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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 123 jours

Le groupe Kiloutou fait l'acquisition de la société AB Matériels

La société AB MATÉRIELS est un acteur historique et reconnu de la location de matériels de terrassement dans le département du Vaucluse, exploitant trois agences situées à Avignon, Cavaillon et Saint-Cannat (Aix-en-Provence). Elle dispose de près de 800 machines de toutes tailles qu’elle met à disposition d’une clientèle de professionnels des travaux publics et du bâtiment.L’intégration des 3 agences AB MATÉRIELS au sein de KILOUTOU va offrir à nos clients respectifs un niveau de qualité de services toujours plus élevé grâce à un réseau et une gamme matériel étendus. KILOUTOU compte s’appuyer sur l’expérience et le savoir-faire de 18 équipiers d’AB MATÉRIELS pour continuer à développer l’expertise locale acquise par la société depuis sa création en 1996.Pour Pierre Knoché, Directeur Général de KILOUTOU France : « Ce rapprochement permet de développer notre réseau spécialisé TP dans la zone d’Avignon et de pleinement bénéficier de complémentarités avec notre gamme de produits actuelle sur ce secteur. Je suis très heureux d’accueillir les équipiers d’AB MATERIELS au sein du groupe KILOUTOU ».Pour Frédéric Miceli, propriétaire et dirigeant d’AB MATÉRIELS : « Je me réjouis de l’adossement d’AB MATÉRIELS à KILOUTOU. Le projet d’intégration proposé a été un élément essentiel dans ma décision de céder et va permettre à nos équipes de poursuivre le développement de la société avec des ressources et des moyens supplémentaires. Je suis confiant dans la capacité des équipes des deux sociétés à faire de ce rapprochement un réel succès ».
Il y a 3 ans et 123 jours

Des centaines de maisons détruites par des incendies dans le Colorado

"Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.La ville de Boulder, qui compte plus de 100.000 habitants, est située à une cinquantaine de kilomètres de Denver, la capitale du Colorado."Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.Cet Etat connaît une sécheresse historique qui a largement facilité la propagation des flammes. Dans le comté de Boulder, des hôtels, des centres commerciaux et plus de 650 hectares de végétation sont partis en fumée.Des rafales de plus de 160 km/h ont été observées à certains endroits, compliquant les efforts des pompiers."J'aimerais mettre l'accent sur l'ampleur et l'intensité de cet incendie et sa présence dans une zone si densément peuplée, nous ne serions pas surpris s'il y avait des blessés ou des décès", a averti le shérif Joe Pelle.Heureusement, les vents devraient s'apaiser, a annoncé le service national météorologique tard jeudi soir, et d'importantes chutes de neige sont attendues dans les deux jours qui viennent.En tout, plus de 33.000 personnes ont reçu l'ordre d'évacuer, notamment à Louisville, une ville de 20.000 résidents, et Superior, 13.000 habitants.Selon le journal Colorado Sun, plusieurs personnes ont dû être soignées pour des brûlures, dont au moins six ont été hospitalisées.Des images diffusées par CBS ont montré un immeuble d'habitation en flammes que les pompiers tentaient d'éteindre."Quittez Louisville sinon votre vie sera en danger", avaient insisté les services météorologiques."Des vents forts propagent rapidement les flammes et tous les avions sont cloués au sol", a tweeté Jared Polis, le gouverneur de cet État montagneux où les Rocheuses rencontrent les Grandes plaines.Il a également déclaré l'état d'urgence, et souligné le danger de cet incendie qui, contrairement aux précédents, ne touche pas que des zones rurales."La région qui est touchée, c'est une banlieue ordinaire, comme celle dans laquelle vous vivez, celles dans lesquelles nous vivons tous", a-t-il lancé."Il ne reste que des cendres"Autre ville visée par un ordre d'évacuation intégrale, Superior, 13.000 habitants, était recouverte jeudi d'un nuage de fumée sombre, selon des images publiées sur les réseaux sociaux.Patrick Kilbride, 72 ans, était à son travail dans une quincaillerie quand il a reçu l'ordre d'évacuer, a rapporté le journal local Denver Post.L'homme de 72 ans s'est précipité chez lui à Superior pour rassembler ses affaires mais n'a pas été en mesure de sauver autre chose que sa voiture et les vêtements qu'il avait sur le dos. Son chat et son chien sont morts dans les flammes."Il ne reste que des cendres", a-t-il dit de la maison dans laquelle il a vécu pendant trois décennies."C'est un sentiment étrange de passer d'une situation où vous possédez tout le confort possible à n'avoir absolument rien", a-t-il confié au Denver Post.Patti Holtz a décrit la terreur ressentie en évacuant sa maison du comté de Boulder. "Tout est en flammes. Il y a des braises partout. J'ai très peur, bien sûr, avec le vent, que ça continue à se propager à d'autres maisons", a-t-elle raconté."Comme le noir de la nuit""Il faisait si sombre que vous ne pouvez rien voir. C'est comme le noir de la nuit", a-t-elle encore dit.À l'instar d'une grande partie de l'Ouest américain, le Colorado, un État déjà aride, est aux prises depuis plusieurs années avec une sécheresse exceptionnelle.Avec le réchauffement climatique, l'intensité et la fréquence des épisodes de sécheresse et de canicule risquent encore d'augmenter, continuant à créer des conditions idéales pour les feux de forêt ou de brousse. Ces dernières années l'Ouest américain a ainsi connu des incendies sans précédent, notamment en Californie ou en Oregon.Pour Daniel Swain, météorologiste à l'université UCLA, il est "dur de croire" que ces incendies ont lieu en décembre, une période habituellement peu propice à ce type d'événements dans la région."Mais prenez un automne à la chaleur et la sécheresse record, seulement deux centimètres de neige jusqu'ici cette saison, et ajoutez une tempête aux rafales descendantes extrêmes... et le résultat consiste en des incendies extrêmement dangereux et qui se déplacent très rapidement", a tweeté le chercheur.
Il y a 3 ans et 123 jours

Nouveau support genoux à roulettes

Le support genoux à roulettes d’EDMA se présente sous la forme d’une paire de coques munies chacune de 3 roulettes amovibles permettant une rotation fluide à 360°. Cela donne à l’utilisateur la possibilité d’effectuer des déplacements rapides sans laisser de marques sur le sol.Très léger, le support genoux à roulettes EDMA intègre un coussin en gel qui rime avec confort lors de stations à genoux prolongées. La sangle qui assure son maintien sur la jambe, a été conçue pour réduire la tension à l’arrière du genoux, offrant ainsi un support qui sait se faire oublier.Rendant l’artisan particulièrement mobile sur sa zone de travail, le support genoux à roulettes d’EDMA est une solution « gain d’effort » de plus dans la gamme d’EDMA, puisqu’elle retarde l’apparition de la fatigue dorsale en permettant un travail proche du sol.
Il y a 3 ans et 123 jours

Rénovée, l’école du Faubourg vient d’être inaugurée

L’école du Faubourg, dans la commune d’Issoire, se veut désormais plus accueillante.
Il y a 3 ans et 123 jours

Villeneuve-en-Chevrie : une nouvelle aire de covoiturage près d’un accès à l’autoroute A 13

À Villeneuve-en-Chevrie, une aire de covoiturage a été aménagée sur une bretelle d’accès à l’autoroute A 13.
Il y a 3 ans et 123 jours

À Riom, le futur visage du quartier de Dunkerque se dessine

Les réseaux d’eaux potables, usées et pluviales seront réhabilités avant la réfection complète de la voirie dans le quartier de Dunkerque à Riom.
Cimbat
Il y a 3 ans et 123 jours

Cemex et la Ligue pour la Protection des Oiseaux : 18 ans de partenariat en faveur de la biodiversité

Une convention renouvelée pour 3 ans venant renforcer le partenariat CEMEX-LPOCEMEX et la LPO sont partenaires depuis 2003. Cette collaboration, entre un acteur majeur dans l'industrie des matériaux de construction et l'une des plus importantes associations naturalistes de France, repose sur l'échange de savoir-faire, la sensibilisation aux enjeux de protection de la nature et la valorisation du patrimoine naturel. La convention qui encadre ce partenariat, jusqu'ici renouvelée chaque année, s'articule autour de deux volets : l'« Accompagnement », qui permet aux deux partenaires de mettre en commun leurs compétences au bénéfice de la meilleure contribution de CEMEX à la préservation de la biodiversité sur ses sites d'activités ; et le « Mécénat » en faveur de programmes de préservation du patrimoine naturel portés par la LPO. Pour la première fois renouvelée de manière triennale, cette convention couvre la période 2021-2023. Sa mise en œuvre permettra notamment à la LPO d'accompagner CEMEX dans la concrétisation de son engagement « Entreprises Engagées pour la Nature » pris sur cette même période 2021-2023 auprès du ministère de la Transition écologique et de l'Office français de la biodiversité (OFB).Des actions concrètes en faveur de la préservation de la biodiversité Parmi les actions qui seront mises en œuvre dans le cadre du volet Accompagnement de cette 18ème convention se trouve la poursuite du plan d'actions « Hirondelles de rivage ». Initié en 2013, il a pour but de concilier exploitation de carrières et accueil des hirondelles de rivage, espèce protégée trouvant fréquemment des habitats de substitution au sein des carrières. Après 9 ans de suivi de ces oiseaux sur les sites CEMEX, l'objectif est maintenant d'exploiter et de valoriser les données collectées à travers la publication d'un document de synthèse ainsi que de poursuivre le développement d'outils de sensibilisation et de bonnes pratiques à l'attention des collaborateurs de l'entreprise. Une seconde action phare sera la poursuite de la démarche « CEMEX Bétons agit pour la biodiversité » entamée en 2012 et dont l'objectif est de contribuer à l'accueil de la nature en ville à travers la mise en œuvre d'actions en faveur de la biodiversité sur les unités de production de béton de l'entreprise. Le soutien financier du programme Life Vison, pour la sauvegarde du Vison d'Europe, fait quant à lui partie du volet mécénat de la convention. Il vise à maintenir, voire accroître la population de Visons d'Europe dans le bassin de la Charente. CEMEX soutient également le programme de la LPO en faveur du Moineau domestique à Paris. En effet, face à la disparition de plus de 73 % des moineaux vivant à Paris intra-muros entre 2003 et 2016, la LPO mène plusieurs actions afin d'améliorer les connaissances sur la répartition, l'abondance et l'évolution des populations du Moineau domestique à Paris, de comprendre et promouvoir les conditions nécessaires au bon fonctionnement des colonies, d'apporter conseils et expertises aux acteurs locaux concernés (propriétaires, syndics, bailleurs sociaux...) pour les sensibiliser et préserver les colonies suivies.Au-delà de ces actions phares, les échanges réguliers de CEMEX avec la LPO pour des demandes d'avis et d'expertises sur divers projets, la réalisation d'études selon les besoins et enjeux identifiés au niveau des sites CEMEX font aussi partie intégrante de la convention. « CEMEX et la LPO sont partenaires depuis 18 ans, ce qui illustre la volonté de CEMEX de placer la préservation de la biodiversité et la maîtrise de son impact sur l'environnement au cœur de sa politique d'entreprise. Nous sommes fiers de cette collaboration ininterrompue avec la LPO, qui a permis de mener conjointement et avec succès de nombreuses actions en faveur de la biodiversité sur nos sites d'activités, ou à l'attention de nos salariés. », se réjouit Michel André, Directeur des activités matériaux de CEMEX Europe de l'Ouest.« L'alliance entre CEMEX et la LPO est inscrite dans la durée et illustre que notre partenariat ne doit rien à un effet de mode ou une visée mercantile. Au contraire, il s'est chaque année renforcé, gagnant en logique et en exemplarité » souligne Allain Bougrain Dubourg, président de la LPO.
Il y a 3 ans et 123 jours

Haute-Garonne : le département déploie son dispositif de viabilité hivernale

Les huit secteurs routiers du département Haute-Garonne sont concernés par cette opération de sécurisation.
Il y a 3 ans et 123 jours

Les activités énergie d’ACS passent sous pavillon Vinci

La major française met la main sur Cobra IS, entreprise du groupe espagnol ACS.
Il y a 3 ans et 123 jours

Top 10 des actualités les plus lues sur Batinfo en 2021

10 - Le bâtiment enregistre la plus forte hausse des défaillances d'entreprises au 2e trimestre 2021Le groupe Altares, expert historique et référent de l’information sur les entreprises, vient de dévoiler dans une étude les chiffres des défaillances d’entreprises en France pour le 2ème trimestre 2021.Lire l'article9 - Suspension DPE : point de vue de Denis Mora, président du groupe AC EnvironnementLe vendredi 24 septembre dernier, le ministère de l’écologie et du logement, a recommandé la suspension de l’édition des DPE des logements construits avant 1975, hormis dans les cas rendus nécessaires par des transactions urgentes.Lire l'article8 - L’État recommande de suspendre l'édition des DPE de certains logements anciens en raison d'anomaliesLa direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature, un service du ministère de la Transition écologique, a recommandé vendredi de suspendre l'édition des diagnostics de performance énergétique pour les logements construits avant 1975, en raison d'"anomalies".Lire l'article7 - La Fédération Française du Bâtiment alerte sur la flambée des prix des matériaux qui menace la relance du secteurLa FFB a mis en garde mardi contre la menace que constituent la pénurie et la hausse des prix des matériaux sur la relance de l'activité, après une "reprise réussie" en 2021, marqué par une accélération certaine des prises de commandes.Lire l'article6 - Pénurie et flambée des matériaux: l’État entend les alertes du BTP et annonce de nouvelles mesuresL'État n'appliquera pas de pénalités de retard aux entreprises du bâtiment qui seraient en retard de livraison en raison de l'actuelle pénurie de matériaux de construction, a annoncé le ministre de l'Économie Bruno Le Maire mardi.Lire l'article5 - Macron annonce un plan pour les 3 millions de travailleurs indépendantsDans un discours aux accents de meeting, Emmanuel Macron a dévoilé jeudi un plan en faveur des plus de trois millions de travailleurs indépendants, qui rend notamment insaisissable leur patrimoine personnel en cas de défaillance et élargit l'accès à une assurance chômage.Lire l'article4 - Cinq banques régionales de BPCE rachètent la start-up Cozynergy spécialisée dans la rénovation énergétiqueCinq banques régionales ont annoncé l'acquisition de la jeune pousse Cozynergy, spécialisée dans la rénovation énergétique, en vue de profiter d'un marché dopé par les subventions de l'État.Lire l'article3 - MaPrimeRénov’ : « Attention à ne pas jeter l’argent par les murs ! »Ces derniers jours dans l'actualité, le dispositif MaPrimeRénov' se félicite de ses bons résultats et de son enveloppe annuelle déjà bien entamée. Si ces résultats démontrent que cette politique d'Economie d'Energie est un franc succès, on observe néanmoins que la majorité des aides consommées le sont par les systèmes de chauffage, et seulement 34% par l'isolation.Lire l'article2 - Un ouvrier retrouvé mort sous "plusieurs tonnes" de graviers dans une centrale à bétonUn ouvrier de 52 ans a été retrouvé mort jeudi après-midi à Décines-Charpieu (métropole de Lyon), enseveli sous "plusieurs tonnes" de graviers d'une centrale à béton, a-t-on appris auprès des pompiers.Lire l'article1 - Schenker Stores présente le TD2, un toit de terrasse élégant et modulaireLeader du marché de la protection contre le soleil et les intempéries, Schenker Stores lance son nouveau toit de terrasse. Commercialisé en janvier 2021, ce toit de terrasse au design élégant répond en tout point aux aspirations de détente, de confort et d’amélioration de l’habitat.Lire l'article
Il y a 3 ans et 123 jours

Le verre retourne à ses fourneaux

Dans son usine d'Orange, Isover poursuit le développement de son procédé de recyclage de laines de verre Oxymelt pour augmenter le taux d'incorporation de calcin, et améliorer le bilan carbone de sa production.
Il y a 3 ans et 123 jours

Les syndicats divisés par la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal pour certains salariés

"Au motif de la priorité donnée à la bonne marche de l'économie, la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal fait peser de nouvelles contraintes sur les salariés et publics, en particulier dans les transports, la culture, le spectacle, la restauration", a dénoncé la CGT dans un communiqué mardi 28 décembre."Comme l'a avoué le ministre de la Santé, le passage du pass sanitaire au pass vaccinal constitue une +forme déguisée d'obligation vaccinale+. Avec l'ensemble des mesures contradictoires prises par le gouvernement, cette obligation non assumée est contre-productive car elle entretient le doute, la défiance et la division", poursuit la centrale de Montreuil.A l'inverse, la CFDT estime qu'il est "logique d'aller dans ce sens-là", selon les mots de la secrétaire nationale Catherine Pinchaut."Nous sommes favorables à la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, parce que l'objectif c'est bien d'aller vers la vaccination et puis cela concerne des (...) salariés en contact avec du public ou avec des personnes en situation fragile", a-t-elle dit à l'AFP mardi.Le syndicat Force ouvrière est de son côté "plutôt opposé" à cette mesure, selon le secrétaire confédéral Michel Beaugas. "On a toujours été réservé sur le pass sanitaire, et sur l'obligation de certains salariés d'avoir un pass sanitaire, qui va se transformer en pass vaccinal", a-t-il affirmé mercredi 29 décembre à l'AFP.Le président de la CFE-CGC François Hommeril se montre prudent sur un sujet "controversé", tandis que la CFTC "n'a pas vraiment pris de position", selon son chef de file Cyril Chabanier.Les syndicats ont en revanche été unanimes la semaine dernière pour rejeter l'idée d'un pass sanitaire généralisé à toutes les entreprises.Selon Michel Beaugas, la ministre du Travail, Elisabeth Borne, a dit au cours d'une réunion avec les partenaires sociaux mardi "qu'elle serait attentive" à ce que les députés ne réintroduisent pas cette option par voie d'amendement.Quelque deux millions de salariés sont soumis depuis fin août à l'obligation de détenir un pass sanitaire pour travailler.
Il y a 3 ans et 123 jours

« Un manque de vigilance dans la sous-traitance », Annaïck Laurent, directrice adjointe à la Direction générale du travail

Droit du travail - Lutte contre la fraude au détachement, risques de chutes… Le point sur l'action de l'inspection du travail dans le BTP. Annaïck Laurent, directrice adjointe à la Direction générale du travail a été nommée début octobre 2021.
Il y a 3 ans et 123 jours

Les énergies renouvelables nourrissent la planification paysagère

Collectivités locales -
Il y a 3 ans et 123 jours

Le bon compte prorata fait les bons amis

Numérique -
Il y a 3 ans et 124 jours

Télétravail : jusqu'à 50.000 euros d'amende pour les entreprises rétives

La ministre du Travail Elisabeth Borne avait dévoilé mardi aux partenaires sociaux le principe de cette amende. Elle en a précisé jeudi le montant sur LCI. Un amendement en ce sens sera déposé d'ici la fin de la semaine au projet de loi sur le passe vaccinal, discuté en séance à partir de lundi à l'Assemblée."On constate que la plupart des entreprises jouent très bien le jeu (...). On a quelques entreprises qui ne le font pas, qui ne suivent pas les recommandations de l'inspection du travail et qui profitent de la longueur de la procédure de sanction pour ne pas respecter les règles", a-t-elle expliqué."Je souhaite un système plus rapide et donc plus dissuasif en permettant à l'inspection du travail de pouvoir prononcer des sanctions sans attendre la procédure judiciaire", a-t-elle poursuivi.S'agissant des contrôles, Mme Borne a rappelé qu'elle avait demandé début décembre de revenir à 5.000 par mois (contre moins de mille au mois d'octobre). Un nouveau protocole national en entreprise (PNE) a été publié jeudi, enjoignant aux employeurs de fixer "à compter du 3 janvier et pour une durée de trois semaines, un nombre minimal de trois jours de télétravail par semaine, pour les postes qui le permettent". Lorsque c'est possible, "ce nombre peut être porté à quatre jours par semaine".À noter que l'idée d'une "moyenne" de trois jours, évoquée lundi par le ministère, a disparu.Si ce PNE n'a pas à proprement parler force de loi, les employeurs ont l'obligation de veiller à la santé de leurs salariés, selon le code du travail, et les inspecteurs du travail peuvent déjà prononcer des "mises en demeure" lorsqu'ils estiment insuffisantes les mesures mises en œuvre dans les sociétés contrôlées.En cas de non-respect d'une mise en demeure, l'employeur encourt une amende correctionnelle d'un montant de 3.750 euros par salarié concerné.110 mises en demeure en 2021Selon la CGT-TEFP, premier syndicat des agents de l'inspection du travail, quelque 28.000 interventions ont été effectuées sur la thématique du Covid de janvier à novembre 2021, donnant lieu à 110 mises en demeure.Ce syndicat réclamait depuis des mois un durcissement du cadre légal concernant le télétravail, en dénonçant la faiblesse des sanctions encourues et le manque d'effectifs pour contrôler les entreprises.L'annonce d'une amende administrative montre que le "ministère se rend compte de l'insuffisance des mesures actuelles", a commenté mardi auprès de l'AFP Alexandra Abadie, secrétaire nationale du syndicat.Mais la CGT-TEFP aurait préféré que les inspecteurs puissent suspendre l'activité d'une entreprise en cas de manquement à ses obligations concernant le télétravail, comme ils peuvent le faire en matière d'exposition à l'amiante, de chutes de hauteur ou de risques électriques.Le Medef s'est de son côté dit jeudi "opposé au principe (d'une amende), quel qu'en soit le montant, car c'est un mauvais coup porté à la confiance entre le gouvernement et les entreprises, d'autant plus injuste qu'elles ont été exemplaires dans la crise".La CPME, qui avait dénoncé mardi une "ineptie", s'est montrée jeudi plus nuancée. "La ministre, en parlant d'une moyenne, permet nous l'espérons en cas de contrôle une souplesse d'appréciation, et le montant annoncé, même s'il peut être lourd pour une TPE/PME, reste en deçà de ce qui existe par ailleurs", a commenté son président François Asselin auprès de l'AFP."Il y a une volonté affichée de ne pas vouloir trop irriter les employeurs dont nous prenons acte, même si (...) sur la forme nous aurions aimé que les choses se passent différemment", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 124 jours

Deux compagnies chinoises vont construire 1.000 écoles en Irak

Au total, le pays a besoin de construire 8.000 écoles "pour combler le manque dans le secteur de l'éducation", a indiqué dimanche Hassan Mejaham, un responsable du ministère de la Construction et de l'Habitat, cité par l'agence de presse officielle INA.En présence du Premier ministre Moustafa al-Kazimi, les accords ont été signés jeudi avec deux entreprises chinoises: Power China, qui construira 679 établissements scolaires, et Sinotech, qui en érigera 321.Pays extrêmement riche en hydrocarbures, l'Irak souffre d'infrastructures en déliquescence, après des décennies de guerre et une corruption endémique qui gangrène tout l'appareil de l'Etat.Il faudra deux ans pour finir la construction des 1.000 écoles, même si les premiers établissements devraient être livrés un an après le début des travaux lancés "très prochainement", a précisé M. Mejaham.Il a ajouté que l'ardoise irakienne sera payée avec du pétrole.Une deuxième phase prévoit la construction de 3.000 écoles, avant une dernière phase devant permettre d'ériger 4.000 établissements scolaires."Des décennies de conflit et de sous-investissement en Irak ont détruit ce qui était autrefois le meilleur système éducatif de toute la région", indique l'Unicef sur son site Internet, précisant qu'une école sur deux dans le pays a subi des dommages et doit être réhabilitée.Dans le pays de 40 millions d'habitants, "près de 3,2 millions d'enfants Irakiens en âge d'aller à l'école ne sont pas scolarisés", précise l'agence onusienne."Les niveaux d'apprentissage en Irak sont parmi les plus bas dans la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord et sont susceptibles de baisser encore plus, en raison de l'impact de la pandémie sur les services éducatifs, y compris avec la fermeture prolongée des écoles", avertissait en octobre la Banque mondiale.L'organisation internationale préconisait des investissements et des réformes dans le secteur.
Il y a 3 ans et 124 jours

Orthez : le théâtre Francis-Planté entamera sa mue en avril 2022

Les travaux de restauration du théâtre Francis-Planté vont durer environ un an et demi.
GDA
Il y a 3 ans et 124 jours

Saint-Ouen : l’Institut supérieur de mécanique de Paris modernise son campus

Des travaux de modernisation sont entrepris sur le campus de l’Institut supérieur de mécanique de Paris à Saint-Ouen.
Il y a 3 ans et 124 jours

La laine de verre : qu’est-ce que c’est ?

Comprenez avec ISOVER ce qu'est la laine de verre et pourquoi c’est l'isolant numéro un sur le marché.ISOVER, marque du groupe Saint-Gobain, est le leader mondial des solutions d’isolation durable. Depuis plus de 80 ans, ISOVER porte l’innovation sur l’ensemble de ses marchés, et développe des isolants multi-matériaux pour répondre aux enjeux croissants de bien-être et d’efficacité thermique et acoustique de ses clients. ISOVER conçoit et fabrique ses produits localement et étudie, dans une démarche d’amélioration continue, leur impact sur l’environnement, l’efficacité énergétique, la qualité de l’air et le confort au sein des bâtiments.
Il y a 3 ans et 124 jours

Paris-Saclay : 1 600 logements neufs à Orsay d’ici à 2026

Le quartier de Corbeville à Orsay accueillera 1 600 nouveaux logements d’ici à 2026.
Il y a 3 ans et 124 jours

Isère : la nouvelle usine d'Aledia voit grand

La start-up Aledia, fondée en 2011 et issue du CEA-Leti, vient de poser la première pierre de sa future usine, au sein de la ZAC Saut du Moine à Champagnier (Isère). Il s'agit de sa première unité de production de microleds 3D pour écrans nouvelle génération, en grande série.
Il y a 3 ans et 124 jours

Poêles à combustible liquide Qlima – Chaleur homogène et budget maîtrisé

Le chauffage pèse de plus en plus lourd dans le budget annuel des Français. Permettant de se chauffer rapidement, sans faire augmenter de façon drastique la facture énergétique, les poêles à combustible liquide ont bénéficié ces dernières années de nombreuses avancées techniques. Économiques à l’achat comme à l’utilisation, pouvant fonctionner instantanément dès que le besoin s’en fait sentir, ils connaissent un succès croissant pour faire face aux affres de l’hiver. Qlima, leader européen sur le marché des poêles à combustible liquide, propose deux appareils peu gourmands en énergie, les modèles SRE 4035 C et R 8128S C-2. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre 35 %, par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh. Classés A, ne nécessitant aucune installation spécifique et parfaitement sécurisés, ces modèles Qlima apportent rapidement chaleur et confort aux intersaisons comme au cœur de l’hiver. En quelques minutes, la puissance de chauffe associée à un ventilateur performant (sur le modèle SRE 4035 C) réchauffe agréa-blement la pièce de façon uniforme. 100 % de sécurité Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima garantissent un chauffage haute performance totalement sécurisé. Les appareils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Deux grandes familles d’appareils Le modèle Laser SRE 4035 C Qlima nécessite une alimentation électrique pour la mise en route et la régulation électronique. Ses nombreuses fonctions permettent de chauffer sans gaspiller : par exemple, le mode Save coupe et redémarre l’appareil automatiquement pour maintenir la température demandée sans fluctuations énergivores. Rapide, sécurisé et très silencieux, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima est, quant à lui, idéal pour un apport ponctuel de chaleur sans électricité. À haut rendement, il est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 60 m2). La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Le brûleur à bec bunsen du poêle Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remar-quables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Les + signés Qlima Avec le SRE 4035 C Qlima, la consommation de combustible est réduite de 8 %. Doté d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, l’appareil maintient la température programmée sans variations de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et le poêle s’autorégule en fonction de la chaleur choisie. La fonction Fuzzy Logic sert à contrôler les conditions de température et ajuste le fonction-nement du poêle. Elle repère les problèmes éventuels et les indique par codes erreurs. Pour une totale sécurité, le SRE 4035 C est équipé d’un témoin de flamme qui contrôle la qualité de combustion, d’un système anti-renversement qui coupe immédiatement le poêle s’il vient à se renverser, de parois froides, d’un bouton de sécurité enfant et d’un détecteur de CO2. Ce dernier contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. Grâce à son grand réservoir d’une contenance de 5 litres, le poêle SRE 4035 C Qlima, peu gourmand en combustible, dispose d’une autonomie maximale de 40 heures.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 500 W Volume pièce : de 22 à 60 m2 Autonomie : de 13,5 à 40 h Consommation (max.) : 0,365 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 399 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Particulièrement mobile, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, ainsi que dans les garages, ateliers, vérandas… Convenant pour le chauffage des surfaces de 20 à 42 m2, l’appareil affiche une puissance de 2 850 watts. Grâce à son réservoir d’une contenance de 5,2 litres, ce modèle offre jusqu’à 17,5 heures d’autonomie. À utiliser dans un espace ventilé, le poêle à mèche Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion qui permet d’optimiser ses performances. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et les émanations d’odeurs considérablement limitées. Les + signés Qlima Ultra performant, le R 8128S C-2 Qlima intègre de nombreux systèmes de sécurité : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2, et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré, en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement.   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Type de brûleur : double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17,5 h Consommation (max.) : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 505 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 3 ans et 124 jours

La chute s'offre un avenir

Avec son isolant réflecteur alvéolaire entièrement recyclable Hybris, Actis Isolation met en avant sa stratégie d'économie circulaire, dans laquelle il est à la fois producteur et recycleur.
Il y a 3 ans et 124 jours

Fabemi, acteur engagé dans l’écologie industrielle et les territoires

La démarche consiste à combiner fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel du Groupe. Les blocs béton isolants Fabtherm® sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France, et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain. De la fabrication au recyclage en fin de vie, les blocs béton Fabemi présentent une très faible empreinte carbone grâce à une politique de production-distribution locale, des choix forts d’approvisionnements au plus proche des usines et un procédé de fabrication sans cuisson avec un séchage naturel. Le transport des produits Fabemi sur une zone moyenne de 200 km autour des sites de production participe à la maîtrise de l’impact environnemental du Groupe. À l’échelle nationale, les implantations stratégiques de Fabemi permettent de réduire, voire de supprimer les livraisons/stockages/relivraisons et d’optimiser au maximum le transport des produits, majoritairement réalisé par la route.Un très faible impact carbone par nature Le Groupe Fabemi, entreprise familiale créée en 1961 à Donzère (Drôme), propose une offre globale de produits préfabriqués en béton pour les domaines suivants : Gros Œuvre, Voirie & Réseaux, Terrasse & Jardin. Fort de 60 ans d’expérience, Fabemi a su s’adapter pour proposer des produits préfabriqués performants et toujours conformes aux dernières réglementations. Les blocs isolants Fabtherm®, par exemple, contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives de référence sur le marché, permettant ainsi la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE2020 et de ses futurs seuils de 2025 et 2028. De plus, les géométries des blocs béton Fabemi sont optimisées pour faciliter leur mise en œuvre, tout en réduisant l’utilisation de matières premières (alternance cloison/creux). Les capacités isolantes peuvent être renforcées par une âme en mousse minérale isolante. C’est le cas des blocs isolants Fabtherm® Air Fabemi, dotés d’une mousse 100 % minérale qui leur donne une résistance thermique exceptionnelle (deux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels). Cette solution naturelle permet de construire tout en isolant, sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui fait gagner du temps sur le chantier et apporte un gain de surface habitable. Les blocs béton Fabemi disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES qui permettent de calculer la contribution des produits, développés et fabriqués par le Groupe Fabemi, à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. Entièrement recyclables, les blocs béton Fabemi n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent recyclables à l’infini et revalorisables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats.Recyclage et revalorisation des bétons Au-delà de la production et la construction en circuit court, privilégiées en raison de l’impact des coûts de transport, le recyclage du béton et des déchets liés au bâtiment est devenu un enjeu majeur pour les industriels. Les rebus de fabrication de Fabemi, même dans de faibles proportions, représentent une source potentielle de granulats recyclés que l’entreprise envisage de réemployer en les réintégrant directement dans la fabrication de ses produits. Le Groupe encourage également la revalorisation des bétons issus de la déconstruction. Ainsi, Fabemi s’organise, avec le soutien de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB), afin de répondre à ses obligations liées à la Responsabilité Élargie du Producteur (REP). Le dispositif de REP implique que les acteurs économiques (fabricants, distributeurs, importateurs) sont responsables de l’ensemble du cycle de vie des produits qu’ils mettent sur le marché, de leur éco-conception jusqu’à leur fin de vie. Les filières REP permettent d’organiser la prévention et la gestion des déchets pour certains types de produits. L’objectif est non seulement de traiter les déchets produits, mais aussi de les prévenir en agissant sur l’ensemble du cycle de vie des produits.
Il y a 3 ans et 125 jours

La fin de l'enquête judiciaire suite à l'explosion rue de Trévise à Paris suscite l'"incompréhension"

Au matin du 12 janvier 2019, une très forte détonation provoquée par une fuite de gaz avait soufflé cette rue du IXe arrondissement de la capitale. Le bilan est lourd : quatre personnes, dont deux pompiers, sont tuées, 66 autres sont blessées et quelque 400 riverains sinistrés.Les magistrats du pôle "accidents collectifs" du tribunal judiciaire de Paris ont adressé le 13 décembre un courrier à l'ensemble des parties pour leur signifier que leur enquête était close, selon un document consulté par l'AFP.Cette décision provoque "une incompréhension" pour Virginie Mallet, sinistrée et secrétaire générale de l'association Trévise ensemble.En principe, le parquet est maintenant tenu de rendre son réquisitoire définitif dans les trois mois, avant une décision définitive des magistrats instructeurs sur la tenue ou non d'un procès.Au cours de l'enquête, la mairie de Paris et le syndic de copropriété de l'immeuble ont été mis en examen pour "homicides et blessures involontaires" et "destruction, dégradation ou détérioration par l'effet d'une explosion ou d'un incendie".Les juges ont appuyé leur décision sur les conclusions d'un collège de quatre experts, mandatés pour déterminer les causes du sinistre et les éventuelles fautes commises.Dans un premier rapport, remis en décembre 2019, ces experts avaient conclu qu'un affaissement du sol, sous le trottoir, devant le porche de l'immeuble situé 6 rue de Trévise, avait provoqué la rupture d'une canalisation de gaz, entraînant une accumulation de gaz naturel à l'origine de l'explosion.Ils avaient relevé des "manquements" du service de voirie de la Ville, notamment dans la réfection du trottoir, sans incriminer GRDF.Dans leur rapport définitif rendu en mai 2020, les experts avaient de nouveau pointé un "défaut de vigilance" de la Ville de Paris et mis également en cause le syndic de copropriété de l'immeuble qui aurait tardé à réparer la fuite d'un collecteur d'eaux usées qui aurait eu une incidence sur l'affaissement du sol.Contre-expertise demandéeL'entreprise de BTP Fayolle, chargée en novembre 2016 d'effectuer des travaux sur le trottoir, est aussi pointée du doigt par les experts. Elle a toutefois été placée sous le statut intermédiaire de témoin assisté, moins incriminant que celui de mis en examen, tandis que GDRF a échappé aux poursuites.La Ville de Paris a saisi la cour d'appel de Paris après le refus des juges d'ordonner une contre-expertise. L'audience est prévue le 26 janvier."Il ne paraît pas opportun de clôturer l'instruction sans que la cour d'appel ait statué sur la demande de contre-expertise. C'est incompréhensible", considère Me Sabrina Goldman, avocate de la Ville."Dans une affaire de cette ampleur et de cette complexité, c'est le minimum qu'on puisse avoir un avis différent et ce d'autant qu'on a démontré que les experts" mandatés dans la procédure pénale "se sont trompés", ajoute Me Goldman.L'avocate s'appuie sur une expertise ordonnée dans la procédure civile, menée parallèlement pour évaluer le préjudice des sinistrés, qui a elle conclu que l'état de la canalisation pouvait être en cause.Une contre-expertise, "qui n'empêche ni les travaux rue de Trévise ni l'indemnisation qui est très bien avancée avec l'accord-cadre", serait selon Sabrina Goldman "déterminante" et ne prendrait que "quelques mois"."Pourquoi les experts ne travaillent pas ensemble? Ça irait plus vite et ce serait plus efficace", s'interroge pour sa part Virginie Mallet, dont l'appartement au numéro 6 a été soufflé.L'explosion a été causée par le gaz "mais GRDF est le grand absent des procédures au civil et au pénal", s'étonne Mme Mallet. "On sait que le gaz est une bombe, on l'a vu à nos dépens, et pourtant c'est comme si c'était autre chose".La Ville de Paris a annoncé en octobre qu'elle abonderait de 20 millions d'euros le fonds d'indemnisation "sans que cela présume de sa culpabilité". Les premières indemnisations pourront intervenir une fois l'accord-cadre signé.
Il y a 3 ans et 125 jours

Sothoferm étoffe son offre pour le marché des portes de garage

Une innovation technique signée SothofermLe pôle R&D intégré de Sothoferm, déjà à l’origine des innovations Lumis (volet battant à moteur solaire) pour le marché du volet battant et du modèle Orphée pour le marché des persiennes (1ère persienne alu repliable du marché), a mis au point une nouvelle porte de garage à rupture de pont thermique en aluminium avec un panneau sandwich laqué de 32 mm isolé et nommée CYLLENE. Une innovation dans le monde de la fermeture qui répond aux souhaits des professionnels et d’une clientèle haut de gamme pour une maison énergétiquement performante jusque dans le garage.L’esthétique allié à la technicité laisse espérer un beau succès au modèle qui bénéficiera d’une garantie 10 ans comme l’ensemble des produits de la marqueDeux nouvelles portes de garage sectionnelles en acierLes modèles SAORI et SEIYA remplacent les anciennes portes de garage Idélia & Iliade. L'offre est simplifiée pour une meilleure visibilité avec une porte économique, le modèle Saori et une porte haut de gamme, le modèle Seiya. Ces portes de garage à refoulement plafond ont été repensées pour être plus confortables à l'utilisation, mais aussi au moment de la pose. Point commun de ces deux portes : elle sont équipées d'un ressort de tension.SAORI est réalisé avec un panneau isolant d’une épaisseur de 40mm pour le confort des clients. Ce produit présente plusieurs accessoires comme un profil anti-pince doigts entre les panneaux, un galet simple et un galet haut réglable, une motorisation Liftmaster et 2 télécommandes, un joint entre chaque panneau et enfin un ressort de tension dans les montants. Outre le fait que la porte soit disponible dans 2 coloris (blanc et grissatiné), le modèle présente 2 configurations possibles (panneau lisse ou ligné) pour le même tarif.Dimensions standards du 2.000 X 2.400 à 2.125 X 3.000.De multiples options esthétique, de sécurité, de commandes existent. Accessoires et notice fournis pour le montage.Disponibilité : dès maintenant.SEIYA est une porte de garage sectionnelle qui s’harmonise aisément avec l’ensemble des autres produits Sothoferm (volets, brise-soleil, clôtures, etc). Le produit dispose des accessoires suivants : joint entre chaque panneau, articulation anti-pince doigts, poignée de manœuvre si option manuelle, arrêt automatique de la motorisation pour une plus grande sécurité, galets sur roulement à billes pour un fonctionnement plus silencieux. Et toujours un panneau isolant de 40 mm pour le confort des clients.2 coloris standards aux choix(blanc et gris satiné) et 1 finition bois (chêne doré), pour 6 types de panneaux différents (lisse, ligné lisse, mono rainuré, à cassettes, micro rainuré et rainuré verticalement) Largeur : de 2.000 à 5.000 ; Hauteur : de 1.875 à 3.000. Plusieurs options pour optimiser le confort de pose (ressort de torsion), l’esthétisme (hublot, motifs…) la sécurité et ainsi personnaliser le produit. Accessoires et notice fournis pour le montage.Disponibilité : dès maintenantParticulièrement attendus par les clients Négoce, de nouveaux outils d’aide à la vente seront disponibles dès Janvier 2022. Ce KIT VISIBILITÉ sera téléchargeable via la plateforme web de Sothoferm / espace professionnels (ICI). L’entreprise espère ainsi offrir un meilleur confort de vente à sa clientèle et optimiser sa visibilité sur les lieux de vente.
Il y a 3 ans et 125 jours

Challans : rénovation du haras des Presnes

Le chantier de réhabilitation des installations sportives du haras des Presnes est chiffré à 200 k€.
Il y a 3 ans et 125 jours

Vendée : le château d’eau de La Bruffière va être démoli

La déconstruction du château d’eau de La Bruffière a commencé. Le chantier va durer jusqu’à l’été 2022.
Il y a 3 ans et 125 jours

Pose de la première pierre de l’Institut de formation de santé de Toulon

La première pierre du nouvel établissement dédié aux formations qualifiantes aux métiers du secteur sanitaire et social vient d’être posée à Toulon.
Il y a 3 ans et 125 jours

Fréjus : des travaux réalisés dans les écoles cet automne

La commune de Fréjus investit afin d’améliorer l’accueil et le bien-être de ses jeunes.
Il y a 3 ans et 125 jours

Chambéry : le projet du futur quartier de la Cassine se concrétise

Le promoteur immobilier Édouard Denis a été mandaté pour la construction d’un lot de bâtiments dans le quartier de la Cassine.
Il y a 3 ans et 125 jours

Anglet : le Clos d’Ainara sera livré au premier trimestre 2022

À Anglet, le projet du Clos d’Ainara se concrétise. La fin des travaux de construction est estimée au premier trimestre 2022
Il y a 3 ans et 125 jours

L'avis d'un artisan Point.P sur Co Clap

Vous ne vous en sortez pas dans le montage de votre dossier de qualification RGE? Co Clap propose un accompagnement sur mesure et surtout, une assistance directe sur vos démarches liées à la constitution de votre dossier de qualification RGE. L'équipe Co-clap vous appellera et vous guidera jusqu'au bout de vos démarches. Vous devez simplement faire votre demande de dossier de qualification par Email ou Téléphone, et disposer de l'ensemble des documents nécessaires. Par la suite, Co-clap prend le relai. Grâce à Frédérique Calloch, Coordinatrice chez Co Clap, découvrez les différentes caractéristiques de ce service !
Il y a 3 ans et 125 jours

Hœnheim : lancement des travaux du hall des sports Le Chêne

La réalisation des travaux de réhabilitation du hall des sports Le Chêne a été approuvée. Le chantier commencera dès le premier trimestre 2022.
Il y a 3 ans et 125 jours

Quand la lumière du Sud influence l'art : première exposition d'un nouveau musée provençal

"En sommeil depuis plus de vingt ans, le musée de Hyères créé en 1883 va enfin renaître de ses cendres à la lumière d'un site digne d'un musée de France", s'enorgueillit Jean-Pierre Giran, maire de cette ville de 60.000 habitants, qui fut, avant Cannes et Nice, un haut-lieu de villégiature sur les bords de la Méditerranée.Acquise par la mairie en 2004, la bâtisse de 2.188 m2 d'inspiration néo-classique a été transformée pour près de six millions d'euros, sous la houlette de l'architecte en chef des monuments historique Alain-Charles Perrot, en un véritable lieu d'exposition propre à satisfaire les nombreux visiteurs de la première ville touristique du Var.Grandes baies, hauts plafonds, escaliers en bois et rampes d'acier, balcons ciselés, vitraux colorés, patio couvert et grande terrasse, l'outil culturel possède déjà 8.000 oeuvres dans ses réserves accumulées au fil du temps, notamment grâce à Emmanuel-Charles Bénézit, peintre et historien de l'art, dont le père, Emmanuel, auteur d'un dictionnaire artistique de référence, fut proche des peintres Van Gogh, Pissaro et Sisley.Puisant dans ce fond, "La Banque, musée des cultures et du paysage", a choisi d'exposer pour trois ans à son premier étage quelque 200 œuvres exprimant l'histoire de Hyères et de ses paysages sur deux millénaires, du peintre académique du second Empire Alexandre Cabanel au photographe de la rue, Henri Cartier-Bresson.Les toiles entraînent le visiteur des salins à la presqu'ile de Giens mais aussi à travers l'histoire de la ville, de la colonie grecque d'Olbia fondée par Massalia (Marseille) jusqu'au XVIIIe siècle où Hyères accueillait l'hiver dans ses huit hôtels de luxe une communauté anglaise, dont la reine Victoria."Miniature de Picasso à 14 ans"Au sous-sol, les architectes ont conservé les anciennes salles des coffres de la Banque, espace atypique pouvant servir d'extension aux expositions, de lieux de consultation de documentation numérique ou d'archivage.Mais, c'est au rez-de-chaussée du bâtiment que seront installées les expositions temporaires qui feront vivre le musée. Pour son lancement, la ville a fait appel à l'historien de l'art, Dominique Lobstein. "Mon idée a été de confronter le travail, entre 1850 et 1950, d'artistes locaux à celui d'artistes, souvent parisiens, venus s'installer ou séjourner dans la région après l'ouverture de la ligne PLM (Paris-Lyon-Marseille) dans les années 1850. Ce train va permettre à ces derniers de découvrir la lumière du Sud", explique le commissaire de l'exposition qui durera jusqu'au 27 mars 2022."Si au début, ils n'en font rien, petit à petit, beaucoup vont intégrer une nouvelle manière de peindre. Après l'apparition de la photographie, certains vont s'éloigner de la représentation naturaliste au profit d'un travail plus inventif, déstructuré où la lumière va exister dans les couleurs et la manière de les juxtaposer", explique-t-il.Prêtés par le Louvre, le musée d'Orsay, le centre Pompidou ou par des collectionneurs, près de 70 oeuvres viennent illustrer cette évolution du regard des peintres sous la lumière du Midi.Parmi les oeuvres des artistes les plus connus, figurent deux Picasso dont l'un, une miniature représentant le port de Valence (est de l'Espagne), a été peint lorsqu'il n'avait que 14 ans. Figurent également des toiles d'Eugène Boudin, Pierre Bonnard, Paul Signac, Auguste Renoir, Raoul Dufy, Francis Picabia ou encore Marc Chagall.Parmi les artistes locaux exposés, Paul Guigou, Emile Loubron ou Prosper Grésy, certains n'ont jamais quitté leur région mais d'autres ont fait carrière à Paris où la lumière qui inonde leur toile a intrigué critiques et peintres. A la fin du XIXe siècle et sur les traces de Paul Signac et d'Auguste Renoir, les rivages de la Méditerranée deviendront un laboratoire d'expérimentation plastique de l'art moderne.
Il y a 3 ans et 125 jours

L'enquête publique concernant la nouvelle ligne Provence-Côte d'Azur sera lancée en janvier

La première phase de la Ligne nouvelle Provence Côte d'Azur (LNPCA) comprend la construction d'une gare près de l'aéroport de Nice, l'ouverture d'un RER toulonnais et des aménagements à Marseille, qui doivent être mis en chantier dès 2023 pour une mise en service d'ici 2030.La deuxième phase concerne des aménagements entre Cannes et Nice et le percement d'un tunnel sous Marseille, dont l'ouverture est envisagée "d'ici l'horizon 2035", a précisé Matignon dans un communiqué.Le financement de ces deux phases, estimées à 3,5 milliards d'euros, avait fait en avril l'objet d'un accord entre le gouvernement et des collectivités locales de Provence-Alpes-Côte d'Azur : 40% de la somme doivent être apportés par l'Etat et 40% par les collectivités, les 20% restants devant être demandés à l'Europe.Un établissement public local appelé "Société de la Ligne nouvelle Provence Côte d'Azur" va être créé à la demande des collectivités afin de percevoir une fiscalité locale dédiée au financement du projet. Une ordonnance en ce sens est actuellement en cours d'examen au Conseil d'Etat et devrait être publiée au printemps, a précisé Matignon."Dans un second temps la ligne LNPCA ambitionne de développer de nouvelles infrastructures ferroviaires pour améliorer les liaisons au sein de la région PACA et contribuer à la construction d'un arc ferroviaire méditerranéen et à la cohésion territoriale régionale", ont souligné les services du Premier ministre.Une phase 3 ultérieure prévoit la construction d'une ligne nouvelle entre Nice et Cannes, tandis qu'une phase 4 envisage des sections entre Aubagne (Bouches-du-Rhône) et Toulon et entre Cannes et Le Muy (Var). Aucune échéance n'est encore avancée pour leur réalisation.
Il y a 3 ans et 126 jours

Dekton® by Cosentino équipe les sols des gares du Grand Paris Express

Explications ci-dessous avec Didier Bourgeois, responsable d'étude matériaux pour la Société du Grand Paris et Jean-Edouard Dumestre, general manager de Cosentino Paris.Leader mondial dans la production et la distribution de surfaces innovantes pour le monde du design et de l’architecture, Cosentino s’est associé à Sika-Cegecol, Pedrazzini et Veda pour répondre à l'appel d’offre de l'a Société du Grand Paris, et a ainsi obtienu un contrat d’exclusivité pour les 15 ans à venir.C’est avec Dekton®, surface ultra-compacte créée en 2013 et répondant à des besoins de durabilité, de facilité d’entretien, mais aussi de résistance à différents types d’agressions, que le groupe espagnol a su convaincre. Si chacune des 68 gares du Grand Paris Express fait l’objet d’un projet architectural propre, toutes vont partager un élément commun qui leur confère une cohérence d’ensemble. Ce point commun, c’est le sol, à la fois dans la taille et la couleur des dalles. Pour répondre au cahier des charges, Cosentino a créé une couleur spécifique de Dekton®: un gris moyen moucheté clair dans un format 37,5 x 75 cm, de 20mm d’épaisseur. Avec son traitement technologiquement très avancé Grip+, permettant à la surface d’être anti-dérapante, le produit retenu offre en outre une sécurité maximale particulièrement recherchée pour ce type d’aménagement. Les premières gares du projet devraient voir le jour d’ici à fin 2024. Un marché de grande envergure pour le groupe espagnol, qui devrait ouvrir de nouvelles perspectives de développement.
Il y a 3 ans et 126 jours

Le télétravail "obligatoire" quand c'est possible, 3 jours minimum par semaine

"Le recours au télétravail sera obligatoire, je dis bien obligatoire, dans toutes les entreprises et pour tous les salariés pour lesquels il est possible", a insisté le Premier ministre au cours d'une conférence de presse à Matignon.La ministre du Travail Elisabeth Borne mènera mardi une concertation avec les partenaires sociaux à ce sujet, a-t-il ajouté, précisant que la mesure prendrait effet "pour une durée de trois semaines".La mesure s'appliquera aussi à la fonction publique, a précisé dans la soirée Amélie de Montchalin: "A partir du 3 janvier, pour 3 semaines, nous rendons obligatoire le télétravail dans la #fonctionpublique 3 jours par semaine. J'invite par ailleurs les agents publics à télétravailler 4 jours par semaine s'ils le peuvent. Montrons à nouveau l'exemple, j'y serai très vigilante !", a tweeté la ministre de la Fonction publique.Face au variant Delta, le Premier ministre avait appelé début décembre à l'extension du télétravail "jusqu'à trois jours" par semaine dans la fonction publique d'Etat et deux à trois jours dans les entreprises où c'était possible, mais il s'agissait alors d'une "cible", selon les mots de la ministre du Travail.Mme Borne avait alors expliqué privilégier le dialogue social au sein des entreprises pour atteindre cet objectif et "qu'on n'ait pas besoin de revenir à des obligations".L'arrivée du variant Omicron a conduit le gouvernement à s'y résoudre, le Premier ministre insistant lundi sur la nécessité d'"éviter la désorganisation de notre économie".
Il y a 3 ans et 126 jours

A Toulouse : Portes et fenêtres – Des ouvertures entre soi et le monde

Si par les murs de notre maison nous nous retirons du monde, l’ouverture nous relie à lui et permet de le comprendre par le cadre des ouvertures que nous ouvrons dans nos murs. Première incarnation du politique, l’architecture assure une médiation entre l’homme et le monde. Une exposition produite par et présentée au CCHa [Centre […] L’article A Toulouse : Portes et fenêtres – Des ouvertures entre soi et le monde est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 126 jours

Rhône : une enveloppe de 2,3 M€ pour le quartier de la Guillotière

La Métropole de Lyon a mobilisé plus de 2 M€ dans le projet de réaménagement du quartier de la Guillotière.
Il y a 3 ans et 126 jours

Oise : une nouvelle gendarmerie à Auneuil d’ici fin 2022

Le chantier de la nouvelle gendarmerie d’Auneuil se poursuit. À terme, cette caserne proposera une quinzaine de logements et des locaux de service.