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Il y a 4 ans et 40 jours

A Fenouillet : surélévation autour d’un patio transparent, signée TAA pour Solvéo

Pour Solvéo Développement maître d’ouvrage, le projet livré à Fenouillet (Haute-Garonne) en juillet 2020 par TAA (Taillandier Architectes Associes) consiste en la construction d’un bâtiment de bureaux accompagné d’un entrepôt de stockage. Surface : 1 421 m² ; coût des travaux : 1,8 M€ HT.  En toute transparence ? Communiqué. Le siège de la société Solvéo, situé […] L’article A Fenouillet : surélévation autour d’un patio transparent, signée TAA pour Solvéo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 40 jours

AFJ Architectes « chérit le matériau béton »

« Rude, avec empreintes, lisse… le béton est mis en avant dans notre travail », indique l’architecte Anne-Françoise Jumeau. [©Sergio Grazia] Depuis 24 ans, l’agence parisienne Anne-Françoise Jumeau Architectes (AFJA) met tout son savoir-faire au service d’une architecture intelligente et toujours en phase avec la réalité des contextes. Elle est particulièrement aguerrie aux projets riches et complexes. Chez elle, le matériau prend tout son sens. Son langage architectural tient pour beaucoup à une recherche constante d’optimisation des matériaux. En allant même jusqu’à la création de pièces uniques à partir des produits normalisés.  Le béton lisse se fait miroir à L’Atrium, sur le campus Pierre et Marie Curie, à Paris. [©Luc Boegly]Le béton est incrusté de lumières fluos à L’Autre Canal, à Nancy (54). [©Luc Boegly]Le béton brut s’anime d’empreintes aux motifs “camouflage” au Café Musiques, à Savigny-le-Temple (77). [©Nicolas Borel] Le béton mis en avant Ce processus de recherche se traduit dans l’attention portée aux états de surface des matériaux. « Rude, avec empreintes, lisse… le béton est mis en avant dans notre travail », indique Anne-Françoise Jumeau, architecte et fondatrice de l’agence éponyme. D’ailleurs, cette dernière vient de publier un petit fascicule dénommé “Matières”, richement illustré, qui revient sur le travail des matières poursuivi par AFJA. Ainsi, est décrit comment le béton brut s’anime d’empreintes aux motifs “camouflage” au Café Musiques, à Savigny-le-Temple (77). Ou d’une texture à la planchette, rehaussée par l’incrustation de tubes fluos sur variateur à L’Autre Canal, à Nancy (54). Ou encore comment le béton peut être anobli par un surfaçage très lisse, presque miroir, comme à L’Atrium, sur le campus Pierre et Marie Curie, à Paris. Par ailleurs, cette publication rend compte de la technicité d’un béton blanc auto-plaçant, qui a été exploitée pour la réalisation d’une façade d’une hauteur de 12 m, ponctuée d’une trame de contre-formes verticales, à la Médiathèque de Clamart (92). Enfin, l’agence met aussi en œuvre le bois. Notamment, à La Dynamo, à Pantin (93) ou dans 35 logements du boulevard de Grenelle, à Paris. Quant aux autres matériaux – la terre cuite -, ils n’en occupent pas une moindre place dans le travail de l’architecte. Une fois encore, l’adage “le bon matériau pour le bon usage” se vérifie… Anne-Françoise Jumeau, architecte et fondatrice de l’agence éponyme, vient de publier un petit fascicule dénommé “Matières”, richement illustré, qui revient sur le travail des matières poursuivi par AFJA. [©ACPresse] Le fascicule “Matières” est disponible sur demande à agence@afja-architecture.com Le fascicule “Matières” publié par Anne-Françoise Jumeau Architectes reflète le travail mené par l’agence ces dernières années. [©ACPresse]
Il y a 4 ans et 40 jours

L’Ordre des géomètres-experts salue la prise en compte des spécificités régionales dans le projet de loi « Climat et résilience »

Ce principe, qui ne dénature pas les propositions citoyennes de la Convention pour le Climat, s’inscrit pleinement dans les propositions déjà formulées par l’Ordre des géomètres-experts pour mieux encadrer la notion d’artificialisation.Dès le 4 mars, l’Ordre des géomètres-experts (OGE) avait alerté le Gouvernement sur l’insécurité juridique liée à la notion d’artificialisation et sur les effets que pourraient entraîner certaines dispositions du projet de loi Climat et Résilience en l’état. La profession avait donc formulé 4 propositions visant à mieux concilier les objectifs de préservation de la biodiversité, qu’elle partage pleinement, avec les enjeux de développement des territoires, notamment ruraux. L’OGE a été entendu par Madame Emmanuelle WARGON, Ministre du Logement, et tient à saluer la qualité des échanges et des débats. L’amendement adopté par les députés est le fruit de cette étroite collaboration dont l’OGE se réjouit ; il y voit un signal fort adressé par les députés en faveur d’une meilleure définition des espaces protégés.En janvier 2020, déjà, la profession avait remis au Gouvernement un Manifeste dans lequel elle plaidait pour que l’objectif de Zéro Artificialisation Nette s’inscrive dans une démarche qui tienne compte des spécificités de chaque territoire. Faire référence à la réduction de 50% de la consommation « des espaces naturels, agricoles et forestiers » tout en gardant à terme le cap de la réduction de l’artificialisation, pour la décennie à venir, est donc une ambition forte que portait les géomètres-experts, garants d’un cadre de vie durable. « Les Géomètres-Experts - qui, par leur implantation au cœur de tous les territoires, sont les garants naturels de la qualité du cadre de vie - saluent la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers, la prise en compte de leurs contributions à ce projet de loi et l’écoute de leur Ministre de tutelle. La profession reste néanmoins attentive aux sujets essentiels que sont la préservation des dynamiques de développement en milieu rural, la valorisation des territoires déjà « vertueux » - et la nécessaire « renaturation » des espaces denses. » Vincent SAINT-AUBIN, le Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-expertsL’OGE reste donc mobilisé pour formuler des propositions répondant à ces trois enjeux majeurs de l’aménagement des territoires et de la nature en ville.
Il y a 4 ans et 40 jours

Atlantic investit dans la moyenne puissance

Dans l’Ain, Atlantic s’offre 7 400 m2 de production supplémentaires et prévoit d’autres investissements à court terme. De cette façon, le groupe familial assoit sa maîtrise de la conception et de la fabrication, tout en poursuivant sa stratégie de distribution avec des partenaires à valeur ajoutée.
Il y a 4 ans et 40 jours

Lowcarbotys, la marque bas carbone du Cérib

Depuis plusieurs années, le Cérib travaille sur les bétons bas carbone. [©ACPresse] Impulsé par l’industrie du béton et les travaux menés avec l’IMT de Douai et d’Alès, le Cérib mène depuis plusieurs années des recherches autour du bas carbone. Véritable enjeu dans le domaine de la construction, la réduction des émissions de CO2 bouleverse la filière. Une réalité encore plus palpable, avec la publication des arbitrages de la future RE 2020. Afin de réduire l’impact environnemental des systèmes constructifs en béton, le Cérib a pu déterminer que les leviers matériau et process de production en constituent les éléments centraux. Tous ces travaux, innovations et savoir-faire bas carbone sont désormais concentrés sous la marque Lowcarbotys. Ils ont pour vocation d’être mis en œuvre avec les procédés de fabrication actuels sur les marchés du neuf et de la rénovation, et avec tous types de produits ou systèmes constructifs. Un travail sur le matériau et les process de production Plusieurs axes ont été explorés avec des objectifs concrets. Tout d’abord, diminuer de 50 % les émissions carbone du béton par rapport à une formulation opérée sur la base d’un CEM I. Et ensuite, garantir une performance à l’état frais, ainsi que les résistances mécaniques. La question économique du modèle à adopter, tant pour l’industriel et que pour le consommateur, a, elle aussi, son importance. Ceci, pour encourager la démocratisation de ces produits. D’un point de vue technique, les solutions Lowcarbotys permettent l’utilisation de liants bas carbone dans les bétons industriels, grâce à l’accélération de leur durcissement. Ces liants présentent une proportion réduite de clinker allant de 50 à 70 %, voire 100 % pour les technologies de rupture. Cette matière première est, le plus souvent, compensée par des éléments minéraux : additions calcaires, laitiers de hauts fourneaux, métakaolins… Des matériaux bénéficiant d’une empreinte plus favorable. Cependant, il existe un flou réglementaire autour de l’impact réel des laitiers de hauts fourneaux et de son allocation en CO2… Un triptyque vertueux L’utilisation de ces liants bas carbone en préfabrication est rendue possible grâce à l’action de certains leviers à la disposition des industriels. Il s’agit par exemple de la formulation du béton (activateurs, accélérateurs de durcissement, réduction d’eau). Mais aussi, du levier “process” relatif aux procédés de production en usine, tels que la cure thermique ou la vibro-compaction. Le Cérib indique qu’en termes de gain, la réduction de carbone peut atteindre jusqu’à 60 % pour des solutions suivant le spectre normatif actuel. Et jusqu’à 90 % de réduction pour des solutions de rupture. D’autres axes sont en cours de développement au sein du Cérib. L’objectif ? Optimiser au maximum le triptyque “performance, coûts, impacts environnementaux”. Toujours dans l’optique de rester compétitif, tout en répondant aux problématiques de l’économie circulaire et des différentes réglementations à venir.
Il y a 4 ans et 40 jours

«Il faut raccourcir les chaînes logistiques», Xavier Fournet (KPMG)

Entre brusques accélérations de tendances préexistantes et émergences de nouveaux enjeux, Xavier Fournet, responsable Infrastructure et Construction au sein du cabinet de conseil KPMG, décrypte les grands mouvements à l’œuvre en Europe. Entretien.
Cimbat
Il y a 4 ans et 40 jours

La massification énergétique pour tous

Olivier Sichel, directeur général délégué de la Caisse des Dépôts et directeur de la Banque des Territoires, a été missionné pour identifier des leviers d’action afin de massifier la rénovation…Cet article La massification énergétique pour tous est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 40 jours

Les inscriptions aux Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins sont ouvertes

Les inscriptions aux Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins sont ouvertes. Cette 23e édition, parrainée par Jean-Pierre Pernaut, portera le thème L’arbre, vie et usages. L’arbre, élément de biodiversité et ressource naturelle, est aussi un marqueur important de nos paysages de villes et campagnes. Il peut être remarquable, spirituel, utile à la faune, nourrir l’homme… Il peut border les canaux, les biefs, couper du vent… Le bois, matériau renouvelable et durable est utilisé et travaillé depuis des siècles. Il est un élément indispensable dans la construction de bâtiments, de navires, d’outils, d’instruments de musique… A travers cette diversité, la richesse de ce thème sera au coeur des 1000 animations proposées partout en France les 26 et 27 juin 2021. Pour rejoindre la programmation, il faut s’inscrire avant le 15 avril 2021. https://www.patrimoinedepays-moulins.org/sinscrire/  
Il y a 4 ans et 40 jours

DELABIE : BLACK BINOPTIC

Avec BLACK BINOPTIC, DELABIE conçoit une robinetterie design pour des sanitaires haut de gamme. Focus sur un produit innovant. DELABIE tisse dans les nouveaux lieux de vie accueillant du public – les musées, les restaurants, les sièges d'entreprises, les aéroports – une nécessaire passerelle entre design, architecture et intérieur. Avec la nouvelle finition chrome noir de sa gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC, DELABIE propose à la vente une collection sophistiquée qui conjugue performance et élégance.Déjà choisie et installée dans de nombreux lieux publics à travers le monde, notamment l’Aéroport International d’Abu Dabi, la Tour Incity de Lyon, la Métropole Européenne de Lille, le nouveau centre culturel Tai Kwun (Hong Kong) et la Tour Majunga à La Défense, la gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC est à la fois esthétique et fonctionnelle.Pour chaque intérieur, il y a une robinetterie BINOPTIC adaptée. La collection BLACK BINOPTIC s'invite dans les nouveaux lieux de vie dans une version noir mat. Sa conception 100 % chrome noir offre une résistance optimale à l'usage intensif, garantit des économies d'eau et d'énergie, ainsi qu'une hygiène totale grâce à un rinçage quotidien antibactérien, un bec à intérieur lisse et un robinet avec capteur pour une utilisation sans contact manuel. Une gamme de qualité spécifiquement conçue pour les lieux publics.Pour en savoir plus, visitez le site de DELABIE. Visuels : © DELABIELa rédaction
Il y a 4 ans et 41 jours

Les Brochs de Coigach : de magnifiques maisons semi-enterrées en Ecosse

Écologiques et offrant une vue imprenable sur un paysage magnifique, les Brochs de Coigach sont 2 gîtes semi-enterrés conçus à partir de matériaux recyclés et de renommée internationale, mais restant parmi les secrets les mieux gardés du nord-ouest de l’Écosse.  Si vous n’êtes pas tout à fait au courant de l’histoire écossaise, un broch est […]
Il y a 4 ans et 41 jours

« On ne passe pas ! » – Les fortifications

Le champ de bataille de Verdun recèle encore un patrimoine d’ouvrages fortifiés exceptionnel. Porte d’entrée de ce champ de bataille emblématique de la Grande Guerre, le Mémorial de Verdun présente une exposition sur les fortifications dans le Nord et l’Est de la France. L’expérience combattante est au cœur de la visite : « On ne […] L’article « On ne passe pas ! » – Les fortifications est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 41 jours

Avec SHIFT, à Issy l’agence Arte Charpentier reconstruit sur elle-même

A Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), pour Unibail-Rodamco-Westfield maître d’ouvrage, Arte Charpentier Architectes a livré en décembre 2019 SHIFT, une réhabilitation au cœur d’un quartier en plein renouveau. Communiqué. Idéalement situé dans un quartier en plein essor qui attire de nombreuses entreprises et administrations, SHIFT est conçu comme un accélérateur de transformation vers des modes de travail plus […] L’article Avec SHIFT, à Issy l’agence Arte Charpentier reconstruit sur elle-même est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 42 jours

Les murs anti-tsunami au Japon, massif héritage de la catastrophe de 2011

Dix ans après l'une des pires catastrophes naturelles de l'histoire, la douloureuse leçon --construire plus haut-- a été retenue dans toute la région, dont les côtes sont aujourd'hui parées de centaines de kilomètres de ces remparts de béton, sauf quand les habitants les ont rejetés.Jusqu'à 2011, les habitants de Taro, dans le département d'Iwate, se croyaient en sécurité. Nous avions "bâti la ville parfaite pour se protéger des catastrophes", déclare à l'AFP Kumiko Motoda, une guide touristique locale.Taro, déjà ravagée par des tsunamis en 1896 et 1933, s'était équipée dès 1934 de remparts de béton. Hauts de 10 mètres et s'étalant sur 2,4 kilomètres le long de la mer, ils étaient surnommés "la Grande Muraille" par les gens du coin.Pour parfaire le tout, 44 routes d'évacuation, éclairées grâce à des panneaux solaires, devaient permettre aux habitants de se mettre à l'abri des flots en 10 minutes, explique Mme Motoda.Mais il y a dix ans, une vague de 16 mètres a balayé ces certitudes, détruisant le mur et emportant maisons et voitures.Le bilan officiel à Taro s'est établi à 140 morts et 41 disparus.430 km de diguesAprès la catastrophe, le gouvernement japonais a incité les régions côtières à construire ou reconstruire ces digues protectrices, avec à l'appui l'équivalent de 10 milliards d'euros de fonds publics.Au total, un rempart discontinu de 430 kilomètres est censé être achevé prochainement sur les côtes des trois départements du nord-est frappés par la catastrophe: Fukushima, Miyagi et Iwate.Ces structures ont transformé le littoral, obstruant la vue sur la mer.Les habitants de Taro, où trois murs allant jusqu'à 14,7 mètres de haut s'étendent sur plus de deux kilomètres, doivent se tordre le cou pour en distinguer le sommet et gravir un escalier d'une trentaine de marches pour apercevoir l'océan.Mais, selon les experts, la présence de ces fortifications est justifiée par la double protection qu'elles offrent en repoussant la force des vagues, ce qui réduit les dégâts, et en accordant aux habitants un sursis pour se mettre hors de portée des flots.En 2011, "ces quelques minutes ont souvent fait la différence entre ceux qui ont pu évacuer et ceux qui ont été pris dans le tsunami", rappelle Tomoya Shibayama, professeur en génie civil et environnemental à l'université Waseda de Tokyo.Les murs les plus récents ont des bases plus larges et sont renforcés à l'intérieur pour mieux résister à la puissance des vagues. Leur hauteur a aussi été ajustée en fonction des dernières simulations, leur permettant en théorie de faire face même à des tsunamis exceptionnels.Les systèmes d'alerte ont aussi été améliorés et des simulations informatiques ont permis notamment d'optimiser les routes d'évacuation.Mais les murs sont toujours la clé de voûte, estime M. Shibayama, car "il y aura toujours un risque de catastrophe naturelle" au Japon."C'est chez moi"A Taro, la catastrophe a cependant montré qu'un mur seul ne suffisait pas. "Il y a des gens qui n'ont pas évacué, pensant que le tsunami ne les atteindrait pas", se souvient Mme Motoda.La première alerte faisait état d'une vague de trois mètres et, en raison des coupures d'électricité qui ont suivi, beaucoup d'habitants n'ont pas été prévenus quand la prévision a été révisée à dix mètres.Un fort séisme deux jours plus tôt avait aussi entraîné un petit tsunami, faisant naître une fausse sensation de sécurité."Les murs visent à gagner du temps pour évacuer, pas à arrêter les tsunamis", note Mme Motoda, dont la mère est portée disparue depuis 2011.Pour elle, ces parois doivent aussi servir à empêcher les corps d'être emportés vers le large. "Je pense qu'elle serait revenue à la maison si les murs n'avaient pas été détruits", dit-elle en pensant à celui de sa mère.Mais ces édifices de béton sont parfois impopulaires et certaines communautés ont refusé d'être coupées de la mer, quels que soient les risques.Le village de pêcheurs de Mone (département de Miyagi) --où le tsunami de 2011 a fait quatre morts et détruit 42 des 55 maisons-- a ainsi préféré déménager plus loin, à 40 mètres au-dessus du niveau de la mer."La seule manière de sauver nos vies quand un tsunami frappe est d'évacuer en hauteur. Qu'il y ait un mur ou non n'a pas d'importance", pense Makoto Hatakeyama, un ostréiculteur de Mone.Il y a dix ans, comme d'autres pêcheurs, il s'est précipité vers la mer pour tenter de sauver son bateau et a survécu en gagnant une île voisine à la nage."On ne peut rien faire contre" les tsunamis et les séismes qui se produisent régulièrement, estime cet homme de 42 ans.Il n'est pas prêt en revanche à renoncer à son lien avec la mer. "Cette vue, cette brise, cette atmosphère (...) Il ne reste presque plus d'endroits comme ça au Japon".La mer, "c'est mon identité. Elle m'apaise. C'est chez moi".
Il y a 4 ans et 42 jours

Derrière les images : photographier la guerre

La Grande Guerre marque un tournant majeur dans l’usage de la photographie. En moins de quatre ans, elle s’impose comme un outil d’information de masse : des dizaines de milliers de photographies, prises par des photographes officiels ou amateurs, reflètent la mobilisation d’un pays. Au Mémorial 14-18 Notre-Dame-de-Lorette, jusqu’au 11 novembre 2021. L’exposition Derrière les […] L’article Derrière les images : photographier la guerre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 42 jours

A Paris, STUDIOS Architecture restructure pour Oreima

STUDIOS Architecture a livré en 2020 à Paris (IIe) un ensemble de bureaux de 5 600 m² pour Oreima maître d’ouvrage. L’enjeu était de repenser et revaloriser deux immeubles contigus, datant du XIXe siècle, afin de créer un ensemble tertiaire de 5 600 m²cohérent et respectueux de l’histoire des lieux. Communiqué. Tenant compte de contraintes […] L’article A Paris, STUDIOS Architecture restructure pour Oreima est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 43 jours

Le gouvernement demande aux préfets de mettre en œuvre des "plans d'action" pour le télétravail

Ce courrier, consulté par l'AFP et cosigné par les ministres Gérald Darmanin (Intérieur), Elisabeth Borne (Travail) et Amélie de Montchalin (Fonction publique), rappelle que le protocole en entreprise prévoit que le télétravail doit être la règle pour l'ensemble des activités qui le permettent. Depuis janvier, s'est ajoutée la possibilité pour les salariés en télétravail à 100% de revenir un jour par semaine s'ils le souhaitent.Conformément à ce protocole, Jean Castex a demandé jeudi aux entreprises et administrations qui le peuvent de pousser "au maximum" le télétravail pour le mettre en place "au moins quatre jours" par semaine, un objectif dont beaucoup d'entreprises "sont encore loin aujourd'hui", selon lui.Le courrier adressé aux préfets souligne que les dernières données disponibles "font état d'un niveau de télétravail qui reste inférieur à celui du mois de novembre pour les salariés. Dans la fonction publique, le niveau s'est accru mais demeure encore insuffisant dans certains services déconcentrés", indiquent les ministres.Les préfets sont donc invités à mettre en place des plans d'action pour "permettre la pleine application des règles". Pour le privé, il pourra s'agir de "contacts plus systématiques avec les entreprises", ou d'actions de sensibilisation "à destination du grand public, des partenaires sociaux et des chambres de commerce", les administrations de l'Etat étant aussi appelées à "intensifier" le télétravail. Il est demandé aux préfets de "faire remonter" les actions envisagées d'ici au 22 mars.Depuis des mois, le gouvernement exhorte les entreprises à recourir au télétravail. Selon le ministère du Travail, l'érosion observée dernièrement a été "stoppée", mais sans retrouver les niveaux de novembre. Les contrôles vont se poursuivre, alors qu'au moins 52 mises en demeure ont été prononcées par l'inspection du travail depuis octobre.Le Premier ministre avait aussi annoncé jeudi un "protocole significativement renforcé pour la restauration collective en entreprise", notant que "le moment des repas sur les lieux de travail" est particulièrement à risque.Des concertations auront lieu lundi ou mardi et le protocole sera mis à jour dans la foulée sur ce seul volet, a indiqué le ministère du Travail.
Il y a 4 ans et 43 jours

Rénovation énergétique : Saint-Gobain lance un appel à solutions innovantes

ENERGIE. Tout comme d'autres acteurs de la filière, Saint-Gobain tend vers la rénovation énergétique, à travers un appel à projets. Les candidats ont jusqu'à mai pour déposer leur dossier.
Il y a 4 ans et 43 jours

Un ouvrier retrouvé mort sous "plusieurs tonnes" de graviers dans une centrale à béton

L'accident, dont les circonstances restent à déterminer, s'est produit peu avant 15H00 sur le site de l'entreprise Béton Lyonnais qui a aussitôt appelé les secours."La victime a été retrouvée dans la partie inférieure d'un entonnoir à gravier de la centrale à béton. Elle a été déclarée décédée sur place par le médecin du SMUR après son dégagement qui a été difficile", a-ton précisé de même source.
GDA
Il y a 4 ans et 43 jours

Immobilier : quelles sont les attentes des Français en ce début 2021 ?

ETUDE. En ce début d'année et alors que la crise sanitaire est encore loin d'être terminée, comment les Français perçoivent l'immobilier ? La pierre est-elle toujours cette valeur refuge tant appréciée ? Réponse dans l'étude à télécharger d'Harris Interactive pour Imop, agence immobilière en ligne.
Il y a 4 ans et 43 jours

Guyancourt : concertation publique sur le projet « quartier des Savoirs »

Dans les Yvelines, la Ville de Guyancourt s’apprête à lancer une grande concertation publique pour l’aménagement du futur quartier des Savoirs.
Il y a 4 ans et 43 jours

Cavaillon : appel à la concurrence pour le projet de parking aérien

Dans le Vaucluse, la commune de Cavaillon souhaite construire un parking aérien à proximité du centre-ville.
Il y a 4 ans et 43 jours

Ris-Orangis : le projet Cœur de ville du Moulin à vent en bonne voie

À Ris-Orangis, une nouvelle galerie commerçante et une nouvelle gare du T-Zen 4 constituent les grands chantiers du Cœur de ville du Moulin à vent. Les travaux ont commencé début janvier.
Il y a 4 ans et 43 jours

Le gouvernement reste optimiste sur la reprise, malgré le reconfinement

A peine l'annonce du reconfinement dans 16 départements passée, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a égrainé son impact attendu sur l'économie française: 110.000 commerces fermés, 0,2 point de produit intérieur brut (PIB) perdu sur l'année et 1,2 milliard d'euros supplémentaires de dépenses mensuelles pour soutenir les entreprises.Parmi les mesures annoncées jeudi soir par le Premier ministre Jean Castex, la fermeture des commerces et rayons dits non essentiels est celle qui aura les conséquences les plus importantes sur l'activité.Elle va contraindre une nouvelle fois la consommation des ménages, principal moteur de la croissance française, même si une partie va se reporter sur la vente en ligne.Cette fois, "la baisse devrait être un peu moindre" que lors des précédents confinements, juge Charlotte de Montpellier, économiste à la banque ING, parce que les restrictions ne concernent pas toute la population et parce que les consommateurs et les entreprises se sont adaptés.Les régions concernées "représentent des millions d'emplois et pèsent 40% du PIB français", souligne toutefois le Medef auprès de l'AFP, ajoutant que ce reconfinement "aura évidemment des conséquences sur les entreprises et sur le moral des entrepreneurs et des salariés".Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt s'est lui montré optimiste, en confirmant la prévision d'une croissance de 6% cette année malgré les nouvelles mesures, censées à ce stade durer un mois."Je suis convaincu que le 6% est atteignable", a-t-il affirmé vendredi matin, estimant qu'il y a "des motifs d'espoirs du point de vue économique".Il a notamment cité le niveau des recettes de TVA en janvier, qui témoigne d'une bonne tenue de la consommation des ménages, de la résistance de l'investissement en fin d'année, et du fort rebond qui avait marqué la sortie du premier confinement.La Banque de France a elle estimé cette semaine que la croissance française devrait atteindre 5,5% cette année, une prévision qui s'appuyait sur l'hypothèse d'"une combinaison de périodes de durcissement des mesures et de périodes de relâchement relatif" au premier semestre.Le reconfinement "retarde complètement les perspectives de reprise de l'économie", estime toutefois Charlotte de Montpellier, avec une levée des restrictions qui s'éloigne encore.L'objectif d'une croissance de 6% "est de plus en plus inatteignable", affirme-t-elle à l'AFP.L'enjeu à ce stade est la rapidité du rythme de la vaccination, selon elle. Et "pour l'instant il n'y a pas de quoi être très optimiste sur ce point"."In fine ça reporte le véritable décollage de l'économie française à toujours plus tard. Et plus ce décollage est reporté, plus il risque d'être moins dynamique", en affectant la confiance des entreprises et des ménages et en aggravant les difficultés dans certains secteurs, juge-t-elle.7,2 milliards par moisPour les commerces concernés, c'est d'ailleurs la douche froide. "C'est l'hypothèse la plus dure qui a été retenue, c'est une vraie catastrophe", a déploré Jacques Creyssel, délégué général de la Fédération du commerce et de la distribution (FCD).La confédération patronale CPME demande donc de nouvelles aides pour les petites entreprises, notamment une "prise en charge réelle des loyers".Pour l'instant, le ministère de l'Economie table sur une utilisation accrue des aides existantes: le fonds de solidarité (600 millions de dépenses supplémentaires prévues sur un mois), le chômage partiel (400 millions) et les exonérations de charges (200 millions).Les entreprises de plus de 1 million d'euros de chiffre d'affaires mensuel pourront aussi voir leur coûts fixes pris en charge entre 70% et 90%, et cela de manière rétroactive au 1er janvier.Ajoutés aux dépenses déjà prévues, cela porte à 7,2 milliards d'euros par mois le coût des mesures de soutien actuellement en vigueur, a dit Bruno Le Maire.
Il y a 4 ans et 43 jours

Covid-19 : La mutation de l’immobilier de bureau

Depuis le début de la crise sanitaire il y a maintenant un an, de nombreux secteurs ont connu des évolutions majeures. Et l’immobilier de bureau a en effet été impacté par la réalité des confinements et par l’essor du télétravail. Vers la fin du bureau traditionnel ? Le bureau est désormais au cœur de toutes les problématiques stratégiques des entreprises. Le rôle du bureau va en réalité au-delà de fournir un local pour effectuer une activité. Depuis la pandémie, sa fonction de hub social a été mise en valeur. En effet, la majorité des entreprises françaises ont adopté le télétravail. S’il a permis d’assurer la continuité de l’activité, il présente quand même quelques inconvénients, notamment au niveau des échanges et de la communication. Certains salariés ne sont pas favorables à un rythme de télétravail à 100%. Sur le long terme, les entreprises se dirigent vers un rythme hybride avec 2 ou 3 jours de télétravail par semaine. Contrairement aux idées reçues, le télétravail n’a pas tué le bureau. Au contraire, il a fait ressortir sa fonction essentielle qui est de réunir les collaborateurs. Télétravail et bureaux ne sont pas antonymiques. Les bureaux sont repensés par les entreprises, qui recherchent désormais des locaux agissant comme de véritables lieux de vie. Des lieux où seront favorisées les interactions sociales. Le bureau n’est donc pas mort, cependant les habitudes des salariés ont profondément changé. L’offre de bureaux a donc été complètement redessinée pour répondre aux nouveaux besoins des entreprises. Il ne s’agit plus d’offrir de nombreux mètres carrés, mais plutôt d’améliorer la vie des salariés au bureau. Cela se traduit par des bureaux moins grands, mais mieux équipés, plus verts et mieux placés. Quel avenir pour les espaces vides ? Le quartier d’affaires de La Défense à Paris, l’un des plus grands marchés de bureaux européen, affiche une baisse de fréquentation de 40%. Nombreuses surfaces de bureaux ont été désertées depuis l’apparition du Covid-19 et le développement du télétravail. La question que l’on se pose actuellement est : que va-t-on faire de ces surfaces de bureau inutilisées ? Selon Marie-Laure Leclercq de Sousa, porte-parole et directrice du département Conseils et Transactions locatives chez JLL France, le télétravail va avoir un impact sur 30% des surfaces occupées par les entreprises. Les surfaces de bureaux inoccupées ne devraient pas le rester très longtemps. Marie Laure Leclercq de Sousa indique que le taux de vacances sur le stock de bureaux en France est loin d’être catastrophique. La part de bureaux vides va permettre aux investisseurs de restructurer leurs immeubles et de prendre en compte le décret tertiaire pour diminuer leurs consommations énergétiques. Des réflexions autour des différents parcs de bureaux inoccupés, notamment dans les grandes métropoles, sont en œuvre. Certaines surfaces pourraient être transformées en logements ou en résidences étudiantes. Les professionnels de l’immobilier d’entreprise réfléchissent à quel va être le monde des bureaux de demain.
Il y a 4 ans et 43 jours

La Cour des comptes donne son satisfecit sur le Fonds de solidarité

FINANCES PUBLIQUES. Parmi les dossiers de son rapport public annuel publié en ce mois de mars 2021, la Cour des comptes en a consacré un au fonctionnement du Fonds de solidarité, l'une des mesures de soutien mises en place par le Gouvernement pour aider les entreprises durant la crise économique du Covid. Si le dispositif est salué, les Sages mettent toutefois en garde sur le risque de fraude.
Il y a 4 ans et 43 jours

RE2020 : l'ACV dynamique simplifiée favorise-t-elle des technologies moins performantes ?

RÉGLEMENTATION. Comment fonctionne l'ACV dynamique "simplifiée", retenue pour la future réglementation environnementale ? Le Lab recherche environnement a comparé cette version avec les modes plus complexes, et complets, d'analyse du cycle de vie des bâtiments. De fortes différences se font jour, qui montrent que l'ACV réglementaire "valorise moins les technologies économes".
Il y a 4 ans et 43 jours

LafargeHolcim regroupe le développement durable et l'innovation sous une même direction

CARNET-NOMINATION. Le cimentier LafargeHolcim a élargi les fonctions de Magali Anderson, en lui confiant la direction de l'innovation, en plus du développement durable. Elle devient donc directrice du développement durable et de l'innovation.
Il y a 4 ans et 43 jours

23% des Français estiment que le confinement a changé l’image qu’ils se faisaient de leur logement

24% des Français souhaitent déménagerTout au long de l'année 2020, le logement a dû s'adapter pour faire face à une mutation inédite des modes de vie. 23% des ménages français estiment ainsi que le confinement a changé l'image qu'ils se faisaient de leur habitat et 42% jugent qu'il leur a manqué quelque chose, avec en tête de liste un extérieur (jardin, balcon ou terrasse). Le premier confinement a même convaincu 24% des ménages interrogés qu'un déménagement s'imposait.La cuisine au centreEn raison de la fermeture des restaurants, la cuisine est redevenue un lieu de vie important pour de nombreuses familles. Ainsi, un quart des ménages non équipés d'une cuisine intégrée déclarent que le confinement leur a donné envie de s'équiper, tandis que 14% des ménages équipés souhaitent en changer. Ces achats ou renouvellements se feraient grâce à un crédit dans 41% des cas.Des logements majoritairement inadaptés au télétravailLa mise en place du confinement au printemps 2020 s'est traduite par une augmentation importante du nombre de télétravailleurs, dans des espaces souvent inadaptés. 37% des personnes en activité ont été concernées, et elles sont encore 23% à être en télétravail au moins un jour par semaine aujourd'hui. Or 80% déclarent ne pas avoir d'espace de travail aménagé chez elles.Le boom des loisirs à la maisonLes Français ont été nombreux à s'adonner à leurs activités de loisir chez eux. De nombreux ménages se sont ainsi équipés en matériel de sport ou en instruments de musique. La vente de piscines a également surfé sur la crise de la Covid-19, sachant que la France est le deuxième parc au niveau mondial derrière les Etats-Unis.Bricolage et jardinage en hausse2020 a été l'année du bricolage pour les Français, dont le marché enregistre une croissance de près de 5% (source : Fédération des Magasins de Bricolage). Les jardineries ne sont pas en reste, en progression de 2,2% sur l'activité jardin, qui demeure le lieu le plus convoité par les Français en 2020 : 59% déclarent avoir pratiqué le jardinage l'an passé.Des logements trop gourmands en énergieAutre prise de conscience : le bilan énergétique des maisons françaises. Un tiers des Français trouvent en effet que son logement lui coûte trop cher en gaz et en électricité, qui constituent les énergies dominantes pour le chauffage. 7,5% des propriétaires de maison se déclarent ainsi prêts à changer de système, et 43% d'entre eux s'orienteraient vers une pompe à chaleur, avec un recourt au crédit dans 54% des cas. Les panneaux photovoltaïques ne représentent que 8% des équipements, et 3,4% des ménages souhaiteraient s'équiper principalement pour un motif économique. 6,4% des propriétaires ont également l'intention de changer les fenêtres de leur logement pour en améliorer l'isolation.Un changement des comportements d'achat ?L'année écoulée aurait pu laisser croire que la vente en ligne allait prendre le pas sur la vente physique. C'est pourtant l'inverse qui ressort de l'étude puisque, selon les univers de consommation, plus de deux Français sur trois concrétiseront leur acte d'achat en magasin. Pour autant, la digitalisation du parcours d'achat est bien en marche puisque la majorité des consommateurs (jusqu'à 70% pour l'aménagement de la cuisine) préparent leurs achats d'équipement de la maison en ligne. Ce phénomène s'expliquerait par une situation sanitaire qui peine à s'améliorer et qui pousse les consommateurs à préparer davantage leurs achats afin de passer le moins de temps possible en magasin.Le crédit à la consommation facilite la concrétisation des projets d'achatsEn 2020, 24,9% des ménages remboursent un crédit à la consommation, et 21,3% de ces ménages l'utilisent pour financer l'équipement de leur maison. Par ailleurs, le panier moyen financé à crédit est supérieur de 30% au panier moyen sans financement. Élément incontournable de l'équipement des ménages, le crédit à la consommation contribue ainsi de façon directe à l'économie.Quels projets pour les Français en 2021 ?Cette année 2020 inédite, où les consommateurs ont vu leurs habitudes bouleversées, aura permis aux Français de faire un état des lieux de leur logement pour s'adapter à un nouveau mode de vie, mariant professionnel et personnel. Le confort, la performance énergétique, l'aménagement d'espaces dédiés au travail et aux loisirs restent des tendances fortes en 2021, avec en priorité des dépenses pour des travaux de réaménagement, des achats d'électroménager et des investissements dans du matériel informatique ou de la téléphonie.« La maison redevient un véritable lieu de vie pour toute la famille, avec plus de respect pour l'environnement, plus d'équipement, plus de confort, plus de bien-être et également plus de loisirs », conclut Evelyne Haond, Directrice du Développement de l'Equipement de la Maison chez Sofinco.* Étude menée en ligne du 25 octobre au 4 novembre 2020 auprès d'un échantillon représentatif de 6.000 Français sur des critères d'âge, de profession, de région d'habitation, de type de logement et de statut d'occupation de ce logement selon la méthode des quotas. Retrouvez la totalité de l'étude à cette adresse.
Il y a 4 ans et 43 jours

Le SNFA publie le premier guide dédié à l'acoustique des façades rideaux à ossature aluminium

Ce guide a pour but d’accompagner l’ensemble des acteurs de la construction tels que les maîtres d’œuvre, architectes, bureaux d’études, entreprises, en vue d’orienter au mieux les choix techniques en phase conception, de bien appréhender les solutions techniques proposées par les entreprises et enfin de suivre la réalisation en phase chantier.Il concerne les façades rideaux et semi-rideaux, conformes au domaine d’application de la norme NF DTU 33.1, et constitue un outil pratique pour les professionnels de la construction de bâtiments tertiaires : bureaux, hôpitaux, établissements d’enseignement, résidences hôtelières ou étudiantes.Un guide pratique de référenceAfin d’aboutir à un ouvrage qui se veut didactique et reconnu par l’ensemble des acteurs, le SNFA a travaillé avec ses membres, puis a consulté plusieurs experts acousticiens de bureaux d’études, de bureaux de contrôles et de laboratoires.Ce guide comporte les informations essentielles avec de nombreux schémas et exemples rendant accessibles les problématiques acoustiques, souvent mal comprises et négligées.Les principes de l’acoustique du bâtiment sont présentés, ainsi que les textes fixant des exigences acoustiques réglementaires, normatives et de certifications d’ouvrage. Il est également expliqué comment la façade légère participe à la réduction des bruits extérieurs, ainsi qu’à la limitation des bruits intérieurs entre locaux. Enfin, des règles de conception simplifiées avec des ordres de grandeur permettent de mieux comprendre les moyens à mettre en œuvre.Le guide explique notamment que l’isolement des bruits extérieurs, provient essentiellement de la performance des vitrages, des ouvrants et du nombre de peaux de la façade (simple ou double peaux).Pour l’isolement aux bruits intérieurs, c’est plutôt l’ossature de la façade qui participe à l’isolement entre bureaux accolés ou entre étages. Pour traiter cette problématique, le choix de la nature de la façade, en grille ou en cadre, est primordial. Par exemple, la façade cadre, constituée d’éléments préfabriqués plus ou moins désolidarisés, permet d’atteindre les performances d’isolation acoustique les plus élevées.Enfin, le guide montre l’étendue des améliorations acoustiques des meneaux qui peuvent être réalisées en usine, comme l’insertion de laine minérale ou végétale, de tôles acier, de plaques de plâtre ou encore de matériaux visco-élastiques. Les jonctions avec les murs et les planchers constituent les points faibles du point de vue de l'isolement acoustique entre locaux et des solutions sont présentées au moyen de plusieurs exemples.Le guide est en accès libre sur https://www.fenetrealu.com/publications
Il y a 4 ans et 43 jours

Il y a un an....Gérer les chantiers d’urgence

Au plus fort de la crise sanitaire, dans une France à l’arrêt, certains travaux devaient reprendre sur les réseaux ferrés et routiers. Tous deux acteurs de ces opérations alors identifiées comme essentielles par l'Etat, Théo Arnaud et Adrien Conte se remémorent leur printemps 2020.
Il y a 4 ans et 43 jours

Coût, surnombre, inefficacité: la Cour des comptes épingle les chambres de commerce et d'agriculture

Les CCI, qui ont près de 3 milliards d'euros de budget annuel et emploient 18.000 personnes, sont censées depuis une loi de 2019 facturer des prestations concurrentes de celles "proposées par de nombreux intervenants déjà présents sur le marché du conseil aux entreprises", souligne le rapport annuel de la Cour, publié jeudi.Mais la connaissance précise par les chambres de commerce des besoins à satisfaire sur ce marché "demeure dans la plupart des cas superficielle", selon la Cour, qui déplore des investissements insuffisants dans la formation des collaborateurs."Les coûts de gestion affichés actuellement par les CCI sur ces actions ne peuvent être équilibrés sans l'affectation d'une part importante de ressource fiscale", poursuit le rapport, selon lequel les CCI vivent aujourd'hui grâce à une "fiscalité à la justification incertaine".Pour les CCI comme pour les Chambres des métiers et de l'artisanat (CMA), les Sages de la rue Cambon demandent "une évaluation complète et sans tabou de l'utilité des réseaux consulaires pour les entreprises" qui "devra permettre de vérifier la légitimité du maintien du financement public".En 2022 les taxes affectées aux CCI, actuellement de 575 millions, baisseront de 50 millions d'euros par rapport à 2019, a précisé à l'AFP le président de CCI France Pierre Goguet.Mais la Cour des comptes juge sévèrement le rôle joué par les CCI et les CMA durant la crise du Covid.Ce rôle, qui "a principalement consisté à donner gratuitement de l'information, apparaît marginal auprès des entreprises", loin derrière celui des experts comptables, de la télévision et des sites internet gouvernementaux, selon un sondage BVA auprès de 800 chefs d'entreprise cité par la Cour.Obligation de transformationM. Goguet et le président de CMA France Joël Fourny regrettent, dans leurs réponses à la Cour des comptes, que l'action des CCI et des CMA "soit ainsi dénigrée sur la base de la citation d'une seule enquête portant de surcroît sur un sujet sur lequel elles n'étaient pas les opérateurs désignés".Les deux présidents affirment que cette charge est perçue comme "une profonde injustice" par "les milliers de chefs d'entreprises élus et collaborateurs des chambres"."Le réseau des CMA doit être encouragé et son caractère public ne saurait être remis en cause", affirme M. Fourny dans une déclaration à l'AFP, rappelant que le réseau des CMA est "leader en formation par apprentissage"."Je ne sais pas comment on aurait soutenu nos entreprises sans la proximité et la capillarité de nos chambres", a déclaré de son côté M. Goguet, ajoutant que les collaborateurs du réseau "sont mobilisés, week-ends compris, pour aider les écosystèmes territoriaux".Dans sa réponse à la Cour, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire affirme que "les réformes en cours, ainsi que la crise sanitaire, imposent aux réseaux consulaires l'ardente obligation d'accélérer leur transformation et de renforcer leur visibilité"."Le gouvernement sera particulièrement attentif et exigeant quant au respect de ces engagements, à la qualité des services rendus et à l'exemplarité de leur gestion interne", a averti M. Le Maire.3 chambres d'agriculture en CorseQuant aux 102 chambres d'agriculture, dotées d'un budget annuel de 800 millions d'euros dont deux tiers de fonds publics, la Cour a regretté que les fusions, demandées par elle en 2017, ne se soit pas produite.A titre d'exemple, "les chambres d'agriculture de Corse, au nombre de trois pour une activité restreinte, pourraient envisager la création d'une unique chambre de région".Déficitaires, les chambres doivent améliorer leur gestion, prévient le rapport, et ouvrir leurs instances, alors que 97 des 102 chambres sont dirigées par la FNSEA, le premier syndicat agricole, et ses alliés."Des coûts injustifiés continuent d'être supportés par le réseau, souvent au profit d'organisations agricoles : des chambres d'agriculture allouent des subventions destinées au fonctionnement des organisations syndicales d'exploitants agricoles ou leur accordent des avantages en nature", est-il rapporté.
Il y a 4 ans et 43 jours

OXYNOV PRO, le spécialiste du garde-corps Inox

OXYNOV PRO est un site e-commerce spécialisé dans les composants des garde-corps en Inox, à destination des professionnels. Vous y retrouverez plus de 5000 références en stock avec une promesse : livraison en 48h à 72h. Des prix en direct d’usine OXYNOV se présente comme le distributeur le moins cher dans ce secteur qu’est la quincaillerie en Inox pour garde-corps. Grâce à un circuit court en direct d’usine, les prix proposés par OXYNOV PRO sont hyper compétitifs. Tous les achats se font directement sur le site, ce qui réduit les coûts de distribution et permet donc de se positionner avec ces tarifs. Une qualité maitrisée Les produits proviennent de leur Allemagne basée en Allemagne et la qualité de l’Inox est régulièrement contrôlée afin d’être en conformité avec la norme européenne EN 10027. Ainsi, la qualité des matériaux et de leur production est complètement maitrisée. Garde-corps Inox pour intérieur et extérieur Le catalogue propose des pièces pour garde-corps en Inox 304 et 316 à installer soit en intérieur soit en extérieur. La qualité des matériaux proposés permet de fabriquer des garde-corps sécurisés, fiables et très durables pour un résultat esthétique. De nombreuses références en stock Plus de 5000 références sont disponibles en stock et livrables sous 48h à 72h.  Vous retrouverez une gamme complète de pièces détachées dans toutes les catégories de pièces de garde-corps en Inox : Tubes et mains courantes, Pinces, Poteaux et câblage… Un espace professionnel dédié Pour accéder aux prix préférentiels des produits et options, il faut d’abord se créer un compte professionnel et renseigner son numéro de SIRET. Suite à l’inscription, l’accès aux tarifs est donné ainsi qu’à toutes les données techniques (plans, notices, fiches techniques…). Ainsi, une remise permanente est accordée aux comptes professionnels Sur votre accès professionnel vous avez accès en direct à l’avancement et l’état de vos commandes passées sur le site. A qui s’adresse-t-il ? OXYNOV PRO s’adresse aux artisans, poseurs, quincailleries et autres professionnels de ce secteur étant à la recherche d’un fournisseur fiable de produits et d’accessoires de garde-corps en Inox de qualité à des prix très avantageux. Un catalogue PDF est téléchargeable sur le site ou en cliquant ici où retrouver toutes les références disponibles sur le site avec les prix de vente. Quelle différence entre Inox 304 et Inox 316 ? Deux types d’inox sont proposés : l’Inox 304 et l’Inox 316. Voilà ce qui les différencie : Inox 304 : c’est l’aluminium utilisé pour une utilisation en intérieur ou extérieur dans des conditions standards. Il est adapté aux usages extérieurs non pollués, c’est-à-dire non humide ou non exposé aux attaques extérieures. Inox 316 : c’est un Inox plus résistant que le 304 grâce à un complément en Mobylène (environ 2 à 3%). Ce type d’Inox est idéal pour les milieux dits humides ou pollués, comme aux abords d’une piscine ou dans les milieux salins. Ces deux types d’Inox sont résistants à la rouille car ils sont inoxydables. Des produits d’entretien existent pour ces deux types d’Inox afin d’éviter les problèmes de corrosion ou de rouille.
Il y a 4 ans et 43 jours

"La crise sanitaire a durci les conditions de travail sur les chantiers", M.Ledoux

SANTE. Le ministère du Travail a récemment publié un communiqué listant des outils pour prévenir les risques psychosociaux en milieu professionnel. Si le milieu du BTP semble pour le moins épargné, notamment sur les chantiers, les employés de bureau connaissent, eux, des risques importants.
Il y a 4 ans et 43 jours

Politique de la ville : 14 "quartiers productifs" ont été labellisés

DYNAMISME. Le ministère de la Ville a acté le déploiement de son programme "quartiers productifs", avec le lancement de 14 territoires dans l'hexagone. Un moyen de redynamiser les quartiers prioritaires en développant l'artisanat et en accélérant la transition numérique.
Il y a 4 ans et 43 jours

Surcoûts, marchés, formations... les obstacles que les biosourcés doivent encore franchir

DÉCRYPTAGE. Si la réglementation environnementale 2020 leur met le pied à l'étrier, les filières des matériaux biosourcés doivent encore composer avec des contraintes économiques. Les professionnels regrettent également un manque de soutien et d'aide à l'innovation de l'État.
Il y a 4 ans et 43 jours

Histoires de confinement

Le 17 mars 2020, le confinement mettait la France à l'arrêt et plongeait le monde de la construction en eaux troubles. Ses acteurs racontent.
Il y a 4 ans et 43 jours

Création de la Fondation Castorama pour renforcer la lutte de l'enseigne contre le mal-logement

Créée en janvier 2021 et abritée par la Fondation de France, la Fondation Castorama souhaite accompagner les plus démunis dans leurs démarches d'accès au logement et dans la réalisation de travaux d'aménagement de leur maison. Son action repose sur deux piliers : le soutien à des projets associatifs de lutte contre le mal-logement et la transmission du savoir-faire auprès de publics fragiles. Présente aussi bien à l'échelle nationale que régionale, la Fondation Castorama s'inscrit dans la lignée de l'engagement local très fort des magasins de l'enseigne.Cette année, le projet soutenu par la Fondation Castorama à l'échelle nationale est celui des Bricobus, mené par Les Compagnons Bâtisseurs : 60 000 euros seront versés à l'association pour développer cette initiative solidaire qui permet, dans toute la France, d'aller à la rencontre de personnes démunies confrontées à des problèmes de mal-logement. Les membres de l'association les accompagnent dans la réalisation de leurs travaux et prodiguent différents conseils, tout en leur proposant des cours de bricolage gratuits. Le Bricobus est aussi un vecteur de lien social, luttant contre l'isolement qui peut être rencontré en territoires ruraux.La Fondation Castorama agit également au niveau local : elle soutient ainsi 13 projets partout en France. Les associations bénéficiaires ont été sélectionnées au travers d'un vote des collaborateurs organisé dans l'ensemble des magasins de l'enseigne. La Fondation Castorama versera à chaque association lauréate une aide de 10 000 euros, soit un total de 130 000 versés à des projets locaux.
Il y a 4 ans et 43 jours

Les 14 du Groupe Feu élaborent une alternative économique de façade bois

Une nouvelle solution de façade bois sécurisée vis-à-vis des risques de propagation au feu voit le jour et favorisera le développement attendu de bâtiments de grande hauteur.
Il y a 4 ans et 43 jours

ACS Lohmuller assure la ventilation de ses locaux avec une VMC double-flux équipée de solutions Ubbink

Ubbink et ACS Lohmuller, un partenariat gagnant-gagnantLuc Lohmuller, installateur, dirigeant de l'entreprise de sanitaire/chauffage ACS Lohmuller, spécialisée dans les énergies renouvelables, utilise les produits Ubbink depuis maintenant 2 ans. Sélectionnés par ce spécialiste pour leur fiabilité et leur simplicité de mise en œuvre, les solutions Ubbink s'accompagnent également de nombreux services de qualité qui ont séduit ce professionnel. Ainsi, disponibilité des produits, suivi des commandes, bureau d'études intégré… font d'Ubbink un partenaire de choix pour cette société labellisée RGE, Qualipac, Qualisol et Qualibois.Dans le cadre de l'installation d'une VMC Double-Flux et de la réalisation de son showroom dans ses locaux, l'entreprise ACS Lohmuller a logiquement utilisé les produits de la gamme AIR EXCELLENT. Ces conduits-semi-rigides permettent de contourner le risque d'écrasement, limitent les pertes thermiques et les pertes de charge. Le choix des produits Ubbink s'est ainsi imposé comme une évidence puisque le réseau semi-rigide AIR EXCELLENT s'adapte à toutes les configurations et solutions de ventilation.Silencieuse, conçue de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau et facile à installer, la gamme AIR EXCELLENT est intuitive et se pose sans outil.Une installation doublement utile pour l'entrepriseLe résultat offre à ACS Lohmuller un système de ventilation optimal. Installée dans une zone industrielle, l'entreprise dispose ainsi d'une VMC Double-Flux permettant de filtrer l'air et donc de renforcer sa qualité dans les 160 m² d'espace de vie, qu'il s'agisse des bureaux, du vestiaire ou du showroom. La récupération des calories issues de la baie de brassage de l'entreprise permet de chauffer les espaces en hiver et de les climatiser en été et, ainsi, de faire des économies d'énergie.De plus, cette installation répond à un double objectif, le showroom ayant vocation à accueillir les clients de l'entreprise ACS Lohmuller. Ainsi, les gaines du réseau circulaire AIR EXCELLENT ont été laissés apparentes dans cet espace afin de permettre aux visiteurs de constater le savoir-faire et les produits utilisés par l'artisan. « Les conduits verts sont un véritable atout et nous utilisons cette couleur signature des produits Ubbink afin d'en faire une démonstration visible de ce que nos clients auront comme réseau de ventilation » indique Luc Lohmuller, gérant de la société ACS Lohmuller.L'installation de cette VMC Double-Flux s'est effectuée dans le cadre d'une rénovation globale et le showroom de l'entreprise ACS Lohmuller accueillera ses clients d'ici à la fin de l'année 2020.
Il y a 4 ans et 43 jours

Bayonne : la première phase des travaux du stade Jean Dauger prendra fin en avril 2021

La livraison de la première phase du projet de réfection du stade Jean Dauger est attendue pour avril prochain.
Il y a 4 ans et 43 jours

Argenteuil : le programme Urban Valley, du promoteur Foncière Atland, franchit une nouvelle étape

Le programme Urban Valley, de la Foncière Atland, à Argenteuil, dans le parc d’activités des Berges de Seine, avance à grands pas.