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Il y a 4 ans et 10 jours

Covid-19: Les aéroports européens ne retrouveront pas leurs niveaux de fréquentation avant 2025

L'ACI Europe, qui fédère plus de 500 aéroports dans 46 pays du vieux continent, prévoyait jusqu'ici pour 2021 une baisse de 52% du nombre de passagers sur deux ans, et un retour aux niveaux d'avant Covid-19 en 2024.L'année en cours serait donc à peine moins pire pour les aéroports européens que 2020, qui avait vu un effondrement de 70,4% de la fréquentation, la faisant régresser aux niveaux de trafic de 1995, selon des statistiques d'ACI Europe publiées en février.Ce pessimisme a été nourri par le bilan du premier trimestre 2021: le trafic passagers a dégringolé de 81,7% par rapport à la même période il y a deux ans, soit près de 400 millions de voyageurs perdus, selon un communiqué diffusé mercredi.Le paysage est encore plus désolé pour la zone comprenant l'Union européenne, la Suisse et le Royaume-Uni, où le repli atteint 88% (la moyenne est notamment relevée, pour le périmètre d'ACI Europe, par l'activité des équipements turcs et russes, moins touchés par les restrictions de déplacement)."Ces chiffres montrent que la crise non seulement ne s'est pas atténuée, mais qu'elle s'est aggravée pour les aéroports depuis le début de l'année", a constaté le directeur général d'ACI Europe, Olivier Jankovec, cité dans le communiqué.Pour lui, "la capacité de résistance financière des aéroports européens s'affaiblit de jour en jour. Nous avons désespérément besoin de lancer la reprise cet été et avons hâte de voir les vaccinations enfin aboutir à une amélioration de la situation épidémique".
Il y a 4 ans et 10 jours

Nouveau report du salon BePositive

La manifestation lyonnaise est reportée à la mi-décembre.
Il y a 4 ans et 10 jours

Les paysages ambivalents d'Edward Burtynsky au centre culturel canadien

Depuis le milieu des années 1980, le Canadien Edward Burtynsky documente les marques de l'activité humaine sur le paysage. L'exposition du centre culturel canadien à Paris, « Mounds and Voids, from Human to Global Scale » (Monticules et vides, de l'échelle humaine à l'échelle mondiale), dévoile des images récentes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 10 jours

Sacré profane

Lisez en intégralité l’édito d’Emmanuelle Borne, rédactrice en chef d’AA. Cet article Sacré profane est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 10 jours

Un serpent géant aux écailles métalliques

La toiture sinueuse et tout en long du centre commercial est dynamisée par la pose d'une résille en aluminium, designée et à géométrie variable, qui se calque sur la trame structurelle de 8 mètres.
Il y a 4 ans et 10 jours

Ehret fait évoluer sa gamme de volets battants avec le nouveau modèle Beaune

Une conception en aluminium résistante et durable.Conçue en aluminium, la gamme BEAUNE est pourvue d’un prétraitement et d’un processus de thermolaquage identique à l’ensemble de la gamme (y compris thermolaquage classe 2).Ce thermolaquage de haute qualité assure une parfaite résistance aux intempéries, aux rayures ainsi qu’une stabilité des coloris. Les surfaces en aluminium parfaitement recouvertes sont une garantie pour la protection durable des principaux composants.Pour les conditions extrêmes telles que la proximité de la mer, la piscine ou encore l’industrie chimique, EHRET a développé OCEANLINE plus, le prétraitement spécial qui apporte une protection supplémentaire contre la corrosion filiforme. BEAUNE remplit également les normes QUALICOAT et QUALIDECO. L’adjonction d’un cadre périphérique pour plus de robustesse et de rigidité. Un cadre périphérique assure une jonction entre les montants haut, bas, gauche et droit, liés entre eux par des équerres intégrées directement dans le cadre, ce qui confère plus de résistante et de rigidité à l’ensemble. L’équerre en aluminium est glissée dans la partie basse du cadre et en assure une liaison mécanique.Les cadres sont fabriqués sur mesure et s’adaptent à chaque embrasure de fenêtre . Ils sont mis en œuvre aussi bien sur constructions anciennes que neuves. Harmonisation des gammes. Evolution de la gamme DIJON, le modèle BEAUNE est désormais plus épais (32 mm). EHRET a choisi d’uniformiser l’ensemble des épaisseurs des gammes de volets battants, et de permettre à cette gamme de bénéficier de l’ensemble des accessoires et options pour la pose en rénovation comme en neuf. Pour habiller élégamment le volet, il est possible d’ajouter des barres et des écharpes en version B, BB, Z ou ZZ. Disponible avec l’ensemble de la gamme des options EHRET, BEAUNE peut être équipé :d’une protection anti-effraction. Les verrous et serrures supplémentaires constituent un autre obstacle efficace pour parer à l’intrusion d’inconnus. Les produits retardateurs d’effraction peuvent dans certains cas être montés et combinés postérieurement, ce qui permet de compléter et d’améliorer une installation déjà existante sans aucun problème d’un pré-cadre de montage (Z75 ou Z135) pour réaliser une pose simple et précise. Ce système de cadre annihile les opérations d’ajustement, de perçage et de montage des volets sur site. La pose extrêmement aisée et les nombreuses possibilités permettent de poser le volet en un minimum de temps. Dans le cas d’une pose avec pré-cadre, 2 équerres en aluminium par angle sont prévuesForte d’un savoir-faire de plus de 50 ans et à l’appui d’une expérience technique éprouvée, EHRET s’engage à livrer des solutions et systèmes de très haute qualité. La marque garantit une qualité constante à ses produits afin qu’ils soient dotés des plus hautes performances. En cela, elle propose aujourd’hui la gamme BEAUNE qui se décline en un large choix de designs, de finitions et d’accessoires pour répondre aux besoins de tous les logements, quel que soit l’usage ou la région.Disponible en 1,2,3 ou 4 vantaux, BEAUNE est proposée avec un nuancier de 213 coloris RAL et 3 coloris AkzoNobel -2100, 2700 et 2900- (disponibles sans plus-valuepour le volet et ses accessoires) afin de se fondre harmonieusement dans l’architecture existante.En tout, ce sont plus de 4.000 coloris qui sont proposés à la vente. Des variantes design avec des formes spécifiques (cintre, triangle...) sont également possibles pour répondre à des demandes personnalisées.
Cimbat
Il y a 4 ans et 10 jours

Nouveau directeur de l’activité Toitures Sika

Sébastien Debétencourt vient d’être nommé Directeur de l’activité Toitures Sika, sous la responsabilité de Pascal Malafosse, Directeur Général de Sika France. Diplômé de l’université Paris 10 Nanterre en Marketing Opérationnel International, Sébastien rejoint Sika Mauritius en 2009 en tant que Responsable Commercial et Marketing, puis est nommé Directeur Général en 2015. Promu au poste de Directeur Général de Sika Tunisie en 2017, il a pu renforcer la position de l’organisation sur ses marchés cibles et augmenter les ventes et la profitabilité. Aujourd’hui Directeur de l’activité Toitures Sika et membre du Comité de Direction, Sébastien Debétencourt souhaite développer le marché des toitures et les solutions innovantes proposées par Sika en phase avec les tendances et les enjeux à venir. 
Il y a 4 ans et 10 jours

Courbes et performances pour la façade vitrée de CURVE

Au cœur de la ZAC Montjoie à Saint-Denis (93), se dresse CURVE, un bâtiment remarquable par ses volumes tout en courbe et ses 24 000 m2 de bureaux, signé par les architectes du Cabinet Chartier Dalix. L’édifice possède l’une des plus grandes éco-structures en bois d’Europe. Il s’intègre parfaitement dans son environnement, sans vis-à-vis grâce à ses façades fuyantes et ses espaces paysagers répartis sur les étages. Pour ce projet, situé dans un quartier très passant et animé, les architectes ont dû respecter un cahier des charges très strict, défini par l’urbaniste de la ZAC, Brès+Mariolle. Chaque nouvelle construction sur la ZAC devait intégrer des espaces végétalisés afin de retrouver l’équilibre entre bâti et densité végétale. Le projet devait aussi travailler majoritairement le bois, ce que les architectes ont choisi de faire dans la structure du bâtiment. Enfin, le promoteur immobilier souhaitait que le bâtiment réponde à des objectifs environnementaux ambitieux, notamment via l’obtention d’un certificat environnemental HQE. Véritable interface entre le monde intérieur et extérieur, la façade du projet se devait de répondre à un maximum de besoins, tant au niveau du confort des usagers que de son rendu esthétique.Dans les projets de bureaux, les façades sont vitrées au maximum afin d’améliorer le confort des utilisateurs et de faire entrer la lumière à l’intérieur de l’édifice. Les architectes du projet Curve ont donc fait le choix de vitrages grande hauteur sur toute la surface du bâtiment. Grâce à un vitrage avec une protection solaire performante, les utilisateurs peuvent ainsi bénéficier d’une excellente luminosité sans subir la chaleur trop importante du rayonnement solaire. Par ailleurs, depuis l’intérieur, une grande surface vitrée s’accorde parfaitement à la structure bois de l’édifice, qui crée une atmosphère chaleureuse pour les occupants. Les architectes et la maîtrise d’œuvre ont souhaité faciliter la modularité de l’espace de travail pour les futurs preneurs. Ils ont donc opté pour une trame de façade d’1,50 m au lieu d’1,35 m ce qui permet de proposer plus de variété de typologies de bureaux.  Les courbes, qui donnent du volume à la façade, permettent de flouter la trame et de donner tout le caractère nécessaire à cette construction. Le vitrage Saint-Gobain COOL-LITE® XTREME 70/33 a été choisi. Grâce à sa très grande transparence et sa sélectivité maximale (rapport entre la transmission lumineuse et le facteur solaire), il était un atout tant esthétique qu’environnemental dans ce projet où le verre tient une place de choix. Ilpouvait se décliner en version thermo-transformable XTREME 70/33 II, version qui offre la possibilité de pouvoir être courbé et de s’adapter ainsi parfaitement au projet de la façade. Les vitrages ont été envoyés chez le façadier, montés en bloc et livrés sur le chantier, directement prêts à être assemblés et intégrés dans l’ossature du bâtiment.
Il y a 4 ans et 10 jours

[Livres] Colombage et Pan de Bois, 8 ouvrages incontournables

L’habitat en pan de bois ou en colombage compte parmi les richesses du patrimoine architectural de France, formant l’une des facettes de son identité culturelle. Partout, dans le pays,  des milliers de maisons et de fermes édifiées dans les villes et les villages témoignent du savoir-faire séculaire des charpentiers. Si la technique de base reste […]
Il y a 4 ans et 10 jours

La ville pour horizon, 20 logements sociaux par Remingtonstyle à Paris

En 2003, l'architecte Jacques Fredet avait achevé ce que l'on pourrait qualifier de « livre d'une vie » si la sienne n'était par ailleurs tellement riche d'aventures intellectuelles et pédagogiques : c'était Les Maisons de Paris. Types courants de l'architecture mineure parisienne de la fin de l'époque […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 10 jours

Autoconstruction, un projet à franc succès

Depuis quelques années, de plus en plus de gens se lance dans l’autoconstruction. En effet, Construire soi-même sa propre maison est une opération gagnante car elle propose de nombreux avantages au propriétaire et maître d’ouvrage. Cependant, entreprendre les travaux d’autoconstruction pour sa maison n’est pas une mince affaire. Aussi, il convient de procéder étape par étape. Dans cet article, nous allons vous donner quelques conseils préalables à la mise en place d’un tel projet ainsi que les principaux avantages de l’autoconstruction. Construire sa maison soi-même étape par étape La première étape à un projet d’autoconstruction se rapporte à la budgétisation. Elle consiste à définir un budget précis pour l’opération de construction. Il devra inclure le coût des travaux à proprement parler, mais également les coûts divers qui se rapportent à l’acquisition d’un terrain constructible, aux taxes, à l’achat des matériaux, au raccordement aux réseaux divers (eau, électricité…). La seconde étape revient au choix du terrain. Une fois que vous aurez défini le budget que vous comptez allouer à votre projet, vous devez procéder à l’acquisition d’un terrain à bâtir. Vous devez faire le choix de ce dernier avec beaucoup d’attention. Ainsi, vous pouvez être certain d’obtenir un terrain à la fois viabilisé et déjà raccordé, et surtout qui convient aux attentes particulières du maître d’ouvrage. Avant de vous lancer dans la conception technique du projet d’autoconstruction, vous devez prendre connaissance de la réglementation. Pour en apprendre davantage rendez-vous sur https://www.kontio.com/fr-FR/construire-en-bois/auto-construction/. Vous devez vous informer avec précision sur la réglementation juridique et technique applicable à la construction projetée. Vous devez notamment consulter le Plan Local d’Urbanisme (PLU) ainsi que la réglementation thermique 2012 (RT 2012). La dernière étape consiste à faire les choix techniques. Vous allez devoir notamment choisir les matériaux de construction compte tenu des paramètres techniques mais également selon l’ « orientation » de la maison : votre choix peut par exemple porter sur la construction d’une maison « écologique » comme la maison bioclimatique, la maison solaire etc. Vous devrez par conséquent choisir le label ou certification « éco » correspondant(e) : HPE 2005, THPE 2005, BBC 2005… Gros plan sur les principaux avantages de l’autoconstruction L’autoconstruction est une opération qui vous permet de réaliser des économies financières importantes. En effet, construire sa maison soi-même revient généralement moins cher que de faire appel aux services d’un ou de plusieurs professionnels de l’immobilier. Ces derniers impliqueront des coûts qui se rapportent à leur rétribution, à leur main-d’œuvre… Un tel projet permet aussi d’avoir une maison unique et personnalisée. Vous aurez donc la garantie d’avoir un « chez-soi » à la mesure de vos attentes. Votre maison sera unique et personnalité, mais vous pourrez aussi contrôler rigoureusement la qualité du produit fini en tant que maître d’ouvrage et maître d’œuvre. De cette façon, vous aurez la possibilité de personnaliser les performances énergétiques de votre maison en optant pour tel ou tel type de matériaux (par exemple en matière d’isolation phonique et d’isolation thermique). Enfin, l’un des principaux avantages de l’autoconstruction réside dans le fait que vous profiterez d’un accomplissement personnel. Ce sentiment est d’autant plus valorisant et gratifiant quand des membres de la famille auront été engagés de près ou de loin dans le processus de construction.
Il y a 4 ans et 10 jours

Val-d’Oise : création d’un nouveau quartier à Montmagny

Le projet d’aménagement d’un nouveau quartier à Montmagny passe par une concertation publique.
Il y a 4 ans et 10 jours

Le Fousseret : plusieurs travaux sont menés sur le canal de Saint-Martory

Les travaux entrepris sur le canal de Saint-Martory vont durer jusqu’en octobre ou novembre 2021.
Il y a 4 ans et 10 jours

Une maquette de Notre-Dame, hommage des compagnons du Tour de France

Présentée jeudi via zoom, la maquette, réalisée à l'échelle 1/20e, s'élève à 4,8 mètres de hauteur et est formée de quelque 1.800 pièces. Elles proviennent d'un cube de 5,3 m3 de chêne de Bourgogne.Pour la monter, il aura fallu 3.500 heures de travail pendant huit mois à trois jeunes compagnons, Valentin Pontarollo, Armand Dumesnil et Yann Férotin, basés à Anglet dans le Pays basque. Sur la structure en bois blond, on reconnaît, finement sculptées, les statues et le coq de la flèche.Le maquette sera exposée à l'Hôtel de Ville de Paris en septembre lors des Journées européennes du Patrimoine, a indiqué Pascal Jacob, président de l'association Restaurons Notre-Dame, partenaire du projet.L'exposition de la maquette à Paris doit être l'occasion de communiquer sur les processus de transformation du bois, les métiers de charpentier, la reproduction des techniques anciennes alliée à la création de techniques d'avenir, la difficulté "de trouver de nouvelles mains et de susciter des vocations", a souligné Christophe Augeard, président des Compagnons du Tour de France d'Anglet, qui a piloté le projet des trois compagnons.L'une des missions sociales du chantier de Notre-Dame, inscrite dans la loi de juillet 2020, est précisément de faire connaître et valoriser les métiers d'art, comme celui de charpentiers, comme des carrières prometteuses pour les jeunes, en pleine crise économique due au Covid-19.
Il y a 4 ans et 10 jours

Montereau : rénovation terminée pour le parc de la Gramine

Les travaux de rénovation du parc de la Gramine, à Montereau, arrivent pratiquement à leur terme.
Il y a 4 ans et 10 jours

Notre-Dame: souscription suffisante et réouverture prévue en 2024

La ministre de la Culture Roselyne Bachelot a jugé que la souscription publique nationale et internationale suffira à restaurer la cathédrale Notre-Dame de Paris qui, a-t-elle assuré, "sera réouverte en 2024".
Il y a 4 ans et 10 jours

Économiques et confortables, des "Tiny Houses" offrent une halte à des mères isolées

"Pour moi, ici, c'est le paradis car j'ai trouvé tout propre, adapté, avec un grand espace pour que les enfants puissent jouer", se réjouit Imène, 21 ans.Une autre habitante, Angela, 25 ans et mère de deux enfants, dont la terrasse fleurie se distingue de celle des maisonnettes voisines, confie avoir "beaucoup changé d'endroits" depuis son arrivée en France en 2016."Mon fils de 8 ans m'a dit :+Mais c'est une cabane !+ mais je lui ai dit que c'était mieux que la rue ou l'hôtel", ajoute la jeune Albanaise, qui pourra rester ici au moins six mois.17 "tiny house" (des "maisons minuscules" en anglais) ont été installées début mars pour ces mères de jeunes enfants sur le parking d'une friche industrielle, où les bambins jouent à faire des tours de vélo.Chacune dispose d'une pièce de vie, éclairée par une large baie vitrée, avec un coin cuisine et un canapé-lit, d'une petite chambre occupée par deux lits superposés et une salle de douche avec toilettes."Ici c'est stable", souligne Monia, une mère de 37 ans, qui avait précédemment "déménagé d'un hôtel à l'autre".Les micro-maisons se trouvant sur un ancien site industriel, "on va y mettre des arbres et des plantations pour le rendre plus agréable", promet Etienne Prime, un des responsables de l'association Le Mas, qui assure la gestion du village.Malgré cet espace extérieur pas très engageant, "les femmes se sentent vraiment bien (dans leurs +tiny houses+) car, même si c'est petit, on peut y recréer un cocon", poursuit-il. "L'objectif c'est d'être plus accueillant et plus hospitalier et trouver des solutions pérennes pour sortir de l'urgence", explique le président EELV de la métropole de Lyon, Bruno Bernard, en visite sur les lieux."Cela nous coûte moins cher qu'un hôtel et, en terme de qualité de vie, de pouvoir cuisiner chez soi, ça change la donne. Sans compter qu'on peut offrir ici un meilleur accompagnement", souligne-t-il.Pas de "conflits d'usage"Avec un coût unitaire de 29.000 euros et une durée de vie estimée à une quinzaine d'années, ces maisons minimalistes permettent de "retrouver toute l'intimité et la dignité d'un chez-soi, contrairement à un hôtel", renchérit le vice-président chargé de l'Habitat, Renaud Payre, en précisant qu'une nuitée revient à 17 euros par personne dans une "tiny house" contre 25 euros en hôtel.Les élus ont annoncé qu'un autre site d'une vingtaine de "tiny houses" verrait le jour prochainement à Lyon.Démontables et transportables, ces micro-maisons, inspirées d'un mouvement architectural américain, permettent de déployer rapidement une solution de logement. Idéal donc pour la métropole qui souhaite créer des villages provisoires sur des temps courts afin d'utiliser des terrains provisoirement vacants ou sous-utilisés."C'est une nouvelle politique publique qui évite les conflits d'usage", se félicite M. Prime, qui souhaite "ancrer dans le territoire" les femmes accueillies.En plus de l'accompagnement social, l'association Le Mas ambitionne d'"offrir une citoyenneté" à ces mères de famille au travers de partenariats autour d'activités sportives ou culturelles."Ces femmes sont toutes encore isolées et elles vont rester dans la métropole. J'ai donc envie qu'elles se sentent villeurbannaises et qu'elles soient considérées comme telles", a ajouté M. Prime.Sur un haut mur à l'entrée du site où était graffée une tête de mort, le street-artiste Don Mateo l'a recouverte la veille d'un visage stylisé d'une mère couvant son enfant."J'ai volontairement laissé l'expression du visage de cette femme à l'interprétation de chacun. Elle est triste et heureuse à la fois et chacun y met ce qu'il veut y voir", explique l'artiste lyonnais.
Il y a 4 ans et 10 jours

Le début d'année 2021 signe le retour de la croissance pour les artisans du bâtiment

CONJONCTURE. L'activité de l'artisanat est repartie à la hausse au 1er trimestre 2021, selon les chiffres de l'Union des entreprises de proximité. Le bâtiment profite particulièrement de cette embellie.
GDA
Il y a 4 ans et 10 jours

Un contrat CCMI digital développé par la Capeb

La Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (Capeb) vient de développer le premier Contrat de Construction d'une Maison Individuelle (CCMI) 100 % digital afin de permettre aux artisans du bâtiment d'accéder au marché réglementé de la construction individuelle.
Il y a 4 ans et 10 jours

Ardian et GIP se retirent du projet "nouveau Suez", Meridiam se repositionne

REBONDISSEMENT. Le rapprochement entre Suez et Veolia connaît un nouveau rebondissement avec le retrait des fonds d'investissement Ardian et GIP du projet "nouveau Suez", issu de l'accord trouvé le 11 avril dernier. Suite à cette annonce, le fonds d'investissement Meridiam se dit prêt à augmenter sa participation.
Il y a 4 ans et 10 jours

Immobilier d’entreprise : que faire des surfaces de bureaux inutilisées ?

Chaque entreprise a dû faire face, à un moment ou à un autre, à des déséquilibres entre la surface disponible et celle effectivement exploitée. Avec les restrictions liées à la crise sanitaire, ces écarts sont devenus trop importants pour être ignorés. Redonner vie à ces surfaces délaissées, peut s’avérer très rentable. Voici les solutions à considérer pour optimiser ces espaces. Des décalages inhérents à la vie d’une entreprise Rien de plus naturel pour une entreprise que l’inoccupation de certaines surfaces dans ses locaux. Le cycle de vie d’une société implique des changements de rythme pouvant mener à une baisse d’activité à court ou moyen terme. Le départ de collaborateurs, à la retraite ou en quête de nouvelles opportunités, est inévitable. Dans ces situations, les espaces sont laissés vacants, mais peuvent être tout simplement sous-exploités. C’est, par exemple, le cas d’une vaste salle de réunion mobilisée seulement quelques jours par mois. Un défaut d’agencement peut également entraîner la désertification de certaines zones. Un manque à gagner exacerbé par la crise sanitaire Avec la généralisation du télétravail et les fermetures temporaires, le coût des surfaces commerciales peine à être rentabilisé. Si les établissements fermés ont vocation à rouvrir une fois la crise maîtrisée, pour ceux qui ont basculé vers le télétravail, il y aura aussi un avant et un après Covid-19. Sous l’impulsion des entreprises comme des collaborateurs, le télétravail devrait reprendre en France à un niveau supérieur à celui enregistré avant la crise. En conséquence, une partie des espaces inoccupés en temps de crise, le resteront même après la levée des restrictions. Comment exploiter ce potentiel ? Ces mètres carrés inexploités compromettent la santé financière de l’entreprise, et le déménagement vers des locaux plus adaptés semble être la solution la plus appropriée. En vérité, à ce stade, vous avez encore plusieurs cartes en main et, parmi elles, l’opportunité de dynamiser l’entreprise tout en assurant une entrée d’argent supplémentaire et régulière. Accueillez dans vos locaux de plus petites entreprises à la recherche d’une belle adresse à moindre frais ou d’un environnement de travail collaboratif. C’est gagnant-gagnant pour la structure accueillante qui mobilise toutes ses ressources disponibles, et pour celle qui loue, offrant à ses propres collaborateurs un espace de travail prêt à l’emploi. Dans certains cas, l’entreprise à la recherche de nouveaux espaces, souhaite offrir à plusieurs employés la possibilité de se rapprocher de leur domicile. Le déploiement de tiers-lieux satellites autour du siège est un bon compromis entre l’isolement du télétravail et les temps de trajets excessifs dans les grandes métropoles. Autant de nouvelles attentes qui n’attendent que des espaces disponibles pour s’épanouir. Instaurer des espaces modulables Les réflexions et expériences autour du « flex office » ou « desk sharing » gagnent en popularité et transforment l’immobilier d’entreprise. En raisonnant en termes de postes disponibles et d’effectif, les nouvelles méthodes d’organisation de l’espace brisent la répartition traditionnelle par mètre carré. L’entreprise est ainsi mieux armée pour répondre rapidement et efficacement aux évolutions de son activité. Ce mode de fonctionnement permet notamment de troquer une vaste surface sous-utilisée pour un espace plus compact dans un quartier à forte plus-value pour l’entreprise.
Il y a 4 ans et 10 jours

Quels matériaux de façade pour un bâtiment moderne ?

© Crédit photo : www.acodi.fr – Lycée Jean XXIII Née au début du XXe siècle, l’architecture moderne se veut avant tout fonctionnelle. Le travail des volumes prend le pas sur l’ornementation et laisse place à des lignes géométriques simples. La toiture-terrasse, le plan libre, la baie vitrée et la façade rideau sont quelques-unes de ses marques de fabrique. L’architecture contemporaine met elle aussi l’accent sur les volumes et la luminosité. Intégrant les nouveaux enjeux de son temps, elle aspire à une meilleure efficacité énergétique et accueille volontiers des espaces végétalisés. Voici les matériaux de façades à considérer pour accompagner au mieux ces architectures très urbaines. Le métal dans tous ses états Les structures métalliques se prêtent aisément à l’installation de brise-soleil en façade et participent à l’amélioration de l’isolation thermique du bâtiment. La légèreté et l’esthétique sobre de ces matériaux s’allient naturellement aux caractéristiques de l’architecture moderne et contemporaine. Ces parements sont le plus souvent proposés sous forme de panneaux composite alu, de panneaux en zinc, en inox ou en cuivre. Halte aux idées reçues : les bardages métalliques sont résistants à la corrosion et durables sans entretien. Recyclables, ces matériaux offrent un bon bilan environnemental tout au long de leur cycle de vie. La fibre-ciment et le béton Avec leurs nuances minérales, les panneaux en fibre-ciment respectent l’authenticité des bâtiments modernes. Très appréciées sur les façades ventilées, les propriétés de ce matériau accompagnent à merveille la régulation de l’air et de l’humidité au sein de la structure. Souvent relégué aux structures porteuses, le béton s’invite sur le devant de la scène, brut, sans peinture et sans crépis. Plusieurs techniques, comme le bouchardage, le ponçage et le polissage, permettent le travail de ce matériau pour un rendu unique. La pierre naturelle et la brique En finition brute ou lisse, la pierre naturelle séduit par son style intemporel. Elle souligne avec élégance les parois vitrées des bâtiments modernes tout en apportant une masse thermique supplémentaire à l’édifice. À poser selon les techniques traditionnelles ou par accrochage, selon le principe de la façade ventilée. À appliquer une à une, ou en panneaux préfabriqués, les briques de parement se prêtent volontiers à l’habillage de façades modernes et traditionnelles. Leur faible impact environnemental tout au long du cycle de vie séduit presque autant que leur patine si caractéristique. Le bois Le revêtement de façade en bois autorise des jeux de lignes intéressants à décliner sur les volumes modernes. Les panneaux aux dimensions les plus larges seront sollicités pour un rendu lisse et uniforme, tandis que les panneaux ajourés pourront habiller de vastes surfaces vitrées. Avec autant de teintes que d’essences disponibles, les bardages en bois se fondent aisément dans leur environnement et renforcent également les performances thermiques globales du bâtiment. Ce matériau demande en revanche un entretien régulier. Si l’impact environnemental joue un rôle essentiel dans le choix du matériau de façade, celui-ci devra être évalué en tenant compte des caractéristiques de la structure en place, des conditions de pose du parement et de sa capacité à accompagner la dynamique hygrothermique du bâtiment.
Il y a 4 ans et 10 jours

Soutenu par les aides Covid, le BTP a maintenu ses finances à flot tant bien que mal

TRÉSORERIE. Dans une étude, le Trésor public se penche sur l'impact de la crise du Covid sur la situation financière des entreprises françaises. Avec une chute plus ou moins importante de leur chiffre d'affaires et un endettement accru, celles-ci sont évidemment de plus en plus nombreuses à se retrouver illiquides ou insolvables. Également touchée, la construction parvient néanmoins à limiter la casse.
Il y a 4 ans et 10 jours

Rénovation énergétique : colère de l’artisanat du bâtiment après la publication du rapport Sichel

Si l’objectif poursuivi par ce Rapport est louable, et la CAPEB partage notamment l’ambition de multiplier les travaux de rénovation énergétique, elle considère que privilégier seulement les rénovations globales serait irréaliste. La CAPEB considère qu’il ne faut donc pas opposer les deux manières de faire (rénovation globale / rénovation par étapes) mais au contraire booster ces deux manières de rénover, tout en s’assurant d’un même niveau de qualité et de performances.Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB : « Ce rapport nous a étonnés, il entend trouver des solutions au marché de la rénovation énergétique qui ne décollerait pas assez vite, sans prendre en compte le comportement des ménages et de leurs contraintes, en cherchant simplement à organiser et uniformiser l’offre ! Nous attendons plus d’objectivité de la part des pouvoirs publics. A ce stade, nous espérons que les sénateurs qui, après l’Assemblée nationale, aborderont à leur tour ce sujet, auront en mémoire nos propositions »Changer d’échelleLa CAPEB partage l’objectif de réaliser des travaux de rénovation énergétique en masse, avec un changement d’échelle par rapport à aujourd’hui sans pour autant que cela se fasse au détriment de la qualité des travaux. Or, la réalité économique et les pratiques notamment des clients conduisent l’immense majorité des rénovations actuelles à se faire de façon étalée dans le temps du fait de difficultés techniques liées essentiellement aux interventions en site occupé, du coût important que représente une rénovation globale et de la priorisation des particuliers sur les travaux à effectuer.Pour arriver à changer d’échelle, il faut donc à la fois augmenter le nombre de rénovations énergétiques globales et le nombre de rénovations énergétiques par étape.Accompagnateurs pour les clients, facilitateurs pour les entreprisesLa création des accompagnateurs de la rénovation énergétique est une bonne idée car les dispositifs d’aide sont effectivement très complexes. Si le rapport reconnait la complexité et la difficulté à assimiler tous les dispositifs, alors il doit le reconnaitre aussi pour les entreprises. C’est pourquoi la CAPEB continue de demander, en symétrie, pour les entreprises la mise en place de facilitateurs pour les accompagner au quotidien dans le traitement de leur dossier de qualification RGE ou de demandes de CEE et/ou de MaPrimeRénov.Quels contours de missions pour ces accompagnateurs ?Mais la CAPEB s’interroge sur plusieurs points laissés dans l’ombre du rapport. Comment seront financés les accompagnateurs de la rénovation énergétique ? Ces accompagnateurs de la rénovation énergétique seront-ils en nombre suffisant pour accompagner tous les particuliers ? Quelles seront leurs compétences ? Quel sera leur statut ? La vision de « l’accompagnateur Rénov » qui apparait comme un nouveau métier dans le rapport et dont le recours serait obligatoire pour les ménages qui voudraient s’engager dans une rénovation globale comptant au moins 5 000 euros de travaux n’est pas acceptable.Son champ de compétences ne doit pas, en effet, empiéter sur celui des maîtres d’œuvre et entreprises du bâtiment qui jouent au quotidien un rôle d’information et de conseil auprès de leurs clients.Quelle réelle nouveauté en matière de financement ?Enfin, en ce qui concerne le financement des travaux de rénovation, la CAPEB ne voit pas dans le rapport Sichel de propositions de nature à réellement booster le nombre de travaux de rénovation énergétique réalisés.Plan d’actions : 7 propositions et demandes de la CAPEBC’est pourquoi la CAPEB formule ses propositions et demandes pour qu’un véritable débat constructif s’opère entre l’État et la filière.La CAPEB rappelle que les missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique ne doivent pas empiéter sur celles des professionnels qui interviennent déjà et notamment que ce soient les maîtres d’œuvre ou les entreprises. Au contraire, ils doivent s’appuyer dessus.La CAPEB rappelle qu’elle est totalement opposée à ce que ces accompagnateurs de la rénovation énergétique préconisent des travaux ou sélectionnent des entreprises.Compte tenu du flou sur la nature et le contenu des missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique, la CAPEB demande impérativement à être associée étroitement à l’élaboration du ou des décrets d’application qui préciseront les modalités de mise en œuvre de ces accompagnateurs de la rénovation énergétique.La CAPEB souhaite que la lutte contre la fraude et les Eco délinquants soit intensifiée. Pour la CAPEB, il faut distinguer la lutte contre la fraude et la question des non-qualités. La CAPEB rappelle que la grande majorité des entreprises RGE font correctement leur travail. C’est pourquoi, cela ne sert à rien de d’augmenter le nombre des contrôles pour toutes les entreprises sans discernement.Pour s’assurer de la qualité des travaux, la CAPEB propose de fixer, pour toutes les entreprises, un même pourcentage de contrôle à réaliser sur les chantiers réalisés. Et non, comme c’est le cas actuellement, un nombre fixe de chantiers contrôlés quel que soit le niveau d’activité de l’entreprise. La CAPEB propose également de faire varier ce pourcentage de contrôle applicable à une entreprise en fonction des résultats constatés sur le terrain lors des contrôle chantier réalisés précédemment pour cette même entreprise : allégement du taux de contrôle si les résultats sont satisfaisants ou renforcement dans le cas contraire. La CAPEB propose enfin de largement diffuser auprès des entreprises RGE l’ensemble des fiches d’auto-contrôle élaborées dans le cadre du programme PROFEEL qui seront disponibles début mai ainsi que les fiches pour aider à une bonne réalisation des réceptions de travaux avec les particuliers.La CAPEB rappelle sa proposition que tout particulier puisse, à l’occasion de la réalisation d’un premier geste, bénéficier gratuitement d’un audit énergétique pour bâtir un plan de travaux de rénovation énergétique de son logement étalés dans le temps pour ce qui reste à faire. Ce point est essentiel pour inciter les particuliers à poursuivre dans le sens d’une rénovation énergétique complète et performante de leur logement.Pour contribuer à l’amélioration de la qualité des travaux réalisés, et notamment en rénovation globale, la CAPEB rappelle sa proposition de revoir les obligations qui pèsent aujourd’hui sur les entreprises qui interviennent dans le cadre d’un GME.Il est, en effet, essentiel que les entreprises de corps d’état différents apprennent à travailler ensemble pour gérer au mieux l’organisation des travaux et les interfaces entre travaux, avec des responsabilités strictement limitées à leur champ d’intervention.Double nécessité : disposer d’une vision à moyen long terme et d’une analyse économique exhaustiveEn conclusion, la CAPEB, au nom de ses 57.000 entreprises adhérentes, réaffirme que les entreprises artisanales sont prêtes à relever de défi de la généralisation des travaux de rénovation énergétique, mais qu’elles ont besoin d’une vision de moyen terme s’appuyant sur des mesures stables et co-construites avec les pouvoirs publics et les acteurs de la filière.Au lieu de stigmatiser systématiquement l’offre, et notamment les entreprises, la CAPEB considère qu’il serait nécessaire d’approfondir, par une étude spécifique, la connaissance des réels comportements et attentes des clients en matière de rénovation énergétique permettant de comprendre les raisons profondes de la faiblesse de la demande et à la suite d’en déduire un plan d’actions opérationnel.
Il y a 4 ans et 10 jours

Un outil pour accompagner les entreprises de bâtiment à entamer une démarche RSE

RESPONSABILITÉ. Un outil vient d'être mis en ligne dans le but de soutenir les entreprises qui souhaitent engager une démarche de responsabilité sociale des entreprises (RSE).
Il y a 4 ans et 10 jours

"Les MGP sont la meilleure formule pour rénover les écoles de Marseille", Ph.Mazet

CONTROVERSE. Le choix de la ville de Marseille de rénover des groupements d'écoles avec des marchés globaux de performance (MGP) suscite le débat. Le délégué général d'EGF, Philippe Mazet, partage son point de vue avec Batiactu, après que les architectes de la région ont accusé ces marchés d'être "contraires à l'intérêt public".
Il y a 4 ans et 10 jours

« Peut-on se passer de bois ? » : la filière dénonce un amalgame permanent dans l'opinion public

L’amalgame permanent, entre les images chocs de la déforestation en zones tropicales et la réalité de la progression du patrimoine forestier sur tout le continent européen, l’idée que les forêts du Morvan sont l’expression généralisée des forêts françaises, l’impression donnée que les entreprises du bois et les forestiers sont tous « vendus au grand capital » et œuvrent systématiquement à grands coups de monstres mécanisés et d’épandages récurrents de glyphosate et d’autres intrants dévastateurs finissent par lasser. Peut-on se passer de bois ? C’est la seule question que doit se poser l’opinion publicSi la réponse est oui, alors acceptons l’idée de l’utilisation tout azimut des ressources fossiles et de la bétonisation de la planète. Actuellement, chaque habitant de notre terre consomme un m3 de béton par an, pourquoi pas deux ou trois, c’est si bon pour le réchauffement climatique… Nos forêts pourront alors être mises sous cloche, revenir à l’état primaire, redevenir impénétrables et largement moins agréables pour la promenade ou la sortie VTT du dimanche, ou simplement disparaître, emportées à leurs tours par le réchauffement climatique, dont les effets sont bien plus rapides que la seule adaptation des forêts à leurs environnements. Si la réponse est non, alors changeons notre regard sur les spécialistes : gestionnaires forestiers, bûcherons, scieurs, industriels de la deuxième transformation, scientifiques qui prônent un équilibre à travers les multifonctionnalités de la forêt, ou qui mettent en évidence l’intérêt environnemental de l’utilisation du bois, et donc de la récolte des arbres. Cessons de les considérer comme des suspects. Si la forêt est multifonctionnelle, elle est aussi l’une des meilleures illustrations de ce qu’est le développement durable. Les trois piliers du développement durable : social, écologique et économique s’y trouvent rassemblés mieux qu’ailleurs. On trouve aussi, dans ce lien entre la forêt et le bois, de magnifiques exemples de l’économie circulaire et de l’émergence du concept de circuits courts. Les femmes et les hommes qui mettent leur énergie, leurs talents, leurs convictions et leur passion au service des territoires forestiers et des entreprises responsables de la filière, sont souvent aussi silencieux que les arbres qui grandissent. Il serait temps de les écouter !Exemple de la reconstruction de Notre-DameL’opinion public s’est là encore « enflammée » : 3.500 m3 de chênes sacrifiés, inacceptable de récolter les 1.000 à 1.500 chênes nécessaires à la reconstruction !Or, il y a environ 1,3 milliards de chênes rouvres et pédonculés en France.Cette opération représente donc 0.0001% du capital de chênes disponibles…L’accroissement biologique annuel des chênes de France est de l’ordre de 14 millions de m3.Les 3.500 m3 de chêne seront reconstitués dans nos forêts en moins de 2h30….C’est de l’arithmétique de base niveau CM2 : [(365 jours x 24h) / 14.000.000 m3] x 3.500 m3 = 2,18h.2h30 de production, sans aucun bruit, en prélevant le CO2 atmosphérique et avec le soleil comme seule énergie… La forêt et l’utilisation du bois ont un rôle indispensable dans la réalisation des engagements environnementaux de la France. L’effort de communication et de pédagogie sur la nécessité d’une gestion dynamique de la forêt porte aussi sur les générations de futurs acteurs que nous formons à l’ENSTIB. Pour eux, nous nous devions d’intervenir dans ce débat.Professeur Laurent BLERON, Directeur de l’ENSTIBProfesseur Pascal TRIBOULOT, Directeur honoraire de l’ENSTIB, vice-président de FIBOIS Grand-Est
Il y a 4 ans et 10 jours

Un "centre de ressources" sur les immeubles bois destiné aux collectivités et aménageurs

RÉFÉRENTIEL. Un vade-mecum sur les constructions bois en milieu urbain et destiné aux collectivités territoriales, aménageurs et propriétaires fonciers vient d'être publié par l'Association pour le développement des immeubles à vivre bois. Le nouveau guide s'inscrit dans une volonté de développement de villes durables et écologiques, avec une logique de partage d'expériences.
Il y a 4 ans et 10 jours

Les stores Anti-Chaleur Reflex'Sol au Restaurant Graziella

Conformément aux réglementations thermiques qui imposent une consommation d'énergie inférieure à une consommation de référence et en été, une température inférieure à une température de référence, les stores Anti-Chaleur REFLEX'SOL proposent une protection solaire largement suffisante pour limiter l'utilisation d'une climatisation.Les solutions de protection solaire de la marque REFLEX'SOL sont proposées par la société Adeima qui vous présente des stores et solutions de réflexions 100% Made in France depuis 1987.Testés en centre de recherche et brevetés, bien plus que de simples stores, les produits REFLEX'SOL offrent bien-être et confort intérieur.Les produits REFLEX'SOL sont disponibles dans toutes la France, auprès des meilleurs fabricants de véranda et storistes.Store velum SOLARIA, élégant à la manipulation simple : isoler un puit de lumière en aluminium de la chaleurSOLARIA est un store velum qui permet d'isoler efficacement une véranda en aluminium. Ce store protège les puits de lumière de la chaleur du soleil grâce à son tissu réflecteur haute résistance, tout en gardant une bonne lumière à l'intérieur. La toile coulisse sur des rails en aluminium blancs ou thermolaqués selon les coloris ral en fonction de la décoration du lieu pour plus de personnalisation.La toile se déploie en formant des vagues et est entièrement tendue une fois celle-ci déployée. Ce mécanisme permet de mettre en valeur les tissus de couleur élégants, tout en garantissant une parfaite protection contre les rayons solaires. La toile peut être tamisante ou occultante.Le store velum est idéal pour isoler une véranda en aluminium équipée de surfaces vitrées, inclinées ou horizontales.En plus d'isoler les vérandas dites classiques et de les protéger de la chaleur, ces mécanismes habillent les toitures plates des vérandas d'aujourd'hui. SOLARIA est une protection solaire qui permet de réguler la température selon sa convenance, à ajuster la lumière sur mesure, à occulter la pièce ou encore à ajuster le degré d'intimité. Le store vélum SOLARIA se manœuvre facilement à l'aide de son système à cordon en kevlar, pouvant être actionné à l'aide d'une manivelle ou d'un moteur électrique.Caractéristiques techniques :Largeur maxi = 676, été/hiver : 6000 mm - 323, 454, 555 : 5000 mm - Black out : 4000 mmDéployé maxi = 12000 mm en 2 parties ou 6000 mm en 1 partieHauteur stockage = 300 à 350 mmProfondeur stockage = manuel : 350 mm + 5% du déployé motorisé : 460 mm + 5% du déployéPour en savoir plus sur la gamme REFLEX'SOL consultez leur site internet.
Il y a 4 ans et 10 jours

"La RE2020 peut être une source d'opportunités", Olivier Collin, DG d'Edycem

INTERVIEW. Edycem, spécialiste du béton, dispose d'un nouveau directeur général depuis janvier 2021 en la personne d'Olivier Collin. Il revient pour nous sur sa feuille de route, et l'actualité de la filière, notamment la RE2020 et la pénurie de matières premières.
Il y a 4 ans et 11 jours

Une forteresse historique des Hautes-Alpes vendue 661.000 euros

L'acheteur est une société civile immobilière (SCI) basée à Aix-en-Provence, a détaillé François Marty, qui n'en connaît pas le bénéficiaire final. Sa demande de report de l'audience a été rejetée.En raison de difficultés financières, sa banque l'avait conduit à vendre ce complexe de remparts, bâtisses, cours et donjon, totalisant 6.500 mètres carrés dont 3.500 aménageables, qui domine la rivière du Guil, dans la vallée du Queyras."Déçu" par un prix de vente "pas en adéquation avec la valeur du site" - il en attendait 2 à 3 millions d'euros -, il estime cette vente "faussée" par les conditions des enchères, réalisées en plein confinement."A ce prix-là, il y aura certainement une surenchère", ajoute-t-il, assurant que "toute personne peut dire +je relance+" d'ici à dix jours, ce qui provoquerait une nouvelle audience d'enchères, selon lui."Il faut que les futurs acquéreurs ne soient pas entravés dans leur déplacement" pour la visite du château puis de la vente, poursuit M. Marty, un investisseur immobilier basé à Aix-en-Provence.Trois avocats ont "poussé les enchères" pour leurs clients lors de l'audience au tribunal de Gap, a précisé cet ancien propriétaire. Il assure que ce prix de vente rembourse "tout juste" ses créances auprès de sa banque.Selon le maire et une association d'amis du fort, un bail commercial attaché à la vente empêcherait le nouvel acheteur d'avoir la jouissance immédiate du bien.C'est ce qui avait freiné la mairie dans son intention de préempter le bâtiment pour en faire un outil de développement touristique.La présence de Fort Queyras sur cette butte est attestée dès 1265. A la fin du XVIIe siècle, Vauban le renforce et le modernise pour mieux défendre la frontière italienne proche.Le château est occupé par l'armée jusqu'à sa démilitarisation après la Seconde guerre mondiale, puis a été racheté par des propriétaires privés successifs jusqu'à M. Marty.
Il y a 4 ans et 11 jours

Lieux de culte

2026 devait sonner, selon des estimations réalisées avant la pandémie, l’issue d’un chantier qui aura duré ...En savoir plus Cet article Lieux de culte est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 11 jours

Proteplan, le câble chauffant de Prysmian Group pour protéger les vignobles du gel

Pour les protéger et éviter la perte de leur récolte, les vignerons ont jusqu’à présent eu recours à plusieurs techniques, comme les bougies aux pieds des vignes, l’aspersion ou encore l’hélicoptère : des systèmes particulièrement polluants, onéreux et nécessitant plus de main d’œuvre. Des images spectaculaires nous ont frappées, parce que les solutions utilisées sont difficiles à mettre en oeuvre pour les vignerons, très contraignantes et extrêmement polluantes.Pourtant , depuis septembre 2020, Prysmian Group a changé la donne avec PROTEPLAN ®, sa solution de câble chauffant antigel.Prysmian a fourni pour le vignoble chablisien plus de 55 Km de câbles basse tension 500 V PROTEPLAN ®, , un câble chauffant à la gaine résistante aux intempéries, aux UV et aux traitements chimiques.Fixé tout au long du fil de palissage, le câble est relié grâce à un système de raccordement à une armoire étanche de distribution. Le vigneron n’a plus qu’à déclencher le système lorsque les températures chutent (efficace jusqu’à -10°C) qui maintient au contact des baguettes, une élévation de température homogène de 15 °C.Cette technologie présente différents avantages pour les vignerons : efficace et pérenne, elle est simple d’installation et d’utilisation. Mais plus encore, elle présente des avantages écologiques non négligeables par rapport aux bougies dont on a pu voir de nombreuses images. Ces bougies doivent en effet être installées dans toutes les vignes, sur des hectares entiers.Elles vont brûler en dégageant des fumées parfois toxiques, et dangereuses pour l’environnement. Elles réduisent par ailleurs la visibilité sur les routes au petit matin.Cette semaine, les câbles PROTEPLAN ®, ont été particulièrement utiles, et leur température élevée à 16° environ a sans aucun doute permis d’éviter le gel des nombreux bourgeons déjà apparus sur les vignobles Chablisiens et de garantir des futures récoltes qu’on espère généreuses.La technologie PROTEPLAN ®, est une solution efficace et d’avenir alors que le réchauffement climatique menace chaque année un peu plus les vignes au moment du printemps. Et elle est respectueuse de la nature et de l’environnement. », a conclu M. Fabien Queffelec, Responsable Industrie & Spécialités Prysmian Group France.Les câbles sont en outre 100% français, fabriqués dans l’Yonne (89) sur le site de production Prysmian Group de Paron, spécialisé dans les câbles basse tension.
Il y a 4 ans et 11 jours

75% des professionnels du bâtiment s'estiment peu informés sur la RE2020

MÉCONNAISSANCE. La réglementation environnementale 2020 (RE2020) entrera en vigueur le 1er janvier 2022, imposant notamment à tous les acteurs de la construction de réaliser des analyses de cycle de vie des projets. Pourtant, d'après une enquête, la majeure partie d'entre eux se déclarent sous-informés sur le sujet.
Il y a 4 ans et 11 jours

Forte baisse des défaillances d’entreprises dans le bâtiment

Les défaillances d'entreprises dans la construction ont reculé de -32 % au cours du premier trimestre 2021, atteignant leur plus faible niveau en 30 ans, d’après une étude du cabinet Altarès. Dans le négoce de matériaux de construction et sanitaire, la baisse est de 15,3 %.
Il y a 4 ans et 11 jours

Accord sur le financement de la nouvelle ligne Provence-Côte d'Azur

La mise en service de ces nouveaux aménagements est envisagée d'ici 2035. L'enquête d'utilité publique doit être lancée à la fin de l'année, selon le communiqué.Estimées à 3,5 milliards d'euros, ces deux phases de la Ligne nouvelle Provence-Côte d'Azur (LNPCA) comprennent des aménagements autour de Nice, Cannes, Toulon et Marseille, avec en particulier la construction d'une gare près de l'aéroport de Nice, l'ouverture d'un RER toulonnais et le percement d'un tunnel sous Marseille.Un comité de pilotage s'est accordé sur un financement à 40% pour l'Etat et 40% pour les collectivités, les 20% restants devant être demandés à l'Europe, selon un communiqué.Les collectivités concernées sont la région PACA, les départements des Bouches-du-Rhône, des Alpes-Maritimes et du Var, les métropoles d'Aix-Marseille, Nice et Toulon, et les agglomérations de Cannes, Draguignan et Grasse.
Il y a 4 ans et 11 jours

A l’Ouest, du nouveau pour S2T

L’ingénieriste S2T a ouvert un bureau à Nantes. Le francilien vise désormais de nouveaux horizons.
Il y a 4 ans et 11 jours

Colloque le Pont

Manifestation qui a pour thème le changement climatique et les ouvrages de génie civil.
Il y a 4 ans et 11 jours

Europan 16 : c'est parti !

Quimper, Pont Aven, Niort, Limoges... On connaît les villes françaises qui se prêtent au jeu de la seizième édition du concours d'idées biennal Europan. Les jeunes architectes, paysagistes et urbanistes européens ont jusqu'au 17 septembre 2021 pour envoyer leurs projets. Très attendu par les jeunes concepteurs désireux de se […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 11 jours

L’ITE garde le cap et poursuit sa progression

Malgré le ralentissement des chantiers entre mars et juin 2020, le marché de l’isolation thermique extérieure reste positif sur l’année 2020, poussé par le collectif. Aujourd’hui, la demande s’accroît sur la maison individuelle et les copropriétés.