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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 138 jours

Les nouveaux systèmes énergétiques / Mobilités propres

Entre 2019 et 2020, les achats de véhicules électriques ont augmenté de 180 %. Une étude montre  l’amélioration économique des infrastructures de recharge automatique grâce au photovoltaïque. L’utilisation du solaire pourrait permettre des économies de 80% dans les villes équipées… Avec : Daniela Touzé, Chargée du développement commercial chez CRMT Richard Loyen, Délégué Général d’ENERPLAN Rémi Driat, Chef de projet Smart Grids chez Enedis Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 138 jours

Le numérique au service de la transition énergétique : mise en place des outils

La mise en place d’outils numériques est répartie sur   deux nouveaux services : d’abord, avant les travaux avec des diagnostics qui vont apporter plus de fiabilité, donc plus de possibilités d’investissements en diminuant les risques… ensuite, pendant la phase d’exploitation, les outils vont permettre le suivi de performances, la  réduction de la consommation énergétique grâce à une meilleure modélisation… Avec : Jérôme Morville, Responsable du cadre économique au Syndicat des Energies Renouvelables (SER) / Raphaël Meyer, Président co-fondateur de LANCEY Energy Storage Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 138 jours

Dans le métavers, le marché immobilier a la cote

Cette semaine, l'entreprise Republic Realm, basée à New York, a annoncé avoir dépensé la somme record de 4,3 millions de dollars pour l'achat d'un terrain sur The Sandbox, une plateforme donnant accès à un monde virtuel où les participants peuvent discuter, jouer et même participer à des concerts.Sur le site concurrent Decentraland, la société canadienne Tokens.com, spécialisée dans les cryptomonnaies, avait déboursé 2,4 millions de dollars en novembre pour un achat immobilier.Quelques jours auparavant, la Barbade, un petit pays des Caraïbes, avait dit vouloir établir une ambassade dans le métavers, ce réseau d'espaces virtuels interconnectés, parfois décrit comme l'avenir d'internet.L'intérêt pour le métavers (contraction de méta et univers) a grimpé en flèche depuis octobre après la décision de Facebook de faire de cette idée son nouveau projet d'entreprise, le groupe allant jusqu'à renommer sa maison mère "Meta".Ce tournant stratégique a "fait découvrir le terme à des millions de gens bien plus rapidement que j'aurais pu l'imaginer", reconnaît Cathy Hackl, consultante tech pour des entreprises souhaitant entrer dans le métavers.Selon la base de données sur les cryptomonnaies Dapp, plus de 100 millions de dollars ont été dépensés lors de la semaine écoulée pour des achats immobiliers sur les quatre principaux sites du métavers que sont The Sandbox, Decentraland, CryptoVoxels et Somnium Space.Pour Mme Hackl, l'explosion du marché, qui fait interagir propriétaires, locataires et développeurs fonciers, n'est pas une surprise."On essaye de traduire dans le monde virtuel ce qu'on sait faire avec les biens physiques", indique-t-elle à l'AFP."5e Avenue" du métaversS'il faudra du temps avant que ces sites ne soient de vrais métavers, permettant aux utilisateurs d'explorer des mondes parallèles via des casques de réalité virtuelle, les terrains numériques fonctionnent déjà comme des actifs financiers, à l'instar de biens fonciers, explique Mme Hackl."On peut construire dessus, les louer ou les vendre", affirme-t-elle.Tokens.com a acquis une parcelle de choix sur Decentraland dans le quartier de Fashion Street que la plateforme veut transformer en destination pour les magasins virtuels des groupes de luxe."Si je n'avais pas fait de recherches et compris qu'il s'agit de propriétés de grande valeur, ça paraîtrait complètement fou", admet le patron de Tokens.com, Andrew Kiguel.Kiguel a travaillé pendant 20 ans comme banquier d'investissement dans le secteur de l'immobilier. Selon lui, les terrains virtuels représentent une opportunité semblable aux biens du monde réel: ils se situent dans un quartier en vogue très fréquenté."Ce sont des lieux pour la publicité et les événements où les gens vont se rassembler", explique-t-il, mentionnant un récent festival musical qui a attiré 50.000 visiteurs sur Decentraland.Les marques de luxe s'aventurent déjà dans le métavers: un sac à main Gucci s'est vendu sur la plateforme Roblox plus cher que sa version physique. M. Kiguel espère que Fashion Street deviendra l'équivalent de la 5e Avenue à New York.Quant à savoir comment dégager des revenus, "ça peut être aussi simple que de posséder un panneau publicitaire ou aussi complexe que d'avoir une boutique avec un vrai salarié", explique-t-il."On pourrait rentrer avec son avatar, regarder des modèles en 3D d'une chaussure qu'on pourrait tenir entre ses mains et poser des questions."Second Life 2.0Dès 2006, une promotrice immobilière avait fait parler d'elle après avoir vendu un terrain pour 1 million de dollars dans le monde virtuel de Second Life, site précurseur du métavers.Second Life est toujours en activité, mais les partisans de ses rivaux plus récents soulignent une différence majeure.Sur Decentraland, tous les achats, qu'il s'agisse d'immobilier ou d'oeuvres d'art virtuelles, se font via des jetons non fongibles (NFT).Certains internautes ont dépensé des dizaines de milliers de dollars pour ces objets numériques, le concept suscitant enthousiasme et scepticisme.M. Kiguel pense que la propriété numérique va devenir courante dans les prochaines années grâce à la technologie de la chaîne de blocs ("blockchain"), qui garantit la sécurité et la transparence des transactions."Je peux voir l'historique des propriétaires, ce que ça a coûté et comment c'est passé d'une personne à une autre", détaille-t-il.L'investissement comporte toutefois des risques, à commencer par la volatilité des cryptomonnaies utilisées pour acheter les NFT.Par ailleurs, si les concerts virtuels sur Roblox ou Fortnite ont attiré des dizaines de millions de curieux, la rareté des données sur le métavers suggère que la fréquentation de sites comme Decentraland est loin derrière celui de réseaux sociaux établis comme Facebook ou Instagram.La valeur des investissements immobiliers dans le métavers dépendra du nombre de personnes se rendant sur ces plateformes."Je sais que ça a l'air un peu absurde", reconnaît M. Kiguel. "Mais il y a une vision derrière tout ça."
Il y a 3 ans et 138 jours

Matériaux biosourcés / Structuration des filières pour répondre à la demande

Aujourd’hui, les filières du biosourcés ne sont pas toutes structurées. Des normes sont actuellement mises en place pour faire progresser ce marché. Avec une demande croissante, ne pas pouvoir fournir les quantités nécessaires de matériaux biosourcés est un risque à ne pas négliger. Avec : Guillaume Delannoy, Adjoint Responsable Développement Industriel et Étude chez CODEM / Mariangel Sanchez, Ingénieure suivi des innovations à l’AQC / Anne Daubresse, Responsable Laboratoire Innovation de Parexlanko / Laurent Marmonier, Président de la CAPEB Isère Toutes les vidéos de BePositive 2021    
Il y a 3 ans et 138 jours

Les défaillances d'entreprises toujours en chute dans le BTP

CONJONCTURE. Les défaillances d'entreprises enregistrent une forte chute dans le secteur de la construction, d'après une récente note de la Banque de France.
Il y a 3 ans et 138 jours

Innovation et R&D / Focus sur les startups de la transition énergétique

À l’heure où l’innovation et la recherche et développement dans la transition énergétique sont importantes. Bati Journal s’est intéressé à des startups proposant de solutions innovantes afin de simplifier et d’accompagner le travail des professionnels du secteur. Avec : Diana Gonzalez, CEO de Construtech-club / Fabien Font, CEO de Teamoty / Clément Rouch  CEO de Marmelade /  Anthony Lambert, Co-gérant de Defibim Toutes les vidéos de BePositive 2021
Cimbat
Il y a 3 ans et 138 jours

EDF se prépare au bras de fer nucléaire européen

Attention à la « myopie climatique » européenne ! A la veille de la présidence française de l’Union, le conseiller du président d’EDF chargé des affaires européennes Erkki Maillard formule cet avertissement : en plaçant les émissions de gaz à effet de serre derrière la priorité à la production d’énergies renouvelables, Bruxelles risque de passer à côté de l’objectif de neutralité carbone.
Il y a 3 ans et 138 jours

Comment le bâtiment se projette-t-il dans les années 2030 ?

ÉCONOMIE. Face aux nombreux et passionnants enjeux qui s'imposent déjà à lui, de la transition écologique à la révolution numérique, le secteur du bâtiment tente, à l'image du reste de l'économie, de se projeter à horizon 2030. Dans un exercice de prospective inédit, la Fédération française du bâtiment livre cinq scénarios où l'État, les entreprises de la filière mais également la société civile jouent des rôles différents. Tour d'horizon.
Il y a 3 ans et 138 jours

Crise des matières premières : Le gouvernement annonce de nouvelles mesures

Le gouvernement présente de nouvelles mesures face à la crise des matières premières. [©ACPresse] La crise des matières premières et des approvisionnements persiste… Après avoir réuni les différents représentants de filières industrielles, dont celle du bâtiment, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, Elisabeth Borne, ministre du Travail, et Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie annoncent de nouvelles mesures. « La reprise économique est forte et puissante. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui nos entreprises industrielles font face à des difficultés d’approvisionnement. Notamment de matières premières et de composants électroniques. Nous apportons à ces entreprises une réponse de court terme. En particulier avec le lancement du prêt pour l’industrie, qui sera un prêt de long terme pouvant être remboursé sur 10 ans au maximum », explique Bruno Le Maire. Lire aussi :Le Synad alerte à nouveau sur les pénuries de matières premières Et de poursuivre : « Mais nous nous attachons aussi, avec le président de la République, à apporter une réponse de long terme. Cette réponse, c’est la construction de notre indépendance. C’est l’investissement massif dans les technologies d’avenir. C’est la localisation de nouvelles chaînes de valeur en France et en Europe. C’est enfin, la consolidation de nos filières industrielles traditionnelles comme le bois. » Lire aussi :Les matériaux biosourcés : Une alternative durable aux pénuries De plus, le gouvernement prévoit la prolongation de l’octroi du Prêt garanti par l’Etat, de fin décembre 2021 à fin juin 2022. Mais aussi, du dispositif des avances remboursables et de prêts à taux bonifiés (jusqu’à juin 2022) et un assouplissement de ses conditions d’octroi. L’Etat rappelle le renforcement de l’accompagnement des entreprises et les missions de conseils déployées par BPI France. Prolongation du prêt garanti par l’Etat et activité partielle Par ailleurs, les entreprises concernées peuvent demander auprès de leur service gestionnaire, des facilités de paiement. L’activité partielle est de nouveau mise sur la table. « J’invite toutes les entreprises, dont l’activité est ralentie par les tensions sur les approvisionnements à se tourner vers l’activité partielle de longue durée. Cela permet d’en bénéficier avec un reste à charge de 15 %. Près de 14 000 entreprises ont, d’ores et déjà, conclu des accords de ce type. Protégeant ainsi plus de 1,3 M de salariés. Ce dispositif permet aux entreprises de faire face à une baisse conjoncturelle de leur activité pendant deux ans, tout en conservant leurs salariés », déclare Elisabeth Borne. Lire aussi :Economie : Quand la reprise se heurte à la crise des matières premières Et Agnès Pannier-Runacher, de conclure : « Les tensions qui affectent l’industrie démontrent l’importance du travail que nous menons main dans la main avec France industrie, depuis le début de l’année 2021. Et avec aussi l’ensemble des filières industrielles. Leurs remontées de terrain sont primordiales pour détecter les signaux faibles et répondre à chaque situation. Ce travail collectif s’est matérialisé par des cellules de crise par type d’approvisionnement. Aux côtés des industriels, l’Etat a activé tous les leviers à sa disposition pour fluidifier la circulation des biens. Dans le prolongement de ces travaux, nous adaptons les mesures d’accompagnement pour protéger l’emploi et répondre aux difficultés de trésorerie des entreprises. »
Il y a 3 ans et 138 jours

Unicem : Un espoir dans la crise

« Il y a un rebond dans le logement individuel, mais le collectif pâtit de tensions », explique l’Unicem. [©ACPresse] Le secteur de la construction reprend du service. Ainsi, Alain Boisselon, président de l’Unicem, et Carole Deneuve, responsable du service économique, viennent de dresser le bilan de 2021 et les prévisions pour 2022. Après une année 2020 « atypique », 2021 le fut tout autant. « Nous sommes dans une situation consensuelle, avec une tendance positive, détaille Carole Deneuve. De manière générale, nos activités ont progressé de + 1 % par rapport à 2019. Il y a un effet post-crise sanitaire, mais pas que. La conjoncture est bien orientée. » Fin décembre, la production de granulats devrait augmenter de + 12,3 % (soit 360 Mt en global) par rapport à l’année passée. De même pour le BPE qui enregistre une hausse de + 13 ,1 % (40,7 Mm3 attendus sur l’année). Et malgré les tensions et les pénuries sur les matières premières, la profession semble avoir assuré les chaînes d’approvisionnement de ses clients sur les chantiers. Lire aussi :Unicem Campus : le nouveau nom du CFA Unicem « Il y a du caillou et du BPE partout, explique Alain Boisselon. Ils sont comme les tireuses à bières… Ils ne s’arrêtent jamais ! L’Unicem se bat pour conserver son maillage de proximité, en prônant une exploitation rationnelle et respectueuse de l’environnement. La France a un besoin structurel d’infrastructures et de logements, nous devons y répondre. » Mais si les permis de construire sont à la hausse, l’Unicem reste prudente. « Il y a un rebond dans le logement individuel, mais le collectif pâtit de tensions, reprend Carole Deneuve. Le non résidentiel est à la traîne et les travaux publics sont en train de se réveiller. Toutefois, nous sommes loin de retrouver une activité d’avant-crise. » Le BTP : Une année en demi-teinte De plus, les professionnels du BTP sont soumis aux tensions actuelles liées aux difficultés de recrutement et aux hausses des coûts de production. Cependant, grâce aux projets du Plan de relance, aux appels d’offres des municipalités ou encore au maintien de l’activité dans le logement, l’année 2022 reste synonyme d’espoir. « En production, le BPE et le granulat devraient être proches de 2021, poursuit Alain Boisselon. Nous avons compris que 2022 serait l’année de la stabilisation. Cela va nous permettre de nous concentrer sur d’autres sujets. » Lire aussi : L’Unicem Entreprises Engagées se mobilise pour la RSE En effet, l’Unicem met en avant des défis majeurs à venir : la Rep, la RE 2020, l’emploi et le label RSE sectoriel. « Nous avons pour objectif le recyclage de 90 % de nos matériaux, en 2028. C’est bien, mais insuffisant pour répondre aux futurs besoins de la construction. Les matériaux recyclés ne subviendront qu’à 30 % des nouveaux besoins à venir. Il y aura alors deux sources : les matériaux secondaires et les primaires. » Enfin, pour l’Unicem, le recrutement est un sujet très important. « Nous voulons attirer les jeunes talents et les femmes… »
Il y a 3 ans et 138 jours

A Strasbourg, Rabot Dutilleul rénove la cité administrative

CONTRAT. Rabot Dutilleul Construction a débuté un vaste chantier mêlant réhabilitation de bâtiments historiques en site occupé et la réalisation deux immeubles neufs pour accueillir des agents des services de l'Etat dans la métropole strasbourgeoise.
Il y a 3 ans et 138 jours

Les accidents graves dans le collimateur du nouveau plan Santé au travail

La feuille de route « santé au travail » du gouvernement pour les quatre prochaines années fait de la lutte contre les accidents graves et mortels un axe prioritaire et transversal. Dans sa ligne de mire, le risque de chutes et le risque routier.
Il y a 3 ans et 138 jours

Xella étoffe son équipe commerciale

Dominique Granseigne, nouveau directeur commercial et marketing du marché français et espagnol de Xella. [©Xella] Dans l’objectif de répondre à la demande en béton cellulaire, Xella a étoffé, depuis plusieurs mois, ses équipes commerciales. Ainsi, l’industriel a nommé Dominique Granseigne au poste de directeur commercial et marketing. Il sera en charge des marchés français et espagnol, mais aussi du développement des produits. Arrivé en 2019 au sein de Xella, Dominique Granseigne était auparavant directeur commercial France. Il a eu la charge de fusionner les forces de ventes de Ytong et de Cellumat. En 2020, il prend la direction commerciale du marché espagnol, tout en gardant son poste précédent. Aujourd’hui, Dominique Granseigne élargit ses prérogatives, en prenant la direction marketing sous son aile. De plus, il sera en charge du développement des produits des marques : Hebel, Multipor, Siporex, Silka et Ytong.  Son parcours Dominique Granseigne est diplômé de la Néoma Business School, en 1995. Et d’un certificat en direction marketing et commerciale d’HEC, en 2013. Il débute sa carrière dans le monde de l’électroportatif en tant que commercial chez Hilti puis Bosch et enfin, Metabo. En 2006, il intègre Isoroy, spécialiste de la maison ossature bois, en tant que chef de ventes France. Il évoluera dans cette entreprise et en deviendra directeur régional Sud. Après 8 ans chez Isoroy, Dominique Granseigne prend la direction régionale Ile-de-France de Geoxia. En parallèle, il est élu président de Domexpo, association qui regroupe les constructeurs de maisons individuelles autour de villages Expo. 
Il y a 3 ans et 138 jours

Encadrement des loyers : les députés donnent plus de poids aux collectivités

IMMOBILIER. L'encadrement des loyers pourraient bientôt être supervisé par les communes et non plus seulement par l'État. Une mesure proposée dans le cadre de la loi 3DS qui enthousiasme déjà certains élus parisiens.
Il y a 3 ans et 138 jours

Grand Prix de l'urbanisme : l'AUC ou "l'intelligence des situations"

CÉRÉMONIE. Le Grand Prix de l'urbanisme a été remis, le 15 décembre, par la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, à Caroline Poulin, Djamel Klouche et François Decoster, de l'agence AUC, qu'ils ont fondée en 1996.
Il y a 3 ans et 138 jours

A Avignon, un parc relais en superstructure monté en 6 mois grâce à la préfabrication

CHANTIER EN IMAGES. Alors qu'Avignon déploie ses lignes de tramways et oriente les automobilistes vers des mobilités douces, la ville lance des chantiers de parkings relais. Après une première infrastructure, une deuxième en superstructure est en train de voir le jour dans le quartier de Saint-Chamand.
Il y a 3 ans et 138 jours

L'Anah veut distribuer 685.000 MaPrimeRénov' en 2022

RÉNOVATION ENERGETIQUE. L'Agence nationale de l'habitat (Anah) verra ses moyens et ses objectifs en matière de rénovation du parc privé augmentés en 2022.
GDA
Il y a 3 ans et 138 jours

Les députés offrent aux collectivités le pouvoir de sanction pour faire respecter l'encadrement des loyers

Dans le cadre de l'examen du projet de loi dit "3DS" relatif à la décentralisation et à la différenciation, l'Assemblée a voté mardi soir des amendements de la majorité pour déléguer ce pouvoir de sanction actuellement entre les mains de l'Etat via les préfets.Il est "cohérent" que les collectivités qui se sont saisies de ce nouvel outil soient "en capacité de faire respecter elles-mêmes les règles", a appuyé la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon."Pour que ça marche, il faut qu'il puisse y avoir des sanctions" et que cela soit décidé "au plus près du terrain", a abondé le communiste Stéphane Peu qui avait défendu un amendement quasi-similaire."Pour nous, c'est une urgence capitale", a souligné la députée socialiste Lamia El Aaraje rappelant les chiffres de l'Observatoire de l'encadrement des loyers à Paris, évalués par la Fondation Abbé Pierre avec le soutien de la Ville.Ils ont révélé en novembre qu'entre 2020 et 2021, 35% des logements parisiens proposés à la location dépassaient les plafonds prévus par la loi.La compétence de sanction n'est "pas suffisamment appliquée", a poursuivi la députée parisienne.Le co-rapporteur du projet de loi 3DS Mickaël Nogal a précisé que 10 amendes administratives avaient été dressées depuis 2019 par la préfecture d'Ile-de-France, saisie de 98 dossiers."La grande majorité a été classée du fait de la conciliation" entre propriétaires et locataires via la commission départementale, a-t-il précisé.Les députés ont souligné l'importance d'un meilleur accompagnement des citoyens "pour permettre de favoriser cet accès au droit".Saluant cette nouvelle délégation de compétences, Mme El Aaraje a regretté qu'elle ne s'accompagne pas "de compensations financières" puisque si la collectivité mettra l'amende et les moyens afférents, c'est l'Etat qui en récupèrera le montant.L'amendement voté permettra de "sortir de cette situation d'impunité dans laquelle un bon tiers des propriétaires se permet de dépasser l'encadrement des loyers sans que rien ne leur arrive", a réagi auprès de l'AFP Ian Brossat, adjoint au logement de la maire PS de Paris Anne Hidalgo. Pour l'élu communiste, les dépassements représentent en moyenne "environ 200 euros par mois, c'est considérable".Se félicitant d'une "très belle avancée", M. Brossat souligne le peu d'amendes dressées. Selon lui "pour que la peur du gendarme fonctionne, il faut quand même quelques amendes".Une fois la procédure législative achevée, le maire adjoint entend faire voter "en 2022 une délibération qui permettra de récupérer cette compétence et dans la foulée de mettre en place des équipes chargées d'effectuer ces contrôles".
Il y a 3 ans et 138 jours

La génération 50-70 ans et le logement senior : des attentes fortes mais des choix tardifs et mal éclairés

Cette nouvelle étude démontre que la demande des seniors à l’égard du logement se structure autour de quatre attentes majeures : un besoin d’autonomie, une préoccupation pour la santé et le bien-être, un environnement à taille humaine ainsi que l’importance du lien social. Et si des solutions adaptées de logement existent pour les seniors, peu s’en préoccupent à temps.Stéphane Martin, Associé Conseil Immobilier, Deloitte France : « Il est frappant de constater que les attentes de deux populations qu’une génération sépare convergent en matière de logement. Comme les 20-30 ans, les 50-70 ans recherchent une dimension humaine, dans des villes de taille moyenne, et plébiscitent la mixité intergénérationnelle et sociale. Tout comme les jeunes, les seniors doivent encore trop souvent renoncer, faute d’offre, à une partie de leurs souhaits ; un défi pour les professionnels de l’immobilier. »Subis, des choix tardifs et mal éclairésL’étude révèle que le choix de logement senior est souvent précipité et mal éclairé. En moyenne, seulement quatre mois séparent la prise de décision de l’arrivée en résidence seniors. Ce chiffre s’explique par le caractère soudain des événements qui conduisent à la prise de décision (perte d’autonomie, décès du conjoint ou maladie) et par la méconnaissance de l’offre.42% des répondants estiment ne pas avoir une bonne connaissance des différentes solutions de logement à destination des seniors et des aides financières auxquelles ils peuvent avoir accès.Le rêve du maintien à domicile est confronté aux réalités du vieillissement (santé, dépendance) : seuls 12% se projettent dans une résidence seniors et 23% envisagent de déménager dans un logement plus adapté quand 62% souhaitent rester chez eux en apportant des aménagements.Une demande de logement senior qui évolue autour de quatre attentes majeuresLes seniors interrogés pour l’étude placent la question du maintien de l’autonomie comme un enjeu majeur. Ils souhaitent massivement rester dans un logement ordinaire et sans service, que ce soit le leur (62%) ou un autre logement plus adapté (23%).Ils estiment par ailleurs que la solution de logement doit répondre aux problématiques de santé et aux fragilités liées au vieillissement. La proximité avec les services de santé est ainsi un critère majeur dans le choix du logement aux côtés de celui de la proximité avec les commerces de centre-ville et celui de la proximité avec la famille. La disponibilité de services médicaux est considérée comme un critère pertinent dans le choix de résidence seniors.Les seniors interrogés plébiscitent également des environnements à taille humaine. Ils privilégient les villes petites ou moyennes mais ne souhaitent pas pour autant vivre dans un village, par peur d’être isolés et éloignés des commerces et des services médicaux. De plus, ceux qui souhaitent se tourner vers des structures de logement collectif choisissent des résidences de petite capacité.Enfin, l’importance du lien social est un enjeu majeur pour les seniors. La majorité des répondants souhaite vivre en communauté. Ils sont même plus nombreux à privilégier l’appartement en copropriété plutôt que la maison isolée. Ce critère a été renforcé par la crise Covid-19 qui a aggravé la fragilité du lien social.Des solutions de logements neufs adaptées aux besoins spécifiques des seniorsPour répondre aux enjeux du vieillissement de la société, les promoteurs immobiliers se projettent dans une offre neuve adaptée aux besoins et aspirations des seniors. Afin de satisfaire le besoin d’autonomie, les logements neufs doivent être évolutifs pour pouvoir s’accorder à tous les âges de la vie (modification de la répartition des espaces facilitée, conception de rangements accessibles à tous, installation d’équipements utiles aux seniors).Par ailleurs, pour garantir le maintien du lien social, il est essentiel que le logement senior soit situé en ville et accessible (ascenseurs, accès sans marches ni ressauts, etc.). Le maintien du lien social passe aussi par la mise à disposition d’un espace commun afin d’organiser la vie sociale de la résidence ou de la copropriété. Les structures proposant mixité et échanges entre les générations sont également envisagées comme un levier pour maintenir le lien social, et garantir un modèle économique viable. A ce titre, 55% des seniors interrogés sont favorables à une formule de logement intergénérationnel.Pascal Boulanger, président de la FPI : « Les promoteurs immobiliers se saisissent de l’enjeu lié au vieillissement de la population française. Ils pensent la production de logement senior à travers le prisme de la fragilité liée à l’âge. Dans cette optique, l’offre de résidences de services pour les seniors est un levier pertinent qui permet un bon compromis entre intimité et partage et entre autonomie et accompagnement. »
Il y a 3 ans et 138 jours

Agréments de logements sociaux : les OPH dénoncent "un protocole pour rien"

PRODUCTION. A mi-chemin du "défi" lancé par Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, pour la production, en deux ans, de 250.000 HLM, les offices publics de l'habitat, qui n'ont pas signé le protocole d'accord le mettant en oeuvre, font le constat que le secteur est loin du compte.
Il y a 3 ans et 138 jours

Top 1000 : les entreprises à l'épreuve du Covid

Marquée par des semaines d'inactivité sur les chantiers, l'année 2020 se révèle contrastée dans les bilans des plus grandes entreprises du BTP français. Si beaucoup affichent un chiffre d'affaires en baisse, d'autres surperforment.
Il y a 3 ans et 138 jours

"1 minute, 1 marque" : 10 industriels font le point sur Artibat

"1 MINUTE 1 MARQUE". À l'occasion d'Artibat, 10 industriels de premier plan se sont livrés devant les caméras de Batiactu. Quels mots les définissent ? Quelle évolution majeure a impacté leur domaine d'activité ces dernières années ? À quels enjeux et défis se préparent-ils pour l'avenir ? Découvrez le teaser de la série "1 minute, 1 marque", proposé par Batiactu.
Il y a 3 ans et 138 jours

Wilo-Rexa Norm, un nouveau record d’économie énergétique pour les eaux usées

La Wilo-Rexa NORM-M25.61 se compose d’un système hydraulique adaptée pour eau chargée, d’un accouplement, d’un moteur normalisé et d’un socle. Elle dispose de caractéristiques très intéressantes tels que son rendement élevé, son excellent NPSH et une maintenabilité facilité. Elle étend le tableau de performance de la série Wilo-Rexa NORM, pour répondre à la demande croissante de pompes dans les stations d’épuration. Faible consommation d’énergieAvec un rendement hydraulique allant jusqu’à 80 % et un moteur de classe d’efficacité IE3 en standard (IE4 en option pour la Wilo-Rexa NORM M30.41), la pompe pour eaux usées Wilo-Rexa NORM-M25.61 affiche la plus faible consommation d’énergie de sa gamme.Fonctionnement en douceur et faible cavitationGrâce au nouveau système de roue bi canal et les faibles valeurs NPSH sur toute la courbe hydraulique, la Wilo-Rexa NORM-M25.61 offre un fonctionnement particulièrement silencieux.Utilisation de moteurs normalisésSeuls des moteurs standards IEC sont utilisés dans cette série : ce sont des moteurs faciles à entretenir et faciles à remplacer. Il n’est pas nécessaire d’utiliser un circuit de refroidissement supplémentaire qui peut s’avérer coûteux.Remplacement facile de la roueGrâce à la conception hydraulique, la roue est directement accessible sans nécessité de retirer le palier de pompe de la volute, ni de la désolidariser de sa tuyauterie. En outre, grâce à l’accouplement démontable de sériel, le moteur peut également rester monté sur le socle lors du remplacement de la roue.
Il y a 3 ans et 138 jours

Les patrons de TPE-PME sont plutôt bien sensibilisés aux risques financiers

ÉCONOMIE. Les connaissances et bonnes pratiques des dirigeants de petites entreprises en matière d'économie et de finances sont plutôt solides, selon une enquête inédite menée par la Banque de France et l'institut CSA. La pédagogie dans ce domaine doit néanmoins être accentuée.
Il y a 3 ans et 138 jours

Nouvelle identité de marque pour le Cinov

Le Cinov dévoile sa nouvelle identité de marque et son nouveau positionnement. [©Cinov] Le Cinov a dévoilé à ses adhérents et partenaires sa nouvelle identité de marque. Comme la majorité des syndicats ou associations, l’organisme se mobilise pour apporter des réponses immédiates à ses adhérents. Cependant, la fédération s’engage aussi à les accompagner dans l’évolution de leurs métiers. Lire aussi : La fédération Cinov lance la 1re édition des “Talentes” Ainsi, dès janvier 2022, elle souhaite renforcer les échanges entre les acteurs de la prestation de services intellectuels, de l’ingénierie ou du numérique. « Face à une société en pleine mutation, nos adhérents doivent se fédérer et être accompagnés, déclare Frédéric Lafarge, président de la fédération Cinov. Cela, afin de penser et de mettre en œuvre les transitions à venir. » Une nouvelle identité numérique Le nouveau positionnement de Cinov se caractérisera par la création d’un espace numérique de génération d’idées. Celui-ci sera ouvert à l’ensemble des professionnels de la branche, adhérents et non-adhérents. Une fois enregistrés, ces derniers pourront rejoindre des groupes de réflexion animés par l’un des 13 syndicats Cinov. Cette plate-forme permettra d’accéder à des contenus d’inspiration, de suivre les travaux en cours et de les commenter. De plus, la fédération sillonnera les régions de France, afin de présenter l’outil à l’ensemble de l’éco-système du Cinov.
Il y a 3 ans et 138 jours

Argenteuil : le point sur l’avancement de la construction du groupe scolaire des Augustins

Les travaux de gros œuvre du groupe scolaire des Augustins devraient être terminés avant les fêtes de fin d’année.
Il y a 3 ans et 138 jours

Bédarieux : le chantier de la place Pasteur va bientôt s’achever

À Bédarieux, la place Pasteur fait l’objet d’un chantier de rénovation. Les travaux devraient être achevés d’ici la fin de l’année.
Il y a 3 ans et 138 jours

La RSE au cœur des entreprises : entre déclarations d’intentions et réel engagement

Alors que la tenue de la COP26 pointe l’urgence de formuler, pour une majorité de pays, des engagements collectifs et durables, les entreprises doivent également montrer davantage d’implication, grâce à l’intégration de la RSE notamment. Et même si son impact positif sur l’activité est aujourd’hui démontré, toutes les directions n’ont pas encore de réelles stratégies pour l’inscrire durablement à leur fonctionnement et peinent à concrétiser leurs intentions en la matière.Sa pertinence ? Un débat qui n’a plus lieu d’êtreIl devient difficile voire impossible d’ignorer la RSE pour les entreprises. Plébiscitée par les collaborateurs, ceux-ci seraient prêts, pour 70% d’entre eux, à s’impliquer davantage dans une politique RSE selon le baromètre « entreprise responsable » d’Ekodev, réalisé en 2020. Une tendance que l’on retrouve également chez les consommateurs qui sont aujourd’hui plus soucieux des valeurs et engagements portés par les marques.Les entreprises qui ont pris ce sujet au sérieux peuvent en témoigner, la RSE n’est pas un frein à leurs activités, bien au contraire. Dans le cadre d’une étude menée par Forrester Research en août 2021 et évaluant les différentes approches des entreprises en matière de RSE, près de 69% des décideurs interrogés ayant engagé des initiatives en ce sens ont en effet constaté une hausse de leur chiffre d’affaires. Parmi les priorités des politiques RSE, le développement durable arrive en tête (33%) suivi de près par les priorités sociales et éthiques. Au-delà des retombées positives sur l’activité, les entreprises peuvent aussi bénéficier de la popularité de ces thèmes pour améliorer leur image de marque auprès de leurs équipes comme de leurs partenaires et clients.La difficulté des Achats à prendre le virage RSEBien que les entreprises semblent accorder une grande importance à ces enjeux, beaucoup ne disposent pas encore de stratégie bien définie et notamment vis-à-vis de la performance RSE des fournisseurs et de leur chaîne d’approvisionnement. Dans les faits, plus de la moitié (58%) des directions Achats européennes n’insèrent jamais, ou rarement, des pratiques de travail responsables dans leurs contrats ou leurs accords selon une étude réalisée en 2021 par Coleman Parkes Research auprès de 300 fournisseurs situés en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Suisse. Cette incapacité à évaluer efficacement les initiatives RSE des fournisseurs privent les directions Achats de données utiles à l’évolution des politiques RSE mais également à la résilience de l’entreprise en cas de mouvements brutaux sur le marché.En conséquence, près de 4 décideurs sur 10 considèrent que leur entreprise est réellement efficiente pour atteindre ses objectifs prioritaires en matière de RSE révèle l’étude de Forrester Research. Un constat qui n’est pas forcément dû à un manque de ressources, de compétences ou même de technologies. L’un des principaux points de blocage vient de la difficulté à mettre en place des processus de collaboration efficaces avec les fournisseurs. Dans ce contexte, les Achats ne peuvent avancer dans le bon sens et déployer une stratégie RSE pérenne sans un sponsoring fort de la direction générale.Des bonnes intentions à leur application, le défi des entreprisesSi chaque entreprise suit son propre rythme en matière d’intégration des politiques RSE, il est aussi judicieux de cibler dès maintenant les éléments à améliorer pour favoriser l’acceptation et la faisabilité de ce type de stratégie. Et cela commence par donner aux fournisseurs les moyens de concrétiser leurs initiatives RSE. En leur fixant des exigences, les achats doivent aussi leur accorder davantage de flexibilité pour y répondre efficacement. C’est en procédant de cette manière qu’il est possible d’améliorer la collaboration entre les acteurs de la chaîne d’approvisionnement. Les entreprises auraient tout intérêt à poursuivre en ce sens en digitalisant ces processus de collaboration qui, à long terme, offriront une plus grande visibilité de la chaîne logistique permettant aux achats d’améliorer la planification, l’exécution des engagements et d’autres postes stratégiques.On le comprend, la direction générale, en lien avec les achats, ne pourra se passer d’une collaboration digitale efficace avec les fournisseurs. Il y a urgence à améliorer cette relation si on veut inclure davantage d’objectifs RSE au sein des achats. Le processus de digitalisation sera autant utile aux enjeux business que pour maintenir un certain niveau d’engagement chez les fournisseurs. Une meilleure communication sera profitable à la transition progressive de la filière logistique vers des pratiques plus éthiques. Et en ce sens, il faudra faire preuve de fermeté envers les fournisseurs qui ne prendraient pas cette direction. Pourquoi ne pas établir alors un niveau d’engagement minimum lors de la sélection de ces derniers ? Ceux ayant adopté cette posture ont déjà fait un choix fort, celui de privilégier un environnement de travail éthique et responsable sur le long terme.Tribune de David Khuat-Duy, Fondateur et PDG d'Ivalua (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 138 jours

Au cœur du processus - Livre

« L'exigence de l'écriture oblige à approfondir, comme enseigner oblige à apprendre », écrit Jean-Pierre Durand dans l'avant-propos de son dernier ouvrage ; il s'y appuie sur les fondements de l'architecture pour décrire les concepts qui entrent en jeu dans la démarche du projet.  Plutôt qu'une approche […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 138 jours

Solaire hybride : Dualsun triple sa capacité de production

Née en 2014, Dualsun vient d’investir 850 k€ pour porter sa capacité de production à 30 000 panneaux par an. La start-up pousse les murs, recrute et prépare une nouvelle levée de fonds alors qu’elle vient de vivre sa première année de rentabilité. Disponible en distribution, l’offre est boostée par une application aussi précieuse aux yeux du fabricant que son capteur hybride.
Il y a 3 ans et 138 jours

Gustave, la première école gratuite de l'artisanat avec un emploi à la clef

Trois ans après le lancement de l'école Rocket School, qui a formé plus de 1000 talents au commerce high-tech, le groupe Rocket Education se lance dans le secteur du bâtiment avec l'école Gustave. C’est une école gratuite et ouverte à tous, destinée à former les apprentis artisans, ceux qui vont construire le monde de demain. L’école prépare au métier de plombier et d’électricien. A travers cette nouvelle école, Cyril Pierre de Geyer reproduit le modèle éprouvé de Rocket School. Elle recrute les talents de demain sur leur tempérament et les forme aux métiers en tension du bâtiment pour en faire des actifs heureux !Une formation intensive avec une promesse d’embauche dès l’arrivée des étudiantsLes formations aux métiers de plombiers et d’électriciens proposées à l’école Gustave sont courtes et efficaces. Les 1ers apprenants, hommes et femmes, venus de tous horizons et âgés de 20 à 50 ans y sont entrés le 5 juillet pour 3 mois de « bootcamp » intensif en cours, suivi de 12 mois d’alternance avec un rythme de 4 jours sur 5 en entreprise. Ce rythme leur permet d’être directement opérationnels en arrivant en entreprise. Et pour preuve, les étudiants commencent leur année avec une promesse d’embauche dès leur arrivée !L’École Gustave propose un programme permettant de préparer au titre professionnel « Installateur thermique et sanitaire » de niveau 3 enregistré au RNCP par l’arrêté du 30 décembre 2015, certification délivrée par le Ministère du Travail.Selon Cyril Pierre de Geyer, CEO du groupe : Sur la région élargie de Paris, Pôle emploi a recensé 4.200 projets de recrutements de plombiers chauffagistes et on ne compte pas les besoins dans les métiers du BTP ! Il y a une grande opportunité pour ceux qui veulent s’en donner les moyens or il n’existe aucune école diplômante qui recrute sur la personnalité et qui enseigne à la fois le métier et des bases de référent numérique, c’est pourquoi nous avons voulu créer cette école. »Soutenir l'emploi partout où les entreprises peinent à recruterL'objectif de l’école Gustave ? Former 1000 apprenants toujours en recrutant sur la personnalité des candidats pour maximiser les chances de réussite.Ce nouveau projet a été lancé par Cyril Pierre de Geyer, CEO de Rocket Education, professeur affilié à HEC Paris, ancien directeur général adjoint d’Epitech, créateur directeur des Executive MBA du groupe IONIS. C’est un nouveau challenge relevé, toujours dans le but de former des personnes dans des métiers en tension et qui correspondent à la personnalité des apprenants afin qu’ils puissent s’épanouir dans leur métier. Cette fois-ci, l’idée est de mettre en avant les métiers de l’artisanat. Pour l’heure, près de 100.000 offres d'emploi peinent à recruter.Selon Marie Blaise, Co-fondatrice et Directrice de l’école : « Les métiers bâtiment sont souvent mal connus et parfois dénigrés en France. Or dans certains pays comme l'Australie, par exemple, ce sont des métiers très valorisés. Nous avons à cœur de participer avec les autres acteurs du secteur à mettre en avant l'énorme potentiel de ces métiers et former les entrepreneurs de demain.»A propos de l’école GustaveL’école Gustave a été co-fondée par Cyril Pierre de Geyer, professeur affilié à HEC Paris, ancien directeur général adjoint d’Epitech, créateur directeur des Executive MBA du groupe IONIS, entrepreneur et business angel. Il s’est entouré de Marie Blaise, de Jérémy Diavet et du groupe Fondatio, une équipe d’experts pédagogues innovants. L’école Gustave prépare à des diplômes de niveau 3 enregistré au RNCP par l’arrêté du 30 décembre 2015, certification délivrée par le Ministère du Travail.Pour candidater et pour plus d’informations : https://ecole-gustave.com/
Il y a 3 ans et 138 jours

Patrice Fabre : Le joaillier du béton

Portrait de Patrice Fabre, joaillier qui allie l’or, l’argent et le béton. [©ACPresse] « Comme joaillier, j’ai toujours été un peu rock’n’roll, j’ai toujours été à part. J’aime ce qui est original et décalé. L’idée d’utiliser le béton pour créer des bijoux m’est venue à l’occasion d’un séminaire pour définir les tendances. Notre recherche portait sur les nouveaux matériaux. Je regardais un mur en face de moi et “eurêka”, je me suis dit : “pourquoi ne pas utiliser le béton ?” Cela m’est apparu comme une évidence. Mélanger du béton, de l’or et des diamants, c’était vraiment inédit ! J’ai imaginé créer un bijou comme on construit un mur en béton armé, en coulant du béton autour d’une armature métallique », explique le joaillier Patrice Fabre. « L’idée d’utiliser le béton pour créer des bijoux m’est venue à l’occasion d’un séminaire pour définir les tendances. » [©ACPresse]« Mélanger du béton, de l’or et des diamants, c’était vraiment inédit » [©ACPresse]« En 1986, j’ai lancé les premières pièces de ma ligne or et béton. » [©ACPresse] Et de poursuivre :« En 1986, j’ai lancé les premières pièces de ma ligne or et béton. Une gamme que je continue aujourd’hui encore de suivre et de développer ». A cette époque, bétons cirés et autres bétons décoratifs n’étaient pas encore à la mode. Peu importe, il se lance. « C’est comme si j’avais fait un “enfant” qui vit à mes côtés. Il y a toujours des gens qui veulent cette collection, qui veulent faire réparer leur bague ou qui la découvrent avec bonheur. Cette ligne est toujours en relation avec moi depuis tout ce temps… ».  Galerie Psyché – 18 rue du Pont Louis Philippe – 75004 Paris Lire Béton[s] le Magazine n°22.
Il y a 3 ans et 138 jours

Construction du nouveau siège de Lamotte à Saint-Jacques-de-la-Lande

Le nouveau siège social du groupe Lamotte est en cours de construction. Il devrait être opérationnel en 2023.
Il y a 3 ans et 138 jours

Châtel-Guyon : un nouvel espace de loisirs aux Grosliers

À Châtel-Guyon, le nouvel espace de loisirs comprend une aire de jeux pour enfants et un terrain de pétanque.
Il y a 3 ans et 138 jours

80.000 euros d'amende à Grigny en 2021 pour fraude au permis de louer

80.000 euros, d'amendes ont été infligées en 2021 à Grigny (Essonne) à des personnes n'ayant pas respecté le permis de louer, un dispositif destiné à lutter contre la location de logements insalubres
Il y a 3 ans et 138 jours

Loire-Atlantique : restauration de l’écluse de Vertou et de la chaussée des Moines

Les travaux de restauration de l’écluse de Vertou et de la chaussée des Moines se poursuivront jusqu’en juillet prochain.
Il y a 3 ans et 138 jours

Pour verdir la France, il faut penser à la chaleur renouvelable, appelle la filière

Il faut s'attaquer au chauffage, "car c'est là qu'est le CO2 ! Et donc, en privilégiant le bois, la géothermie, le solaire thermique et la valorisation des déchets... selon les acteurs de la filière.
Il y a 3 ans et 138 jours

Eurovia en grève en Bretagne et Pays de la Loire

Plusieurs dizaines de salariés d'Eurovia, filiale de Vinci construction, ont fait grève à l'appel de la CGT, en Bretagne et Pays de la Loire, pour réclamer des hausses de salaires.
Il y a 3 ans et 138 jours

Les victimes de l'amiante dans le dossier de l'industriel Eternit, espèrent obtenir un procès

"C'est peut-être la seule chance pour qu'on ait un jour un procès de l'amiante en France (...) un quart de siècle après les premières plaintes" déposées en 1996, a souligné François Desriaux, dirigeant de l'Andeva, lors d'une conférence de presse en ligne.La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris examine mercredi l'appel de l'association contre le non-lieu rendu dans ce dossier en juillet 2019 par des juges d'instruction du pôle santé publique du tribunal judiciaire de Paris.La décision sera mise en délibéré: les magistrats peuvent soit confirmer le non-lieu, soit renvoyer le dossier à l'instruction, soit décider "un renvoi direct des personnes mises en examen devant le tribunal correctionnel", a résumé l'un des avocats de l'Andeva, Me François Lafforgue.Dans le dossier Eternit, premier producteur français d'amiante-ciment jusqu'à l'interdiction de la fibre en 1997, trois anciens responsables ou dirigeants ainsi que la société ont été mis en examen pour homicides et blessures involontaires.Après plus de deux décennies d'investigations, la vingtaine de dossiers de l'amiante instruits à Paris se concluent depuis deux ans par des non-lieux.Ces décisions s'appuient sur une expertise judiciaire de février 2017, selon laquelle il serait impossible de déduire avec précision le moment de l'exposition des salariés à cette fibre cancérogène et celui de leur contamination, et par conséquent d'établir les responsabilités pénales de tel ou tel dirigeant.En janvier dernier, la cour d'appel de Paris a pris le contrepied de cette analyse, contestée par l'Andeva, en ordonnant la reprise des investigations dans le dossier de l'entreprise Everite de Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne), ravivant l'espoir des parties civiles d'obtenir un procès.La contamination à l'amiante "n'est pas un événement ponctuel, mais un processus se déroulant sur une longue période qui va entraîner la maladie et éventuellement le décès", a rappelé l'un des avocats de l'association, Me Jean-Paul Teissonnière."L'amiante est un cancérogène sans seuil, donc la période d'exposition démarre quand les salariés sont embauchés et qu'ils absorbent des fibres d'amiante", a développé M. Desriaux.La position de la cour d'appel dans le dossier Everite "nous permet d'espérer un résultat favorable, un espoir que nous étions sur le point de perdre", a ajouté Me Teissonnière.Eternit avait été l'un des premiers producteurs d'amiante visés par des plaintes d'anciens salariés.Plusieurs centaines de maladies professionnelles liées à ce matériau cancérogène ont été reconnues sur les six sites de la société, ont rappelé les organisateurs de la conférence de presse.
Il y a 3 ans et 138 jours

Des portes ouvertes à de multiples exigences

La porte coupe-feu est un dispositif incendie dit passif, mais actif sur de multiples fronts, tels la résistance à l'effraction ou le contrôle d'accès. Elle fait aussi l'objet de développements en termes de matériaux et dimensions.