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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 347 jours

Béton[s] le Magazine n° 94 explore le futur

Retrouvez le n° 94 dans la boutique acpresse.fr. Comme les voyages forment la jeunesse, Béton[s] le Magazine (in)forme les professionnels. Mais aussi les transports. D’une manière physique tout d’abord, en les amenant tout droit au cœur du quartier de La Défense, à la découverte de la dernière création de l’architecte Jean Nouvel. C’est là qu’est posée la tour Hekla, semblable à un diamant ciselé. Surtout, ce n° 94 fait voyager dans le temps. Certes, d’une manière plus modeste que Georges, le héros du roman d’anticipation La machine à explorer le temps de H.G. Wells. En effet, ici, la question est posée de savoir à quoi vont ressembler les bétons de demain ? Une des grandes tendances sera sa propension à réduire son empreinte carbone… Mais ce ne sera pas sa seule caractéristique ! Rendez-vous en terres connues et moins connues Retrouvez le n° 94 dans la boutique acpresse.fr. Le déplacement temporel s’arrête à ce niveau, pour reprendre une dimension plus contemporaine. Rendez-vous est donc pris pour se rendre en Occitanie et en Provence – Alpes – Côte d’Azur, à la rencontre des acteurs régionaux, à retrouver dans les pages éponymes. Ceci, avant de rejoindre la rubrique “Zoom sur…”, histoire de connaître les dernières innovations issues du monde de l’adjuvantation. Ou de voir ce que les toupies offrent aux entreprises de production de BPE. Le voyage peut enfin être un retour sur l’histoire et le passé. L’occasion de revivre les 50 années d’existence du Laboratoire de recherche des Monuments historiques (LRMH). Puis, de passer un moment avec l’architecte Jean Tschumi, auquel la Cité de l’architecture et du patrimoine consacre une rétrospective. Comme quoi, le béton n’a pas fini de nous faire voyager. Alors bonne lecture… Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 3 ans et 347 jours

Mise en oeuvre de 2 conduits extérieurs Therminox culminants à 40 mètres de hauteur

Dans le cadre d’un marché de remplacement de chaudières, Gard Habitat a sollicité les services d’Engie pour le lancement et le suivi de ces travaux énergétiques.Pour ce faire, Engie a fait appel au savoir faire de l’entreprise de pose Carreau, laquelle s’est appuyée sur la solution de conduits isolés THERMINOX de CheminéesPoujoulat pour le raccordement de4 nouvelles chaudières gaz à condensation.Le partenariat engagé entre Carreau, fumisterie de bâtiment, et CheminéesPoujoulat, leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques, a, une nouvelle fois, fait la preuve de son efficacité et de son adaptabilité aux particularités d’un chantier hors normes.Une collaboration historique galvanisée sur un chantier d'exceptionGard Habitat, propriétaire bailleur des tours d’habitat collectif G1 et G2 érigées sur la commune de Bagnols-sur-Cèze, a lancé en 2019 un appel d’offres concernant le remplacement de l’équipement de chauffage, du fait de sa vétusté et des fortes consommations d’énergie générées.Engie, en charge de ce marché, a mandaté l’entreprise de fumisterie Carreau pour assurer la préconisation de la solution de conduits à privilégier et sa mise en œuvre.Pour répondre au cahier des charges de son client, Carreau a sollicité Cheminées Poujoulat, partenaire fournisseur de longue date avec lequel le poseur a su nouer de solides relations tant humaines que techniques au cours de ces 12 dernières années.Au regard des éléments de ce marché relatifs à la mise en œuvre d’un chantier remarquable par la taille des conduits à traiter, l’entreprise Carreau a choisi la solution THERMINOX de Cheminées Poujoulat.« Le conduit THERMINOX s’est avéré la solution la plus adaptée compte-tenu de ses attributs esthétiques, de sa durabilité, de son adaptabilité à la technologie du gaz à condensation, de son efficacité et des conditions de sécurité qu’elle offre du fait de la contrainte de hauteurs à prendre en compte », décrit Lionel Abadie, chef d’équipe de la société Carreau.Des conduits culminants à 40 mètre de hautLa société Carreau a réceptionné les conduits le 12 octobre 2020 sur site. Le chantier a démarré avec des travaux de raccordement à un équipement provisoire, destiné à maintenir la fourniture du chauffage et de l’eau chaude sanitaire pendant toute la durée des travaux.Pour engager les travaux de pose des nouveaux conduits, la société Carreau a loué une nacelle absolument atypique, comptant parmi les plus longues nacelles ciseaux automotrices de France rarement employées, pour faire culminer les conduits à 40 mètres de hauteur.Trois collaborateurs de la société Carreau se sont ensuite attelés à installer les conduits THERMINOX en Inox de diamètre 300, à la façon d’un empilement de Lego, prenant appui sur un support mural fixé au mur de chacun des immeubles.Cet empilement a été entrecoupé par la pose de colliers muraux pour assurer le maintien des conduits à la verticale des tours d’habitation. Ces différentes phases se sont répétées maintes fois jusqu’à atteindre le sommet des tours.Ces conduits sont alimentés par 4chaudières gaz à condensation MCA conçues par De Dietrich, positionnées dans une chaufferie.Au total, les 3 poseurs ont œuvré pendant4 semaines, accompagnés tout au long du chantier par Cheminées Poujoulat.Le chantier s’est parfaitement déroulé dans le respect du calendrier fixé initialement.THERMINOX : un conduit performant et durable qui participe aux économies d'énergieLes économies liées à ces nouvelles chaudières peuvent atteindre 30 % à condition qu’elles soient associées à des conduits d’évacuation de fumée adaptés et performants.Pour optimiser le rendement de ces chaudières modernes, Cheminées Poujoulat a conçu, en relation avec les fabricants d’appareils et les installateurs, le conduit THERMINOX. Il répond parfaitement aux nouvelles réglementations thermiques (RT2005, RT2012, RE2020) qui visent à renforcer la performance thermique globale des bâtiments. Ses performances ont été validées par le Laboratoire CÉRIC.Fabriqué avec des matériaux de haute qualité, THERMINOX assure une étanchéité parfaite à l’air comme aux condensats.L’isolation haute densité à base de laine de roche optimise le tirage et évite la formation de condensation à l’extérieur du conduit.L’esthétique restant une priorité pour Cheminées Poujoulat, THERMINOX n’échappe pas à la règle : il bénéficie d’une ligne élégante (intégrant les colliers de sécurité) et de finitions soignées.Disponible en finition inox, peints ou cuivre, THERMINOX s’adapte au mieux à l’architecture du bâtiment.
Il y a 3 ans et 347 jours

Bouygues repasse dans le vert au premier trimestre de l'année 2021

Le géant français du BTP Bouygues est repassé dans le vert au premier trimestre 2021, enregistrant 21 millions d'euros de bénéfice net, contre une perte de 204 M€ l'année précédente.
Il y a 3 ans et 347 jours

La suppression du GNR repoussée

Après des mois de sensibilisations, de discussions avec le Gouvernement, la CAPEB et la CNATP ont obtenu un quatrième report de la suppression du GNR. Si les entreprises du BTP avaient admis l’augmentation de 50% de ce poste significatif dans leurs charges qui devait s’appliquer au 1er juillet 2021 (et ce malgré le fait qu’il n’existe à ce jour sur le marché aucun engin de substitution), c’était uniquement à la suite des engagements du Gouvernement. Ces engagements qui ne pouvaient pas être mis en œuvre ainsi que le contexte économique (pénurie et hausse des prix des matières premières, trésoreries fragiles, incertitudes entourant cette sortie de crise sanitaire), imposaient de reporter la suppression, pour le secteur du bâtiment et des travaux publics, du Gazole Non Routier (GNR). L’engagement du Gouvernement pris en 2019 de mettre en place un carburant non routier avec une couleur spécifique au BTP, après la suppression de l’accès au GNR pour le secteur, ne pouvait pas être respecté au 1er juillet 2021. En effet, les dernières hypothèses présentées par le ministère de la Transition écologique faisait état d’une période nécessaire à sa mise en place de près de 24 mois. La CAPEB et la CNATP demandent au pouvoir public de travailler d’ores et déjà à la mise en œuvre de ce carburant et de la liste associée pour une application au 1er janvier 2023
Il y a 3 ans et 347 jours

Elections régionales : les propositions de la FFB

À l’occasion des élections régionales des 20 et 27 juin 2021, la FFB émet quinze propositions prioritaires défendues par la profession et déclinables sur l’ensemble du territoire. Deux grandes thématiques sont mises en avant : promouvoir la reprise de l’activité et de l’emploi en valorisant l’apprentissage et les métiers en tension, en luttant contre les offres anormalement basses, en mettant fin à la sous-traitance en cascade, en prenant en compte les spécificités pour les marchés en BIM, en amplifiant les aides à la transmission d’entreprise. Et, valoriser durablement les territoires en refusant une lecture radicale du « zéro artificialisation » des sols, en accompagnant la RE2020, en dynamisant la valorisation des déchets de chantier à l’échelon local, en encourageant la rénovation énergétique des bâtiments et en valorisant le patrimoine historique et le potentiel touristique. Pour Olivier SALLERON, président de la FFB, « Les élus locaux ont été en première ligne face à la crise sanitaire du printemps dernier. Les professionnels du bâtiment ont été en première ligne pour relancer, très vite, l’activité. Dans les deux cas, il fut souvent question de pragmatisme et de ténacité. En dépit d’une baisse d’activité de 15 % au niveau national en 2020, le secteur du bâtiment est parvenu à maintenir ses effectifs et même à accroître de 10 % le nombre d’apprentis. Mais c’est maintenant que tout se joue ! Pour assurer leur rôle de moteur de l’économie régionale, les artisans et les entrepreneurs du secteur ont plus que jamais besoin de l’appui des décideurs régionaux. Faire le pari du bâtiment, c’est faire un pari gagnant pour la région, pour la jeunesse et pour celles et ceux qui aspirent à y vivre, à y élever leurs enfants et à y protéger leurs aînés.. ».
Il y a 3 ans et 347 jours

Le formidable potentiel de décarbonation de la filière forêt-bois française

Pour le CNDB, l’investissement de 200 millions d’euros dans la filière forêt bois dans le cadre du Plan France Relance ainsi que l’annonce de 50 millions d’arbres plantés sur la période 2021-2022 sont les premiers pas amorçant une dynamique de développement voulue dans l’optique du Plan Ambition Bois 2030. Ce sont les prémices de l’édification d’une véritable souveraineté “forestière”. Pour conserver le potentiel d’absorption des forêts françaises, les capacités de stockage et de substitution octroyées par l’usage du bois, captant à eux seuls 25% des gaz à effet de serre nationaux, le renouvellement et l’accroissement de la ressource forestière doit dès lors devenir une priorité absolue. La forêt et l’usage du bois constituent deux compartiments indissociables garantissant une sécurité optimale en matière de capital d’absorption et de stockage de CO2. Associé à l’accroissement de la forêt via des plans de boisement, reboisement et d’adaptation,  le développement de l’usage du bois pourrait, d’ici 2050, participer à hauteur de 56% à la récolte de plus de 90 millions de m3 de GES par an. L’utilisation du bois dans la conception, la construction et l’aménagement présente donc un double intérêt : la prolongation sécurisée du cycle de stockage du CO2 et le remplacement de matériaux fortement émetteurs de GES par principe de substitution. Débutant par la plantation, la ressource suit un parcours logique d’étapes progressives en commençant par une distinction entre le bois d’œuvre, le bois de trituration, le bois industrie et le bois énergie. Bois d’œuvre, de trituration et industrie passent alors deux phases dites de première et de seconde transformation permettant d’obtenir les différents produits bois tels que des charpentes, du parquet, des meubles, etc. La nature du bois conforte le principe d’une reconversion quasiment perpétuelle de la ressource, si le produit fini est par essence recyclable, les acteurs de la transformation valorisent également les déchets de bois et produits bois connexes liés à leurs activités en les réinsérant dans le cycle de production. 
Cimbat
Il y a 3 ans et 347 jours

Casa Ter : une maison espagnole construite en pisé et matériaux locaux

Cette maison, « Casa Ter » en pisé a été conçue par MESURA en Espagne dans la petite ville de Gérone. Elle est le fruit d’un processus d’inscription réelle à l’environnement culturel et naturel. [De l’architecte] Les décisions qui sous-tendent sa forme et sa matérialité sont fondées sur la volonté de toucher le moins possible à l’environnement […]
Il y a 3 ans et 347 jours

Transe de béton, un groupe scolaire par Tautem et BMC2 à Marseille

Formée il y a plus de trente ans par Agnès Pontremoli et Bruno Decaris, l'agence Opus 5 est devenue un trio avec l'arrivée en 2011 de l'architecte DPLG Pierre Tisserand.  Les deux fondateurs d'Opus 5, les architectes Agnès Pontremoli et Bruno Decaris, se sont rencontrés aux Beaux-Arts avant de prolonger leur diplôme à […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 348 jours

MEWA : des lavettes réutilisables pour une propreté impeccable dans l'industrie et l'artisanat

Face à la crise du coronavirus, les exigences d'hygiène et de propreté ont pris une nouvelle dimension dans les entreprises artisanales et industrielles. Bien avant la pandémie, la devise sanitaire de MEWA était déjà : « exit l'emploi unique, bienvenue à la réutilisation et à l'économie circulaire ». Concrètement, cette politique passe par des produits durables, une efficience énergétique, une optimisation de la consommation d'eau, une utilisation de produits de lavage respectueux de l'environnement et des circuits d'approvisionnement locaux courts. Le prestataire de services textiles MEWA respecte cette même ligne directrice depuis plus de 100 ans avec son service de lavettes.
Il y a 3 ans et 348 jours

Bette Antidérapant Sense

Les chutes dans une douche ou une baignoire font partie des accidents domestiques les plus fréquents. Il existe des solutions complémentaires pour les éviter comme des tapis en caoutchouc ou des surfaces antidérapantes. Mais ces solutions s'avèrent bien souvent inesthétiques et peu hygiéniques. Il est désormais possible de combiner l'aspect brillant et lisse de l'acier titane vitrifié avec une sécurité antidérapante optimale. Le fabricant d'éléments de salle de bains Bette propose d'équiper en option ses receveurs de douches et ses baignoires d'une surface innovante antidérapante, invisible à l'oeil et au toucher. Comme par magie, l'effet protecteur de Bette Antidérapant Sense n'apparait que lorsque le corps entre en contact avec l'eau.
Il y a 3 ans et 348 jours

Venise : les communautés à l’œuvre, par Christophe Hutin

Les communautés à l’œuvre : Catalogue du Pavillon français pour la Biennale d’architecture de Venise 2021 réalisé par Christophe Hutin, architecte et enseignant-chercheur à l’ENSA Bordeaux. La 17ème Biennale internationale d’architecture de Venise a choisi de poser la question du vivre ensemble. Pour répondre à cette problématique, la France a confié la responsabilité de sa […] L’article Venise : les communautés à l’œuvre, par Christophe Hutin est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 348 jours

Jeunes architectes européens : les lauréats

Après la Nouvelle Architecture Chinoise en 2010, Young Arab Architects en 2012, Young Architects in Africa en 2014 et Young Architects in Latin America, Architecturestudio a organisé en 2021 le concours Young European Architects (Jeunes architectes européens) afin de mettre en avant la créativité des réalisations en Europe et d’accompagner une jeune génération d’architectes dans […] L’article Jeunes architectes européens : les lauréats est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 348 jours

A Venise, la terre est une architecture selon TVK

L’agence TVK (Pierre Alain Trévelo et Antoine Viger-Kohler), invitée à la 17ème Biennale d’architecture de Venise – dont le commissaire est Hashim Sarkis et le thème développé est «How will we live together ?» – présente La Terre est une architecture.* Communiqué. « La Terre a été plate, puis ronde. Maintenant, la Terre est une […] L’article A Venise, la terre est une architecture selon TVK est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 349 jours

A Volvic, la raréfaction de l'eau source d'inquiétudes

"On avait de l'eau jusqu'à mi-jambes et le ruisseau faisait tourner deux roues de moulin", raconte, nostalgique, Pierre Grodecoeur, 69 ans, face au cours d'eau qui longe sa maison natale.Le moulin a disparu depuis longtemps et le ruisseau est désormais souvent à sec.Pas bien loin, la pisciculture de Saint-Genest-l'Enfant, classée monument historique, manque aussi d'eau. C'est pourtant là que jaillit l'eau de Volvic après son parcours dans les roches volcaniques.Le lieu est bucolique, avec ses bassins du XVIIe en pierre de Volvic, creusés à l'ombre des aulnes et des platanes.Mais depuis 2017, plusieurs mois par an, les sources se tarissent. Les parois des bassins s'affaissent et les lentilles d'eau prolifèrent, transformant les surfaces liquides en miroirs verts. L'exploitation a dû cesser."En 1927, le débit avait été mesuré à 470 litres par seconde contre 50 litres par seconde aujourd'hui" explique Robert Durand, expert-géologue interrogé par l'AFP."Danone détruit un monument historique pour envoyer des bouts de plastique à l'autre bout du monde", peste le propriétaire Edouard de Féligonde qui mène le combat devant les tribunaux, avec son avocate Corinne Lepage.Un rapport, dont une copie a été transmise à l'AFP, conclut à "une relation souterraine entre les forages exploités pour l'eau de Volvic et la source Gargouilloux". Mais Danone, qui a financé ces recherches, n'a pas souhaité les publier. "Début de désertification"En aval, le manque d'eau "agit sur la biodiversité des milieux humides", déplore Christian Amblard, chercheur honoraire au CNRS de Clermont-Ferrand."On peut parler d'un début de désertification" allant de pair avec "le dépérissement de la végétation et de la faune associée: l'aulne glutineux et le tarin des aulnes, le frêne et le loriot d'Europe", détaille le scientifique."Seuls la main de l'homme et Volvic en sont responsables", assène-t-il.Comme lui, associations et riverains s'interrogent sur la responsabilité de Danone et de sa Société des eaux de Volvic (SEV), dont l'usine d'embouteillage est située à quelques centaines de mètres à vol d'oiseau.Le 21 mars, plusieurs centaines de personnes ont manifesté pour la journée mondiale de l'eau, à l'appel du collectif Eau Bien commun 63."Aujourd'hui, les débits ne permettent plus d'irriguer les cultures. Depuis quelques années, il n'y a plus d'activité maraîchère ou horticole dans cette zone", constate Laurent Campos-Hugueney, membre du collectif et porte-parole de la Confédération paysanne.Les forages de la SEV atteignent 100 mètres de profondeur: "c'est comme si on vidait la baignoire par le bas", explique François-Dominique de Larouzière, géologue et membre de l'Association pour la protection des entrées sur les volcans d'Auvergne (Preva)."Danone se tire une balle dans le pied, mais quand il n'y aura plus d'eau au robinet, ça va faire mal" prédit-il.La multinationale a prélevé 2,33 millions de mètres cube en 2020, soit près d'un quart des usages de l'eau sur ce territoire, la moitié étant réservée à l'eau potable et le reste au milieu naturel.Danone assure avoir limité ses prélèvements, tout en menant différentes actions de protection de l'impluvium, la zone qui recueille l'eau de pluie."Nous avons économisé 380 millions de litres entre 2017 et 2020 pour des niveaux de vente stables", déclare à l'AFP Jérôme Gros, directeur des usines Volvic qui emploient 900 salariés.Pour embouteiller un litre d'eau, il fallait prélever quasiment le double en 2014 en raison des opérations de nettoyage. "Aujourd'hui nous sommes à 1,4 litre prélevé pour un litre embouteillé", se félicite-t-il."Insuffisant", pour les associations. Elles rappellent que le groupe a obtenu l'annualisation des prélèvements, ce qui lui permet de pomper plus l'été pour répondre à la demande."Comment expliquer au citoyen qu'il ne peut pas arroser trois pieds de tomates en plein été quand il voit sortir de l'usine camions et wagons chargés?", s'emporte François-Dominique de Larouzière.L'Etat en accusationPourtant "Danone n'enfreint pas la loi. C'est l'Etat qui lui accorde des droits de prélèvements supérieurs à la capacité de régénération de la ressource", reconnaît le géologue.De fait, un arrêté de 2014 prévoit un volume maximal de 2,79 millions de mètres cube par an, supérieur aux prélèvements de la SEV.Soit 88,6 litres par seconde, contre 15,6 litres par seconde en 1965, année des premiers embouteillages commerciaux.Malgré plusieurs sollicitations, le préfet Philippe Chopin a refusé de répondre l'AFP, renvoyant aux services de la DDT (Direction départementale du territoire)."Les autorisations annuelles fixées dans l'arrêté de 2014 sont suivies et contrôlées par l'État et respectées par l'embouteilleur", souligne la préfecture dans une réponse écrite."Les conditions environnementales, et notamment la sécheresse, ont conduit à une baisse de la recharge de l'aquifère sans qu'elle puisse être imputée à notre sens aux prélèvements réalisés en aval par la SEV", avait argumenté le préfet début avril, lors de son audition devant la commission parlementaire sur "la mainmise sur la ressource en eau par les intérêts privés", présidée par Mathilde Panot (LFI).Toutefois, selon les données de Météo-France, les cumuls annuels de précipitations sur la zone n'ont pas varié, même s'ils sont moins réguliers. Quant à la hausse des températures, "elle ne peut expliquer à elle seule ce déficit", assure M. de Larouzière.Des incertitudes pèsent aussi sur l'alimentation en eau potable.Les permis de construire ont été suspendus sur les hauteurs de Volvic depuis août 2020: "Nous avons préféré ne plus délivrer d'autorisation de construction afin de réduire le risque de déficit d'eau potable sur un captage", explique Laurence Dupont, première adjointe au maire chargée de l'urbanisme.La mairie reconnaît avoir reçu des courriers de citoyens mécontents de ne pouvoir bâtir alors que la multinationale poursuit ses prélèvements.Mais le maire Laurent Thévenot est catégorique: les captages en eau potable sont indépendants de ceux de la SEV et "les deux phénomènes ne sont pas liés"."En tant que maire, je n'ai pas vocation à aller dans le sens des gens qui accusent la SEV, alors que je n'ai aucun élément pour étayer cette hypothèse", balaye l'élu, dont une centaine d'administrés travaillent à l'usine.
Il y a 3 ans et 349 jours

Young European Architects, à la CA’ASI, Venise

La CA’ASI expose Young European Architects, un des évènements collatéraux officiels de la 17ème édition de la Biennale Architettura 2021. Jusqu’au 21 novembre 2021. Comme pour les éditions précédentes* – à l’occasion desquelles furent successivement conviés les jeunes architectes chinois, arabes, africaines et latino-américaines – aucun thème n’était imposé, favorisant ainsi, l’émergence des idées en […] L’article Young European Architects, à la CA’ASI, Venise est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 349 jours

A Venise, la One Open Tower de Nicolas Laisné entretient la proximité

A l’occasion de la 17ème Exposition Internationale d’Architecture de Venise, Nicolas Laisné Architectes présente à la Corderie de l’Arsenal, la « One Open Tower », Architecture-Sculpture verticale. Communiqué. La One Open Tower est une Architecture-Sculpture de 5 mètres de haut synthétisant le manifeste du studio français, dans lequel une nouvelle génération de bâtiments – ouverts, […] L’article A Venise, la One Open Tower de Nicolas Laisné entretient la proximité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 349 jours

Visite d’une maison bois bioclimatique en Anjou – LMB Martin Frères #BGT001

David et Séverine nous font découvrir au travers de ce reportage leur maison bois construite par LMB Martin Frères de Montilliers (FR-49), dans une petite commune du Maine & Loire. Ce couple, parent de 2 jeunes garçons au moment de leur projet, a fait le choix d’une maison ossature bois pour leur première construction. Et […]
Il y a 3 ans et 350 jours

Centre Albert Schweitzer de Dammarie-les-Lys, une exposition lumineuse signée MAO

L’agence Mobile Architectural Office (Mao) a livré en 2019 la rénovation du Centre socio-culturel Albert Schweitzer à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne). La façade en verre et acier inox brossé laqué agit comme une peau rassurante et signe le retour en grâce d’un équipement de quartier sensible. Plaine du Lys, morne plaine ? Inauguré en 1996, le centre de […] L’article Centre Albert Schweitzer de Dammarie-les-Lys, une exposition lumineuse signée MAO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
GDA
Il y a 3 ans et 350 jours

Relance : "Dommage qu'il n'y ait pas de mesures plus ciblées sur la rénovation", P. Boué

INTERVIEW. Fraîchement élu à la présidence de la Fédération des ascenseurs, Philippe Boué présente à Batiactu sa feuille de route et les grands chantiers qui attendent ses adhérents après plus d'un an de crise sanitaire. À l'heure d'une transition écologique réaffirmée, l'occasion lui a aussi été donnée de revenir sur l'impact carbone des ascenseurs.
Il y a 3 ans et 350 jours

Nouveaux marteaux-perforateurs Biturbo – La liberté du sans-fil et la puissance du filaire

Des outils extrêmement compacts et puissants Dans la gamme d’outils BITURBO Brushless, Bosch lance de nouveaux perforateurs sans-fil, les plus puissants de leur catégorie : le GBH 18V-34 CF professional (SDS plus 4kg), le GBH 18V-36 C Professional (SDS Max 5kg) et le GBH 18V-45 C Professional (SDS-Max 8kg). Ils ont été optimisés pour offrir une efficacité maximale. Le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé aux nouvelles batteries ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), permet de disposer d’une puissance et d’une autonomie sans précédent pour couvrir les applications les plus exigeantes dans le béton, la brique, la pierre… Plus légers, grâce à un système d’entraînement optimisé, et 20 % plus compacts que les perforateurs de même catégorie, les perforateurs BITURBO Brushless, offrant le même rapport poids/puissance qu’un outil filaire la mobilité en plus, vont révolutionner les travaux de perçage et de burinage. Des performances de forage élevées Les perforateurs sans-fil BITURBO Brushless Bosch se distinguent par leur puissance. Le GBH 18V-34 CF SDS Plus Professional dispose d’une force de frappe de 5,8 Joules, pour percer des trous de 12 à 30 mm, et le GBH 18V-36 C SDS Max Professional d’une force de frappe de 7 Joules pour percer des trous de 14 à 36 mm. Enfin, le GBH 18V-45 C SDS Max Professional déploie 12,5 Joules, permettant de forer des trous de 20 à 40 mm. Ces performances de forage (GBH 18V-45 C Professional) ont été confirmées par un institut indépendant : avec une seule charge de batterie, il couvre une distance moyenne de forage de 4,27 m avec un Ø de foret de 25 mm. Aucun autre perforateur sans-fil de cette catégorie n’égale cette endurance. Outre leur puissance, les perforateurs BITURBO Brushless Bosch sont plus légers et bénéficient d’une conception à la fois robuste et compacte. Le mécanisme de transmission optimisé contribue à réduire le poids des machines, les rendant plus légères que les outils filaires comparables, et ce même avec une batterie ProCORE18V 12,0 Ah. Connectivité et nouvelle interface utilisateur Avec les perforateurs BITURBO Brushless Bosch, électriciens, plombiers, chauffagistes, artisans du bâtiment… disposent d’outils intelligents. Grâce à un affichage interactif sur l’outil et des fonctions de connectivité Bluetooth via Smartphone, ils peuvent contrôler leur machine, l’état de la batterie et adapter l’outil à leur besoin en personnalisant leur réglage via 3 modes de travail différents : – Le mode «Auto» pour des performances maximales, par exemple lors du perçage du béton, – Le mode «Doux» pour le travail sur des matériaux fragiles tels que les carreaux ou la maçonnerie, – Le mode «Favoris» dans lequel les performances de perçage peuvent être définies via l’application. Des protections élevées pour l’utilisateur De nouvelles fonctions électroniques sont également disponibles et peuvent être configurées sur les perforateurs BITURBO Brushless Bosch. La fonction Soft Start permet un démarrage progressif pour le perçage via l’«Electronic Precision Control» (EPC) mais aussi pour le burinage avec l’«Adaptive Speed Control» (ASC). Les artisans peuvent ainsi travailler de manière plus précise lors des travaux de perçage comme de burinage. Les perforateurs sans-fil BITURBO Brushless offrent une protection élevée de l’utilisateur grâce aux fonctions «Vibration Control» et «KickBack Control», qui arrête automatiquement le moteur en cas de blocage soudain de l’accessoire dans le matériau. Cela évite un rebond inattendu et réduit le risque de blessure. Enfin, le verrou d’interrupteur pour les applications continues en mode burin sert également de verrou de transport. Compatibles avec le système 18V Bosch Les perforateurs BITURBO Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Avec le Professional 18V System, Bosch assure la compatibilité avec ses anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage. Dans la gamme BITURBO, Bosch propose également des meuleuses d’angle et des scies, capables désormais de couvrir des applications réservées aux outils filaires jusqu’ici. Prix de vente conseillés : GBH 18V-34 CF : à partir de 599 euros H.T GBH 18V-36 C : 649 euros H.T GBH 18V-45 C : 979 euros H.T Points de vente : Négoces en matériaux, Fournitures industrielles
Il y a 3 ans et 350 jours

Une usine de préfabrication de façades bois-chanvre voit le jour en Seine et Marne

BIOSOURCE. Baptisée Wall'Up, l'usine de préfabrication de façades mixtes bois et chanvre a été inaugurée à Aulnoy en Seine et Marne. Un projet co-créé par plusieurs acteurs de la construction.
Il y a 3 ans et 350 jours

Apprentissage : Le gouvernement renforce son aide auprès des entreprises et des jeunes

JEUNES. Pour que la mobilisation reste forte autour de l'apprentissage, le ministère du Travail déploie des outils sur le site "1 jeune, 1 solution", à destination des employeurs et des futurs salariés. Les sociétés peuvent notamment déposer des offres d'embauche.
Il y a 3 ans et 350 jours

Candidate aux régionales en Ile-de-France, Valérie Pécresse veut récupérer la gestion du périphérique

"La Ville a pour projet de supprimer une voie sur le périphérique parisien" alors que "40% des trajets sont des trajets banlieue-banlieue. Cette infrastructure est une infrastructure régionale, elle ne peut pas rester uniquement la propriété de la mairie de Paris", a estimé jeudi Mme Pécresse (Libres!, ex-LR) lors de la présentation de son programme pour les transports, compétence phare de la région."La région pourrait réparer cette cicatrice qui sépare Paris de la petite couronne", a assuré Mme Pécresse qui lancera à l'automne, si elle est réélue les 20 et 27 juin, la révision du plan de déplacements urbains d'Ile-de-France (PDUIF), dont la dernière version a été approuvée en 2014.Pour cette révision, elle dit vouloir organiser "un référendum régional" dont la question sera: "pour ou contre la suppression d'une voie sur le périphérique?"Selon une étude réalisée par la mairie, les usagers du boulevard périphérique parisien sont très majoritairement hostiles aux modifications - abaissement de la vitesse, suppression de voies - envisagées par la maire socialiste Anne Hidalgo, qui veut pour les JO de 2024 réserver une voie aux participants. Cette voie pourrait ensuite être conservée pour l'auto-partage et les transports en commun."D'accord pour une voie olympique dédiée aux JO, mais non à la pérennisation de cette voie" pour des bus ou du covoiturage, a résumé Mme Pécresse pour qui imaginer des bus sur le périphérique est "surréaliste" et "fait complètement doublon" avec le tramway parallèle sur les boulevards des maréchaux. Quant au covoiturage, "il fonctionnera surtout sur les longues distances" mais "il sera très difficile de l'organiser sur le périphérique", estime-t-elle.Valérie Pécresse a présenté un programme d'investissements dans les transports chiffré à 24,6 milliards d'euros, dont "l'essentiel sera consacré aux grands projets": prolongement ou automatisation de lignes, lignes nouvelles, renouvellement des rames ou encore projets de téléphérique.La présidente sortante a prévu un budget de 150 millions par an pour financer un billet à 4 euros maximum pour "tout déplacement sur le réseau francilien", une mesure de "justice, notamment pour la grande couronne".Mme Pécresse veut également doubler, de 20.000 à 40.000 unités, la flotte des vélos électriques Véligo. Elle dit vouloir maintenir la prime de 500 euros à l'achat d'un vélo électrique, déjà accordée à 500.000 Franciliens, et vouloir créer 40.000 places de parking sécurisées pour les vélos dans les gares d'ici 2025.Un autre projet consiste en la construction d'un "RER vélo", soit 680 km de pistes cyclables financées à 60% par la région.
Il y a 3 ans et 350 jours

Transports : à Nancy, les capsules Urbanloop établissent un record du monde

Ce 28 mai, à Tomblaine (Meurthe-et-Moselle), la solution innovante de transport urbain Urbanloop a homologué un record du monde de la plus faible consommation énergétique au kilomètre pour un véhicule autonome sur rail. Ses capsules pourraient embarquer leurs premiers voyageurs en 2024 à l’occasion des Jeux olympiques de Paris.
Il y a 3 ans et 350 jours

Après une année 2020 chargée, CDC Habitat redouble d'ambition

STRATÉGIE. Avec un parc en progression de 13.200 logements en 2020 et deux plans de relance de dizaines de milliers de logements, l'opérateur de l'habitat de la Caisse des dépôts se positionne comme l'un des plus ambitieux du paysage. Sa politique de prise de participation auprès d'autres bailleurs sociaux va encore augmenter sa force de frappe sur tout le territoire.
Il y a 3 ans et 350 jours

Tours : Le futur CHU gagne en crédit

Le budget, qui était de 388 M€, atteint désormais 522 M€
Il y a 3 ans et 350 jours

"La beauté d'une ville", l'exposition qui rend hommage à Paris

CULTURE. Le Pavillon de l'Arsenal sublime les transformations et controverses qui entourent l'architecture parisienne dans une exposition exceptionnelle. Paysagisme, urbanisme ou encore écologie sont questionnés à travers les siècles. Une rétrospective à ne pas manquer.
Il y a 3 ans et 350 jours

Carnavalet, palimpseste parisien

À l'occasion de la réouverture tant attendue du musée Carnavalet – Histoire de Paris, entièrement restauré ...More about Cet article Carnavalet, palimpseste parisien est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 350 jours

Le chauffage au granulé de bois, pourtant en phase avec les réglementations, remis en cause dans les débats publics

L’interdiction du gaz dans la construction neuve à l’horizon 2022, le non-remplacement des chaudières aussi dès 2022, ou encore la réforme du nouveau DPE entrée récemment en consultation, soulèvent de nouveaux défis.Le bois, première source d’énergie renouvelable de France, soutenu par la PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie), possède de nombreux atouts pour répondre aux besoins en chaleur. Les pouvoirs publics, conscients du potentiel de la biomasse, ont fait de cette source d’énergie locale et renouvelable, un élément incontournable de la prochaine RE 2020 qui entrera en vigueur en 2022. Plus précisément, le granulé, grâce à sa densité énergétique, son excellent bilan carbone, sa combustion propre et sa flexibilité d’utilisation, a toutes les qualités pour un chauffage durable et respectueux de l’environnement.Cependant, de nombreuses interrogations demeurent dans le débat public. Elles concernent notamment le taux d’émissions de particules fines du chauffage au bois, ou encore la provenance du bois pour fabriquer du granulé, parfois associé à des pratiques de déforestation.Face à ces récentes mises en cause, Propellet souhaite rappeler deux arguments majeurs. Premièrement, un appareil moderne et performant au granulé associé à ce combustible de haute qualité n’émet qu’un taux très faible de particules fines. Par ailleurs, les granulés sont fabriqués à 100% à partir des sous-produits de la forêt et des industries du bois. Cette matière n’est pas directement issue de l’exploitation forestière puisqu’elle arrive en bout de chaine.Equipements performants et combustible certifié : La recette d’une qualité de l’air préservéeLa qualité de l’air est un enjeu majeur pour la santé publique dont les autorités se sont saisies. Des textes officiels comme le rapport parlementaire de la député Emilie Chalas sur la qualité de l’air et le chauffage au bois domestique ou encore le récent plan d’action du gouvernement pour un chauffage au bois domestique performant, soulignent tous une réalité: s’ils encouragent les appareils de chauffage au bois modernes à haut rendement, ils déplorent l’impact négatif des appareils à foyer ouvert, anciens et mal entretenus sur la qualité de l’air.Or, malheureusement, et malgré le renouvellement progressif du parc des équipements de chauffage, les foyers ouverts et équipements anciens peu performants (datant d’avant 2005) constituent encore 48% du parc des équipements et sont responsables de 82% des émissions de particules fines du chauffage au bois individuel.Propellet appelle ainsi à la sensibilisation des citoyens sur l’impact négatif sur la qualité de l’air que peut représenter un appareil inadapté et dépassé. L’association souhaite encourager le remplacement des appareils anciens par des équipements modernes, performants et à foyer fermé labelisés « Flamme Verte sept étoiles » ou équivalents. Par ailleurs, l’utilisation d’un granulé de haute qualité certifiée, permet de diminuer drastiquement les émissions de particules fines.« Le chauffage au granulé moderne, tel qu’on le connait actuellement, n’émet pratiquement pas de particules fines. Un appareil récent performant émet jusqu’à 30 fois moins de particules fines qu’un foyer fermé antérieur à 2002 et jusqu’à 30 fois moins qu’un foyer ouvert ! Malheureusement, le raccourci est encore trop facile entre une cheminée traditionnelle fortement émettrice de particules fines et une chaudière moderne ultra performante et à haut rendement. Il faut rétablir la vérité sur la réalité du chauffage au granulé en allant au-delà d’une image stéréotypée. » - Eric Vial, délégué général de Propellet.Un granulé issu des coproduits de l’industrie du bois« Nous avons récemment vu dans les médias une violente remise en cause de la biomasse pour se chauffer, associant des images de déforestation massives à la fabrication de granulé. Nous tenons à rappeler un chiffre : 100% du granulé est fabriqué à partir des coproduits des industries du bois, tels que les copeaux ou la sciure, qui sont produits lors de la première transformation du bois (pour fabriquer des charpentes, mobiliers, etc.) Le granulé a donc un rôle clef à jouer dans la valorisation de ces résidus en énergie ! » - Eric Vial, délégué général de PropelletLa fabrication de granulé de bois joue un rôle majeur dans le cycle de vie du bois, notamment lorsqu’il s’agit de réutiliser des coproduits qui ne trouveraient pas d’autres débouchés.La production de granulé est également issue de la coupe d’éclaircies ou d’entretien de la forêt. Ces coupes permettent notamment aux jeunes arbres d’obtenir davantage de lumière pour grandir. Elles assurent une sylviculture plus dynamique et permettent la régénérescence des arbres afin qu’ils captent plus de carbone.« De nombreuses inquiétudes persistent actuellement concernant la disponibilité de la ressource et beaucoup s’imaginent que la massification du chauffage au bois entraînera une surexploitation du tissu forestier. C’est faux ! La production de ces coproduits est suffisamment importante pour assurer les besoins en chauffage au granulé. D’autre part, le granulé de bois n’a pas pour vocation de répondre à l’ensemble des besoins énergétiques. La transition passe forcément par le mix énergétique » - Eric Vial, délégué général PropelletNaturellement, le renouvellement des appareils de chauffage individuels au bois, qui sont aujourd’hui beaucoup plus performants, combiné aux efforts d’efficacité thermique des bâtiments conduiront à ce qu’une même quantité de bois puisse permettre de chauffer un nombre plus important de ménages français. Par ailleurs, les besoins en construction ou mobilier, étant croissants, cela s’accompagnera par une augmentation maîtrisée des prélèvements forestiers, en tous les cas bien inférieurs à la croissance de la forêt.
Il y a 3 ans et 350 jours

Emploi : quels sont les métiers qui recrutent le plus dans le BTP en 2021 ?

RECRUTEMENT. Trois métiers semblent particulièrement concentrer les besoins d'embauche, selon un baromètre du groupe Synergie. Les cadres et ingénieurs bénéficient quant à eux d'un important afflux de CDI. D'une manière générale, la montée en puissance des chantiers de rénovation énergétique et des grands projets d'infrastructures stimule la demande.
Il y a 3 ans et 350 jours

Fasfox : Suivre, gérer et optimiser son bétonnage

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Concrete Dispatch permet de suivre et de gérer les bétonnages sur chantier [©Fasfox] Imaginé par la start-up Fasfox, Concrete Dispatch se présente comme un logiciel de gestion et de suivi des bétonnages. Il permet de contrôler le cycle de vie des bétons sur chantier. Dans la phase précédant le bétonnage, l’application sert à planifier la date souhaitée, la formulation prévue, ou encore les ouvrages et les éléments à réaliser. Concrete Dispatch offre la possibilité de gérer sa comptabilité avec les bons de livraison de la plupart des fournisseurs. Durant le bétonnage, l’application, disponible sur mobile, revêt un autre rôle. A ce stade, l’opérateur peut scanner ses bons de livraison, suivre la ventilation du bétonnage par ouvrages et éléments d’ouvrages. Mais aussi, les contrôles qualité sur chantier (température, affaissement ou étalement…). L’application de Fasfox prend ainsi en considération les prestations de pompage, les retours bétons, les retards camions. Enfin, à la fin du bétonnage, elle envoie une notification. Elle autorise la gestion des données récoltées durant le chantier : des informations qui sont stockées et qui peuvent être exportées. Avec sa solution, Fasfox promet une mise en place du dispositif en moins d’une semaine sur un projet. Dernièrement, Concrete Dispatch a été utilisée sur les chantiers franciliens de la ligne 15 Sud, du prolongement de la ligne 11 ou encore sur le lot 2 de la ligne 16, dans le cadre du Grand Paris. Aujourd’hui, Concrete Dispatch est en cours de déploiement sur le chantier du port du Havre (76).  Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Le gouvernement défend l'éolien et demande aux préfets d'identifier des "zones favorables"

"L'éolien c'est vital, les énergies renouvelables c'est vital. On en a besoin pour baisser nos émissions de gaz à effet de serre, avoir un mix énergétique plus décarboné", a-t-elle dit.Pour elle, "c'est un débat parmi des personnes qui sont contre l'éolien, qui sont très bien organisées et qu'on entend très fort. Mais des sondages comme celui de l'IRSN montrent que des proportions importantes de la population sont favorables à l'éolien", a-t-elle plaidé.Selon le baromètre de l'Institut de sûreté nucléaire (IRSN) sur la perception des risques, 82% des Français ont une bonne image de l'énergie éolienne. Du côté des installations, le parc éolien est jugé le plus acceptable: 41% des sondés accepteraient de vivre près d'éoliennes, 22% près d'une ligne à autre tension, 16% près d'une centrale nucléaire.Les intermittences des énergies renouvelables, "ça se se gère", a insisté la ministre. "Le stockage de l'électricité, on y travaille, d'ici 20 ans la question sera réglée. Le coût des éoliennes ou du solaire est en train de rattraper largement le nucléaire.""Ce qu'on veut faire c'est décarboner, baisser l'insécurité qu'on pourrait avoir avec une seule source d'électricité - comme c'est le cas aujourd'hui avec le nucléaire - et puis penser aux économies d'énergie", a-t-elle poursuivi.Concernant la part future du nucléaire en France, le choix pour après 2035 "devra être fait une fois tous les scénarios sur la table. RTE (le gestionnaire du réseau électrique, ndlr) est en train de les faire", a-t-elle dit, souhaitant que la "décision ne soit pas prise par en haut mais démocratiquement, suite à une campagne, par les parlementaires ou d'autres moyens".Les préfets ont six mois pour identifier des "zones favorables"Le gouvernement donne six mois aux préfets de région pour cartographier les "zones favorables" à l'installation de parcs éoliens, en soulignant l'importance de la concertation avec les habitants et les élus, selon une circulaire publiée vendredi.Mme Pompili demande un "premier retour" six mois après les élections régionales, en vue de finaliser les projets un an après celles-ci. La cartographie sera "non-contraignante", un "outil d'aide à la décision", est-il précisé."Le développement des énergies renouvelables électriques passera inévitablement par une forte croissance du solaire photovoltaïque et de l'éolien terrestre, dont les capacités installées devront être multipliées respectivement par 5 et 2,5 entre 2019 et 2028", souligne Mme Pompili dans la circulaire publiée sur le site Légifrance.Le gouvernement souhaite un développement "plus harmonieux et mieux réparti" sur l'ensemble du territoire français.Dans les instructions données aux préfets, la ministre met par ailleurs l'accent sur la protection de l'environnement, l'information du public et des élus locaux, la concertation, essentiels pour favoriser l'acceptation des projets.
Il y a 3 ans et 350 jours

Etnisi : Et les déchets deviennent de matière de création

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Etnisi transforme les déchets du BTP en des objets et des matériaux du quotidien. [©Etnisi] Quel est le point commun entre des coquilles d’huîtres de la Braderie de Lille et du béton de déconstruction ? Etnisi ! La start-up lilloise conçoit et fabrique du mobilier, du carrelage et des objets design avec au moins 75 % de matières issues du recyclage, comme les coquilles de moules ou les voiles en béton. « En 2016, j’ai quitté mon emploi dans une grosse entreprise de BTP pour trouver une solution de réutilisation des déchets de ce secteur, explique Espérance Fenzy, fondateur d’Etnisi. Le process de récupération, de transformation et de production était mis en place en septembre 2017. Depuis, nous traitons 2 t/j de matières. » Des objets et un réseau uniques Le béton est issu de la déconstruction, mais limité aux fractions les plus fines. « Il y a déjà une filière de réutilisation des fractions les plus grosses, qui finissent par exemple en remblais. Cela n’aurait pas eu de sens de nous intéresser à ce gisement-là. » Le but étant de réduire au maximum les déchets issus du BTP qui finissent en décharge. Tout en créant des objets à la personnalité à part. « La matière continue de vivre. Pour exemple, le béton de la région lilloise est riche en granulats calcaires. Alors que dans le Boulonnais, c’est l’argile qui est plus présente. Les objets créés avec le premier sont plutôt gris. Avec le second, plutôt marrons. C’est un parti pris de notre part, utiliser les aspérités et l’hétérogénéité pour créer des objets uniques. » Et un réseau unique aussi. Lire aussi : Les matériaux biosourcés au quotidien En effet, Etnisi prévoit d’essaimer son process dans les 40 plus grandes villes françaises d’ici 5 ans. Non pas pour le chiffre d’affaires, mais pour traiter localement les matières et relocaliser les emplois. « Nous travaillons avec des entreprises d’insertion pour produire  avec les gisements de matières locales. Etnisi ne sera pas une entreprise de 3 000 personnes réalisant du mobilier. Mais quelque 50 personnes qui aident à mettre en place un process, permettant de transformer n’importe quelle matière en un objet du quotidien. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Les projets de construction en bois tiennent-ils leurs promesses ?

ENQUÊTE. Batiactu se penche, dans une enquête en plusieurs volets, sur la construction bois, entre promesses et réalisations. Dans ce premier épisode, nous avons questionné un aménageur public, EpaMarne, sur sa capacité à faire respecter les engagements des promoteurs lauréats des consultations de charges foncières. D'autant qu'entre celle-ci et le moment de la construction, de nombreuses contraintes peuvent apparaître...
Il y a 3 ans et 350 jours

CCCA-BTP : L’innovation au cœur de la formation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Franck Le Nuellec, directeur marketing, développement et innovation stratégique au CCCA-BTP. [©Franck Le Nuellec] Le CCCA-BTP1est un outil de branche visant à organiser la formation dans le monde du BTP. « Nous accompagnons 380 organismes, compagnons, chambres de métiers et écoles d’ingénieurs, explique Franck Le Nuellec, directeur marketing, développement et innovation stratégique au CCCA-BTP. Cela représente 84 000 apprentis par an, du CAP au diplôme d’ingénieur». Située à Paris, l’entité rassemble 75 collaborateurs avec différents métiers. Elle est financée par les acteurs du secteur de la construction, à travers les taxes sur le bâtiment et les travaux publics. « Nous sommes organisés autour de plusieurs pôles :  métier, marketing et développement, appel à projets et innovations. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

Nord : l’accord qui valait 100 millions d’euros… environ

Sur les 388 millions d’euros engagés par le département du Nord pour favoriser la relance, 100 millions d’euros devraient être fournis par l’Etat, conformément à l'accord de relance départemental signé à Paris le 27 mai. Si le document ne définit pas dans le détail les sommes qui seront allouées à la collectivité, il acte la volonté de l’Etat de soutenir de nombreux projets ayant trait à notamment à la transition écologique : une aide de 8,3 millions d’euros permettra par exemple d’accélérer les travaux de rénovation énergétique sur les collèges.
Il y a 3 ans et 350 jours

L'économie française rate la reprise au premier trimestre mais les perspectives restent bonnes

Le produit intérieur brut (PIB) s'est légèrement contracté de 0,1% au premier trimestre, selon une nouvelle estimation vendredi de l'Insee, qui a fortement revu à la baisse sa précédente évaluation d'une croissance de 0,4%.En cause, une reprise de l'activité et de l'investissement dans le secteur de la construction bien moins forte que ce qu'avait évalué l'Insee.La France rejoint donc les grandes économies européennes qui ont aussi vu leur PIB se contracter sur la période même si elle s'en sort un peu mieux (-1,8% pour l'Allemagne, -0,4% pour l'Italie, -0,5% pour l'Espagne).Mais cela ne jette aucun froid sur l'optimisme du gouvernement. Le chiffre révisé "ne change rien à notre ambition (...) d'avoir 5% de croissance en 2021", a aussitôt réagi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire auprès de l'AFP en marge d'une visite d'entreprise à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine).Le ministre met d'ailleurs en avant le fait que l'Insee a légèrement amoindri l'ampleur de la récession record de l'an dernier, avec une chute du PIB ramenée à environ -8% (-7,9% sans correction des jours ouvrés), contre -8,2% précédemment estimé.Cette révision ramène par ailleurs le ratio de dette publique à 115,1% du PIB en 2020, contre 115,7% évalué jusqu'ici. Le déficit public reste lui de 9,2% l'an dernier, contre 3,1% l'année précédente."Garder son sang-froid"Cela "prouve que nous avons bien protégé l'économie française en 2020, grâce à tous les dispositifs que nous avons mis en place", a défendu Bruno Le Maire, citant la progression du pouvoir d'achat des ménages (+0,4%).Ces aides sont d'ailleurs prolongées cette année même si elles seront progressivement réduites avec 15,5 milliards d'euros supplémentaires alloués aux mesures d'urgence, auxquels s'ajouteront de nouveaux dispositifs de soutien aux entreprises pour la sortie de crise.Le gouvernement compte sur une très forte reprise cet été, à l'image du rebond spectaculaire de l'économie à l'été 2020 après le premier confinement, porté par la consommation des ménages.Appelant à "garder son sang-froid et sa constance, ne pas céder à un chiffre ou à un autre, à un indicateur ou à un autre qui peuvent tomber au fil des jours", M. Le Maire a assuré que "les indicateurs sont tous bien orientés".La confiance des ménages et des entreprises a effectivement nettement rebondi en mai, selon l'Insee."L'annonce d'ouverture de la vaccination à tous les adultes à partir du 31 mai devrait continuer d'accompagner la forte reprise d'activité" dans les services et le commerce de détail, a souligné Samuel Abettan, économiste à la banque ING."Même si les chiffres montrent maintenant que l'économie a débuté 2021 plus difficilement que ce qui était estimé précédemment, cela ne change pas la perspective globale", estime aussi Diego Iscaro, économiste au cabinet IHS Markit."Nous estimons toujours que la réouverture progressive de l'économie conduise à un fort rebond de l'activité, a-t-il indiqué à l'AFP.En 2022 au niveau d'avant criseLe ministre a également réitéré "l'objectif stratégique" fixé depuis le début de la crise qui est de "revenir au premier trimestre de 2022 au niveau de développement économique que nous avions avant la crise en 2019".L'écart à combler pour atteindre l'ambition gouvernementale se creuse toutefois un peu après la moindre performance du premier trimestre.Le PIB y restait encore 4,7% sous son niveau de fin 2019, juste avant le début de la crise sanitaire. Et l'acquis de croissance pour 2021, qui correspond à la croissance que l'on aurait si l'activité restait au niveau du premier trimestre jusqu'à la fin de l'année, se situe désormais à 3,5% contre 4,1% estimé précédemment.L'Insee ne donne pas encore de prévision pour l'ensemble de l'année, tandis que la Banque de France table sur 5,5%, l'OCDE sur 5,9% et la Commission européenne sur 5,7%.Dans le détail, au premier trimestre la consommation des ménages n'a progressé que de 0,1%, la production est restée stable (contre +0,4%) et l'investissement n'est en hausse que de 0,2% (contre +2,2%).Le revenu disponible des ménages a lui légèrement diminué au premier trimestre (-0,2%) tout en restant au-dessus de son niveau d'avant crise, selon l'Insee, tandis que la baisse des impôts de production est déjà visible dans le taux de marge des entreprises, qui a progressé à 34,8%.
Il y a 3 ans et 350 jours

Elections régionales : Philippe Beauchamps quitte Ramery pour rejoindre Xavier Bertrand

Le directeur général du groupe de BTP a annoncé sur Linkedin qu'il quittait ses fonctions dans l'entreprise pour rejoindre la liste du président des Hauts-de-France pour les élections régionales.
Il y a 3 ans et 350 jours

BatiIMMO, nouveau service du CSTB, disponible sur le portail Batipédia

Disponible sur BATIPÉDIA, portail d’informations et de services technico-réglementaires du CSTB, BatiIMMO permet ainsi à tout responsable, qu’il soit responsable technique, exploitation- maintenance..., d’établissements de type ERP, de locaux de travail ou d’immeubles d’habitation, de s’assurer de la conformité réglementaire du site dont il a la charge et de garantir la sécurité des usagers.Conformité réglementaire et assurantielle des bâtiments : responsabilités & obligationsEtablissements Recevant du Public, locaux de travail, immeubles d’habitation... : les bâtiments sont soumis à de nombreuses obligations réglementaires et assurantielles (APSAD), évoluant régulièrement. Il revient aux chefs d’établissements, bailleurs sociaux, administrateurs et propriétaires d’immeubles, etc., avec leurs équipes techniques notamment, de connaître et maitriser l’ensemble de ces obligations, de s’assurer de la réalisation, en temps et en heure, des contrôles et vérifications associés, et ainsi, de la bonne conformité du site dont ils ont la charge.En cas d’incident, si ces obligations réglementaires n’ont pas été respectées, leur responsabilité pourra en effet être recherchée et/ou les garanties assurantielles remises en cause. L’enjeu est donc potentiellement lourd humainement et économiquement.Pour aider les acteurs à répondre à cette préoccupation, le CSTB lance BatiIMMO, nouveau service de suivi de la conformité réglementaire et assurantielle.BatiIMMO : un service dédiéSolution-métier bénéficiant de l’expertise du CSTB en matière de veille et analyse continues de l’environnement réglementaire et assurantiel, dans le domaine de la construction, BatiIMMO permet, une fois renseigné :D’identifier les obligations réglementaires et APSAD, adaptées à la destination et au contexte de leur(s) site(s) / bâtiment(s) et équipements ;De planifier les contrôles et interventions périodiques à effectuer, et ainsi en réduire le coût direct ou indirect, en évitant par exemple l’immobilisation ou la perturbation du bon fonctionnement du site ;D’assurer le suivi / pilotage des actions à conduire pour répondre aux observations et réserves formulées lors des contrôles ;De rester informé, au quotidien, de l’évolution de la réglementation, pour anticiper et intégrer les nouvelles obligations de contrôles, dès leur publication.Des fonctionnalités essentielles pour :Assurer le bon fonctionnement des équipements installés ;Garantir la sécurité des usagers ;Sécuriser le chef d’établissement, bailleur, propriétaire ... au regard de l’engagement de sa responsabilité en cas de non-respect ou de non-conformité avec la réglementation, par méconnaissance ou par négligence.BatiIMMO : un outil simpleDisponible via licences annuelles, mono ou multisites, BatiIMMO s’utilise, pour chaque site à suivre, en 2 phases :1. Description du patrimoine :Description des principales caractéristiques du bâtiment (type, adresse, nombre d’occupants, date du permis de construire...) ;Inventaire et description (caractéristiques, date d’installation et des derniers contrôles effectués...) des équipements immobiliers installés, sélectionnés dans une bibliothèque organisée autour de différentes catégories¹ : Santé – Diagnostics – EnvironnementSécurité des locaux Sécurité incendieCirculation ÉlectricitéPlomberie – Réseaux d’eau intérieursChauffage – Ventilation – ClimatisationÉquipements Sous Pression (ESP) VRD – Espaces verts – Aménagements Jeux - SportsCette 1ère phase permet de générer un plan de surveillance réglementaire adapté au contexte du bâtiment suivi. C’est sur ce plan de surveillance que s’appuiera la 2ème phase, dédiée au pilotage & à la planification.2. Pilotage & planification :Via un tableau de bord synthétique, des alertespersonnalisées et une navigation fluide, l’utilisateur peutfacilement :Suivre les obligations afférentes à son site / bâtiment /équipements ;Planifier les contrôles et vérifications associés, les actions et travaux à réaliser en conséquence ;Renseigner au fur et à mesure les interventions effectuées ;Archiver des données pour conserver la mémoire numérique de la conformité réglementaire du bâtiment ;Etc.Le regard du CSTB :« Nul n’est censé ignorer la loi ». Mais de fait, il est souvent difficile, pour un chef d’établissement, un bailleur, un propriétaire... de connaitre et maîtriser parfaitement l’ensemble du cadre réglementaire qui concerne spécifiquement le parc, le bâtiment et les équipements immobiliers dont ils ont la charge. BatiIMMO les accompagne dans cette mission, les sécurisant ainsi face à leur responsabilité en matière de conformité règlementaire du site » - Patrick Morand – Directeur Éditions – Formations CSTBBatiIMMO sera disponible dès le 8 juin, sur le site de BATIPÉDIA :(www.batipedia.com)¹ Près de 150 équipements et plus de 1 000 obligations répertoriés- Possibilité d’ajouter un équipement ou une obligation manquante
Il y a 3 ans et 350 jours

Un vent de fronde souffle au Pays Basque, où l'immobilier explose

DÉGRADATIONS. Des agences immobilières taguées ou plastiquées, des cadenas de résidences touristiques coupés... Face à une envolée "inquiétante" des prix de l'immobilier au Pays Basque, la colère gronde et les actes de vandalisme se multiplient. Des associations demandent des mesures pour éviter que toute une partie de la population ne soit exclue du marché local.
Il y a 3 ans et 350 jours

Piloter les vérifications règlementaires et assurantielles

Le CSTB lance BatiIMMO, une solution permettant de piloter les contrôles et vérifications réglementaires et assurantielles obligatoires (APSAD), à l’échelle d’un parc immobilier, d’un site ou d’un bâtiment.