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Il y a 3 ans et 169 jours

L'Anah fête 50 ans d'action pour mieux vivre demain

Les missions de l’Agence se sont adaptées aux enjeux du parc privé, et ses outils d’intervention ont évolué pour répondre aux besoins des ménages et des collectivités : de l’accès au confort sanitaire en centre ancien dans les années 70 aux questions énergétiques à partir des années 80 jusqu’aux enjeux de transition écologique aujourd’hui, en passant par l’intervention sur les copropriétés dégradées, l’adaptation des logements à la perte d’autonomie ou la lutte contre l’habitat indigne.Depuis sa création, l’Agence œuvre pour l’amélioration de l’habitat privé. En permettant au plus grand nombre, et d’abord aux plus modestes, de vivre dans un logement digne et confortable, elle lutte contre les fractures sociales, territoriales et énergétiques.Pour célébrer cet anniversaire, l’Anah met en place un dispositif digital spécial pour remettre en perspective l’histoire de l’Agence, valoriser l’engagement quotidien de son réseau et illustrer son action dans les territoires. Sur une plateforme dédiée, 50ans.anah.fr, elle propose : Une exposition digitale, qui retrace les missions et les enjeux de l’Agence de 1971 à aujourd’hui ;Une série de portraits vidéo, qui met en avant l’engagement au quotidien des agents pour accompagner les territoires et tou.te.s les Français.e.s ;Une série de podcasts, qui donne la parole au réseau territorial, partenaires et bénéficiaires des aides de l’Agence sur les différents programmes d’intervention (humanisation de centre d’hébergement, intervention sur les copropriétés, revitalisation de centre ancien, rénovation énergétique, etc.).Une BD « Rénover l’habitat pour réparer la ville » qui traduit en dessin l’action de l’agence aux côtés des habitants et des collectivités territoriales.Thierry Repentin, Président de l’Anah : « L’Anah a su s’adapter et évoluer pour répondre aux défis de son temps. En un demi siècle, l’Anah a réussi à concilier ses ambitions, ses valeurs sociales et ses savoir-faire, tout en développant de nouvelles aides et de nouveaux modes de faire, pour répondre à des défis contemporains : Défis sociaux, défi sanitaire, défis climatique et écologique, défi numérique. L’Anah a été au rendez-vous des enjeux de société tout au long de son histoire et l’Anah est devenue l’acteur incontournable de l’amélioration de l’habitat en France. Son histoire est loin de s’achever et demain, elle sera en capacité de déployer le nouveau service public de la rénovation de l’habitat, France Rénov’. C’est un nouveau pas pour l’Agence qui prouve la pertinence de son action ».
Il y a 3 ans et 169 jours

Assurance emprunteur: le Crédit Mutuel met fin au questionnaire de santé pour ses clients

"À compter d'aujourd'hui, nos clients fidèles n'auront plus à remplir de questionnaire de santé pour l'acquisition de leur résidence principale", n'auront donc "plus de formalités médicales" et "ne feront plus l'objet de surprimes ou exclusions liées à leur état de santé", a annoncé le Crédit Mutuel.L'assurance emprunteur couvre divers risques comme le décès, la maladie ou l'invalidité, protégeant à la fois les emprunteurs et les banques contre un éventuel défaut de remboursement.Mais en cas de grave problème ou antécédent de santé, il peut devenir très compliqué, voire impossible, de s'assurer et donc de souscrire à un crédit immobilier.Cette initiative du Crédit Mutuel concerne toutes les fédérations régionales du groupe, à l'exception d'Arkéa, qui réunit les fédérations Bretagne et Sud-Ouest et qui cherche à prendre son indépendance vis-à-vis de son organe central.Le dispositif s'appliquera aux clients ayant leurs revenus principaux domiciliés au Crédit Mutuel depuis sept ans, pour un montant assuré jusqu'à 500.000 euros par emprunteur pour les assurés de 62 ans au plus, et pour l'achat d'une résidence principale.Cette condition de sept ans d'ancienneté ne devrait pas exclure beaucoup de clients, mais limitera l'afflux de nouveaux emprunteurs.Nicolas Théry, président de Crédit Mutuel, l'a assumé en conférence de presse: ce changement n'est "pas offert à des gens qui font la tournée du marché". "On s'accompagne mutuellement et durablement", a-t-il souligné.Les clients éligibles qui sont déjà titulaires d'une assurance emprunteur au Crédit Mutuel verront leur éventuelle surprime ou exclusions supprimées à compter du 1er décembre.Le coût de cette mesure est estimé à 70 millions d'euros par an, a-t-on précisé au Crédit Mutuel, où l'on souhaite que "cela devienne une nouvelle norme de marché, peu importe son assureur. On veut faire bouger le marché et les pouvoirs publics" pour que la législation évolue."droit à l'oubli"Le président du groupe mutualiste a donc insisté sur son souhait de ne pas être le seul à supprimer les questionnaires de santé, responsables selon lui d'une "double peine" pour les personnes malades, et même pour celles ayant guéri.Aujourd'hui, seuls les anciens malades d'un cancer ont depuis 2017 un "droit à l'oubli" selon certaines conditions.La Fédération Bancaire Française (FBF), dont Nicolas Théry est l'actuel président, n'a pas souhaité commenter l'initiative de l'un de ses adhérents.BNP Paribas Cardif, filiale d'assurance du groupe bancaire, a dit mardi qu'elle travaillait depuis des années à assouplir les conditions de l'assurance emprunteur et qu'elle allait poursuivre dans cette voie. Mais interrogé sur la possibilité de supprimer le questionnaire de santé, l'assureur a seulement répondu que "beaucoup de choses [étaient] à l'étude".Le groupe CNP Assurances, interrogé aussi par l'AFP, a qualifié l'initiative de "positive et intéressante", sans annoncer de décision similaire.L'annonce du Crédit Mutuel survient alors qu'un groupe de député Agir a déposé une proposition de loi pour permettre aux assurés de pouvoir changer à tout moment d'assurance emprunteur, alors que cela est aujourd'hui uniquement possible la première année, puis à chaque date anniversaire.Fustigeant cette mesure, qu'il accuse d'instaurer "une sorte de Far-West" où la renégociation à tout instant favoriserait les clients en bonne santé, au détriment des autres, M. Théry a appelé à la "mutualisation" et à la "solidarité".L'assurance emprunteur est depuis des années sources de tensions entre les banques et les assureurs, qui accusent régulièrement les premières d'obstruction lors des demandes de changement d'assureur de prêt.Il y a un an, un rapport du Comité consultatif du secteur financier (CCSF), instance de concertation où siègent des représentants d'établissements financiers, d'organisations syndicales, de clients et des parlementaires, avait cependant conclu que "la concurrence" était "en marche".Près de 10 milliards d'euros de cotisations d'assurance emprunteur sont payées chaque année en France.
Il y a 3 ans et 169 jours

Un nouveau directeur juridique, assurances, immobilier pour Frans Bonhomme

CARNET-NOMINATION. Distributeur spécialisé en solutions réseaux et infrastructures, Frans Bonhomme, annonce l'arrivée de Nicolas Marty comme directeur juridique, assurances, immobilier et relations Sociales. Il remplace Cyril Chaudron.
Il y a 3 ans et 169 jours

Filière bois : lancement d'un guide pour favoriser la ressource française dans le neuf

BILAN CARBONE. Alors que la filière bois française continue à se structurer pour affronter les enjeux gigantesques qui l'attendent dans la construction et la neutralité carbone, le label Bois de France lance un guide destiné aux maîtres d'ouvrage publics. Son but : valoriser le bois français, dont l'empreinte carbone est bien meilleure que celle des bois importés, ceux-ci étant encore majoritaires dans la construction neuve.
Il y a 3 ans et 169 jours

Le prochain PLU de Paris sera "bioclimatique" et "de transformation"

URBANISME. Le prochain PLU de la capitale, qui doit entrer en vigueur en 2024, sera axé sur la désartificialisation, les îlots de fraîcheur et les commerces de proximité, notamment. Les promoteurs devront démontrer que leurs projets "contribuent à rendre Paris plus résiliente" via un formulaire préalable à toute autorisation. D'ici l'adoption du nouveau document, Paris sursoit aux "plus grands projets immobiliers".
Cimbat
Il y a 3 ans et 169 jours

Infrastructures décarbonées : les travaux publics dessinent leur trajectoire

Poser un diagnostic, fixer des objectifs et fournir des outils pour réduire les émissions des infrastructures, tels sont les objectifs d’une étude dévoilée par la FNTP. Un travail qui vise à mobiliser ses adhérents, mais aussi à responsabiliser les pouvoirs publics, à quelques mois des présidentielles.
Il y a 3 ans et 169 jours

Demathieu Bard et Cycle Up embarquent pour l'économie circulaire

L'ETI du BTP va mettre en place avec le spécialiste du réemploi des matériaux de construction sa stratégie de diminution de sa production de déchets et de réduction de son impact carbone
Il y a 3 ans et 169 jours

Saint-Gobain investit dans une plateforme d'intermédiation en Inde

PARTICIPATION. Saint-Gobain prend une participation minoritaire dans Livspace, entreprise numérique implantée en Inde et en Asie du Sud-Est.
Il y a 3 ans et 169 jours

Patrimoine remarquable : un guide pour désinhiber les collectivités

Avec « Site patrimonial remarquable : mode d’emploi », les praticiens de la procédure d’urbanisme née de la loi relative à la Liberté de création, à l’architecture et au patrimoine (Lcap) ont cherché à débloquer les freins à sa mise en oeuvre. Coordinatrice de l'ouvrage, l’association Sites et Cités remarquables de France a profité du salon international du patrimoine culturel pour en lancer la diffusion, le 28 octobre dernier à Paris.
Il y a 3 ans et 169 jours

A la COP climat, les renouvelables voudraient prendre la relève

Éolien, solaire, géothermie, hydroélectricité... sont passés de 8,7% à 11% de la consommation énergétique mondiale de 2009 à 2019. Mais sur fond de demande accrue, pétrole, gaz et charbon sont toujours à plus de 80%, souligne ce réseau réunissant chercheurs, agences de l'énergie, ONG, industriels... Alors que faire?"115 pays continuent à subventionner les énergies fossiles", souligne Rana Adib, provoquant des distorsions au détriment du photovoltaïque et de l'éolien, qui sont pourtant "l'option au moindre coût", dit-elle. "Les gouvernements doivent cesser ces investissements, qui sont des actifs irrécupérables pour le futur, et in fine le contribuable paie".Selon un rapport du FMI, plus de 11 millions de dollars sont consacrés chaque minute aux subventions aux fossiles (5.900 milliards de dollars en 2020, 6,8% du PIB mondial), contribuant à saper les objectifs climatiques.Villes et entreprises à la manœuvre"L'énergie fossile n'est pas mentionnée une seule fois dans l'accord climat de Paris, alors qu'elle produit 75% du CO2. C'est déjà un souci", dit Rana Adib. "Les négociations à la COP ce sont les ministres de l'Environnement. Où sont les ministres de l'Economie, de l'Energie?"Venue de la société civile et même de l'ONU, "il y a une mobilisation contre les fossiles, mais on ne donne pas la même voix à ce qui doit les remplacer: on vient donc faire entendre celle des énergies renouvelables" (ENR).Dans la "zone de l'action" du centre de conférence de Glasgow, où se déroule la COP (Conférence des parties à la Convention de l'Onu sur le climat), on "réseaute", on échange, en marge des tractations entre Etats."Le climat est une question transverse, et la COP un des rares événements où l'on croise tout le monde". A commencer par les villes."Ces 50 dernières années les gouvernements ont géré l'approvisionnement énergétique. Or les ENR sont une solution décentralisée."Aujourd'hui 25% de la population urbaine vit dans une ville avec un projet renouvelable.Le Cap, qui ne pouvait choisir lui-même son fournisseur, a poursuivi l'Etat en justice, Barcelone a en premier imposé du solaire au bâtiment, d'autres interdisent le diesel, dit la directrice de Ren21. Les élus locaux "sont plus près des citoyens, et, disons-le, moins la cible du lobbying des entreprises fossiles"."Beaucoup de gouvernements affichent des objectifs, mais ne créent pas de cadres réglementaires", souligne-t-elle. Quant aux plans de relance post-Covid, ils accordent six fois plus d'investissements aux hydrocarbures qu'aux renouvelables."Changer les perceptions"Autre levier: les entreprises. Les contrats passés directement auprès de fournisseurs d'énergie renouvelable ont crû de 18% de 2019 à 2020. Pour des raisons environnementales et de coût, note Ren21.Pour ces promoteurs des renouvelables, celles-ci doivent sortir du seul argument climat. En 2020, 83% des nouvelles capacités électriques sont renouvelables, largement du fait de leur coût, insistent-ils.Pour des questions de résilience aussi, l'armée américaine s'est lancée dans le solaire et le vent, et le pays a vu un essor des "mini-réseaux" depuis l'ouragan Katrina.Mais quid de l'irrégularité du solaire ou de l'éolien?"Il y a des solutions de flexibilité", répond Rana Adib. Avant même de développer le stockage, "ce qui compte c'est diversifier ces ressources" avec la géothermie, l'hydroélectricité, la biomasse, les énergies marines..., explique-t-elle."Il faut changer les perceptions, travailler pour rendre les ENR obligatoires, s'appuyer sur les citoyens, montrer l'intérêt social: au Danemark, les agriculteurs, d'abord dérangés par les éoliennes, ont été rémunérés."Mais les renouvelables ont leurs bémols: impact environnemental des barrages, soutenabilité des biocarburants, recyclabilité des équipements..."Il faut en parler franchement", dit Rana Adib.Pour garder le réchauffement mondial à 1,5°C, il faudrait d'ici 2030 installer chaque année quatre fois plus de capacités solaires et éoliennes qu'en 2020, année record, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Il y a 3 ans et 169 jours

Mitsubishi devient l'un des fournisseurs officiels de la coupe du monde de rugby 2023

PARTENARIAT. La division chauffage-climatisation de Mitsubishi vient d'annoncer devenir l'un des fournisseurs officiel de la coupe du monde de rugby qui se tiendra en 2023, en France.
Il y a 3 ans et 169 jours

Arkema mise tout sur les matériaux de la transition écologique

Matériaux recyclables ou biosourcés, vitrage intelligent, batteries: sans abandonner le pétrole, le chimiste français Arkema, qui a confirmé mercredi 10 novembre l'élan de la reprise dans ses résultats du 3e trimestre, mise sur les "matériaux" de la transition énergétique, du bâtiment ou de l'automobile.
Il y a 3 ans et 169 jours

Les syndicats prudents suite à l'annonce de Macron sur la construction de nouveaux réacteurs nucléaires

Mardi, Emmanuel Macron a annoncé que la France allait relancer un programme nucléaire et construire de nouveaux réacteurs sur son sol, en reportant toutefois à plus tard les précisions sur ces futurs EPR.Le renouvellement du parc nucléaire "est un défi industriel et social sans précédent", a estimé auprès de l'AFP Virginie Neumayer, représentante syndicale CGT chez EDF."Le président ne cherche pas à entraîner les salariés avec lui", a-t-elle déploré car dans le même temps, "on a des annonces de régression sociale sans précédent".Chez EDF, "les exigences de rentabilité sur le court terme sont incompatibles avec un engagement d'investissement sur le nucléaire", détaille Mme Neumayer.Le son de cloche est différent chez Nicolas Vincent, secrétaire général CGT de la centrale de Penly (Seine-Maritime), désignée mercredi pour accueillir un futur réacteur EPR. "La nouvelle est très bien perçue", a-t-il relayé.La centrale, âgée de 30 ans, "pouvait envisager une exploitation vers les 60 ans mais là, c'est vraiment prolongé", a-t-il salué, indiquant que le défi résidait désormais dans le besoin de main d'oeuvre pour réaliser les travaux - entre 8 et 10.000 personnes selon M. Vincent."Construire de nouveaux outils nucléaires est incontournable si on veut continuer la transition énergétique", a indiqué Dominique Bousquenaud, secrétaire général de la fédération chimie-énergie à la CFDT. Il a également appelé à "continuer le développement de l'ensemble des énergies décarbonnées" pour limiter la part du nucléaire dans la production d'électricité à "50%".Chez SUD Energie, on se refuse à toute prise de position sur le bien-fondé du nucléaire ou non. Mais "il faudrait que ce soit un choix démocratique", par le biais d'un référendum, plaide Anne Debrégeas, porte-parole du syndicat."Le choix du nucléaire ou non ne peut pas être basé sur un choix économique, c'est un choix politique", estime-t-elle. "Est-ce que les gens préfèrent le risque d'accident et des déchets nucléaires ou bien avoir plein d'éoliennes ou de panneaux solaires ?", interroge-t-elle.D'après Mme Debrégeas, "on a les moyens de mener ce débat grâce aux travaux de RTE" et d'autres, mais "le président s'assoit dessus alors qu'il y a un vrai enjeu à impliquer les gens dans ces choix".
Il y a 3 ans et 169 jours

Nucléaire, emploi : Emmanuel Macron assume "une intervention publique forte"

ÉCONOMIE. Lors d'une allocution télévisée initialement dédiée à l'épidémie de Covid, le président de la République est revenu sur bon nombre d'autres sujets : aides aux entreprises, pénuries de matériaux, difficultés de recrutement, formation et apprentissage... Mais le chef de l'État a surtout annoncé la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, en parallèle d'un développement des énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 169 jours

Saint-Gobain investit dans une start-up du numérique en Inde

Le géant des matériaux a pris une participation minoritaire dans Livspace, plateforme numérique d’intermédiation qui offre des solutions complètes pour le marché de l’aménagement intérieur résidentiel allant de la conception à l’installation.
Il y a 3 ans et 169 jours

Le marché de l'immobilier logistique progresse fortement (+35%) au 3e trimestre 2021

Avec une hausse significative de 35% au troisième trimestre, le secteur connaît une belle évolution. Les terrains dédiés à la logistique se font rares. Les prix ont même été multipliés par 3 en douze mois sur certains secteurs et les coûts de construction ont progressé de près de 10% en 1 an. Autre fait marquant de ce trimestre : le retour des opérations de très grande taille, supérieures à 50 000m2. Zoom sur un marché qui a su rebondir après la crise sanitaire et qui, selon les régions, annoncent des résultats bien au-delà des prévisions initiales.Le 3ème trimestre confirme une belle année pour le secteur de la logistique en FranceSi le contexte économique est revenu plus ou moins à la normale, il en ressort tout de même quelques spécificités : Les prestataires logistiques sont les acteurs majeurs du marché : ils réalisent à eux seuls plus de 65% des transactions sur les immeubles existants. La raréfaction des terrains dédiés à la logistique s'accélère : il n'y a plus de terrain de plus de 5 hectares libres sur les principaux pôles logistiques de l'hexagone. Les prix des terrains dédiés à la logistique ont donc été multipliés par 3 sur certains secteurs. Les coûts de construction ont progressé de près de 10% en 1 an.Les taux de capitalisation prime sont proches de 3,5%.EOL confirme sa place d'acteur de référence du secteur En 2021, EOL comptabilise 2 479 000 m² de surfaces placées pour 93 transactions et ce, en l'espace de 9 mois seulement. Des chiffres à peu près équivalents à 2019 (2 449 000 m² pour 85 transactions) contre 1 818 000 m²pour 65 transactions en 2020.En France, au global, EOL a conclu 570 000 m2 de projets logistiques sur des bâtiments existants ou des développements, notamment une opération emblématique de plus de 110 000 m2 pour le compte de La Redoute à Cambrai (59)En Europe, Après avoir accompagné Carrefour pour un projet industriel et logistique à proximité de Bruxelles, EOL vient de signer un terrain de plus de 20ha en Pologne pour y développer un site de plus de 40 000 m2 pour l'un de ses clients français.EOL accélère la décarbonation des entrepôtsEOL a initiée dès 2016 une stratégie de décarbonation des entrepôts ce qui lui permet aujourd'hui d'accompagner les acteurs majeurs du marché dans une démarche unique et innovante. Avec l'application du décret tertiaire oblige les exploitants des entrepôts à diminuer de 40% les consommations d'énergie, EOL apporte une approche globale et un savoir-faire technique dans le choix des sites logistiques.Le marché en régionsLa région des Hauts-de-France :La région des Hauts-de-France bat un record historique avec près de 880 000 m2 de surfaces placées (soit 1/3 du marché français) pour seulement 25 transactions (en l'espace de 9 mois).Le choix politique d'accueillir des opérations logistiques de grande taille aboutit à des résultats exceptionnels et la stratégie « logistique friendly » de cette région s'est avérée très pertinente. Cela lui a permis d'attirer des projets d'envergure, notamment 2 opérations de plus de 100 000m2 pour le compte de SEB et de La Redoute.« Nous estimons que la logistique aura créé dans cette région plus de 2500 emplois au cours des 9 premiers mois et généré un investissement privé de plus 500 millions d'euros » indique Laurent Sabatucci - directeur associé, fondateur EOL.Le marché en Rhône-Alpes (Lyon) :Très forte tension sur l'offre avec un taux de vacance historiquement bas (3%).Les quelques opérations lancées en blanc et les terrains disponibles pour des clefs en main ont été commercialisés.Peu de développements à venir et peu de solutions de report sur des marchés périphériques.Le marché dans les Bouches-du-Rhône (Marseille) :Un rebond important au 3ème trimestre.Une baisse continue du taux de vacance (4%).Des loyers en hausse.A la différence du marché lyonnais, le marché marseillais propose quelques solutions de développement notamment à proximité du port de Fos.Le marché en Centre-Val-de-Loire (Orléans) : L'activité reste très soutenue en Centre Val de Loire. Ce secteur est devenu plus important que Marseille ou Lyon.Le nombre d'opérations lancées en blanc et en cours de développement garantissent une certaine fluidité du marché.Le taux de vacance est stable. Les loyers sont en hausse modéréeLe marché en Nouvelle-Aquitaine (Bordeaux) :Peu de transactions et très peu d'offres disponibles dans un marché sous tension.Les opérations lancées en blanc ont été commercialisées.Le marché en Occitanie (Toulouse) : Un marché devenu marginal compte tenu du manque d'offres disponibles et du peu de transactions.Un taux de vacance toujours en baisse.
Il y a 3 ans et 169 jours

La future gare Sevran–Livry

GDA
Il y a 3 ans et 170 jours

Préventica Toulouse

Salon de l'information pour les secteurs de la santé, la sécurité et la qualité de vie au travail.
Il y a 3 ans et 170 jours

Equilibrio, le sèche-serviettes en acier inoxydable, alimenté par énergie électrique à bas voltage

Le sèche-serviettes et/ou sèche-peignoir électrique, en acier inoxydable, est un système modulaire composé par un ou plusieurs éléments, disponibles en deux longueurs (580 mm et 1060 mm), qui peuvent être installés à la fois verticalement et horizontalement, avec ou sans interrupteur d’allumage.Alimenté par énergie électrique à bas voltage (24 Volt), selon les principes d'économie énergétique de la production CEA, EQUILIBRIO s'adapte facilement à n'importe quelle ambiance de la maison, trouvant la bonne configuration en fonction de l'espace disponible et des besoins du projet. Le design épuré et linéaire rend EQUILIBRIO particulièrement transversal : le corps encastré universel et libre détermine sa modularité et/ou répétabilité maximale. Un élément s'ajoute à l'autre avec une liberté de création maximale, donnant vie à un produit capable de combiner de manière exemplaire fonctionnalité, durabilité et design.EQUILIBRIO est disponible dans les variantes satinées et polies et dans toutes les finitions spéciales CEA, écologiques et biocompatibles (Black Diamond, Bronze, Copper et Light Gold).
Il y a 3 ans et 170 jours

Un manuel de chantier vertueux pour la construction de maisons à ossature bois

"Cob le Poche" est conçu comme un recueil des meilleurs savoir-faire pour construire une maisons à ossature bois sur site, du contrôle de la maçonnerie jusqu’à la préparation du lot menuiserie.
Il y a 3 ans et 170 jours

Le premier panneau de bois 100% biosourcé est en vente chez les distributeurs de bois

Evertree, a annoncé que Next, son panneau de bois 100% biosourcé, est maintenant en vente chez les distributeurs spécialisés bois : Dispano, PanoFrance et des adhérents du groupement CMEM. Pour…Cet article Le premier panneau de bois 100% biosourcé est en vente chez les distributeurs de bois est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 170 jours

CDG Express: des travaux avant les JO, mais une ouverture reportée à fin 2026

L'exécutif a fait part de son choix lors d'un comité de pilotage de l'"axe nord" --le faisceau de voies ferrées au nord de Paris-- chez le préfet de région, a expliqué à l'AFP le vice-président d'IDFM Grégoire de Lasteyrie (LR).A l'origine, le calendrier adopté en 2019 par l'alors ministre des Transports Elisabeth Borne prévoyait une ouverture du CDG Express fin 2025, mais il a été mis à mal par la pandémie de Covid-19 et des péripéties judiciaires.Depuis, deux scénarios avaient été échafaudés: le premier reportait le gros des travaux après les jeux Olympiques de 2024, pour une ouverture de l'ouvrage vers 2028; le second concentre les chantiers en 2023, avec un objectif de mise en service fin 2025, et c'est celui qui a été choisi.Mais pour M. de Lasteyrie, le gouvernement s'est fourvoyé. "Des deux scénarios, aucun ne nous convenait parce qu'ils ne prenaient pas en compte la continuité du service public", a-t-il déclaré. "Nous regrettons la décision du Premier ministre. (...) Nous considérons que c'est un passage en force du gouvernement, qui sacrifie 1,6 million de passagers des transports du quotidien", les usagers du RER B et des trains du banlieue des faisceaux nord et est.L'élu s'inquiète en particulier de "l'insuffisante des moyens de substitution" qui pourront être mis en place pendant les interruptions des lignes de banlieue exigées par le chantier."Ce qu'on demandait à SNCF Réseau, c'est d'étudier des scénarios qui permettent de ne pas impacter les transports du quotidien", a-t-il insisté.IDFM n'a en outre pas obtenu que les travaux de la rénovation du RER B soient déconnectés de ceux du CDG Express, ces derniers étant toujours menacés par une décision de justice."Il y a toujours un risque que l'autorisation environnementale (du CDG Express) soit purement et simplement annulée", a rappelé M. de Lasteyrie.Contacté par l'AFP, SNCF Réseau n'a pas souhaité faire de commentaire, tandis que Matignon et le ministère des Transports n'ont pas pu confirmer l'information dans l'immédiat.
Il y a 3 ans et 170 jours

La Façonnerie, laboratoire bas carbone d'un genre nouveau, au sein d'appartements habités

INNOVATION. Le groupe Verrecchia Construction, bâtisseur-promoteur spécialisé dans la construction en pierre de taille, a lancé un laboratoire d'un nouveau genre. L'objectif est, à terme, de massifier l'écoconstruction dans l'Hexagone.
Il y a 3 ans et 170 jours

Photovoltaïque : un plan de soutien en 10 points bien accueilli malgré des contradictions

Pour atteindre les objectifs de la PPE en photovoltaïque, le Ministère de la Transition écologique a publié un plan, plutôt bien reçu, qui mélange mesures déjà en vigueur et nouvelles dispositions.
Il y a 3 ans et 170 jours

Projets citoyens

Depuis 20 ans, l'Union Nationale des Syndicats Français d’Architectes (Unsfa) s'attache à récompenser la collaboration entre ...More about Cet article Projets citoyens est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 170 jours

Technologie alvéolaire pour la rénovation

Solution 3 en 1, Triso-Toiture assure une isolation contre le froid en hiver (R>6,20 m2.K/W), contre la chaleur en été grâce aux films réflecteurs renvoyant jusqu’à 95% des rayonnements infrarouges. Elle garantit également l’isolation phonique ainsi que l’étanchéité à l’eau et à l’air selon les normes NF EN 1928 méthode A et NF EN 12114. Elle se compose de deux isolants complémentaires : un isolant réflecteur avec pare-vapeur intégré : Triso Hybrid’ et un isolant réflecteur perspirant avec écran HPV intégré : Boost’R Hybrid’. Les deux composants sont mis en œuvre de manière à former une enveloppe isolante et étanche.
Il y a 3 ans et 170 jours

RE2020 : la filière bâtiment relance Emmanuelle Wargon sur ses promesses

Si les premiers textes de la RE 2020 sont sortis cet été, les promesses relatives à la création d'un observatoire de sa mise en œuvre et de la simplification des procédures n’ont pas été tenues.
Il y a 3 ans et 170 jours

Ajap 2020, l'expo des lauréats - Derniers jours à la Cité

Découvrez les vingt réalisations en lice pour le prix de l'Équerre d'argent 2021, et les cinq pour celui de la Première Œuvre 2021. Cette sélection a été réalisée par les rédactions du Moniteur et d'AMC, à partir de plus de 260 dossiers de candidature répartis en cinq catégories : Habitat, Lieux d’activités, Culture, jeunesse et sport, Espaces publics et paysagers, et Première œuvre. L'annonce du […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 170 jours

Restauration de la chapelle Saint-Hubert du château royal d’Amboise

Le programme de restauration de la chapelle Saint-Hubert du château d’amboise porte sur les charpentes et couvertures suivant le dernier état connu et voulu par Ruprich-Robert (architecte en chef des monuments historiques en charge des travaux de restauration à la fin du XIXe), ainsi que sur une reprise de maçonnerie des façades. Une harmonisation des pierres, une restauration des sculptures et des verrières est également prévue. En parallèle, sera menée la reprise de l’étanchéité du parvis. Le chantier a débuté en octobre 2021 pour se terminer en octobre 2023. L’État a pris pleinement mesure du caractère majeur de ce chantier (représentant au total 2,7 millions d’euros), puisqu’il contribuera au budget des différents travaux engagés sur le site (intégrant, donc, ceux sur la chapelle) à hauteur de 2,16 millions d’euros, au titre du Plan de relance économique. Il s’agit là de la dotation la plus importante accordée à un édifice privé, propriété de la Fondation Saint-Louis. Celle-ci intervient opportunément pour cet édifice et dont les charpentes présentaient des fragilités dont il fallait se préoccuper sans délai au moment où le monument subissait de plein fouet les effets de ses fermetures successives et de la raréfaction des visiteurs. Placé sous l’autorité de l’architecte en chef des Monuments historiques, Etienne Barthélémy, ce chantier de restauration de la Chapelle Saint-Hubert revêt un caractère tout à fait exceptionnel puisque les derniers travaux d’une telle ampleur opérés sur la chapelle datent du milieu du XIXème siècle et de l’après-guerre. Il sera fait appel aux savoir-faire régionaux contribuant, ainsi, à mobiliser les entreprises du patrimoine vivant. La DRAC Centre-Val de Loire a initié l’opération : « Une école, un chantier… des métiers » afin de porter de nouvelles ambitions en faveur de la jeunesse autour des métiers et des savoir-faire. L’accueil de 4 classes des collèges du secteur est prévu, pour un suivi tout au long des phases du chantier, avec des visites incluant l’intervention de professionnels des entreprises artisanales (techniciens dédiés), et du patrimoine. Source et photo : Drac Centre-Val-de-Loire
Il y a 3 ans et 170 jours

Une journée consacrée à la restauration d’un pavement au Centre de conservation du Louvre à Liévin

La Drac des Hauts-de-France, le musée du Louvre et le Louvre-Lens organisent une journée consacrée à la restauration du pavement de Saint-Martin-d’Hardinghem mercredi 1er décembre au Centre de conservation du Louvre à Liévin. Le public est invité à découvrir la restauration d’un pavement du Moyen Âge sauvé des eaux de l’Aa. En 2016, des pavements médiévaux de 200 m2 ont été mis au jour au lieu-dit La Cour Lévêque, identifié comme une résidence de campagne des évêques du diocèse de Thérouanne. La restauration d’envergure de cet ensemble patrimonial exceptionnel a débuté en 2021 et se poursuit actuellement. Inscriptions : – au programme de la matinée, dans la limite des places disponibles : laetitia.maggio@culture.gouv.fr – aux ateliers en famille l’après-midi au Louvre-Lens, sur louvrelens.fr Conférences : 9h00 – 11h20 • « Mot d’ouverture » Hilaire Multon, Directeur régional des affaires culturelles des Hauts-de-France Marie-Lys Marguerite, Directrice du Centre de conservation du Louvre Liévin • « De la fouille à l’exposition : le sauvetage d’un ensemble patrimonial majeur » Laetitia Maggio, Conservatrice du patrimoine – DRAC – Service régional de l’archéologie Hauts-de-France • « La fouille d’une résidence de campagne des évêques de Thérouanne à Saint-Martin-d’Hardinghem » Guy Flucher, Responsable d’opération – Institut national de recherches archéologiques préventives • « Les pavements médiévaux de Saint-Martin-d’Hardinghem : l’étude de l’archéologue » Laetitia Dalmau, Archéologue départemental – Direction de l’archéologie du Pas-de-Calais • « Les étapes de la conservation-restauration des pavements de Saint-Martin d’Hardinghem » Natacha Frenkel, Conservatrice -restauratrice – Atelier Art’s du feu • « Une découverte archéologique en 2021 : le pavement de l’abbatiale Notre-Dame à Hénin-Beaumont » Jean-Jules Tronquoy, Archéologue – Direction de l’archéologie de Douaisis Agglo • Visites commentées de l’atelier de restauration : 11h20 – 13h  Pour les participants à la matinée : départ toutes les 20 minutes. Projection de vidéos sur la fouille et la restauration des pavements. Au Louvre-Lens, après-midi pour les familles  • Visites commentées de l’atelier de restauration : 14h – 17h30  par petits groupes pour les individuels et les familles : départ toutes les 30 minutes. Projection de vidéos sur la fouille et la restauration des pavements.     Ateliers pédagogiques pour les enfants accompagnés (6-12 ans)   Source : Ministère de la culture                
Il y a 3 ans et 170 jours

Antique plateforme en bois sur les quais de Rezé

En amont d’un projet immobilier porté par Bati-Nantes, au cœur de la ville de Rezé (Loire-Atlantique), l’Inrap vient de fouiller sur prescription de la Drac des Pays de la Loire, deux emprises, de part et d’autre de l’avenue de Lattre de Tassigny. Les découvertes de nombreux vestiges antiques, médiévaux et modernes s’inscrivent dans un secteur déjà exploré au XIXe siècle. La parcelle fouillée cet été se situe en bordure d’un ancien bras de la Loire aujourd’hui disparu, d’un coteau rocheux et de la plaine alluviale. Les structures portuaires les plus anciennes, datées du courant du Ier siècle après J.-C., renvoient à des aménagements de berges rares en Gaule Lyonnaise. Il s’agit notamment de constructions en terrasse proches de celles déjà reconnues dans la zone portuaire de Saint-Lupien. Elles apparaissent sous la forme de murs et de caissons de poutres de bois et de dalles de schiste qui constituent des plates-formes techniques de chargement et déchargement. La conservation remarquable des matériaux organiques révèle une architecture exceptionnelle. Elle se caractérise par un assemblage de poutres de chêne pouvant atteindre jusqu’à 10 m de longueur et supportant des poteaux et des contre-fiches. Leur démontage minutieux a permis de relever les multiples techniques d’assemblage (tenon et mortaise, mi-bois, clous…), mais également d’observer les nombreuses traces laissées par les charpentiers (traces d’outils, marques, estampilles…). Cette architecture de bois est renforcée par un blocage aménagé de dalles de schiste, ainsi que par la construction d’un mur dans lequel une partie des poutres vient s’insérer. Ce dispositif de caissons est complété en arrière par la construction de murs de terrasses délimitant un espace de circulation. Après de multiples réaménagements, ces constructions sont peu à peu abandonnées vers le IIIe siècle et font place à une vaste cale en pente douce qui témoigne de la continuité de la fréquentation des berges. Au sud des plates-formes, un bâtiment antique chauffé par un système d’hypocauste, un four à chaux et divers creusements témoignent par ailleurs de l’urbanisation et de la vie du quartier. Cette découverte sera suivie d’importantes études et analyses, notamment xylologiques (études des bois), en partenariat avec le CNRS (UMR 7324, « Laboratoire Archéologie et Territoires »), qui apporteront des informations complémentaires sur Rezé et sur les aménagements portuaires en Gaule romaine.   Intervenants : Marie-Laure Hervé Monteil, inrap. Crédit photo : Inrap.    
Il y a 3 ans et 170 jours

L'artisanat du bâtiment progresse grâce au succès du marché de la rénovation

Au troisième trimestre, l'artisanat du bâtiment a réussi à faire mieux qu'à la même période en 2019, deux ans plus tôt, porté notamment par les ménages profitant de MaPrimeRénov'.
Il y a 3 ans et 170 jours

Avec le rachat d'Equans, Bouygues change de visage

Dans la nuit de vendredi à samedi, Engie, géant français de l'énergie, a annoncé avoir choisi Bouygues face à deux autres compétiteurs pour lui céder Equans, sa filiale regroupant divers services techniques pour les entreprises et collectivités - gestion de l'énergie dans les bâtiments, ventilation, climatisation, chauffage, numérique, électricité ou encore sécurité incendie.Ce rachat - le plus gros dans l'histoire du groupe créé en 1952 par Francis Bouygues - "est un changement complet et profond de dimension, qui va déplacer son centre de gravité", résume lundi à l'AFP une source proche du dossier.Historiquement connu pour la construction, son premier métier, Bouygues s'était déjà diversifié dans les télécoms (avec Bouygues Telecom) et les médias (avec TF1, en passe de fusionner avec M6). Mais son quatrième pôle "Energies & Services" restait relativement modeste avec un chiffre d'affaires de 4 milliards d'euros.L'intégration d'Equans - avec pas moins de 74.000 salariés et 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires - va faire quadrupler de taille cette branche et en faire "le premier métier de Bouygues", soulignait ce dernier dans son communiqué samedi.Le groupe présidé par Martin Bouygues insistait notamment sur "le marché porteur des services multi-techniques", qui se trouve "à la convergence des transitions énergétique, numérique et industrielle"."Ces métiers-là sont un bon complément par rapport au BTP classique, et génèrent surtout une marge plus importante, avec des contrats de maintenance sur plusieurs années qui offrent une certaine visibilité. Et dans ce business, Bouygues était en peu en queue de peloton, avec une marge opérationnelle pour Bouygues Energies & Services plutôt modeste, à 2% en 2019", souligne Eric Lemarié, analyste actions chez Bryan, Garnier & Co.Prix "astronomique"Ce rachat "fait sens" également pour Frédéric Rozier, gestionnaire de portefeuille chez Mirabaud, "d'un point de vue géographique car Bouygues s'implante de manière assez importante dans ce business au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Belgique. Et aussi d'un point de vue économique car on connait, notamment avec la transition écologique, les besoins de transformation dans les énergies et on sait qu'une croissance va être là".Il souligne aussi que ces métiers "ont moins de cyclicité. On a vu récemment dans l'immobilier qu'il peut y avoir des gros trous d'air".Cependant, M. Rozier juge qu'il y a également "beaucoup de questions sur la rentabilisation de cette acquisition: le prix est juste astronomique, avec des contraintes de conservation d'emplois et de créations d'emplois".Bouygues s'est en effet "engagé à ne mettre en oeuvre aucun plan de départs contraints en France et en Europe" pendant cinq ans, et à "la création nette de 10.000 emplois" sur la même période."Certes Bouygues n'a pas de dette" mais dans son pôle Energies & Services "le niveau de marge est plutôt inférieur à 3%. Or, le +business plan+ proposé se base sur des marges quasiment à 5%: alors d'accord il y aura peut-être des synergies, mais on se demande comment ils vont opérer pour que l'ensemble arrive à ce modèle de rentabilité jamais atteint jusqu'à présent", estime Frédéric Rozier.Le prix payé pour Equans "est cher, même si ce n'est pas tous les jours qu'on a un deal comme Equans à se mettre sous la main", renchérit Eric Lemarié.Si le titre chutait à la Bourse de Paris lundi (-5,96% à 15H12, à 33,47 euros), c'est parce que "le marché pense que Bouygues a payé un prix trop élevé, qu'il y a des risques d'intégration parce que l'entité est de taille importante et qu'elle est vraisemblablement composée d'une multitude de métiers différents, ce qui peut éventuellement compliquer l'exécution du deal", selon lui.M. Lemarié met aussi en avant le fait que "le deal ne sera finalisé qu'au deuxième semestre 2022 et qu'aujourd'hui on a peu de chiffres officiels, on rentre donc dans une période d'incertitudes, ce qui n'est jamais bon boursièrement parlant".
Il y a 3 ans et 170 jours

Challans : ouverture du collège Jacqueline-Auriol après la réhabilitation de l’établissement Milcendeau

Le collège Jacqueline-Auriol a ouvert ses portes après l’achèvement des travaux de réhabilitation de l’ancien collège Milcendeau.
Il y a 3 ans et 170 jours

Saint-Julien-des-Landes : début de l’aménagement de la rue de Lande-d’Homme

Les travaux d’aménagement de la voirie de Lande-d’Homme, prévus pour ce mois de novembre 2021, ont été lancés.
Il y a 3 ans et 170 jours

Bayonne : de nouveaux financements pour la réhabilitation de la synagogue

De nouvelles campagnes de collecte de fonds sont en cours en vue d’achever la réhabilitation de la synagogue de Bayonne.
Il y a 3 ans et 170 jours

Sarre-Union : les 269 tombes profanées du cimetière juif ont été restaurées

Six ans après la profanation du cimetière israélite de Sarre-Union, les 269 tombes ont été restaurées. Une cérémonie a eu lieu le 28 octobre dernier.
Il y a 3 ans et 170 jours

La fédération Cinov lance la 1re édition des “Talentes”

“Les Talentes” récompensent les femmes exerçant les métiers dans l’ingénierie ou le numérique. [©Cinov] La fédération Cinov annonce le lancement de la 1re édition “Les Talentes” pour récompenser les femmes dans les métiers de l’ingénierie ou encore du numérique… Le 15 décembre prochain, un jury composé de professionnels décidera des gagnantes. Malgré une progression de la parité homme / femme au sein des métiers techniques, il reste encore du chemin à parcourir. En effet, deux tiers des postes sont occupés par des hommes. Lire aussi : Ingérop dévoile les vainqueurs de la 2è édition du IN3 Ainsi, “Les Talentes” a pour vocation de mettre en lumière la contribution des femmes dans les secteurs de l’ingénierie et du numérique. L’évènement peut aussi permettre d’influencer les jeunes, en particulier les adolescentes. « La féminisation de la branche revêt un enjeu triple pour les années à venir, affirme Magali Delhaye-Cottave, vice-présidente de la fédération Cinov. Il faut casser les clivages instaurés pour mettre à la portée des femmes des métiers masculinisés. » Les “Talentes” de Cinov en sept catégories Les “Talentes” comportent sept catégories. Le Cinov adresse le prix de “l’innovante” à celle qui va changer les pratiques habituelles du secteur avec des idées novatrices. “L’entreprenante” récompensera une professionnelle qui a su mener son entreprise avec succès, grâce à une stratégie pertinente et audacieuse. “La globe trottante”, elle, se démarquera par son parcours international et son adaptation à un univers multiculturel. Quant à “la militante”, c’est son implication dans les domaines de l’environnement au sein de sa société qui sera récompensée. Pour le prix de “l’enseignante”, il honore la meilleure maîtresse d’apprentissage en charge d’une jeune débutante. Débutante qui, par son parcours et sa motivation, peut se voir décerner le titre de “La jeune talente”. Et pour finir, le prix de “La talente” est destiné à la femme qui incarne le mieux les ambitions féminines dans les métiers de l’ingénierie et du numérique. Toute nomination pour ces prix implique la candidature pour ce titre. Les participantes ont jusqu’au 24 novembre pour se présenter à ce concours sur le site “es Talentes”. 
Il y a 3 ans et 170 jours

Webdoc 20 ans, ép. 1 : 20 ans d'ouvrages remarquables et focus sur le viaduc de Millau

WEBDOC 1/10. Pour fêter ses 20 ans, Batiactu vous propose un webdocumentaire exclusif : "20 ans pour construire l'avenir." Découvrez le premier épisode consacré aux ouvrages remarquables et grands projets d'infrastructures de ces vingt dernières années, avec un focus sur l'épopée du Viaduc de Millau. "Bâtir toujours plus haut, plus fort, plus vite et plus beau !"
Il y a 3 ans et 170 jours

Déconstruire des icônes - Exposition

Au sein du domaine de Fontanière à Archiac (Charente-Maritime), spécialisé dans la culture de la vigne, le nouveau chai d'Atelier Rural, dévolu au stockage d'eau-de-vie, fait la part belle à la terre crue. C'est dans un site rural, proche d'un étang, sur une terre argileuse de mauvaise qualité impropre à un emploi en […] Lire l'article