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Il y a 4 ans et 10 jours

Quels matériaux de façade pour un bâtiment moderne ?

© Crédit photo : www.acodi.fr – Lycée Jean XXIII Née au début du XXe siècle, l’architecture moderne se veut avant tout fonctionnelle. Le travail des volumes prend le pas sur l’ornementation et laisse place à des lignes géométriques simples. La toiture-terrasse, le plan libre, la baie vitrée et la façade rideau sont quelques-unes de ses marques de fabrique. L’architecture contemporaine met elle aussi l’accent sur les volumes et la luminosité. Intégrant les nouveaux enjeux de son temps, elle aspire à une meilleure efficacité énergétique et accueille volontiers des espaces végétalisés. Voici les matériaux de façades à considérer pour accompagner au mieux ces architectures très urbaines. Le métal dans tous ses états Les structures métalliques se prêtent aisément à l’installation de brise-soleil en façade et participent à l’amélioration de l’isolation thermique du bâtiment. La légèreté et l’esthétique sobre de ces matériaux s’allient naturellement aux caractéristiques de l’architecture moderne et contemporaine. Ces parements sont le plus souvent proposés sous forme de panneaux composite alu, de panneaux en zinc, en inox ou en cuivre. Halte aux idées reçues : les bardages métalliques sont résistants à la corrosion et durables sans entretien. Recyclables, ces matériaux offrent un bon bilan environnemental tout au long de leur cycle de vie. La fibre-ciment et le béton Avec leurs nuances minérales, les panneaux en fibre-ciment respectent l’authenticité des bâtiments modernes. Très appréciées sur les façades ventilées, les propriétés de ce matériau accompagnent à merveille la régulation de l’air et de l’humidité au sein de la structure. Souvent relégué aux structures porteuses, le béton s’invite sur le devant de la scène, brut, sans peinture et sans crépis. Plusieurs techniques, comme le bouchardage, le ponçage et le polissage, permettent le travail de ce matériau pour un rendu unique. La pierre naturelle et la brique En finition brute ou lisse, la pierre naturelle séduit par son style intemporel. Elle souligne avec élégance les parois vitrées des bâtiments modernes tout en apportant une masse thermique supplémentaire à l’édifice. À poser selon les techniques traditionnelles ou par accrochage, selon le principe de la façade ventilée. À appliquer une à une, ou en panneaux préfabriqués, les briques de parement se prêtent volontiers à l’habillage de façades modernes et traditionnelles. Leur faible impact environnemental tout au long du cycle de vie séduit presque autant que leur patine si caractéristique. Le bois Le revêtement de façade en bois autorise des jeux de lignes intéressants à décliner sur les volumes modernes. Les panneaux aux dimensions les plus larges seront sollicités pour un rendu lisse et uniforme, tandis que les panneaux ajourés pourront habiller de vastes surfaces vitrées. Avec autant de teintes que d’essences disponibles, les bardages en bois se fondent aisément dans leur environnement et renforcent également les performances thermiques globales du bâtiment. Ce matériau demande en revanche un entretien régulier. Si l’impact environnemental joue un rôle essentiel dans le choix du matériau de façade, celui-ci devra être évalué en tenant compte des caractéristiques de la structure en place, des conditions de pose du parement et de sa capacité à accompagner la dynamique hygrothermique du bâtiment.
Il y a 4 ans et 10 jours

Soutenu par les aides Covid, le BTP a maintenu ses finances à flot tant bien que mal

TRÉSORERIE. Dans une étude, le Trésor public se penche sur l'impact de la crise du Covid sur la situation financière des entreprises françaises. Avec une chute plus ou moins importante de leur chiffre d'affaires et un endettement accru, celles-ci sont évidemment de plus en plus nombreuses à se retrouver illiquides ou insolvables. Également touchée, la construction parvient néanmoins à limiter la casse.
Il y a 4 ans et 10 jours

Rénovation énergétique : colère de l’artisanat du bâtiment après la publication du rapport Sichel

Si l’objectif poursuivi par ce Rapport est louable, et la CAPEB partage notamment l’ambition de multiplier les travaux de rénovation énergétique, elle considère que privilégier seulement les rénovations globales serait irréaliste. La CAPEB considère qu’il ne faut donc pas opposer les deux manières de faire (rénovation globale / rénovation par étapes) mais au contraire booster ces deux manières de rénover, tout en s’assurant d’un même niveau de qualité et de performances.Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB : « Ce rapport nous a étonnés, il entend trouver des solutions au marché de la rénovation énergétique qui ne décollerait pas assez vite, sans prendre en compte le comportement des ménages et de leurs contraintes, en cherchant simplement à organiser et uniformiser l’offre ! Nous attendons plus d’objectivité de la part des pouvoirs publics. A ce stade, nous espérons que les sénateurs qui, après l’Assemblée nationale, aborderont à leur tour ce sujet, auront en mémoire nos propositions »Changer d’échelleLa CAPEB partage l’objectif de réaliser des travaux de rénovation énergétique en masse, avec un changement d’échelle par rapport à aujourd’hui sans pour autant que cela se fasse au détriment de la qualité des travaux. Or, la réalité économique et les pratiques notamment des clients conduisent l’immense majorité des rénovations actuelles à se faire de façon étalée dans le temps du fait de difficultés techniques liées essentiellement aux interventions en site occupé, du coût important que représente une rénovation globale et de la priorisation des particuliers sur les travaux à effectuer.Pour arriver à changer d’échelle, il faut donc à la fois augmenter le nombre de rénovations énergétiques globales et le nombre de rénovations énergétiques par étape.Accompagnateurs pour les clients, facilitateurs pour les entreprisesLa création des accompagnateurs de la rénovation énergétique est une bonne idée car les dispositifs d’aide sont effectivement très complexes. Si le rapport reconnait la complexité et la difficulté à assimiler tous les dispositifs, alors il doit le reconnaitre aussi pour les entreprises. C’est pourquoi la CAPEB continue de demander, en symétrie, pour les entreprises la mise en place de facilitateurs pour les accompagner au quotidien dans le traitement de leur dossier de qualification RGE ou de demandes de CEE et/ou de MaPrimeRénov.Quels contours de missions pour ces accompagnateurs ?Mais la CAPEB s’interroge sur plusieurs points laissés dans l’ombre du rapport. Comment seront financés les accompagnateurs de la rénovation énergétique ? Ces accompagnateurs de la rénovation énergétique seront-ils en nombre suffisant pour accompagner tous les particuliers ? Quelles seront leurs compétences ? Quel sera leur statut ? La vision de « l’accompagnateur Rénov » qui apparait comme un nouveau métier dans le rapport et dont le recours serait obligatoire pour les ménages qui voudraient s’engager dans une rénovation globale comptant au moins 5 000 euros de travaux n’est pas acceptable.Son champ de compétences ne doit pas, en effet, empiéter sur celui des maîtres d’œuvre et entreprises du bâtiment qui jouent au quotidien un rôle d’information et de conseil auprès de leurs clients.Quelle réelle nouveauté en matière de financement ?Enfin, en ce qui concerne le financement des travaux de rénovation, la CAPEB ne voit pas dans le rapport Sichel de propositions de nature à réellement booster le nombre de travaux de rénovation énergétique réalisés.Plan d’actions : 7 propositions et demandes de la CAPEBC’est pourquoi la CAPEB formule ses propositions et demandes pour qu’un véritable débat constructif s’opère entre l’État et la filière.La CAPEB rappelle que les missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique ne doivent pas empiéter sur celles des professionnels qui interviennent déjà et notamment que ce soient les maîtres d’œuvre ou les entreprises. Au contraire, ils doivent s’appuyer dessus.La CAPEB rappelle qu’elle est totalement opposée à ce que ces accompagnateurs de la rénovation énergétique préconisent des travaux ou sélectionnent des entreprises.Compte tenu du flou sur la nature et le contenu des missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique, la CAPEB demande impérativement à être associée étroitement à l’élaboration du ou des décrets d’application qui préciseront les modalités de mise en œuvre de ces accompagnateurs de la rénovation énergétique.La CAPEB souhaite que la lutte contre la fraude et les Eco délinquants soit intensifiée. Pour la CAPEB, il faut distinguer la lutte contre la fraude et la question des non-qualités. La CAPEB rappelle que la grande majorité des entreprises RGE font correctement leur travail. C’est pourquoi, cela ne sert à rien de d’augmenter le nombre des contrôles pour toutes les entreprises sans discernement.Pour s’assurer de la qualité des travaux, la CAPEB propose de fixer, pour toutes les entreprises, un même pourcentage de contrôle à réaliser sur les chantiers réalisés. Et non, comme c’est le cas actuellement, un nombre fixe de chantiers contrôlés quel que soit le niveau d’activité de l’entreprise. La CAPEB propose également de faire varier ce pourcentage de contrôle applicable à une entreprise en fonction des résultats constatés sur le terrain lors des contrôle chantier réalisés précédemment pour cette même entreprise : allégement du taux de contrôle si les résultats sont satisfaisants ou renforcement dans le cas contraire. La CAPEB propose enfin de largement diffuser auprès des entreprises RGE l’ensemble des fiches d’auto-contrôle élaborées dans le cadre du programme PROFEEL qui seront disponibles début mai ainsi que les fiches pour aider à une bonne réalisation des réceptions de travaux avec les particuliers.La CAPEB rappelle sa proposition que tout particulier puisse, à l’occasion de la réalisation d’un premier geste, bénéficier gratuitement d’un audit énergétique pour bâtir un plan de travaux de rénovation énergétique de son logement étalés dans le temps pour ce qui reste à faire. Ce point est essentiel pour inciter les particuliers à poursuivre dans le sens d’une rénovation énergétique complète et performante de leur logement.Pour contribuer à l’amélioration de la qualité des travaux réalisés, et notamment en rénovation globale, la CAPEB rappelle sa proposition de revoir les obligations qui pèsent aujourd’hui sur les entreprises qui interviennent dans le cadre d’un GME.Il est, en effet, essentiel que les entreprises de corps d’état différents apprennent à travailler ensemble pour gérer au mieux l’organisation des travaux et les interfaces entre travaux, avec des responsabilités strictement limitées à leur champ d’intervention.Double nécessité : disposer d’une vision à moyen long terme et d’une analyse économique exhaustiveEn conclusion, la CAPEB, au nom de ses 57.000 entreprises adhérentes, réaffirme que les entreprises artisanales sont prêtes à relever de défi de la généralisation des travaux de rénovation énergétique, mais qu’elles ont besoin d’une vision de moyen terme s’appuyant sur des mesures stables et co-construites avec les pouvoirs publics et les acteurs de la filière.Au lieu de stigmatiser systématiquement l’offre, et notamment les entreprises, la CAPEB considère qu’il serait nécessaire d’approfondir, par une étude spécifique, la connaissance des réels comportements et attentes des clients en matière de rénovation énergétique permettant de comprendre les raisons profondes de la faiblesse de la demande et à la suite d’en déduire un plan d’actions opérationnel.
Il y a 4 ans et 10 jours

Un outil pour accompagner les entreprises de bâtiment à entamer une démarche RSE

RESPONSABILITÉ. Un outil vient d'être mis en ligne dans le but de soutenir les entreprises qui souhaitent engager une démarche de responsabilité sociale des entreprises (RSE).
Il y a 4 ans et 10 jours

"Les MGP sont la meilleure formule pour rénover les écoles de Marseille", Ph.Mazet

CONTROVERSE. Le choix de la ville de Marseille de rénover des groupements d'écoles avec des marchés globaux de performance (MGP) suscite le débat. Le délégué général d'EGF, Philippe Mazet, partage son point de vue avec Batiactu, après que les architectes de la région ont accusé ces marchés d'être "contraires à l'intérêt public".
Il y a 4 ans et 10 jours

« Peut-on se passer de bois ? » : la filière dénonce un amalgame permanent dans l'opinion public

L’amalgame permanent, entre les images chocs de la déforestation en zones tropicales et la réalité de la progression du patrimoine forestier sur tout le continent européen, l’idée que les forêts du Morvan sont l’expression généralisée des forêts françaises, l’impression donnée que les entreprises du bois et les forestiers sont tous « vendus au grand capital » et œuvrent systématiquement à grands coups de monstres mécanisés et d’épandages récurrents de glyphosate et d’autres intrants dévastateurs finissent par lasser. Peut-on se passer de bois ? C’est la seule question que doit se poser l’opinion publicSi la réponse est oui, alors acceptons l’idée de l’utilisation tout azimut des ressources fossiles et de la bétonisation de la planète. Actuellement, chaque habitant de notre terre consomme un m3 de béton par an, pourquoi pas deux ou trois, c’est si bon pour le réchauffement climatique… Nos forêts pourront alors être mises sous cloche, revenir à l’état primaire, redevenir impénétrables et largement moins agréables pour la promenade ou la sortie VTT du dimanche, ou simplement disparaître, emportées à leurs tours par le réchauffement climatique, dont les effets sont bien plus rapides que la seule adaptation des forêts à leurs environnements. Si la réponse est non, alors changeons notre regard sur les spécialistes : gestionnaires forestiers, bûcherons, scieurs, industriels de la deuxième transformation, scientifiques qui prônent un équilibre à travers les multifonctionnalités de la forêt, ou qui mettent en évidence l’intérêt environnemental de l’utilisation du bois, et donc de la récolte des arbres. Cessons de les considérer comme des suspects. Si la forêt est multifonctionnelle, elle est aussi l’une des meilleures illustrations de ce qu’est le développement durable. Les trois piliers du développement durable : social, écologique et économique s’y trouvent rassemblés mieux qu’ailleurs. On trouve aussi, dans ce lien entre la forêt et le bois, de magnifiques exemples de l’économie circulaire et de l’émergence du concept de circuits courts. Les femmes et les hommes qui mettent leur énergie, leurs talents, leurs convictions et leur passion au service des territoires forestiers et des entreprises responsables de la filière, sont souvent aussi silencieux que les arbres qui grandissent. Il serait temps de les écouter !Exemple de la reconstruction de Notre-DameL’opinion public s’est là encore « enflammée » : 3.500 m3 de chênes sacrifiés, inacceptable de récolter les 1.000 à 1.500 chênes nécessaires à la reconstruction !Or, il y a environ 1,3 milliards de chênes rouvres et pédonculés en France.Cette opération représente donc 0.0001% du capital de chênes disponibles…L’accroissement biologique annuel des chênes de France est de l’ordre de 14 millions de m3.Les 3.500 m3 de chêne seront reconstitués dans nos forêts en moins de 2h30….C’est de l’arithmétique de base niveau CM2 : [(365 jours x 24h) / 14.000.000 m3] x 3.500 m3 = 2,18h.2h30 de production, sans aucun bruit, en prélevant le CO2 atmosphérique et avec le soleil comme seule énergie… La forêt et l’utilisation du bois ont un rôle indispensable dans la réalisation des engagements environnementaux de la France. L’effort de communication et de pédagogie sur la nécessité d’une gestion dynamique de la forêt porte aussi sur les générations de futurs acteurs que nous formons à l’ENSTIB. Pour eux, nous nous devions d’intervenir dans ce débat.Professeur Laurent BLERON, Directeur de l’ENSTIBProfesseur Pascal TRIBOULOT, Directeur honoraire de l’ENSTIB, vice-président de FIBOIS Grand-Est
Cimbat
Il y a 4 ans et 10 jours

Les stores Anti-Chaleur Reflex'Sol au Restaurant Graziella

Conformément aux réglementations thermiques qui imposent une consommation d'énergie inférieure à une consommation de référence et en été, une température inférieure à une température de référence, les stores Anti-Chaleur REFLEX'SOL proposent une protection solaire largement suffisante pour limiter l'utilisation d'une climatisation.Les solutions de protection solaire de la marque REFLEX'SOL sont proposées par la société Adeima qui vous présente des stores et solutions de réflexions 100% Made in France depuis 1987.Testés en centre de recherche et brevetés, bien plus que de simples stores, les produits REFLEX'SOL offrent bien-être et confort intérieur.Les produits REFLEX'SOL sont disponibles dans toutes la France, auprès des meilleurs fabricants de véranda et storistes.Store velum SOLARIA, élégant à la manipulation simple : isoler un puit de lumière en aluminium de la chaleurSOLARIA est un store velum qui permet d'isoler efficacement une véranda en aluminium. Ce store protège les puits de lumière de la chaleur du soleil grâce à son tissu réflecteur haute résistance, tout en gardant une bonne lumière à l'intérieur. La toile coulisse sur des rails en aluminium blancs ou thermolaqués selon les coloris ral en fonction de la décoration du lieu pour plus de personnalisation.La toile se déploie en formant des vagues et est entièrement tendue une fois celle-ci déployée. Ce mécanisme permet de mettre en valeur les tissus de couleur élégants, tout en garantissant une parfaite protection contre les rayons solaires. La toile peut être tamisante ou occultante.Le store velum est idéal pour isoler une véranda en aluminium équipée de surfaces vitrées, inclinées ou horizontales.En plus d'isoler les vérandas dites classiques et de les protéger de la chaleur, ces mécanismes habillent les toitures plates des vérandas d'aujourd'hui. SOLARIA est une protection solaire qui permet de réguler la température selon sa convenance, à ajuster la lumière sur mesure, à occulter la pièce ou encore à ajuster le degré d'intimité. Le store vélum SOLARIA se manœuvre facilement à l'aide de son système à cordon en kevlar, pouvant être actionné à l'aide d'une manivelle ou d'un moteur électrique.Caractéristiques techniques :Largeur maxi = 676, été/hiver : 6000 mm - 323, 454, 555 : 5000 mm - Black out : 4000 mmDéployé maxi = 12000 mm en 2 parties ou 6000 mm en 1 partieHauteur stockage = 300 à 350 mmProfondeur stockage = manuel : 350 mm + 5% du déployé motorisé : 460 mm + 5% du déployéPour en savoir plus sur la gamme REFLEX'SOL consultez leur site internet.
Il y a 4 ans et 10 jours

"La RE2020 peut être une source d'opportunités", Olivier Collin, DG d'Edycem

INTERVIEW. Edycem, spécialiste du béton, dispose d'un nouveau directeur général depuis janvier 2021 en la personne d'Olivier Collin. Il revient pour nous sur sa feuille de route, et l'actualité de la filière, notamment la RE2020 et la pénurie de matières premières.
Il y a 4 ans et 11 jours

Une forteresse historique des Hautes-Alpes vendue 661.000 euros

L'acheteur est une société civile immobilière (SCI) basée à Aix-en-Provence, a détaillé François Marty, qui n'en connaît pas le bénéficiaire final. Sa demande de report de l'audience a été rejetée.En raison de difficultés financières, sa banque l'avait conduit à vendre ce complexe de remparts, bâtisses, cours et donjon, totalisant 6.500 mètres carrés dont 3.500 aménageables, qui domine la rivière du Guil, dans la vallée du Queyras."Déçu" par un prix de vente "pas en adéquation avec la valeur du site" - il en attendait 2 à 3 millions d'euros -, il estime cette vente "faussée" par les conditions des enchères, réalisées en plein confinement."A ce prix-là, il y aura certainement une surenchère", ajoute-t-il, assurant que "toute personne peut dire +je relance+" d'ici à dix jours, ce qui provoquerait une nouvelle audience d'enchères, selon lui."Il faut que les futurs acquéreurs ne soient pas entravés dans leur déplacement" pour la visite du château puis de la vente, poursuit M. Marty, un investisseur immobilier basé à Aix-en-Provence.Trois avocats ont "poussé les enchères" pour leurs clients lors de l'audience au tribunal de Gap, a précisé cet ancien propriétaire. Il assure que ce prix de vente rembourse "tout juste" ses créances auprès de sa banque.Selon le maire et une association d'amis du fort, un bail commercial attaché à la vente empêcherait le nouvel acheteur d'avoir la jouissance immédiate du bien.C'est ce qui avait freiné la mairie dans son intention de préempter le bâtiment pour en faire un outil de développement touristique.La présence de Fort Queyras sur cette butte est attestée dès 1265. A la fin du XVIIe siècle, Vauban le renforce et le modernise pour mieux défendre la frontière italienne proche.Le château est occupé par l'armée jusqu'à sa démilitarisation après la Seconde guerre mondiale, puis a été racheté par des propriétaires privés successifs jusqu'à M. Marty.
Il y a 4 ans et 11 jours

Lieux de culte

2026 devait sonner, selon des estimations réalisées avant la pandémie, l’issue d’un chantier qui aura duré ...En savoir plus Cet article Lieux de culte est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 11 jours

Proteplan, le câble chauffant de Prysmian Group pour protéger les vignobles du gel

Pour les protéger et éviter la perte de leur récolte, les vignerons ont jusqu’à présent eu recours à plusieurs techniques, comme les bougies aux pieds des vignes, l’aspersion ou encore l’hélicoptère : des systèmes particulièrement polluants, onéreux et nécessitant plus de main d’œuvre. Des images spectaculaires nous ont frappées, parce que les solutions utilisées sont difficiles à mettre en oeuvre pour les vignerons, très contraignantes et extrêmement polluantes.Pourtant , depuis septembre 2020, Prysmian Group a changé la donne avec PROTEPLAN ®, sa solution de câble chauffant antigel.Prysmian a fourni pour le vignoble chablisien plus de 55 Km de câbles basse tension 500 V PROTEPLAN ®, , un câble chauffant à la gaine résistante aux intempéries, aux UV et aux traitements chimiques.Fixé tout au long du fil de palissage, le câble est relié grâce à un système de raccordement à une armoire étanche de distribution. Le vigneron n’a plus qu’à déclencher le système lorsque les températures chutent (efficace jusqu’à -10°C) qui maintient au contact des baguettes, une élévation de température homogène de 15 °C.Cette technologie présente différents avantages pour les vignerons : efficace et pérenne, elle est simple d’installation et d’utilisation. Mais plus encore, elle présente des avantages écologiques non négligeables par rapport aux bougies dont on a pu voir de nombreuses images. Ces bougies doivent en effet être installées dans toutes les vignes, sur des hectares entiers.Elles vont brûler en dégageant des fumées parfois toxiques, et dangereuses pour l’environnement. Elles réduisent par ailleurs la visibilité sur les routes au petit matin.Cette semaine, les câbles PROTEPLAN ®, ont été particulièrement utiles, et leur température élevée à 16° environ a sans aucun doute permis d’éviter le gel des nombreux bourgeons déjà apparus sur les vignobles Chablisiens et de garantir des futures récoltes qu’on espère généreuses.La technologie PROTEPLAN ®, est une solution efficace et d’avenir alors que le réchauffement climatique menace chaque année un peu plus les vignes au moment du printemps. Et elle est respectueuse de la nature et de l’environnement. », a conclu M. Fabien Queffelec, Responsable Industrie & Spécialités Prysmian Group France.Les câbles sont en outre 100% français, fabriqués dans l’Yonne (89) sur le site de production Prysmian Group de Paron, spécialisé dans les câbles basse tension.
Il y a 4 ans et 11 jours

75% des professionnels du bâtiment s'estiment peu informés sur la RE2020

MÉCONNAISSANCE. La réglementation environnementale 2020 (RE2020) entrera en vigueur le 1er janvier 2022, imposant notamment à tous les acteurs de la construction de réaliser des analyses de cycle de vie des projets. Pourtant, d'après une enquête, la majeure partie d'entre eux se déclarent sous-informés sur le sujet.
Il y a 4 ans et 11 jours

Forte baisse des défaillances d’entreprises dans le bâtiment

Les défaillances d'entreprises dans la construction ont reculé de -32 % au cours du premier trimestre 2021, atteignant leur plus faible niveau en 30 ans, d’après une étude du cabinet Altarès. Dans le négoce de matériaux de construction et sanitaire, la baisse est de 15,3 %.
Il y a 4 ans et 11 jours

Accord sur le financement de la nouvelle ligne Provence-Côte d'Azur

La mise en service de ces nouveaux aménagements est envisagée d'ici 2035. L'enquête d'utilité publique doit être lancée à la fin de l'année, selon le communiqué.Estimées à 3,5 milliards d'euros, ces deux phases de la Ligne nouvelle Provence-Côte d'Azur (LNPCA) comprennent des aménagements autour de Nice, Cannes, Toulon et Marseille, avec en particulier la construction d'une gare près de l'aéroport de Nice, l'ouverture d'un RER toulonnais et le percement d'un tunnel sous Marseille.Un comité de pilotage s'est accordé sur un financement à 40% pour l'Etat et 40% pour les collectivités, les 20% restants devant être demandés à l'Europe, selon un communiqué.Les collectivités concernées sont la région PACA, les départements des Bouches-du-Rhône, des Alpes-Maritimes et du Var, les métropoles d'Aix-Marseille, Nice et Toulon, et les agglomérations de Cannes, Draguignan et Grasse.
Il y a 4 ans et 11 jours

A l’Ouest, du nouveau pour S2T

L’ingénieriste S2T a ouvert un bureau à Nantes. Le francilien vise désormais de nouveaux horizons.
Il y a 4 ans et 11 jours

Colloque le Pont

Manifestation qui a pour thème le changement climatique et les ouvrages de génie civil.
Il y a 4 ans et 11 jours

Europan 16 : c'est parti !

Quimper, Pont Aven, Niort, Limoges... On connaît les villes françaises qui se prêtent au jeu de la seizième édition du concours d'idées biennal Europan. Les jeunes architectes, paysagistes et urbanistes européens ont jusqu'au 17 septembre 2021 pour envoyer leurs projets. Très attendu par les jeunes concepteurs désireux de se […] Lire l'article
GDA
Il y a 4 ans et 11 jours

Paris-2024 : soupçons de propos sexistes et racistes, trois salariés de la Solideo suspendus

Cette enquête a été confiée "il y a quelques jours" au déontologue de la Solideo à la suite de l'envoi de questions par le journal en ligne Mediapart au sujet de propos sexistes, racistes et homophobes tenus au sein de l'établissement public, selon La Solideo."Nous avons été saisis de questions de la part de Mediapart qui nous a rapporté des accusations extrêmement graves et choquantes, suffisamment graves pour déclencher une enquête en interne et suspendre trois salariés afin de pouvoir établir la véracité des choses", a-t-elle expliqué.Selon les témoignages recueillis par Mediapart qui a publié dimanche un article sur le sujet, sur les trois salariés visés par ces accusations, deux sont des cadres de la société placés à des postes-clés."Il y a déjà eu des dysfonctionnements dans le passé qui ont été traités avec sérieux et à la hauteur de ce qui avait été établi, pas forcément sur les mêmes salariés. Mais là, il s'agit de nouvelles accusations, extrêmement graves", a précisé la Solideo.L'audit pourrait déboucher sur des sanctions concernant les salariés visés par ces accusations, a-t-elle ajouté.La Solideo, établissement public industriel et commercial (Epic) qui emploie une centaine de salariés, est présidée par la maire PS de Paris Anne Hidalgo.Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO de Paris, la Solideo supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles."Les comportements déviants peuvent arriver dans n'importe quelle organisation", a réagi, contacté par l'AFP, le cabinet d'Anne Hidalgo qui affirme ne pas avoir eu connaissance de "l'étendue des accusations" avant l'enquête de Mediapart.Selon ce dernier, le cabinet a pourtant récupéré en novembre 2020 le rapport d'une ancienne directrice de la communication de Solideo alertant sur les "propos misogynes, racistes et homophobes échangés au quotidien".Si "cette ex-collaboratrice licenciée" a bien "fait état d'une série de choses" auprès du cabinet, celui-ci a "clos le chapitre" car la personne en question n'a pas "voulu saisir officiellement la maire, préférant s'en tenir à une solution transactionnelle avec son employeur"."Si ce que dit Mediapart est avéré, c'est particulièrement choquant", ajoute l'équipe de l'élue socialiste, qui "fait confiance" au directeur général de Solideo Nicolas Ferrand "pour prendre les décisions qui s'imposent à l'issue de l'enquête contradictoire"."Aucune décision n'a été prise pour lutter contre les responsables de tels propos jusqu'à ce que Mediapart s'en saisisse et enquête", a dénoncé la conseillère de Paris (La France Insoumise) Danielle Simonnet."A la Mairie de Paris, de tels faits se multiplient et revêtent un caractère systémique", soutient l'opposante à la maire, qui reproche à l'exécutif parisien de "couvrir les agissements et propos sexistes, racistes, LGBTphobes, au nom de l'entre-soi".
Il y a 4 ans et 11 jours

Philippe Gruat élu Président de l’AIMCC

Philippe Gruat a présidé la FIB (Fédération de l’industrie du béton) de 2015 à 2019, ainsi que le Cerib (Centre d’études et de recherche de l’industrie du béton) de 2015 à 2020. Il est aujourd’hui Vice-Président de la FIB tout en étant par ailleurs Président de la Filière Béton depuis 2019. Également Président d’Agyre, pour l’économie circulaire dans la construction, depuis 2020, et de l’ESITC-Caen (École supérieure d’ingénieurs des travaux de la construction de Caen) depuis 2013, Philippe Gruat est aussi membre du comité exécutif du CSF IPC (Comité Stratégique de Filière « Industries pour la Construction »).Philippe Gruat a effectué l’essentiel de sa carrière au sein de groupes industriels et plus particulièrement dans la filière des matériaux et produits de construction où il a occupé des postes en lien avec le marketing et de direction générale.Une ambition forte au regard des enjeux règlementaires actuelsLe nouveau Président entend conforter l’ambition forte de l’AIMCC, au regard des enjeux réglementaires actuels. Celui-ci affirme son engagement au sein de l’association et sa motivation à succéder à Hervé De Maistre. Membre du comité stratégique de l’AIMCC dès le début des années 2000, puis administrateur depuis 2015, il a pu apprécier « l’utilité et l’efficacité de la collaboration entre toutes les filières qui composent notre association. J’ai pu également constater que l’AIMCC devenait l’interlocuteur incontournable des pouvoirs publics et des autres organisations professionnelles de la construction ». Philippe Gruat mesure l’ampleur des défis à venir pour le secteur et entend poursuivre avec pugnacité l’action de l’association afin que les industries : réussissent leur transformation numérique, opèrent avec succès l’inéluctable transition écologique, développent et libèrent leurs capacités d’innovation, captent et forment les talents de demain grâce à une forte mobilisation autour de la formation initiale et de la formation continue des salariés des entreprises industrielles.Membre du CSF IPC, Philippe Gruat souligne l’importance de cet outil à disposition des industriels, permettant d’asseoir la légitimité du secteur industriel, et facilitant le dialogue avec les politiques : « Convaincu que la création du CSF IPC aux côtés de l’AIMCC contribue à la réalisation de projets concrets, permettant de rendre visible le dynamisme industriel de notre secteur, je m’engage à soutenir la synergie entre les deux organisations ». Le CSF IPC est le porte-parole politique des industriels du secteur. Plusieurs des enjeux portés par l’AIMCC trouvent leur légitimité dans le cadre des projets structurants du CSF IPC, dont l’avenant est en cours de finalisation.Philippe Gruat félicite l’important travail mené par les représentants des organisations professionnelles et des entreprises au sein des Commissions de travail AIMCC. Le nouveau Président affirme son ambition de consolider la visibilité de l’AIMCC autour d’un projet ambitieux, qu’il entend construire, en étroite collaboration, avec les organisations professionnelles membres de l’AIMCC.
Il y a 4 ans et 11 jours

Lachapelle-aux-Pots : le centre de secours réhabilité d’ici août 2021

Le centre de secours de Lachapelle-aux-Pots devrait être opérationnel à partir du mois d’août prochain.
Il y a 4 ans et 11 jours

Commune d’Etrechy : deux projets subventionnés par la Région Île-de-France

La rénovation du stade Koffi Carenton et la réfection de la place Charles de Gaulle comptent parmi les projets bénéficiaires d’une aide régionale.
Il y a 4 ans et 11 jours

JO-2024 de Paris : mobilisation pour sauver des parcelles des jardins ouvriers d'Aubervilliers

Potager ambulant, escargot géant, couronnes de lauriers sur les têtes... les manifestants ont fait preuve d'originalité pour "alerter sur le saccage de la Seine-Saint-Denis au nom des JO".Pour Ginette, 83 ans, "le jardin permet de s'aérer, de se détendre". Elle possède depuis 35 ans un lopin de terre qui lui permet de "faire pousser des fruits et des légumes". Chapeau de paille sur la tête et masque vénitien sur le visage, cette élégante "jardinière en lutte", estime qu'il n'y a déjà "pas assez d'espace vert". Les 2,5 hectares (25.000m2) de jardins ouvriers des Vertus d'Aubervilliers, situés à moins de 4 km au nord de Paris, constituent une enclave de verdure.Ces jardins seront amputés de près de 4.000 m2 dans quelques semaines pour la construction du futur centre aquatique, utilisé comme centre d'entraînement pour les JO, mais aussi pour la création d'un solarium et d'autres équipements de loisirs."On veut des pommes et pas un solarium", s'insurge Dolores Mijatovic du Collectifs des jardins ouvriers d'Aubervilliers qui a déposé un recours contre le plan local d'urbanisme."On a besoin d'une piscine mais on pouvait la construire autrement, pas à la place des jardins", estime Julie, habitante d'Aubervilliers.Aux banderoles "Destruction" et "Non aux JO Paris-2024", se mêlaient des drapeaux LFI, EELV ou encore Générations.Le député LFI de Seine-Saint-Denis Bastien Lachaud ainsi que d'autres personnalités politiques de gauche et écologistes sont venus apporter leur soutien.Le rassemblement qui a débuté devant la mairie d'Aubervilliers s'est achevé avec une chaîne humaine autour des jardins ouvriers puis d'un pique-nique géant.
Il y a 4 ans et 11 jours

Transcender le fonctionnel, un supermarché devenu salle polyvalente par Paul Vincent

Depuis le milieu des années 1980, le Canadien Edward Burtynsky documente les marques de l'activité humaine sur le paysage. L'exposition du centre culturel canadien à Paris, « Mounds and Voids, from Human to Global Scale » (Monticules et vides, de l'échelle humaine à l'échelle mondiale), dévoile des images récentes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 11 jours

Avec la société à mission, le BTP se fixe un nouveau cap

Vie de l'entreprise - Parmi 224 entreprises à raison d'être, dont 151 à mission, une dizaine évolue dans la construction. Elles prennent dorénavant en compte les enjeux sociaux et environnementaux de leurs activités.
Il y a 4 ans et 11 jours

Nouvelle manifestation contre un projet de serre tropicale géante sur la Côte d'Opale

Les manifestants étaient environ 200 selon la préfecture, plus de 380 selon les organisateurs.Ils fustigent dans ce projet de serre au dôme de 20.000 m2, prévue pour abriter papillons, colibris, poissons, reptiles et arbres exotiques, une absurdité visant à susciter l'émerveillement avec une biodiversité exotique au lieu de protéger celle de la Côte d'Opale.Tropicalia est "un projet anachronique par les temps qui courent", a souligné auprès de l'AFP Hélène Roche, porte-parole du collectif Non à Tropicalia, estimant qu'il pose problème tant pour la condition animale que pour l'artificialisation des terres et la consultation démocratique des riverains.L'association Gdeam62 (Groupement de Défense de l'Environnement de Montreuil et du Pas-de-Calais) a déposé un recours contre le permis de construire en mars 2020 mais Tropicalia n'a pas encore répondu et aucune date d'audience n'est fixée à ce stade, a indiqué Mme Roche.Ses promoteurs, qui la présentent comme la plus grande serre tropicale au monde, ont obtenu fin 2019 un permis de construire sur un ancien terrain agricole transformé en "zone d'aménagement concerté", entre les communes de Verton et Rang-du-Fliers.Estimé à 73 millions d'euros, le projet est en partie subventionné par la région, à hauteur de 2 millions d'euros.La liste menée par Karima Delli en a fait "un emblème des grands projets inutiles, du capitalisme vert et d'une vision à court terme pour l'attractivité et l'emploi précaire"."On ne peut pas faire autre chose avec 73 millions d'euros et 9 hectares de terres ? Ce projet ne passera pas si je suis présidente", a assuré il y a quelques jours la candidate à l'AFP.Les opposants au projet avaient déjà manifesté en décembre et en février.
Il y a 4 ans et 11 jours

Face au changement climatique, le Cerema adopte une nouvelle stratégie

Pour cela, le plan stratégique affirme :le rôle du Cerema, service public pour améliorer la vie et le cadre de vie des Français : pourpenser l'aménagement de demain, aller vers des bâtiments performants, encourager les nouveaux modes de mobilités, assurer la sécurité des déplacements, redonner sa place à la nature, surveiller et protéger le littoral etc. ;la place du Cerema auprès des collectivités : le projet stratégique renforce le dialogue avec plus de 400 acteurs publics et privés locaux pour constituer les orientations de travail au plus près des réalités vécues et des besoins des territoires ;le positionnement du Cerema comme le socle d’appui technique des ministères de laTransition écologique et de la Cohésion des territoires, afin de penser, traduire concrètement et accompagner sur le terrain leurs politiques publiques prioritaires.Concrètement, pour atteindre ses ambitions, le Cerema se dote d’une feuille de route climat pour chacun de ses 6 domaines d’expertises (expertise et ingénierie territoriales, bâtiment, mobilités, infrastructures de transport, environnement et risques, mer et littoral, et crée 2 nouvelles implantations dans les Outremer. Il définit également les conditions de son exemplarité en matière sociale, sociétale et environnementale.Pour Pascal Berteaud, directeur général du Cerema : « La transformation du Cerema est amorcée pour adapter dès aujourd’hui nos territoires au climat de demain. Ce projet stratégique en est le socle et ses lignes directrices tracent une voie claire pour l’établissement bien au-delà de son échéance de 2023 : tant que le Climat changera, le Cerema agira. »Pour Marie-Claude Jarrot, présidente du Conseil d’administration du Cerema : « L’unité du Cerema, associée à son implantation sur tout le territoire, est la garantie d’un service public de qualité et de proximité: lorsque l’une de nos équipes est mobilisée sur un projet, c’est toute la force et toute l’expertise du Cerema qui est mobilisée. »Tout savoir sur la stratégie du Cerema : Synthèse et stratégie version complète en ligne
Il y a 4 ans et 11 jours

Osny : réaménagement de la chaussée Jules César

La chaussée Jules César, à Osny, fait l’objet d’un projet de réaménagement.
Il y a 4 ans et 11 jours

Construction de maisons individuelles : bientôt un contrat rédigé par un robot

La Capeb lance le premier Contrat de construction maison individuelle « intelligent » pour simplifier l’accès des artisans au marché de la construction individuelle.
Il y a 4 ans et 11 jours

Poursuite des travaux de réseaux dans le secteur de Samadet, à Saint-Jean-de-Luz

La Communauté d’agglomération du Pays Basque a engagé des travaux de renforcement des réseaux d’eaux pluviales dans le quartier de Samadet, à Saint-Jean-de-Luz, depuis le mois de février.
Il y a 4 ans et 11 jours

Perception de la RE2020 par la filière Bâtiment : un réel besoin d’information

Pour cette première, le "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment", avait pour thème : "En quoi la RE2020 va-telle permettre de construire durable ?". À cette occasion, le Mondial du Bâtiment a organisé un sondage exclusif[1] sur la perception de la RE2020 par les acteurs professionnels de la filière.Les résultats du sondage font ressortir une certaine confusion chez les professionnels du bâtiment. Ainsi, à la question de savoir ce que signifie RE2020, seulement un peu plus d’un tiers des répondants ont choisi Réglementation Environnementale (36,5%). 28,5% pensent que cela désigne une Réglementation Énergétique, 20% qu’il s’agit de Rénovation Énergétique et 15% des répondants ne connaissent pas la signification du terme.Sans surprise, ils sont ainsi 74,9% à déclarer ne pas être suffisamment informés au sujet de cette réglementation.En revanche, et le point est également un reflet du dynamisme de la filière, ils sont 41,3% à estimer que la RE2020 est un moteur pour le développement de leur activité. Ainsi, seuls 14,1% des sondés pensent que la RE2020 est un frein au développement de leur activité. Ce chiffre est cependant à modérer puisque 44,6% déclarent ignorer quel impact, négatif ou positif, cela peut avoir.La RE2020 pendant le Mondial du BâtimentLe Mondial du Bâtiment et les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA se tiendront du 3 au 6 octobre 2022 à la Porte de Versailles.À cette occasion, la RE2020 sera la thématique de nombreux temps forts et animations :Des émissions dédiées seront organisées sur « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment » qui se déclineront en version physique durant les 4 jours des salons ;Des conférences permettront de faire le point sur la mise en application de la RE2020 depuis plusieurs mois ;Des parcours thématiques seront proposés aux visiteurs.Les prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 7 mai. Le Grand Dossier abordera le thème : « REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ? »[1] Sondage réalisé entre le 18 et le 31 mars auprès des visiteurs et exposants du Mondial du Bâtiment 2019 – 383 répondants
Il y a 4 ans et 11 jours

Panaget présente son nouveau directeur commercial et marketing

CARNET-NOMINATION. Patrick Duchaussoy prend les rênes de la direction commerciale et marketing de Panaget, entité du groupe Bouyer Leroux spécialisée dans les parquets. Il remplace Yves Maillard, parti à la retraite.
Il y a 4 ans et 11 jours

Kaléidoscope : journal inachevé d’une autre vie de Paul Andreu ?

Kaléidoscope est un roman paru aux éditions de l’Alma le 1er avril, plus de deux ans après le décès de son auteur. L’occasion de se pencher sur une autre des vies de Paul Andreu, ce touche-à-tout qui propose certes une vision de l’architecture mais interroge plus largement le rapport à la création, aux sciences, à […] L’article Kaléidoscope : journal inachevé d’une autre vie de Paul Andreu ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 11 jours

Le gouvernement va créer 15.000 places de prison supplémentaires sur 10 ans

CONSTRUCTION. Le Premier ministre Jean Castex a annoncé la construction de nouveaux centres pénitentiaires dans l'hexagone, afin de lutter contre la surpopulation carcérale. Une décision qui n'est pas du goût de tous.
Il y a 4 ans et 11 jours

Legendre Construction construit quatre tours d'habitation

TOURS D'HABITATION. Legendre Construction a remporté, ces dernières semaines, quatre projets de construction de tours de moyenne hauteur dans quatre villes de l'Ouest : Rennes, Le Havre, Nantes et Bordeaux. Pour le constructeur, c'est la confirmation de son "savoir-faire technique en matière de construction d'immeubles de grande hauteur".
Il y a 4 ans et 11 jours

L'Anses confirme l'absence de risque sanitaire pour la 5G

SANTE. Chargée d'évaluer les effets sanitaires de la 5G, l'Agence nationale de sécurité sanitaire a confirmé dans un rapport l'absence de risques liés à la santé. D'autres recherches devront être réalisées pour la bande de fréquence 26 GHz.
Il y a 4 ans et 11 jours

Accord Suez-Veolia : des points de friction pour les fonds Ardian et GIP

RAPPROCHEMENT. Le 11 avril dernier, Suez et Veolia annonçaient avoir trouvé un accord dans le but de créer un géant français de la gestion des déchets et de l'eau. Cet accord évoquait la participation des fonds Ardian et GIP au projet global. Il semble que les termes de l'accord ne leur conviennent pas. Explications.
Il y a 4 ans et 11 jours

L’architecture, un art politique qui doit être souverain

Les architectes – de nos jours – sont pris en otage par une autocratie bureaucratique qui, en France – au sein de plusieurs microcosmes – est en train de dégrader l’équilibre de vie des populations. Chronique du philosophe. L’architecture étant un art politique, il est un devoir citoyen de soutenir sa souveraineté, provenant essentiellement du pouvoir […] L’article L’architecture, un art politique qui doit être souverain est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 11 jours

“Les Quartiers Fertiles” : l’agriculture urbaine à destination des quartiers prioritaires

“Les Quartiers Fertiles” visent à introduire l’agriculture urbaine dans les quartiers prioritaires... Cet article “Les Quartiers Fertiles” : l’agriculture urbaine à destination des quartiers prioritaires est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 11 jours

Rapport Sichel : l'artisanat du bâtiment laisse exploser sa colère

RÉACTION. "L'artisanat n'est pas à vendre." C'est l'un des messages que souhaitent faire passer les artisans du bâtiment, au moment où le gouvernement soutient dans le projet de loi Climat et résilience la création du nouveau rôle d'accompagnateur rénov. Explications.
Il y a 4 ans et 11 jours

Pour les architectes, la frugalité malheureuse ?

Depuis quelques mois il n’est pas une semaine sans que ne soit évoqué ce nouveau terme à la mode : la frugalité constructive. Le Pritzker de cette année lui-même a été décerné à l’aune du travail sur cette thématique par les récipiendaires. A l’heure du Grand Paris, il faudrait faire de la ‘métropolisation’ à outrance mais […] L’article Pour les architectes, la frugalité malheureuse ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.