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Toute l'actualité du bâtiment

256981 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 41 jours

Val-d’Oise : un investissement de 26 M€ pour les travaux de maintenance dans les collèges

Plus de 100 collèges valdoisiens bénéficieront du programme annuel de rénovation. L’objectif du Département est d’assurer le confort et la sécurité des collégiens.
Il y a 4 ans et 41 jours

Devant les nuisances on peut faire résilier le bail du voisin

Il lui suffit d'invoquer le préjudice qu'il subit devant le non-respect du règlement de copropriété, car ce règlement doit être respecté aussi par les locataires, a indiqué la Cour de cassation.Le litige en cause concernait un immeuble en copropriété, au rez-de-chaussée duquel une entreprise de mécanique avait loué un local. Les voisins se plaignaient des odeurs et des bruits causés par son activité et ils reprochaient au propriétaire du local de ne rien exiger de son locataire pour mettre fin à ces nuisances.Devant cette inaction, les voisins avaient saisi la justice. Ils ont obtenu la résiliation du bail, l'expulsion de ce locataire et l'indemnisation de leur préjudice, mise à la charge du propriétaire et du locataire, solidairement.Une telle action en justice permettant à un tiers d'obtenir la résiliation d'un bail auquel il n'est pas partie est une atteinte à la liberté contractuelle du propriétaire et de son locataire, disaient ces deux personnes, mais les juges ont écarté l'argument.Un copropriétaire est créancier des autres copropriétaires pour le respect du règlement de copropriété, ont expliqué les juges. Et selon le code civil, un créancier peut exercer les droits et actions de son débiteur si, en ne les exerçant pas, il lui cause un préjudice. Tel était bien le cas pour la Cour. L'un des copropriétaires, faisant preuve d'inertie, ne faisait pas respecter le règlement de copropriété par son locataire et les autres, victimes de troubles anormaux, pouvaient donc à sa place prendre les choses en main.(Cass. Civ 3, 8.4.2021, J 20-18.327).
Il y a 4 ans et 41 jours

Le réaménagement du parc des Rapides est prévu pour l’automne 2021

La Ville de Chambly envisage de démarrer les travaux de réaménagement du parc des Rapides à l’automne prochain.
Il y a 4 ans et 41 jours

Fin des travaux au Centre d’Incendie et de Secours de Montgiscard

Le vendredi 23 avril 2021, une visite de fin de travaux a eu lieu à la nouvelle caserne des pompiers de Montgiscard, en présence des élus de la Haute-Garonne.
Il y a 4 ans et 41 jours

Antibes : des travaux sur le réseau d’assainissement et un chantier d’amélioration de la circulation

La Ville d’Antibes entreprend des travaux sur le réseau d’assainissement de plusieurs de ses rues. Le chemin de l’Orangerie fait également l’objet d’un grand chantier.
Il y a 4 ans et 41 jours

OpenBlue Healthy Buildings rend les bâtiments plus sûrs pour les salariés qui réintègrent leur lieu de travail

Combinant 135 ans d'expertise dans les solutions pour le bâtiment avec une technologie de pointe, ces solutions protègent et donnent confiance aux occupants et aux visiteurs des bâtiments, minimisent les perturbations en cas de test COVID-19 positif et accélèrent la ré-occupation des bâtiments en automatisant et en rationalisant les protocoles de sécurité. En outre, les clients pourront maximiser les objectifs d'occupation tout en maintenant le niveau de sécurité, comprendre comment leurs espaces sont utilisés et les réorganiser facilement sur la base de données informatiques, et aider les employés à être plus productifs lorsqu'ils sont au bureau.Les solutions OpenBlue Healthy Buildings, qui se présentent comme une suite intégrée mais peuvent également être déployées de manière modulaire, comprennent une combinaison de matériels et de logiciels - tels que des équipements intelligents, des capteurs numériques, des systèmes de sécurité, des caméras, des moniteurs, des outils d'analyses et des tableaux de bord, des dispositifs de contrôle des infections et d'autres dispositifs connectés - ainsi qu'une application mobile pour gérer les espaces et les expériences des occupants. La suite Healthy Buildings est développée en utilisant les principes de « Privacy by Design »** et prend en charge la protection des données par défaut.Les solutions pour réintégrer, se réapproprier et réinventer comprennent :Traçabilité des contacts. Les capacités de recherche automatisée des contacts constituent l'élément fondamental de cette suite de solutions et alimentent d'autres applications. De manière générale, ces solutions permettent aux responsables des bâtiments et aux employeurs de comprendre les risques d'exposition des occupants de ceux-ci. En cas de test positif d'un occupant, le système peut tracer rétroactivement les contacts de personne à personne et de personne à espace pour fournir un support presque immédiat aux équipes des ressources humaines et des services généraux afin de joindre les travailleurs à risque, de s'occuper des zones potentiellement touchées et de prendre des mesures préventives pour minimiser la propagation. En outre, la traçabilité des contacts assure la tranquillité d'esprit des employés dans le cas où une personne a été testée positive.Suivi de la distanciation sociale. OpenBlue Healthy Buildings surveillera la distanciation sociale en temps réel, en envoyant des alertes de violation si les occupants sont trop proches les uns des autres ou si les espaces sont trop occupés, ce qui permettra de faire des rapports de conformité détaillés et de modifier les comportements en temps réel pour prévenir la propagation de l'infection.Caméras thermiques. Afin d'assurer une approche holistique de la sécurité, OpenBlue Healthy Buildings comprend une solution technologique de contrôle de la température qui prend des mesures pendant qu'un individu marche pour permettre des entrées et des sorties fluides et sans contact, et participer à éviter la propagation des infections. Planification de scénarios. La solution détermine de manière proactive les liens entre les personnes et les espaces, prédisant les impacts d'éventuels événements négatifs et permettant d'intervenir avant toute perturbation et de réduire les risques.Contrôle des infections. OpenBlue Healthy Buildings crée une approche par couches pour la connectivité entre les différents systèmes qui participent au contrôle des infections. Ces systèmes comprennent, entre autres, des systèmes qui réduisent les pathogènes intérieurs et aéroportés en augmentant la ventilation de l'air extérieur, en désinfectant l'éclairage aux ultraviolets C (UV-C) et en surveillant à distance la pressurisation des pièces, les taux de renouvellement d'air, l'humidité et la température pour créer un air plus sain.Cartographie et surveillance de l'utilisation de l'espace. L'application mobile OpenBlue fournit des vues cartographiques en direct de l'état de la désinfection, des données d'occupation et des recommandations pour naviguer dans le bâtiment en toute sécurité afin de maximiser et de surveiller l'utilisation des espaces. Le système est indépendant de la plateforme et fonctionne de manière transparente avec les systèmes de gestion des bâtiments existants pour soutenir des activités telles que la réservation de salles de conférence ou de postes de travail individuels avec indication de l'état d'assainissement.Amélioration de la communication et des expériences. L'application mobile permet de faire participer les employés et les occupants en temps réel en fournissant des mises à jour sur les espaces partagés et les nouvelles politiques, le parcours recommandé pour éviter les zones encombrées, la disponibilité des espaces et les détails de sécurité, le téléphone comme accès au badge, la réponse aux appels d'urgence, le support des horaires de rotation, l'attestation de santé et les options d'auto-déclaration, et bien plus encore. Ces éléments augmentent les synergies entre la gestion des bâtiments, les ressources humaines et les employés afin de fournir des informations en temps réel et une plus grande transparence, tout en favorisant la productivité et les fonctions d'expérience, telles que l'intégration du calendrier et le contrôle du confort."Alors que de plus en plus de bâtiments accueillent à nouveau leurs employés, il est essentiel que nous déployions une technologie de pointe associée à notre expertise en matière de bâtiments pour créer les espaces et les lieux les plus intelligents et les plus sûrs pour les occupants et les visiteurs. Nous innovons avec nos partenaires et nos clients pour créer des technologies qui transformeront les bâtiments et les espaces, des caméras thermiques aux capacités de traçage des contacts : OpenBlue est une solution intégrale."Mike Ellis, vice-président exécutif, directeur du digital et de la clientèle, Johnson ControlsLa plateforme OpenBlue de Johnson Controls - lancée en juillet 2020 - a été conçue dans un souci d'agilité, de flexibilité et d'évolutivité, pour permettre aux bâtiments de devenir des espaces dynamiques. En exploitant la plateforme, les clients pourront gérer les opérations de manière plus systématique, en fournissant des bâtiments qui ont de la mémoire, de l'intelligence et une identité unique. Pour en savoir plus sur OpenBlue Healthy Buildings, vous pouvez consulter ce site.
Cimbat
Il y a 4 ans et 41 jours

Un chalet de luxe, à l'abandon à Courchevel, racheté pour 24 millions d'euros

La vente s'est faite pour le compte du Russe Nikolaï Sarkisov, un habitué de Courchevel qui a fait fortune dans l'assurance.Il s'était associé en 2010 avec le Corse François-Xavier Susini, propriétaire de restaurants dans la station, pour construire Apopka, un palace de 2.753 mètres carrés comprenant huit chambres avec sauna, jacuzzi, piscine, salle de gym, bar-lounge et cinéma privatif.M. Susini s'est chargé de trouver le terrain et d'obtenir le permis de construire, tandis que M. Sarkisov a financé l'opération via des emprunts bancaires, chacun devant au final posséder la moitié d'Apopka et tirer profit de sa location, selon leurs accords.Le chalet aurait dû accueillir ses premiers clients à l'hiver 2015, à un tarif atteignant 300.000 euros la semaine au plus fort de la saison. Mais le chantier a pris du retard et l'ambiance a tourné au vinaigre entre les deux hommes qui s'opposent depuis devant les tribunaux.Dans le cadre de leur conflit, M. Susini s'est arrogé la propriété intégrale d'Apopka mais M. Sarkisov a obtenu que le chalet soit saisi et mis aux enchères afin de récupérer sa mise.Vendredi après-midi, un avocat a enchéri avec succès à 24 millions d'euros pour le compte d'une société derrière laquelle il est "vraisemblable" que le Russe "se cache", selon l'avocat du Corse, Me Maurice Lantourne."Je ne cautionne pas cette information", a déclaré à l'AFP Me Didier Camus, l'avocat qui a porté l'offre. Après avoir lui-même mis aux enchères le chalet pour le compte de M. Sarkisov.Sur le papier, c'est une société "Mascara Courchevel" qui a racheté Apopka. Le registre du commerce indique qu'elle est administrée par deux femmes, liées à des sociétés du Russe, selon une source proche du dossier.L'affaire est loin d'être réglée entre les deux hommes qui s'affrontent en justice autour d'un autre chalet, Owens, qu'ils ont fait constuire à Courchevel pour 14 millions."M. Sarkisov veut le beurre et l'argent du beurre, il a une volonté belliqueuse au lieu de trouver un arrangement à l'amiable qui permettrait de sortir par le haut", estime Me Pascal Garbarini, qui intervient pour M. Susini dans une procédure au civil engagée à Paris.Le nom de M. Susini est apparu ces derniers mois dans un autre dossier, pénal celui-ci, comme l'a révélé Le Monde. Instruit à Marseille, il porte sur des soupçons de blanchiment d'argent par la bande criminelle corse dite du "Petit Bar".Parmi les transactions visées figure un investissement de 1,4 million d'euros dans un projet immobilier mené par M. Susini à Courchevel, réalisé par un riche homme d'affaires, Jean-Pierre Valentini.Celui-ci a été mis en examen car les enquêteurs soupçonnent une origine illicite des fonds, un troisième homme proche d'une figure du "Petit Bar" étant intervenu dans l'affaire.M. Valentini dément totalement, l'origine de l'argent étant "indiscutable" et son affectation "justifiée à l'euro près", selon Me Lantourne qui le défend. M. Susini a également été mis en examen et conteste aussi les faits, selon son avocate dans ce dossier, Me Margaux Durand-Poincloux.
Il y a 4 ans et 41 jours

"Le Beau, le Brut et les Truands" des architectes Paul Chemetov et Rudy Ricciotti

BONNES FEUILLES. Les éditions Textuel publient ce 19 mai 2021, le dialogue libre, savoureux et passionnant des architectes Paul Chemetov et Rudy Ricciotti, né des retranscriptions d'une rencontre organisée par la librairie Galignani à Paris, le 5 février 2020. Qu'est-ce que le Beau ? Pourquoi le Brut ? Et surtout : qui sont les Truands ?
Il y a 4 ans et 41 jours

Avec les énergies vertes, des besoins en minerais en plein essor

"Cette concentration géographique, les délais pour mettre en œuvre de nouvelles productions minières, la qualité déclinante des ressources dans certaines régions, et les impacts environnementaux et sociaux (des mines)... tout cela génère des préoccupations en terme d'approvisionnement", résume Fatih Birol, le directeur de l'AIE."Ces risques sont réels, mais surmontables", dit-il: tout dépendra de "la réponse des politiques et entreprises", qui "fera que ces minerais critiques permettent une transition vers des énergies propres, ou au contraire créent un goulot pour tout le processus".Voitures électriques, rotors d'éoliennes et autres unités de stockage sont très gourmands en certains métaux: une voiture électrique en demande six fois plus qu'un véhicule à moteur thermique, un site éolien terrestre neuf fois plus qu'une centrale à gaz de taille équivalente, pointe l'AIE.Lithium, nickel, cobalt, manganèse, graphite offrent longévité et efficacité aux batteries, les aimants de turbine font appel à des terres rares, les réseaux exigent du cuivre...Dans un rapport publié mercredi, l'Agence a évalué les besoins futurs, en fonction des évolutions technologiques et du rythme auquel le monde se tournera vers des énergies bas-carbone (charbon, pétrole et gaz générant aujourd'hui les trois quarts du réchauffement planétaire).Selon l'AIE, d'ici 2040 la demande globale du secteur énergétique pour ces minerais pourrait quadrupler si le monde se conforme aux engagements de l'accord de Paris. Ce sera un facteur six s'il tend vers la neutralité carbone pour le milieu de siècle.Pour le seul lithium, la demande sera multipliée par 40, voire 75 - l'électronique grand public n'en est déjà plus le premier consommateur, détrônée par les véhicules électriques et batteries.La production électrique exigera trois fois plus de minerais, tirée par l'éolien offshore et le secteur photovoltaïque. Et plus d'hydrogène, ce sera plus de platine.Anticiper et recyclerAlors que le prix des technologies recule, les minerais devraient prendre une part croissante de leur valeur totale, rendant la filière d'autant plus vulnérable aux variations du marché des métaux.Or, plus que pour le pétrole par exemple, la production est souvent concentrée sur quelques pays. En 2019, la République démocratique du Congo et la Chine ont produit 70% et 60% respectivement du cobalt et des terre rares. Et le raffinage est dominé par la Chine, sur son territoire ou ailleurs."Que se passera-t-il si nous ne prenons garde au sujet minerais? Les prix risquent de grimper de manière abrupte, synonyme de transition plus coûteuse et donc plus lente que nous le souhaitons", dit Fatih Birol."Les chiffres montrent un décalage imminent entre des ambitions climatiques mondiales accrues et la disponibilité de minerais critiques indispensables pour concrétiser ces ambitions", prévient-il, "appelant" les gouvernements à "élargir leur horizons", à ne "pas seulement subventionner voitures électriques ou panneaux solaires, mais penser aussi au revers de la médaille"."En agissant dès maintenant et de concert sur la question des minerais, les gouvernements peuvent significativement réduire les risques de volatilité des prix et de perturbation de l'offre", ajoute-t-il.L'AIE émet plusieurs recommandations: notamment que les États du monde publient leurs stratégies climatiques de long terme, et le détail de leurs actions, pour conforter les investisseurs miniers.La coopération internationale entre producteurs et utilisateurs devrait être renforcée, tout comme les normes environnementales et sociales entourant l'extraction, ajoute l'Agence.Le recyclage aussi doit être promu. "Le plus important ce sont les économies d'échelle, et des designs favorables. Les politiques peuvent l'encourager", a dit à des journalistes Tae-Yoon Kim, l'auteur principal du rapport.Certains États agissent déjà, note Tim Gould, qui a co-dirigé l'étude: "certains cherchent des fournisseurs responsables, d'autres s'intéressent aux investissements. Mais il y a de la place pour faire bien plus".
Il y a 4 ans et 41 jours

Vers un regain du marché des engins de chantiers d'occasion en 2021 ?

ETUDE. Ritchie Bros, spécialiste de la vente aux enchères de matériels industriels et distributeur d'équipements, a interrogé près de 200 entreprises de construction en Europe afin de prendre le pouls concernant leurs intentions avec leur parc de matériels.
Il y a 4 ans et 41 jours

Verre et architecture: l'équation

Il y a 4 ans et 41 jours

Le BTP a concentré un tiers des contrôles de l'inspection du Travail en 2020

RÉGLEMENTATION. Perturbés par le Covid en 2020, les contrôles de l'inspection du Travail devraient repartir de plus belle en 2021. Mobilisées sur les protocoles sanitaires, les équipes n'ont pas pour autant délaissé la lutte contre le travail détaché et les fraudes au détachement. Si le BTP affiche de bons résultats en la matière, certains territoires sont toutefois surveillés de près.
Il y a 4 ans et 41 jours

Un Prix pour la transformation de bureaux en logements

RÉCOMPENSE. La deuxième édition du Prix international de la transformation de bureaux en logements a été lancée. Les candidats peuvent se faire connaitre jusqu'au 8 juillet.
Il y a 4 ans et 41 jours

Au coeur de la capitale, la modernisation d'un parking souterrain vieux de 54 ans

CHANTIER. L'entreprise Saemes s'est lancée depuis 2019 dans la rénovation d'un parking quinquagénaire, qui va s'adapter aux nouvelles mobilités des usagers. Un chantier conséquent dont le site continue d'être exploité.
Il y a 4 ans et 41 jours

Herige affiche un début d'année 2021 en hausse sur ses 3 segments d'activités

RESULTATS. Le groupe Herige, qui s'illustre dans le négoce, le béton et la menuiserie, à travers VM, Edycem et Atlantem, a enregistré un chiffre d'affaires en hausse au premier trimestre 2021. Une tendance qui l'on retrouve sur chacune de ses activités.
Il y a 4 ans et 41 jours

Industrialisation de la rénovation des HLM : dix lauréats retenus

RELANCE. Le ministère de la Transition écologique a rendu public la liste des lauréats de l'appel à projets Massiréno, visant à valoriser les solutions industrielles de rénovation. Dix bailleurs sociaux se partageront les 40 millions de subventions prévues.
Il y a 4 ans et 41 jours

Le groupe scolaire Jean Rostand marque un tournant dans l’architecture scolaire

À Hellemmes, l’agence Sam architecture signe le groupe scolaire Jean Rostand. L’école primaire marque... Cet article Le groupe scolaire Jean Rostand marque un tournant dans l’architecture scolaire est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 41 jours

Inquiétude des couvreurs face aux difficultés de recrutement, aux prix, et aux disponibilités de certaines fournitures

Si les carnets de commandes sont là, les inquiétudes portent désormais sur des tensions liées au recrutement, aux prix, et aux disponibilités de certaines fournitures (bois de charpente, liteaux, écrans de sous-toiture...).La FFTB a lancé en 2019 un Observatoire de la rénovation en Couverture qui interroge deux fois par an en septembre et février par téléphone 800 artisans-entreprises représentatifs du secteur. Cette quatrième enquête réalisée en février 2021 porte sur un bilan d'activité pour 2020 et sur les perspectives pour le premier semestre 2021.-2,1% : une baisse « contenue » de l'activité 2019/2020Les entreprises interrogées estiment que leur activité Travaux Couverture Rénovation Tuile a subi une diminution de -2,1% au terme de l'année 2020 comparée à l'année 2019, un bilan plutôt meilleur que l'ensemble de l'activité rénovation (en baisse de 9% par exemple selon la note de conjoncture FFB).« La bonne tenue de l'activité rénovation tuile en 2020 peut s'expliquer par plusieurs facteurs» commente Olivier Lafore, en charge de cette étude pour le groupement des tuiliers de la Fédération Française des Tuiles et Briques qui précise «on pense évidemment à la nature des travaux en extérieur qui fait que l'activité est moins impactée par les contraintes réservées aux travaux en intérieur. La rénovation en toiture est aussi plutôt du ressort de l'artisanat, plus mobile et réactif que les grosses structures. La filière a évidemment été frappée par le confinement et l'arrêt brutal des chantiers et des activités des réseaux de négoce en mars 2020. Les fabricants ont procédé à l'arrêt progressif de la majorité des lignes de production à partir de cette date mais les stocks constitués avant le confinement ont cependant toujours permis de répondre à la demande des négoces et à la reprise progressive des chantiers. » Olivier LaforeDes entreprises sereines sur leur carnets de commandesLes couvreurs se considèrent donc peu impactés par la crise dans la perspective du 1er semestre 2021 et affichent un niveau de préoccupation faible quant à leurs volumes d'activité : 1,9 sur 5 sur une échelle numérique de 1 à 5.59% des artisans et entreprises déclarent ainsi avoir traversé la crise sanitaire sans conséquence majeure sur l'exploitation. 37% expriment certes une inquiétude mais poursuivent normalement leur activité. Seul 3% de l'ensemble des structures sondées déclarent une forte inquiétude qui serait susceptible de conduire à un redressement, voire un arrêt de l'exploitation.Des perspectives 2021 dynamiquesLes prévisions pour le premier semestre s'établissent en moyenne à +1,2% par rapport au second semestre 2020. On notera cependant que l'Ile de France (-0,1) et surtout le Nord-Est (-1,6) sont nettement en décalage avec les autres régions. Le contexte sanitaire de février 2021 et les annonces de reconfinement qui émergeaient à cette période peuvent expliquer ce décalage sur deux zones denses et durement touchées en 2020.Recrutement et tensions sur certains matériaux : points d'alerteEn effet, 58% des entreprises interrogées déclarent avoir des difficultés de recrutement (+6 pts / sept. 2020) et 72% l'identifient comme un frein à leur développement. « Les difficultés de recrutement sont récurrentes pour les couvreurs et s'y ajoutent actuellement des tensions sur certaines fournitures notamment bois de charpente, liteaux... Nous redoutons que ces difficultés bloquent la reprise dont nous avons tous besoin. »Olivier Lafore
GDA
Il y a 4 ans et 42 jours

Un nouveau président à la fédération DLR

Philippe Cohet, le nouveau président élu de la fédération DLR. [©DLR] A l’occasion de son assemblée générale de la fédération DLR1 a élu Philippe Cohet à sa présidence. Il succède à Bertrand Carret, président depuis 2016. « Les deux dernières années où nous avons vécu la crise sanitaire, ont été pour moi un très bel exemple de la puissance de la fédération, face à un certain nombre de défis », témoigne Philippe Cohet. Les objectifs de Philippe Cohet Au sein de la DLR, ce dernier souhaite poursuivre trois ambitions. Tout d’abord, l’accompagnement des entreprises du secteur dans la transformation numérique. Ensuite, Philippe Cohet axera ses missions sur la formation des acteurs de la filière. En effet, il est important pour le nouveau président de former les équipes du secteur, afin de rester à la pointe des évolutions du marché. Enfin, sa dernière ambition est de faire en sorte que la DLR soit encore plus présente dans les régions, de façon à répondre aux questions et aux attentes des membres. Et, ainsi pouvoir peser sur l’environnement dans lequel ils évoluent et apporter de plus en plus de satisfaction à ses adhérents.  Le parcours de Philippe Cohet  Diplômé de l’Ecole nationale supérieure des mines, Philippe Cohet débute sa carrière dans le secteur de la chimie. Il intègre le groupe Rhône Poulenc, devenu Rhodia, où il restera une vingtaine d’années à des postes de direction. Il quitte ce secteur en 2004 pour rejoindre celui des grues. Il devient vice-président Europe, Moyen-Orient et Afrique de Manitowoc Cranes. Il y développe l’activité à l’international. C’est en 2014 qu’il prend la direction d’Arcomet, entreprise de location, distribution et service de grues à tour. La fusion avec l’entreprise Matebat verra naître Uperio. Philippe Cohet en est le président depuis 2019. En parallèle, il fait partie de la DLR depuis 5 ans, ayant aidé à la création de la commission des loueurs de grues à tour. Cette dernière permet la mise en chantier de nombreux projets. Enfin, Philippe Cohet a été l’investigateur des conditions générales de location de la grue à tour, signée par la FFB et la FNTP. 1Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs de matériels de bâtiment, de travaux publics et de manutention.
Il y a 4 ans et 42 jours

Les ventes de maisons neuves, sur douze mois, sont en chute

IMMOBILIER. D'après les derniers chiffres communiqués par le ministère de la Transition écologique, les ventes de maisons individuelles neuves sont en forte chute, sur douze mois glissants, sur la période mars 2020-avril 2021.
Il y a 4 ans et 42 jours

Une nouvelle présidente pour l’association Roselière

Responsable biodiversité chez Cemex France, Johanna Moreau devient la présidente de l’association Roselière. [©Cemex] Responsable biodiversité chez Cemex France, Johanna Moreau vient d’être nommée présidente de l’association Roselière. Cette dernière a pour objectif d’accompagner chaque acteur dans la mise en place d’actions biodiversifiées. Développé à partir de 2006, le programme “Roselière” permet l’application de protocoles réutilisables dans le temps et dans l’espace. En effet, il suit l’évolution de la biodiversité d’un site à l’aide d’indicateurs. Cela a pour objectif d’identifier les bonnes pratiques à généraliser. Le développement de ce programme est géré par le conseil scientifique de l’association, composé du Muséum national d’Histoire naturelle et de la Ligue protectrice des oiseaux (LPO). Ainsi, Cemex y est engagé depuis 15 ans. L’industriel a appliqué plusieurs procédés sur 19 de ses carrières, permettant de collecter près de 67 000 données sur la faune et la flore. Les missions de Johanna Moreau Johanna Moreau aura pour mission d’accompagner le traitement et l’exploitation de la base de données Cettia-Roselière, qui représente un volume de 190 000 d’entre elles exploitables. De plus, elle devra tirer de cette base un maximum d’enseignements. Notamment sur les carrières et sur la biodiversité. Elle pourra aussi asseoir la crédibilité et la reconnaissance du programme auprès des parties prenantes.  « Je suis fière de prendre la présidence de cette association qui porte un outil original de suivi de la biodiversité, pour les carrières. Mais aussi pour tout autre type de milieux et de sites », déclare Johanna Moreau. Son parcours  Diplômée en 2005 en ingénierie écologique, elle débute sa carrière au sein de l’agence d’environnement et d’urbanisme Trans-faire, comme chargée de mission. C’est en 2010 qu’elle rejoint Cemex France, chargée de l’élaboration et du pilotage de la stratégie biodiversité. A partir de 2015, elle devient la responsable biodiversité du groupe. Johanna Moreau représente Cemex depuis 2010 au sein du pôle “Biodiversité” de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG). 
Il y a 4 ans et 42 jours

L'économie française sur les rails pour atteindre 5% de croissance en 2021, selon la Banque de France

D'une manière générale, "les entreprises sont plutôt dans une dynamique de progression de leur activité par rapport aux mois précédents", a estimé le directeur général de la banque centrale française, Olivier Garnier, lors d'une présentation à la presse.Au vu des réponses fournies par 8.500 entreprises interrogées entre le 28 avril et le 5 mai, le niveau d'activité a été en avril inférieur de 6% à celui d'avant la crise du Covid-19, soit un point de mieux que dans le résultat de la précédente enquête réalisée il y a un mois.L'impact des dernières mesures de restriction sanitaires aura donc été légèrement moindre que celui des mesures effectives au mois de novembre (-7%), malgré la fermeture des écoles.En mai, avec la réouverture programmée de tous les commerces, des terrasses, musées, cinémas et théâtres à compter du 19 du mois, l'activité devrait revenir à -4% par rapport aux niveaux de janvier et février 2020.Ce qui fait qu'en l'absence de nouveau rebond épidémique, "notre scénario de croissance" à 5% pour 2021 "est plutôt confirmé", selon Olivier Garnier.D'ailleurs l'acquis de croissance à la fin mai, c'est-à-dire la progression du produit intérieur brut (PIB) sur l'année si l'activité stagnait sur les sept derniers mois, serait déjà de "près de 4,5%", a ajouté M. Garnier.Le gouvernement a lui aussi un objectif de croissance de 5% pour 2021 et table sur un retour au niveau d'activité de l'avant-crise au premier semestre 2022.L'enquête de la Banque de France montre que les services aux entreprises ont mieux résisté en avril que les services de proximité en général et que "dans le secteur du bâtiment, l'activité est quasi stable, très proche de son niveau d'avant-crise, selon les chefs d'entreprise interrogés", avec des carnets de commandes particulièrement bien remplis qui dépassent leurs niveaux déjà très élevés de 2019.Dans l'industrie, la situation est contrastée selon les secteurs.Le taux d'utilisation des capacités de production progresse légèrement, de 80% à 81% entre mars et avril, mais recule de 81% à 77% dans l'automobile en raison notamment de difficultés d'approvisionnement qui ont frappé ce secteur au niveau mondial.Problèmes de redémarrageEn effet la reprise de l'économie mondiale "se traduit par des tensions sur certains types de matières premières ou dans des secteurs type semi-conducteurs", tensions "doublées du fait que les entreprises avaient plutôt déstocké durant la crise", a expliqué M. Garnier.Mais cette difficulté qui affecte aussi d'autres secteurs industriels ainsi que le bâtiment, vient selon lui "plus d'un problème de redémarrage que d'un problème structurel durable".Coté positif, avec une reprise économique plus précoce en Asie et aux Etats-Unis qu'en Europe, "l'activité industrielle est sans doute pas mal tirée par l'activité mondiale", a encore relevé le directeur général de la Banque de France.Sur l'inflation, il a jugé que "les hausses de coûts des intrants, surtout si elles sont transitoires, vont plutôt affecter les marges des entreprises plutôt que les prix".En matière d'emploi enfin, Olivier Garnier a estimé qu'avec la reprise, un retour des difficultés de recrutement que les entreprises connaissaient avant la crise n'était pas exclu.
Il y a 4 ans et 42 jours

Rénovation : "Nous allons dans la bonne direction, mais pas assez vite", P. Nossent

TRANSITION ÉCOLOGIQUE. Dans une synthèse consacrée à l'urgence climatique et à ses enjeux dans le bâtiment et au niveau des territoires, une quinzaine de personnalités du secteur de la construction appellent à mettre les bouchées doubles pour réussir la transition écologique de la filière. Au-delà de la simple piqûre de rappel sur un sujet déjà largement connu des professionnels, la tribune cherche à interpeller les politiques à un an de l'élection présidentielle, ainsi que les industriels susceptibles d'impulser un nouvel élan dans la course aux innovations.
Il y a 4 ans et 42 jours

Altarea affiche un CA en hausse de 15% "porté par le logement"

RÉSULTATS. Le promoteur a profité du retour des investisseurs institutionnels dans le logement mais prévoit, sur l'année, un rééquilibrage en faveur des particuliers. Deux projets urbains majeurs marquent par ailleurs son activité.
Il y a 4 ans et 42 jours

AC Environnement se met en ordre de bataille pour conquérir de nouveaux marchés

AC Environnement a engagé un important projet de transformation de son organisation et ses process qui se concrétise par la mise en place d'un nouveau comité de direction expérimenté, et par le déploiement d'une stratégie digitale à grande échelle de ses process et de ses outils. Malgré un chiffre d'affaires en baisse de 20% environ, le groupe mise sur l'innovation en 2021 et prépare de nouvelles offres pour conquérir de nouveaux marchés et atteindre un CA identique à 2019 à hauteur de 57 M€.Comme toutes les entreprises confrontées à une crise sanitaire inédite et sans précédent, le groupe AC Environnement s'est adapté. Au cours du premier confinement qui a marqué l'arrêt de ses activités, le groupe a choisi d'investir dans ses équipes en développant le e-learning pour les faire monter en compétence. Ce sont plus de 15 000 heures de formation cumulées qui ont été dispensées via son centre de formation. Passée cette période, l'entreprise habituée à travailler en milieux contraints s'est alors très vite remise en ordre de bataille sur ses marchés historiques que sont la mesure de l'amiante et les diagnostics immobiliers.« 2020 a été au final une année enrichissante pour nous. Elle a permis de replacer l'humain au cœur de tous nos enjeux. Nous avons su être à l'écoute de nos clients et pour ma part de nos collaborateurs qui se sont formidablement adaptés. Pour preuve nous avons maintenu 100% des effectifs et je m'en réjouis. » Denis Mora, président d'AC EnvironnementAutre défi relevé au cours de cette année, la refonte de son comité de direction. Désormais la taille du groupe et les ambitions de son dirigeant et de ses actionnaires impliquent de structurer, d'organiser et de dimensionner les équipes et les opérations pour répondre aux objectifs fixés. Le nouveau comité de direction est composé de Jean-Baptiste Sebag, directeur général délégué opérations et transformation, Gilles Simionesco, directeur général délégué administratif et financier, Bruno Afresne, directeur général délégué exploitation et commerce et Aurélie Adric, directrice ressources humaines, qui œuvrent aux côtés de Denis Mora, président, à transformer le groupe dans un plan d'actions stratégique à horizon 2024.Autre projet d'envergure entrepris au sein d'AC Environnement sur 2020 : une transformation digitale de son organisation et de ses systèmes à toutes les étapes de ses process, depuis la collecte de la donnée en passant par la production de rapports, l'analyse et la relation client. Elle revêt un enjeu capital pour le développement du groupe à l'avenir. Près d'1 M€ ont été investis dans un nouvel outil ERP tourné vers la collecte de données mais aussi dans l'accompagnement et la formation des équipes à ce nouveau système qui sera opérationnel au troisième trimestre 2021.Une diversification des offres pour répondre aux évolutions réglementaires et conquérir de nouveaux marchés S'adressant historiquement aux bailleurs sociaux, AC Environnement ambitionne d'élargir son portefeuille et vise des clients BtoB en leur proposant une offre diversifiée. En février 2021, le groupe a obtenu la certification MASE qui atteste de la qualité de ses process en termes de sécurité, santé et environnement et lui ouvrent de nouveaux marchés très exigeants (industrie, tertiaire...). A ce stade, seul le site de Riorges, siège du groupe et représentant l'ensemble de ses métiers, est certifié. Prochainement un déploiement dans les agences sera organisé. Par ailleurs, l'année 2020 a également été consacrée à la structuration de l'offre « polluants de l'air » pour compléter l'activité hygiène industrielle pour laquelle le groupe est accrédité COFRAC (Accréditation Cofrac Essai n°1-6001, portées disponibles sur www.cofrac.fr) depuis juillet 2019. Il offre désormais une expertise complète avec la mesure amiante dans l'air intérieur, ambiant et des lieux de travail, la qualité de l'air intérieur (QAI), le radon, et l'hygiène industrielle.2021 sera aussi marquée par le plan de rénovation énergétique des bâtiments lancé par l'État qui prévoit des évolutions règlementaires majeures. Dès juillet prochain, le DPE sera alors opposable et le DTG (Diagnostic Technique Global) deviendra obligatoire pour les copropriétés. Acteur référent sur le marché des diagnostics immobiliers, AC Environnement construit une offre énergie portée par les agences de son réseau pour intervenir sur tous les champs que sont les CEE (Certificats d'Economie d'Energie) pour lesquels une démarche d'accréditation a été entreprise, mais aussi sur l'audit énergétique et la délivrance de DTG. Avec cet élan autour de la rénovation des logements, AC Environnement prévoit d'augmenter son CA de 20% sur ce segment de marché.Cette diversification concerne aussi son réseau de franchises. Créé en 2018, il compte aujourd'hui 14 agences et le groupe ambitionne d'ouvrir 40 nouvelles franchises en milieu rural d'ici 3 ans pour accompagner le développement du marché de l'immobilier et être au plus près de ses clients BtoB.Le BIM : AC Environnement crée une filiale pour démocratiser la digitalisation du bâtiment Au cours du mois de mai, le groupe lancera une nouvelle filiale dédiée à la digitalisation du bâtiment, nommée DIGILIANCE et constituée d'une équipe de 12 personnes. Cette structure portera l'ambition du groupe, à savoir accompagner ses clients gestionnaires de patrimoine immobilier existant, dans l'optimisation de leurs budgets gestion-exploitation-maintenance et de travaux. Cela passe par une meilleure connaissance de leur bâti, notamment à travers l'exploitation des données techniques captées lors de la réalisation de diagnostics règlementaires et connectées puis valorisées à travers la représentation numérique du bâtiment. Via DIGILIANCE, AC Environnement propose une solution technique permettant d'intégrer l'ensemble des données disponibles quelle que soit leur provenance et libre d'accès pour ses clients afin qu'ils puissent gérer eux-mêmes le carnet numérique de leur bâtiment. « En tant que diagnostiqueur, nous collectons des milliers de données chaque jour. Nous souhaitons apporter de l'intelligence dans la gestion de ces données et dans leur exploitation au service de nos clients. Nous étions des pionniers à associer le diagnostic immobilier et le BIM lorsque nous nous sommes lancés il y a 3 ans. Aujourd'hui, nous repensons notre offre centrée désormais sur l'interopérabilité entre tous les systèmes BIM pour accélérer son développement et faciliter la prise en main par nos clients. » Denis Mora
Il y a 4 ans et 42 jours

A Londres, une piscine suspendue entre deux tours

EN IMAGES. La capitale anglaise se pare d'une piscine flottante de luxe. Un projet en acrylique qui défie les lois de la gravité et offre un spectacle exceptionnel aux baigneurs.
Il y a 4 ans et 42 jours

"L'Etat continuera à financer les aides à la rénovation durant dix ans", B. Pompili

PROJET DE LOI. En juin sera débattu le projet de loi Climat et résilience au Sénat, en première lecture. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, s'est exprimée devant la commission des affaires économiques, le 11 mai, revenant sur l'ensemble des points dont de nombreux concernent le secteur de la construction.
Il y a 4 ans et 42 jours

AGC sort sa nouvelle collection de verres laqués colorés Lacobel et Matelac

Une nouvelle palette pour une infinité de possibilitésAfin de couvrir le spectre des couleurs et de répondre à toutes les envies, neuf nouveaux coloris brillants ont rejoint la gamme Lacobel et cinq dans son alter ego mat, Matelac. Lacobel se décline désormais en 24 couleurs et Matelac en 15 coloris. Ces deux gammes proposent en outre 10 teintes communes. Rencontre du brillant et du mat, approches ton sur ton, jeux de contrastes : tout est permis.Les quatre univers Lacobel et MatelacL’autre grande nouveauté : la création de quatre univers qui illustrent, chacun, différentes combinaisons de couleurs ainsi que les matériaux qui se marient le mieux avec elles. L’objectif ? Proposer des ambiances inspirantes à tous les acteurs du bâtiment, aussi bien architectes, décorateurs, qu’artisans ou maîtres d’ouvrage. L’ambiance minimaliste : Blue Ice, White Traffic, White Extrasoft… Des tons contemporains et subtils, qui s’associent aisément avec la pierre ou la céramique pour créer une sensation d’espace, de calme et de pureté.L’ambiance naturelle: Pink Nude, Green Safari, White Pearl… Des coloris terre et naturels combinés aux bois bruts ou au liège pour un environnement chaleureux et harmonieux.L’ambiance traditionnelle : Blue Vintage, Green Artichoke sans oublier les couleurs exclusives Silver… Des teintes riches et classiques aux accents raffinés qui peuvent être réhaussées par des matériaux nobles tels que le bois foncé ou le marbre : le mariage réussi de la tradition et de la modernité, de l’intimité et de l’élégance.L’ambiance vitaminée : Yellow Yuzu, Orange Tangerine, Green Teal… Des coloris intenses et lumineux qui s’accordent parfaitement avec la résine ou le béton colorés pour une originalité assumée.MyColour by Lacobel/Matelac : le sur mesure de la couleurMyColour by Lacobel/Matelac est un service exclusif d’AGC, dédié aux architectes et professionnels de la décoration. Grâce à MyColour, ils peuvent créer une teinte personnalisée qui correspond exactement à leur concept pour les projets de plus de 150 m². Un point de contact unique pour vos produits et servicesDes solutions pour toutes les étapes, du choix du verre jusqu’à son installation, auprès d’un seul fournisseur ? AGC offre en effet un service complet et à la carte : une vaste gamme de verres décoratifs, des solutions de fixation et de nettoyage du verre, un support technique pointu, un réseau de distribution performant, des transformateurs agréés, des AGC Deco Partners, le réseau Glastetik (en France) et enfin un contrôle de qualité rigoureux et les certifications environnementales nécessaires.
Il y a 4 ans et 42 jours

L’école maternelle de Livry-sur-Seine fait peau neuve

Les 72 élèves et les enseignants de l’école maternelle de Livry-sur-Seine peuvent dès à présent découvrir le bâtiment scolaire entièrement rénové.
Il y a 4 ans et 42 jours

Concertation sur le projet de réfection de l’avenue Ambroise Croizat, à Montataire

À Montataire, l’avenue Ambroise Croizat fait l’objet d’un projet de réfection. Une concertation publique a été lancée pour cerner les besoins des habitants.
Il y a 4 ans et 42 jours

Projet de loi 4D : les élus locaux veulent aller plus loin dans la décentralisation

Eprouvées par la crise sanitaire et sociale, les collectivités expriment clairement leurs souhaits d'adaptation et de simplification pour une action publique plus efficace.
Il y a 4 ans et 42 jours

Le chiffre d'affaires de Klépierre recule encore au 1er trimestre alors que 95% des centres commerciaux seront bientôt rouverts

55% de ses centres ont déjà rouvert, et "près de 95% de notre portefeuille sera bientôt rouvert", a assuré Jean-Marc Jestin, président du directoire.En France, le feu vert à la réouverture est prévu pour le 19 mai et Klépierre assure être en mesure de rouvrir ses centres à cette date.Au premier trimestre 2021, le groupe, qui détient notamment les centres Créteil Soleil et du Val d'Europe en région parisienne, a dégagé un chiffre d'affaires de 281,2 millions d'euros, en baisse de 11,3% sur un an, selon un communiqué.Affecté par les décisions administratives des pays européens dans lesquels il est implanté, Klépierre a dû fermer progressivement ses centres commerciaux en raison de la crise sanitaire, "en moyenne 1,5 mois" sur la période.Avec la réouverture progressive en Europe à la fin de l'année 2020, Klépierre avait noté "des signes de reprise encourageants".Et malgré une baisse de 10% des revenus locatifs bruts sur le premier trimestre 2021, M. Jestin reste "enthousiaste et confiant" quant au "redémarrage rapide" de l'activité du groupe.
Il y a 4 ans et 42 jours

L'ACV dynamique à l'épreuve du BIM

Annoncée dans la RE2020 par le gouvernement, l'ACV dynamique s'inscrit dans la continuité de l'ACV statique pratiquée avec le label E+C-. Les éditeurs se préparent à cette évolution.
Il y a 4 ans et 42 jours

Lancement de la 3e édition de l'appel à projets urbains innovants « Inventons la Métropole du Grand Paris »

« Inventons la Métropole du Grand Paris » (IMGP) s'est imposé comme le plus grand concours d'architecture et d'urbanisme d'Europe. Les deux premières éditions ont suscité une immense mobilisation, preuve de l'attractivité du territoire métropolitain. Forte de ce succès, la Métropole lance une 3e édition comprenant plusieurs nouveautés. IMGP 3 s'inscrit dans la continuité des deux précédents concours, mais aussi dans la dynamique du plan de relance métropolitain et du Contrat de Relance et de Transition Ecologique (CRTE), que la Métropole a signé avec l'Etat en mars dernier.3 thématiques phares pour cette 3e édition !Organisée en lien avec l'Etat, la Société du Grand Paris, la Banque des Territoires et la Foncière de Transformation Immobilière d'Action Logement, IMGP 3 s'articule autour de trois thèmes, visant le renouvellement de la ville, pour un territoire durable, équilibré et résilient.La reconversion de bureaux en logements et la mutation du bâti existantCe thème privilégiera l'identification de fonciers bâtis vacants : bâtiments tertiaires, d'activités, commerciaux et bâtiments publics. Le déploiement et la généralisation du télétravail induit par la crise sanitaire a considérablement modifié les manières de travailler et pose la question du devenir de ces immeubles de bureaux.La reconversion des friches urbainesIl s'agira de terrains nus, ou occupés en minorité par un bâti obsolète, déjà artificialisés, ayant perdu leur usage ou affectation (friches économiques, commerciales, industrielles, sites militaires délaissés, grands équipements ou infrastructures ferroviaires et routières, à l'exclusion des friches agricoles).L'aménagement des quartiers de gareCette thématique comprend tout type de fonciers situés autour de gares existantes ou futures, notamment les gares du Grand Paris Express. De grandes nouveautés et un objectif affirmé de rééquilibrage territorial, d'attractivité et de transition écologique Les projets retenus dans le cadre d'IMGP 3 devront viser prioritairement des objectifs d'accompagnement du renouvellement urbain et des mutations du territoire métropolitain par la requalification du bâti existant, la production de logements, la réduction de l'étalement urbain par une limitation de l'artificialisation des sols et la mixité programmatique et fonctionnelle.Par ailleurs, forte des retours d'expérience des deux premières éditions, la Métropole du Grand Paris tient à compléter l'appel à projets en y apportant des nouveautés portant sur la possibilité de proposer des fonciers appartenant aux propriétaires publics, parapublics ou privés, une sécurisation et une simplification de la procédure et un suivi renforcé durant toute la durée des opérations.« Inventons la Métropole du Grand Paris s'est imposé comme le plus grand concours d'architecture et d'urbanisme d'Europe. Cette 3e édition sera à nouveau organisée en lien avec l'Etat, la Société du Grand Paris et la Banque des Territoires, partenaires historiques d'IMGP. Dans la dynamique du plan métropolitain de relance, ce concours vise notamment à soutenir le secteur de l'immobilier et du bâtiment afin de créer de la richesse, de la valeur ajoutée et de l'emploi. Comme cela a été le cas pour les 77 sites des deux premières éditions, nous permettrons à des aménageurs de participer au rééquilibrage territorial, l'un des enjeux essentiels de la Métropole ». Patrick OLLIER, Président de la Métropole du Grand Paris « Les trois grandes thématiques d'Inventons la Métropole du Grand Paris 3 répondent à un besoin réel. Nous allons notamment créer des logements mais aussi repenser et innover pour instituer des espaces de télétravail, de coworking, ainsi que des lieux de vie autour des différentes gares. Pour cela, la Métropole va jouer un rôle d'accompagnateur auprès des maires chargés de ces aménagements » Jacques-Alain BENISTI, Conseiller délégué auprès du Président en charge du suivi « Inventons la Métropole du Grand Paris » et des grandes opérations métropolitaines« L'Etat est heureux d'accompagner Inventons la Métropole du Grand Paris 3 car ce concours est la mise en œuvre concrète d'un des engagements que nous avons pris dans le Contrat de Relance et de Transition Ecologique que nous avons signé le 18 mars dernier. Cette initiative innovante et utile permettra de mieux répondre à la demande de logements, mais aussi de penser la transition écologique et la mixité des espaces urbains. Les thèmes de cette 3e édition sont particulièrement en résonnance avec les politiques publiques de l'Etat ». Pierre-Antoine MOLINA, Préfet, Secrétaire Général aux Politiques Publiques de la Préfecture de la région d'Île-de-France « La Société du Grand Paris est partenaire de cet appel à projets depuis 2016 et le demeurera de manière accentuée pour cette 3e édition qui portera spécialement la thématique de l'aménagement des quartiers de gare du Grand Paris Express, une question majeure qui doit être abordée en partenariat avec toutes les parties prenantes et notamment avec les maires. » Jean-François MONTEILS, Président du Directoire de la Société du Grand Paris« La Banque des Territoires est un partenaire de la première heure d'IMGP car nous croyons beaucoup à cette formule, à ce processus souple et ouvert qui permet de fédérer plusieurs acteurs en même temps, au même moment, sur un même projet : des start-ups, des grandes entreprises, des promoteurs, des acteurs publics et privés. Capable de fertiliser l'innovation, cet appel à projets impulse une dynamique collective permettant de mettre en valeur et de rendre visible les projets sur l'ensemble des communes de la Métropole du Grand Paris ». Marianne LOURADOUR, Directrice régionale Ile-de-France de la Banque des Territoires « Ce qui caractérise Inventons la Métropole du Grand Paris est la démarche de partage et d'accompagnement portée par la Métropole. Il s'agit d'un facilitateur de projets qui ne remplace pas la volonté politique des maires mais reste un levier fort permettant de mettre en place des aménagements innovants et structurants pour les communes ». Éric CESARI, Vice-président délégué à la Stratégie et aux Partenariats Institutionnels« La Métropole regardera plus particulièrement dans les projets tout ce qui concerne les nouveaux usages et les méthodes innovantes. Nous inviterons les lauréats à la modularité et à la mutualisation des espaces afin de bâtir une Métropole agile favorisant l'innovation. » Geoffroy BOULARD, Vice-président délégué à la Communication et à l'Innovation NumériqueCalendrier prévisionnel de la 3e édition :6 mai 2021 : Lancement de la consultation auprès des communes et partenaires jusqu'au 30 juin 2021Septembre 2021 : Annonce des sites retenus et ouverture des candidaturesPrintemps 2022 : Désignation des lauréatsLes chiffres-clés des deux précédentes éditions :77 sites répartis dans 70 communesPlus de 2860 places de stationnement vélo développées26 projets inscrits dans une démarche d'économie circulaire6,5 hectares dédiés à l'agriculture urbaine15,6 hectares de surfaces végétalisées6,5 hectares d'espaces extérieurs à usage public13 000 logements programmés70% des projets sont situés dans un secteur de renouvellement urbain (secteur de Quartiers Prioritaires de la Ville)66% des projets participent à la mixité sociale10% des surfaces construites sont dédiées aux équipements et aux services46% des projets sont situés dans un rayon d'1 km autour d'une gare du Grand Paris Express
Il y a 4 ans et 42 jours

Carlita, la nouvelle assistante française des compagnons carreleurs

Avec son prénom de femme fatale, Carlita pourrait bien devenir l’alliée indispensable des carreleurs. Conçue par deux professionnels du BTP, cette machine assiste le professionnel dans la manipulation et la pose de carrelage grâce à un bras articulé. Une levée de fonds a été lancée pour son développement.
Il y a 4 ans et 42 jours

Équerre d'argent 2021: les candidatures sont ouvertes

Les candidatures pour participer à la 39e édition du palmarès de l'Equerre d'argent sont ouvertes ! Proposez vos réalisations avant le 10 septembre 2021. Décernée depuis 1983, le prix organisé par les rédaction du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 42 jours

Un autre acheteur dispute la propriété acquise par George Clooney

"Pour le cas où le vendeur passerait outre et vendrait néanmoins avec le concours d'un notaire le bien à une tierce personne, en l'occurrence M. Clooney, il règnera une incertitude sur le bien immobilier tant que le tribunal judiciaire de Draguignan n'aura pas tranché, c'est-à-dire dans un délai d'un an à quatre ans", a indiqué à l'AFP Me Guy Azzari, confirmant une information de Var-Matin."Le tribunal a bien été saisi en mars d'une assignation sous la constitution de Me Azzari contre les propriétaires vendeurs", a précisé à l'AFP le parquet de Draguignan, en précisant que dans cette procédure au civil, "les avocats des parties échangeront leurs pièces et conclusions avant que le dossier ne soit prêt pour être fixé pour plaidoirie à une audience publique, ce qui prendra plusieurs mois a minima".La mairie de Brignoles avait annoncé jeudi dernier que l'acteur américain allait devenir le plus célèbre administré de la commune en achetant le domaine du Canadel, qui abrite une bastide du 18e siècle, avec lac, piscine, tennis, vignes et oliviers, à une grosse demie-heure de route de deux autres stars d'Hollywood, le producteur George Lucas, propriétaire depuis 2017 du Château Margüi à Chateauvert et l'ex-couple Angelina Jolie et Brad Pitt, depuis 2008 au domaine du Miraval à Correns.Or, révèle Me Azarri dans son assignation, son client avait répondu en août 2020 à une annonce d'un conseil en immobilier de luxe pour un château, le fameux Domaine du Canadel. Mis en vente 6,9 millions d'euros, il affirme que la vente a été consentie le 17 août pour 6 millions d'euros, avec signature devant notaire prévue en novembre, avant que les vendeurs, un richissime couple australien très âgé résidant à Monaco, ne demandent une rallonge à 6,2 millions d'euros puis se rétractent.L'assignation cite l'annonce passée en août qui détaille les avantage du Domaine du Canadel, outre une possibilité d'y planter 21 hectares de vignes supplémentaires et plusieurs dizaines d'hectares d'amandiers. La propriété avec son château de 940 m2 tire des revenus de l'exploitation d'un parc solaire et d'une carrière et "la mairie est favorable à accorder un permis de construire pour un hôtel de luxe".
Il y a 4 ans et 42 jours

Lapeyre : l'homologation de la cession au fonds Mutares attendue le 1er juin

CESSION. Depuis novembre 2020, Saint-Gobain est entré en négociations exclusives avec Mutares pour vendre son enseigne Lapeyre. Lundi, une audience au tribunal de commerce de Paris avait lieu pour aborder l'homologation de la cession. La décision finale doit avoir lieu le 1er juin.
Il y a 4 ans et 42 jours

Comment Bouygues Bâtiment compte utiliser 50% de bois français en 2025

FILIÈRE BOIS. Utiliser 30% de bois français dans ses projets dès cette année, c'est la promesse de Bouygues Bâtiment France Europe. Explications avec Fabrice Denis, directeur général stratégie construction bois WeWood au sein de Bouygues Bâtiment France Europe, contacté par Batiactu.
Il y a 4 ans et 42 jours

Dupond-Moretti assume l'emploi du verbe "garantir" pour l'inscription du climat dans la Constitution

Suivant les préconisations de la Convention citoyenne sur le climat (CCC), il s'agit pour l'exécutif de graver à l'article 1er de la Loi fondamentale que la France "garantit la préservation de l'environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique"."Le gouvernement a bien pris acte des observations présentées notamment par le Conseil d'État (...), mais le gouvernement fait précisément le choix assumé d'une ambition forte en faveur de l'environnement", a déclaré le ministre à l'ouverture des débats en première lecture dans l'hémicycle du Sénat."L'emploi du verbe garantir marque justement la force de cet engagement", a-t-il poursuivi, alors que la majorité sénatoriale de droite s'oppose à ce terme, lui préférant le verbe "préserver"."Le projet instaure un véritable principe d'action des pouvoirs publics nationaux comme locaux en faveur de l'environnement et de la lutte contre le dérèglement climatique", a affirmé le ministre."Le gouvernement affirme et assume que la portée juridique de la protection de l'environnement doit évoluer, que ce qui est aujourd'hui un objectif puisse devenir demain une obligation", a-t-il encore dit."Le gouvernement assume pleinement l'ambition de ce projet mais affirme qu'il s'agit néanmoins d'un projet équilibré", a également déclaré M. Dupond-Moretti.Selon lui, il évite l'écueil "de faire de l'environnemental l'impératif suprême qui s'imposerait à tout autre considération". Mais aussi celui de "répéter le droit existant en n'apportant aucune plus-value", ce que propose selon lui "le projet alternatif" de la droite sénatoriale.
Il y a 4 ans et 42 jours

Bois : Saint-Gobain en négociations exclusives pour racheter Panofrance

ACQUISITION. Le groupe Saint-Gobain annonce être entré en négociations exclusives avec Chausson Matériaux dans le but d'acquérir Panofrance, une enseigne spécialisée dans la distribution de produits bois, panneaux, agencement, menuiseries.