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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 334 jours

Accessibilité : en quoi le zéro ressaut en salles de bains impacte-t-il tout le bâtiment ?

Organisés tous les mois sous l’impulsion des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, « Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » décryptent les grandes tendances de la construction.  À l’occasion de la troisième édition qui s’est tenue le 7 mai 2021, le Mondial du Bâtiment a réalisé un sondage exclusif1 sur la perception du zéro ressaut par les acteurs professionnels de la filière. Le sondage réalisé à l’occasion de la table ronde par le Mondial du Bâtiment sur le zéro ressaut vu par les installateurs démontre qu’il reste encore beaucoup de choses à éclaircir. En effet, alors que la règlementation impose une zone de douche avec un accès sans ressaut depuis le 1er janvier 2021, 63,2 % des personnes ayant répondu au sondage déclarent ne pas le savoir. Ils sont par ailleurs 64,7 % à ignorer si l’offre des fournisseurs est suffisante pour répondre à cette obligation et 25,6 % à penser qu’elle est insuffisante. Ces chiffres, mais aussi toutes les questions relatives à cette règlementation, ont été longuement débattus par quatre intervenants du « Grand Dossier du Mondial du Bâtiment » : André AUGST, Vice-président CEP-CICAT Ingénieur IPF expert en accessibilité, Claire LE QUELLEC, Présidente du Conseil Français des Architectes d’Intérieur, Hubert MAITRE, Secrétaire général de Afisb association des industries de la salle de bains et Julien SERRI, Délégué National aux Affaires Techniques du Pôle Habitat FFB.
Il y a 3 ans et 334 jours

L'Assemblée réduit de six mois le report de la hausse du gazole non routier entrainant la colère du BTP

Le gouvernement proposait de son côté un report de 18 mois, au 1er janvier 2023, mais un sous-amendement LREM d'Alexandre Holroyd a réduit les délais de six mois.Le rapporteur général du budget Laurent Saint-Martin (LREM) a insisté sur la "nécessité d'accompagner les filières" face à la crise, tout en gardant "l'ambition" écologique.La suppression de l'avantage fiscal dont bénéficie le gazole non routier devait initialement avoir lieu le 1er juillet 2021.Lors de l'examen du projet de loi de finances rectificative, le ministre du Budget Olivier Dussopt a justifié le report par les difficultés des entreprises et le "coût des matières premières".A droite et au centre-droit, plusieurs députés ont contesté le sous-amendement LREM, en estimant qu'il faut laisser du temps aux entreprises en cette période difficile."Je comprends bien qu'il doit y avoir une pression écologique, mais il faut aussi que les entreprises tournent", a estimé Eric Woerth (LR), le président de la commission des Finances.L'avantage fiscal plus important dont bénéficient les agriculteurs pour le gazole non routier n'est pas concerné par la mesure, qui a fait l'objet d'un très bref débat à l'Assemblée.La colère des TP après le revirement du gouvernement sur le GNR Les justifications entourant ce revirement sonnent comme un nouvel affront pour la profession, car si les Travaux Publics prennent pleinement leur part à la transition écologique, l’ensemble des acteurs reconnaît que la suppression du GNR, en l’absence d’engins écologiques disponibles sur le marché, constitue une erreur qui fera peser sur le secteur une charge supplémentaire de 700 millions d’euros en année pleine. Le secteur demande ainsi au Gouvernement de revenir à son engagement initial et souhaite être reçu en urgence par les représentants des majorités dans les deux assemblées pour en discuter.Pour Bruno Cavagné, Président de la Fédération Nationale des Travaux Publics : « Ce revirement inexplicable est tout à fait inacceptable pour l’ensemble du secteur de la construction qui avait appris du Gouvernement la nouvelle du report au 1er janvier 2023 avec beaucoup de soulagement. Ce vote est proprement irresponsable, sachant que les engagements publics du Gouvernement avaient déjà été communiqués à l’ensemble de nos entreprises. »
Il y a 3 ans et 334 jours

Logement Social : la relance avec une dynamique d’achat responsable au service de l’économie locale

Action Logement, CDC Habitat, la CAPEB et la FFB ont signé, ensemble, une charte pour accélérer la relance dans une dynamique d’achat responsable au service de l’économie locale. Cette charte, en cohérence avec les récentes recommandations du Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance en matière de marchés publics, fixe des préconisations et des bonnes pratiques contractuelles, tout en respectant les préoccupations de l’ensemble des parties. Dans un contexte tendu sur le marché des matériaux, le fait que la plupart des marchés de logements sociaux restent signés à prix fermes, non actualisables ni révisables, et qu’ils prévoient des pénalités de retard fait craindre un « effet de ciseau ». Cette situation, concernant toute la filière bâtiment, met en péril l’objectif des « 250 000 logements sociaux agréés en deux ans » et menace la survie même d’un pan entier de l’appareil productif au sein des territoires. Les quatre organismes unissent leurs forces pour réussir à atteindre l’objectif ambitieux de 250 000 logements sociaux agréés en 2021 et 2022, après une phase de recul tendanciel et une chute spectaculaire en 2020 (90 000 logements).
Il y a 3 ans et 334 jours

Les dérives de l’ensemble du système de formation aux métiers d’art

Paradoxalement, c’est aujourd’hui au moment où les formations métiers d’art bénéficient d’un engouement jamais atteint auparavant que l’ensemble des métiers doit faire face à une crise profonde de la formation aux métiers d’art. Dès 2018, au moment du vote de la loi « Avenir professionnel » qui a introduit le processus de la déconstruction des formations avec une redistribution des rôles des acteurs traditionnels, les professionnels des métiers d’art à travers leur syndicat – Ateliers d’Art de France – s’étaient interrogés sur le déséquilibre qu’introduisait le DNMADe dans la formation des futurs professionnels des métiers d’art et avaient dénoncé le décalage entre le contenu d’une formation généraliste et les besoins réels des futurs professionnels. À l’heure où les premiers diplômés du DNMADe font leur entrée sur le marché du travail, Ateliers d’Art de France, via la voix d’Aude Tahon sa Présidente, fait le point sur les dérives de l’ensemble du système de formation aux métiers d’art, un système en crise conduisant à la lente et constante détérioration des formations de toute la filière. Le nouveau programme conduit à l’éloignement des étudiants de la pratique intensive et à la destruction de la place centrale de la démarche de création par le travail de la matière,. Les professionnels qui ont accueilli des stagiaires et des apprentis au cours de cette année de crise sanitaire parlent d’une génération de futurs professionnels des métiers d’art sacrifiée. Pour eux, elle risque de ne pas avoir la maîtrise technique attendue et nécessaire ni la validation des connaissances, permettant de garantir leur insertion sur le marché du travail, ni l’accès au marché. Malgré la recrudescence, ces dernières années, du nombre d’adultes en reconversion dans le secteur des métiers d’art, la voie de la formation continue modifiée par la loi
Il y a 3 ans et 334 jours

Cette maison crée la surprise avec deux façades différentes

Rénovée et agrandie grâce à une extension et une surélévation, cette maison joue la carte de la surprise avec deux façades radicalement différentes, et une architecture inspirée de celle d'une chapelle qui lui donne un style unique.
Il y a 3 ans et 334 jours

Prix LafargeHolcim : les lauréats européens

LafargeHolcim a dévoilé le 14 juin 2021 les lauréats européens de son concours triennal, quatre projets imaginés en Suisse, en Espagne, en Belgique et au Royaume-Uni qui mettent chacun en lumière un aspect différent de la construction durable. Tous les trois ans, le concours LafargeHolcim – doté de deux millions de dollars – se déroule […] L’article Prix LafargeHolcim : les lauréats européens est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 3 ans et 334 jours

L’hygiène des mains redéfinie avec le nouveau robinet électronique Intellimix® d’Ideal Standard, récompensé par deux prix prestigieux de design

Sur le lieu de travail ou dans les sanitaires publics, recourir à un lavage des mains soigné et précautionneux permet de se protéger des infections. Or, environ 30% des européens n’utilisent pas de savon lorsqu’ils se lavent les mains après être passés aux toilettes. De plus, 95% des personnes n’utilisent pas de savon ou pas assez d’eau, ce qui facilite la propagation des bactéries, surtout en période de crise sanitaire. Avec Intellimix®, nouveau robinet électronique intelligent qui distribue à la fois de l’eau et du savon à chaque utilisation, IDEAL STANDARD garantit des normes d’hygiène améliorées, telles que recommandées par l’OMS. Economisant les ressources et réduisant les déchets, il est également respectueux de l’environnement. Alliant innovation et qualité, cette nouvelle solution de robinetterie vient d’être distinguée par deux grands prix de design : le Red Dot Design Award et le iF Design Award 2021. Une hygiène supérieure : 100% de lavage avec savon Le nouveau robinet Intellimix® intègre un distributeur de savon mousse antibactérien. Totalement sans contact, Intellimix® offre un cycle de lavage optimisé en délivrant automatiquement de l’eau et du savon lorsque l’utilisateur place ses mains sous le robinet. Pour une utilisation intuitive, l’écran numérique, situé en partie haute du robinet, affiche des instructions claires pour améliorer l’expérience de lavage des mains. Il peut également être programmé pour un affichage personnalisé (logo d’entreprise par exemple). Pour éviter la prolifération des bactéries dans les tuyaux, un rinçage périodique est déclenché mécaniquement après une durée déterminée. Des économies durables Bien qu’il fournisse un volume optimal de savon à chaque lavage pour une meilleure hygiène, Intellimix® économise jusqu’à 80% de savon. En effet, Intellimix® mélange le savon avec de l’air pour créer une mousse douce qui est non seulement agréable sur la peau mais aussi économique. Le savon est distribué par une pompe de qualité dont la durée de vie testée est de plus de 500 000 cycles. Autre avantage, Intellimix® utilise 85% d’eau en moins qu’un mitigeur traditionnel en suivant le cycle de lavage recommandé par l’OMS. Le limiteur de débit d’eau de 2 litres/minute et la temporisation programmable de celui-ci permettent de réaliser d’importantes économies. Grâce à l’Appli, disponible pour Android et iOS, les gestionnaires des installations peuvent ajuster à distance certains paramètres tels que les réglages du savon et le cycle de lavage des mains pour répondre à l’évolution des besoins et contrôler la fréquence du rinçage automatique. Enfin, la technologie EasyFix® facilite son installation et participe ainsi à la réduction des coûts. Durable, Intellimix® fait de l’engagement écologique une priorité en économisant les ressources et en réduisant les déchets. Il répond aux exigences des certifications LEED et BREEAM. Un design soigné récompensé par deux prix prestigieux Innovant, le robinet Intellimix® présente également un design moderne et audacieux avec ses finitions Black Onyx et Chromé. Avec son approche révolutionnaire du lavage des mains et sa conception unique et durable, Intellimix® vient de remporter deux prix internationaux de design prestigieux, le Red Dot Design Award et l’iF DESIGN AWARD 2021, récompensant les plus hauts standards de qualité, de conception et d’innovation. http://www.idealstandard.fr
Il y a 3 ans et 334 jours

Une charte pour éviter "l'effet ciseau" entre pénuries et pénalités de retard

ACCORD. Pour atteindre l'objectif de construction de 250.000 logements sociaux en deux ans, malgré les situations de pénurie, plusieurs acteurs du secteur viennent de signer une charte d'accélération de la relance.
Il y a 3 ans et 334 jours

AFIPEB : nouveau Comité Directeur


L’Association Française pour l’Isolation en Polystyrène Expansé dans le Bâtiment (AFIPEB), réunissant les principaux transformateurs de polystyrène expansé (Corstyrène, Etex, Hirsch Isolation, Innolation, Isobox, IsolFrance, Isossol, Knauf) et soutenue par…Cet article AFIPEB : nouveau Comité Directeur
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Il y a 3 ans et 334 jours

Loi Climat : l'Etat vigilant sur l'accompagnateur rénov et la désartificialisation

AMENDEMENTS. Le projet de loi Climat et résilience va être discuté en séance publique au Sénat, à compter de ce lundi 14 juin, en première lecture. Le Gouvernement a fait savoir qu'il tiendrait bon sur ses principales mesures, notamment celles touchant à l'accompagnateur rénov' et l'artificialisation des sols.
Il y a 3 ans et 334 jours

Les travaux de l’été 2021 à Versailles

La Ville de Versailles va engager des chantiers sur la voirie et dans les bâtiments communaux pendant les vacances d’été.
Il y a 3 ans et 334 jours

Vaucluse : dans les gorges de la Nesque, la RD 942 rouvre au public

Les travaux effectués sur la partie de la RD 942 située dans les gorges de la Nesque sont maintenant terminés.
Il y a 3 ans et 334 jours

Loyers impayés: la caution Visale étendue à tous les salariés gagnant moins de 1.500 euros

Le dispositif Visale, qui permet de bénéficier d'une caution garantie par l'Etat pour louer un logement, a été étendu aux salariés gagnant moins de 1.500 euros nets par mois.
Il y a 3 ans et 334 jours

JO 2024 : Demathieu Bard décroche le contrat global de performance pour le Pôle sportif inclusif

Au terme du processus d’appel d’offres, le marché global de performance pour la construction, l’exploitation et la maintenance du futur Pôle de Référence Inclusif Sportif Métropolitain (Prisme) a été attribué ce lundi au groupement d’entreprises mené par Demathieu Bard. Installé sur le stade de la Motte à Bobigny, le Prisme verra le jour en 2024 et constituera le principal héritage paralympique des Jeux de Paris.
Il y a 3 ans et 334 jours

En Italie, Implenia décroche un contrat ferroviaire de plus d'1 Md €

Le groupe de BTP suisse a remporté avec l'italien WeBuild le contrat d’un montant de 1,07 milliard d'euros pour la construction de la ligne ferroviaire Fortezza-Ponte Gardena (22,5 km) qui vise à assurer une mobilité durable dans le nord de l’Italie
Il y a 3 ans et 334 jours

Les acteurs européens du bâtiment appellent l'UE à faire de la décarbonation de l’environnement bâti une priorité

Ce groupe, qui représente plus de 4 500 organisations du secteur du bâtiment, a signé aujourd'hui une lettre demandant à la Commission de s'assurer que la révision de dossiers législatifs clés, tels que la directive sur la performance énergétique des bâtiments (EPBD), appuiera une approche du carbone considéré tout au long du cycle de vie du bâtiment. Cette lettre ouverte s'inscrit dans le cadre du projet #BuildingLife du World Green Building Council (WorldGBC), lancé en décembre et auquel participent dix GBCs nationaux. Le projet, financé par la Fondation européenne pour le climat, la Fondation IKEA et la Fondation Laudes, travaille avec les parties prenantes du secteur pour élaborer une feuille de route européenne sur la trajectoire carbone pour le bâtiment, afin de définir les moyens appropriés pour mettre en oeuvre l'approche du cycle de vie complet du bâtiment dans le cadre politique européen. Ce processus est également reproduit au niveau national dans 10 pays européens. Le carbone émis par les produits de construction, de leur production à leur fin de vie, représente environ 10 à 20 % de l'empreinte CO2 des bâtiments dans l'UE. Comme le souligne la lettre, les signataires considèrent qu'il est essentiel que la politique européenne s'attaque à ces émissions en même temps qu'aux émissions opérationnelles - produites lorsque les bâtiments sont utilisés - afin d'atteindre la neutralité climatique d'ici 2050, conformément aux objectifs du Green Deal de l'UE.Cristina Gamboa, PDG, World Green Building Council:"Cette lettre ouverte montre un consensus clair dans le secteur du bâtiment en Europe : la politique de l'UE doit aller plus loin pour offrir un environnement bâti entièrement décarboné et circulaire.À l'approche de la COP26, il est urgent que les décideurs politiques adoptent une approche du carbone dans l'ensemble du cycle de vie des bâtiments - une approche qui englobe non seulement les émissions opérationnelles mais également le carbone émis par les produits de construction.#BuildingLife montre la voie en développant une série de feuilles de route pour l'UE et 10 pays européens, grâce à une collaboration profonde entre les leaders du secteur, les décideurs politiques et les experts.Le WorldGBC invite les hauts dirigeants de l'ensemble du secteur à rejoindre notre campagne appelant à une approche par le cycle de vie du bâtiment, et à devenir aujourd'hui un ambassadeur de #BuildingLife."Tina Paillet, Présidente de RICS Europe :"Le secteur de la construction et du bâtiment a un impact considérable sur le changement climatique, sur la raréfaction de nos ressources, sur la production de déchets et sur les possibilités d'emploi local. La construction d'un bâtiment est très émissive en carbone nous nous rapprochons rapidement du dépassement de notre budget carbone de 1,5°C.Il est temps d'agir maintenant et l'économie circulaire est la seule voie possible pour un changement significatif dans le secteur de l'environnement bâti".Lars Völkel, Vice Président de Wood Products, Stora Enso"Nous avons un besoin urgent de politiques fortes qui encouragent l'utilisation de matériaux à faible teneur en carbone pour atteindre des bâtiments à consommation zéro. Une révision de l'actuelle directive EPBD portant sur les émissions liées au cycle de vie des bâtiments est un moyen efficace d'y parvenir. Le climat ne peut pas attendre."Roland Hunziker, Directeur, Sustainable Buildings & Cities, WBCSD"Une approche du carbone sur l'ensemble du cycle de vie est essentielle pour parvenir à des émissions nettes zéro dans l'environnement bâti. Dans l'ensemble, la performance carbone doit devenir une partie intégrante de l'évaluation tout au long de la chaîne de valeur et être incorporée dans la prise de décision dès le début du projet, dans les achats et dans les réglementations. Le projet #BuildingLife vise à proposer des mesures pratiques pour y parvenir."Céline Carré, Directrice des Affaires Publiques, Saint-Gobain"Si l'on veut sérieusement décarboner le secteur des bâtiments, il faut adopter une approche basée sur l'ensemble du cycle de vie afin de créer des conditions équitables pour toutes les solutions et s'inspirer des politiques adéquates sur la voie de la neutralité climatique."Koen Coppenholle, Directeur, CEMBUREAU :"Les politiques fondées sur une analyse du cycle de vie neutre sur le plan matériau sont essentielles pour décarboner nos bâtiments, et le cadre Level(s) est l'instrument approprié."Les actions proposées à la Commission européenne dans cette lettre ouverte sont les suivantes:Reconnaître le plein potentiel du secteur du bâtiment dans la réalisation d'une Europe climatiquement neutre.Veiller à ce que la révision des principaux dossiers législatifs, y compris la directive sur la performance énergétique des bâtiments (EPBD), soutienne une approche du carbone tout au long de la vie du bâtiment, en plus de l'accélération de la rénovation, et une plus grande transparence des performances atteintes.Reconnaître le potentiel de la méthode Level(s)- le cadre de l'UE pour les bâtiments durables – qui fournit une approche multi-critère harmonisée, en développant la circularité et l'adaptabilité des bâtiments.Mettre en oeuvre la stratégie de l'UE pour un environnement bâti durable afin de garantir la cohérence des politiques et de coordonner la transition vers un environnement bâti durable dans l'UE.Travailler avec le réseau engagé des parties prenantes de #BuildingLife pour développer et mettre en oeuvre ces politiques transformatrices.
Il y a 3 ans et 334 jours

Strasbourg : phase 2 de l’extension de la piscine de Hautepierre

La seconde phase du chantier de modernisation et d’extension de la piscine de Hautepierre, chiffrée à 5,7 millions d’euros, est lancée.
GDA
Il y a 3 ans et 334 jours

Safecaddy, le chariot d’urgence qui vous sauvera la vie

Safecaddy rassemble tous les éléments nécessaires aux premiers secours. [©Safecaddy] C’est à l’initiative d’une entreprise allemande, dirigée par Walter Schrober, que le Safecaddy a vu le jour. Depuis maintenant 12 ans, ce chariot d’urgence est utilisé dans les entreprises allemandes. « C’est par une rencontre avec Walter Schrober en novembre 2018 que nous décidons de collaborer pour promouvoir le Safecaddy sur le territoire français. La décision commune de monter une structure dédiée dans l’Hexagone est actée le jour de notre rencontre », explique François Pons, actuel directeur de Safecaddy France. Présent à Préventica Destinée à l’origine aux professionnels de la santé et de la sécurité, l’utilisation de ce caddie est désormais dédiée aux entreprises, usines ou chantiers. Safecaddy rassemble tous les éléments nécessaires aux premiers secours. Il permet une intervention rapide et efficace, afin de limiter des dégâts matériels et humains. Ce chariot est équipé de moyens et outils spécifiques : extincteur, défibrillateur et trousse de premiers soins … Il est conçu d’une manière à faciliter le rangement et permettre une sécurité optimale. Sa couleur rouge lui permet une meilleure visibilité dans tous les endroits.  Du 22 au 24 juin prochain, le salon Préventica se tiendra à Lyon (69). Une occasion pour l’entreprise Safecaddy de présenter son chariot à un plus large public en France. Préventica est le salon idéal. Puisqu’il met en avant les derniers équipements. Ainsi que les meilleures solutions pour préserver la santé et la sécurité au travail. 
Il y a 3 ans et 334 jours

La vis d’ancrage Multi-Monti-Plus de Heco version acier inoxydable

Heco fête les 25 ans de sa vis d’ancrage Multi-Monti-Plus avec une version inox A4. [©Heco] Le fabricant allemand de vis Heco fête les 25ans de la vis d’ancrage pour béton Multi-Monti-Plus. Il profite ainsi de l’occasion pour élargir sa gamme avec la version en acier inoxydable. Ce système de fixations permet de résister aux conditions climatiques très difficiles. Il se révèle être une solution sûre, que ce soit pour la fixation de balustrades, d’étais, de stores-bannes, de systèmes de panneaux solaires ou de conduits de cheminées extérieurs. L’application du modèle en acier inoxydable dans le béton fissuré ou non est validée par l’ETE 15/0784, option 1. La pointe fonctionnelle noire phosphatée extra-dure BlackCut de la vis offre un meilleur comportement au vissage. Et un faible couple de vissage, pour une contre-dépouille parfaite et un ancrage sûr. 
Il y a 3 ans et 334 jours

Nouvelle gamme de Climatisation Air Flux 6300 à récupération de chaleur de Bosch Thermotechnologie

Dédiée aux hôtels, bureaux, maisons de santé, cliniques, Immeubles de Grande Hauteur, salles de fitness, boutiques, etc., elle se distingue par de nombreux atouts :des puissances étendues avec 6 modèles monoblocs de22 kW à 50 kW et des cascades de 3 unités pouvantatteindre 150 kW,des plages de fonctionnement jusqu’à - 25°C en modechaud, et + 52°C en mode froid,l’ouverture vers l’Eau Chaude Sanitaire haute températurejusqu’à 80°C, avec le nouveau module hydraulique AF-HB,le plus compact et léger du marché,des performances élevées en modes réversible,récupération de chaleur et ECS (SEER jusqu’à 7,26 et SCOPjusqu’à 4,59),la possibilité de raccorder jusqu’à 36 unités intérieuresà une seule unité extérieure,une uniformité de gamme au niveau design, installation,réglages, paramétrages et maintenance, gage de confortoptimal pour l’installateur,une gamme certifiée EUROVENT.Dernières nées de la gamme Bosch VRF Air Flux, les unités extérieures Air Flux 6300 permettent de proposer une offre toujours plus complète. Elles viennent enrichir les unités extérieures réversibles Mini VRF MDCI et VRF Air Flux 5300 (entre 7 kW et 270 kW). Air Flux 6300 est compatible avec l’ensemble des unités intérieures et accessoires Air Flux. Cassettes 1, 2 ou 4 voies, gainables compacts haute ou moyenne pression statique, consoles, muraux..., toute une panoplie d’unités intérieures est proposée pour s’adapter à tous les environnements collectifs et tertiaires. Les régulations individuelles et centralisées tactiles permettent de piloter le système intégralement et facilement. Le raccordement à divers systèmes de Gestion Technique est également possible via des passerelles de communication.Une solution confortable et économe en énergieCette gamme offre, en un seul système, un fonctionnement simultané de refroidissement et de chauffage. La récupération d’énergie et de chaleur est obtenue en transférant la chaleur extraite dans certaines pièces vers les zones ayant besoin de chauffage. Elle se révèle pratique et indispensable pour le confort des occupants, particulièrement en demi-saison, lorsque les façades Nord d’un bâtiment peuvent avoir besoin de chauffage, tandis que les pièces orientées Sud sont rafraîchies.Le [+] : nouveaux boîtiers de répartition SBOX AF-SBLes boîtiers de répartition SBOX AF-SB facilitent lefonctionnement du système à récupération d’énergie. Le boîtier contrôle chaque groupe d’unités intérieures (jusqu’à 12 par SBOX), afin d’obtenir simultanément un mode chauffage et climatisation dans un système régulé par un boîtier SBOX. Les unités intérieures raccordées à un même boîtier SBOX peuvent fonctionner indépendamment, en mode refroidissement ou chauffage. Gage de sécurité, un boîtier surveille en permanence la quantité de fluide par pièce, et assure la sécurité requise par la norme EN378, notamment en ce qui concerne la détection de fuite de fluides.Le niveau sonore des unités peut être abaissé de 4 dB(A) à 8 dB(A), en ajustant la vitesse des ventilateurs et la fréquence des compresseurs. Six programmes « Silence » sont paramétrables, une source de confort supplémentaire qui favorise la concentration et le bien-être au travail.Quand Bosch Thermotechnologie accroît le champ des possiblesCompatible avec les nouvelles unités extérieures Air Flux 6300, le nouveau module hydraulique AF-HB assure la production d’Eau Chaude. Il offre une plage de température de production d’eau chaude allant de 25°C à 80°C (puissance nominale de 14 kW). Grâce au positionnement du module en amont des boîtiers de répartition (SBOX), le nombre d’unités intérieures après les SBOX peut être augmenté selon les besoins, et le foisonnement atteint jusqu’à 200 % de la puissance totale de l’unité extérieure. Sa compacité (80 cm de hauteur) et sa légèreté (58 kg) facilitent l’installation et permettent un agencement discret. Autre avantage, il peut aussi s’utiliser pour le chauffage : plancher chauffant, radiateurs et ventilo-convecteurs. Au quotidien, ses fonctions sont nombreuses : désinfection thermique, vacances, programmation hebdomadaire, mode Silence... Plusieurs modules hydrauliques peuvent être installés en cascade pour multiplier la puissance ECS disponible !Un condensé de technologieLa gamme à récupération de chaleur Air Flux 6300 se dote d’un nouveau compresseur à injection de vapeur qui optimise les performances de chauffage. Il garantit un fonctionnement stable jusqu’à - 25°C ainsi qu’un sous-refroidissement optimisé. Il offre une plage de fréquence jusqu’à 140 Hz, et une montée en température plus rapide et efficace à charge partielle (à partir de 15 Hz). En cas d’unités en cascade, cette technologie offre un équilibrage efficace entre les compresseurs. Le moteur sans balais réduit les frottements et améliore l’efficacité aux charges faibles et partielles, ainsi que la durée de vie globale de l’équipement.GarantiesCette gamme est garantie 5 pièces pour toutes les pièces détachées et 5 ans compresseurs. Si la mise en service est réalisée et validée par le Service Après-Vente Constructeur du Fournisseur, la main d’œuvre est incluse pour les deux premières années.
Il y a 3 ans et 334 jours

« ALTère NATIVE CSR » : l'alliance de Vicat et Paprec pour décarboner le ciment

Le cimentier et le spécialiste de la gestion des déchets fondent ensemble une entreprise de production de combustibles à partir de déchets non recyclables, les fameux Combustibles Solides de Récupération (CSR).
Il y a 3 ans et 334 jours

Les équipes BIMANDCO et Onfly seront présentes au BIM World 2021

Les équipes BIM&CO et Onfly sont heureuses de participer au BIM World 2021, en présentiel pour vous retrouver! Comme la première version en 2015 lors de l’annonce de la création de la plateforme publique bimandco.com, cette année nous avons prévu de frapper fort ! A cette occasion, nos équipes seront présentes sur deux stands, réaliseront trois ateliers et participeront à une conférence, dont les détails sont juste ici.   Un événement très attendu  Comme chaque année, l’entreprise éditeur de la solution Onfly sera présente pour cet événement pour partager et échanger avec l’écosystème d’experts et de passionnés BIM en France. Initialement prévue en octobre 2020, la rencontre annuelle a été décalée pour les raisons sanitaires évidentes que nous connaissons aujourd’hui. Avec près de 12.000 participants, 320 exposants, nous avons hâte de rencontrer les visiteurs qualifiés de ce salon, qu’il s’agisse d’architectes, d’ingénieurs, de maîtrise d’ouvrage, de bureaux d’études, mais aussi de fabricants de la construction.   Conférence avec notre CEO : “Modélisation, conception et objets – organisation de la production” Baptiste Mullie, CEO et fondateur d’Onfly, participera à une table ronde en compagnie de Claire Bruyère de Systra, Alexandre Mahfoud de Solideo ainsi que de l’un des Représentants Mba City. Cet échange sera l’opportunité pour Baptiste de partager sa vision du Design system du BIM: « Le Design system du BIM est un ensemble d’objets BIM réutilisables qui permettent de modéliser facilement une maquette structurée. »  Baptiste abordera les outils et l’organisation à mettre en place pour : optimiser la productivité des équipes de modélisation; simplifier la livraison d’une maquette de qualité, échangeable, aux informations exploitables. Retrouvez-nous à la conférence le 23 juin de 11:00 à 12:00 à l’Espace Congrès BIM World.   Deux stands pour nos deux plateformes A cette occasion, nous serons très heureux de rencontrer nos clients actuels et futurs via deux stands. Le premier stand BIM&CO sera un lieu dédié aux échanges avec tous les utilisateurs et intéressés de la plateforme bimandco.com, dont les fabricants. Le second stand sera quant à lui dédié à Onfly, l’outil au service des architectes, ingénieurs, constructeurs et bureaux d’études. Il s’agira de deux espaces distincts, mais tous deux dédiés aux échanges, aux rencontres et à des démos autour des problématiques BIM avec les meilleurs experts francophones. Se trouver sur deux stands distincts s’inscrit dans notre volonté de différencier les solutions bimandco.com et Onfly. Nous souhaitons simplifier nos échanges avec les collaborateurs intéressés, qu’il s’agisse de fabricants ou d’acteurs de l’AEC et bureaux d’études. Valentin Malemanche, Product Manager d’Onfly, commente : “Nous souhaitons amener les personnes intéressées à des stands où l’expérience utilisateurs leur est adaptée Chacun aura les réponses dédiées à son corps de métier. »   Atelier BIM&CO : “Retour d’expérience RE2020 : Exploitation de la donnée pour optimiser l’éclairage naturel”   Dédié aux architectes et bureaux d’études, cet atelier présentera comment appréhender au mieux l’exigence d’accès à l’éclairage naturel dans les logements neufs en exploitant les données embarquées dans les objets BIM, du générique au spécifique. Présenté par Ludivine Menez, Déléguée Technique à l’UFME et Laurent Lacroix, Business Development director chez BIM&CO, l’atelier aura lieu le 23 juin de 12:30 à 13:00 à l’atelier Violet. Vous pouvez aussi y accéder gratuitement ici !   Ateliers Onfly : “Gérer les niveaux de développement d’un modèle d’objet” & “Comment garantir la continuité de l’information à l’aide d’un référentiel ?” Le premier atelier portera sur comment gérer le niveau de développement du modèle d’une phase à une autre d’un projet, en ingénierie et maquette numérique. Lors de cet atelier, Rémy Maurcot présentera des exemples de solutions rapides et efficaces directement issues de l’expérience des clients d’Onfly.  Cet atelier aura lieu le 24 juin de 12:30 à 13:00 à l’atelier Violet.  Le second atelier d’Onfly, réalisé avec notre client Systra, sera dédié à tous ceux qui rencontrent des problèmes dans le déploiement, le suivi de sa démarche BIM, et la continuité de l’information tout au long de leurs projets, de la conception à l’exploitation. Louis Marie Borione, responsable programme innovation BIM, expliquera aux côtés de Valentin Malemanche, Product Manager de la marque Onfly, comment garantir cette continuité à l’aide d’un référentiel. Cet atelier aura lieu le 24 juin de 14:00 à 14:30 à l’atelier Rouge.   Pour ne rater aucune conférence ou atelier, nous vous donnons rendez-vous les 23 et 24 juin prochains, dans le Hall 6 porte de Versailles à Paris ! On a très hâte de vous rencontrer ! Alors, vous vous êtes déjà inscrits ? Vous pouvez le faire ici pour vous assurer de participer à l’événement BIM de l’année, et profiter d’un accès gratuit à tous nos ateliers !
Il y a 3 ans et 334 jours

L'actionnaire majoritaire de Tarkett lance une OPA pour le retirer de la cote

Tarkett Participations - société contrôlée par la famille fondatrice et dont Wendel détiendra jusqu'à 30% à l'issue de l'opération - détient actuellement 55,25% du capital et 54,58% des droits de vote du fabricant de revêtements de sols.L'actionnaire majoritaire avait annoncé fin avril son intention de racheter le solde du capital du groupe et de le retirer de la Bourse de Paris où il est actuellement coté, pour lui "permettre de poursuivre sa transformation engagée et de saisir de nouvelles opportunités".Jeudi, Tarkett a annoncé l'ouverture le jour même d'une offre d'achat simplifiée (OPAS) qui sera close le 9 juillet, au prix déjà connu de 20 euros par action.L'an dernier, Tarkett avait accusé une perte nette de 19,1 millions d'euros en raison de dépréciations d'actifs en lien avec la crise sanitaire, pour un chiffre d'affaires de 2,6 milliards d'euros.Tarkett, qui emploie plus de 12.000 personnes et compte 33 sites industriels, indique vendre 1,3 million de mètres carrés de revêtement de sol chaque jour, à destination des hôpitaux, des écoles, de l'habitat, des hôtels, des bureaux ou commerces et des terrains de sport.
Il y a 3 ans et 334 jours

La future école primaire des Bas Cornus signée Atelier Aconcept

Atelier Aconcept est lauréat pour la conception de l’école primaire des Bas Cornus à Villabé (Essonne). L’ouvrage plein de clarté de 2 000 m², pour un budget prévu de 6,6 M€ HT, est appelé à devenir l’élément central d’un nouveau quartier. Livraison 2025. Communiqué. Chemin des Bas Cornus à Villabé, un quadrilatère vu du ciel, […] L’article La future école primaire des Bas Cornus signée Atelier Aconcept est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 334 jours

Le groupe Vinci s'engage à utiliser 90% de béton bas carbone en 2030

Le géant français du BTP Vinci s'engage à mettre en oeuvre 90% de béton bas carbone dans ses constructions en 2030, et prévoit de réduire de 40% ses émissions de CO2 d'ici à 2030.
Il y a 3 ans et 334 jours

On peut repeindre avant de vendre

Peindre avant de proposer un bien à la vente est une pratique usuelle qui n'a pas de caractère suspect, juge la Cour de cassation.La justice était saisie d'un procès entre acquéreur et vendeur d'une maison, le premier reprochant au second de lui avoir vendu une maison humide sans l'en avertir et de l'avoir sciemment trompé en dissimulant les taches d'humidité sous une couche de peinture.Il s'agit d'un dol, disait l'acquéreur, c'est-à-dire d'une tromperie qui était destinée à le conduire à acheter sous l'effet d'une fausse conviction, en l'espèce la conviction que la toiture était irréprochable alors qu'elle présentait des infiltrations dans les murs.Mais pour la Cour en revanche, la couche de peinture apposée au moment de la mise en vente ne traduit pas une intention de dissimulation malhonnête, ni même suspecte, à moins que le contraire ne soit démontré. Elle relève seulement de l'intention de mettre en valeur le bien avant de le proposer et, sans autres indices, rien ne peut en être déduit.La Cour de cassation en fait un principe strict car elle l'a énoncé alors même que le vendeur pouvait en effet avoir des doutes sur la qualité des travaux de toiture qu'il avait lui-même réalisés.(Cass. Civ 3, 12.5.2021, M 19-25.547).
Il y a 3 ans et 334 jours

Le groupe Saint-Gobain décolle avec la dynamique du marché de la rénovation

Saint-Gobain porté par la dynamique du marché de la rénovation en Europe, prévoit un résultat d'exploitation "historique" et une marge "record" au premier semestre.
Il y a 3 ans et 334 jours

La mairie de Paris veut racheter un immeuble pour sauver un dancing gay

La Ville de Paris veut racheter un immeuble du quartier du Marais pour sauver le Tango, une discothèque gay menacée par la vente de l'édifice, et y installer des logements sociaux.
Il y a 3 ans et 334 jours

Bâtiments modulaires : dans quels cas privilégier l’achat à la location ?

Les bâtiments modulaires sont des modules préfabriqués qui sont ensuite assemblés pour former un bâtiment entier avec toutes les commodités et les équipements d’une construction classique. Ils peuvent s’empiler sur plusieurs niveaux ou s’étendre sur une grande surface selon les besoins. Ils sont surtout utilisés dans le secteur professionnel comme bureaux, salles de classe, de repos… Faciles à installer, plusieurs questions se posent quand ceux-ci ne sont plus utiles à leur commanditaire. Peuvent-ils être réutilisés à d’autres fins ? Peut-on acheter des modulaires d’occasion ? Faut-il préférer l’achat de préfabriqués de réemploi à la location ? Les deux catégories de bâtiments modulaires Certaines entreprises reposant sur le modèle de l’économie circulaire sont spécialisées dans la vente de bâtiments modulaires, en occasion ou alors reconditionnés. Si les préfabriqués neufs sont fabriqués dans une usine avant d’être amenés sur le site où ils seront érigés, les modules de réemploi peuvent être transférés directement de site à site pour être reconditionnés sur place. D’autre part, il existe plusieurs types de constructions modulaires, divisées en deux grandes catégories. Le bâtiment modulaire monobloc La première est dite monobloc. Il s’agit de modules constitués d’une seule unité, mais ayant à l’intérieur plusieurs pièces et toutes les commodités nécessaires. Les différentes structures sont fabriquées et assemblées hors site. Le module est ensuite livré, déjà constitué, sur son lieu de destination. Elles peuvent immédiatement servir. Il n’y a plus d’installation à faire. Le bâtiment modulaire assemblable La seconde catégorie concerne les bâtiments assemblables, constitués de différents éléments. Ils sont faciles à monter et à démonter, et sont souvent utilisés de manière ponctuelle, comme ce fut par exemple le cas durant la crise sanitaire, au cours de laquelle il a fallu construire des centres de santé d’urgence. Ils peuvent être également utilisés sur des chantiers pour servir de bureaux ou de lieux de stockages, sur une période limitée dans le temps. Souvent ces modules préfabriqués peuvent être superposés les uns sur les autres pour un gain de place optimal. Les usages du bâtiment préfabriqué dans différents secteurs Le type de module varie selon le secteur auquel il est destiné. Il y a ceux qui sont spécifiquement dédiés au secteur du bâtiment et du génie civil. Les bungalows ou les roulottes de chantier sont les plus connus. Les roulottes peuvent être déplacées sans difficulté. Pour le reste, le principe est le même. Ils abritent les bases de vie des ouvriers, le réfectoire ainsi que les toilettes. Les modules de stockage et d’emmagasinage font également partie des modules de chantier. Dans le secteur évènementiel, l’utilisation de constructions modulaires s’avère souvent nécessaire, car les événements sont éphémères par nature et se déroulent sur une durée limitée dans le temps. Les constructions sont donc provisoires et elles doivent pouvoir être montées et démontées rapidement. Dans l’évènementiel, les sanitaires sont très importants pour les lieux où se déroulent les manifestations. Il en est de même pour les salles d’accueil du public dans le cadre de conférences, de conventions ou de foires. Dans le secteur médical, les constructions modulaires sont surtout utilisées pour accueillir le public dans le cadre d’une campagne d’envergure, comme par exemple le dépistage du cancer, ou pour la mise en place de centres de vaccination, d’hôpitaux et de laboratoires provisoires… Les avantages des constructions modulaires Les constructions modulaires offrent de nombreux avantages, sur le plan économique en premier lieu, mais pas seulement. Un coût de construction moindre Si une entreprise ou l’administration publique préfère souvent la construction modulaire, c’est avant tout parce que cela revient beaucoup moins cher qu’une construction en dur. Les économies réalisées peuvent aller jusqu’à 30 %. La rapidité d’installation des différents modules est aussi un paramètre non négligeable, car le gain de temps est aussi synonyme d’économies. S’il s’agit de bâtiments modulaires à assembler, quelques jours suffisent pour sa construction. Si le choix de l’acquéreur porte sur un monobloc, la livraison et la pose sur site peuvent ne prendre que quelques jours. Construction de modulaires : moins de nuisances Outre la rapidité d’installation, un chantier de bâtiments modulaires est un chantier propre, car il ne génère ni poussière ni particules fines comme c’est souvent le cas sur un chantier classique (à cause du ciment, du sable, des va-et-vient…). Ici pas de bruit de moteur ou de marteau, les nuisances sonores sont très restreintes. Un délai de livraison raccourci pour les préfabriqués Selon la complexité des modules, la livraison est de 15 à 90 jours en moyenne. Les délais dépendent des personnalisations que le commanditaire souhaite apporter à son ou ses modules. À noter qu’il est désormais possible d’acquérir des bâtiments démontables respectant les normes thermiques et phoniques existantes. Une construction flexible et évolutive dans le temps La flexibilité des modules permet également les superpositions et les extensions. Les possibilités sont presque infinies. Il est en outre possible de personnaliser l’aspect intérieur comme extérieur : on peut par exemple y ajouter des baies vitrées, jouer avec les formes et l’équilibre des modules pour un design résolument contemporain. La flexibilité ne se situe pas uniquement au niveau des modules. Elle est aussi présente au niveau de l’ossature. En effet, il s’agit d’une structure acier autoportante qui lui confère plus de légèreté et une plus grande résistance aux aléas climatiques. Une durée de vie assez longue pour les bâtiments mobiles Une construction modulaire a une durée de vie d’environ 30 ans. L’acheter peut présenter un intérêt certain, si l’objectif n’est pas d’en faire un bâtiment provisoire qui sera ensuite démonté ou envoyé à la casse. De plus en plus de particuliers choisissent ce type de bâtiment pour construire leur maison d’habitation, le but étant de gagner du temps et de réaliser des économies conséquentes. Les normes en vigueur pour les bâtiments modulaires Pour les fabricants de bâtiments modulaires, le challenge est de taille, car ces modules doivent se conformer aux normes BBC pour les constructions neuves. La RT 2020, qui succède à la RT 2012, place la barre encore plus haut. En effet, un bâtiment modulaire doit privilégier au maximum les énergies renouvelables afin de réduire sa consommation énergétique. Aujourd’hui, la production des énergies renouvelables doit être supérieure à l’énergie dépensée. Par ailleurs, l’isolation thermique doit avoir un indice élevé. À noter que ces normes sont déjà appliquées dans les bâtiments publics depuis 2018. Ces derniers, même s’il s’agit de bâtiments modulaires, doivent également se plier à la norme ERT (établissement recevant des travailleurs) et ERP (établissement recevant du public), rendant obligatoire l’usage de matériaux résistants au feu afin de garantir la sécurité incendie. La norme PMR quant à elle s’adresse aux bâtiments destinés à accueillir du public, et inclut la mise en place d’une rampe d’accès pour personnes à mobilité réduite. Dans tous les cas, les bâtiments modulaires devront être dotés de blocs lumineux anti-panique, de systèmes d’alerte en cas de sinistre et d’issues de secours (deux a minima). Pourquoi jeter les modules quand on peut les réutiliser ? Au regard du caractère éphémère des bâtiments modulaires, la question était de savoir à quoi ils allaient servir une fois l' »événement » passé. Une députée de l’Assemblée Nationale a d’ailleurs pointé ce problème, rappelant que, dans l’administration publique, ces modules constituaient après la casse des tonnes de déchets qui avaient un impact énorme sur l’environnement. Il était étonnant, toujours selon cette députée, de devoir détruire ces bâtiments, alors qu’ils ont une durée de vie d’environ une trentaine d’années. Par ailleurs, leur conception démontable aurait dû permettre leur stockage ou leur transfert à un autre endroit pour un autre événement. Il aurait suffi de les désinfecter, les remettre à neufs et les repeindre, si nécessaire, pour qu’ils soient réutilisables. Faire le choix d’une construction modulaire de réemploi, c’est faire le choix de l’économie circulaire et du développement durable. Les modulaires d’occasion ou reconditionnés Le modulaire d’occasion a ainsi de belles perspectives. L’achat de modulaire d’occasion s’adresse aussi à ceux qui ne peuvent trop attendre pour disposer de leur commande. La fabrication de modulaire neuf prend en effet beaucoup plus de temps. Des coûts réduits à l’achat de modulaires d’occasion Le préfabriqué d’occasion ou de réemploi se caractérise également par son coût plus très abordable. En effet, la plupart des modulaires que l’on retrouve chez les vendeurs spécialisés n’ont été utilisés que pendant de très courtes durées. Ils sont donc en excellent état, et ce pour un prix très bon marché. Le reconditionnement consiste justement à remettre à neuf les modulaires ayant déjà servi pour qu’ils puissent de nouveau être utilisés. Moins de déchets à l’installation du modulaire Le reconditionnement est aussi un moyen de réduire la production de déchets. Cette démarche entre dans le cadre de l’économie circulaire. Cette solution vise en effet à réduire les distances parcourues par le module, diminuant ainsi l’empreinte environnementale liée au transport. De plus, les modules qui auraient dû être jetés sont réutilisés pour créer une nouvelle valeur. Une durée de vie rallongée pour la construction La durée de vie du modulaire est à la base assez longue grâce à des normes de fabrication strictes : elle est environ de 30 ans en moyenne. Grâce au reconditionnement, elle est rallongée et peut aller jusqu’à 50 ans. S’ils sont reconditionnés, la qualité ne se détériore pas. La durée de vie d’un modulaire de chantier dépend cependant de son utilisation. S’il est destiné à des entreprises de construction, il sera souvent transporté d’un chantier à l’autre. Ces déplacements fréquents auront un impact sur la longévité du module. Le démontage, le treuillage, le transport du modulaire, puis à nouveau son installation sont des opérations qui peuvent en effet éprouver la construction. Les différents éléments qui le composent peuvent subir des chocs, dans le cas des monoblocs notamment, les éléments reliés les uns aux autres peuvent bouger et fragiliser la structure. Pour autant, la durée de vie de ces modules reste d’une vingtaine d’années, ce qui laisse une marge pour en amortir le coût d’achat initial. Une mise aux normes pour s’adapter aux différentes utilisations du modulaire Comme pour les constructions modulaires neuves, le modulaire de seconde main permet potentiellement de réaliser toutes les combinaisons. Qu’il s’agisse d’un bureau de chantier, d’une base de vie, d’une salle de classe ou d’une crèche, les possibilités d’agencement sont vastes. Le bâtiment en effet est doté structurellement de tous les équipements et commodités qu’exigent les normes auxquelles sont soumis les bâtiments modulaires, qu’ils soient neufs ou d’occasion. Les modules d’occasion d’installation permanente Les modules d’occasion peuvent être installés de manière pérenne sur un site dédié. Ils devront alors subir un entretien régulier. Qu’ils soient destinés à des usages professionnels ou à une habitation, ils devront respecter la fréquence habituelle des ravalements de façade, du remplacement ou de la mise aux normes des équipements de chauffage et des aérations. La sécurisation des modules est une priorité lorsqu’ils sont dédiés à des chantiers de BTP ou si des personnes doivent travailler en hauteur. Le décret 2004-924 du Code du travail précise en effet que la sécurité des travailleurs est une priorité majeure. Pour ce faire, les modules seront dotés de garde-corps ou d’échelles à crinoline. Le but est d’éviter que les travailleurs ne chutent ou ne se blessent au cours des travaux sur le chantier. Aux mesures de sécurité provisoires s’ajoutent les mesures de sécurité permanentes qui seront appliquées aux installations techniques comprenant les locaux des machines ou les terrasses, comme le stipule la norme NF E 85-015. Lorsque des modules d’occasion sont installés de manière permanente, ils offrent les mêmes avantages qu’un bâtiment classique, il est alors plus intéressant d’acheter que de louer ces constructions. Les charges de location, lorsqu’on les cumule, sont en effet au final moins économiques. Le permis de construire est-il nécessaire dans le cadre d’une installation permanente ? Avant l’installation des modules, vous devez vous renseigner sur les règles d’urbanisme en vigueur dans votre préfecture concernant les structures provisoires, qui sont généralement exemptes de démarches administratives. Alors qu’il est normalement nécessaire d’effectuer une demande de permis de construire auprès de la préfecture, celui-ci est inutile si la durée d’implantation du bâtiment est inférieure à trois mois et si le site concerné n’est pas dans une zone protégée ou sauvegardée. En revanche, les modulaires permanents sont soumis au même régime que les constructions classiques. Un permis de construire est exigé pour tout modulaire dont la surface de plancher est supérieure à 20 m², s’il s’agit d’une nouvelle construction (et cela même si vous utilisez des modules de réemploi). Si le module est destiné à une extension et que sa superficie ne dépasse pas 40 m², le dépôt d’une déclaration préalable auprès de votre préfecture sera suffisant.
Il y a 3 ans et 334 jours

Le terrazzo alla veneziana chez FMG

Des maisons de maître aux églises, en passant par les célèbres villas et palais vénitiens, le ...More about Cet article Le terrazzo alla veneziana chez FMG est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 334 jours

Parkings innovants (1/5) : les commerçants se convertissent à l’infiltration

Les eaux pluviales des parkings des grandes surfaces n’ont pas vocation à encombrer les réseaux d’assainissement public. Lidl et Decathlon l’ont compris, comme le montrent deux rénovations en cours à Abbeville et Vannes, avec deux approches différentes : le chantier picard s’appuie sur des produits industriels, tandis que le maître d'ouvrage breton mise sur l’arrosage des plantes et leur fonction de filtres.
Il y a 3 ans et 334 jours

La transformation du centre commercial de La Part Dieu à Lyon arrive à son terme

"C'est devenu trop réducteur de parler de centre commercial pour La Part Dieu. Avec ses nouveaux espaces, c'est un endroit à vivre ensemble", a fait valoir Anne-Sophie Sancerre, directrice général pour l'Europe du Sud d'URW.Les nouvelles surfaces inaugurées, en partie gagnées sur l'ancien parking occupant le toit du centre, sont largement consacrées à la restauration et aux loisirs.La réflexion sur le devenir du premier centre commercial de centre-ville en Europe, avec ses 33 millions de visiteurs par an, avait été engagée il y a près de dix ans."C'est un monolithe qu'il fallait ouvrir" en y créant de nouveaux accès et en y faisant arriver la lumière du jour, a expliqué l'architecte du projet Winy Maas.Le massif bâtiment qui interdisait ainsi l'accès du centre historique depuis la gare a été percé de nouveaux cheminements. Trois escaliers monumentaux permettent d'accéder à ses toits végétalisés où s'installent des terrasses de restaurants offrant une vue imprenable sur les tours de ce quartier d'affaires.Le centre a été doté de 32.000 mètres carrés supplémentaires pour porter sa surface totale à 160.000 m2. Mais l'existant a également été complètement rénové, notamment au niveau des sols et des plafonds.Le nombre de places de parking, largement excédentaire avec l'amélioration de la desserte du quartier par les transports en commun, a été ramené de 4.300 à 3.150. "Il n'y a plus que 14% des clients qui viennent en voiture contre 25% il y a quelques années", s'est félicité Mme Sancerre.La nouvelle offre de restauration installée sous une immense verrière - 25 établissements - se veut plus qualitative par rapport aux enseignes de restauration rapide déjà présentes dans le centre.A l'étage inférieur, un "food court" à l'esthétique grunge rassemble une dizaine de kiosques opérés par des restaurateurs lyonnais, dont une "épicerie comptoir" du chef étoilé Mathieu Vianney (La Mère Brazier).Avec les 350 emplois créés avec le "rooftop", le centre commercial emploie désormais 4.700 personnes - presque la moitié des effectifs totaux du géant américain Amazon en France, a relevé Mme Sancerre.Si les gros travaux se terminent, le centre n'a pas encore complètement terminé sa mue.Le cinéma, opéré par UGC, va profiter de son déménagement pour passer de 14 à 18 salles. La plus petite salle du nouveau complexe sera équivalente à la plus grande de l'ancien. L'inauguration est prévue cet été.A l'emplacement laissé vacant ouvrira l'an prochain un "pôle loisirs", aux contours encore non précisés. Le centre dispose déjà d'un espace d'escalade ludique tourné vers les enfants.
Il y a 3 ans et 335 jours

Flofiz : des flotteurs pour maison flottante, ponton ou radeau

Vous êtes tenté par vivre sur l’eau, le long d’un fleuve ou au bord d’un lac, et idéalement sur une maison flottante ? On vous a dégoté des flotteurs très pratiques pour réaliser le projet de vos rêves… Principe de fonctionnement Flofiz Les flotteurs de Flofiz ont été conçus par l’inventeur belfe Jean-Claude Fizaine, qui […]
Il y a 3 ans et 335 jours

Signé Wilmotte, le Grand Palais éphémère déploie ses voûtes de bois au pied de la Dame de fer

Dans une société globalisée où même la mémoire s'assimile à un bien de consommation et que la patrimonialisation des catastrophes est devenue systématique et presque banale, on peut s'interroger sur la pertinence de construire un mémorial au XXIe siècle. Pour l'architecte anglo-ghanéen David Adjaye, qui signe […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 335 jours

A Zurich, David Chipperfield Architects réalise l’extension du Kunsthaus

Le bureau berlinois de David Chipperfield Architects vient d’achever l’extension très attendue du... Cet article A Zurich, David Chipperfield Architects réalise l’extension du Kunsthaus est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 335 jours

La cité sous le ciel à la Cité internationale

Pensé comme une exposition-manifeste inspirée de l’exhortation du philosophe Bruno Latour « Il ne faut pas gâcher une crise », le dispositif de la Cité sous le ciel prend place sur un parcours de 356 arbres, au sein du parc de la Cité internationale universitaire de Paris. Jusqu’au 30 Juin 2021. Cette exposition donne forme […] L’article La cité sous le ciel à la Cité internationale est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 335 jours

Quadrilatère de Beauvais, modernité signée Chatillon architectes

L’agence Chatillon Architectes (mandataire), avec Nathalie Crinière, est lauréate début 2021 du projet de restructuration du Quadrilatère de Beauvais (Oise). L’opération (8,6 M€) vise à redonner au bâtiment d’André Hermant l’aura qu’il mérite et entend placer Le Quadrilatère sur la carte des architectures remarquables du XXe siècle. Communiqué. « Implanté au coeur du quartier cathédral, […] L’article Quadrilatère de Beauvais, modernité signée Chatillon architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 336 jours

Rénovation de toiture : quels avantages et à quel moment procéder aux travaux?

Certes, la rénovation de la toiture peut être un projet de grande envergure et peut représenter parfois un budget conséquent. Cependant, lorsqu’elle présente des dommages, il est indispensable de passer à l’acte afin de prévenir des dégâts importants sur l’ensemble de la maison. Pour éviter le pire, il est nécessaire d’entamer des travaux de rénovation. D’autant plus que cette opération présente bien de nombreux avantages. Découvrez notamment les intérêts à entreprendre la rénovation de la toiture et les bons moments pour l’effectuer. Les avantages de la rénovation de la toiture Lorsqu’il est évident que la toiture est en mauvais état, il est obligatoire de refaire la toiture. Souvent, cet aspect est indiqué par des dégâts et des problèmes récurrents.   La rénovation de la toiture est particulièrement intéressante pour protéger au mieux la maison. C’est une évidence, le toit assure la sécurité de la maison. Une charpente vieillie et une fuite ne doivent pas être sous-estimées. Les travaux de rénovation permettent d’éviter que ces problèmes deviennent plus graves. En plus des réparations, il est même possible d’entamer un agrandissement de l’espace de vie grâce à l’aménagement des combles. Dans tous les cas, faire appel à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-ardennes.fr/ s’avère être indispensable pour mener à bien le projet, peu importe son étendue. Faire des économies, c’est possible avec la rénovation de la toiture. Dans la plupart des cas, le toit est le principal responsable des déperditions énergétiques de la maison, dont 30 % de pertes de chaleur. Du coup, en cas de problèmes, il est nécessaire de se focaliser sur la rénovation de l’isolation afin de réduire la consommation d’énergie.  Cette solution permet de faire des économies sur les factures énergétiques. D’un point de vue esthétique, la rénovation de la toiture ajoute réellement un cachet particulier à l’ensemble de la maison. Il suffit notamment de bien choisir la couverture idéale. À quel moment procéder à la rénovation de la toiture ? En règle générale, une vérification de la toiture doit se faire une fois par an au minimum. Cette opération doit surtout être effectuée après les intempéries. À cette période, il faudra surtout réaliser un contrôle strict de nombreux éléments de la toiture. Le professionnel pourrait notamment détecter des signes inquiétants et des matériaux défectueux. Le spécialiste vérifiera par exemple s’il n’y aurait pas de fuites ou d’infiltrations d’eau. En même temps, il montera sur le toit pour s’assurer que les ardoises ou les tuiles sont bien en place et qu’elles ne sont pas endommagées. Des fois, il arrive que les tuiles soient ondulées et certains éléments comme les crochets des ardoises oxydés. Pour compléter le contrôle de l’état de la toiture, il surveille également la présence de mousse et de lichen afin de les éliminer. Pour votre information, l’âge de la toiture amène également à des travaux de rénovation. Dans ce cas, une toiture de plus de 40 ans doit être vérifiée tous les ans. Pour un toit d’une vingtaine d’années, un diagnostic doit être envisagé tous les deux ans. Par ailleurs, un toit de 10 ans environ doit être contrôlé tous les 10 ans.  
Il y a 3 ans et 336 jours

La résidence Anatole France de Puteaux requalifiée par Raf Listowski

A Puteaux (Hauts-de-Seine), la résidence Anatole France, composée de 134 logements, va être réhabilitée en site occupé par l’Atelier d’architecture Raf Listowski. Implanté entre ville historique et ville « neuve », le bâtiment fait office de liaison au sein de l’espace urbain. Réhabilitation thermique et requalification architecturale. Montant des travaux : 6,8 M€. Livraison prévue : […] L’article La résidence Anatole France de Puteaux requalifiée par Raf Listowski est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 337 jours

Le maire de Marseille travaille à un grand plan de rénovation des écoles avec Matignon

"On a parlé de la question compliquée des écoles de la ville et de la manière dont l’État va, avec la ville de Marseille, faire un grand plan de rénovation", a expliqué à l'AFP l'édile qui a rencontré mardi le chef du gouvernement pour une séance de travail."Le Premier ministre est extrêmement sensible à ces questions. C'est un engagement qui est pris puisqu'on a commencé à travailler sur le fond et sur la forme de ce qu'on va faire", a précisé l'élu qui avait déjà abordé la question en mars avec le président Emmanuel Macron."On a franchi une nouvelle étape et il appartient maintenant au chef du gouvernement de mettre tout cela en musique", a ajouté l'élu qui dit avoir également rencontré la ministre chargée des collectivités Jacqueline Gourault et le ministre en charge des comptes publics Olivier Dussopt."On a des réunions quasi-quotidiennement avec les services de l’État, Bercy, la DGFIP (délégation aux finances publiques) ou encore la caisse des dépôts", a précisé M. Payan, évoquant "un montage lourd et compliqué".Quelque 200 des 472 écoles de la ville seraient concernées par ce plan même si leurs situations sont différentes: "Il y en a qui sont en situation d'urgence absolue, d'autres en situation d'urgence, d'autres en situation critique, d'autres encore à rénover partiellement, d'autres à construire ou reconstruire", a détaillé M. Payan évoquant un budget de plus d'un milliard d'euros pour les dix premières années d'un plan "de longue haleine"."Ce chantier, c'est comme si on avait a reconstruire une ville de 20.000 habitants de A à Z et, en matière d'énergie, quand on aura rénové les écoles, on obtiendra une économie équivalente à la consommation d'une ville comme Forcalquier (5.000 habitants)", a-t-il souligné."Il y a plusieurs options sur la table sur la manière dont on va fabriquer un outil qui permette une vraie rénovation des écoles, quelque chose d'assez imaginatif, d'assez inédit", a expliqué le maire de Marseille selon qui "rien n'est encore arrêté".La nouvelle municipalité de gauche de Marseille a fait de la remise en état des écoles dégradées de la ville l'une des priorités de son mandat. Un programme de réhabilitation de cinq groupe scolaire (11 écoles) pour 85 millions d'euros, financé à 90% par l'ANRU (Agence régionale de rénovation urbaine), a été voté début avril dans son premier budget.
Il y a 3 ans et 337 jours

Revirement sur le GNR : la colère du BTP

RÉACTION. La Fédération nationale des travaux publics (FNTP) et la Fédération française du bâtiment (FFB) s'indignent du revirement opéré par les pouvoirs publics au sujet du gazole non-routier.