Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

254896 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 156 jours

"En 2021, Ingérop devrait faire mieux" qu'avant la crise sanitaire (Yves Metz)

ENTRETIEN. Le président d'Ingérop, Yves Metz, a reçu Batiactu au siège de la société d'ingénierie pour une interview au cours de laquelle il a évoqué des sujets aussi divers que l'activité de l'entreprise, ses contrats structurants, ses axes de développements, ses perspectives, mais aussi sur les problématiques d'emplois et d'attractivité.
Il y a 3 ans et 156 jours

Taschen: Dig it! Building Bound to The Ground

Des racines dans l’architecture Une exploration visuelle de l’architecture liée à la Terre La construction est une des rares entreprises… Cet article Taschen: Dig it! Building Bound to The Ground est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 156 jours

Intensifier le maillage des points de collecte des menuiseries

Le maillage territorial des points de collecte et de démantèlement FERVAM (Filière Engagée pour le Recyclage et la VAlorisation des Menuiseries) s’élargit au fil des mois. En un an, l’UFME en compte déjà 84. Alors, elle met en place des actions ciblées sur les régions à développer afin de garantir plus de proximité et de pérenniser son action. L’indicateur de traçabilité en lien avec la Charte FERVAM, affiche au 1er semestre 2021, une augmentation forte des volumes de menuiseries déposées, des entrées de déchets ainsi que des sorties de matières recyclées. L’objectif pour 2022 est de maintenir cette croissance quasi exponentielle de la quantité des volumes collectés et démantelés.
Il y a 3 ans et 156 jours

Au Mapic de Cannes, l'immobilier commercial met le lien social au centre de sa stratégie

Le rendez-vous revient en version physique après une édition 2020 exclusivement numérique, confinement oblige. 4.000 participants de 42 pays sont attendus au Palais des festivals et des congrès - soit un peu moins de la moitié de l'édition 2019 - et les conférences pourront aussi être suivies en ligne.Pendant trois jours, 1.000 représentants d'enseignes et de marques rencontreront des promoteurs immobiliers et investisseurs et se pencheront sur les tendances du secteur grâce au programme de conférences.Elles s'articuleront autour du thème "People and places: a new chapter" ("Personnes et lieux: un nouveau chapitre")."Le besoin de socialiser, de vivre une émotion, n'a jamais été plus fort que depuis qu'on a vécu ce moment difficile des confinements", analyse Nathalie Depetro, directrice du Mapic, auprès de l'AFP.Les commerces physiques doivent donc selon elle appuyer sur cette dimension de lien social, difficile à retrouver en achetant devant un écran, pour attirer à nouveau du public. "Et qui dit lien social dit loisirs, restauration et événementiel", ajoute Mme Depetro.La pandémie a ainsi renforcé une tendance déjà existante: celle de mélanger le commerce avec ces activités, en créant par exemple des installations sportives ou des espaces jeux et en augmentant la surface occupée par les restaurants.Cette année, la moitié de la surface d'exposition du salon sera dédiée à des enseignes de loisirs, de restauration ou de culture, désireuses de s'installer dans des espaces commerciaux.Se réinventer pour retrouver les clients"Revisiter la façon dont a été imaginé l'aménagement des lieux commerciaux, c'est obligatoire, sinon il n'y aura pas de trafic", estime Mme Depetro.En effet, avec la crise sanitaire, le commerce spécialisé a perdu 10% de son activité en magasins entre les dix premiers mois de 2021 et la même période en 2019, selon les chiffres de la fédération Procos. La fréquentation peine à reprendre, en particulier dans les centres commerciaux, qui ont dû fermer entre février et mai et imposer le passe sanitaire dans certaines zones en fonction du risque épidémique.Certains secteurs comme la beauté ou l'habillement ont plus souffert que les autres. "Tous les promoteurs s'accordent à dire qu'il faut limiter la part du textile", explique à l'AFP Gontran Thuring, délégué général du Comité national des centres commerciaux (CNCC).Pour reconquérir les clients, les professionnels de l'immobilier commercial n'ont qu'un mot à la bouche: "l'omnicanalité", le fait de pouvoir vendre et communiquer de manière à la fois physique et numérique.Plutôt que de voir le numérique comme l'ennemi à abattre, ils tentent d'en faire un outil complémentaire, en s'aidant par exemple des réseaux sociaux et des données collectées en ligne pour mieux connaître les clients, et personnaliser l'expérience d'achat."Un des enjeux très importants, c'est la capacité des enseignes et des lieux de commerce d'échanger ces données", assure Mme Depetero.Ce passage au e-commerce permet aussi aux enseignes de réduire la taille de leurs magasins, pour en faire des vitrines de la marque ou des boutiques éphémères, dans lesquelles on peut aussi récupérer des articles en "click and collect".Mais au-delà de la "complémentarité" affichée entre vente en magasins et vente en ligne, quelques rivalités subsistent. Les professionnels de l'immobilier commercial n'ont notamment pas tous digéré l'interdiction dans la loi Climat de construire de centres commerciaux de plus de 10.000 mètres carrés pour limiter l'artificialisation des sols, alors que les entrepôts de e-commerce y ont échappé.
Il y a 3 ans et 156 jours

A Dubaï, l'exposition universelle 2020 pense déjà à sa transformation

REPORTAGE. L'exposition universelle de Dubaï va devenir dans quelques mois un quartier intelligent. Batiactu s'est rendu aux Émirats arabes unis pour découvrir ce projet titanesque.
Cimbat
Il y a 3 ans et 156 jours

Union gauche/droite à la métropole de Bordeaux pour prolonger la LGV vers Toulouse et Dax

FERROVIAIRE. Contre l'avis de ses alliés écologistes, les élus socialistes de la majorité siégeant à la métropole bordelaise ont trouvé un accord avec l'opposition de droite pour faire avancer le Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO), comprenant la construction des lignes à grande vitesse entre Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.
Il y a 3 ans et 156 jours

Onduline se voit en acteur global de la toiture

Souhaitant aller au-delà des produits historiques, le groupe a effectué des acquisitions stratégiques pour se positionner en acteur global de la toiture.
Il y a 3 ans et 156 jours

Aix-les-Bains : un projet immobilier boulevard des Anglais

23 logements verront le jour en 2023 sur une parcelle d’environ 7 000 m².
Il y a 3 ans et 156 jours

Strasbourg : bientôt la fin du chantier au niveau du pont Royal

À Strasbourg, le réseau de chaleur continue sa progression. Des travaux sont en cours au niveau du pont Royal.
Il y a 3 ans et 156 jours

Les Sables-d’Olonne : La réhabilitation de l’avenue François-Mitterrand est en cours

Les travaux menés avenue François-Mitterrand s’étaleront jusqu’en 2025.
Il y a 3 ans et 156 jours

Nouvelle application mobile Jouplast® pour réaliser son projet de terrasse en quelques clics

Après avoir guidé l’utilisateur dans la définition de son projet, l’application gratuite JOUPLAST® pour Smartphones iOs, tablettes ou PC, fournit une liste complète de matériaux (dalles, lames bois ou composite, lambourdes, vis…) et de produits JOUPLAST® (plots, cales, fixations invisibles, support d’habillage…) nécessaires à sa réalisation. De plus, un dessin 2D, un dessin 3D et un dessin de pose renseignent l’utilisateur avec un maximum de réalisme.Facile à utiliser et très ergonomique, la nouvelle application JOUPLAST® permet de mieux appréhender la conception de sa terrasse et de concevoir en quelques clics un projet abouti.Un outil complet toujours à dispositionNomade et accessible partout, l'application JOUPLAST® est destinée aux particuliers comme aux artisans et aux distributeurs. Elle permet à ces derniers d'avoir constamment sous la main un outil performant d'aide à la vente. L'application mobile JOUPLAST® simplifie l'estimation des produits nécessaires à la réalisation de la terrasse, et facilite la prise de décision finale. Avec cette application, une multitude de fonctions sont à la disposition de l'utilisateur. Celui-ci peut choisir la forme, la taille et l'emplacement de sa terrasse, les matériaux (dalles, lames bois ou composite), configurer une pente, intégrer des éléments (jardinières, piscines…), faire des interruptions – pour contourner un poteau par exemple – définir le type et le sens de pose, ajouter un support d'habillage latéral, sauvegarder son projet…Les étapes pour définir son ouvrageLa configuration du projet de terrasse tient compte de plusieurs paramètres : type de sol (plan régulier ou irrégulier), forme de base (carrée, rectangulaire, en L…), avec la possibilité d'additionner plusieurs espaces de terrasse de formes différentes, pente et hauteur, présence d'une piscine, de jardinières, de poteaux… L'utilisateur peut également intégrer une maison, pour un rendu encore plus réaliste.Vient ensuite le choix du revêtement – dalles, lames, lames composites – et des dimensions. Le type de pose – droite ou décalée – et le sens de pose sont alors déterminés.L’intérêt de l’application JOUPLAST® réside également dans le fait que, pour une terrasse en dalles, l’utilisateur a la possibilité de définir le point de calepinage en cliquant sur le schéma. Ainsi, il peut modifier avec précision la position du point de calepinage et obtenir un projet idéal qui limite les coupes de dalles. De plus, le calculateur adapte en temps réel le dessin et la liste de course.Les dernières étapes consistent à définir les dimensions des lambourdes, dans le cas d’une terrasse en lames, les finitions et l’habillage latéral. À l’issue de toutes ces opérations, apparaissent une liste de courses, un dessin 2 D, un dessin 3 D et un dessin de pose avec indication de la position des plots. Le projet ainsi défini peut alors être téléchargé, sauvegardé ou partagé via un code.À noter que, pour chaque phase du projet, des alertes sont prévues si les dimensions fournies ne sont pas correctes.Pendant les étapes de la configuration, l’utilisateur de l’application JOUPLAST® peut également avoir accès à des vidéos, par exemple sur le système de fixation des plots JOUPLAST® 100 % invisible pour lames de terrasse en bois.
Il y a 3 ans et 156 jours

Riom : le chantier d’extension de la piscine Béatrice-Hess sera lancé en 2022

D’ici quelques années, la piscine Béatrice-Hess gagnera en surface. Les travaux d’agrandissement et de réhabilitation de ce site s’élèvent à plus de 9 M€.
Il y a 3 ans et 156 jours

Bientôt un nouveau campus urbain à Clichy

Un nouvel espace est en cours de construction à Clichy. Les travaux devraient prendre fin en 2023.
Il y a 3 ans et 156 jours

Creil : le projet Ec'Eau Port fluvial entame sa deuxième phase

Après l’inauguration d’un premier lot de travaux, le projet de l’Ec'Eau Port fluvial entre désormais dans sa deuxième phase.
Il y a 3 ans et 156 jours

Cannes : Phase 2 de la modernisation et de la sécurisation du secteur Hoche

La phase 2 des travaux concerne les rues du 24-Août, des Frères-Casanova et d’Hélène-Vagliano.
Il y a 3 ans et 156 jours

Comment réduire la facture énergétique des bâtiments grâce à une isolation performante ?

Et les pronostics ne sont pas optimistes : le dérèglement climatique, la volonté de diminuer la compétitivité des énergies fossiles, la baisse de disponibilité du parc nucléaire autant de raisons qui laissent croire que les prix de l’énergie vont continuer leur ascension. Or, ces augmentations à répétition entraînent des répercussions directes sur les dépenses d’énergie des pays, poussant le gouvernement à intensifier la rénovation énergétique des passoires thermiques à travers un nouveau plan de relance de l’État baptisé France Rénov. Pour la construction neuve, la RE2020 et un futur label vont, quant à eux, fixer de nouveaux seuils énergie-carbone. Des enjeux au cœur des discussions d'Enerj-meeting, qui s'est tenu à lyon, le 24 novembre.ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, a participé à cet événement qui a mobilisé les acteurs de la construction pour intégrer durablement les enjeux de l’efficacité énergétique dans les pratiques professionnelles. Car, pour diminuer la consommation énergétique des bâtiments, une isolation efficace est incontournable. Une meilleure isolation pour une réduction des dépenses énergétiques durablePour réduire la consommation d’énergie de façon durable, l’isolation thermique des bâtiments s’avère indispensable. Certains matériaux techniques, comme la laine de roche, représentent une solution extrêmement flexible et efficace qui fonctionne dans tous les espaces comme un tampon contre les variations de température. Une technologie qui permet d’économiser jusqu'à 70% de l’énergie nécessaire au chauffage et à la climatisation tout en créant des espaces de vie plus saines et plus confortables.
Il y a 3 ans et 156 jours

NGE installera l'intégralité des équipements ferroviaires de la ligne 16

GRAND PARIS EXPRESS. Déjà en charge de la partie ferroviaire du lot 16-1, TSO, filiale de NGE, s'est vu confier le marché comprenant voies, caténaires et équipements en tunnel concernant le reste de la ligne, pour les lots 2 et 3. Il intervient ainsi sur l'intégralité de cette infrastructure mais aussi sur une partie de la ligne 17.
GDA
Il y a 3 ans et 156 jours

Les différents types de revêtements de toiture

La toiture est l’une des parties de la maison dans lesquelles on doit beaucoup investir. Elle a, essentiellement deux fonctions, celle de protéger la maison des intempéries diverses et d’optimiser la performance thermique de celle-ci. Il est important alors de savoir choisir convenablement tant la structure, mais aussi le matériau pour la toiture. Cela nécessite bien évidemment une bonne connaissance des couvertures et des dernières tendances. Pour les néophytes, ci-dessous par conséquent un guide complet des différentes solutions en matière de toiture. Les tuiles : indémodables et esthétique Les tuiles redeviennent sur le devant du podium. Elles remontent petit à petit la pente et deviennent des alternatives intéressantes par rapport aux classiques feuilles de zinc. Dans beaucoup de communes d’ailleurs, une toiture en tuile ce n’est pas un choix, mais une obligation. Il est à noter toutefois que la tuile faite à base de terre cuite est la plus couramment utilisée par les Européens et les Français bien que l’on en trouve diverses variantes, notamment en termes de couleurs et de structure. En effet, il existe des tuiles plates ou au contraire en forme de demi-cylindre. À noter que la forme n’a aucun impact sur la qualité du toit. Par contre, on constate une réelle nuance au niveau de l’esthétisme. Pour obtenir l’effet désiré, mieux vaut faire appel à un couvreur expérimenté. Celui-ci accélérera les travaux notamment s’ils sont faits en urgence. Les feuilles de zinc : minimalistes et faciles à poser Ces quelque 30 dernières années, on a vu que les métaux laminés en feuilles de zinc ont supplanté de plus en plus les tuiles. Cela vient surtout des entreprises industrielles qui souhaitent construire rapidement des bâtiments en guise de local. Les tôles sont quasiment immédiatement accessibles. Elles sont moins coûteuses que les tuiles. Il est aussi facile de les produire en chaîne et en très grande quantité. Une seule feuille couvre une très grande partie du toit. Cela rend également plus rapide la pose. Cependant, le plus gros avantage de ce matériau réside dans son poids. Il n’est pas obligatoire de construire une charpente complexe et en bois massif pour le poser. Le seul bémol avec le zinc est sa longévité qui ne dépasse pas les 12 ans. L’ardoise : pour un style original Il existe une troisième alternative à la tuile et la feuille de zinc ondulée, l’ardoise. Ce matériau est surtout populaire dans le nord de l’Hexagone, zone dans laquelle il abonde. L’ardoise est en général utilisée comme alternatives à la tuile pour la couverture de monuments importants comme les églises. Sauf qu’elle est beaucoup plus difficile à fabriquer. Son atout réside dans sa solidité à toute épreuve. Il est possible qu’elle garde son uniformité et sa solidité jusqu’à 30 ans. Néanmoins, du fait de sa rareté, elle n’est pas très abordable. Il est nécessaire dans ce cas de disposer d’un important budget pour s’en procurer. La pose est également une tout autre histoire. Il est nécessaire d’édifier des combles aménageables.  
Il y a 3 ans et 156 jours

Équerre d'argent 2021 : la soirée en images

    À l'heure où les façades s'épaississent sous l'injonction de performance thermique et la quête d'une plus grande inertie, la création d'une sur-façade résillée découle d'un effet minimaliste, qui, le plus souvent, ne participe pas au clos-couvert. Les architectes cherchent à concilier […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 156 jours

Cemex a choisi Case comme fournisseur de machines de construction

Cemex a choisi Case comme fournisseur de machines de construction. [©Case] Le fabricant de machines, Case a été choisi comme fournisseur d’équipements par Cemex. Cet accord permet au cimentier de renforcer la coopération entre les deux marques à l’échelle européenne. La France a déjà reçu la première série de machines. Case a ainsi fourni deux bouteurs 1650M ou encore deux chargeuses-pelleteuses 580ST. D’ailleurs, ces véhicules offrent une faible consommation de carburant. Limitant ainsi les émissions de carbone.  Lire aussi : Cemex et la LPO : un renouvellement pour la biodiversité « Les véhicules que nous utilisons dans le cadre de notre travail sont un élément clef, déclare Craig Hooper, responsable des équipements mobiles pour Cemex. Ce contrat avec la société américaine apportera un avantage significatif en matière de durabilité aux opérations européennes de Cemex. Ces équipements intègrent une technologie avancée et une consommation de carburant réduite grâce à un meilleur rapport poids/puissance. » Et Andrea Rapali, directeur des grands comptes pour l’Europe chez Case, de poursuivre : « Cemex est une entreprise mondiale qui construit un avenir meilleur grâce à des produits et des solutions durables. Nous sommes heureux qu’ils aient choisi Case et nous nous réjouissons de travailler en collaboration avec eux ».
Il y a 3 ans et 156 jours

Nouvelle édition de "Profession Architecte" aux éditions Eyrolles

Mutations actuelles et avancées du droit de l'environnement sont au sommaire de ce volume actualisé et enrichi. Un manuel de synthèse et de référence, pour accompagner formation et entrée dans le métier.Pour répondre aux questions que se posent sur le métier d'architecte tous ceux qui sont concernés par le vaste secteur de la construction, Isabelle Chesneau a réuni 38 professionnels exerçant leur activité dans ce domaine, et qui pour la plupart contribuent à former les futurs architectes, notamment au sein de l'École nationale supérieure d'architecture de Paris-Malaquais.De l'insertion des diplômés dans le secteur de la maîtrise d'œuvre à la réception de l'ouvrage en passant par les règles de la profession libérale, les pratiques contractuelles, l'influence de l'environnement réglementaire, les enjeux économiques du projet, de l'agence et de la direction de chantier, les différentes facettes théoriques et pratiques de l'exercice du métier y sont précisément décrites, documentées et illustrées de témoignages. C'est tout l'écosystème professionnel auquel appartient l'architecte qui est ainsi reconstitué. Sans exclure les apports de l'histoire, de la philosophie, de la sociologie, du droit, de l'économie et des sciences politiques, savoirs et savoir-faire complexes - patiemment analysés - sont ici directement accessibles.De fait, l'architecte dispose d'une importante marge de manœuvre dans l'exercice de son métier, à condition d'en bien connaître le périmètre et d'en maîtriser les fondements théoriques. On prendra enfin toute la mesure d'une notion centrale, la responsabilité, corollaire de la liberté des architectes qui bâtissent.publics : étudiants des écoles d'architecture, candidats à l'habilitation à la maîtrise d'œuvre en son nom propre, futurs diplômés des filières de formation aux métiers de la construction, professionnels de la construction et de l'urbanisme collaborant avec les architectes.Au sommaire :L'insertion dans le secteur de la maîtrise d'œuvre architecturale et urbaineL'exercice de la profession d'architecteLes pratiques contractuellesL'environnement réglementaireL'économie du projet et de l'agence d'architectureL'organisation et le suivi de chantier
Il y a 3 ans et 156 jours

KP1 enrichit son outil digital Kalcul Structure

KP1 enrichit Kalcul en intégrant le le plancher à prédalles précontraintes dans le module Structure [©KP1] KP1 enrichit Kalcul, sa plate-forme dédiée au pré-dimensionnement de produits préfabriqués. Cet outil digital permet aux ingénieurs, économistes et thermiciens de trouver la solution la plus adaptée à leurs projets. Désormais, le plancher à prédalles précontraintes intègre le module Structure, en complément des poutres et planchers en dalles alvéolées. Lire aussi : Kalcul de KP1 obtient une médaille d’or au Congrès de l’Untec La préfabrication en béton précontraint apporte de nombreux avantages. Parmi eux, un gain de temps, une réduction des coûts et de l’impact carbone. C’est pourquoi KP1 a intégré cet élément dans sa plate-forme 100 % gratuite et disponible 24h/24. En 1 an, Kalcul a doublé son audience avec, à ce jour, plus de 5 000 utilisateurs.  Kalcul : L’autonomie avant tout Pour utiliser de manière efficace la plate-forme digitale, l’autonomie est la clef. En effet, l’utilisateur doit renseigner lui-même les informations sur le chantier avant de lancer le calcul. Que ce soit pour la géométrie (épaisseur, portée, continuité…), les charges (type de bâtiments, cloisons…) et l’environnement (feu, zone sismique…), chaque détail compte. Lire aussi : KP1 dévoile Kalcul Economiste Kalcul se charge ensuite d’obtenir les informations nécessaires pour les utilisateurs. Par exemple, l’outil peut donner l’épaisseur de la prédalle ou de la dalle béton. Il peut aussi recueillir le descriptif du cahier des clauses techniques particulières (CCTP). Enfin, le calculateur estime le coût des travaux et génère une note de calcul détaillant tous les éléments utilisés.
Il y a 3 ans et 156 jours

Florence Boutmy nommée DG Matériaux Nord de Cemex France

Florence Boutmy devient la nouvelle directrice générale Matériaux Nord de Cemex France. [©Cemex] Le 18 novembre 2021, Cemex France annonçait la nomination de Florence Boutmy au poste de directrice générale Matériaux Nord. Cette dernière succède ainsi à Alain Plantier, en fonction depuis 2018, qui a fait valoir ses droits à la retraite. Celui-ci restera tout de même président de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) jusqu’à fin 2023. « J’ai conscience de prendre mon poste de directrice générale Matériaux Nord de CEMEX France dans un contexte particulièrement riche en défis pour notre secteur d’activité, et donc pour CEMEX, déclare Florence Boutmy. Je citerais en premier lieu la transition écologique qui nous motive à poursuivre nos actions visant à réduire l’empreinte carbone de nos activités et à économiser les ressources minérales. Pour ce faire, nous continuons de miser sur l’innovation et l’éco-conception afin de désigner des produits et des solutions respectueux de l’humain et de l’environnement. » Lire aussi : Cemex, mécène d’Odyssée Diplômée de l’EDHEC en 1991, Florence Boutmy a occupé plusieurs postes au sein de Fret SNCF, notamment celui de directrice de l’agence BTP. Elle a ensuite rejoint Cemex en 2007 en tant que directrice logistique granulats. Puis, entre 2011 et 2015, elle a dirigé l’agence bétons Nord-Pas-de-Calais. Et a pris successivement la direction performance BPE, commerciale, marketing et digitale. Avant sa nouvelle prise de poste, Florence Boutmy était directrice Cemex Matériaux Ile-de-France depuis 2019. Suite à cette nomination, Samuel Béchu, directeur produits et qualité matériaux Nord, est désigné directeur Matériaux Ile-de-France. Ces prises de postes sont effectives depuis le 1er novembre 2021.
Il y a 3 ans et 156 jours

Batistep, l’entre-banche pour le BTP signée Audinnov

L’entre-banche Batistep d’Audinnov est une plate-forme individuelle roulante, à accès simple [©Audinnov] De fabrication française, l’entre-banche Batistep d’Audinnov est une plate-forme individuelle roulante, à accès simple. Etudiée pour répondre aux exigences du BTP, elle est robuste et légère, et composée d’aluminium cintré. Elle se décline en version 3, 4 ou 5 marches, larges de 18 cm et anti-dérapantes. Dotée de 4 grosses roues multi-directionnelles, cette entre-banche est très maniable et sûre. En effet, 2 systèmes de freinage sont proposés. A savoir, roues freinées indépendantes ou roues mécanisées escamotables par une seule manette interdisant la montée. Des stabilisateurs latéraux renforcent la sécurité lors de l’utilisation des versions 4 et 5 marches. Batistep offre une plate-forme de travail longue, sécurisée par un portillon à retour automatique. Côté fonctionnalité et ergonomie, l’arche du châssis facilite le passage des armatures en attente. Et permet d’enjamber les obstacles. Par ailleurs, le garde-corps peut être escamoté dans 3 configurations différentes en fonction du type d’interventions à faire. Cela permet, entre autres, de passer les encadrements de porte de 2 m de haut. Ses dimensions de 60 x 120 cm facilitent le travail entre banches serrées avec une grande aisance de mouvement. Enfin, un anneau de grutage permet un gain de temps et d’énergie lors du déplacement de l’équipement.
Il y a 3 ans et 156 jours

Ecominéro nomme Michel André à sa présidence

Michel André, directeur général de Cemex Matériaux, est nommé président d’Ecominéro. [©Ecominéro] Le 18 novembre dernier, les membres fondateurs d’Ecominéro ont nommé à sa présidence Michel André, directeur général de Cemex Matériaux. Diplômé de l’Edhec en 1993, il débute sa carrière comme auditeur-conseil chez PwC. Par la suite, il intègre Lafarge en 1999 en tant que contrôleur financier. Après différents postes chez l’industriel, Michel André rejoint Cemex en 2005 et exerce la fonction de directeur administratif et financier. Il prend ensuite la tête du secteur BPE en 2008. Au fur et à mesure, il occupe une place plus importante au sein de Cemex. Jusqu’à devenir le directeur général Matériaux Europe de l’Ouest en 2019. Répondre à la Rep Ecominéro a été créé par et pour les fabricants de matériaux de construction. Il a pour objectif de répondre aux nouvelles obligations de la responsabilité élargie des producteurs (Rep). Ecominéro s’engage donc dans le développement de l’économie circulaire et dans la préservation des ressources naturelles. Lire aussi : Ecominéro : Une marque pour valoriser les déchets inertes du bâtiment Et ce, en accompagnant les acteurs de la construction dans la collecte, le recyclage et la valorisation des déchets du bâtiment. « Cet acte nous engage ainsi à déployer les moyens nécessaires pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés, explique Michel André. Dans un contexte d’accélération des transitions pour bâtir durable, il est essentiel de favoriser le développement de l’économie circulaire. Et de contribuer à la préservation des ressources naturelles ».
Il y a 3 ans et 156 jours

Le sculpteur Michel Charpentier a besoin de vous !

Michel Charpentier dans son bois de Vallangoujard, en 1998. [©Clovis Prévost] Né en 1927 à Auvers-sur-Oise, Grand Prix de Rome 1951 et pensionnaire à la Villa Médicis de 1951 à 1955, Michel Charpentier s’empare du ciment, dès ses premières créations, pour faire de la sculpture. Ce médium trouvé auprès des maçons romains lui laisse assez de temps et de liberté avant de prendre. Et lui permet de modeler homme, femme, cantatrice, enfant, nain, cheval, chien… Ce répertoire unique de formes humaines, animales ou végétales, quelquefois hybrides et menaçantes, au sein duquel le monstrueux côtoie parfois le sublime, le différencie des artistes de son temps. Et en fait un personnage singulier dans l’histoire de l’art du XXe siècle.  Pionnier de la sculpture en béton, Michel Charpentier a bâti une œuvre sans équivalent. Et s’impose comme l’un des artistes majeurs dans ce domaine. Au terme de sa carrière, cette œuvre puissante et vivante, longtemps demeurée dans le secret de sa maison-atelier d’Auvers, fait l’objet d’un vaste mouvement de mise en valeur par de multiples acteurs, institutions, collectionneurs, municipalités, chercheurs… Le chantre du béton Les Cantatrices (1981) et leur « corps opératique » forment un groupe, un chœur de six, mais chacune d’elles fonctionne aussi en solo. [©Clovis Prévost] Dans la rubrique “Esprit Béton” du n° 88 de Béton[s] le Magazine, nous avions consacré deux pages à Michel Charpentier et vous avions fait découvrir son travail tout en béton et proche de la nature. Lire aussi : Michel Charpentier : A la fois bestiaire et corps refigurés La monographie en cours entend mettre en lumière quelque soixante-dix années de création vues à travers le regard d’un photographe de renom, Clovis Prévost, qui embrasse l’ensemble de l’œuvre. Et saisit sur le vif tant le geste du sculpteur que sa pratique du béton. Un récit de la romancière et journaliste Pascale Charpentier, sa fille, nous entraîne sur les pas du créateur. Et situe l’œuvre dans l’histoire de la sculpture contemporaine. Le soutien de Béton[s]le Magazine Version en ciment de La Dame de Bercy (1989). La version en bronze de cette sculpture est installée au ministère de l’Economie et des Finances. Dans les douves du ministère qui sont conçues comme une galerie de sculptures modernes et contemporaines, avec des œuvres de Bourdelle, César… [©Clovis Prévost] Cet ouvrage, par son envergure, totalise quelques 300 pages et 300 photographies. S’il a bénéficié, d’ores et déjà, du soutien de 10 000 € de la Région Ile-de-France, il reste à rassembler la somme de 40 000 €. Le coût étant à la hauteur de ce projet ambitieux, Béton[s] le Magazine sollicite l’ensemble de ses lecteur(ice)s, afin d’aider à cette belle réalisation. Un coût que justifient la haute qualité des reproductions et l’ampleur du projet. « Afin de pouvoir conserver la subvention obtenue de la Région Ile-de-France, nous devons engager les premières dépenses liées au livre. Et ce, avant le 1er avril 2022. » Une situation qui préoccupe tous les acteurs de ce livre d’art qui promet une belle (re)découverte. Ce projet en l’honneur du sculpteur Michel Charpentier a besoin de votre appui, cher(e)s lecteur(ice)s. Soutenez-le ! Contact : editionsnorma@gmail.com
Il y a 3 ans et 156 jours

Le futur CHU de Nantes sera construit sur une île, un choix contesté

"Les travaux sont loin d'être très très avancés", indique Bernard Le Mével, ancien directeur du Centre régional de lutte contre le cancer de Nantes, mais le permis de construire a été délivré en juillet 2019 et la direction du CHU annonce la pose d'une première pierre "fin novembre, début décembre"."Le choix du site va entraîner des surcoûts absolument incroyables, qui pourraient être consacrés à l'achat de matériel", regrette M. Le Mével, membre du "Collectif Stop Transfert", un groupe hétérogène d'anciens médecins, de représentants de la CGT, d'Attac ou encore d'élus LR et LFI.En juillet, ils ont publié une tribune "Nous accusons!", dans laquelle ils dénoncent l'implantation du CHU sur l'île de Nantes, au détriment de Laënnec, un site plus spacieux, à une dizaine de km au nord du centre-ville. Ils assurent que l'hôpital sera "saturé dès le départ, interdisant toute possibilité d'expansion", ou encore que le budget du projet "est largement sous-estimé".Le manque de parkings, les risques d'inondations, les nuisances sonores des avions atterrissant à l'aéroport Nantes Atlantique, ou encore la découverte de bombes non explosées de la Seconde guerre mondiale lors du terrassement, figurent aussi parmi leurs griefs.Toutes ces inquiétudes "se sont exprimées au moment de l'enquête publique, au moment de l'élaboration du permis de construire. C'est derrière nous, le permis de construire est signé, il n'y a pas eu de recours (...) le projet va se faire", tranche de son côté Jean-Jacques Coiplet, directeur général de l'Agence régionale de santé des Pays de la Loire."Tout a été prévu""Il n'y a aucun risque", abonde Philippe El Saïr, directeur général du CHU, où travaillent quelque 12.000 salariés."Toutes les réponses ont été apportées (...) les installations techniques de l'hôpital, par exemple, ne seront pas en sous-sol, seront à des niveaux supérieurs, même si une crue millénaire se produit, tout a été prévu", poursuit-il.Ce projet "a du sens, parce que ce projet va améliorer les conditions de travail des soignants, parce que ce projet va permettre de continuer à avoir des médecins de grande qualité", explique pour sa part la maire PS de la ville, Johanna Rolland.Selon les porteurs du projet, l'installation en centre-ville sera un facteur d'attractivité pour ce "quartier de la santé", qui réunira au même endroit plusieurs sites de l'actuel CHU vieillissant et sera constitué de l'hôpital, d'un pôle d'enseignement, d'instituts de recherche et d'entreprises.Le projet "a maturé dès 2006", insiste M. Coiplet, soulignant que s'il fallait "repartir à zéro, alors là, on se retrouve dans 30 ans!".Mais les rebondissements se multiplient, montrant selon les opposants, que le projet est mal engagé.L'Etat a augmenté sa participation de 175 millions d'euros l'hiver dernier, portant son financement à 400 millions pour ce projet désormais chiffré à 1,2 milliard d'euros, et plusieurs surcoûts sont liés au choix du terrain, estiment les opposants."Il faut revoir toutes les lignes de tramway parce qu'en voiture, c'est très compliqué de circuler parce que vous êtes sur une île tout simplement, et du fait des caractéristiques du sous-sol, on est obligés de mettre des pieux à trente mètres de profondeur pour soutenir" le bâtiment, explique Laurence Garnier, sénatrice et chef de file de l'opposition LR au conseil municipal.Le triple vitrage pour limiter le bruit des avions, ou encore la dépollution liée aux bombes non explosées sont aussi citées en exemple de coûts supplémentaires.Par ailleurs, contrairement à ce qui avait été annoncé, la totalité des activités ne seront pas sur l'île de Nantes, mais un "pôle de longévité" sera créé à Laënnec. Enfin, il y a quelques semaines, le quotidien Presse Océan révélait que le contrat de maîtrise d'oeuvre du futur CHU avait été résilié en mars, faisant craindre aux opposants des retards de livraison.
Il y a 3 ans et 156 jours

Les espaces intérieurs de Jacqueline Salmon

Si Jacqueline Salmon s'est beaucoup intéressée à l'espace construit, qualifier son œuvre de photographie d'architecture serait réducteur. Futurs antérieurs, l'imposante monographie publiée aux éditions Loco témoigne de « toute une vie photosensible », pour citer Georges Didi-Huberman. En quarante ans, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 156 jours

Travail freelance : Artelink lance une plateforme d’intermédiation pour l’ingénierie de la construction

Artelia a annoncé, le 24 novembre, le lancement de la start-up Artelink. Détenue à 80 % par l’ingénieriste et à 20 % par Charrette.club, la société propose une connexion entre travailleurs freelances et employeurs à la recherche de ressources dans les métiers du bâtiment, de l’énergie, de l’industrie ou encore de l’eau et de l’environnement.
Il y a 3 ans et 156 jours

Appel de candidatures – Jardins de Grand-Métis, le Festival international de jardins

Le Festival international de jardins Grand-Métis, Canada, a lancé un appel de candidatures aux architectes paysagistes, architectes, artistes et équipes multidisciplinaires canadiens et internationaux pour participer à sa 23ème édition, ayant pour thème : ADAPTATION. Jusqu’au 11 janvier 2022. Adaptation Les événements liés au changement climatique dans les climats nordiques affectent notre jardin plus que […] L’article Appel de candidatures – Jardins de Grand-Métis, le Festival international de jardins est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 156 jours

La pérennisation des coronapistes à Paris, un chantier au long cours

Entre les célèbres places de la Bastille et de la Nation, la rue du faubourg Saint-Antoine flambant neuve compte désormais une large (2 m) piste cyclable de chaque côté, séparée du reste de la chaussée par une bordure en pierre.Le calme qui en découle est un "bonheur absolu" pour Douchka, 39 ans, serveuse du Café Pierre qui a souffert des travaux. Mi-septembre, alors que les terrasses étaient pleines ailleurs, le bruit des marteaux-piqueurs lui donnait "l'impression d'avoir un aéroport dans la tête", et le bistro perdait "pas mal de monde".Sur l'autre trottoir, le Bidule n'a souffert du bruit "que quelques jours en septembre", dit Vincent, son responsable. "Mais après, c'est nous qui allons morfler", craint-il en désignant la rue perpendiculaire dans laquelle les blocs de béton, synonymes de piste cyclable provisoire, laissent deviner un futur chantier."Montée en puissance"Avenue de la République, les travaux ont débuté et ceux de l'axe gare Saint-Lazare - Porte de Saint-Ouen ne devraient pas tarder: avec les 80 millions d'euros provisionnés par David Belliard, l'adjoint (EELV) à la transformation de l'espace public, pour la pérennisation des pistes provisoires, "on va avoir beaucoup de chantiers vélo en même temps d'ici 2024", anticipe Jacques Baudrier (PCF), son collègue chargé de la construction publique."La montée en puissance des chantiers, c'est en ce moment, début 2022 ils seront beaucoup plus importants", insiste l'élu communiste en réponse aux associations de cyclistes qui auraient aimé, comme Jean-Sébastien Catier, président de Paris en selle, "que ça embraye un peu plus rapidement après l'élection" municipale de juin 2020.C'est à cette période que les coronapistes, créées dès le début de la crise sanitaire pour désengorger les transports en commun, surgissaient presque du jour au lendemain dans la capitale. Depuis, "il ne s'est pas passé grand-chose en termes de travaux", déplore M. Catier.M. Baudrier rétorque que "les pistes provisoires ont été installées jusqu'à fin 2020" et 2021 a servi à attribuer les appels d'offre avec "des lots beaucoup plus importants" pour les entreprises retenues. Et que l'augmentation en moyens humains de la mission aménagement cyclable (Macy), forte d'une dizaine d'agents, permet déjà d'aller plus vite."Pour se mettre au vélo, les Parisiens n'attendaient que la création d'aménagements sécurisés", estime la mairie. David Belliard présentera jeudi en conseil municipal le plan vélo pour la mandature (2021-2026), doté de 250 millions d'euros, soit bien plus que le précédent (environ 150 millions), pour faire de la capitale "une ville 100% cyclable".En 1995, 5 petits kilomètresSelon la mairie, l'Ile-de-France compte actuellement environ 800.000 déplacements cyclistes par jour, et la part des déplacements à vélo dans la capitale s'élève désormais à 5,6%, quand celle de la voiture individuelle ne représente plus qu'environ 9%.Et dans un rapport d'avril 2020, l'Ademe prévoit une explosion de la pratique entre 20 et 28% à l'horizon 2030... une révolution en l'espace d'un quart de siècle, au cours duquel la Ville Lumière est passée de 5 km de voies cyclables à près de 1.100!Comme la grève de 1995, lorsque "les gens se sont mis à faire du vélo" faute de transports en commun, la crise sanitaire a donné "un coup d'accélérateur" à cette "tendance de fond", souligne Patricia Pelloux, directrice adjointe de l'Apur, l'agence d'urbanisme sur laquelle s'appuie la Ville.Les coronapistes ne font pas que des heureux. Ainsi, le maire (LR) du XVe arrondissement, Philippe Goujon, estime que depuis l'aménagement d'une piste "au mois d'août sans prévenir les habitants", la rue Vaugirard "vit un enfer", avec des "conflits d'usage à tous les carrefours".Alexis Frémeaux, président de l'association Mieux se déplacer à bicyclette, relativise: si "ces coronapistes ont été très utiles, elles ont été faites rapidement et on voit bien qu'elles ont certains défauts". Pour ce cycliste, "la pérennisation va permettre d'améliorer la visibilité et le confort pour tous les usagers, cyclistes et autres".
Il y a 3 ans et 157 jours

L'Etat publie un guide d'utilisation des nouveaux CCAG

RÉGLEMENTATION. Les pouvoirs publics viennent de publier un guide pour accompagner les acteurs dans la prise en main des nouveaux CCAG.
Il y a 3 ans et 157 jours

Suite aux ratés du nouveau DPE, les diagnostiqueurs immobiliers demandent une indemnisation

Grâce à un travail de fond mené ensemble sur les coûts de revient des rééditions (coûts directs pour la vérification, la 2e visite sur certains biens, la saisie-réédition / coûts indirects de pédagogie, d’explications, de réponses aux clients, et de surcharge de travail), les fédérations CDI-FNAIM, FIDI et LDI ont obtenu pour la profession une indemnisation globale de réédition d’un montant de 60 € (montant non assujetti à TVA). Cette indemnité prend en compte la réédition ainsi que les points vus au paragraphe précédent, dont la revisite d’un certain nombre de biens, estimé entre 25 et 30 %.Cette réparation doit permettre de rééditer les DPE selon la procédure communiquée par le ministère du Travail et accessible de nouveau ici.
Il y a 3 ans et 157 jours

Le nouvel office de tourisme de Versailles, "trait d'union" entre classicisme et modernité

PROJET. Le nouvel office de tourisme de la préfecture des Yvelines se fixe deux objectifs : renforcer l'axe stratégique reliant le Nord au Sud de la ville, en valorisant notamment l'arrivée des touristes, mais également rappeler aux visiteurs que le château du Roi-Soleil n'est peut-être pas la seule attraction, et que la cité qui l'environne mérite aussi un détour.
Il y a 3 ans et 157 jours

Potentiel du recyclage et du réemploi

Alexandra Lebert - Photo : Raphaël DautignyL'ambition du CSTB est de montrer le potentiel du recyclage et du réemploi et d'être un facilitateur. Il s'agit, par exemple, de permettre aux collectivités d'anticiper les flux de déchets à venir et les filières à accompagner, d'aider à lever les freins sur la contractualisation pour les aménageurs, de diffuser des guides de bonnes pratiques et des outils numériques pour optimiser la phase de déconstruction, qui a un rôle pivot dans la valorisation des déchets. Toujours en tant qu'évaluateur, nous devons sécuriser les pratiques : que ce soit à l'étape du diagnostic dans le bâtiment en fin de vie en vue du réemploi de ses constituants, en centre de reconditionnement avant la remise sur le marché, ou en permettant une plus forte intégration de matières recyclées dans les nouveaux produits. Et, en tant qu'accompagnateur de l'innovation, nous devons jouer un rôle de tiers de confiance dans la caractérisation des performances dans l'écoconception, aider à l'identification de débouchés pour les gisements de matières recyclées, accompagner les filières de réemploi dans l'identification des performances à justifier et des moyens de le faire. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 157 jours

BTP et transition écologique : deux maîtres-mots, transversalité et industrialisation

DÉBATS. La transition environnementale dans le secteur du BTP sera à l'origine d'évolutions de tous ordres, au sein du secteur. Divers acteurs ont échangé sur ce thème lors des Rencontres de la construction, organisées le 23 novembre 2021 par Entreprises générales de France (EGF.BTP).
Il y a 3 ans et 157 jours

Escalier escamotable LWL Extra

Il y a 3 ans et 157 jours

RE2020 : les acteurs entre appréhension et motivation

TABLE RONDE. A l'occasion d'une table ronde de l'édition 2021 d'EnerjMeeting Lyon, plusieurs acteurs de la construction sont revenus sur la mise en place de la RE2020 évoquant leurs doutes, mais aussi leur volonté de relever le défi.
Il y a 3 ans et 157 jours

Grand Paris Express : la SGP opte pour la co-promotion systématique sur son foncier

DÉVELOPPEMENT URBAIN. La stratégie urbaine de la Société du Grand Paris, dévoilée le 24 novembre, implique de garder autant que possible la maîtrise du million de mètres carrés de projets immobiliers qui doivent être réalisés sur le foncier qu'elle détient. Une filiale va être créée pour monter, projet par projet, des opérations de co-promotion. Le budget pour 2022 de l'établissement public a par ailleurs été adopté.
Il y a 3 ans et 157 jours

A Aubervilliers, les travaux du centre aquatique olympique peuvent "légalement reprendre"

PARIS 2024. La Cour administrative d'appel de Paris fait à nouveau machine arrière dans un dossier olympique. Après avoir suspendu le permis de construire initial, elle a en effet autorisé la reprise des travaux de la piscine d'entraînement à Aubervilliers, la mairie ayant proposé des changements au projet jugés satisfaisants.
Il y a 3 ans et 157 jours

Le changement de contrat d'assurance emprunteur bientôt possible à tout moment ?

"Je suis favorable à la proposition de loi de (la députée) Patricia Lemoine (Agir ensemble), parce que je pense que c'est une proposition juste et là aussi protectrice du pouvoir d'achat des Français", a affirmé Bruno Le Maire sur Franceinfo.Il faut "mettre de la concurrence pour réduire les coûts", a-t-il justifié."Aujourd'hui votre assurance emprunteur vous ne pouvez la modifier que la première année et ensuite à une date anniversaire. (...) Là, ça va être plus simple, plus rapide et à tout moment vous pourrez modifier votre assurance emprunteur, votre assurance crédit, si vous estimez que vous pouvez trouver mieux et moins cher ailleurs", a expliqué le ministre.L'assurance emprunteur couvre divers risques comme le décès, la maladie ou l'invalidité, protégeant à la fois les emprunteurs et les banques contre un éventuel défaut de remboursement.Répondre aux inquiétudes sur le pouvoir d'achatSelon une évaluation de Bercy, pour un primo-accédant qui a emprunté 250.000 euros à 35 ans pour acheter son premier logement, une telle mesure "pourra lui faire économiser sur la durée de son prêt sur 25 ans, près de 4.000 euros", a détaillé Bruno Le Maire.La proposition sera examinée en première lecture au Palais Bourbon dans le cadre d'une journée réservée au groupe Agir ensemble, composante de la majorité.Elle bénéficie d'une procédure dite "simplifiée" permettant un examen plus rapide par les deux chambres, avec pour objectif une entrée en vigueur dans les prochains moins, avant la fin de la législature. Ses clauses seront valables pour les contrats à venir et en cours.Des dispositions similaires déjà examinées par les parlementaires ces dernières années n'avaient pu aboutir face aux réserves du gouvernement et à l'hostilité des banques, qui détiennent 88% du marché de l'assurance emprunteur et accusées de faire obstruction.Ces dernières sont en position privilégiée pour proposer leurs propres assurances emprunteur à leurs clients, une situation dénoncée par les assureurs et les associations de consommateurs.Mais face aux inquiétudes actuelles des Français sur le pouvoir d'achat, "le gouvernement a acquis l'intime conviction que c'est le bon moment" pour procéder à cette réforme, a déclaré Mme Lemoine lors d'une conférence de presse de son groupe.Le marché de l'assurance emprunteur est évalué à près de 10 milliards de cotisations par an, et concerne près de 7 millions de propriétaires ayant un crédit en cours.M. Le Maire s'est dit aussi favorable à une autre mesure de cette proposition de loi, qui prévoit "l'ouverture d'un travail avec les banques et assureurs sur les discriminations d'accès à l'assurance emprunteur quand on a été malade"."Ca aussi c'est une question de justice fondamentale", a souligné le ministre, ajoutant souhaiter que le droit à l'oubli sur les antécédents de cancer, actuellement de dix ans, soit raccourci.