Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255369 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 93 jours

Emmanuel Macron annonce la commande de six EPR2 et de 50 parcs éoliens offshore

ÉNERGIES. En visite à Belfort, le chef de l'État a annoncé la commande de six réacteurs à eau pressurisée de nouvelle génération, avec une option portant sur huit autres. Les centrales actuelles pourront quant à elles voir leur durée de vie prolonger au-delà de 50 ans, sous conditions. Le président de la République a également annoncé la création d'une cinquantaine de parcs d'aérogénérateurs maritimes d'ici 2050.
Il y a 3 ans et 93 jours

Les fabricants d'isolants alertent le gouvernement sur la baisse brutale des ventes liée à la fin des primes CEE

Baisse brutale des ventes d’isolants liée à la fin des primes CEEL’ECIMA tire la sonnette d’alarme face à la baisse brutale des ventes d’isolants : les ventes de capots de protection de spots encastrés, qui reflètent la tendance générale du marché sur tous les types d’isolants en combles, sont en chute de 80% depuis le mois d’octobre par rapport à l’année précédente, tandis que le volume de ouate de cellulose s’effondre de 50% sur la même période. Une chute des ventes directement liée à la baisse des primes CEE initiée mi-2021 pour faire fuir les éco-délinquants.Pour l’ECIMA, les mesures adoptées par le gouvernement pour mettre fin aux primes CEE sont trop brutales et mettent en difficulté la filière, tout comme les ménages français qui peinent à isoler leur logement, à l’heure où les prix de l’énergie sont au plus haut et pénalisent le pouvoir d’achat des consommateurs.« Le risque à court terme est de voir une partie des acteurs de la filière disparaître et, avec eux, le savoir-faire acquis ces dernières années. Le résultat sera indéniablement une chute de la qualité des travaux et donc de la performance des bâtiments rénovés, ce qui est exactement l’inverse de notre objectif commun », avertit M. Emmanuel BAVOUSET.Conserver des CEE attractifs pour les ménages modestesDans l’objectif de soutenir la filière de l’isolation et de préserver le pouvoir d’achat des consommateurs, l’ECIMA sollicite un entretien au Ministère de la Transition écologique et demande la stabilité des dispositifs CEE, avec notamment la mise en place d’un calendrier progressif pour la diminution des aides à l’isolation, ainsi que le maintien de CEE attractifs pour les ménages les plus précaires.Le Président de l’ECIMA réclame par ailleurs que les organisations professionnelles des industriels et des installateurs, qui analysent la réalité des chantiers et veillent à la qualité des travaux d’isolation, soient associés aux discussions concernant les primes CEE.Le courrier de M. Emmanuel BAVOUSET à M. Alexandre DOZIÈRES daté du 8 février a également été adressé à :Cabinet LogementDavid JUIN, Conseiller Rénovation énergétique et ConstructionGuillem CANNEVA, Directeur de cabinet adjointCabinet Transition ÉcologiqueJack AZOULAY, Directeur de cabinetAlexandre CHEVALLIER, Conseiller Énergie et ClimatCabinet Economie, Finances et RelanceCharlotte GOUNOT, Conseillère chargée de la Relance, de la Transition écologique et du Suivi de l’exécution des réformesPremier MinistreStanislas REIZINE, Conseiller technique EnergieCédric LORET, Conseiller technique LogementDirection générale de l’énergie et du climat (DGEC)Olivier DAVID, Chef du service climat et efficacité énergétiqueAnnick Billon, Sénatrice de la Vendée
Il y a 3 ans et 93 jours

Au Havre, K Architectures redynamise un quartier avec le pôle multiculturel Simone Veil

DIAPORAMA. L'agence parisienne a imaginé un grand bâtiment d'équipements sportif et multiculturel dans cette ville portuaire de Normandie. Visite en images...
Il y a 3 ans et 93 jours

Procès du balcon effondré d'Angers : l'architecte se défend

JUSTICE. L'architecte et maître d'oeuvre de l'immeuble où se trouvait le balcon qui s'est effondré en 2016 s'est vivement défendu au tribunal d'Angers. Le prévenu s'est défini comme un "homme de l'art" et a écarté sa responsabilité dans cette affaire.
Il y a 3 ans et 93 jours

Enquête pour favoritisme concernant des projets d'aménagement à l'Haÿ-les-Roses

JUSTICE. Une plainte d'Anticor a déclenché l'ouverture d'une enquête impliquant le maire de l'Haÿ-les-Roses et l'aménageur public Citallios, concernant des lots revendus à des promoteurs à des prix inférieurs à ceux du marché.
Cimbat
Il y a 3 ans et 93 jours

3DS : le cabinet de Jacqueline Gourault s’explique

Des routes aux éoliennes en passant par les opérations de revitalisation du territoire, la loi 3DS appelle de nombreuses demandes d’éclaircissement, après le vote définitif des deux assemblées, les 8 et 9 février. Les retours du terrain encouragent le cabinet de la ministre de la Cohésion des territoires Jacqueline Gourault : « Les maires se l’approprient », se réjouit un de ses membres qui y voit le résultat du travail de co-construction auquel ont participé 2000 élus locaux.
Il y a 3 ans et 93 jours

Comment Marseille cherche à devenir neutre en carbone d'ici 2030

DÉCRYPTAGE. De nombreux acteurs de la cité phocéenne, à l'image de la municipalité, s'engagent à décarboner le territoire. Pour réussir cette transition écologique, ils doivent s'attaquer de front à des thématiques essentielles, telles que la mobilité, la production d'énergies renouvelables ou encore la réhabilitation thermique du parc immobilier. Explications...
Il y a 3 ans et 93 jours

1992 – 2022, le Club de l’Amélioration de l’Habitat fête ses 30 ans

À sa tête Jacques Pestre, Président du Club et Jean-Pascal Chirat, Délégué Général, dévoilent leurs ambitions et leur feuille de route 2022 pour dynamiser la rénovation de l’habitat, massifier la requalification architecturale, et plus largement améliorer la qualité de vie des habitants.   30 ans d’engagements et d’actions pour l’amélioration de l’habitat et le confort de […]
Il y a 3 ans et 93 jours

Passoires thermiques : les HLM demandent le "quoi qu'il en coûte climatique"

LOGEMENT SOCIAL. Au-delà de l'objectif de production neuve, les bailleurs sociaux alertent sur les financements nécessaires à la rénovation énergétique des logements classés E, F et G, qui représentent un million de logements, à rénover dans les 12 ans, pour respecter les délais de la loi Climat et résilience.
Il y a 3 ans et 93 jours

MILWAUKEE® enrichit sa gamme d’outillage à main professionnel avec un nouveau coffret complet de clés et douilles à cliquet 1/4”.

Destiné à tous les petits travaux de serrage et conçu principalement pour les techniciens de la maintenance, du dépannage et de la réparation, cet assortiment est constitué de 38 accessoires ; il est utile dans tous les secteurs – auto, industrie, construction… et convient à tous les métiers – garagistes, chauffagistes, climaticiens, électriciens, plombiers… Avec […]
Il y a 3 ans et 93 jours

Jean-Pierre Farandou prêche pour un acte 2 du pacte ferroviaire

RÉSEAU FERRÉ. Le P-dg de la SNCF a livré, dans une contribution publiée le 10 février 2022, sa vision et son ambition pour le système ferroviaire français, intitulée "le Fer contre le carbone". Il y décline un plan pour doubler la place du train.
Il y a 3 ans et 93 jours

Seine-et-Marne : requalification du parking Lafayette

À Meaux, le projet de requalification du parking Lafayette prévoit un nouvel espace qui accueillera à terme de multiples initiatives.
Il y a 3 ans et 93 jours

Bilan final du programme PROFEEL pour faciliter et fiabiliser la rénovation énergétique des bâtiments existants

Toute une collection d’outils et de ressources est désormais disponible gratuitement pour accompagner les professionnels dans leurs pratiques quotidiennes et à toutes les étapes des projets de rénovation. Artisans, entreprises, acteurs de la maîtrise d’œuvre et maîtres d’ouvrages, trouveront dans cette boîte à outils, des solutions pratiques et innovantes pour favoriser des décisions de rénovation performante et sécuriser la qualité des travaux engagés. Ces ressources sont accessibles via le site programmeprofeel.fr. Un double enjeu : favoriser les travaux et sécuriser l'atteinte des performancesFruit de la réflexion de 16 organisations professionnelles de la filière Bâtiment, le programme PROFEEL s'inscrit dans une dynamique d'accélération des projets de rénovation. Sur l'année 2021, l'Anah a comptabilisé plus de 750 000 logements rénovés, soit le triple de 2020. Les perspectives pour 2022 sont encourageantes, boostées par un nouveau fléchage budgétaire de l'Etat pour MaPrimeRenov' et par le lancement, le 12 janvier dernier, de France Renov', qui devient l'unique service public pour tous les projets de rénovation.Les actions menées dans le cadre du programme PROFEEL répondent ainsi à deux grands enjeux :Favoriser des décisions de rénovation performante et accentuer le volume de travaux de rénovationSécuriser l'atteinte des performances recherchées et améliorer la qualité des travaux engagés9 projets ont été mis en oeuvre entre 2019 et fin 2021 par l'Agence Qualité Construction (AQC) et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), les deux porteurs du programme. Plus d'une centaine de scientifiques, d'experts techniques et de professionnels en activité, ont ainsi été mobilisés durant 3 années.« Cette mobilisation s'est construite autour d'une volonté commune de s'appuyer sur l'innovation, qu'elle soit technique ou numérique, pour outiller et accompagner les professionnels du bâtiment sur le marché de la rénovation énergétique. Elle s'appuie également sur le constat partagé que le renforcement de la confiance entre les maîtres d'ouvrages et les professionnels est une clé importante pour atteindre nos objectifs d'amélioration de l'efficacité énergétique du parc des bâtiments existants. » Nadia Bouyer, Présidente de PROFEELDes outils innovants pour accompagner toutes les étapes de la rénovationPROFEEL, c'est aujourd'hui toute une collection d'outils pratiques, mis gratuitement à disposition des acteurs de la rénovation sur le site du programme : programmeprofeel.fr.Artisans, entreprises du bâtiment, architectes, bureaux d'étude, mais aussi particuliers, bailleurs ou collectivités territoriales… des ressources PROFEEL existent pour accompagner chaque acteur de l'acte de rénover dans ses pratiques professionnelles et ses futurs projets de rénovation. Si certains outils s'adressent à plusieurs métiers, d'autres peuvent concerner un métier très spécifique.Par ailleurs, la collection d'outils PROFEEL rassemble une grande variété de formats : des services web tels que GO-Rénove et Rénover-Densifier, des applications numériques à l'instar de Check'Réno et PAC'Réno, des référentiels techniques, des collections de fiches pratiques, des protocoles de mesure avec leurs kits opérationnels tels que SEREINE, ainsi qu'un ensemble d'outils de sensibilisation et de ressources pédagogiques accessibles en ligne, sous la forme de podcasts, tutoriels vidéo, webinaires thématiques, MOOC, etc…Ces ressources permettent de faciliter et optimiser toutes les étapes d'un projet de rénovation énergétique : aussi bien en amont, pour donner envie de s'engager dans des travaux, qu'au cours des travaux et à l'issue de ceux-ci, pour sécuriser l'atteinte des performances.« Notre enjeu, maintenant, est de faire connaître toute la richesse de ces productions collectives, pour qu'elles soient partagées par le plus grand nombre et qu'elles contribuent efficacement à une massification qualitative de la rénovation. » Nadia Bouyer, Présidente de PROFEEL
Il y a 3 ans et 93 jours

Modénatures de façade sur mesure, sur ITE, pour reconstruction à l’identique

Un bâtiment centenaire strasbourgeois attaqué par la mérule est démoli puis reconstruit en appliquant un système d’isolation par l’extérieur StoTherm Vario et en reproduisant ses anciens ornements de façade grâce aux éléments sur mesure StoDeco.   La grande maison du 5 rue de l’Abbé Lemire, à Strasbourg, a connu une période tourmentée et a bien failli […]
Il y a 3 ans et 93 jours

Lancement du chantier controversé de la tour Triangle, un des projets-phares de Paris

La Tour Triangle, projet pharaonique chiffré à 660 millions d'euros, commence à sortir de terre dans le XVe arrondissement. Des silos de plusieurs mètres de haut y ont fait leur apparition sur le site des travaux.Une fois terminé, ce gratte-ciel de 180 mètres et 42 étages, dont la livraison est prévue au premier semestre 2026, doit devenir le troisième immeuble le plus haut de Paris, derrière les tours Eiffel et Montparnasse."Ça participe de la philosophie de développement du groupe, qui est un opérateur des grandes villes", s'est félicité auprès de l'AFP le président d'URW, Jean-Marie Tritant. "Cette tour fait une couture urbaine entre Issy-les-Moulineaux et Paris, elle participe à l'évolution de la ville de demain".Le projet, lancé en 2008, a été validé en 2015 sous la mandature d'Anne Hidalgo malgré la vive opposition de ses alliés écologistes et d'élus de droite dont Philippe Goujon, le maire (LR) du XVe."Le quartier va être sinistré pendant plusieurs années", s'est-il indigné auprès de l'AFP, dénonçant déjà un "ballet ininterrompu de camions qui vont délivrer du béton, quatre grues géantes..."Le parquet de Paris a ouvert en juin une enquête préliminaire pour "favoritisme" autour de la concession sur laquelle doit être bâtie la tour.Prévue essentiellement pour des bureaux, qui occuperont les trois quarts de ses 91.000 mètres carrés de surface, elle abritera également un hôtel de 130 chambres, une crèche et des commerces, mais est conçue comme "réversible", c'est-à-dire facilement transformable en logements.Redresser la barreSigne de sa fragilité financière, le groupe a réduit à 30% sa participation au chantier en lançant une coentreprise avec l'assureur Axa pour réduire ses coûts.En 2021, la foncière, propriétaire du Forum des Halles à Paris ou du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon, a vu ses résultats s'éroder encore, largement à cause des restrictions anti-Covid en Europe pendant le premier semestre.Son chiffre d'affaires s'est établi à 1,72 milliard d'euros, soit moins qu'en 2020 (-3,7%, -1,6% à périmètre constant), tandis que son résultat net récurrent, indicateur de référence pour les foncières, a rétréci à 1,01 milliard (-4,9%).Mais le groupe a redressé la barre, avec un taux de vacance qui a nettement reculé au second semestre (à 7%, -1,3 point en un an), grâce aux réouvertures permises par la campagne de vaccination."C'est quand même une entreprise qui a subi un énorme +stress test+ en 2020 et 2021. On a fermé à plusieurs reprises les centres commerciaux, l'activité événementielle, et là, on voit une reprise", note Florent Laroche-Joubert, analyste chez Oddo BHF.L'activité événementielle du groupe, qui possède plusieurs parcs d'expositions dont celui de Villepinte (Seine-Saint-Denis), s'est relevée avec 32 millions d'euros de chiffre d'affaires, contre 6 en 2020.Bye bye USA ?Mais le groupe est toujours corseté par une dette de 22,6 milliards d'euros (contre 24,2 milliards fin 2020), produit de l'absorption en 2018 du groupe Westfield et de son large portefeuille aux Etats-Unis, jamais totalement digérée.Il n'engage ainsi plus de nouveaux investissements seul, et a promis de céder pour 4 milliards d'actifs en Europe d'ici à la fin de l'année.Il en est pour l'heure à 2,5 milliards, la dernière cession en date étant une part de 45% dans le centre commercial Carré Sénart, en région parisienne, reprise par les filiales assurances de la Société Générale et BNP Paribas."La deuxième partie de cet effort, c'est la réduction drastique de notre exposition au marché américain", explique à l'AFP Jean-Marie Tritant, qui avait pris la tête d'URW après une fronde d'actionnaires menée par Xavier Niel, premier actionnaire du groupe, et Léon Bressler, l'ancien patron, opposés à l'acquisition de Westfield."On aura engagé dans le courant de l'année 2022 la sortie de tout ou partie des Etats-Unis", a assuré Jean-Marie Tritant lors d'une conférence téléphonique.A la Bourse de Paris, vers 09h40, le titre URW prenait 5,79% à 70,48 euros dans un marché en légère hausse de 0,13%.
Il y a 3 ans et 93 jours

Seine-et-Marne : réalisation de plusieurs canalisations de secours jusqu’en août 2022 dans la commune de Meaux

Des canalisations de secours seront réalisées entre les réseaux du syndicat mixte d’alimentation en eau potable Thérouanne, Marne et Morin (SMAEP TMM) et de la Communauté d’agglomération du Pays de Meaux (CAPM).
Il y a 3 ans et 93 jours

"Il n'y a plus d'obstacle au déploiement à grande échelle des ENR", estime leur syndicat

PRÉSIDENTIELLE 2022. Réaliser la transition énergétique à tous les échelons, tel est l'objectif ambitieux du Syndicat des énergies renouvelables qui publie aujourd'hui ses propositions aux candidats à l'élection présidentielle. Au travers de leur livre blanc, les professionnels suggèrent notamment de mettre en place des outils financiers et administratifs.
GDA
Il y a 3 ans et 93 jours

Pyrénées-Atlantiques : démarrage des travaux de sécurisation de la RN134 à Bélair-Oloron

Le mercredi 5 janvier 2022, les travaux préparatoires pour sécuriser la portion Bélair-Oloron de la RN134 ont débuté.
Il y a 3 ans et 93 jours

Vinci double son bénéfice net en 2021, confiant pour 2022

Vinci a affiché le 3 février sa confiance pour 2022, en annonçant le doublement l'an dernier de son bénéfice net, qui n'a toutefois pas retrouvé son niveau de pré-pandémie.
Il y a 3 ans et 93 jours

Revalorisation exceptionnelle de 10% du barême kilométrique pour les impôts 2021

Conformément à l'annonce du Premier Ministre, le barème kilométrique sera revalorisé de 10 % pour l’imposition des revenus de l’année 2021.
Il y a 3 ans et 93 jours

En 2021, AkzoNobel affiche de bonnes performances

RESULTATS. Le spécialiste de la peinture, AkzoNobel, connu pour ses marques Dulux Valentine et Sikkens, est en forme et annonce un chiffre d'affaires en hausse de 12% sur l'année 2021, notamment grâce à un ajustement des prix face à l'inflation des matières premières.
Il y a 3 ans et 93 jours

L'architecte des réformes Macron fait des propositions pour atteindre le plein emploi

"Après les réformes du code du travail et de l'assurance chômage, c'est par un recentrage des formations sur les besoins en compétences des entreprises que notre pays pourra retrouver le plein emploi", a estimé mercredi devant des journalistes l'ancien directeur de cabinet de Muriel Pénicaud, maître-d'oeuvre de la réforme de la formation de 2018 qui a revu en profondeur l'apprentissage et le compte personnel formation (CPF).A la tête d'un cabinet de conseil, constitué avec d'autres anciens de l'équipe Pénicaud, M. Foucher suggère d'investir dans les compétences 25 milliards d'euros en plus sur 5 ans (soit 0,2% du PIB) et met sur la table des propositions qui n'engagent que lui, et pas le futur candidat Macron, assure-t-il.Afin de "dire la vérité aux jeunes et aux familles", il veut ainsi publier sur Affelnet et Parcoursup les taux d'insertion dans l'emploi de tous les lycées professionnels et CFA. Les sections qui présenteraient deux années de suite un taux d'insertion dans l'emploi inférieur à 50% seraient fermées ou cesseraient d'être financées. Même règle pour les formations des demandeurs d'emploi.Autre proposition qui ne manquerait pas d'être controversée, M. Foucher suggère de "créer un mécanisme incitant à arrêter les études plus tôt pour les reprendre plus tard", fort du constat que "plus de 60% d'une génération se lance dans des études supérieures alors que le marché du travail est constitué à plus de 50% par des emplois de niveau ouvrier et employé".Ce décalage "se résorbe par le déclassement et le chômage: une partie des jeunes diplômés accepte des emplois sous-qualifiés (20% des emplois d'ouvriers et d'employés sont tenus par des bacheliers et des diplômés du supérieur) et une autre partie rejette les emplois peu qualifiés qui restent non pourvus", estime-t-il.Aussi suggère-t-il de doter de 8.000 euros supplémentaires le CPF des jeunes qui arrêtent leurs études au bac pour financer ultérieurement une reconversion.Davantage de jeunes entreraient plus tôt sur le marché du travail, "sans avoir le sentiment d'être enfermés toute leur vie dans des métiers peu attractifs", selon lui.Enfin il propose d'aider les personnes faisant une reconversion vers les métiers de la transition écologique ou stratégiques, qui verraient leur CPF abondé ou bénéficieraient de l'assurance chômage.
Il y a 3 ans et 93 jours

Oise : avancement du projet de préservation de la collégiale Saint-Thomas à Crépy-en-Valois

À Crépy-en-Valois, les travaux de consolidation de la tour-clocher de la collégiale Saint-Thomas débuteront en 2023.
Il y a 3 ans et 93 jours

Bas-Rhin: des parcs de stationnement supplémentaires à la gare d’Entzheim à partir de mars 2022

À partir de mars 2022, 75 à 300 places de parking seront ouvertes gratuitement au pôle d’échange multimodal d’Entzheim.
Il y a 3 ans et 93 jours

Marseille candidate pour être une des 100 villes européennes neutres en carbone

Marseille a déposé, le 9 février, auprès de la commission européenne, sa candidature pour être une des 100 villes européennes neutres en carbone en 2030. Une fois labellisée, elle pourra compter sur l’appui de Bruxelles pour conduire des actions réduisant ses émissions de gaz à effet de serre. Elle saura fin mars si elle retenue.
Il y a 3 ans et 93 jours

L’ÉDITION 2022 DU CATALOGUE FORBO FLOORING VIENT DE PARAÎTRE !

 En 455 pages, le créateur de revêtements de sol souples aussi esthétiques que performants fait une nouvelle fois la démonstration de l’étendue de ses gammes de produits et propose un outil complet, clair et didactique pour orienter les professionnels vers les solutions idoines en fonction des projets d’agencement.  Au rang des nouveautés, en vue de […]
Il y a 3 ans et 93 jours

Une formation e-learning RE2020 pour les agents technico commerciaux BPE du SNBPE

Depuis le 26 janvier, le Syndicat National du Béton Prêt à l’Emploi a développé une formation e-learning à destination des agents technico commerciaux BPE de ses entreprises adhérentes sur la RE2020.
Il y a 3 ans et 93 jours

Les entreprises publiques locales redoublent d’énergie verte

Les entreprises publiques locales accéléreront la transition énergétique. Ce message ressort du premier recensement de leurs activités de production, distribution et rénovation énergétiques : le document illustre un engagement croissant selon Alain Leboeuf, président de la commission Transition énergétique de la Fédération des EPL (FédEPL), qui l’a présenté le 9 février.
Il y a 3 ans et 93 jours

Somfy accompagne ses clients dans le cadre de la RE2020, grâce à ses solutions et en leur proposant un démonstrateur en ligne

Dans le cadre de la nouvelle Réglementation Environnementale 2020 (entrée en vigueur le 1er janvier 2022), les bureaux d’études ont un rôle clé pour déterminer la conformité d’une construction neuve, en partenariat avec les promoteurs, constructeurs, architectes et installateurs, ainsi que les industriels du bâtiment. Pour les accompagner dans l’optimisation de la performance globale des […]
Il y a 3 ans et 93 jours

Valobat accueille au sein de ses associés l’Union des Industriels et Constructeurs Bois : vers toujours plus de représentativité des matériaux

L’entrée prochaine de l’UICB* au capital de Valobat** illustre la promesse et l’ambition du futur éco-organisme : être représentatif de la pluralité des Produits et des Matériaux de Construction du Bâtiment, en prenant en compte les enjeux spécifiques des déchets qui en sont issus. Alors qu’il prend une place de plus en plus importante sur […]
Il y a 3 ans et 93 jours

REP POUR LES PRODUITS ET MATERIAUX DE CONSTRUCTION

Ecominéro : l’éco-organisme de la filière minérale compte déjà plus de 500 futurs adhérents Ecominéro a lancé sa campagne de pré-adhésion à l’automne dernier. L’éco-organisme de la filière minérale, présidée par Michel André, directeur général CEMEX Matériaux Europe de l’Ouest, se félicite de la confiance accordée par plus de 500 sociétés du secteur, qui le […]
Il y a 3 ans et 93 jours

Tryba poursuit ses objectifs de croissance pour 2022 et dévoile les résultats prometteurs de 2021

Ces résultats encourageants en 2021 vont permettre à Tryba, qui a déjà convaincu les porteurs de projet par son concept pérenne et rentable depuis 42 ans, de poursuivre son développement sur tout le territoire.Le réseau dispose cependant encore d’une trentaine de secteurs disponibles en France, autant dans des grandes villes que dans des villes de taille moyenne. Forte de son expertise dans l’accompagnement de ses concessionnaires, la marque intègre aujourd’hui 80 % d’entrepreneurs qui ne sont pas issus du secteur de la menuiserie, affichant, au bout de 3 ans, une rentabilité de 8 à 10 %. Des objectifs atteints pour 2021Avec 15 ouvertures en 2021, Tryba enregistre de bonnes performances, et ce, malgré la crise sanitaire. Ce bilan met en lumière la dynamique du réseau et la confiance des Français envers la marque alsacienne.Répartis sur toute la France, les nouveaux points de vente Tryba sont venus étendre en 2021 le maillage territorial de la marque en offrant plus de proximité à ses clients grâce à l’ouverture de 7 Espaces-Conseil (zone de chalandise de 150 000 à 200 000 habitants), 7 magasins secondaires et 1 Carré Tryba. Tous ces magasins servent à renforcer la présence d’un concessionnaire sur le secteur géographique exclusif qui lui est concédé.Dorénavant, il est possible de découvrir l’enseigne dans les villes suivantes : Espace conseil : Saint Maur des Fossés (94) Lons le Saunier (39) Seclin (59) Dunkerque (59) Lille (59) Saint-Berthevin (53) Maromme (76) Magasin secondaire : Sézanne (77) Monistrol (43) Crest (26) Propriano (20) Saint-Girons (09) Les Sables d'Olonne (85) Carré Tryba : Mayenne (53)En parallèle des ouvertures de concessions, le modèle de franchise participative, dénommé « Carré Tryba » instauré en 2013 (zone de chalandise de 70 000 habitants), continue de se développer avec une ouverture à Mayenne (53) en 2021. Ainsi, depuis 2013, Tryba a développé 19 Carrés, dont 11 sont devenus concessionnaires en 3 ans.Quant aux reprises de fonds de commerce, elles sont régulières puisque la marque âgée de plus 40 ans dénombre des concessionnaires qui ont rejoint le réseau depuis de longues années et qui veulent notamment partir à la retraite après une belle carrière aux côtés de l’enseigne. Tryba leur trouve alors un successeur. Ainsi, en 2021, 4 rachats de concessions ont eu lieu dans le réseau.Une dynamique qui se poursuit en 2022Alors que les Français viennent de passer plusieurs mois chez eux, le marché de l’amélioration de l’habitat bénéficie aujourd’hui de l’effet confinement. En effet, une étude de l’institut CSA pour HomeServe révèle que 94% des Français se voient investir autant (73%), voire plus (21%) dans les postes de dépenses liés à la maison (aménagement, entretien, travaux), au détriment d’autres postes (loisirs, sorties, etc.)[1]. De fait, les 15 points de vente Tryba ouverts en 2021 connaissent un bon lancement.Tryba va également étendre son réseau au 1er semestre 2022, avec 14 magasins en cours d’ouverture dans les secteurs géographiques suivants :Espace-Conseil :Faulquemont (54)Chaumont (54)Châtellerault (86)Saint Marcel Les Valences (26)Alès (30)Sotteville-les-Rouen (76)Beaune (21)Les Lilas (93)Angoulême (16)Abbeville (80)Magasin secondaire :Langon (33)Gaillan en Médoc (33)Veigné (37)Pontcharra (38)Grâce à son réseau mature, Tryba compte actuellement le plus grand nombre de points de vente de menuiseries en France. Si elle confirme sa position de leader sur le marché de la rénovation des fenêtres, portes d’entrée, volets, portes de garage et accessoires, la marque garde le cap des objectifs d’implantations dans les régions suivantes, où des secteurs sont encore disponibles :Hauts-de-France : Béthune (62) et Lens (62)Normandie : Le Havre (76), Yvetot (76), Dieppe (76), Saint-Lô (50), Coutances (50) et Bayeux (14)Bretagne : Brest (29), Montfort-sur-Meu (35) et Redon (35)Pays de la Loire : Pornic (44) et Les Herbiers (85)Centre : Loches (37)Nouvelle-Aquitaine : Niort (79), Bressuire (79), Cognac (16), Villeneuve-sur-Lot (47), Agen (47) et Mont-de-Marsan (40)Grand Est : Charleville-Mézières (08), Bar-le-Duc (55) et Epinal (88)Auvergne - Rhône-Alpes : Montluçon (03), Moulins (03) Roanne (42) et Aurillac (15)Bourgogne – Franche-Comté : Auxerre (89), Nevers (58), Fontaine-les-Dijon (21), et Avallon (89)Corse : Bastia et AjaccioTryba offre également de nombreuses opportunités de reprises sur tout l’hexagone, aux entrepreneurs qui préfèreraient racheter une concession existante, avec un chiffre d’affaires établi et une équipe déjà en place.Une formation initiale et un accompagnement solideTryba a à cœur de transmettre son savoir-faire unique aux porteurs de projet, d’autant plus que 80 % de ces derniers ne sont pas issus du secteur de la menuiserie. Pour y parvenir, le franchiseur Tryba dispense auprès des nouveaux concessionnaires une formation initiale gratuite de trois semaines, indispensable pour maitriser tous les domaines : produits, commerce, technique, logiciels informatique.La marque aide et accompagne étape par étape ses nouveaux entrepreneurs, tout au long du processus de création ou de reprise d’une concession, au travers de différentes actions :La présentation des secteurs disponibles en création et/ou des concessions à racheter.La découverte précise du métier avec un stage « vis ma vie » sur le terrain, en concession-pilote.La recherche et la négociation de locaux adaptés.La recherche de financement.La création de la société.La formation du concessionnaire à son nouveau métier.Après ce processus d'environ 9 mois pour mener à bien leur projet personnalisé, les nouveaux concessionnaires prennent la tête d'une structure à taille humaine, avec une équipe polyvalente de 6 à 8 personnes (assistant, commerciaux et techniciens-poseurs), positionnée comme référence sur un secteur géographique exclusif étendu.En parallèle, de nombreux outils permettent également aux concessionnaires de se former en continu : formations « produits » et pose chaque année, tutoriels ou encore programmes e-learning. Par ailleurs, ils bénéficient pendant 6 mois, d’un accompagnement soutenu par 3 formateurs techniques de la cellule ouverture . Véritable lien entre les franchiseurs Tryba et leur réseau, 9 animateurs-réseau sont répartis par grandes régions.
Il y a 3 ans et 93 jours

Les propositions de la Filière Béton aux candidats à la présidentielle

La Filière Béton se mobilise pour proposer des solutions sociétales et politiques auprès des candidats aux élections présidentielles 2022. La Filière Béton se mobilise pour la construction décarbonée. Dans le cadre de l’élection présidentielle 2022, elle souhaite faire connaître des solutions sociétales et politiques auprès des candidats. Plus particulièrement, elle évoquera des solutions de dynamisation de l’activité dans les territoires. Favorable à la RE 2020, la filière s’est engagée dans la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, suivant la même trajectoire que la Stratégie nationale Bas Carbone. Notamment au niveau de l’industrie du ciment qui a diminué de 39 % son impact carbone entre 1990 et 2018. De nombreux investissements sont en cours pour permettre à la profession d’atteindre – 80 % d’ici 2050. Ainsi, les propositions de la Filière Béton, pour les candidats à la présidentielle, s’articulent autour de plusieurs axes. La ville de demain en ligne de mire Tout d’abord, la Filière Béton s’est focalisée sur le logement. Cela, dans l’optique de construire plus, mieux et à coût maîtrisé. Parmi ses recommandations, elle demande aux pouvoirs publics d’investir au-delà des 650 M€ prévus pour le recyclage des friches, afin de faciliter la construction d’habitations. En parallèle, la Filière souhaite engager une réflexion collective autour de la sécurité pour élaborer de nouveaux outils permettant de simuler de façon optimale la prévention des incendies. Elle insiste aussi sur la nécessaire tenue d’un sommet pour la relance de la construction. Lire aussi : Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste Ensuite, la Filière a voulu mettre l’accent sur la question de l’urbanisme. En effet, la ville de demain devra faire face à différentes problématiques comme la limitation de l’étalement urbain, les catastrophes naturelles. Ou encore, la hausse démographique et le besoin d’un retour à la nature dans les villes. La Filière Béton incite pour privilégier les solutions béton qui permettent de concevoir de manière durable et résiliente. Et ainsi, favoriser le confort des citoyens, tout en évitant la création d’îlots de chaleur. Les axes stratégiques de la Filière Béton Le troisième axe centré sur l’économie circulaire ouvre la discussion sur la dynamisation du territoire, ou encore l’approvisionnement durable et le maillage des sites de production et d’extraction de matières premières. Pour la Filière Béton, la commande publique, la valorisation du caractère local des produits et des emplois ou l’économie de la fonctionnalité sont autant de leviers à actionner. L’objectif est de limiter l’empreinte carbone des constructions de leur début à leur fin de vie. Lire aussi : Cerema : Un label pour accompagner l’économie circulaire Favoriser l’économie circulaire nécessite aussi la rénovation et le développement de nombreux axes de circulation. Cela, afin de garantir la croissance économique, commerciale et la sécurité. Dans son quatrième axe, consacré aux réseaux, la Filière demande la création de galeries multi-réseaux, d’intégrer des réseaux en sous-sols, de développer de nouvelles mobilités. Mais aussi, de rénover les ponts/infrastructures et de favoriser les axes ferroviaires et maritimes. Enfin, la gestion de l’eau constitue le dernier axe. L’urbanisation croissante a réduit l’infiltration naturelle et a augmenté le ruissellement. C’est pourquoi, pour protéger les zones urbanisées, approvisionner et retraiter l’eau destinée aux citoyens, la Filière rappelle la pertinence technique de ses solutions.
Il y a 3 ans et 93 jours

Le pavillon France à l'Expo Dubaï 2020 : tuiles photovoltaïques et leds

Face à l’urgence climatique, aux exigences sociales, sanitaires, et à quelques semaines désormais de l'élection présidentielle de 2022, le Pavillon de l’Arsenal à Paris, accueille lundi 14 février 2022 un colloque organisé par le quotidien L’Humanité, intitulé «Le logement en pleine […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 93 jours

Bâtiment et industrie: les chefs d'entreprise anticipent des difficultés persistantes d'approvisionnement

Au mois de janvier, 55% des entreprises industrielles et 52% des entreprises du bâtiment faisaient état de difficultés d'approvisionnement, selon l'enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France.
Il y a 3 ans et 93 jours

Top départ pour le chantier du premier immeuble d'habitation bois R+6, en Bretagne

Le premier immeuble d'habitation bois de 6 étages Dans le cadre de la dernière tranche opérationnelle de la ZAC Beauregard-Quincé, l'aménageur Territoires a lancé une consultation en 2018 pour la réalisation de logements en accession libre intégrant une démarche de développement de la filière locale de construction bois. L'appel à manifestation d'intérêt (AMI) « Construction Bois pour Tous » initié par Rennes Métropole, avec Fibois Bretagne (la filière bois en Bretagne), a retenu ATARAXIA Promotion pour le plus ambitieux des 11 programmes immobiliers. Premier immeuble d'habitation de cette hauteur en Bretagne, il se compose de 111 logements en accession à la propriété, 72 en collectif (R+6, soit 25m de haut) et 39 maisons individuelles. Tout en construction à ossature bois (poteaux, poutres, planchers, refends, façades) ils sont répartis sur trois îlots fonciers distincts, qui feront l'objet de trois copropriétés.Un engagement précurseur pour la construction bois en BretagneConscient que la construction est un élément qui pèse dans l'activité carbonée, la volonté d'ATARAXIA Promotion est d'être le plus éco responsable possible dans son rôle de promoteur et acteur de la ville. Avec la construction bois, de plus en plus plébiscitée par les citoyens et encouragée par Rennes Métropole, il s'agit de démontrer qu'une nouvelle voie est possible. Le projet impose de penser « bas carbone » et d'apporter des solutions pertinentes pour produire les logements de demain, à coûts maîtrisés. Avec Île Ô Bois, ATARAXIA Promotion souhaite ouvrir la voie au développement de la construction bois en Bretagne en se donnant les moyens d'être au rendez-vous de cette expérimentation. « Ce projet pionnier s'inscrit dans une vision urbaine ambitieuse et responsable de la Ville de Rennes, souligne Philippe Clément, chef de projet chez Territoires. Ce type de construction demande un engagement et un investissement humain, financier très fort. Tout est encore à construire avec la filière bois. L'idée est d'avancer collectivement dans une démarche de pédagogie et de reproductibilité. »L'écosystème, un réseau d'experts performantPour relever ce challenge, ATARAXIA Promotion s'est entourée de partenaires expérimentés dans la construction bois : architectes, constructeur, bureaux d'études spécialisés (bois, acoustique, environnement) et paysagiste, accompagnée par Fibois Bretagne, cette équipe pluridisciplinaire a consacré plus de 3 ans à la conception du projet dans une approche ouverte et transparente. Malgré les aléas et les contraintes dus au contexte sanitaire, l'ensemble des équipes a gardé le cap ! Une opération qui permet à ATARAXIA Promotion d'acquérir une grande connaissance sur ce type de construction, de plus en plus demandé par les collectivités, et d'avoir un temps d'avance pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux.« Nous cherchons à être audacieux et responsables, dans une démarche environnementale que l'on se doit d'adopter, explique Dominique Feuvrier, directeur agence Bretagne ATARAXIA Promotion. Notre société évolue très vite : alimentation, mobilités, qualité de l'habitat sont des enjeux majeurs… Il était important d'être pionnier en s'entourant de partenaires, qui comme nous s'engagent, dans une voie nouvelle avec des savoir-faire et des compétences complémentaires. »Un projet bas carbone qui répond aux enjeux de santé environnementaleÎle Ô Bois a été conçu comme un projet résolument bas carbone. En réponse aux problématiques climatiques, environnementales et de santé, et aux nouvelles normes réglementaires telles que la RE 2020 qui s'impose depuis janvier, ATARAXIA Promotion a mis au coeur de ses priorités les enjeux de transition énergétique et de qualité sanitaire, en faisant la part belle aux matériaux biosourcés. « C'est pour ATARAXIA Promotion une opportunité d'innover sur les modes de vie, sur l'habitat et sur les procédés constructifs pour diminuer l'impact environnemental de la construction » souligne Dominique Feuvrier.Le bois et tous les matériaux biosourcés répondent aux attentes d'un habitat sain : ils régulent naturellement la température et l'humidité intérieures des bâtiments, permettant ainsi de conserver une atmosphère saine, sans développement de moisissures, de bactéries ou de virus.Le bois, matériau-roiPour Île Ô Bois, l'ossature et la structure primaire de l'ensemble des constructions sont intégralement en bois. Matériau isolant, il émet peu de carbone pour sa transformation contrairement au béton et à l'acier. Le bois stocke le carbone absorbé durant la croissance de l'arbre : 1 m3 de bois séquestre 1 tonne équivalent CO2 alors que la fabrication de 1m3 de béton en émet 471 kg ! « Pour Île Ô Bois, on a utilisé le bois lamellé croisé (CLT) qui offre de nombreux avantages comme sa flexibilité, sa légèreté et son aspect naturel très esthétique. Il permet également une rapidité incomparable d'exécution en matière d'assemblage et de construction qui réduit le temps de chantier. Les panneaux sont découpés et préassemblés directement chez le constructeur, Belliard. C'est un chantier sec, plus propre, moins bruyant. » précisent les architectes Christine Tanguy et Patrick Liard, du cabinet Liard et Tanguy à Rennes.
Il y a 3 ans et 94 jours

Les EPI : histoire d’innovation

Les employeurs ont une obligation de fournir des EPI à leurs salariés, pour prévenir des accidents. [©Uvex] En 2020, nous avons expérimenté, pour la première fois de notre vie, un confinement général, en raison de la pandémie du Covid. Un souvenir pas très agréable. Cependant, un point positif s’en est démarqué : avec l’arrêt du travail pour de nombreux secteurs d’activité, le nombre d’accidents du travail a diminué de 17,7 % par rapport à 2019, avec moins de 540 000 accidents. Dans le secteur du BTP, qui a été le moins longtemps touché par cet arrêt, la diminution est de 12,8 %*. En règle générale, le BTP est l’une des activités les plus touchés par des accidents. C’est pour diminuer les risques que le Code du travail impose aux employeurs de fournir des équipements de protection individuelle aux salariés. Rappelons ce qu’est un EPI : c’est un dispositif ou un moyen destiné à être porté ou être tenu par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa santé, ainsi que sa sécurité. Depuis 1991, les EPI font partie du quotidien des salariés. Rendus  obligatoires, ils ont mis un certain temps pour s’imposer réellement. Toujours plus de nouveautés… Avec l’évolution des réglementations, des technologies et des demandes, les EPI font l’objet de nombreuses innovations. [©Cepovett] Avec l’évolution des réglementations et des technologies, les EPI font l’objet de nombreuses innovations. Notamment, avec l’usage de nouveaux matériaux plus légers et plus résistants. Certains vêtements sont renforcés, ce qui permet de mieux absorber les chocs. Pour certains utilisateurs, le port d’un EPI peut représenter une gêne dans leur travail quotidien : trop lourd, trop chaud, contraignant…. Ainsi, nombre d’équipements sont réalisés avec de nouveaux matériaux qui améliorent leur confort. Par exemple, les casques, gants et chaussures de sécurité sont fabriqués à partir de “matériaux respirants”. De même, les coutures des chaussures ou des casques sont étudiées de manière à éviter les frottements. Bien que les EPI préviennent des risques, parfois un accident est si vite arrivé qu’il ne peut être évité. Pour cela, les marques peuvent proposer des équipements connectés, qui permettent de prévenir les secours en cas d’incident grave.   Grâce à de constantes innovations, les EPI sont toujours plus performants, confortables et esthétiques. Il faut noter, notamment, l’arrivée de produits pour femmes, adaptés à leur morphologie. Par ailleurs, avec le port obligatoire du masque et les nouvelles obligations dû au Covid, les marques répondent aux nouvelles attentes des usagers Aujourd’hui, les géants du secteur rivalisent d’ingéniosité et de créativité pour proposer des EPI plus innovants que jamais, mais en n’oubliant pas le plus important : la sécurité des usagers. *Source : Assurance Maladie. Retrouvez nos articles déjà publiés sur le sujet : Des lunettes de protection anti-buée pour une super vision Des EPI dédiés aux femmes Parade : La chaussure de sécurité Connect Milwaukee dévoile 4 nouveautés Spécialiste des EPI, Uvex dévoile sa nouvelle technologie Supravision, qui garantit une performance anti-buée maximale. Enfin une gamme d’EPI dédiés entièrement aux femmes. C’est une petite révolution dans le secteur du BTP. Mais ça change, preuve en est… La gamme Parade Connect propose 8 modèles de chaussures de sécurité connectées. Une première sur le marché français. Milwaukee est un acteur incontournable du secteur des EPI. Avec une gamme composée de 145 articles, la marque vient de dévoiler 4 nouveaux équipements pour protéger les professionnels de la construction.
Il y a 3 ans et 94 jours

Le calendrier d'allègement des mesures sanitaires pour les professionnels

Depuis que le pass vaccinal a été mis en place le 24 janvier 2022, le pays va vers un allègement des mesures sanitaires. Voici le calendrier présenté par le premier ministre le 20 janvier.
Il y a 3 ans et 94 jours

Résultats record pour Legrand après la pandémie

Le fabricant de matériels électriques a engrangé 904 M€ de bénéfice net, en progression de 8,3% par rapport à 2019, pour un chiffre d'affaires de plus de 6,99 Mds (en hausse de 5,6% par rapport à 2019).
Il y a 3 ans et 94 jours

Feu vert du Sénat à la prolongation de la Compagnie nationale du Rhône (CNR)

La proposition de loi portée par Patrick Mignola (MoDem), soutenue par le gouvernement, a déjà été validée à l'unanimité en première lecture par l'Assemblée nationale. Députés et sénateurs vont maintenant tenter de s'accorder sur un texte commun en vue d'une adoption définitive avant la fin du mois.Créée en 1933, la CNR s'est vu confier la concession du Rhône l'année suivante avec trois missions: la production d'hydroélectricité, la navigation fluviale et l'irrigation agricole.La concession de la CNR (1.400 salariés environ) arrive à échéance au 31 décembre 2023. Elle représente 27.000 hectares, répartis sur 3 régions et 11 départements. Elle inclut notamment 19 ouvrages hydroélectriques, 14 écluses à grand gabarit et 22 sites industriels et portuaires."Cette concession centenaire est devenue un formidable outil de transition écologique", a vanté la ministre chargée du Logement Emmanuelle Wargon. "Aujourd'hui c'est le premier producteur en France d'énergie exclusivement renouvelable, et ce avec un mix varié qui tire partie de l'énergie de l'eau, bien sûr, mais aussi du vent et du soleil".Le rapporteur centriste Patrick Chauvet a salué "un opérateur exemplaire pour la conciliation des activités économiques avec les enjeux environnementaux, l'implication des collectivités publiques aux côtés d'entreprises privées, et la complémentarité des missions énergétiques avec celles agricoles ou fluviales". La CNR "produit 25% de notre hydroélectricité", a-t-il souligné.Le Sénat a adopté une série d'amendements "qui ne modifient pas substantiellement l'équilibre général de la proposition de loi", selon le rapporteur.Sur le volet transition énergétique, les sénateurs suggèrent de favoriser "l'hydrogène renouvelable et bas-carbone" et "le photovoltaïque innovant".Ils ont également veillé à "mieux associer les collectivités territoriales" et "soutenir les professionnels agricoles"."Nous aurions aimé renforcer un peu plus la mission de préservation de la biodiversité", a déclaré l'écologiste Thomas Dossus.Une concertation s'est engagée dès 2016 entre l'Etat et la Commission européenne pour s'assurer qu'une prolongation de cette concession ne contreviendrait pas au régime des aides d'État, ou à celui des commandes publiques.