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Toute l'actualité du bâtiment

255296 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 102 jours

Dalkia lance sa filière de génie électrique

Le groupe EDF annonce dans un communiqué du 25 janvier la concentration de ses activités de génie électrique au sein d’une nouvelle filiale : Dalkia Electrotechnics qui intègre notamment Citelum France.
Il y a 3 ans et 102 jours

Le marché de l’immobilier logistique s’envole en 2021

Avec une hausse significative de 34% par rapport à l’année 2020 et de 12% par rapport à l’année 2019, le secteur connaît une évolution très favorable. Point à date sur ce marché en pleine expansion malgré la crise sanitaire et qui, selon les régions, affiche des résultats bien au-delà des prévisions initiales. Quelques faits marquants : Plus de 3.700.000 m² transactés (bâtiments ICPE de plus de 10.000m²), soit une augmentation de la demande placée de 34 % par rapport à 2020 et 12 % par rapport à 2019La région des Hauts-de-France représente à elle-seule 28 % du marché globalLes opérations de plus de 50.000 m² sont de retour et représentent 28 % du marchéLes opérations de construction (clé en main) représentent environ 45 % du marché global Les prestataires logistiques sont les acteurs majeurs du marché (50% des transactions)La raréfaction des terrains dédiés à la logistique s’accélère : on observe une pénurie de terrains de plus de 5 hectares libres sur les principaux pôles logistiques de l’hexagone. Les prix ont donc été multipliés par 3 sur certains secteursLes coûts de construction et les loyers progressentLes taux de capitalisation prime sont de l’ordre de 3,5%.Chiffres clefs et tendances Sur l’année 2021, EOL comptabilise 3,7 millions m² de surfaces placées (dont 1.271.000 m² sur le dernier trimestre) pour 143 transactions. Des chiffres en forte hausse par rapport à 2020 (2.785.000 m² et 107 transactions), mais également par rapport à l’année 2019 (3.377.000 m² et 112 transactions).Les 4 marchés de la dorsale (Lille, Paris, Lyon et Marseille) représentent 70 % de la demande placée, ce résultat est principalement lié à la performance exceptionnelle des Hauts-de-France et à la bonne performance de l’Ile-de-France. Le manque d’offre disponible et l’absence de développement limitent les performances de Lyon et Marseille. Malgré le peu de fonciers disponibles et l’absence de projets de développement à court terme, l’Ile-de-France affiche une performance satisfaisante avec plus de 800.000 m² placés (+ 45 % par rapport à 2019), essentiellement sur des immeubles existants (61 % des transactions). Le marché en régionsLa région des Hauts-de-France : La région des Hauts-de-France bat encore un record inédit avec 1.070.000 m2 de surfaces placées (soit 1/3 du marché français).Pour Laurent Sabatucci, directeur associé, fondateur EOL : « Près de 3500 emplois au cours de l’année 2021 ont été créés et la logistique a généré un investissement privé de plus 500 millions d’euros. La région Hauts-de-France a mené une stratégie « logistique friendly » et a séduit de grands acteurs, rappelons-nous des opérations de Seb et La Redoute qui ont marquées l’année 2021. »Le marché en Rhône-Alpes (Lyon) : 400.000 m² transactés en 2021. 3ème région de France en termes de demande placée loin derrière les Hauts-de-France et l’Ile-de-France, Lyon souffre du manque de développement et d’un stock d’offres disponibles très faible. Très forte tension sur l’offre avec un taux de vacance historiquement bas (3%). Les quelques opérations lancées en blanc et les terrains disponibles pour des clés en main ont été commercialisés. Peu de développements à venir et peu de solutions de report sur des marchés périphériques.Le marché dans les Bouches-du-Rhône (Marseille) : 288.000 m² placés. 5ème région de France en termes de demande placée. Une baisse continue du taux de vacance (4%). Des loyers en hausse. A la différence du marché lyonnais, le marché marseillais propose quelques solutions de développement notamment à proximité du port de Fos.Le marché en Centre-Val-de-Loire (Orléans) :Avec plus de 300.000 m² conclus en 2021, cette région confirme sa position de pôle majeur et occupe la 4ième place des régions en termes de demande placée derrière les Hauts-de-France, Paris et Lyon.Le nombre d’opérations lancées en blanc et en cours de développement garantissent une certaine fluidité du marché.Le taux de vacance est stable.Les loyers sont en hausse modérée. Le marché en Nouvelle-Aquitaine (Bordeaux) : 70.000 m² transactésPeu de transactions et très peu d’offres disponibles dans un marché sous tension.Les opérations lancées en blanc ont été commercialisées. Le marché en Occitanie (Toulouse) : Un marché qui reste atone (85.000 m²) compte tenu du manque d’offres disponibles.Un taux de vacance toujours faible.EOL acteur de référence du secteur en France et à l’internationalEn France, au global, EOL a conclu 570.000 m² de projets logistiques sur des bâtiments existants ou des développements, notamment une opération emblématique de plus de 110.000 m² pour le compte de La Redoute à Cambrai (59).En Europe, après avoir accompagné Carrefour pour un projet industriel et logistique à proximité de Bruxelles, EOL vient de signer un terrain de plus de 20 Ha en Pologne pour y développer un projet de plus de 80.000 m2pour l’un de ses clients français.EOL poursuit l’accélération de la décarbonation des entrepôts EOL a initiée dès 2016 une stratégie de décarbonation des entrepôts ce qui lui permet aujourd’hui d’accompagner les acteurs majeurs du marché dans une démarche unique et innovante. L’application du décret tertiaire oblige les exploitants des entrepôts à diminuer de 40% les consommations d'énergie, EOL apporte une approche globale et un savoir-faire technique dans le choix des sites logistiques.
Il y a 3 ans et 102 jours

Hausse de 8 % de la production de logements sociaux en 2021

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du Logement, a annoncé que 104 800 logements locatifs sociaux avaient été financés en 2021 tous modes de financement compris.
Il y a 3 ans et 102 jours

Nouvelle cheville DuoSeal fischer : La nouvelle fixation étanche pour zone humide, sans silicone !

Lors de la fixation d’étagères de salle de bains ou de cuisine, d’armoires murales, de porte-serviettes, de cabines de douche, de miroirs, de porte-savon, de rideaux de douche… dans des zones humides, il est essentiel de veiller à l’étanchéité du trou de forage pour éviter les infiltrations d’eau, l’humidité ou les moisissures qui pourraient endommager les éléments de structures (mur, isolant…). Jusqu’à présent, pour assurer la bonne étanchéité des trous de perçage, le recours au silicone était nécessaire. Mais cette solution temporaire devait être souvent renouvelée et n’était pas conforme à la norme DIN 18534 qui réglemente l’étanchéité des sols et des murs dans les pièces intérieures. Pour fixer tous ces éléments de salle de bains et de cuisine, fischer, toujours à la pointe de l’innovation, lance dans la gamme DUOLINE une nouvelle cheville nylon avec fonction d’étanchéité, la DuoSeal. Cette cheville bimatière pour tous les matériaux de construction a la particularité de rendre complètement étanche le trou de perçage, sans produit d’étanchéité supplémentaire. Elle empêche ainsi la moisissure et l’humidité d’atteindre le matériau de construction tout en assurant simultanément une fixation sûre. En outre, l’étanchéité à l’eau de la DuoSeal a été prouvée sur la base de l’ETAG 022 et de la DIN 18534.   fischer DUOLINE : La gamme bimatière Haute qualité, les fixations de la gamme DUOLINE fischer sont parfaitement identifiables avec leurs couleurs rouges et grises. Les chevilles DuoPower, DuoTec, DuoBlade, DuoXpand et DuoSeal sont fabriquées à partir d’une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, assurent un ancrage optimal avec des performances nettement supérieures à celles des chevilles nylon traditionnelles en termes de valeur de charges et de sécurité.   Une fixation sûre et étanche La nouvelle fixation DuoSeal fischer est idéale pour les surfaces carrelées ou en faïence exposées à des projections d’eau très fréquentes ou à des accumulations d’eau temporaires comme la salle de bains, la cuisine, les toilettes… Universelle, cette cheville s’adapte à tous les matériaux : béton non fissuré, brique pleine, brique perforée, matériaux de construction en panneaux… La DuoSeal se compose d’une cheville avec un corps bimatière et d’une vis en acier inoxydable à empreinte TX, parfaite pour les zones humides. La géométrie spéciale du fût (0) de la vis est lisse afin d’assurer l’étanchéité du trou de forage. Quant à la cheville, son composant rouge en nylon (1) de haute qualité s’adapte automatiquement au support (s’expanse, se déploie, forme un nœud) qu’il soit plein, creux ou en plaque. La zone d’expansion grise (2) souple est pressée contre la paroi lors de la mise en place de la vis et obture complètement le trou de forage. Elle offre une sécurité supplémentaire. Les anneaux (3) sur le corps de la cheville compensent les irrégularités du forage, de sorte que la fonction d’étanchéité est garantie même si le trou n’est pas parfait. La collerette (4) empêche la cheville de passer au travers du trou de forage et garantit l’étanchéité de la fixation. Les ailettes (5) offrent quant à elles une fonction anti-rotation pour une mise en œuvre correcte. L’étanchéité entre la vis et la cheville, et la cheville et le matériau support, est parfaitement assuré et sans silicone supplémentaire. La DuoSeal évite l’apparition d’humidité et de moisissures derrière le carrelage. Une étanchéité à l’eau conforme aux normes européennes et allemandes L‘étanchéité à l‘eau de la DuoSeal fischer est attestée conformément aux normes ETAG 022 et DIN 18534 jusqu‘à la classe d‘exposition à l‘eau W3-I (surfaces très exposées à l’eau). La norme ETAG 022 atteste de l’étanchéité du produit aux éclaboussures d’eau chaude ou froide permanentes. Quant à la norme d’étanchéité DIN 18534, elle réglemente l’étanchéité des sols et des murs dans les pièces intérieures. Elle distingue 4 classes d’exposition à l’eau : W0-I (surfaces peu exposées à l’eau), W1-I (surfaces avec une exposition modérée à l’eau) , W2-I (surfaces fortement exposées à l’eau) , W3-I (surfaces très exposées à l’eau). Que ce soit à l’intérieur de la douche, autour du lavabo ou près de l’eau – la cheville DuoSeal est étanche en permanence.   Une fixation ultra simple La DuoSeal s’insère rapidement dans le trou de forage par simple enfoncement, sans aucun accessoire supplémentaire ni mastic ou silicone. Elle scelle le trou de perçage sur toute la surface et maintient la paroi arrière au sec. La DuoSeal est disponible en diamètre 6 x 38 mm et diamètre 8 x 48 mm, et fournie avec des vis inox A2. Prix de vente conseillé : A partir de 44 euros TTC boîte de 100 pièces Points de vente : GSB, Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 102 jours

Wirtgen Group innove sur World of Concrete de Las Vegas

Train de pose de béton Wirtgen, avec le nouvel alimentateur latéral WPS 102i au premier plan. [©Wirtgen Group] Las Vegas n’est pas seulement le rendez-vous des amateurs de casinos. Les amoureux du béton y tiennent aussi salon… Cette année, World of Concrete s’est tenu du 18 au 20 janvier, réunissant quelque 37 000 visiteurs professionnels et plus de 1 000 exposants. Un des grands moments du show fut la démonstration du train de pose de béton Wirtgen, dont le tout nouvel alimentateur latéral WPS 102i constituait le point d’orgue. Quand une chaussée est réalisée avec une armature posée au préalable, l’alimentation en béton doit se faire par le côté. C’est là qu’intervient le WPS 102i. Constituant la première machine du train de pose, il se déplace devant la machine à coffrage glissant et la machine de traitement de surface. Il répartit de manière homogène le béton sur toute la largeur de travail. L’épaisseur de pose maximale est de 500 mm pour des largeurs comprises entre 4 et 12 m. Le WPS 102i peut être commandé avec précision par palpage sur fil de guidage, via des applications 3D sans fil de guidage ou avec le Wirtgen Autopilot 2.0. L’Inset SP 94i en avant-première Autre première, la machine à coffrage glissant Inset SP 94i avec TeleMold. S’inscrivant dans la gamme des 10 m, elle se destine à la construction d’autoroutes et de zones aéroportuaires. Quant au système TeleMold, il permet de changer la largeur de travail (+/- 1 m de chaque côté) de manière rapide et flexible. Cette rapidité de modulation augmente sa disponibilité et sa durée d’utilisation de la machine. TeleMold est aussi disponible sur les machines à coffrage glissant SP 64i, SP 94i et SP 124i. Enfin, Wirtgen a dévoilé les nouvelles fonctionnalités de sa SP 15i. Destiné à la réalisation de bordures et autres glissières, cet équipement dispose désormais d’une extension de plate-forme de travail. Ceci offre aux utilisateurs une meilleure vue sur la zone de pose, sur l’alimentation en béton, sur la trémie et sur la chambre de compactage. Autre nouveauté, le “coffrage curb depressor” est doté d’un compartiment à réglage hydraulique. Il est utilisé pour abaisser le profil de bordures, par exemple au niveau des entrées. Cela réduit de manière significative les reprises manuelles.
Cimbat
Il y a 3 ans et 102 jours

Nouvelle génération de poutrelles sans étais GP signée KP1

La gamme de poutrelles sans étais GP est rapide en mettre en œuvre. [©KP1] KP1 révolutionne le marché du vide sanitaire, avec sa nouvelle gamme de planchers à poutrelles/entrevous GP. Cette gamme est une véritable alternative à la dalle portée sur coffrage perdu ou terre-plein et dédiée aux planchers bas des bâtiments non résidentiels. Elle permet de réaliser des portées sans étais records jusqu’à 7,50 m. Elle se distingue par deux références de poutrelles nouvelle génération : GP 156 et GP 185. Complémentaires aux poutrelles sans étais KP1 existantes (gamme LS), GP 156 et GP 185 s’associent aux entrevous isolants Isoleader et aux entrevous coffrants EMX, EMS EcoVS déjà proposés. Pour garantir les longues portées sans étais, la gamme GP se dote aussi de nouveaux entrevous isolants IsoGP. De plus, elle est plus rapide à mettre en œuvre et présente un poids carbone réduit de l’ordre de 30 % en comparaison d’une construction dalle portée sur coffrage perdu.
Il y a 3 ans et 102 jours

Castex pose la première pierre du CHU de Nantes

Le chantier du nouveau centre hospitalier universitaire (CHU) de Nantes, un mégaprojet attendu pour 2027 et évalué à 1,24 milliard d'euros, a été inauguré par le premier ministre.
Il y a 3 ans et 102 jours

Colas teste la nouvelle pelle Mecalac 100% électrique réduisant l’empreinte environnementale des chantiers

Mecalac finalise, par une campagne d’essais auprès de ses clients, la mise au point de la e12, première pelle sur pneus 100 % électrique au monde. Son architecture et sa technologie exclusives assurent une autonomie d’une journée type de travail.L’électrification permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre, notamment en France, où l’électricité est peu carbonée. Elle diminue également les nuisances sonores et favorise ainsi l’acceptabilité des chantiers auprès des riverains.Cette opération s’inscrit dans la continuité de l’acquisition de quatre fourgons électriques par l’établissement Colas de Grenoble l’an dernier et répond aux enjeux de la Zone à Faible Emission de l’agglomération grenobloise.Pour Bruno Munier, Directeur Equipements de Colas France Territoire Sud-Est : « Cette expérimentation permettra d’envisager d’autres utilisations de la pelle Mecalac e12 sur les futurs chantiers urbains de Colas et de réduire leur empreinte environnementale. »Pour Patrick Brehmer, Directeur Marketing du Groupe Mecalac : « Ces essais constituent une étape importante dans la transition vers des solutions zéro émission et démontrent l’adéquation optimale de la Mecalac e12 avec les besoins réels des chantiers urbains, tant en termes de performances que d’autonomie. »Un second test de la pelle électrique Mecalac e12 sera effectué en février prochain sur un chantier réalisé par Colas pour la Métropole de Lyon.La transition vers une flotte d’engins bas carbone s'inscrit dans le cadre des engagements du Groupe Colas, qui s’est fixé des objectifs ambitieux, compatibles avec l’Accord de Paris : réduire de 30 % ses émissions directes de gaz à effet de serre et de 30 % ses émissions indirectes en amont d’ici à 2030.
Il y a 3 ans et 102 jours

De jeunes architectes récompensés par la 10ème édition du Trophée béton écoles

Depuis 2012, le Trophée béton écoles a pour but de révéler les jeunes talents des école d'architectures françaises, de les parrainer et leur offrir une visibilité. (Image © Majoie Tsadok Kpoviessi)
Il y a 3 ans et 102 jours

De 22 à 26 mds euros de plus par an indispensables face au réchauffement climatique selon la FNTP

Un plan d'investissement massif dans les infrastructures routières, énergétiques et numériques Françaises de 22 à 26,8 milliards d'euros supplémentaires par an serait necessaire d'ici à 2030.
Il y a 3 ans et 102 jours

TotalEnergies renonce à implanter son nouveau pôle R&D à côté de Polytechnique

"Dans ces conditions, TotalEnergies a décidé de s'installer dès cette année, comme prévu, sur le plateau de Saclay (sud-ouest de Paris, ndlr) dans des locaux destinés à accueillir des centres d'innovation d'entreprises pour y établir durablement son pôle R&D Nouvelles Energies & Electricité", explique le groupe dans son communiqué.L'implantation d'un bâtiment de 10.000 m2 était prévue au départ au cœur du campus de Polytechnique, avec 400 personnes attendues pour travailler sur la "décarbonation des énergies". Ce projet avait été contesté par une partie des élèves et des professeurs de la prestigieuse école, qui avaient manifesté en mars 2020 contre "l'ingérence du privé".En juin 2020, après la mobilisation d'étudiants et de professeurs, l'école d'ingénieurs avait décidé de sortir le futur centre de recherche du cœur du campus pour le prévoir juste à côté, sur le futur parc d'activités d'innovation porté par l'Établissement public d'aménagement (EPA) Paris-Saclay.Les travaux de construction du bâtiment au nouvel emplacement, qui devaient débuter en juillet 2021, ont été retardés."Les nouvelles énergies n'attendent pas. Et la transformation de TotalEnergies - qui a accéléré en 2021 - ne peut pas non plus attendre", affirme le groupe dans son communiqué.L'École polytechnique a réagi dans un communiqué distinct, en disant prendre acte et regretter la décision prise par TotalEnergies même si celle-ci ne remet pas en cause les partenariats avec l'entreprise "ni les engagements de l'école dans le domaine de la transition énergétique".TotalEnergies renonce en effet au projet de bâtiment en propre mais maintient son partenariat scientifique avec l'Institut polytechnique de Paris et notamment avec les départements dédiés à l'énergie, à l'intelligence artificielle et à la science des données.Le futur pôle R&D abritera 200 chercheurs et "développera des collaborations avec les laboratoires des universités et écoles, des entreprises et des start-up", précise le groupe.La double casquette de Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies et membre du conseil d'administration de Polytechnique, lui a par ailleurs valu une enquête du parquet financier, ouverte en mai 2021, sur le projet de centre R&D.Une plainte avait été déposée par trois ONG reprochant à M. Pouyanné d'avoir entretenu la confusion entre son mandat d'administrateur de l'école et celui de PDG du groupe pétrolier lors des débats sur l'implantation de ce centre de recherches au cœur du campus.
Il y a 3 ans et 102 jours

471 000 logements ont été autorisés en 2021

En 2021, 471 000 logements ont été autorisés à la construction, soit 74 700 de plus qu’en 2020 selon les statistiques du ministère de la Transition écologique sur la construction de logements. Dans le même temps, 386 700 logements ont été mis en chantier, soit 37 500 de plus qu’en 2020. En 2020, les autorisations avaient fortement reculé et de nombreux chantiers n’avaient pas pu démarrer du fait du premier confinement. Si on prend comme point de comparaison les douze mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020), le nombre de logements autorisés au cours des douze derniers mois reste un peu supérieur de 3 %, mais l’estimation du nombre de logements commencés est légèrement inférieure (- 0,4 %). Durant l’année 2021, les autorisations de logements individuels ont progressé de 43 400 logements (+ 25,8 %) pour atteindre 211 800 unités. Les logements individuels purs (+ 26,3 %) ont davantage augmenté que les logements individuels groupés (+ 24,3 %). Dans le secteur des logements collectifs ou en résidence, 31 400 logements de plus (+ 13,7 %) ont été autorisés pendant l’année 2021 qu’au cours de l’année précédente. Les autorisations de logements en résidence (+ 9,8 %) ont moins augmenté que celles de logements collectifs ordinaires (+ 14,6 %). Graphique : SDES, Sit@del2, estimations à fin décembre 2021  
Il y a 3 ans et 102 jours

Des primaires de l’apprentissage

Dans la perspective de l’élection présidentielle, la Fédération nationale des directeurs de CFA (Fnadir) a lancé une consultation auprès des acteurs de l’apprentissage dont l’objectif est de faire émerger des propositions et interroger les candidats sur leur vision de l’apprentissage pour les cinq ans à venir. Préalablement, la FNADIR a mené une consultation de ses adhérents. Plus de 200 directrices et directeurs de CFA se sont positionnés sur 4 grands enjeux pour l’avenir de l’apprentissage : créer un secrétariat d’État à l’orientation, assurer un financement pérenne de l’apprentissage, qui concourt aux objectifs éducatifs de la nation, en le considérant comme un investissement dévolu par l’État aux CFA, aux entreprises formatrices et aux MA, maintenir durablement les aides actuelles aux entreprises et prescrire l’apprentissage comme une voie choisie par les candidats à l’apprentissage. Accès à la consultation https://primaires-apprentissage.fr/lenquete/    
Il y a 3 ans et 102 jours

Le CCCA-BTP lance l’appel à projets « Investissements innovants »

Depuis 2020, le CCCA-BTP déploie un ambitieux programme d’appels à projets, pour financer des expérimentations et innovations portées par les organismes de formation aux métiers du bâtiment et des travaux publics et en assurer le déploiement. Dans ce cadre, le CCCA-BTP lance l’appel à projets « Investissements innovants », doté d’un budget de 75 millions d’euros sur trois ans, pour accompagner le financement de deux types de projets d’investissements innovants : les projets immobiliers directement liés à un projet pédagogique ou éducatif innovant et les projets pédagogiques d’achats et de mise en œuvre de matériel pédagogique ou éducatif innovant. Tout organisme de formation en apprentissage aux métiers du BTP est éligible au dépôt d’un ou plusieurs projets. Le porteur de projet peut présenter un projet seul, ou avec des partenaires en consortium. Le CCCA-BTP encourage les candidatures groupées, notamment avec des partenaires et des entreprises du secteur du BTP, afin de renforcer et promouvoir des coopérations existantes et la création de coopérations innovantes et originales entre acteurs publics et privés d’un territoire, acteurs historiques et émergents. L’appel à projets est publié sur la plateforme dédiée du CCCA-BTP : https://www.appels-a-projets-cccabtp.fr. Chaque porteur de projet devra créer son espace candidat, afin de pouvoir déposer son dossier. Les dossiers peuvent être déposés à tout moment sur le site, jusqu’au 31 décembre 2024. Ils seront évalués au fur et à mesure de leur dépôt, dans le respect des dates des instances du CCCA-BTP.  
Il y a 3 ans et 102 jours

Travaux spéciaux : Jarnias voit plus haut et plus loin

Le spécialiste des travaux d’accès difficile dans le bâtiment vient de racheter Acro BTP, prestataire de travaux de génie civil en haute montagne, qui lui permet d’étendre son offre dans les travaux publics en altitude.
Il y a 3 ans et 102 jours

Pyramide bordelaise, l'îlot Queyries par MVRDV

La Fondation Luma de Frank Gehry dressée en pays arlésien, les Tours Duo de Jean Nouvel érigées en surplomb du boulevard périphérique à Paris ou encore la Samaritaine de Sanaa inaugurée sur les rives de la Seine. L'année 2021 a vu des réalisations très attendues s'achever sur tout le territoire. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 102 jours

A Sommecaise, VDA au milieu des bois

L’agence parisienne VDA a livré en 2019 à Sommecaise (Yonne), pour 140 000 €, au cœur d’une parcelle boisée (bois de chênes) de 2 400 m², un pavillon en bois de 80 m² doté de deux terrasses de 25 et 40 m². Communiqué. L’environnement boisée La forêt environnante et préexistante dans laquelle s’insère la maison conçue […] L’article A Sommecaise, VDA au milieu des bois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
GDA
Il y a 3 ans et 102 jours

A Nice, Ingérop conçoit le quartier d’affaires et de vie de demain

Ingérop est un des acteurs clés du projet Nouvel’R mené dans le cadre de l’aménagement du nouveau quartier d’affaires et de vie Grand Arénas à Nice. Deux ingénieurs nous racontent les défis qu’ils ont relevés pour ce projet.
Il y a 3 ans et 102 jours

Isover a réalisé l’isolation thermique et acoustique du “Wonder of the Seas”, le plus grand paquebot du monde

Un chantier hors norme pour un paquebot hors normeConnu à Chantiers de l’Atlantique en tant que “C34”, son numéro de coque, ce mastodonte de 362 mètres de long pour 64 mètres de large affiche selon son armateur, la compagnie américaine Royal Caribbean International (RCI), des chiffres impressionnants et démesurés :D’un coût de plus d’un milliard d’euros, le Wonder of the Seas, dont l’assemblage a débuté en octobre 2019, a été mis à l’eau pour les essais en mer en septembre 2020. Les premières croisières à bord sont prévues au printemps 2022.Un panel de solutions ISOVER pour répondre à l’ensemble des postes d’isolation du navireParticulièrement drastiques, les normes de sécurité incendie à bord sont un enjeu essentiel dans la construction navale. La gamme de produits U SeaProtect®, fabriqué à base de la laine de roche légère ULTIMATE®, a fourni la réponse optimale avec une nouvelle génération de laine minérale haute performance qui combine tous les avantages en termes de feu, d’isolation thermique et acoustique, avec des économies de poids substantielles. 2/3 de l’isolation, soit 50 000 m² ont été réalisés avec U SeaProtect® pour assurer le confort thermique et la sécurité des passagersPour ce chantier d’envergure, le produit U SeaProtect® a été retenu pour ses excellents résultats sur tous les aspects : sa performance thermique qui garantit une forte augmentation de l’efficacité énergétique tout en réduisant significativement les coûts d’exploitation et les émissions de CO₂. De plus, U SeaProtect® est une solution au poids exceptionnellement léger : - 25 % versus un isolant classique en laine minérale. Aussi, le produit est conditionné avec un emballage comprimé et hautement rationalisé, permettant de réaliser des économies logistiques et facilité l’installation sur le chantier.U SeaProtect® répond également aux normes les plus exigeantes concernant la protection incendie, allant du plus haut niveau de réaction au feu à d’excellentes qualités de résistance au feu.100 000 m² de panneaux d’isolation PI Marine pour de hautes performances thermiques et anti-condensationFace aux enjeux thermiques et de condensation, ISOVER a proposé la gamme PI MARINE en laine de verre. Exclusive sur le marché, elle a été incontournable pour isoler thermiquement et assurer un rôle d’anti-condensation.3 produits ont été posés sur différents postes dans le navire :PI662, un panneau en laine de verre face alu qui a été utilisé pour isoler la coque et assurer l’anti-condensation sur bordée.PI682 a permis d’isoler une grande partie du réseau des conduits de ventilation.PI695, un écran coupe-tirage a été installé entre les cabines, aux plafonds et sur les ponts. Leur rôle coupe-feu permettant d’empêcher la propagation des fumées toxiques en cas d’incendie.Un navire moins lourd qui consomme moins de carburantDans la quête de navires plus gros et plus rapides, le poids des matériaux et la réduction de poids en général n’ont jamais joué un rôle aussi important qu’aujourd’hui. Avec sa gamme marine la plus légère du monde, ISOVER a permis une économie de poids de - 25 % sur l'isolation, pour un résultat identique en termes de performances, participant ainsi à la réduction de l’impact environnemental du plus gros paquebot du monde, dont la consommation en carburant a été réduite.
Il y a 3 ans et 103 jours

Vallée de Mogan : un éco-hameau chinois

Différente de la communauté et du village habituels, les architectes de Line+ ont voulu créer une nouvelle communauté rurale, à la fois rustique et raffinée. Elle est située au pied oriental de la montagne Mogan, née entre cinq vallées originales. [De l’architecte] Le concept de design s’inspire de l’organisation des établissements traditionnels et se rapporte […]
Il y a 3 ans et 103 jours

Un complexe sportif minimaliste en béton à L'Isle d'Abeau, par Lis & Daneau

La Fondation Luma de Frank Gehry dressée en pays arlésien, les Tours Duo de Jean Nouvel érigées en surplomb du boulevard périphérique à Paris ou encore la Samaritaine de Sanaa inaugurée sur les rives de la Seine. L'année 2021 a vu des réalisations très attendues s'achever sur tout le territoire. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 103 jours

Retour sur les grandes livraisons de 2021

La Fondation Luma de Frank Gehry dressée en pays arlésien, les Tours Duo de Jean Nouvel érigées en surplomb du boulevard périphérique à Paris ou encore la Samaritaine de Sanaa inaugurée sur les rives de la Seine. L'année 2021 a vu des réalisations très attendues s'achever sur tout le territoire. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 103 jours

Le nouvel isolant FOAMGLAS READY T3+

À l'heure où le réchauffement climatique est une préoccupation grandissante, l'isolation en verre cellulaire FOAMGLAS® présente l'intérêt de faire économiser avec certitude l'énergie des bâtiments. Étanche à l'humidité, insensible aux rongeurs et incompressible, le FOAMGLAS® offre une résistance thermique garantie dans le temps.
Il y a 3 ans et 103 jours

Du laboratoire au logement, les lauréats de la restructuration de la barre Cassan dévoilés

L'équipe d'architectes formée par Charles Henri Tachon et Abinal & Ropars mènera la conception de 565 logements sociaux voués aux étudiants, doctorants, enseignants et chercheurs du campus Pierre-et-Marie-Curie (ex-Jussieu) à Paris. À l’aplomb de la rue Cuvier, le bâtiment F de la barre Cassan, auquel son concepteur Urbain Cassan prête son nom, fut construit en 1962 pour abriter les laboratoires de l’université. Il fait partie d’un ensemble de deux barres qui clôturent en un angle...
Il y a 3 ans et 103 jours

A Chamonix, du raccard à Caraccard, selon Chevallier Architectes

L’agence Chevallier Architectes, implantée et active dans la Vallée alpine de Chamonix depuis trois générations, a livré en 2021 à Chamonix-Mont-Blanc (Haute-Savoie), Caraccard, réinterprétation du raccard qui, en Suisse, est un édifice montagnard en bois, doté d’un grenier indépendant surélevé, bâti en pièce-sur-pièce et comprenant une aire centrale, des gerbiers latéraux et des pièces à […] L’article A Chamonix, du raccard à Caraccard, selon Chevallier Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 104 jours

Urbanisme sauvage et érosion à Kinshasa : quand la rue devient ravin

Dans la commune populaire et déshéritée de Mont-Ngafula, construite sur les hauteurs, cette érosion spectaculaire a remplacé une rue asphaltée par un gouffre d'au moins 15 mètres de profondeur.En haut de la falaise, de grosses canalisations d'eau, hors d'usage, sont suspendues dans le vide. Pour traverser ce qui fut la rue séparant Ngansele du quartier voisin de Ngalasi, les riverains se fraient tant bien que mal un chemin à l'intérieur de ce ravin au sable mouvant.L'érosion a coupé net l'avenue de l'Université dans son tronçon qui relie l'université de Kinshasa (Unikin) à Kimwenza-mission, agglomération abritant plusieurs établissements scolaires et l'une des plus grandes bibliothèques d'Afrique centrale, tenue par les Jésuites.Veuve et mère de sept enfants, Espérance Tsimba, 57 ans, a vu sa boutique engloutie un jour de pluie. "J'ai perdu mon business. Depuis, il m'est difficile de scolariser" mes enfants, dit-elle, en réclamant "la construction de caniveaux" pour canaliser les eaux.Pour tenter de protéger leur domicile, les riverains construisent des digues en empilant des sacs remplis de sable, dans l'espoir de ralentir l'éboulement.Au fond de la vallée, cinq hommes placent également des sacs de sable censés dévier la trajectoire des eaux de pluie, tandis qu'en aval, à une centaine de mètres, à la surface, un véhicule de chantier aplanit et égalise le sable sur la chaussée. L'engin appartient à une entreprise chinoise, dont les responsables congolais sur le terrain ne souhaitent pas parler à la presse.L'érosion a commencé il y a environ six ans. "Ce n'est pas la première fois que des travaux de réhabilitation de la route sont lancés. Cela s'est fait à plusieurs reprises, mais sans jamais aboutir", déclare à l'AFP Sylvain Nsumbu, directeur d'une école primaire menacée par l'érosion.Retour des pluiesCe nouveau démarrage des travaux intervient après des manifestations organisées pour interpeller les autorités, racontent les riverains. "Nous avons fait des marches jusqu'à bloquer la route nationale 1 qui traverse notre commune", explique Magloire Kangondi."Nous demandons cette fois-ci que ça aille jusqu'au bout", implore Sylvain Nsumbu, qui a vu le mur de clôture de son école tomber dans le ravin et dit vivre avec "un danger permanent" depuis.Ici, "c'est la cour, les enfants y jouent pendant la recréation. Avant que l'érosion n'arrive, nous avions un portail ici, la clôture était là, il y avait même des mamans qui vendaient juste devant", dit-il en montrant le vide, là où se trouvait l'entrée de cet établissement de 170 enfants.Cette situation "nous fait très mal, nous avons aussi une école maternelle où les tout petits ont 4 ans, 5 ans, et doivent traverser ce ravin", ajoute-t-il, la mort dans l'âme. "Cette année, il y a même des parents qui ont préféré ne pas envoyer leurs enfants à l'école", ajoute M. Nsumbu.Il faut une vraie "urbanisation", plaide-t-il.Kinshasa, troisième ville la plus peuplée d'Afrique, avec quelque 12 millions d'habitants, a vu sa population doubler en 20 ans. La ville s'est étendue de manière souvent anarchique, des quartiers ont poussé sans viabilisation correcte, notamment sur les collines de la périphérie.Dans le quartier de Ngansele, un groupe de jeunes, réunis autour de Christel Bulembi, qui se présente comme un acteur de développement et leader communautaire, sensibilise pour une gestion responsable des "eaux de pluie sur un terrain fragile", combinaison expliquant selon lui l'ampleur de l'érosion.Spécialiste en gestion de l'environnement, M. Bulembi, né dans ce quartier, appelle les habitants à construire dans chaque parcelle au moins un puits de rétention des eaux de pluie, afin de minimiser les dégâts causés par les ruissellements sur la chaussée.Il estime cependant que "l'État congolais, garant de la chose publique, doit prendre ses responsabilités en urbanisant le quartier". "Et la population va accompagner les efforts du gouvernement", assure-t-il.En attendant, avec le retour des pluies, les habitants disent craindre le pire. En novembre 2019, une quarantaine de personnes avaient trouvé la mort à Kinshasa, victimes de pluies diluviennes qui avaient provoqué inondations et glissements de terrains. Mont-Ngafula avait été l'une des communes les plus touchées.
Il y a 3 ans et 104 jours

A Montpellier, Studio Jaouen joue du piano dehors

L’agence de Montpellier Studio Jaouen (Jaouen Pitois) a livré à Castelnau-le-lez (Hérault) pour des musiciens professionnels un pavillon de musique inséré entre jardin et piscine. Communiqué. Le projet des clients musiciens était d’avoir un pavillon de musique dans leur jardin en lien direct avec la grande terrasse et sa piscine existantes pour pouvoir répéter et […] L’article A Montpellier, Studio Jaouen joue du piano dehors est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 105 jours

Des ventes en hausse de 22% pour Caterpillar en 2021

RESULTATS. Le spécialiste des engins de chantier, Caterpillar, affiche des résultats en hausse pour l'année 2021. De bons résultats portés notamment par une forte demande des utilisateurs finaux.
Il y a 3 ans et 105 jours

L’apprentissage dans l’artisanat confirme son efficacité et suscite de plus en plus de vocations auprès des jeunes

L’apprentissage connaît un regain en France et notamment dans les 137 CFA du réseau des CMA qui forment chaque année 110 000 apprentis. Les métiers de l’artisanat sont considérés comme des voies d’avenir par les jeunes générations mais aussi par les adultes en reconversion.64 % des 16-29 ans choisissent leur orientation en fonction de leurs envies et vocationsDepuis la dernière rentrée scolaire, le réseau des CMA enregistre +9,5 % d’apprentis accueillis dans les 137 centres de formation du réseau des CMA. Un engouement confirmé par l’étude réalisée qui révèle que 88 % des jeunes voient les métiers d’artisanat comme des métiers d’avenir et qui rendent heureux, ce qui constitue une véritable opportunité pour la pérennité du secteur. Ils choisissent leur orientation (formation, métier, secteur) en fonction de leurs envies, mais aussi en fonction du sens (42 %), de l’équilibre avec la vie personnelle (26 %) et de l’assurance de toujours trouver un emploi (21 %).Enfin, on constate un renouvellement des profils des apprentis aux métiers de l’artisanat puisque 22 % sont de jeunes diplômés du secondaire et de l’universitaire en reconversion. En effet, d’après l’étude, près de 65 % des jeunes actifs et étudiants ont déjà regretté leur choix en matière d’orientation. Ce mouvement de transformation se concrétise également depuis le début de la crise sanitaire par le choix des femmes et des hommes, jeunes actifs, salariés, cadres ou dirigeants qui osent franchir le pas et se reconvertissent dans l’artisanat.Pour Joël Fourny, président de CMA France : « L’apprentissage est le meilleur moyen de lutter contre le chômage et constitue un levier majeur pour une relance durable de notre économie. Si jusqu’alors nous avions plutôt tendance à penser que seuls les jeunes en contrat d’apprentissage bénéficiaient de la voie royale pour s’insérer dans une entreprise artisanale ; nous assistons aujourd’hui à une hausse des demandes de formations pour des adultes en reconversion, avec 1 créateur d’entreprise artisanale sur 3 qui provient d’un autre univers professionnel et 10 % qui sont des cadres en reconversion ».L’apprentissage est l’une des solutions pour répondre aux problématiques de recrutement La reprise progressive de l’activité a entraîné des difficultés. Ainsi, de nombreux métiers (couvreurs, maçons, bouchers, ...) sont encore en tension. Pour faire face au manque de main d’œuvre et ne pas mettre un coup de frein à la relance, l’apprentissage est aujourd’hui un pilier de la relance : une réelle opportunité professionnelle et une assurance contre le chômage des jeunes.Depuis le redémarrage de l’activité et ce malgré la 5e vague COVID, 1⁄4 des entreprises artisanales se disent prêtes à accueillir un ou plusieurs apprentis. L’apprentissage est une des réponses aux problématiques de recrutement. 80 % des apprentis formés dans les CFA trouvent un emploi dans les 7 mois après leur diplôme.Double enjeu pour le réseau des CMA : continuer d’offrir un niveau de formation exigeant et faire évoluer les perceptions des jeunes sur les métiers de l’artisanat Si les métiers de l’artisanat et les perspectives professionnelles qu’ils offrent sont connues par 60 % des 16-29 ans, ils restent majoritairement associés à des métiers manuels (89 %) et pour lesquels l’excellence est de mise (70 %) .Faire le choix de l’artisanat, c’est s’appliquer à intégrer et transmettre tous les savoir-faire exigeants et les compétences techniques. L’apprentissage permet de faciliter ce passage dans la vie professionnelle pour 90 % des jeunes car il permet d’acquérir de la maturité et de devenir indépendant financièrement (89%). Il permet aussi et surtout une insertion professionnelle plus rapide et réussie.C’est tout le sens de cette Semaine de l’apprentissage dans l’artisanat organisée par le réseau des CMA, qui se déroule du 28 janvier au 4 février 2022 : faire découvrir au plus grand nombre les parcours de formation et opportunités proposés par la formation par apprentissage dans l’artisanat, et se lancer dans l’aventure pour devenir acteur de sa vie professionnelle.
Il y a 3 ans et 105 jours

Les créations et radiations d'auto-entrepreneurs en hausse dans le BTP en 2021

ENTREPRENEURIAT. Le nombre d'auto-entrepreneurs a fortement augmenté dans tous les secteurs de l'économie française à la moitié de l'exercice 2021, de même que la part de chefs d'entreprises déclarant un chiffre d'affaires positif. Cette tendance se retrouve à l'échelle du BTP, où le nombre de radiations a toutefois lui aussi progressé.
Il y a 3 ans et 105 jours

L'économie française a rebondi de 7% en 2021 surpassant largement toutes les prévisions

Cette première estimation, publiée vendredi 28 janvier par l'Insee, surpasse largement toutes les prévisions faites par les économistes, l'Institut de la statistique, comme la Banque de France, tablant par exemple sur une croissance de 6,7%.La dernière fois que l'économie française avait fait mieux, c'était en 1969 juste après la crise provoquée par le mouvement de mai 1968. "C'est un rebond spectaculaire", qui "efface la crise économique", s'est félicité le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sur France 2. "Ça prouve aussi aussi que la politique économique du gouvernement est efficace"" a-t-il ajouté.Au total, l'État aura encore dépensé l'an dernier un peu plus de 60 milliards d'euros, au prix d'un déficit public qui devrait avoisiner les 7% et d'une dette publique autour de 113%.Avec une telle croissance, la France devrait signer une des meilleures performances de la zone euro, à la mesure toutefois de l'ampleur du choc de la crise sanitaire sur l'économie nationale l'an dernier.La croissance a ainsi plafonné en Allemagne à 2,7% l'an dernier (-4,9% en 2020), frappée de plein fouet par les pénuries de matières premières et de composants pour l'industrie.Si l'économie française a connu une progression lente en début d'année (+0,1% au premier trimestre et +1,3% au deuxième), marquée par la troisième vague de l'épidémie et des restrictions encore importantes (couvre-feu, fermetures de commerces, jauges, etc.), elle a fortement accéléré au second semestre, avec une progression du PIB de 3,1% au troisième trimestre et de 0,7% au dernier, au moment où la quatrième vague du Covid a frappé la France.Sur le quatrième trimestre, l'activité "dépasse désormais nettement" son niveau d'avant crise sanitaire, souligne l'Institut national de la statistique.Sur le front de l'emploi, la France a connu une baisse record du chômage, avec un nombre de chômeurs qui a atteint son plus bas niveau depuis près de dix ans au dernier trimestre, selon des chiffres publiés un peu plus tôt cette semaine.Toutefois, sur l'ensemble de l'année 2021 le PIB reste "1,6 % en deçà de son niveau moyen en 2019", précise l'institut l'institut, signe que 2021 ne marque pas totalement un retour à la normale pour l'économie, la première partie de l'année ayant encore été marquée par d'importantes restrictions sanitaires liées à l'épidémie de Covid-19.Certains secteurs, comme le tourisme, les transports ou l'hôtellerie-restauration sont restés pénalisés par ces restrictions, qui ont réduit les déplacements et la vie sociale des Français.Consommation encore à la traîneCela se ressent notamment dans la consommation des ménages, qui n'a renoué avec son niveau d'avant-crise qu'à la toute fin de l'année, mais qui avec une hausse de 4,8% sur l'ensemble de 2021 reste inférieure à son niveau de 2019. En 2021, la croissance a été particulièrement portée par la forte progression de la production de biens et services (+7,4%, après -8,5% en 2020), même si la production de biens "reste sensiblement en retrait" par rapport à son niveau moyen de 2019, selon l'Insee.L'investissement des ménages (immobilier, etc.), des entreprises et des collectivités, en rebond de 11,6%, dépasse lui largement son niveau de 2019.Enfin, le commerce extérieur contribue légèrement positivement à la croissance, même si en moyenne annuelle "les exportations et les importations demeurent en 2021 à un niveau particulièrement dégradé".Pour 2022, le gouvernement table sur une croissance de 4%, quand la Banque de France prévoit 3,6%.L'Insee, qui n'a pas encore publié de prévision pour l'ensemble de l'année, anticipait en décembre une croissance de 0,4% au premier trimestre, puis 0,5% au deuxième.C'était avant que la vague Omicron ne frappe le pays, mais le gouvernement se veut optimiste: "Je ne redoute pas les effets d'Omicron" sur la croissance française, avait assuré Bruno Le Maire mercredi, promettant que le gouvernement continuerait de soutenir les entreprises pénalisées par les restrictions sanitaires.L'exécutif a aussi déployé plus de 15 milliards d'euros pour limiter les effets de l'accélération de l'inflation, en particulier des prix de l'énergie, sur les ménages.
Il y a 3 ans et 105 jours

TotalEnergies abandonne la construction de son pôle de R&D à Saclay

DÉCISION. TotalEnergies annonce qu'il ne lancera finalement pas les travaux de son pôle de R&D Nouvelles Energies & Electricité sur l'écosystème scientifique et technologique de Saclay. Néanmoins, il s'installera tout de même sur le site dans les locaux destinés à accueillir des centres d'innovation d'entreprises.
Il y a 3 ans et 105 jours

A Rueil Malmaison, pavillon domino par Camille Hermand

Cubisme et modernisme. A Rueil Malmaison (Hauts-de-Seine), d’un pavillon miniature de 50 m² des années 60 tout en arrêtes, Camille Hermand Architectures a fait un loft moderniste de 200 m² ouvert sur un jardin. Jeu de dominos ? Communiqué. Le jardin était immense, la maison minuscule. Les propriétaires n’ont pas résisté longtemps aux chants des oiseaux […] L’article A Rueil Malmaison, pavillon domino par Camille Hermand est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 105 jours

Kaufman & Broad ne retrouve pas son chiffre d'affaires de 2019

RÉSULTATS. Le promoteur immobilier Kaufman & Broad, qui a vu ses revenus progresser en 2021, table sur une croissance de 5% de son chiffre d'affaires en 2022, sous réserve d'une "stabilisation de la situation économique et sanitaire", a fait savoir l'entreprise dans son communiqué de résultats annuels.
Il y a 3 ans et 105 jours

Quartiers prioritaires : nouvelle convention pour le renouvellement urbain signée

TERRITOIRES. L'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) et la Banque des Territoires ont signé une convention nationale relative au renouvellement urbain des quartiers prioritaires de la politique de la ville.
Il y a 3 ans et 105 jours

Les logements neufs repartent nettement à la hausse tirés par les pavillons et lotissements

Selon les estimations dévoilées vendredi par le ministère de la Transition écologique, il y a eu 471.000 logements autorisés l'année dernière.Non seulement c'est nettement plus (+18,9%) qu'en 2020, quand les confinements avaient mis un coup d'arrêt à l'activité, mais c'est aussi davantage (+4,6%) qu'en 2019, avant l'irruption du Covid.Il faut remonter à août 2018 pour trouver un chiffre supérieur sur 12 mois.Mais surtout, la hausse est très nettement tirée par les pavillons et lotissements : avec 211.800 permis de construire pour des logements individuels, soit 15,8% de plus qu'en 2019, ce secteur n'a pas été aussi dynamique depuis presque 10 ans.Ce qui confirme chez les Français une forte progression pour le vert et l'envie de jardin avec la sortie des confinements.Les logements collectifs (259.200 permis de construire), eux, sont sortis du trou de la crise sanitaire mais restent encore en-deçà de l'avant-Covid.Pas le sens de l'histoire "C'est tiré par les logements individuels, c'est vraiment un des faits marquants des chiffres qui viennent de sortir", commente pour l'AFP Clara Wolf, économiste chez Meilleursagents."Dans tous les sondages qu'on fait, il y a cette envie de vert, d'espace, un certain désattrait des métropoles en faveur des zones périurbaines", ajoute Clara Wolf.Une tendance qui "ne va pas trop dans le sens de l'histoire", commente-t-elle, puisqu'en contradiction avec les impératifs environnementaux.La loi Climat et résilience, promulguée en août, pose l'objectif d'éviter l'artificialisation des sols, qui contribue au réchauffement climatique et à la perte de biodiversité.Or, les programmes immobiliers peuvent être très gourmands en foncier, surtout les maisons individuelles. La ministre du Logement Emmanuelle Wargon les avait d'ailleurs qualifiées en octobre de "non sens écologique, économique et social", pointant aussi la dépendance à la voiture qu'elles entraînent. Ce qui lui avait attiré les foudres du milieu de la construction.Le BTP à la peineDu côté des professionnels de l'immobilier, la crainte de voir les prix s'envoler en 2022 est forte.Pour Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers, "on est repartis vers une crise du logement" car trop peu de permis de construire sont octroyés.On est toujours, note-t-il, en-deçà de 2017, quand les permis de construire avaient atteint un pic en frôlant les 500.000 par an."Je n'arrête pas d'alerter les pouvoirs publics, les maires : attention, vous ne signez pas assez de permis de construire", dit-il.D'autant qu'à partir de 2023, les "passoires thermiques", soit les logements trop énergivores, commenceront à être exclus du marché locatif, lui faisant craindre une hausse des prix.Une autre préoccupation vient du secteur du bâtiment.Car selon les données du ministère, à prendre avec précaution en raison d'un changement de méthodologie en cours d'année, le bâtiment peine à suivre le rythme de la reprise.Avec 386.700 mises en chantier estimées en 2021, la France reste légèrement en-dessous de son niveau d'avant-crise.Les professionnels du BTP ont déjà souffert de la hausse des coûts des matériaux et des difficultés d'approvisionnement consécutives à la pandémie.Et certains ont dû retarder ou reporter leurs chantiers, alertait jeudi la Capeb, le syndicat patronal du secteur.L'entrée en vigueur, le 1er janvier, de la règlementation environnementale "RE2020", risque d'accentuer le phénomène.Elle impose en effet des bâtiments moins consommateurs d'énergie et mieux adaptés aux canicules, par exemple en posant des pompes à chaleur, et des constructions avec des matériaux plus écologiques, comme le bois.Ce qui risque de renchérir le coût des travaux, et donc de retarder des chantiers... ou d'augmenter le prix des maisons.
Il y a 3 ans et 105 jours

"Les petits propriétaires pâtiront de l'interdiction de louer" (Netinvestissement)

INTERVIEW. Pour Stéphane Van Huffel, cofondateur de Netinvestissement, le marché risque de se défluidifier si les propriétaires n'ayant pas les moyens de rénover leur bien le vendent au rabais.
Il y a 3 ans et 105 jours

"Ne faisons pas de l'accompagnateur rénov' un nouveau contrôleur", J-Ch.Repon (Capeb)

ARTISANAT. La rénovation énergétique est une activité qui « commence à décoller » pour les entreprises artisanales du bâtiment. Si la Capeb assure accueillir favorablement les dernières mesures en la matière et se satisfait du succès de MaPrimRénov', elle reste vigilante sur certains points, notamment sur la mise en place des accompagnateurs rénov'.
Il y a 3 ans et 105 jours

Rénovation thermique et pilotage nucléaire, deux "enjeux majeurs" du prochain quinquennat

DÉCARBONATION. Quatre dossiers devront être traités en priorité durant le prochain quinquennat, selon l'association Négawatt : le lancement d'un vaste programme de rénovation énergétique du parc immobilier, la mise en place d'une mobilité électrique durable et d'une stratégie industrielle respectueuse de l'environnement, et la réforme du mode de pilotage de l'énergie nucléaire. Tout cela étant censé permettre d'atteindre la neutralité carbone en 2050.
Il y a 3 ans et 105 jours

Forte augmentation du nombre d'auto-entrepreneurs à fin juin 2021 selon les Urssaf

Le nombre de radiations s’établit quant à lui à 326.000 comptes sur la même période, en hausse de 16,6 % par rapport à l’année précédente. Au deuxième trimestre 2021, 1.145.000 auto-entrepreneurs déclarent un chiffre d’affaires (CA) positif, soit 30,6 % de plus qu’au deuxième trimestre 2020, qui avait été marqué par le confinement sanitaire. Ces auto-entrepreneurs économiquement actifs représentent 51,3 % des inscrits au deuxième trimestre 2021. Cette part est plus élevée que le niveau bas enregistré un an plus tôt au plus fort de la crise (47,7 %), mais reste nettement inférieure aux niveaux qui prévalaient avant la pandémie (59,1 % au deuxième trimestre 2019), en lien, au moins en partie, avec le dynamisme des immatriculations (les premières déclarations de chiffre d’affaires pouvant prendre du temps). Après le ralentissement observé en 2020 dans le contexte de la crise, le chiffre d’affaires global renoue avec le fort dynamisme enregistré en 2018 et 2019 à la suite du doublement des plafonds donnant droit au statut d’AE : il dépasse ainsi pour la première fois les 5 milliards d’euros au deuxième trimestre 2021, soit 58 % de plus qu’au deuxième trimestre 2020 et 31 % de plus qu’au deuxième trimestre 2019. Le chiffre d’affaires trimestriel moyen (4.567 euros) est quant à lui en hausse de 21,3 % sur un an et de 6,1 % sur deux ans. Au 30 juin 2021, le nombre d’AE augmente dans tous les secteurs sur un an. Les immatriculations restent particulièrement dynamiques dans les activités de poste et de courrier et dans le commerce de détail non spécialisé, compte tenu du développement de la livraison à domicile et de la vente à distance. La région Île-de-France se démarque avec une évolution annuelle du nombre d’AE économiquement actifs dépassant 33 % alors que les autres régions se situent entre 27 % et 30 %.Fin juin 2021, le nombre d’auto-entrepreneurs (AE) inscrits ayant ou non déclaré un chiffre d’affaires est de 2,230 millions, en hausse de 17,2 % par rapport à l’année précédente. Cette progression est portée par le dynamisme des immatriculations, dont le nombre s’établit à 719.000 sur 12 mois fin juin 2021. Après être tombée à + 3,5 % fin 2020 (après + 7,5 % aux deux trimestres précédents), l’évolution annuelle des immatriculations est passée à + 14,7 % au premier trimestre 2021 avant d’atteindre + 30,1 % au deuxième trimestre 2021. Le nombre de radiations progresse aussi mais moins fortement que les immatriculations : au 30 juin 2021, on dénombre 326.000 radiations sur 12 mois , soit + 16,6 % sur un an. En 2020, la crise sanitaire et les mesures de restrictions ont pesé sur le chiffre d’affaires des auto-entrepreneurs. Ainsi, la part d’AE économiquement actifs s’établissait à 47,7 % au deuxième trimestre 2020, au plus fort de la crise, contre 59,1 % un an plus tôt. Au deuxième trimestre 2021, elle atteint 51,3 %.Ce niveau encore relativement faible s’explique, au moins en partie, par le dynamisme des immatriculations, les nouvelles activités pouvant mettre plusieurs mois avant de donner lieu à la déclaration d’un chiffre d’affaires. Néanmoins, compte tenu de la forte croissance du nombre d’auto1 Une immatriculation peut correspondre à une ré immatriculation rattachée à un SIREN existant. Il s’agit donc d’une notion différente de celle de la création d’entreprise retenue par l’Insee. 2 En tenant comptes des radiations automatiques de 2021 à effet au 31 décembre 2020 des AE n’ayant déclaré aucun chiffre d’affaires durant deux années consécutives, ainsi que des radiations automatiques qui n’avaient exceptionnellement pas eu lieu en 2020 en raison de la crise entrepreneurs, le nombre d’AE économiquement actifs augmente de 30,6 % sur un an et de 23,8 % sure deux ans. De même, le chiffre d’affaires trimestriel global progresse de 58,4 % par rapport au point bas du deuxième trimestre 2020, et de 31,3 % par rapport au deuxième trimestre 2019. Il s’établit à 5,2 milliards d’euros au deuxième trimestre 2021, dépassant ainsi pour la première fois les 5 milliards d’euros.Ce dynamisme est par ailleurs soutenu par la hausse du chiffre d’affaires moyen : au deuxième trimestre 2021, il atteint 4 567 euros, dépassant de 21,3 % le niveau bas (3 301 euros) enregistré un an plus tôt et de 6,1 % le niveau du deuxième trimestre 2019.Un dynamisme retrouvé dans tous les secteurs…Tous les secteurs affichent une hausse sur un an du nombre d’AE économiquement actifs, souvent très forte compte tenu du point bas du deuxième trimestre 2020. En particulier, les activités de poste et de courrier (+ 81,7 %), la restauration et débits de boissons (+ 46,4 %), le transport routier de frêt et déménagement (+ 36,5 %) et le commerce de détail non spécialisé (+ 33,8 %) continuent de bénéficier des changements de modes de consommation (vente à distance, livraison à domicile), accélérés par la crise. Ces quatre secteurs représentent un quart des nouvelles immatriculations sur 12 mois. Le secteur du conseil pour les affaires (+ 39,2 %) et les activités immobilières (+ 39,3 %) sont aussi très dynamiques. Ces dernières affichent en outre l’une des plus fortes hausses sur deux ans (+ 47,1 %), avec les activités de nettoyage (+49,1 %) et les activités de poste et courrier (+ 137,3 %). Le secteur des arts et spectacles et autres activités récréatives, et celui des activités sportives, qui ont singulièrement pâti de la crise sanitaire, rebondissent (respectivement + 40,1 % et +28,8 %) mais ne reviennent pas à leur niveau du deuxième trimestre 2019 (respectivement - 7,6 % et - 2,7 % sur deux ans).L’évolution du chiffre d’affaires (CA) moyen est positive sur un an dans tous les secteurs, à l’exception des activités de poste et de courrier (- 11,2 %) et du commerce de détail non spécialisé (- 11,9 %). Dans ces secteurs, le poids des AE nouvellement immatriculés, en général peu générateurs de revenus, pèse fortement sur le CA moyen. Sur deux ans, les plus fortes progressions du CA moyen concernent les secteurs de l’informatique, l’information et la communication (+ 21,6 %) et de la santé (+ 21,1 %). A contrario, le CA moyen est en nette baisse sur deux ans dans les secteurs des taxis-VTC (- 32,6 %), de l’hébergement (- 26,0 %) et de la restauration et débit de boissons (- 22,8 %). Au deuxième trimestre 2021, les activités immobilières dégagent le CA trimestriel moyen le plus élevé (8.617 euros, soit 17,0 % sur deux ans). A l’inverse, le secteur des activités de poste et de courrier se caractérise par un CA moyen très bas, à 1.576 euros. …et toutes les régions La hausse sur un an des AE économiquement actifs concerne toutes les régions. Elle est la plus marquée en Île-de-France (+ 33,8 %), en lien notamment avec la croissance des effectifs des activités de poste et de courrier. Elle est en revanche la moins forte en Bretagne (28,8 %) et en Occitanie (27,8 %). La progression sur un an du chiffre d’affaires global est quant à elle plus soutenue en Pays de la Loire (+ 64,4 %) et en Nouvelle Aquitaine (+ 61,4 %).
Il y a 3 ans et 105 jours

La ventilation double flux pour une meilleure QAI ?

Un rapport sur la rénovation des maisons individuelles permet d’affirmer que c’est bien le taux de renouvellement de l’air intérieur qui détermine la qualité de l’air intérieur. La double flux s’avèrerait ainsi plus efficace.