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Toute l'actualité du bâtiment

255401 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 326 jours

La Samaritaine de Sanaa a ouvert ses portes

Bon indicateur de la santé économique du secteur, les chiffres diffusés par la Mutuelle des architectes français (Maf) pour l'année 2019 dressent le portrait d'un marché de l'architecture dynamique... avant la crise sanitaire. C'était le monde d'avant, et son horizon semblait dégagé. Les chiffres […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 326 jours

Des associations demandent la restitution du Potager du roi au château de Versailles

Il y a 150 ans, l’Etat a eu la sagesse de confier la gestion du Potager du Roi au ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Aujourd’hui, il doit avoir la sagesse de confier cette gestion à nouveau au domaine de Versailles. C’est l’appel lancé par les Amis du Potager du Roi, Sites & Monuments et quatre autres associations de défense du patrimoine : La Demeure Historique, Patrimoine Environnement, Les Vieilles Maisons Françaises et Yvelines Environnement. Le Potager du Roi a été détaché du château de Versailles en 1871 et confié au ministère de l’Agriculture pour le sauver de la destruction et en faire l’Ecole Nationale d’Horticulture (ENH). L’ENH a restauré le Potager et en a fait un magnifique jardin d’exposition et d’enseignement de l’horticulture et y a notamment constitué une collection unique au monde d’arbres fruitiers conduits en espaliers, contre-espaliers et autres formes en volume. Malheureusement, en 1995, elle a quitté le site et, faute de volonté stratégique, la conservation du Potager a été laissée à l’Ecole Nationale de Paysage (ENSP), une école renommée mais sans compétences (et sans ressources) en matière d’horticulture et de conservation d’un jardin historique. Depuis plus de 25 ans, le Potager du Roi se détériore et sa collection d’arbres fruitiers disparait inexorablement. Tout visiteur peut constater que le jardin est aujourd’hui au bord de l’effondrement. Il s’agit maintenant d’organiser le sauvetage d’un jardin en perdition. Un rapport du Ministère de l’Agriculture préconise d’externaliser la gestion des fonctions du Potager qui ne correspondent pas au cœur de métier de l’ENSP (production et commercialisation, événements, billetterie, chantier de restauration…), soit à peu près tout. Un changement de responsables à l’ENSP et au domaine de Versailles doit également avoir lieu, permettant de renouveler les collaborations. Les associations soutiennent la proposition d’externalisation de la gestion du Potager du Roi par un rattachement du Potager au domaine de Versailles qui a toutes les compétences requises pour conserver – et réenchanter – ce jardin historique. Cela permettrait également d’avancer de façon significative dans le remembrement du domaine de Versailles, le Potager étant d’ailleurs désigné par le décret constitutif de l’établissement public de Versailles comme devant lui revenir, à terme. Elles souhaitent que ce retour anticipé s’effectue dans le plus grand respect de toutes les parties prenantes et que le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation reste associé, dans ce nouveau cadre opérationnel, à la mise en valeur d’un jardin qui a vocation à redevenir l’expression de l’excellence horticole Française.
Il y a 3 ans et 326 jours

L’Euro-CUPACLAD : qui sera le champion ?

En pleine finale de l’Euro de football,  CUPA PIZARRAS organise sa propre compétition. Les systèmes de bardage en ardoise naturelle CUPACLAD sont présents sur tout le continent, l’entreprise propose d’élire le pays accueillant le meilleur projet. Chaque candidat est présenté sur le site web : https://www.cupapizarras.com/fr/actualite/euro-cupaclad.
Il y a 3 ans et 326 jours

Reconversion d’un cloître dominicain en bibliothèque municipale

Le cloître baroque Predikherenklooster a été édifié en 1650 à Mechelen en Belgique. Le lieu possède une riche histoire, qui a laissé de nombreuses traces. Abandonné depuis 1975, ce bâtiment tombait peu à peu en ruine. La ville de Mechelen a décidé de le restaurer en 2010 et de le transformer en bibliothèque municipale. Le bureau néerlandais Korteknie Stuhlmacher Architecten, en collaboration avec Callebaut Architecten et le Bureau Bouwtechniek (Belgique), a voulu insuffler une nouvelle vie à ce patrimoine. Les architectes ont réussi une transformation délicate en faisant le choix de ne pas revenir à un état antérieur. Ils ont laissé visible, à l’intérieur et à l’extérieur, les transformations, les extensions et les traces de dégradation. Les nouveaux aménagements, tout comme les habillages acoustiques en chêne, s’intègrent tout naturellement dans l’existant. Dans les couloirs, les panneaux acoustiques Ligno Acoustique light habillent élégamment les murs, et servent également d’étagères et de bancs périphériques pour lire ou s’asseoir. L’étage supérieur est conçu avec une galerie et des espaces dédiés à la lecture, il est ouvert jusqu’à la charpente. Les panneaux en bois dotés d’absorbeurs acoustiques, sur le côté des pignons et la balustrade de la galerie, garantissent un calme monacal. Avec leur motif de profilés fin et régulier, ces panneaux procurent également un bien-être visuel.   Maître d’ouvrage : ville de BE-Mechelen Conception : Korteknie Stuhlmacher Architecten, NL-Rotterdam en collaboration avec Callebaut Architecten, BE-Drongen et Bureau Bouwtechniek, BE-Antwerpen Architecte du projet : Mechthild Stuhlmacher Direction de projet : Arne Weiss (Korteknie Stuhlmacher Architecten), Cedric D’haese (Callebaut) Mise en œuvre : POTTEAU labo Nv, BE-Heule
Il y a 3 ans et 327 jours

Prison ferme requise à Marseille contre des "marchands de sommeil"

Quinze mois d'emprisonnement dont neuf avec sursis et une amende de 50.000 euros ont été réclamés contre Chadi Younes, 46 ans, un ostéopathe marseillais propriétaire d'une quarantaine de logements, jugé pour mise en danger, dégradation d'appartements dans le but d'en faire partir leurs occupants et pour ne pas s'être conformé à ses obligations de relogement.Le 29 octobre 2018, une semaine avant l'effondrement de deux immeubles rue d'Aubagne, en plein coeur de Marseille, qui avait provoqué la mort de huit personnes, le bâtiment dont est propriétaire M. Younes avait été évacué en urgence après la rupture d'une poutre maîtresse et la chute d'une partie de la toiture.Cinq locataires, qui se sont constitués parties civiles, ont tous décrit un état d'insalubrité de l'immeuble et des ruissellements d'eau provenant du toit."La cage d'escalier commençait à s'écrouler, le propriétaire promettait tout le temps de faire des travaux mais il prenait juste l'argent", avait témoigné un ancien occupant de l'immeuble.Chadi Younes assure qu'il avait fait réviser la toiture un an plus tôt mais il n'a pas produit la facture, ni même une attestation.La présidente du tribunal Céline Ballérini a opposé au prévenu un courrier qu'il avait envoyé quinze jours avant l'effondrement de la toiture pour donner congé immédiat à tous les locataires "à la suite de nombreux problèmes de structures et d'infiltrations d'eau"."On peut se demander si cela ne témoigne pas que vous étiez parfaitement conscient de la situation", a relevé la magistrate."Il n'est pas un propriétaire défaillant mais se comporte comme un marchand de sommeil", a insisté le procureur Guillaume Bricier.L'avocat du prévenu, Me Christophe Jervolino, a dénoncé la volonté du parquet de Marseille de "faire de M. Younes un exemple"."Il y a un enchaînement malheureux d'évènements qui conduit à la détresse de familles mais il n'y a pas toujours un responsable", a-t-il plaidé.Lors de cette audience, six mois de prison ferme et 10.000 euros d'amende ont été également requis contre une propriétaire jugée pour mise en danger.Vivant en région parisienne, Georgette Tohouo, 60 ans, avait acquis en 2007 deux appartements dans un immeuble dégradé du 3e arrondissement de Marseille, l'un des quartiers les plus pauvres d'Europe.Le 22 novembre 2018, le plancher d'un de ses appartements s'était effondré et les toilettes étaient passées à travers. Elle n'avait pas réalisé les travaux nécessaires et ne réglait que partiellement ses charges de copropriété."Dans ce dossier typique de l'indolence au service du profit, Mme Tohouo a été négligente de A à Z, se comportant typiquement en marchand de sommeil", a estimé le procureur.Cette propriétaire a déjà été condamnée par la cour d'appel de Paris à deux peines de huit mois d'emprisonnement avec sursis pour soumission de personnes vulnérables à des conditions de logement indigne.Son avocate a invité le tribunal à "ne pas en faire un symbole de la lutte contre l'habitat indigne".Depuis l'effondrement mortel des deux immeubles rue d'Aubagne, la justice a lancé plusieurs enquêtes contre ce fléau à Marseille. Quelque 100.000 personnes seraient logées dans des taudis dans cette ville de 860.000 habitants, selon la Fondation Abbé Pierre.
Il y a 3 ans et 327 jours

Une centaine d'acteurs s'engagent pour le "bas carbone" à Lille

Avec cet accord présenté comme "inédit", les 115 signataires - promoteurs, bailleurs sociaux, architectes ou bureaux d'études parmi lesquels Vinci, Enedis ou encore Engie - s'engagent à respecter 90 exigences ainsi qu'une vingtaine d'engagements complémentaires de leur choix à Lille et dans les communes associées de Lomme et Hellemes.Six priorités régissent ces engagements, dont l'énergie et l'eau, la mobilité durable, les matériaux bas carbone et l'économie circulaire. Parmi eux, maximiser le nombre de logements traversants, récupérer l'eau de pluie pour arroser les espaces verts, atteindre un taux de valorisation des déchets issus de la démolition supérieur à 50% ou encore développer les informations sur les bonnes pratiques à destination des habitants."C'est un pacte exceptionnel", a salué devant la presse la maire PS de Lille, Martine Aubry. "Nous avons travaillé pour faire en sorte d'aller plus loin que la réglementation et de trouver des solutions innovantes dans tous les domaines, que ce soit la récupération des déchets, la place de la nature..."Il s'agit par exemple de "construire avec le plus de matériaux locaux, planter trois arbres lorsqu'on en abat un, faire en sorte de développer les stations et garages à vélo...", a-t-elle listé. "Cela nous permet de prendre de l'avance dans la lutte contre le réchauffement climatique (...) Aujourd'hui nous ne pouvons plus construire comme hier.""C'est un pacte engageant et pas seulement une charte déclarative", a expliqué Audrey Linkenheld, première adjointe à la maire de Lille déléguée à la Transition écologique et du développement soutenable, précisant que les engagements feront l'objet d'un contrôle régulier.Cet accord, qui s'appuie sur plusieurs rapports d'expertise, intervient alors que la ville de Lille a multiplié les initiatives en faveur de l'environnement comme le zéro déchet, le développement des espaces verts et de l'alimentation durable, avec pour objectif de réduire l'émission des gaz à effet de serre de 45% d'ici 2030.
Cimbat
Il y a 3 ans et 327 jours

François Deroche, président de l’Association française pour les pompes à chaleur (AFPAC)

Directeur marketing chez Daikin, François Deroche est élu président de l’association en mars 2021. Il était vice-président depuis 2019 et succède à Eric Bataille.
Il y a 3 ans et 327 jours

Un nouvel espace de vie pour cet appartement à l'esprit bohème

VISITE. Savamment mis en valeur, cet appartement familial a su conserver le charme de son caractère ancien, malgré quelques modifications de son plan d'origine. Une élégante déco à l'esprit bohème y crée une ambiance chaleureuse, très accueillante.
Il y a 3 ans et 327 jours

Vinci livre la Samaritaine à l'issue d'une réhabilitation "complexe et technique"

PATRIMOINE. L'emblématique grand magasin parisien a été livré, entièrement restructuré, au groupe LVMH, après 16 ans de fermeture et six ans de travaux. Vinci Construction et sa filiale Petit vantent de nouveaux usages en plus des espaces commerciaux, avec la création de bureaux, de logements sociaux, d'un hôtel et d'une crèche.
Il y a 3 ans et 327 jours

Jean-Baptiste Fayet, directeur général de Terreal France

Présent dans le groupe depuis 2002, Jean-Baptiste Fayet est promu au poste de directeur général de Terreal France en mars 2021. Rattaché directement à Laurent Musy, président du groupe Terreal et de Terreal France, il est membre du comité exécutif du groupe.
Il y a 3 ans et 327 jours

Marie-Claude Jarrot, présidente du Conseil d’administration du Cerema

Présidente du Conseil d’administration du Cerema depuis décembre 2020, Marie-Claude Jarrot est élue représentante du Cerema au conseil d’administration de l’ANCT en mai 2021.
Il y a 3 ans et 327 jours

Logement : 60% des Français ne connaissent aucune norme environnementale

ETUDE. Les Français sont-ils sensibles aux actions écoresponsables en matière de logement ? Quelle est la place de l'écologie dans les critères de choix immobiliers des Français ? Réponses dans l'étude menée par Happydemics, une plateforme d'études marketing.
Il y a 3 ans et 327 jours

Dans vingt ans, à Paris comme à Caracas ?

Que les choses soient claires : en termes de coupures d’électricité, dans vingt ans, à Paris, c’est le Venezuela. N’avons-nous pas déjà pris l’habitude d’être prévenus avant chaque canicule ou grand froid que des risques de ruptures sont possibles ? À chaque orage ou inondation, badoum… Il faut sortir les bougies. Nous en avons tellement intégré la […] L’article Dans vingt ans, à Paris comme à Caracas ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

Prison ferme requise à Marseille contre des marchands de sommeil

JUSTICE. Des peines de prison ferme ont été requises devant le tribunal correctionnel de Marseille contre deux propriétaires qualifiés par l'accusation de "marchands de sommeil".
Il y a 3 ans et 327 jours

À la moitié de l'exercice 2021, le Bâtiment estime que "la relance est menacée"

CONJONCTURE. Un an et demi après le déclenchement de la crise du Covid, la Fédération française du bâtiment se félicite d'avoir maintenu et même renforcé l'emploi du secteur, tout en bénéficiant d'une nette hausse de l'amélioration-entretien, segment porté par le succès de Ma prime rénov'. La menace des pénuries de matériaux et de l'explosion des prix qui va avec fait néanmoins trembler la profession.
Il y a 3 ans et 327 jours

GPE, RCEA : l'autorité environnementale pointe des dossiers de très mauvaise qualité

GRANDS PROJETS. L'autorité environnementale a présenté, le 22 juin, le bilan de son action pour l'année 2020. Pointant "la grande hétérogénéité de qualité des dossiers" qui lui sont soumis, son président, Philippe Ledenvic, avance deux sujets majeurs sur lesquels les avis de l'Ae se feront plus précis à l'avenir : le changement climatique et l'artificialisation des sols.
Il y a 3 ans et 327 jours

Apprentissage : Vinci lance une plateforme d'offres pour les jeunes

EMPLOI. Vinci déploie une nouvelle stratégie pour attirer plus de jeunes vers les métiers du groupe. La major cherche à donner une image plus actuelle des professions de la construction, à travers des vidéos explicatives.
GDA
Il y a 3 ans et 327 jours

Nouveau directeur des systèmes d’information pour VM

Hervé Petit devient le nouveau directeur des systèmes informatiques de VM. Il sera en charge du nouvel ERP. [©VM] Hervé Petit est le nouveau directeur des systèmes d’information de l’entreprise VM (ex-VM Matériaux), faisant partie du groupe Herige. Il fait ainsi partie du comité de direction et est rattaché à Eric Rouet, directeur général de VM. Fort de son expérience dans le domaine de la gestion des systèmes d’information, il aura pour mission la mise en place dunouveau progiciel de gestion intégrée (ERP) de l’entreprise. Ce nouveau système permettra de répondre aux attentes et aux évolutions des métiers de la distribution. Ainsi, Hervé Petit aura un rôle des plus importants pour la suite du développement digital de VM. C’est à la demande d’Eric Rouet, qui souhaite prendre le virage du digital, afin de répondre aux besoins futurs du secteur, qu’est né ce projet. Ce dernier a demandé la participation et l’adhésion de l’ensemble des équipes de VM.  Le parcours d’Hervé Petit  « La mise en place de notre nouvel ERP et la mise à niveau de notre infrastructure et de nos applications actuelles constituent des briques essentielles pour la transformation digitale de VM. Un projet d’ERP réussi, c’est avant tout un projet d’entreprise porteur et fédérateur pour les équipes »,témoigne Hervé Petit. Pour rappel, VM, est un distributeur de matériaux de construction et de rénovation. Présent sur le Grand Ouest de la France, les produits vendus par VM sont destinés aux professionnels de la construction. Mais aussi aux particuliers avec des projets d’envergure.  Hervé Petit est ingénieur en informatique et mathématique appliqué, spécialisation intelligence artificielle. En 1990, il intègre Rhône Poulenc en tant que chef de projet ERP. Il restera à ce poste pendant 7 ans, avant de rejoindre Ernst & Young, en qualité de directeur d’études. En 1998, Hervé Petit devient directeur projet ERP Amérique Latine chez Carrefour International. En 2004, il intègre Agrial Europe comme directeur des systèmes informatiques et directeur de projet ERP. Après 12 années, Hervé Petit décide de fonder sa propre entité. Il évolue donc et devient associé fondateur de Heptic Consulting pendant 4 ans. 
Il y a 3 ans et 327 jours

La nouvelle appli Tuto Sateco

L’appli Tuto de Satco est le premier outil digital gratuit de formation et d’information dédié aux utilisateurs de matériels. [©Sateco] Disponible sur smartphone, tablette et ordinateur, l’appli Tuto est le premier outil digital gratuit dédié aux utilisateurs de matériels Sateco. Elle permet d’accéder partout, tout le temps et en toute autonomie, aux informations sur les produits de la gamme du coffreur ; Les utilisateurs pourront retrouver des descriptifs 3D, afin de mieux préparer leurs montages, et surtout, d’informer sur les composants nécessaires au chantier. Et aussi des vidéos tutorielles, qui montrent pas à pas les principaux assemblages (dépliage, superposition, juxtaposition…). Mais ce n’est pas tout, car courant juillet, vous pourrez découvrir les accessoires complémentaires pour toutes les configurations chantier et ceux pour la stabilité des outils coffrants… Et ensuite, suivront la partie “Utilisation sur chantier”, notamment pour la banche Box RS. Mais aussi les configurateurs qui permettront, en un seul clic, de définir l’équipement pour la stabilité et le poids des trains de banches, pour l’élingage et la manutention. Tuto s’adresse auxingénieurs méthodes, aux conducteurs de travaux, aux chefs de chantier, aux responsables QSE, aux bancheurs et aux maçons. Plus d’info, suivre le lien 
Il y a 3 ans et 327 jours

"Il y a un mouvement irréversible vers le mesurage de la qualité des travaux", A. Maugard

ENTRETIEN. Après trois mandats de quatre ans à la présidence de Qualibat, Alain Maugard a passé la main. Du Grenelle de l'environnement au label RE2020, retour sur douze années d'évolutions du secteur du bâtiment.
Il y a 3 ans et 327 jours

Le CSTB participe au BIM World 2021 à Paris

Les salons en présentiel font leur retour ! Les 23 et 24 juin se tiendra le BIM World 2021 à Paris Expo Porte de Versailles. L'événement réunit tous les acteurs du numérique pour la construction, l'immobilier et l'aménagement du territoire. Le CSTB ainsi que SITOWIE et EPIDHERM, start-ups du CSTB'Lab, participeront à ce grand rendez-vous. Recherche d'un accompagnement dans la transition numérique, de services numériques innovants ou déploiement du BIM (Building Information Management) dans vos projets ? Venez sur notre stand à la rencontre de nos experts pour découvrir nos offres, comme le BIM-CIM au service des aménageurs et des collectivités, et échanger sur la démarche BIM GEM au service de la mise en place d'un jumeau numérique. Cette édition abordera parmi les grandes thématiques : Construction, matériaux & performance environnementale, Rénovation, énergie & performance d'exploitation, Quartiers, smart territoires & performances d'usages ou encore Réglementation et label RE2020 pour laquelle le CSTB tiendra une conférence. Rendez-vous au BIM World et congrès Low Carbon, les 23 et 24 juin, Paris Expo Porte de Versailles, Paris. Stands CSTB : E28/F29, Hall 6 Au programme Le CSTB sera mobilisé pour accueillir ses clients et aussi pour animer des ateliers et conférences organisées par Bim World et Low Carbon, des ateliers et faire des démonstrations. Mercredi 23 juin À 11 h – Salle 3 Conférence « Le numérique au service de la rénovation énergétique » Intervenants : Julien Hans, directeur Energie Environnement CSTB, Frédéric Gailliot, directeur marketing Vertuoz, Engie Solutions, Tomas Blaha, Channel Sales Manager, Central and Eastern Europe, Geoslam À 11 h - Salle 2 Conférence « Loi Agec, Loi Climat… Décryptage de l'actualité réglementaire et législative, impacts pour le bâtiment » Intervenants : Sylvain Laurenceau, responsable économie circulaire CSTB, Amélie Diaz, Responsable des études et de la prospective, Institut National de l'Économie Circulaire Juliette Simonetto, Chargée de mission et développement, Institut National de l'Économie Circulaire. De 15h à 15h30 – Espace Talk Rouge Atelier « Comment prendre le virage de la RE2020 » Intervenant : Marine Vesson, ingénieure expertise environnement CSTB À 16h – Studio vert Conférence « L'Europe du BIM : quels projets pour quelles exigences stratégiques ? » Nicolas Naville, chef de mission division Développement des usages numériques CSTB, représentant Digiplace, Sara ANGOTTI, cheffe de projet affaires européennes de la construction, DHUP, Pierre BENNING, co-directeur, PN MINnD, Atlas À 17h – salle 6 Conférence « Accélérer la transition numérique du marché : bilan et prochaines étapes du Plan BIM 2022 » Intervenants : Etienne Crépon, président du CSTB, Emmanuel Acchiardi, sous-directeur de la qualité et du développement durable dans la construction Ministère de la Transition écologique et solidaire, Gilles Charbonnel, président ADN Construction et Yves Laffoucrière, président Plan BIM 2022 Jeudi 24 juin De 10h30 à 11h - Espace Talk Rouge Atelier : Approche et enjeux BIM GEM CSTB au service du jumeau numérique Intervenant : Audrey Vial, référente thématique BIM GEM CSTB De 15h à 15h30 - Espace Talk Rouge : Déploiement du BIM dans les collectivités territoriales : applications concrètes autour du cas d'usage de la gestion du Covid dans les ERP Intervenants : Thibaut Delval, chef de division adjoint maquette & ingénierie concourante CSTB + Christophe Sauvage, chef du service Maintenance nord CD92 À 15h – Salle 2 Conférence : « Europe : quels indicateurs pour la performance environnementale des bâtiments ? » Intervenant : Sylvianne Nibel, ingénieure études et recherche en bâtiments et quartiers durables CSTB, Estelle Réveillard, directrice Alliance HQE/GBC, Nadège Oury, chargée de mission, Alliance HQE/GBC Formations Devenir Référent BIM L'offre de formations BIM et maquette numérique Logiciels Élodie, logiciel d'évaluation de la performance globale des bâtiments AcouBAT by CYPE, logiciel de simulation des performances acoustiques des bâtiments CYPETherm Cometh Logiciel de simulation dynamique des performances thermiques et énergétiques des bâtiments Éditions L'offre BIM et maquette numérique
Il y a 3 ans et 327 jours

Les bons comptes du logement de la rue Cambon ?

Le 15 juin 2021, la Cour des comptes a rendu sur demande du Premier ministre un rapport « Pour une stratégie de finances publiques pour la sortie de crise, concilier soutien à l’activité et soutenabilité » *. Sur 208 pages, cinq sont consacrées au logement, surtout et avant tout le logement social. Sous ses couverts comptables, le […] L’article Les bons comptes du logement de la rue Cambon ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

La Fédération Française du Bâtiment alerte sur la flambée des prix des matériaux qui menace la relance du secteur

"La relance est bien là. En revanche, à cause de ce déséquilibre mondial sur les matériaux, les +11% (d'activité) sont menacés", a alerté Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), lors d'une conférence de presse.L'activité du secteur a en effet progressé, comme anticipé, d'environ 11% sur un an au cours du premier semestre, mais elle reste encore inférieure de 5% à son niveau de début 2019.Les chiffres sont ainsi dans le vert pour les mises en chantier de logements individuels et collectifs (+4,2% par rapport au premier quadrimestre 2019) et pour les autorisations de permis (+1%)."L'emploi tient", a par ailleurs indiqué la FFB, précisant que 48.100 postes avaient été créés au premier trimestre 2021, dont 43.200 salariés.Toutefois, cette dynamique ne pourra se poursuivre que "si les difficultés d'approvisionnement croissantes auxquelles sont confrontées les entreprises de bâtiment se règlent rapidement", a mis en garde l'organisation.Selon la fédération, la sortie de crise est attendue pour fin 2021, voire début 2022, "alors qu'on espérait l'été 2021".Pour limiter les conséquences de la hausse des prix et des pénuries sur le secteur, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a annoncé la semaine dernière le gel des pénalités en cas de retard de livraison sur les marchés publics.Une annonce jugée "totalement insuffisante" par la FFB, qui propose une extension du gel des pénalités de retard sur tous les marchés (publics et privés) ainsi qu'une prise en charge intégrale par l'Etat de l'activité partielle des salariés, "comme ça s'est passé l'année dernière pour le Covid".Elle réclame également la mise en place de deux crédits d'impôts afin d'amortir les éventuelles pertes subies en 2021 et de contrebalancer la hausse des prix des matériaux."Aujourd'hui, on a besoin d'amortir ce choc qui est peut-être plus grave que le Covid", a affirmé M. Salleron."Certains chantiers peuvent être non commencés ou abandonnés parce que les pénalités coûteront moins cher que de mener le chantier à son terme", a-t-il expliqué.Entreprises : carnets de commandes et emploi se redressent, pas les margesPour autant, cette relance reste indéniable au regard des carnets de commandes, qui atteignent des niveaux records, toutes tailles d’entreprises confondues. Et cela vaut aussi pour l’emploi, puisque fin mars, le bâtiment affichait 48.000 postes de plus qu’au premier trimestre 2020, y compris intérim en équivalent-emplois à temps plein et que les perspectives d’embauche restent bien orientées.Il faut toutefois signaler que l’amélioration globale côté activité et emploi ne se traduit pas franchement dans la rentabilité des entreprises. De fait, les Comptes nationaux trimestriels révèlent qu’après l’effondrement du printemps 2020, le relèvement des marges opérationnelles a cessé à la fin du troisième trimestre 2020 dans la construction, les maintenant bien en-deçà de leur niveau d’avant crise. Cela distingue d’ailleurs nettement le secteur des autres, notamment de l’industrie manufacturière qui a peu ou prou subi les mêmes contraintes.Une analyse fine des données permet d’expliquer cela principalement par la reprise de l’emploi dans la construction. Il faut sans doute y lire aussi le début des effets de la crise des matériaux.Deux menaces : sur la DFS et sur les matériauxCe sont deux sujets lourds aujourd’hui. Le premier, l’emploi, parce que de nouvelles menaces se dessinent sur la Déduction forfaitaire spécifique (DFS). Il s’agit d’un abattement de 10% de l’assiette des cotisations de sécurité sociale pour les employeurs et les salariés, en contrepartie des frais supplémentaires liés à la mobilité de leur lieu de travail. On estime qu’elle bénéficie à 45% d’ouvriers, 10% d’Etam et 5% des cadres du bâtiment. Pour mémoire, le gouvernement envisageait de la supprimer en 2019 et de récupérer ainsi près d’un milliard d’euros auprès des entreprises et de leurs salariés, mais nous avions réussi à limiter la casse. Il revient à la charge de façon plus insidieuse, avec la mise en ligne le 1er avril dernier du Bulletin officiel de la sécurité sociale (Boss), qui répertorie toute la doctrine administrative en matière de cotisations sociales. Or, ce Boss remet en cause plusieurs curseurs concernant la DFS, qui devient ainsi beaucoup plus complexe à mettre en œuvre, ce qui poussera nombre d’entreprises à y renoncer. La FFB demande instamment le retour au mode de calcul ex ante.Le second sujet très lourd du moment reste le choc sur les matériaux. La FFB s’est déjà largement exprimée sur ce sujet, depuis les premières alertes du début février. On peut signaler que l’Insee confirme maintenant les hausses de prix. Dans ce contexte, certaines entreprises dénoncent des contrats signés car la perte qu’elles subiraient en réalisant le chantier sans révision de prix s’avèrerait plus forte que la pénalité qu’elles encourent en y renonçant. D’autres entreprises mettent réellement des salariés en congés ou en activité partielle, faute de matériaux pour réaliser les chantiers.La situation ressort très tendue, dans la plupart des métiers et sur tout le territoire. Nous ne ne connaissons pas le terme de cette crise, mais savons qu’elle menace de stopper net l’amorce de relance constatée. D’où l’appel à la responsabilité de tous que nous avons diffusé très largement et les chartes que nous avons signées avec certains donneurs d’ordres.Pour passer cette crise, la FFB demande la mise en œuvre de la théorie de l’imprévision ainsi que la réactivation de l’ordonnance qui avait gelé les pénalités de retard sur tous les marchés et tout au long de la filière au printemps 2020. Elle demande aussi un accompagnement plus fort aux fournisseurs, afin de partager le risque et le choc sur les marges. Enfin, la FFB demande au gouvernement la possibilité de recevoir immédiatement la créance d’impôt généré par un carry back, un crédit d’impôt proportionnel au poste « achat de matériaux » des entreprises et la prise en charge intégrale par l’État des coûts d’activité partielle en cas de rupture d’approvisionnement.
Il y a 3 ans et 327 jours

Un premier bilan positif pour l'expérimentation de la qualification chantier par chantier

Pour mettre fin à ce paradoxe, la CAPEB a donc initié, avec l’accord des pouvoirs publics et des organismes de qualification, le dispositif de la qualification chantier par chantier qui permet au client d’une entreprise non-RGE de bénéficier des aides publiques (CEE, MaPrimeRénov'...) à la condition que l’entreprise accepte que son chantier soit obligatoirement contrôlé en fin de travaux et de se conformer aux résultats de cet audit. La CAPEB salue aujourd’hui les premiers retours positifs et encourageants de cette expérimentation au travers du premier audit in situ réalisé sur le chantier d’une entreprise artisanale du bâtiment adhérente de la CAPEB. Le chantier réalisé par un adhérent de la CAPEB de la Vienne a ainsi été le premier de la région Nouvelle Aquitaine à être contrôlé, dernière étape du dispositif de la qualification chantier par chantier. Il s’agissait d’un chantier d’ITE (technique d’isolation par l’extérieur) avec bardage réalisé par l'entreprise de Matthieu GUERIN qui possédait déjà des qualifications dans le domaine de l'enveloppe du bâtiment mais qui ne disposait pas de la qualification RGE ITE pour que sa cliente puisse bénéficier des aides de l’État.Flore GUERIN, épouse et salariée de l'entrepreneur, déclare « Je me suis rapidement saisie de cette opportunité pour obtenir à terme des références chantiers validées par un auditeur et ainsi les transformer en qualification pleine et entière au bénéfice de nos clients. »Dès les annonces par le gouvernement de la création de cette nouvelle qualification, Matthieu et Flore GUERIN ont engagé l'entreprise dans cette démarche, avec toutes les incertitudes, les interrogations de cette nouvelle annonce. Quelques mois plus tard, c’est finalement une expérimentation réussie et validée par les résultats positifs de l’audit chantier. Résultat : un client content et une entreprise satisfaite.Un contrôle indépendant réalisé en trois temps :Un temps au bureau pour questionner l'entreprise sur différents points de vigilance : le type de fixations, le type d'isolation, le traitement des points singuliers, la vérification des fiches technique des produits, les échanges sur les photos du chantier, les mentions obligatoires des devis et factures, le procès-verbal de réception...Le remplissage de la grille d'auditLa visite du chantier en présence du maître de l'ouvrage.Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, déclare : « Nous nous félicitons de ce témoignage qui vient confirmer l’objectif que nous avons toujours poursuivi : le marché de la transition énergétique et le RGE ne doivent pas échapper à nos entreprises artisanales du Bâtiment. Cette qualification au « coup par coup » dite chantier par chantier, est une expérimentation qui offre de nouvelles opportunités pour les entreprises, elle est aussi un véritable élément de promotion pour la qualification RGE classique. Le premier bilan de l’expérience, effectué par QUALIBAT, donne à voir les deux grandes catégories d’utilisateurs, ceux non qualifiés RGE et ceux qualifiés RGE mais pour une autre catégorie de travaux. Nous souhaitons au travers de cette expérimentation que les artisans déçus ou éloignés de la qualification soient accompagnés et que leur quotidien soit simplifié. Rejoignez massivement ce nouveau dispositif. Augmentez votre activité, en augmentant le nombre de rénovations énergétiques tout en répondant de manière sécurisée à l’attente de vos clients.»
Il y a 3 ans et 327 jours

Crise des matières premières : "Le comité sera mobilisé tant qu'il le faudra", Pierre Pelouzet

Le médiateur des entreprises s'est vu confier par le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, la direction d'un "comité de crise", chargé de gérer les conflits éventuels sur les chantiers de l'Etat, nés de la pénurie et de la flambée du prix des matières premières. Il revient pour Le Moniteur sur les tenants et les aboutissants de sa mission.
Il y a 3 ans et 327 jours

RE2020 : la filière béton ne sera réellement impactée par les seuils qu'en 2028

ANALYSE. La filière béton regagne progressivement espoir par rapport à la réglementation environnementale 2020, qui entrera en vigueur en janvier prochain. Dans un webinaire organisé par l'Union de la maçonnerie et du gros-oeuvre (UMGO-FFB), les porte-paroles de la filière ont fait le point.
Il y a 3 ans et 327 jours

Terreneuve : la Cité de la tapisserie d’Aubusson à l’épreuve des ans

La Cité Internationale de la Tapisserie, au-delà des missions d’un musée, assure la préservation et la diffusion d’un savoir-faire vivant reconnu par l’Unesco en 2009 comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité. C’est dire l’importance de cet équipement culturel qui, depuis l’époque où Colbert accorda à Aubusson le titre de Manufacture Royale, rayonne désormais internationalement. Les […] L’article Terreneuve : la Cité de la tapisserie d’Aubusson à l’épreuve des ans est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

Rockwool démarrera les travaux de son usine près de Soissons en 2022

INDUSTRIALISATION. Malgré une opposition vive, la future usine de Rockwool, située près de Soissons, débutera son chantier en 2022.
Il y a 3 ans et 327 jours

Xella a redéfini sa stratégie de marques avec Siporex et Ytong

Siporex devient la marque dédiée au second œuvre pour l’aménagement intérieur : cloison, meuble de rangement, habillage… [©Xella] Jusque-là, au sein du groupe Xella, l’offre de produits en béton cellulaire était disponible sous les marques Siporex et Ytong. Chacune d’entre-elles disposait de son propre réseau de distribution pour commercialiser des produits équivalents. Marque devenue générique et distribuée en grandes surfaces de bricolage, Siporex est surtout utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration. Ainsi que pour la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre Ytong, elle est commercialisée via les négoces de matériaux. Ceci, pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels. Ainsi que pour la mise en œuvre de murs coupe-feu. Redéfinition de la stratégie de marques de Xella Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété Siporex auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à Ytong, Xella a redéfini sa stratégie de marques. Le groupe établit ainsi une nouvelle offre multicanale, plus claire avec des enseignes fortes, chacune ancrée dans leur univers. Ainsi, Siporex devient la marque dédiée au second œuvre pour l’aménagement intérieur : cloison, meuble de rangement, habillage… Et Ytong devient la marque dédiée au gros œuvre pour la construction : murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires…
Il y a 3 ans et 327 jours

Ces deux menaces qui pèsent sur le Bâtiment

La FFB estime que la relance de l’activité est menacée par la crise des matériaux et l’administration, qui rend le recours à la déduction forfaitaire spécifique (DFS) plus complexe.
Il y a 3 ans et 327 jours

Qualification RGE chantier par chantier : Qualibat fait le point

Lancée en janvier 2021 dans le cadre du plan France Relance, l’expérimentation d’une Qualification chantier par chantier, destinée à durer deux ans, connaît un démarrage encourageant, selon Qualibat
Il y a 3 ans et 327 jours

La part des énergies fossiles aussi élevée qu'il y a dix ans, selon un rapport

La part des énergies fossiles dans la consommation d'énergie mondiale est aussi élevée qu'il y a dix ans, quand celle des énergies renouvelables n'a que légèrement progressé.
Il y a 3 ans et 327 jours

L’OPPBTP et BTP-Prevoyance partenaires de la start-up Biodata bank pour prévenir les coups de chaleur sur les chantiers

Cette dernière a développé et breveté un bracelet intelligent dédié à la prévention, permettant d’analyser la température corporelle pour éviter les coups de chaleur. L’objectif de ce partenariat est de mettre en place, avec plus de 850 salariés du bâtiment et des travaux publics, un premier test à grande échelle de cette solution. Il s’agit également de sensibiliser les professionnels du BTP à ce risque de plus en plus présent dans l’environnement de travail, et de s’assurer de la valeur ajoutée médicale et technique de la solution en termes de prévention, grâce à la participation d’experts et médecins sensibilisés à la question.Le coup de chaleur, un risque majeur sur les chantiersLes périodes caniculaires toujours plus intenses, fréquentes et prolongées, et les importantes variations climatiques impactent directement les métiers du bâtiment et des travaux publics dont de nombreuses activités sont réalisées en extérieur. Les professionnels du BTP sont ainsi de plus en plus exposés au risque de « coup de chaleur », qui correspond à une élévation de la température du corps au-delà de 39° C et constitue une urgence vitale. En effet, le coup de chaleur doit être pris en charge et soigné rapidement pour ne pas entraîner de séquelles. Conscients de son impact sur leur santé, les acteurs du BTP sont donc de plus en plus mobilisés sur cette problématique.Une innovation au service de la préventionLa solution de détection développée par Biodata bank, la Heat Warning Watch Canaria™, est un bracelet intelligent permettant d’analyser la température corporelle pour détecter les coups de chaleur dans des cas d’usage très variés. Au coeur de cette innovation, un nouveau capteur de flux thermique et algorithme qui permet de surveiller la température corporelle sans connexion de communication requise. Facile à distribuer, hygiénique et imperméable, le bracelet a vocation à permettre d’alerter simplement l’utilisateur lorsque sa température corporelle augmente d’un degré grâce à un signal luminaux et sonore.Du fait de son intérêt évident sur les chantiers, la start-up a pu intégrer en novembre 2019 l’Accélérateur Santé Prévention du BTP, à l’issue du 6ème comité de sélection de start-up. Créé par l’OPPBTP en partenariat avec la Fondation Excellence SMA, PRO BTP et le CCCA-BTP, et piloté par Impulse Partner, l’Accélérateur Santé Prévention du BTP se donne en effet l’objectif de repérer et soutenir des projets innovants et des start-up, en particulier en aidant à la mise en relation avec des clients potentiels du BTP et à l’expérimentation des solutions innovantes.C’est dans ce cadre que Biodata bank, l’OPPBTP et BTP-PREVOYANCE souhaitent aujourd’hui conjuguer leurs efforts pour réaliser le premier test de la solution sur chantier.Une première expérimentation auprès de plus de 850 salariés du BTPCe partenariat a pour objectif d’évaluer la fiabilité et la valeur ajoutée en prévention du bracelet intelligent développé par Biodata bank pour pouvoir, à long terme, accompagner la profession face à la problématique du coup de chaleur, en lui apportant une nouvelle solution innovante et fiable. Pour cela, l’OPPBTP a élaboré un protocole expérimental d’essai dans les conditions réelles d’utilisation, ayant débuté au début du mois de juin 2021. Celui-ci prend en compte les spécificités de plusieurs métiers représentés par une population cible de plus de 850 personnes salariées du BTP, au sein de 24 entreprises volontaires et 53 entités identifiées avec l’aide de BTP-PREVOYANCE. Au terme d’une période de test de la solution de 3 mois, les salariés testeurs volontaires pourront livrer leurs retours d’expérience sur la solution. Grâce à cette évaluation, l’OPPBTP livrera une évaluation du dispositif reposant sur l’expertise médicale de Dominique Leuxe, médecin conseil national de l’OPPBTP, et l’expertise technique de Mohamed Trabelsi, responsable du domaine EPI au sein de l’OPPBTP.Les mesures et les conclusions issues de cette expérimentation permettront d’enrichir une démarche globale d’amélioration de la prévention du risque de coup de chaleur.De nombreuses ressources à destination des entreprisesSur son site internet preventionbtp.fr, l’OPPBTP met à disposition des professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics de nombreux outils afin de les aider à connaître et à adopter les bons réflexes pour se protéger en cas de hausse des températures. Dans la rubrique Sur les chantiers, la page « Je suis exposé à des températures extrêmes » regroupe ainsi l’ensemble des ressources en lien avec cette situation de travail. Les professionnels y retrouveront notamment :Des solutions concrètes et pratiques à mettre en œuvre sur le terrain (Covid-19 : porter un masque par fortes chaleurs ; Choisir les bons vêtements de protection ; Bien choisir ses équipements de protection individuelle des yeux et du visage…) ;Des affiches à télécharger gratuitement, à imprimer et à placarder dans les bases vie ;Des questions / réponses pour répondre à toutes les interrogations des entreprises concernant la prise en charge des risques liés aux fortes chaleurs ;Des références juridiques pour comprendre la réglementation légale autour de la gestion des épisodes de canicule, dans un contexte de pandémie Covid-19 ;Une fiche conseil afin d’adopter les bons réflexes pour aérer et rafraîchir ;Des articles de fond (Travaux en extérieur en plein soleil: comment bien se protéger des UV ? ; Tout savoir sur le régime d'indemnisation des intempéries) et des actualités sur le sujet.Sur sa chaîne Youtube, l’OPPBTP propose en outre une playlist de 6 courtes vidéos qui rappellent en images tous les bons gestes à adopter sur les chantiers.
Il y a 3 ans et 327 jours

Mardi 29 juin. Étape 4 : REDON > FOUGÈRES (150.4 km)

Aller, une dernière part de gâteau breton avant la traversée de l’Argoat, d’un bout à l’autre de l’Ille-et-Vilaine. Fougères était en 2018 ville de départ, elle est aujourd’hui ville d’arrivée. Une étape qui va musarder à travers la campagne et que les équipes de sprinters vont tenter de contrôler, histoire de s’offrir un second sprint […] L’article Mardi 29 juin. Étape 4 : REDON > FOUGÈRES (150.4 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

Lundi 28 juin. Etape 3 : LORIENT > PONTIVY (182.9 km)

Le mieux est encore d’arriver la veille en Bretagne sud, à Lorient, dans le Morbihan, ville de départ de cette 3ème étape promise aux sprinters puisque les 183 km de route sont plats comme une crêpe et, à l’intérieur des terres, peu de risque de bordure. C’est l’occasion d’aller rendre hommage à Eole en allant […] L’article Lundi 28 juin. Etape 3 : LORIENT > PONTIVY (182.9 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

Dimanche 27 juin. Étape 2 : PERROS-GUIREC > MÛR-DE-BRETAGNE GUERLÉDAN (183.5 km)

La traversée des Côtes d’Armor ne sera pas de tout repos ni pour les coureurs ni pour les suiveurs. Les premiers ne peuvent rien espérer de cette étape en termes de confort malgré la beauté des paysages de la Côte de Granit rose. En effet, dès le deuxième jour, quand le peloton n’a pas encore […] L’article Dimanche 27 juin. Étape 2 : PERROS-GUIREC > MÛR-DE-BRETAGNE GUERLÉDAN (183.5 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

Samedi 26 juin. Étape 1 : BREST > LANDERNEAU (197.8 km)

Cette première étape, entre Cornouaille, monts d’Arrée et pays de Léon, pourrait tout aussi bien s’appeler le Tour du Finistère. Elle n’a rien de bucolique cependant puisqu’elle n’offrira aucun répit à cause du vent et du vent et du vent et les équipes vont devoir relancer, relancer et relancer encore. Le tout avant que le […] L’article Samedi 26 juin. Étape 1 : BREST > LANDERNEAU (197.8 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

Foin de la poussière, le Tour de France contemporain 2021 de Chroniques

Cette grande boucle 2021, ce tour de la France, sera comme d’habitude l’occasion pour les commentateurs de la course de nous servir à nouveau la valorisation à outrance de ses propres ruines. Le tout agrémenté de moult vues d’hélicoptère de la vieille église et du vieux château et de séquences ‘nostalgie’. L’époque n’est pourtant plus […] L’article Foin de la poussière, le Tour de France contemporain 2021 de Chroniques est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 327 jours

Construction hors site : l'incroyable montage d'un immeuble de 10 étages

L'entreprise chinoise Broad Group, qui fabrique une gamme d'unités de climatisation, de chauffage et de structures préfabriquées, a réalisé le travail en 28 heures et 45 minutes, avec l'aide de trois grues et d'une importante main-d'œuvre sur place.
Il y a 3 ans et 327 jours

Une ferme solaire de 23 ha est sur le point de voir le jour à Marcoussis

Le nouveau parc solaire de Marcoussis produira 22 000 000 kWh d’électricité chaque année.