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Toute l'actualité du bâtiment

255336 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 339 jours

Vulaines-sur-Seine : une passerelle cyclable et piétonne en cours de construction sur le pont de Valvins

Des travaux sont actuellement réalisés sur le pont de Valvins, à Vulaines-sur-Seine, pour la construction d’une passerelle dédiée à la mobilité douce.
Il y a 3 ans et 339 jours

Bidart : le Département inaugure le nouveau site d’Erretegia après les travaux de renaturation

Les travaux de renaturation de l’Espace Naturel Sensible (ENS) d’Erretegia, à Bidart, sont terminés. Le Département des Pyrénées-Atlantiques a procédé à son inauguration.
Il y a 3 ans et 339 jours

Misez sur mitigeurs qui vous permettent de consommer moins et donc d’économiser de l’argent

Vos factures d’eau atteignent des chiffres astronomiques ? Vous avez l’impression que votre argent vous coule littéralement entre les doigts ? Avez-vous déjà envisagé que le problème pouvait venir de votre mitigeur ? Si vous n’avez pas encore vraiment réfléchi à cette question, la situation sera totalement différente une fois que vous aurez fini de lire cet article. Un mitigeur ne vaut pas l’autre Elle est révolue l’époque où il n’y avait que très peu de mitigeurs sur le marché, l’époque où vous ne pouviez choisir que parmi des mitigeurs disgracieux et peu économiques. Les technologies progressent et c’est également le cas pour les mitigeurs. Le marché actuel propose d’innombrables types et variantes de mitigeurs qui remplissent bien mieux leur fonction que leurs prédécesseurs. Vous pouvez dorénavant choisir des mitigeurs à levier, de mélangeurs, des mitigeurs thermostatiques, des mitigeurs à bouton ou même des mitigeurs sans contact. Quelle est le mitigeur qui est le plus économique ? Nous sommes très clairs sur ce point. Un mitigeur à levier est plus économique qu’un mélangeur et ce, jusqu’à environ 60 %. Vous pouvez immédiatement ouvrir ou couper l’arrivée d’eau, sans avoir à tourner inutilement le robinet. Parmi les types de mitigeurs qui vous permettront de faire des économies, on trouvera encore les mitigeurs thermostatiques sur lesquels la température de l’eau est réglée de manière à répondre exactement à vos besoins et qui ne chauffent donc pas inutilement de grandes quantités d’eau. Un mousseur toujours prêt à vous servir Les mitigeurs cuisine ou les mitigeurs lavabo avec mousseur vous permettront de réduire votre consommation d’eau. Le mousseur est un petit élément qui est intégré dans le mitigeur ou qui peut être acheté séparément. Le principe consiste à mélanger de l’air à l’eau sans impacter le débit. Grâce au mousseur, il y a moins d’eau qui coule dans le mitigeur, mais en tant qu’utilisateur, vous ne ressentez aucune différence. Un mitigeur économique n’est pas une solution miracle Acheter le mitigeur le plus économique du marché ne signifie en effet pas automatiquement une réduction de vos frais. Lors du choix de votre mitigeur, il conviendra de faire également attention aux points suivants: La cartouche – Choisissez un mitigeur doté d’une cartouche en céramique. Ce produit de qualité prolongera la durée de vie de votre mitigeur. L’installation – La grande majorité des problèmes de mitigeurs sont dus à une mauvaise installation. Si vous ne vous sentez pas capables d’installer vous-mêmes votre mitigeur, confiez cette opération à un professionnel. La garantie – Vous reconnaîtrez un mitigeur de qualité à la garantie qui vous est offerte par le revendeur. La période de garantie devrait être plus longue que les 2 années légales, idéalement elle devrait être de 5 ans.
Il y a 3 ans et 339 jours

Le chien robot Spot sur un chantier de Bouygues Construction

DECOUVERTE EN VIDEO. Pourquoi un chien robot de l'entreprise Boston Dynamics est-il sur le chantier Quai 22 mené par Bouygues Batiment Nord-Est près de Lille ? Réponse.
Il y a 3 ans et 339 jours

Un partenariat pour la prévention des risques chez les peintres

RISQUES PROFESSIONNELS. La Capeb et la société PPG ont renouvelé leur partenariat dans le but de sensibiliser les artisans peintres à la prévention des risques professionnels et au développement durable.
Cimbat
Il y a 3 ans et 339 jours

Les prévisions d'embauches du BTP pour l'été dépassent celles de tous les autres secteurs

EMPLOI. Les perspectives de recrutements pour la période de juillet à septembre 2021 sont en nette augmentation, et c'est dans le secteur du bâtiment et des travaux publics que les entreprises sont les plus confiantes, et donc les plus désireuses d'embaucher. Les difficultés de recrutement persistent néanmoins encore et toujours, pendant que les compétences recherchées chez les candidats ont évolué.
Il y a 3 ans et 339 jours

Le groupe Xella repense sa stratégie de marque dans un objectif multicanal

STRATEGIE. Afin de capitaliser sur la force de chacune de ses marques, le groupe Xella, spécialisé dans le béton cellulaire, a décidé de faire évoluer sa stratégie de marque. Objectif : offrir plus de lisibilité et être accessible autant à ses clients professionnels que particuliers.
Il y a 3 ans et 339 jours

Des outils et des moyens pour les "territoires pilotes de la sobriété foncière"

AMENAGEMENT. Sept territoires volontaires, aux caractéristiques très différentes, bénéficient d'un accompagnement dans leur stratégie de dynamisation ou transformation des espaces artificialisés, pour éviter l'étalement urbain. Le but : donner l'exemple et nourrir le débat. Présentation du Guide des territoires pilotes de la sobriété foncière.
Il y a 3 ans et 339 jours

L'interdiction de remplacement de chaudières fioul suscite l'inquiétude et le mécontentement des foyers équipés

Alors que le décret fixant les modalités est attendu “très prochainement”, Hellio révèle les résultats d'une enquête réalisée conjointement avec FioulReduc, site internet indépendant de vente de fioul à prix bas, également auditionné pour le rapport du député. Conscient que ce changement va impacter bon nombre d'utilisateurs et soucieux de proposer à chaque ménage le système de chauffage le mieux adapté, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a souhaité s'intéresser au comportement des consommateurs de fioul ainsi qu'à leurs attentes. Cette étude, à laquelle 1.018 consommateurs de fioul ont répondu en ligne entre le 8 et le 26 mars 2021¹, dévoile que près d'1 consommateur de fioul domestique sur 2 souhaite conserver ce mode d'énergie pour se chauffer. De manière générale, le décret portant sur l'interdiction de remplacement de chaudières fioul suscite de l'inquiétude et du mécontentement chez 68% des consommateurs.Les principales dispositions déjà connues du décret relatif à l'interdiction des chaudières au fioul et au charbonEn novembre 2018, le Premier Ministre, Edouard Philippe, fixait l'intention de renouvellement de toutes les chaudières fioul d'ici 10 ans². Dans cet objectif et après une consultation publique en début d'année à laquelle Hellio a participé, la publication au journal officiel du texte définitif relatif à l'interdiction des chaudières au fioul et au charbon est attendue dans les semaines à venir.Ce décret vise les systèmes de chauffage utilisant des combustibles très fortement émetteurs en gaz à effet de serre. Cette interdiction porte sur l'installation d'équipements de chauffage dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (écoles, commerces, hôpitaux…).Concrètement, à la mi-2022, il sera impossible de faire installer dans un logement ou une entreprise une nouvelle chaudière au fioul émettant plus de 250g de CO2 par kWh, soit l'intégralité des chaudières fonctionnant au fioul actuel 100% fossile. Il sera toutefois possible de faire réparer les équipements en place.Des exceptions sont prévues, notamment dans le cas d'une impossibilité technique de remplacement, ou lorsqu'il n'existe pas de solution de raccordement à des réseaux de chaleur ou de gaz.Le choix de rester au fioul guidé par la satisfaction de son équipement en placeSelon les résultats de l'enquête, le profil des consommateurs de fioul est le suivant : leur foyer est composé de 2,3 personnes en moyenne, ils sont en majorité retraités, avec un âge moyen de 61 ans. Le revenu moyen de leur foyer est de 37 343 € et ils dépensent en moyenne 1 632 € en fioul chaque année.Ces consommateurs apprécient le fioul avant tout pour son confort de chauffe (36%), sa simplicité dans la gestion au quotidien (27%) et sa fiabilité (20%). Selon eux cependant, le principal inconvénient du fioul est son prix variable à 36%. L'impact environnemental du fioul figure également parmi les inconvénients cités.Face à cette mesure réglementaire ne portant que sur les nouvelles installations, près d'un répondant sur deux déclare que cette interdiction ne va pas les pousser à changer d'énergie dans les 5 années à venir. La principale motivation invoquée par les consommateurs est le bon fonctionnement de leur installation avec 47% des réponses exprimées. Autre réponse significative, 17% répondent ne pas avoir les moyens de changer d'énergie de chauffage. Ils sont également 17% à déclarer que, selon leur situation (géographique, raccordement…), le chauffage fioul est la solution la moins coûteuse pour eux.“À l'heure actuelle, ma chaudière fonctionne correctement avec une révision régulière faite par un plombier. De plus, habitant à la montagne, je ne vois pas quel autre moyen de chauffage je pourrais adopter, l'électricité est trop onéreuse”, indique cet utilisateur du Puy-de-Dôme lors de l'enquête.Cette décision gouvernementale suscite de l'inquiétude pour 36% des consommateurs et du mécontentement pour 32% d'entre eux, comme en témoigne ce consommateur de Haute-Garonne : “J'ai bénéficié d'aides pour mettre une chaudière fioul à condensation. Cela paraît incohérent que cet équipement soit maintenant bientôt interdit.”Les perspectives de l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioulPour 15% des répondants se chauffant au fioul, l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul va les pousser à changer d'équipement de chauffage, à plus ou moins court terme. Leur choix se porterait à 52% vers une pompe à chaleur, 32% pour une chaudière à granulés de bois et 12% pour une chaudière gaz.La possibilité d'utiliser du biofioul (fioul comportant des biocarburants afin de le rendre plus écologique en diminuant son taux de soufre et ses émissions de CO2) en remplacement du fioul suscite la curiosité d'une majorité de consommateurs (51%). Les réserves évoquées à ce sujet concernent la compatibilité de leur matériel, le surcoût lié à ce produit et son impact écologique.Les aides financières : un élément déclencheurAfin d'atteindre son objectif de changement de toutes les chaudières fioul dans les 10 prochaines années, le gouvernement français a mis en place plusieurs aides financières.Celles-ci semblent jouer un rôle déclencheur dans la volonté de changement de systèmes de chauffage des ménages. Sur les 15% de répondants déclarant vouloir changer de chaudière pour passer du fioul à une autre énergie, les aides financières actuelles représentent la plus grande motivation (41%).Pourtant, si ces dernières sont citées comme un outil essentiel dans la volonté de changement de mode de chauffage, 69% des consommateurs de fioul déclarant ne pas encore envisager le renouvellement de leur équipement au fioul souhaitent avoir davantage de moyens financiers et plus d'un tiers attendent plus d'informations et de conseils (28%).Rappel des aides au changement de chaudièreMaPrimeRénov'Cette aide publique permet de financer les travaux d'isolation, de chauffage, de ventilation ou d'audit énergétique d'une maison individuelle ou d'un appartement en habitat collectif. Les travaux doivent avoir été effectués par des entreprises labellisées RGE. Depuis le 1er octobre 2020, MaPrimeRénov' est accessible à l'ensemble des propriétaires, quels que soient leurs revenus, qu'ils occupent leur logement ou qu'ils le mettent en location. Son montant varie en fonction des niveaux de revenus classés en 4 catégories : bleu (ménages très modestes), jaune (ménages modestes), violet (revenus intermédiaires), rose (revenus élevés). Hellio est mandataire de l'Anah depuis juillet 2020.Le Coup de Pouce chauffageLes dispositifs “Coups de pouce” sont des primes financières forfaitaires allouées à la réalisation de travaux d'économie d'énergie en échange d'exigences de qualité et de garantie de performance énergétique. Créé par le Ministère de la transition écologique en janvier 2019, le dispositif “Coup de pouce Chauffage” aide les ménages à changer leur chaudière peu performante pour un équipement à haute performance énergétique ou utilisant des énergies renouvelables. Hellio, signataire de la charte d'engagement de ce “Coup de pouce” accompagne les ménages dans ces changements. Le “Coup de pouce Chauffage” est cumulable avec MaPrimeRénov' et l'éco-prêt à taux zéro.“Cette tendance conforte l'idée selon laquelle les aides financières sont un instrument essentiel des politiques publiques sur l'efficacité énergétique. Une visibilité sur le long terme de ces aides est indispensable à la fois pour les ménages et pour les professionnels de la rénovation énergétique. C'est particulièrement le cas pour les entreprises de fourniture de fioul dont l'activité va devoir être réorganisée. Outre cette stabilité, on dénote également un besoin d'écoute, d'information et de compréhension des citoyens des évolutions liées à la transition énergétique. Le remplacement des équipements fioul en 10 ans ne se fera pas sans les ménages qui veulent être conseillés, informés mais aussi libres dans le choix de l'énergie et de l'équipement ! Hellio revendique depuis plusieurs années une stabilité des aides financières, et développe les compétences de ses conseillers en rénovation énergétique dans cette perspective”, insiste Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques pour Hellio. “Après une phase de surprise et d'agacement face à des déclarations politiques et médiatiques parfois un peu stigmatisantes et imprécises, nos clients commencent à intégrer les mesures annoncées par le gouvernement. Une majorité considère cependant avec pragmatisme qu'il n'y a pas d'urgence à tout changer puisque leur chaudière fonctionne encore bien mais envisage volontiers une transition vers le biofioul. Ceux qui sont contraints ou décidés à quitter le fioul souhaitent aujourd'hui plus d'aides financières et un meilleur accompagnement pour ne pas sacrifier le confort et la simplicité qu'ils ont toujours connu avec le fioul”, résume Hervé Degrève, fondateur de FioulReduc.Pour télécharger l'étude complète : cliquez ici(1) - Méthodologie : FioulReduc et Hellio ont organisé conjointement une consultation auprès des 124.000 clients de FioulReduc répartis sur toute la France, à laquelle 1 018 personnes ont répondu en ligne entre le 8 et le 26 mars 2021.(2) - Carburants, 17 novembre, chauffage… Les annonces d'Édouard Philippe sur RTL
Il y a 3 ans et 339 jours

Vent d'optimisme sur l'économie avec la nouvelle étape des réouvertures

"C'est une belle journée pour les Français", s'est réjoui mercredi matin le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sur RMC et BFMTV, qui va lui-même profiter de la nouvelle étape de la levée des restrictions sanitaires pour déjeuner avec le Premier ministre Jean Castex à la célèbre brasserie Lipp.Le ministre scrute chaque jour "comme un sismographe" les données qui lui remontent sur la consommation des ménages.Principal moteur de la croissance française, les dépenses des Français sont en effet l'enjeu numéro un de la reprise. Et encore plus avec les 142 milliards d'euros d'épargne supplémentaire qu'ils ont engrangé depuis le début de la crise sanitaire, selon la Banque de France.Pour débloquer cette épargne, leur confiance dans l'avenir est l'élément clé maintenant que la quasi-totalité des entreprises peuvent reprendre leur activité, même si c'est toujours avec quelques restrictions (jauges, couvre-feu à 23H00, etc.).Depuis la première étape de réduction des restrictions le 19 mai, les premiers signes sont encourageants, avec un moral des ménages qui a considérablement progressé selon l'Insee.Entre le 19 et le 23 mai, les dépenses par cartes bancaires ont été 20% supérieures à leur niveau de la même période de 2019, puis 15% supérieures la semaine suivante par rapport à la même semaine de 2019, selon des chiffres de Bercy.Sur la dernière semaine de mai, les dépenses dans la restauration et l'hôtellerie sont revenues à environ 85% de leur niveau de 2019 et les dépenses dans l'habillement sont supérieures de moitié à ce qu'elles étaient en 2019.La tendance est globalement la même que celle observée en juin 2020 après le premier confinement, et "c'était à l'époque le signe d'une reprise très vive", souligne-t-on, optimiste, à Bercy.Au troisième trimestre 2020, le PIB avait grimpé de 18,5% après des chutes de 5,9% et 13,2% aux premier et deuxième trimestres, selon l'Insee.Rebond mécanique, et après ?"Le rebond du mois de mai est tout à fait impressionnant", note Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas. Mais si les prochains mois verront assez surement une reprise de la consommation, attention à l'emballement, prévient-elle.Car dans un premier temps, il y aura un effet mécanique, les ménages ayant la possibilité de faire des choses qui leur étaient interdites auparavant. "Pendant plusieurs mois, mais pas beaucoup de mois, on va être dans cette dynamique de rebond mécanique très fort, et toute la question ensuite sera le rythme de la reprise de la consommation des ménages alors que du côté du marché du travail, on a des incertitudes", explique-t-elle.Quid notamment, avec l'arrêt progressif des aides accordées par l'Etat, d'éventuelles suppressions d'emploi qui pourraient gonfler le taux de chômage?"Cela pourrait contribuer à limiter le rebond de la consommation", en affectant la confiance des ménages dans l'avenir, ajoute l'économiste.Autres points de vigilance: les entreprises pourraient avoir du mal à suivre le rythme de reprise de la demande du fait de difficultés d'approvisionnement et de recrutement dans l'industrie et le bâtiment."Les semaines qui vont venir vont être très positives. (...) Ce qui compte quand même c'est que ce soit dans la durée, et c'est ça qui va être important, c'est la rentrée, c'est septembre", a aussi prévenu le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux mardi soir.Le gouvernement reste d'ailleurs prudent, et n'a pas relevé sa prévision de croissance, attendue à 5% cette année. "Le seul obstacle qu'il y a sur le retour de la croissance (...) c'est une nouvelle vague de la pandémie" de Covid-19, estime Bruno Le Maire, appelant les Français à continuer de se faire vacciner "le plus tôt possible".
Il y a 3 ans et 339 jours

Décarbonation des hôpitaux : "Si certains établissements y arrivent, tout le monde peut"

ENVIRONNEMENT. Le Comité pour le développement durable en santé a tenu ce mercredi 9 juin une conférence sur la décarbonation des hôpitaux. Quelques établissements sanitaires français ont déjà amorcé de grands changements pour réduire leur empreinte carbone. Tour d'horizon...
Il y a 3 ans et 339 jours

La RE2020 pourrait coûter, dès 2022, 100.000 chaudières en moins à la filière gaz

CONJONCTURE. L'entrée en vigueur de la réglementation environnementale 2020 (RE2020), l'an prochain, aura des conséquences immédiates sur le marché de la chaudière gaz.
Il y a 3 ans et 339 jours

Fiandre Architectural Surfaces, dans la pure tradition vénitienne

Largement utilisé dans les palais vénitiens du XVe siècle puis exporté par la suite dans le ...More about Cet article Fiandre Architectural Surfaces, dans la pure tradition vénitienne est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 339 jours

L’OPPBTP édite un nouveau guide pour réduire l’exposition des salariés aux poussières de bois

Les engagements pris prévoyaient, notamment, la réalisation d'une étude (PROPOBOIS) visant à aider les entreprises à réduire l'exposition des salariés aux poussières de bois dans le secteur du bois-construction et de l'ameublement. Cette étude menée durant 18 mois a permis d'élaborer le guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier » qui propose une série de solutions et de recommandations pratiques à mettre en place pour améliorer les conditions de travail.Un guide pédagogique pour une meilleure préventionLe guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier » élaboré conjointement par l'OPPBTP et FCBA a pour ambition d'accompagner les chefs d'entreprise dans l'évaluation de la situation de leur entreprise par rapport au risque poussières de bois et surtout d'identifier les points majeurs d'amélioration et les actions concrètes à mener.La méthode décrite dans cet ouvrage de 71 pages propose un moyen pratique de mieux cerner les enjeux propres à chaque entreprise. Elle s'applique pas à pas et est étayée par un outil établi sur Excel facilitant la saisie des données et les calculs, et grâce auquel il est possible, en toute autonomie :d'identifier les zones de risque majeur d'exposition aux poussières de bois au sein de l'atelier ;de déterminer et de hiérarchiser les actions à mettre en oeuvre ;de participer à la définition des groupes d'exposition similaire dans le cadre du contrôle réglementaire de la valeur limite d'exposition professionnelle (VLEP).Au sommaire de ce guide :Les enjeux d'une bonne maîtrise de l'exposition : des informations relatives aux effets des poussières de bois et l'importance des bonnes pratiques minimales à mettre en oeuvre afin de fixer le cadre pour les entreprises.Les étapes de l'autodiagnostic : ce chapitre traite, étape par étape, de la méthode d'évaluation pour déterminer de manière autonome la situation face au risque de poussières de bois.Les actions correctives après l'autodiagnostic : cette partie aborde l'analyse des résultats de l'autodiagnostic et propose des pistes d'actions correctives pouvant être mises en place afin de réduire le niveau d'exposition des salariés.Annexe 1 : Les appareils de protection respiratoire.Annexe 2 : Quiz d'auto-évaluation des bonnes pratiques.Annexe 3 : Exemples de cas d'application de la méthode.Tout au long de l'élaboration de ce guide, ces éléments ont été validés avec le Copil « Poussières de bois » comprenant des organisations professionnelles de la seconde transformation du bois (l'Ameublement français, CAPEB, UMB de la FFB, UFME, UIPC, UICB SCOP BTP).Le guide est disponible sur les sites de l'OPPBTP et du FCBALes poussières de bois, un enjeu majeur pour la filièreEnviron 444 200 salariés déclarent être exposés aux poussières de bois dans le cadre de leur travail (selon l'enquête SUMER 2010). Or, ces particules peuvent être à l'origine de problèmes de santé allant de la simple atteinte cutanée au développement de cancers des sinus ou des fosses nasales.Réduire l'exposition des salariés aux poussières de bois est donc un enjeu majeur que l'OPPBTP et l'institut FCBA ont souhaité traiter à travers la mise en place d'actions concrètes.La collaboration entre l'OPPBTP et FCBA a été initiée dans le cadre de la convention « Poussières de bois » (2012/2015) signée avec le Ministère du travail, l'INRS, la CNAMTS et les organisations professionnelles des secteurs bois et ameublement. Elle s'est prolongée en 2017 par la réalisation d'une étude (PROPOBOIS) afin de définir une démarche de diagnostic, facilement applicable par les entreprises, pour la détermination des « Groupes d'Exposition Similaire » (GES).Cette étude, menée durant 18 mois auprès de 8 entreprises volontaires du secteur bois-construction et ameublement représentatives de la profession, a permis d'analyser différentes situations d'exposition des salariés en lien avec la nature des procédés mis en oeuvre et à élaborer une série de solutions qui sont aujourd'hui détaillées dans le guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier ».Webinaire (en replay) : prévenir les risques d'exposition aux poussières de bois du Mercredi 19 maiFCBA, avec l'OPPBTP, a organisé un webinaire à destination des entreprises de la filière autour de la méthodologie d'autoévaluation pour prévenir les risques d'exposition aux poussières de bois.Vincent Quint, Responsable Environnement Industriel (FCBA) et Isabelle Monnerais, Responsable de domaine – Risque chimique – Services aux entreprises (OPPBTP) donneront les clés pour réussir son auto-évaluation et présenteront les bénéfices pour les entreprises.Programme de la matinée :Exposition aux poussières de bois et réglementation,Présentation de la méthode d'autoévaluation,Comprendre et maitriser l'exposition des salariés : comment définir un plan d'amélioration ?Questions / Réponses.Pour voir ou revoir ce webinaire, cliquez ici
Il y a 3 ans et 339 jours

Lyon opte pour une Part-Dieu végétalisée et "apaisée"... mais devra discuter

Adieu les tours ! La nouvelle équipe écologiste aux manettes à Lyon a esquissé sa vision d'une Part-Dieu végétalisée et "apaisée", transformée en "quartier à vivre".
Il y a 3 ans et 339 jours

Le nouveau siège social d’Orange révèle tout le potentiel du bambou MOSO®

Aucune parcelle architecturale du nouveau siège social d’Orange n’échappe aux solutions bambou de MOSO® International. Installées du sol au plafond en passant par les murs, la prééminence du bambou caractérise ce chantier d’envergure situé à Issy-les-Moulineaux. Idéalement placé dans la ville, le bâtiment est prêt à accueillir 3000 salariés de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde. Ce projet aussi ambitieux que novateur est signé par l’agence VIGUIER, promu par Altarea Cogedim. Un bâtiment marqué par une identité architecturale forte mixant le minéral et le végétal Étendu sur 56 000 m², le nouveau siège d’Orange appelé « Bridge » peut difficilement passer inaperçu à Issy-les-Moulineaux. Son emplacement stratégique, à la fois proche du centre-ville, bien desservi par les transports et en bord de Seine offre une promesse de confort aux futurs occupants des lieux. Pour ce projet fortement symbolique, le cabinet d’architecture VIGUIER a tenu à sélectionner un faible nombre de matériaux afin d’aboutir à un ensemble harmonieux et cohérent entre l’architecture extérieure et intérieure. Le choix du bambou, du métal et du minéral a ainsi permis d’atteindre le résultat attendu, c’est-à-dire un ensemble unifié et clair. Le projet d’architecture d’intérieur a consisté à revêtir de bambou les zones largement ouvertes au public et aux événements, le rez-de-chaussée ou encore les lieux de passage. Découlant de ces zones prédéfinies qui constituent le cœur du projet, le cabinet a assuré une continuité du revêtement en bambou à travers les ascenseurs, leurs paliers, les sanitaires et les terrasses intérieures situées dans les étages. Dans la même logique, cette démarche a été déclinée sur les espaces paysagers extérieurs, c’est-à-dire sur la terrasse du toit, sur les balcons et le parvis. Un accompagnement sur-mesure opéré par un partenaire de confiance Le choix du matériau végétal ne s’est pas porté immédiatement sur le bambou, et ne devait concerner au départ que le parquet. L’architecte prônait initialement le chêne dont l’option semblait pertinente au vu du déploiement prévu sur des espaces larges, variés et particulièrement sollicités par les passages. Le promoteur investisseur était surtout soucieux de la pérennité que pouvait offrir le matériau choisi, considéré comme le point essentiel du projet. En premier lieu, le bambou a séduit par ses qualités techniques. Ce matériau remplissait toutes les contraintes en matière de résistance au poinçonnement, et il présentait de forts atouts en matière de durabilité et de flexibilité. Ainsi, sa souplesse autorisait toutes les audaces créatives. Il restait toutefois un dernier point à satisfaire : la tonalité du bambou devrait se rapprocher de celle du chêne. Soucieux de répondre à cette exigence esthétique, MOSO® a su faire preuve d’écoute et d’adaptabilité. La société a mobilisé les équipes de son site de production, situé en Chine, pour contretyper la teinte du revêtement sol jusqu’à l’obtention de la finition souhaitée. Convaincue, l’agence d’architecture décide alors de décliner le bambou non seulement sur les sols, mais également sur les murs et plafonds. Possibilités illimitées avec les solutions MOSO® Bambou Le bambou est un matériau flexible offrant des possibilités illimitées en termes d’application. Selon le mode de fabrication, il peut tout aussi bien être installé à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les architectes en charge du projet Bridge Pont d’Issy l’ont bien compris ; le matériau est décliné sous plusieurs formes, ajoutant dans chaque espace une touche naturelle, qualitative et chaleureuse. Des sols en bambou– intérieur et extérieur Au total, 8 600 m2 de sol BambooPlex sont installés à l’intérieur de l’édifice, dans des zones de passage et des marches d’escalier. Le sol BambooPlex, muni d’une couche d’usure en bambou Density® de 4,5 mm d’épaisseur, assure une résistance au trafic intense. MOSO® BambooPlex dispose d’une haute stabilité permettant également une installation sur sol chauffant. Enfin, il a été livré avec une certification FSC afin de répondre aux exigences environnementales du projet. En extérieur, 1 200 m2 de terrasse Bamboo X-treme® habillent le toit et les balcons, créant une continuité entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment. MOSO® Bamboo X-treme® est une lame de terrasse combinant un thermo-traitement avec une compression à haute densité des lamelles de bambou. Grâce à ce procédé, la solution bénéficie de la plus haute durabilité. Elle est certifiée Classe 1 en termes de durabilité biologique (selon EN 350 / CEN/TS 15083-2, test de bois enterrés Classe 1 EN 350 / CEN/TS 15083-1) et une classe d’usage Classe 4 (selon EN 335). Panneaux, placages et carrelets en bambou L’auditorium est revêtu en extérieur et intérieur de placages en bambou et de rouleaux flexibles Flexbamboo s’adaptant parfaitement aux courbes de cet espace. Pour répondre aux exigences de performances acoustiques, le placage en bambou est appliqué sur des panneaux acoustiques. Les dossiers et tablettes des assises sont également recouverts de placage en bambou. Les carrelets MOSO® Bambou ornent les faux plafond et mur rideaux. Les industriels ont eux-mêmes opéré le travail de finition dans le même esprit que la réalisation du parquet, à partir des solutions MOSO® fournies à l’état brut. Ainsi, les teintes ont subi la variation de couleurs attendue à chaque itération. Les panneaux massifs MOSO® Bambou permettent de créer d’élégantes mains courantes, portes et huisseries. Les 3 atouts majeurs des produits MOSO® Bambou La dureté favorise la pérennité des revêtements Les produits MOSO® Bambou offrent de nombreux avantages, tels qu’une dureté exceptionnelle, grâce à un procédé de compression à haute densité des lamelles de bambou.  Celui-ci permet d’obtenir une résistance Brinell supérieure à 9.5kg/mm2 selon la norme EN1534 pour les solutions Density® et Bamboo X-treme®. Les solutions sont déclinables sans fin Les produits MOSO® Bambou se démarquent également par leur stabilité dimensionnelle considérable avec des coefficients de dilatation très faibles, comparés à toutes les essences de bois. Ils sont ainsi tout à fait adaptés à des environnements à fortes contraintes et à fort trafic. Il répond à de nombreuses applications, telles que les sols, murs, extérieurs couverts, bardage…. Le bambou possède des caractéristiques mécaniques proches des bois tropicaux, ce qui favorise sa dureté et sa résistance, y compris au feu. La durabilité en faveur des enjeux environnementaux Le bambou MOSO® est un matériau durable. Ce n’est pas un bois, mais une graminée. Cette plante présente la croissance la plus rapide au monde, pouvant aller jusqu’à 1 mètre par jour. Grâce à son système de rhizomes permettant un renouvellement des cannes de bambou très élevé, sa production n’occasionne pas de déforestation. Cet aspect essentiel participe à réduire l’impact environnemental. Les produits MOSO® Bambou permettent d’obtenir de nombreux crédits de différents écolabels comme HQE, BREEAM et LEED. L’analyse du cycle de vie des produits MOSO® Bambou, réalisée de manière indépendante par l’Université de Delft aux Pays-Bas, démontre l’empreinte carbone neutre des produits MOSO®. Plus récemment, MOSO® offre la possibilité de calculer les émissions carbone retenues dans un projet selon les produits employés. L’étroite collaboration avec MOSO® International a permis de répondre aux attentes techniques et esthétiques de ce projet architectural ambitieux. La présence du bambou a finalement donné du contraste à la tonalité blanche de l’architecture et a apporté une note chaleureuse à l’ensemble. Détails du projet Orange – Siège social Lieu : Issy-les-Moulineaux (92) Architecte : Agence VIGUIER Promoteur investisseur : Altarea Cogedim. Applications en bambou : 8600m2 sol BambooPlex Density® Naturel, certifié FSC installation sur sol chauffant (produit sur-mesure conçu pour le projet) ; Installateur : INTERSOL 3000m2 placages fins vertical pour panneaux acoustiques ; Industriel : Topakoustic ; Installateur : BOISTECH 80m3 carrelets vertical (section 20X55mm) pour plafonds acoustiques ; Industriel : Laudescher Installateur : CERTAC 20m3 carrelets Bamboo N-Finity pour murs rideaux ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Panneaux massifs (Vertical Caramel) et mains courantes et portes ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Placage fin (Vertical Caramel) pour portes ; Industriel et installateur : BOISTECH 1200m2 Terrasse Bamboo X-treme® (toit terrasse) ; Installateur : SPORTS ET PAYSAGES Légende photo : Daniel Osso et MOSO® Bambou  À propos de Moso Avec une expérience de plus de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 75 collaborateurs au total. www.moso-bamboo.com/fr/
GDA
Il y a 3 ans et 339 jours

Neuilly poursuit la transformation de son autoroute urbaine

Symbole de l'époque du "tout voiture", cette artère partiellement enfouie de deux kilomètres en deux fois quatre voies plus contre-allées traverse Neuilly et est devenue dans la seconde moitié du XXe siècle l'un des axes les plus fréquentés d'Europe."Il fallait marquer cet axe", explique à l'AFP le maire (DVD) Jean-Christophe Fromantin, à l'initiative de ce concours international d'architecture, qui accepte depuis lundi les candidatures. Les "folies" font référence à ces maisons de villégiature, à l'imaginaire champêtre, construites jusqu'à la fin du XIXe siècle et déjà déclinées en version contemporaine à La Villette.Ce mot "fait un clin d’œil à l'urbanisme de la Belle Epoque", précise Guillaume Poitrinal, cofondateur de la société Woodeum et membre du jury, pour lequel la période des folies rappelle celle "des promenades" où "on aimait sortir, déambuler (...) sans le trafic routier qu'on a connu par la suite".Polyvalents mais permanents, ces 19 pavillons conçus comme des "concepts modulaires" seront loués dès 2023 à des entreprises par la municipalité pour accueillir des événements à dominante culturelle, sur une surface au sol comprise entre de 26 et 39m2."Ça peut être une galerie d'art puis demain un pavillon immersif et au printemps un café avec une terrasse", affirme M. Fromantin, souhaitant que les usages de cette forme architecturale "souple" et "avant-gardiste" ne restent pas figés dans le temps."Une cicatrice"Avec ce concours, la municipalité poursuit la reconversion de l'avenue Charles de Gaulle, située sur l'axe historique reliant le carrousel du Louvre à l'arche de La Défense, initié au XVIIe siècle par le jardinier du roi Louis XIV André Le Nôtre."Aujourd'hui, quand on est riverain de l'avenue Charles de Gaulle, on n'ouvre pas les fenêtres (...) c'est clairement une cicatrice qui coupe cette ville en deux", déplore M. Poitrinal."Une autoroute urbaine dans une ville dense, c'est une contradiction", juge le maire de Neuilly, n'hésitant pas à qualifier l'avenue "d'espèce de verrue, (...) source de pollution extrêmement forte".Pour inverser la tendance, la municipalité a déjà lancé le projet des "allées de Neuilly" avec pour objectif de transformer "l'autoroute urbaine" en "promenade royale".En gestation depuis une dizaine d'années, le projet fait la part belle aux piétons et aux espaces verts via la réduction des contre-allées de l'avenue Charles de Gaulle, libérant par la même occasion 10 hectares d'espaces publics."L'idée (des folies) a été de récréer du patrimoine pour occuper cet espace", répond M. Fromantin, dont la ville possède déjà deux folies traditionnelles: la folie Saint-James et l'hôtel Arturo Lopez.Pour ce concours, "le jury va regarder l'insertion urbaine, les matériaux, les couleurs, les transparences", explique M. Poitrinal, membre du jury. "Il aura aussi un oeil sur la place dans la ville (...) il faut qu'il y ait une initiative pour faire vivre ces folies", ajoute-t-il.Les agences d'architecture pourront déposer leurs projets jusqu'au 30 septembre et les lauréats du concours seront connus à la fin du mois d'avril 2022.
Il y a 3 ans et 339 jours

Concrete Show South East Asia

Le Concrete Show regroupe une large étendu de produit et de technologie.
Il y a 3 ans et 339 jours

Jacqueline Gourault en inflexion décentralisatrice

Sur le ferroviaire comme sur la biodiversité et la contractualisation entre l’Etat et le bloc local, Jacqueline Gourault se montre prête à muscler le volet décentralisation du projet de loi de décentralisation, déconcentration, différenciation et décomplexification (4D). Le 9 juin, devant la commission Aménagement du territoire et développement durable du Sénat, la ministre de la Cohésion des Territoires a détaillé cet infléchissement inspiré par les « 50 propositions pour une nouvelle génération de la décentralisation » émises l’été dernier par la chambre haute.
Il y a 3 ans et 339 jours

Ce qui est loué doit être accessible

Si ce bien n'est pas accessible normalement, le propriétaire n'a pas respecté son "obligation de délivrance" du bien loué, selon la Cour de cassation.Dans une location, le locataire a l'obligation de payer les loyers et le propriétaire a l'obligation de "délivrer", c'est à dire de mettre à disposition "la chose louée", selon le code civil.Le locataire d'une parcelle rurale louée en fermage réclamait la résolution du bail aux torts du propriétaire en expliquant qu'il n'avait pu accéder à la parcelle qu'en s'arrangeant avec des voisins pour régler un problème d'enclave.Peu importe ces détails, répondait le propriétaire, puisqu'il est acquis que l'accès était finalement possible et le locataire a pu user du bien comme prévu. Or, malgré cela, il n'a pas payé ses fermages selon les conditions prévues par le bail.La Cour a donné tort au propriétaire. Il est établi, a-t-elle observé, que sans l'arrangement conclu avec des voisins, l'accès pour une exploitation normale, conforme au bail, aurait été impossible, ce qui révèle que le propriétaire n'a pas délivré une parcelle exploitable selon l'usage convenu. Aucun reproche ne peut donc être fait au locataire qui n'a pas à trouver des arrangements pour pouvoir jouir du bien qu'il a loué.(Cass. Civ 3, 27.5.2021, M 20-15.523).
Il y a 3 ans et 339 jours

Planète Bâtiment et l’Agence Qualité Construction partenaires

Planète Bâtiment et l’Agence Qualité Construction partenaires ! Référence du développement durable dans le secteur de la construction, Planète Bâtiment s’intéresse forcément à la qualité… de la construction. Une bonne…Cet article Planète Bâtiment et l’Agence Qualité Construction partenaires est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 339 jours

Appel à participations pour ramener l'eau dans La cuisine de RCR

La cuisine, le centre d'art et de design de la ville de Nègrepelisse (Tarn-et-Garonne), et ConstructLab proposent un été de chantier, pour ramener l'eau de l'Aveyron au cœur du bâtiment conçu par RCR Arquitectes. Un été de chantier collaboratif. C'est la proposition de La […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 339 jours

Hymer accélère son déploiement en France

Dans le cadre de sa stratégie de conquête de part de marché en France, le fabricant d’accès en hauteur allemand a ouvert, avec le logisticien alsacien Woehl, une plateforme de stockage.
Il y a 3 ans et 339 jours

Projet de recherche « Odyssée des matériaux en feu extrême »

L'un des objectifs est d'élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux possédant une faible inflammabilité, protégeant des substrats variés et limitant la propagation du feu. Il s'agira également de comprendre les effets de la microgravité sur le comportement au feu de polymères FR en plus des hauts flux de chaleur.Ses travaux s'inscrivent dans la continuité du projet « FireBar-Concept » pour lequel le Professeur Bourbigot avait obtenu une bourse de l'ERC (European Research Council) en 2015 et qui visait à élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux ayant une faible inflammabilité, protégeant les substrats et limitant la propagation de l'incendie.De l'UMET à l'IUF : 30 années de recherche consacrées à accroître la résistance au feu des matériauxLes travaux sur le feu et la résistance des matériaux de Serge Bourbigot font référence depuis de nombreuses années. Sa nomination à l'IUF en octobre 2020 vient distinguer l'excellence scientifique et académique de ses activités de recherche en chimie et matériaux.Avec les 15 chercheurs de son équipe (enseignant-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, doctorants et postdoctorants), il concentre ses travaux actuels sur la résistance et la réaction au feu des matériaux polymères, sa volonté étant d'élaborer de nouveaux matériaux qui ne s'enflamment pas en cas de stress et de développer les propriétés d'ignifugation de matériaux existants. Il travaille aussi à la modélisation des comportements des matériaux et du feu dans un environnement agressif et complexe, et au développement de méthodes de caractérisation et de mesures originales. Ses travaux se déclinent autour de deux axes : (i) Procédés d'élaboration de matériaux additivés et de revêtements (synergie et formulation, extrusion réactive, nanocomposite, spectrochimie) et (ii) Similitude et modélisation (réduction d'échelle et analyse dimensionnelle, analyse cinétique, modèle de pyrolyse).Pour cela, le Professeur Bourbigot exploite le potentiel offert par les nouvelles techniques de simulation numérique qui permettent de toucher du doigt les limites de certaines idées et d'explorer d'autres champs d'investigation. En conceptualisant les protections au feu par des assemblages numériques et par la simulation, il peut définir et optimiser de nouveaux designs de multi-matériaux. Il aborde les aspects de similitude pour créer des scénarios 'feu' à échelle réduite. Cela lui apporte une grande flexibilité dans ses expériences et de la rapidité dans le développement de nouveaux matériaux performants.Trois domaines plus particulèrement investis en 2021En termes de domaines d'application, Serge Bourbigot et son équipe travaillent sur :le secteur du nucléaire - par exemple, pour contribuer à la longévité des centrales, ce qui requiert l'installation de systèmes et équipements spécifiques à base de matériaux adaptés au feu (clapets anti-feu, chatières, câbles ...) ;les batteries électriques telles celles installées dans les voitures ou les avions et qui nécessitent des protections spécifiques pour parer ou retarder le déclenchement de l'incendie en cas de prise de feu ;les milieux confinés où les charges thermiques croissent très vite et ont un très grand rayon d'action, sur des sites spécifiques type plateformes pétrolières ou raffineries où le feu se propage sous forme de jets, ou encore dans des espaces en microgravité comme au sein des fusées et de la station spatiale internationale.Sur ce point, un projet multi-partenarial est en cours, mobilisant des équipes de Centrale Lille, de Sorbonne Université et de Aix-Marseille Université. Déposé auprès du CNES, il regarde comment se comportent des polymères retardés à la flamme agissant en phase gaz (libération de radicaux libres phosphorés) ou en phase condensée (phénomènes d'intumescence physique et chimique).Diplômé de l'ENSCL (promotion 1990), Serge Bourbigot est docteur en spectrochimie, et habilité à diriger des recherches depuis 1993. Maître de conférences à l'ENSCL de 1995 à 1999, il devient professeur des universités en 1999 et rejoint l'ENSAIT de 1999 à 2003, avant de revenir à l'ENSCL en 2003 et depuis 2020 à Centrale Lille.Rattaché à l'UMET (Unité Matériaux et Transformation, CNRS UMR 8207), il est responsable de l'axe de recherche dédié à l'ingénierie des systèmes polymères et pilote l'équipe sur la réaction et la résistance au feu des matériaux.Il a participé au dépôt d'une dizaine de brevets.Le 1er octobre 2020, il a été a été nommé membre Senior de l'IUF (Institut universitaire de France) pour 5 ans.
Il y a 3 ans et 339 jours

Bientôt un nouvel institut médico-éducatif à Villefranche-de-Lauragais

La mise en service du futur Institut Médico-Éducatif (IME) et du nouveau Service d’Éducation Spécialisée et de Soins à Domicile (SESSAD) de Villefranche-de-Lauragais est attendue en 2022.
Il y a 3 ans et 339 jours

Thermacome : 40 ans d’innovation pour le confort thermique des bâtiments

En 40 ans, Thermacome est devenue la référence du confort thermique hydraulique pour les bâtiments, avec toujours la même attention sur la qualité et l’innovation. Aujourd’hui, plus de 30 millions de m² de surfaces rayonnantes ont été installées, soit plus d’un million de kilomètres de tubes déroulés ! Pour cette année, Thermacome lance 2 nouveautés : un guide de choix totalement refondu avec notamment une large place aux installateurs : lien vers le guide de choix, une nouvelle génération de distributeurs à sertir équipés de vannes pour l’isolation de chaque circuit d’hydrodistribution Issue d’une demande des installateurs, la nouvelle génération de distributeurs à sertir est équipée de vannes d’isolement pour pouvoir isoler chaque circuit d’hydrodistribution indépendamment. Toujours dans une volonté de faciliter le quotidien des professionnels et de proposer des équipements de qualité, Thermacome a équipé ses collecteurs de douilles inox à sertir prémontées, permettant de sertir directement les sorties DN12 et DN16, les plus courantes du marché. Aucun raccord, ni de joint d’étanchéité à prévoir ! Il ne reste plus qu’à sertir, les entraxes 55 mm permettent de glisser facilement toutes les têtes d’outillage à sertir. Véritable gain de temps sur le chantier, ces distributeurs permettent de réaliser des installations parfaites pour un fonctionnement optimal.
Il y a 3 ans et 339 jours

Euro 2021 : BRZ F rance reprend la parole avec une nouvel le campagne décalée

Après avoir créé le premier concours de fantasy foot à l’occasion Batimat 2019, BRZ France lance une nouvelle campagne de communication vers les professionnels du bâtiment à l’occasion de l’Euro 2021. Spécialiste européen de l’organisation et de la gestion informatique pour les entreprises du BTP, BRZ propose son propre jeu de pronostiques Pronos – Euro 2021. Seule particularité : le jeu se joue en équipe de 2 personnes et l’un des joueurs doit être un professionnel du BTP ! Le jeu concours de BRZ se joue en ligne sur la plateforme , imaginée par Martin Jaglin, le créateur de l’application MPG (Mon PetitGazon). Le jeu Pronos – Euro 2021 sera animé et commenté quotidiennement par Arthur Ray, le youtubeur spécialiste du football. Grâce à une campagne décalée et interactive, BRZ souhaite parler directement à tous les professionnels du bâtiment, quel que soit leur spécialisation, leur structure ou leur âge. Le jeu Pronos – Euro 2021 permet de créer une communauté autour du jeu et du football, sans distinction et sans hiérarchie, seul le pronostique compte ! Plus qu’une image de marque, cette campagne est l’occasion d’apporter un peu de convivialité dans une période où les relations humaines sont moins fréquentes. Les joueurs devront en effet faire équipe en binôme, s’accorder sur les pronostics et affronter d’autres professionnels du bâtiment pour gagner ensemble ! En lien avec les solutions BRZ qui favorisent le travail collaboratif (ERP) et permettent une bonne organisation des ressources humaines, cette initiative porte les valeurs humaines et conviviales de l’entreprise. Sans oublier l’originalité pour fédérer les professionnels à travers toute la France. Le jeu est disponible en ligne sur www.monpetitprono.com ou sur application gratuite MonPetitProno, durant toute la durée de l’Euro 2021 (du 11 juin au 11 juillet 2021). Les joueurs les mieux classés seront récompensés en fin de Championnat par des chèques-cadeaux (de 30 à 500 €).
Il y a 3 ans et 339 jours

La nouvelle application web InSite Construction de Peri

Les capteurs permettent d’envoyer les données vers l’unité principale, puis vers l’application. Ceci, pour les analyser ensuite depuis n’importe quel lieu. [©Peri] La nouvelle application web Peri InSite Construction est lancée. Elle permet aux utilisateurs de maîtriser leur béton à tout moment et depuis n’importe quel lieu ! L’ensemble Peri InSite Construction se compose d’une valise technique contenant une unité principale, des câbles de sondes thermocouples et plusieurs capteurs béton. Ces derniers permettent de collecter de nombreuses données de température ou de résistance pour les intégrer dans l’application web. L’objectif est de les analyser ensuite depuis n’importe quel lieu. Il suffit ainsi de préparer le câble de sondes thermocouples et de le connecter au boîtier des capteurs béton. L’ensemble Peri InSite Construction L’application web InSite donne un aperçu de l’ensemble du processus de bétonnage. L’accès est possible depuis différents appareils (ordinateur, tablette, smartphone). L’interface intuitive affiche en temps réel des informations sur le processus de bétonnage et sur la résistance du béton. Plusieurs tableaux de bord peuvent être configurés pour chaque projet. Des fonctions de notification et de blog facilitent la communication au sein de l’équipe projet. Enfin, la réception d’une notification est instantanée quand une valeur-cible définie est atteinte. 
Il y a 3 ans et 339 jours

Ligexia : Défi du bas carbone de Ciments Calcia

Les liants hydrauliques bas carbone Ligexia M4 et M4+ sont idéals pour le traitement des chaussées en place. [©Ciments Calcia] Dans la continuité de son offre de ciments à faible empreinte carbone VisionAir, Ciments Calcia lance deux liants hydrauliques routiers bas carbone. Les Ligexia M4 et M4+ sont ainsi dédiés au traitement des chaussées en place. « Solutions techniques dédiées aux opérations de voirie et terrassement, ils intègrent les enjeux de la transition écologique portés par les collectivités territoriales »,indique l’industriel. Leurs performances mécaniques s’avèrent équivalentes à un liant hydraulique routier conforme à la NF EN 13282-1. Mais toute ressemblance avec un liant routier lambda s’arrête là. En effet, la formulation de Ligexia M4 affiche une réduction de 20 à 30 % des émissions de CO2. Et celle de Ligexia M4+ de 10 à 20 %, par rapport au liant référent Ligex M4.
Il y a 3 ans et 339 jours

Avoir une belle toiture : pourquoi faire appel à un professionnel ?

Pour conserver un bon état général de sa maison, il est indispensable d’entretenir l’extérieur, ainsi que l’intérieur. Or, le nettoyage de la toiture est souvent négligé par beaucoup de propriétaires. Focus sur l’importance de prendre soin de sa toiture et les bonnes raisons de recourir à un expert. Pourquoi faut-il entretenir sa toiture ? Nettoyer la toiture de sa maison est indispensable pour assurer sa durabilité dans le temps. Avoir un toit au-dessus de sa tête consiste à bénéficier d’un abri. Cependant, la toiture est souvent négligée. Grâce au toit, l’intérieur de la maison est protégé (plafonds, murs, installations électriques, etc. ). De plus, il aide à préserver le confort thermique dans l’habitation. Outre le fait d’améliorer le confort des occupants toute l’année, la toiture réduit la consommation d’énergie en maintenant une température intérieure convenable. Par ailleurs, celle-ci doit toujours être entretenue, qu’elle soit en tuiles, en bois, en PVC, en zinc, en verre, en cuivre, en ardoises, etc. Après tout, il est préférable de l’entretenir régulièrement plutôt que d’effectuer une rénovation pouvant coûter très cher. Le toit est la partie la plus exposée aux agressions extérieures : pollution, intempéries, mousses, etc. Ces conditions favorisent l’apparition des mousses et lichens. Ces derniers le rendent moins résistant et participent à sa dégradation. Ainsi, il faut prendre soin de sa toiture pour prévenir la formation de moisissure sur le toit, mais aussi éviter les fuites et les dommages irréparables. En outre, le toit participe grandement à l’esthétisme d’une structure. Il faut savoir qu’une toiture en tuiles est plus sensible au développement des mousses et des lichens qu’un toit en ardoises. Si le fait de démousser sa toiture est essentiel, afin qu’elle reste propre et saine, il faut contacter un professionnel dès l’avènement des traces blanches ou noires. Pourquoi recourir à un professionnel pour l’entretien de sa toiture ? Pour un entretien régulier de son toit, le nettoyage doit s’effectuer au moins deux fois par an. Le meilleur moyen pour nettoyer sa toiture est lorsque le temps est sec. Le but est de prévenir les accidents. Plusieurs matériaux sont indispensables si l’on décide de le faire soi-même : une échelle, des gants, un produit anti-mousse, un nettoyeur haute pression, etc. Il faut également porter des chaussures non glissantes, ainsi que des vêtements larges et confortables. Cela étant, faire appel à un expert est le meilleur moyen d’éviter les accidents graves. Ce type de prestataire sait rester prudent face au danger, notamment lorsqu’il s’agit de travailler en hauteur. Aussi, ce professionnel garantit la propreté, l’étanchéité et la durabilité des toitures. Concernant le démoussage, la réalisation de cette opération nécessite l’usage des équipements spécifiques. En effet, ne pas enlever les taches noires ou blanches engendre la prolifération rapide des mousses. Toutefois, réussir à démousser sa toiture n’est pas à la portée de tout le monde. Ainsi, le technicien procède à un traitement hydrofuge anti-mousse pour éliminer les mousses et les lichens. Ce produit permet, en l’occurrence, de protéger le toit de l’humidité et prévenir les éventuelles fuites. Il existe de nombreuses sociétés de nettoyage de toiture à Blain, si besoin pour entretenir sa toiture.
Il y a 3 ans et 339 jours

Des revêtements aux super pouvoirs

Nettoyage et désinfection sont devenus essentiels pour la protection des personnes dans les environnements professionnels comme domestiques. Plusieurs technologies assurent aux matériaux sécurité et hygiène.
Il y a 3 ans et 339 jours

Barda’Clean : des plaques de parement auto-nettoyantes signées Perin & Cie

Le Barda’Clean est issu de la préfabrication en béton, il est conçu en partenariat avec Ciments Calcia. [©Perin & Cie] Les maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre recherchent avant tout des aspects environnementaux, durables et esthétiques pour leur projet de façades. Désormais, Barda’Clean est une marque de bardages issue de la préfabrication en béton. Ce produit a été développé par Perin & Cie, qui se positionne comme un nouvel acteur dans le domaine de la façade. Barda’Clean protège la structure et son isolation des intempéries, mais aussi de la chaleur du soleil. Il évacue la condensation pour améliorer dans le temps la qualité et le confort thermique du bâtiment. De plus, ce bardage préfabriqué s’adapte à toutes les structures et peut devenir un plafond ou une couverture. Il est idéal pour les projets de rénovation. Enfin, il permet un traitement graphique des façades. Un partenariat gagnant Barda’Clean est issu d’un partenariat avec le cimentier Ciments Calcia, qui a mis au point un ciment dépolluant par catalyse et auto-nettoyant. Garantissant une façade propre sans entretien. L’Avis technique utilisé pour ce produit est celui Fe l’Effix de Ciments Calcia. Les plaques de bardage peuvent se développer sur une surface maximum de 2 m2 pour une épaisseur Fe 2 cm. Elles sont ensuite accrochées par des agrafes selon le procédé VetiClip de Vetisol à une ossature métallique ou bois. Ce système de bardage rapporté ventilé se met en œuvre en neuf, en rénovation, pour le tertiaire ou le résidentiel collectif. Mise en œuvre du bardage dans une crèche à Issy-les-Moulineaux. [©Perin & Cie]
Il y a 3 ans et 339 jours

AC Environnement crée Digiliance pour accélérer la digitalisation du bâtiment existant

Via sa filiale, le groupe entend proposer un accompagnement et des solutions techniques innovantes pour rendre la digitalisation du bâti accessible à tous ses clients et leur en faciliter la prise en main. DIGILIANCE a pour vocation d'accompagner les gestionnaires de patrimoine (bailleurs sociaux, collectivités, entreprises…) dans leur parcours numérique en vue d'optimiser leur budget d'exploitation-maintenance. Elle mise sur l'innovation pour la captation, la connection et la valorisation des données, afin d'aider les gestionnaires de patrimoine à mieux connaître et maîtriser leur patrimoine.Comme tous les secteurs, le bâtiment n'échappe pas à la digitalisation déjà très présente dans la construction neuve via le BIM. Mais qu'en est-il du bâtiment existant ? Il y a 3 ans, AC Environnement faisait figure de pionnier en associant diagnostic immobilier et BIM, le diagnostic 4.0. En tant que diagnostiqueur, le groupe collecte des milliers de données chaque jour pouvant être partagées et exploitées dans une maquette numérique. Souhaitant accélérer le développement de cette activité, il crée une structure dédiée, DIGILIANCE. Forte d'une équipe de 12 personnes, elle propose du conseil et de l'accompagnement dans la définition des besoins de ses clients et des solutions techniques ouvertes dont la suite logicielle CN, pour capter les données, les exploiter et pour faciliter la prise en main par ses clients. « Nous souhaitons apporter de l'intelligence dans la gestion de ces données et dans leur exploitation. Nous avons repensé notre offre centrée désormais sur l'interopérabilité entre tous les systèmes BIM pour accélérer notre développement et démocratiser la digitalisation. » déclare Denis Mora.Depuis 2018, AC Environnement a investi 1,5 M€ dans le développement de solutions digitales pour le bâtiment et dans la formation et la constitution d'une équipe d'experts. DIGILIANCE (siège Riorges – 42) s'adresse plus largement aux secteurs de l'industrie et du tertiaire, et des gestionnaires de biens et ce dans tout l'hexagone. Elle vise à l'horizon 2025 un chiffre d'affaires de 2 M€, l'objectif étant d'accompagner la croissance globale du groupe.Un accompagnement sur-mesure et des solutions compatibles, simples et libre d'accèsNumériser son patrimoine bâti est une étape identifiée comme clé par les gestionnaires de patrimoine immobilier, de bailleurs sociaux, des collectivités ou des secteurs tertiaires ou industriels conscients, au-delà de la nécessité de maintenance, des enjeux financiers, règlementaires et environnementaux. Pour les accompagner dans la numérisation et la gestion optimisée de leur patrimoine bâti, DIGILIANCE propose un accompagnement en plusieurs étapes qui passe par l'audit de l'existant, du conseil pour la mise en place du projet le plus adapté aux ressources du client et à ses objectifs et par du suivi de projet (AMO). Elle propose également de former ses clients à l'utilisation de la maquette numérique.En complément de ses prestations d'accompagnement, DIGILIANCE a développé la suite logicielle « CN (Carnet Numérique) », unique sur le marché car capables de se connecter à tous les environnements numériques et libre d'accès. Cette plateforme réunit l'ensemble des données disponibles chez le client (plan pluriannuel de travaux, gestion des espaces, localisation des polluants, diagnostics immobiliers) quel que soit leur provenance. Elle peut être renseignée par le client ou à sa demande par DIGILIANCE. Ce carnet numérique créé, le client est alors libre de le renseigner et le mettre à jour en toute autonomie et à tout moment grâce à une interface simple et à un abonnement proposé par DIGILIANCE. Il devient alors un outil de pilotage et d'aide à la décision dans la gestion maintenance de son patrimoine. DIGILIANCE veut en faire une réponse concrète, efficace pour optimiser son budget mais aussi pour répondre à l'obligation de mener des actions pour réduire la consommation d'énergie finale d'au moins 40% en 2030, 50% en 2040 pour l'ensemble des bâtiments existants à usage tertiaire, fixée par l'état.
Il y a 3 ans et 339 jours

Emploi : la menace de l’automatisation

La transformation numérique s’est accélérée de façon spectaculaire au cours de l’année dernière alors que les entreprises étaient contraintes de s’adapter au télétravail massif pendant la pandémie de COVID-19 et se devaient de soutenir au mieux leurs collaborateurs nouvellement éloignés. Si cette transformation a poussé de nombreuses entreprises à innover, l’émergence d’une plus grande automatisation sur le lieu de travail a représenté une nouvelle menace pour les travailleurs et a mis une fois de plus en évidence la nécessité d’améliorer les compétences de la force de travail européenne et d’en faire une priorité absolue. La Fondation Autodesk et la Royal Society of Arts (RSA) publient une nouvelle étude, intitulée « Good Work Innovations in Europe ». Le risque pour les travailleurs varie fortement d’une région à l’autre, l’Europe du Nord et les pays nordiques étant beaucoup moins « automatisables » que l’Europe de l’Est et du Sud. La Suède, la Finlande et la Norvège sont les moins menacées par l’automatisation, tandis que la République slovaque, la Slovénie et la Grèce sont confrontées aux plus grands défis en raison de la faible participation au marché du travail et de la force de l’agriculture et d’autres industries hautement automatisables dans la région. En France, la part des emplois à haut risque d’automatisation en France est de 16 %, contre 14 % en moyenne dans l’OCDE. Ce chiffre est supérieur à celui du Royaume-Uni (12 %) et de la Finlande (7 %), mais nettement inférieur à celui de certaines régions d’Europe du Sud comme la Grèce (23 %). Il existe également un net clivage entre les régions urbaines et rurales de France. Par exemple, en France, la région Île-de-France, qui comprend Paris, est la moins menacée, tandis que la région Champagne-Ardenne, largement agricole, est la plus menacée. Certaines régions françaises étaient confrontées à des défis particulièrement aigus en termes de création d’emplois avant la pandémie de Covid-19. Une région sur quatre en France est en déclin et perd des emplois qui sont principalement à faible risque d’automatisation. La construction est confrontée à un risque d’automatisation plus faible que le secteur manufacturier, principalement parce que les activités sont moins répétitives et les résultats plus personnalisés. La transformation de la construction en Europe englobe de nombreuses approches différentes, notamment l’automatisation des tâches physiques, ainsi que la numérisation et l’automatisation des procédures de conception, de planification et de gestion. Les robots de maçonnerie, les drones et les véhicules autonomes utilisés pour la surveillance et le transport sont de plus en plus répandus sur les chantiers de construction sur le marché européen.
Il y a 3 ans et 339 jours

Emploi : la menace de l’automatisation

La transformation numérique s’est accélérée de façon spectaculaire au cours de l’année dernière alors que les entreprises étaient contraintes de s’adapter au télétravail massif pendant la pandémie de COVID-19 et…Cet article Emploi : la menace de l’automatisation est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 339 jours

Scanner 3D porté par un robot

Développé par Boston Dynamics et distribué en Europe par Intuitive Robots, le robot chien SPOT peut être équipé de la technologie Leica Geosystems pour offrir une solution agile à la fois autonome et précise de capture de la réalité, spécialement conçue pour les environnements difficiles d’accès, accidentés ou dangereux. Associant des technologies très abouties en matière de robotique et de capture de la réalité, il embarque le scanner 3D le plus rapide du marché, le Leica RTC360, pour offrir une solution de numérisation mobile tout particulièrement adaptée aux besoins du secteur de la construction mais aussi de l’industrie ou de la sécurité publique.
Il y a 3 ans et 339 jours

Scanner 3D porté par un robot

Développé par Boston Dynamics et distribué en Europe par Intuitive Robots, le robot chien SPOT peut être équipé de la technologie Leica Geosystems pour offrir une solution agile à la…Cet article Scanner 3D porté par un robot est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 339 jours

L’Industrie Magnifique : qu’est-ce qu’habiter veut dire ?

Le Groupe Vivialys, 1er constructeur alsacien de logements, est le mécène principal de la 2ème édition de L’Industrie Magnifique. Le groupe a partagé durant un an sa réflexion avec le collectif L’Ososphère autour de la question « Qu’est-ce qu’habiter veut dire, ici et maintenant, ici et demain ? ». Le fruit de leur travail est une œuvre monumentale intitulée « Cosmos District », déployée dans et autour de la Cathédrale de Strasbourg. Véritable Œuvre à habiter et à investir, Le Cosmos District est un dispositif art-chitectural à base d’installations éphémères telles que containers, architectures modulables et expérimentales, qui donnent à percevoir notre rapport au Cosmos. Le Groupe Vivialys et L’Ososphère ont ainsi créé une véritable complicité permettant de présenter des objets pour certains particulièrement spectaculaires : 12 œuvres installées à l’ombre de la Cathédrale de Strasbourg où l’art numérique interroge nos liens avec le Cosmos, la façon dont nous le percevons et dont il agit sur nous et notre habitat, 6 œuvres en réalité virtuelle, 1 œuvre monumentale dans la Cathédrale : une reproduction de la lune (7m de diamètre) grâce aux photographies HD de la surface lunaire fournies par la NASA, 1 cabinet de curiosités proposés par le Jardin des Sciences de l’Université de Strasbourg, 1 Cosmos radio, des cafés conservatoires, un artfoodlab pour explorer la nourriture et la cuisine dans le cosmos. Photo : P. Menet   
Il y a 3 ans et 339 jours

Digitalisation des bâtiments existants

AC Environnement lance sa filiale DIGILIANCE, spécialisée dans la digitalisation des bâtiments existants. Via cette filiale, le groupe entend proposer un accompagnement et des solutions techniques innovantes pour rendre la…Cet article Digitalisation des bâtiments existants est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 339 jours

Déclinaison de briques et de lumières pour un groupe scolaire à Villeurbanne, par Brenac & Gonzalez

Fondée en 1993, l'agence de paysage et d’environnement Phytolab est dirigée par Christophe Cozette, Loïc Mareschal, Clément Ravet et Matthieu Theaudin.  Les paysagistes de Phytolab ont diversifié leurs compétences et interviennent aussi bien dans des sites très urbains (place de la Gare Nord à Nantes ou quartier […] Lire l'article