Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 53 jours

Le bois à tout prix

La construction bois progresse en France et le recours à ce matériau devrait s'amplifier avec l'application de la RE2020. Outre son atout écologique, son intérêt économique s'impose au fil des opérations.
Il y a 4 ans et 53 jours

L’Afpa encourage les femmes qui osent !

Les 7 lauréates de gauche à droite : Cécile Dubois, Harmony Delacour, Marine Montin, Lisa Marteau, Florbela Loureiro Da Rocha Gil, Denitsa Hristova, Sylvie Linxe. [©Johanne Goudstikker] L’agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) se mobilise pour l’égalité professionnelle et la mixité des métiers. Opérateur majeur de la formation en Europe, l’Afpa a lancé un concours destiné à valoriser les femmes ayant choisi une formation dans un métier accueillant moins de 30 % de la gent féminine. Intitulé les “Trophées Afpa Métiers pour ELLES”, cet évènement est l’occasion d’inciter et d’encourager les femmes à s’ouvrir à des métiers encore stéréotypés. Les deux seules conditions pour participer étaient de suivre une formation dans des secteurs comme le BTP, l’industrie, les transports, la logistique ou encore l’informatique. Et d’être en stage à l’Afpa à la date de candidature. Un engagement pour l’évolution des genres dans les métiers Quelque 250 candidatures ont été examinées par un jury composé de 11 experts de l’entreprise, du sport ou encore de l’université. Mais seulement 7 femmes ont été désignées lauréates. « Cet évènement spécial met en valeur des femmes qui osent surmonter les préjugés et les difficultés. Et qui choisissent de se former à un métier dit “masculin” », déclare Pascale Gérard, directrice innovation sociale à l’Afpa. L’un des objectifs du gouvernement est de faire passer de 12 % à 30 %, d’ici 2025, la part des métiers considérés comme mixtes. Aujourd’hui, il existe 87 familles professionnelles. Et pourtant dans seulement 12 d’entre elles se trouvent 50 % de femmes. Aujourd’hui, leur présence reste concentrée dans les métiers du service, de l’éducation et du social. « Ces femmes font bouger les lignes, aussi bien chez nos formateurs, leurs collègues et leurs employeurs, indique Pascale Gérard. Dans cette ambiance de crise, nous avons voulu, avec cette première édition des Trophées, apporter une touche d’espoir aux femmes qui, on le sait, sont aussi les plus pénalisées en période de crise. » 7 trophées pour 7 femmes lauréates Quelque 7 femmes ont été honorées à travers 7 trophées : • Le trophée Sensation’Elle récompense une femme « bien dans ses baskets et dans sa formation ». Il a été attribué à Lisa Marteau, âgée de 33 ans et habitant en Nouvelle-Aquitaine. Elle suit une formation d’agent d’entretien du bâtiment. • Le trophée Passion’Elle récompense une femme, « qui sait ce qu’elle veut, s’y tient et ne lâche rien ». Il a été attribué à Denitsa Hristova, âgée de 28 ans et habitant en Ile-de-France. Elle suit une formation de technicienne électro-mécanicienne automobile. • Le trophée Pluri’Elle récompense une femme en reconversion. Il a été attribué à Sylvie Linxe, âgée de 53 ans et habitant en Occitanie. Elle suit une formation de développeuse web. • Le trophée Essenti’Elle récompense une femme « qui a confiance en elle et qui devenue indispensable au groupe de travail ». Il a été attribué à Cécile Dubois, âgée de 33 ans et habitant en Nouvelle-Aquitaine. Elle suit une formation de peintre en bâtiment. • Le trophée Profession’Elle récompense une femme « au grand potentiel professionnel brillant par ses réalisations et son investissement ». Il a été attribué à Harmony Delacour, âgée de 33 ans et habitant dans le Centre – Val de Loire. Elle suit une formation d’agente de sûreté sécurité privée. • Le trophée Exception’Elle récompense une femme pionnière, « qui ouvre la voie dans un métier où la place des femmes est particulièrement rare ». Il a été attribué à Florbela Loureiro da Rocha Gil, âgée de 43 ans et habitant en Provence – Alpes – Côte d’Azur. Elle suit une formation d’installatrice thermique et sanitaire. • La mention Univer’Elle correspond au prix spécial du jury. Elle a été attribuée à Marine Montin, âgée de 31 ans et habitant dans le Grand Est. Elle suit une formation de conductrice de transport routier de marchandises sur tous véhicules. Chacune de ces lauréates recevra une dotation de 1 000 €.
Il y a 4 ans et 53 jours

Apprentissage : les métiers à l'honneur partout en France jusqu'à la fin de l'année

MÉTIERS. Les épreuves de sélection des filiales nationales de la 46e édition de WorldSkills France reprendront à compter du 30 mars pour s'étaler jusqu'au 16 octobre. En dépit des contraintes sanitaires, les organisateurs veulent continuer à communiquer sur les métiers représentés, notamment ceux du bâtiment.
Il y a 4 ans et 53 jours

Autodesk acquiert un expert des logiciels d'infrastructures hydrauliques

ACQUISITION. L'éditeur de logiciels, Autodesk, vient de racheter un expert américain des logiciels d'infrastructures hydrauliques pour un milliard de dollars.
Il y a 4 ans et 53 jours

Plusieurs députés dénoncent un débat tronqué sur le projet de loi climat

Ce texte est passé en revue en commission spéciale depuis lundi et pour deux semaines, avant son passage dans l'hémicycle à compter du 29 mars.L'ancienne ministre de l'Ecologie Delphine Batho (non inscrite) a dénoncé devant la presse des conditions de travail "surréalistes" en commission avec un nombre de places limitées en raison des règles anti-Covid."Il y a un problème très concret de places: la commission a 71 membres, il y a 51 places dans la commission (...). Il y a des députés qui ne peuvent pas venir siéger", a abondé Damien Abad, chef de file des députés LR, lors d'une conférence de presse.Mme Batho ainsi que Matthieu Orphelin, autre député de sensibilité écolo, s'alarment en outre de "l'interprétation brutale des dispositions de l'article 45 de la Constitution" qui permet de retoquer des amendements jugés hors sujet. Ils affirment que 55% des amendements jusqu'ici traités par les services de l'Assemblée ont été jugés irrecevables."L'écoprêt pour changer de véhicule, la régulation de la publicité, la rénovation énergétique, la consommation durable: tous ces sujets, nous ne pourrons pas en débattre", a regretté M. Orphelin.Pour sa part, la présidente de la commission spéciale Laurence Maillart-Méhaignerie (LREM) regrette une position "polémique" sur l'irrecevabilité. Et concernant les places, c'est aux groupes politiques de "définir les jauges" et "nous sommes tous soumis à cette contrainte", a-t-elle déclaré lundi soir en commission.En outre, pour l'examen dans l'hémicycle, un temps législatif programmé de 45 heures a été fixé mardi en conférence des présidents de l'Assemblée. Ce temps, réparti entre les groupes politiques, va réduire à la portion congrue les interventions des députés non-inscrits comme Mme Batho et M. Orphelin."C'est une manipulation de plus pour tenter de museler ceux qui veulent porter haut l'écologie", a regretté M. Orphelin, ex-député LREM.Les deux députés donnent rendez-vous le 28 mars dans les manifestations à l'appel de membres de la Convention citoyenne pour le climat mécontents du texte présenté par le gouvernement.
Il y a 4 ans et 53 jours

effeff France renforce sa présence dans l’environnement de la fermeture et du bâtiment

Proximité et modernitéPour répondre à de tels enjeux, à partir du 1er avril 2021, la société effeff, basée en Alsace va renforcer sa présence en France et sa proximité géographique, en disposant d’un ESPACE SHOWROOM implanté à PARIS.Cet espace d’exposition permanent, destiné à promouvoir les solutions de fermeture sera intégré dans un espace coworking spacieux, moderne et connecté, sur deux niveaux, pouvant accueillir les clients, les donneurs d’ordres, les prescripteurs et les partenaires sécurité de la société.Collaboration et innovationSitué dans le 11ème arrondissement de Paris, dans un environnement où les métiers de l’architecture sont très présents, cet ESPACE COWORKING facilitera les rencontres avec les partenaires sur le territoire national et contribuera à augmenter les manifestions et rencontres.Un espace collaboratif avec des espaces dédiés, des salles de réunions, un espace d’exposition permanente sur les solutions de fermeture, permettra de vous faire bénéficier de l’expertise d’effeff France mais aussi des compétences des spécialistes de la fermeture et de l’enveloppe du bâtiment dans un lieu unique et dans un environnement collaboratif agréable.En effet, la synergie et l’expérience apportée par la présence d’autres acteurs importants et reconnus dans l’univers du bâtiment : FORSTER, REYNAERS ALUMINIUM, sera porteur de nouveaux projets ambitieux et de nouvelles solutions globales de sécurité.Rencontre et échangesCet espace ouvert est un lieu de vie agréable et pouvant accueillir tous types d’évènements (formations, réunions, petit déjeuner, afterworks…) dans une ambiance conviviale et chaleureuse.Ces rencontres seront également facilitées par la proximité des transports en commun, un parking visiteurs et la proximité des restaurants, hôtels et bars…Si vous souhaitez découvrir CE SHOWROOM et les dernières innovations produits de effeff France, n’hésitez pas à prendre contact avec un interlocuteur pour convenir d’une date de rencontre sur PARIS en suivant ce lien.
Cimbat
Il y a 4 ans et 53 jours

Vision 2025 : Ingérop se met en sept

Pour répondre aux ambitions de son nouveau projet d’entreprise Vision 2025 qui s’appuie sur 7 axes (l’écologie, le numérique, les talents, les services, l’excellence opérationnelle, l’international et l’innovation), Ingérop a décidé de se structurer autour de 7 activités - bâtiment, eau, énergie-industrie, infrastructure mobilité, transport, ville - dotées chacune de 7 directeurs en charge de la stratégie, du développement, de la coordination et du pilotage de leur périmètre.
Il y a 4 ans et 53 jours

Artibat, un rendez-vous très attendu

Le très attendu salon Artibat prend ses marques et attend encore des exposants. [©Artibat] Avec déjà plus de 700 inscrits, soit 85 % des 65 000 m2de surface d’exposition, le salon Artibat 2021 prend ses marques. Il se tiendra les 13, 14 et 15 octobre prochains au Parc des expositions de Rennes. D’autres exposants sont encore attendus ! A chacun de faire ses choix… Cet évènement incontournable de la filière sera le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie. Il est donc très attendu par les exposants, tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels de la construction que pour le business qu’il génère. Pareil du côté des visiteurs ! Artibat s’annonce comme LE rendez-vous très attendu par la profession, surtout après cette année si particulière.  Un lieu d’échanges  Les visiteurs (40 000 espérés) connaissent bien le salon et apprécient ce qu’ils viennent y trouver. A savoir le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés. Le programme prévoit aussi les innovations de 15 start-up sélectionnées, des prises de parole d’architectes, de fabricants et d’institutions. Mais aussi une expérience immersive dans une installation temporaire, déployée sur 130 m², grâce au partenariat engagé avec HB Développement… « C’est grâce à la confiance de nos exposants que nous gardons le cap et l’envie de préparer un salon exceptionnel pour la fin de cette année. L’éclaircie se devine sur le second semestre et l’équipe est pleinement mobilisée. Ceci, afin d’accompagner les exposants dans leurs préparatifs, organiser les projets ambitieux qui font l’actualité du bâtiment. Et bien sûr, veiller au respect des mesures sanitaires indispensables au rassemblement de plus de 40 000 professionnels. Nous avons hâte de tous vous retrouver. Rendez-vous en octobre 2021 à Rennes ! », a déclaré Valérie Sfartz, directrice du salon Artibat.
Il y a 4 ans et 53 jours

Bordeaux inaugure sa première micro-forêt destinée à "casser le bitume"

"On n'est pas là depuis longtemps mais on commence à casser le bitume. C'est une plus-value pour tout un quartier, il y a une obligation de créer des îlots de fraîcheur", a expliqué le maire de Bordeaux devant la presse après avoir planté le premier chêne de cette nouvelle place."Un espace de 100m2 de forêt réduit de un degré la température dans les rues adjacentes", a affirmé Pierre Hurmic, rappelant qu'une "dizaine de micro-forêts" similaires étaient à l'étude à l'échelle de la métropole bordelaise.Encore en cours de plantation, cette place de 180m2 dans un quartier résidentiel du sud de Bordeaux, doit accueillir une micro-forêt très dense constituée de 600 plants forestiers, comprenant 25 espèces d'arbres et une soixantaine d'herbacés différents, pour un coût total de 50.000 euros, selon la mairie. "La plantation est un acte altruiste", explique Christophe Dangles, responsable du service arbre et forêt à Bordeaux métropole. "On plante pour les générations suivantes", poursuit-il, précisant que cette place "imaginée comme un décor" n'était pas vouée à accueillir du public.Sur place, les riverains accueillent sans véritable enthousiasme ce nouvel aménagement, à l'origine de la suppression de "13 places de parking" selon Cyrille, installé depuis une quinzaine d'années dans le quartier, "pas content" de devoir payer "15 euros par mois pour chercher une place de stationnement" (résidentiel).Michel, 69 ans, propriétaire d'une maison donnant sur la future micro-forêt, est "plutôt favorable" au projet mais le retraité regrette une décision politique "sans concertation" pour planter "des chênes qui vont mettre 30 ans à pousser"."Il faudra plusieurs dizaines d'années avant d'avoir un arbre adulte", concède Didier Jeanjean, adjoint au maire en charge de la nature en ville, conscient de "changer les habitudes" après des "décennies de culture de la voiture".Cette première micro-forêt est conçue comme la première "déclinaison" de la stratégie de végétalisation de l'espace public portée par Pierre Hurmic, visant à "passer d'une ville très minérale à une ville plus végétale".Fin 2020, la municipalité avait présenté son plan "Bordeaux grandeur Nature" prévoyant notamment le triplement du budget consacré aux plantations, fixé à 300.000 euros, et la protection d'espaces en friche de la bétonisation.
Il y a 4 ans et 53 jours

Foamglas, un isolant incompressible et étanche

Foamglas, un isolant incompressible et étanche, offrant une isolation thermique durable. [©Foamglas] L’isolation thermique constitue le premier facteur d’économie d’énergie. Pour mieux isoler les bâtiments à faible consommation d’énergie, le positionnement de l’isolation thermique à l’extérieur des parois enterrées joue un rôle essentiel. L’isolant utilisé est choisi en fonction de ses performances qui conditionnent la pérennité thermique de la construction. Mais ce dernier est soumis à des contraintes de charges, aux insectes ou encore à l’humidité. Le produit Foamglas a été conçu pour répondre à toutes ces problématiques. De par ses bulles de verre étanches à l’air, à la vapeur et à l’eau, cet isolant protège les dalles basses en béton et les murs enterrés. Comment utiliser l’isolant Foamglas ? Foamglas a l’avantage de convenir à une application verticale et horizontale. En fonction de sa référence (T3+, T4+, S3 et F), l’isolant affiche un lambda allant de 0,036 W/m.K à 0,05 W/m.K. Pour l’isolation sous radier, les panneaux Foamglas sont posés librement sur une couche d’égalisation ou sur un béton propre. La mise en œuvre se fait à joints secs et serrés avant celle du radier en béton armé. Sa résistance à la compression (jusqu’à 160 t/m2 avec Foamglas F) et son incompressibilité apportent, dans ce cas précis, des solutions thermiques, mais aussi structurelles. En ce qui concerne l’utilisation en isolation sous dalle basse portée, il s’agit du même procédé. Les panneaux Foamglas sont posés, puis recouverts de la couche de désolidarisation et de la dalle basse. Foamglas a l’avantage de convenir à une application verticale et horizontale. [©Foamglas] Un produit responsable et durable Du côté de l’isolation des murs enterrés, la rigidité que propose l’isolant Foamglas permet de recevoir directement la terre ou avec un drainage approprié. Enfin, pour l’isolation en vide sanitaire, les panneaux sont collés et fixés avec des rupteurs de ponts thermiques sous la dalle en béton.   Foamglas s’inscrit aussi dans une démarche éco-responsable. En effet, il est composé à 66 % de verre recyclé provenant de pare-brise et de fenêtres. Lors de la déconstruction des ouvrages, le verre cellulaire est en capacité d’être réutilisé à l’infini. De plus, l’isolant Foamglas est fabriqué par des énergies propres hydroélectriques ou éoliennes.
Il y a 4 ans et 53 jours

Alkern, leader des produits préfabriqués en béton, prêt pour le bas carbone et la RE2020

Ainsi, si en 2010 l'industriel affichait un CA de 122 millions d'euros avec près de 650 salariés, Alkern réalise aujourd'hui plus de 200 millions de CA avec un millier de collaborateurs, soit un doublement de sa taille en l'espace de 10 ans.Reconnaissons d'ailleurs le savoir-faire d'intégrateur du Groupe Alkern qui cible chaque acquisition, permet à des sociétés parfois sans succession de perdurer et de se développer au sein d'un groupe prônant la sécurité et la performance.Précisons que ce chiffre d'affaires est réalisé à 90% en France et 10% en Belgique, et qu'il est généré par trois domaines principaux d'expertise :le bâtiment avec une large gamme de solutions en béton pour la construction de maisons individuelles et bâtiments collectifs (blocs béton, poutres, planchers, appuis de fenêtre,…) qui représente 45% du CA ;l'aménagement extérieur : terrasses, pavés, margelles, pour 30% ;et les TP (voirie, aménagement urbain, assainissement et réseaux secs) à hauteur de 20%.Avec 51 sites répartis sur le territoire hexagonal (et 2 en Belgique), Alkern, dirigé depuis début 2020 par Xavier Janin, produit 100% localement et revendique désormais, par exemple, la fabrication de plus de 2 blocs béton par seconde.Cette production locale et le maillage densifié des usines Alkern s'accompagnent aussi d'une importante R&D. Un département qui se focalise notamment sur la réduction de son impact environnemental, tout en apportant des solutions aux problèmes majeurs d'aménagement du territoire (performance thermique des bâtiments, gestion des eaux de ruissellement, réduction des îlots de chaleur urbains…).Xavier Janin, président d'Alkern depuis 1 an, précise : « Nous avons la particularité de pouvoir intervenir sur toute la chaîne de décision : depuis la conception jusqu'à la livraison sur site. Nous avons 53 usines et des bureaux d'études, qui nous permettent, en amont des projets, d'assister les maîtres d'œuvre et les maîtres d'ouvrage à dimensionner nos offres pour leurs projets et leurs besoins. »La Proximité, le credo ALKERNLe marché de la préfabrication béton exige une grande proximité avec les clients, afin de répondre au mieux aux attentes régionales (formats, couleurs, réglementations, etc.) et apporter une assistance technique adaptée. Grâce à son maillage industriel particulièrement homogène, le Groupe Alkern répond parfaitement aux exigences de tous ses clients en leur proposant de larges gammes de produits, où qu'ils soient situés sur l'ensemble du territoire national. Les structures commerciales et administratives, décentralisées en région, favorisent et renforcent les relations directes entre le site de production et le client, créant ainsi un véritable gage de simplicité et d'efficacité dans les partenariats établis.2020 : Bilan d'une année hors normesAprès un démarrage dynamique en 2020, l'élan des premiers mois a été brutalement arrêté par la pandémie de COVID-19.Alkern a su réagir rapidement, suite à l'arrêt brutal de l'activité et s'organiser afin de reprendre les livraisons, à la demande de ses clients, sous une semaine.En terme d'activité, l'intérêt des ménages confinés pour leur extérieur s'est traduit par une croissance notable de l'activité Amex chez Alkern (+20% entre juin et décembre 2020 versus 2019). Le rattrapage des chantiers arrêtés et la mise en place de protocoles sanitaires plus simples sur les chantiers de maisons individuelles ont aussi permis à Alkern de réaliser une croissance de 10% de son activité bâtiment, sur la même période. En revanche, la baisse du nombre de permis de construire sur le 2nd semestre est une alerte. Enfin, l'activité TP a pâti du report des élections municipales, du décalage des chantiers et du faible niveau d'appels d'offres, se traduisant par une baisse de l'activité de 20%, sur la fin d'année.En parallèle, devant cette situation exceptionnelle, 2020 a aussi été un accélérateur de modernisation avec la mise en place de nouvelles manières de travailler (outil de réunion à distance, digitalisation de certains process) et une organisation commerciale plus proche des clients.En résumé, Alkern a su faire face à une année 2020 compliquée et a permis de lancer des chantiers structurants pour l'entreprise.Xavier Janin de préciser : « Lors du premier confinement, nous avons arrêté toutes nos activités tout comme la majorité des acteurs du BTP. Cela étant, dès le 24 mars nous pouvions livrer nos clients avec des mesures sanitaires strictes et nous avons su, par la suite, répondre à la demande de rattrapage des chantiers qui avaient été mis en veille. D'un point de vue organisation et management, la crise de la Covid-19 a été un véritable accélérateur de décision. Le fait d'avoir travaillé dans un environnement instable et imprévisible, nous a en effet amenés à mettre en place des points quotidiens pour prendre des décisions de façon très rapide. Cela nous a forcé à repenser notre façon de travailler. Le virage digital a été pris au sein de notre organisation, là où nous n'avions pas conscience de nos limites avant les restrictions de déplacement imposées par la Covid-19. Ces technologies sont désormais devenues des standards pour nos réunions. Nous avons ainsi réécrit notre stratégie : la modernisation de l'entreprise, l'intensification de la prescription de nos produits, une R&D plus soucieuse de l'environnement et la poursuite de notre croissance externe, sont désormais les sujets qui nous mobilisent ».Indicateurs de performance environnementale Alkern 2020Alkern affiche une politique environnementale volontariste et soutenue qui sera encore renforcée sur les prochaines années. À travers les indicateurs détaillés ci-dessous, Alkern suit son impact environnemental et met en avant les avantages du matériau béton :La décarbonation des bâtimentsAinsi grâce à l'utilisation de blocs rectifiés Alkern à la place de blocs traditionnels ; l'économie de l'impact carbone représente l'équivalent de 28 millions de kilomètres parcourus en voiture en 2020. De même, mentionnons le remplacement de produits d'origine pétrochimique (PSE) par une mousse 100% minérale (partenariat Airium®), qui a permis l'économie de quelques 5.525 m3 de PSE, soit le volume moyen d'un immeuble de 20 étages.Produits s'inscrivant dans l'économie circulaireDe même, l'utilisation de matières premières recyclées (remplacement de granulats par de la coquille Saint-Jacques broyée par exemple), est à l'origine d'une économie de 2,2 tonnes de granulats. Tout comme la réutilisation des palettes qui permet de préserver 37 300 m3 de bois ou encore le recyclage de déchets de laine de roche qui a atteint 8 237 tonnes l'an dernier.Gestion de la ressource en eauLa gestion de la ressource en eau constitue un autre axe de la politique environnementale du groupe Alkern. Ainsi, la diminution de la consommation d'eau par l'utilisation des blocs joints minces vs blocs traditionnels a permis d'économiser l'équivalent de 4 piscines olympiques. Autre aspect écologique d'avenir, la diminution de l'imperméabilisation des sols: en effet, grâce à la gamme O' et ses 5 références drainantes, Alkern a aménagé quelque 78.385 m2 de surfaces perméables (soit 13 terrains de foot). Enfin, précisons que le stockage d'eau de pluie par l'Hydrocyl (destiné à la réalisation de chaussées réservoirs) a permis de créer le stockage de 1.400 m3 d'eau pluviale.RE2020 Alkern ready : cap sur la performance environnementale pour des bâtiments mieux isolés au moindre impact carboneAlkern, et ses équipes R&D, travaillent depuis longtemps sur la performance thermique et bas carbone de ses produits et a ainsi lancé toute une gamme de blocs béton rectifiés et majoritairement isolés. Ces blocs d'une résistance thermique entre 0,3 et 2,14 m2.K/W répondent aux enjeux de la RE2020 pour la maison individuelle. Pour le bâtiment collectif et l'enjeu de traitement des ponts thermiques, Alkern a lancé en 2020 le système R+MUR, solution économique de paroi bas carbone affichant une empreinte carbone entre -30 et -70% moindre que les solutions standard actuelles.L'engagement d'Alkern pour améliorer l'impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d'€ ont été investis sur les sites d'Izeaux (38) et Mouy (77), d'une part dans l'intégration d'une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d'autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100% minérale Airium®, permettant de proposer un bloc 100% recyclable, sans étape de tri.Objectif : certification ISO 14001 pour l‘ensemble des sites pour 2024Au-delà de la certification de l'intégralité de ses sites ISO 14001 pour 2024, Alkern s'engage dès cette année à ce que chacun de ses 51 sites français s'approprie pleinement l'un de ces objectifs : réduction de la consommation de matières premières, réduction des consommations d'énergie, réduction de la consommation en eau, réduction de la production de déchets et réduction de l'impact local des opération.A ce propos Xavier Janin confirme : « Avec cette R&D plus soucieuse de l'environnement, nous répondrons aussi aux nouvelles réglementations environnementales. À l'évidence, les bâtiments de demain seront plus vertueux et émettront moins de CO2. La diminution de l'impact carbone de nos processus de fabrication comme de nos produits est au cœur de nos préoccupations. Nous avons la chance d'avoir déjà avec les blocs préfabriqués en béton une des solutions la plus bas carbone du marché mais nous travaillons à lancer des solutions encore plus vertueuses pour garder un coup d'avance sur les solutions constructives alternatives. »Les leviers de croissance pour soutenir cette stratégie :Une nouvelle vitrine digitale pour particuliers et professionnelsLe digital, durant le confinement, a connu un essor important, et Alkern a décidé de prendre le virage de ces outils, tant pour ses clients BtoB, ses partenaires (réseaux de distribution et de poseurs/installateurs), que pour le BtoC. Ainsi, Alkern lance en 2021 une initiative e-business pour apporter plus de supports et de réponses à ses clients.La 1ère étape est le lancement, le 1er mars, du nouveau site internet Alkern, nouvelle vitrine digitale présentant l'ensemble de l'offre.Plus moderne, développé en responsive design, le nouveau site web Alkern présente l'ensemble des produits fabriqués par Alkern, et fournit également aux visiteurs des contenus pédagogiques et utiles pour le choix des produits et leurs mises en œuvre.Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, Alkern emploie plus de 1.000 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires de plus de 200 millions d'euros. Le Groupe s'appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l'aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 53 jours

Matières premières : flambée des prix et risques de pénurie

Des prix en hausse parfois violente, des risques de pénurie, les matières premières entrant dans la construction subissent un rude contre-coup de la crise sanitaire : acier, bois, polystyrène, PVC, polyuréthane... Le Moniteur fait le tour de la question, avec Négoce, Le Moniteur des Artisans et Stores et Fermetures.
Il y a 4 ans et 53 jours

« D'un clic sur un objet BIM, l'utilisateur connaît son potentiel de réutilisation », Elma Durmisevic, architecte

Architecte néerlandaise fondatrice de l’agence 4D, Elma Durmisevic planche depuis 20 ans sur la réversibilité des bâtiments comme sur le réemploi de leurs matériaux. Des travaux qui lui ont permis de concevoir un outil BIM spécifique.
Il y a 4 ans et 53 jours

Début des travaux de raccordement du parc éolien marin du Calvados

Il s'agira du 4e parc offshore à entrer en France, en retard dans ce domaine. Le premier doit être mis en service en 2022 au large de Saint-Nazaire. Suivront, en 2023, ceux de Fécamp et de Saint-Brieuc.Dans le Calvados, le chantier a démarré la semaine dernière. Il prévoit notamment l'installation de 15 km de liaison sous-marine à haute tension (creusée pour les deux tiers dans un fond rocailleux) et 24 km de liaison terrestre souterraine, afin de relier le parc au poste électrique de Ranville, agrandi pour l'occasion.Le budget de ce chantier de raccordement s'élève à 210 millions d'euros, a indiqué Jacques Frémaux, le directeur du projet, lors d'une conférence de presse.Fourniture de béton (1.600 camions toupies), aménagements paysagers, terrassement... RTE souligne les retombées économiques pour les entreprises de la région: 25 millions d'euros (12% du budget).Le gestionnaire du réseau insiste sur la concertation avec les riverains, pêcheurs, agriculteurs, tant sur le tracé que sur le planning: pas de chantier pendant la saison touristique ni pendant la période de pêche à la coquille Saint-Jacques et un tracé terrestre le plus court, suivant des chemins agricoles.In fine, le parc de 64 éoliennes, porté par EDF Renouvelables et l'européen wpd, aura une puissance installée de 450 mégawatts (MW), ce qui est l'équivalent approximatif de la moitié d'un réacteur nucléaire, ou l'équivalent de la consommation domestique de 630.000 personnes.En dépit de sa vaste façade maritime, la France accuse du retard dans l'éolien marin, lié à un mélange de difficultés réglementaires et de recours juridiques: sept projets offshore "posés" (sur le plancher marin) ont été attribués, certains depuis 2012, mais aucun encore réalisé.En Normandie, outre le Calvados et Fécamp, un 3e site est prévu au large de Dieppe. Un 4e, dans le Cotentin, doit être attribué en 2022.La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili doit annoncer prochainement la localisation du premier parc flottant, au sud de la Bretagne.La France prévoit 40% d'électricité d'origine renouvelable d'ici 2030. Mais le rythme d'installation reste insuffisant.
Il y a 4 ans et 54 jours

RÉSEAU LORENOVE, BILAN DE LA 1ÈRE CONVENTION DIGITALE DES CONCESSIONNAIRES LORENOVE

CETTE CONVENTION 2021 EST TOUT À FAIT INÉDITE PUISQUE POUR LA 1ÈRE FOIS DE SON HISTOIRE LE RÉSEAU A PARTAGÉ CE MOMENT À DISTANCE. DANS LA CONTINUITÉ DE L’ANNÉE 2020, LE RÉSEAU LORENOVE S’ADAPTE AU CONTEXTE ET SE FAÇONNE AU GRÉ DES CONTRAINTES. AINSI, C’EST UNE CONVENTION DIGITALE, TOURNÉE DANS LE STUDIO BY CM’IN À CHARTRES, ET DIFFUSÉE SUR LA WEB TV DE CM’IN CHARTRES.LIVE, À LAQUELLE LES CONCESSIONNAIRES ET AGENCES INTÉGRÉES LORENOVE ONT ASSISTÉ LE 2 FÉVRIER DERNIER. 2020 a été marquée par la crise sanitaire qui a bousculé l’ensemble du marché de la fenêtre. Pour le réseau Lorenove, elle a été synonyme de responsabilité, d’engagement, et de professionnalisation. De responsabilité parce que la tête de réseau et le Groupe Lorillard ont mis en œuvre tous les moyens pour soutenir et assister les concessionnaires, auprès desquels ils ont mené un gros travail d’accompagnement. L’appartenance au Groupe a permis aux membres du réseau de bénéficier d’un soutien renforcé avec notamment des conseils de gestion et un suivi de trésorerie. D’un point de vue réglementaire, le Groupe a également tout mis en œuvre – avec les équipes internes et notamment le service HSE – pour instaurer et organiser les mesures barrières indispensables afin de garantir la sécurité des collaborateurs et celle des clients. Et, fort de cet accompagnement, le réseau n’a pas perdu un seul membre. Le chiffre d’affaires a même été maintenu, et la performance globale du réseau est bien meilleure que celle du marché. L’année 2020 a également été synonyme d’engagement pour la croissance du réseau, avec la mise en place de solutions inédites ou moins utilisées jusqu’à présent : investissement supplémentaire sur des leviers de communication digitale, formations en e-learning, communication intra-réseau au moyen de l’application MyLorenove, organisation de rencontres digitales, campagnes de marketing direct par e-mailing, sms ou messages vocaux, création de vidéos tutorielles, etc. Enfin, l’année 2020 a été synonyme de professionnalisation, avec une montée en compétences des membres du réseau par une offre de formations commerciales et techniques largement renforcée, et un accès à ces formations simplifié pour tous.   UN RÉSEAU CONFIANT Le bon démarrage de ce début d’année fait écho aux enquêtes de l’Observatoire Cetelem et Opinion Way qui traduisent une tendance des particuliers à aménager et rénover leur habitat. En effet, selon l’observatoire Cetelem, suite au confinement et à l’augmentation du télétravail, 63 % des clients estiment accorder plus de temps à leur confort, 72 % à l’aménagement de leur domicile, et 83 % font plus attention à l’achat de produit « Made in France ». De son côté, Opinion Way annonce que 85 % des français souhaitent faire baisser leur facture énergétique. Et, 1 français sur 2, estime que le changement de ses menuiseries est le premier élément de rénovation qu’il engagerait. Fortuitement, ces enquêtes reflètent le climat positif et serein qui règne au sein du réseau Lorenove, avec des clients enclins à rénover leurs menuiseries. Une tendance déjà engagée sur les derniers mois de l’année 2020 avec une très belle progression commerciale du réseau sur novembre et décembre : + 55 % de ventes par rapport à N-1. La sérénité c’est aussi le mot d’ordre du réseau qui, on peut le dire, enregistre une croissance prometteuse. 3 nouveaux arrivants (Aveyron nord, Loire et Pyrénées Atlantique) ont rejoint le réseau en 2020, et une nouvelle concession a déjà ouvert au Mans le 25 janvier dernier. Également, le directeur du réseau Gérard Coron-Dall’o recrute actuellement pour son équipe un développeur réseau et un animateur pour la région ouest. En 2021, le développement reste la priorité du réseau, tant au niveau de l’ouverture de nouveaux points de vente, qu’au niveau de la croissance des concessions en place. Lorenove a des objectifs à la hauteur de ses ambitions, et met en oeuvre des moyens adaptés en matière de formations et d’accompagnement des nouveaux entrants. Des projets sont bien avancés pour ce premier semestre avec 2 contrats signés pour des ouvertures dans les prochains mois et 3 DIP (Documents d’Information Précontractuels) signés par des candidats ayant manifesté un fort intérêt pour le modèle Lorenove. Et, la première participation de l’enseigne aux Rencontres Digitales de la Franchise le 11 mars prochain, lui permettra d’intensifier les potentiels contacts. De gauche à droite Thierry Luce, Président du Groupe Lorillard et Gérard Coron-Dall’o Directeur du réseau Lorenove. De gauche à droite, Paul Moriaud, animateur réseau région Sud, Nathalie Careaux, animatrice réseau région Nord-Ile de France et Gérard Coron-Dall’o Directeur du réseau Lorenove.   UNE OFFRE DE FORMATIONS RENFORCÉE Le 2ème axe prioritaire de l’enseigne est la formation. Des formateurs internes assurent une partie des modules proposés, et Lorenove s’est adjoint l’expertise d’un institut de formation pour les autres modules. En 2020, l’enseigne a consacré d’importants moyens à ce sujet, et proposait une offre de formations déjà très complète sur des sujets variés : commerce, pose, technique, finance, etc. Miser sur les compétences, faire performer les équipes, les faire évoluer et les challenger, tels sont les mots clé du management Lorenove. Ses efforts se poursuivent donc en 2021 avec 4 nouveaux modules de formations, soit 9 modules au total, pour s’adresser à tous les types de profil rencontrés dans le réseau : – LoreVente niveau expert : cette formation commerciale spécifique à l’enseigne Lorenove se dote d’une nouvelle version pour les commerciaux plus chevronnés. – Management : destinée aux dirigeants des concessions et à leurs salariés ayant une fonction d’encadrement, elle se focalise sur le leadership et la communication managériale. – Communication verbale et non verbale : sur la base de tests et d’exercices pratiques, cette formation permet aux profils commerciaux de maîtriser les techniques de communication. – Gestion des contacts entrant et qualification : ce module, qui s’adresse aux assistants commerciaux, est proposé en distanciel. En outre, 4 modules de formation e-learning, développés en 2020 et portant sur les gammes Twinéa 2, Khelys, et Evasion, et sur le dispositif d’aide financière MaPrimeRénov, sont également disponibles. Les modules relatifs aux gammes de menuiseries proposent une formation commerciale sur les produits, la présentation des gammes, les options, les bénéfices clients, un benchmark concurrentiel, mais offrent surtout la possibilité d’une mise à niveau pour les nouveaux arrivants. En 2020, les résultats ont été très satisfaisants : plus de 70 participants ont pris part aux 5 modules de formations présentielles. En 2021, 16 sessions de formations présentielles sont d’ores et déjà planifiées, et pourront accueillir 6 à 9 personnes, selon les modules.   GARANTIR L’OPTIMISATION DU RÉSEAU, TANT SUR L’ANIMATION QUE SUR LE DÉVELOPPEMENT La philosophie du réseau Lorenove c’est aussi des méthodes partagées par tous, une intelligence collective, la transmission des bonnes pratiques. En ce sens, l’enseigne favorise l’utilisation de nouveaux outils pour optimiser la croissance des concessions existantes et le développement du réseau, en ayant intégré en juin dernier la solution de géomarketing Easy Retail. Chaque animateur de région a pris en main cet outil, et va le mettre en place auprès des concessionnaires dont il a la charge. Ils pourront ainsi analyser leur secteur commercial pour exploiter au mieux leur territoire en croisant les performances commerciales réalisées avec des informations démographiques, les revenus, le type d’habitat, le nombre de propriétaires par commune, la tranche CSP, etc. La Convention annuelle Lorenove a également été l’occasion d’élire les représentants du Comité de pilotage interne H2E « Humain Enviable et Engagé ». Composé de concessionnaires, d’un représentant des agences intégrées et du Directeur du réseau, il fait l’objet d’élections tous les 2 ans. Cette année, 3 concessionnaires déjà membres durant le précédent mandat ont été réélus, et 2 nouveaux représentants ont fait leur entrée au sein du Comité. Autre temps fort de cette convention digitale, la traditionnelle remise des Trophées de la Performance a récompensé les membres du réseau dans 6 catégories différentes : – Trophée du meilleur chiffre d’affaires concessions : Sevestre Menuiseries à Bourges (18) – Trophée du meilleur chiffre d’affaires agences intégrées : Agence de Luisant (28) – Trophée de la meilleure progression des achats Lorenove : N’Co à Dreux (28) – Trophée du dynamisme sur les réseaux sociaux : AixPert Menuiseries à Venelles (13) – Trophée du meilleur taux de transformation sur les contacts web : Le Menuisier Alpin à Gap (05) – Trophée coup de cœur : Bati Menuiseries Fermetures à Moissy Cramayel (77). La campagne promotionnelle « Un début d’année serein » qui a eu lieu entre le 16 et 30 janvier dernier, a donné le coup de d’envoi d’une année 2021 avec une forte dynamique commerciale. Le dynamisme du réseau s’illustre aussi au travers de ses adhérents. Chez Lorenove, ils ne sont pas en reste : nombreux sont ceux à entreprendre cette année la rénovation de leur point de vente, ou à le déménager dans un emplacement à plus fort potentiel. Ainsi, c’est l’ensemble du réseau qui adopte une dynamique commune et volontaire, en s’adaptant au contexte, en innovant, et en se réinventant, pour relever les prochains défis qui s’annoncent et proposer la meilleure expérience client aux particuliers qui font appel à eux.
Il y a 4 ans et 54 jours

Grand Paris Express : le nouveau patron de la SGP affirme que le projet "ira au bout"

INFRASTRUCTURES. Le très probable nouveau président de la Société du Grand Paris, Jean-François Monteils, a reconnu que le chantier tentaculaire du Grand Paris Express subirait encore "de nombreuses vicissitudes" mais qu'il serait conduit à terme. Le candidat désigné par l'exécutif ne s'est toutefois pas prononcé sur des prévisions d'ouverture de lignes.
Il y a 4 ans et 54 jours

"Où passent-elles les jeunes diplômées talentueuses?", Nicolas Dorval-Bory, architecte

Alors que la place des femmes architectes dans la profession est encore à valoriser, l'architecte Nicolas Dorval-Bory s'interroge sur les modalités d'action qui s'offrent au monde de l'architecture pour viser la parité.       On Wed, Feb 3, 2021 at 5:41 PM Nicolas Dorval-Bory wrote:   Chère Léa,   […] Lire l'article
GDA
Il y a 4 ans et 54 jours

Warmango.fr présente sa nouvelle application mobile et un podcast pour les artisans du bâtiment

Elle était réclamée par ses plus de 10.000 clients, l'application mobile Warmango.fr est désormais disponible sur IOS et Android. L'équipe de Warmango.fr se félicite d'avoir su répondre à l'un des besoins majeurs de ses clients artisans : la rapidité d'achat. Qu'ils soient sur chantier ou au bureau, ils peuvent désormais commander rapidement et simplement sur cette toute nouvelle interface.Dans le même temps, l'équipe communication de Warmango.fr a développé son propre podcast intitulé : dans l'utilitaire d'un pro du bâtiment. On y retrouve des artisans expliquant leurs parcours mais aussi des conseils concernant la gestion de son entreprise. On discute également produit dans ces cours épisodes de 15 minutes : les marques préférées de l'artisan ou ses astuces sur les chantiers pour gagner en efficacité.Le podcast est à retrouver sur notre blog et prochainement sur toutes les plateformes de streaming.
Il y a 4 ans et 54 jours

Construction de Piscine : le secteur recrute du personnel de chantier ou "techniciens de piscine"

Le secteur des piscines passe à la vitesse supérieure dans la création d’emplois et la formation en France, selon la fédération du secteur, la FPP.
Il y a 4 ans et 54 jours

Alkern, leader du béton préfabriqué, veut doubler de taille d’ici 2030

Xavier Janin, président du groupe Alkern, leader français du béton préfabriqué, se prépare aux défis de la RE 2020 tout en envisageant de doubler la taille de la société d’ici 2030.
Il y a 4 ans et 54 jours

Isone® 2, le clapet coupe-feu qui simplifie l’installation et garantit la sécurité des occupants et des bâtiments

Pour garantir une sécurité maximale à tous les occupants, Aldes a conçu ISONE® 2 : une nouvelle gamme de clapets coupe-feu, 100% conception et fabrication française, pour qu’il n’y ait plus de compromis à faire entre sécurité et simplicité.ISONE® 2 est une gamme de clapets coupe-feu répondant à tous les besoins de compartimentage. Elle est optimisée pour faciliter la mise en œuvre et répondre aux exigences réglementaires. Les clapets ISONE® 2 sont faciles à sélectionner, à installer et à maintenir.
Il y a 4 ans et 54 jours

Quatre industriels de l'acier, ciment, brique et isolants dénoncent le "dogme" du bois

Les dirigeants de quatre entreprises d'acier, ciment, brique, isolants s'élèvent contre la nouvelle RE 2020 qui favoriserait "l'intérêt particulier de quelques industriels du bois",
Il y a 4 ans et 54 jours

La lutte contre l’artificialisation des sols en ville progresse

De plus en plus sensibles aux inconvénients liés à l’artificialisation des sols, les grandes villes s’engagent pour limiter ce processus, notamment par des actions de « verdissement » des cours de récréation.
Il y a 4 ans et 54 jours

Des ormes pour replanter la Grande Allée des Tuileries

Grâce à la mobilisation et la générosité de plus de 4 500 donateurs, le musée du Louvre a rassemblé 1 million d’euros pour restaurer la Grande Allée des Tuileries. L’objectif de la campagne « Tous mécènes ! » est une nouvelle fois atteint. 92 ormes vont être plantés et 26 bancs rénovés, redonnant toute sa splendeur au joyau des jardins « à la française ». En 1665, André Le Nôtre, créateur des jardins de Louis XIV, conçoit cette perspective exceptionnelle, qui s’étend du palais des Tuileries jusqu’à la future avenue des Champs-Elysées. Or l’abattage des arbres sous la Révolution a dénaturé son dessin originel et transformé ce chemin arboré en un large espace minéral, peu propice à la promenade. Le musée du Louvre a donc conçu un ambitieux projet de rénovation de la Grande Allée, pour magnifier le grand axe historique de Paris. La replantation de deux alignements d’ormes permettra de retrouver les dispositions du jardin du 17e siècle. En apportant plus de fraîcheur et de nature, ce projet permettra d’améliorer le confort du public tout en favorisant la biodiversité. Le choix de l’orme s’est fait sur la base d’une abondante documentation historique, scientifique et paysagère. Il s’agit d’une essence présente au jardin des Tuileries depuis l’époque de Le Nôtre mais qui a presque disparu aujourd’hui. Les ormes ont en effet été décimés par une maladie, la graphiose, dans les années 1970. Depuis lors, l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) a mis au point une nouvelle variété résistante à la graphiose, Ulmus minor Vada ® ‘Wanoux’, qui a été choisie pour la Grande Allée.  Cet arbre est adapté au sol du jardin des Tuileries et à l’évolution des conditions climatiques. Le musée du Louvre remercie chaleureusement les 4 500 généreux donateurs, la Société des Amis du Louvre, Parfums Christian Dior, Moët Hennessy ainsi que Stéphane Marie, présentateur de l’émission « Silence, ça pousse ! » sur France 5 et ambassadeur de cette 11e campagne « Tous mécènes ! ».
Il y a 4 ans et 54 jours

Le Musée de Mossoul renaît progressivement

Six ans après l’attaque de Daech, le Musée de Mossoul renaît progressivement grâce à l’engagement des autorités irakiennes et d’un consortium international du patrimoine. Depuis 2018, les membres fondateurs de ce consortium ont stabilisé le bâtiment et la collection qu’il abritait, formé et équipé ses équipes, et contribué à préparer sa réhabilitation complète. En 2020, ils ont été rejoints par le WMF, qui va définir le programme de restauration et de réhabilitation du musée. L’objectif est de rendre le plus rapidement possible cette institution culturelle importante aux citoyens de Mossoul, et de permettre de présenter à nouveau la richesse de la culture irakienne. Première étape de la préservation de la collection, les fragments des artefacts ont été minutieusement triés, documentés, nettoyés et stockés par l’équipe du Musée de Mossoul, avec l’appui des experts du Musée du Louvre. Pour préparer la restauration de cette collection, le musée parisien, en étroite collaboration avec l’équipe du Musée de Mossoul, a livré du matériel et des produits de conservation. La Smithsonian Institution et l’équipe de Mossoul ont ensuite mis en place un laboratoire de conservation de première urgence, afin de pouvoir restaurer les objets sur place. Malgré les défis posés par la pandémie, les équipes locales ont poursuivi leur travail tout en respectant les consignes sanitaires. Ainsi, en juillet 2020, du matériel informatique a été livré au personnel du musée, en vue notamment de pouvoir suivre le programme complet d’études muséales préparé par le Musée du Louvre, et dont la première composante était dédiée à la conservation à distance. L’équipe du Louvre a en effet enregistré 18 vidéos de formation appliquée à la restauration de la pierre. Celles-ci proposent des conseils de restauration en arabe, étape par étape, illustrés par des exemples concrets, et complétés par des documents écrits et des exercices pratiques. Les futurs cours de formation du Musée du Louvre porteront sur des sujets tels que les techniques de restauration des métaux et du bois, ainsi que la gestion des collections. Ils incluront également des sessions avec des experts sur la conduite d’un projet de restauration de cette ampleur. Au second semestre 2020, la Smithsonian Institution a fourni du matériel au personnel du musée et a soutenu d’autres mesures de stabilisation du bâtiment, notamment relatives à la tombe assyrienne située à l’extérieur, ainsi que le déblaiement du sous-sol de l’aile administrative, la réparation des sanitaires ou encore le nettoyage des jardins, afin de garantir une meilleure sécurité, y compris contre les incendies. Le personnel de la Smithsonian Institution a par ailleurs dispensé des formations complémentaires de celles du Louvre. Cette formation professionnelle du personnel du musée va se poursuivre dans les mois à venir. Enfin, en 2020, le WMF a rejoint le consortium et s’est vu confier la tâche de définir le programme de restauration et de réhabilitation du bâtiment du musée et de ses abords. Une mission d’expertise a ainsi été menée sur le terrain en février 2021, qui va permettre d’ouvrir la voie à une nouvelle étape de cet effort collectif : la reconstruction et le développement du futur musée, qui devrait rouvrir au public d’ici quelques années. Photo : Musée de Mossoul ©Smithsonian Institution  
Il y a 4 ans et 54 jours

Rose-Marie Mousseaux, nouvelle Directrice du musée d’Archéologie national et domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Rose-Marie Mousseaux est nommée Directrice du musée d’archéologie nationale et domaine national de Saint-Germain-en-Laye. Elle est conservatrice en chef du patrimoine, spécialiste d’archéologie classique. Elle a successivement été responsable scientifique des collections préhistoriques, protohistoriques et antiques des réserves archéologiques de la Ville de Paris et de la crypte archéologique du Parvis Notre-Dame, puis directrice du musée Cognacq-Jay après avoir participé à la préfiguration de l’établissement public Paris Musées. Depuis 2018, Rose-Marie Mousseaux était conservatrice au sein de l’équipe du Louvre Abu Dhabi. Son expertise scientifique reconnue, son expérience internationale et ses compétences d’encadrement lui permettront de fédérer toutes les équipes et les partenaires de l’établissement autour de projets scientifiques, culturels et éducatifs qui renforceront le rayonnement du musée et son insertion dans son territoire ainsi qu’au niveau national et européen. Rose-Marie Mousseaux aura également pour mission de mener à bien les travaux en cours au sein du château et sur le domaine et de prolonger les actions entreprises pour porter le thème de l’archéologie vers le grand public mais aussi vers les professionnels et les institutions du réseau ArchéoMuse. Rose-Marie Mousseaux succède à Hilaire Multon qui a été nommé DRAC Hauts-de-France. Photo : Meule dormante et broyon – RMN Grand Palais
Il y a 4 ans et 54 jours

Bouygues se désengage encore un peu plus d'Alstom

CESSION. Le groupe Bouygues vient de se séparer de la moitié de sa participation dans le constructeur ferroviaire Alstom.
Il y a 4 ans et 54 jours

Valoriser le patrimoine culturel à travers la réalité augmentée : quels obstacles juridiques ?

La réalité augmentée (RA) est un outil de développement stratégique qui permet de développer certaines initiatives culturelles et éducatives, et offre nombre d’opportunités commerciales. Le droit d’auteur génère toutefois des obstacles juridiques qui peuvent compromettre la viabilité des initiatives fondées sur la RA. La RA consiste à superposer des éléments calculés par un système informatique à la réalité en temps réel. Cette technologie permet ainsi de voir, à l’aide d’un dispositif – tel qu’un smartphone – des images élaborées par un logiciel dans un contexte réel. Un exemple célèbre est le jeu des Pokemons, où les images en mouvement de ces personnages de fantaisie apparaissent aux joueurs munis d’un smartphone doué d’une application spécifique en des lieux spécifiques. Elle s’applique à différents secteurs, dont le patrimoine culturel. La RA peut jouer un rôle dans l’éducation à l’histoire et à l’art d’une communauté. Ces éléments sont fondamentaux pour mieux développer une identité, aussi bien au niveau individuel que communautaire. À travers la RA, il est possible de valoriser les sites où se trouvent des biens culturels, ainsi que les collections des musées ou des archives qui hébergent ces biens. Ainsi, une RA sur un ou plusieurs tableaux du Louvre pourrait valoriser non seulement le tableau, mais également la collection du musée. À travers des reproductions et représentations d’objets culturels, un public large peut alors accéder non seulement aux objets qui composent actuellement le patrimoine culturel, mais aussi à des informations sur l’histoire de ce bien, les techniques qui ont permis de l’élaborer, ou le contexte historique de sa création. L’expérience de visite devient ainsi plus exhaustive, interactive, enrichissante ; en un mot, plus attrayante. On peut émettre l’hypothèse que tout cela peut avoir des retombées positives sur le développement culturel, ainsi que de façon plus indirecte, sur d’autres éléments, tels que l’évolution du secteur touristique alentour, mais aussi un intérêt croissant des opérateurs du marché qui développent des solutions RA. Les exemples de RA appliquée aux biens culturels se multiplient en France et ailleurs : citons le pont d’Avignon), l’Ara Pacis Augustae à Rome), des pièces du musée d’art Islamique à Berlin), les tableaux du musée Van Gogh à Amsterdam, ainsi que quelques tableaux de la Tate à Londres, ou de la Art Gallery of Ontario à Toronto ; ou encore les dinosaures exposés au musée de Trento. À travers ces exemples, on note que les objets concernés par la RA sont plutôt anciens ; ou bien il s’agit d’objets qui présentent un intérêt scientifique, mais pas artistique. Cette précision factuelle permet de comprendre qu’il est plus simple de développer une application RA sur des objets anciens ou de caractère scientifique que sur des objets à caractère artistique et ce en raison de l’absence de droit d’auteur sur les premiers. S’agissant des biens culturels à caractère artistique, ils incorporent une œuvre de l’esprit, c’est-à-dire la forme expressive d’une idée. C’est le cas pour la sculpture, la peinture, la littérature. Ce type d’œuvre peut faire l’objet d’un droit d’auteur. Ce droit couvre les œuvres originales, c’est-à-dire découlant de l’effort intellectuel d’une personne physique ; ainsi les œuvres générées par une machine, par un logiciel, ne pourraient pas être protégées. La protection concerne les œuvres qui ne sont pas particulièrement anciennes. En France et en UE, ainsi qu’aux États-Unis, les œuvres originales sont protégeables jusqu’à soixante-dix ans après la mort de l’auteur ou du dernier auteur. Ainsi, un bien culturel artistique peut être protégé par le droit d’auteur si son créateur est décédé il y a moins de soixante-dix ans. C’est le cas, par exemple, des tableaux de Jackson Pollock. La protection offerte par le droit d’auteur permet de jouir d’un droit exclusif sur les œuvres de l’esprit, ce qui confère une position sur le marché plutôt forte à son titulaire. En effet, en principe la présence du droit exclusif empêche d’exploiter une œuvre en l’absence du consentement de son titulaire. La protection des bases de données D’autre part, les collections des instituts du patrimoine culturel, c’est-à-dire les musées, bibliothèques, archives et instituts de dépôt légal pour le matériel audiovisuel ou radiophonique peuvent être qualifiés en tant que bases de données, c’est-à-dire comme recueils de données, informations, contenus et autres matériels, organisés de façon méthodologique et systématique et au sein desquels on peut accéder aux éléments individuellement. À certaines conditions, les bases de données dans l’UE peuvent jouir d’une protection qui limite l’extraction et l’exploitation des données les composant : il s’agit du droit sui generis sur les bases de données, une forme de protection juridique supplémentaire par rapport à celle offerte – éventuellement – par le droit d’auteur. En sa présence, il sera nécessaire d’obtenir l’autorisation du titulaire du droit avant de pouvoir copier et coller des éléments de la base de données dans un autre contexte. Cette forme de protection sur les bases de données peut venir se rajouter à celle couvrant les éléments qu’une telle base de données contient. Ainsi, une collection d’archives est une base de données et les documents contenus dans la collection peuvent être des œuvres de l’esprit protégées par le droit d’auteur. À titre d’exemple, la collection du musée George Pompidou peut être qualifiée en tant que base de données et elle est protégeable par le droit d’auteur de façon globale, ainsi que par le droit sui generis sur les bases de données, tout comme les œuvres de Pollock qui y sont contenues et exposées sont protégées par le droit d’auteur. Comment faire si on veut développer une application RA autour des œuvres de Pollock, Koons et d’autres auteurs contemporains ou de l’histoire récente exposés au centre Pompidou ? Il faut alors obtenir l’autorisation d’exploitation des droits d’auteur et sui generis auprès des titulaires, tout en étant attentif au respect de la paternité et de l’intégrité des œuvres exploitées, si l’autorisation est donnée. Globalement, le droit d’auteur peut faire obstacle à des exploitations telles que les reproductions et représentations nécessaires à des applications en RA. En effet, il s’agit d’un droit exclusif, et donc en l’absence d’autorisation l’œuvre ne peut pas être exploitée. Le consentement doit être fourni par le titulaire des droits patrimoniaux, c’est-à-dire des droits qui peuvent faire l’objet d’un contrat et qui couvrent les activités de reproduction et de représentation. Or, en raison des règles d’attribution de ces droits, il n’est pas toujours facile d’identifier qui détient les prérogatives et peut donc contrôler toute reproduction ou représentation. De plus, le créateur de l’œuvre – qui parfois ne détient plus les droits patrimoniaux en raison de la possibilité de les céder pour les monétiser – a toujours le droit d’être reconnu comme « père » de l’œuvre, ainsi que le droit au respect de la forme et de l’esprit de l’œuvre : c’est ce qu’on appelle les droits moraux, qui ne peuvent pas être cédés par contrat et qui durent au-delà des soixante-dix ans après la mort de l’auteur. De même, le droit sur les bases de données étant exclusif et se cumulant à la protection sur les éléments individuels composant la base de données peut vraisemblablement constituer une limite au développement de telles initiatives. Comment procéder alors ? Exceptions au droit d’auteur Les réponses sur la viabilité d’application RA peuvent être cherchées dans certaines exceptions au droit d’auteur, c’est-à-dire dans les règles qui permettent une exploitation des œuvres de l’esprit – ainsi que des bases de données – protégées même en l’absence d’une autorisation. On songe notamment à l’exception de citation, mais également à l’exception pédagogique, ainsi qu’à celles moins mentionnées par la presse et les œuvres de divulgation, telles que les exceptions sur les œuvres orphelines, et, plus récemment, sur les œuvres hors commerce, ou sur le data mining. Les exceptions sont expressément listées par le code de propriété intellectuelle français – à l’art. 122-5 notamment – et par les textes nationaux homologues au sein de l’UE. Une lecture creusée de ces dispositions révélant que seules certaines activités de reproduction et représentation pourraient être justifiées en l’absence du consentement du titulaire des droits, cette solution ne saurait être que partielle. D’autres solutions semblent par ailleurs pouvoir découler des normes exogènes aux droits de propriété littéraires et artistiques. On songe notamment aux règles sur la réutilisation des données publiques, qui peuvent s’appliquer également aux informations gérées par les instituts du patrimoine culturel et par les administrations et établissements publics voués à la gestion du patrimoine culturel. Mais là encore, il ne s’agit que de solutions partielles, puisque les conditions pour que ces normes interviennent ne sont pas toujours remplies. Il est possible que la pratique bien intégrée par le système français des accords collectifs entre les instituts du patrimoine culturel, les administrations gérant les biens culturels et les sociétés de gestion collectives (telle que l’ADAGP par exemple) fournisse, à terme, une solution plus exhaustive et vienne soutenir le développement de la RA. Cristiana Sappa, Professeur associé en droit des affaires, IÉSEG School of Management Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original. Photo : A la Conciergerie, la réalité augmentée permet de découvrir les lieux sous un autre oeil. La Conciergerie, Paris
Il y a 4 ans et 54 jours

Le bois comme manifeste du commun, un groupe scolaire à Drancy par Jean et Aline Harari

Né en 2017, Edgar est l'acronyme de ses trois fondateurs, diplômés de l'école nationale supérieure d'architecture et de paysage de Bordeaux : Stanislas Elluin, Igor Duolé et Ludovic Gillon. La pratique de l'agence EDGAR est fondée sur une culture commune autour de la notion d'habiter et de la conception des systèmes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 54 jours

Amaury Omnès: «Le polystyrène expansé subit une inflation inédite»

Le président de l’Association française de l’isolation en polystyrène expansé pour le bâtiment (Afipeb) détaille les mécanismes qui conduisent à une hausse brutale des coûts – et donc des prix – du PSE. Et envisage un phénomène de pénurie. En cause le monomère styrène, principale matière première entrant dans la composition du PSE.
Il y a 4 ans et 54 jours

Que faut-il retenir sur les travaux de ravalement de façade?

Nous décidons de ravaler la façade de notre habitation pour diverses raisons. Le ravalement de façade se définit comme la remise en bon état des murs extérieurs d’une maison ou d’un immeuble. À ce titre, il n’a pas pour vocation de modifier l’aspect originel de ceux-ci. Malgré cela, leur réalisation doit obéir à certaines règles. Justement, nous allons partager avec vous dans cet article tout ce que vous devez retenir sur ce procédé. Pourquoi procéder au ravalement de la façade de son logement ? La façade est une pièce maitresse de l’habitation. Elle supporte l’ensemble de la toiture et met les habitants à l’abri des intempéries. Pourtant, elle est constamment exposée aux différentes agressions. Des travaux de ravalement sont donc entrepris afin de la maintenir en bon état. Ils impliquent la réparation des imperfections des murs (fissures, décollement de la peinture, joints endommagés, etc.). Parfois, les travaux sont exécutés dans un but purement esthétique. Grâce à ceux-ci, nous procurons une nouvelle jeunesse à notre bâtisse. Dans tous les cas, il est conseillé de solliciter les services d’un façadier pour avoir un résultat irréprochable. En outre, il faut savoir que le ravalement de façade est une obligation légale. Aux termes de l’article L132-1 du Code de la construction et de l’habitation, tout propriétaire d’immeuble doit réaliser des travaux une fois au moins tous les 10 ans. Cette loi vise particulièrement à préserver la sécurité d’autrui. Effectivement, une façade en mauvais état peut s’effondrer à tout moment. Par conséquent, l’omission à cette obligation est punissable d’une peine pécuniaire qui s’élève à 3 750 €. Faut-il obtenir une autorisation préalable avant de ravaler sa façade ? Généralement, aucune autorisation préalable n’est requise pour remettre à neuf une façade. Pour éviter les mauvaises surprises, il est cependant plus prudent de s’informer sur les démarches administratives à suivre. Dans la majorité des cas, une déclaration préalable des travaux devra être déposée en mairie avant le ravalement de la façade. C’est surtout le cas si votre commune est assujettie à un Plan Local d’Urbanisme (PLU). Il est essentiel de consulter ce document. Il est fréquent qu’il impose ou interdise l’utilisation de certains matériaux de construction. Par ailleurs, si votre immeuble se trouve dans un espace protégé ou s’il a été classifié parmi les monuments historiques, il faudra obtenir un permis de construire. La même règle s’applique en cas de changement significatif de l’aspect extérieur du bâtiment ou de création d’une ouverture. Comment s’opèrent les travaux de ravalement de façade ? En raison de leur complexité, ces travaux ne peuvent être pris à la légère. C’est pourquoi il est préférable de les confier à un façadier professionnel comme https://www.facadier-93.fr/  . Le recours aux services de cet artisan constitue d’ailleurs une garantie de la solidité et de la durabilité de la structure. Pour ce qui est de leur déroulement, ils sont impérativement précédés d’un diagnostic approfondi de la façade. Ceci permet de détecter ses éventuels problèmes et de définir, par conséquent, la solution à adopter pour y remédier. À l’issue de cette première intervention, le façadier procède au nettoyage de la façade. C’est ce qui va lui donner un meilleur aperçu des défauts du mur dissimulés par les souillures. Pour ce faire, il peut choisir entre différentes techniques de nettoyage. Le plus courant demeure néanmoins le nettoyage à haute pression. Une fois bien propres, il passe à la réparation des murs. On peut également appliquer un traitement spécial sur leur surface afin de lutter contre le développement des algues et des mousses. Il réalise enfin les travaux de finition. Ces derniers se matérialisent par l’habillage des murs, en l’occurrence la pose d’un bardage, l’application d’une peinture ou d’un crépi. En plus d’enjoliver la façade, ces travaux offrent une protection optimale à celle-ci.
Il y a 4 ans et 54 jours

RPBW et Brunet Saunier lauréats pour dessiner le campus Hospitalo-Universitaire Grand Paris-Nord à Saint-Ouen

Le jury a désigné, le 4 mars, à l’unanimité le projet des équipes de Renzo Piano associés à Brunet Saunier Architectes, Ingerop Conseil et Ingénierie et SLETEC pour le futur hôpital et centre universitaire à Saint-Ouen. Le concours lancé en juillet 2019 vise à créer un nouveau lieu associant soins médicaux, enseignement et centre de recherche pour l’AP-HP (Assistance Publique Hôpitaux de Paris) d’ici 2028. Renzo Piano Building Workshop s’est associé à l’agence Brunet...
Il y a 4 ans et 54 jours

Enquête préliminaire visant le port Vauban d'Antibes après un signalement d'Anticor

Anticor, dans un signalement au parquet, a dénoncé la procédure de mise en concurrence de la Délégation de service public (DSP) du port d'Antibes attribuée par la ville en 2016 à la société la SAS Vauban 21 (CCI, Caisse d'Epargne, Caisse des dépôts et consignation), et les travaux d'aménagement menés par la SAS."L'enquête sur les conditions du marché est en cours à la police judiciaire", a précisé à l'AFP la procureure de Grasse Fabienne Atzori.Selon Anticor, la commercialisation de contrats d'amarrage de longue durée ou "garanties d'usage" aux propriétaires de bateaux relèverait d'un "abus de confiance" et d'un "détournement de fonds publics" car aucun nouvel anneau n'aurait été effectivement créé, explique Jean Galli, membre d'Anticor du Var.Anticor affirme également que lors de l'appel d'offres pour l'attribution de la DSP, tous les dossiers avaient établi un plan de financement excluant les sommes perçues grâce aux Garanties d'usage, sauf un, Vauban 21. Ce n'est que plus tard, en 2019, que la mairie a autorisé la vente de garanties d'usage, pointe Anticor: "C'est une atteinte aux règles de la concurrence", estime M. Galli."Nous contestons les allégations sans fondement d'Anticor et sommes sereins sur l'issue de la procédure pénale", a réagi la société exploitante auprès de l'AFP.La SAS Vauban 21, dirigée par son directeur général Jacques Lesieur, avait commencé à commercialiser ces premières garanties d'usage au "Quai des milliardaires", prévu pour 18 super-yachts mesurant jusqu'à 160 mètres.Depuis janvier, ces contrats d'amarrage de longue durée sont aussi commercialisés sur le plan d'eau principal où 442 postes pour des embarcations de plus de 13 mètres attendent preneurs à partir du 1er janvier 2022, pour des durées de 10 ou 21 ans, en remplacement de contrats d'amodiation arrivant à échéance fin 2021, a expliqué la SAS Vauban 21.En plein changement, le port a aussi entamé en février la démolition de l'International Yacht Club of Antibes, qui marque le début de travaux de modernisation engagés "pour un investissement de 135 millions d'euros", selon le port.Le port d'Antibes compte au total 1.652 places.
Il y a 4 ans et 54 jours

Destruction à Mayotte de 230 habitations dans un bidonville en application de la loi Elan

"Cette opération loi Élan à Koungou est la plus importante depuis octobre dans le sens où c'est aussi la plus difficile, et elle est emblématique, tant nous connaissons les troubles à l'ordre public qui agitent cette commune", a déclaré le préfet, Jean-François Colombet, lundi lors d'une conférence de presse.Cette opération réunit deux critères demandés par la loi Elan à savoir des "risques pour la sécurité des occupants" et aussi "pour la sécurité et ordre public", a souligné le préfet en faisant référence au fait que le bidonville a été construit sur une zone instable, alors que la la saison des pluies bat son plein à Mayotte. C'est dans ce quartier qu'une coulée de boue avait provoqué la mort d'une mère et de ses quatre enfants en janvier 2018.Selon la préfecture, 230 cases doivent être rasées entre lundi et mercredi dans ce quartier dit de la "Jamaïque", ce qui concerne un total d'environ 450 personnes. Et 184 étrangers en situation irrégulière ont été interpellés en amont de l'opération, grâce à l'important dispositif de gendarmerie et de police déployé depuis une semaine: chaque jour, une centaine de gendarmes et une quarantaine de policiers du Groupe d'appui opérationnel (GAO) quadrillent la zone.Le 26 février dernier, une opération d'interpellation d'étrangers en situation irrégulière dans ce quartier informel, prévue en amont de la destruction, avait provoqué un déferlement de violences. En représailles, des bandes de jeunes s'étaient attaquées aux résidences situées à l'entrée du bidonville, brûlant les maisons et provoquant le départ de plusieurs habitants.Prévue initialement le 9 mars, dans le respect du délai d'un mois et huit jours fixé par la loi, l'opération de "la Jamaïque" a finalement eu lieu dès ce lundi, prenant de court certains habitants, occupés à déménager leurs meubles dans la boue ce lundi dès l'aube, a constaté une journaliste de l'AFP.Votée en novembre 2018, la loi portant évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (ÉLAN) permet au représentant de l'Etat d'ordonner par arrêté aux occupants de locaux illégaux et indignes d'évacuer les lieux afin de lutter contre l'habitat insalubre.
Il y a 4 ans et 54 jours

Impression 3d ou Usinage CNC, comment choisir ?

Pour mener à bien son métier, l’ingénieur a souvent besoin d’un prototype ou d’une pièce fonctionnelle sans rechange. Dans ce cas, il doit faire appel à des technologies modernes de prototypage ou de conception comme l’impression 3D et l’usinage CNC. Cependant, ces deux techniques ont leurs points forts et points faibles qu’il faudra considérer avant de faire un choix définitif. Dans cet article, voyez quelles sont les différences entre ces procédés. Les différences entre l’usinage CNC et l’impression 3D ? Avant toute chose, il est réellement important de comprendre les différences entre ces deux procédés. De cette manière, vous saurez lequel est le mieux adapté à vos besoins d’usinage. En fait, le choix de l’un ou l’autre se fait en tenant compte des spécificités de chacun d’eux. L’impression 3D est un processus de fabrication additive qui crée des objets physiques à partir d’un modèle digital. Cet objet en question est fabriqué en posant de fines couches de matériaux graduellement. Au final, ces matériaux vont se fusionner. Le résultat obtenu est très raffiné et les possibilités de forme sont plus ou moins indéfinissables. C’est la capacité de l’imprimante qui détermine sa limite. L’impression 3D est plutôt destinée à la conception d’objets personnalisés ou des besoins ponctuels. Elle aura du mal à assurer une production à grande échelle comme dans les industries. De plus, elle ne convient pas du tout aux objets de grande taille. Par contre, l’usinage CNC (Computer Numerical Control) est assez propre au domaine industriel, car il utilise plutôt le processus de fabrication soustractive. Les outils des aléseuses CNC sont contrôlés en utilisant un logiciel intégré dans le micro-ordinateur qui est lié à ceux-ci. Le procédé en question taille le matériel initial pour obtenir l’objet d’une certaine forme. Cette technique demande donc plus de travail et d’intervention humaine pour les ajustements. L’usinage CNC ne conviendra jamais à la production d’objet authentique et personnalisé étant donné que son coût unitaire est plus élevé. Les matériaux de l’impression 3D et de l’usinage CNC Ces deux procédés sont compatibles avec une grande variété de matériaux y compris les plastiques et les métaux. Mais, il y a tout de même quelques distinctions entre les deux. L’impression 3D, par exemple, se concentre un peu plus sur les plastiques même si certains fabricants commencent une impression 3D métal. Les plastiques les plus utilisés en CNC sont : le nylon (PA66), l’ABS, le polycarbonate (PC), l’acrylique (PMMA), le POM, le PEEK et le polypropylène (PP). En ce qui concerne les métaux, l’aluminium est le plus employé dans l’usinage CNC. Cette matière permet de créer des prototypes de qualité. D’ailleurs, l’alu est aussi recyclable et peut créer facilement des prototypes. Néanmoins, les autres métaux utilisés sont l’acier inoxydable, les alliages de magnésium, l’alliage de zinc, le laiton et le titane. L’usinage CNC : une méthode économique et une grande versatilité Avec l’automatisation des aléseuses CNC, l’usinage CNC n’est donc plus un procédé dispendieux qui nécessite la présence permanente d’un technicien spécialisé. De nos jours, cette tâche est devenue moins complexe. Les machines adoptent des interfaces conviviales que tout le monde peut maitriser après une formation de quelques jours. Par conséquent, vous n’aurez nullement besoin de l’expertise dispendieuse pour fabriquer des pièces en grande quantité. Par ailleurs, l’usinage CNC permet de travailler toutes sortes de matériaux que vous ne pouvez pas encore imprimer, comme le bois, par exemple. Enfin, les aléseuses CNC offrent une grande précision de coupe pour pouvoir fabriquer des pièces complexes telles que les engrenages ou les pièces sur mesure. Les points forts de l’impression 3D L’un des avantages de l’impression 3D c’est son coût moins onéreux lorsqu’il s’agit de fabriquer un prototype unique. Mais ce tarif peut connaître certaines modifications en fonction du matériau à utiliser, du volume et de la complexité. Ce sont les principaux facteurs qui influencent le temps d’impression. Pour ne pas avoir d’imprévus, effectuez au préalable un devis en impression 3d. De cette manière, vous pourrez mieux gérer vos dépenses. En outre, les étapes post-impression sont nombreuses pour avoir une finition impeccable. Ce sont des points à considérer dans votre budget. Pour ces dernières raisons, ce procédé est moins avantageux économiquement parlant, surtout si vous avez une commande de 50 ou 100 prototypes. Le point positif de l’impression 3D reste sa capacité à produire des pièces uniques ayant des complexités géométriques importantes. C’est grâce à la fabrication additive que cette technique arrive à créer des formes uniques et qui sont impossibles à réaliser par la fabrication soustractive. L’impact sur l’environnement L’usinage CNC implique plusieurs découpages de matériau à partir d’un bloc d’origine. Ainsi, les débris doivent être nettoyés et jetés après chaque utilisation. Or, vous éviterez cela en utilisant une impression 3D. En effet, cette seconde méthode vient ajouter de la matière et ne produit aucun déchet particulier à l’exception des éventuels supports d’impression. Vous aurez moins de gaspillage en adoptant une impression 3D.
Il y a 4 ans et 54 jours

BTP : Les prévisions d'embauche en hausse de 20%

EMPLOI. Malgré une chute du nombre de chantiers, le secteur du BTP affiche une belle croissance dans ses intentions d'embauche pour le printemps 2021. Partout en France, des entreprises cherchent des salariés mais sont parfois en manque de main d'oeuvre.
Il y a 4 ans et 54 jours

Eiffage va recycler des matériaux pour rénover des logements sociaux

CHANTIER. Eiffage Construction vient de remporter le marché de la rénovation de 670 logements sociaux dans le Nord. L'amélioration énergétique de ces habitations passera par le réemploi de certains matériaux, dans une démarche durable.
Il y a 4 ans et 54 jours

Le CSCEE vote un avis favorable sur le projet de DPE

VOTE. Le conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE) s'est prononcé, ce 9 mars 2021, au sujet du projet de réforme du diagnostic de performance énergétique (DPE).
Il y a 4 ans et 54 jours

Ken Follett reverse des droits d'auteur pour restaurer une cathédrale en France

Ken Follett, dont l'ouvrage s'était vendu à travers le monde à plus de 113.000 exemplaires, reverse l'intégralité de ses droits d'auteur à la Fondation du patrimoine (FdP), a annoncé lundi cette dernière."Ensemble, ils choisissent d'affecter ce don aux travaux de restauration et de sécurisation d'une autre cathédrale, celle de Dol-de-Bretagne", poursuit le communiqué.La Fondation "reversera prochainement une somme d'un montant de 148.000 EUR à la commune", ajoute-t-il.Ken Follett est connu notamment pour "Les Piliers de la terre" (1989), qui relate la construction d'une cathédrale gothique à Kingsbride, ville fictive dans l'Angleterre du XIIe siècle. Pour cet ouvrage, il s'était inspiré de Notre-Dame de Paris, et une des scènes d'"Une colonne de feu", troisième volet de la trilogie, se déroule d'ailleurs dans la cathédrale parisienne.Dans "Notre-Dame", il revient sur l'émotion qui l'a submergé devant la vue de la cathédrale en flammes ainsi que sur son histoire.La cathédrale Saint-Samson à Dol-de-Bretagne est très dégradée. Des travaux, pour un montant de 2,4 millions d'euros, ont été engagés en 2019 et devraient s'achever en 2024.La couverture n'est plus étanche, les balustrades en granit sont abimées, certains parements doivent être remplacés ou consolidés, quatre verrières du XIIIe siècle, les plus anciens vitraux répertoriés en Bretagne, ne sont plus protégés.
Il y a 4 ans et 54 jours

Moret-Loing-et-Orvanne : mise en service de l’unité de méthanisation Equimeth en juin prochain

La nouvelle unité de méthanisation de Moret-Loing-et-Orvanne sera opérationnelle d’ici quelques mois.