Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255317 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 99 jours

Bekaert : Retour d’expérience du lot 16-1

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Eiffage Génie Civil était le mandataire du lot 16-1 du Grand Paris Express. [©Bekaert] Début 2020, en France, les voussoirs en béton renforcé de fibres métalliques ont vocation à être mis en place en phases provisoires (rôle sacrificiel) ou dans le cadre d’expérimentation. Ainsi, à cette époque et six mois après l’attribution du lot 16-1, la Société du Grand Paris demande à Eiffage Génie Civil, mandataire des travaux, s’il serait prêt à réaliser une étude de faisabilité pour la réalisation de voussoirs exclusivement renforcés en fibres métalliques. Ceci, dans le cadre d’une variante économique, sachant que le CCTP de ce lot prévoyait un renfort traditionnel des voussoirs (cages métalliques sans mise en place de fibres). C’est ainsi qu’Eiffage Génie Civil s’engage dans une phase colossale de tests, sur 18 mois. Afin de vérifier l’adéquation avec la matrice béton, des fibres de différents producteurs font l’objet d’essais, dont les Dramix 3D et Dramix 4D de Bekaert. A l’issue de cette première phase de caractérisation et de consultation, ces dernières sont déclarées les plus performantes pour les formulations présentées… Essais au feu réalisés au Cérib Les essais au feu des voussoirs ont été opérés par le Cérib. [©Bekaert] Les voussoirs sont fabriqués dans l’usine Bonna Sabla (groupe Consolis) à Conflans-Sainte-Honorine (78) pour permettre la poursuite de la campagne expérimentale. A commencer par les essais à l’échelle 1 : l’université de Tor Vergata de Rome et le professeur Alberto Meda sont désignés comme conseils d’Eiffage Génie Civil. Puis, des essais sur chant pour vérifier la tenue des voussoirs fibrés à la poussée des vérins hydrauliques. Et de flexion, pour valider la résistance à la rupture. A ce niveau, un dosage de 40 kg/m3 de fibres métalliques est finalement retenu. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 99 jours

Apt : le nouveau centre d’entretien et d’exploitation des routes doit ouvrir en février 2023

Un nouveau centre routier doit être construit à Apt pour pallier le problème d’accessibilité du site actuel.
Il y a 3 ans et 99 jours

Dernière cette façade se cache une remarquable maison américaine en pisé datant de 200 ans

Cette maison en adobe située à La Mesa, dans l’Etat du Nouveau-Mexique aux USA a été construite par la communauté à la fin des années 1800. Elle a été récemment rénovée et restaurée pour devenir la magnifique propriété de vacances qu’elle est aujourd’hui. La maison se trouve à côté d’un verger de pacaniers vieux de […]
Il y a 3 ans et 99 jours

Une cartographie visuelle de Tadao Ando - Livre

Objet photographique, architectural et littéraire, cet ouvrage tient à la fois du récit et de l'inventaire des œuvres de Tadao Ando, au Japon, ailleurs en Asie, mais aussi aux Etats-Unis et en Europe. Neuf années de pérégrinations auront été nécessaires à Philippe Séclier pour décrypter les […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 99 jours

« La capacité d'analyse du privé peut déboucher sur des solutions plus riches », Frédéric Lafage

Ingénierie - Face à l'ingénierie publique locale que l'Etat veut privilégier en milieu rural, le président du Cinov se dit inquiet et met en avant les atouts du privé. Frédéric Lafage, président de la Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du conseil, de l’ingénierie et du numérique (Cinov).
Il y a 3 ans et 99 jours

Vinci Autoroutes accélère sur le BIM

Numérique -
Cimbat
Il y a 3 ans et 99 jours

L'OPPBTP dessine son plan pour 2025

Prévention -
Il y a 3 ans et 99 jours

Knauf a la fibre de l'isolation biosourcée

Industrie -
Il y a 3 ans et 99 jours

Colmar met à son tour un frein aux meublés de tourisme

"On ne peut pas continuer comme ça, on ne peut pas accepter qu'on transforme tous les logements en +Airbnb+, il faut que le centre-ville reste vivant, sinon on va se transformer en hôtel géant, et sans respecter les règles de l'hôtellerie", a expliqué à l'AFP le maire de Colmar, Eric Straumann."Il faut vraiment aujourd'hui mettre un coup d'arrêt à un phénomène qui déstabilise démographiquement notre centre-ville", a déclaré par la suite le maire LR, lors d'une réunion du conseil municipal qui a adopté le texte à l'unanimité.Selon la municipalité, Colmar, ville moyenne de 70.000 habitants, comptait fin 2020 1.200 meublés de tourisme après des augmentations annuelles de 30%, alors qu'à l'inverse, le nombre d'enfants scolarisés et d'habitants a diminué.Pour contrer ce "mouvement d'investisseurs qui se ruent sur Colmar pour acheter des immeubles et les transformer en meublés de tourisme", selon les mots d'Eric Straumann, la nouvelle réglementation, proche de celle déjà adoptée à Strasbourg notamment, oblige à créer "un logement de droit commun" pour chaque transformation d'une résidence secondaire en meublé de tourisme (avec exception pour le premier logement transformé par un particulier).Pour les résidences principales, la réglementation française limite la location temporaire à 120 jours par an.Avec des amendes pouvant atteindre jusqu'à 50.000 euros, le règlement, entrant en vigueur dès mardi, impose aussi que le nombre de logements affectés à l'accueil touristique ne dépasse pas 15% d'un immeuble.Célèbre pour ses maisons à colombage colorées typiquement alsaciennes, Colmar attire chaque année environ neuf millions de touristes.
Il y a 3 ans et 99 jours

L'apprentissage atteint un nouveau record en 2021 avec plus de 700.000 contrats

Dans le secteur privé, 698.000 contrats ont été enregistrés contre 510.300 en 2020 et 354.000 en 2019, soit un quasi-doublement en deux ans malgré la crise sanitaire du Covid-19.Accessible aux jeunes de 16 à 29 ans, l'apprentissage repose sur l'alternance entre enseignement théorique et formation au métier chez l'employeur avec lequel l'apprenti a signé son contrat.Alors que la France a été longtemps très en retard par rapport à des pays comme l'Allemagne ou la Suisse, "on a une vraie révolution culturelle avec un développement de l'apprentissage à tous les niveaux de diplômes", s'est félicitée Mme Borne auprès de l'AFP.Comme les années précédentes, cette hausse reste portée par l'enseignement supérieur, qui représente 62% des contrats d'apprentissage et où cette voie est financièrement avantageuse par rapport aux études classiques. Mais la progression dans le supérieur "ne se fait pas au détriment des niveaux bac et infra bac", là où son effet sur l'insertion dans l'emploi est le plus fort, souligne Mme Borne. Ces niveaux enregistrent 21% de hausse cette année contre 13% l'année dernière.Selon les derniers chiffres datant de 2020, six jeunes sur dix sont en emploi six mois après la fin de leur apprentissage. "C'est une voie privilégiée pour se former en étant rémunéré avec à la clé très souvent un job", résume Mme Borne.La part des entreprises de moins de 50 salariés reste prépondérante. Alors qu'elles ne représentent que 19% de l'emploi, elles comptent 66% des contrats d'apprentissage.Plus de 70% des apprentis sont dans les services (commerce, gestion, banque, communication, restauration, coiffure...), 15% dans l'industrie et 11% dans la construction.Pour Mme Borne, l'apprentissage peut encore progresser fortement dans les années qui viennent, notamment dans l'industrie et le BTP "dont les métiers sont encore mal connus avec une image datée de l'usine". Des améliorations restent possibles en matière d'orientation scolaire, même si les offres d'apprentissage ont gagné en visibilité sur les logiciels d'affectation Affelnet et Parcoursup.La hausse record des contrats depuis deux ans s'explique notamment par la réforme de 2018, qui a libéralisé l'apprentissage à la fois en termes de conditions d'entrée et d'offre de formation.Près de 1.500 centres de formation des apprentis (CFA) ont été ainsi créés depuis, sans remettre en cause la viabilité des 1.200 existant comme certains le craignaient.Déséquilibre financierLe fort rebond de l'économie en 2021 a aussi poussé les entreprises, confrontées à des difficultés de recrutement, à se tourner vers l'apprentissage.Ceci d'autant plus que les aides exceptionnelles décidées pendant la crise ont été prolongées jusqu'au 30 juin 2022. Cette prime - 5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur - rend le coût de la première année quasi nul pour l'employeur.Revers du succès, le système n'est pas équilibré financièrement.Le prochain exécutif devra d'abord se prononcer sur une éventuelle prolongation au-delà de juin de ces aides versées aux entreprises qui ont reçu près de 4 milliards d'euros.En outre, dès lors qu'un jeune et une entreprise signent un contrat d'apprentissage, le CFA est assuré d'avoir le financement de la formation, via un niveau de prise en charge (5.000 euros pour un CAP maçon par exemple) proposé par les branches professionnelles et validé par l'agence de régulation, France Compétences.Victime de ce succès, France Compétences, qui redistribue l'argent collecté auprès des entreprises et dont les recettes ont été diminuées pendant la crise, a ainsi dû recevoir une subvention de 2,7 milliards d'euros en 2021 et a prévu un déficit de 3,7 milliards dans son budget 2022."Le prochain gouvernement devra réfléchir au modèle de financement de l'apprentissage mais il ne faut absolument pas casser la dynamique. C'est un investissement qui en vaut la peine", conclut Mme Borne.
Il y a 3 ans et 100 jours

Nature, logements... le contre-projet du "mur urbain" d'Austerlitz promet d'être "raisonné"

GRAND PROJET. L'ensemble immobilier qui doit se construire le long de la gare parisienne échauffe les esprits des riverains, commerçants et écologistes. Un collectif propose un bâtiment davantage respectueux de l'environnement et du bâti avoisinant.
Il y a 3 ans et 100 jours

Comment rénover à l'échelle d'un quartier ? Des experts donnent des pistes

RÉFLEXION. Des grands acteurs du secteur du bâtiment se sont réunis pour discuter des façons de pousser les professionnels à penser la rénovation à l'échelle du quartier. Parmi les idées émises, celles d'intégrer les habitants aux projets, d'aider les maires des collectivités et d'embaucher pour pallier la pénurie de main d'oeuvre ont fait mouche.
Il y a 3 ans et 100 jours

Nucléaire et gaz feront bien partie de la taxonomie européenne, mais sous conditions

NEUTRALITÉ CARBONE. La Commission européenne vient de présenter un texte "complémentaire" relatif aux objectifs climatiques du Vieux Continent, qui confirme que les activités nucléaires et gazières seront bien comprises dans la future taxonomie communautaire. Elles pourront donc, à ce titre, être considérées comme respectueuses de l'environnement et bénéficier d'investissements. Mais les deux énergies restent strictement encadrées.
Il y a 3 ans et 100 jours

Jean-Luc Mélenchon se prononce pour le blocage des loyers dans certaines zones

PRÉSIDENTIELLE 2022. Loyers, transactions, construction : le candidat de la France insoumise a avancé plusieurs points de son programme devant la Fondation Abbé Pierre, le 2 février.
Il y a 3 ans et 100 jours

Renson Linarte, une façade exclusive pour chaque style

Avec le revêtement vertical de façade en aluminium de style Linarte, vous avez la possibilité de donner à votre maison… Cet article Renson Linarte, une façade exclusive pour chaque style est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 100 jours

Les Canalisateurs lancent un concours vidéo pour valoriser l'innovation dans ses métiers

RÉSEAUX. Le syndicat de spécialités Les Canalisateurs ouvre la 2e édition d'un concours destiné aux salariés de ses entreprises et aux jeunes dans les CFA ou lycées professionnels.
GDA
Il y a 3 ans et 100 jours

Approvisionnement des matériaux et Notre-Dame de Paris : le général Georgelin vigilant mais pas inquiet

Auditionné le 2 février par la mission d'information sur la conservation et la restauration de la cathédrale, l’ancien Chef d’état-major des armées, chargé de diriger le chantier, se veut rassurant quant à l’atteinte des objectifs pour 2024.
Il y a 3 ans et 100 jours

Microentreprise, pénuries, fraudes : les messages de la FFB pour la présidentielle

ENTRETIEN. Les demandes de la Fédération française du bâtiment (FFB) sont nombreuses, à quelques semaines de l'élection présidentielle. L'organisation s'active pour infuser ses messages auprès des candidats. Explications avec Olivier Salleron, son président.
Il y a 3 ans et 100 jours

Valobat se renforce dans le secteur des déchets inertes

L’éco-organisme Valobat accueille son nouveau partenaire : Cigo. [©Valobat] L’éco-organisme Valobat poursuit son renforcement et accueille un nouveau partenaire, le syndicat des Carrières indépendantes du Grand Ouest (Cigo). Ce dernier représente près d’une cinquantaine d’adhérents, soit un tiers de la production de granulats du Grand Ouest. Ainsi, il intègrera le capital de Valobat, le 23 février prochain et rejoindra le Comité de secteur “inertes”. En effet, les matériaux inertes, soumis à la Responsabilité élargie des producteurs (Rep), représentent aujourd’hui le plus important flux de déchets : environ 33,5 Mt/an. Pour l’éco-organisme, ce rapprochement permettra de mieux soutenir cette filière mature. Mais aussi, d’apporter des solutions innovantes pour monter en compétence, en termes de valorisation. Lire aussi : Valobat : Pour faire progresser le recyclage des déchets du bâtiment Et pour développer de nouvelles opportunités de réemploi. « Nous avons fait le choix d’intégrer Valobat pour sa volonté et sa force à réunir et à traiter toutes les catégories de matériaux, dont les inertes », déclare Dominique Barbier, déléguée générale de Cigo. Un secteur d’activité élargi Créé il y a 20 ans, Cigo se développe dans plusieurs autres régions. « Notre syndicat a un rôle essentiel à jouer pour faciliter la mise en application de la Rep aux professionnels de notre filière déjà tournés vers le traitement et le recyclage des granulats », conclut Dominique Barbier. Le syndicat accompagne ainsi les entreprises de l’industrie extractive pour gérer au mieux l’exploitation des ressources naturelles et leur recyclage.
Il y a 3 ans et 100 jours

Valobat s'étend dans le bois et les déchets inertes

L'UICB et Cigo annoncent leur entrée au capital de Valobat.
Il y a 3 ans et 100 jours

Transition énergétique : les industriels fixent trois objectifs pour la présidentielle

DÉCARBONATION. Tripler les économies d'énergie, tripler la chaleur renouvelable et celle de récupération, et doubler le nombre d'emplois de la filière des services énergétiques : voilà ce que proposent ses industriels aux candidats à l'élection présidentielle en vue d'accélérer la transition écologique du pays. Leur fédération vient de dévoiler une trentaine de mesures ciblées.
Il y a 3 ans et 100 jours

A Toulouse, les travaux de la 3e ligne de métro seront-ils trop polluants?

L’enquête publique relative à la demande d’autorisation environnementale pour la 3e ligne de métro toulousain s’est achevée le 28 janvier. L’avis n’est pas encore rendu, mais des collectifs pointent un ouvrage bien plus polluant que ce qu’annonce le maître d’ouvrage Tisséo Collectivités.
Il y a 3 ans et 100 jours

Transition énergétique : des besoins en métaux qui inquiètent

Les ministres européens de l'Industrie ont réfléchi mardi à Lens (Pas-de-Calais) aux modes d'approvisionnement futurs de l'Europe en métaux "critiques" de la transition énergétique, afin de réduire leur énorme dépendance et leur retard vis-à-vis de la Chine, qui investit sur ces secteurs depuis une vingtaine d'années.Voici, secteur par secteur, leur utilisation, et les tentatives de substitution en cours pour essayer de diminuer leur consommation, telles qu'expliquées dans le rapport "sécuriser l'approvisionnement de l'industrie en matières premières minérales" présenté aux ministres, et dont l'AFP a obtenu copie partielle.1 - Éoliennes:Les éoliennes utilisent de l'aluminium, du cuivre, du plomb, du manganèse, du nickel. Elles ont aussi besoin de métaux plus rares, classés comme "critiques" par l'Union européenne comme le niobium, ou des terres rares pour fabriquer les aimants permanents de la turbine, comme le dysprosium (Dy), le neodynium et le praséodyme ajoutés à des alliages de fer, et du bore."Des recherches actives sont actuellement en cours pour concevoir des aimants sans terres rares pour les éoliennes à terre, mais pas sur les parcs offshore où le remplacement reste complexe", souligne le rapport de l'industriel Philippe Varin, présenté aux ministres européens.L'Europe est autonome à 58% pour la conception, la fabrication et l'assemblage d'éoliennes (grâce au Danois Vestals et à l'allemand Siemens essentiellement), "sans compter les usines installées par des acteurs non européens comme General Electric en France".Plus on remonte la chaîne de valeur, plus la dépendance européenne augmente vis-à-vis de l'Asie. La Chine à elle seule couvre 54% des besoins européens en matières premières pour les éoliennes, contre 1% pour l'UE.2 - Panneaux photovoltaïques:Le principe de base des panneaux solaires repose toujours sur du silicium, auquel on ajoute des alliages de terres rares pour doper les performances, comme le germanium, le gallium, l'indium, le molybdenum, le sélénium, le tellurium.L'Europe est quasiment absente des différentes étapes de la chaîne de valeur, dépendant à 70% de la Chine pour l'assemblage, à 90% pour les cellules photovoltaïques, et à 53% pour les matières premières autres que le silicium. "L'arrivée de nouvelles technologies innovantes pourrait contribuer à faire émerger" des acteurs européens, souligne le rapport.3 - Moteurs électriques:Pour sortir du pétrole, les moteurs électriques, comme ceux des éoliennes, ont besoin d'aimants permanents pour convertir l'électricité en force motrice, et donc des alliages de terres rares (dysprosium, neodynium, praséodyme) ajoutés à des alliages de fer et à du bore.L'Europe ne fournit que 1% des métaux bruts dont elle a besoin pour cela, alors que la Chine en procure 65% et 55% des métaux raffinés.4 - Batteries électriques:Les batteries Li-ion pour l'automobile utilisées en Europe sont produites à 66% en Chine (13% aux Etats-Unis, 13% dans les autres pays d'Asie et 8% dans le reste du monde). Elles reposent sur des anodes à base de graphite, des cathodes à base d'alliage de nickel, cobalt et manganèse ou aluminium, ainsi que du lithium.Pour améliorer les performances (les échanges d'électrons), on ajoute d'autres métaux en très petite quantité comme le titane, le silicium ou le niobium.L'énergie qu'une batterie est capable de stocker est directement conditionnée par la quantité de lithium que le matériau contenu dans l'électrode positive (cathode) est capable de contenir et d'échanger.Les batteries devraient garder leur composition actuelle en nickel, cobalt, manganèse et lithium au moins jusqu'en 2030-35 étant donné les investissements énormes pour construire des usines. Ensuite, les prochaines générations devraient voir réduire leur teneur en cobalt au profit du nickel.L'Union européenne qui commence tout juste à lancer ses premières giga-usines de batteries produit seulement 1% des métaux bruts dont elle a besoin, 8% des matériaux raffinés et 9% de ses électrodes.
Il y a 3 ans et 100 jours

Le Muy : concertation préalable sur le projet de construction d’un établissement pénitentiaire

Les habitants du Muy sont invités à s’exprimer sur le projet de construction d’une nouvelle prison. La concertation a commencé le 21 janvier 2022.
Il y a 3 ans et 100 jours

Les limites du "label vert" pour le nucléaire adopté par la commission européenne

Périmètre restreintToutes les activités de la filière nucléaire ne sont pas reconnues dans la liste des investissements pouvant bénéficier des avantages de la finance verte.Sont concernés la construction de nouvelles centrales pour la production d'électricité et les travaux pour la prolongation de centrales existantes, ainsi que la recherche en vue du développement de technologies minimisant les déchets.Mais la gestion du cycle du combustible (extraction et enrichissement de l'uranium, traitement du combustible usé, enfouissement), élément crucial, en est exclue.Dates limitesLa Commission reconnaît l'utilité du nucléaire pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement climatique, mais affirme que seules les énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, etc...) sont réellement "durables" et restent l'objectif prioritaire de la politique énergétique européenne.Elle a souhaité fixer une limite dans le temps. Pour les nouvelles centrales nucléaires, la labellisation ne pourra s'appliquer qu'aux projets ayant obtenu un permis de construire avant 2045. Les prolongations de centrales devront avoir été autorisées d'ici à 2040.Ces limites visent en fait à encourager le recours le plus tôt possible aux futurs réacteurs de 4e génération, attendus dans les décennies à venir, plus sûrs et limitant considérablement la production de déchets. Il est prévu que ces dates puissent être repoussées "selon les progrès dans le développement de ces technologies".Meilleures technologies disponiblesLe "label vert" ne pourra être accordé qu'aux projets nucléaires mettant en oeuvre les meilleures technologies disponibles. Les nouvelles centrales concernées seront donc au moins de 3e génération (comme l'EPR français de Framatome-Siemens).Pour être reconnus par le label de finance durable de l'UE, tous les projets de centrale (construction ou extension) devront en particulier recourir à partir de 2025 à de nouveaux combustibles qui résistent aux accidents ("accident tolerant fuel").Si la Société française d'énergie nucléaire (Sfen) reconnaît l'intérêt de cette innovation en matière de sûreté, elle estime cependant qu'elle "ne saurait être une exigence" dans la mesure où ces carburants sont encore au stade de la R&D, avec un calendrier de déploiement qui reste incertain.Gestion des déchets et démantèlementBien que non reconnus parmi les activités bénéficiant du "label vert", le recours au traitement et stockage des déchets, tout comme le démantèlement des installations en fin de vie, sont des conditions nécessaires pour labelliser les projets de construction et de renouvellement de centrales.Bruxelles impose aux États membres abritant ces projets un plan de gestion de tous les types de déchets, radioactifs ou non, ainsi que la réutilisation autant que possible des combustibles usés.Mais aussi un projet détaillé pour disposer d'ici à 2050 des installations de stockage par enfouissement des déchets nucléaires à haute intensité dont certains restent dangereux pendant 100.000 ans. Un plan de financement de ces dispositifs est également requis.Contrôle bruxelloisChaque projet de nouvelle centrale ou de prolongation devra être notifié à la Commission européenne qui analysera sa conformité aux critères fixés. Il devra en outre faire l'objet tous les cinq ans d'un rapport détaillé transmis à Bruxelles pour faire le point sur son avancement.Ainsi, l'exécutif européen s'attribue de nouvelles prérogatives qui risquent de s'avérer redondantes avec celles des autorités de sûreté nationales et de rogner la souveraineté des États en matière énergétique.TransparenceToutes les entreprises devront publier la part de leurs activités dans le secteur nucléaire. Cette disposition permettra aux acteurs financiers qui le souhaitent de créer des produits d'investissement "verts" garantis sans nucléaire.
Il y a 3 ans et 100 jours

Trophées des TP 2022 - Organisation et logistique du chantier

Découvrez les nommés dans la catégorie Organisation et logistique du chantier pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 100 jours

471 000 permis de construire en 2021, plus qu'avant la pandémie

Le nombre de permis de construire délivrés en France s'est établi à 471 000 en 2021, plus qu'en 2019 selon les chiffres dévoilés le 28 janvier par le ministère de la Transition écologique.
Il y a 3 ans et 100 jours

L’appel du bois à l’union sacrée des candidats à la présidentielle

La filière bois construction profite de l’élection présidentielle pour donner de la voix : dans un manifeste en cours de diffusion vers l’ensemble des candidats, l’interprofession et les industriels s’emparent des thèmes de la souveraineté nationale et de l’économie décarbonée pour susciter l’union sacrée.
Il y a 3 ans et 100 jours

La maison achetée doit être conforme à la description du notaire

Seule la description faite dans l'acte de vente notarié compte pour savoir si le bien est conforme à ce qui était prévu.
Il y a 3 ans et 100 jours

Les stores et volets toujours absents des aides de MaPrimeRénov' en 2022

Pour le Groupement Actibaie, syndicat professionnel des filières portes, portails, stores et volets, il s'agit d'une erreur car les protections solaires permettent d'améliorer efficacement et durablement le confort d'été en limitant le recours à la climatisation, responsable de 5% des émissions de GES du bâtiment.En 2021, près de 60.000 logements ont aussi bénéficié d'une rénovation globale, via le programme Habiter mieux de l'Anah ou à MaPrimeRénov' Copropriété. Un chiffre qui reste relativement faible. Pour le Groupement Actibaie, « les objectifs ambitieux fixés par l'état en matière de rénovation globale ne pourront être atteints que si les gestes liés au confort d'été sont intégrés dans le dispositif d'aide. Quand on pense économie d'énergie, on associe souvent la consommation d'énergie au chauffage. Or avec le réchauffement climatique, il faut aussi prendre en compte la hausse des températures des périodes estivales. On parle de « confort d'été », mais bientôt il s'agira simplement de confort selon les dernières projections du GIEC. Les stores et volets permettent de réduire la température de 5° voir plus si cela est piloté automatiquement. Sans ces solutions, les Français auront recours à la climatisation. Selon l'Ademe, 25%1 des Français en seraient équipés.Suivre l'exemple de pays européensLe délégué général poursuit : « nous espérons que les pouvoirs publics intégreront rapidement les solutions de protections solaires dans MaPrimeRénov'. Ces gestes de rénovations sont déjà subventionnables dans les DOM-TOM, comme chez certains de nos voisins européens, comme en Allemagne ou en Italie. Et contrairement à l'industrie de la climatisation, la quasi-totalité des solutions de protection solaires sont fabriquées en France ou dans l'Union Européenne. Il s'agit d'une industrie qui ne nécessite pas de lointaines délocalisations et est un moteur de l'économie locale. »1Étude de l’ADEME 2021
Il y a 3 ans et 100 jours

Capter le CO2 dans l’industrie

Certaines activités industrielles (cimenterie, chimie, sidérurgie par exemples) génèrent des émissions de CO2 directement issues de leur process de fabrication qui ne seront pas évitables. Pour elles, la technologie de captage de CO2 devient un levier concret de décarbonation.
Il y a 3 ans et 100 jours

Retraite : Anne Hidalgo veut rétablir des critères de pénibilité touchant le BTP

PRÉSIDENTIELLE 2022. La maire PS de Paris, Anne Hidalgo, candidate à la prochaine élection, a dévoilé ses propositions concernant les retraites. Le maintien du départ à la retraite à 62 ans, voire moins, fait partie de ses priorités.
Il y a 3 ans et 100 jours

Välinge Flooring annonce la classification d’usage 33 de ses revêtements de sol en bois densifié

Ces dix premiers mois de présence sur le territoire français ont permis à l’entreprise suédoise de mieux appréhender le marché via la rencontre d’intervenants référents et influents de la sphère professionnelle (distributeurs, architectes, poseurs...). L’entreprise a eu à cœur de prendre en compte les remarques entendues et de mettre à profit son savoir-faire pour adapter rapidement son offre.Jusqu’alors la collection de revêtements de sols en bois densifié Välinge Flooring qui se décline en 2 largeurs XL & XXL (respectivement 206 & 271 mm) – ici pas de changement prévu dans l’immédiat – et sa technologie Woodura combinée avec la vitrification extra-mat en 7 couches permettait d’atteindre une classification d’usage 23/31, donnant la possibilité d’accéder aux locaux résidentiels avec un usage ou passage intensif (classe 23) et un accès aux locaux commerciaux avec un usage faible.Désormais, toutes les fabrications 2022 atteindront la classification 23/33 ouvrant de nouvelles perspectives à la marque suédoise.Une nouveauté qui élargit le champ des possiblesLa classe d’usage 33 donne accès à de nombreux locaux ou destinations auxquels aspire Välinge Flooring avec en priorité les hôtels, restaurants et bureaux.L’entreprise a également prévu d’aller plus loin dans la démarche de classification en lançant un dossier pour l’UPEC, l’objectif étant de donner encore plus de poids et de légitimité dans l’accès au marché professionnel français, que ce soit en termes de distribution ou de prescription.Parmi les autres nouveautés à venir qui seront annoncées prochainement : le lancement d’une nouvelle gamme brossée à destination du marché résidentiel.Focus sur WooduraLa technologie Woodura s’inscrit dans la continuité de l’engagement éco-responsable de Välinge. Alternative plus responsable grâce à l’optimisation importante de la matière première, 10 fois plus de revêtements de sol peuvent être produits à partir de la même quantité de bois.La matière première est recueillie dans des forêts gérées de manière responsable labellisées FSC où le bois est transformé localement, dans le respect de l’environnement et de normes sociales et éthiques. Une méthode durable de récolte et de production qui assure la pérennité de la forêt pour les générations à venir.
Il y a 3 ans et 100 jours

VLAEMYNCK Le Grand Nom du Mobilier Outdoor Professionnel

PARASOLS Des créations d’envergure Le parasol est la pièce maîtresse d’une jolie terrasse ; il procure une ombre salutaire tout en formant un élément de décor essentiel. Tisseur d’origine, Vlaemynck s’est rapidement orienté vers la confection textile d’extérieur et bénéficie aujourd’hui d’un réseau de fabricants d’excellence qui l’approvisionnent des meilleures toiles outdoor. Pour ses collections […]
Il y a 3 ans et 100 jours

La future liaison TGV Roissy-Picardie déclarée d'utilité publique

Dans cet arrêté daté du 21 janvier, les préfets du Val-d'Oise, de l'Oise, la Seine-et-Marne, la Somme et la Seine-Saint-Denis déclarent d'utilité publique le projet, ouvrant la voie aux futurs travaux et autorisent, dans un premier temps, les expropriations.Découlant des suites de l'enquête publique, cette nouvelle étape administrative pose un jalon dans ce dossier au long cours, attendu pour 2025.La future ligne très courte - 6,5 km - consiste à relier la gare TGV de l'aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle à la ligne existante Paris-Amiens.Le budget est néanmoins important: évalué à environ 360 millions d'euros en 2017, il comprend, outre la section nouvelle, des aménagements des gares de Roissy TGV, Surviliers-Fosses, Chantilly et Amiens.L'objectif est de raccorder Amiens au réseau TGV et de brancher par des TER cadencés le sud de la Picardie à l'aéroport de Roissy, premier aéroport européen dont l'activité génère 90.000 emplois.Mais le projet suscite depuis de nombreuses années la colère de certains riverains, qui craignent des nuisances sonores et demandent que les investissements se concentrent sur l'amélioration des transports quotidiens existants.Les élus du conseil départemental du Val-d'Oise ont également émis un avis défavorable à cette ligne, plaidant pour des aménagements compensatoires. Ils déplorent un manque de concertation ayant abouti à un tracé qui n'apporte aucune plus-value aux habitants ainsi que l'impact des travaux sur les usagers des RER B et D.La liaison Roissy-Picardie fait partie des rares projets poursuivis après la pause sur les infrastructures de transports décrétée au début du mandat d'Emmanuel Macron, parenthèse désormais refermée avec l'annonce de nouveaux investissements.
Il y a 3 ans et 100 jours

L’Inrap a vingt ans

L’Institut national de recherches archéologiques préventives célèbre ses vingt ans d’existence, de recherches et de découvertes archéologiques. De 2002 à 2021, ses archéologues ont réalisé près de 50 000 opérations archéologiques, dont 5 000 fouilles en France métropolitaine et ultramarine. Liée à l’aménagement du territoire, cette intense activité de sauvegarde des archives du sol a entraîné un profond renouvellement de la connaissance du passé, du Paléolithique au XXe siècle. Établissement singulier dans le paysage international, l’Inrap est la plus importante structure de recherche archéologique en Europe. Il compte aujourd’hui 2 300 collaborateurs et est doté d’un budget de 175 M€. Ce vingtième anniversaire s’accompagne d’un dense programme scientifique et culturel. Créé le 1er février 2002 en application de la loi sur l’archéologie préventive de janvier 2001, l’Inrap est un établissement public placé sous la tutelle des ministères en charge de la Culture et de la Recherche. Sa mission est triple : il est opérateur de diagnostics et de fouilles ; il assure l’exploitation scientifique de leurs résultats ; il concourt à l’enseignement, à la diffusion culturelle et à la valorisation de l’archéologie. Dans un contexte concurrentiel parfois complexe, l’Inrap a conduit avec succès ses opérations de terrain, développé une ambitieuse politique de recherche et mené une active politique culturelle. En 2020, il surmonte la crise sanitaire et affiche en 2021 un résultat financier positif pour la quatrième année consécutive. Le rapport d’évaluation que rend le Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (Hcéres) en 2019 consacre la place et l’importance de l’Institut au sein de la communauté scientifique. Ce 20e anniversaire s’accompagne d’une importante programmation culturelle : publications, colloques, expositions… témoigneront des apports de l’archéologie partout sur le territoire. https://www.inrap.fr Photo : Décapage sur le site paléolithique d’Havrincourt (Pas-de-Calais), 2010. © Denis Gliksman, Inrap  
Il y a 3 ans et 100 jours

Béton[s] le Magazine n° 98 vous emmène six pieds sous terre

Retrouvez le n° 98 dans la boutique Six pieds sous terre. Le clin d’œil était trop tentant, quand on aborde les travaux souterrains. Sachant que les tunnels et autres galeries, creusés en ce moment dans le cadre des chantiers du Grand Paris, se situent à une profondeur bien plus importante… Toujours est-il que ce sont les bétons utilisés pour ces travaux particuliers qui sont mis en avant. Au programme, p. 22 et suivantes : bas carbone, retour d’expérience, projection et bétons architectoniques. Sans oublier les prestations de formation, qui se développent en ce moment. Pour ceux qui sont claustrophobes, un petit tour à Dakar semble être une meilleure idée, histoire de visiter, p. 34, l’aire de préfabrication des caissons de la digue de protection du terminal gazier de Grand Tortue (Partie #2). Mais là, il ne faut pas être agoraphobe… Si les coffrages des caissons sont gigantesques, il en existe aussi des plus petits, construits sur mesure par quelques spécialistes du domaine. Qui fait quoi ? C’est à découvrir dans le dossier “zoom sur…”, en p. 44. Dans la même rubrique, un second focus met l’accent sur les additions pour bétons, en p. 50. Quant au Laboratoire de la Matière, il parle durabilité, listant les avantages et les inconvénients de l’utilisation des bétons bas carbone (p. 59). Et pour bien finir, quoi de mieux que d’en savoir plus sur le “style CBR”, initié par l’architecte polono-belge Constantin Brodzki ? Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 3 ans et 100 jours

Ouverture des inscriptions pour les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins

Les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins reviennent les 25 et 26 juin 2022 avec le thème Être et renaître. Cette année, l’accent sera mis sur le bâti ancien réhabilité, restauré et réemployé, mais aussi le recyclage, la revalorisation de ses apparats et matériaux, et le renouveau de certains savoir-faire. Au XXIe siècle, le patrimoine, en plus d’une valeur intrinsèque historique, prend une valeur écologique en luttant contre le gaspillage des matériaux en évitant le suremploi du béton et des métaux, et contre le gaspillage de l’espace rural par l’étalement urbain. Les prochaines Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins mettront en lumière le patrimoine rural restauré, à l’usage réinventé, les savoir-faire et gestes du passé ou encore les matériaux réemployés, récupérés… Associations, collectivités, musées, artisans, particuliers ou professionnels du tourisme sont invités à ouvrir leurs sites à proposer des animations au grand public les 25 et 26 juin 2022. Inscription gratuite avant le 17 avril sur : www.patrimoinedepays-moulins.org
Il y a 3 ans et 100 jours

Construire avec les occupants, le nouveau challenge de Paris Habitat

Le 25 janvier, Paris Habitat, premier bailleur parisien, a présenté les démarches de concertation engagées pour trois opérations au Pavillon de l’Arsenal. Photo © Vraiment Vraiment
Il y a 3 ans et 100 jours

Inventer les parkings de l'après-pétrole, un concours pour les jeunes architectes

72 heures pour réinventer le parking souterrain. C'est le défi proposé aux architectes de moins de 40 ans par Dominique Perrault et le groupe Indigo. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 17 avril 2022. La compétition se tiendra du 20 au 22 mai 2022 et visera à la production d'un format A1 et d'une note A4, selon des règles qui […] Lire l'article