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Toute l'actualité du bâtiment

255317 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 340 jours

Matthieu Tanguy devient directeur général de Saint-Astier

Matthieu Tanguy devient directeur général de Saint-Astier. [©Saint-Astier] Spécialiste français de chaux hydraulique naturelle destinée à la construction et à la restauration de bâti, Saint-Astier vient de nommer Matthieu Tanguy au poste de directeur général. « Aujourd’hui, nous avons la chance de travailler un produit noble, la chaux, que nous extrayons de notre site unique de Saint-Astier. Mon objectif est bien de cultiver la particularité qui a fait la notoriété de Saint-Astier sur le marché français et dans le monde. Ici, chacun des 135 collaborateurs entretient une passion pour la chaux, un climat galvanisant et unique », explique Matthieu Tanguy. Lire aussi : “Innovation par les professionnels du BTP 2019” pour Saint-Astier Et de poursuivre : « Ce socle devrait nous permettre de perpétuer et de continuer les investissements nécessaires dans l’outil industriel. Car ce process unique demande rigueur et technicité tout au long du parcours de production, de l’extraction du calcaire, jusqu’à l’obtention des chaux hydrauliques naturelles de grande qualité. Enfin, il convient de rester à l’écoute des enjeux environnementaux actuels dans la construction, mais aussi de continuer notre développement à l’international. » Le parcours de Matthieu Tanguy Matthieu Tanguy est diplômé de l’Ecole nationale supérieure de mécanique et des microtechniques (ENSMM). Il a passé 4 ans (2004-2008) au sein d’Eurenco, filiale de la Société nationale des poudres et des explosifs. Il intègre ensuite la filière industrielle du bâtiment. Après plusieurs postes opérationnels au sein de Lafarge Plâtres, il occupe un poste de direction de site au sein de Siniat, filiale française du groupe Etex. Il se voit confier la direction industrielle de la région Sud-Ouest en France. Trois ans plus tard, il devient directeur général du site de Luzenac (talc), au sein du groupe Imerys. Puis, rejoint Fayat fin 2019, comme directeur général de la filiale Barbot CM.
Il y a 3 ans et 340 jours

Immobilier : la nature des projets évolue chez les acquéreurs, selon une étude récente

LOGEMENTS. La crise sanitaire a accentué l'envie des Français de posséder une résidence secondaire ou de vendre leur bien immobilier pour en acheter un nouveau, montre une étude Drimki publiée en juin.
Il y a 3 ans et 340 jours

Partenariat entre le SNBPE et le monde de la glisse

[©Programmation Slappy Agency Conception Hall04 Skateparks Terrassement S-Parks Construction Zut Skateparks] Le SNBPE a signé une convention de partenariat avec le GIP Skateparks de France, leGroupement interprofessionnel Skateparks français. Ce dernier réunit les principaux acteurs de la filière et a pour objectif d’œuvrer à son développement économique. Lire aussi : Le concours Ecoles Cimbéton/SNBPE 2021 est ouvert Dans le cadre de ce partenariat, les deux entités joindront leurs efforts pour promouvoir et développer la conception de skateparks sur l’ensemble du territoire national. En effet, produit localement, le béton prêt à l’emploi (BPE) est souvent utilisé pour la construction des skateparks. Très prisé par les pratiquants qui le jugent plus adapté à la pratique de leur activité, le béton offre une bonne qualité de glisse et une impulsion immédiate pour les sauts. Il se révèle aussi très performant en matière de confort acoustique. Et se distingue par sa durabilité dans le temps et son faible coût d’entretien.  Utilisables par les pratiquants de skateboard comme de roller, de trottinette et vélo BMX, ces premiers lieux de rencontres apparaissent dans les années 1970 en France. Aujourd’hui, le skateboard occupe une place importante dans l’espace urbain. Car il transforme le mobilier urbain en terrain d’activités sportives et est créateur de lien social.
Il y a 3 ans et 340 jours

La reconstruction de la cité administrative d'Etat de Lyon est confiée à Eiffage

CHANTIER. La première étape de la future construction de la cité administrative d'Etat de Lyon vient d'être attribuée au groupe Eiffage. Les travaux devraient débuter en fin d'année.
Il y a 3 ans et 340 jours

Les 10 nominés aux Trophées Équipbaie-Métalexpo 2021

Le 3 juin dernier, les 35 dossiers candidats ont été étudiés par le Jury pour sélectionner les Nominés des TROPHÉES. Ce Jury est composé d’experts sectoriels indépendants dont de nombreux journalistes spécialisés.Pour cette édition 2021 des TROPHÉES 10 innovations ont retenu l’attention du Jury qui a, par ailleurs, tenu à décerner une Mention Spéciale du Jury.Deux tendances émergent fortement de ces nominés. D’une part la recherche autour du design et de l’esthétique, d’autre part le développement de solutions digitales et smart pour le confort des habitants ou pour aider les professionnels.Les Lauréats sélectionnés parmi ces 10 innovations seront dévoilés lors d’une conférence de presse digitale le 22 juin.La remise officielle des TROPHÉES aura lieu mercredi 22 septembre sur l’Arena Innovation du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.Du 21 au 23 septembre, les visiteurs pourront découvrir la totalité des innovations candidates sur l’Arena Innovation grâce à des sessions de pitchs thématiques et des écrans interactifs. Ils pourront également voter en direct pour leur innovation préférée.Les 10 nominés aux TROPHÉES ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021BEL'MPORTES D'ENTRÉE BOIS 100 ABSOLU, performantes, durables et finition garantie 10 ans.FENETREAOPEN NATURE, une porte pour le futur.FRANCE FERMETURESALLOVISIO, la Visio Assistance sur chantier.GROUPE MAINEFUSION, le portail battant motorisé avec portillon intégré.K-LINELA FENÊTRE PILOTÉE, pour la première fois, une fenêtre prend soin de la santé dans l'habitat.LOUINEAUPRECWOOD 1400, le seul système qui certifie la gestion de l'étanchéité des menuiseries dans la construction bois.PROFILS SYSTÈMESPergola Wallis&Outdoor® design by Dank Architectes, le premier concept de pergolas aluminium personnalisables à tabliers colorés, inspiré de la nature du gammiste Profils Systèmes.REHAUREHAU SMART GUARD, la révolution dans la protection préventive des fenêtres contre les cambriolages.SOMFYTAHOMA® SUITE, un trio d'outils complémentaires et exclusifs pour le professionnel et l'utilisateur.VEKAHI-5, coulissant PVC nouvelle génération conçu par Veka.Mention spéciale du juryPRODEXCACHE-RAINURE UNIVERSEL, des accroches brevetées pour une mise en place facile et autocentrée.Composition du JuryAnne BOULAY – Verre & Menuiseries Actualités - Rédactrice en chefRégis BOURDOT – Batiweb.com - Directeur de la rédactionVéronique COTTIER – Stores & Fermetures - Rédactrice en chefStéphanie DREUX-LAISNE – L’Écho de la Baie - Directrice de la publicationYann FAISANT – CSTB - Responsable du Pôle Evaluation Fenêtres et Coffres, Division Baies et VitragesEric LEYSENS – Technic’Baie - Rédacteur en chefStéphane MIGET – 5 Façades - Rédacteur en chefFlorent LACAS – Batiactu - Rédacteur en chefPierre PICHERE – Le Moniteur des Artisans - Rédacteur en chefAnne-Séverine SABORET-CONSALES – TBC - PrésidenteFrédéric TADDEI – Verre & Protections - Directeur de la publicationStéphane VIGLIANDI – Zepros Métiers Bâti – Chef de rubriquesÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 3 ans et 340 jours

A Shenzhen, Dominique Perrault dessine un campus "détaché du sol"

PROJET. Le groupement Dominique Perrault Architecte + Zhubo Design Co est lauréat du concours international pour la conception de l'Institut de l'innovation et du design de Shenzhen, en Chine. Découvrez le projet en images.
Cimbat
Il y a 3 ans et 340 jours

Portée par le bâtiment, la création d'emplois dans l'artisanat a bien résisté à la crise sanitaire en 2020

Si un effondrement de l'emploi était à craindre dans de nombreux secteurs, il semble que l'artisanat ait limité la casse. En 2020, les emplois salariés ont ainsi mieux résisté dans l'artisanat (+1,7% par rapport à 2019) que dans l'ensemble du secteur privé (-2%). Une tendance positive observée sur l'ensemble du territoire. Bonne surprise également du côté des indépendants : l'année a été marquée par une très légère augmentation des immatriculations (+1% par rapport à 2019) malgré la baisse d'activité des micro-entrepreneurs.Emploi salarié : il s'est maintenu sur l'ensemble du territoire malgré la criseEn 2020, malgré l'impact de la crise sanitaire et la crise économique qui en a découlé, l'emploi salarié a bien mieux résisté dans l'artisanat (+1,7% par rapport à 2019, soit 28.000 emplois créés) que dans l'ensemble du secteur privé où les effectifs ont diminué de 2% (-311.000).Évolution 2019-2020 des emplois salariés par région et par secteurToutes les régions enregistrent une légère croissance des emplois salariés mais la dynamique est moins forte dans les régions du centre-est de la France. C'est en Corse et en Provence-Alpes-Côte d'Azur que l'on observe les plus fortes augmentations (+3%). La création d'emplois a été moins forte dans le Grand-Est, en Bourgogne-Franche-Comté, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Bretagne et en Centre-Val de Loire (+1%), mais le solde reste positif.Marielle Vo-Van Liger, Directrice Marketing et Communication MAAF : « Malgré la crise qui l'a touché de plein fouet, et qui pouvait faire craindre un effondrement de l'emploi, le secteur de l'artisanat a prouvé sa grande capacité de résistance et de résilience. Si certaines activités ont été plus pénalisées que d'autres à l'instar de la coiffure et des soins esthétiques, la faute aux multiples périodes de confinement qui n'ont pas eu les mêmes répercussions selon les secteurs, l'artisanat a réussi à maintenir ses emplois salariés dans toutes les régions, même les plus touchées par la crise. »La création d'emplois portée par le BTP et l'alimentationLa tendance positive observée à l'échelle nationale est menée par l'artisanat du BTP (+3% d'emplois par rapport à 2019, 24.100 emplois créés) et de l'alimentation (+3%, 5.100).Une croissance qui s'explique par la hausse de la demande en travaux de rénovation et de la consommation à domicile et par le retour vers les circuits de proximité. Les effectifs sont stables dans l'artisanat des services et de fabrication.Évolution 2018-2019-2020 des emplois salariés par secteurDans le détail, ce sont donc les secteurs du BTP qui sont les plus créateurs d'emplois et ce malgré l'arrêt des chantiers lors du premier confinement : maçonnerie générale/construction (+3%, soit 8.530 emplois créés en 2020), électricité / plomberie (+4%, 7.130 emplois) et travaux de finition du bâtiment (+2%, 6.760 emplois). Viennent ensuite la boulangerie-pâtisserie (+2%, 3.010 emplois), les services automobiles (+2%, 2.590 emplois) et la boucherie-charcuterie-poissonnerie (+3%, 1.610 emplois).Sans surprise, les secteurs qui ont connu les plus grandes pertes d'emplois sont les secteurs qui ont été les plus touchés par les confinements successifs : les transports (-4%, -540 emplois), la coiffure et les soins esthétiques (-2%, -2020 emplois).Une baisse des embauches à relativiser en dehors du crack du 1er confinementLes entreprises de l'artisanat ont réduit leurs embauches de 8% en 2020. Une baisse que l'on peut imputer aux mauvais résultats du 2ème trimestre 2020, période durant laquelle la France a été très strictement confinée. À cette époque, les entreprises de l'artisanat ont réduit leurs embauches de 32% par rapport à 2019. Un recul observé dans l'ensemble des secteurs : l'alimentation (-44%), les services (-35%), la fabrication (-34%) et le BTP (-23%).Toutefois, si l'on regarde les chiffres des trois autres trimestres, on observe que la dynamique de recrutement est relativement stable en 2020 par rapport à 2019 : -1% d'embauches au 1er trimestre, +2% au 3ème et –2% au 4ème.Évolution 2019-2020 des déclarations uniques d’embauche par secteurLa reprise des recrutements aux 3ème et 4ème trimestres est tirée par l'artisanat du BTP, avec des recrutements en hausse de 9% par rapport aux mêmes trimestres de l'année précédente.Dans les autres secteurs, on observe de légers reculs qui peuvent s'expliquer par une baisse d'activité, par la plus grande prudence des entreprises mais aussi par la moindre mobilité des salariés (ils ont été probablement moins nombreux à changer d'entreprise, il y a eu donc moins de remplacements à pourvoir). Seul le secteur de l'alimentation a subi une baisse importante des embauches au dernier trimestre 2020 (-18%, surtout des CDD courts).Catherine Élie, Directrice des études de l'ISM : « La baisse globale des embauches dans l'artisanat en 2020 a été fortement influencée par le coup de frein brutal porté aux recrutements dans la plupart des secteurs d'activité au 2ème trimestre, dans le contexte du premier confinement qui a mis le pays sous cloche et l'économie sur pause. Il faut donc relativiser cette baisse. Lorsqu'on regarde l'année dans son ensemble, on constate que la dynamique de recrutement s'est plutôt bien maintenue par rapport à 2019, attestant une nouvelle fois de la bonne résistance du secteur de l'artisanat face à la crise, grâce notamment aux dispositifs d'aide mis en place. »Création d'entreprises : très légère augmentation des immatriculationsÉvolution 2019-2020 des immatriculations en par trimestreBonne surprise : l'incertitude économique engendrée par la crise sanitaire n'a pas freiné la dynamique entrepreneuriale en 2020. Les immatriculations ont ainsi connu une légère augmentation d'1% sur l'ensemble de l'année.Encore une fois, c'est le 2ème trimestre 2020 qui fait exception : on enregistre à cette période un recul de 25% des immatriculations. Sur l'ensemble de l'année, la progression des immatriculations concerne surtout l'artisanat de fabrication (+4%) et le BTP (+2%). Le léger recul des immatriculations observé dans le secteur de l'alimentation (-2%) peut s'expliquer par une baisse des opérations de transmission-reprise, liée au contexte d'incertitude.Une baisse d'activité chez les micro-entrepreneursMoins couverts par les dispositifs d'aide, les micro-entrepreneurs de l'artisanat ont été sévèrement touchés par la crise. Cela d'autant plus que les chiffres d'affaires déclarés montrent une baisse moyenne de 12% de leur chiffre d'affaires, en particulier dans les activités de taxis-VTC (-57%) et de coiffure / esthétique (-32%).FOCUS : Revenus des travailleurs indépendants : ceux des micro-entrepreneurs sont deux à six fois moins élevésLes micro-entrepreneurs se distinguent des autres travailleurs indépendants par le niveau de leurs revenus, beaucoup plus faible.L'écart est le plus élevé dans les activités de l'artisanat de fabrication : en 2018, le revenu annuel moyen (charges payées) était de 3 871 € contre 33 949 € pour un indépendants du régime classique. * données 2019 non encore disponibles pour les travailleurs indépendantsTéléchargez l’étude complète en cliquant ici
Il y a 3 ans et 340 jours

Le CSTB et Cobaty signent un partenariat d'une durée de quatre ans

Joël LE GOFF, Directeur Général de Cobaty, Étienne CRÉPON, Président du CSTB - Crédit photo : COBATY-CSTBCobaty qui a pour ambition de rassembler l'ensemble des métiers du bâtiment, de l'urbanisme et de l'environnement, dans un cadre d'éthique et d'engagement environnemental et le CSTB, dont l'une des missions clé est de garantir la qualité et la sécurité des bâtiments et d'accompagner l'innovation de l'idée au marché, ont signé récemment une convention de partenariat pour quatre ans. Ce partenariat porte sur le développement et la mise en place de coopérations aux plans national et local, rassemblant les principaux champs de compétences de Cobaty et du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) : L'architecture, les bâtiments, les techniques de construction ; La maîtrise des risques ; La réglementation (évolutions règlementaires) ; La certification ; L'énergie ; La qualité environnementale ; La qualité des ambiances aux échelles bâtiment et urbaine : qualité de l'air, acoustique urbaine, ... ; L'éclairage, le rayonnement électro-magnétique, ... ; L'eau et l'assainissement ; Le numérique, via les tests de logiciels ; La formation. À propos de Cobaty : Cobaty entend rassembler l'ensemble des métiers du bâtiment, de l'urbanisme et de l'environnement, dans un cadre d'éthique et d'engagement environnemental. Avec 4 700 adhérents répartis dans 132 associations, COBATY, grâce à la multiplicité de ses compétences et de son dynamisme, est devenue un interlocuteur apprécié des institutions et des collectivités territoriales. Cobaty est reconnue par les pouvoirs publics des pays dans lesquels elle est implantée. Rechercher et innover avec compétence est la réalité de COBATY. La détermination, la diversité, l'ouverture aux autres, la volonté de communication et le souci de la performance, au visa de l'expérience de ses membres, sont les qualités essentielles de cet ensemble unique et performant que constitue l'Association COBATY FEDERATION INTERNATIONALE qui, au fil des ans, est devenue une véritable Institution. À propos du CSTB : Entreprise publique au service de ses clients et de l'intérêt général, le CSTB a pour ambition d'anticiper les bâtiments et la ville pour demain en accompagnant et sécurisant les projets de construction et rénovation durable pour améliorer la qualité de vie de leurs usagers. Le CSTB, Centre Scientifique et Technique du Bâtiment, exerce cinq activités-clés : la recherche et expertise, l'évaluation, les essais, la certification et la diffusion des connaissances, organisées pour répondre aux enjeux des transitions énergétique et numérique dans le monde de la construction. Son champ de compétence couvre les produits de construction, les bâtiments et leur intégration dans les quartiers et les villes. Avec près de 1000 collaborateurs, ses filiales et ses réseaux de partenaires nationaux, européens et internationaux, le groupe CSTB est au service de l'ensemble des acteurs de la construction pour faire progresser la qualité et la sécurité des bâtiments. En savoir plus : Le site web de Cobaty Le site web du CSTB
Il y a 3 ans et 340 jours

Bourse du commerce, de la beauté, de Tadao Ando, de la fortune

A l’heure de la réouverture des musées, des lieux sont plus attendus que d’autres, telle la Bourse du Commerce dans le premier arrondissement de Paris devenue par la grâce de Tadao Ando un nouveau musée d’art contemporain abritant une partie de la collection de l’industriel François Pinault. Attendu parce que le lieu est emblématique, parce […] L’article Bourse du commerce, de la beauté, de Tadao Ando, de la fortune est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 340 jours

L'interdiction des chaudières au fioul reportée de six mois

DÉCISION. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, vient d'annoncer que l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul était reportée de six mois, à juillet 2022 au lieu de janvier.
Il y a 3 ans et 340 jours

Forum International bois Construction : le voile levé sur une 10e édition hors-normes

Le Forum International Bois Construction a réuni la presse au Grand Palais Ephémère pour lever le voile sur la 10e édition qui s’y tiendra, du 15 au 17 juillet, avec une ouverture au grand public le samedi.
Il y a 3 ans et 340 jours

Entretien avec Rudy Ricciotti : le philosophe et l’architecte

A propos du livre Le beau, le brut et les truands, ouvrage paru chez Textuel au printemps 2021, deux de nos chroniqueurs ne sont pas d’accords. Julie Arnault* a vu dans ce texte une conversation certes plaisante mais qui n‘apportait pas grand-chose au fond à des lecteurs déjà au fait des enjeux survolés dans l’ouvrage. […] L’article Entretien avec Rudy Ricciotti : le philosophe et l’architecte est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 340 jours

Dény Security présente ELYTE : sa nouvelle serrure électromécanique à mortaiser pour assurer sûreté et sécurité à l’intérieur de tous les sites

Pour empêcher l’entrée des personnes non autorisées dans certaines pièces sensibles (salle de serveur informatique, pharmacie d’hôpital, archives…), il est indispensable d’équiper les portes avec un système de contrôle d’accès fiable tel qu’ELYTE de Dény Security, une nouvelle serrure électromécanique à mortaiser. Verrouiller pour mieux filtrer les accès En associant un verrouillage automatique à une sortie libre permanente, la nouvelle serrure électromécanique à mortaiser de Dény Security assure la sécurité des lieux et la sûreté des personnes. En effet, l’éjection du pêne dormant et le blocage du pêne ½ tour à la fermeture de la porte garantissent sa condamnation. Afin de répondre à tous les besoins de sécurisation, ELYTE se décline en deux versions : • à rupture de courant pour favoriser la protection des personnes. La porte est alors verrouillée en permanence et n’est débloquée qu’en cas de coupure de courant, • à émission de courant. Elle privilégie la sécurité des biens en empêchant totalement l’accès à moins d’envoyer une alimentation à la serrure pour décondamner la porte. Quoi qu’il arrive, la sortie libre est assurée. Elle est toujours fonctionnelle et prioritaire. En cas de défaillance du système ou d’urgence, ELYTE est également munie d’un cylindre mécanique de secours qui rend possible son ouverture à l’aide d’une clé. Une surveillance à distance en temps réel Afin d’intégrer un système de gestion de contrôle d’accès ou de GTB (Gestion Technique du Bâtiment), la serrure ELYTE est dotée de micro-switchs permettant de connaître instantanément l’état de la serrure. Pêne dormant sorti ou rentré, contre-pêne rentré, béquille actionnée, fonction sabotage si l’un des câbles d’alimentation est coupé, porte fermée… sont autant d’informations recueillies. Une serrure modulaire pour une installation facilitée Dotée d’un axe à 70 mm et d’un entraxe à 50 mm, la nouvelle serrure électromécanique à mortaiser de Dény Security est compatible avec tous les types de portes bois et métal. Réversible droite/gauche sans démontage du mécanisme, elle fonctionne en bi-tension (12 V et 24V) pour s’adapter à toutes les configurations. Grâce au câble de jonction et au bornier connecté fournis, sa mise en œuvre s’effectue facilement et rapidement. Certifiée EN 179 et EN 14 846, ELYTE est également proposée en version conservatoire pour équiper de façon provisoire les sites en construction, avant l’installation du modèle électromécanique définitif. http://www.deny-security.com
Il y a 3 ans et 340 jours

Coénove s'inquiète des conséquences de la future loi climat sur le mix énergétique

La définition d'une rénovation « performante » limitée aux seules catégories A et B montre une ambition certes volontariste, mais qui va exclure des énergies pourtant indispensables à l'atteinte des objectifs de transition énergétique, et ce, alors même que la Direction générale de l'énergie et du climat indiquait dans une note récente qu'un parc au niveau A, B ou C permettrait de tenir les objectifs de neutralité carbone en 2050.Il faut savoir que, du fait du seul critère carbone, les logements gaz sont exclus de la classe B, même les plus performants, répondant aux exigences de la RT actuelle, la RT 2012. Rappelons que, dans le même temps, le seuil Energie de cette même classe B a été desserré, passant de 90 kWh Ep/an/m2 à 110 ... Drôle de performance ! Mais les Sénateurs ne semblent pas avoir vu la manœuvre !La réglementation qui serait issue de ce projet de loi exclurait donc les solutions gaz et flècherait très majoritairement la rénovation dite performante vers les solutions électriques avec les conséquences inévitables suivantes :Aggravation des pointes électriques imposant de renforcer les infrastructures d'acheminement de l'électricité pour un coût élevé,Restriction des choix donnés aux ménages à des solutions très coûteuses (PAC air/eau, chaudières bois ...), ce qui pose la question de la soutenabilité de cette mesure et son impact sur la décision de rénover.Ces amendements conduisent également à discriminer le gaz renouvelable avec un seuil carbone inaccessible à court terme, alors que le chantier de son déploiement est largement engagé.A vouloir laver plus blanc que blanc en excluant des solutions bien implantées dont le verdissement est en cours, on risque en définitive de freiner la rénovation et de passer à côté de l'objectif.
Il y a 3 ans et 340 jours

Le carbone - S'inspirer

Il y a 3 ans et 340 jours

Le béton de chanvre consomme très peu d’énergie

Dans l’étude réalisée par le Cerema, pour le compte de Construire en Chanvre Ile-de-France, les simulations ont été faites au moyen du logiciel Wufi Plus sur un bâtiment R+1 fictif de 100 m2. [©Cerema – Etienne Gourlay] On sait aujourd’hui que le béton de chanvre permet de stocker durablement du carbone. Ainsi, un complexe structure bois-remplissage béton de chanvre de 26 cm d’épaisseur permet d’emmengasiner jusqu’à plus de 35 kg de CO2/m2de mur mis en œuvre sur une durée de vie de de l’enveloppe. Soit 50 ans, voire 100 ans. Cette caractéristique sera valorisée dans les années à venir avec la mise en place de la RE 2020. En revanche, les performances thermiques du béton de chanvre sont à l’heure actuelle encore sous-estimées. Caractéristiques du béton de chanvre En effet, les échanges de vapeur d’eau contenue dans l’air avec le béton de chanvre permettent d’amortir, très sensiblement et de manière passive, les variations quotidiennes de température et d’hygrométrie dans un bâtiment. La conséquence de ces échanges est de réduire les consommations énergétiques et d’améliorer grandement le confort thermique et hydrique au sein des logements. Ces phénomènes internes de changement d’état de l’eau (vaporisation et condensation) ne sont pas pris en compte dans le moteur de calcul réglementaire actuel. L’épaisseur de béton de chanvre mise en œuvre pour respecter la RT 2012 est alors supérieure à celle nécessaire pour viser une consommation énergétique donnée. Cela conduit donc à des surcoûts de construction. Et, par conséquent, à une moindre compétitivité du béton de chanvre vis-à-vis d’autres matériaux. Lire aussi : Boulogne-Billancourt : Huit niveaux isolés en béton de chanvre, une première en Europe Une étude du Cerema Une étude a donc été réalisée par le Cerema, pour le compte de Construire en Chanvre Ile-de-France. Dans cette étude, les simulations réalisées au moyen du logiciel Wufi Plus sur un bâtiment R+1 fictif de 100 m2, dont les parois sont isolées par 30 cm de béton de chanvre, ont permis de mettre en évidence que les transferts couplés de chaleur et d’humidité au sein des murs en béton de chanvre permettent de réduire de 20 kWh/m2/an le besoin en chauffage du bâtiment, lorsque celui-ci est bien isolé par ailleurs (dalle, toiture…). Les 30 cm de béton de chanvre se comportent alors “énergétiquement” comme 22 cm de laine de chanvre. Le point important à retenir de cette étude exploratoire est que les transferts hygrothermiques au sein du béton de chanvre modifient sensiblement les besoins en chauffage du bâtiment.  Lire aussi :Essai au feu concluant pour le béton de chanvre « Cependant, bien que la physique des phénomènes mis en jeu à l’échelle du béton de chanvre soit aujourd’hui bien connue et maîtrisée, il apparaît que leur traduction en termes d’économies d’énergie engendrées constitue un verrou scientifique assez difficile à lever, notamment sur la question des besoins en refroidissement qui reste en suspens au terme de cette étude », peut-on lire dans le communiqué de presse. Des travaux complémentaires au moyen du logiciel Wufi Plus et d’un autre logiciel seront menés dans les prochains mois par le Cerema pour croiser les résultats et élargir les hypothèses des cas d’études.
Il y a 3 ans et 340 jours

Edilteco France : L’entrevous Deltivoutain+CI sous Avis technique

Le Deltivoutain+CI &#8211; pour correcteur Intégré &#8211; est un entrevous permettant de limiter les ponts thermiques. [©Edilteco France] Le Deltivoutain+CI &#8211; pour correcteur intégré &#8211; est un entrevous permettant de limiter les ponts thermiques. Efficace, mais surtout très fonctionnel, il intègre dès sa fabrication un correcteur de ponts thermiques sécable (Up < 0,27 W/m².K) en sous face. Conçu en polystyrène (PSE), ce rupteur se casse facilement à la main. Une fois mis en œuvre, il réduit le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur. Ceci, dans le cas d’une isolation par l’intérieur (ITI). Sous Avis technique du CSTB Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis technique du CSTB. Celui-ci est délivré par le Groupe spécialisé n° 20 “Produits et procédés spéciaux d’isolation” et le Groupe spécialisé n° 3.1 “Planchers et accessoires de plancher”. Cet Avis technique certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier. Et garantit la durabilité, ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté, les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9eédition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Ils ont décerné à Edilteco France le label “Elu innovation par les professionnels du BTP”, dans la catégorie “Structure, Façade, Maçonnerie”.&nbsp;
Il y a 3 ans et 340 jours

Paroi Concerto Walk Verrière : un esprit atelier dans la salle de bain

Disponible en trois dimensions, la paroi se compose d’un bras de fixation modulable, d’un verre sécurité 6 mm transparent, avec profilés verrière en aluminium noir mat sur le côté extérieur. Ces profilés sont posés sur une sérigraphie noire – elle-même appliquée sur l’extérieur de la paroi. Le côté intérieur est donc esthétique mais complètement lisse pour un entretien facilité, complété par un traitement anticalcaire.La paroi Concerto Walk permet de créer une séparation originale et tendance tout en laissant circuler la lumière naturelle.La paroi se pose facilement avec un raidisseur sans vis apparente.Dimensions :L. 100 cm - prix : 305 €L. 120 cm - prix : 338 €L. 140 cm - prix : 381 €
GDA
Il y a 3 ans et 340 jours

Quadrilatère réaménage le siège du Crédit Immobilier de France

Quadrilatère dévoile aujourd’hui son travail de conception et le résultat de leurs travaux pour le siège de l’établissement bancaire français Crédit Immobilier de France, spécialiste de l’accession à la propriété des ménages modestes, installé au 26 rue de Madrid dans le 8è arrondissement de Paris.Le Crédit Immobilier de France a souhaité améliorer les conditions de travail de ses collaborateurs en leur offrant un lieu au sein duquel ils se sentent bien.Le projet de réaménagement sur 1.720m², répond à trois enjeux très actuels :Une réflexion sur la mise en place de nouveaux modes de travail plus collaboratifs et plus flexibles,Un renforcement du lien entre les collaborateurs,Une réduction et une optimisation des surfaces locatives.L’entreprise est ainsi passée d’une organisation classique extrêmement cloisonnée, dans des bureaux individuels ou partagés par 2-3 personnes, à des espaces de travail plus ouverts, complétés par des espaces collaboratifs plus nombreux : une tisanerie ouverte, des bulles de 2-3 personnes et des alcôves / espaces lounges informels à chaque étage. Les espaces autrefois assez sombres, comme la cuisine ou les salles de réunion, sont désormais plus lumineux, plus chaleureux, plus accueillants.Une « Place du Village » a été créée au 2ème étage, historiquement dédié à la direction et peu fréquenté par les collaborateurs. Désormais « désacralisé », cet espace ouvert à tous est devenu le nouveau cœur du siège.Quadrilatère a également pris en compte les inquiétudes des futurs utilisateurs, notamment acoustiques, liées au passage en open space : en remplaçant le PVC existant au sol par une moquette absorbante ; en supprimant les cloisons dotées de parements métalliques sur lesquels le son se réfléchissait ; ou encore en choisissant du mobilier en cohérence avec les usages : cloisonnettes acoustiques, de formes englobantes, revêtues de tissus absorbants pour les espaces informels situés sur les plateaux.Ces changements ont été réalisés en co-conception avec les collaborateurs du Crédit Immobilier de France, à l’occasion de trois ateliers qui leur ont permis de participer au micro-zoning du projet ; d’exprimer leurs besoins en fonction de leurs modes de travail ; de choisir l’ambiance de la “Place du Village” (gamme de couleurs, mobilier); de réfléchir sur le bien vivre ensemble et d’établir de nouvelles règles de vie. Les employés du CIF ont également pu choisir leur fauteuil de travail, puisqu’une sélection a été laissée en test chez le client pendant 1 semaine.
Il y a 3 ans et 340 jours

Recyclage, éclairage, énergie : la route se met au vert

INNOVATION. Les infrastructures routières sont au coeur des enjeux de la transition écologique. Énergies renouvelables, recharge dynamique des véhicules, recyclage, innovations durables... La route accomplit sa mue écologique et technologique.
Il y a 3 ans et 340 jours

Les permis de construire des logements en baisse de février à avril

Le nombre de permis de construire des logements a reflu&eacute; de 1,5% sur la p&eacute;riode allant de f&eacute;vrier &agrave; avril compar&eacute; aux trois mois pr&eacute;c&eacute;dents, mais les mises en chantier ont elles bondi.
Il y a 3 ans et 340 jours

Prix du mémoire de master 2021 de la Fondation Rémy Butler : les candidatures sont ouvertes

Soucieuse d&rsquo;encourager la r&eacute;flexion sur l&rsquo;architecture, la Fondation R&eacute;my Butler attribue un prix du m&eacute;moire de master en Architecture. Le d&eacute;p&ocirc;t des candidatures de la septi&egrave;me et huiti&egrave;me sessions se cl&ocirc;ture le 16 juillet 2021. La Fondation R&eacute;my Butler ayant d&ucirc; diff&eacute;rer, du fait de la crise sanitaire, la session&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 3 ans et 340 jours

Le Groupe Apave rejoint le réseau d’excellence Campus Cyber

Sans sécurité, pas de progrès durable : une conviction inscrite au cœur de la Raison d’Être du Groupe ApaveDepuis 150 ans, Apave accompagne les grandes mutations et révolutions technologiques en développant des expertises pour garantir la sécurité des hommes, des biens industriels et de l’environnement. Aujourd’hui, Apave poursuit sa mission de tiers de confiance auprès de ses clients pour s’assurer que les grandes évolutions de notre époque comme celles de la numérisation et de la digitalisation conjuguent performance et sûreté, au quotidien et dans la durée.« Dans la continuité de nos expertises en matière de maîtrise des risques techniques, humains et environnementaux, notre groupe a une ambition forte pour devenir référent dans la maîtrise des risques numériques. A l’heure où la révolution numérique transforme les modes de production et de consommation, nous devons accompagner nos clients, en tant que tiers de confiance digitale, dans leur propre transformation digitale, afin qu’ils puissent, au quotidien et dans la durée, exercer leur métier en toute sécurité. A ce titre, rejoindre le réseau d’excellence Campus Cyber nous a paru une évidence et je suis ravi que nos équipes puissent contribuer à faire émerger cette compétence plurielle française. » déclare Philippe Maillard, Directeur Général du Groupe Apave.Cette ambition forte sur les enjeux des risques numériques fait partie intégrante du nouveau plan stratégique du Groupe Apave dévoilé début 2021. Sa concrétisation avance grâce à la complémentarité des métiers historiques d’Apave (Inspection Formation, Certification et Labellisation, Conseil et Accompagnement Technique, Essais et Mesures) et des nouvelles compétences acquises à la suite d’acquisitions et de partenariats stratégiques ciblés. Les récentes acquisitions d’AxesSim et de SixFoisSept confirment cette volonté d’agir au service de la cybersécurité et de la confiance digitale.
Il y a 3 ans et 340 jours

Pau : le quartier du XIV-Juillet s’offre un nouveau visage

Une résidence senior et de nouveaux commerces revitaliseront d’ici peu le quartier du XIV-Juillet.
Il y a 3 ans et 340 jours

Travaux publics : une formation entièrement dédiée aux femmes

Au centre de formation Généa de Montoir-de-Bretagne, près de Saint-Nazaire, sept femmes viennent de débuter leur formation de maçon-VRD en alternance chez Charier. Reportage sur une promotion unique en France.
Il y a 3 ans et 340 jours

Hôtel-Dieu: la gauche parisienne et la CGT espèrent un "moratoire"

La gauche parisienne et la CGT ont appel&eacute; &agrave; un "moratoire" sur le projet de r&eacute;novation de l&#39;h&ocirc;pital H&ocirc;tel-Dieu, dont un tiers de la surface a &eacute;t&eacute; c&eacute;d&eacute; pour 80 ans &agrave; un promoteur immobilier.
Il y a 3 ans et 340 jours

La pénurie de matières premières pèse sur la filière des colles, adhésifs, mastics et mousses expansives

La profession constate toujours une hausse des prix des matières premières, qui a pour effet une augmentation très forte du coût de revient des produits des adhérents de l'AFICAM. De nombreux composants chimiques nécessaires à la fabrication des produits sont concernés :En à peine un an, les prix des liants vinyliques et acryliques ont augmenté de 15% en moyenne, se répercutant directement sur la fabrication de colles aqueuses.Dans le même temps, les colles solvantées et thermofusibles ont subi l'envolée des prix des isocyanates MDI et TDI, qui ont respectivement augmenté de 42% et 30%.Les solvants oxygénés ont quant à eux vu leur prix augmenter de 44% entre le premier trimestre 2020 et 2021.L'approvisionnement en emballages (métalliques, plastiques, cartonnés et en bois) n'est pas en reste avec une hausse moyenne de 8% sur un an.Ces hausses de prix semblent suivre une accélération semblable à celle des solvants constatée sur le premier trimestre 2021.Ces interruptions ou forts ralentissements de livraisons de matières premières perturbent et diminuent les capacités de production industrielle des adhérents de l'AFICAM et donc leurs possibilités de servir en quantité et en heure les utilisateurs et clients de la filière. Aujourd'hui, aucune visibilité claire n'est apportée à nos adhérents sur une amélioration de la situation à court terme.Depuis plusieurs mois, les industriels adhérents de l'AFICAM font tout leur possible pour tenir leurs engagements, éviter des situations de vente à perte, continuer à livrer les clients dans les meilleures conditions, cela d'autant plus que le contexte de la pandémie de Covid19 a déjà fragilisé le secteur.Selon Jérôme des Buttes, Président de l'AFICAM, « il est important que l'ensemble de la filière, de l'amont à l'aval, puisse rapidement bénéficier d'une vraie visibilité sur la résolution de cette crise. Sur le long terme, nous devons bâtir collectivement la meilleure réponse possible, industrielle ou logistique, pour organiser une meilleure indépendance pour l'accès à nos principales matières premières. Cela permettra à notre filière de continuer à être source d'innovation et créatrice d'emplois locaux.»
Il y a 3 ans et 340 jours

1300 m2 de plaquettes de parements en 3 coloris pour 23 logements sociaux à Paris

Pour occuper cette dent creuse en plein XIIe arrondissement de Paris, l&rsquo;agence Louis Paillard architectel a utilis&eacute; le vocabulaire urbain qui fait r&eacute;f&eacute;rence au parc social des ann&eacute;es 30.
Il y a 3 ans et 340 jours

Les fabricants de colles face à la pénurie

Les adhérents de l’Aficam ne perçoivent pas d’amélioration de leurs difficultés d’approvisionnements en matières premières.
Il y a 3 ans et 340 jours

L'architecture des cinq sens, un hôpital de jour pour enfants par Tolila+Gilliland

La cuisine, le centre d&#39;art et de design de la ville de N&egrave;grepelisse&nbsp;(Tarn-et-Garonne), et ConstructLab proposent un &eacute;t&eacute; de chantier, pour ramener l&#39;eau de l&#39;Aveyron au c&oelig;ur du b&acirc;timent con&ccedil;u par RCR Arquitectes. Un &eacute;t&eacute; de chantier collaboratif. C&#39;est la proposition de La&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 3 ans et 340 jours

A Strasbourg, LAN, Saint-Urbain ?

A Strasbourg (Bas-Rhin), l’agence parisienne LAN (Umberto Napolitano, Benoît Jallon) a livré en 2021 un lot monumental de huit bâtiments* devenu l’îlot Saint-Urbain. Histoire de fenêtres, histoire de couleurs… Un ensemble autonome mais ouvert sur la ville. Communiqué. Couleurs sur la ville L’îlot Saint-Urbain vient aujourd’hui achever, à Strasbourg, la ZAC Étoile. Situé entre le [&#8230;] L’article A Strasbourg, LAN, Saint-Urbain ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 341 jours

Roca acquiert le groupe allemand Sanit

ACQUISITION. Le groupe espagnol Roca a acquis Sanit, un fabricant allemand spécialisé dans les systèmes d'installation de sanitaires.
Il y a 3 ans et 341 jours

Nouvelle mise à jour du guide de l'OPPBTP en vue de la phase 3 du déconfinement

SANTÉ-SÉCURITÉ. Comme à chaque fois que les mesures sanitaires gouvernementales évoluent, l'OPPBTP actualise son guide de préconisations spécial Covid à l'approche de la 3e phase du déconfinement, prévue ce 9 juin. L'organisme revient notamment sur le télétravail, les pauses-repas, les moments de convivialité et l'aération des locaux professionnels.
Il y a 3 ans et 341 jours

Katerra, un déclin prévisible ?

START-UP. Katerra promettait de révolutionner le monde de la construction. L'entreprise américaine voit finalement ses portes se fermer. Une annonce qui n'est pas vraiment considérée comme une surprise pour certains experts que Batiacu a interrogés.
Il y a 3 ans et 341 jours

L'enquête sur Lafarge en Syrie au crible de la Cour de cassation mardi

Toujours poursuivi pour "financement du terrorisme", le groupe est soupçonné d'avoir versé près de 13 millions d'euros à des groupes jihadistes, pour maintenir son activité en Syrie jusqu'en 2014 malgré la guerre."Arrangements troubles"Le 21 juin 2016, Le Monde affirme que Lafarge a tenté, en 2013 et 2014, de faire fonctionner "coûte que coûte" son usine en Syrie, "au prix d'arrangements troubles et inavouables avec les groupes armés environnants", dont l'organisation Etat islamique (EI). Ces "arrangements" visaient à poursuivre la production jusqu'au 19 septembre 2014, date à laquelle l'EI s'est emparé du site et le cimentier a annoncé l'arrêt de toute activité.Lafarge, qui a fusionné en 2015 avec le suisse Holcim, assure que sa "priorité absolue" a "toujours été d'assurer la sécurité et la sûreté de son personnel".Située à 150 km au nord-est d'Alep, la cimenterie a été achetée par Lafarge en 2007 et mise en route en 2011.PlaintesEn septembre 2016, le ministère de l'Économie dépose plainte, déclenchant l'ouverture d'une enquête préliminaire par le parquet de Paris et la saisine du service national de douane judiciaire (SNDJ).La plainte porte sur une interdiction d'acheter du pétrole en Syrie, édictée par l'Union européenne dans le cadre d'une série de sanctions contre le régime de Bachar al-Assad.En novembre, Lafarge est visé par une autre plainte déposée par deux ONG, qui vont jusqu'à réclamer des poursuites pour "complicité de crimes contre l'humanité": l'association Sherpa et le Centre européen pour les droits constitutionnels et les droits de l'Homme (ECCHR). Une autre association, la Coordination des chrétiens d'Orient en danger (Chredo), se joindra à elles par la suite.EnquêteLe 9 juin 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui".Le SNDJ conclut pour sa part dans son rapport que Lafarge Cement Syrie (LCS), branche syrienne du groupe, a "effectué des paiements aux groupes jihadistes" pour que la cimenterie continue à fonctionner. La direction française de Lafarge a, selon lui, "validé ces remises de fonds en produisant de fausses pièces comptables".Mises en examenLe 1er décembre, deux anciens directeurs de la filiale syrienne, Bruno Pescheux et Frédéric Jolibois, et le directeur de la sûreté du groupe, Jean-Claude Veillard, sont mis en examen pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui".Quelques jours après, Bruno Lafont, ex-PDG (2007-2015), Eric Olsen, DRH à l'époque des faits, et l'ex-directeur général adjoint opérationnel Christian Herrault sont mis en examen.Au total, huit cadres et dirigeants sont mis en examen pour financement d'une entreprise terroriste et/ou mise en danger de la vie d'autrui.En outre, un des hommes soupçonnés d'avoir servi d'intermédiaire, un Syro-Canadien, a été mis en examen fin août 2019 pour "financement du terrorisme"."Complicité de crimes contre l'humanité"Le 28 juin 2018, Lafarge est mis en examen pour "complicité de crimes contre l'humanité", "financement d'une entreprise terroriste", "mise en danger de la vie" d'anciens salariés et "violation d'un embargo".Le groupe et trois dirigeants font appel et contestent les fondements de l'enquête.Le 24 octobre 2019, la cour d'appel déclare irrecevables les constitutions de partie civile de quatre associations plaignantes (Sherpa, l'ECCHR, le Chredo et Life for Paris). Les deux premières décident de se pourvoir en cassation.Le 7 novembre, la cour d'appel annule la mise en examen de Lafarge pour "complicité de crimes contre l'humanité", la plus grave, mais elle maintient les trois autres mises en examen.
Il y a 3 ans et 341 jours

Cinquième période des CEE : le décret est paru

ÉNERGIE. Le décret encadrant la cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE) vient de paraître au Journal officiel du 5 juin 2021. Retour sur ses principaux axes et réactions d'acteurs.
Il y a 3 ans et 341 jours

Le solaire s’habille de ROUGE pour préserver l’authenticité des toits régionaux !

&hellip;Cet article Le solaire s’habille de ROUGE pour préserver l’authenticité des toits régionaux ! est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 341 jours

L’OPPBTP met une nouvelle fois à jour le Guide de préconisations de sécurité sanitaire

En effet, au vu des données sanitaires, de nouvelles étapes peuvent être franchies dans la reprise des activités tout en assurant la protection des salariés. La nouvelle version du guide intègre donc, en conformité avec les recommandations du Haut Conseil de Santé Publique et de l’Etat, les modifications suivantes :Le télétravail : ce sont les entreprises qui fixent, pour toutes les activités qui le permettent, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine, dans le cadre du dialogue social de proximité. Chaque fois que nécessaire, l’ensemble des acteurs des opérations de construction doivent pouvoir se rendre sur chantier.Pauses repas : une vigilance particulière doit être respectée dans les espaces de restauration. Il est préconisé de déjeuner seul ou en groupe de maximum 6 personnes, afin de limiter le nombre de contacts et de garder une distance minimale de deux mètres entre les tables occupées, sauf si une paroi assure une séparation de l’espace.Moments de convivialité dans le cadre professionnel : les moments de convivialité se tiennent de préférence dans des espaces extérieurs et ne réunissent pas plus de 25 personnes avec respect des gestes barrière : port du masque, mesures d’aération/ventilation et règles de distanciation.L’importance de l’aération des locaux par une ventilation naturelle ou mécanique (portes et/ou fenêtres ouvertes autant que possible) est rappelée. La fiche proposée dans le guide a été mise à jour.Il est à noter qu’une nouvelle adaptation des règles sanitaires est annoncée par le gouvernement pour le 30 juin, en raison de l’amélioration de la situation épidémique attendue d’ici la fin du mois.Dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose un choix d’affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires.Le guide de préconisations sanitaires est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.Pour télécharger la 13e édition du Guide de préconisation de sécurité sanitaire, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 341 jours

Encore un été de travaux chargé sur le réseau ferré francilien

CHANTIERS. Les équipes d'Île-de-France Mobilités, de la RATP et de la SNCF seront de nouveau sur le pont durant l'été 2021 pour continuer à moderniser les infrastructures des réseaux de métro, RER, Transilien et tramway. Des travaux indispensables pour assurer le confort et la sécurité nécessaires aux 12 millions de voyageurs empruntant quotidiennement ces lignes.
Il y a 3 ans et 341 jours

Ville de demain : quelles sont les priorités des Français ?

ETUDE. Comment les Français perçoivent-ils la ville de demain ? Quelles sont leurs attentes en matière d'environnement, de sécurité et de technologie ? Réponses dans l'étude Milestone Systems et BVA à télécharger.
Il y a 3 ans et 341 jours

Grand canal, à Clamart, un nouveau quartier au milieu du gué

RENOUVELLEMENT URBAIN. Sur une ancienne friche industrielle de 5 hectares, à Clamart, au sud de Paris, Eiffage Aménagement a commencé la livraison du quartier Grand Canal, qui comprendra, à terme, près de 1.500 logements. Et requalifiera l'entrée sud de la ville.
Il y a 3 ans et 341 jours

Certivéa dévoile une radiographie inédite de la rénovation durable des bâtiments tertiaires en France

La rénovation énergétique des bâtiments existants est l'un des leviers prioritaires pour accélérer la transition écologique de notre pays et viser sa neutralité carbone à l'horizon 2050.673 bâtiments tertiaires rénovés, certifiés ou labellisés en développement durable depuis 2006En France depuis 2006, 673 bâtiments non résidentiels rénovés des secteurs public et privé, ont été certifiés ou labellisés par Certivéa pour leurs performances attestées en matière de développement durable. Localisés sur la quasi-totalité du territoire métropolitain, ces bâtiments sont concentrés sur la région Ile de France (80,5%).Ils concernent majoritairement des bureaux (86%) et des établissements d'enseignement (7%) et représentent au total une surface cumulée de 6,4 millions de m².Parmi les acteurs les plus engagés en faveur de la « rénovation durable » en France, on retiendra notamment les foncières GECINA, ALTAREA COGEDIM, BNP PARIBAS, mais aussi des acteurs publics comme l'Université de Bordeaux, la SNCF ou encore le Conseil Général des Alpes de Haute Provence.On note enfin que les acteurs qui engagent leur projet de rénovation en certification ou labellisation ont tendance à opter plutôt pour une démarche « multicritère » qui leur permet d'appréhender de front les questions d'énergie, de santé & confort des occupants, de management de projet responsable, etc.Patrick Nossent, président de Certivéa : « Le plan France Relance consacre la rénovation énergétique des bâtiments comme le chantier majeur pour un monde plus durable. Avec 4 milliards d'euros alloués à la rénovation des bâtiments publics, les décideurs territoriaux et les collectivités locales seront naturellement très attendus pour montrer l'exemple en initiant des projets de rénovation durable partout dans notre pays. La réglementation, avec le décret tertiaire, demande par ailleurs désormais à tous les acteurs du bâtiment non résidentiel, quelle que soit leur envergure, d'abaisser les consommations énergétiques de leur parc de 40% dès 2030. Si cette radiographie 2021 démontre l'engagement remarquable des foncières en particulier dans l'immobilier de bureau, elle est clairement destinée à évoluer dans les toutes prochaines années. A suivre ! »Secteur public : plus de la moitié des bâtiments certifiés en rénovation sont des établissements d'enseignementDans le détail, on compte à l'heure actuelle 75 bâtiments publics rénovés certifiés ou labellisés. Autant d'opérations « exemplaires » initiées par les acteurs publics, notamment les collectivités, pour lutter contre l'urgence climatique et offrir une qualité de vie meilleure à leurs concitoyens avec des bâtiments plus sobres en énergie, plus respectueux de l'environnement, de la santé et du confort des usagers. Plus de la moitié (53%) des bâtiments publics rénovés sont des établissements d'enseignement, et un peu plus du quart (28%) concerne des bureaux. Localisés dans 9 régions métropolitaines, ils sont concentrés entre l'Ile de France (38,7%) et la Nouvelle Aquitaine (32% ).Sur le podium des acteurs les plus investis en faveur de la rénovation durable, on retrouve l'Université de Bordeaux, la SNCF et le Conseil général des Alpes de Haute Provence.A l'instar des tendances observées sur le plan national, les acteurs publics optent majoritairement (62%) pour des démarches de certifications et labellisations globales.Le bureau, moteur de la rénovation durable dans le secteur privéAvec 596 opérations certifiées ou labellisées en rénovation depuis 2006, le secteur privé porte la très grande majorité (88,5%) des projets de rénovation durable.Le secteur de l'immobilier de bureau, qui représente à lui seul 93% des opérations est le moteur de la rénovation durable dans le privé. Le secteur de l'hôtellerie cumule 2% des opérations certifiées, le restant (5%) concerne les commerces, l'enseignement et la santé.En cohérence avec les tendances générales, ces projets sont répartis sur l'ensemble du territoire métropolitain avec une concentration en Ile de France (85% ).Sur le podium des acteurs les plus engagés en faveur de la rénovation durable dans le privé, on retrouve GECINA, ALTAREA COGEDIM et BNP PARIBAS.Pour retrouver plus de détails et notamment sur les secteurs du bureau et de l'enseignement, la radiographie Certivéa de la rénovation durable est disponible en téléchargement en cliquant ici.