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Il y a 3 ans et 168 jours

NOMINATION QUINOA GROUP : Romain SALMERON – Nouveau Responsable Marketing de Quinoa Résidentiel

Depuis Septembre 2021, Romain SALMERON a rejoint l’équipe du pôle Résidentiel de Quinoa Group, spécialiste du traitement et de la qualité de l’air, comme Responsable Marketing.   Diplômé d’un double Master en Marketing et en Management obtenu à l’EDHEC Business School de Lille, Romain SALMERON a acquis une solide expérience ces 10 dernières années en BtoB et BtoC, dans des secteurs variés tels que la bureautique, les solutions logicielles ou les biens d’équipement. Avant de rejoindre le pôle Résidentiel de Quinoa, il a notamment occupé les postes d’Account Manager pour les réseaux Plein Ciel/Calipage, puis de Product Manager chez Sharp, et récemment la responsabilité marketing des gammes de colles et d’adhésifs de bricolage UHU au sein du groupe Bolton. Romain SALMERON a pour mission de poursuivre le développement des marques du pôle Résidentiel sur leur secteur d’activité. Il élaborera, mettra en œuvre et contrôlera les actions marketing relatives aux différentes gammes de produits.     Le Groupe Quinoa Basé à Vaux-le-Pénil (Seine-et-Marne), Quinoa Group est organisé autour de 2 pôles et 7 marques principales : – Pôle Professionnel : Hydronic (centrale de traitement d’air), Sotis (leader français de la fabrication-pose de gaines rectangulaires et circulaires) et Panol (sécurité incendie, grilles de ventilation, protection solaire). –  Pôle Résidentiel : Autogyre (traitement de l’air), DMO (distribution d’air chaud), Strulik (flexibles) et Panol (traitement de l’air).
Il y a 3 ans et 168 jours

Nicoll renouvelle son partenariat avec Nexity et signe avec Aegide-Domitys

De l’évacuation des eaux aux réseaux de distribution et à la ventilation des bâtiments, l’entreprise a su se distinguer au fil du temps par la qualité, la fiabilité et la durabilité de ses produits et services. Déjà partenaire de Nexity depuis 2019, Nicoll est de nouveau choisi par le premier promoteur immobilier français pour équiper ses logements neufs. De plus, Nicoll va également équiper désormais les résidences seniors d’Aegide-Domitys, leader du secteur.Nicoll, partenaire du premier groupe immobilier français intégréActeur français majeur de l’immobilier, Nexity intervient sur l’ensemble des métiers de la promotion et des services. Le Groupe, qui collabore avec Nicoll depuis 2019, vient de renouveler ce partenariat avec le référencement de produits sanitaires pour équiper ses logements neufs. Pour répondre aux demandes croissantes de WC suspendus, à la fois modernes, hygiéniques et ergonomiques, Nexity a en effet référencé le bâti support Nicoll SOLEMUR®.Laetitia MOUSTIE, Directrice Achats & Process Nexity Immobilier résidentiel précise : «Nexity place de la satisfaction de ses clients au cœur de ses priorités et choisit pour eux les équipements les plus sains et les plus robustes. Nous sommes très heureux de poursuivre aujourd’hui notre partenariat avec Nicoll pour équiper nos logements neufs avec des solutions de gestion des fluides fiables et efficaces ».La fabrication française des solutions Nicoll est également un critère de choix. Nexity privilégie les circuits courts et cette proximité garantit en outre une grande réactivité. Pour des équipements esthétiques et parfaitement personnalisés, les plaques de commande double volume à boutons ronds et Rec viennent compléter cet équipement.Les solutions Nicoll sont exposées au sein des showrooms régionaux, dans lesquels les acquéreurs d’un logement neuf peuvent se projeter et découvrir les collections et notices correspondantes, chaque “notice” se rapportant aux gammes de logements Nexity et à un certain nombre d’options. Les produits Nicoll équipent ainsi les logements haut de gamme de Nexity (“Anthracite” et “Black”) et sont proposés en option premium dans les logements “entrée de gamme” (“White” et “Perle”). Les produits Nicoll participent ainsi pleinement à la montée en gamme de l’offre de logements Nexity.Les solutions Nicoll sont en outre référencées dans l’outil de prévisualisation «Inside» que vient de lancer Nexity. Ce logiciel permet une immersion (en 2D, 3D et en mode piéton) dans les appartements ou lots proposés par Nexity.L’investisseur et/ou l’acquéreur peuvent ainsi personnaliser leur intérieur en choisissant les produits et options et en obtenant un aperçu du rendu final.Nouveauté cette année, Nicoll a été choisi par Nexity pour l’équipement des résidences seniors de sa filiale Aegide Domitys. Les produits référencés sont également le bâti-support SOLEMUR et les plaques de commande REC mais aussi les plaques Sourire.Focus sur Nicoll SOLEMUR®Développé par Nicoll et fabriqué en France, le bâti-support SOLEMUR® s’impose dans de nombreux projets comme une solution universelle technique, grâce à son design et à sa facilité de pose. Côté technique, son châssis autoportant NF et sa pipe orientable de diamètre 100 mm lui permettent de s’adapter à un maximum de configurations de chantiers.De plus, SOLEMUR® allie performance et sécurité feu pour l’installation, avec accès au réservoir par gaine technique : manchon, tube de rinçage et pipe en PVC NFMe. Sa conception a été étudiée pour simplifier l’intervention des installateurs. Muni de deux trappes d’accès, l’équipement permet un raccordement facile à l’alimentation et une bonne visibilité. Le raccordement s’effectue de plus à l’intérieur du réservoir, ce qui réduit les risques de dégât des eaux : en cas de fuite, l’eau s’écoule dans la cuvette par le trop-plein du réservoir.Titulaire de la marque NF017 Appareils Sanitaires, SOLEMUR® peut résister à une charge de 400 kg et répond à la norme NF D12-208, comme l’atteste le CSTB. Le mécanisme à câble préréglé dont dispose SOLEMUR® est gage d’une installation et d’une maintenance aisées. Enfin, la gamme offre une garantie de 10 ans sur les châssis et réservoirs, et de 5 ans sur les mécanismes et robinets flotteurs.
Il y a 3 ans et 168 jours

Boisgervilly : l’école « La Rose-des-Vents » gagnera prochainement en surface

Les travaux d’extension de l’école « La Rose-des-Vents » prendront fin d’ici la prochaine rentrée.
Il y a 3 ans et 168 jours

Calendrier fragilisé pour l’objectif Zéro artificialisation nette

L’objectif Zéro artificialisation nette butte sur la première échéance fixée par la loi Climat et résilience du 22 août 2021 : celle des conférences régionales des schémas de cohérence territoriale (Scot), qui doivent se réunir avant le 22 février prochain. Les maires et les régions de France demandent un report d’un an.
Il y a 3 ans et 168 jours

Calder, Villanueva, le diable et sa chaise

C'est l'Espagnol Josep Lluis Sert, auteur notamment de la Fondation Miro à Barcelone, qui "rend possible la rencontre" entre les deux hommes en 1952, dans l'atelier du sculpteur américain dans le Connecticut, explique à l'AFP la fille de l'architecte, Paulina Villanueva.Spécialisé dans les bâtiments publics au Venezuela, Carlos Raul Villanueva espère convaincre Calder d'être un des artistes qui, comme Arp, Leger ou Vasarely, figureront sur les esplanades de l'Université, aujourd'hui classée au patrimoine mondial de l'Unesco."Quand mon père montre les plans de l'université, Calder est émerveillé, mais il dit que c'est un projet trop ambitieux. Que s'il (Villanueva) réussit à le réaliser, il n'est pas un homme, mais un diable !", raconte Paulina."Calder accepte de participer. Au début, il était prévu qu'il soit un des artistes de la place couverte. Calder dit +Non+, il veut être à l'intérieur. De cette décision naissent +Les nuages+ de l'Aula Magna", dit-elle.Trois ans plus tard, Calder est à Caracas, pour son unique voyage au Venezuela. L'Aula magna est terminée et Calder la découvre : "Il est émerveillé. A partir de ce moment, il a toujours appelé mon père le diable", raconte Paulina.Pendant son séjour, Calder travaille dans un atelier et réalise une chaise typique de son oeuvre qu'il baptise la "chaise du diable" pour l'offrir à son ami.Celle-ci se trouve toujours dans la Villa Caoma, la résidence personnelle de Villanueva qu'il a réalisée lui-même. "Il n'y pas un architecte qui soit venu dans cette maison et qui ne s'y soit pas assis !", dit en riant Paulina Villanueva, elle-même installée sur l'oeuvre aux amples ailes noires.Les deux hommes ont ensuite entretenu une correspondance régulière jusqu'à la mort du Vénézuélien. Dans ses courriers, Calder dessinait toujours un diable ou une queue de diable, souligne Paulina. Dans la maison, plusieurs croquis ou mots signés de "Sandy" (surnom de Calder) sont toujours accrochés aux murs.
Il y a 3 ans et 168 jours

Les Canalisateurs du Sud-Est se mobilisent contre le changement climatique et la raréfaction de l'eau en PACA-Corse

Dans l'objectif d'agir pour anticiper le changement climatique, les participants à cette 9e édition ont travaillé sur la sécurisation de la ressource en eau et la valorisation des eaux usées.Collaboration entre le Canal de Provence et le Canal de Marseille, stockage de l'eau, installation prochaine d'un Parlement de l'Eau, prise en considération des milieux aquatiques et « Re-Use », les solutions... et les défis sont nombreux. Si l'esprit visionnaire des anciens a été salué à plusieurs reprises, de la qualité du lien qui unit collectivités locales et entreprises de la région dépend la gestion durable de l'eau ainsi que... son succès, même si une prise de conscience nationale est urgente et nécessaire.« La gestion durable de l'eau est un équilibre subtil et fragile entre pompage, stockage et partage » souligne Yves BOURDAIS délégué régional PACA Corse des Canalisateurs du Sud-Est, en accueil de ces 9e rencontres, qui contribuent à renforcer le lien entre entreprises, collectivités et syndicats des eaux du territoire. « Agriculture, industrie, énergie, tourisme, consommation d'eau potable et milieux naturels aquatiques longtemps négligés..., tous ont besoin de ce bien devenu rare et... trop bon marché ! Il est vital que collectivement, nous travaillons main dans la main à la gestion globale de l'eau, pour nous et nos générations futures. C'est le sens de cette journée de travail qui nous uni ! » précise Yves BOURDAIS.« Dans le contexte de réchauffement climatique actuel, la gestion de la ressource en eau nous concerne tous ! Nous n'allons pas créer de l'eau en plus. Il faut donc maîtriser cette richesse absolue, cet or bleu qui nous est confié, en le canalisant et en l'économisant ! » précise Michel REGUILLON, président des Canalisateurs du Sud « nous posons des maillons étanches et nous canalisons l'eau pour tous les usagers, dans le respect des milieux naturels ; nous sommes des acteurs de la réduction de la consommation d'eau et pas de simples poseurs de tuyaux ! » Les Canalisateurs du Sud-Est - qui ont accusé en 2020 une baisse de 13% d'activité par rapport à 2019 - vont continuer les actions en faveur du grand cycle et du petit cycle de l'eau, dans le cadre du plan d'action 2021-2024. Sur cette période, les Canalisateurs du Sud-Est - qui représentent 118 entreprises pour un total de 9 000 salariés en Rhône-Alpes-PACA-Corse continueront à fédérer toujours plus les entreprises adhérentes pour défendre les intérêts de la profession, promouvoir ses métiers et agir pour la transition écologique. « Avec des rencontres comme celle d'aujourd'hui, nous renforçons le partenariat entre entreprises de canalisations, maîtres d'ouvrage et maîtres d'œuvre, tout en sensibilisant les pouvoirs publics et le grand public sur les enjeux liés à l'eau. » souligne Michel REGUILLON.Sécuriser la ressource en eau devient impératif ; Il y a déjà des conflits d'usage...Si l'approvisionnement en eau de la région PACA est relativement sécurisé grâce au barrage de Serre-Ponçon (83), la vision est un peu faussée ...« Le changement climatique d'ici à 2050 et la baisse de 10 à 20% de la ressource naturelle vont mettre le système en tension et la distribution va être compliquée ! alerte Philippe PICON, directeur de la ressource en eau du Syndicat Mixte d'Aménagement de la Vallée de la Durance (SMAVD) qui porte une démarche de gestion devenue « ultra-fine » entre l'impétuosité de la Durance et les impératifs du barrage de Serre-Ponçon construit en 1962 initialement pour recueillir l'eau de la fonte des neiges afin de faire face à un manque d'eau.Le ton de la journée est donné, repris par Hervé PAUL, président de la Régie Eau d'Azur, Vice-Président de Métropole Nice Côte d'Azur (MNCA) mobilisé à la fois par la reconstruction complète des assainissements de la vallée de la Vésubie (sans pénurie d'eau), par l'augmentation des capacités de pompage en raison des étiages mi-août- pendant la période de plus forte consommation - et des conflits d'usages en alimentation d'eau potable Var v/s Nappe phréatique...qui commencent à émerger.Le changement climatique influe également sur la qualité de l'eau dont la température de 25 °C augmente régulièrement chaque année ! « Notre action est de veiller à sa potabilité. Pour cela, nous amenons de l'eau pure plus froide grâce à une collaboration entre le Canal de Provence et le Canal de Marseille » soulignent à l'unisson Didier REAULT, Vice-Président Environnement, Eau & Assainissement de la Métropole Aix Marseille Provence (MAMP), Administrateur de l'Agence de l'Eau Rhône Méditerranée Corse, Vice-Président du Conseil Départemental des Bouches du Rhône et Benoit MOREAU, directeur du développement du Canal de Provence. « Et pourquoi ne pas couvrir les canaux de panneaux solaires pour maintenir la qualité d'eau fraiche en dessous ? » souligne ce dernier qui rappelle que le principe de financement de l'eau « l'eau paie l'eau » a pour objectif d'investir et de rénover les infrastructures et que son excédent n'a pas vocation à financer la biodiversité.Le prochain Parlement de l'Eau permettra d'envisager l'avenir collectivementPartagée entre agriculteurs, industriels, consommateurs d'eau potable, touristes, énergéticiens et milieux aquatiques, la ressource en eau et sa sécurisation sont les enjeux collectifs des prochaines décennies. La mise en place prochaine d'un Parlement de l'Eau, dans le cadre du Schéma Aménagement Gestion des Eaux, est très attendue ! Il réunira près de 120 personnes Collectivités, Usagers de l'eau et Administrateurs de l'Etat « Nous allons pouvoir faire de la prospective pour envisager l'avenir, préserver l'accès à l'eau pour tous tout en préservant les milieux aquatiques et optimiser l'utilisation des fonds européens ! » soulignent Philippe PICON et Hervé PAUL enthousiastes mais néanmoins inquiets pour l'avenir de leur territoire !Le taux d'eaux usées réutilisées est de 98% en Israël, 80% en Espagne et 0,6% en France. Le Re-Use a fait ses preuves... à l'étranger. En France, il y a trop de contraintes !« Au Qatar où le stress hydrique est fort et où la température monte à 54°C l'été, 100% des eaux usées sont réutilisées, mais il n'y a pas de schéma directeur et les camions font la queue à la station d'épuration... En Israël, le taux d'eaux usées réutilisées est de 98%, 80% en Espagne et 0,6% en France. » souligne Gautier MAIN, Directeur Pôle technique eaux urbaines d'EGIS Eau.Le Re-Use a fait ses preuves et a donc de beaux jours devant lui comme le souligne Eric LAHAYE, Directeur Régional de VEOLIA PACA, qui a mis en place la réutilisation, dès 2006, les eaux usées pour arroser le Golf de Sainte-Maxime (83), et ce dans le respect des qualités physico-chimiques. « Nous avons contribué à la réduction de 12% de la consommation d'eau potable du golf, qui avec des besoins de 12 000 m3 par jour, est le plus gros consommateur d'eau potable du département du Var », précise-t-il.Cette solution pourrait être étendue aux nettoyages et arrosages des centre-ville ainsi qu'à l'irrigation des terres agricoles, mais elle se heurte en France à une réglementation qui fixe une qualité d'eau forte. Malgré la surveillance et des règles draconiennes, l'Agence Régionale de la Santé (ARS) souhaite éviter tout risque sanitaire. L'élimination du paracétamol par exemple et autres perturbateurs endocriniens reste problématique. « Il y a des néanmoins des signes encourageants » souligne Marion BOUCAULT, Directrice régionale d'EGIS Eau, et « l'état d'esprit des décideurs et du grand public évoluent ; les nouveaux projets imposent des critères eaux durables comme pour nettoyer les bateaux par exemple ! ».L'objectif serait d'aller vers 100% des eaux issues des stations d'épuration (STEP) soulignent les trois intervenants, sans rêver. Il y a bien à ce jour quelques projets, comme à Cannes (06) pour nettoyer les véhicules techniques de la ville avec des eaux usées et Sables d'Olonne en Vendée (85) avec le Projet Jourdain de la STEP qui crée une zone de rejet bio pour alimenter l'eau potable... mais c'est bien trop peu.La nappe du Var est un véritable enjeuL'occasion pour Annick MIEVRE, Directrice de la Délégation PACA Corse de l'Agence de l'Eau (photo de gauche) de rappeler son action au service des collectivités pour aider les projets dans le domaine du petit cycle et grand cycle de l'eau. A ce jour, la moitié du programme est utilisé pour des projets d'assainissement ainsi que pour des actions de mesure du SDAGE, des projets de désimperméabilisation, rétention et séparation de réseaux Eaux Pluviales Eaux Usées afin de limiter le déversement d'eaux usées dans les milieux... Et sur les 180 millions € du plan de rebond mis en place dans le cadre de la crise sanitaire, 43 millions € ont été consommées en PACA Corse. « Mais aujourd'hui un usager souffre, c'est le milieu naturel. Il n'a pas suffisamment d'eau pour fonctionner normalement. La nature rend des services gratuits, le cours de l'eau recharge la nappe mais la biodiversité s'éteint. Il faut économiser l'eau potable pour résoudre les problèmes à venir de déficit en eau » alerte Annick MIEVRE comme un cri d'alarme.... « Nous n'en sortirons que par la solidarité, que si on travaille ensemble, la nappe du Var est un véritable enjeu ! »Il faut une ambition nationale !Le président des Canalisateurs Alain GRIZAUD (photo de droite) souligne que la prise de conscience collective qui ressort de cette journée de travail riche en témoignages et exemples doit non seulement se faire à l'échelle des métropoles mais aussi à l'échelle de tout le territoire national. « Nous ferons remonter au gouvernement les initiatives du terrain et nous recevrons les candidates et les candidats à l'élection présidentielle. Il faut une ambition nationale ! »
Cimbat
Il y a 3 ans et 168 jours

Bobigny : réfection du réseau d’assainissement de la rue du Jura

La réhabilitation du réseau d’assainissement de la rue du Jura se poursuivra jusqu’en février 2022.
Il y a 3 ans et 168 jours

Albertville : le stade municipal Jo-Fessler se modernise

Le complexe sportif Jo-Fessler se présentera sous une nouvelle apparence d’ici le second semestre 2022.
Il y a 3 ans et 168 jours

Le cours Lafayette fermé pour travaux

Le cours Lafayette fait l’objet de divers travaux d’aménagement. Ce chantier de trois mois environ perturbera la circulation dans cette zone.
Il y a 3 ans et 168 jours

La buse de nottoyage PlusClean d’Alfa Laval PlusClean révolutionne le nettoyage des cuves avec une couverture à 100 %

Avec sa nouvelle buse de nettoyage PlusClean®, le portefeuille de produits de nettoyage de cuves d’Alfa Laval fait un pas de géant. La buse PlusClean offre une couverture de nettoyage à 100 % de la cuve, jusqu’à 80 % d’économies en eau et en produits de nettoyage, et garantit l’absence de contamination des produits. Associée à un dispositif de nettoyage monté sur le dessus et à un système de rinçage installé sur la paroi ou sur le fond de la cuve, PlusClean augmente la productivité tout en réduisant le coût total de possession. Pas de zones oubliées, pas de risque de contamination « Lors du processus de nettoyage de cuve, les buses PlusClean d’Alfa Laval ne laissent aucune chance aux contaminants », déclare Janne Pedersen, responsable du portefeuille international des équipements de nettoyage de cuves, Alfa Laval. « Maintenant, la promesse d’un nettoyage optimal des cuves est une promesse réaliste. Pas de zones oubliées et pas de risque de contamination du produit. C’est tout. » Facile à installer, simple à utiliser Grâce à son système de pulvérisation optimisé à fort impact, la buse PlusClean nettoie à 100 % les zones difficiles d’accès que les autres buses de nettoyage ne peuvent pas atteindre. Installée sur la paroi ou du fond de la cuve, la buse de nettoyage est dotée d’une fonction de réglage intégrée révolutionnaire qui facilite l’installation et l’utilisation, pour un nettoyage sans faille même dans les zonnes difficiles d’accès comme sous les pales de l’agitateur. Cela garantit un nettoyage de la cuve complet et inégalé par les autres dispositifs. Avantage concurrentiel Idéale pour les industries pharmaceutique, laitière, alimentaire, des boissons et des soins personnels à domicile, cette buse de nettoyage novatrice vous offre un résultat inégalé et améliore l’efficacité et la sécurité des process ainsi que la qualité des produits. Ceux qui choisissent d’intégrer la buse PlusClean à leurs processus de nettoyage de cuve bénéficient d’une productivité supérieure et d’un avantage concurrentiel. Notre priorité : la durabilité Le développement durable est au cœur des activités d’Alfa Laval, et c’est dans cette optique que la buse PlusClean a été conçue. Cette buse de nettoyage révolutionnaire vous permet de réaliser d’importantes économies d’eau et de produits de nettoyage, réduisant ainsi votre impact sur l’environnement. Pour les applications hygiéniques exigeantes La buse PlusClean d’Alfa Laval est vendue sous la forme d’une buse actionnée par ressort pour le nettoyage des cuves pour process hygiéniques. Une version spéciale à entraînement pneumatique est également disponible. Pour le nettoyage des cuves de process stériles et aseptiquess, nous proposons la buse PlusClean UltraPure d’Alfa Laval, qui est accompagné de la documentation Q-doc d’Alfa Laval pour assurer une traçabilité complète tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Découvrez comment la couverture de nettoyage à 100 % de la buse PlusClean d’Alfa Laval augmente le rendement tout en réduisant les coûts. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.alfalaval.com/plusclean. Pour plus d’informations, veuillez contacter les personnes suivantes : Janne Pedersen Responsable du portefeuille mondial, équipements de nettoyage de cuves, Alfa Laval Téléphone : +45 22 77 84 52 E-mail : janne.pedersen@alfalaval.com Marianne Hojby Responsable de la communication marketing chez Alfa Laval Mobile : +45 28 95 44 71 Adresse électronique : marianne.hojby@alfalaval.com Présentation d’Alfa Laval L’entreprise Alfa Laval est active dans les domaines de l’énergie, de la marine ainsi que dans celui de l’alimentation et de l’eau. Elle offre son expertise, ses produits et ses services à de nombreuses industries dans une centaine de pays. Elle s’est engagée à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs commerciaux et de développement durable.  Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à améliorer l’efficacité énergétique, la récupération de chaleur et le traitement de l’eau ainsi qu’à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès de ses clients, mais également celui des personnes et de la planète. Pour améliorer le monde, chaque jour. C’est tout cela, Advancing betterTM. Alfa Laval compte 16 700 employés. En 2020, ses ventes se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.com
Il y a 3 ans et 168 jours

Équerre d'argent 2021: zoom sur les cinq nommés de la catégorie Culture, jeunesse et sport

  Découverte en détails des cinq réalisations en lice pour obtenir l'Équerre d'argent 2021, dans la catégorie Culture, jeunesse et sport. Au total, vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont dans la course. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 novembre 2021, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 168 jours

La synagogue de Schirmeck fait partie des lauréats du prix national dédié au patrimoine

Grâce à un prix de la Fondation du patrimoine, plusieurs travaux seront menés à la synagogue de Schirmeck.
Il y a 3 ans et 168 jours

Le nouvel isolant Foamglas T3+ contribue à la lutte contre le réchauffement climatique

Les plaques FOAMGLAS® T3+, FOAMGLAS® READY T3+ et FOAMGLAS® FLOOR BOARD T3+ sont constituées de verre cellulaire dernière génération de qualité T3+. Elles permettent d’isoler thermiquement toutes les parois du bâtiment, du sol à la toiture, sur tous types de supports (sol stabilisé, béton, maçonnerie, bois, bac acier).La conductivité thermique du verre cellulaire T3+ est de 0,036W/m2.K. Par exemple, pour une épaisseur de 18 cm, sa résistance thermique Rth est de 5 m2.K/W et sa conductance thermique U est de 0,20 W/m2.K, garanties 25 ans.Classement ISOLE : I5 S2 O3 L3 E5Classement spécifique pour les sols : SC1 a1 ChLes conclusions du FIW (Institut de recherche et d’essais pour l’isolation thermique - Munich) sont sans équivoque.* Déclaré dans la fiche FDES - EPD-PCE-20200300-IBB1-EN, publié par l’IBU.
Il y a 3 ans et 168 jours

En Charente-Maritime, un chai de stockage enveloppé de pisé par Atelier Rural

Au sein du domaine de Fontanière à Archiac (Charente-Maritime), spécialisé dans la culture de la vigne, le nouveau chai d'Atelier Rural, dévolu au stockage d'eau-de-vie, fait la part belle à la terre crue. C'est dans un site rural, proche d'un étang, sur une terre argileuse de mauvaise qualité impropre à un emploi en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 168 jours

Maison flottante en bois sur portage Bay (Seattle – Usa)

L’une des maisons flottantes emblématiques de Seattle, le 1214E. Hamlin St est une propriété de trois chambres à coucher située dans la baie de l’université de Washington aux États-Unis. On peut retrouver plus précisément la maison flottante dans la communauté très prisée de Hamlin Cove. Remplie de lumière naturelle et de vues panoramiques sur l’eau, […]
Il y a 3 ans et 168 jours

« J'invite les élus à se former à la lutte contre l'artificialisation », Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales

Le ministère de la Cohésion des territoires accompagne les collectivités dans la marche vers l'objectif zéro artificialisation nette, en veillant à la prise en compte de la diversité des contextes.
Il y a 3 ans et 168 jours

Les sept pionnières de la sobriété foncière

Expérimentation - Un appel à projets lancé en 2020 vise à aider les collectivités dans leur démarche de limitation de l'étalement urbain.
GDA
Il y a 3 ans et 168 jours

Wavin Academy

Expert en solutions destinées à la collecte des eaux pluviales et usées pour le Bâtiment et les Travaux Publics, Wavin considère la formation des équipes de ses partenaires comme une priorité. Le développement international des centres de formation a donné naissance à un nouveau concept : la Wavin Academy. Le fabricant se pose comme objectif de mettre en place des centres de formation dans l'ensemble des pays où il est implanté.
Il y a 3 ans et 168 jours

Solichape Ultra : la nouvelle solution HIRSCH Isolation pour l'isolation sous chape en pose collée

HIRSCH Isolation, filiale du leader européen du polystyrène expansé, propose des solutions d'isolation sur-mesure fabriquées en France. Avec ses 6 usines à travers l'hexagone, l'entreprise ne cesse d'innover pour être au plus proche des besoins des professionnels et des particuliers. Ses équipes, engagées pour construire des bâtiments plus durables, ont mis au point une nouvelle solution en polystyrène expansé graphité à bords droits pour l'isolation sous chape en pose collée : Solichape® Ultra.
Il y a 3 ans et 168 jours

PORTE-CADENAS ET CADENAS ABUS

Il est primordial pour les professionnels du BTP de clôturer leur zone de travail au moyen de portails et de barrières, afin de se prémunir des vols et de lutter contre les intrusions par des personnes non autorisées. Pour ce faire, ABUS propose le porte-cadenas GateSec 131 et le cadenas 64TI50HB60-150, deux solutions efficaces pour sécuriser l'enceinte du chantier.
Il y a 3 ans et 168 jours

Plaques de commande sans contact pour WC de Viega

Avec plus de cinquante références de plaques de commande pour WC, livrables de série, Viega propose un design personnalisé pour chaque salle de bains. Les plaques de commande « Visign » sont également composées de matériaux particulièrement faciles à nettoyer. Les variantes « Visign for More 205 sensitive » et « Visign for Style 25 sensitive » offrent quant à elles une hygiène maximale grâce au déclenchement sans contact.
Il y a 3 ans et 168 jours

NOMINATION QUINOA GROUP : Romain SALMERON

Depuis Septembre 2021, Romain SALMERON a rejoint l'équipe du pôle Résidentiel de Quinoa Group, spécialiste du traitement et de la qualité de l'air, comme Responsable Marketing.
Il y a 3 ans et 168 jours

MULTIGUN : le nouveau pistolet de TEC7 pour appliquer sans effort tous les types de mastics et de colles

Nouveau venu sur le marché français, le spécialiste du collage et de l'étanchéité TEC7 continue d'innover pour proposer le meilleur en matière de qualité et faciliter la vie des professionnels sur les chantiers. C'est dans cet objectif que la marque belge a mis au point un pistolet révolutionnaire d'application universel pour les colles et les mastics : MULTIGUN. Grâce à sa transmission de puissance réglable et à sa conception ergonomique, le MULTIGUN permet d'appliquer aussi facilement les mastics de finition que les colles épaisses.
Il y a 3 ans et 168 jours

Le nouvel isolant FOAMGLAS T3+

À l'heure où le réchauffement climatique est une préoccupation majeure, l'isolation en verre cellulaire FOAMGLAS® T3+ présente le grand intérêt de faire économiser avec certitude l'énergie des bâtiments. Étanche à l'humidité, insensible aux rongeurs et incompressible, l'isolant FOAMGLAS® conserve ses propriétés et son efficacité énergétique pendant toute la durée de vie du bâtiment.*
Il y a 3 ans et 168 jours

Vitry-sur-Seine : transformation du foyer de travailleurs migrants Manouchain

Vitry-sur-Seine : transformation du foyer de travailleurs migrants Manouchain
Il y a 3 ans et 168 jours

Hauts-de-Chambéry : restructuration du groupe scolaire Vert-Bois

L’école Vert-Bois sera démolie en vue de construire un nouveau bâtiment correspondant aux besoins des enfants et des enseignants.
Il y a 3 ans et 168 jours

Beauvais : la réhabilitation du clos Saint-Antoine se poursuit

À Beauvais, les travaux s’enchaînent sur le chantier de réhabilitation du clos Saint-Antoine.
Il y a 3 ans et 168 jours

Boulogne-Billancourt : de nouveaux locaux modernes pour la sous-préfecture

À partir du mardi 23 novembre, la sous-préfecture accueillera les usagers dans un nouveau bâtiment.
Il y a 3 ans et 168 jours

Nice : réhabilitation de la station d’épuration Haliotis

La métropole Nice Côte d’Azur prévoit de reconfigurer la station d’épuration Haliotis.
Il y a 3 ans et 168 jours

Bloc A du nouveau quartier République à Nantes, les architectes à pied d’œuvre

Sur l’île de Nantes, les premières opérations du Bloc A du nouveau quartier République en développement sont lancées. Premières en lice, les agences Data et Mima sur l’îlot Adam, Raphaël Gabrion et Ramdam sur l’ilot Amir et Nicolas Reymond sur l’îlot Alix. Découverte des projets mis en chantier à l’automne 2021. Nouvelle étape importante dans […] L’article Bloc A du nouveau quartier République à Nantes, les architectes à pied d’œuvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 168 jours

En Inde, rentabiliser le désert grâce à l'énergie solaire

Pour l'heure, l'Inde est le troisième plus gros émetteur de carbone du monde. Environ 70% de son électricité provient de centrales à charbon.Mais le Premier ministre Narendra Modi a annoncé lundi que le pays allait porter, d'ici 2030, sa part d'énergies renouvelables de 100 gigawatts (GW) actuellement à 500 GW, soit plus que toute sa production électrique actuelle. A cette date, 50% de l'énergie du pays devra être propre, a-t-il promis, tout en affirmant que l'Inde visait la neutralité carbone à l'horizon 2070.D'une surface équivalente à la République de Saint-Marin, la ferme de Bhadla est située dans l'État désertique du Rajasthan. Avec ses 325 jours d'ensoleillement par an, c'est l'endroit idéal pour entamer cette révolution énergétique indienne.Le projet est présenté par ses promoteurs comme un modèle de haute technologie, d'innovation et de collaboration public-privé.Au Rajasthan, "nous disposons d'énormes espaces où aucune herbe ne pousse. Maintenant on n'y voit plus le sol: on ne voit plus que des panneaux solaires. C'est une transformation gigantesque", se félicite Subodh Agarwal, un des responsables de la politique énergétique de "l'État-désert", tel que le Rajasthan est surnommé."État solaire"Au cours de la prochaine décennie, "ce sera un Rajasthan différent. Ce sera l'État solaire du Rajasthan", s'enthousiasme-t-il.La construction de Bhadla, en plein désert, a eu un impact minimal sur l'habitat humain et l'agriculture. Quelques centaines de personnes veillent sur les installations mais ce sont des robots qui enlèvent la poussière et le sable sur les 10 millions de panneaux photovoltaïques.D'autres méga-projets sont en cours. Au Gujarat, Narendra Modi a lancé l'an dernier, dans un autre désert, la construction d'un parc d'énergies renouvelables de la taille de Singapour. Plusieurs des plus grandes fortunes d'Inde, comme Mukesh Ambani et Gautam Adani, les deux hommes les plus riches d'Asie, commencent à investir lourdement dans le secteur.Il y a urgence: selon un rapport publié en 2019, 21 des 30 villes à l'air le plus pollué du monde se trouvent en Inde. Et le pays de 1,3 milliard d'habitants à l'urbanisation effrénée est de plus en plus vorace en énergie.Au cours des 20 prochaines années, l'Inde devra ajouter à son système de production électrique actuel des capacités équivalentes à celles de l'Europe pour répondre à la hausse vertigineuse de sa demande nationale, estime l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Et si les capacités indiennes en énergies renouvelables ont été multipliées par cinq au cours de la dernière décennie, elles devront encore être quintuplées pour atteindre l'objectif de 500 GW en 2030.Vinay Rustagi, directeur du cabinet de consultants en énergie renouvelable Bridge to India, est sceptique. Selon lui, le gouvernement indien cherche surtout "à montrer au monde que nous sommes sur la bonne voie"."Malheureusement, je crois qu'il n'existe aucune façon pour nous d'atteindre cet objectif", regrette-t-il.Remodeler le système énergétiqueCar même si installer des panneaux solaires est relativement bon marché, remodeler de fond en comble le système énergétique indien nécessitera encore beaucoup de temps et d'efforts, préviennent les experts.Ainsi, pour l'heure, environ 80% des panneaux sont importés de Chine, les capacités de production nationales étant très insuffisantes.Et si les projets d'énergie solaire géants comme celui de Bhadla sont présentés comme des succès, ils pourraient se heurter à terme à des problèmes d'acquisition de terres, et à la multiplication des procès intentés par des propriétaires expropriés.Certains experts estiment donc que l'avenir de l'énergie solaire en Inde passera plutôt par la multiplication des petites unités de production.Comme celles que le médecin et agriculteur Amit Singh a installé dans son village de Bhaloji, au Rajasthan.Alors que le village était frappé par des coupures de courant à répétition et par les pénuries d'eau, le Dr Singh a eu une idée. "Depuis toujours je voyais le soleil et ses rayons, et je me suis demandé: pourquoi ne pas le maîtriser pour générer de l'électricité?" raconte-t-il à l'AFP.Il a commencé par installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de son dispensaire, ce qui a permis de couvrir la moitié des besoins en électricité de l'établissement. Il a ensuite dépensé ses économies pour installer une centrale d'un mégawatt dans sa petite exploitation agricole familiale.Cette mini-centrale solaire a coûté 35 millions de roupies (400.000 euros). Un investissement qui s'avérera rentable dans un délai raisonnable puisque chaque mois, elle rapporte 400.000 roupies (4.600 euros) en ventes au réseau électrique indien. "J'ai l'impression de contribuer au développement de mon village", se félicite M. Singh.Arunabha Ghosh, expert en politique climatique auprès du Conseil de l'énergie, de l'environnement et de l'eau, estime essentiel de faire baisser les coûts de ce type de petite installation."Quand un paysan est capable de générer de l'électricité à l'aide d'une centrale solaire près de sa ferme et de pomper de l'eau, quand un habitant de la campagne peut faire tourner une usine textile grâce à des panneaux solaires placés sur le toit, alors nous pouvons amener la transition énergétique au plus près des gens", estime-t-il.
Il y a 3 ans et 168 jours

Vivre au bord des Grands Lacs américains, un rêve menacé par la crise climatique

Cette fois-ci, les vagues se sont écrasées sur un mur de ciment jusqu'à le briser en deux, et l'eau a emporté une plage non loin du bâtiment de 11 étages."Ils ont parlé d'une tempête telle qu'on n'en voit que tous les 50 ans, mais c'était la deuxième en deux ans", se remémore-t-il, débout sur le nouveau littoral composé d'énormes rochers placés là par le corps des ingénieurs de l'armée américaine pour ralentir l'érosion, qui a dramatiquement empiré dans les Grands Lacs en une décennie.Les cinq lacs de la région, qui représentent plus de 20% de l'eau douce dans le monde, ont toujours vu leur niveau monter ou baisser au cours du temps. Mais le réchauffement climatique a amplifié le phénomène, le rendant plus extrême, selon Drew Gronewold, hydrologue à l'université du Michigan.Les précipitations font monter le niveau tandis que l'évaporation le fait baisser, explique-t-il."On compare désormais cela à un jeu de tir à la corde. Si les deux équipes sont aussi fortes l'une que l'autre, la corde ne bouge pas. Mais si les deux deviennent plus fortes et que l'une glisse, la corde bouge bien plus vite qu'elle ne l'aurait fait autrement."S'adapter à de nouveaux extrêmesLa rive du lac Michigan, le troisième des Grands Lacs en superficie, voit alterner dunes, rochers, plages de sable et zones marécageuses, avec de grandes villes du Midwest américain et de petits bourgs touristiques."Il est important de se rendre compte qu'ils (les Grands Lacs, ndlr) sont tous connectés. Si le niveau d'un lac monte, c'est probablement le cas pour tous", explique M. Gronewold.En 2014, les lacs étaient à un plus bas historique, provoquant l'inquiétude des entreprises de transport par bateau.Mais le niveau des lacs a ensuite monté en flèche, allant jusqu'à menacer les bâtiments et les plages au cours des deux dernières années.Puis le niveau a légèrement baissé depuis l'an dernier, mais la crue reste "considérable, plus importante que tout ce qu'on a pu voir en 100 ans", indique Tomas Hook, professeur de gestion forestière et de ressources naturelles à l'université Purdue.La tempête de 2019 s'est abattue sur le littoral de Chicago "comme la colère de Dieu", se rappelle Todd Rosenthal, scénographe de théâtre de 56 ans et installé sur le rivage depuis 20 ans. Le vent avait alors balloté des blocs de ciments servant de barrières et l'eau s'était infiltrée à travers les murs et les fenêtres de son appartement.Lui et plusieurs voisins ont donc investi dans des portes et volets anti-ouragans, le prix à payer selon lui pour vivre face au lac."On ne peut jamais prévoir. C'est arrivé que le lac soit calme et cristallin, puis qu'il soit couvert de vagues et d'écume cinq minutes plus tard", dit Todd Rosenthal."Certains ont déménagé car ils n'en pouvaient plus du martèlement constant" du ressac, raconte-t-il.450.000 dollars de réparationsCela pourrait bien être le cas de Jera Slaugther, qui vit depuis 44 ans dans le même bâtiment que M. Brandt.Cette retraitée de 71 ans, ex-employée d'une compagnie ferroviaire, craint que son petit budget ne suffise bientôt plus face aux assauts du lac."On adore cet immeuble mais à un moment, on ne pourra plus se permettre d'y vivre", dit-elle.Depuis 2019, les résidents de cette tour de 70 appartements ont dû débourser 450.000 dollars en réparations, ne conservant que peu d'économies pour les dépenses de routine ou les opérations de prévention."On avise au fur et à mesure car impossible de savoir ce que cette année nous réserve", dit-elle.Et les perspectives ne sont guère rassurantes, selon Aaron Packman, le directeur du centre de recherches sur l'eau de l'université Northwestern, dans l'Illinois."L'un des problèmes, surtout avec le lac Michigan, est que l'on observe les effets du changement climatique, avec des tempêtes plus intenses, davantage d'inondations. Il y a beaucoup d'incertitude quant à ce qu'il adviendra des Grands Lacs", dit-il."L'avenir va être différent et, dans une certaine mesure, pire. Nous pouvons, et devons, changer la façon dont on y répond pour être bien plus efficaces qu'on ne l'a été par le passé."
Il y a 3 ans et 169 jours

L'Afrique du Sud alloue 2,8 milliards d'euros à des projets d'énergie propre

Ces 25 projets (12 fermes d'éoliennes et 13 centrales photovoltaïques) confiés au secteur privé porteront les capacités de production d'électricité du pays à 2.583 mégawatts (MW), soit 4,5% de plus qu'actuellement, a indiqué le ministre de l'Energie, Gwede Manthashe.Les premiers de ces projets ne verront le jour qu'en avril 2024 au plus tôt.L'Afrique du Sud, le pays le plus industrialisé du continent, éprouve de grandes difficultés à satisfaire ses besoins en énergie. Les coupures de courant, qui font partie du quotidien depuis 2007, sont un désastre pour la croissance économique dans un pays où plus d'un actif sur trois est au chômage.Avec une production d'électricité qui dépend à 80% de centrales thermiques au charbon, pour la plupart vieillissantes et mal entretenues, l'Afrique du Sud est le douzième plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre. Ces émissions ont augmenté de 10% entre 2000 et 2017, selon les chiffres du gouvernement.Le pays cherche à mettre en avant ses efforts pour développer les énergies propres avant le sommet de la COP26 sur le climat, qui démarre dimanche à Glasgow.
Il y a 3 ans et 169 jours

La présence d'amiante dans l'eau du robinet est-elle dangereuse pour la santé ?

"Les données publiées à ce jour ne permettent pas de se prononcer sur la possibilité ou l'absence d'une association entre ingestion d'amiante et cancers digestifs", explique l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) dans un communiqué.L'amiante, une fibre utilisée pendant plusieurs décennies au cours du XXe siècle dans la construction de bâtiments, est désormais interdit dans de nombreux pays comme la France, en raison de ses effets dangereux pour la santé.Lorsqu'il est inhalé, il favorise en effet l'apparition de plusieurs types de cancers meurtriers, des voies respiratoires comme des voies digestives.Mais on ne sait pas s'il existe un danger équivalent quand l'amiante est avalé. Or, cette substance peut se retrouver en France dans l'eau du robinet, puisqu'une partie des canalisations --4% selon l'Anses-- en contient.Pour tirer des conclusions, les experts de l'agence ont examiné quelque 80 études sur le sujet. Certaines évaluent les effets de l'inhalation d'amiante chez l'homme, d'autres chez l'animal.Enfin, une troisième catégorie se penche sur les conséquences sanitaires de l'exposition à l'amiante chez des travailleurs, en premier lieu du bâtiment, mais sans distinguer inhalation et ingestion.Au final, il n'est pas possible de conclure à un lien entre l'apparition d'un cancer et le fait d'avoir avalé de l'amiante.L'Anses se montre particulièrement critique pour deux études, publiées dans les années 2010 par la même équipe de recherche italienne, qui avaient estimé que les risques de l'ingestion d'amiante étaient sous-estimés.Elles-mêmes réalisées en compilant d'autres travaux, ces études souffrent d'importants biais méthodologiques et d'imprécisions dans le choix des données recueillies, selon l'Anses qui les qualifie d'"alarmistes".Toutefois, l'agence admet l'existence de "signaux" qui empêchent d'exclure un lien entre l'ingestion d'amiante et certains cancers digestifs.En effet, l'examen des études réalisées auprès des travailleurs exposés à l'amiante confirme le risque plus élevé de cancers digestifs, potentiellement parce qu'ils en ont ingéré.Mais il n'est pas possible de déterminer, à partir de ces études, quelle part des cancers serait liée à une ingestion d'amiante et non à une inhalation.
Il y a 3 ans et 169 jours

La Roche-sur-Yon : le collège Les Gondoliers est complètement rénové

À La Roche-sur-Yon, les travaux d’agrandissement et de modernisation du collège Les Gondoliers sont achevés. Le coût total du chantier s’élève à 10 M€.
Il y a 3 ans et 169 jours

Compiègne : le square Vivier-Corax a été rénové

À Compiègne, les logements rénovés du square Vivier-Corax sont désormais habités par 150 familles. 34 autres logements ont été équipés particulièrement pour les seniors.
Il y a 3 ans et 169 jours

En Espagne, un accord au forceps pour enrayer la hausse du prix des loyers

Prévu par l'accord de coalition signé fin 2019 par le parti socialiste du Premier ministre Pedro Sanchez et le mouvement de gauche radicale Podemos, ce texte de loi, destiné à enrayer la hausse des prix du logement, était initialement annoncé pour le début de l'année.Mais les discussions ont pris du retard, en raison de désaccords sur la question sensible de la régulation des loyers, ardemment défendue par Podemos. Cette formation a finalement obtenu gain de cause, en échange de son soutien au projet de budget 2022, adopté jeudi en conseil des ministres."Ça a été une négociation compliquée", a reconnu la ministre des Droits sociaux et secrétaire générale de Podemos, Ione Belarra. Mais "entre protéger les personnes ou les grands propriétaires et promoteurs, nous avons clairement fait notre choix", a-t-elle ajouté sur Twitter.Les prix des loyers ont fortement augmenté ces dernières années en Espagne, en raison d'une pénurie de logements. Selon le portail spécialisé Idealista, le prix moyen du mètre carré des biens en location a ainsi progressé de 40% entre janvier 2011 et janvier 2021.Cette inflation a mis en difficulté de nombreux locataires, qui ont vu la part de leur budget dédié au logement enfler progressivement: d'après l'OCDE, les 20% de familles les plus modestes consacrent désormais pas moins de 40% de leurs revenus à ce poste de dépense.Incitations fiscalesPour tenter de mettre un frein à cette dynamique, la "loi logement" prévoit un éventail de mesures mêlant incitation et coercition. L'objectif, c'est que l'accès au logement "devienne un droit" et ne fasse plus l'objet de "spéculations", a insisté la ministre du Budget Maria Jesus Montero.La mesure la plus marquante concerne les loyers des "grands propriétaires", qui pourront désormais être plafonnés. Selon les premiers éléments communiqués par l'exécutif, ce dispositif concernera uniquement les bailleurs privés, propriétaires de plus de 10 logementsPour les petits propriétaires, largement majoritaires sur le marché espagnol, les prix resteront libres. Mais de fortes incitations fiscales seront mises en place, avec des réductions d'impôts pouvant aller jusqu'à 90% pour ceux qui accepteront de baisser leurs loyers.Dans les zones "tendues", les collectivités locales auront par ailleurs la possibilité de réguler les loyers, en fonction de critères définis par l'Etat. Elles pourront également décider de majorer la taxe foncière, de l'ordre de 150%, pour favoriser la remise sur le marché de logements vides.Le gouvernement, qui s'est engagé à construire près de 20.000 logements sociaux, prévoit enfin la mise en place de chèques de 250 euros par mois pour favoriser l'accès au logement des jeunes de 18 à 35 ans gagnant moins de 23.725 euros par an."Atteinte à la liberté"La mise en oeuvre de cette loi pourrait cependant se heurter à des difficultés. L'application de plusieurs mesures relèvera en effet des régions et des mairies. Or nombre d'entre elles, dirigées par l'opposition, ont d'ores et déjà fait savoir qu'elles ne les mettraient pas en oeuvre."Nous sommes favorables à ce que les gens fassent ce qu'ils veulent avec ce qui leur appartient", a justifié le chef du Parti populaire (PP, droite), Pablo Casado, en accusant le gouvernement Sanchez de "porter atteinte à la liberté" et "à la propriété privée".Le chef de file de l'opposition, qui dénonce un "interventionnisme suicidaire", a annoncé qu'il contesterait le texte devant la Cour constitutionnelle. Avec cette loi, "les gens vont cesser de mettre leurs appartements en location, il y aura donc moins d'appartements, et les prix vont augmenter", a-t-il mis en garde."On ne peut pas dire non à un projet de loi que l'on n'a pas pu lire et qui n'a pas été débattu au Parlement", a critiqué sur Twitter Pedro Sanchez, dénonçant une opposition de principe du PP.A ce stade, aucune date n'a été donnée pour la présentation du projet de loi.
Il y a 3 ans et 169 jours

Seine-et-Marne : l’État finance la modernisation de l’abattoir de Jossigny

L’abattoir de Jossigny fera l’objet d’un chantier de modernisation. Ce dernier est soutenu financièrement par le plan France Relance.
Il y a 3 ans et 169 jours

Anglet : concertation en vue de l’extension du cimetière de Blancpignon

La Ville d’Anglet va consulter les habitants à propos du projet d’extension du cimetière municipal de Blancpignon.
Il y a 3 ans et 169 jours

Gigean : le futur centre aquatique ouvrira en septembre 2022

Lancés en début d’année, les travaux de construction de la nouvelle piscine de Gigean devraient se terminer en septembre 2022.
Il y a 3 ans et 169 jours

Comment limiter les risques d’infiltration d’eau dans votre cave?

En période de forte pluie ou suite à une catastrophe naturelle, votre sous-sol est susceptible d’être inondé en cas d’infiltration d’eau dans la cave. Afin d’y remédier, il est préférable de faire appel à une entreprise d’infiltration cave pour diagnostiquer au préalable l’état de votre maison. Ainsi, en fonction de la source du problème, il sera à même d’effectuer les interventions nécessaires pour réparer votre structure. Il dispose effectivement des compétences spécifiques pour détecter précisément l’origine du sinistre et proposer les solutions adaptées en conséquence. Ce qui vous évitera de vous retrouver avec une pièce pleine d’eau et de devoir agir en urgence pour tout évacuer. Identifier les défaillances susceptibles de causer des problèmes d’inondation Dans la pratique, la montée d’eau dans votre cave peut être causée par les faits suivants : déversement de la nappe phréatique à proximité de votre domicile à travers les dalles ou les murs, écoulement d’humidité continue, mauvais état de la tuyauterie (défectueuse ou percée). Pour agir de façon efficace, il est réellement indispensable d’anticiper comment l’eau peut passer à travers votre sous-sol, afin de prendre les dispositions nécessaires. Si vous ne voulez pas subir des dégâts suite à une infiltration persistante, il est important de vérifier l’étanchéité de votre fondation. Le cas échéant, vous devez appliquer le traitement adéquat, afin de restaurer l’imperméabilité de votre sous-sol et préserver l’intégrité de vos murs. A savoir : décontamination cuvelage S’il s’agit d’un souci avec votre plomberie, le mieux est de remplacer les éléments défaillants en misant sur des pièces plus robustes, sans tarder. Prendre en compte les précautions essentielles Au moindre signe d’infiltration, il est urgent d’assainir votre sous-sol en établissant un diagnostic et réduire ainsi les risques que les sinistres causent des dommages irréversibles. Si vous vous trouvez dans une zone hautement sensible aux catastrophes naturelles, il est judicieux de prévoir des dispositifs de protection pour vos ouvertures. En ce faisant, vous limiterez considérablement d’éventuels impacts engendrés par les dégâts. Autrement, avant même de constater des traces d’humidité ou des écoulements dans votre cave, il est recommandé de faire un entretien systématique de votre maison. Cette précaution vous permettra de : préserver l’étanchéité de votre pièce, renforcer l’intégrité de votre plomberie. De plus, cette démarche vous épargnera les corvées de devoir écoper des trombes d’eau faute d’avoir gardé votre canalisation au bon état. Dans des circonstances plus graves, les avaries engendrées par ces soucis peuvent provoquer d’autres soucis bien plus difficiles à gérer. Malgré toutes ces dispositions, il est toujours utile de souscrire une assurance habitation qui peut couvrir les risques d’inondations, qu’elles soient accidentelles ou naturelles. Dans certains cas, vous devez prévoir d’opter pour un contrat à extension, car les indemnisations ne garantissent que les dommages provoquant des soucis d’étanchéité suite à la défaillance de votre toiture. Bref, si vous souhaitez réussir à protéger votre maison contre les méfaits des problèmes d’infiltration d’eau dans la cave, il ne faut pas attendre d’avoir des sinistres. En effet, il est mieux d’agir au préalable et faire appel à une entreprise d’infiltration cave comme sur ce site : https://www.specialiste-infiltration-35.fr/ pour diagnostiquer/entretenir votre structure. Ainsi, vous aurez l’occasion de maintenir votre maison en bon état et prévenir d’éventuelles sources de détérioration susceptible d’entamer l’intégrité de votre fondation.