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Toute l'actualité du bâtiment

255296 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 345 jours

Hydrogène : lancement d'une consultation en vue du futur réseau de transport national

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Une consultation nationale a été lancée ce 1er juin 2021 par GRTGaz et Teréga afin de définir la future logistique de transport nécessaire pour développer l'hydrogène en France. Cette énergie prometteuse est régulièrement présentée comme un des meilleurs atouts de la transition énergétique.
Il y a 3 ans et 345 jours

Toulouse : la troisième ligne de métro entre en phase opérationnelle

Tisséo a approuvé à la quasi-unanimité les études d’avant-projet de la troisième ligne du métro toulousain. Une étape cruciale qui confirme le planning de réalisation et permet de lancer la phase de rédaction des DCE.
Il y a 3 ans et 345 jours

Tryba améliore son outil de production

INVESTISSEMENT. Le spécialiste de la fenêtre, Tryba, va doter son usine de Gundershoffen, située dans le Bas-Rhin, de nouveaux équipements afin d'optimiser les process et la sécurité de son personnel.
Il y a 3 ans et 345 jours

Pénuries de matières : Bercy publie une fiche technique à l'adresse des acheteurs publics

BONNES PRATIQUES. La Direction des affaires juridiques de Bercy a sorti une fiche technique pour les acheteurs publics, alors que les pénuries de matières premières continuent de faire trembler la filière.
Il y a 3 ans et 345 jours

Les salons du BTP font rimer résilience et impatience

EVENEMENT. Après un an de tourment, les salons du BTP commencent à voir le bout du tunnel. Plusieurs manifestations sont programmées à la rentrée 2021 et les organisateurs ont hâte de retrouver visiteurs et exposants. Ils nous livrent leurs sentiments.
Cimbat
Il y a 3 ans et 345 jours

L'Association Qualitel présente le 1er État des lieux du logement des Français

Réalisée sur un échantillon de 1.000 logements, associant mesures et observations, cette étude permet de comprendre comment l'habitat a évolué au fil du temps et à quoi il ressemble aujourd'hui. Verdict : « Bien, voire très bien sur certains points, mais peut encore mieux faire sur d'autres... ». Focus sur quelques enseignements de ce nouveau Rendez-Vous QUALITEL du Logement*.D'avant-guerre à nos jours : comment les logements français ont-ils évolué au cours du dernier siècle ?Au fil des dernières décennies, les logements français ont évolué, notamment en termes de configurations et d'aménagement. Ainsi par exemple :Un extérieur... absolument, y compris dans l'immobilier collectif : plus d'1 appartement sur 2 (54%) est aujourd'hui équipé d'un balcon et / ou d'une terrasse. En moins d'un siècle, la proportion des appartements avec extérieur a ainsi été multipliée par 3 ! Et l'accès à l'extérieur se joue aussi... par la fenêtre : en maison par exemple, la surface vitrée a gagné 2,1m² depuis l'avant-guerre, atteignant, depuis 2009, une moyenne de 6,2m² (4,9m² dans les appartements de moins de 10 ans, soit 1,7m² de plus qu'avant-guerre).Toujours moins de rangements : de la cave au grenier, en passant par le placard intégré, les espaces facilitant stockage et rangements disparaissent progressivement. En un siècle, la part des logements possédant une cave a ainsi été divisée par 12 et celle des logements possédant un grenier, par 3,5. Une perte d'espace non compensée par les placards intégrés : seuls 49% des logements récents sont équipés de 2 placards intégrés ou plus (41 % en appartement et 60 % en maison).Moins d'appartements traversants : 50 % des appartements de plus de 10 ans sont traversants, contre 32 % des plus récents. D'une conception plus contraignante, ils sont souvent moins économiques pour le projet et donc moins privilégiés.Côté salle de bain :Douche ou baignoire, la maison n'a pas choisi : 1/4 des maisons possède au moins une douche ET une baignoire, contre 6 % seulement des appartements. Globalement, le duel est néanmoins remporté par la douche, qui équipe aujourd'hui 61% des logements. Plus gourmande en eau et en surface, la baignoire, présente dans 56% des logements, perd quant à elle du terrain depuis une dizaine d'années.Manque de fenêtre... et d'eau chaude : 37% des salles de bain ne possèdent pas de fenêtre. C'est, logiquement, d'autant plus vrai dans les appartements : seuls 38% possèdent une fenêtre dans la pièce humide v/s 81% pour les maisons. Côté eau chaude, la salle de bain peut également encore mieux faire : pour 41% des logements, l'eau chaude à température idéale de 38° met plus de 30 secondes à arriver dans la salle de bain principale, soit un gaspillage annuel moyen de 7 665 litres d'eau.Isolation & chauffage : la transition écologique est-elle en marche ?Le logement s'adapte progressivement au grand défi du siècle : le réchauffement climatique. Sous l'impulsion des réglementations successives, l'isolation thermique s'est généralisée, les EnR commencent à se développer... Ces évolutions devraient s'intensifier et s'accélérer avec la RE 2020. Dans le détail :En maisons, énergies fossiles en voie de disparition, énergies renouvelables en amorce : le nombre de logements chauffés au gaz a été divisé par 2 et le fioul a été banni des constructions récentes. A l'inverse, les pompes à chaleur et l'électricité se sont démocratisées.Les EnR tendent à se développer : elles représentent aujourd'hui 8 % des modes de chauffage dans l'individuel, 10% des maisons sont équipées de chauffe-eau thermodynamique ou solaire , 25% des plus récentes sont nativement équipées en énergies renouvelables v/s 7% des plus de 10 ans, etc.A partir de 1980, l'isolation devient le standard et tend vers la systématisation : 100% des logements construits après 2009 sont isolés thermiquement. Contribuant également à une isolation performante, le double-vitrage est aussi devenu la norme : 91 % des logements construits avant 1979 en sont équipés ... alors même qu'il ne s'est popularisé qu'à la fin des années 1970. Aujourd'hui, 94 % des logements sont équipés en double ou triple vitrage.Des volets à toutes les fenêtres ... ou presque : 8 logements sur 10 sont entièrement équipés d'occultations, dont 54 % par des volets roulants.Des progrès restent à faire : par où commencer, sur quoi insister ?Dans certains domaines, le logement peut encore mieux faire. L'Association QUALITEL engage ainsi les acteurs du secteur à poursuivre leurs efforts sur différents points d'amélioration, parmi lesquels :L'humidité et les moisissures associées : certes moins nombreuses avec la ventilation devenue la norme dans les pièces humides, les moisissures jouent toujours les troubles fêtes : près d'1 logement sur 5 présente des moisissures visibles à l'œil nu, dans les salles de bain, mais aussi dans les chambres. Dans ces dernières, le taux d'humidité est particulièrement élevé : 3 logements sur 10 présentent un taux d'humidité supérieur à 60% dans les chambres (v/s 55% recommandé par les médecins).La sécurité contre les vols et intrusions : la porte reste la faille des logements français en matière de sécurité. Dans 4 logements sur 10, cette porte présente moins de 3 « vrais » points de fermeture, minimum requis par les assurances. Et quand la porte est infranchissable, le cambrioleur passe par la fenêtre . Or, en rez-de-chaussée, seulement 1/3 des logements ont des fenêtres équipées de barreaux ou d'occultation.L'adaptation des immeubles aux personnes âgées et handicapées, qui progresse encore trop lentement : 2 bâtiments résidentiels collectifs sur 3 ne disposent pas d'ascenseur. Et quand il y en a un, 1 habitant sur 5 doit franchir des marches avant de l'atteindre. Des contraintes problématiques au quotidien, pour tous ceux qui souffrent de perte d'autonomie. 60% des Français se disent d'ailleurs insatisfaits de l'adaptation de leur logement aux personnes handicapées.L’État des Lieux du logement des Français en chiffres :1000 logements représentatifs du parc français étudiés100 indicateurs (température, taille des fenêtres, ventilation, chauffage, isolation, etc.)75 enquêteurs mobilisésEnquête réalisée par IPSOS pour l'Association QUALITEL, du 23 mai au 26 juillet 2019Disponible en téléchargement à cette adresse.
Il y a 3 ans et 345 jours

Loi 4D : la différenciation, un régime qui laisse les maires de France sur leur faim

Une décomplexification qualifiée de fourre-tout, un manque d’ambition dans la décentralisation comme dans la déconcentration, et surtout une différenciation sans définition : la déception domine, dans les commentaires des maires de France sur le projet de loi 4 D. Avec l’audition de leur association, le Sénat a ouvert le 2 juin les débats sur le texte défendu par Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires.
Il y a 3 ans et 345 jours

Commission Rebsamen pour le logement : les architectes en colère de ne pas être présents

INDIGNATION. Les membres de la commission Rebsamen viennent d'être dévoilés, et parmi les 32 personnes désignées, aucun architecte, regrettent le conseil national de l'ordre des architectes (Cnoa) et l'union nationale des syndicats français d'architectes (Unsfa).
Il y a 3 ans et 345 jours

Le budget rectifié comporte encore beaucoup d'incertitudes prévient le Haut conseil des finances publiques

Ce projet de budget, que le gouvernement doit adopter mercredi en conseil des ministres, inclut près de 20 milliards d'euros de nouvelles dépenses, dont 15,5 milliards pour renflouer les soutiens d'urgence aux ménages et aux entreprises pour faire face à la crise.Le gouvernement y maintient sa prévision de croissance de 5% pour cette année, tandis qu'il a aggravé sa prévision de déficit public (+9,4%, contre 8,5% en loi de finance initiale) et révisé à la baisse sa prévision de dette à 117,2% (contre 122%).Pour le HCFP, la prévision de croissance est "réaliste". Bien que la forte hausse du moral des ménages et du climat des affaires en mai puisse "présager une résorption des pertes d'activité un peu plus rapide, conduisant à une croissance un peu plus élevée" en 2021, "la situation économique est néanmoins entourée d'incertitudes importantes", souligne-t-il.Parmi ces aléas, il cite le risque de rebond de l'épidémie, l'évolution de l'investissement des entreprises, de la consommation des ménages, la situation financière des entreprises, ou encore l'environnement international.Le HCFP juge par ailleurs "prudentes" les prévisions d'évolution de l'emploi cette année. Le gouvernement attend une croissance de +0,1% de l'emploi salarié, alors que l'acquis de croissance après le premier trimestre est à +0,9%.Sur le plan des finances publiques, le Haut conseil estime que les recettes pourraient s'avérer "un peu supérieures" à ce que prévoit le gouvernement si le PIB et la masse salariale sont finalement plus élevés que ses prévisions prudentes.Côté dépenses, le HCFP souligne la grande incertitude qui entoure les anticipations du gouvernement. Le niveau final des dépenses "dépendra du rythme d'extinction progressive des mesures de soutien voire de l'adoption de nouveaux dispositifs en cas de reprise de l'épidémie au second semestre".Enfin, face au creusement attendu du déficit et au haut niveau de dette prévu, le HCFP appelle à la "plus grande vigilance", faisant de la résorption du déficit et de la soutenabilité des finances publiques "des enjeux centraux de la stratégie financière de la France".
Il y a 3 ans et 345 jours

Pau : la Maison des communes gagnera en surface d’ici l’été 2022

La Maison des communes, à Pau, connaît une troisième extension.
Il y a 3 ans et 345 jours

Toulon : de nouvelles places de parking s’ajoutent aux installations de l’écoquartier Brunet

L’écoquartier Brunet, à Toulon, dispose de nouvelles places de parking destinées aux habitants.
Il y a 3 ans et 345 jours

Durant un an de crise, le BTP s'est plutôt bien adapté aux mesures sanitaires

ÉCONOMIE. Sans surprise, le premier confinement sanitaire du printemps 2020 a entraîné les impacts les plus importants sur l'activité et la santé financière des entreprises du BTP, d'après un baromètre conjoncturel du groupe EBP. Les deuxième et troisième confinements ont pour leur part limité la casse.
Il y a 3 ans et 345 jours

Élargissement de l’A57 à Toulon : près de 130 microchantiers de déviation de réseaux prévus

La réalisation des travaux d’élargissement de l’autoroute A57 à Toulon nécessite plus d’une centaine de chantiers de repositionnement des réseaux.
Il y a 3 ans et 345 jours

Lesches : intervention sur le clocher de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption

Le Département de Seine-et-Marne offre une subvention de plus de 19 k€ pour la restauration du clocher de la chapelle Sixtine de Lesches.
Il y a 3 ans et 345 jours

Tous à Équipbaie-Métalexpo 2021, "Le rendez-vous incontournable de toute une filière"

Les installateurs, poseurs, artisans de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie pourront ainsi découvrir toute l’offre de produits et les innovations du secteur regroupés sous la thématique phare d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 : « L’avenir des métiers et le digital ».De bonnes nouvelles pour se retrouver tous à ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 !Les nouvelles mesures gouvernementales autorisent désormais la reprise des salons à partir du 9 juin. Les conditions de réouverture précisent la mise en place d’un passeport sanitaire et d’une jauge des visiteurs au moins jusqu’au 30 juin.Pour sa part, Reed Expositions France, qui a élaboré, dès 2020, une charte sanitaire - certifiée APAVE - afin d’assurer la sécurité des exposants et des visiteurs, a communiqué un certain nombre de consignes aux exposants concernant les périodes de montage/démontage et les quatre jours du salon, et met en place avec les Pouvoirs Publics les mesures qui s’imposent. Ainsi, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 pourra se tenir dans les meilleures conditions !« Toutes les conditions sont réunies pour faire de cette édition 2021 d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO une véritable réussite. Évidemment les annonces gouvernementales nous ont confortés dans notre choix de nouvelles dates de la tenue du salon. Mais surtout nous sommes très heureux de la mobilisation des exposants et des grands leaders qui nous font confiance. Ils sont aujourd’hui 170 à s’être inscrits pour accueillir les visiteurs dès le 21 septembre à Porte de Versailles pour cet événement tant attendu par toute la profession. » – Guillaume Loizeaud, Directeur d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.Un objectif prioritaire : répondre aux besoins des installateurs !ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 est placé sous la thématique de « L’avenir des métiers et le digital » afin de répondre aux grands enjeux du secteur et d’apporter toutes les informations et l’accompagnement nécessaires aux acteurs de la filière. Les visiteurs auront l’occasion de vivre une expérience unique et inédite avec notamment :Les installateurs et leurs équipes trouveront sur les stands des démonstrations pratiques ou des sessions de formation. Les exposants FENETREA, FORSTER SYSTEMES DE PROFILES, GYPASS, K-LINE et SAS DESCOMBES PRECIMECA ont déjà prévu d’y participer. *Digitalisation, domotique, e-learning, aide aux devis, configurateur, produits connectés : les menuisiers et les metteurs en œuvre pourront dialoguer avec un expert de la marque présent toute la semaine sur les stands de : CADIOU INDUSTRIE, CHAMBERLAIN GmbH, FENETREA, FORSTER SYSTEMES DE PROFILES, KLAES GmbH & Co. KG, K-LINE, SAS ORIAL. ** Liste à retrouver sur le site du salon au fur et à mesure de sa mise à jour.Le pôle des experts d’ÉQUIPBAIE, par et pour les professionnelsCe pôle, animé par le Pôle Fenêtre (Groupement ACTIBAIE - SNFA - UFME – UMB - Union des métalliers), proposera d’aborder différents sujets au coeur des enjeux de la filière : la réglementation et les normes, les démarches qualité, le développement durable, la formation ainsi que les métiers et la promotion de la filière.« Cette prochaine édition d’ÉQUIPBAIE, en plus d’être le salon de la menuiserie française, est cette année le top départ du retour à une vie normale. Bien évidemment, nous respecterons tous les gestes barrières mais, surtout, nous allons pouvoir nous revoir, échanger, dialoguer sans écran. Notre filière est mobilisée plus que jamais pour qu’ÉQUIPBAIE continue à être notre salon, un espace d’information, de découverte produits. L’UFME ne manquera pas ce rendez-vous. Nous comptons sur les professionnels de la fenêtre pour en faire de même et nous retrouver très nombreux dès le 21 septembre. » - Bruno Cadudal, Président de l’UFME.« Retrouvons-nous tous à ÉQUIPBAIE, le premier salon en Europe depuis 2 ans ! Toutes les belles entreprises de nos métiers vous donnent rendez-vous pour vous présenter leurs innovations et retrouver la convivialité qui caractérise notre profession. Des contacts qui seront à n’en pas douter inoubliables après cette période si particulière. » - Bruno Léger, Président du SNFA« Enfin, après 2 ans et demi d’attente depuis la dernière édition du fait de la situation sanitaire en France et dans le monde, l’édition 2021 d’ÉQUIPBAIE aura bien lieu ! Entrepreneurs de travaux menuisiers, fabricants de fenêtres bois, vos fournisseurs de qualité de menuiseries et de composants, tant pour la fabrication que pour le chantier, seront présents. Ce rendez-vous de la filière nous a manqué cruellement aussi venez nombreux partager ces moments de convivialité et de découverte des produits avec nous. Retrouvez l’Union des Métiers du Bois sur le stand du Pôle Fenêtre FFB, partenaire du salon. » - Christophe Bieber, représentant de l’Union des Métiers du Bois de la FFB.« ActiDAY » : la journée du Groupement Actibaie, un événement dans l’événementLe 21 septembre, le Groupement Actibaie organise son assemblée générale sur le salon ÉQUIPBAIE. Elle sera suivie d’une journée de conférences qui se tiendront sur l’Arena Innovation :11h15 – 12h30 : Plénière « L’humanité à l’épreuve du coronavirus : quelles suites ? », par Pascal Picq12h30 – 14h15 : Cocktail déjeunatoire14h15 – 14h45 : Économie « La conjoncture du bâtiment : état des lieux et perspectives »15h00 – 15h45 : Technique « RE 2020 : défi et opportunités »16h00 – 16h45 : Environnement « La RSE pour les entreprises de bâtiment »17h00 – 17h45 : Technique/Règlementation « Responsabilité Élargie des Producteurs (REP) pour les produits de construction »« Toute l’équipe du Groupement Actibaie se réjouit de retrouver dans les meilleures conditions ses adhérents et les visiteurs du salon ÉQUIPBAIE. Nous préparons une journée spéciale pour vous accueillir comme il se doit. Nous vous y attendons nombreux. » - Yannick Michon, Président du Groupement Actibaie.Les trophées : la vitrine des innovations du secteurPour l’édition 2021, le concours des TROPHÉES d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO déploie des moyens importants, en digital et en physique, pour valoriser les innovations et garantir à toutes les solutions candidates une plus grande visibilité. Ainsi, plusieurs temps forts mettront à l’honneur les participants aux TROPHÉES et leurs innovations tout au long des 4 jours du salon :Les parcours de l’Innovation : ce parcours conduira le visiteur à la découverte des participants directement sur leurs stands, avec un document de visite et une signalétique spécifique pour localiser tous les participants aux TROPHÉES 2021.L’Arena Innovation : des écrans digitaux présenteront toutes les innovations candidates aux TROPHÉES, et les visiteurs seront invités à voter pour leur innovation préférée.Les sessions de pitchs Innovation : les visiteurs pourront assister à des sessions de pitchs présentant les innovations en fonction de leurs sujets d’intérêt, puis rencontrer et échanger avec les intervenantsLa remise des TROPHÉES et des Coups de coeur de la Presse Pro : l’un des temps forts du salon, cette cérémonie officielle aura lieu le mercredi 22 septembre sur l’Arena Innovation.Tous les métalliers ont rendez-vous a MÉTALEXPO !Pour cette édition 2021, MÉTALEXPO mettra l’accent sur la formation et la promotion des métiers de la métallerie notamment auprès des jeunes publics, avec une mise à l’honneur de la compétition WorldSkills et du concours Métal Jeunes Les visiteurs découvriront toute la diversité et la richesse de ces métiers à travers des rencontres, des démonstrations et des conférences qui prouveront tout le dynamisme et la convivialité de cette filière.« Enfin, tous les voyants sont au vert pour nous retrouver sereinement sur le salon MÉTALEXPO. Je sais l’impatience des métalliers de se retrouver. Nous les accueillerons avec grand plaisir ! » - Franck Perraud, Président de l’Union des métalliers.L’Espace Atelier de MÉTALEXPO présentera durant les 4 jours du salon le parcours des différentes étapes de fabrication d’un ouvrage de métallerie. À date, ce parcours accueille déjà ARCELOR, CANAMETAL, FICEP et TRIMBLE.Concours Métal JeunesL’édition 2021 du Concours Métal Jeunes a pour thème les « Monuments détournés ». Organisé au niveau national, le concours s’adresse aux jeunes formés aux métiers du métal dans le Bâtiment (métalliers, métalu-verriers, métalliers ROCSM…) dans les classes de niveau V (CAP) et IV (BP, Bac Pro).Les œuvres réalisées seront évaluées par un jury d’experts en fonction de leur qualité technique, de leur esthétisme et de la qualité de leurs finitions. Les œuvres primées seront exposées sur le stand de l’Union des métalliers. Les visiteurs seront invités à choisir leur œuvre préférée dans le cadre d’un vote du public dont le résultat sera dévoilé le jeudi 23 septembre.WorldSkills FranceL’Union des métalliers a signé le 3 février 2021 une convention de mécénat avec WorldSkills France. Cette convention prévoit la création d’un Club de la Métallerie constitué d’entreprises de métallerie, de fournisseurs et de partenaires. Il a pour objectif de soutenir les métiers de la métallerie et les candidats engagés dans la compétition.Ce Club s’accompagne d’une plateforme de collecte de fonds pour financer la préparation des candidats et leur fournir les meilleures conditions d’entraînement mais aussi pour mener des actions de promotion des métiers de la métallerie, notamment à destination des jeunes.Ce partenariat se prolonge sur le salon MÉTALEXPO. En effet, l’Union des métalliers accueillera pour la 1ère fois sur son stand un espace dédié aux WorldSkills, avec la présence de Francis Perrot-Minot, Médaille d’excellence des WorldSkills de Kazan 2019, et de l'équipe du centre d'excellence en métallerie.Par ailleurs, l’Union des métalliers organisera des conférences sur son stand :Mercredi 22 septembre 2021 : 15h-15h45 : Accessibilité / B.Métal formation.Jeudi 23 septembre 2021 : 10h-10h45 : Traitement de surface : résultats campagne d’essai.15h-15h45 : Les 100 réponses aux 100 questions les plus fréquentes des métalliers.Une campagne dynamique et originale coconstruite avec les acteurs de la filièreÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 lance une campagne de promotion dynamique et sympathique coconstruite avec les syndicats, les leaders et les médias pour donner envie aux menuisiers de venir visiter et participer à l’événement :Une campagne de témoignages – Des messages illustrés, à rédiger ou à choisir, mis en page par Reed Exposition et à poster sur ses réseaux sociaux.Une campagne de notoriété – Des posts prêts à être partager (« Business et convivialité en tout sécurité », « Enfin, nous pouvons nous retrouver », « On vous attend nombreux », « Vous nous avez manqué ! »…).Une campagne d’engagement – Un concours dont l’objectif est de sensibiliser et d’engager les exposants à multiplier des actions de promotion pour recruter des visiteurs.Une campagne de publicité 360° via les partenaires presse (campagne emailing sur les abonnés, campagne digitale - réseaux sociaux et display, campagne de publicité print).Des actions avec les syndicats partenaires (webinars avec les chefs de réseaux et leurs adhérents, présence dans les newsletters, signature de mails…).ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 3 ans et 345 jours

Ginger acquiert le bureau d’études Conseils et Environnement

L'acquisition de Conseils et Environnement, acteur de la gestion des Sites et Sols potentiellement Pollués (SSP), permet à Ginger de renforcer sa division environnement.
Il y a 3 ans et 345 jours

Les Compagnons Bâtisseurs : une aide aux familles à faibles revenus dans le Béarn

L’association des Compagnons Bâtisseurs propose une aide pour la réhabilitation de leur logement à des familles béarnaises aux revenus modestes.
GDA
Il y a 3 ans et 345 jours

L'hôpital se recompose sur lui-même

Alors que se dessinent les contours du plan de relance du système de santé, les hôpitaux déploient des opérations souvent lourdes de restructuration et d'agrandissement. Exemples en Île-de-France.
Il y a 3 ans et 345 jours

"On voit déjà les premiers refus de prêt pour des logements F et G" (Torrollion, Fnaim)

INTERDICTION DE LOUER. Auditionné par les députés, le président de la Fnaim a exprimé sa crainte d'un "désinvestissement locatif" sur les logements étiquetés E, F et G, qui doivent faire l'objet d'une interdiction de louer dans les prochaines années. Un phénomène qui sera plus large et s'étendra aux propriétaires bailleurs.
Il y a 3 ans et 345 jours

Semaine du logement des jeunes : un engagement renforcé de l'Etat est nécessaire

Les adhérents de l’Unafo gèrent près de 50.000 logements dédiés aux jeunes, en FJT, résidences sociales jeunes actifs ou résidences étudiants conventionnées, sans oublier les logements en résidences sociales puisqu’un tiers des entrants en résidences sociales a moins de 30 ans (chiffres de l’Unafo sur les entrants dans le logement accompagné en 2019).Si la crise sanitaire a peu touché les jeunes, la crise sociale et économique, en revanche, les concerne pleinement, avec des impacts sur leur situation financière en raison des difficultés d’accès à l’emploi, dues à la fragilisation de certains secteurs économiques, mais aussi sur leur santé mentale. Face à cette situation, l’ouverture du RSA aux moins de 25 ans n’a pas été retenue par le gouvernement, qui a renforcé la garantie jeunes. Les réformes des APL, dont celle de la contemporanéité du mode de calcul, ont des effets directs sur les jeunes et fragilisent leur équilibre financier parfois déjà difficile. Alors que le plan « 60.000 logements jeunes + 20.000 logements jeunes actifs » ne sera pas réalisé au terme du quinquennat, la question du logement des jeunes, véritable clé de l’insertion, mérite un engagement plus fort de l’Etat et de l’ensemble des acteurs. Produire davantage de logements en général et de logement accompagné en particulierL’offre de logements abordables reste insuffisante notamment pour les petites typologies, ce qui impacte plus particulièrement les jeunes.Le logement accompagné constitue une réponse adaptée aux besoins des jeunes, célibataires ou familles monoparentales, en termes de typologie, mais aussi de coûts ou encore de temporalité liée à une formation ou un emploi. Outre le logement jeunes (FJT, résidences sociales jeunes actifs ou résidences étudiants conventionnées), les résidences sociales accueillent de plus en plus de jeunes, qui ne peuvent trouver un logement social ou dans le privé.De trop nombreux territoires disposent d’une offre en FJT ou résidences jeunes insuffisante, qu’il convient de développer.Assurer un « filet de sécurité » pour tous les jeunesL’absence de « filet de sécurité » pour le bailleur, en cas de perte d’emploi ou de rupture, constitue l’un des freins majeurs que rencontrent les jeunes pour accéder à un logement. Les solutions diverses, contrat jeunes majeurs, garantie jeunes… sont souvent trop courtes et trop aléatoires pour que les bailleurs ou gestionnaires prennent des risques même en tenant compte des garanties, y compris dans des résidences sociales ou FJT.Assurer la continuité des parcours résidentiels des jeunes même s’ils connaissent des difficultés d’insertion par l’emploi ou la formation doit constituer une préoccupation des politiques publiques. Accompagner tous les jeunes vers le logement à moyen terme La politique du logement des jeunes semble trop segmentée et se traduit par des trappes et des discontinuités dans l’accompagnement au parcours des jeunes. Un pilote unique doit être désigné pour œuvrer en coordination avec les territoires et l’ensemble des acteurs.
Il y a 3 ans et 345 jours

Nouvelle gouvernance familiale en vue pour le groupe Cougnaud

Le leader français de la construction et de la location modulaire hors site va mettre en place une nouvelle gouvernance familiale et lance le recrutement d’un futur directeur général opérationnel.
Il y a 3 ans et 345 jours

Pour un éclairage des sites industriels et logistiques toujours plus efficace et encore plus économe en énergie : Sylvania lance GRANIT et SYLBAY

Soutenu par la crise sanitaire, le secteur du e-commerce est monté en puissance en France. Cet essor de la vente en ligne impacte directement les plateformes logistiques et les entrepôts dont la taille et l’importance ne cessent de croître pour  répondre à la demande. L’éclairage de ces environnements de travail hauts de plafonds, avec de grandes surfaces au sol et peu de fenêtres ne doit pour autant pas être négligé. Même dans un cadre industriel, la norme NF EN 12464-1 impose un niveau minimum d’UGR* selon les espaces (magasins, entrepôts, zones de stockage…) afin de favoriser le confort visuel des personnes qui travaillent à l’intérieur de ces bâtiments. Disposant déjà d’une large gamme de solutions d’éclairage adaptées aux secteurs logistique et industriel, Sylvania enrichit aujourd’hui son offre avec GRANIT et SYLBAY, deux nouveaux luminaires haute performance qui répondent parfaitement à ces obligations normatives.   SYLBAY, l’armature industrielle LED robuste et performante Fabriquée en Grande-Bretagne dans l’usine de Newhaven de Sylvania, la nouvelle gamme SYLBAY repousse les limites de la fonctionnalité et de la performance. Pour répondre aux exigences d’éclairage des applications industrielles et logistiques où les hauteurs sous plafond sont importantes, cette armature industrielle intègre 2 à 3 modules LED en version simple et 4 à 6 en version double. Grâce à ses optiques de grande qualité, elle offre un confort visuel optimal (jusqu’à UGR
Il y a 3 ans et 345 jours

MaPrimeRénov' pourrait consommer ses 2,5 milliards d'euros de budget dès 2021

SUCCÈS. Le dynamisme de MaPrimeRénov' est tel, en 2021, que les 2,5 milliards d'euros prévus dans le plan de relance pour 2021-2022 pourraient être consommés d'ici à décembre. C'est la ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, qui l'a assuré le 1er juin sur BFM business.
Il y a 3 ans et 345 jours

Arcueil : Eiffage Construction a livré le projet Green Oak

L’immeuble Green Oak, à Arcueil, vient d’être livré par Eiffage Construction.
Il y a 3 ans et 345 jours

La gauche parisienne et la CGT espèrent un "moratoire" sur la rénovation de l'Hôtel-Dieu

"On veut un moratoire" afin de prendre en compte "tous les besoins hospitaliers" de la capitale, a déclaré Nicolas Bonnet-Ouladj, président du groupe communiste à la mairie de Paris, lors d'un point de presse devant l'Hôtel-Dieu, situé dans le 4e arrondissement.L'élu a d'ailleurs déposé un voeu sur ce projet, qui doit être débattu en fin de semaine au Conseil de Paris.Un tiers de l'Hôtel-Dieu (soit 20.000 mètres carrés) a été cédé fin 2019 au groupe Novaxia, via un bail de 80 ans d'une valeur totale de 241 millions d'euros.Le promoteur prévoit d'y installer, d'ici 2025, un "incubateur de biotechnologies", des logements étudiants, mais aussi des commerces et un restaurant gastronomique, entre autres."C'est un choix politique", a dénoncé Christophe Prudhomme, urgentiste et porte-parole du syndicat Amuf-CGT."On invite Anne Hidalgo et les élus parisiens à ne pas voter le plan local d'urbanisme et à discuter du projet", a ajouté celui qui est également candidat LFI aux élections régionales (tête de liste en Seine-Saint-Denis).Les opposants au projet réclament notamment la mise aux normes de certaines salles disponibles pour ouvrir "100 lits supplémentaires" et "développer de nouvelles activités médicales", en particulier en psychiatrie.
Il y a 3 ans et 345 jours

Un éco-organisme pour recycler les déchets inertes

Un éco-organisme pour le développement de la filière de recyclage des matériaux de construction a été créé par les syndicats et les fédérations des industriels de la construction. [©ACPresse] Dans le cadre de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (Agec), le régime de la responsabilité élargie du producteur (Rep) sera étendu aux produits et aux matériaux de construction du secteur du bâtiment à compter du 1er janvier 2022. Pour y répondre, les entreprises membres des divers syndicats et fédérations professionnelles du bâtiment se sont coordonnés. Ceci, afin d’étudier la création d’un éco-organisme pour les produits de construction minéraux générant des déchets inertes. Les industries représentées sont celles de la pierre de construction, du béton, prêt à l’emploi ou préfabriqué, du granulat et du ciment, ainsi que des enrobés. C’est-à-dire la Fib, Routes de France, le Sfic, le SNBPE, le SNRoc, l’Unicem et l’UNPG. 33 Mt de déchets inertes Plus de 20 entreprises adhérentes de ces syndicats mènent des actions pour créer cet éco-organisme. Ce dernier sera chargé de financer le traitement des déchets inertes issus des produits minéraux de la construction et de la déconstruction. Et d’améliorer les performances de la filière de recyclage. Son actionnariat sera ouvert à l’ensemble des entreprises de la filière minérale. Dans une perspective d’optimisation continue de l’économie circulaire, des entreprises d’autres secteurs pourront aussi rejoindre cette démarche. Les déchets inertes issus des produits minéraux de la construction du secteur du bâtiment représentent chaque année 33 Mt. Avec un taux de performance de 76 %, cette filière de valorisation est la plus performante après celle des métaux. Lire aussi :Recyclage, la réponse des industriels Le futur éco-organisme aura pour ambition de porter ce taux de performance à 90 % d’ici 2028. Pour y parvenir, il s’appuiera sur le maillage du réseau existant de 1 500 sites (déchetteries privées, plates-formes de tri ou de recyclage) implantés sur l’ensemble du territoire. Auxquels s’ajoutent 500 usines d’enrobés qui recyclent des matériaux récupérés sur les chantiers routiers ou de VRD (voiries et réseaux divers). Un éco-organisme en cours de définition Ce réseau privé dédié aux déchets inertes des professionnels du bâtiment est complété par un réseau de 4 000 déchetteries publiques, qui réceptionnent les déchets inertes des particuliers. Pour l’éco-organisme, il s’agira aussi de soutenir financièrement plusieurs acteurs. En premier lieu les maîtres d’ouvrage exemplaires, dont le tri des déchets inertes sur leurs chantiers répond aux standards de collecte séparée, permettant leur réemploi ou recyclage. Mais aussi les collectivités territoriales en leur offrant une reprise sans frais des déchets inertes provenant des particuliers, sur les points d’apport volontaire qu’elles exploitent. Ainsi que la mise en place d’un système de traçabilité permettant de soutenir la lutte contre les dépôts sauvages. Et de distinguer les matériaux destinés au secteur du bâtiment (soumis à la Rep) des matériaux destinés au secteur des travaux publics (non soumis à la Rep). Les modalités d’organisation et de fonctionnement de l’éco-organisme sont, en lien avec les pouvoirs publics, en cours de définition et seront précisées au début du mois de juillet.
Il y a 3 ans et 345 jours

Nouvelle résidence étudiante pour l’ESTP Paris

D’une surface totale de 2 071 m², 87 logements aménagés accueillent désormais les étudiants dans des locaux modernes et fonctionnels. [©Spie Batignolles] Après 22 mois de travaux, l’ESTP Paris vient d’inaugurer sur le campus de Cachan (94) sa nouvelle résidence étudiante baptisée Eyrolles, en référence au fondateur de l’école. Ce lieu de vie, de rencontres et d’échange, a été conçu par les architectes Patrick Nahon et Francis Phocas. Il a été construit par l’Entreprise Boyer (groupe Spie Batignolles). D’une surface totale de 2 071 m2, le bâtiment s’organise autour de 87 logements aménagés, qui accueillent désormais les étudiants dans des locaux modernes et fonctionnels. Sur le thème de la convivialité Dans cette résidence, tout a été pensé pour favoriser la convivialité. Les logements individuels côtoient, en extérieur comme en intérieur, des lieux de vie communs ouverts. Le tout étant desservi à chaque étage par une rue intérieure totalisant près de 700 m². Sur 3 niveaux, le bâtiment offre différentes surfaces de terrasses partagées. Ces dernières sont équipées de mobilier d’extérieur, qui viennent agrémenter la façade, pour une surface totale de plus de 700 m². Un espace de travail en commun de 85 m² est aussi disponible pour les étudiants. Tout comme une quarantaine de places de stationnement souterraines, en complément des 28 places de parking extérieures. Ouvert sur un environnement verdoyant, le bâtiment Eyrolles donne directement sur un parc arboré : le parc Raspail.  Lire aussi :ESTP – Bâtiment Louis Vicat : Sous un ruban continu en Bfup Une résidence, vitrine pour l’ESTP Paris De plus, il répond à un enjeu architectural et technique fort pour l’ESTP Paris, école de référence dans le domaine de la construction. On y retrouve une stratification des façades, un rythme entrecroisé de verticales et d’horizontales. Mais aussi une grande verrière lumineuse, un jeu de perspectives et le recours à des matériaux nobles et pérennes. On notera aussi les rappels des couleurs du logo ESTP (bleu et orange) dans les matériaux et les choix décoratifs en façade. Il y a aussi une alternance de carreaux de céramique, de modénatures en béton blanc, de bardages en brique de terre cuite et en zinc. Egalement unemarquise en verre, unauvent en béton blanc coulé en place avec un procédé de minéralisation colorée en sous-face… Le tout avec un traitement en béton apparent.  Toutes ces techniques illustrent ainsi le savoir-faire et l’expertise auxquels l’ESTP Paris entend former ses élèves. Pour répondre aux exigences du cahier des charges, l’Entreprise Boyer a foré des pieux de 16 m sous les planchers du sous-sol, a coulé des longrines et construit une dalle portée. Les voiles intérieurs ont été coulés en place, certaines poutres et certains poteaux sont inclinés au droit de l’auvent.
Il y a 3 ans et 345 jours

Le gagnant de l’Innov Day TP est…

Les lauréats et le gagnant du concours Innov Day TP (2e en partant de la droite). [©Rodolphe Saveureux] Après une première édition en 2017, Innov Day TP, concours de l’innovation dans les travaux publics, est revenu en 2021 en version 100 % digitale. Ce concours est organisé par le cluster Indura, la FRTP Auvergne – Rhône-Alpes et Innov’Infra, hub de compétitivité pour l’aménagement et les infrastructures. Près de 46 500 votes en ligne ont été comptabilisés et c’est un concours de présentation qui a départagé les 9 lauréats dans les catégories “Transitions numériques et robotiques”. Et “Sobriété énergétique”, enfin “Green technologies”. Pour chacun de ces univers, un gagnant a été désigné, dont un lauréat pour l’ensemble de ce concours.  Ainsi, c’est Chab qui s’est distingué à ce niveau, remportant le trophée “Green technologies” et le concours. Basée à Saint-Romain-de-Popey (69), l’entreprise a conçu des chaussettes à béton répondant aux besoins de mise en place de pieux dans des zones meubles ou en présence de cavités karstiques. Chab est née de l’union de trois industriels : Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l’Insa Lyon. « Chab change la donne pour les fondations profondes et participe à des techniques de construction beaucoup plus propres », souligne Olivier Balas, président de Balas Textile. Ainsi, ces chaussettes à béton remplacent les caissons en acier par une solution textile légère et facile à utiliser. Cette dernière offre le même niveau de qualité, réduit les coûts, les retards et les risques. Elle permet la réalisation de pieux en évitant toute pollution. Et ce, avec un niveau de manipulation simple et en toute sécurité. Cette solution offre une réduction importante de l’empreinte carbone et une productivité accrue quel que soit le terrain. Ceci, pour un coût très inférieur par rapport à celle employant des tubes acier. Olivier Balas sera récompensé par une visibilité nationale lors de la Rencontre annuelle des travaux publics de la FNTP en février 2022. Lire aussi :Innov Day TP, 50 innovations de travaux publics “Transitions numériques et robotiques”La start-up PaintUp propose son robot capable de nettoyer, décaper et peindre grâce à un bras robotisé porté par un chariot télescopique rotatif. L’entreprise est installée à Villefranche-sur-Saône (69). “Sobriété énergétique”NGE Fondations de Saint-Priest (69) a mis au point des écrans forestiers permettant d’éviter la réalisation d’ancrages forés. Ce qui réduit les travaux d’abattage et le préjudice à l’environnement associé. Les 3 gagnants participeront à la 6eédition du salon Espace BTP du 1erau 4 juillet, au Parc des Oiseaux de Villars-les-Dombes (01).
Il y a 3 ans et 345 jours

RE 2020 : Le SNBPE s’intéresse aux bétons bas carbone

Le SNBPE a conçu un document pour une compréhension approfondie du béton bas carbone. [©SNBPE] Le terme “béton bas carbone” est désormais largement utilisé. Mais il ne fait l’objet d’aucune définition officielle s’appuyant sur un cadre normatif ou réglementaire. Avec l’entrée en vigueur de la RE 2020, prévue en janvier 2022, le SNBPE a conçu un document de référence à ce sujet. Ceci, afin d’accompagner les professionnels de la construction dans leur choix. Téléchargeable sur le site du syndicat, ce document propose les seuils définissant des bétons bas carbone pour des parties d’ouvrage représentatifs, en fonction des classes d’exposition et de résistance. En effet, les bétons bas carbone développent des performances, des qualités d’usage et de durabilité équivalentes au matériau classique. Tout en émettant moins de gaz à effet de serre. Lire aussi :UNPG et SNBPE : Qu’est-ce qu’un “Passeport Sécurité” ? Cependant, entre les différentes réglementations, la législation encadrant les normes de la construction et l’application de nouveaux standards environnementaux, il n’est pas toujours simple de s’y retrouver. C’est pourquoi, le SNBPE apporte un éclairage sur le déploiement de solutions constructives et sur le choix du bon béton, à moindre empreinte carbone. Le document publié par le syndicat se veut concis.[redite] Sa finalité est d’établir des valeurs indicatives, différenciant les bétons bas carbone des bétons classiques suivant la destination des constructions.Il s’appuie sur des exemples d’ouvrages représentatifs. Et intègre leur classe d’exposition à leur environnement, leur position géographique, les phénomènes liés à la météo et aux risques climatiques. Ainsi que leur aptitude à la résistance et durabilité.
Il y a 3 ans et 345 jours

Pas d'augmentation des factures d’électricité pour rembourser l'installation des compteurs Linky

Le mécanisme de financement du projet Linky a été défini par la Commission de régulation de l’énergie qui est une autorité administrative indépendante. Les coûts d’investissements et d’installation ont été intégralement portés par Enedis et sont compensés dans la durée par les économies générées par le déploiement de 35 millions de compteurs à fin 2021. Ces économies ne pourraient pas être réalisées sans le déploiement d’un compteur Linky.Le montant de 130€ de coût d’installation par compteur, repris d’un rapport de la Cour des Comptes, n’est pas supporté par le consommateur final. Ce coût est directement supporté par l’entreprise ENEDIS qui le recouvre par les économies d’exploitation d’un réseau plus moderne, plus flexible et mieux équipé, permettant par exemple de réduire les frais liés aux relevés de compteurs. Il n’y aura donc pas, comme cela a pu être avancé, d’augmentation de 15 euros sur la facture annuelle d’électricité des consommateurs pour rembourser l’installation des compteurs.Au-delà des économies d’exploitation réalisées par Enedis, le consommateur pourra également réaliser des économies pour son budget personnel grâce au compteur Linky. En effet, si le consommateur souhaite utiliser les fonctionnalités du compteur Linky, il pourra alors avoir une meilleure connaissance de sa consommation et mieux la maîtriser.Il pourra ainsi choisir une offre de fourniture en électricité plus adaptée à son profil de consommation, décider de changer certains appareils énergivores, ou encore effectuer des travaux d’amélioration de la performance énergétique de son logement. Le consommateur pourra réaliser des gains sur sa facture d’électricité en utilisant les fonctionnalités de Linky et pourra bénéficier d’offres de fournitures innovantes qui n’étaient pas accessibles avant le déploiement de Linky.En outre, le déploiement de Linky, en particulier les coûts de déploiement, fait l'objet d'un suivi régulier par la CRE, une autorité administrative indépendante dont la mission est de veiller au bon fonctionnement des marchés de l'électricité et du gaz en France, au bénéfice des consommateurs finals et en cohérence avec les objectifs de la politique énergétique.
Il y a 3 ans et 345 jours

La hausse du gazole non routier repoussée au 1er janvier 2023

La hausse du tarif du gazole non routier, servant majoritairement dans le bâtiment et les travaux publics, initialement prévue au 1er juillet 2021, est repoussée au 1er janvier 2023.
Il y a 3 ans et 345 jours

Le confort acoustique en 10 minutes avec Akusto Screen de Saint-Gobain Ecophon

Installé en 10 minutes seulement, en complément d’une solution de plafond acoustique, ce panneau permet d’améliorer considérablement l’ambiance sonore dans tous les espaces ouverts. Désinfectable, il est particulièrement adapté aux problématiques actuelles des open spaces.Un complément facile à installer pour un confort acoustique optimalAkusto™ Screen d'Ecophon est une nouvelle solution de panneau acoustique autoportant. Ses propriétés font de lui un excellent complément pour réduire encore la transmission des ondes sonores et assurer ainsi un confort acoustique optimal. Disponibles en 5 coloris intemporels et en dimensions 1400 x 1200 x 40 mm, les panneaux Akusto™ Screen sont livrés en kit et très légers, ce qui les rend facilement manipulables. De fait, ils s'installent en 10 minutes seulement et se déplacent très facilement, permettant de créer des espaces confortables et favorisant la concentration. Il est ainsi possible de moduler facilement les espaces pour laisser l'utilisateur libre de changer la disposition des espaces de travail.Une solution parfaitement adaptée aux problématiques des bureauxBien qu'une solution de plafond acoustique de haute qualité soit suffisante dans de nombreux cas de figure, certaines configurations tels que les open spaces, nécessitent une correction acoustique adaptée. De plus en plus présents dans les bureaux, ces plateaux entièrement décloisonnés favorisent la propagation des ondes sonores, gênant le confort des usagers. Or, il faut en moyenne 25 minutes pour qu'une personne retrouve sa concentration après avoir été interrompu. Le bruit augmente également le niveau de stress des collaborateurs, impactant donc non seulement la productivité mais également le bien-être et la satisfaction globale des personnes au travail.Pour y remédier, Akusto™ Screen apporte une atténuation acoustique efficace d'un poste de travail à un autre grâce à sa proximité avec les principales sources de bruits (échanges verbaux, bruit d'équipements,…)Par ailleurs, le revêtement de l'écran résiste à une application fréquente de désinfectant à base d'éthanol (70%). Il participe ainsi au respect de mesures d'hygiène renforcées pour assurer la sécurité des salariés.« 59% des collaborateurs se sentent gênés par le bruit au bureau ! Or, le confort acoustique est un facteur clé de réussite au travail. Une ambiance acoustique traitée efficacement permet à la fois d'accroître la capacité de concentration des employés et de réduire significativement leur niveau de stress, ce qui en fait un important vecteur de productivité. Il est donc essentiel que les entreprises soient en mesure de mettre en place des solutions adaptées à la configuration de leurs espaces et aux besoins de leurs collaborateurs. » Sylvain Coudret, Concept Developer Bureaux Ecophon
Il y a 3 ans et 345 jours

Peintres : un service gratuit de collecte des déchets acryliques et solvantés

La Fédération Nationale de la Décoration déploie Rekupo, un service gratuit de collecte des déchets acryliques et solvantés développé par l'éco-organsime EcoDDS.
Il y a 3 ans et 345 jours

Constance Guisset signe les espaces de travail de Van Cleef & Arpels

Éclairée par sa culture 3D, Constance Guisset façonne et sculpte l’espace comme elle le... Cet article Constance Guisset signe les espaces de travail de Van Cleef & Arpels est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 346 jours

Hager lance une nouvelle gamme d’horloges digitales programmables

Hager lance une nouvelle gamme d’horloges programmables pour automatiser le fonctionnement des équipements électriques dans l’habitat individuel, collectif ou le petit tertiaire. Quatre références viennent remplacer les références précédentes. Simples à mettre en œuvre, elles se raccordent en filaire sur des boutons poussoirs ou en radio avec les boutons radio Hager. Ensuite, ces horloges sont pilotables à la fois en local avec son smartphone et l’application Hager Mood, ou à distance via le contrôleur coviva. Installée dans le tableau électrique, l’horloge digitale permet un pilotage automatisé (accès, éclairage extérieur, piscine) et une meilleure gestion des énergies (éclairage, chauffage, chauffe-eau). L’horloge digitale programmable de Hager réunit en un seul produit plusieurs fonctions de commutation : horaire, crépusculaire, astronomique, minuterie, télérupteur. En mode horaire, elle permet à l’installateur de créer des horaires de temporisation. La programmation des périodes de commutation est définie selon les paramètres d’entrée : heure, luminosité, date… Le scénario peut être répété chaque jour, chaque semaine ou d’un mois sur l’autre. En mode crépusculaire, c’est un capteur crépusculaire optionnel qui détecte les changements de conditions de luminosité sur place et ajuste automatiquement la commutation. Avec la fonction astronomique, le programmateur adapte automatiquement ses cycles de commutation au lever et au coucher du soleil. Une fonction minuterie et un préavis d’extinction sont également possibles. Pilotage avec l’application Hager Mood Nouveauté majeure de la gamme, les horloges peuvent être programmées par l’installateur, sur son smartphone, depuis l’application Hager Mood. Ceci lui permet de programmer les horaires de commutation, de créer des scénarios, avant même de se rendre sur le chantier. Sur place, il aura la possibilité de les modifier ou de les partager à ses clients. Les programmations peuvent aussi être partagées au sein d’une même équipe, permettant l’installation de l’horloge pré-programmée par un collègue par exemple. Compatibilité avec coviva Grâce à sa communication radio quicklink intégrée, l’horloge peut être associée avec le contrôleur domotique coviva. Il peut également être piloté en parallèle par des boutons de dérogation ou des commandes radio quicklink. Cette connectivité radio quicklink permet d’intégrer les scénarios programmés au niveau de l’horloge dans le système coviva pour un pilotage en local et à distance. Nécessitant moins de travaux, comme des saignées dans les murs, la commande radio quicklink est idéale pour les installations électriques déjà existantes. Quatre références Les programmateurs EGN100, EGN200 et EGN400 combinent toutes les fonctions d’un programmateur moderne. Pour les fonctions de commutations hebdomadaires moins complexes, EGN103 offre une solution simple et économique à un seul canal, disponible sous forme de kit ou comme appareil individuel. EGN103 Programmateur hebdomadaire numérique 1 canal Programmes journaliers et hebdomadaires Programmation par smartphone avec clé de programmation Bluetooth EGN003         EGN100 Programmateur multifonctions numérique avec Bluetooth 1 canal Programmes journaliers, hebdomadaires et annuels Fonction astronomique et crépusculaire avec sonde Commande locale (avec Hager Mood) et à distance (avec coviva) depuis smartphone Compatible avec les interrupteurs et sonde de luminosité radio         EGN200 Programmateur multifonctions numérique avec Bluetooth 2 canaux Programmes journaliers, hebdomadaires et annuels Fonction astronomique et crépusculaire avec sonde Commande locale (avec Hager Mood) et à distance (avec coviva) depuis smartphone Compatible avec les interrupteurs et sonde de luminosité radio         EGN400 Programmateur multifonctions numérique avec Bluetooth 4 canaux Programmes journaliers, hebdomadaires et annuels Fonction astronomique et crépusculaire avec sonde Commande locale (avec Hager Mood) et à distance (avec coviva) depuis smartphone Compatible avec les interrupteurs et sonde de luminosité radio
Il y a 3 ans et 346 jours

Les hébergements d'urgence pour sans-abri ouverts pendant la crise sanitaire prolongés 10 mois

"On ne remettra personne à la rue à l'issue de la trêve hivernale", exceptionnellement prolongée cette année jusqu'au 1er juin 2021, a expliqué le ministère du Logement à l'AFP, qui a décidé de "pérenniser" ces places "jusqu'à la fin du mois de mars 2022" au moins.De quoi soulager les associations, qui craignaient un retour à la rue de ces personnes hébergées en urgence, pour moitié grâce à des accords avec une hôtellerie en mal de touristes, afin de répondre à la situation inédite provoquée par le nouveau coronavirus et l'injonction faite à chacun de se confiner.Au total, plus de 200.000 sans domicile fixe sont actuellement hébergés dans des centres d'hébergement ou des hôtels. Maintenir les places créées depuis mars 2020 va coûter 700 millions d'euros et porter le budget annuel consacré à l'hébergement d'urgence à 2,9 milliards, selon le ministère."Cette décision a du sens, c'est une façon de mettre un terme à une gestion de l'hébergement dans l'urgence", a salué Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS).Pour le délégué général de la Fondation Abbé Pierre, Christophe Robert, c'est la fin d'un "mode opératoire inhumain", qui consistait à abriter les plus précaires l'hiver avant de les renvoyer chaque printemps dans la rue.Au-delà de mars 2022, "il faut que ces places soient pérennisées de manière définitive", ajoute Florent Guéguen. "Vigilant" sur cet objectif, le directeur général de la FAS s'avoue toutefois "confiant": difficile selon lui d'imaginer Emmanuel Macron remettre des milliers de personnes à la rue l'an prochain, à la veille de la présidentielle.Nouveaux pauvres et expulsionsPour lutter contre le sans-abrisme, le gouvernement compte également sur son plan pour le "Logement d'abord", qui a permis d'installer 235.000 personnes dans des logements durables depuis fin 2017.Les préfets doivent recevoir des instructions pour "accélérer l'attribution de logements très sociaux" aux sans-abri, a détaillé le ministère. Le programme favorise aussi leur sortie du système d'hébergement d'urgence vers des pensions de familles et développe le recours à l'intermédiation locative, avec des propriétaires privés louant leur logement à des associations qui le sous-louent à bas prix à une personne en difficulté, grâce à une aide complémentaire de l'État.Ces efforts restent toutefois "insuffisants", selon les associations. Car s'il est difficile de savoir précisément combien de personnes restent à la rue avant la prochaine enquête de l'Insee prévue début 2022, la situation reste tendue."Le Covid a créé de nouveaux pauvres, et malgré les efforts d'hébergements réalisés, beaucoup d'hommes seuls isolés sont restés sur le carreau", rappelle M. Guéguen, en soulignant que "des milliers" d'appels au Samu Social (115) débouchent encore sur un refus d'hébergement chaque soir.Avec la fin de la trêve hivernale au 1er juin, les associations craignent également la reprise des expulsions après les mesures exceptionnelles prises pour les limiter en 2020. Plus de 30.000 ménages sont menacés d'expulsion, soit le double d'avant la pandémie.Une situation anticipée par le ministère, qui a récemment pris une circulaire demandant aux préfets que toute expulsion soit assortie d'une proposition de relogement ou d'hébergement. Trente millions d'euros supplémentaires ont également été alloués pour les fonds de solidarité logement des départements, destinés à financer des aides pour prévenir les impayés."Nous allons (...) proposer un relogement ou un hébergement à chaque personne concernée et indemniser les propriétaires quand nous n'expulsons pas tout de suite", a promis la ministre déléguée au logement Emmanuelle Wargon vendredi sur France Inter."Les propriétaires, qui sont parfois des personnes modestes, des retraités" pourront recevoir "une somme équivalente au loyer", a-t-elle ajouté.A plus long terme, les associations soulignent également la difficulté de reloger les sans domicile fixe hors du système d'hébergement d'urgence, à cause d'une construction de logements sociaux "trop faible".Depuis le début du plan "Logement d'abord", la production de logements "très sociaux" oscille autour de 30.000 unités par an, au lieu des 40.000 souhaités par le gouvernement.
Il y a 3 ans et 346 jours

La Fondation Abbé Pierre exhorte le gouvernement à agir maintenant pour éviter les expulsions locatives

Dans un entretien à l'AFP, Christophe Robert appelle de ses vœux la mobilisation de tous les acteurs du secteur et annonce la mise en place d'un système de veille et d'alerte pour s'assurer de la mise sous protection des 30.000 ménages menacés d'expulsion.QUESTION : Vous avez demandé, en vain, la prolongation de la trêve des expulsions locatives qui prend fin ce mardi. Regrettez-vous la décision du gouvernement?REPONSE : "On a fait cette demande parce que la situation sanitaire, sociale et économique reste très dure et parce qu'on est dans une phase qui va être périlleuse dans le sens où 30.000 ménages sont potentiellement menacés d'expulsion, c'est énorme, on n'a jamais connu ça.Il nous semblait que le meilleur moyen d'éviter les catastrophes sociales c'était de prolonger encore la trêve mais en la mettant à profit pour accompagner les personnes vers d'autres solutions de logement, malheureusement ça n'a pas été retenu.Maintenant l'énorme enjeu c'est que des solutions de logement alternatives soient proposées avant de prononcer l'expulsion manu militari, et qu'en cas de difficultés dans certains territoires, les familles puissent être maintenues dans les logements en dédommageant les propriétaires simultanément, le temps de trouver une solution.Q : Le gouvernement s'est d'ores et déjà engagé à échelonner les expulsions et à trouver une solution de relogement ou d'hébergement. Est-ce suffisant?R : "Le fait de dire « il faut trouver au maximum des solutions de logement alternatives pour les personnes menacées d'expulsion », ça c'est une bonne chose mais il y a une fragilité forte dans le fait de dire « s'il n'y a pas de logement, ce sera un hébergement ».Le secteur de l'hébergement d'urgence est saturé. On a certes ouvert 43.000 places depuis mars 2020 et ces places vont être maintenues jusqu'en 2022, c'est une bonne nouvelle mais on ne va pas continuer à mettre des personnes dans de l'hébergement, ce n'est pas satisfaisant. Vous sortez d'un logement, vous avez vos meubles, vos lits, vos trois gamins, qu'est-ce que vous faites de vos meubles ? Et l'hébergement c'est pour combien de temps ? Trois jours ? Une semaine ? Un mois ? Et après qu'est-ce qu'il se passe?L'autre fragilité c'est de dire que tout dépendra de l'offre disponible localement, ce qui fait qu'un préfet peut se dire « j'applique bien la circulaire en proposant un hébergement ».C'est la raison pour laquelle nous allons mettre en place avec d'autres associations un système de veille et d'alerte pour nous assurer qu'il y a bien une logique de protection et pour repérer les endroits où il y aurait des problèmes et où il serait nécessaire de recadrer le tir par rapport aux consignes gouvernementales.Q : Faut-il s'attendre à une nouvelle hausse sans précédent des expulsions locatives dans les années qui viennent?R : "Tout dépendra de la capacité ou non du gouvernement à déployer une politique d'anticipation pour qu'il n'y ait pas des dizaines de milliers de ménages qui se retrouvent au fil des mois en situation d'impayés avec des expulsions dans deux ans et demi, trois ans.C'est la bombe à retardement sur laquelle nous avons alerté en début d'année et qui nous inquiète énormément. L'équation est simple : vous avez une augmentation du nombre de demandes de RSA, une hausse très importante du chômage, vous avez des personnes qui n'ont pas forcément été couvertes par les aides de l'État depuis un an, qui voient leurs ressources très fortement diminuer et qui vont se retrouver en difficulté de paiement.C'est maintenant qu'il faut agir, dans huit ou dix mois ce sera trop tard. L'enjeu c'est la mise en dynamique de tous les acteurs dans tous les territoires, c'est de mettre autour de la table, sous l'égide du préfet, les huissiers les bailleurs sociaux, les bailleurs privés, les associations, les équipes de travail social, les CAF etc. Et se fixer des objectifs."Propos recueillis par Marine PENNETIER
Il y a 3 ans et 346 jours

En 2020, TPF Ingénierie a tiré son épingle du jeu

Après une année 2020 satisfaisante dans un contexte économique chahuté par la crise sanitaire, le bureau d’études pluridisciplinaire TPF Ingénierie table sur le retour de la croissance. Tout en consolidant son savoir-faire dans le bâtiment, la filiale française du groupe belge d’ingénierie TPF veut développer de nouvelles compétences dans les infrastructures et l’eau.
Il y a 3 ans et 346 jours

Saint-Gobain a finalisé la vente de Lapeyre à Mutares

CESSION. C'est fait ! Après plusieurs mois de tractations et une opposition des salariés, Saint-Gobain annonce avoir achevé la vente de Lapeyre au fonds d'investissement allemand, Mutares. Réactions.
Il y a 3 ans et 346 jours

Une notice pour informer les prescripteurs sur les bétons prêts à l'emploi "verts"

AIDE A LA DÉCISION. Le Syndicat national du béton prêt à l'emploi (SNBPE) vient de publier une notice permettant aux prescripteurs de différencier les bétons 'classiques' des bétons dits 'bas carbone'.