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Il y a 3 ans et 107 jours

Podcast #9 – Comment réaliser un béton matricé ?

Raconté par Nadia Zanoun – Production & réalisation : Sivagami Casimir Retrouvez cet article dans le n° 79 de Béton[s] le Magazine I – Qu’est-ce qu’un béton matricé ? L’objectif d’un béton matricé est de donner une forme à la matière. La matrice permet donc de “modeler” le béton, souvent pour l’obtention de parements rappelant des éléments naturels, comme le bois ou la pierre. La matrice offre aussi la possibilité de créer des formes géométriques à la surface du béton. De plus, les industriels proposent des créations sur mesure, en fonction des besoins des clients, mais aussi pour répondre aux souhaits des architectes.  ACPresse · Béton Pratique – Comment réaliser en béton matricé – Raconté par Nadia Zanoun – Production & réalisation : Sivagami Casimir II – Comment préparer sa matrice ? La première chose à faire est de bien choisir sa matrice. Il s’agit d’un moule amovible, en polyuréthane, dont la dureté et la souplesse doivent être adaptées au nombre de réemplois à effectuer. Ceux-ci allant en général de 10 à 100.  Il faut ensuite préparer le coffrage sur lequel la matrice sera collée. Le support coffrant doit être propre, sec et dégraissé. Il peut aussi être poncé pour obtenir une planéité parfaite. Dans l’organisation du chantier, des coffrages sont mobilisés de façon spécifique pour les bétons matricés. A la réception de la matrice sous forme de rouleaux, il est nécessaire de la stocker à plat et de la laisser reprendre sa forme pendant 48 h. Elle stabilisera ainsi son niveau dimensionnel. Passé ce délai, il convient de réaliser un montage à blanc, afin de bien vérifier le plan de calepinage et les joints. Il est possible de recouper la matrice avec un simple cutter pour un ajustement parfait.  Ensuite, la matrice peut être collée sur la surface coffrante avec le produit conseillé par le producteur de la matrice. Il est important d’éviter les surépaisseurs de colle, afin d’éviter tout désordre sur le parement final. Il convient ensuite de lester, de façon homogène, la matrice sur toute la surface et de laisser sécher la colle durant 48 h. III – Comment procéder au coulage du béton ? Une fois la matrice collée sur le coffrage, il est indispensable d’appliquer sur la matrice un agent de démoulage spécifique, conseillé par le fabricant. En effet, la nature poreuse de la matrice impose de la “nourrir” en surface. Pour cela, il faut appliquer au chiffon une cire en pâte. Cette opération doit être renouvelée tous les 10 à 20 démoulages. La dernière étape avant le coulage sera de pulvériser sur l’ensemble un agent de démoulage pauvre en solvant. Cette opération sera renouvelée à chaque décoffrage.  Pour le coulage, le choix de la formule béton est important. Il convient de réaliser de beaux bétons, qui suivent bien les contours de la matrice. Le béton sera donc fluide, au minimum un S4, voire un S5 et quelques fois un béton auto-plaçant s’imposera. C’est la matrice, qui dicte le choix du béton : plus le dessin est complexe, plus les rainures sont profondes, plus le béton devra être fluide. Dans tous les cas, l’utilisateur des matrices devra se rapprocher de son fournisseur de béton prêt à l’emploi pour qu’il réalise une formulation “de parement”, enrichie en éléments fins.  IV – Quelle est la procédure pour le démoulage ? D’un point de vue technique, le démoulage ne pose pas de problème particulier. Mais il est important de respecter un temps de séchage constant sur la durée du chantier. Dans les cas de matrices dites “classiques”, le phasage idéal étant de démouler le matin, d’enchaîner avec la préparation du coulage suivant et de couler les bétons en début d’après-midi. Ainsi, le temps de séchage reste le même pour chaque pièce.  Pour pérenniser l’esthétique des bétons matricés, il conviendra ensuite d’appliquer une protection de type anti-graffitis ou encore une lasure qui, en plus d’assurer une protection, apportera de la couleur et mettra en valeur les reliefs du parement béton.  Sujet réalisé en collaboration avec Benoît Baulande, directeur technique de GCP Applied Technologies. Retrouvez cet article dans le n° 79 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 107 jours

Sobriété foncière : front uni des urbanistes et aménageurs

La lutte contre l’étalement urbain fédère trois réseaux nationaux dans une « déclaration commune » : la fédération nationale des agences d’urbanisme, l’association des établissements publics fonciers locaux et le réseau national des établissements publics fonciers de l’Etat profiteront de toutes les occasions, en 2022, pour faire connaître et partager leurs pratiques de sobriété foncière.
Il y a 3 ans et 107 jours

Métiers verdissants : le Bâtiment, un secteur moteur !

ÉTUDE. Le ministère de la Transition écologique a récemment dévoilé les résultats d'une étude portant sur les métiers de l'économie verte. En la matière, le Bâtiment tire son épingle du jeu et se distingue par son dynamisme.
Il y a 3 ans et 107 jours

JO 2024 : La Solideo "tiendra les coûts", malgré des indices supérieurs à 5%

AMÉNAGEMENT. A moins de deux ans de la livraison des équipements et logements devant servir pour les jeux olympiques et trouver ensuite un usage pérenne, l'aménageur se dit confiant sur sa capacité à tenir "à la fois les délais, les coûts et les ambitions", grâce notamment à des marchés passés "très en amont". Point d'étape des principaux sites olympiques.
Il y a 3 ans et 107 jours

L’ADEME et le CSTB présentent 4 scénarios prospectifs inédits permettant d’anticiper les avenirs possibles pour le bâtiment et l’immobilier, à l’horizon 2050

Pour permettre à chacun de se préparer, l’ADEME et le CSTB ont conduit depuis deux ans des travaux de prospective qui dessinent pour les bâtiments, d’ici à 2050, des avenirs plus ou moins cléments, mais probables.Ils ont permis, dans le cadre d’une concertation avec les acteurs, d’élaborer une boite à outils, partant de 22 facteurs-clés et aboutissant à 4 scénarios présentés ce 25 janvier, à l’occasion d’un colloque dédié. Dans le cadre de la démarche prospective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », menée par l’ADEME et le CSTB, les acteurs de la construction et de l’immobilier ont été invités à partager leurs points de vue sur ce que pourraient être les bâtiments en France, à l’horizon 2050. A quoi ressembleront-ils ? Dans quelle mesure seront-ils en capacité d’abriter les activités humaines ? Les filières se seront-elles adaptées aux nouveaux défis ? Etc.4 scénarios ont ainsi été élaborés, tenant compte de 22 facteurs-clés dans leur évolution, dessinant des avenirs plus ou moins cléments, sources de rééquilibrages ou au contraire, de disparités :Difficile de tout faire, ou la difficulté pour les acteurs de tout faire simultanément, face aux grandes transitions. Le parc évolue alors de manière contrastée, avec des bâtiments performants, mais aussi un nombre encore important d’ouvrages mal adaptés. Le bâtiment comme service, les acteurs s’adapteraient rapidement aux défis des transitions écologique et démographique. Une mutation profonde du bâtiment s’opère, avec, en ville des ouvrages, pensés comme des « services » mis à disposition des occupants. Rééquilibrage(s), au profit des territoires périurbains, des villes moyennes ou des territoires ruraux. La préservation de l’environnement et l’anticipation des crises systémiques deviennent des priorités. Pénuries, ou l’impact des crises systémiques (climatique, économique, sanitaires) sur les capacités de fonctionnement des parties prenantes (ménages, entreprises, pouvoirs publics…).Une démarche prospective qui se poursuitCes 4 scénarios livrent un premier éclairage précieux aux acteurs de la construction et de l’immobilier. Pour leur permettre d’aller plus loin, l’action prospective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », forte de l’accueil très positif rencontré et de l’implication de la filière dans la démarche, s’enrichit. L’enjeu est désormais de capitaliser sur les travaux déjà menés, à travers 3 axes : L’accompagnement des acteurs souhaitant utiliser les outils créés dans le cadre de la démarche, afin d’alimenter la réflexion stratégique au sein de leur organisationL’enrichissement et le croisement des données, pour des scénarios encore plus robustes et facilement déclinables, selon les activitésLe lancement d’une démarche collective complémentaire, intitulée « Imaginons le bâtiment et l’immobilier au temps de l’économie circulaire ».Pour Arnaud Leroy, Président de l’ADEME : « Avec les scénarios Transition(s) 2050 et la Boite à Outils « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », nous avons voulu donner à chaque acteur du bâtiment et de l’immobilier toutes les clés pour les aider à mieux se projeter dans les grandes mutations à venir. Ces travaux permettent de comprendre les ordres de grandeur de la transition écologique, mais également les implications concrètes en termes d’évolution des filières bâtiment et immobilier. N’hésitez pas à vous en saisir ! »Pour Etienne Crépon, Président du CSTB : « Le secteur de l’immobilier est au cœur de toutes les transitions et transformations que connaît et va connaître notre société. La démarche collective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », permet d’esquisser des avenirs possibles. A nous de nous en saisir pour anticiper et mieux préparer le futur. C’est dans cette optique que cette démarche va se poursuivre : forts de ces premiers travaux et des recherches que nous avons menées en parallèle, nous sommes à même de les enrichir par une analyse quantitative et les approfondir sur la question des ressources et de l’économie circulaire. »
Il y a 3 ans et 107 jours

Les artisans du bâtiment débutent 2022 avec enthousiasme

CONJONCTURE. Les entreprises de la construction ont semblé gagner en visibilité en ce mois de janvier : les perspectives sur leur activité s'améliorent, tout comme leurs prévisions d'embauches. Le manque de main-d'oeuvre persiste mais de plus en plus de professionnels déclarent former des apprentis.
Cimbat
Il y a 3 ans et 107 jours

Une reprise de l'investissement en trompe-l'œil ?

Malgré un effort de l'Etat et la montée en puissance des contrats de relance et de transition écologique, les incertitudes persistent à deux mois et demi de la date limite du vote des budgets primitifs.
Il y a 3 ans et 107 jours

Rénovation énergétique, PME-ETI et région parisienne portent les recrutements dans le BTP

DÉCRYPTAGE. Le dynamisme semble de mise pour le secteur de la construction : l'activité importante des chantiers de rénovation énergétique et des grands projets comme le Grand Paris ou les Jeux Olympiques 2024 incite une majorité de petites et moyennes entreprises à embaucher. Mais les tensions demeurent sur certains postes, malgré parfois des rémunérations attrayantes. Tour d'horizon du marché du travail dans le BTP, l'architecture, l'immobilier et l'énergie.
Il y a 3 ans et 107 jours

La CLCV demande des mesures pour le chauffage collectif au gaz

La CLCV, association de défense des consommateurs, souhaite faire entendre la voix des "oubliés les mesures gouvernementales", les ménages chauffés collectivement au gaz. (Photo © tookapic) 
Il y a 3 ans et 107 jours

L’économie de l’hydrogène laisse entrevoir une nouvelle dynamique énergétique mondiale

La croissance rapide de l’économie mondiale de l’hydrogène pourrait apporter des changements géoéconomiques et géopolitiques importants en générant une vague d’interdépendances inédites, selon une nouvelle analyse de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA). D’après le rapport intitulé « Geopolitics of the Energy Transformation: The Hydrogen Factor », l’hydrogène serait en train de modifier la géographie du commerce de l’énergie et de régionaliser les relations énergétiques, comme en témoigne l’émergence de nouveaux centres d’influence géopolitique construits autour de la production et de l’utilisation de l’hydrogène, alors que le commerce traditionnel du pétrole et du gaz est en déclin.Sous l’effet de l’urgence climatique et des engagements des pays à réduire leurs émissions nettes à zéro, l’IRENA estime que l’hydrogène couvrira jusqu’à 12 % de la consommation mondiale d’énergie d’ici 2050. La croissance du commerce et des investissements ciblés sur un marché dominé par les combustibles fossiles et actuellement évalué à 174 milliards d’USD va probablement stimuler la compétitivité économique et modifier le panorama de la politique étrangère avec la conclusion d’accords bilatéraux très éloignés du type de relations qui caractérisaient le marché des hydrocarbures au XXe siècle.« L’hydrogène pourrait s’avérer être le chaînon manquant vers un avenir énergétique sans danger pour le climat », signale Francesco La Camera, directeur général de l’IRENA. « L’hydrogène profite clairement de la révolution des énergies renouvelables, l’hydrogène vert s’imposant comme le joker qui permettra d’atteindre la neutralité climatique sans compromettre la croissance industrielle et le développement social. Mais l’hydrogène n’est pas le nouveau pétrole. Et la transition ne consiste pas à changer de carburant mais à changer de système, d’où des perturbations politiques, techniques, environnementales et économiques. »« C’est l’hydrogène vert qui amènera toutes sortes de nouveaux participants sur le marché, diversifiera les itinéraires et les sources d’approvisionnements et entraînera une déconcentration du pouvoir vers une multitude d’acteurs. Avec la coopération internationale, le marché de l’hydrogène pourrait être plus démocratique et plus inclusif, et offrir de nouvelles perspectives aussi bien aux pays développés qu’aux pays en développement. »L’IRENA estime que plus de 30 % de l’hydrogène pourrait être dédié au commerce transfrontalier d’ici 2050, un pourcentage plus élevé que pour le gaz naturel aujourd’hui. Des pays qui ne sont pas des acteurs traditionnels du négoce d’énergie établissent des relations bilatérales autour de l’hydrogène. Alors que de plus en plus d’intervenants et de nouvelles classes d’importateurs et d’exportateurs nets émergent sur la scène mondiale, il est peu probable qu’on assiste à une militarisation et à une cartellisation du commerce de l’hydrogène, contrairement à ce qu’on observe avec l’influence géopolitique du pétrole et du gaz.Le commerce transfrontalier d’hydrogène est appelé à se développer considérablement. En effet, plus de 30 pays et régions prévoient déjà aujourd’hui une forte activité commerciale. Certains pays qui se projettent en tant que futurs importateurs, comme le Japon et l’Allemagne, misent déjà sur la diplomatie dans le domaine de l’hydrogène. Les exportateurs de combustibles fossiles considèrent de plus en plus l’hydrogène propre comme un moyen intéressant de diversifier leur économie. C’est le cas, par exemple, de l’Australie, d’Oman, de l’Arabie saoudite ou des Émirats arabes unis. Néanmoins, des stratégies de transition économique plus larges s’imposent car l’hydrogène ne compensera pas les pertes de revenus du pétrole et du gaz.Le potentiel technique de production d’hydrogène dépasse largement la demande mondiale estimée. Les pays les plus capables de produire de l’électricité renouvelable bon marché seront les mieux placés pour produire de l’hydrogène vert compétitif. Alors que certains pays comme le Chili, le Maroc ou la Namibie sont aujourd’hui des importateurs nets d’énergie, ils sont en passe de devenir des exportateurs d’hydrogène vert. Tirer parti du potentiel de régions comme l’Afrique, les Amériques, le Moyen-Orient et l’Océanie pourrait limiter le risque de concentration des exportations, mais de nombreux pays auront besoin de transferts de technologie, d’infrastructures et d’investissements à grande échelle.La géopolitique de l’hydrogène propre se déroulera probablement en différentes étapes. D’après le rapport, on assistera dans les années 2020 à une grande course au leadership technologique. Mais la demande ne devrait décoller qu’au milieu des années 2030. À ce moment-là, l’hydrogène vert concurrencera les coûts de l’hydrogène fossile à l’échelle mondiale, un phénomène annoncé encore plus tôt dans des pays comme la Chine, le Brésil et l’Inde. L’hydrogène vert était déjà abordable en Europe lors de la flambée des prix du gaz naturel en 2021. La remise à neuf des gazoducs devrait encore stimuler la demande et faciliter le commerce de l’hydrogène.Les pays dotés d’un vaste potentiel d’énergie renouvelable pourraient devenir des sites d’industrialisation verte et utiliser leur potentiel pour attirer des industries très énergivores. De plus, prendre part à la chaîne de valeur de l’hydrogène peut stimuler la compétitivité économique. La fabrication d’équipements comme les électrolyseurs et les piles à combustible, en particulier, pourrait stimuler l’activité. La Chine, le Japon et l’Europe ont déjà acquis une longueur d’avance dans la production, mais l’innovation transformera encore le paysage manufacturier actuel.L’hydrogène vert peut renforcer l’indépendance, la sécurité et la résilience énergétiques en réduisant la dépendance aux importations et la volatilité des prix et en renforçant la flexibilité du système énergétique. Cependant, les matières premières nécessaires à l’hydrogène et aux technologies renouvelables posent la question de la sécurité matérielle. Les pénuries et les fluctuations de prix pourraient se répercuter sur les chaînes d’approvisionnement en hydrogène et avoir une incidence négative sur les coûts et les revenus.Façonner les règles, les normes et la gouvernance de l’hydrogène pourrait conduire à une concurrence géopolitique ou ouvrir une nouvelle ère de coopération internationale renforcée. En particulier, aider les pays en développement à déployer des technologies de l’hydrogène vert et à développer les industries de l’hydrogène permettrait d’éviter d’accentuer encore les écarts en matière de décarbonisation au niveau mondial et favoriserait l’équité et l’inclusion en créant des chaînes de valeur locales, des industries vertes et des emplois dans les pays riches en énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 107 jours

Concours international : Carpark Futures

Le concours « Carpark Futures » invite les jeunes architectes du monde entier à réfléchir au potentiel architectural, technique et environnemental d’une revalorisation des parkings souterrains, lors d’un challenge en 72 heures ! Jusqu’au 17 avril 2022. Ce concours ouvert aux architectes de moins de 40 ans, inscrits seuls ou en équipe, invite la jeune génération de […] L’article Concours international : Carpark Futures est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 107 jours

Le groupe Akiolis augmente ses capacités de traitement de l’air sur son site de Pontivy

Le groupe Akiolis a installé un nouveau purificateur d’air dans son usine de traitement de déchets d’abattoir à Pontivy.
Il y a 3 ans et 107 jours

Ciment d'argile crue : Materrup passe à l’industrialisation dans les Landes

La start-up landaise Materrup démarre la commercialisation de son ciment d’argile non calcinée, destiné à remplacer le ciment traditionnel dans la composition du béton. Une technologie qui répond à la fois à l’urgence climatique et aux exigences de la RE 2020.
Il y a 3 ans et 107 jours

Saint-Gilles-Croix-de-Vie : l’avenue Jean-Cristau sera en chantier jusqu’en avril prochain

Le chantier mené sur l’avenue Jean-Cristau, à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, s’élève à plus de 700 000 euros.
Il y a 3 ans et 107 jours

Avignon : les travaux d’extension de la pépinière Créativa arrivent bientôt à leur terme

La pépinière Créativa, installée sur le technopôle Agroparc, se dotera en mai prochain d’un nouveau bâtiment écoresponsable.
Il y a 3 ans et 107 jours

Seine-et-Marne : concertation publique pour la future prison de Crisenoy

Jusqu’au 25 février, le projet de construction d’une maison d’arrêt de 1 000 places à Crisenoy fera l’objet d’une concertation publique.
Il y a 3 ans et 107 jours

JO 2024 : un ouvrier grièvement blessé sur le chantier du village olympique

ACCIDENT. Le parquet de Bobigny a annoncé qu'un ouvrier avait été blessé ce lundi 24 janvier 2022 sur un chantier des Jeux Olympiques de Paris. Une enquête a été ouverte.
GDA
Il y a 3 ans et 107 jours

Le SNEP confie sa marque « QualiPVC fenêtre » à l’UFME

Adapté à toutes les tailles d’entreprises et plus particulièrement aux petites structures, le process d’obtention de cette marque est rapide et simple, au coût adapté et maîtrisé.La mise en place de cette démarche qualité peut être appréciée comme une première étape vers la certification NF Fenêtre. Idéale pour une entreprise qui n’a pas la ressource nécessaire pour gérer différents marquages. QualiPVC fenêtre permet ainsi aux titulaires, avec une seule marque, un seul logo, de mettre en avant la qualité de leur fabrication et son origine française, au-delà du classique et généralisé « made in France ».Une marque qualité accessible à tous...La procédure est simple. Le fabricant retire son dossier auprès de l’UFME ou de son coach gammiste QualiPVC fenêtre. Une fois complété, il le renvoie vers l’instructeur indépendant SOCOTEC qui procède à un audit du système qualité de la production sur site. Le rapport est ensuite transmis auprès du comité de marque qui délivre le droit d’usage de la marque pour une durée de deux ans renouvelables.Les entreprises bénéficiaires en tirent de multiples avantages, avec en premier lieu la reconnaissance de leur savoir-faire. Leurs produits attestent d’une valeur ajoutée pour répondre aux appels d’offres et faciliter l’accès aux dispositifs financiers et aides gouvernementales mis à disposition des foyers. Les candidats fabricants disposent de l’accompagnement personnalisé d’un coach gammiste fabricant de profilés PVC et de l’appui d’une communication nationale valorisant la fenêtre PVC et la marque QualiPVC fenêtre....aux exigences élevées : un repère pour les consommateursQualiPVC fenêtre vise à apporter la preuve de la bonne application du Contrôle de Production en Usine (CPU) de la norme harmonisée NF EN 14351-1. Le règlement définit une organisation rigoureuse et documentée, s’appuyant sur des moyens adaptés pour obtenir, de manière fiable et reproductible, un produit de qualité aux performances revendiquées. Elle permet ainsi aux entreprises de justifier de la conformité aux exigences générales et spécifiques du NF DTU 36.5 P1-2 CGM de leur fabrication de fenêtre en profilés PVC. La démarche qualité et sa conformité au règlement d’usage sont contrôlées au cours des deux ans de validité du droit d’usage de la marque par des audits de suivi dont le nombre et la fréquence sont adaptés selon les volumes de production de menuiseries.
Il y a 3 ans et 107 jours

"Les Promesses", un film qui plonge dans la réalité des copropriétés dégradées

CULTURE. Le nouveau long-métrage de Thomas Kruithof s'intéresse à la politique locale, à la banlieue et à la survie d'une cité insalubre. Un portrait réaliste des difficultés que peuvent rencontrer les élus, applaudi par de grands acteurs de l'habitat.
Il y a 3 ans et 107 jours

Le groupe Buesa récupère la branche TP de Famy

Le languedocien Buesa a acquis la branche TP du groupe familial Famy basé dans l’Ain. Ce rachat se traduit par un élargissement de son périmètre en Rhône-Alpes, Bourgogne et Franche-Comté. Le groupe biterrois représente désormais plus de 1 100 salariés et un chiffre d’affaires de 170 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 107 jours

Edilteco France renouvèle l'avis technique des mortiers de remplissage Politerm 200 et 300

Le Groupe spécialisé n° 13 « Procédés pour la mise en œuvre des revêtements » de la Commission du CTSB a formulé un nouvel Avis Technique N° 13/16 – 1320_V1 pour les formules Politerm 200 et Politerm 300. Composées de ciment et d’agrégats en billes de PSE expansé, traitées, les formules Politerm 200 et Politerm 300 permettent la réalisation de remplissages allégés en construction neuve ou en rénovation pour des bâtiments courants.Cette version annule et remplace le précédent Avis Technique 13/16-1320 et intègre également une modification avec l’ajout d’un nouveau site de production des billes de polystyrène.En effet, depuis le mois de juin 2021, l’usine Edilteco France du Pontet (84) accueille une ligne de production et d’enrobage pour l’agrégat Politerm.Cette nouvelle ligne permet d’accroître la fabrication du procédé et de répondre à une demande croissante mais également d’amoindrir le bilan carbone de l’entreprise en produisant au plus près des clients et ainsi réduire les coûts de transport et les émissions de GES.Un agrégat de PSE pour un allègement des structuresL’agrégat léger Politerm, bille de polystyrène vierge expansé, à granulométrie contrôlée, enrobée de l’adjuvant breveté E.I.A, (conçu et développé dans les laboratoires d’Edilteco) permet d’alléger les structures grâce à un gain de poids.Ce gain est obtenu par la réduction d’agrégats traditionnels, au profit de l’adjonction de Politerm, qui permet d’atteindre des cœfficients de conductivité thermique à partir de 0,066 W/mK (Politerm 200) et 0,082 W/mK (Politerm 300). Les formules Politerm 200 et Politerm 300, sont donc des mortiers légers dont les masses volumiques, variant 200 kg/m3 et 300 kg/m3, s’avèrent inférieures à celle du béton traditionnel. Les gains de poids volumiques respectifs de 90 % et 88 % offrent un allègement considérable des structures. Et cet allègement qui ne se fait pas au détriment de la robustesse, est permis par un process de fabrication de qualité contrôlée. Les agrégats Politerm sont des billes de polystyrène à cellules fermées, fabriquées par la société Edilteco France et enrobées de l’adjuvant E.I.A. Ils ne proviennent en aucun cas de broyage de panneaux ou de matières recyclées. L’expansion des grains de polystyrène est obtenue par traitement à la vapeur d’eau. Les billes sont alors hydrophobes, imputrescibles et insensibles aux réactions alcalines. Elles sont stockées dans un silo pendant minimum 24 heures, ce qui assure leur stabilisation, avant d’être enrobées par l’adjuvant E.I.A. Ce traitement permet d’éviter toute ségrégation entre billes et liants hydrauliques et garantit l’homogénéité du mélange. Un procédé décliné et éprouvéCe procédé d’agrégat isolant est donc idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques.Il permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existant, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Il s’adapte aussi bien aux travaux neufs qu’aux travaux de rénovation.Mise en œuvre simplifiée et rapideLes remplissages allégés Politerm 200 et Politerm 300 sont destinés à réaliser une couche de remplissage non armée servant à niveler le support en une forme qui recevra une couche supérieure.Ce procédé rattrape donc irrégularités, déformations, changements brusques de niveaux, et permet de noyer les canalisations de plomberie, tuyauteries, câbles, fourreaux, gaines électriques etc.Le Politerm 200 s’emploie donc aussi bien pour des opérations de remplissage pour une remise à niveau des pentes, que de ravoirage, ravoirage isolant et d’isolation thermique.De même, le Politerm 300 s’emploie pour du ravoirage, de l’isolation thermique, de l’isolation acoustique aux bruits de chocs et pour une remise à niveau de plancher.Parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur, les mortiers légers Politerm 200 et Politerm 300 se mettent en œuvre facilement.Lors des mises à niveau et de la confection de supports de revêtement, l’application est simplifiée et rendue plus efficace par sa consistance mousseuse.Dès lors, l’obtention d’un nouvel A.T. des formulations Politerm 200 et Politerm 300, confirme le caractère exclusif et technique d’allègement des structures sans déperdition thermique et avec une amélioration de l’isolation acoustique ; ainsi que l’engagement d’Edilteco France dans une démarche de contrôle qualité certifiée répondant aux exigences de chantiers multiples.
Il y a 3 ans et 107 jours

Cournonterral : le nouveau parc d’activité économique de Cannabe sera prêt d’ici à mars 2022

Les travaux de viabilisation du nouveau parc d’activité de Cannabe devraient se terminer en mars prochain.
Il y a 3 ans et 107 jours

Sur votre facture électrique, le tarif bleu augmente de 4% au lieu de 44,5%

Le Gouvernement modère la hausse du tarif bleu pour les particuliers et les clients professionnels. Dans sa délibération du 18 janvier, la CRE explique le mécanisme de la hausse et de sa compensation.
Il y a 3 ans et 107 jours

Convention de coopération entre le CCCA-BTP et la CAPEB pour la formation au profit des entreprises artisanales du bâtiment et des jeunes

Pour y répondre et développer une politique ambitieuse de formation professionnelle de qualité, la CAPEB a souhaité renforcer ses collaborations avec le CCCA-BTP, en s’appuyant sur ses différentes expertises et champs d’intervention, afin d’impulser l’innovation dans l’apprentissage et dans l’accompagnement du développement de la formation professionnelle.Tel est l’objet de la convention de partenariat mise en place entre le CCCA-BTP et la CAPEB pour une durée de trois ans, pour répondre aux besoins en compétences des entreprises artisanales du bâtiment, répondre aux attentes des jeunes générations et valoriser l’excellence des métiers, des carrières et des formations professionnelles.Six champs d’actions pour accélérer l’innovation et l’excellence de l’apprentissage BTPLa réalisation d’études prospectives sur les nouveaux enjeux de l’apprentissage adaptés et sur l’évolution des attentes des jeunes générations, incluant la féminisation des métiers et la sensibilisation à l’esprit d’entreprendre.La sensibilisation des entreprises artisanales du bâtiment, déjà investies dans l’apprentissage, aux nouvelles attentes des jeunes, prenant en compte des sujets comme le rapport à la hiérarchie, la féminisation des métiers, la responsabilité sociétale, l’innovation et l’esprit d’entreprendre.Le décryptage des innovations émergentes pour sensibiliser les entreprises artisanales du bâtiment aux nouveaux gestes professionnels liés à l’introduction de technologies novatrices, ou encore de nouveaux matériaux, afin de faire évoluer les usages, identifier les besoins en compétences pour y répondre, ainsi que les actions de formation à mettre en place.La promotion conjointe des métiers et des formations du bâtiment auprès des jeunes, en prenant en compte leurs attentes, et valoriser l’excellence de l’apprentissage comme voie de formation privilégiée de réussite.La valorisation des nouvelles modalités d’accompagnement et de formation des jeunes auprès des entreprises artisanales du bâtiment, afin de les sensibiliser, en particulier sur les thématiques du numérique, de la transition énergétique, de la mobilité européenne, ou encore de la formation en situation de travail (AFEST). Il s’agit d’accélérer et de mieux articuler ces évolutions et d’offrir un accueil et une intégration optimale aux jeunes au sein des entreprises formatrices.L’appui au déploiement des certifications professionnelles et à la création des parcours de formation auprès de la CAPEB dans le cadre des missions confiées au CCCA-BTP, en sa qualité d’opérateur des certifications pour les branches du bâtiment et des travaux publics.Pour Éric Routier, président du CCCA-BTP : « La mise en place de ce partenariat réaffirme les liens forts entre le CCCA-BTP et la CAPEB, membre de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, dans un contexte de profonde mutation des métiers du bâtiment, où les enjeux et besoins en compétences professionnelles des entreprises artisanales n’ont jamais été aussi importants et le seront plus encore dans les prochaines années. Ce partenariat s’inscrit dans la dynamique de développement de l’apprentissage que nous portons, notamment pour accompagner et accélérer l’innovation dans les métiers et les entreprises de notre secteur. Il permet aussi de mettre en œuvre des actions nous assurant d’être en phase avec les attentes des jeunes générations et de promouvoir l’excellence des métiers du bâtiment, qui sont des métiers porteurs de sens et de valeurs. Les actions que nous entreprendrons permettront d’identifier et de déployer des solutions au profit des entreprises artisanales du bâtiment, afin d’assurer et valoriser le lien essentiel entre compétences et formation à nos métiers. »Pour Jean-Christophe Repon, président de la CAPEB : « Nous avons vivement souhaité ce partenariat et nous en attendons beaucoup. Annuellement un bilan sera établi. Cette collaboration colle à la réalité de nos entreprises et des jeunes. Nous nous devons, les entreprises et les organismes de formation, de rendre le bâtiment attractif. Convaincre les jeunes de s’orienter dans le BTP, c’est leur proposer des cursus nouveaux, adaptés et innovants. Les travaux et les études que nous mènerons en commun nous aideront à analyser les tendances. En effet, dans les années à venir, nos entreprises artisanales seront confrontées à un double défi, celui de l'innovation technologique accélérée autour des enjeux de la rénovation énergétique des bâtiments et celui du renouvellement générationnel, avec l'arrivée dans les entreprises de jeunes nés avec le digital. Cette convention entre le CCCA-BTP et la CAPEB fournira aux artisans les outils pour préparer cette double transformation, dans des métiers du bâtiment qui offrent des perspectives durables aux jeunes, aux jeunes femmes notamment, à la recherche d'un engagement, d'une carrière et pourquoi pas d'un parcours les menant vers la création d'entreprise. Ce partenariat est le prolongement logique de Transform’BTP qui a été précurseur de ces évolutions et qui a installé l’innovation comme marqueur fort du CCCA-BTP. »
Il y a 3 ans et 107 jours

Sauver le Kyklos de Port-Leucate

Inscrit dans le plan directeur de Georges Candilis pour l'unité touristique de Leucate-Barcarès, le Kyklos, œuvre des architectes toulousains Paul Garcia et Maurice Zavagno est menacé de destruction. Sur le front de mer de Port-Leucate, le Kyklos dévoile sa silhouette atypique, formée d'une multitude de volumes cylindriques où […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 107 jours

Pour son 60e anniversaire, Sateco s’offre un nouveau logo

« En 2022, François Guilleteau, le Pdg, a souhaité travailler à relooker notre image institutionnelle. Afin qu’elle colle davantage à ce que Sateco est devenu », indique Nadia Quesada, responsable marketing et communication. [©Sateco] En 60 ans, les outils Sateco se sont réinventés pour plus d’ergonomie et de sécurité. Ainsi pour cet anniversaire, l’industriel s’offre un relooking avec un changement de logo et une nouvelle application SatecoTuto. Il s’agit du premier outil digital gratuit de formation et d’information. Ceci, pour l’utilisation des équipements de coffrages et de sécurité de la marque. « Ceci, pour accompagner notre évolution et nos actions sur le marché français. Mais aussi pour nous permettre de déployer nos projets à l’international », peut-on lire dans le communiqué de presse. D’autre part, Sateco s’est offert un changement d’identité visuelle avec un nouveau logo. « En 2022, François Guilleteau, notre Pdg, a souhaité travailler à relooker notre image institutionnelle, afin qu’elle colle davantage à ce que Sateco est devenu : un groupe avec 2 usines en France et une implantation sur le territoire en position de leader. Mais aussi un développement à l’international mis en œuvre depuis le rachat de la filiale HK Services. Et enfin, en 2022 de nouveaux axes de développement », indique Nadia Quesada, responsable marketing et communication de la marque. Un tout nouveau logo pour Sateco Lancement de la nouvelle application SatecoTuto. [©Sateco] Ce logo est un engagement pour le futur. Le carré et le monde sont inscrits en son sein, associés à la police de caractère historique, connu et reconnu par tous les utilisateurs du BTP. « Il fallait réinterpréter l’image de Sateco avec des valeurs modernes. C’est pourquoi, compte tenu des marges de progression de l’entreprise, il était logique de le faire évoluer avec un look plus contemporain, explique Nadia Quesada. Le logo doit être à l’image de l’entreprise tournée vers l’innovation et le futur. » Le nouveau design figure l’univers de la construction, avec la banche – rectangle rouge – en son centre. Mais on peut aussi laisser une libre interprétation avec certains éléments du logo. Le rond sur l’extrémité peut représenter un arbre (RSE) ou un homme : l’humain étant au cœur des préoccupations de l’industriel. « Le logo en flat design, dans le monde digital d’aujourd’hui est très facile à manipuler et à utiliser sur le web. Mais aussi en termes de signalétique sur nos produits. » Le logo historique datait de 1960 et avait déjà subi quelques modifications en 2006, « afin de donner une nouvelle dynamique à notre image, notamment pour l’activité coffrage », reprend Nadia Quesada. Puis, en 2010, la charte graphique avait été complétée par l’apparition de carrés de couleur qui schématisaient l’évolution des activités, avec l’innovation et le service. En 2012, nouvelle mouture du logo institutionnelle. 
Il y a 3 ans et 107 jours

H2V FOS et le port de Marseille lancent un projet de production d'hydrogène renouvelable d'envergure

Sur une surface de 36 hectares, intégré au projet de Bassin Sud du CSF NSE (Comité Stratégique de Filière Nouveaux Systèmes Energétiques), le site dispose d’un emplacement stratégique alliant un fort potentiel industriel à une activité portuaire maritime de premier plan. Véritable nœud logistique, le projet se situe au carrefour des réseaux européens de transport de marchandises (Corridor Ten-T). Mis en service dès 2026 et par tranches jusqu’en 2031, le site composé de 6 unités de production de 100 MW (soit 600 MW) assurera la production de 84 000 T/an d’hydrogène renouvelable par électrolyse de l’eau et permettra la création de 165 emplois directs et 100 emplois indirects. Il s’agit d’un investissement de 750 millions d’euros dont l’objectif est d’éviter chaque année le rejet dans l’atmosphère de 750 000 T de CO2. Le port de Marseille Fos, en tant que port investisseur, prend part au capital du projet porté par H2V, qui vise à la décarbonation des espaces portuaires grâce à une industrie plus propre et adaptée aux besoins des territoires. Depuis 2016 H2V investit, développe et construit des usines de production d’hydrogène renouvelable d’envergure (100 MW ou plus) pour décarboner des secteurs particulièrement impactants en CO2, comme l’industrie et la mobilité lourde.
Il y a 3 ans et 107 jours

Pierre Bach, nouveau directeur général de Schwing Stetter France

Pierre Bach est le nouveau directeur général de Schwing Stetter France, en poste depuis le 1er janvier 2022. [©Schwing Stetter] Pierre Bach vient de prendre les rênes de Schwing Stetter France, avec les fonctions de directeur général. Il succède ainsi à Francis Charrier, qui a fait valoir ses droits à la retraite. En poste depuis le 1er janvier 2022, il a travaillé en binôme avec Francis Charrier durant près de sept mois. « J’ai largement profité de son expertise dans le domaine du pompage et du béton. Qu’il a acquise tout au long de ses 32 ans de présence au sein de la maison Schwing Stetter. » Son parcours D’un profil technique, Pierre Bach est diplômé de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Metz. A l’issu de sa formation, il a tout d’abord rejoint le secteur de la métallurgie dans le domaine du moteur électrique. Où il s’est occupé du montage et de la gestion de production. Ceci, durant près de sept années riches en expériences. Sa deuxième vie professionnelle s’est passée chez Loxam. Le spécialiste de la location de matériels et d’équipements pour le BTP, qu’il n’est plus utile de présenter. « Mes fonctions allaient de responsable de secteur à responsable technique. J’ai passé huit années dans cette entreprise de service, avant de rejoindre le groupe Manuloc. C’est le plus important indépendant français spécialiste dans la location et la vente de matériels de manutention. » Le passage chez Manuloc constitue la dernière étape du parcours professionnel de Pierre Bach, avant d’intégrer Schwing Stetter, le 1er mai 2021, en qualité de directeur commercial pour commencer… Une fonction qu’il cumule aujourd’hui avec celle de directeur général. Alors même que toute la profession est touchée par des problèmes de disponibilités des matières premières et des difficultés d’approvisionnements en produits manufacturés. Le futur immédiat de Schwing Stetter France « La fin d’année 2021 a été une période de forte activité pour Schwing Stetter. Nombre d’entreprises ont anticipé les pénuries annoncées de porteurs routiers, passant commande de pompes à béton automotrices et de bétonnières portées pour être sûres d’être livrées en 2022. » Dans ce contexte, le carnet est plutôt bien rempli. Et l’usine de Souffelweyersheim (siège de Schwing Stetter France), juste à côté de Strasbourg, devrait être bien occupée durant les mois qui viennent. Ce qui n’interdit pas de se projeter dans l’avenir. « Nous avons bien identifié nos autres leviers de croissance, qui ne dépendent pas de la disponibilité ou de porteurs routiers. » Ainsi, Schwing Stetter France compte aussi mettre l’accent, en matière de ventes, sur ses pompes stationnaires – dont la demande est croissante – et industrielles, sur ses mâts de distribution, ses recycleuses. Ou encore ses centrales à béton et les malaxeurs qui y sont rattachés.
Il y a 3 ans et 107 jours

Lyon : la statue équestre de Louis XIV, sur la place Bellecour, sera rénovée d’ici à la fin 2023 ou au début 2024.

La restauration de la statue de Louis XIV et de sa monture, à Lyon, s’achèvera d’ici à la fin 2023 ou au début 2024.
Il y a 3 ans et 107 jours

Des logements sociaux en mode économie circulaire

Quand Agyre rencontre Valor Promotion, la démarche d'économie circulaire s'étend aux logements sociaux. Un premier programme de logements sociaux à Saran servira de démonstrateur duplicable.
Il y a 3 ans et 107 jours

Puy-de-Dôme : réaménagement de la Poste de Clermont-Ferrand Saint-Éloi

Les travaux de réaménagement de la Poste de Clermont-Ferrand Saint-Éloi se poursuivront jusqu’en avril prochain.
Il y a 3 ans et 107 jours

Fin de restauration pour la rose de la cathédrale de Soissons

Lundi 17 janvier 2022 a eu lieu l’inauguration officielle de la fin de travaux de restauration de la rose de la cathédrale Saint-Gervais – Saint-Protais de Soissons. La tempête Egon du 12 janvier 2017 avait explosé la baie occasionnant d’énormes dégâts sur les sculptures, le vitrail de l’œil de la rose occidentale et la structure de la façade. L’opération de restauration a consisté à reconstruire la rose du XIIIe siècle « à l’identique » en reprenant une symétrie parfaite et en reproduisant les moulures et le décor sculpté des éléments déposés. Sous la maîtrise d’ouvrage de la Drac Hauts-de-France, conservation régionale des monuments historiques et de la maîtrise d’œuvre de l’architecte en chef des monuments historiques, Olivier West, l’opération a mobilisé 2,6 M € de crédits d’investissement. Ce chantier exceptionnel par son envergure et sa complexité a débuté en janvier 2020 pour s’achever à la fin 2021 ; laissant la place à un autre chantier tout aussi complexe et ambitieux, celui de la restauration des toitures et des baies hautes. Un chantier inscrit dans le cadre du plan cathédral du ministère de la Culture soutenu par le plan de relance. Photo : Wikimédia – Mattana – 2008
Il y a 3 ans et 107 jours

Construction d’un bassin monumental dans la perspective du château de Saint-Germain-en-Laye

En 1845, le grand parterre du domaine national de Saint-Germain-en-Laye avait été totalement détruit pour permettre l’arrivée des voies de chemin de fer. L’arrivée du RER et l’enterrement des voies dans les années 1970 a permis de le reconstituer. À cette occasion, l’un des trois bassins représentés sur les gravures du XVIIe siècle avait pu être édifié. Aujourd’hui, le creusement, de la liaison souterraine entre la gare RATP et l’arrivée du nouveau Tram 13 est l’occasion de réaliser le grand bassin, permettant ainsi de retrouver l’organisation de la perspective des Loges telle que Le Nôtre l’a imaginée, il y a plus de trois siècles. Ce projet, dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par l’Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la culture (OPPIC) pour le compte du ministère de la Culture, est réalisé par Régis Martin, architecte en chef des monuments historiques. Du fait de la complexité de cette opération, en raison de la très grande proximité des ouvrages de la RATP, la durée prévisionnelle des travaux est estimée à 12 mois. Le 13 janvier 2022, Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Culture a posé la première pierre du grand bassin en présence des financeurs et acteurs du projet dont l’enveloppe financière prévisionnelle de l’opération est de 6,686 M€. Les contributeurs sont le ministère de la Culture, la région Île-de-France, le département des Yvelines, la ville de Saint-Germain-en-Laye et l’entreprise Suez mécène. Le Domaine national de Saint-Germain-en-Laye offre 40 hectares d’espaces préservés en lisière d’une immense forêt de 3500 hectares. Le parc labellisé « Jardin remarquable » est classé au titre des monuments historiques depuis 1964 et géré de manière écologique. Son parcours patrimonial amène le visiteur à découvrir une véritable histoire de l’art des jardins, depuis les allées dessinées par André Le Nôtre pour Louis XIV et ouvrant sur la perspective de la Grande terrasse, jusqu’aux essences rares du jardin anglais. Il accueille plus de deux millions de visiteurs chaque année. Photo : Ministère de la Culture – Thibaut Chapotot  
Il y a 3 ans et 107 jours

Habitats légers : quand peuvent-ils s’installer sans autorisation d’urbanisme ?

Vous avez le projet d’implanter un habitat léger, de type yourte ou tiny house, sur un terrain pour profiter du calme de la nature ? Il est possible dans certains cas de se passer d’autorisation d’urbanisme pour réaliser votre projet, à condition de respecter les quelques règles présentées ici… Les petites constructions et les habitations […]
Il y a 3 ans et 107 jours

Europan 16 : Un port terrestre, projet lauréat à Niort

Entre 1963 et 1976, Georges Candilis assure le rôle d'architecte en chef de l'unité touristique Leucate-Barcarès, réunissant deux stations balnéaires à cheval sur l'Aude et les Pyrénées-Orientales, aux portes de Perpignan. C'est l'une des cinq unités projetées par la mission Racine pour […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 108 jours

Focus sur les différents types de travaux de charpente

La charpente constitue une pièce maitresse de la construction. En effet, la solidité et la pérennité de cette dernière en dépendent. La charpente est la structure sur laquelle reposent tous les éléments de la toiture. Elle assure à cet effet un rôle crucial. Justement, la charpente est considérée comme l’ossature du toit, car elle détermine sa pente, sa forme ainsi que sa hauteur. Différentes sortes d’opérations peuvent être entreprises sur celle-ci. Nous en parlons dans cet article. Découvrez ! Travaux de charpente : en quoi consistent-ils ? En tant qu’élément important du toit, les travaux affectant la charpente nécessitent l’intervention d’un professionnel. Pour leur réalisation, il est donc conseillé de faire appel à un artisan charpentier. En fonction de leur nature, ces travaux peuvent en effet être plus ou moins complexes. Entre autres, il peut s’agir de : Du levage de la charpente Le levage de la charpente désigne son montage, c’est-à-dire sa pose sur les murs porteurs de la bâtisse. En raison de la délicatesse et de la lourdeur de cette tâche, elle devra être prise en charge par plusieurs charpentiers. Le recours à ces professionnels est d’ailleurs incontournable du fait que le montage de la charpente doit se faire dans le respect de certaines normes. Pour garantir l’écoulement des eaux de pluie vers les gouttières, la charpente doit par exemple présenter une certaine pente. La rénovation de la charpente Elle est indispensable dans le cas du vieillissement de la charpente. En effet, le mauvais état de cette structure met en péril la sécurité de l’habitation et de ses occupants. Il est d’ailleurs préconisé de la rénover tous les 20 ou 30 ans. La rénovation de la charpente implique la réparation et/ou le remplacement des pièces endommagées de celle-ci. Parfois, il est nécessaire de remplacer l’intégralité de celle-ci. La rénovation de la charpente peut donc être partielle ou totale. Le traitement de la charpente Avant qu’elle soit posée, la charpente subit un traitement spécifique pour la préserver de l’humidité et des insectes xylophages. Mais avec le temps, les effets de ce traitement se dissipent. Son renouvellement est de mise pour prévenir les dégâts que peuvent causer les infiltrations d’eau et les insectes ravageurs. La modification de la charpente Pour ce type d’opération, il faut nécessairement passer par un charpentier professionnel. La transformation de la charpente est entreprise dans le cadre de l’aménagement des combles, de la création d’une ouverture de toiture ou de la surélévation de maison. Travaux de charpente : vers quel charpentier professionnel se diriger ? Comme susmentionnée, l’intervention d’un charpentier est requise pour l’exécution de travaux de charpente. Toutefois, il n’est pas toujours aisé de trouver un artisan de confiance, surtout face à ce nombre important de prestataires qui proposent leur service. Comment s’y retrouver ? Commencez d’abord par solliciter les conseils de vos proches. Les recommandations de vos amis, de vos voisins ou de vos collègues de travail peuvent vous être utiles dans votre recherche de charpentier. C’est surtout le cas s’ils ont récemment réalisé des travaux de charpente. S’ils vous dirigent vers un artisan donné, c’est que ses services sont satisfaisants. Mais ne vous limitez pas à cela. Allez directement à la rencontre de cet artisan afin de juger de son professionnalisme. Ensuite, vous pouvez faire des recherches sur internet. Cet outil vous permet de trouver facilement et rapidement un charpentier qui œuvre dans votre localité. Il vous donne d’ailleurs accès aux sites web de différents artisans. Ce qui vous permet d’apercevoir un extrait de leurs œuvres. Sachez que de nombreux artisans vous proposent de faire un devis gratuit de vos travaux de charpentes sur leur site. Pour terminer, il est primordial que vous alliez à la rencontre du charpentier de votre choix. Vous pourriez ainsi voir s’il dispose des ressources nécessaires pour mener à bien vos travaux. Privilégiez les artisans disposant de label de qualification. Il y a par exemple les certifications QUALIBAT et RGE qui prouvent le professionnalisme du charpentier.
Il y a 3 ans et 108 jours

La Métropole du Grand Paris adopte un document-clé d'urbanisme

"Un grand moment pour moi comme pour vous", a salué le président (LR) de la MGP Patrick Ollier après l'approbation du projet par 129 conseillers métropolitains sur 179 votants, dont 137 exprimés.Premier document de planification urbaine à l'échelle de la métropole, créée en 2016 et qui regroupe 131 communes pour une population de 7,2 millions d'habitants, le Scot doit permettre de bâtir une "métropole résiliente face aux aléas climatiques, aux risques naturels, technologiques et sanitaires", a souligné la MGP dans un communiqué.Les 12 orientations du document lui donnent en effet une tonalité résolument environnementale : "conforter une Métropole polycentrique, économe en espaces et équilibrée dans la répartition de ses fonctions", "renforcer la présence de la nature et de l'agriculture en ville", "agir pour la qualité de l'air", "organiser la transition énergétique" ou encore favoriser la "reconquête des espaces naturels, boisés et agricoles"...Mais le consensus entre droite et gauche autour du texte, fruit de quatre ans de travail entre les élus, l'Etat et des experts, s'est étiolé avec la présentation d'une petite dizaine d'amendements, portés pour la plupart par le maire (LR) de Boulogne-Billancourt, Pierre-Christophe Baguet.Ces amendements "qui arrivent le matin après 4 ans de discussions, cela pose question", a commenté pour l'AFP Sylvain Raifaud, co-président du groupe écologiste qui s'est notamment opposé aux amendements ouvrant la possibilité aux "exceptions au code de l'urbanisme", aux "constructions isolées à proximité des forêts" ou à la modification de l'objectif de 30% de pleines terres, tous trois rejetés.Ce Scot "n'est pas parfait", ont reconnu plusieurs présidents de groupe, mais "le texte libellé en l'état nous permet d'avancer", a résumé le vice-président (PS) de la MGP Daniel Guiraud.
Il y a 3 ans et 108 jours

Le dispositif "Louer abordable" réformé et rebaptisé

Instauré en 2017 par Emmanuelle Cosse, sous le quinquennat de François Hollande, "Louer abordable" offrait une déduction fiscale aux propriétaires s'engageant à louer, pour au moins 6 ans, à des personnes à faibles revenus à des tarifs réglementés.Courant jusqu'à fin 2022, il est prolongé, en principe jusqu'à fin 2024, avec plusieurs changements.La déduction fiscale est transformée en réduction d'impôt, plus égalitaire, et plafonnée à 10.000 euros, la limite habituelle des niches fiscales.Elle sera de 15 à 65% selon l'ampleur de la réduction de loyer consentie et du recours ou non à un intermédiaire social pour la gestion du logement.Le zonage, qui ouvrait droit à des déductions différentes selon que le logement se trouvait en zone tendue ou non, est abandonné. Ce système, dit-on dans l'entourage de la ministre Emmanuelle Wargon, rendait le dispositif peu attractif dans certaines zones tendues, notamment la petite couronne d'Ile-de-France, et peu utile en zone détendue.Les niveaux de loyers de référence par commune, qui doivent être fixés par un arrêté ultérieur, seront désormais basés sur la carte des loyers du ministère.Un propriétaire "sera toujours gagnant, quel que soit le territoire, et notamment en zone tendue", assure-t-on au ministère.Et la durée de la convention passe à 6 ans dans tous les cas, alors qu'elle était auparavant de 9 ans si le propriétaire se faisait aussi financer des travaux de rénovation via le dispositif.Le ministère se fixe comme objectif 20.000 nouvelles conventions signées d'ici à la fin 2022, contre 8.000 l'année dernière.Le coût pour l'Etat du dispositif, évalué à 70 millions d'euros par an jusqu'ici, devrait donc "au moins doubler".Les premiers dossiers pourront être déposés à partir du 1er avril à l'Agence nationale de l'habitat (Anah), avec effet rétroactif pour les baux signés à partir du 1er janvier 2022.Les quelque 110.000 logements loués via l'ancien dispositif continuent d'en bénéficier et pourront être prorogés.Un simulateur à destination des propriétaires est mis en place sur le site de l'Anah.
Il y a 3 ans et 108 jours

Qui est la nouvelle DG de Weber France ?

CARNET-NOMINATION. Marine Charles est la nouvelle directrice générale de Saint-Gobain Weber France, spécialiste des mortiers. Découvrez son parcours.
Il y a 3 ans et 108 jours

Innovations, formation : l’OPPBTP livre sa feuille de route jusqu’à 2025

Maintenir sa présence sur le terrain, développer des applications digitales, former davantage les nouveaux dirigeants, expérimenter de nouvelles technologies… L’OPPBTP a présenté, le 25 janvier, son plan stratégique Horizon 2025 pour mobiliser les entreprises et combattre les accidents graves et mortels.
Il y a 3 ans et 108 jours

Renouvelables : des signes encourageants mais un retard persistant

ANALYSE. Les 4 gigawatts de capacités supplémentaires raccordées en 2021 pour la production d'électricité renouvelable ne permettent pas à la France de rattraper son retard dans le développement de ces filières, affaiblissant ainsi ses propres engagements climatiques. Le photovoltaïque porte cet essor, quand l'éolien souffre des recours juridiques et des complexités administratives. Collectifs citoyens et collectivités territoriales ont un rôle à jouer pour passer à la vitesse supérieure.