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Toute l'actualité du bâtiment

255022 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 136 jours

Le groupe Estémi rachète Loubat Fermetures

Quelques semaines après avoir exprimé sa volonté de croissance externe, le groupe Estémi (ex-Ouvéo) annonce le rachat d'un site industriel dans le Lot-et-Garonne.
Il y a 3 ans et 136 jours

Financement de la LGV Sud-Ouest: Agen, Pau et les Pyrénées-Atlantiques ont dit "oui"

Les différents conseils étaient réunis jeudi 16 décembre au soir pour approuver leur participation financière, objet depuis des semaines d'âpres négociations, au projet de cette ligne à grande vitesse relancé cette année par le gouvernement.
Il y a 3 ans et 136 jours

Début des travaux de l’AB Campus

L’AB Campus sera livré en décembre 2022.
Il y a 3 ans et 136 jours

3 Français sur 4 estiment que l'habitat senior devrait être un enjeu majeur des présidentielles

Alors que plusieurs grands thèmes commencent à s'imposer dans le débat public entre les différents prétendants à la présidentielle, Les Maisons de Marianne ont sollicité l'institut OpinionWay pour sonder les Français sur l'importance de la prise en compte, par les futurs candidats, des problématiques de dépendance et de perte d'autonomie dans le domaine de l'habitat.Les résultats sont édifiants : 76% des répondants souhaitent que les politiques s'emparent des enjeux de l'adaptation des logements aux personnes âgées, en perte d'autonomie (75%) et en situation de handicap (74%). Une préoccupation partagée par un grand nombre d'élus locaux, réunis au sein de l'Union nationale des centres communaux d'action sociale (Unccas) regroupant près de 8.800 communes, qui s'alarment de l'abandon de la loi Grand âge et autonomie et appellent à la mobilisation pour développer des solutions alternatives permettant de favoriser le maintien à domicile.Le logement social et les politiques locales de l'habitat, au cœur des enjeux de la dépendanceLe vieillissement de la population française s'accélère : en 2030, les personnes de 65 ans et plus représenteront près d'un quart de la population, contre 20% aujourd'hui. Cette accélération est renforcée par l'allongement continu de l'espérance de vie.Un vieillissement de la population qui représente l'un des défis majeurs de la société actuelle pour 88% des Français, notamment sur le plan économique. Les structures de prise en charge de la perte d'autonomie, comme les EHPAD, ont une capacité limitée et un coût moyen élevé de 2.200 euros par mois, alors que la pension de retraite moyenne nette en France est de 1.393 euros. De plus, moins d'un Français sur cinq s'estime en capacité de pouvoir aider financièrement un proche en situation de dépendance. Pourtant, selon la DREES, avec le vieillissement démographique, un actif sur quatre sera un « aidant » dans les dix ans... Des chiffres qui soulignent l'importance de favoriser le maintien à domicile. Et pour 77% des personnes interrogées, la perte d'autonomie est un sujet qui doit être supporté par la collectivité. Presque unanimes à considérer que l'accès au logement est un cristalliseur d'inégalités pour les personnes en perte d'autonomie (92%) ou en situation de handicap (91%), les Français comptent notamment sur leurs élus locaux ainsi que sur les bailleurs sociaux pour agir. Ainsi, pour encourager le maintien à domicile, l'adaptation de tous les logements sociaux à la perte d'autonomie (90%) et au handicap (89%) est un vœu très largement partagé. Et les attentes sont fortes : seuls 45% des répondants estiment que les besoins des familles touchées par ces problématiques sont bien pris en compte par les pouvoirs publics et les collectivités territoriales.Pour Éric Vialatel, Président des Maisons de Marianne : « De plus en plus de Français seront confrontés, à un moment de leur vie, à la dépendance d'un proche. Cette étude souligne l'existence d'une prise de conscience collective de l'importance des enjeux liés au vieillissement, et tout particulièrement dans l'habitat, alors que seuls 6% des logements sont actuellement adaptés à la perte d'autonomie. Il est indispensable d'innover pour proposer des solutions accessibles, avec un environnement de vie qualitatif permettant de repousser, le plus longtemps possible, la survenue de la dépendance. C'est la raison d'être des Maisons de Marianne. »Pour Raphaëlle Gilaber, Directrice générale : « Depuis 12 ans, en collaboration avec les collectivités, les promoteurs et les bailleurs sociaux, les Maisons et Villages de Marianne proposent une solution pour le logement favorisant le maintien à domicile et le lien social. Nos résidences intergénérationnelles proposent des logements abordables et une animation du vivre ensemble qui contribue à lutter contre la solitude des aînés, un facteur avéré d'accélération de la perte d'autonomie. Dans un environnement où la demande d'habitat social accessible et adapté explose, les besoins sont immenses, sur l'ensemble du territoire. »
Il y a 3 ans et 136 jours

Pour le ministère du Logement, le CSCEE fonctionne "normalement"

Ces douze derniers mois, le Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique (CSCEE) qui rend des avis consultatifs sur les projets de loi et de textes réglementaires concernant le secteur du bâtiment a fait l’objet de nombreuses critiques. Le ministère du Logement le défend.
Il y a 3 ans et 136 jours

Bordeaux-Toulouse : les délibérations néo-aquitaines confirment un vrai clivage local

RÉSEAU FERRÉ. Alors que son plan de financement en Occitanie n'a pas suscité de remous, en Nouvelle-Aquitaine, le Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO) est loin de faire l'unanimité des collectivités concernées, comme le montrent les dernières délibérations des exécutifs locaux.
Cimbat
Il y a 3 ans et 136 jours

+ 4,2 % pour le Bâtiment en 2022 mais fortes hausses de coûts à prévoir

L’explosion des prix en 2021 et les nouvelles réglementations à venir inquiètent la Fédération française du Bâtiment qui parie cependant sur une année de rattrapage en 2022.
Il y a 3 ans et 136 jours

Yvelines : le quartier Mantes Université va accueillir deux nouveaux établissements d’ici 2026

Deux nouveaux établissements, l’IUT de génie civil et mécanique, et le CFA Mécavenir, verront le jour dans le quartier Mantes Université d’ici 2026.
Il y a 3 ans et 136 jours

Milliken & Company annonce une neutralité carbone pour l'ensemble de ses gammes de revêtement de sols

Le fabricant mondial Milliken & Company franchit une nouvelle étape en matière de responsabilité environnementale. L’ensemble des dalles textiles, des dalles vinyles « LVT » et des solutions d’entrée produites par Milliken, sont désormais neutres en carbone, compensant les émissions de carbone des matières premières et l'empreinte carbone de production [1] grâce aux compensations carbones certifiées Verified Carbon Standard. Cette annonce, qui s'inscrit dans le cadre du programme M/PACT de la division Floor covering, souligne l’engagement du fabricant en matière de développement durable, à travers ses actions de réduction des émissions carbones, dans le but de poursuivre la lutte contre le dérèglement climatique.« Afin d’assurer un avenir durable, nous devons nous fixer des objectifs ambitieux et développer une expertise de niveau mondial.», affirme Halsey Cook, président et CEO de Milliken & Company. « En utilisant notre expertise scientifique à travers plusieurs industries, nous pouvons développer des produits durables. Nous pouvons également nous assurer de faire le maximum pour fabriquer ces produits de manière responsable. Ce sont les collaborations et les efforts collectifs qui nous permettront d’avancer vers un futur durable. »Dans son programme M/PACT, une initiative de neutralité carbone menée par la division Milliken Floor covering l'entreprise s'engage à réduire ses émissions de carbone et la production de déchets. "Nous nous efforçons toujours d'éliminer les matériaux non essentiels de nos produits, d'utiliser des matériaux recyclés et de réduire notre dépendance au pétrole", explique Jim McCallum, président de Milliken Flooring et vice- président exécutif de Milliken & Company. "Nos revêtements de sols présentent une traçabilité intégrale des matériaux. Nous privilégions l'approvisionnement régional des matériaux et nous fabriquons nos produits localement afin d’optimiser le transport en limitant les distances." Milliken espère développer des partenariats à long terme avec des architectes, des designers, des entreprises et autres clients à travers le monde partageant l’engagement environnemental de l’entreprise. Ces dernières années, les revêtements de sols Milliken ont séduit la communauté des architectes d'intérieur par l’esthétique et les performances techniques des gammes de produits. Un beau design renvoie également à la notion de durabilité du produit."Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance tout en prenant en compte les enjeux environnementaux", ajoute M. McCallum. "chacun d’entre nous peut agir, et nous avons hâte de poursuivre le travail et le dialogue autour du changement climatique à travers notre progamme M/PACT."Les clients peuvent consulter la gamme complète de revêtements de sol neutres en carbone de Milliken ici : https://floors.milliken.com/floors/en- gb/sustainability/carbon-neutral-mpact[1] conformément aux normes ISO 14025/ISO14040, selon analyse de cycle de vie du produit et d’après la publication des fiches DEP / FDES par des organismes tiers
Il y a 3 ans et 136 jours

Illkirch-Graffenstaden : le renouvellement urbain du quartier Libermann est en cours

Le projet de renouvellement urbain du quartier Libermann se poursuit.
Il y a 3 ans et 136 jours

Une nouvelle cité des sports à Issy-les-Moulineaux

La ville d’Issy-les-Moulineaux s’est offert un nouveau complexe sportif. Ce dernier est déjà opérationnel.
Il y a 3 ans et 136 jours

Le Muy : rénovation de l’habitat et redynamisation commerciale en centre-ville

Une opération de rénovation d’un ensemble d’immeubles, incluant des logements locatifs sociaux, a été lancée au Muy.
Il y a 3 ans et 136 jours

Saint-Jean-de-Luz : le projet de Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine est lancé

L’ancien couvent des Récollets de Saint-Jean-de-Luz va devenir un Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine.
Il y a 3 ans et 136 jours

Arpajon : rénovation de la Grande Rue

La phase 2 du projet « Cœur de ville » a concerné le tronçon compris entre l’hôtel de ville et la porte d’Étampes.
Il y a 3 ans et 136 jours

Lien "hautement improbable" entre éoliennes de Nozay et troubles dans les élevages, selon l'Anses

Saisie par les ministères de la Transition écologique et de l'Agriculture en 2019 pour émettre un avis scientifique sur la mystérieuse mortalité des vaches de deux élevages, l'Anses "considère comme hautement improbable, voire exclue" la responsabilité des éoliennes.Depuis la construction en 2012 du parc des "Quatre Seigneurs", trois éleveurs de deux exploitations rapportent une mortalité accrue de leurs bovins ainsi que des troubles du comportement et une baisse de leur production laitière, qu'ils attribuent à l'installation des éoliennes à 700 et 1.500 mètres de leurs fermes."Les troubles dont les éleveurs se plaignent sont réels", reconnaît Matthieu Schuler, directeur général délégué du pôle "sciences pour l'expertise" de l'Anses.Ceux-ci ne sont toutefois pas imputables aux "agents physiques" générés par les éoliennes, à savoir les ondes sonores, les vibrations au niveau du sol et les champs électromagnétiques, conclut l'Anses.Concernant la diminution de la quantité et de la qualité du lait, les troubles de la reproduction et la mortalité, le rapport estime que "la chronologie des troubles est incompatible avec les périodes de construction et de mise en service du parc éolien".Pour les autres troubles, "les niveaux d'exposition à la plupart des agents physiques sont faibles et ne diffèrent pas de ceux rencontrés habituellement dans un élevage", ajoute l'étude."On a également interrogé l'ensemble de nos agences homologues à travers l'Europe. Aujourd'hui aucun trouble équivalent n'a été rapporté (...) dans une vingtaine de pays d'Europe", précise Matthieu Schuler.Selon l'Anses, les troubles rapportés par les éleveurs pourraient avoir "d'autres causes non étudiées", notamment "un niveau d'exposition aux courants parasites inhabituel dans les bâtiments des deux élevages". Un courant parasite, auquel les bovins sont particulièrement sensibles, est un courant de faible voltage dont la circulation n'est ni souhaitée ni maitrisée.En 2019, des experts dans les domaines vétérinaire, électrique, électromagnétique et géobiologique dépéchés à Nozay n'avaient établi aucun "lien direct" entre les troubles rapportés par les éleveurs et les éoliennes.Plusieurs actions en justice ont cependant été intentées par les éleveurs concernés.Fin novembre, le tribunal judiciaire de Nantes a ordonné une expertise des câbles électriques du site, qui doit être rendue au plus tard le 31 juillet 2022.
Il y a 3 ans et 136 jours

Naissance de Sidiane, nouvelle organisation professionnelle pour la filière du diagnostic

Huit entreprises du secteur se regroupent pour créer ce Syndicat Interprofessionnel du Diagnostic Immobilier, de l’Analyse et de la Numérisation de l’Existant. Objectif : structurer, représenter et défendre la filière pour mieux répondre collectivement aux exigences de la transition énergétique et de la lutte contre les pollutions dans les bâtiments.
Il y a 3 ans et 136 jours

SPIE signe un accord pour l’acquisition de NexoTechen Pologne

Avec l’acquisition de NexoTech, SPIE entre sur le marché polonais des infrastructures de télécommunication et renforce sa position de « pure-player » pour les services multi-techniques dans ce pays. En tant que fournisseur de premier plan pour les réseaux à haut débit en cuivre et en fibre optique, NexoTech bénéficie de la forte croissance du déploiement du FttX en Pologne. L’entreprise a une forte présence dans l'ouest et le sud de la Pologne et a son siège à Lubon, à côté de Poznan. Elle emploie environ 950 collaborateurs hautement qualifiés et a réalisé un chiffre d’affaires de 25 millions d'euros en 2020.Markus Holzke, directeur général de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, a déclaré : « avec NexoTech, nous intégrons une équipe de premier plan avec une grande expertise dans le développement des réseaux numériques à haut débit. Nous nous réjouissons de poursuivre notre expansion sur le marché à forte croissance du FttX avec l'équipe de direction existante et les 950 collaborateurs. Nous franchissons une étape importante dans le renforcement de notre positionnement en tant que partenaire de confiance pour les services multi-techniques en Pologne. Nous sommes convaincus que nos clients bénéficieront de l'élargissement de notre gamme de services. »Filip Reichelt, directeur général de NexoTech : « grâce aux compétences de ses collaborateurs, NexoTech a établi une position de leader sur le marché polonais. Nous attendons avec impatience cet avenir commun avec SPIE et les opportunités de développement de l'activité en Pologne. Nous sommes convaincus d'apporter une grande contribution. »Prévue pour fin janvier 2022, la signature de la transaction ne dépend plus que de l’approbation des autorités de la concurrence.
GDA
Il y a 3 ans et 136 jours

Point sur le projet Morlaàs 2030

Le projet Morlaàs 2030 est divisé en cinq axes : l’habitat, l’économie, la mobilité, le cadre de vie et les services publics.
Il y a 3 ans et 136 jours

La Gaude : création de 152 nouveaux logements sociaux

Un nouvel ensemble de logements sociaux sortira de terre le long de la route de Saint-Laurent-du-Var, à La Gaude.
Il y a 3 ans et 136 jours

Elisabeth Bardet prend la tête de la Direction de la Business Unit Isolation France & Export de Rockwool France

Innovation, digitalisation, déploiement des services, comme l’offre de recyclage RockCycle ou encore la plateforme RockCommerce, participeront de sa dynamique d’accompagnement des acteurs du marché. Une mission stratégique à l’heure où la transition énergétique devient cruciale et qui témoigne de la volonté pour ROCKWOOL de consolider son engagement en faveur du développement durable.Diplômée de l’ESPCI à Paris, Elisabeth Bardet enregistre plus de quinze années d’expériences de direction d’organisation, dans des sociétés de renommée internationale. Elle a occupé successivement différentes fonctions marketing stratégique et commerciales, puis direction de filiale dans les Matériaux de Construction et le Génie Climatique.Depuis octobre 2021, Elisabeth a pris la tête de la Business Unit Isolation de ROCKWOOL France où elle a pour mission de consolider et poursuivre le déploiement commercial en France et à l’export. Elle rapporte à Rafael Rodriguez, Directeur Général de ROCKWOOL France et Europe du sud.Cette nomination intervient à un moment clé pour le groupe. A l’heure où les enjeux climatiques mettent en lumière l’importance de la rénovation énergétique des bâtiments. La France compte encore 4,8 millions de logements considérés comme trop énergivores. Ces passoires thermiques représentent 45% des consommations d’énergie du pays et sont responsables de 25% des émissions de gaz à effet de serre de la France.Face à une demande de plus en plus forte du marché boostée par les politiques publiques d’incitation à la rénovation, le groupe ROCKWOOL réaffirme ses priorités vers une croissance durable pour accompagner le chantier de la rénovation énergétique en France. ROCKWOOL mise d’une part, sur l’innovation, avec des produits énergétiquement plus performants, et d’autre part, sur le conseil avec des services adaptés et digitalisés pour guider tant les particuliers, entreprises et artisans que les distributeurs dans cette transition. A cette dynamique de rénovation, s’ajoute une volonté de mener une stratégie de décarbonation ambitieuse, comme en témoigne les évolutions technologiques sur notre site de Saint-Eloy les Mines et plus récemment le projet d’usine à Soissons"Nous nous réjouissons d'accueillir d’Elisabeth Bardet au sein des équipes ROCKWOOL ! Son excellente connaissance des secteurs de l’industrie et de la construction va nous permettre de renforcer notre leadership sur le marché français et notre investissement fort dans la transition énergétique et le développement durable", déclare Rafael Rodriguez, Directeur général de ROCKWOOL Europe du sud.Elisabeth Bardet, directrice de la Business Unit Isolation France & Export de Rockwool France : "Je suis ravie de retrouver le Groupe ROCKWOOL après 10 ans d'une étape de carrière riche d'expériences et de réalisations. Après quelques semaines, je trouve ROCKWOOL encore plus centré sur sa mission et déterminé sur ses priorités. La démarche de responsabilité toujours au cœur de la culture d'entreprise est plus que jamais partagée par les équipes en France, au siège à Paris et à l'usine à Saint-Eloy les Mines. C'est assurément ce qui nous distingue comme un industriel de valeur, pilier de la qualité de notre relation client et de nos échanges avec le marché."
Il y a 3 ans et 136 jours

Les dessins d’Henri Ciriani, Grand prix d’architecture 2021, exposés à l’Académie des beaux-arts

Le 15 novembre 2021, l'Académie des beaux-arts a attribué son grand prix d’architecture à l’architecte Henri Ciriani pour l’ensemble de son parcours. À cette occasion, elle présente l’exposition « Henri Ciriani, dessins d'architecte », à voir à Paris jusqu’au 9 janvier 2022. Le grand prix […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 137 jours

Début du sciage de huit chênes exceptionnels destinés à Notre-Dame

"C'est une aventure extraordinaire que cette reconstruction de Notre-Dame de Paris", a déclaré le général Jean-Louis Georgelin, président de l'Établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, qui a salué l"extraordinaire mouvement de solidarité qui ne retombe pas".Issus de la forêt domaniale de Bercé (Sarthe), ces huit chênes de plus d'un mètre de diamètre et de plus de vingt mètres de grume utile d'une courbure spécifique sont destinés à la réalisation de pièces exceptionnelles pour le tabouret de la flèche."On est très fiers de participer à la reconstruction de la cathédrale de Notre-Dame", a confié Mickaël Renaud, patron de la scierie des Géants à Craon."Mon entreprise est créée depuis deux ans, je n'aurais jamais imaginé ça.Travailler des bois de cette longueur là qui viennent de la forêt de Bercé, plantés sous Colbert, c'est une fierté."Les bois débités doivent ensuite être acheminés dans des centres de stockage aménagés par l'établissement public, pour y être triés et poursuivre leur séchage. Mi-2022, ils seront transportés vers les ateliers des charpentiers pour être assemblés à blanc avant d'être montés sur le chantier en 2023."Et ensuite, on assistera à la montée de la flèche dans le ciel de l'Ile-de-France", a lancé le général Georgelin.La restitution de la flèche de Viollet-le-Duc, dont l'ossature est entièrement en bois de chêne massif, et des charpentes du transept et de ses travées adjacentes nécessite environ un millier de chênes, issus pour moitié de forêts publiques, pour moitié de près de 150 forêts privées.Quarante-cinq scieries partout en France assurent le sciage des 1.000 chênes."Dans un an, nous récolterons encore 1.000 autres chênes pour refaire la charpente de la nef et du choeur", a ajouté M. Georgelin.
Il y a 3 ans et 137 jours

Grand Lyon : Plateforme des acteurs métropolitains du BTP

Le BTP emploie 37 000 personnes sur le territoire du Grand Lyon. La plateforme traite de trois sujets : l’économie de la ressource, la biodiversité et l’approche en coût global…  Avec : Emeline Baume, Vice-présidente chargée de l’économie – Métropole de Lyon Béatrice Vessiller, Vice-présidente chargée de l’urbanisme – Métropole de Lyon Cet article Grand Lyon : Plateforme des acteurs métropolitains du BTP est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 137 jours

Près de 2 Français sur 3 baissent le chauffage pour réduire leur facture

LeLynx.fr, comparateur en ligne d’offres énergie, a interrogé les consommateurs et décrypte les éco-gestes les plus couramment adoptés.62% des Français limitent la température du chauffage pour payer moins cherDans une étude réalisée par YouGov, LeLynx.fr s’intéresse aux comportements des Français pour réduire leurs dépenses d’énergie à leur domicile. L’étude révèle que la grande majorité des ménages ont adopté des éco-gestes concrets pour faire des économies d’énergie. Seuls 4% d’entre eux déclarent ne rien faire pour réduire leur consommation. A l’heure où le froid hivernal s’installe à l’extérieur, près de 2 Français sur 3 (62%) reconnaissent baisser la température du chauffage pour réduire le montant de leur facture. Un geste auquel ont davantage recours les habitants des zones rurales (63%) et des petites et moyennes villes (65%). Dans les grandes villes, c’est 1 habitant sur 2 (55%) qui réduit la température des radiateurs pour économiser sur sa facture de chauffage. D’autres éco-gestes font désormais aussi partie du quotidien des Français. 65% d’entre eux ont déjà remplacé leurs ampoules par des LED, plus économes et 64% affirment privilégier les douches aux bains. Certains réflexes font également leur apparition : 38% des consommateurs pensent à comparer les étiquettes énergie quand ils achètent un appareil électrique et 23% utilisent l’application mobile de leur fournisseur d’énergie pour contrôler leur consommation. Près d’un quart d’entre eux (27%) ont d’ailleurs souscrit à une offre énergie plus avantageuse auprès de leur fournisseur d’énergie, comme une option heures creuses.Pour Itzal Arbide, Directrice générale de LeLynx.fr : « Les Français ont bien compris que changer quelques gestes au quotidien peut réduire la facture d’énergie : en passant le chauffage de son logement de 20° à 19°, un foyer peut réduire sa consommation de près de 7%. Privilégier les heures creuses pour faire fonctionner ses appareils électriques permet également de bénéficier d’un tarif réduit de 40%. »En revanche, seuls 16% des Français déclarent avoir entrepris des travaux de rénovation pour réduire la consommation énergétique de leur logement.Le chauffage représente 71% de la consommation d’énergie des Français Selon le Centre d’Etudes et de Recherches Économiques sur l’Énergie (CEREN), 71% de la consommation énergétique annuelle des ménages français sont dévolus au chauffage, toutes énergies confondues. Viennent ensuite les appareils électriques (17%), l’eau chaude sanitaire et la cuisson, à égalité à 6%. Dans le palmarès des appareils électriques qui consomment le plus, le combiné réfrigérateur/congélateur arrive en tête (346 kWh/an), talonné par le sèche-linge (301 kWh/an) et le congélateur (288 kWh/an). La télévision est au pied du podium (187 kWh/an), suivi du réfrigérateur (166 kWh/an) et du lave-vaisselle (162 kWh/an). Surprise du classement : la console de jeux vidéos consomme 103 kWh/an en moyenne, soit presque autant d’une machine à laver !
Il y a 3 ans et 137 jours

L'Europe ne veut plus que des bâtiments neufs neutres en carbone à partir de 2030

TRANSITION. En accord avec son "Green deal", la Commission européenne vient de proposer de décarboner la totalité du parc immobilier du Vieux Continent d'ici à 2050. Avec une première échéance : toutes les constructions neuves devront être "neutres" en émissions à compter de 2030. Plusieurs autres mesures modifient plus ou moins profondément les normes et réglementations en vigueur.
Il y a 3 ans et 137 jours

Encadrement des loyers : la Fnaim réagit à l'amendement des députés

IMMOBILIER. Suite à l'adoption d'un amendement par les députés sur l'encadrement des loyers, la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) a souhaité communiquer sur cette actualité. Elle rappelle notamment qu'elle n'a jamais été favorable à ce dispositif.
Il y a 3 ans et 137 jours

Construction 21 : retours d’expériences greensolutions awards

Construction 21 présente les Green Solutions Awards.  Ce concours donne à voir, à la fois au plan national et mondial, des solutions réelles déjà mises en œuvre dans des bâtiments, quartiers et infrastructures exemplaires pour la transition écologique. Sur le plateau de Bati-Journal sur Bepositive, Max Maurel et Bruno Dehan présentation des opérations exemplaires. Avec : Christian Brodhag, Président Construction21 France et international Bruno Dehan, Dirigeant fondateur de Sequoia Ingénierie et président du Cluster Eco-Bâtiment Max Maurel, fondateur et directeur du bureau d’études thermiques MAYA Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 137 jours

Construction 21 : retours d’expériences greensolutions awards

Construction 21 présente les Green Solutions Awards.  Ce concours donne à voir, à la fois au plan national et mondial, des solutions réelles déjà mises en œuvre dans des bâtiments, quartiers et infrastructures exemplaires pour la transition écologique. Sur le plateau de Bati-Journal sur Bepositive, Max Maurel et Bruno Dehan présentent des opérations exemplaires.  Avec : Christian Brodhag, Président Construction21 France et international Bruno Dehan, Dirigeant fondateur de Sequoia Ingénierie et président du Cluster Eco-Bâtiment Max Maurel, fondateur et directeur du bureau d’études thermiques MAYA Cet article Construction 21 : retours d’expériences greensolutions awards est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 137 jours

Adrià Goula, cellule nomade

Jusqu'au 23 décembre 2021 se tient à la Galerie H2O à Barcelone, l'exposition Cel·la Nòmada, « ...More about Cet article Adrià Goula, cellule nomade est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 137 jours

La Flèche de Notre-Dame sur la voie de la renaissance

Le sciage de huit chênes de dimensions exceptionnelles donne le coup d’envoi de la restauration du tabouret de l'ouvrage de Viollet-le-Duc, élément signature de l’édifice parisien.
Il y a 3 ans et 137 jours

Attestations RE2020 : deux arrêtés publiés avant l'entrée en vigueur du texte

RÉGLEMENTATION. Deux arrêtés, publiés au Journal officiel du 16 décembre 2021, apportent des précisions indispensables, à quelques jours de l'entrée en vigueur de la réglementation environnementale 2020 dans le résidentiel.
Il y a 3 ans et 137 jours

Cité jardin de la Butte rouge : "Cela ressemble à un casse-tête" (C. Willemin)

RÉNOVATION URBAINE. Clément Willemin, fondateur de l'agence Wald et lauréat de l'appel d'offres pour la rédaction du plan guide de la Cité jardin de la Butte rouge, à Châtenay-Malabry, livre à Batiactu ses premiers éléments pour la rénovation de ce quartier emblématique qui déchaîne les passions.
Il y a 3 ans et 137 jours

Comment concilier sobriété foncière et habitat individuel ?

RAPPORT. Le groupe de travail sur l'avenir de l'habitat individuel a rendu son rapport au Gouvernement. Une série de mesures y sont préconisées, entre encouragement des particuliers à la densification des parcelles et contrôle des stratégies des collectivités pour contourner les objectifs de densité.
Il y a 3 ans et 137 jours

« 1 minute, 1 marque » avec URSA

"1 MINUTE 1 MARQUE". A l'occasion du salon Artibat en octobre 2021, Batiactu a rencontré Jean-Pierre Laherre, Directeur Général chez URSA.
Il y a 3 ans et 137 jours

Les acteurs du cadre de vie présentent leur rapport "Pour une vision renouvelée de l’habitat individuel"

Cette démarche collective réunissant les principaux acteurs du secteur : Fédération des SCoT, Union Nationale des Aménageurs, Conseil National de l'Ordre des Architectes, Office Professionnel de Qualification des Urbanistes, Pôle Habitat de la Fédération Française du Bâtiment, Fédération des Promoteurs Immobiliers, Fédération Française des Constructeurs de Maisons Individuelles, a abouti ce 16 décembre, à la remise à Emmanuelle WARGON, Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, d’un rapport inédit compilant diagnostics et propositions afin de repenser puis faire évoluer l’habitat individuel. La Ministre a accueilli les propositions formulées avec la plus grande attention.Un groupe de travail pluridisciplinaire pour une approche à 360°Autour de l’Ordre des géomètres-experts, l’objectif du groupe de travail était de concilier trois impératifs : la trajectoire de sobriété foncière souhaitée par le Gouvernement pour répondre aux enjeux environnementaux, les besoins en matière de logements face à une tension croissante sur le marché résidentiel, et le souhait des Français voulant très majoritairement résider dans des logements individuels.Le rapport qui résulte des travaux, disponible via ce lien, articule un diagnostic de la production neuve d’habitat individuel, du parc existant et des aspirations résidentielles des Français, ainsi que des propositions portant autant sur l’intensification urbaine douce que sur le développement d’une offre nouvelle intégrant les enjeux de sobriété foncière.Vers une vision renouvelée du cadre de vieLes crises se succèdent mais les besoins fondamentaux de nos concitoyens restent. Les modes de fabrication des espaces urbains et des territoires doivent être renouvelés pour inventer de nouveaux modèles de développement.Les métropoles portent une vision de la croissance et de la densité, qui ne saurait obérer le choix de vivre dans des villes petites ou moyennes, ni le choix de s'installer dans les communes les moins denses qui occupent les trois-quarts du territoire.Enfin la complémentarité des typologies d’habitat (collectif, individuel, groupé, maisons de villes) des modes de financements (accession et locatif, libre et social), des services, des emplois et des équipements souligne toujours plus le besoin d’une vision transversale et prospective.Dans un contexte de doute sur le modèle dominant, de graves crises de production du logement, et de crises énergétiques et environnementales, les professions réunies rappellent comment ils peuvent, avec des outils de production du logement renouvelés, concourir à faire émerger des solutions politiques, économiques et environnementales. Avec ce rapport, ils flèchent vers des réformes possibles et souhaitables.Conjuguer intensification du tissu existant et développement d’une offre nouvelle plus sobre en foncier : des solutions sont possiblesLes professions réunies font le constat que l’habitat individuel, par sa souplesse d'organisation spatiale, permet d'utiliser des emprises foncières de petite taille ou de configuration complexe et représente une réponse pertinente pour fabriquer une densité de proximité heureuse, traiter les discontinuités urbaines et territoriales, et recycler les friches urbaines et périurbaines des bourgs, petites villes et villes moyennes qui maillent notre territoire.Il constitue également un moyen de conforter la place des pôles urbains secondaires et tertiaires, à l’heure où la réduction des déplacements pendulaires doit être une priorité pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre.Pour le tissu d’habitat individuel existant, une double opportunité d’amélioration et d’intensification ressort dès lors qu’il peut proposer des formes urbaines adaptées plus économes en foncier. Trois axes de travail porteurs de solutions ont ainsi été identifiés :Améliorer la qualité de l’existant avec des approches mutualisées à l’échelle du territoire ou du quartierLever les freins, notamment réglementaires, à la densification et créer une incitation fiscaleRenforcer l’approche opérationnelle et professionnelle de la densification, en favorisant l’innovation et acculturant les collectivités à un urbanisme de projetEn complément, et pour répondre notamment à l’attractivité renouvelée de territoires jusqu’alors détendus, le groupe de travail a également identifié trois champs d’intervention prioritaires pour le développement d’une offre nouvelle d’habitat individuel sobre en foncier :Agir sur la fiscalité pour lutter contre la rétention foncière et encourager le développement de l’offre nouvelle à proximité des bassins d’emplois, de services et de transports et en secteur urbain constituéPromouvoir le développement de formes plus denses, en redéfinissant la notion d’habitat individuel, groupé ou organiséRenforcer la qualité de la planification et des documents d’urbanisme, et lutter contre les règles contraires à l’objectif de sobriété foncièreLa nécessité de bien prendre en compte les diversités des habitats, des besoins et des territoires« Ce qu’il faut retenir, c’est un écueil, celui qui voudrait nous voir mettre en concurrence l’habitat individuel face à l’habitat collectif. » Joseph Pascual, Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, l’a rappelé lors de la présentation du rapport : « Un parcours résidentiel serein et répondant aux besoins des Français ne peut se bâtir qu’en intégrant la diversité des typologies d’habitat proposées : on n’habite pas de la même façon pendant ses études, à l’arrivée du 3ème enfant, ou en vieillissant lorsque l’on devient moins mobile. Toutes les offres résidentielles doivent être adaptées, contextualisées au regard des attentes des Français et des besoins spécifiques des territoires. Cette territorialisation de la trajectoire nationale de sobriété foncière sera nécessairement accompagnée par les experts du foncier que sont les géomètres-experts, les acteurs de l’aménagement, de la construction et du cadre de vie. »
Il y a 3 ans et 137 jours

L'exécutif veut faciliter le développement des biosourcés et des systèmes énergétiques

INDUSTRIE. Plusieurs ministres ont annoncé le déblocage de 420 millions d'euros pour développer les biotechnologies industrielles ainsi que les matériaux biosourcés. Un appel à projets a aussi été lancé pour soutenir l'innovation dans les filières des systèmes énergétiques et du traitement de l'air dans les bâtiments.
Il y a 3 ans et 137 jours

Amélioration du confort thermique, acoustique et de la qualité d’air intérieur

La santé et le bien-être des usagers et habitants des bâtiments est une préoccupation essentielle. La qualité de l’air intérieur est un sujet très médiatisé qui n’éclipse pas les autres : confort thermique, acoustique, lumière, champs électromagnétiques…    Avec : Marie-Soriya Ao, Déléguée Générale – Cluster Eco-Bâtiment Claire-Sophie Coeudevez, Directrice – Medieco   Cet article Amélioration du confort thermique, acoustique et de la qualité d’air intérieur est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 137 jours

L’innovation dans les procédés ou la technologie – Innovation et R&D au service de la transition énergétique

R&D, innovation évoquent beaucoup de sujets. Les entreprises du bâtiment doivent passer par l’innovation aussi bien en fabrication que sur les chantiers pour se développer…   Avec : Olivier Aubert, Président – Fédération du BTP74 Cet article L’innovation dans les procédés ou la technologie – Innovation et R&D au service de la transition énergétique est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 137 jours

Assurance chômage : victoire finale de l'exécutif contre les syndicats

"Il n'y a pas lieu de statuer sur les conclusions des requêtes dirigées contre les dispositions du décret du 30 mars 2021" qui modifiait le calcul de l'allocation, conclut le Conseil d'Etat dans sa décision.C'est la fin d'une longue bataille menée par les syndicats contre cette réforme présentée en juillet 2019 par Edouard Philippe et Muriel Pénicaud, dont l'application avait été reportée plusieurs fois du fait de la crise du Covid et de rebondissements judiciaires.Pour Michel Beaugas (FO), ce rejet est "une déception car la réforme est mauvaise et, contrairement à ce que dit le gouvernement, ne favorisera pas le recours à moins de contrats courts".L'Unsa y voit "un coup dur pour les demandeurs d'emploi", dans un communiqué.Les juges ont suivi l'avis de la rapporteure publique Marie Sirinelli qui avait rejeté un à un lors de l'audience les arguments des syndicats.Au centre du contentieux, le nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation chômage, qui va pénaliser l'indemnisation des demandeurs d'emploi alternant périodes de travail et d'inactivité.Dans un contexte de baisse du chômage et de difficultés de recrutement, Emmanuel Macron a répété que cette réforme était "indispensable (...) pour rendre la reprise du travail plus attractive dans tous les cas", les règles précédentes pouvant rendre parfois plus rémunératrice cette "permittence" qu'une activité continue à mi-temps par exemple.Pour y remédier, la réforme de 2019 prévoyait que le SJR soit calculé en divisant les salaires perçus au cours des 24 mois avant le chômage par l'ensemble des jours - et non plus les seuls jours travaillés - entre le premier et le dernier jour d'emploi.Mécaniquement, cela baisse fortement le montant de l'allocation (puisqu'on divise le même salaire par plus de jours) de ceux qui ne travaillent pas en continu."Revirement"Le Conseil d'Etat avait d'ailleurs invalidé en novembre 2020 cette mesure au motif qu'elle entraînait "une différence de traitement manifestement disproportionnée" entre chômeurs.Au terme d'une concertation avec les partenaires sociaux, l'exécutif avait pris un nouveau décret fin mars - celui sur lequel le Conseil d'Etat s'est prononcé mercredi - qui plafonne le nombre de jours non travaillés pris en compte dans le calcul.Selon l'Unédic, plusieurs centaines de milliers de demandeurs ouvrant des droits dans l'année suivant l'application de la réforme toucheront cependant une allocation mensuelle plus faible (de 17% en moyenne).Mais pour les juges, ces différences de traitement relevées par l'Unédic "bénéficient aux personnes dont les périodes d'emploi sont les plus rapprochées" et ne sont pas "manifestement disproportionnées" grâce au plafonnement.Dans un communiqué, la CGT s'interroge sur ce "revirement du Conseil d'Etat". "La campagne présidentielle a-t-elle impliqué des pressions sur la plus haute juridiction administrative ?", se demande-t-elle.Les syndicats déploraient aussi le décalage entre l'entrée en vigueur du nouveau mode de calcul le 1er octobre et celle du bonus-malus sur les entreprises (dans sept grands secteurs consommateurs de contrats courts) qui n'aura d'effet sur les cotisations chômage qu'en septembre 2022 et que pour deux mois... les règles devant déjà être renégociées pour novembre 2022.L'exécutif, qui compte sur cette mesure pour lutter contre l'abus de contrats précaires, répond que la période d'observation des entreprises pour calculer cette modulation a démarré dès juillet 2021.Les économies attendues par la réforme (1,9 milliard en 2022 dont 800 millions liés au SJR, selon l'Unédic) vont au-delà de celles fixées initialement par le gouvernement (entre 1 et 1,3 milliard).Le reste de la réforme contestée est aussi appliqué depuis le 1er décembre.Il faut désormais avoir travaillé six mois au lieu de quatre pour bénéficier d'une allocation chômage.La dégressivité de 30% (pour les chômeurs de moins de 57 ans ayant perdu une rémunération supérieure à 4.500 euros brut) s'applique au 7e mois et non plus au 9e.Une commission de suivi des effets de la réforme, associant les partenaires sociaux, doit être instaurée début 2022.
Il y a 3 ans et 137 jours

Quatrième baromètre sur l’Immobilier Responsable : les critères environnementaux incontournables

L’Observatoire de l’Immobilier Durable (OID) a publié le Baromètre 2021 de l’Immobilier Responsable. Il consacre l’importance des critères ESG dans les décisions de gestion et d’investissement.