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Il y a 3 ans et 149 jours

BTP Consultants continue de grandir

Les annonces se poursuivent pour le Groupe BTP Consultants. Après le rachat d’Envi’Energie Conseils, il vient d’acquérir les sociétés NEXTiim et Emovision, qui fusionnent pour devenir NEXTiim. C’est ainsi une douzaine de collaborateurs qui intègre le Groupe BTP Consultants depuis le 17 novembre.
Il y a 3 ans et 149 jours

Pas-de-Calais : Pompe, robot, mât et exosquelettes

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Le CC-4 Concrete Cobra Placer à l’œuvre sur un coulage de dalle. [©Transport Samyn] Depuis peu, l’entreprise Transport Samyn a fait l’acquisition de la K60H, une nouvelle pompe à béton automotrice Cifa de 60 m. « La pompe ne sera mise en fonction qu’en 2022. Il nous reste quelques accessoirisations à faire et la mise à nos couleurs à réaliser,explique Damien Cousin, gérant de l’entreprise. C’est un investissement d’anticipation. Nous avons eu l’opportunité. Et nous voulions élargir notre gamme et préparer la construction du futur canal Seine-Nord. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Mais Transport Samyn ne s’est pas limitée à cet investissement. Un robot et un mât de bétonnage sont venus compléter le catalogue. « Le robot nous permet d’offrir une solution pour augmenter la productivité sur chantier, en facilitant la mise en œuvre du béton. Il se place en bout de pompe, guidé par un collaborateur par radiocommande. Il évite d’avoir une personne avec un crochet qui manipule le flexible d’épandage. »De marque Royalmac, distribuée en France par ACM Equipements, ce robot n’est autre que le CC-4 Concrete Cobra Placer. Monté sur roues, il dispose d’un bras rotatif à 360° de 2,50 m de portée. De son côté, le mât de même marque est, lui, posé sur un chenillard et offre une portée de 16 m. « Pour nous, il est essentiel d’apporter à nos clients des réponses pour faciliter le quotidien des collaborateurs sur chantier. Nous leur livrons des solutions mécaniques, mais aussi des conseils de posturologie ou d’organisation. Nous travaillons, par exemple , sur le développement d’exosquelettes. »Des éléments qui sont en test, les exosquelettes étant surtout utilisés pour des tâches répétitives. Or les coulages impliquent une grande variété de mouvements…   Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 149 jours

La Réunion : Cap sur l’océan Indien

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Centrale à béton Imer BTK 1500 E sur le chantier du multiplexe de Saint-Pierre. [©Imer] C’est bien loin de sa base iséroise de Vif qu’Imer livre ses centrales à béton. A quelque 10 000 km de distance ! « Nous avons un distributeur sur le secteur de l’océan Indien, explique William Merger, directeur de la division béton d’Imer France. Il s’agit de Grue Levage Investissement ou GLI, qui assure la commercialisation des produits Potain et de nos centrales à béton. » Presque coup sur coup, trois unités de la marque italienne ont trouvé preneur. Tout d’abord, une BTK 1500 E, acquise par SBTPC (groupe Vinci), pour permettre la construction d’un multiplexe sur la commune de Saint-Pierre. « Cette centrale est 100 % électrique et fournie dans une version à rayons raclants » Lire aussi les autres actualités en région La seconde unité est identique, utilisée par GTOI (filiale locale de Colas). Elle est installée sur le chantier de construction d’un hôpital, à Bras-Panon, dans l’Est de l’île. Enfin, la troisième centrale Imer récemment livrée est une BKT 1008. Un investissement de l’entreprise de construction locale DLC, qui l’emploie, pour l’heure, à la construction de logements, sur Saint-Denis.  « Nous avons aussi acheminé une très belle centrale chez Trans Invest, une filiale Colas installée sur l’île Maurice, reprend William Merger. Le client a souhaité une BTK 1008 équipée de trémies à granulats. L’outil assure la fourniture des bétons du terminus du tram-train à Port-Louis. » Enfin, Imer est très présent à Mayotte, travaillant aussi bien avec des groupes de BTP nationaux que des entreprises locales. Une vingtaine de centrales de chantier y sont aujourd’hui en activité… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 149 jours

Seine-Maritime : Matrice et béton apparent pour un collège

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Voile matricé sur le futur collège Romain Rolland, au Havre. [©BSM] Dans le quartier d’Aplemont, au Havre, le collège Romain Rolland a été rasé pour être reconstruit à neuf, sur une superficie de 5 470 m2. Commencé en début d’année, le chantier s’étirera jusqu’en février 2023. Elément distinctif des lieux, des voiles texturés conçus par le cabinet d’architecte CBA et dont l’Allemand Noe a produit les matrices. Celles-ci répètent une forme géométrique précise et sont réutilisables cinq à six fois. Quant au béton nécessaire à la réalisation, il est sorti de la nouvelle centrale d’Axe Seine Béton. « Notre travail consistait à proposer un béton permettant de respecter cette matrice,explique Marc Perdereau, directeur général de la filiale de Béton Solutions Mobiles. Nous avons mis au point une formule qui se rapproche d’un Bap, même si ce béton a été vibré sur chantier. C’est une recette que nous maîtrisons au sein du groupe, mais que nous avons dû adapter aux granulats, dont disposait la centrale du Havre. » Lire aussi les autres actualités en région Pour ce faire, Axe Seine Béton a d’abord réalisé des tests en laboratoire, avant d’utiliser une matrice pour des essais en grandeur réelle. Des essais concluants dès la première tentative, même si, in fine, trois voiles tests ont été coulés.  « Au total, nous aurons produit 3 500 m3de béton, en comptant ceux destinés aux fondations. Le tout mis en œuvre par l’entreprise Gagneraud », reprend Marc Perdereau. Et de conclure : « C’est un chantier que nous avons préparé longtemps en amont, ce qui nous a permis d’avoir une formule adaptée et des plannings de coulage sans surprise ». Pour ce qui est du béton, il est laissé apparent et sera lasuré dans une teinte marron mat.   Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 149 jours

Sarthe : Girpav ouvre une nouvelle usine près du Mans

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine La dernière-née des usines Girpav est entrée en service sur la commune de Maresché. [©Méhat Girpav] Depuis plus de 75 ans, Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Au programme, plaques de soubassement en béton pour clôtures métalliques, composite, aluminium, clôtures traditionnelles et décoratives en béton, produits de sol en pierre reconstituée : pavés, dalles, bordures et caniveaux. L’ensemble est commercialisé sous les marques Girpav, Méhat et Clôtures Nicolas.  Pour renforcer son outil de production, l’industriel vient de mettre en service une toute nouvelle usine de préfabrication à Maresché, commune située à environ 25 km au Nord du Mans. Il bénéficie ainsi d’un emplacement stratégique, en plus du soutien de la Région Pays de la Loire. Lire aussi les autres actualités en région Complétant les usines déjà implantées dans le Calvados, le Loiret, le Morbihan, l’Oise et les Vosges, la nouvelle unité vise à répondre aux demandes de ses clients historiques du Grand Ouest : négoces matériaux et distributeurs spécialisés. Et devrait permettre de conquérir de nouveaux clients sur tout le territoire français… Après 18 mois de travaux, l’usine de 6 500 m2 implantée sur une parcelle de 10,5 ha vient de démarrer sa production. Une vingtaine de collaborateurs travaillent actuellement sur le site (production et administratif), et quelques embauches sont prévues dans les mois à venir… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 149 jours

Rhône : BML se met au vert

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Les bétons BML Green sont proposés à partir de la plupart des centrales du groupe de BPE lyonnais éponyme. [©BML] A la tête de 24 centrales, Bétons des Monts du Lyonnais (BML) est le premier acteur indépendant du BPE de la région Auvergne – Rhône-Alpes. Et, à ce titre, se doit de se montrer exemplaire. Ainsi, la terminologie “bas carbone” n’est pas qu’une simple expression… « Nous travaillons de longue date avec le laitier Ecocem pour formuler nos bétons »,explique Alexandre Bellier, responsable qualité de l’entreprise. Le matériau est utilisé en addition. La concentration à 30 % donne naissance au béton à empreinte carbone réduite BML Green. A 50 %, on passe au BML Green +, un béton d’ingénierie comme le définit la norme NF EN 206/CN. « Ces deux formulations constituent l’essentiel des demandes en matière de bétons bas carbone. » Enfin, le BML Green Premium est le haut de gamme de l’offre. Là, l’industriel propose une approche performantielle, donc une formulation sur mesure avec un dosage en laitier oscillant entre 55 et 60 %. Côté ciments, BML fait appel à quelque trois fournisseurs et utilise en majorité des CEM I et CEM II comme base de ses formulations.  Lire aussi les autres actualités en région « L’attente “bas carbone” émane des grandes villes, de Lyon pour ce qui nous concerne. A quoi s’ajoutent des demandes plus ponctuelles en Savoie », reprend Alexandre Bellier. De fait, l’offre BML Green n’est pas disponible partout, mais au niveau des unités plus urbaines. Toutefois, l’industriel saura proposer ces bétons sur chaque centrale, si la demande est là. « Nous allons vers des métiers de plus en plus techniques. Aussi, nous nous devons d’accompagner nos clients sur leurs chantiers. » Ceci, en suivant une évolution constante. « En termes de bétons et de formulations, ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera plus dans 5 ans », conclut Alexandre Bellier.  Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Cimbat
Il y a 3 ans et 149 jours

Voyage au cœur des centrales à béton

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine En 2020, selon les chiffres Evolis/Seimat, il s’est vendu 35 centrales à béton neuves sur l’ensemble du territoire national. L’année précédente, ce nombre était de 43… Quant à 2021, les choses ne se présentent pas bien du tout, avec un recul de près de 50 % des commandes sur le premier semestre. Le contrecoup de la période Covid, sans doute. En parallèle subsiste le marché de la rénovation/modernisation des outils industriels. Mais là, aucun chiffre ne permet d’évaluer son poids. Toutefois, l’important est qu’il crée des opportunités de collaborations pour les acteurs de la centrale à béton. Aujourd’hui, on en dénombre une quarantaine. Les pages qui suivent permettent de les découvrir… A2P Concept : En neuf et en rénovation A2P Concept propose aussi bien de la rénovation de centrales à béton que des projets neufs sur mesure. [©A2P Concept] Basée en Dordogne, A2P Concept est une société exerçant une double activité. D’un côté, le conseil en engineering de process. De l’autre, le développement de centrales à béton (BPE et préfabrication), mais aussi d’équipements de carrières, de gestion du recyclage des eaux et des poussières.  Dans le domaine plus particulier de la centrale, A2P Concept propose aussi bien de la rénovation d’outils existants que des projets neufs sur mesure. Ou, tout simplement, la vente de pièces détachées. « Par exemple, notre prestation de rénovation peut aller du simple remplacement de la bascule à eau à l’installation d’un bloc-malaxeur dans son ensemble », indique Alexandre Pascale, directeur général d’A2P Concept. Pour les projets neufs, l’industriel offre plusieurs solutions d’implantation de centrales : horizontale ou verticale, suivant le cahier des charges. Mais aussi, en fonction de la topographie du terrain ou des contraintes d’accès. L’ensemble, depuis l’étude jusqu’à la réception finale. Quant à la fourniture des pièces détachées, elle est, bien entendu, orientée vers la centrale à béton. Et peut intégrer une prestation de montage. Le programme est vaste, allant des simples pièces d’usure du malaxeur jusqu’aux sécurités de remplissage des silos à ciments. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 149 jours

Calvados : Un béton pour lutter contre les ajouts d’eau

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Béton de Mouen propose aujourd’hui son Béton Perf, destiné à lutter contre les ajouts d’eau sur chantier.[©Béton de Mouen] Implanté dans le Calvados, Béton de Mouen, membre du groupe GKM, commercialise, depuis le 1er septembre dernier, le Béton Perf. Un béton destiné à lutter contre les ajouts d’eau sur chantier. Ceci, en proposant une formule ultra fluide et facile à mettre en œuvre. « L’ajout d’eau sur chantier dans un BPE est interdit par la norme. Mais assez courant pour que cela nous pousse à trouver une solution, expose Paul Koener, co-gérant, avec son père, de l’entreprise familiale. Nous proposons un produit très polyvalent, boosté par sa formulation et son adjuvantation. Il est plus plastique qu’un béton S4, mais moins qu’un Bap. Tout en étant plus abordable… » Lire aussi les autres actualités en région Béton de Mouen, qui compte deux carrières, et un site de préfabrication, commercialise sa solution dans le Calvados, autour de ses centrales de Bayeux, Caen et Lisieux. « L’idée est de proposer ce béton en complément de notre gamme. Pour le moment, nous faisons “goûter” à nos clients à cette nouveauté. L’accueil est plutôt positif, puisqu’il permet une mise en œuvre plus simple, tout en gardant une forte polyvalence. D’autant qu’une version avec fibres, le Béton Perf + Strux, permet d’en élargir les possibilités d’utilisation. » Reste à obtenir un chantier référence avec cette solution inédite. « Notre objectif est de faciliter la vie des compagnons sur chantiers, pour lutter contre les mauvaises habitudes. Nous sommes confiants dans sa réussite commerciale. » Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 149 jours

Aveyron : L’Atelier Béton s’affirme

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Préfabrication d’un élément destiné au chantier du Domaine de Caillavet, à Mérignac, près de Bordeaux. [©L’Atelier Béton] L’histoire de la création de l’Atelier Béton est liée à celle de son fondateur, David Carvalheiro. « J’ai été conducteur de travaux dans la région toulousaine, pendant 10 ans. Puis, j’ai pris la direction d’une usine de préfabrication. Cela a duré un an. La période m’a permis de comprendre l’intérêt de la technique et qu’il y avait sans doute une opportunité dans l’Aveyron, dont je suis originaire. » En contact avec les avec les instances locales, l’Atelier Béton a trouvé chaussure à son pied, à Mayran. Lire aussi les autres actualités en région « Nous avons un atelier couvert de 800 m2 avec deux ponts roulants. Un atelier de menuiserie de 300 m2, quelque 100 m2 de bureaux et un parc bétonné de 6  000 m2 avec une grue à tour. Le tout avec 22 employés. » Une structure qui permet à l’Atelier Béton de produire des pièces sur mesure de 10 t au maximum. Surtout pour le marché du logement et de l’industrie, sur le quart Sud-Ouest du pays, de Nîmes à Bordeaux en passant par Perpignan et Toulouse. A l’heure actuelle, l’industriel intervient notamment sur les chantiers du Domaine de Caillavet pour Eiffage, à Mérignac ou la Zac Malepère de Toulouse pour Stibot.  Des opérations qui lui permettent de produire 4 000 m3/an  de pièces bétonnées. « Nous sommes désormais dans une phase de stabilisation. Même si nous avons acquis un terrain adjacent à notre atelier actuel. Pour progresser en parts de marché, il nous faudra investir dans de nouveaux bâtiments. Cela se fera peut-être à moyen terme. » Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 149 jours

Cérib : Kairos, l’approche proactive de la maintenance

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Le service Kairos proposé par le Cérib permet de mieux maîtriser la maintenance du patrimoine bâti.[©Cerib] Assurer la continuité de service des ouvrages, quelle qu’en soit la nature, est un enjeu majeur pour l’ensemble des gestionnaires. Afin de les aider dans cette démarche, le Centre d’études et de recherches de l’industrie du béton (Cérib) lance Kairos. Il s’agit d’une offre globale de services basée sur une approche proactive de la maintenance, tant des bâtiments que des infrastructures.« Diagnostic, prédiction et anticipation sont les trois impératifs requis pour assurer avec efficience leur gestion à long terme,explique Jonathan Mai-Nhu, responsable du département “Durabilité des ouvrages” au Cérib. Cette dernière doit donc reposer sur une démarche proactive pour anticiper leur durée de vie résiduelle. » Ainsi, Kairos permet aux gestionnaires de prolonger la durée de vie de leur patrimoine bâti, tout en anticipant et en optimisant les opérations de remise en état. « Les maîtres d’ouvrage ont bien pris conscience qu’il est essentiel de prévoir, le plus en amont possible, les opérations de réparation. Ceci, pour gagner en économie, mais aussi pour préserver, sur le long terme, l’image du bâtiment ou de l’infrastructure, dont ils ont la responsabilité. »  Une approche en trois phases successives La nouvelle offre de service du Cérib est en rupture avec les approches “réactives” traditionnelles de gestion des ouvrages. Destinée aux maîtres d’ouvrage, comme aux bureaux d’études et de contrôles, elle se base sur des opérations de réparation mieux anticipées, donc plus maîtrisées au niveau de leurs coûts. « Les équipes du Cérib peuvent intervenir directement, s’il s’agit d’ouvrages en béton, ou confier cette mission à des partenaires, pour les ouvrages mixtes, par exemple », détaille Jonathan Mai-Nhu. Sur site, Kairos débute par la phase “diagnostic”, avec une analyse visuelle de l’ouvrage et une évaluation de son environnement. S’en suit le prélèvement d’échantillons pour tests en laboratoire. Ce diagnostic a aussi pour vocation de déterminer les caractéristiques des matériaux (béton, acier, pierre…) et d’apprécier les indicateurs généraux de durabilité. La phase n° 2 est celle de la prédiction. Là, est mise en place la modélisation des phénomènes physico-chimiques à l’origine des dégradations observées. Ce qui permet de quantifier l’évolution des phénomènes dans le contexte environnemental réel de l’ouvrage. « C’est durant cette phase que le Cérib a mis en œuvre un nouvel outil, tel que S-Dream-Crete,dévoile Jonathan Mai-Nhu. Développé en partenariat avec le LMDC1de Toulouse, ce modèle numérique capable de rendre compte des mécanismes physico-chimiques considérés comme déterminants pour l’interaction de l’environnement avec l’ouvrage. Autrement dit, d’évaluer la durée de vie de celui-ci. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 149 jours

Lilian Bourgeat : Bloc béton, version XXL

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine [©Courtesy Galerie Lange + Pult] L’artiste dijonnais Lilian Bourgeat (né en 1970) met à mal le rapport d’échelle entre son œuvre Parpaing, bloc béton XXL et les spectateurs tout petits que nous sommes. Cette pièce est réalisée en polystyrène et résine polyuréthane projetée. Elle souligne ainsi le caractère inadapté de l’être humain dans un tel espace. Tout est ici hors de proportion, le spectateur face à la sculpture gigantesque de 6 m de haut apparaît minuscule. Il entre dans l’univers de Gulliver, lors de son second périple à Brobdingnag. Jonathan Swift (1667-1745), l’auteur de ce récit, situe ce lieu dans l’océan Pacifique entre le Japon et l’Amérique. Lemuel Gulliver, le héros, se retrouve alors dans la situation inverse de Lilliput, son premier voyage : tous les Brobdingnagiens sont des géants. Le spectateur est ainsi réduit à regarder l’œuvre d’en bas, dans sa globalité. Le Parpaing le submerge en totalité, mais ne l’écrase pas. Il perd sa notion courante d’objet du quotidien. L’œuvre revêt une autre fonction que celle originelle. « Je fais référence aux “Ready-made” de Marcel Ducamp dans les années 1910. Je détourne un objet, somme toute banal, pour lui donner une dimension artistique », explique l’artiste. Parpaing semble devenir lui-même une forme d’architecture, une structure d’urbanisme à part entière. De par leur taille, les alvéoles peuvent en effet évoquer des fenêtres ou des portes. « On dirait alors une unité d’habitation. » L’échelle saisit, tout comme fascine le geste de reproduction. Dans ce sur-dimensionné, l’artiste ne recherche pas vraiment l’émerveillement, mais plutôt induit le piège physique du spectateur, qui est littéralement dépassé… Un juste retour de notre position d’humain par rapport aux choses. « Ce que j’aimerais faire, c’est réalisers le Parpaing au plus près de la réalité, c’est-à-dire en béton. Je vois déjà trois ou quatre exemplaires géants, debout ou couchés. Ceux qui resteraient à la fin d’un chantier. » Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 149 jours

« Les bailleurs et les copropriétés entrent dans le plan Nature », Pierre Athanaze, vice-président du Grand Lyon

Entré en politique à 60 ans après une carrière de cadre territorial chargé de services d’espaces verts et une vie militante consacrée à la protection de la nature, Pierre Athanaze se sent chez lui au salon Paysalia, qui rassemble les professionnels du paysage du 30 novembre au 2 décembre à Lyon. Le vice-président de la métropole chargé de l’environnement y a présenté le plan Nature approuvé le 21 juin dernier par la collectivité.
Il y a 3 ans et 149 jours

Bruno Houdayer : Béton zénitude

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. Bruno Houdayer se définit comme un créateur visuel. La photographie est son medium, mais il la perçoit et la pratique dans une approche plasticienne pour « donner à découvrir une photographie en suspension, entre le figuratif et l’abstrait… ». [©Shadia Alem] A regarder de plus près ses photographies, on ne penserait jamais que Bruno Houdayer (né en 1972) puisse être, lui aussi, sujet à l’anxiété, tellement elles dégagent de sérénité et de bien-être. C’est avant tout ce qu’il veut faire passer, de la plénitude. Pour cela, à chaque prise de vue, il s’ancre dans une certaine énergie, « pour après se rapprocher du ciel ». Entre abstraction et figuratif, il se joue de nous. « Je donne à découvrir une photographie en suspension… » Mais si l’on ne connaît pas la technique de la pose longue, il est impossible de définir ce qu’il y a sur le cliché. On ne peut que contempler ses “pyramides” qui jaillissent d’un brouillard cotonneux et vaporeux. Et là, l’imagination du spectateur vagabonde : est-ce une photo aérienne ou bien une contrée d’une autre planète… ? Chaque prise de vue est l’occasion de s’interroger sur l’image, son essence, sa fonction et son message. « Transmettre énergie, sérénité et paix à ceux qui regardent les photographies, en les invitant à se poser pour se ressourcer … » Telle est la quête personnelle de l’artiste Un mode contemplatif Chaque cliché est l’occasion de s’interroger sur l’image, son essence, sa fonction et son message. [©Bruno Houdayer]S’il brouille les pistes de l’image réelle, en saturant les couleurs, en renforçant les lignes graphiques, en égarant avec des flous, c’est pour mieux partager son regard avec le public et « installer entre les images et les spectateurs une résonance vitale forte, mais apaisante ». [©Bruno Houdayer]« Cette démultiplication du temps de pose est à l’unisson avec la prise des photos à la tombée du jour ou au clair de lune. Il y a très peu de lumière, cela donne une autre ambiance qui sacralise ces monuments sortis d’un ailleurs… » [©Bruno Houdayer]Mais Bruno Houdayer sait nous transporter vers d’autres univers, d’autres esthétiques et styles photographiques. Sur des chantiers pour l’essentiel. Il aime jouer avec notre notion d’échelle sur les images. [©Bruno Houdayer] Bruno Houdayer part d’un ressenti intime qu’il veut faire partager sur un mode contemplatif. S’il brouille les pistes de l’image réelle, en saturant les couleurs, en renforçant les lignes graphiques ou en nous égarant avec des flous, c’est pour mieux « installer une résonance vitale forte, mais apaisante, entre les images et les spectateurs ».La photographie va ici de pair avec une approche plasticienne.  Le photographe ne reproduit pas uniquement ce qu’il voit, cela va plus loin. « Ce qui est fantastique dans un tableau abstrait, c’est l’ouverture de l’imaginaire et l’émotion qu’il procure à celui qui le regarde », expliquait l’artiste Mark Rothko (1903-1970), l’une de ses références en peinture. En effet, la surprise est grande en voyant le résultat. Qui pourrait dire que ce sont des brise-lames et les remous d’une mer agitée qui viennent s’y échouer ? Il s’opère une certaine magie : l’enchaînement et l’addition de chaque vague capturée sur un même cliché la font devenir volutes de brouillard. Lire aussi : Axel Dahl : Béton argentique Les brise-lames, des statuaires architecturées, texturées.« Cette démultiplication du temps de pose est à l’unisson avec la prise des photos à la tombée du jour ou au clair de lune. Il y a très peu de lumière, cela donne une autre ambiance qui sacralise ces monuments sortis d’un ailleurs… »Une ambiance que chacun peut interpréter. Zénitude où matière béton et nature fusionnent pour ne devenir plus qu’un.  Entre plans serrés et conformisme Il efface nos repères, en nous plongeant dans une écriture graphique des matières et de textures. Allongé sur les sols avec des photographies macros ou depuis le haut d’une grue avec des plans serrés de vastes étendues bétonnées. [©Bruno Houdayer]Il sculpte avec la lumière les sols et met en valeur leur texture usée, laminée, salie, boursouflée, égratignée, piétinée… Très graphiques, ces clichés, une fois de plus, surprennent le spectateur. [©Bruno Houdayer]Puis, vient la photographie de commandes. Plus traditionnelle, plus formelle, en principe. Là encore, Bruno Houdayer sait insuffler une poésie et un graphisme inattendus. [©Area Property Partners]Tout en retransmettant la réalité d’un lieu et en captant l’effervescence, les moindres détails. Une fois de plus, il anime l’image fixe… [©Area Property Partners] Mais Bruno Houdayer sait nous transporter vers d’autres univers, d’autres esthétiques et styles photographiques. Sur des chantiers pour l’essentiel. Il aime jouer avec notre notion d’échelle sur les images. Il efface nos repères, en nous plongeant dans une écriture graphique des matières et de textures. Allongé sur les sols avec des photographies macros ou depuis le haut d’une grue avec des plans serrés de détails bétonnés. Il sculpte avec la lumière les sols et met en valeur leur texture usée, laminée, salie, boursouflée, égratignée, piétinée… Très graphiques, ces clichés, une fois de plus, surprennent le spectateur. On dirait des compositions abstraites de peinture, où l’artiste aurait travaillé la matière, recouvrant le tableau de couches successives et toujours plus épaisses de peinture à l’aide d’un couteau. On a envie de toucher, de sentir les creux, les plis, les rainures… Puis, vient la photographie de commandes. Plus traditionnelle, plus formelle, en principe. Là encore, Bruno Houdayer sait insuffler une poésie et un graphisme inattendus. Tout en retransmettant la réalité d’un lieu et en captant l’effervescence, les moindres détails. Une fois de plus, il anime l’image fixe… Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 149 jours

On the road again avec le Road Show Oknoplast 2021

Le road show OKNOPLAST c’est l’occasion pour l’équipe commerciale de retrouver et rassembler tous leurs partenaires premium dans chaque région. Après cette année 2020 marquée par la crise sanitaire, il était essentiel pour OKNOPLAST de pouvoir retourner à la rencontre de ses clients. Bien évidement des temps forts avaient été organisés en version 2.0 pour s’adapter au contexte sanitaire, mais ces rencontres « en vrai » étaient attendues par tous. L’occasion également pour Romain Somet, Directeur Commercial OKNOPLAST France, de faire son baptême du feu pour sa première édition, entouré de toute son équipe commerciale.Des rencontres riches et formatricesL’OKNOLIVE TOUR 2021 en chiffres :7 dates : du 26 octobre au 18 novembre7 villes : Lille, Strasbourg, Paris, Deauville, Lyon, Bordeaux et Aix-en-Provenceplus de 4.700 km parcourusplus de 30 heures d’oration9 temps forts d’informationplus de 170 participantsAu programme de ces rencontres, Romain Somet et les membres de l’équipe commerciale sont venus présenter notamment : un bilan plus que positif sur l’actualité du Groupe OKNOPLAST, la présentation de la société espagnole Ampuero, les produits OKNOPLAST, les nouveautés, les prix obtenus notamment celui du Meilleur Design de point de vente, l’association avec le CSTB et la remise de prix à ses partenaires premium. Ces rencontres ont également permis aux clients de découvrir en exclusivité la future campagne TV Oknoplast qui aura lieux dès la fin novembre.En route pour la convention 2022 et les 10 ans d’OKNOPLASTLe prochain rendez-vous pour OKNOPLAST et ses partenaires est pris ! Le groupe a la joie de pouvoir convier tous les revendeurs premium OKNOPLAST France à l’occasion de la convention OKNOPLAST 2022. L’évènement sera spectaculaire puisque les 10 ans de la filiale France y seront célébrés. L’année 2022 sera sans nulle doute très festive pour OKNOPLAST France, ses équipes et ses partenaires !
Il y a 3 ans et 149 jours

Dossier : Pour des ouvrages bien entretenus

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Bien entretenu, un ouvrage d’art peut espérer une durée de vie très longue. [©Cérib] Pour assurer la continuité de service d’une route, la protection d’un territoire ou pour retenir la puissance de l’eau, les ouvrages d’art peuvent revêtir plusieurs fonctions. Pour ces réalisations de génie civil, l’art est invoqué comme un gage de technicité, d’ingénierie et parfois même d’esthétisme. En effet, ces ponts, barrages ou encore tunnels doivent impérativement être réalisés dans les règles de l’art. La durabilité et la sécurité sont les maîtres-mots de leur conception. Ils sont construits pour tenir dans le temps et pour résister aux différentes contraintes de leur environnement. Cependant, ces ouvrages demandent un entretien et une attention particulière. Plusieurs drames le démontrent, comme à Laval, au Québec en 2006 et le viaduc de la Concorde ou encore à Gênes, avec le pont de Morandi, en 2018. La question de l’entretien et de la rénovation de ces réalisations est donc tout aussi importante que la conception. Toutefois, si on prend le seul exemple des ponts, en France, leur nombre exact et leur état restent un mystère, alors que la circulation ne faiblit pas. Pourtant, dans le monde du béton, les techniques et solutions de rénovation et de réparation ne manquent pas. Tout comme les entreprises spécialisées dans ce domaine. Ce dossier revient sur le travail et les solutions d’acteurs qui gravitent autour de cette thématique. Sommaire du dossier : Strres : Dégradation des ponts, une histoire sans finGMH : « Il faut laisser vivre les ouvrages »Le Cérib lance le service KairosPont de Noirmoutier : Réparer et protéger pour plus de durabilité Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 149 jours

GMH : « Il faut laisser vivre les ouvrages »

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Le guide intitulé “Les bétons du patrimoine” est disponible auprès de la librairie de la FFB (SEBTP), au prix de 30 € TTC. [©GMH/ACPresse] Le GMH2 vient d’éditer le guide intitulé “Les bétons du patrimoine”, dont vous avez coordonné la rédaction. Qu’apporte c et ouvrage aux acteurs de la conservation des bétons ? Bernard Quénée : Concernant les techniques de conservation des bétons anciens, il n’existait ni textes normalisés, ni guides… Les seuls documents accessibles sont des publications et des recueils de colloques, dispersés et pas toujours simples à réunir. Dès lors que l’on parle de conservation des matériaux, on sort du cadre normatif pour entrer dans le domaine des savoir-faire d’entreprises, des retours d’expérience. L’idée est d’être le moins invasif possible et de mettre en œuvre, autant que faire se peut, des solutions réversibles. “Les bétons du patrimoine” est tout d’abord une aide à la reconnaissance des pathologies et des techniques de diagnostic associées. Il passe ensuite en revue les techniques de restauration ou de conservationexistantes dans ce domaine particulier, exemples et témoignages à l’appui. Chacun peut en tirer parti. Un maître d’ouvrage n’a pas forcément conscience de la valeurhistorique, technique ou architecturale de son patrimoine. Ce guide éveillera son intérêt, le poussera à aller consulter des archives, à découvrir ce qui se cache derrière un ouvrage d’apparence banal, en documentant les grandes avancées de la découverte des ciments et des bétons, ainsi que celles architecturales. Mieux renseignée, l’entreprise, elle, pourra sortir sans crainte de sa zone de confort, celle de la réparation “courante”… Qui est à l’initiative de cet ouvrage ? Gilles de Laâge et Frédéric Létoffé, les anciens présidents du GMH, ont lancé ce projet, il y a plus de quatre ans, en m’en confiant le pilotage. Nombre d’experts, d’organismes et d’entreprises3 y ont participé. Tout comme le Laboratoire de recherche des Monuments historiques, qui a apporté ses conseils et retours d’expérience sur la quasi-totalité des techniques évoquées. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 149 jours

Façade repensée pour immeuble restructuré

Engagée il y a deux ans, la restructuration de l’immeuble « Axe Défense » opérée par Rehagreen, l’entité spécialisée dans les restructurations d’immeubles tertiaires de Bouygues Immobilier, touche à sa fin. Le nouvel ensemble, désormais dénommé NE.ST, vient d’être livré. Après une opération de réhabilitation lourde et complète, l’immeuble, conçu par l’agence d’architecture 163 Ateliers, a vu sa surface croître de 30% pour atteindre 12 380 m². Le bâtiment s’insère dans une trame urbaine existante, tout en proposant une architecture significative porteuse d’une image identitaire. Après avoir été désamianté, le bâtiment a été enveloppé d’un bardage en aluminium anodisé et de verre émaillé. Côté cour, l’extension R+9 en forme de triangle, a été rapportée au bâtiment existant. Pour donner durythme à l’ensemble, le cabinet d’Architecture 163 Ateliers a imaginé une façade reprenant le principe descréneaux avec des cadres en aluminium posés en quinconce. Pour accentuer cette impression devibration, l’architecte a opté pour un système « inversé » où le vitrage se situe en retrait tandis que leséléments de décoration sont au premier plan. Deux autres particularités caractérisent les façades de cet immeuble : d’une part, le traitement thermique et aéraulique du bâtiment est assuré par des unités de confort individuel (UtCI) dissimulées en façade assurant à la fois le renouvellement de l’air sans réseau de gaine, la récupération d’énergie thermique, le chauffage et le rafraichissement du bâtiment. D’autre part, des brise-soleil orientables (BSO) en lame d’aluminium sont gérés automatiquement par la GTB du bâtiment. Dans ce contexte et compte tenu de l’exiguïté du site, les équipes du poseur et WICONA ont recommandé le recours à une façade cadre, pré-montée en atelier. Cette dernière a fait l’objet d’une création spéciale. Chaque bloc étant constitué de trois éléments : un panneau vitré fixe ou un ouvrant WICLINE 65 de WICONA avecintégration d’un BSO en imposte et du système de ventilation UtCI en allège. Cette façade côté cour compte au total 530 blocs, de 3 350 mm de large par 3 000 mm de haut, dont lamoitié avec des ouvrants WICLINE 65 de WICONA. Sur l’extension en triangle, la pose a été effectuée entredalles poteaux en R+ 9. Sur le bâtiment existant de forme arrondie, en R+8, la façade cadre a été posée à l’extérieur dans un voile percé. L’extension repose sur un socle au rez-de-chaussée et en R+1 constitué de façades WICTEC 60 WICONA qui enlacent le bâtiment, se prolongent sous le porche. Ces systèmes de façades ont également été mis en oeuvre sur un autre espace symbolique du programme : la surélévation en attique. En effet, les niveaux R+9, R+10 et R+11, en charpente métallique reliés avec un bardage métallique, ont été ajoutés au bâtiment initial. Ils s’ouvrent pleinement sur l’extérieur grâce au système de façade WICTEC 60 avec des éléments vitrésde 2,5 m de haut par 2 m de large. Maître d’ouvrage : Rehagreen Architecte : cabinet d’Architectures 163Ateliers Entreprise : AZA Photo : Franck Deletang  
Il y a 3 ans et 149 jours

Radicalité massive : en Suisse, Perraudin et Archiplein livrent des logements en pierre

Edouard Cailliau et Thomas Lecourt sont diplômés de l'ENSAP de Lille, respectivement en 2011 et 2010. Avant de fonder leur agence en 2017, Edouard Cailliau et Thomas Lecourt ont travaillé pendant dix ans dans des agences lilloises telles Face B, Plaatform, ou Beal & Blanckaert. Ils ont choisi d'appeler leur structure Rijsel (Lille, en flamand) pour évoquer […] Lire l'article
GDA
Il y a 3 ans et 150 jours

TERREAL récompense sept professionnels de la couverture

La 11ème cérémonie du « concours terroirs » organisé par Terreal s’est tenue le 18 novembre dernier, il a mis à l’honneur sept professionnels de la couverture et leurs réalisation. Prix de la Maison Paysanne : l’entreprise SAS Xavier Salles à La Chapelle-prés-Sées (61) Prix décerné en partenariat avec Maisons Paysannes de France. L’entreprise Xavier Salles s’est vue récompensée du Prix Maison Paysanne pour la restauration de la toiture de 250 m2 d’une traditionnelle maison normande. Le choix de la tuile c’est porté sur la tuile plate de référence Normande, la tuile Rustique Sablé Normand. Le jury a noté un remarquable travail de finition quant aux traitements des points singuliers de la couverture. Un ensemble harmonieux qui laisse transparaître le cachet d’antan Normand retrouvé.   Prix Demeure de caractère – Toit du Sud : l’entreprise Bocareno à Pouzauges (85) L’entreprise Bocareno a été récompensée du Prix Demeure de Caractère – Toit du Sud pour la rénovation de la toiture de 456 m2 d’une bâtisse bourgeoise du XIXème siècle. La tuile Canalavérou Terre de Charente a été choisie pour son respect des contraintes architecturales et patrimoniales de la région. L’ensemble de la toiture a été restaurée, alors qu’elle se trouvait détériorée et couverte de végétation. La pose dans les règles de l’art a été remarquablement respectée par le scellement à la chaux des tuiles en rive et au faîtage, la réfection complète des cheminées et le remplacement de la zinguerie en cuivre. Cet ensemble permet à la maison de retrouver l’esthétique traditionnelle des toits d’antan de la Vendée.   Prix Demeure de caractère – Toit du Nord : l’entreprise JMC à Courtry (77) L’entreprise JMC a été récompensée du Prix Demeure de Caractère – Toit du Nord pour la rénovation de la toiture de 400 m2 d’un hôtel particulier des années 30. La tuile plate Ségala Vieux Pays, Vieille Terre a été choisie pour remplacer l’ensemble de la toiture, pour redonner le cachet traditionnel à cette belle demeure.   Prix Patrimoine Historique et Coup de cœur du public : l’entreprise Dallon Couverture à Saint Martin Lacaussade (33) L’entreprise Dallon Couverture a vu son savoir-faire récompensé pour la rénovation du toit de 400 m2 de l’Eglise Saint Pierre d’Eyrans datant du XIXe siècle. Réalisée par un artisan Raphaël Dallon passionné par son métier, cette restauration met à l’honneur son savoir-faire. Pour la réfection de cette toiture, les tuiles Girondine Castelviel en courant et Nuance d’Antan en couvert ainsi que de la tuile de récupération ont été soigneusement sélectionnées pour un nuancier de couleurs harmonieux.   Prix du Patrimoine Collectif : l’entreprise Toitures des Gones à Vourles (69) Prix Patrimoine Collectif décerné à l’entreprise Toitures des Gones pour la rénovation du laboratoire d’un artisan maître torréfacteur. Pour cet ouvrage, la réfection a été complète de la charpente aux verrières, avec un travail de finition remarquables de rives à noquet et ce sont les tuiles Montchanin Losangée Rouge qui ont été choisies pour couvrir les 260 m2 de toiture.   Prix Technique : l’entreprise Jeanne Patrice Couverture à Madre (53) L’entreprise de Patrice Jeanne a été récompensée pour le travail de rénovation de la couverture de 350m2 d’un manoir. L’artisan a mis en œuvre la tuile Monument Historique Pompadour en réalisant un harmonieux panachage de Rouge Saumon, Rouge Naturel et Rouge Violet. L’ensemble des points singuliers ont été traités par la matière même de la tuile, afin de conserver l’authenticité de ce manoir. Les lucarnes en zinc ont également été totalement refaites à l’identique. Une réalisation technique juste et remarquée.   Coup de Cœur du Jury : l’entreprise EURL Courot Dominique à Cluny (71) L’artisan Dominique Courot a été récompensé pour la réfection de la couverture d’un préau de 114 m2 fortement dégradée par des infiltrations d’eau, datant des années 1880. Le jury a notamment relevé la passion avec laquelle le lauréat a travaillé sur cette rénovation. Un travail minutieux et remarquable de détails : rives scellées avec bardelis en ardoises naturelles pour habiller le chevron, utilisation de chaux blanche et sable de rivière pour une harmonie naturelle, faîtage scellé en crête de coq pour faire écho à celle de l’habitation principale. La mise en œuvre d’une vieille tuile de tradition, la tuile plate Prieuré Rouge Ancien, redonne au préau son cachet authentique.
Il y a 3 ans et 150 jours

A son congrès, la FNAIM veut replacer le logement au coeur de la campagne présidentielle

Le président la FNAIM Jean-Marc Torrollion s'est félicité de la "réussite" d'un salon qui a réuni 2.100 professionnels du métier, invités et personnalités politiques.Il a notamment salué l'assouplissement éventuel du calendrier évoqué par Mme Wargon concernant l'interdiction de louer des habitations énergivores, dans le cadre de la lutte contre les passoires énergétiques, un sujet sur lequel la FNAIM et le ministère étaient en désaccord.Pour Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du Logement : "Mon objectif, ce n'est pas de sortir des logements du marché, mais que la totalité des passoires thermiques soient rénovées. Le gouvernement actuel sera vigilant sur la soutenabilité du calendrier".Avec le projet de loi climat et résilience, le gouvernement organise la chasse aux quelques 4,8 millions de "passoires thermiques", selon le gouvernement, ces logements énergivores classés F et G.Les logements dans la classe G sont censés être interdits à la location en 2025 et les logements F en 2028, un calendrier jugé trop court par le syndicat FNAIM."En copropriété, 20% du parc risquerait de ne pas être aux normes d'ici 2025. Le délai est trop court", a dit Jean-Marc Torrollion à l'AFP. Face à la hausse des prix des biens immobiliers, Jean-Marc Torrollion s'est voulu rassurant. "Cette hausse a pu atteindre 20% dans des villes comme Brest, Angers ou Le Mans, mais cela va se calmer. Les taux resteront bas", a-t-il prédit.Présents mardi pour esquisser un avant-projet autour de la politique du logement, des candidats à la présidentielle, comme Marine Le Pen (Rassemblement National) et Arnaud Montebourg (ex-ministre socialiste), ainsi que des représentants d'autres partis ont participé aux débats du congrès mardi.Pour la FNAIM, "à l'aube de l'élection présidentielle, l'immobilier reste une question de préoccupation centrale des Français".C'était la première fois que le syndicat invitait des candidats à la présidentielle à s'exprimer dans le cadre du congrès. Une expérience jugée "intéressante" et "riche en échanges et propositions" par le président de la FNAIM, même s'il regrette l'oubli de sujets importants "comme la question de l'encadrement des loyers ou de la politique de zonage des territoires".
Il y a 3 ans et 150 jours

A l'Exposition universelle de Dubaï, Siemens rend les bâtiments de demain ultra connectés

INNOVATION. Siemens a déployé un énorme réseau de solutions et services pour rendre l'Exposition universelle 2020, située aux Émirats arabes unis, l'un des endroits les plus connectés au monde. La réduction des émissions de gaz à effets de serre mais aussi le contrôle des bâtiments en temps réel font partie des priorités de la multinationale.
Il y a 3 ans et 150 jours

En vue des Olympiades des métiers, la filière se mobilise pour "la culture de la gagne"

FORMATION PROFESSIONNELLE. Organisations du bâtiment et des travaux publics ont annoncé aujourd'hui la création inédite d'une "équipe de France du BTP" pour la prochaine édition des WorldSkills (Olympiades des métiers), dont la finale mondiale aura lieu en 2024 à Lyon. Les futurs jeunes qui concourront pour porter les couleurs de l'Hexagone vont être préparés par un professionnel du rugby.
Il y a 3 ans et 150 jours

Colas finalise le rachat de Destia

La filiale du groupe Bouygues a acquis le 1er décembre à Helsinki 100% des titres du spécialiste finlandais des infrastructures routières et ferroviaires.
Il y a 3 ans et 150 jours

La cinquième période des CEE sera "difficile", avertit l'Etat

RÉNOVATION ENERGETIQUE. La cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE) débute en 2022. Lors des rencontres CEE organisées par l'Ademe, l'administration a tenu à faire passer un message clair : les professionnels seront beaucoup plus mis au défi que lors de la quatrième période pour atteindre l'objectif.
Il y a 3 ans et 150 jours

Les 6 profils des primo-entrants dans le Bâtiment et les Travaux Publics

L’observatoire des métiers du BTP a fait le point sur les métiers en tension et a conduit une étude sur les 6 principaux profils de primo-entrants, en termes de motivations.
Il y a 3 ans et 150 jours

Industries pour la construction : la filière rassemblée pour viser l'excellence

Les industriels de la construction ont signé ce mercredi 1er décembre l'accord-cadre qui les engage dans les objectifs de décarbonation et de recrutements de la filière.
Il y a 3 ans et 150 jours

Photovoltaïque : la filière française met le paquet sur la production et la R&D

INDUSTRIE. Les fabricants français de panneaux photovoltaïques Voltec Solar et Systovi, aux manettes du projet Bélénos qui ambitionne de créer une filière tricolore du solaire, annoncent avoir investi dans leurs outils de Recherche & Développement et de production. Objectif : proposer des nouveaux modules et s'ouvrir à d'autres marchés, notamment ceux du secteur tertiaire et des collectivités territoriales.
Il y a 3 ans et 150 jours

Dans le Loiret, Fenêtres Lorenove ouvre deux nouvelles boutiques et recrute des poseurs en alternance.

Spécialiste de la fermeture, Fenêtres Lorenove Orléans commercialise et pose des fenêtres, portes d’entrée, portes de garage, portails, volets roulants et battants, stores et pergolas. Une équipe de 9 poseurs sillonnent le Loiret afin de réaliser tous les chantiers. Installée dans le Loiret depuis 33 ans, l’enseigne est une entreprise parfaitement implantée dans le tissu économique et social d’Orléans et sa région. Et c’est notamment dans cette entreprise que Grégoire David a fait ses classes il y a 16 ans au début de sa carrière de commercial. Après deux ans passés au sein de la concession, le métier le pousse vers d’autres expériences, toujours dans le bâtiment, afin de se forger de solides compétences. A 37 ans, il revient aux sources et rachète en juin dernier la concession Lorenove d’Orléans et ses 16 salariés suite au départ en retraite du dirigeant. DEUX NOUVELLES BOUTIQUES POUR ÊTRE AU PLUS PRÈS DES CLIENTS Depuis le rachat, Grégoire David a embauché 4 salariés afin de satisfaire à la demande croissante des prospects. Mais pour être au plus près du client et lui assurer un service de qualité, l’entrepreneur ouvre deux nouvelles boutiques à Pithiviers, octobre 2021 et Saran en début d’année prochaine. Lorenove Orléans rayonnera ainsi sur l’ensemble du Loiret avec 3 boutiques dotées d’un showroom de 160 m² à Orléans, de 175 m² à Saran et de 65 m² à Pithiviers ; de quoi satisfaire l’attrait esthétique et technique des particuliers pour les solutions de rénovation énergétique. Car, en effet, Grégoire David le constate, depuis la COVID et avec la hausse des coûts des énergies, les clients sont plus enclins à rénover leur habitat. La notoriété et l’activité de la concession sont en bonne croissance et Grégoire David mise sur une communication dynamique sur le secteur avec des spots publicitaires en radio, au cinéma, en presse et un affichage en 4 par 3. Être la 2ème plus grosse concession de France du réseau national Fenêtres Lorenove est un gage de qualité honorable mais aussi un challenge à conserver. Grégoire David en a conscience et mise également sur le professionnalisme et la formation de ses équipes. C’est pour ce faire qu’il veille à embaucher un personnel du « métier ». Il est notamment en recrutement de 2 poseurs en alternance dans le cadre d’un CAP Menuisier. Avec un chiffre d’affaires de 1,9 millions d’euros en 2020, l’enseigne Orléanaise vise une augmentation de son chiffre d’affaires de près de 50% pour 2021. Entrepreneur dans l’âme Grégoire David espère pouvoir émailler son tissu économique et social avec de nouveaux emplois et d’ici 1 à 2 ans ouvrir deux nouvelles agences à Montargis et Beaugency. Souhaitons-lui de poursuivre ses ambitions !
Il y a 3 ans et 150 jours

Visitorat qualitatif pour l’édition des retrouvailles du Salon du Patrimoine

« Le Salon est le lieu incontournable du secteur du Patrimoine. C’est véritablement ici, que de nouvelles relations se nouent, où les projets voient le jour, où les collaborations entre exposants s’illustrent également. C’est un maillage hors du commun. Les métiers d’art et du patrimoine représentent une formidable solution d’avenir. » indiquait Aude Tahon, Présidente du Salon et d’Ateliers d’Art de France, à l’issue du Salon International du Patrimoine Culturel 2021. Après 2 ans sans édition physique en raison de la crise sanitaire, le salon a fait son retour au Carrousel du Louvre. Si cette édition de reprise accuse 28 % de baisse de fréquentation, le visitorat, principalement français, a été d’une qualité exceptionnelle. Le succès de cette édition réside notamment dans les retrouvailles, entre les 338 exposants venus de 10 pays, les partenaires, les clients et les visiteurs aguerris d’une part et des rencontres fructueuses intra-exposants d’autre part. « Le développement durable, profondément ancré dans les pratiques de nos ateliers d’art et de l’ensemble des acteurs du patrimoine, sera le thème de la prochaine édition » annonce Aude Tahon   Voir aussi l’émission « Clôture du Salon du Patrimoine » où Aude Tahon, Présidente – Ateliers d’art de France et Bernard Lechevalier, Rédacteur en chef – Magazine Atrium Patrimoine & Restauration répondent à Orianne Masse…  
Il y a 3 ans et 150 jours

Téréva et Grohe rejoignent Valobat

Le négociant et l'industriel ont choisi leur éco-organisme.
Il y a 3 ans et 150 jours

Record pour les énergies renouvelables en 2021, mais un rythme toujours insuffisant pour atteindre la neutralité carbone

Cette année devrait battre le record de l'an dernier, avec 290 gigawatts (GW) de capacités nouvelles installées, et en ce dépit du coût accru de certains composants et du transport, note le rapport sorti mercredi.Selon l'AIE, qui a revu à la hausse ses projections, 4.800 GW d'installations devraient être disponibles d'ici 2026, soit +60% par rapport à 2020 et l'équivalent de la capacité électrique actuelle du nucléaire et des énergies fossiles combinés. Le photovoltaïque devrait assurer plus de 50% de cette croissance, et l'éolien en mer voir ses capacités tripler.Selon l'AIE, qui a revu à la hausse ses projections, 4.800 GW d'installations devraient être disponibles d'ici 2026, soit +60% par rapport à 2020 et l'équivalent de la capacité électrique actuelle du nucléaire et des énergies fossiles combinés. Le photovoltaïque devrait assurer plus de 50% de cette croissance, et l'éolien en mer voir ses capacités tripler.Toutes les régions sont concernées, Chine en tête (1.200 GW de capacités éolienne et solaire attendus dès 2026, soit quatre ans plus tôt que l'objectif officiel, estime l'AIE.) L'Inde devrait voir la croissance du secteur doubler par rapport au rythme de 2015-2020.Cependant, si les prix des composants et matériaux restaient aussi élevés jusqu'à la fin 2022, le coût des investissements dans l'éolien pourrait retrouver son niveau d'avant 2015, et, dans le solaire, trois années de chute des prix seraient effacées, s'alarme l'organisme, qui conseille les pays dans leurs politiques énergétiques."Les prix élevés actuels des matériaux posent de nouveaux défis pour le secteur des renouvelables, mais les prix élevés des énergies fossiles rendent aussi les renouvelables encore plus compétitives," souligne le directeur de l'Agence, Fatih Birol.Pour l'AIE, les Etats pourraient faciliter leur déploiement via des mesures cohérentes et suivies, en lançant l'adaptation des réseaux électriques, en s'attaquant au manque d'acceptation sociale... Il faut aussi s'attaquer aux difficultés d'investissement dans les pays en développement, appelle l'Agence.Quant aux barrages, aux bio-énergies ou à la géothermie, pourtant indispensables, leur expansion ne représente que 11% de la croissance des renouvelables d'ici 2026, du fait notamment d'un déficit de soutien et de rémunération.Ainsi, in fine, cette croissance attendue des renouvelables ne suffira pas pour mettre le monde sur la voie de la neutralité carbone en 2050, nécessaire pour garder le réchauffement sous 1,5°C par rapport à la période pré-industrielle.Pour cela, il faudrait que le rythme de capacités renouvelables nouvelles installées d'ici 2026 double par rapport aux prévisions de l'AIE, et que la croissance de la demande dans les biocarburants soit quatre fois supérieure.
Il y a 3 ans et 150 jours

Face à l'émergence du variant Omicron, le ministre des Finances, Bruno Le Maire réaffirme son soutien aux entreprises

« Nous avons toujours été là pour les entreprises et toujours été là pour les salariés. Nous serons toujours là pour les entreprises et toujours là pour les salariés ». Avec ces mots, Bruno Le Maire se veut rassurant pour les acteurs économiques qui pourraient être affectés par le nouveau variant Omicron. Plus rassurant encore, le ministre des finances français n'hésite pas à préciser que « nous n'en sommes pas encore là », estimant que pour l'heure, le variant Omicron ne représente pas une menace de reprise épidémique conséquente ni un danger pour la croissance en France et en Europe.Le ministre des finances a affirmé qu'un point sera fait avec les secteurs les plus vulnérables, tels que le tourisme, le transport aérien ou l’événementiel et que « nous ne changeons pas de stratégie en cours de route », en référence à la politique du « quoi qu'il en coûte » menée par l'Etat avec les entreprises frappées par les conséquences économiques de la crise.Malgré ses paroles tranquillisantes, la liste des pays où le variant Omicron a été détecté ne cesse de s'allonger depuis les premiers recensements faits en Afrique australe début novembre. Des cas ont également été détectés en Europe, comme aux Pays-Bas, obligeant de nombreux Etats à suspendre les voyages vers cette région africaine et à instaurer des mesures préventives.Cette inquiétude vis-à-vis du variant Omicron et d'une possible reprise épidémique est notamment due aux connaissances encore très floues que les scientifiques ont de ce variant apparu très récemment.
Il y a 3 ans et 150 jours

L'équation coût-carbone testée sur trois projets existants

CONSTRUCTION. L'Ifpeb a mené une étude sur trois projets immobiliers existants pour identifier, avec les porteurs, les leviers d'une réduction de l'empreinte carbone. Selon plusieurs scénarios : à coût constant, à budget "maîtrisé", et à budget illimité.
Il y a 3 ans et 150 jours

Webdoc, Épisode 5 : 20 ans de lois et de réglementations, un mille-feuille à simplifier

WEBDOC 5/10. Pour fêter ses 20 ans, Batiactu vous propose un webdocumentaire exclusif : "20 ans pour construire l'avenir." Découvrez le cinquième épisode, consacré à l'évolution des lois et réglementation de ces vingt dernières années (de 2001 à 2021) où la balance entre inflation et simplification ne trouve pas l'équilibre. "Un mille-feuille législatif et réglementaire à simplifier."
Il y a 3 ans et 150 jours

Le nombre de formations s'est maintenu en 2020 grâce au boom du CPF

Ce rapport est le second publié par le comité scientifique d'évaluation du Plan d'investissement dans les compétences, le PIC. Lancé en 2018 et doté de 15 milliards d'euros sur cinq ans, ce programme phare de l'exécutif a pour objectif de susciter la formation de deux millions de demandeurs d'emplois, jeunes ou peu diplômés, sur la période 2018-2022.Selon les auteurs, "en 2018, année d'amorçage du PIC, les principaux programmes de formation et d'accompagnement ont enregistré près de 820.000 entrées de personnes en recherche d'emploi". Ce nombre est monté à 1,018 million en 2019 et à 1,107 million en 2020.Mais ce maintien est en trompe-l'oeil, car il est dû à la "montée en charge extrêmement rapide", avec 307.000 entrées en formation en 2020, du CPF autonome (une innovation de la loi Avenir professionnel qui permet aux actifs de s'inscrire directement auprès des centres de formation). "Les CPF ont surtout financé des formations courtes alors que l'objectif du PIC est plutôt de développer des formations longues et qualifiantes", soulignent les auteurs.Hors CPF, le nombre d'entrées en formation a diminué de 21% (de 1,018 million à 800.000)."Ceci est lié à la fois aux effets directs du confinement, malgré l'effort des organismes de formation pour fournir des solutions de continuité, et au fait qu'une part importante des formations proposées notamment par Pôle emploi préparent directement à des embauches qui n'avaient plus lieu", notent-ils.32% des formations en cours ont ainsi pu être maintenues lors du premier confinement, 79% au deuxième.Autre point qui amène à avoir une vision nuancée du PIC, "les moins diplômés, cible du programme, voient leur accès à la formation augmenter, mais pas davantage que les autres catégories". Alors qu'ils représentent 56% des demandeurs d'emploi, les personnes peu diplômées "ne représentent que 52% des entrées en formation, une part qui n'a pratiquement pas évolué sur la période", souligne le comité présidé par l'économiste Marc Gurgand."Autre cible prioritaire du PIC, les jeunes, en particulier non qualifiés, ne semblent pas non plus avoir relativement plus bénéficié de l'augmentation des entrées en formation", ajoute-t-il.Et les auteurs de conclure que, "si une partie de ce constat s'explique par la crise sanitaire, il semble peu probable que l'objectif de fournir 2 millions de formations supplémentaires au bénéfice des publics les plus éloignés de l'emploi puisse être tenu sur les cinq années initialement prévues par le plan".Apprentissage: le record de 2020 déjà "battu", annonce BorneLe nombre de contrats d'apprentissage signés en 2021 a déjà "battu le record de l'an dernier", a indiqué vendredi la ministre du Travail Élisabeth Borne, soulignant "la reprise très dynamique" de l'emploi ces derniers mois."On est déjà à 560.000 contrats d'apprentissage signés cette année", contre 526.000 pour toute l'année 2020, a précisé Mme Borne sur France Info."C'est une très bonne nouvelle, on a battu le record de l'an dernier", s'est-elle félicitée, saluant également la forte baisse du nombre de chômeurs en octobre (-113.000 selon Pôle emploi)."Sur six mois, on a 500.000 demandeurs d'emploi sans activité en moins, ça montre que la reprise est très dynamique", a-t-elle affirmé.La ministre du Travail a néanmoins estimé "normal" de renforcer les contrôles de chômeurs, afin "de s'assurer qu'ils recherchent activement du travail", rappelant son objectif de "25% de contrôles de plus dans les six prochains mois".
Il y a 3 ans et 150 jours

Le futur village d’artisans de Saint-Malo, baptisé « Ty’Malwin », sera livré au deuxième trimestre 2022

Le chantier du futur village d’artisans de Saint-Malo suit son cours. À sa livraison, le site comptera une vingtaine de cellules dédiées aux artisans.
Il y a 3 ans et 150 jours

Lyon : Les travaux de rénovation du musée des Tissus sont achevés

Lyon : Les travaux de rénovation du musée des Tissus sont achevés
Il y a 3 ans et 150 jours

Clermont-Ferrand : le learning center de l’Université Clermont Auvergne doit ouvrir en 2024

L’Université Clermont Auvergne souhaite créer un learning center à destination des étudiants.
Il y a 3 ans et 150 jours

Déviation de Saint-Béat-Lez: mise en service à partir de 2024

Les travaux nécessaires à la création de la déviation de Saint-Béat-Lez devraient s’étaler jusqu’en 2024.
Il y a 3 ans et 150 jours

L'OPPBTP met à jour son guide de préconisations en réponse à la cinquième vague de Covid

SANTE. L'apparition du variant Omicron et la hausse fulgurante des cas de Covid-19 ces derniers jours en France a poussé l'organisme spécialisé dans la prévention dans le BTP à réactualiser son guide sanitaire. Zoom sur les règles à suivre.