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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 107 jours

Habitats légers : quand peuvent-ils s’installer sans autorisation d’urbanisme ?

Vous avez le projet d’implanter un habitat léger, de type yourte ou tiny house, sur un terrain pour profiter du calme de la nature ? Il est possible dans certains cas de se passer d’autorisation d’urbanisme pour réaliser votre projet, à condition de respecter les quelques règles présentées ici… Les petites constructions et les habitations […]
Il y a 3 ans et 107 jours

Europan 16 : Un port terrestre, projet lauréat à Niort

Entre 1963 et 1976, Georges Candilis assure le rôle d'architecte en chef de l'unité touristique Leucate-Barcarès, réunissant deux stations balnéaires à cheval sur l'Aude et les Pyrénées-Orientales, aux portes de Perpignan. C'est l'une des cinq unités projetées par la mission Racine pour […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 108 jours

Focus sur les différents types de travaux de charpente

La charpente constitue une pièce maitresse de la construction. En effet, la solidité et la pérennité de cette dernière en dépendent. La charpente est la structure sur laquelle reposent tous les éléments de la toiture. Elle assure à cet effet un rôle crucial. Justement, la charpente est considérée comme l’ossature du toit, car elle détermine sa pente, sa forme ainsi que sa hauteur. Différentes sortes d’opérations peuvent être entreprises sur celle-ci. Nous en parlons dans cet article. Découvrez ! Travaux de charpente : en quoi consistent-ils ? En tant qu’élément important du toit, les travaux affectant la charpente nécessitent l’intervention d’un professionnel. Pour leur réalisation, il est donc conseillé de faire appel à un artisan charpentier. En fonction de leur nature, ces travaux peuvent en effet être plus ou moins complexes. Entre autres, il peut s’agir de : Du levage de la charpente Le levage de la charpente désigne son montage, c’est-à-dire sa pose sur les murs porteurs de la bâtisse. En raison de la délicatesse et de la lourdeur de cette tâche, elle devra être prise en charge par plusieurs charpentiers. Le recours à ces professionnels est d’ailleurs incontournable du fait que le montage de la charpente doit se faire dans le respect de certaines normes. Pour garantir l’écoulement des eaux de pluie vers les gouttières, la charpente doit par exemple présenter une certaine pente. La rénovation de la charpente Elle est indispensable dans le cas du vieillissement de la charpente. En effet, le mauvais état de cette structure met en péril la sécurité de l’habitation et de ses occupants. Il est d’ailleurs préconisé de la rénover tous les 20 ou 30 ans. La rénovation de la charpente implique la réparation et/ou le remplacement des pièces endommagées de celle-ci. Parfois, il est nécessaire de remplacer l’intégralité de celle-ci. La rénovation de la charpente peut donc être partielle ou totale. Le traitement de la charpente Avant qu’elle soit posée, la charpente subit un traitement spécifique pour la préserver de l’humidité et des insectes xylophages. Mais avec le temps, les effets de ce traitement se dissipent. Son renouvellement est de mise pour prévenir les dégâts que peuvent causer les infiltrations d’eau et les insectes ravageurs. La modification de la charpente Pour ce type d’opération, il faut nécessairement passer par un charpentier professionnel. La transformation de la charpente est entreprise dans le cadre de l’aménagement des combles, de la création d’une ouverture de toiture ou de la surélévation de maison. Travaux de charpente : vers quel charpentier professionnel se diriger ? Comme susmentionnée, l’intervention d’un charpentier est requise pour l’exécution de travaux de charpente. Toutefois, il n’est pas toujours aisé de trouver un artisan de confiance, surtout face à ce nombre important de prestataires qui proposent leur service. Comment s’y retrouver ? Commencez d’abord par solliciter les conseils de vos proches. Les recommandations de vos amis, de vos voisins ou de vos collègues de travail peuvent vous être utiles dans votre recherche de charpentier. C’est surtout le cas s’ils ont récemment réalisé des travaux de charpente. S’ils vous dirigent vers un artisan donné, c’est que ses services sont satisfaisants. Mais ne vous limitez pas à cela. Allez directement à la rencontre de cet artisan afin de juger de son professionnalisme. Ensuite, vous pouvez faire des recherches sur internet. Cet outil vous permet de trouver facilement et rapidement un charpentier qui œuvre dans votre localité. Il vous donne d’ailleurs accès aux sites web de différents artisans. Ce qui vous permet d’apercevoir un extrait de leurs œuvres. Sachez que de nombreux artisans vous proposent de faire un devis gratuit de vos travaux de charpentes sur leur site. Pour terminer, il est primordial que vous alliez à la rencontre du charpentier de votre choix. Vous pourriez ainsi voir s’il dispose des ressources nécessaires pour mener à bien vos travaux. Privilégiez les artisans disposant de label de qualification. Il y a par exemple les certifications QUALIBAT et RGE qui prouvent le professionnalisme du charpentier.
Il y a 3 ans et 108 jours

La Métropole du Grand Paris adopte un document-clé d'urbanisme

"Un grand moment pour moi comme pour vous", a salué le président (LR) de la MGP Patrick Ollier après l'approbation du projet par 129 conseillers métropolitains sur 179 votants, dont 137 exprimés.Premier document de planification urbaine à l'échelle de la métropole, créée en 2016 et qui regroupe 131 communes pour une population de 7,2 millions d'habitants, le Scot doit permettre de bâtir une "métropole résiliente face aux aléas climatiques, aux risques naturels, technologiques et sanitaires", a souligné la MGP dans un communiqué.Les 12 orientations du document lui donnent en effet une tonalité résolument environnementale : "conforter une Métropole polycentrique, économe en espaces et équilibrée dans la répartition de ses fonctions", "renforcer la présence de la nature et de l'agriculture en ville", "agir pour la qualité de l'air", "organiser la transition énergétique" ou encore favoriser la "reconquête des espaces naturels, boisés et agricoles"...Mais le consensus entre droite et gauche autour du texte, fruit de quatre ans de travail entre les élus, l'Etat et des experts, s'est étiolé avec la présentation d'une petite dizaine d'amendements, portés pour la plupart par le maire (LR) de Boulogne-Billancourt, Pierre-Christophe Baguet.Ces amendements "qui arrivent le matin après 4 ans de discussions, cela pose question", a commenté pour l'AFP Sylvain Raifaud, co-président du groupe écologiste qui s'est notamment opposé aux amendements ouvrant la possibilité aux "exceptions au code de l'urbanisme", aux "constructions isolées à proximité des forêts" ou à la modification de l'objectif de 30% de pleines terres, tous trois rejetés.Ce Scot "n'est pas parfait", ont reconnu plusieurs présidents de groupe, mais "le texte libellé en l'état nous permet d'avancer", a résumé le vice-président (PS) de la MGP Daniel Guiraud.
Il y a 3 ans et 108 jours

Le dispositif "Louer abordable" réformé et rebaptisé

Instauré en 2017 par Emmanuelle Cosse, sous le quinquennat de François Hollande, "Louer abordable" offrait une déduction fiscale aux propriétaires s'engageant à louer, pour au moins 6 ans, à des personnes à faibles revenus à des tarifs réglementés.Courant jusqu'à fin 2022, il est prolongé, en principe jusqu'à fin 2024, avec plusieurs changements.La déduction fiscale est transformée en réduction d'impôt, plus égalitaire, et plafonnée à 10.000 euros, la limite habituelle des niches fiscales.Elle sera de 15 à 65% selon l'ampleur de la réduction de loyer consentie et du recours ou non à un intermédiaire social pour la gestion du logement.Le zonage, qui ouvrait droit à des déductions différentes selon que le logement se trouvait en zone tendue ou non, est abandonné. Ce système, dit-on dans l'entourage de la ministre Emmanuelle Wargon, rendait le dispositif peu attractif dans certaines zones tendues, notamment la petite couronne d'Ile-de-France, et peu utile en zone détendue.Les niveaux de loyers de référence par commune, qui doivent être fixés par un arrêté ultérieur, seront désormais basés sur la carte des loyers du ministère.Un propriétaire "sera toujours gagnant, quel que soit le territoire, et notamment en zone tendue", assure-t-on au ministère.Et la durée de la convention passe à 6 ans dans tous les cas, alors qu'elle était auparavant de 9 ans si le propriétaire se faisait aussi financer des travaux de rénovation via le dispositif.Le ministère se fixe comme objectif 20.000 nouvelles conventions signées d'ici à la fin 2022, contre 8.000 l'année dernière.Le coût pour l'Etat du dispositif, évalué à 70 millions d'euros par an jusqu'ici, devrait donc "au moins doubler".Les premiers dossiers pourront être déposés à partir du 1er avril à l'Agence nationale de l'habitat (Anah), avec effet rétroactif pour les baux signés à partir du 1er janvier 2022.Les quelque 110.000 logements loués via l'ancien dispositif continuent d'en bénéficier et pourront être prorogés.Un simulateur à destination des propriétaires est mis en place sur le site de l'Anah.
Il y a 3 ans et 108 jours

Qui est la nouvelle DG de Weber France ?

CARNET-NOMINATION. Marine Charles est la nouvelle directrice générale de Saint-Gobain Weber France, spécialiste des mortiers. Découvrez son parcours.
Cimbat
Il y a 3 ans et 108 jours

Renouvelables : des signes encourageants mais un retard persistant

ANALYSE. Les 4 gigawatts de capacités supplémentaires raccordées en 2021 pour la production d'électricité renouvelable ne permettent pas à la France de rattraper son retard dans le développement de ces filières, affaiblissant ainsi ses propres engagements climatiques. Le photovoltaïque porte cet essor, quand l'éolien souffre des recours juridiques et des complexités administratives. Collectifs citoyens et collectivités territoriales ont un rôle à jouer pour passer à la vitesse supérieure.
Il y a 3 ans et 108 jours

Comment remplacer un interrupteur simple par un interrupteur lumineux Céliane Legrand ?

Vous avez des difficultés à repérer vos interrupteurs dans le noir ? Grâce à son voyant lumineux qui reste constamment allumé, l’interrupteur lumineux Céliane Legrand se repère à coup sûr la nuit. Sa fonction lumineuse permet notamment aux personnes âgées ou malvoyantes d’allumer la lumière facilement et en toute tranquillité, dans un couloir ou un escalier par exemple. Idéal pour accompagner le maintien à domicile pour l’assistance à l’autonomie. L’interrupteur lumineux Céliane permet de commander tous types de lampes, dans la limite de la puissance tolérée écrite sur la notice. Découvrez dans ce tutoriel comment remplacer un interrupteur simple par un interrupteur lumineux Legrand chez vous en suivant les étapes d’installation : retirer l’interrupteur simple à remplacer installer l'interrupteur lumineux Céliane Legrand terminer l’installation de l'interrupteur lumineux Céliane LegrandPour remplacer un interrupteur simple par un interrupteur lumineux Céliane Legrand : retirer l’interrupteur simple à remplacer : pour une question de sécurité, comme avant toute intervention, couper le courant via le disjoncteur d'abonné et s’assurer de l'absence de tension à sa sortie. Et pour une sécurité maximale, consigner le disjoncteur à l'aide d'un cadenas spécifique afin d'éviter toute remise du courant par un occupant du logement pendant l'installationdémonter l'interrupteur existantbien repérer les fils avant de les déconnecter : le fil de phase et le fil relié à la lampeconserver les fils et la boîte d’encastrementvérifier que la boîte d’encastrement est d'au moins 40 millimètres de profondeurbrancher l'interrupteur lumineux Céliane Legrand : raccorder le fil de phase sur la borne repérée L de l’interrupteur lumineuxraccorder le fil relié à la lampe sur la borne repérée 1terminer l’installation de l'interrupteur à voyant lumineux Céliane Legrand : fixer l'interrupteur lumineux dans la boîte la boîte d’encastrementremonter la plaque de finition Céliane Legranddéconsigner le disjoncteur d’abonné et remettre le courantfaire un test : que le doigt de l'interrupteur soit en position ON ou OFF, le voyant de l'interrupteur lumineux Céliane Legrand doit rester allumé.Votre interrupteur lumineux Céliane Legrand est maintenant installé, prêt à être installé ! Vous savez maintenant, grâce à ce tutoriel Legrand, comment remplacer chez vous un interrupteur simple pour installer un interrupteur lumineux Legrand.
Il y a 3 ans et 108 jours

Socotec se muscle sur le secteur de l'urbanisme avec deux acquisitions

ACQUISITIONS. Le spécialiste de la maîtrise des risques et de l'amélioration des performances, Socotec, annonce deux acquisitions dans le secteur de l'urbanisme : Urbycom et Urbads.
Il y a 3 ans et 108 jours

La Métropole du Grand Paris vote son Scot à une très large majorité

URBANISME. Objectif de 30% de pleine-terre, mixité fonctionnelle à partir de 5.000 mètres carrés de projet, fortes restrictions à l'artificialisation... Les prescriptions du schéma de cohérence territoriale adoptées lundi fixent, "pour les 10 à 15 ans à venir", les grandes orientations d'aménagement de la Métropole du Grand Paris, qui s'imposeront aux PLUI de ses 11 Territoires.
Il y a 3 ans et 108 jours

Changement de cap et grandes ambitions pour NGE Bâtiment, ex-Cardinal Edifice

STRATÉGIE. Après l'arrivée d'Alain Tayar comme directeur général, le pôle Bâtiment de NGE se dote d'une stratégie et d'un projet d'entreprise ambitieux, afin de mieux intégrer cette activité au sein du groupe, d'en faire un relai de croissance, et de challenger un peu plus les majors du BTP. Pour Batiactu, Alain Tayar détaille cette stratégie et son état esprit.
Il y a 3 ans et 108 jours

En Mayenne, le département tourneur de spectacles, une bonne idée ?

Un besoin d’intérêt général clairement identifié, un budget qui a le mérite d’exister, un projet mené à bien par de bons architectes… Serait-il donc possible en France, même si les commanditaires de l’ouvrage ne passeront pas leurs vacances ensemble, de construire des équipements mixtes – culturel, sportif et évènementiel – et structurants qui engagent l’avenir […] L’article En Mayenne, le département tourneur de spectacles, une bonne idée ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

Choisir la combinaison gagnante et bas carbone

La start up Kompozite lance une plateforme qui propose des combinaisons optimisées selon les contraintes techniques d'un projet, tout en calculant l’empreinte carbone des systèmes générés.
Il y a 3 ans et 108 jours

Démarche prospective ADEME-CSTB « Imaginons ensemble les bâtiments de demain » : colloque de clôture 100% digital le 25 janvier

Un rendez-vous au cours duquel ont été révélés les quatre scénarios prospectifs inédits élaborés dans le cadre de la démarche, qui dessinent des avenirs possibles et contrastés pour le bâtiment et l'immobilier à horizon 2050. Au programme de ce colloque diffusé en direct de Batiradio et Radio-Immo, la présentation de cette démarche partenariale par les présidents de l'ADEME et du CSTB. A suivi la restitution des quatre scénarios prospectifs, établis à partir des points de vue croisés du comité de prospective et des partenaires de la démarche, sur la base des interactions entre 22 facteurs clés prédéterminés. Des acteurs du bâtiment et de l'immobilier ont pris la parole afin d'expliquer l'intérêt qu'ils portent à la prospective et à cette démarche en particulier, mais aussi la façon dont ils se l'approprient et les bénéfices qu'ils peuvent en tirer pour leur secteur d'activité. Une démarche née d'un constat : les bâtiments sont au carrefour des transitions La démarche prospective « Imaginons ensemble les bâtiments de demain », lancée par l'ADEME et le CSTB en 2019, vise à préparer l'avenir des bâtiments en France à l'horizon 2050, en partageant les différentes visions des acteurs du bâtiment et de l'immobilier. En effet, dans une période de grandes mutations (changement climatique, développement du numérique, évolution des modes de vie et du travail, vieillissement de la population...) l'adaptation du parc de bâtiments aux besoins de demain constitue un défi important pour les acteurs du bâtiment et de l'immobilier. Une réflexion collective L'ADEME et le CSTB ont choisi d'agir ensemble avec les acteurs du secteur intéressés, pour explorer ces avenirs contrastés possibles dans une démarche de prospective collective. Ces visions collectives constituent un éclairage important pour les travaux que chacun peut mener dans son domaine propre en envisageant plus clairement les futurs possibles pour mieux les anticiper. Rendez-vous le 25 janvier 2022 à partir de 14h00. En savoir plus : Pour s'inscrire au colloque, merci de contacter Charline Vignaud Visionner le direct Le site de la démarche
Il y a 3 ans et 108 jours

Industries de la construction : à quoi peut-on s'attendre en 2022 ?

PERSPECTIVES. Alors que la construction affiche une reprise de son activité en 2021, qu'en sera-t-il en 2022 ? Pénurie de matériaux, difficultés d'approvisionnement... Comment cela va impacter les industriels de la construction ? L'AIMCC (Association des Industries de Produits de Construction) revient sur l'année écoulée et livre ses prévisions pour les mois à venir.
Il y a 3 ans et 108 jours

Moniteur de CO2 ambiant portable et économique : surveillance et mesure en temps réel de la qualité de l’air intérieur

Afin d’offrir une réponse adaptée aux contraintes des écoles, des restaurants et petits établissements recevant du public, Testo, fabricant reconnu, complète sa gamme d’appareils de mesure dédiés à la surveillance et la qualité de l’air intérieur en distribuant un nouveau moniteur de CO2 ambiant économique et facile à déployer. Les salles de classe, restaurants et établissements équipés de systèmes de chauffage, ventilation et climatisation obsolètes peuvent favoriser des environnements où le risque de transmission virale par l’air respiré augmente. Le nouveau Moniteur de CO2 ambiant proposé par Testo émet une alarme en présence de conditions susceptibles d’accroître le risque d’exposition. Facile à déployer, le moniteur de CO2 ambiant est un appareil portable qui mesure, en temps réel, le dioxyde de carbone et comporte un système exclusif d’alerte de présence de risque basé sur les différents niveaux d’activité dans une pièce. Pour chaque paramètre, le moniteur fournit des indications à la manière d’un feu tricolore : • rouge : risque de transmission virale par l’air respiré potentiellement élevé ; • jaune : risque de transmission virale par l’air respiré potentiellement modéré ; • vert : risque de transmission virale par l’air respiré potentiellement faible. Il émet simultanément une alarme sonore afin que les utilisateurs soient informés de la présence de conditions susceptibles d’accroître le risque de transmission virale, en se basant sur les niveaux de dioxyde de carbone détectable. Ces différentes indications permettent d’évaluer en un clin d’œil le niveau de risque potentiel de transmission virale et d’améliorer de manière proactive la ventilation intérieure de la pièce. Le moniteur de CO2 proposé par Testo est livré avec un câble de charge USB et un bloc secteur. Avec ce nouvel appareil d’entrée de gamme et son afficheur de CO2 ambiant connecté testo 160 AV, Testo propose une offre pour la surveillance et la mesure de la qualité de l’air intérieur adaptée à tous les besoins. https://www.testo.com/
Il y a 3 ans et 108 jours

L'appétit de biens et d'objets, responsable aussi du réchauffement climatique

Construction, alimentation, moyens de transport... 70% des émissions de gaz à effet de serre sont aujourd'hui liées à la production manufacturière et à l'utilisation des biens produits, selon le rapport annuel de la Circle Economy sur la consommation de matières.Pour ces chercheurs, les engagements climatiques des Etats se concentrent souvent sur les émissions liées aux énergies fossiles, en oubliant l'appétit croissant pour les produits de toutes sortes. Seul un tiers de ces promesses mentionnent l'économie circulaire dans leurs objectifs."Si nous repensions notre relation aux objets, qu'est-ce que cela nous apporterait? Et bien, pas mal de choses", selon Matthew Fraser, directeur de recherche.Avec une économie plus circulaire, une extraction de ressources et une consommation réduites de 28%, le monde aurait une chance de limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport aux niveaux pré-industriels, selon le rapport. Or aujourd'hui, l'humanité consomme 70% de ressources vierges en trop par rapport à leur capacité de renouvellement. Sur la base des flux commerciaux, The Circle Economy a estimé que les matières consommées annuellement sont passées de 89,8 milliards de tonnes en 2016, à 101,4 en 2021. En 2020, seuls 8,6% ont été ensuite recyclés, l'essentiel finissant en déchet, la demande de consommation dépassant les efforts, réels, en faveur du recyclage et de la réutilisation."Même si les biens gagnent en efficacité - ordinateurs plus petits, voitures plus légères, amélioration du recyclage... - cela ne compense pas la croissance de la demande", constate M. Fraser.Des améliorations sectorielles peuvent encore venir, mais ne dispenseront pas d'une réduction globale de la consommation: pour le chercheur, le modèle qui dans les pays riches permet aujourd'hui de se faire livrer en quelques heures un produit fabriqué de l'autre côté du globe "devra inévitablement changer".Le rapport évoque aussi la nécessaire réparabilité des équipements électriques (qui contiennent des métaux précieux), prône une restriction des plastiques à usage unique, l'essor du partage et de la location. La construction a aussi une grande marge de progrès, note-t-il, en développant des modes de déconstruction plus favorables à l'environnement.Aux gouvernements aussi de réorganiser leurs systèmes de soutien, pour qu'il coûte enfin moins cher de recourir aux matériaux issus du recyclage plutôt qu'aux neufs."Pourrions-nous être plus stricts quant au métabolisme de notre économie? De la même manière que vous n'aimeriez pas consommer de la malbouffe tout le temps", s'interroge le chercheur.La question reste "un angle mort" pour les Etats, qui ne mesurent même pas leur empreinte "matières", regrette-t-il, anticipant une possible pression à venir de la part de l'opinion.
Il y a 3 ans et 108 jours

Incendie de la tour Grenfell : 3 industriels menacés d'exclusion du marché britannique

MESURES. Plus de quatre ans après l'incendie de la tour Grenfell, à Londres, les conséquences se font toujours sentir pour les industriels dont les produits avaient été utilisés lors de la rénovation énergétique ratée de 2016.
GDA
Il y a 3 ans et 108 jours

Écoquartier Prunel labellisé, à Paris comme à Saint-Denis de la Réunion ?

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, a décerné le vendredi 21 janvier 2022 les labels EcoQuartier aux 17 lauréats 2021. Entre Quezac, Quasquara et Septèmes-les-Vallons, Prunel à Saint-Denis à La Réunion. Une pépite d’empire aux préoccupations pourtant bien éloignées de celle de la Métropole. Dans la […] L’article Écoquartier Prunel labellisé, à Paris comme à Saint-Denis de la Réunion ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

Construire les futurs possibles

L’Ademe et le CSTB ont réfléchi ensembles pendant deux ans sur ce que seront les bâtiments en 2050 au vu des grands enjeux climatiques, démographiques, économiques. Quatre scenarios différents, esquisses d’avenirs possibles.
Il y a 3 ans et 108 jours

À Poissy, le projet de requalification du quartier Beauregard devrait prendre fin en 2025

Le programme de requalification urbaine du quartier Beauregard entre dans une phase concrète.
Il y a 3 ans et 108 jours

Sophie Raphaël, directrice de la communication de Saint-Gobain France

Outre la direction de la communication de Saint-Gobain Distribution Bâtiment, Sophie Raphaël pilote désormais la communication de Saint-Gobain France.
Il y a 3 ans et 108 jours

Le Covid et l'e-commerce, pain bénit pour les entrepôts

"La demande d'entrepôts en France a encore de beaux jours devant elle !", commente auprès de l'AFP Pierre-Louis Dumont, directeur exécutif industriel et logistique au cabinet de conseil en immobilier d'entreprise CBRE.Selon le groupement Immostat, dont les chiffres font référence pour l'immobilier d'entreprise, la demande placée, c'est-à-dire le nombre de mètres carrés d'entrepôts nouvellement loués ou vendus pour être occupés, a connu en 2021 sa meilleure année depuis 2017.Autre symbole de cette santé, le groupe Argan, qui loue des entrepôts à la grande distribution (Carrefour, Casino, Auchan...), à des logisticiens (FM, Geodis...) ou à Amazon, a vu ses revenus locatifs grimper de 10% en 2021. Une progression dopée par la livraison au géant américain de l'e-commerce d'un gigantesque entrepôt de 185.000 mètres carrés sur quatre étages, près de Metz."Il y a une très forte demande, portée d'abord par l'adoption de l'e-commerce, qui oblige à changer les réseaux de distribution, et ensuite par le fait que tout le monde a besoin de le faire en même temps", résume Pierre-Louis Dumont.La pandémie a été un "accélérateur de tendance" pour la France, qui avait moins adopté l'e-commerce que ses voisins, note-t-il.Or, pour passer à l'e-commerce et pouvoir livrer très rapidement ses produits aux clients, une entreprise doit réorganiser sa chaîne d'approvisionnement, faire davantage de stocks et utiliser plus de petits entrepôts à proximité des villes, pour la logistique dite du "dernier kilomètre". Loyers en hausse ?D'où la multiplication de petits entrepôts au coeur des villes. Même si leur poids économique est marginal, et devrait le rester selon Laetitia Dablanc, directrice de recherche à l'université Gustave Eiffel. "Ça restera une niche, mais qui va rester longtemps très active", dit-elle à l'AFP.Autre explication, avancée par François Le Levier, du cabinet CBRE : "Les investisseurs ont mis le frein sur les classes d'actifs traditionnelles, comme le bureau, l'hôtel... qui ont subi de plein fouet la crise sanitaire, et se sont reportés sur les entrepôts logistiques."Et en 2022, le secteur devrait continuer à attirer malgré une offre qui peine à suivre.Construire de nouveaux entrepôts, très gourmands en foncier, va devenir de plus en plus difficile, du fait de la loi française contre l'artificialisation des sols."Il n'y a pas de limitation pour l'instant, mais ils (les entreprises du secteur, NDLR) savent que ça risque de leur arriver, donc ils regardent comment on fait des entrepôts à étages", remarque Laetitia Dablanc.Autre obstacle: l'opposition fréquente des riverains, comme dans le Gard ou près de Nantes, où des mobilisations ont dissuadé l'implantation d'entrepôts Amazon."C'est toujours plus agréable pour les habitants d'avoir à côté de chez eux une résidence seniors ou un immeuble de bureaux qu'un entrepôt avec des camions qui vont et viennent", souligne Pierre-Louis Dumont.Du coup, les loyers pourraient grimper en flèche.D'autant que beaucoup de bailleurs sont des investisseurs, qui achètent des portefeuilles dans toute l'Europe, avec des objectifs de rentabilité financière.Pour eux, "il y a une croissance importante des valeurs locatives à aller chercher, par la rareté du foncier et la loi sur l'artificialisation des sols", relève François Le Levier.
Il y a 3 ans et 108 jours

L’écologie urbaine à la rue ! Du désir au principe de réalité

L’une des grandes marottes de nos édiles pour rendre la ville supportable consiste à vouloir réinterpréter la rue. Zone de rencontre, zone apaisée, zone piétonne, rue verte, rue des écoles, qu’importe le nom pourvu qu’il évoque autre chose que la bagnole et qu’il laisse imaginer que chacun va pouvoir se l’approprier. A grand renfort d’images […] L’article L’écologie urbaine à la rue ! Du désir au principe de réalité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

En 2021, le logement social a été loin de ses objectifs de production

BILAN. La production de logements sociaux, en 2021, n'a pas été à la hauteur de l'objectif de 125.000 qui avait été fixé par les pouvoirs publics. Marianne Louis, directrice générale de l'Union sociale pour l'habitat (USH), y voit le résultat de décisions "abruptes" prises en défaveur du secteur dès 2017.
Il y a 3 ans et 108 jours

Les 7 péchés capitaux de l’architecture – Péché n° 2 : l’injustice

Une question qui mérite réflexion : le métier d’architecte, qu’est-ce que c’est, juridiquement ? Une autre mérite aussi réflexion : pourquoi les architectes sont-ils victimes de l’injustice institutionnalisée ? Un architecte décide-t-il du projet ? Non (attention, je parle bien « juridiquement », évidemment). L’architecte conseille à son client de réaliser tel projet, avec telles caractéristiques. Le client accepte, ou refuse, […] L’article Les 7 péchés capitaux de l’architecture – Péché n° 2 : l’injustice est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

Le passe vaccinal intègre le guide de l’OPPBTP

La loi du 22 janvier 2022 remplace le passe sanitaire par le passe vaccinal pour les personnes d’au moins 16 ans. L’OPPBTP fait le point sur les changements pour le BTP dans la nouvelle version de son guide.
Il y a 3 ans et 108 jours

Qualibat dresse un bilan positif du RGE réformé

Qualibat dénombre un peu moins de 48 000 entreprises RGE. Alors que le label a été réformé, les contrôles ont augmenté, mais le taux de chantiers présentant des écarts majeurs ou mineurs aux règles de l'art reste faible.
Il y a 3 ans et 108 jours

1,2 milliard d'euros pour le plan de rénovation des écoles à Marseille

Initié en octobre 2021, le plan de rénovation vise à réhabiliter l'ensemble des 470 établissements scolaires qui accueillent quelque 80 000 enfants et dont environ un tiers doivent être entièrement rénovés.
Il y a 3 ans et 108 jours

Évolution des filières de recyclage : quel avenir pour le service public de gestion des déchets ?

La plupart de ces mesures, dont AMORCE a souvent été à l’origine, vont dans le bon sens. Mais des arbitrages précipités et rarement concertés avec les collectivités en charge depuis des décennies de la gestion des déchets laissent craindre des résultats en trompe-l’œil.Certaines décisions risquent en effet d’entraîner des conséquences beaucoup moins positives pour l’avenir du service public, pour la fiscalité locale, et un fort risque de démobilisation des élus et des acteurs territoriaux trop souvent mis devant le fait accompli. Cette déstabilisation progressive du service public de gestion des déchets a connu un nouveau point d’orgue avec la décision récente de bouleverser la filière des emballages.100 % des échéances reportées sur les nouvelles filières de recyclage aux dépens des collectivités et des contribuables locauxEn cette rentrée 2022, AMORCE fait d’abord le constat amer que si l’augmentation massive de la taxe sur le stockage des déchets (TGAP) a été effective dès le début du mandat, sans un jour de retard en 2018, aucune des nouvelles filières de collectes sélectives (jouets, sport et loisirs, bricolage, jardinerie…) qui devaient justement permettre de réduire le stockage des déchets n’est opérationnelle au 1er janvier 2022 comme le prévoyait la loi Agec. Pendant 4 ans, la TGAP aura ainsi rapporté des centaines de millions d’euros au budget de l’État sur le dos des collectivités, y compris les plus vertueuses en matière de recyclage.Le constat est le même pour la filière de recyclage des emballages professionnels de la restauration qui devait initialement être mise en place au 1er janvier 2021 et qui a été reportée de deux ans. Pire encore, 12 ans après la loi Grenelle qui prévoyait déjà un dispositif financier pour gérer les déchets du bâtiment, la mise en place de la filière a de nouveau été reportée d’un an sous la pression des metteurs sur le marché à l’aube de la campagne présidentielle. Et ce, sans aucune concertation avec les collectivités locales concernées qui ont été mises devant le fait accompli. Ces reports successifs laissent des dizaines de milliers de tonnes de déchets à la charge des collectivités et des contribuables locaux.Des changements de règles du jeu pour la filière des emballages et d’autres filières existantes qui risquent de fragiliser lourdement l’organisation du service public de gestion des déchetsConcernant les filières déjà en fonctionnement (emballages, déchets électriques et électroniques, déchets dangereux …), AMORCE déplore une simplification dangereuse des cahiers des charges des éco-organismes, pourtant déjà en situation monopolistique. Les contrats avec les éco-organismes sont de plus en plus déséquilibrés et fragilisent l’action des collectivités. AMORCE déplore également l’affaiblissement de l’ambition initiale de la loi Agec sur les objectifs environnementaux, avec très peu de moyens supplémentaires de coercition pour l’État en cas de non-atteinte de ces objectifs, alors que ce dernier sait être beaucoup plus sévère avec les obligations des collectivités locales.Mais c'est surtout la décision récente de donner à l’éco-organisme le contrôle exclusif de la plupart des flux de déchets d’emballages en plastique, à l’exception des bouteilles et flacons, qui pose question sur les objectifs visés. Une décision prise sans véritable concertation, ni évaluation environnementale et économique, et sans garantie que cela améliore le recyclage des nouveaux plastiques que doivent désormais trier les Français. Ce faisant, les collectivités apparaissent à nouveau comme les variables d’ajustement des stratégies industrielles des metteurs sur le marché en quête de résine, alors qu’elles ont dû investir des centaines de millions d’euros d'argent public, payé par les contribuables, dans de nouveaux centres de tri aujourd’hui remis partiellement en cause. AMORCE dénonce enfin le développement souterrain des automates de consignation des bouteilles en plastique, dernier gisement de déchets qui pourrait encore être trié par les collectivités, le seul ayant de la valeur et faisant baisser le coût du service public des déchets. Le développement de ces automates sur le territoire entre contradiction complète avec l’accord établi avec le gouvernement dans la loi Agec sur le report de ces dispositifs face à l’opposition de nombreux acteurs.Un risque important de démobilisation des collectivités et des élus locauxLes collectivités locales, qui ont été jusqu’ici des acteurs majeurs de l’économie circulaire à l’échelle des territoires, se sentent de plus en plus otages des stratégies commerciales et industrielles nationales ou internationales qui sont très éloignées des préoccupations des citoyens et des enjeux environnementaux de long terme. Sans visibilité sur l’avenir, et impactés financièrement par des décisions ne prenant pas en compte le service public de première nécessité de gestion des déchets, les élus locaux sont de plus en plus nombreux à s’interroger sur leur motivation à s’engager dans les filières de recyclage et à signer les futurs contrats avec les éco-organismes.AMORCE appelle donc le gouvernement à un rééquilibrage des échanges et des décisions entre industriels et collectivités en matière de gestion des déchets, pour éviter la démobilisation, voire le retrait massif des collectivités de nombreuses filières de collecte sélective et de recyclage, dont elles sont la clé de voute. AMORCE présentera dans les prochaines semaines ses propositions en ce sens aux candidats à l’élection présidentielle.
Il y a 3 ans et 108 jours

TDF 2022 : reconnaissance de la 10ème étape avec l’équipe d’ACTM

Comme les coureurs et leurs équipes du Tour de France 2022, qui s’élancera de Copenhague au Danemark le 1er juillet pour une arrivée à Paris le 24 juillet, reconnaissent leurs étapes, les suiveurs du Tour de France contemporain de Chroniques, pour leur cinquième participation, procèdent aussi désormais à des étapes de reconnaissance. Echauffement avec la […] L’article TDF 2022 : reconnaissance de la 10ème étape avec l’équipe d’ACTM est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

Transition écologique, digital, formation... l'OPPBTP dessine son plan Horizon 2025

PRÉVENTION. L'organisme professionnel de prévention du BTP (OPPBTP) a dressé le bilan de son plan 2020 et présenté sa stratégie à l'horizon 2025. La formation des jeunes, la sécurisation des nouveaux métiers ou encore l'accompagnement des entreprises en situation d'urgence font partie des priorités.
Il y a 3 ans et 108 jours

Erreur sur la surface, ce n'est pas au notaire de payer

Il n'est pas possible de se retourner contre le notaire lorsqu'une erreur de surface dans un acte de vente oblige le vendeur à rendre de l'argent à son acquéreur, selon la Cour de cassation.
Il y a 3 ans et 108 jours

Les Herbiers : les travaux du stade Massabielle se poursuivent

Au stade Massabielle, le chantier d’installation du club-house et des vestiaires est en cours de finition.
Il y a 3 ans et 108 jours

Le rapport Impact du groupe EDF

Il y a 3 ans et 108 jours

Un carnet de croquis en souvenir du Tibet

Au Tibet, les vautours volent haut et emmènent vers le ciel les esprits et les corps des humains. C’est dans ce cadre spirituel que Jean-Pierre Heim découvre le pays dès 2009. En 2019, il y retourne pour y concevoir le premier hôtel de Lhassa avec des chambres entièrement oxygénées naturellement TibetWood. En attendant sa construction, […] L’article Un carnet de croquis en souvenir du Tibet est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

Val-d’Oise : 29 millions d’euros sont destinés à la maintenance des collèges en 2022

Pour cette année, le département du Val-d’Oise a décidé de consacrer 29 millions d’euros pour les travaux de maintenance dans ses collèges.
Il y a 3 ans et 108 jours

Deux ans d'études autour du béton de plâtre, une exposition au Pavillon de l'Arsenal

Ciguë architectes présente ses recherches sur le potentiel du plâtre comme liant capable de remplacer sable et graviers dont les réserves s'épuisent, par des gravats du bâtiment. (Photo © ciguë architectes)
Il y a 3 ans et 108 jours

Un nouveau siège social bas carbone pour GRDF à horizon 2025

GRDF a choisi WO2, promoteur immobilier bas carbone pour réaliser son futur siège social. ( © Architecte Valode & Pistre )
Il y a 3 ans et 108 jours

L'accès mobile : l'avenir du contrôle d'accès sans fil

Utilisés comme GPS puis comme carte de paiement, les smartphones évoluent à grande vitesse et deviennent de véritables clés digitales. Grâce à ces derniers, il est désormais possible d’accéder à un bâtiment, sur un ou plusieurs sites, de manière totalement sécurisée.Un récent rapport sur le marché du contrôle d’accès démontre que les utilisateurs voient dans l’accès mobile plusieurs avantages tels que la praticité, le coût et la sécurité. Les identifiants mobiles, lecteur d’empreinte et reconnaissance faciale, sont considérés comme plus sécurisés qu’un badge ou une clé. Le comportement humain est également considéré comme un avantage de l’accès mobile. Par exemple, un employé ne remarquera pas tout de suite avoir perdu son badge d’accès alors que cette personne sera plus soigneuse avec son smartphone.Uniformiser la gestion de la sécurité et des accès avec un smartphone D’après une étude* menée par IFSEC Global et ASSA ABLOY Opening Solutions, deux tiers des entreprises prévoient d’adopter un système de contrôle d’accès mobile dans les deux prochaines années. Avec le téléchargement des identifiants mobiles qui a connu une augmentation de 220% entre 2018 et 2019 et qui continue de croître, selon une étude Omdia**, le contrôle d’accès mobile est l’avenir. D’un point de vue de la gestion de la sécurité, la facilité d’utilisation d’un smartphone est un atout majeur. En effet, les identifiants mobiles peuvent être envoyés à distance et un administrateur peut annuler ces derniers à tout moment. Il n’y a plus de besoin de récupérer les badges des visiteurs occasionnels ou des personnes arrivant à la fin de leur contrat. Financièrement, cette solution est plus intéressante puisqu’elle permet de ne plus imprimer les badges physiques.Les lecteurs sans fil Aperio, une solution de contrôle d’accès mobile pour les bâtiments Les solutions sans fil Aperio offrent un moyen très simple d'étendre le nombre de portes sous contrôle d'accès ou pour remplacer les serrures mécaniques par du contrôle d'accès intelligent. Parce que les solutions Aperio sont sans fil et alimentées par une pile, leur installation est rapide et économique et leurs coûts de fonctionnement et de maintenance en seront donc réduits. L’accès mobile Aperio fonctionne grâce à la technologie Seos®, une plateforme innovante dotée d’une technologie de cryptographie et d’authentification de pointe ainsi que d’une protection à la confidentialité inégalée. Déverrouiller une porte, avec les solutions sans fils Aperio, est simple et intuitif. Les utilisateurs présentent leur smartphone aux lecteurs, sans avoir à ouvrir l’application, tel qu’ils le feraient avec un badge classique. Les produits Aperio peuvent lire simultanément plusieurs technologies de badges. Ainsi, tous les accès n’ont pas vocation à être mobile et les responsables sécurité n’auront pas à migrer tous les identifiants sur une seule et même plateforme. Les lecteurs sans fil Aperio sont pensés pour une compatibilité maximum : les entreprises peuvent utiliser des badges RFID tout en utilisant des identifiants dématérialisés simultanément sur le même équipement. Les lecteurs Aperio permettent de réduire les coûts d’installation et d’extension dans un bâtiment grâce à leur compatibilité avec les systèmes existants. Rapides à installer et peu énergivores en énergie, les lecteurs sans fil Aperio s’intègrent parfaitement avec les systèmes de plus de cent fabricants de contrôle d’accès.
Il y a 3 ans et 108 jours

Neolife® : bardages et habillages de façade biosourcés

Spécialiste français en solutions de façade écologiques, Neolife® a conçu une technologie inédite couverte par 10 brevets et sous Avis… Cet article Neolife® : bardages et habillages de façade biosourcés est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 108 jours

Un vaste réseau de travailleurs dissimulés pakistanais démantelé en Île-de-France

La police a démantelé un vaste réseau de travail dissimulé et de blanchiement d'argent dans le bâtiment et les travaux publics d'Ile-de-France, ont révélés les enquêteurs le 18 janvier. (Photo © Cocoparisienne)