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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 118 jours

Grand Paris Express : un compagnon décède sur le chantier de Saint-Denis-Pleyel

ACCIDENT. Un drame s'est déroulé le 5 janvier 2022 sur le site de la future gare de Saint-Denis-Pleyel, entraînant la mort d'un ouvrier de l'entreprise Eiffage. C'est la deuxième fois en un peu plus d'un an que le projet du Grand Paris Express et les équipes de la major du BTP connaissent une telle tragédie.
Il y a 3 ans et 118 jours

Filière Rep : après la parution du décret, Valobat en attente du projet d'arrêté

RECYCLAGE. Valobat, entité candidate à devenir l'un des éco-organismes de la filière de responsabilité élargie du producteur (Rep) dans le bâtiment, se satisfait de la parution d'un premier décret encadrant le dispositif. Les industriels attendent à présent la mise en consultation de l'arrêté portant cahier des charges des éco-organismes.
Il y a 3 ans et 118 jours

En 2020, le coût de construction d'une maison individuelle a encore augmenté

ÉTUDE. Selon les statistiques de l'administration, les coûts d'acquisition d'un terrain et de construction d'une maison individuelle ont augmenté plus rapidement qu'en 2019. En dix ans, les terrains ont augmenté partout, parfois de manière spectaculaire.
Il y a 3 ans et 118 jours

Pour favoriser l'apprentissage, le gouvernement lance deux nouveaux services

JEUNES. Deux nouvelles fonctionnalités du dispositif gouvernemental "1 jeune, 1 solution" viennent d'être ajoutées. L'idée est de continuer de guider les utilisateurs à trouver un métier et un emploi en adéquation avec leurs centres d'intérêt.
Il y a 3 ans et 118 jours

Mapei France se renforce sur le marché des résines pour le Bâtiment

ACQUISITION. Le spécialiste des adhésifs, revêtements et mastics pour le bâtiment, Mapei France, vient d'annoncer le rachat de la société Resipoly Chrysor et de sa filiale Eurosyntec, fabricants de résines pour le bâtiment, l'industrie, les infrastructures et les sports et loisirs.
Il y a 3 ans et 118 jours

Lignotrend : élargissement de la gamme des produits et des accessoires

Présentation de l’entreprise  Lignotrend est basée à Weilheim-Bannholz en Forêt-Noire (Allemagne). Depuis 1992, l’entreprise conçoit des éléments en bois lamellé-croisé… Cet article Lignotrend : élargissement de la gamme des produits et des accessoires est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Cimbat
Il y a 3 ans et 118 jours

Montmélian : de nouveaux locaux pour le centre technique hôtelier L’Arlequin

Les locaux du centre technique hôtelier L’Arlequin à Montmélian ont été rénovés.
Il y a 3 ans et 118 jours

Dans les coulisses d'un laboratoire de l'Ifsttar

REPORTAGE. A l'occasion des Future Days, au début du mois de décembre 2021, Batiactu a pu visiter l'un des 7 laboratoires du département Matériaux et structures de l'Ifsttar, axé sur l'expérimentation et la modélisation pour le génie civil et urbain (EMGCU). Avec pour guides les deux directeurs adjoints.
Il y a 3 ans et 118 jours

Le décret Eco-Energie Tertiaire (DEET) : au-delà d'un nouveau défi à relever, une opportunité à saisir

Qu'est-ce que le décret Eco-Energie Tertiaire (DEET) ?Issu des décrets d'application de la loi ELAN de 2018, c'est un dispositif réglementaire qui vise à réduire de manière progressive la consommation d'énergie dans les bâtiments tertiaires. L'enjeu est important car cela représente 20 % de l'énergie en France, et une part significative des émissions de gaz à effet de serre. Ce décret s'applique aussi bien sur les bureaux que les services publics, les établissements d'enseignement, les commerces, les hôtels et restaurants, les salles de sports et de spectacles, les gares, les parkings... Bref, tous les bâtiments tertiaires. Le DEET concerne également tous les bâtiments dès lors que l'ensemble de ses surfaces à usage tertiaire sont égales ou supérieures à 1000 m2. Cela implique donc les bâtiments industriels qui intègrent le plus souvent des zones de stockage, des entrepôts climatisés ou réfrigérés, des réfectoires ou encore des bureaux. Quel est le calendrier de mise en œuvre de ce décret vertueux ?Le DEET ambitionne de réduire la consommation énergétique de 40 % d'ici 2030, 50 % d'ici 2040 et 60 % à horizon 2050. Le calendrier est donc progressif, ce qui est une garantie de sa bonne déclinaison sur le terrain. Mais cet objectif doit s'appuyer sur un point de départ. La première déclaration de consommation devra être enregistrée au plus tard le 30 septembre 2022.Le DEET laisse le propriétaire libre d'opter pour un objectif en valeur absolue ou en valeur relative. Dans le premier cas, il est déterminé en fonction du type de bâtiment. Dans le second, l'objectif de réduction de l'énergie utilisée répond à la consommation réelle observée sur une période définie. Adaptée aux bâtiments anciens, cette méthode offre l'avantage de fixer le point de référence pour prendre en compte, dès aujourd'hui, les investissements réalisés au cours des dernières années en matière d'efficacité énergétique. L'objectif est de ne pas pénaliser les acteurs déjà engagés dans une démarche vertueuse. Ceux-ci pourront ainsi prendre une année de référence antérieure à d'importants travaux effectués au cours des dernières années, comme la révision de l'isolation ou l'installation d'une chaufferie. Ainsi, il sera possible d'éviter que l'effort demandé ne les prennent pas en compte pour atteindre l'objectif de réduction de la consommation en 2030, 2040 et 2050.Y-a-t-il des obstacles pour répondre à cette nouvelle obligation réglementaire ?Le DEET est un décret. Comme souvent, le volet administratif est conséquent. Compte tenu des enjeux énergétiques, environnementaux et économiques, le suivi de sa mise en œuvre va demander de la méthode et de l'expertise. Outre la stratégie retenue par chaque acteur concerné, il faudra collecter, identifier, recenser et affecter toute l'information nécessaire pour valider les indicateurs. De multiples facteurs seront à prendre en compte : la composition du bâtiment, son histoire, l'historique de son entretien et de sa rénovation. Pour faciliter et harmoniser ces démarches exigeantes, la plateforme numérique OPERAT est mise à disposition.Il sera possible de modéliser les consommations à travers des études argumentées et justifiées par une maîtrise technique et opérationnelle des solutions déployées. Ce type de démarche scientifique doit être réalisée par des experts de la performance énergétique. EQUANS y travaille depuis 2019 et la loi ELAN peut apporter une réponse fiable et sur mesure. En matière d'efficacité énergétique en milieu tertiaire, il y a autant de situations possibles que de bâtiments concernés. Il faut donc impérativement être agile pour répondre au mieux aux exigences du DEET, avec une solution sur toute la chaîne de valeur.Le décret doit être vu comme une opportunité d'accélérer très concrètement la transition énergétique mais aussi industrielle, car le champ d'application est vaste. Il y a un formidable gisement d'économie à transformer, notamment grâce au digital. L'accompagnement dans cette triple transition est précisément au cœur de l'ADN de EQUANS.Tribune de Marc-André Merlet, Directeur Performance Energétique chez EQUANS France et expert du Dispositif Eco-Energie Tertiaire (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 118 jours

CTE Bois

Présentation de l’entreprise CTE Bois est un bureau d’étude structure et enveloppes bois. Au sein du groupe CTE, nous proposons… Cet article CTE Bois est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 118 jours

Lafarge Granulats va acquérir l’activité carrières du groupe Famy

Lafarge Granulats fera l’acquisition des 6 carrières de l’activité granulat du groupe indépendant et familial de travaux publics fondé dans l’Ain en 1860 et installé à Valserhône.
Il y a 3 ans et 118 jours

Atrium

Présentation entreprise ATRIUM, spécialiste des tuiles en bois de chêne 100% éco-responsables, pour toiture et bardage. Située au cœur de… Cet article Atrium est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 118 jours

Lyon : la restitution des concertations à propos du renouvellement urbain de la Sauvegarde est prévue au printemps 2022

Les résultats des concertations réalisées dans le cadre du renouvellement urbain du quartier de la Sauvegarde, à Lyon, seront dévoilés au printemps prochain.
Il y a 3 ans et 118 jours

Guillaume André, nouveau président du collège BPE Normandie

Portrait de Guillaume André, nouveau président du collège BPE Normandie du SNBPE. [©SNBPE] Il y a peu nommé directeur général de l’agence normande LafargeHolcim Bétons France, Guillaume André vient d’être élu à la présidence du collège BPE Normandie du SNBPE. Il succède ainsi à Thierry Flandre. « Je souhaite avant tout remercier mes pairs, ainsi que Thierry Flandre pour tout le travail accompli au sein du collège BPE Normandie », a déclaré Guillaume André lors de sa nomination. Celui-ci souhaite continuer les actions menées par son prédécesseur. Ainsi, il veillera à maintenir les orientations clefs actuelles et soutiendra les actions en faveur de la sécurité et de l’environnement. Ainsi que de la promotion des métiers du BPE. Son parcours Guillaume André aspire à apporter son soutien et à accompagner les entreprises adhérentes vis-à-vis de la mise en place de la nouvelle règlementation relative à la Responsabilité élargie des producteurs (Rep). De plus, il continuera à proposer un service de proximité aux adhérents du collège pour les accompagner au mieux dans leurs projets. Le nouveau président est titulaire d’un diplôme d’ingénieur des mines, ainsi que d’un DUT génie civil. Il a occupé de nombreux postes au sein de LafargeHolcim (nouvellement Holcim), tel que le développement produits, l’innovation, le marketing et la performance commerciale. C’est en 2021 qu’il prend la direction générale de l’agence Normandie de LafargeHolcim Bétons France.
Il y a 3 ans et 118 jours

Jean-Philippe Ricard à la direction générale de Freyssinet

Portrait de Jean-Philippe Ricard, le nouveau directeur général de Freyssinet. [© Freyssinet]. Référence dans le domaine du génie civil, de la précontrainte et de la réparation des bétons, l’entreprise Freyssinet a nommé Jean-Philippe Ricard à sa direction générale. Il succède à Patrick Nagle, qui occupait ce poste depuis 2016. Ce dernier a fait valoir ses droits à la retraite. Jean-Philippe Ricard était auparavant directeur général adjoint, ainsi que directeur opérationnel de la zone Nord-Atlantique.   Son parcours Diplômé de l’Ecole nationale des techniques avancées et de Polytechnique, Jean-Philippe Ricard débute sa carrière chez Bouygues Offshore comme ingénieur. En 2008, il rejoint Vinci Construction Grands Projets, afin de piloter les travaux maritimes et le développement commercial de la zone Afrique du Nord. En 2012, il prend la direction du pôle “Grands Projets” et devient aussi le responsable des travaux de génie civil, de génie civil industriel et nucléaire. Par ailleurs, Jean-Philippe Ricard a créé, en 2014, Eiffage Fondation.
Il y a 3 ans et 118 jours

Un nouveau type de radars routiers va être testé en France

Première phase d'expérimentationTrois technologies différentes vont être testées pour ces radars qui seront mis en place à partir du mardi 4 janvier ou du 5 janvier, dès la publication d'un décret dans le Journal officiel. Ces radars sont installés sur la route qui traverse Saint-Forget (78) dans la vallée de Chevreuse, route chérie des motards.Cete route avait déjà fait l'objet d'un test pour un « radar méduse » équipé d'une caméra et de micros.Six autres collectivités vont donc voir apparaître ces dispositifs dans les semaines prochaines : Paris, les métropoles niçoises, toulousaines et lyonnaises, Bron et les communes de Rueil-Malmaison (92) et Villeneuve-le-Roi (94).Pendant cette phase expérimentale, les radars ne constateront pas d'infractions, le but du test étant de déterminer le niveau sonore maximal, fixé pour commencer à 90 décibels (les sons de la vie quotidienne sont compris entre 30 et 90 décibels).Jusqu'à maintenant, chaque véhicule avait son propre niveau sonore maximal que l'on peut retrouver sur sa carte grise et que les forces de l'ordre ne pouvaient contrôler qu'à l'arrêt pour vérifier sa conformité.Le but pour le ministère est donc « d'amplifier les contrôles et d'améliorer leur efficacité ».Seconde phase d'expérimentationTrois mois à partir de la mise en place des radars tests, une deuxième phase d'expérimentation pourra commencer avec cette fois-ci la constatation d'infractions et donc de potentielles contraventions de 4ème classe, c'est-à-dire une amende forfaitaire de 135 euros, minorée à 90 euros si le paiement est effectué dans les 15 jours.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, souligne dans un communiqué que « le bruit a un coût très concret pour nos concitoyens » et que « des réglementations existent déjà mais la généralisation des contrôles est un levier essentiel pour lutter efficacement contre cette source de pollution, en particulier sur la voie publique ».Pour rappelLe « coût social » auquel fait référence Barbara Pompili fait référence à l'exposition au bruit, principalement des transports, qui coûte plus de 147 milliards d'euros par an en France, notamment via les conséquences sanitaires indirectes, selon un rapport publié en juillet 2021 par le Conseil national du bruit et de l'Ademe (Agence de la transition écologique).Quant à l'OMS, l'organisation considère que le bruit est le deuxième facteur environnemental provoquant le plus de dommages sanitaires en Europe, juste après la pollution de l'air, responsable de 40.000 décès prématurés par an en France par exemple.Ces nouveaux radars sonores auront donc « vocation à être généralisés sur l'ensemble du territoire national » si un dispositif législatif pérenne est adopté, selon le ministère.
Il y a 3 ans et 118 jours

Oise : rénovation de la traversée de Golancourt

La traversée de Golancourt, le long de l’axe Noyon-Ham, fait l’objet d’importants travaux de réfection.
Il y a 3 ans et 118 jours

Clichy-la-Garenne : travaux d’extension et de réhabilitation de la Maison du Régisseur

Le projet d’extension et de rénovation de la Maison du Régisseur à Clichy-la-Garenne vient d’être lancé.
GDA
Il y a 3 ans et 118 jours

ZAC de Ferro-Lèbres : un futur groupe scolaire en 2024

Le projet de construction d’un groupe scolaire s’inscrit dans le programme d’aménagement de la future ZAC de Ferro-Lèbres.
Il y a 3 ans et 118 jours

Cannes : extension du gymnase des Mûriers

Le gymnase des Mûriers, à Cannes, fera l’objet d’une rénovation.
Il y a 3 ans et 118 jours

Robinetterie Taormina by Ritmonio design et respectueuse de l'environnement

Ritmonio répond rapidement aux besoins du marché : depuis des années, l'entreprise guide les processus en visant une production éthique, visant à minimiser l'impact sur l'écosystème. Une attention qui se reflète également dans l'analyse constante du système de production et dans les interventions pour le mettre en œuvre. En plus de la certification ISO 14001 qui garantit la durabilité et l'exactitude de la gestion environnementale, Ritmonio a mis en place le programme ECO pour les produits de la division Bath & Shower (mitigeurs de lavabo et bidet) qui se caractérisent par un débit d'eau inférieur à 9 l/min, tout en assurant un confort d'utilisation maximal.Parmi ceux-ci, également TAORMINA, une collection qui se décline dans une gamme complète de produits pour différents usages : à partir des mitigeurs par appui, aux mitigeurs encastrés, jusqu'aux pommes de douche. Pour certaines de ces configurations, le débit d'eau est inférieur à 6 l/min, incarnant parfaitement l'inclination naturelle de Ritmonio pour une conception durable.La collection revisite des éléments classiques dans une touche contemporaine, avec des lignes gracieuses. S'inspirant clairement de la station balnéaire sicilienne enviée dans le monde entier pour son charme et sa beauté, la série incarne la véritable expression du Made in Italy de la société : le corps du mitigeur de lavabo rappelle la forme des colonnes caractéristiques du théâtre antique de Taormina et ses lignes douces font référence aux criques et aux vagues sinueuses de la mer Méditerranée.Design épuré, largeur et transversalité de l'offre : tels sont les atouts de la série. Proposée en 16 finitions, elle est disponible avec une commande sans levier, plus minimale et essentielle, ou avec levier, pour permettre à l'utilisateur final plus de personnalisation dans la salle de bain.TAORMINA est une solution multiforme et polyvalente, respectueuse de l'histoire dans la modernité. Un produit au design hautement technologique, conçu pour réduire considérablement la consommation d'eau et d'énergie et préserver l'eau, l'un des ressources naturelles les plus précieux.
Il y a 3 ans et 118 jours

Visite en images des principales réalisations de Richard Rogers

  Lauréat du Pritzker en 2007, coauteur du centre Pompidou à Paris, pionnier du courant high-tech dont il a conçu l'icône, l'immeuble de la Lloyd's à Londres, l'architecte Richard Rogers est mort le 19 décembre 2021, à l'âge de 88 ans. C'était un starchitecte, un de ces grands noms de l'entre-deux […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 118 jours

Richard Rogers (1933-2021)

  Lauréat du Pritzker en 2007, coauteur du centre Pompidou à Paris, pionnier du courant high-tech dont il a conçu l'icône, l'immeuble de la Lloyd's à Londres, l'architecte Richard Rogers est mort le 19 décembre 2021, à l'âge de 88 ans. C'était un starchitecte, un de ces grands noms de l'entre-deux […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 118 jours

SimonsVoss au service des aînés du Groupe Urban Senior

Le Groupe propose des services d'assistance et d'accompagnement dans les actes essentiels de la vie quotidienne des personnes âgées : animation, gardiennage, restauration, l'entretien du bâtiment...Confort, sécurité et qualité de vie sont les maîtres-mots qui rythment la vie des logements d'Urban Senior. L'objectif est d'optimiser la sécurité des résidents et d'éviter le casse-tête de la gestion des clés mécaniques. En effet, lorsque les personnes prennent de l'âge et commencent à avoir des soucis de santé, opter pour l'ouverture de porte via un badge est la solution idéale. Séduit par le design, la simplicité de l'installation et la gestion des fermetures numériques SimonsVoss, le choix de son déploiement au sein d'Urban Senior était une évidence après une phase test débutée en 2018.Après ladite phase test, le Groupe a finalement équipé deux bâtiments avec la plaque-béquille SmartHandle 3062 : « Le Clos Saint Jeannais » à Saint-Jean de Bournay, qui compte 52 appartements, et « Le Clos Stéphanois » à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, en phase de construction, qui comportera 57 appartements. A ce jour, plus de 110 appartements disposent d'une solution de contrôle d'accès SimonsVoss. Une facilité d'action hors normeConçue pour les besoins spécifiques du secteur hospitalier ou des établissements de santé en général, la serrure électronique SmartHandle 3062 SnapIn comporte un montage sans perçage permettant de respecter la certification coupe-feu et thermique de la porte. La béquille fonctionne à l'aide des piles qui affichent une grande autonomie avant leur changement - environ 10 ans en mode veille. Urban Senior a opté pour un mode offline de son système, mais pourra dans le futur évoluer facilement en réseau online sans changer de produits.La gestion des accès est centralisée depuis le logiciel Locking System Management (LSM). Les badges sont paramétrables à tout moment : en cas de perte, d'oubli, lors des visites des familles... par le gestionnaire.Au cas de besoin, il est possible d'attribuer des horaires spécifiques aux familles pour les visites, mais dans la plupart des cas ce sont que les résidents qui ont accès à leurs appartements.« Nous étions à la recherche d'une solution pérenne et facile d'installation, qui sera appréciée par notre personnel et nos occupants pour la simplicité de l'utilisation. Et la solution proposée par SimonsVoss réunit tous ces critères. Elle répond à 100 % à notre besoin, celui de disposer d'un système sûr et fiable pour répondre aux exigences de sécurité dans notre établissement », précise Michael RULL, gérant des sites d'Urban Senior.
Il y a 3 ans et 119 jours

Alpes Contrôles ouvre un pôle national dédié à l’inspection des ouvrages d’art

Piloté depuis la toute nouvelle agence de Perpignan, ce pôle propose des services d’inspections des structures et d’assistance pour la définition de la politique de maintenance et d’entretien des ouvrages d’art.
Il y a 3 ans et 119 jours

Incendie d’un château en Normandie

Dans la nuit du 8 décembre 2021 un violent incendie s’est déclaré au château d’Aunay à Aunay-les-Bois dans l’Orne. Les pompiers se sont attachés à évacuer quelques objets sur les indications du propriétaire et ils ont tenté d’isoler les tours pour les préserver. L’incendie s’est étendu à l’ensemble du château et seule la tour nord-est a conservé sa toiture et son plancher. Inscrit au titre des monuments historiques, façades et toitures, par arrêté du 22 juillet 1971, les actions à mener rapidement seraient d’étayer les structures horizontales conservées, de prévoir des calages et protections sur les murs, et d’ôter les gravas. Ces tâches seront complexes considérant l’état de conservation potentiellement dégradé du plancher haut de la cave.   Source et photo : Drac Normandie  
Il y a 3 ans et 119 jours

Les tableaux de Notre-Dame de Paris sont en restauration

Les 22 tableaux de Notre-Dame de Paris sont entrés en restauration en octobre 2021 pour 2 ans. Cette opération, portée par la Conservation régionales des monuments historiques (CRMH) de la DRAC Île-de-France, est rendue possible grâce aux donations collectées pour la restauration de la cathédrale suite à l’incendie survenu le 15 avril 2019. Dès le 15 avril 2019, deux tableaux avaient été évacués vers le musée du Louvre dont La Nativité de la Vierge des frères Le Nain et la Vierge de Pitié de Lubin Baugin. Le 19 avril, dix-huit autres tableaux les avaient rejoints. Les deux dernières œuvres, difficilement accessibles, ont été évacuées en août 2020. Tous les tableaux ont été dépoussiérés face et revers et ont bénéficié chacun d’un constat d’état. Les 22 œuvres, en plus d’être des toiles de grands maîtres, sont pour la plus part des tableaux de grande taille allant jusqu’à 4,5 m de haut et 3,5 m de large. Les techniques de restauration anciennes ont permis une bonne conservation des œuvres dans le temps. Les altérations des tableaux de Notre-Dame sont due au vieillissement naturel des matériaux et non à l’incendie qui n’a, heureusement, pas détérioré les tableaux. L’opération de restauration, inédite par son ampleur, doit durer deux ans, afin que les toiles puissent retrouver la cathédrale au moment de sa réouverture. La restauration s’effectue par étapes en série de quatre tableaux (un tableau par lot du marché) dans des ateliers conçus spécifiquement. La première étape consiste à réaliser des tests de restauration sur les tableaux pour déterminer leur usure et les besoins d’interventions à réaliser. Chaque équipe de restaurateurs étudie minutieusement les supports et la couche picturale à l’aide de techniques scientifiques perfectionnées : traitement à base de produits chimiques, projection précise de lumières spécifiques, utilisation de technologies de pointe.   Source et photo : Drac Ile-de-France  
Il y a 3 ans et 119 jours

L’Obélisque fait peau neuve

Monolithe de granit sculpté, l’Obélisque de Louxor est érigé au centre de la place de la Concorde depuis 1836. Il a été offert en 1830 par l’Égypte en reconnaissance du travail du Français Jean-François Champollion pour le déchiffrement des hiéroglyphes, réalisé en 1822. Grâce à un mécénat de compétences avec la société Kärcher, la DRAC Île-de-France engage la restauration du plus ancien monument de Paris en 2022, année du bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion. Une restauration minutieusement préparée depuis plusieurs mois. Le chantier a débuté mi-novembre 2021 par l’installation des échafaudages, la restauration commence en janvier 2022. La préparation a duré plus d’une année avec le mécène Kärcher et les équipes du ministère de la Culture, afin d’élaborer les protocoles adéquats de restauration. Durant cette phase préparatoire, des tests de nettoyage du monolithe, du piédestal et du socle ont été organisés, sous le contrôle du Laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMH). Plusieurs méthodes ont été testées, dans le respect d’un protocole consistant à valider l’innocuité des technologies proposées par Kärcher, examiner la rugosité post-nettoyage par scan 3D et comparer l’état de surface du granit avec un échantillon de granit sain d’Assouan. Les analyses du LRMH ont conclu à l’utilisation de deux méthodes différenciées : la vapeur chaude pour le socle et le piédestal, le micro-sablage pour le monolithe L’opération comprend donc la restauration du monolithe, de son piédestal, de son podium et de la grille de clôture. Elle intègre une phase de consolidation des zones desquamées du monolithe et un nettoyage adapté aux différents matériaux composant le monument : révision et réparation des feuilles d’or du pyramidion, micro-sablage à basse pression pour le monolithe, vapeur d’eau et éponge pour le piédestal, éponge pour les décors gravés et dorée et vapeur d’eau et micro-sablage pour le podium. La présentation du podium sera améliorée par la reprise des joints et le goujonnage de la pierre formant bordure extérieure . La grille et les portillons font l’objet d’une révision et d’une reprise des peintures et la pointe manquante sur la grille sera restituée. Les restaurateurs permettront un rendu homogène de l’ensemble et reprendront les parties dorées à la feuille d’or. La bâche et les palissades de chantier décorées par un jeune artiste diplômé des Beaux-Arts de Paris Dans le cadre de la convention de mécénat avec Kärcher, un partenariat a été noué avec l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, qui a permis de lancer un appel à projet auprès des étudiants et diplômés de l’école. Un jury, composé de représentants du ministère de la Culture, des Beaux-Arts de Paris, du musée du Louvre, de l’architecte en chef des monuments historiques et de l’entreprise mécène s’est réuni à la DRAC Île-de-France le 29 novembre 2021. Parmi les 11 candidatures reçues, 3 artistes ont été sélectionnés et leur projet soumis à la ministre de la Culture. L’artiste retenu est Jonathan SOBEL, diplômé de l’école en 2021. Sa proposition, qui sera à découvrir à partir du 24 décembre, est un monolithe jaune (soleil égyptien) et gris (ciel parisien) présentant les effigies de Ramsès II (1304-1213 avant J.-C.), Méhémet Ali (1769-1849), Charles X (1757-1836) et Jean-François Champollion (1790-1832), quatre grands hommes liés à la création et la destinée du monument, comme sérigraphiés dans une matière révélant à l’observateur attentif des formes et caractères qui sont autant d’indices de cette histoire.   Source et photo : Drac Ile-de-France  
Il y a 3 ans et 119 jours

Bonifacio : site patrimonial remarquable

Bonifacio forme avec ses falaises et son littoral un ensemble exceptionnel. La citadelle campée sur sa presqu’île, le port et la nature préservée, en font un des sites majeurs de la Corse. La ville centre compte 20 immeubles protégés au titre des monuments historiques et la ville ancienne, pittoresque, très dense, est un lieu touristique majeur. Au vu de la densité et de la valeur d’ensemble de son patrimoine, la conservation, la restauration, la réhabilitation et la mise en valeur de Bonifacio présentent un intérêt public du point de vue historique, architectural et paysager. Un arrêté ministériel du 22 décembre 2021 a procédé au classement du site patrimonial remarquable de Bonifacio. Cette décision fait suite à une concertation engagée avec l’ensemble des acteurs concernés. La modification du site patrimonial remarquable et l’élaboration à venir d’un plan de gestion permettront d’assurer dans les meilleures conditions la conservation et la mise en valeur du patrimoine de la ville de Bonifacio en lien notamment avec les services de l’État (en particulier la DRAC Corse et l’architecte des Bâtiments de France).    
Il y a 3 ans et 119 jours

M6 devient l'actionnaire majoritaire de Stéphane Plaza Immobilier

Avec un investissement supplémentaire de 2,5 millions d'euros, le groupe audiovisuel M6 a atteint les 51% du capital nécessaires pour devenir actionnaire majoritaire de la société immobilière de l'animateur préféré des français en 2021.Stéphane Plaza, qui détient environ un quart de la société, gardera ses responsabilités ainsi que sa participation, a annoncé le groupe dans un communiqué.L'animateur connu pour ses multiples émissions sur l'immobilier comme « Maison à vendre » avait donné son nom à l'entreprise créée en 2015 avec deux anciens dirigeants du réseau concurrent Laforêt, Patrick-Michel Khider de Lusigny (actuel président) et Bernard de Crémier, décédé en 2019.Cet investissement du groupe M6 s'inscrit dans une volonté de consolider son réseau de 660 franchises et de continuer sa stratégie de diversification.Selon le groupe de télévision et de radio, "les investissements significatifs dans les écrans publicitaires ont permis de valoriser une marque et un savoir-faire" salutaires pour Stéphane Plaza Immobilier.La société immobilière avait dégagé en 2020 un résultat net de 6 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 16,5 millions d'euros et entend réaliser une marge opérationnelle (Ebita) de 12,5 millions d'euros en 2021, en croissance de 47% sur un an.Cette prise de contrôle survient pendant qu'une opération de fusion avec le concurrent historique de M6, TF1, est prévue pour la fin de l'année, sous réserve de l'obtention de l'accord de l'Autorité de la concurrence et du CSA.
Il y a 3 ans et 119 jours

11 projets d’exception récompensés pour la 18e edition des Pyramides d’Or de la FPI

Neuf prix ont récompensé 11 projets innovants présentés par les adhérents de la Fédération des promoteurs immobiliers dans le cadre de la 18e édition des Pyramides d’Or.
Il y a 3 ans et 119 jours

La restauration et modernisation du Théâtre de Dole par Chatillon Architectes

Le théâtre municipale de Dole a été entièrement restauré et modernisé par Chatillon Architectes en collaboration avec l’agence de scénographie Architecture et Technique. Le théâtre a subi une première phase de rénovation portant sur le clos ouvert ainsi qu’une seconde sur les intérieurs pour le transformer en un lieu plus performant et accueillant. Des sondages stratigraphiques ont permis de redécouvrir les couleurs d’origines du lieu : un bleu céladon pour les murs de la salle de spectacle, un bleu canard et des rehaussements dorés. Sous la scène la charpente structurelle a été démontée, restaurée et remontée à l’identique. Les décors intérieurs sur bois ou toiles marouflées, les carton-pâte, dorures et plafonds à caisson ont pu être restaurés. Les luminaires historiques, notamment les lustres du foyer et de la salle ainsi que les appliques des coursives et du vestibule ont été également restaurés et adaptés.   
Il y a 3 ans et 119 jours

Nomination de Gaëtan Leprince au poste de Directeur des Ventes Bâtiment France de Toupret

Spécialiste des produits de l'habitat, Gaëtan était auparavant chez Saint-Gobain, groupe dans lequel il a démarré sa carrière en 2008. Avec plus de 13 ans dans l'industrie des matériaux de construction, il a occupé différentes fonctions de responsable commercial, marketing, et management en France et à l'international pour des marques comme Placo, Isover ou Weber.Gaëtan LEPRINCE est âgé de 35 ans. Il est titulaire d'un diplôme de Manager en ingénierie d'affaires (Sup de ventes) et d'un DUT en Techniques de commercialisation.Commentant cette annonce, Hervé GUERMONPREZ, Directeur Commercial France du Groupe TOUPRET, déclare : « Du fait de son parcours, Gaëtan bénéficie d'une grande culture des produits de second œuvre, d'une parfaite connaissance des acteurs de la construction et des réseaux de distribution. À un moment où nous renforçons notre position sur le marché professionnel et notamment sur le marché du neuf avec les enduits en pâte et les gros volumes, son expérience dans l'industrie des matériaux de construction constitue un véritable atout pour accompagner notre développement ».De son côté, Gaëtan LEPRINCE, Chef de ventes Bâtiment France, commente : « Je suis très fier de porter une marque forte telle que TOUPRET et de rejoindre une équipe de commerciaux et de démonstrateurs expérimentés. Je retrouve ici une expertise terrain et produits qui selon moi fait la force d'une marque sur les chantiers. Reconnue par les applicateurs et les distributeurs pour sa qualité et sa fiabilité, c'est une marque utilisée au quotidien en neuf ou en rénovation, et pour qui l'attachement au produit est très fort ».
Il y a 3 ans et 119 jours

Encadrement des loyers: les collectivités auront le pouvoir de sanction

Les députés ont décidé de mettre entre les mains des collectivités locales volontaires le pouvoir de sanction à l'encontre des bailleurs qui ne respecteraient pas le mécanisme d'encadrement des loyers.
Il y a 3 ans et 119 jours

Les chantiers des ouvrages olympiques "dans les délais et dans les coûts"

PARIS 2024. Nicolas Ferrand, directeur général de la Société de livraison des ouvrages olympiques, la Solideo, est confiant. Dans une interview accordée à l'AFP, il assure être dans les clous et prêt pour une livraison avant la fin 2023.
Il y a 3 ans et 119 jours

14 morts sur un chantier après un glissement de terrain en Chine

L'éboulement s'est produit à Bijie, une localité dans le Guizhou située à 2.000 km à l'ouest de Shanghai.Quand le sinistre s'est produit lundi soir, des ouvriers travaillaient au renforcement d'une colline sur un chantier, a indiqué l'agence de presse Chine Nouvelle.Quatorze personnes ont péri et trois autres ont été blessées, a précisé l'agence.Les opérations de sauvetage se sont achevées mardi 4 janvier.Une enquête est en cours pour déterminer l'origine du sinistre, selon Chine Nouvelle.Des photos publiées par les médias montraient des sauveteurs travailler de nuit sous des projecteurs. Sur d'autres clichés, une structure en béton détruite était visible ainsi qu'une pelleteuse écrasée par des débris.La sécurité sur les chantiers s'est améliorée en Chine au cours des dernières décennies, tout comme la médiatisation de ces incidents dont beaucoup étaient autrefois passés sous silence.Mais des accidents surviennent encore régulièrement, en raison du danger inhérent au secteur et de l'application parfois aléatoire des consignes de sécurité.En décembre, deux ouvriers avaient trouvé la mort et une vingtaine d'autres avaient été blessés dans une mine inondée à Xiaoyi dans la province du Shanxi (nord).
Il y a 3 ans et 119 jours

Les points essentiels à connaitre sur les pentes de toiture

La toiture est un élément essentiel de la maison. Pour sa mise en place, l’intervention d’un professionnel du domaine est incontournable. En effet, il s’agit d’une tâche très technique qui nécessite des connaissances poussées en travaux de bâtiment. En outre, l’installation doit se faire selon des normes bien précises. Le calcul de pente de la toiture fait justement partie des opérations qu’on ne peut négliger. Nous allons justement en parler dans les lignes suivantes. La pente de toiture, un sujet non négligeable Le toit est la structure qui garantit l’étanchéité de la construction. Il préserve l’habitation des infiltrations d’eau. Mais pour cela, il doit permettre une bonne évacuation des eaux de pluie. Par conséquent, il devra être suffisamment incliné. Pour la toiture plate par exemple, elle doit présenter une pente d’environ 1 % à 5 %. Peu importe sa forme, le calcul de la pente de la toiture doit se faire selon les normes de la construction. Il se fait également en tenant compte de plusieurs facteurs. C’est pourquoi il est préférable de laisser cette tâche aux soins d’un couvreur professionnel. Bon à savoir : La différence doit être faite entre la pente minimale et la pente recommandée. La première est imposée selon les différents paramètres fixés par les Documents Techniques Unifiés (DTU). Quant à la seconde, elle est décidée par le couvreur au moment de procéder au calcul. C’est notamment le cas lorsqu’il faut tenir compte d’autres critères. Pour une protection optimale de la charpente et des autres éléments du toit, cet artisan peut ainsi proposer une pente différente. Quelles sont les normes qui encadrent le calcul de la pente de toiture ? En France, la rénovation ou la construction de toiture doit se faire selon les normes imposées par les DTU. Ces derniers comprennent également les règles relatives au calcul de la pente de toiture minimale. Principalement, il y a 3 DTU et normes qui encadrent ce procédé. En l’occurrence, il s’agit de : La norme française NF P 36 201 concernant la répartition des descentes d’eau verticales ; La DTU 40.5 relative à la mise en œuvre de l’évacuation des eaux pluviales ; Le DTU 60.11 sur les dimensions et les règles de calcul des canalisations. À côté de ces normes, une consultation du Plan Local d’Urbanisme (PLU) auprès de la mairie s’impose. En fonction des spécificités régionales, le PLU peut dicter la hauteur de votre maison, l’esthétique du toit ainsi que le choix des matériaux de couverture (ex. : ardoise, zinc, tuiles de terre cuite, etc.). Vous pouvez également contacter cette entreprise de couverture qui est en connaissance de ces diverses règles. Calcul de la pente de toiture : quels sont les principaux critères à tenir compte ? Comme susmentionné, le calcul de la pente du toit se fait selon des critères bien précis. En l’occurrence, il s’agit de : La zone géographique de la toiture Pour le cas de la France, on distingue 3 zones d’habitation. À chacune de ces zones correspondent des normes pour les pentes de la toiture. Ces dernières sont déterminées en fonction de la distance entre la bâtisse et le littoral. Par exemple, la zone 1 correspond aux maisons implantées à plus de 40 km de la mer ou à moins de 200 m d’altitude. La zone 2 est relative aux habitations situées entre 20 et 40 km de la côte ou entre 200 m et 500 m d’altitude. Quant à la zone 3, elle concerne les constructions à moins de 20 km de la mer ou à moins de 500 m d’altitude. Pour cette zone, la toiture est plus exposée aux intempéries.  L’environnement autour de la bâtisse La situation exacte de votre maison et son environnement direct entrent en compte dans le calcul de la pente du toit. Une toiture de maison entourée de collines est moins exposée au vent et aux intempéries par rapport à une toiture de maison sur le littoral ou en haut d’une falaise. Les matériaux de couvertures à installer Pour le choix des matériaux de couverture, vous pouvez compter sur l’aide d’un couvreur professionnel. D’ailleurs, il est à noter que la pente de la toiture varie en fonction du type d’habillage à mettre en place. Pour les tuiles en terre cuite, il faudra par exemple prévoir une inclinaison minimale de 20 %. En revanche, une pente minimale de 26 % devra être respectée pour permettre la pose des ardoises.
Il y a 3 ans et 119 jours

Tours jumelles à La Défense : Hermitage menace l'établissement public de poursuites

Suite à la décision lundi du conseil d'administration de l'établissement public local Paris La Défense de ne pas approuver les promesses de vente avec Hermitage, notamment à cause de « l'absence de garanties financières et techniques fournies par le porteur de projet », Hermitage met en demeure Paris La Défense de signer sous peine de demander un milliard d'euros de dommages et intérêts.Le projet en question, appelé "Hermitage Plaza", est initié par le promoteur russe EminIskenderov et prévoyait la construction de deux gratte-ciels de 320 mètresde haut avec des résidences de luxe, des bureaux, des hôtels et des commerces pour remplacer des immeubles de logements construits en 1974.Hermitage a fait savoir dans un communiqué le 4 janvier qu'il était « stupéfait de constater que Paris La Défense n'a pas respecté son engagement en arguant d'éléments fallacieux de signer la promesse de vente avant le 31 décembre 2021 telle que prévue par le protocole du 24 mars 2021 qui découlait d'une médiation judiciaire ».Ce refus de la part de l'établissement public est également vu comme « incompréhensible et troublant », « un revirement troublant » par la société du promoteur russe qui « rappelle avoir travaillé pendant 13 ans et avoir investi 350 millions d'euros pour un projet emblématique et sur la base d'un accord de partenariat pris par un établissement public de l'État repris depuis par Paris La Défense ».Des informations mensongères à l'origine du refus selon HermitageDans ce même communiqué du 4 janvier, Hermitage déclare que « des informations mensongères ont apparemment été diffusées en interne lors du conseil » d'administration de Paris La Défense le 28 décembre « portant sur la réalité des engagements et la qualité des partenaires du projet » sans avancer toutefois de preuves.La société affirme notamment avoir « produit la preuve de l'engagement ferme d'un établissement financier international de premier plan de fournir le financement nécessaire pour qu'[il] s'acquitte de ses obligations au titre de la promesse de vente, soit un montant de 280 millions d'euros, offrant ainsi les garanties financières exigées ».Paris La Défens est donc mis en demeure de signer la promesses de vente par Hermitage, sans quoi Hermitage reprendra sa procédure de demande d'un milliard d'euros de dommages et intérêts « nonobstant une demande en exécution forcée et d'autres procédures pour rupture abusive et déloyauté » à laquelle l'entreprise avait renoncé lors d'une médiation.
Il y a 3 ans et 119 jours

L’OPPBTP met à jour son Guide de préconisations de sécurité sanitaire

Ces nouvelles directives gouvernementales ont pour objectif de faire face à l’extrême contagiosité du variant Omicron et de freiner la pandémie tout en préservant au mieux l’activité économique et sociale. Les principaux aménagements du guide concernent :Le télétravail : les entreprises doivent recourir à 3 jours de télétravail par semaine, voire plus lorsque cela est possible. Le télétravail est en revanche nécessairement de portée limitée dans le BTP. L’OPPBTP rappelle l’importance primordiale, face aux risques traditionnels des chantiers, d’assurer la présence sur chantier d’équipes complètes, y compris l’encadrement managérial et technique.Le rappel des gestes barrières : port du masque, hygiène des mains, aération des locaux, distance minimale de 2 mètres chaque fois que le port du masque n’est pas possible ou mise en place d’écrans barrière, restent valables. Dans les lieux de pause et les vestiaires qui peuvent être source de promiscuité, les mesures qui avaient été prises dès les premières vagues retrouvent toute leur utilité afin de préserver la santé de chacun et d’assurer la continuité de l’activité : roulement des horaires, écrans barrières…Isolement des cas contact : l’isolement n’est plus obligatoire pour les personnes vaccinées. Un contrôle par test à J+2 et J+4 après le dernier contact avec la personne testée positive est toutefois requis. En revanche, les personnes ne bénéficiant pas d’un schéma vaccinal complet doivent s’isoler pendant sept jours pleins. La fiche conseil Contact Tracing éditée par l’OPPBTP a été mise à jour.Pour Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP : « En ce tout début d’année 2022, c’est bien sûr la fin de l’épidémie, conjuguée à une activité soutenue et une bonne gestion des risques professionnels, que nous aimerions souhaiter à tous nos amis de la construction. Olivier Véran a exprimé hier son espoir que cette 5e vague sera la dernière, nous nous associons bien sûr à cet espoir. En attendant, continuons dans la construction à gérer cette épidémie avec professionnalisme et efficacité comme nous le faisons depuis avril 2020, pour vite nous en débarrasser. » Le guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de coronavirus SARS-Cov-2 est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 est à disposition sur le site.
Il y a 3 ans et 119 jours

Élisabeth Borne attend du « pragmatisme » lors des contrôles de l'inspection du travail

Élisabeth Borne a déclaré à France Info qu'elle donnera "une instruction à l'Inspection du travail de pouvoir accepter dans une entreprise que certains puissent en faire un peu plus et d'autres un peu moins".Depuis le 2 janvier et jusqu'à la fin du mois, les entreprises pouvant mettre en place le télétravail doivent permettre à leurs salariés de télétravailler au moins 3 jours par semaine, voire quatre."Il y a des salariés qui n'en peuvent plus du télétravail, il faut prendre en compte cette situation et faire preuve de pragmatisme", a-t-elle ajouté. Les trois jours, c'est "en moyenne" dans une entreprise.Mme Borne précise que "l'objectif à la fin c'est de faire baisser la présence sur site (…) Avant les vacances, 60% des salariés dont les postes sont télétravaillables facilement étaient en télétravail. Évidemment il faut faire plus".L'inspection du travail a reçu comme instruction du ministère d'augmenter les contrôles de 1.000 par mois à 5.000 contrôles par mois. La ministre précise tout de même que "la très grande majorité des entreprises jouent le jeu".Une amende administrative pouvant aller jusqu'à 1.000 euros par salarié concerné (dans la limite de 50.000 euros) pourrait être incluse par un amendement déposé par le gouvernement dans le projet de loi sur le pass vaccinal actuellement examiné par l'Assemblée.Certains comme Laurent Berger (CFDT) remettent en question la faisabilité de ces contrôles, particulièrement vis-à-vis du manque d'inspecteurs du travail. Face à ces critiques, Élisabeth Borne répond "croire beaucoup au rôle des représentants des salariés pour que ces règles se mettent en place".
Il y a 3 ans et 119 jours

Justice : un promoteur immobilier victime d'une escroquerie de plus de 35 millions d'euros

ARNAQUE. Une enquête a été ouverte dans une affaire de grande escroquerie. La salariée d'un promoteur immobilier francilien a été bernée par un escroc qui a usurpé l'identité du directeur de l'entreprise.
Il y a 3 ans et 119 jours

Omicron : le guide de l’OPPBTP reprend les nouvelles directives

La nouvelle version du guide de l’OPPBTP prend en compte le protocole sanitaire en entreprise du ministère du Travail applicable depuis le 3 janvier. L’organisme insiste sur la nécessité d’assurer, malgré les trois jours de télétravail obligatoires pour les postes éligibles, la présence sur chantier d’équipes complètes, y compris s’agissant des postes d’encadrement.