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Il y a 3 ans et 363 jours

La Smart Buildings Alliance se dote d'un Advisory Board, un conseil d'orientation stratégique

11 membres experts des métiers de la villeUn important travail de réflexion a été conduit par Emmanuel François, Président de la Smart Buildings Alliance et Marc Daumas, Directeur général d’Aire Nouvelle chez ENGIE, pour choisir le groupe le plus diversifié et représentatif possible. L’idée étant d’élargir le champ d’actions de la SBA à toutes les sphères de l’immobilier et de la ville.« Notre objectif est avant tout d’aider la SBA à tenir sa promesse, celle de combiner transition numérique et transition environnementale au service de tous les usagers »Marc Daumas, Président de l’Advisory Board« C’est dans cette perspective que nous avons sollicité et rassemblé une riche diversité de référents et d’experts parmi les meilleurs acteurs de l’immobilier et de la ville : élu de collectivité territoriale, représentant d’ONG, constructeur, promoteur, établissement financier, aménageur, établissement public d’Etat, foncière, équipementier, architecte urbaniste, énergéticien »Emmanuel FrançoisCe sont au total 11 personnalités reconnues dans leur environnement professionnel - ancien ministre, CEO de grands groupes, président d’organisations professionnelles, élus, représentants de collectivités territoriales ou d’ONG – qui ont été choisies pour faire partie de ce conseil d’orientation stratégique. Elles se sont réunies pour la première fois le 27 janvier dernier, afin de se rencontrer et partager les leviers et les freins à cette ambition.Même si certains membres étaient déjà adhérents de la Smart Buildings Alliance, d’autres ont été choisis afin d’explorer et d’élargir de nouveaux points de vue et visions externes pour massifier le déploiement des solutions Smart au service de l’environnement et des usages. Grâce à cette prise de recul, l’Advisory Board pourra aider la SBA à cadrer son projet si cela est nécessaire, mais également faire face à d’éventuelles difficultés et la guider dans ses choix et sa stratégie.Les missions de la SBA :Imaginer et concevoir les conditions de mise en oeuvre et de développement des smart buildings dans la smart city en relevant les défis posés par : La transformation numériqueLe développement durableLa place des services et des usagers au coeur des bâtiments et de la villeContribuer à faire de l'Europe et de la France une place forte mondiale des smart buildings et de la smart city (équipements, logiciels, usages...)Les missions de l'advisory Board :Conseiller la SBA sur ses orientations et sa stratégieAccompagner la SBA dans l'élargissement de son champ d'action à toutes les sphères de l'immobilier et de la villeÊtre un levier de la massification des solutions smart sur tout le territoireAppuyer le déploiement à l'international de la SBA« Nous voulons constituer un nouveau levier de massification pour développer les solutions Smart sur tous les territoires et soutenir le déploiement de la SBA à l’international. »Marc Daumas
Il y a 3 ans et 363 jours

L’État veut aider les villes à repérer les logements vacants

Bordeaux, Toulouse, Grenoble... Ce plan vise à accompagner les élus locaux pour lutter contre les logements vides ou non occupés et prend la forme de mesures incitatives, avec notamment le déploiement d'une plateforme numérique qui permet de recenser et de localiser les logements vacants. L'aide inclut aussi des crédits complémentaires pour la rénovation des logements.D'ici la fin de l'année 2021, 57 collectivités territoriales sélectionnées - dont les métropoles de Bordeaux et de Lille - bénéficieront d'outils numériques pour "repérer, contacter et convaincre les propriétaires de logements vacants" et suivre la remise des logements sur le marché.La liste inclut aussi la métropole de Grenoble, les communautés d'agglomérations du Puy-en-Velay, du Grand Cahors, du Bassin d'Aurillac, ou encore de Châlons-en-Champagne.Elles seront rejointes par 44 autres territoires pilotes qui obtiendront des crédits d'ingénierie destinés à "remettre ces logements sur le marché"."On estime à 1,1 million le nombre de logements en France aujourd'hui inoccupés depuis plus de 2 ans ; cela représente 3,5 % du parc privé de logements", a déclaré Mme Wargon.Le ministère de la Transition écologique précise vouloir fournir un "accompagnement méthodologique" aux acteurs locaux, notamment à travers la mise à disposition de données fiscales et foncières "sur les logements vacants et leurs propriétaires".
Il y a 3 ans et 363 jours

Covid, pénuries de matières : comment les promoteurs font face aux crises

DÉCRYPTAGE. Entre la crise du coronavirus et la perturbation des chaînes d'approvisionnement en matières premières, le secteur de la construction cherche des solutions pour s'adapter. Batiactu a pris le pouls de la situation, en donnant la parole à plusieurs promoteurs immobiliers français.
Il y a 3 ans et 363 jours

Kiloutou étend sa présence en Auvergne-Rhône-Alpes

ACQUISITION. Le groupe Kiloutou a racheté le groupe Centrale de location spécialisé dans la location de matériels pour le bâtiment et les travaux publics au nord de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Il y a 3 ans et 363 jours

Contrats-type de rénovation globale : l'Unsfa et le Cnoa ont chacun leur version

CONTRATS. Les architectes de la rénovation, initiative portée par l'Unsfa avec la Capeb, et le Conseil de l'Ordre des architectes, ont tous deux élaboré des contrats-types pour des marchés globaux de rénovation auprès des particuliers. Avec quelles différences et points communs ? Batiactu fait le point.
Cimbat
Il y a 3 ans et 363 jours

Un groupe de réflexion planche déjà sur l'après-RE2020

ENTRETIEN. Alors que la Réglementation environnementale 2020 doit entrer en vigueur au 1er janvier 2022, les acteurs publics et privés du logement planchent d'ores-et-déjà sur la mouture d'après, baptisée "Réflexions bâtiments responsables et territoires", ou RBRT. Derrière ce sigle certes un peu technocratique se cachent pourtant des considérations pertinentes sur les synergies à développer entre bâtiment et mobilité. Explications avec deux membres du groupe de travail dédié à ce sujet.
Il y a 3 ans et 363 jours

LafargeHolcim acquiert l'activité granulat d'Heidelberg Cement en Grèce

RACHAT. Le cimentier suisse LafargeHolcim annonce avoir signé un accord pour acquérir l'activité granulats d'Heidelberg Cement en Grèce.
Il y a 3 ans et 363 jours

Le projet de loi Climat & Résilience adopté en première lecture à l'Assemblée nationale

Ce projet de loi, c’est d’abord l’incarnation d’une nouvelle manière de faire de la politique, de la démocratie participative en acte. Il est, en effet, la traduction fidèle d’une très large partie des propositions des 150 citoyens tirés au sort de la Convention citoyenne pour le climat. La plupart des autres mesures ont déjà été mises en place par le Gouvernement.L'écologie dans notre quotidienLes 110 heures de débats à l’Assemblée ont permis d’enrichir le projet de loi et de le rendre plus ambitieux encore. Ce texte fait rentrer l’écologie dans notre quotidien et agit en matière climatique sur tous ses aspects :diviser par deux le rythme de bétonisation des sols en interdisant la construction de centres commerciaux sur des zones rurales ;arrêt de tous les vols intérieurs pour lesquels il existe une alternative moins émettrice de CO2 en moins de 2h30 ;à partir de 2023, dans les cantines, dans les CROUS ou dans les restaurants des administrations, une option végétarienne quotidienne sera obligatoire ;en 2024, la circulation des véhicules les plus polluants sera limitée en ville, en quadruplant le nombre de zones à faibles émissions (ZFE) ;dès 2025, il ne sera plus possible de louer des logements très énergivores ;en 2040, il ne sera plus possible de commercialiser des poids lourds utilisant des énergies fossiles, diesel ou essence.Une loi pour faire basculer la société française dans l’ère écologiqueDe la même manière que des lois fondatrices sur la liberté de la presse ou la laïcité ont enraciné des principes essentiels dans la République à l'orée du 20e siècle, la loi issue des travaux de la Convention citoyenne pour le climat ancrera durablement l'écologie dans notre société contemporaine.Ce texte a d'ores et déjà innové dans la façon dont les lois peuvent être construites en s'appuyant sur une démocratie plus participative. Elle nous permettra aussi de transformer notre modèle de société et de croissance et à engager des mutations profondes.Avec cette loi, la cause écologique intègrera la vie quotidienne des Français et les accompagnera durablement dans leurs choix de déplacement, de logement, de consommation, de production.C'est une loi qui vise à franchir le « dernier kilomètre » de la transition, le plus crucial : celui qui conduit à changer réellement nos modes de vie. Ce texte vise précisément cela, en faisant pénétrer l'écologie au cœur du modèle français et en irrigant concrètement la société française dans ce qu'elle a de plus fondamental : l'école, les services publics, la vie en entreprise, la Justice, mais aussi le logement et l'urbanisme, la publicité, la mobilité pour se rendre au travail ou en vacances.Cette loi n'agira pas seulement sur les structures de l'économie pour en accélérer la décarbonation, elle innervera notre culture, en favorisant l'éducation à l'environnement, une publicité responsable, une consommation plus sobre.C'est tout à l'honneur de la France de mener ces transformations au moment où nous affrontons une crise sanitaire majeure doublée d'une crise économique et sociale. Au moment où, plus que jamais, nous avons collectivement pris conscience de notre vulnérabilité, nous avons ce devoir de nous préparer à la plus grande menace systémique du siècle à venir. Le devoir d'agir pour une société plus sobre et plus résiliente, dans laquelle nos concitoyens vivront mieux et pourront faire face aux chocs du dérèglement climatique.Ce projet de loi vient compléter et accélérer les grandes lois de ce quinquennat sur l'écologie comme la loi agriculture et alimentation, la loi énergie climat, la loi d'orientation des mobilités ou encore la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire ; ainsi que le plan de relance, qui intègre un montant inédit de 30 milliards d'euros d'investissements verts sur les deux prochaines années. Notre pays prépare désormais une loi de transformation autour de 6 grands thèmes, qui va occuper la vie parlementaire pendant plusieurs semaines et générer des débats de société structurants pour notre avenir.Toutes ces politiques nous mettent sur les rails pour tenir nos objectifs climatiques et poser les bases pour aller encore plus loin dans la transition écologique.Les dispositions présentées dans ce dossier de presse sont un zoom sur certaines mesures-phares des 69 articles qui composent le projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, dit « Climat et Résilience ». Après avoir été présenté en Conseil des ministres, le projet sera soumis au Parlement à qui il appartiendra, comme le prévoient nos règles constitutionnelles, d'en valider le contenu au terme d'un processus de plusieurs mois, jusqu'à un adoption probablement à la fin de l'été 2021.Tout cela, nous le devons à une expérience démocratique inédite, voulue par le président de la République : la Convention citoyenne pour le climat. Une expérience pour trouver les réponses à la question de l'urgence climatique, mais aussi pour assurer l'acceptabilité sociale des mesures proposées.Une expérience à laquelle peu croyaient à son lancement il y a 18 mois mais qui, grâce au sérieux et à l'investissement de 150 citoyens tirés au sort, ainsi qu'à l'engagement personnel d'Emmanuel Macron, a créé aujourd'hui les conditions d'un changement profond.Barbara Pompili - Ministre de la Transition écologique Le projet de loi Climat et résilience est attendu au Sénat dans le courant de juin.
Il y a 3 ans et 363 jours

Architectes et entreprises invités à prendre part aux rénovations des HLM parisiens

PARC SOCIAL. La capitale va lancer, dans les deux ans, près de 170 opérations de rénovation du patrimoine social parisien. La Ville invite maîtres d'oeuvre et entreprises à se saisir de ce marché.
Il y a 3 ans et 363 jours

Quand bois et agriculture font bon ménage

Un panneau bois composite lié par colle biosourcée issue de l’agriculture française vient d’être développé. Un premier démonstrateur va permettre de produire 200 000 m3 de panneaux biosourcés avec 25 000 tonnes de résine.
Il y a 3 ans et 363 jours

Le Sénat défend le régime de garantie des salaires lors de faillites d'entreprises

Le texte, qui n'a pas de valeur contraignante, a été voté très largement de la droite à la gauche de l'hémicycle, seul le groupe RDPI à majorité En Marche votant contre."Nous souhaitons envoyer un signal fort de soutien aux salariés de notre pays touchés durement par la crise sanitaire et ses conséquences économiques (...), nous souhaitons également adresser un signal d'alerte au gouvernement pour qu'il ne dénature pas le régime actuel", a déclaré Pascale Gruny (LR).Ce texte "traduit une réelle inquiétude, réaffirme un véritable attachement à un pilier de notre tradition sociale et renouvelle un objectif commun, maintenir cet amortisseur social", a affirmé le centriste Jean-Pierre Moga.L'Association pour la gestion du régime de garantie des créances de salariés (AGS) assure le paiement des salaires d'une entreprise insolvable avant d'être en partie remboursée à l'issue de la procédure collective (redressement ou liquidation judiciaire, etc.).Selon l'AGS et les auteurs de la proposition de résolution, l'avenir de ce régime "unique en Europe", est menacé par un projet de réforme visant à transposer une directive européenne sur la restructuration des entreprises.Ils craignent une rétrogradation de l'AGS dans la liste des créanciers de l'entreprise, qui ferait passer les salariés "après d'autres créanciers et notamment les mandataires de justice et les banques".Matignon a indiqué fin avril qu'il finaliserait d'ici à l'été son projet de réforme "sur la base des recommandations du rapport" remis par l'ancien Commissaire général à l'investissement René Ricol."Le gouvernement suivra largement les recommandations de René Ricol", a confirmé la ministre du Travail Elisabeth Borne devant les sénateurs, soulignant que "tout d'abord, il convient clairement de réaffirmer le super privilège de l'AGS et de maintenir son rang de créance".La proposition de résolution invite également le gouvernement "à envisager l'ouverture d'une protection spécifique de garantie des salaires des indépendants durement éprouvés par la crise".
Il y a 3 ans et 363 jours

68 collectivités pilotes se lancent dans la lutte contre la vacance de logements

IMMOBILIER. Pour réduire le nombre de logements vacants, le gouvernement annonce la sélection d'une soixantaine de collectivités pilotes. Celles-ci seront chargées d'oeuvrer à identifier les habitations inoccupées et à convaincre les propriétaires de remettre leurs biens sur le marché.
Il y a 3 ans et 363 jours

Décarboner le bâtiment: la filière bois doit quadrupler sa part de marché en France en 10 ans

La filière bois française, avec 60 000 entreprises et près de 400 000 emplois, compte quadrupler sa part de marché dans la construction au cours des 10 ans à venir, afin de décarboner le secteur du bâtiment, responsable de près de 19% des émissions carbone du pays.
Il y a 3 ans et 363 jours

Certivéa interroge 14 personnalités sur le bâtiment et les territoires face à l’urgence climatique

Certivéa, qui accompagne depuis 15 ans les professionnels du bâtiment, de l’aménagement et les décideurs territoriaux sur les enjeux du développement durable, a interrogé 14 personnalités pour dresser avec eux un état des lieux et proposer des préconisations pour engager le bâtiment et les territoires dans la lutte contre l’urgence climatique.Députés, dirigeants et responsables RSE du secteur du bâtiment et de l’aménagement livrent leur vision et leurs solutions En ce début d’année 2021, plusieurs acteurs reconnus pour leur expertise et leur engagement au nom de la ville durable ont répondu à l’appel de Certivéa. Parmi eux, des responsables politiques comme la députée et présidente de l’Alliance HQE-GBC Marjolaine Meynier-Millefert, des présidents d’institutions comme Corinne Le Quéré, Présidente du Haut Conseil pour le Climat et climatologue ou Arnaud Leroy, président de l’ADEME ; des dirigeants et responsables RSE d’entreprises du bâtiment et de l'aménagement comme Fabrice Bonnifet, Directeur Développement Durable de Bouygues et Président de C3D ; ou encore des architectes comme Denis Valode. (la liste exhaustive des 14 personnalités est précisée dans la synthèse complète).Un état des lieux à 360° à l’échelle du bâtiment neuf, du parc existant et des territoiresBâtiment neuf : les pratiques vertueuses doivent se démocratiser et la gestion des déchets reste problématiqueLa mesure des émissions de gaz à effet de serre, le pilotage des consommations énergétiques se développent et l’implication des entreprises est bien réelle. Pour Pierre Ducret, Président de l’Institut de l’Économie pour le Climat : « les grandes entreprises multiplient les engagements [liés à l’urgence climatique] et innovent pour saisir les opportunités de marché et limiter leurs risques ». Les grandes sociétés de gestion immobilières, qui utilisent désormais des critères de performance ESG (Environnement Sociétal Gouvernance) pour valoriser leurs actifs immobiliers font aussi bouger les marges.Pour autant, les cahiers des charges des donneurs d’ordre manquent encore d’ambition. Pour Fabrice Bonnifet, « il est inadmissible que le secteur de la construction continue encore des années à produire plus de 220 millions de tonnes par an de déchets ».Parc existant : la priorité face à l’urgence climatique, pourtant des freins systémiques empêchent encore la massification de la rénovationLe parc existant constitue l’essentiel de l’empreinte carbone et énergétique du secteur. On estime qu’en 2050, 70% des bâtiments existants dateront d’avant la règlementation RT 2012. La massification de la rénovation bénéficie d’un soutien politique inédit avec le plan France Relance et d’un appui règlementaire ambitieux avec le décret tertiaire. Pourtant, la révolution n’a pas encore lieu. Si l’on tarde trop, en plus de l’enjeu climatique, les investissements nécessaires pour rénover un parc de plus en plus dégradé pourraient devenir vertigineux.Afin de massifier la rénovation, il faut lever des freins systémiques évoqués par Julien Hans, Directeur Energie-Environnement au CSTB Grenoble : « Nous constatons aujourd’hui : une forte non-qualité des travaux, qui s’ajoute à de longs retours sur investissement, peu de recherche et développement dans le secteur (< à 1 % du chiffre d'affaires de la construction), et enfin une offre de service faible et une main d’œuvre encore mal formée au regard des besoins de massification. »Les territoires : acteurs essentiels pour déployer des stratégies durables mais une gouvernance pas assez transversaleSelon Marjolaine Meynier-Millefert, « les collectivités locales sont naturellement les mieux placées pour ajuster aux réalités du terrain les ambitions en matière de lutte contre le changement climatique, qui, sans elles, restent souvent théoriques ». Cependant, la transformation des territoires se heurte aujourd’hui à des schémas en silo : chaque action dépasse difficilement les limites d’une collectivité ou d’un domaine d’intervention. La gouvernance devrait plus impliquer les différents acteurs des territoires, des secteurs public et privé, sans oublier les habitants, les scientifiques et les acteurs économiques.Des préconisations à toutes les étapes de vie du bâtiment et au niveau des territoiresNeuf : dépasser l’approche énergétique pour appréhender l’impact carbone et le confort des occupantsLa nouvelle règlementation RE2020 est, selon les personnalités interrogées, l’occasion d’impulser un changement de paradigme dans la construction : dépasser l’enjeu de performance énergétique pour appréhender l’impact carbone et le confort d’été des occupants.Cela implique notamment une réflexion sur les matériaux, comme le rappelle Denis Valode, architecte : « le sujet principal est désormais l’énergie grise[1] qui concerne le choix des matériaux et des conditions d’élaboration du bâti. (…). Une seule règle : le bon matériau au bon endroit. »Parc existant : outre la massification de la rénovation, il faut une révolution des usagesLes acteurs interrogés appuient unanimement l’idée d’adosser de manière plus systématique les éco conditionnalités à l’allocation de subventions publiques avec comme condition primordiale le recours à des énergies bas carbone.De nombreux acteurs rappellent la nécessité d’innover en matière d’usage, de réversibilité, de recyclage, de densification, de végétalisation, etc. Christian Brodhag, Président de Construction 21, estime enfin que : « La crise de la Covid et les pratiques de travail à distance vont conduire les entreprises tertiaires à reconsidérer leur organisation, leur patrimoine et leur usage du numérique. Une écoconception de ces solutions est nécessaire, avec notamment la rénovation profonde. »Territoires : le développement durable doit infuser les stratégies territorialesLe développement durable et l’urgence climatique doivent devenir des composantes essentielles de tous projets d’aménagement des territoires. On pense à l’évaluation de l’impact carbone des budgets publics ou à la formalisation d’objectifs de rénovation énergétique. Outre les aides et des dispositifs d’accompagnement des outils pertinents existent comme les boussoles stratégiques, les méthodes de planification, etc. La sobriété des politiques publiques, la préservation de la biodiversité, la lutte contre l’artificialisation des sols sont également évoqués. Pour Dominique Riquier-Sauvage, architecte et membre du Conseil Économique, Social et Environnemental : « Nous devons, en matière d’aménagement, prendre des mesures visant notamment à limiter l’artificialisation des sols pour préserver notre biodiversité, qui joue un rôle de régulateur au niveau du climat et du stockage du carbone. »Un accompagnement indispensable des acteurs pour l’atteinte des objectifsToutes les personnes interviewées ont par ailleurs souligné l’importance de l’innovation collective mais aussi d’un accompagnement, aussi bien financier que méthodologique, pour la montée en compétence des acteurs. Sont attendus notamment : outils, guides, conseils, bonnes pratiques et avis d’experts permettant de définir une bonne stratégie.La certification au service des acteurs pour accélérer la transition environnementaleFace à l’urgence climatique, les certifications et labels en développement durable de Certivéa font partie des outils permettant de faire progresser les acteurs publics et privés. Ils permettent de structurer leur feuille de route, de valoriser leurs engagements et de se différencier en anticipant au mieux les évolutions réglementaires. Les certifications qui prennent spécifiquement en compte les enjeux du changement climatique sont NF HQE bâtiments tertiaires, HQE Bâtiment Durable (thème adaptation au changement climatique, Calcul E+C- préfigurant la RE 2020, LEVELS), le Label E+C- préfigurant la RE 2020, les Labels Effinergie et enfin le Label BBCA, sans parler du Label R2S-4GRIDS et le Label Biodiversity.
Il y a 3 ans et 363 jours

MID Matériels : les enjeux d’aujourd’hui font les engins de demain

Le monde des matériels de construction se donne rendez-vous les 2 et 3 juin 2021 pour l’événement digital MID Matériels. Dédiées à l’innovation, ces deux journées de rencontres et d’échanges regrouperont utilisateurs, loueurs et fabricants autour des enjeux de la transition énergétique et de la révolution numérique.
Il y a 3 ans et 364 jours

Lixol, spécialiste français des résines alkydes, accélère sa croissance

Spécialiste des résines dites alkydes (réalisées à partir d'huiles végétales) destinées aux marchés de l'industrie, du bâtiment, du bois et des encres d'imprimerie, l'entreprise entend ainsi accélérer sa croissance (objectif CA 2021 : 6,8 M€ contre 6 M€ en 2020), et recruter 10 collaborateurs cette année.Laboratoire, production et logistique en Gironde Lixol dispose depuis son intégration dans le Groupe Berkem, spécialiste de la chimie du végétal, d'un laboratoire R&D à Blanquefort (siège du Groupe) près de Bordeaux, d'un espace de stockage et logistique, et d'un site de production à La Teste-de-Buch (6 200 m² dont 1 800 m² de bâtiments couverts sur le Bassin d'Arcachon). Une organisation rendue nécessaire par l'accélération des volumes produits (4 000 tonnes en 2020 contre 3 000 tonnes en 2017) et le développement de nouvelles références : 89 références de résines contre 60 au moment de l'acquisition. Les résines alkydes présentées sous diverses formes - résines sans solvant (gamme haut extrait sec), résines en solutions dans divers solvants (white spirit), résines en émulsions (diluées dans de l'eau) - sont commercialisées en France, en Europe et en Afrique du Nord (15% de la production à l'export). 1 M€ investi dans l'outil industriel C'est pour servir un marché en croissance que le Groupe Berkem a investi sur ce site et lui permet de démultiplier ses capacités de production. Lixol a entrepris une rénovation de son outil industriel (mise à neuf des bâtiments, automatisation des process), et une modernisation de ses équipements : automatisation de la ligne de conditionnement, acquisition de matériels complémentaires. Parmi eux, une chambre chaude pour mise à température (+/- 40°C) des résines afin d'en faciliter la manipulation. Le site dispose désormais de 2 réacteurs de fabrication (10 m3 et 2 m3 ; avec mise en service d'une boucle d'eau froide pour améliorer les performances de l'outil et réduire l'impact sur l'environnement) : un 3ème réacteur de 10 m3 est prévu en 2021. Mais aussi de : 5 dilueurs dont 3 de 5 m3 et 1 de 20 m3, une cuve de dilution/fabrication de 23 m3, 6 citernes de 36 m3 pour le stockage des matières premières liquides et 1 citerne compartimentée de 30 m3 pour les livraisons en vrac. 10 profils techniques devraient rejoindre l'équipe de 12 personnes du site de La-Teste-de-Buch d'ici fin 2021 pour accompagner cette croissance. Toutes les résines sont réalisées à partir d'huiles d'origines végétales, avec un large choix de matières premières : tournesol, soja, lin, ricin, bois de Chine.
GDA
Il y a 3 ans et 364 jours

Le Grand Palais éphémère en bois de l'architecte Wilmotte sur le Champ de mars sera inauguré en juin

Tout près de l'Ecole militaire qui la surplombe de 16 mètres et dans la perspective de la Tour Eiffel au loin, cette structure claire de 10.000 m2, création de l'architecte Jean-Michel Wilmotte, sera inaugurée le 12 juin.En bois d'épicéa, le bâtiment tout en rondeur reproduit en plus petit la forme du Grand Palais désormais fermé de l'autre côté de la Seine. Il le remplace le temps de sa rénovation, soit trois ans.Il fallait inventer une nouvelle nef pour accueillir la Foire internationale d'art contemporain (FIAC), les défilés Chanel, le Saut Hermès (sauts d'obstacles) et autres évènements de prestige.Couvert d'une toile transparente en polymère, le Grand Palais éphémère, "est comme un ovni qui aurait atterri sur le Champ de Mars. C'est de l'architecture aérienne", résume le président de la Réunion des musées nationaux (RMN)-Grand Palais, Chris Dercon."En août dernier on pouvait encore jouer aux boules ici", rappelle Jean-Michel Wilmotte. Après plusieurs mois de travaux préparatoires, 44 arches monumentales ont pu être assemblées sur place en trois mois.L'entrée se fait par un hall en vitres où se reflète la façade de l'Ecole militaire et qui englobe la statue rénovée du maréchal Joffre. Puis s'ouvre une nef au sol en bitume, à la voûte bleu nuit. Aucun poteau ne rompt l'espace de 51 m de largeur et 33 m de profondeur.Au dessus, six couches d'isolation phonique forment un coussin acoustique.La surface d'exposition est de 9.900 m2. Chaque année une structure additionnelle légère s'ajoutera pour offrir à la FIAC et à Paris Photo jusqu'à 18.000 m2. La jauge sera de 9.000 visiteurs maximum.Le comité d'organisation des JO "Paris 2024" a prévu d'y installer des tribunes à partir de juillet 2023 pour accueillir l'année suivante 8.000 spectateurs pour les épreuves de lutte et de judo.Mais un temps de cohabitation entre l'organisation des JO et les évènements organisés par le Grand Palais est envisagé.Ecoresponsable"On est en train de voir dans quelles conditions nous pourrions rester jusqu'au printemps 2024, échéance à laquelle on s'est engagé à rouvrir le Grand Palais", explique Emmanuel Marcovitch, directeur général délégué de la RMN."Ici, la nuit, les arbres, les bâtiments, la Tour Eiffel illuminée rentrent par les baies vitrées. C'est presque comme un palais de vampires!", Chris Dercon se félicite de ce "dialogue avec tout ce qui se passe autour" et aussi "avec tout le passé" de deux siècles de foires industrielles dans ce lieu.Pour sa grande baie vitrée au nord, Wilmotte a choisi la même courbure que l'arrondi sous la Tour Eiffel. Et "la lumière fait la jonction entre Trocadéro, Tour Eiffel, Ecole Militaire. On n'a pas cassé la perspective", souligne-t-il.Le jeu des reflets superpose même de manière nouvelle et étonnante la Tour Eiffel et l'Ecole Militaire.Jean-Michel Wilmotte défend un projet "écoresponsable": "L'épicéa est un bois d'élevage. Dans l'ensemble de la forêt européenne, ce chantier correspond à une heure et demie de pousse, c'est très symbolique!".Le polymère est de source minérale, générant 90% d'énergie en moins dans la fabrication par rapport au verre, et entièrement recyclacle. L'électricité fournie est garantie d'origine 100% renouvelable.En septembre 2024, le démontage commencera. "Le bâtiment a été fait pour être vendu par morceaux", explique l'architecte. Cinq morceaux principaux qui pourront être réutilisées, reconstruits ailleurs. Des SMS de propositions arrivent déjà à l'architecte. Le chantier a été confié à la société GL Events. Son coût est de 40 millions d'euros. Un montant qui sera couvert, assure-t-on, par les revenus de location perçus par la Rmn-Grand Palais et les apports du Comité d'Organisation "Paris 2024".
Il y a 3 ans et 364 jours

Bordeaux : la mairie déroule son plan pour le logement

L’équipe écologiste bordelaise a présenté le mardi 4 mai les orientations de sa politique en matière d’urbanisme, d’habitat et de logement à l’occasion du conseil municipal. Elle s’appuie sur la renaturation, la régulation et la résilience avec la volonté de mieux traiter l’aménagement du diffus, compte tenu de la rareté du foncier bordelais.
Il y a 3 ans et 364 jours

Généalogie du bâti industriel - Livre

Depuis la fin du XVIIIe si&egrave;cle, les industries m&eacute;tallurgiques et textiles ont laiss&eacute; des traces profondes dans le paysage b&acirc;ti de la r&eacute;gion Auvergne-Rh&ocirc;ne-Alpes. En t&eacute;moignent les sites pr&eacute;sent&eacute;s dans cet ouvrage, en activit&eacute;, en attente de r&eacute;affectation ou reconvertis, qui illustrent la richesse d&rsquo;un patrimoine dont&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 3 ans et 364 jours

Le redressement fiscal ne doit pas venir de n'importe où

La Cour de cassation a posé ce principe au sujet de l'impôt sur la fortune, en déclarant seuls compétents les agents de la domiciliation fiscale du contribuable.Ce contribuable détenant plusieurs biens immobiliers dans divers départements, avait reçu d'une direction départementale des finances publiques une proposition de rectification portant sur la valeur déclarée d'un immeuble situé dans son ressort.Ce service soutenait que, selon la loi, les fonctionnaires de catégories A et B sont compétents pour les immeubles situés dans leur zone territoriale. Il en déduisait qu'il était compétent au même titre que le service du lieu de déclaration et d'imposition.Mais les juges ont écarté ce raisonnement. En l'occurrence, l'impôt sur la fortune étant un impôt sur le patrimoine global, son contrôle et sa rectification ne peuvent être exercés que par le service auprès duquel la déclaration a été déposée ou aurait dû l'être. Le contribuable ne peut pas recevoir des avis de rectification de divers services fiscaux pour des biens situés dans leur ressort.En l'espèce, ce contribuable demeurant dans le Val-de-Marne, il ne pouvait, selon les juges, recevoir de proposition de rectification que du service de contrôle de la fiscalité immobilière de Créteil.(Cass. Com, 27.3.2019, Y 17-18.696).
Il y a 3 ans et 364 jours

Val-d’Oise : bientôt une nouvelle résidence senior « Oh Activ » à Cergy

La nouvelle résidence senior « Oh Activ », de HomniCity, sera opérationnelle en septembre 2021.
Il y a 3 ans et 364 jours

Strasbourg : Turenne Hôtellerie va rénover Le Pax

Turenne Hôtellerie a pour projet de transformer Le Pax en un véritable lieu de vie.
Il y a 3 ans et 364 jours

Stocker et redistribuer

228 panneaux photovoltaïques et 60kWh de capacité de stockage ont été installés sur les deux toits des bâtiments des archives de Périgueux. Ils permettront d’atteindre une autoconsommation de 92%.
Il y a 3 ans et 364 jours

Le 5e concours mondial de start-up de la Construction sur les rails

Sept leaders mondiaux de l&rsquo;industrie lancent le plus grand concours de start-up dans le domaine de la Construction avec 5 cat&eacute;gories ouvertes aux candidatures.
Il y a 3 ans et 364 jours

CEE : les modalités de la Ve période sont annoncées avec des objectifs augmentés

Le b&acirc;timent produit l&#39;essentiel des Certificats d&#39;&eacute;conomie d&#39;&eacute;nergie. Le gouvernement a annonc&eacute; les modalit&eacute;s de la Ve p&eacute;riode qui commence le 1er janvier 2022. L&rsquo;obligation totale atteint 2500 TWhc.
Il y a 3 ans et 364 jours

Mennecy : le centre culturel Jean-Jacques Robert va bientôt se refaire une beauté

Le centre culturel de Mennecy va faire l’objet d’une grande transformation à partir de septembre 2021.
Il y a 3 ans et 364 jours

L’investissement communal s’est effondré en 2020

Le décrochage de l’investissement du bloc communal atteint le score historique de – 15,6 % en 2020, par rapport à 2019. L’association des maires de France (AMF) extrait ce chiffre d’une enquête publiée le 3 mai. Chiffrées à deux milliards d’euros, les pertes de recettes des services publics locaux occasionnées par la pandémie s’ajoutent aux effets du cycle électoral.
Il y a 3 ans et 364 jours

Système de pesée embarqué avec affichage en temps réel du poids du véhicule

Le système obtient les données des capteurs installés sur la suspension du véhicule et permet au conducteur de surveiller l’essieu avant, l’essieu arrière et le poids total du véhicule. Le système est extrêmement précis avec une précision de +/- 2,5% lorsqu’il est proche de la charge utile maximale. L’unité de commande principale transmet les informations via Bluetooth® à un commutateur d’affichage, un téléphone portable ou une tablette.Le panneau de commutation d’affichage, avec un écran OLED de haute qualité, est conçu pour s’adapter à la cabine du véhicule. Les commutateurs rétroéclairés permettent au conducteur de voir facilement quels accessoires sont allumés. Un téléphone mobile (iOS / Android) ou une tablette (iOS / Android) peut être utilisé en combinaison avec ou à la place du commutateur d’affichage. L’application Modul-Connect, avec des pictogrammes conviviaux, avertit le conducteur lorsque le véhicule est proche de la charge maximale.Le système de pesée embarqué du véhicule fait partie de Modul-Connect, qui est une plate-forme pour gérer tous les appareils numériques et électriques du véhicule. Il utilisera également des produits tels que des projecteurs de travail, des feux-flashs, le Tri-Flash, des barres lumineuses, des panneaux de signalisation et des onduleurs. La communication fonctionne via un signal Bluetooth® et le CAN longue portée du véhicule. La plate-forme est autonome et n’interfère pas avec le propre système électrique du véhicule. Le produit est marqué CE et E, avec une garantie limitée de 3 ans.
Il y a 3 ans et 364 jours

Vilgénis prouve l’évidence du bois dans une forêt habitée

Fondus parmi la centaine d’arbres d’un ancien centre de formation d’Air France, les 1000 logements du quartier Vilgénis de Massy (Essonne) franchissent une frontière : le bois s’affirme comme jamais auparavant, dans les projets urbains de Paris Sud Aménagement. Son directeur Willem Pauwels a présenté « les envies, les ambitions, les craintes et les doutes » inspirées par cette référence fondatrice, au cours d’un récent webinaire.
Il y a 3 ans et 364 jours

Le Grand Magasin. Mode et Art de vivre des années 1920/1930

La Ville de Saint-Quentin s’est engagée depuis plusieurs années dans une politique volontariste de protection, de valorisation, de sensibilisation et de rayonnement de son patrimoine Art déco. Cet élan s’est traduit par de nombreuses actions et notamment l’organisation, depuis 2015, d’expositions temporaires révélant les différentes facettes de l’Art déco en plein cœur de la ville et de son Palais de l’Art Déco, anciennes Nouvelles Galeries qui a été l’un des grands magasins les plus en vue des années 20/30. Fermé au grand public depuis plus de soixante ans, le Palais de l’Art Déco rouvrira ses portes à l’occasion de l’exposition « Le Grand Magasin. Mode et Art de vivre des années 1920/1930 ». Du 5 juin au 19 septembre 2021, ce joyau de l’art déco resté intact dévoilera toutes ses facettes. Une invitation à revivre le bouillonnement des années folles.
Il y a 3 ans et 364 jours

Colloque : Chemins de fer, tramways et métros, deux siècles de cabines de conduite

Rails & histoire organise un colloque en ligne intitulé « Chemins de fer, tramways et métros : deux siècles de cabines de conduite. Évolution et variations du Système Homme-Machine, un enjeu sociotechnique tardivement reconnu ». Il propose une étude transverse de l’évolution de la cabine de conduite de tout véhicule sur rail : train de grandes lignes, matériel suburbain, métro mais aussi tramway. A suivre via Zoom les matinées des 9, 10 et 11 juin 2021 entre 9h et 13h. https://www.ahicf.com/events/ &nbsp;
Il y a 3 ans et 364 jours

Jardins ouverts en Île-de-France

La Région Île-de-France organise sa 5e édition de Jardins ouverts en Île-de-France qui se tiendra cette année du 3 juillet au 29 août 2021 sur l&rsquo;ensemble du territoire francilien. Jardins ouverts a pour objectif de faire découvrir et de valoriser le patrimoine naturel de l&rsquo;Île-de-France de façon insolite et attrayante en alliant nature et culture. Prenant place au cœur de la saison estivale, c&rsquo;est dans un panache de couleurs et de senteurs que la manifestation proposera cette année encore un éventail d&rsquo;animations pour tous les goûts : des spectacles de théâtre, de danse ou de cirque, des concerts, des projections de films, des expositions et installations artistiques, mais aussi des rencontres, des conférences, des visites guidées, des ateliers pédagogiques et des lectures. Du 2 juin au 14 juillet, un grand concours de photo sera proposé autour de la thématique de l&rsquo;arbre, en partenariat avec la plateforme participative Wipplay. Les photos des lauréats seront exposées fin août à Zone sensible, la ferme urbaine de Saint-Denis. Cette exposition marquera le week-end de clôture de la 5e édition de Jardins ouverts.
Il y a 3 ans et 364 jours

Alkern acquiert une société spécialisée dans les produits pour la gestion des eaux

ACQUISITION. Le spécialiste du béton préfabriqué, Alkern, annonce avoir racheté Become, une entreprise dédiée aux produits pour la gestion des eaux de pluies, le drainage agricole ou les aménagements de voiries provisoire.
Il y a 3 ans et 364 jours

L'épaisseur de la vie communale, un pôle municipal par Oh!Som à Saint-Savournin

ConstruirAcier, association de promotion de la fili&egrave;re Acier fran&ccedil;aise, organise chaque ann&eacute;e depuis 2015 les Troph&eacute;es Eiffel, r&eacute;compensant des projets utilisant ce mat&eacute;riau pour tout ou partie. Pour participer &agrave; l&rsquo;&eacute;dition 2021 dont le jury sera pr&eacute;sid&eacute; par Marc Mimram, les dossiers sont &agrave; envoyer avant le 30 mai.&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 3 ans et 364 jours

Pour répondre à tous les besoins d'éclairage extérieur, Sylvania propose une offre globale de luminaires LED

Idéale pour l'éclairage des espaces extérieurs publics et privés, dans le respect des réglementations en vigueur
Il y a 3 ans et 364 jours

Lignotrend : des panneaux acoustiques pour le lycée Vauban

Zones d'accueil et d'enseignement, bibliothèque, gymnase et salle de sport, cantine, garderie et salle de réunion pour le quartier : le campus du lycée Vauban propose une large palette de locaux. Quelque 2 300 élèves et 200 professeurs le fréquentent chaque jour.
Il y a 3 ans et 364 jours

DOM adopte une nouvelle organisation commerciale

Spécialiste des solutions de verrouillage et de contrôle d'accès électronique, DOM compte trois entités en France : DOM-Metalux, DOM-Ronis et DOM-TSS. Aujourd'hui, l'entreprise met en place une nouvelle organisation commerciale en France axée sur les spécificités de chacun de ses clients.
Il y a 3 ans et 364 jours

La Courneuve : le centre équestre départemental va être modernisé pour accueillir le grand public

Divers travaux d’amélioration vont être effectués au centre équestre départemental de La Courneuve. L’objectif est de pouvoir recevoir le grand public.
Il y a 3 ans et 364 jours

L'AMF inflige 600.000 euros de sanction à Corum Asset Management pour pratiques trompeuses

La commission a prononcé une sanction à hauteur de 600.000 euros à l'encontre de la société pour "quatre séries de manquements à ses obligations professionnelles".Elle a notamment estimé que "la société de gestion avait manqué aux obligations professionnelles qui pèsent sur les personnes fournissant un service de conseil en investissements financiers" et que "certains documents promotionnels diffusés par la société comportaient des informations peu claires, inexactes ou trompeuses".En outre, la commission des sanctions de l'AMF a retenu plusieurs manquements quant à "la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme."L'encours total de Corum Asset Management, qui gérait notamment deux sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) au moment des faits qui lui sont reprochés, atteignait près de 1,5 milliard d'euros, ses parts étant commercialisées auprès "de plus de 24.000 souscripteurs", précise le communiqué.
Il y a 3 ans et 364 jours

Au sein de la filière du négoce, des métiers en tension

ÉTUDE. Certaines régions françaises connaissent de plus en plus de difficultés à recruter dans le secteur des matériaux de construction. L'Observatoire des métiers du négoce des matériaux de construction a sorti une étude en avril dernier qui prévient des difficultés des entreprises à embaucher.