent à Montreuil de creuser l'écart avec d'autres collectivités.Bien entendu, et comme dans toutes les villes, des efforts restent à mener notamment sur le stationnement de véhicules motorisés sur les aménagements cyclables, sur les solutions alternatives à mettre en œuvre lors de travaux sur les itinéraires cyclables, sur le manque de respect de la part des conducteurs de véhicules motorisés ou encore sur le nombre de vols de vélo.Si Montreuil progresse c'est que la Ville s'est engagée depuis plusieurs années maintenant dans un plan vélo qui repose sur l’apaisement de la circulation et sur la création d’un réseau complet et sans coupures d’aménagements cyclables. Montreuil conçoit son développement en protégeant l’environnement, en favorisant la santé des Montreuillois et en préservant leur qualité de vie. Le développement de ce réseau de transport alternatif au déplacement automobile est un des éléments essentiels de la politique menée par la Ville en faveur des mobilités durables et de la lutte contre la pollution de l’air.En juin 2018, Montreuil a adopté un plan vélo sur cinq ans, destiné à rendre ce mode de déplacement plus populaire en programmant des aménagements qui en facilitent et en sécurisent la pratique.Ce Plan vélo concrétise l'attachement de la Ville de Montreuil à concevoir des politiques publiques de déplacement qui préservent l'environnement en réduisant les émissions de gaz à effet de serre pour améliorer la qualité de vie en ville. Ce mode de déplacement est performant, économe, souvent plus rapide que la voiture sur de courts trajets et bon pour la santé.Le Plan vélo de Montreuil compte cinq volets d'action, financés à hauteur de 30 % ou 50 % par la Région Île-de-France :Sécuriser et améliorer la qualité des déplacements cyclables ;Développer l’offre de stationnement vélo ;Proposer des services aux cyclistes ;Promouvoir le vélo ;Évaluer, en concertation avec les usagers, la progression de la politique vélo de la Ville.Le Plan vélo adopté par le Conseil municipal de juin 2018 s'est fixé pour objectifs de contribuer à :améliorer les aménagements et itinéraires cyclables continus, structurants et sécurisés pour renforcer et apaiser le partage de la voirie ;augmenter l’offre de stationnement sécurisé, dans les nouvelles constructions et sur l’espace public (nouveaux parcs de stationnement Véligo' et arrivée de 20 Vélobox dans les rues) ;garantir un meilleur partage de la voirie par des aménagements luttant contre les points noirs de vitesse et d’insécurité routière, en confortant ainsi le passage à la ville à 30 km/h généralisés en juin 2018 et permettant la mise en double sens de toutes les rues pour les cyclistes ;poursuivre l’expérimentation de la suppression des répétiteurs installés sur les feux tricolores créant naturellement un sas-vélo qui renforce la sécurité des cyclistes et piétons ;soutenir le marquage Bicycode permettant d’identifier un vélo volé ou perdu.Le Plan vélo de Montreuil c'est : 28 km d’itinéraires cyclables, 4 400 places de stationnement (2 200 arceaux), 11 pompes à vélo publiques en libre service, l’installation en 2018 de la première borne publique de réparation de vélo en Île-de-France et, une augmentation de 13 à 21 stations Vélib’ ainsi que de multiples associations de cyclistes et points de vente.
Il y a 3 ans et 89 jours

Les ventes de logements neufs à la peine en zones tendues

En 2021, 104.477 nouveaux logements ont été mis à la vente, en hausse de 21% par rapport à 2020, année exceptionnelle du fait des confinements mais en baisse de 8,8% par rapport à 2019, dernière année avant l'arrivée du Covid-19.Même tendance pour les réservations (annulations non comprises), 116.714 en 2021, soit 15% de plus qu'en 2020 mais 11% de moins qu'en 2019.Dans les zones les plus tendues (région parisienne, Côte d'Azur, frontière suisse) et les villes de plus de 250.000 habitants, réservations et mises en vente sont encore en-deçà de leur niveau d'avant-crise.A l'inverse, dans les villes de 50.000 à 250.000 habitants et dans le reste du territoire, les chiffres de 2019 sont atteints voire nettement dépassés.Dans ces deux zones, "la promotion immobilière a été moins impactée par la crise sanitaire que dans les zones plus tendues", note le ministère.Au quatrième trimestre, les biens les plus grands ont été les plus demandés, relève le ministère: appartements de plus de quatre pièces et maisons de plus de cinq pièces.Les prix moyens ont surtout progressé pour les maisons individuelles, qui sont parties à 339.000 euros en moyenne au quatrième trimestre, en hausse de 13,1% par rapport à 2020. La hausse des prix est surtout portée par les maisons de quatre pièces ou plus.Côté appartements, le prix moyen de vente s'établit à 4.500 euros le mètre carré, 4,7% de plus qu'en 2020, avec une hausse plus sensible pour les deux pièces (+5,8%).
Il y a 3 ans et 89 jours

La commercialisation de logements neufs n'a toujours pas retrouvé son niveau d'avant-crise

LOGEMENT. Le ministère de la Transition écologique a divulgué les chiffres de la commercialisation des logements neufs au quatrième semestre 2021. Si les résultats sont supérieurs à l'an dernier, ils n'atteignent pas encore ceux de la période pré-Covid.
Il y a 3 ans et 89 jours

Formation, gouvernance : les ingénieurs et bureaux d'études interpellent les candidats

PRÉSIDENTIELLE 2022. Dans un manifeste, les représentants des métiers du conseil, de l'ingénierie et du numérique dressent une liste de propositions censées permettre la bonne réalisation des transitions écologique et digitale. Les questions de formation et les enjeux de gouvernance constituent notamment deux axes majeurs, structurés autour d'un plaidoyer en faveur des TPE-PME.
Il y a 3 ans et 89 jours

Balcon effondré : au procès, les experts reviennent sur les raisons du drame

JUSTICE. Le procès sur le balcon effondré d'Angers, en 2016, a continué ce 15 février 2022, avec l'audition de deux experts. Ils sont revenus sur les causes probables du drame qui avait emporté la vie de quatre jeunes.
Il y a 3 ans et 89 jours

Davantage de surfaces logistiques pour Reynaers pour répondre à la demande

LOGISTIQUE. Afin de répondre aux besoins du marché, le fournisseur de systèmes de menuiserie aluminium, Reynaers, vient d'accroître sa plateforme logistique, installée à Brouchy.
Il y a 3 ans et 89 jours

Découvrir Iannis Xenakis, l'architecte musicien, entre ses traits

À NE PAS MANQUER. Qui était Iannis Xenakis ? Compositeur de musique contemporaine, mais aussi architecte, ingénieur et féru de mathématiques comme d'informatique, celui qui invitait à vivre "l'inouï", était à la fois un et multiple. L'exposition "Révolutions Xenakis" au Musée de la Musique, nous révèle l'homme Xenakis, entre ses traits.